supllb 20130808 supllb full

16
© S.A. IPM 2013. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit. PHILIPPE DEMARET EUROHOCKEY 2013 TOUT SAVOIR SUR L’EURO DES RED LIONS ET DES RED PANTHERS Supplément - La Dernière Heure - Les Sports et La Libre Belgique du 08/08/2013

Upload: sa-ipm

Post on 26-Mar-2016

269 views

Category:

Documents


2 download

DESCRIPTION

Supplément IPM du 8 août 2013 : Euro Hockey 2013

TRANSCRIPT

Page 1: Supllb 20130808 supllb full

© S.A. IPM 2013. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

PHILIPPE

DEMAR

ET

EUROHOCKEY 2013

TOUT SAVOIR SUR L’EURO DES RED LIONSET DES RED PANTHERS

Supplément - La Dernière Heure - Les Sports et La Libre Belgique du 08/08/2013

Page 2: Supllb 20130808 supllb full

© S.A. IPM 2013. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

Sommaire

3MÉDAILLES EN VUELa fédération de hoc­key n’a jamais eupeur de dévoiler dehauts objectifs. Si elleveut réussir son Euroen coulisse, elle en­tend aussi atteindreles sommets sur leterrain. L’ARBH a fixéun Top 3 aux RedLions alors que lesRed Panthers sontattendues en demi­fi­nales.

“C’est grâce aux JOque nous ensommes làaujourd’hui”Pascal Kina

COACH DES DAMES

“Je pars du principeque je ne suisjamais satisfait,qu’il faut toujoursavoir faim etvouloir plus. Nousdevons encoreprogresser.”Marc Lammers

COACH DES LIONS

pp 4-5UN DÉFI TITANESQUESortir de terre un tel événe­ment ne s’improvise pas. De­puis 2 ans, une équipe de plusde 100 personnes s’active afindemettre sur pied la plusgrande compétition de hockeyjamais organisée sur le solbelge. Le budget, soit 1,5mil­lion d’euros, en dit long sur lacharge de travail.

pp 6-7LES RED LIONS SOUSLA LOUPETour d’horizon, sous la formede fiches d’identité, des forcesen présence deMarc Lammers.

pp 8-9LES TOURNANTS DUHOCKEY BELGE EN 10ÉTAPESCes vingt dernières années, leséquipes nationales ont connude grands bouleversements.Aperçu des 10 dates qui ontmarqué l’histoire des Red Lionset des Red Panthers.

D.R.

Le nouveau visage du Braxgata1

2/3

Page 3: Supllb 20130808 supllb full

© S.A. IPM 2013. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

Edito

Il y aura un avant etun après Boom 2013Par Thibaut Vinel

Que la fête soit pleine et totale ! Tous les ingrédientssont réunis pour que les Red Lions et les Red Pan­thers communient avec leur public dans un cadreprestigieux. Tout ? Absolument tout. Le timingd’abord. Les Lions nourrissent les plus hautes ambi­tions après avoir battu l’Australie à deux reprises enmatch officiel. Rotterdam a servi d’ultime déclicpour un groupe pétri de talent. Les Panthers, qui ontsouffert lors de laWorld League, viennent de fêterleur qualification pour la Coupe duMonde 2014.Sans panache certes, mais le groupe s’est repris enmain ce derniermois. Pascal Kina devra composeravec un noyau trop étriqué, mais le Top 4 est épinglédans ses objectifs. Cette grand­messe à Boom tombeà point nommé car, ces dernières années, la proxi­mité des grands événements (Euro àMönchenglad­bach, Olympic Qualifier à Kontich et JO à Londres)ont offert autant de possibilités aux supportersbelges de s’organiser. Aujourd’hui, la Red Tribe a vule jour. Le 12e homme est prêt àmettre le feu dans lesénormes tribunes. Enfin, l’ARBH a eu le temps dedigérer l’éclosion rapide de ses équipes­locomotives.La Fédération, limitée dans son champ d’action, n’aplus froid aux yeux. Soutenue par une armée desponsors, elle a constitué une bande de plus de 100personnes pour sortir de terre un projet somptueux.Les habitués des bancs blancs défraîchis du “Brax” enprendront plein la vue. Le Hockey Park, le Plaza et leStadium raviront toute la famille. Entre lesmatches,les enfants pourront s’adonner à diverses activitéssportives pendant que les parents flâneront dans lesallées commerçantes ou se poseront à une terrassepour déguster une petitemousse. L’Euro ne se limi­tera pas à une simplemanifestation sportive. LeTriFinance veut que les familles débarquent en nom­bre pour passer une journée de fête. Cerise sur legâteau, la télévision a, pour la première fois de sonhistoire, compris l’importance de l’enjeu. Elle a déliéles cordons de la bourse pour retransmettre en directl’événement. Le revers de lamédaille ? Les Red Lionset les Red Panthers sentent la pressionmonter cesderniers jours. Un an après les Jeux olympiques, l’étés’annonce chaud bouillant sur le front du hockeybelge… On finit par s’y habituer et c’est tantmieux !

p 15CALENDRIERPour tout savoir sur les heuresdematches et les compositionsde poule durant les 9 jours decompétition.

pp 10-11LES RED PANTHERSSOUS LA LOUPETour d’horizon, sous la formede fiches d’identité, des forcesen présence de Pascal Kina.

pp 12-13PORTRAITS DES COACHSQui se cache derrière les facièsdeMarc Lammers et de PascalKina ? Retour sur les trajectoi­res très différentes de deuxhommes qui président auxdestinée des Red Lions et desRed Panthers.

Le site du Braxgata a étécomplètement redessiné. Lechantier le plus spectacu-laire touche le terrain(image 3) qui est bordé de8400 strapontins. Un plan(image 2) sera nécessairepour s’orienter entre lestrois zones majeures : leplaza, le stade et le hockeypark (image 1). L’entrées’effectue du côté du parcsitué derrière le club. Parconséquent, l’entrée “classi-que” est condamnée durantles Championnats d’Europe.

Le nouveau visage du Braxgata2

3

Supplément spécial de La Libre Belgique et de La Dernière Heure. Coordination rédactionnelle :Thibaut Vinel (responsable du supplément), avec la participation de Jean-François Jourdain.Réalisation : IPM Press Print. Conception : Jean-Pierre Lambert (Responsable graphique), ValérieMoncomble. Illustrations : Philippe Demaret et Philippe De Putter. Administrateur délégué – éditeurresponsable : François le Hodey. Directeur général : Denis Pierrard. Rédacteur en Chef de la Libre :Vincent Slits. Rédacteur en Chef de la DH : Ralph Vankrinkelveldt. Pub : Luc Dumoulin.

Page 4: Supllb 20130808 supllb full

© S.A. IPM 2013. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

Voyagedans les coulissesh Le site du Braxgata, divisé en troisparties, sera méconnaissable.

L’amateurisme a quitté les terrains depuis desannées déjà. En coulisse aussi, les acteurs nelaissent plus rien au hasard. Gérer un budget

d’un million et demi d’euros pour un événement quiaccueillera plus de 50000 personnes ne s’improvisepas. Une armada de pros, de semi­pros et de bénévo­les est venue prêter main forte à l’ARBH qui n’étaitpas suffisamment armée pour organiser le 3e plusgrand événement de hockey à travers le monde.

Depuis plusieurs semaines, le Braxgata a subi deprofondes métamorphoses afin d’accueillir jusqu’à8500 personnes par jour.

Le site se divise en 3 zones : l’entrée principale avecson Hockey Park, le Plaza et le terrain de match.

1. LeHockey Park : situé juste après l’entrée prin­cipale, le Hockey Park se compose de plusieurs

espaces d’animation. Un village pour enfants de 6 à 12ans propose une foule d’activités ludiques centréessur la pratique du hockey sous toutes ses formes. Unautre village accueillera un peu plus loin les adoles­cents de 12 à 18 ans. Des concerts sont prévus tous lessoirs.

2. Le Plaza : construit sur le terrain numéro 2 du“Brax”, cette zone est dédiée à la nourriture et

aux magasins éphémères. Les plus grandes marquesde hockey seront présentes. L’emplacement d’un petitespace (3 mètres sur 3) se chiffre à 2500 euros. Le prixmonte à 5300 euros pour de plus grandes superficies.

Les échoppes de nourriture vendront des alimentsclassiques en mettant l’accent sur une alimentationsaine. “Nous ne voulons pas voir de files. Nous avonsmultiplié les espaces de restauration”, souligne le res­ponsable de la logistique, Pierre­Emmanuel Fobe.

3. Le terrain principal : Les changements les plusspectaculaires toucheront évidemment les

abords du terrain officiel. Si le terrain n°2 est dédiéaux entraînements, tous les matches se joueront surle terrain qui borde la terrasse du club­house. Pourl’occasion, cette zone est complètement transformée.Des tribunes de 8340 places borderont le terrain. Lerevêtement a été nettoyé. Les goals officiels (avec desbords jaunes) ont déjà été placés. L’éclairage (full Led)remplace les anciennes lampes. Les bancs de toucheont été positionnés de l’autre côté du terrain. Les tra­ditionnels bancs pour le public ne seront plus visibles.Une dizaine de caméras capteront toutes les actionsde match. Comme en EHL, des micro­caméras serontaccrochées aux filets des goals. Derrière un but, unetribune accueillera des supporters debout (15 euros laplace) à la façon des kops en football. La plus grandetribune dispose de plus de 3 000 strapontins. Deuxécrans géants de 5 mètres sur 6 montreront les ralen­tis et autres annonces du match. Normalement, les ar­bitres seront équipés de caméra afin d’entendre lesconversations avec les joueurs. Des Ledboarding (unepremière en hockey !) c’est­à­dire des panneaux lu­mineux consacrés aux publicités ont été placés autourdu terrain. Une tente VIP sur le mini­terrain, les bu­reaux officiels des représentants de la FIH et une im­mense salle de presse complètent cet espace.

Thibaut Vinel

Un budget colossal : 1,5 million

Les Championnats d’Europe consti-tuent le plus grand événement dédié auhockey organisé en Belgique. L’anpassé, l’Olympic Qualifier à Kontich futune grande réussite, mais l’ampleur del’événement ne souffre pas la comparai-son. Le budget donne le tournis à plusd’un organisateur. Le coût global dépas-sera le million d’euros et demi. Poursupporter les coûts, la cellule marketinga débloqué une somme de 500000euros grâce à des sponsors qui sebousculaient au portillon. L’imagepositive et dynamique du hockey aséduit plus d’une entreprise. Les cais-ses se rempliront grâce aux revenusgénérés par les sponsors, le ticketing, lecatering, les locations d’espaces publi-citaires et… les droits télévisés. Lessponsors ont d’ailleurs rivalisé d’ingé-niosité pour se démarquer sur le site.Fintro distribuera un livre avec lesimages de tous les joueurs afin que lesenfants collectionnent les paraphes deleurs stars. D’autres marques distribue-ront des tickets lors de campagnesvisibles dans les supermarchés. M andM’s sort une chanson en l’honneur desRed Panthers. Ketnet invite des jeunesdans ses studios. L’équilibre financierrelève du domaine du possible.

Transport et parking

Les transports restent un point sensibledans l’organisation de tout événement decette envergure. L’Euro s’appuie sur l’expé-rience du festival Tomorrowland. Les par-kings des environs sont réquisitionnés. Leplus lointain se situe à 4-5 kilomètres. Desshuttles (15 au total) très réguliers achemi-neront les supporters vers l’entrée princi-pale. Le parking vous coûtera 5 euros pour lajournée. Les organisateurs doivent aussicoordonner les déplacements des athlètes etdes officiels. Seize équipes issues de 12nations différentes seront véhiculées de leurhôtel vers le terrain d’entraînement et le sitedu Braxgata. “À part l’Espagne et la Biélorus-sie, toutes les nations ont réservé leurhôtel via la liste que nous leuravons fournie. Ils dorment donctous à Anvers”, souligne l’un desgrands responsables, Pierre-Em-manuel Fobe. Les Belges logentdans l’hôtel d’… Erik Gysels, leprésident du Braxgata. Les Lions etles Panthers dorment au Ter Elst àEdegem, le QG des protégées de Kina lors del’Olympic Qualifier de Kontich. Les joueurs etjoueuses s’entraîneront, aussi, loin de l’agi-tation du Braxgata. Les terrains mouillés duBeerschot, du Victory, de l’Héraklès, duDragons et de l’Antwerp ont ouvert leursportes.

15 – 30PRÈS D’ANVERSET DE BRUXELLESLe terrain duBraxgata ne se situequ’à 15 kilomètresd’Anvers et à plusoumoins 30 bornesde la capitale.

8400CAPACITÉ DU STADED’immenses tribu­nes ont été cons­truites autour duterrain principal.Leur capacité ?8400 places.

“Nous ne nouscontenterons pasde la plus bellemédaille sur leterrain, nousvoulons aussi êtreélus le meilleurtournoi de hockeyjamais organiséau monde.”DenisVan Damme

RESPONSABLE MAR-KETING ET PRESSEElle témoigne de ladétermination duteam d’organisation

Logistique4/5

Page 5: Supllb 20130808 supllb full

© S.A. IPM 2013. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

Le prix des tickets

La vente des tickets suit une courbetout à fait normale et rassurante. Lepremier samedi et le dernier week-endaffichent quasiment sold out. Les autresjours, les tribunes seront honnêtementremplies. Les événements antérieurscomme l’Euro de Mönchengladbach oul’Olympic Qualifier de Kontich ontdémontré que les Belges étaient capa-bles de se mobiliser pour soutenir leurscouleurs. Le prix des tickets est variableen fonction de la tribune. Une placedans le kop derrière le but ne coûte que15 euros tandis que de l’autre extrémitéde la pyramide, en VIP, un ticket sevend à 60 euros. Chaque jour, 630packs VIP sont mis en vente. Plus de80% avaient déjà trouvé acquéreur. Enfonction des jours, ces formules deprestige coûtent entre 150 euros (ensemaine) et 195 euros (le 2e week-end).Si un groupe de plus de 20 personnesdécide de s’inviter dans l’espace VIP, ilrecevra un espace privé. Les ticketssont valables pour la journée entière.

La télévision retransmet les matches

Les montants restent mystérieusement consignés dans des contrats tenus à l’écart des yeux indiscrets. Pourla première fois de l’histoire de l’ARBH, les télévisions ont négocié avec la Fédération pour acheter des droitsde retransmission. Grâce aux succès des Red Lions et des Red Panthers, toutes les rencontres seront retrans-mises en direct sur la RTBF (côté francophone) et sur la VRT (côté néerlandophone). “La chaîne flamandeavait d’emblée montré un grand enthousiasme”, souligne Pierre-Emmanuel Fobe. “La RTBF a emboîté lepas.” La capture d’images sera réalisée par Infrastradasportgroup, qui est une société hollandaise expertedans le hockey. Elle a placé entre 8 et 10 caméras au bord du terrain. Sporza placera même son studio lepremier dimanche afin de réaliser une émission en direct sur place. “Il y a 3 ou 4 ans, on aurait rigolé.Aujourd’hui, le hockey est pris au sérieux.”Par le passé, Exqi Sport et AB3 avaient tenté une percée à la télévision, mais ces projets avaient coûté cher à

l’ARBH qui co-finançait les productions. Même si les sommes payées par les chaînespubliques ne sont pas pharamineuses, elles démontrent la volonté de ses patronsde faire connaître cette discipline à un large public.

Pourquoi un tel événement à Boom ?

La Belgique a bousculé la hiérarchieeuropéenne sur les terrains. DepuisManchester 2007, les Belges sontattendus lors des grands événementssur le Vieux Continent. Les Red Lionsont compris en 2010 qu’organiser unetelle compétition pouvait apporter unréel plus à leurs équipes. En 2011,l’Euro leur a filé sous le nez au profit dela redoutable Allemagne. Pierre-Emma-nuel Fobe retrace la chronologie d’unchallenge taillé sur mesure pour lesBelges. “Depuis 2 ans, nous peaufinonsnotre dossier. Le Comité d’organisation,appelé le TriFinance, est composé de100 personnes qui planchent sur leprojet depuis un an. La Belgique occupeune position centrale sur la carte euro-péenne. Nos équipes explosent à cha-que tournoi. Nous sommes ravis de nepas avoir mis sur pied l’Euro en 2011car nous sommes plus puissantsaujourd’hui.” En plus, l’absence degrands événements sportifs durant lamême période aidera le tournoi à jouird’une meilleure visibilité médiatique.

DEMAR

ET

Page 6: Supllb 20130808 supllb full

© S.A. IPM 2013. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

Profildes Lions

6/7

AlexandreDe SaedeleerN° 23 DÉFENSEURNaissance : 14 novembre1987Né à : EtterbeekTaille : 183 cmPoids : 79,3 kgStatut : employéClub :Waterloo DucksNombre de capes (finjuillet 2013 ) : 150

PHPD

FelixDenayerN° 19 DÉFENSEURNaissance : 31 janvier 1990Né à : EdegemTaille : 191 cmPoids : 82,3 kgStatut : étudiantClub : DragonsNombre de capes (finjuillet 2013) : 154

PHPD

LoïckLuypaertN° 25 DÉFENSEURNaissance : 19 août 1991Né à : EdegemTaille : 181 cmPoids : 77,3 kgStatut : étudiantClub : DragonsNombre de capes (finjuillet 2013) : 65

PHPD

XavierReckingerN° 2 DÉFENSEURNaissance : 20 décembre1983Né à :WilrijkTaille : 189 cmPoids : 84,1kgStatut : employéClub : BraxgataNombre de capes (finjuillet 2013) : 303

PHPD

ArthurVan DorenN° 4 DÉFENSEURNaissance : 1 octobre 1994Né à :WilrijkTaille : 180 cmPoids : 73 kgStatut : étudiantClub : DragonsNombre de capes (finjuillet 2013) : 24

PHPD

Elliot vanStrydonckN° 29 DÉFENSEURNaissance : 21 juillet 1988Né à : UccleTaille : 187 cmPoids : 77,1 kgStatut : employéClub : Oranje Zwart (P­B)Nombre de capes (finjuillet 2013) : 87

PHPD

VincentVanaschN° 21 GARDIENNaissance : 21 décembre1987Né à : UccleTaille: 180 cmPoids : 79,9 kgStatut : étudiantClub :Waterloo DucksNombre de capes (finjuillet 2013) : 72

PHPD

20LA SÉLECTION FINALEA l’heure d’impri­mer ce supplément,Marc Lammersn’avait pas encoredévoilé sa sélectiondéfinitive de 18joueurs. Nous avonsdonc réalisé les fi­ches des 20 joueursavant le dernier cut.Dorian Thiéry (21e)et Jeffrey Thys (22e)ont été écartés.

77,59 kgPOIDS MOYENEn tenant comptede la liste des 20Red Lions, le poidsmoyen d’un athlètese chiffre à77,59 kg. Aux ex­trémités, on re­trouve John­JohnDohmen (67,7) etEmmanuel Stock­broekx (86,5).

23,6 ansMOYENNE D’ÂGE

180,7 cmTAILLE MOYENNE

112MOYENNE DE CAPES

JérémyGucassoffN° 3 GARDIENNaissance : 3 décembre1988Né à : UccleTaille : 178 cmPoids : 74 kgStatut : employéClub : RacingNombre de capes (finjuillet 2013) : 48

PHPD

EmmanuelStockbroekxN° 15 DÉFENSEURNaissance : 23 décembre1993Né à : BrasschaatTaille : 188 cmPoids : 86,5 kgStatut : étudiantClub : DragonsNombre de capes (finjuillet 2013) : 17

PHPD

Gardiens Défenseurs

Page 7: Supllb 20130808 supllb full

© S.A. IPM 2013. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

John-JohnDohmenN° 7 MÉDIANNaissance : 24 janvier 1988Né à : AnderlechtTaille : 174 cmPoids : 67,7 kgStatut : étudiantClub :Waterloo DucksNombre de capes (finjuillet 2013) : 241

PHPD

SimonGougnardN° 22 MÉDIANNaissance : 17 janvier 1991Né à : NivellesTaille : 187 cmPoids : 83,8 kgStatut : étudiantClub : BloemendaalNombre de capes (finjuillet 2013) : 128

PHPD

Florentvan AubelN° 8 MÉDIANNaissance : 25 octobre 1991Né à : GandTaille : 178 cmPoids : 74,2 kgStatut : étudiantClub : DragonsNombre de capes (finjuillet 2013) : 76

PHPD

TomBoonN° 27 ATTAQUANTNaissance : 25 janvier 1990Né à : UccleTaille : 185 cmPoids : 84,6 kgStatut : employéClub : BloemendaalNombre de capes (finjuillet 2013) : 133

PHPD

ThomasBrielsN° 17 ATTAQUANTNaissance : 23 août 1987Né à :WilrijkTaille : 172 cmPoids : 71,2 kgStatut : étudiantClub : Oranje ZwartNombre de capes (finjuillet 2013) : 186

PHPD

CédricCharlierN° 10 ATTAQUANTNaissance : 27 novembre1987Né à : AnderlechtTaille : 180 cmPoids : 85 kgStatut : employéClub : RacingNombre de capes (finjuillet 2013) : 159

PHPD

TanguyCosynsN° 32 ATTAQUANTNaissance : 29 juin 1991Né à : UccleTaille : 174 cmPoids : 70 kgStatut : étudiantClub : DaringNombre de capes (finjuillet 2013) : 20

PHPD

JérômeDekeyserN° 5 ATTAQUANTNaissance : 15 décembre1983Né à : AnderlechtTaille : 183 cmPoids : 81,8 kgStatut : employéClub : BraxgataNombre de capes (finjuillet 2013) : 208

PHPD

SébastienDockierN° 9 ATTAQUANTNaissance : 28 décembre1989Né à : EdegemTaille : 191 cmPoids : 73,7 kgStatut : étudiantClub : BeerschotNombre de capes (finjuillet 2013) : 31

PHDP

JérômeTruyensN° 28 MÉDIANNaissance : 4 août 1987Né à : UccleTaille : 178 cmPoids : 70 kgStatut : employéClub : RacingNombre de capes (finjuillet 2013) : 246

PHPD

AmauryKeustersN° 11 ATTAQUANTNaissance : 1 octobre 1990Né à : EdegemTaille : 186 cmPoids : 76,7 kgStatut : étudiantClub : HéraklèsNombre de capes (finjuillet 2013) : 15

PHPD

Médians Attaquants

Page 8: Supllb 20130808 supllb full

© S.A. IPM 2013. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

L’histoireen 10dates

9RANKING DES LIONSA l’aube de l’Euro,l’Allemagnemènela danse au rankingmondial de la FIHdevant l’Australie(2500), les Pays­Bas(2308), l’Angleterre(2050), le Pakistan(1760), la Nouvelle­Zélande (1743),l’Espagne (1723), laCorée (1703), laBelgique (1698) etl’Argentine (1505).Vu les écarts entreles Top 9 et Top 5,les résultats deBoom seront trèsimportants.

13RANKINGDES PANTHERSDu côté des dames,les Pays­Bas caraco­lent en tête avec2603 points. Ellesdevancent l’Argen­tine (2485), la Nou­velle­Zélande(2115), l’Angleterre(2047), l’Allemagne(1970), l’Australie(1955), la Chine(1925), la Corée(1750), le Japon(1608), les Etats­Unis (1423), l’Afri­que du Sud (1400),l’Inde (1305), laBelgique (1150),l’Irlande (1120) etl’Espagne (1075).

DEMAR

ET

Les strokes de PoznanQualifiés pour ce qu’on appelait à l’époque la CoupeIntercontinentale, qui deviendra leWorld Cup Qualifierpuis laWorld League, ceux qu’on appelait encore lesDiables Rouges doivent disputer unmatch de barragecontre la Malaisie. Le coach Alain Geens joue le tout pour

le tout aurepos et faitentrer un3e atta­quant,

Christian Vander Gracht, alors que le score est de 1­3. 35minutes plus tard les Belges ont égalisé et émergent auterme d’une crispante séance de strokes, le dernier tirmalaisien échouant sur le montant. Un bruit métalliquequi résonne encore dans les oreilles deMichel Van Oost etqui était synonyme d’une première participation à laCoupe dumonde depuis longtemps.

Dublin:demi historiquePour la première fois de l’histoire du championnat d’Eu­rope des nations, la Belgique dispute les demi­finales endevançant l’Espagne après avoir résisté héroïquement aux

Pays­Bassous unepluie bat­tante dansle derniermatch de la

poule (1­1). Les Belges ont réédité cet exploit depuis àchaque édition, à l’exception notoire de Barcelone 2003 etd’Amsterdam 2009. Une première qui fut, à l’époque,copieusement fêtée…

Panthers : voir Kontichet filer à LondresL’ARBH avait décidé demettre toutes ses chances de son côtéen accueillant l’Olympic Qualifier pour les dames à Kontich.

Avaient­ilsconscienceque la se­maine seraitsi féerique ?Les Red

Panthers ont survolé leur semaine en battant une très faibleEspagne (qui était favorite sur papier) et, en finale, enmuse­lant 4­1 l’Irlande. Dans les gradins, les Belges ontmis le feu.Une tribune amême dû être rajoutée pour le dimanche. LesPanthers ont appris à jouer devant desmilliers de personnes.Lematch était à guichets fermés dimanche ! Sold out ! Unepremière en Belgique pour unmatch dames ! Et une qualifi­cation historique des Panthers pour les Jeux !

JO : la transitionLes Lions ont confirmé à Londres que leur présence aux JOétait devenu à nouveau une habitude. S’ils étaientmus parde très hauts objectifs, ils ont vite dû déchanter. Des reverscruels contre l’Allemagne et les Pays­Bas ont ruiné leurrêve demédaille même si elle fut si proche… et encore silointaine. Malgré les deux défaites initiales, les Belges sont

repartis aucombat pourse hisser à lacinquièmeplace à la suite

d’une démonstration contre des Espagnols fantômes quin’avaient pas encore digéré leur absence du Top 4. Com­ment oublier les larmes de joie et de détresse de Florentvan Aubel qui en une seconde a inscrit un but et s’estdémis l’épaule ? Leur 5e place doit être perçue comme uneétape vers le podium à Rio. Et les Dames ? Que pouvait­onespérer du Petit Poucet des JO ? La Belgique était la seulenation­surprise des Jeux. Elles ont vaillamment combattudevant un parterre de 17000 spectateurs. Elles sontmon­tées en puissance. Un but, un partage puis finalement unevictoire de prestige contre les USA en guise d’apothéose.

L’or en pocheavec panacheIl manquait aux Belges ce dernierdéclic. Doués lors des matches ami­caux, les Red Lions frôlaient trop

souvent laperformanceface aux Topteams enmatch offi­ciel. Lors de la

World League à Rotterdam, ils ontbattu d’entrée la toute­puissanteAustralie grâce, notamment, à unedéfense très appliquée. Mieux, ils ontremis le couvert en finale. Impertur­bables, ils ont maté d’abord l’arbitre etpuis l’Australie. Ils tenaient enfin leurmédaille d’or lors d’un tournoi inter­national. Même si celle­là était enchocolat.

1993 1995

2013

Eté 2012 Mars 2012

8/9

Page 9: Supllb 20130808 supllb full

© S.A. IPM 2013. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

Madrid : 14 secondesL’émotion est à son comble àMadrid quelques jours à peineaprès les attentats de la gare d’Atocha : la Belgique doitbattre l’Afrique du Sud en barrage pour aller aux Jeux

d’Athènes.Les Diablesmènentrapidement2­0, se fontremonter à

2­1 et tiennent la victoire… jusqu’à 14 secondes de la fin.Alors que le public belge chante déjà dans les tribunes, lesSud­Africains profitent de leur seule incursion de la 2e

mi­temps dans le cercle pour égaliser sur un coup franc.Après plusieurs buts en or ratés pendant les prolongations,c’est au tour de Xavier Reckinger d’avoir la qualification aubout du stick pendant la série des strokes… Il rate son envoiet quelques instants plus tard, ce sont les compatriotes deGiles Bonnet qui se qualifient. Les larmes coulent longtempsdans le camp belge et la frustration est terrifiante.

Manchester : le déclicAu Champions Challenge que la Belgique organise à Boom enjuin 2007, les Belges terminent derniers. Le coach sud­africainGiles Bonnet, qui en six ans n’a enchaîné que des contre­per­formances, ne se remet pas de ce nouvel échec : il est limogé.

AdamCom­mens reprendles rênes del’équipe septsemaines

avant le Championnat d’Europe, dont les trois premièresplaces sont qualificatives pour les Jeux. Nouveau look, nouveaunom : les Diables deviennent Lions. Après une dégelée la veillecontre les Pays­Bas en demi­finale, la Belgique dispute la petitefinale contre l’Allemagne. Elle revient de 0­2 après le repos etl’emporte à l’issue d’un thriller phénoménal, 4­3, TchoukTruyensmarquant le but décisif d’un tip­in à sept secondes dela fin. Madrid est effacé d’un coup et ce sont cette fois deslarmes de joie qui coulent dans le camp belge. Après 34 ansd’absence, la Belgique revient aux Jeux de Pékin, où elle termi­nera 9e.

M’Gladbach : le rêveEvincés de la Coupe dumonde par les Anglais deux ans plustôt à Amsterdam, puis par les Argentins en tournoi de repê­chage, les Belges ont cette fois une qualification à assurerpour les JO de Londres. Pour cela, il faut terminer dans lesdeux premiers de la poule. La première occasion, contre

l’Allemagneenmatchd’ouverture,seramanquée.Mais contrel’Espagne,

alors que les Lions sontmenés 0­2 au repos, ils sortent unedeuxièmemi­tempsmagnifique et l’emportent 3­2 devantun public venu enmasse. La Belgique sera donc à nouveauaux JO, même si elle doit finalement se contenter de la 4e

place après avoir perdu, contre le cours du jeu, contre lesAnglais dans la petite finale. La fête a quandmême eu lieu.

Un public est néL’Euro deMönchengladbach avait un fort accent belge. Certes,les Red Lions y ont décroché leur sésame pour les JO de Lon­dres, mais d’autres acteurs ont ébloui. Les Red Panthers, quidécouvraient la Division 1 de l’Euro, ont accroché la 5e place.Barrées par l’Angleterre (0­4) et l’Allemagne (0­4) dans la

course au Top4, les Belgesont battul’Irlande (3­0),l’Italie (4­0) etl’Azerbaïdjan

(3­1) pour assurer leurmaintien. Au­delà des performancessportives, personne n’a oublié l’incroyable ferveur des specta­teurs belges. Ils sont venus enmasse. Ils étaient déguisés. Ilsont chanté. Ils ont frappé les esprits de tout le continent. Ilsont joué à la perfection leur rôle de 12e homme/femme.

Kazan:la pêche a étépresquemiraculeuseLes Red Panthers s’étaient rendus à l’OlympicQualifier de Kazan sans réelle ambitionmêmesi un ticket pour les JO de Pékin était au bout du

chemin. Dematchenmatch, les victoi­res s’enchaînent etréveillent un groupequi se prend auxJeux. Malheureuse­

ment, les USA s’érigeaient comme une forte­resse inexpugnable en finale (défaite 2­0). Apeine né, l’espoir s’envole. Un déclic s’est pro­duit à Kazan. Les victoires contre l’Inde et lesAntilles restent héroïques.

20072004

2008

Août 2011 2011

Page 10: Supllb 20130808 supllb full

© S.A. IPM 2013. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

NadineKhouzamN° 1 GARDIENNEDate de naissance: 22 juin1994Club:WellingtonNombre de capes (fin juillet):106L’avis du coach:“Elle met lapression sur D’Hooghe. Nadineest restée très pro. Elle a gardécette capacité à préparer avecsérieux toutes les rencontres.Pour l’heure, on partage la placedans le but. Je n’ai pas encore dehiérarchie.”

PHPD

LouiseCavenaileN° 13 DÉFENSEDate de naissance : 18 février 1993Club : DragonsNombre de capes (fin juillet) : 119L’avis du coach : “Elle est devenue plusfit par rapport à laWorld League. Grâceà son expérience, elle a une bonne visiondu jeu. Sa distribution est efficace. Ellepeut amener un bon pressing sur laporteuse de la balle.”

PHPD

StephanieDe GroofN° 24 DÉFENSEDate de naissance : 30mai 1995Club : DragonsNombre de capes (fin juillet) : 117L’avis du coach : “Elle évolue bien sur unplan physique. Elle devient très précieusequand elle est concentrée sur sa tâche.Son flat nous a aidés lorsqu’on affrontaitdes nations du subtop. Elle s’entraîne 4fois plus depuis laWorld League car nousavons de plus en plus de pc (6­7 aux JOcontre 19 à Rotterdam).

PHPD

Anne-SophieDe ScheemaekereN° 2 DÉFENSEDate de naissance : 17 février 1986Club :White StarNombre de capes (fin juillet) : 34L’avis du coach : “Elle constitue mon plan B sur notre pcoffensif. Elle a arrêté l’armée pour se consacrer durant 3 ansau hockey. Elle apporte plus de poids offensif.

PHPD

StéphanieRummensN° ? DÉFENSEDate de naissance : 13mai 1997Club : DragonsNombre de capes (fin juillet) : 17L’avis du coach : “Elle est entrée dansle groupe en janvier. Ce back gauche­milieu progresse de plus en plus.Comme elle est calme et posée, ellesoulage la défense. Techniquement, elleest douée, mais elle doit encore grandir.”

PHPD

AlineFobeN° 5 DÉFENSEDate de naissance : 22 janvier 1997Club : BraxgataNombre de capes (fin juillet) : 33L’avis du coach : “Elle fait partie de cesjoueuses qui viennent d’arriver. C’est uneagréable surprise. Elle s’est vite intégréedans le groupe. Elle grandit vite. Elle est unpeu dans le genre de De Groof. Sa longuepasse est bonne. Elle est puissante etphysique. En plus, elle observe une rigueurde vie. Très disciplinée. Un véritable phé­nomène.

PHPD

AislingD’HoogheN° 21 GARDIENNEDate de naissance: 26 août1998Club:Waterloo DucksNombre de capes (fin juillet):47L’avis du coach: “En ce mo­ment, elle est très concentrée.Elle s’est bien reprise en mainaprès laWorld League à Rotter­dam où elle n’a pas été bonne.Elle doit garder sa concentra­tion et apprendre à se remettreen question. Elle s’entraînecomme une pro. Elle ne fait plussa diva.”

PHPD

18SÉLECTION FACILEEn général, l’entraî­neur passe quel­ques nuits blanchesavant de dévoiler sasélection définitive.L’exercice est sou­vent cruel. PascalKina n’a pas connuce problème deluxe. En effet, quel­ques anciennesjoueuses ont dé­cliné l’invitation.Certaines jeunessont engagées surd’autres fronts.Ainsi, il ne lui res­tait plus que 18joueuses sous lamain. Attention auxblessures.

“Les gens sontdevenusgourmands. Mais,les filles saventqu’elles sontattendues. Ellesseront prêtesmême si je nepeux pas toujoursfaire jouer laconcurrence ausein du noyau.”Pascal Kina

Gardiennes Défenseuses

Le profildesPanthers

10/11

Page 11: Supllb 20130808 supllb full

© S.A. IPM 2013. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

JudithVandermeirenN° 21 MÉDIANEDate de naissance : 11 août1998Club : BraxgataNombre de capes (fin juillet) :48L’avis du coach : “Elle a énor­mément progressé depuis lesJeux olympiques. Physiquement,c’est une joueuse très impres­sionnante. Elle apprend à mieuxgérer son jeu défensif.”

PHPD

BarbaraNelenN° 19 MÉDIANEDate de naissance : 21 août 1995Club : DragonsNombre de capes (fin juillet) : 126L’avis du coach : “Elle est l’une despièces­maîtresses dans le jeu. Bourréede talent, Barbara est rapide et puis­sante. En plus, elle a le sens du jeu. Elleamène aussi un poids offensif. Je lasitue dans les sportives de haut ni­veau. Elle respire la grande forme etne cesse de grandir au niveau de samaturité.”

PHPD

AnoukRaesN° 6 MÉDIANEDate de naissance : 31 décembre1992Club : PingouinNombre de capes (fin juillet) : 152L’avis du coach : “Je la situe dans lamême importance que Nelen. Elle estune joueuse clef. Elle a la capacitéd’effacer des joueuses et de lancer uneattaque décisive. Lors de laWorldLeague, elle n’était pas au top physi­quement, mais elle devient de plus enplus forte.”

PHPD

Emilie SiniaN° 14 ATTAQUEDate de naissance : 4mai1989Club : DragonsNombre de capes (fin juillet) :143L’avis du coach : “Elle a del’expérience. Je suis curieux de voircomment elle gérera avec les autresattaquantes le plus grand nombred’entrées dans le cercle que nousnous créons. Dans les 25mètres, lesattaquantes ne sont pas assezefficaces. Elle bosse.”

PHPD

Jill BoonN° 20 ATTAQUEDate de naissance : 14mars1991Club : BloemendaalNombre de capes (fin juillet) :157L’avis du coach : “Elle a claire­ment le sens du but. Je pense quec’est dans les gènes de la famille.Si elle sort de son rôle, elle de­vient une faiblesse pour legroupe. Elle est très forte en zone

de finition. Elle peut encore apporter plus au groupe.”

PHPD

Charlotte De VosN° 15 ATTAQUEDate de naissance : 9 octo­bre 1987Club : Oranje ZwartNombre de capes (finjuillet) : 170L’avis du coach : “Elle respirela très grande forme. Je ne l’aijamais vue à ce niveau. J’attendaisplus d’elle aux JO et après. Elle n’a

pas toujours presté à son niveau. Elle sort d’une annéedifficilemarquée par des blessures. Je suis curieux de la voirà Boom car ellem’a agréablement surpris. Elle fait plus queson boulot.”

PHPD

Maureen Beer-naertN° 16 ATTAQUEDate de naissance : 15 avril 1998Club : La GantoiseNombre de capes (fin juillet) : 22L’avis du coach : “Elle est jeune. Ellevient d’entrer dans le noyau. Elle présented’indéniables qualités comme, par exemple,sa vitesse avec la balle. Ses accélérations surle flanc droit apporteront une plus value àl’attaque. Elle doit être plus audacieuse etaller dans la zone de finition.”

PHPD

Erica CoppeyN° 11 ATTAQUEDate de naissance : 9 septembre1995Club : DragonsNombre de capes (fin juillet) : 142L’avis du coach : “Elle bosse beaucoupphysiquement. Elle a réalisé d’énormesprogrès. Elle est “dure” dans le pres­sing. Elle perd de son efficacité si ellesort de son rôle. Je souligne sa capacitéà plonger dans le cercle.”

PHPD

Alix GerniersN° 3 ATTAQUE

Date de naissance : 30 juin1997Club : La GantoiseNombre de capes (finjuillet) : 65L’avis du coach : “J’attendsqu’elle explose. Elle a réellementle potentiel d’une des meilleuresjoueuses d’… Europe. Elle doitencore apprendre à se fairemal. Elle est pétrie de talent.

Son jeu est rapide. Elle monte en puissance, mais,comme tout entraîneur, j’aimerais que le processusaille plus vite.”

PHPD

LouiseVersavelN° 8 ATTAQUEDate de naissance : 30 avril 1999Club : BraxgataNombre de capes (fin juillet) : 33L’avis du coach : “Elle fait partie desdernières joueuses arrivées dans legroupe. Elle est méga explosive sur leterrain. Elle sera l’une de mes meilleuresjoueuses dans les années futures. C’est unbloc qu’on ne bouscule pas. Elle réalise lesexercices à un très haut niveau.”

PHPD

LieselotteVan LindtN° 9 MÉDIANEDate de naissance :6 octobre 1993Club : DragonsNombre de capes (fin juillet) : 97L’avis du coach : “Lieselotte, elle a unjeu puissant vers l’avant. Solide, elle aun jeu costaud. Elle est expérimentée.Elle est un véritable aspirateur dansl’entrejeu. Elle attire la balle et gagnebeaucoup de duels.”

PHPD

Médians Attaquantes

Page 12: Supllb 20130808 supllb full

© S.A. IPM 2013. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

Portraits12/13

“J’ai toujourstravaillé dans latransparence, enétant ouvert auxmedias. Cela créeune bonneatmosphèreautour del’équipe et del’enthousiasmedans le public.”Marc Lammers

COACH DES LIONS

“Oui, c’est clairque je m’amusetoujours autant àla tête del’équipe. Parfois,on aimerait brûlerles étapes.Chapeau pourtout ce quel’équipe a déjàaccompli en peude temps.”Pascal Kina

COACHDES RED PANTHERS

L’ultime déclic des Lionsselon Marc Lammersh Le coach des Red Lions aréussi à porter encore plushaut ses protégés. Portraitd’un génie de lacommunication.

Marc Lammers est un Néer­landais de 43 ans. Héros àDen Bosch, il a déjà dé­

montré que le savoir­faire hollan­dais s’exportait très bien. L’ARBH amisé toutes ses billes sur ce magicienbatave pour décrocher une médailleolympique à Rio en 2016.

Le défi n’impressionne pas l’ancienentraîneur de l’équipe nationale fé­minine des Pays­Bas. Depuis ses pre­miers pas de coach, ce FIH Mastercoach depuis 2004 a touché les mé­dailles de toutes les valeurs lors desplus grandes compétitions mondia­les.

Malgré un cv kilométrique,l’homme propose une faible expé­rience au niveau de la gestion d’uneéquipe nationale messieurs. Néan­moins, il compense cette faiblessepar d’autres qualités universelles.Ainsi, ce conférencier hors pairexcelle dans l’art de la commu­nication. S’il embarque dansun navire qui a déjà trouvé savitesse de croisière, le capi­taine Lammers a déjàprouvé lors de ses précéden­tes missions qu’il avait lesaptitudes pour éviter lenaufrage au Brésil.

Sous son commandement,les dames en Espagne ont quittéune anonyme 20e place à la FIHpour éclater au grand jour lors desJeux de Sydney où elles ont fini enquatrième position. Pendant huitans, il fut prophète en son pays. LesNéerlandaises ont conquis la mé­daille d’argent aux Jeux d’Athènesavant de se parer d’or à l’olympiadede 2008. Entre deux performances,il s’adjugea le titre de champion dumonde en 2006. Il eut le mérite demaintenir au sommet un groupe pé­tri de talent.

Il quitta ce paquebot de luxe pourrejoindre un rafiot à la dérive. Enjanvier 2012, sa mission impossibleconsista à maintenir en ‘Ereklasse’son club de Den Bosch qui s’enlisaitdans les tréfonds du classement avec8 points de retard sur l’avant­der­nier. A peine quatre mois plus tard,sa mission impossible était accom­plie.

Ce people manager nourri au jeutechnique et tactique des Pays­Basdepuis sa plus tendre enfance a sanscesse remis en question ses techni­ques de coaching. Porté sur les nou­velles technologies, il se veut résolu­ment jeune, moderne et dynamique.

Calme en appa­rence, Marc Lam­mers connaît la voieà suivre pour menerau sommet ungroupe. “Si nousvoulons être lesmeilleurs du monde,nous devons au minimum travailleraussi dur que nos concurrents. C’est labase. Ensuite, nous devons essayer denous distinguer de nos rivaux grâce àdes développements techno­logiques”, soulignait­ilavant de prendre enmain l’équipe da­mes des Pays­Bas.

Dans sonsillage, son com­patriote JeroenDelmee gardesa fonction deT2 tandis qu’unancien interna­tional belge,Philippe Gol­dberg, seglisse au

sein du staff dans lapeau d’un T2 ou d’unT3.

Une promotion quirécompense le joueurdu Beerschot qui aabattu un travail de ti­tan avec les U18 et les

U21. Au contact de Lammers, Gold­berg prend une autre envergure enmatière de coaching. Et si un jour, onretrouvait le duo Kina­Golberg aulendemain des Jeux alors que Lam­

mers viendrait de se retirer avecune médaille à la couleur du

soleil ? Cette équipe asuffisamment dé­

montré qu’aucunrêve n’était utopi­

que...Th. V.

Top 3LES AMBITIONS

Marc Lammers ne sera satisfaitque si les Red Lionsmontent

sur le podium.

Page 13: Supllb 20130808 supllb full

© S.A. IPM 2013. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

Kina maintient le bon caph Le Gantois a pris en main les Red Panthers il y a moins de2 ans. Portrait d’une forte tête bourrée de talent.

Il crie, il hurle, il gueule. Vu de l’exté­rieur, on pourrait penser que PascalKina, du bord du terrain, s’agitecomme un pantin désarticulé. Pour­

tant, le coach de l’équipe nationale damesrègle comme du papier à musique sonéquipe.

Son personnage alimente fréquemmentles discussions d’après­match tant il nelaisse personne indifférent. Quand on percela carapace, on découvre un entraîneur detrès haute qualité et un homme de grandevaleur.

Exigeant, il donne sans compter à son mé­tier­passion, attendant un investissementau moins égal de ses joueuses. “Certains, quine me connaissent pas, me jugent comme unepersonne invivable. Ils ne savent pas que je res­pecte mes joueuses et que je gère leurs problè­mes.”

Retour sur un parcours atypique. Certainshockeyeurs redoutent la transition entreleurs rôles de joueur et d’entraîneur car ilssavent que les plus belles pages de leur car­rière sportive ont déjà connu leur épilogue.

Pascal Kina, a contrario, a vécu commeune renaissance sa première mis­

sion d’entraîneur. Au soir de sa modestecarrière de joueur, il a d’emblée réussi undéfi de taille : maintenir la Gantoise' en Di­vision Honneur en arrachant 11 points sur12.

“On s’est d’abord débarrassé de l’anciencoach, se souvient­il. Le challenge me plaisait,mais, soyons réalistes, un engagement fortpalliait les éventuelles carences techniques.”

Ce challenge relevé avec distinction a con­firmé ce que le Gantois pensait depuis long­temps. En lui sommeillait plus une âme destratège que de joueur. “Je n’ai jamais faitpartie des grands noms car j’ai toujours jouéun rôle d’entraîneur sur le terrain. Depuis madéfense, je replaçais constamment mes coéqui­piers.”

Défenseur hargneux, il comprenaitmieux que quiconque les changements tac­tiques lors d’une rencontre. Il compensaitses manquements techniques par un enga­gement physique de tous les instants. Il futmême appelé à 29 ans en équipe nationalelors d’un double duel amical face au Ca­nada. Une reconnaissance tardive. “Jen’avais rien d’une star. J’ai rempli mes devoirspour ces deux affrontements. Par la suite, j’aidécliné une offre de stage. J’étais trop vieux.”

Son bilan chiffré se résume avec ses clubsde l’Indiana et de Gand à deux titres en salleavec… le Baudouin. Dix ans plus tard, sa car­rière a décollé à un tel point qu’il fait partie

de ces rares Belges capa­bles de diriger n’im­porte quelle équipe.

Partagé entre Gand etWaterloo ou encore en­tre les équipes nationa­les U 16, U 18, U 21 etmême les A, il a toujourstiré la quintessence deses groupes. Depuis l’anpassé, il se concentre ex­clusivement sur les RedPanthers. Il a même

quitté son job d’entraîneur du Watducksalors qu’il avait forgé un groupe… presqueparfait. Son successeur Shane McLoed ad’ailleurs cueilli il y a quelques mois un titrebalisé par le mentor gantois. Sa missionchez les Panthers l’empêchait de multiplierles casquettes.

Selon Kina, Giles Bonnet, l’ancien sélec­tionneur des Red Lions, a tourné la page del’amateurisme belge. “A ses côtés, j’ai sentiqu’une nouvelle période débutait. Il a instauréle recours à la vidéo, les entraînements les ma­tinées de semaine, supprimant celui du lundisoir,…”

Après avoir œuvré durant 23 ans dansl’école de jeunes de Gand, il est certain queson fils Antoine possède un talent indénia­ble. Il figure dans la liste des U 16. Pourl’aider dans sa mission de parents, il peutcompter sur sa compagne Laurence Her­bert, une bonne joueuse de hockey qui aclos sa carrière sur un titre de championnede Belgique, qui lui a déjà offert un fils, Har­rison. “Le hockey, avec ses exigences de perfor­mances, génère du stress que ces moments enfamille dissipent.”

A l’Euro de Boom, il sera sous haute pres­sion car son équipe est attendue. Pour lapremière fois de l’histoire.Th. V.

Top 4LES AMBITIONS

Pascal Kina dispose d’un noyau étriqué,mais qui a très faim. Le Top 4 nécessi­tera de sortir une très grosse perfor­mance aumoins en phase de poule. Acoeur vaillant rien d’impossible.

Page 14: Supllb 20130808 supllb full

© S.A. IPM 2013. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

Page 15: Supllb 20130808 supllb full

© S.A. IPM 2013. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

Page 16: Supllb 20130808 supllb full

© S.A. IPM 2013. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.