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Definitions

Pour comprendre meilleur un domaine,premierment nous devons de comprendre les termes de base de ce domaine.Donc,je voudrais de suggere quelques definitions.

La langue

Conformement a Christian Baylon, une langue est un instrument de communication,c’est a dire un systeme de regles et/ou de signes et un instrument d’interaction sociale;son utilization implique des interlocuteurs de status parfois differents dans une certaine situation de discours.

Donc,selon certaines sources,la langue est un système de signes linguistiques, vocaux, graphiques ou gestuels, qui permet la communication entre les individus.Aussi elle est un système de signes doublement articulés, c'est-à-dire que la construction du sens se fait à deux niveaux d'articulation:

Le niveau des unités distinctives de sens (phonèmes) formant les unités signifiantes.

Le niveau des entités signifiantes (morphèmes et lexèmes, ou monèmes) formant les énoncés.

André Martinet precise que l'ordre de description est nécessairement inverse de l'ordre de perception ou d'usage de la langue : la description commence par le deuxième niveau d'articulation (les phonèmes) pour aller vers le premier (la combinatoire des unités signifiantes).

Aussi, je peux ajouter que pour Whorf , la langue détermine la pensée.

La société

La société (du latin socius : compagnon, associé) est ,,l’ ensemble des modèles d'organisation et d'interrelation, des individus et des groupes, des associations, des organisations et des institutions qui concourent à la satisfaction concertée des besoins de la collectivité.’’

Selon plusieur sources, la société est une réunion d'hommes ayant une même origine et des lois communes ou un etat des êtres vivants qui vivent dans un groupe organisé

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Le dialecte

Le dialecte est le langage particulier à une région.Encore,autre source dit que le dialecte est la variété régionale d'une langue. Pour exemple:la langue grecque ancienne a différents dialectes. Le dialecte attique. Le dialecte ionique. Le dialecte dorique. Dialecte sicilien. Dialecte vénitien. Le dialecte normand, le dialecte bourguignon, le dialecte picard ont eu chacun leur littérature au moyen âge.

Langue et société Selon Ch.Baylon,on ne peut pas dissocier la langue du context sociale dans lequel elle fonctione:on a vu que diverses varieties de langue-standars,classique,creole-peuvent etre definies selon les fonctions qu’elles remplissent dans une societe particuliere,la facon dont ells se develppent historiquement et les attitudes des locuteurs a leur egard;il reste a examiner la structuration de la societe et ses consequences possibles sur l’emploi de la langue.

Encore il dit que dans tote societe,les gens sont classes en categories et organizes en groups.Les individus qui composent un groupe entretiennent des relations regulieres et suivies entre eux,ont des droits et des devoirs dans leur comportement.Une famille par exemple,est un groupe:ses membres se retrouvent regulierement,attendant les uns des autres un certain type de conduit,et sont consideres par le monde exterieur comme une totalite.

Une categorie n’est qu’un ensemble d’individus auxquels la societe atribue quelque chose de commun;c’est une classification socialement reconnue proper a une societe donnee.La distinction male vs femelle,universelle,n’implique pas l’existence de groups constitutes d’hommes ou de femmes.

Alors,on a propose de distinguer langue et dialecte sur la base de l’intercomprehension mutuelle,c’est a dire sur la possibilite pour les locuteurs de l’idiome A de comprendre les locuteurs de l’idiome B et vice

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versa.Les varieties qui sont mutuellement intercomprehensible seraient des dialects de la meme langue,et celle qui ne les sont pas appaertiendraient a des langues differents.

En consequence ,je peux dire que la langue et la société sont des notions qui sont inclus dans un domaine assez large:la sociolinguistique.Donc, la sociolinguistique est une discipline très vaste, il existe quelques concepts fondamentaux sur lesquels sont basées la plupart des etudes

La sociolinguistique étudie le langage en prenant en compte des facteurs externes à la langue et non en en considérant uniquement les structures linguistiques internes.

La sociolinguistique envisage l'évolution de la langue dans un contexte social.

Facteurs internes : sémantique et syntaxe. Facteurs externes : facteurs économiques, démographiques, sociaux, etc.

Louis-Jacques Dorais dit que depuis que l'humanité a élaboré l'ensemble de techniques, de rapports sociaux et de croyances qui forment la société, il lui a fallu concevoir à l'intention de ses descendants un instrument pour la transmission des connaissances, c'est le langage . Le développement des techniques et les progrès de la pensée ont pour condition préalable l'existence du langage, lequel fournit à l'homme un moyen de réfléchir sur son milieu, d'analyser de façon cohérente les sensations qu'il éprouve et de léguer à la postérité les fruits de son expérience.

Donc, langue et société sont liées. L'homme ne peut mener de vie sociale normale s'il ne possède un moyen de communiquer avec les autres. Réciproquement, le langage n'existerait pas s'il n'était pas partagé par un groupe d'individus ayant des expériences à se communiquer. C'est pourquoi son étude, du moins sous certains aspects, fait partie du champ de l'anthropologie. Pour comprendre véritablement comment les hommes organisent leur vie économique, politique ou religieuse, il faut connaître la façon dont ils réfléchissent sur ces différents domaines et la manière dont ils transmettent leurs réflexions aux personnes de leur entourage. L'anthropologie du langage essaie de saisir la nature exacte des rapports existant entre langue et société.

Encore il dit que que la langue est un instrument complexe. Elle consiste en un système de sons articulés (bruits produits par la bouche, le nez et la gorge) jouant un rôle symbolique et exprimant un certain nombre de concepts, de

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notions et d'images tirés de l'expérience humaine. L'étude des rapports entre la langue et la société présuppose donc la connaissance du mode d'organisation du système linguistique.

La langue dans la société : sociolinguistiqueEn ce qui concerne les phénomènes linguistiques, Louis-Jacques Dorais dans ,,L’anthropologie du langage’’(1979),dit que , l'attention de l'anthropologue doit se porter plus particulièrement sur l'interaction existant entre la langue elle-même et le système socio-culturel dont elle fait partie. La sociolinguistique, qui étudie la langue en tant qu'instrument d'intégration sociale, s'intéresse à un des aspects importants de cette interaction.

On l'a répété à plusieurs reprises, le langage sert de moyen de communication au sein d'un groupe donné (la communauté linguistique) et s'acquiert à l'intérieur de ce groupe ; il constitue donc un facteur essentiel de la socialisation des individus. C'est en bonne partie grâce à la langue apprise dans l'enfance que les individus nés dans une société donnée vont pouvoir s'intégrer au groupe et en devenir membres à part entière. Chaque langue permet à ses utilisateurs d'exprimer tout ce qui est nécessaire à leur vie sociale dans un milieu défini. Cependant, dans les sociétés complexes, les individus ne peuvent participer pleinement à tous les secteurs de cette vie de groupe. Selon leur sexe, leur âge, leur classe sociale ou leur spécialisation professionnelle, ils se familiariseront davantage avec certains types d'activités ou de connaissances qu'avec d'autres. Ainsi, chaque sous-groupe d'une même société élabore un vocabulaire et, parfois, une prononciation ou des règles de grammaire propres, qui ne sont pas partagés par tout le monde.

Dans certaines langues, par exemple, on note des différences selon le sexe dans la façon de s'exprimer. C'est le cas du japonais, où la prononciation féminine est beaucoup plus douce que la prononciation masculine. De même, au Québec, certains mots comme les sacres ou ce qu'on appelle les « gros mots » ne sont jamais utilisés par les femmes (quoique cela change chez les jeunes), alors que la plupart des hommes s'en servent assez librement ; il y a quelques années encore, on considérait qu'une fille qui utilisait le mot « câlice » avait reçu une mauvaise éducation ou avait des tendances garçonnières.

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L'âge crée aussi des différences linguistiques. Les bébés possèdent un vocabulaire et une prononciation qui leur sont propres. Par exemple, les mots « wawal », « lolo » et « tata »appartiennent au lexique enfantin. Lorsqu'un individu emploie une manière de parler autre que celle de son âge, il se fait rapidement remarquer. Ainsi, une personne de plus de quinze ans qui dirait « je vais voir mon papa et ma maman » au lieu de « je vais voir mes parents » serait qualifiée de retardée mentale, car dans notre société, l'usage des mots « papa » et « maman »(sauf quand on s'adresse directement à ses parents) est réservé à ceux qui n'ont pas encore atteint l'adolescence.

La classe sociale peut aussi déterminer des manières différentes de s'exprimer. Ce n'est peut-être pas tellement vrai au Québec, où presque toutes les couches de la population parlent un français de type populaire, mais en France, on reconnaît facilement à leur accent le riche bourgeois ou l'ouvrier. De même, les divers corps de métiers ont élaboré leur propre vocabulaire professionnel. Par exemple, le vocabulaire du mécanicien concernant l'automobile dépasse largement celui d'un individu ordinaire. Il en est de même du médecin qui discutera de la maladie de son patient en termes incompréhensibles pour les non-initiés. En fait, tous les groupements sociaux (parentaux, religieux, politiques, etc.) ont tendance à utiliser une manière de s'exprimer qui leur est propre, un vocabulaire qui leur est particulier. Un militant syndical, par exemple, parlera de « l'exploitation des travailleurs » là où un ministre libéral se réjouira de « la liberté de l'entreprise privée ».

Parallèlement à cela, on distingue plusieurs niveaux de langage. Le niveau se définit comme une façon de parler qui dépeint un certain type de relation sociale (de supérieur à inférieur, d'égal à égal, etc.) ainsi que les sentiments qui accompagnent cette relation : respect, dédain, haine, etc. On peut ainsi, à l'instar des rois ou des princes, utiliser un langage majestueux et parler de soi à la première personne du pluriel. Notons que ce « nous » peut également s'employer par modestie : l'auteur d'un article ou d'un livre dira généralement « nous pensons que... » au lieu de « je pense que... ». D'autre part, selon le rang social d'une personne à qui on s'adresse (supérieur, égal ou inférieur), on tendra à choisir des termes plus ou moins empreints de respect. La grammaire contient parfois une règle à cet effet. En français, par exemple, on utilisera pour parler à quelqu'un « tu » ou « vous » selon le degré de

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familiarité des relations qu'on entretient avec lui. En anglais, par contre, le terme « you » (vous) s'applique à tout le monde. En italien, la langue reconnaît quatre degrés de familiarité. On emploiera « tu » pour les enfants, « voi » (vous) pour les proches parents et les amis, « il » pour les gens qu'on connaît peu et « lei » (« son âme ») pour ceux à qui on témoigne du respect. En vietnamien (comme dans beaucoup de langues asiatiques), il y a de multiples façons de s'adresser à quelqu'un. Le terme choisi différera selon l'âge, le sexe, le lien de parenté et la position sociale du locuteur et de celui à qui il s'adresse. On distingue encore des langages dédaigneux, affectueux, haineux, gentil, vulgaire, distingué, etc. Souvent aussi, le ton, le débit et le timbre de la voix expriment de façon plus ou moins formelle la relation sociale ou les sentiments qui unissent ou opposent deux personnes.

Le fait de posséder un langage commun confère aux membres d'une société ou d'un groupe un fort sentiment de solidarité. La langue constitue donc pour les ethnies, les classes ou les autres groupements un important facteur de cohésion sociale. Le français parlé au Québec permet, par exemple, aux Québécois de se distinguer à la fois des anglophones (qui représentent pour eux l'impérialisme économique et politique) et des Français de France (qui symbolisent pour eux l'impérialisme culturel). Le langage n'est cependant pas toujours nécessaire à la cohésion sociale. Ainsi, les Canadiens anglais se distinguent des Américains, même s'ils parlent la même langue qu'eux, de même que les Belges ou les Suisses francophones se considèrent différents des Français. On pourrait encore citer l'exemple des Juifs, qui gardent leur personnalité propre tout en adoptant, dans la plupart des cas, la langue du pays où ils habitent. Plus près de nous, les Hurons de Lorette, en banlieue de Québec, se considèrent toujours comme Indiens, même si leur langue ne diffère pas de celle des Québécois parmi lesquels ils vivent.

Malgré tout, la langue agit très souvent comme facteur de socialisation et de cohésion à l'intérieur du groupe. Face à l'extérieur, par contre, elle peut jouer un autre rôle, celui de classificateur social. Avec d'autres éléments de la culture (vêtement, possessions matérielles, etc.), elle sert souvent d'indice de l'appartenance ethnique ou de la classe sociale de celui qui la parle. L'accent et le vocabulaire d'un individu révèlent fréquemment son origine et sa situation. C'est ainsi qu'en entendant parler quelqu'un, on reconnaîtra facilement le

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groupe ethnique auquel il appartient : les Français résidant au Québec peuvent être identifiés dès qu'ils parlent (de même que les Québécois vivant en France). La langue révélera aussi la région d'origine (ville ou campagne) ainsi que la classe ou la caste sociale (la langue populaire s'oppose au « bon langage ») du locuteur. La façon de parler pourra même donner des indications sur les opinions politiques, religieuses ou autres des individus. Cette appartenance ethnique, régionale ou sociale révélée par la langue entraîne évidemment la manifestation de sentiments et d'attitudes liés à la perception qu'on a de chacun de ces groupes. Si nous apprécions bien les Français et que l'un d'eux s'adresse à nous en disant : « Alors, le petit père, ça gaze ? », il est probable que notre réaction sera assez positive.

En fait, la langue elle-même est valorisée ou dévalorisée par ses usagers et par les autres. Une langue minoritaire est souvent objet de mépris et de ridicule ; elle peut par contre être valorisée de façon excessive, par nationalisme. Le joual, par exemple (qu'on pourrait définir comme une forme populaire de parler québécois à laquelle se mêlent des anglicismes) a été tour à tour méprisé (le Premier ministre Trudeau a dit que les Québécois parlaient un « français pouilleux ») et survalorisé (certains voudraient l'enseigner à l'école). En fait, c'est un outil de communication qui joue un rôle dans un milieu donné (celui des francophones québécois, surtout à Montréal), mais qui ne doit pas remplacer la connaissance du français international, car celui-ci nous permet d'être compris hors du Québec.

Les enfants d'un couple dit « mixte » au point de vue linguistique, c'est-à-dire nés de parents de langues maternelles différentes, utilisent généralement la langue la plus valorisée dans leur milieu. A Montréal, par exemple, la plupart des gens dont le père ou la mère est anglophone parlent l'anglais plutôt que le français. D'ailleurs, même si le couple est homogène, les enfants manifestent une préférence pour la langue majoritaire de leur milieu. Ainsi, les membres des groupes francophones de l'Ouest canadien ou des Maritimes parlent de moins en moins le français, même quand ils ne comptent aucun anglophone parmi leurs ancêtres. De même, dans le village de Fort George, à la Baie de James, les enfants nés de parents inuit ne parlent que le cri, car les Indiens se trouvent en forte majorité à cet endroit (1200 Cris pour 50 Inuit).

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Lorsque sur un territoire donné coexistent des communautés linguistiques différentes, la langue prédominante peut être, soit celle du groupe majoritaire, soit celle du groupe dominant. Ainsi, au Québec, même si les anglophones ne représentent que 20% de la population, leur langue a un rayonnement plus grand que ne le justifie leur importance numérique. En effet, les immigrants qui s'établissent au pays ont davantage tendance à apprendre l'anglais que le français, puisqu'ils ont tôt fait de constater que l'anglais constitue la langue du groupe qui domine la scène économique et politique.

Le contact linguistique, qu'il soit externe (géographique) ou interne (domination de type colonialiste) peut provoquer toute une gamme de résultats : les deux pôles extrêmes sont représentés par l'acculturation linguistique (adoption de concepts et de mots étrangers) et l'assimilation (la langue dominée disparaît au profit de l'autre), mais on peut également noter des situations intermédiaires telles que le bilinguisme (obligation de parler les deux langues) et le syncrétisme (les langues dominante et dominée se fondent pour former un nouveau parler). Dans le cas de plusieurs groupes amérindiens, le contact avec les langues européennes a provoqué l'assimilation pure et simple (c'est ainsi qu'au Québec le français a complètement remplacé le huron et l'abénaquis). Dans d'autres populations, c'est le bilinguisme qui domine (une bonne partie des Iroquois du Québec parle à la fois le mohawk et l'anglais). Ailleurs, aux Antilles, par exemple, le français et les langues africaines (qui étaient parlées par les esclaves noirs) ont fusionné pour donner le créole. C'est un exemple frappant de syncrétisme. Notons pour terminer que les contacts linguistiques sont souvent réglementés par des lois qui encouragent la domination d'une langue sur une autre. Au Canada anglais, le déclin du français est dû en grande partie au fait que, jusqu'à récemment, cette langue n'y jouissait d'aucun statut légal.

Langues et dialects L’interet des linguists pour les relations entre lague et societe apris forme,a la fin du XIX siècle,des etudes de dialectologie.La linguistique variationniste

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mise en place par Labov se situe dans la filiation de ce courant.Dans les deux cas,il s’agit de decrier la specificite des usages reels des langues.Mais tandis que la dialectologie cherche plutot a render compte des dialects ruraux,le variationnisme s’interesse aux grandes agglomerations urbaines.On parle alors de ,,dialects sociaux’’ ou de ,,sociolectes’’.

La dialectologie

Dans le vocabulaire courant,plusieurs ots sont disponibles pour parler des varieties regionals d’une meme langue,ou encore de la variation geographique.

o Le terme de ,,jargon’’.Il designe toujours une facon de parler deformee.De connotation depreciative,i lest parfois utilize par les locuteurs eux-memes pour juger negativement leurs usages linguistiques.C’est pourquoi i lest exclu du discours des linguists.

o Les termes de ,,patois’’ et ,,dialecte’’.Ils ont ete longtemps quasi synonymes:L.Gauchat intitule sa vaste enquete tialectologique ,,Glossaire des patois de la Suisse romande’’(1924).Aujourd’hui on tend a utilizer le mot de ,,dialecte’’,reservant celui de patois a des usages tres locaux.

o Dialecte.Un dialecte se construire pardes proccesus de differenciation au sein d’une meme langage.Prenons l’exemple du latin.Parle dans des regions differentes par des locuteurs maniant d’autres langues et d’autres cultures,il a evolue diversement chez ces populations.Par exemple,en France les dialects du domaine d’oil comme ceux d’oc proviennent de cette differenciation historique du latin,dans les domains phonetique, morphologique, syntaxique et lexical.Ladifferenciation peut conduirea a la non-comprehension entre locuteurs de dialects differents.Par exemple,la corse est un dialecte de l’italien,lui-meme issu de la dialectalisation du latin;le wallon est un dialecte d’oil,issu aussi de la differenciation dialectale du latin.Aujourd’hui ,corse et wallon sont devenus incomprehensibles l’un a l’autre.Toute langue officielle a commence par etre un dialecte.Le francais ou l’espagnol ont ete dans la Romania des dialects du latin avant d’etre des langues nationales.Donc,Calvet a dit que une langue ,c’est un dialecte qui a politiquement reussi,comme le soulignait.

o Les usages regionaux d’ine meme langue.On parlera de ,,francais regionaux’’pour decrier la facon d’utiliser le francais en Alsace ou a

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Marseille:les faits concernes sont avant tout la pronunciation,la prosodie,le lexique et la morphologie.

Les etudes dialectologique

Encore Boutet a affirme que les enquetes dialectologique ont commence a la fin du siècle precedent en Allemagne,en Suisse et en France.Donc,il dit que il s’agit de recenser le plus finement et le plus exhaustivement possible les facons reeles de parler des locuteurs,essentiellement d;un point de vue phonetique et lexical.Pour ce faire,les dialectologues precedent a des enquetes de terrain:questionnaires, listes de mots a lire, entretiens.Les donnes recueillies sont ensuite rassemblees de facon a dresser une cartographie:region par region,village par village,on fait correspondre aux cartes geographiques les releves de prononciations.Par exemple pour realizer son ,,Atlas linguistque de la France’’.Les dialectologues ont propose la notion d’,,isoglosse’’:ligne qui circonscrit et delimite l’aire de diffusion d’une meme pronunciation,d’une meme intonation ou d’un meme mot.

Boutet donne une exepmle:la situation linguistique de la France.La France est un pays officiellement monolingue,le francais en etant la langue.Mais dans les faits,des nombreuses autres langues et dialects y sont parles.La variation linguistique en France provident de l’usage a la fois de langues differentes et de dialects differentes.

Langues et dialects territoriaux

Donc,conformement a Boutet ,les langues qui ont contribute durant les siècles passes a constituer historiquement la situation linguistique francaise sont nomme ,,territoriales’’.En consequence,on distinguer d’une part les langues issues de la Romania ou langues romanes,d’autre part les langues non romanes.

Les langues romanes.Elles se divisent dialectalement selon plusieurs doaines ,,oil’’ dans le Nord, ,,oc’’ dans le Sud, ,,franco-provecal’’ de la Savoie au Forez.

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Les dialectes d’oil sont ,outré de francais:le picard,le wallon,le normand,le poitevin,le gallo,le berrichon.Les dialects d’oc sont:le limousine, l’auvergnant,le provencal ,le nicar ,l gascon, le béarnaise.On ajoutera le corse,dialecte de l’italien,et le catalan.

Les langues non romanes .On parle en France:o Des langues germaniques:le flamand,l’alsacien ou dialecte alemanique,le

lorrain.o Une langue celtique,l Breton,avec des varieties dialectales;o Le basque, langue non indo-europeenne presentant des resemblances

typologiques avec des langues caucasiennes.

Les langues et dialects territoriaux sont devenus des usages ruraux plus qu’urbqins.Donc dans les villags des Pyrenees qu’a Bayonne le people parle le basque.Precisions qu’il s’agit la d’une caracteristique francaise,si l’on franchit la frontier espagnole,on entendra parler plus frequemment le basque.De meme por le catalan,peu parle a Perpignan mais langue officielle de la Catalogne espagnole.

Les langues territoriales sont desormais des langues de faible vitalitePendant leurs locuteurs,ells tendent a perdre la diversite des fonctions attachees aux langues.Par exemple,le Breton n’est pas une langue de travail en France:lorsqu’il est parle,c’est dans le cadre de famiile ou d’in groupe de pairs.En consequent,on dit que ces langues sont souvent utilisees par des locuteurs ages,et la question de leur transmission familialese pose avec acuite.Il faut faire une exception por les militants de la promotion de ces langues qui,eux,tentent de les preserver en particulier au moyen de la scolarisation.Apres plus dun siècle de politique linguistique visant a la promotion du francais et a l’eradication des autres langues,on peut dire que ces dernieres ont resiste mais qu’elles sont en danger.Par exemple, l’alsacien est de ce point de vue eclairant:dialecte aleanique,i lest dialecte qui a presente le plus de vitalite jusqu’a une date recente,parle tout autant a la champagne que dans les grande villes comme Colmar ou Strasbourg,en famille,au travail,dans les rues,dans les comeces.

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Langues et dialectes deterritorialisesBoutet dit que on appellee ,,deterritorialisees’’ les langues parlees par des locuteurs issus a une date recente de mouvements migratoires,essentiellement depuis la seconde moitie du XIX siècle.

Les langues ,,deterritorialisees’’ sont issues de familles de langues fort differentes

Langues semitiques: arabes dialectaux parles par les Algeriens,les Tunisiens et les Marocains,arrives essentiallement dans les annees soixante;

Langues mandingues : le Bambara des Maliens;

Langues romanes:espagnol, italien, portugais, et, depuis 1989 roumain;

Langues slaves: russe,polonaise;

Langues d’Asie du Sud-Est: le vietnamien, don’t les premiers locuteurs arrivent pendant la Premier Guerre mondiale pour combattre au front ou travailler dans les usines a l’arriere;le khmer,langue parle par Cambodgiens qui se refugient en France après 1975; des dialectea du sud-est de la Chine.

Langues ouralo-altaiques: le turc, don’t les locuteurse emigrent pour de raisons economiques dans les annes soixante-dis vers l’Allemagne et la France;

Langues creoles, issues dans les plantations de coton,du contact entre les langues des esclaves et celles de planteurs.

Les langues de l’immigration sont des langues urbaines.

Donc,Boutet affirme que les immigres aient quitte leur pays pour des raisons politiques ou pour des raisons economiques,ils sont tous de citadins.Les langues deterritorialisees sont donc des ,,langues des villes’’,a la difference des langues trritoriales.

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La vitalite

Encore le meme auteur dit que la vitalite de ces langues est variable:elle depend pour une grande part des politiques linguistiques des communautes.Certaines promeuvent presentent une situation plus complexe.Ainsi,la transmission de l’arabe dans les familes arabophones ne fait pas l’unanimite:il semble que les filles,generalement plus scolarisees que leurs frères ,maintnnent advantage l’usage de l’arabe que les garcons.

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Conclusion: Donc,en conclusion je voudrais dire que la langue est la base de la societe et le dialecte est un element principale de la langue.Alors,ces notions sont les elements principaux de la communication.La langue permet à ses utilisateurs d'exprimer tout ce qui est nécessaire à leur vie sociale dans un milieu défini.

En consequence,je voudrais dire que la langue est la lien principale entre la societe et la vie normale.Il y a beaucoup de facons de nous exprimer,c’est pour quoi nos pouvons d’activer dans toutes les spheres sociales.En fait,je voudrais ajouter que la langue est un facteur de cohésion sociale.C’est pourquoi la langue et la societe sont deux choses interdépendants.

Alors,nous sommes que la langue et le moyenne principale de communication,mais je peux dire aussi,qu’elle a plusieurs des formes-les dialects.Donc, en consultant les etudes des linguistes au sujet ,,Langue et dialecte’’,j’ai observe que il y a langues et dialects territoriaux et langues et dialectes deterritorialises.Je voudrais dire que ceux types de langues et dialectes ont une histoire riche,parce qu’ils se forme ou cours du siècles. En consequence,nous pouvons observer que chaque langue a quelque dialectes.Encore,je peux aider que les langues ,,deterritorialisees’’ sont issues de familles de langues fort differentes.Donc,je voudrais met en relief que la societe peut avoir plusieur de langues et la langue peut avoir plusieur de dialectes.Par exemple,la langue francais a deux dialectes principaux:d’oil et d’oc.Ca depend de region du pays. En conclusion,je veux dire que ,,Societe et langue,langue et dialecte’’ est un theme tres vaste parce que la communication elle-meme est un processus qui donne des posibilites vastes.

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Introduction La communication est la clé de la réussite de notre société.C’est pourquoi,il est très important de developer ce processus.Donc,pour communiquer nous devons connaitre une langue.En consequence,Ch.Baylon a affirme :,,Conaitre une langue,c’est produire et comprendre des phrases bien formees appropries a une situation particuliere.’’

Alors,je peux dire que le theme ,,Societe et langue,langue et dialecte’’,est un theme tres important, parce que cet theme implique les termes de base du processus de communication.En consequence,je voudrais affirmer que la langue,la societe et le dialecte sont liee entre eux.Encore je peux dire que l’efficacite du discours depend de ces termes.

Je voudrais, aussi,ajouter que si nous sommes membre d’une societe ,nous devons connaitre une langue et aussi,nous parlons un dialecte.Selon certaines sources,apprendre une langue c’est apprendre les regles du systeme linguistique formel et des regles d’emploi de la langue.

En consequence, je peux dire que les objectives que je me propose dans ce rapport sont:

1.de definir les notions du langue,societe et dialecte;

2.de presenter quelques generalites sur ,,La langue et societe’’;

3.de souligner l’accent de la langue dans la societe;

4.d’accentuer quelques generalites sur ,,La langue et le dialecte’’

5d’identifier les types de langues et de dialects;

6.de formuler une conclusion sur cet theme.

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Bibliographie:1.Christian Bylon, ,,Genese et definition de la sociolinguistique’’;

2.Josiane Boutet, ,,Langage et societe”;

3.http://fr.wikipedia.org/wiki/Soci%C3%A9t%C3%A9 ;

4.http://www.google.md/#hl=mo&biw=1366&bih=665&q=Soci%C3%A9t%C3%A9+et+langue+&fp=5656f245e4fe977 ;

TABLES DE MATIERES:

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1. Introduction 2.Definitions 3.Langue et société 3.1 La langue dans la société : sociolinguistique 4.Langues et dialects 4.1 La dialectologie4.2Les etudes dialectologique4.3 Langues et dialects territoriaux 4.4 Langues et dialectes deterritorialises4.5 Les langues ,,deterritorialisees’’ sont issues de familles de langues fort differentes4.6 Les langues de l’immigration sont des langues urbaines.4.7 La vitalite5.Conclusion6.Bibliographie

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