irm et imagerie interventionnelle du sein

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Page 1: IRM et imagerie interventionnelle du sein

IRM FONCTIONNElLE ET CANCER DE PROSTATEA FAIBLE RISQUEFCornud, D Richarme-Barthelet M Rouanne, F Beuvon,TFlamParis - FranceCorrespondance: francois,cornud@cch,aphp,fr

IRM DU TENSEUR DE DIFFUSION POUR LE DIAGNOSTICDU CANCER DE LA PROSTATEP Balageas, R Hubrecht FCornelis, A Mouries, Y Lebras,N GrenierBordeaux - FranceCorrespondance: nicolas.grenier@chu-bordeaux,fr

Durée: 7 minutes

Durée: 7 minutes

10 h 30

ANALYSE DE PAIRES D'IRM DU SEIN: IRM MONTRANTUN CANCER ET IRM PRECEDENTEEBouic-Pages, X Prat J Lacroix, SMérigeaud,FCurros-Doyon, 1Millet PTaourelMontpellier - FranceCorrespondance: emma,[email protected]

Objectifs: Analyse des causes de négativité des IRM réalisées dansles deux ans précédant une IRM positive.Matériels et méthodes: Lecture rétrospective informée, de pairesd'IRM du sein (IRM montrant un cancer et IRM réalisée dans lesdeux années précédentes) portant sur 34 cancers (25 CCI, 3 CU et6 CCIS). Intervalle moyen entre les deux IRM : 470 jours.Résultats: Dans 50 % des cas, la négativité de la première IRM étaitdue à une erreur diagnostique de détection (l1,7 % : 1 focus, 1 masse,2 non masses) ou une erreur de caractérisation (38,3 %) se répartissantde façon équivalente en lésion considérée à tort comme bénigne ouerreur de procédure échographique de « second look» et/ou biopsi­que. Dans 26,5 % des cas, des anomalies étaient rétrospectivementvisibles mais non arrêtables en lecture initiale; alors que dans 23,5 %des cas l'IRM initiale était normale.Conclusion: Les erreurs de caractérisation lésionnelle et de procé­dure échographique ou biopsique sont les deux causes de faux néga­tifs les plus fréquentes. Les erreurs de détection des lésions de typefocus ne représentent que 5,8 % des erreurs diagnostiques.

Mots clés: Sein - IRM - Bonnes pratiques

Modérateurs: Catherine Colin, Cédric De Bazelaire

Objectifs pédagogiquesPromouvoir l'utilisation optimale des différentes méthodesd'imagerie.

Responsable: Isabelle Doutriaux-Dumoulin

Séance organisée par la SOFMIS

Objectifs: En présence d'une persistance d'un taux de PSA anormalchez un patient ayant une ou plusieurs séries de biopsies prostatiquesrassurantes, une nouvelle série de biopsies doit-elle ou non être pré­cédée d'une IRM prostatique afin d'augmenter l'efficacité de détec­tion des biopsies ?Matériels et méthodes: Deux cent sept patients inclus dans uneétude rétrospective de 2 groupes comparables ayant eu une nouvellesérie de biopsies: systématisées pour le groupe 1 de 95 patients etsystématisées et orientées par IRM prostatique effectuée 3 semainesavant les biopsies pour le groupe 2 de 99 patients.Résultats: Dix neuf cancers dans le groupe 1 (20 %) et 33 cancersdans le groupe 2 (33,3 %) dans le groupe 2. Les auteurs ont étudiéles localisations des cancers dans les 2 groupes et analysé l'influencede l'IRM sur le résultat des biopsies.Conclusion: L'IRM prostatique de détection avant une nouvellesérie de biopsies modifie la technique des biopsies et augmente signi­ficativement le taux de détection des cancers de la prostate.

Mots clés: Prostate, biopsie

IRM et imagerie interventionnelle du sein

RE-BIOPSIES PROSTATIQUES: BIOPSIES SYSTEMATISEESOU BIOPSIES SYSTEMATISEES ET ORIENTEES PAR IRM ?D Portalez, G Rollin, JM Lhez, B Elman, B MalavaudToulouse - FranceCorrespondance: [email protected]

11 h 50

Durée: 7 minutes

Durée: 7 minutes

11 h 40

11 h 30

Objectifs: Déterminer la valeur de l'IRM fonctionnelle pour détecterdes tumeurs significatives en cas de cancer de prostate à faible risque(PSA < lOng/ml et score de Gleason 6 et moins de 33 % de biopsiespositives), avec l'examen de la pièce de prostatectomie pour réfé­rence.Matériels et méthodes: Cinquante patients (âge moyen: 63 ans,PSA 4-10) ont eu une IRM fonctionnelle (diffusion et contraste) cou­plée à l'imagerie T2 avant prostatectomie radicale. L'IRM recherchaitun hyposignal T2, une chute du coefficient de diffusion et des ano­malies des paramètres quantitatifs de l'IRM dynamique quantitative(Ktrans, Kep et concentration de gadolinium). Un score IRM était uti­lisé pour localiser la tumeur.Résultats: Quarante-huit des 50 tumeurs avaient un volume signifi­catif sur la pièce de prostatectomie (lpTa, 31pT2b, 16pT2c). Qua­rante-six d'entre elles (96 %) étaient visibles à l'IRM, dans la zonede transition dans 30 cas (60 %). Dans 33 de ces tumeurs (66 %), labiopsie ne montrait qu'une biopsie positive avec un microfoyer< 3 mm dans 30 cas (30/33,91 %).Conclusion: L'IRM de diffusion et de contraste couplées à l'image­rie T2 détectent de façon fiable les cancers de prostate significatifschez les patients à faible risque et pourraient donc être incluses dansl'investigation des patients sélectionnés pour une prise en charge parsurveillance active.

Mots clés : Prostate, imagerie fonctionnelle

Objectifs: Evaluer l'apport de la cartographie de la fraction d'aniso­tropie (FA) dans la détection des cancers de la prostate.Matériels et méthodes: Analyse rétrospective incluant 12 patients(âge moyen: 63 ans), avec un cancer de la prostate prouvé par biop­sies et ayant bénéficié d'une IRM prostatique avec séquences T2, Tl,diffusion avec cartographie du coefficient apparent de diffusion(ADC) et de la FA et séquences dynamiques après injection de gado­linium. Les données d'imagerie sont corrélées aux résultats anatomo­pathologiques des pièces de prostatectomie. Le seuil de détectabilitédes foyers cancéreux est fixé à 0,5 ml. Au sein de chaque nodule can­céreux, l'ADC et la FA ont été mesurés par des régions d'intérêtenglobant plus de 50 % du nodule et comparés au tissu sain.Résultats: Sur 12 patients, Il nodules cancéreux en hyposignal T2,avec rehaussement précoce et restriction de diffusion sont analysés.L'évaluation quantitative de la FA retrouve une anisotropie pour10 nodules plus importante qu'en zone périphérique saine (valeurmoyenne respectivement de 30,2 % contre 11,6 %, avec une diffé­rence moyenne de 18,5 %). Un nodule cancéreux en zone transition­nelle est isotropique.Conclusion : A l'encontre des données récentes de la littérature,notre étude révèle une anisotropie des nodules cancéreux prostati­ques.

Mots clés : Prostate, biopsie

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