vincennes info n°697 (pdf - 6,04 mo)

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Samedi 24 mai 20h30Bruno FONTAINE, pianoLe choc des Titans de Saint Pétersbourg et LeipzigBach : Extraits des 'Préludes et fugues' et de 'L'Art de la Fugue'Chostakovitch : Préludes et Fugues Op.87

Vendredi 20 juin 20h30Henri DEMARQUETTE, violoncelle et Despues QuintetQue Viva el tango ! Tangos et milongas de : Gardel-Lepera, Jacob Gade, Mattos Rodriguez, Alejandro Schwarz, Astor Piazzolla, Leopoldo Federico, Gustavo Beytelmann...

Vendredi 4 avril 20h30Orchestre-Atelier Ostinato, direction : Jean-Luc TINGAUD, soliste : Anna FEDOROVA, pianoLe sacré printemps de Stravinsky !Stravinsky : Concerto pour piano et instruments à vents, Symphonies d'instruments à vents, RagtimeMilhaud : 5e Symphonie ; Honegger : Le Dit des Jeux du mondeVarèse : Intégrales

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Samedi 8 février 20h30

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Vendredi 20 juin 20h30Henri DEMARQUETTE, violoncelle et Despues QuintetQue Viva el tango ! Tangos et milongas de : Gardel-Lepera, Jacob Gade, Mattos Rodriguez, Alejandro Schwarz, Astor Piazzolla, Leopoldo Federico, Gustavo Beytelmann...

Vendredi 4 avril 20h30Orchestre-Atelier Ostinato, direction : Jean-Luc TINGAUD, soliste : Anna FEDOROVA, pianoLe sacré printemps de Stravinsky !Stravinsky : Concerto pour piano et instruments à vents, Symphonies d'instruments à vents, RagtimeMilhaud : 5e Symphonie ; Honegger : Le Dit des Jeux du mondeVarèse : Intégrales

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Samedi 8 février 20h30

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ÉDITO

En raison de l’organisation des élections municipales les 23 et 30 mars prochains, M. le maire,

dans le cadre des dispositions du Code électoral, n’a pas souhaité faire paraître d’éditorial.

Vincennes Février 2014 • 3

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SOMMAIRE6 ARRÊT SUR IMAGES

Les anciennes fêtent le cinéma à Vincennes

9 DÉCRYPTAGEQuand les limites dépassent les bornes

10 VITE DIT11 ACTUALITÉS

Démolition en cours sur l’îlot FontenayVincennes morcelée par la nouvelle carte des cantonsGrand Paris : des compétences des communes transférées à la métropoleLe château de Gondar inauguré

15 PORTRAITSolide comme un rock… ’n’roll !

16 ICI OU LÀLe billet d’humeur du piéton de VincennesVotre canard a de la mémoire !

18 ENQUÊTEZoo : les animaux aux premières loges

20 À LA UNEIls aiment Vincennes… et ils l’écrivent : les textes des lauréats du concours d’écriture

28 RENDEZ-VOUSAnimations seniorsPatrimoine : découverte de l’hôtel de villeAu cœur des savoirs : l’économie à la loupeRencontre avec les métiers d’aujourd’hui et de demain

31 ÉVÉNEMENTL’École des parents :un rendez-vous pour mieux vivre son rôle de parent

32 ARTS ET SPECTACLESThéâtre : Inconnu à cette adresseJeune public : sur le fil de l’imaginaireGala de danse classiqueDes jeunes tête en l’Art !Sorano Jazz

36 LIVRES / DISQUES37 SPORT38 ASSOCIATIONS

Restaurants du cœurConférence : Jules VerneAteliers à SoranoAMAC : ateliers et soirée musicale

41 AGENDA42 PRATIQUE

Recensement en cours à VincennesCarte nationale d’identité : validité étendueCollecte des textilesInscriptions scolaires pour la rentrée 2014Urgences médicales

46 DÉMOCRATIE LOCALECompte rendu du conseil municipalTribunesLes tribunes publiées par les groupes duConseil municipal n’engagent que leurs auteurs.

50 ÉTAT CIVILVincennes Info février 2014 – N°697 • Dépôt légal : 1er trimestre 2014 • ISSN 0994-8864Directeur de la publication : Laurent LAFON • Directeur de la rédaction : Gildas LECOQ • Rédacteur en chef : Olivier TOUZEAU • Secrétaire de rédaction : Sandrine KREMER • Ont collaboré à ce numéro : Cécile BLAIZE, Maxime DUPIN, Morgane HUBY, Laure MARESCAUX, Armelle NEBILON. Photographies : Pierre-Yves JAN / Aurianne studio ; Serge GUILLEMOT / Brooklyn Studio ; Thibaut PLAIRE / Studio Plaire • Dessin : Fawzi BRACHEMI • Rédaction : Hôtel de ville – BP 123 – 94304 Vincennes Cedex • Mairie de Vincennes : 01 43 98 65 00 • Vincennes info : 01 43 98 65 73 – fax : 01 43 98 67 85 – courriel : [email protected] • Publicité : Sandrine KREMER Tél. : 01 43 98 65 73 – maquette : Zoran JUS JOVANOVIC • PAO : Scoop Communication • Imprimeur : Vincent Imprimeries – TOURS – Imprimé sur du papier recyclé.

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Le château de Gondar inauguré

Vincennes morcelée par la nouvelle carte des cantons

31 L’École des parents18 Zoo de Vincennes

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20 Découvrez les textes des lauréats du concours d’écriture « J’aime Vincennes »

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ARRÊT SUR IMAGES


Dimanche 12 janvier, la 14e édition de la Traversée de Paris proposée par l’association Vincennes en anciennes s’est élancée de l’esplanade du château. Les quelque 600 véhicules anciens qui ont sillonné la capitale avant

de retrouver Vincennes ont fait rêver petits et grands : un rêve pour les amoureux de belles mécaniques – comme l’animateur de l’émission « Automoto », Denis Brogniart – mais aussi pour les passionnés du 7e art, qui ont pu voir dans le cortège motos et automobiles évoquant Retour vers le futur, James Bond ou La Dolce Vita, ainsi que la voiture-travelling du spécialiste des voitures de tournage, Bernard Château (avec plus de 3 200 films à son actif !).Vincennes en anciennes avait en effet choisi de s’associer au centenaire d’Henri Langlois, en présence notamment du réalisateur Olivier Marchal (notre photo, en bas à droite), et de préfigurer ainsi la nouvelle édition des Rencontres internationales du cinéma de patrimoine, organisées à Vincennes du 31 janvier au 3 février*. Nombre de véhicules ont d’ailleurs retrouvé notre ville à cette occasion pour fêter la montée des marches du festival vincennois !* Retour en images sur cet événement dans notre prochain numéro.


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DÉCRYPTAGE

Quand les limites dépassent les bornesAvec ses 191 hectares pour 49 132 habitants, Vincennes détient un record de densité. Mais les frontières de la commune n’ont pas toujours été celles que nous connaissons, et leur évolution est à l’origine de certaines particularités juridiques qui limitent parfois son action. Explications.

Entretemps, l’aménagement du bois coûtant cher à la ville de Paris, 120 hectares de son pourtour avaient été mis en adjudication en 1863 ; la « zone retranchée » fut vendue à des particuliers qui devaient respecter un cahier des charges strict – pas d’activité industrielle ou commerciale, un modèle de clôture uniforme… Ces lots restèrent après 1929 sur le territoire des communes voisines, mais Paris conserva la propriété des avenues et des routes… jusqu’en 1968 ! À Vincennes, étaient concernés les avenues Foch, de la Dame-Blanche, Fayolle, des Charmes (future Pierre-Brossolette), la rue d’Idalie et le cours Marigny. Les voies situées de part et d’autre du cours Marigny et ses trans-versales furent transférées au domaine public vincennois, tandis que les espaces verts centraux, bien que situés à Vincennes, sont restés propriété de la ville de Paris…Résultat des courses ? Le centre du cours Marigny est entre-tenu par les services parisiens : le bassin qui a succédé à une patinoire, le square Jean-Jaurès ou ses aménagements paysagers sont de la responsabilité de la capitale. Quant au coin de bois qui sépare le métro Château-de-Vincennes de l’avenue Foch, il est parisien ; nombreux sont les Vincennois qui demandent, pour des raisons de sécurité, que le chemi-nement (la « route des pelouses Marigny ») y soit éclairé – mais la décision revient à la seule ville de Paris.Le Parc floral, le Fort-Neuf, la gare et le cours des Maréchaux sont à Paris. Le parc municipal des sports, entretenu par Vincennes, est aussi situé à Paris, dans une

Côté ville, Vincennes a pris sa configuration actuelle en 1829, quand elle a conquis 58 hectares à l’ouest aux

dépens de Montreuil, et 36 à l’est aux dépens de Fontenay. Mais côté bois, les limites exactes de Vincennes sont plus récentes. Le bois avait été partagé en 1794 entre les diffé-rentes communes qui l’entouraient : 238 hectares étaient revenus à Vincennes, y compris le château et le quartier du Petit-Parc. Et jusqu’en 1929, le territoire de Vincennes s’étendait au sud du château, jusqu’au Champ de manœuvre et au Polygone d’artillerie.Avec la loi du 24 juillet 1860, le bois devint la propriété de Paris, tout en restant sur les territoires des communes environnantes. En 1919, la loi relative au déclassement de l’enceinte fortifiée de Paris annexa les bois de Vincennes et de Boulogne à la capitale ; il fallut encore dix ans pour préciser leurs limites et faire perdre à Vincennes « son » bois. Le château devint alors parisien : mais grâce à la mobilisation de la municipalité et de la Société des amis de Vincennes, le monument réintégra définitivement le terri-toire de Vincennes en 1937.

portion du bois qui fut jadis vincennoise… Le parking sou-terrain Marigny relève de la ville de Paris, tandis que son voisin, sous l’esplanade de la mairie, est 100 % vincennois.Le château, lui, est bien sur le territoire de Vincennes ; il est cependant placé sous la double autorité des services qui l’occupent : Service historique de la Défense (ministère de la Défense) et Centre des monuments nationaux (ministère de la Culture). Ses abords sont parisiens au sud et à l’est, et vincennois au nord et à l’ouest. Au-delà des prescriptions qu’impose un monument de cette importance, le réamé-nagement de ses glacis ne peut donc pas être décidé par la seule ville de Vincennes. Dans le même esprit, la police municipale de Vincennes ne peut pas intervenir en cas de désordres sur l’esplanade Saint-Louis ni verbaliser les véhi-cules garés sauvagement devant l’entrée sud du château.Autre curiosité, au sud de l’avenue du Général-de-Gaulle, deux squares se côtoient : l’un (Carnot) entretenu par Vincennes, et l’autre (André-Malraux) entretenu par Paris. Mais fort heureusement, les services des espaces verts des deux villes savent collaborer, et il a été mis fin – il y a quelques mois – à l’absurde barrière qui séparait depuis des années ces deux espaces verts… OT

Le château est bien sur le territoire de Vincennes ; ses abords sont parisiens au sud et à l’est, et vincennois au nord

et à l’ouest.

En chiffres

En 1787, Vincennes comptait 30 hectares. La superficie de Vincennes est aujourd’hui d’un peu plus de 191 hectares. Le bois de Vincennes mesure 990 hectares, dont 238 furent vincennois jusqu’en 1929.

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VITE DITParcours-découverte musical pour les écoliers Depuis neuf ans, le conservatoire propose à des classes des écoles élémentaires de la ville de participer à un parcours-découverte. Le principe est simple : faire découvrir des extraits musicaux commentés et interprétés par les professeurs du conservatoire. En 2013, ce sont 3 323 enfants issus de 69 classes qui ont assisté aux séances. Pour 2014, quatre concerts sont proposés, et chaque classe en verra trois : après le pianoforte avec Hugues Leclère en janvier, les enfants découvrent ce mois-ci le répertoire symphonique, avec l’orchestre Les Clés d’Euphonia. Pierre et le Loup, pour quintette à vents, en avril, puis Mozart, Brahms et les quintettes à cordes en mai n’auront ensuite plus de secret pour les enfants grâce aux professeurs du conservatoire.

Vincennes off, le festival des compagnies vincennoises ! Du 10 au 15 juin, la 4e édition de Vincennes off, le festival des talents vincennois, permettra au public de découvrir des compagnies théâtrales qui se produiront sur la scène du théâtre de l’espace Daniel-Sorano dans des conditions de jeu professionnelles. Les dossiers de candidature, à remplir avant le samedi 8 février, sont téléchargeables sur le site de l’espace Daniel-Sorano ou en accès

libre sur place, 16, rue Charles-Pathé, à l’accueil.

� Renseignements au 01 43 74 73 74 et sur www.espacesorano.com. Tout dossier incomplet ne sera pas traité.

Souvenirs d’Habère-Poche Les jeunes du Conseil des jeunes de Vincennes travaillent actuellement à la réalisation d’un festival de la jeunesse qu’ils organiseront en mai à Vincennes. Dans ce cadre, ils souhaitent réaliser une exposition rétrospective sur Habère-Poche, ce lieu de séjour situé en Haute-Savoie et tant apprécié des Vincennois depuis plusieurs générations. Ils font donc appel à vous pour retrouver des clichés inédits !Si vous souhaitez faire parvenir vos photos d’Habère-Poche, merci de les envoyer par courriel à l’adresse [email protected] ou de les déposer sur place au Carré – 1, rue de l’Égalité.

� Renseignements au 01 71 33 64 40

Saint-Valentin :exprimez vos sentiments sur les panneaux lumineux !

Le 14 février, jour de la Saint-Valentin, déclarez publiquement votre flamme ! Comme l’an passé, vos plus jolies déclarations s’afficheront sur les panneaux lumineux qui diffusent habituellement des informations pratiques : place Pierre-Sémard, avenue de Paris, rue Félix-Faure et place de la Prévoyance. Il vous suffit d’envoyer votre message d’amour avant le mercredi 12 février : un formulaire est à votre disposition à cet effet sur

le site vincennes.fr. Mais attention : votre message doit tenir en 7 lignes de 18 caractères chacune (espaces compris !)…

Un radio-crochet : c’est le principe du concours de chant proposé aux seniors par l’Arepa, organisme gestionnaire de la résidence Renon (36, rue Renon), le 20 mars prochain, en collaboration avec l’association vincennoise ALM. Cinq places sur le podium sont à gagner pour les participants, qui seront jugés sur la justesse de la voix, la rythmique de leur chant et leur costume de scène. Un rendez-vous à préparer dès maintenant !Informations et inscriptions au 01 43 74 34 80

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À Habère-Poche, en 1994.

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Verbatim

« Maintes fois il advint qu’en été il allait s’asseoir au bois de Vincennes après

sa messe, et s’accotait à un chêne, et nous faisait asseoir autour de lui.

Et tous ceux qui avaient affaire venaient lui parler,

sans empêchement d’huissier ni d’autres gens… »

Jean, sire de Joinville, Histoire de Saint Louis (rédigée entre 1305 et 1309, soit plus de trente ans après la mort du roi).

Si personne n’est en mesure de situer le chêne de Saint Louis, tant il est difficile de démêler la vérité de la légende dans

le témoignage de Joinville, tout le monde s’accordera sur le fait que 2014 marque les 800 ans de la naissance du roi qui donna

une dimension nouvelle à la résidence de Vincennes : plusieurs associations vincennoises ainsi que le château

proposeront des animations et événements à cette occasion. Plus d’informations

au printemps dans Vincennes info !

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10 • Vincennes Février 2014

Travaux

Démolition en cours sur l’îlot FontenayLe chantier des immeubles situés

85-89, rue de Fontenay et 10-14, rue de l’Église est en cours. La procédure d’expropriation, entamée en 2010, est arrivée à son terme fin 2013, permet-tant à la Société d’économie mixte de la Ville, la Vincem, désormais maître de l’ensemble du foncier concerné, d’enta-mer les travaux.Après le désamiantage de ces parcelles effectué au début de l’hiver, la démolition de ces immeubles fortement dégradés se poursuit donc ces prochaines semaines. Une destruction qui permettra de laisser place à un ensemble de 34 logements, des surfaces de commerces et services, dont un restaurant donnant sur la cou-rette intérieure, et un parking public

souterrain. Pour mémoire, en raison du démarrage des travaux, les com-merçants habituellement installés à cet endroit du marché sont temporaire-ment relocalisés côté pair de la rue de Fontenay.

En brefRéforme de la CFECréée en 2010, la cotisation foncière des entreprises (CFE) est l’un des impôts locaux qui ont succédé à la taxe professionnelle. Un impôt dont le mode de calcul a été totalement revu par la loi de finances pour 2014, promulguée par le président de la République ce 29 décembre : elle instaure en effet un nouveau barème en 6 tranches, applicable dès 2014 ; il existe un seuil de cotisation minimum pour chaque tranche, et la loi demandait aux communes de se prononcer avant le… 21 janvier ! Dans le cas contraire, le montant de la base minimum applicable serait le même qu’en 2013, sauf s’il excédait le seuil fixé par les textes pour les 3 premières tranches. À Vincennes, cela aurait généré une baisse du produit de la CFE de l’ordre de 11 %. Or au même moment, les dotations reçues de l’État par la Ville continuent de baisser, tandis que des dépenses nouvelles s’imposent à elle : contributions obligatoires en augmentation au titre de la péréquation, impact des hausses de TVA, mise en œuvre de la réforme des rythmes scolaires…Réuni le 20 janvier, le Conseil municipal a dû ajuster les montants de base minimum afin de neutraliser l’impact de la loi ; il a dans sa délibération souhaité favoriser notamment les TPE, professions libérales ou encore les auto-entrepreneurs, nombreux sur la ville. En effet, pour 42 % des entreprises, le montant versé sera en très nette diminution, et pour 42 %, il sera sensiblement identique à 2013. Objectif pour la commune : préserver son équilibre fiscal en évitant de faire peser sur les ménages la baisse, induite par la loi, du produit de l’impôt des entreprises.

Erratum : enquête du mois de janvierUne erreur de transmission a affecté le témoignage de M. André Figoni retranscrit dans notre enquête parue le mois dernier et consacrée à la concertation relative à la réforme des rythmes scolaires. Il convenait de lire, en bas de page 21 : « Il faut pour cela que les responsables de ce temps méridien soient à la hauteur des enjeux de cette réforme. » Nos excuses à M. Figoni et à nos lecteurs.

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À partir du mois de février, des opérations de travaux débutent au château de Vincennes. Elles concernent notamment le pavillon du Roi, qui abrite le

Service historique de la défense, avec des travaux de restauration des façades, toitures et ouvrages en superstructures : les façades seront bien sûr reprises à l’identique et les travaux permettront aussi d’améliorer l’évacuation des eaux pluviales ou de poser des vitrages à isolation thermique.Des travaux vont aussi porter sur le portique Le Vau (ouverture de deux grilles), et, à partir du printemps, sur l’aménagement des espaces non bâtis de l’enceinte médiévale, entre la Tour du Village et la Cour centrale du château. Ces opéra-tions, d’une durée pluriannuelle, sont réalisées dans le cadre d’une convention entre les ministères de la Culture et de la Défense. Le temps des travaux, les accès publics seront préservés autant que possible afin de permettre la pour-suite des visites du monument et la communication des archives de la Défense.

Aménagement et restauration au château

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ACTUALITÉ

Il y a quelques jours, le préfet a présenté le projet de révision de la carte cantonale pour le Val-de-Marne établi par les services du ministère de l’Intérieur. Une carte assez éloignée des réalités géographiques vincennoises.

peuplés du département. Autre curio-sité, la frontière ainsi tracée n’est pas cohérente avec les actuelles limites des bureaux de vote ! De quoi rendre illi-sible le découpage électoral pour plus d’un citoyen, d’autant que parallèle-ment une autre réforme poursuit son chemin : la Métropole du Grand Paris (lire p. 13) pourrait en effet remettre en cause assez rapidement l’existence même des départements de la petite couronne et donc du Val-de-Marne… En attendant, le Conseil municipal a décidé le 20 janvier de solliciter le ministre de l’Intérieur pour demander le maintien du principe d’unité communale.

Dans chaque département, les can-tons sont la circonscription d’élec-

tion des conseillers généraux. Mais la loi du 17 mai 2013 réforme profondé-ment leur régime avec un redécoupage cantonal dans tout l’Hexagone, destiné à réduire de moitié le nombre de can-tons : chacun des cantons rénovés élira désormais, au scrutin binominal, deux « conseillers départementaux », néces-sairement de sexe opposé. Ces élec-tions départementales – nouveau nom des élections cantonales – auront lieu en 2015. L’objectif de la loi était aussi de créer des cantons de taille démogra-phique analogue pour éviter les phéno-mènes de surreprésentation.Dans le Val-de-Marne, le projet de l’État prévoit donc de passer des 49 can-tons actuels à 25 cantons, avec au total 50 conseillers départementaux et une moyenne théorique de 53 000 habitants par canton. Et à Vincennes, le nouveau

découpage trace une frontière qui défie la logique de territoire.

4/5 sur un canton, 1/5 sur le secondLe découpage sortant datait de 1984 : Vincennes était depuis divisée en deux cantons de taille similaire, Vincennes Est et Vincennes Ouest ; la situation était la même à Fontenay-sous-Bois tan-dis que Saint-Mandé constituait un can-ton. Une logique désormais totalement bouleversée, puisque ces cinq cantons n’en formeront plus que deux…Un premier canton réunira les 4/5 de Vincennes et la commune de Saint-Mandé ; quant aux 9 000 Vincennois restants, ils dépendront désormais du canton de Fontenay-sous-Bois. Qui plus est, les habitants des deux can-tons concernés sont sous-représentés à l’échelle du département, avec des circonscriptions comptant 1,5 fois plus d’habitants que les cantons les moins

Démocratie locale

• Le canton n° 23 (Vincennes) comprendra la commune de Saint-Mandé, et la partie de Vincennes située à l’ouest d’une ligne passant, du nord au sud, par la rue Jules-Massenet, puis la rue de la Jarry et le boulevard de la Libération jusqu’au bois. Population : 61 790 habitants.• Le canton n° 10 (Fontenay-sous-Bois) comprendra la commune de Fontenay-sous-Bois et la partie de Vincennes non incluse dans le canton de Vincennes. Population : 62 222 habitants.Source : Préfecture du Val-de-Marne. En rose, les limites communales ; en noir, les anciennes limites cantonales.

Vincennes morcelée par la nouvelle carte des cantons


actualité

C’est acté : la Métropole du Grand Paris (MGP) verra le jour le 1er jan-

vier 2016. Elle englobera Paris et les 123 communes des Hauts-de-Seine, de Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne, soit 6,7 millions d’habitants ; ses conseillers communaux seront élus au suffrage universel à partir de 2020. Pour l’heure, une mission de préfiguration doit définir les condi-tions juridiques et budgétaires de cette naissance qui va nécessairement bou-leverser le paysage institutionnel dans la région. Les 19 intercommunalités existantes devront ainsi laisser place à des conseils de territoire créés par bas-sin de population de 300 000 habitants. Et si les trois départements de petite couronne gardent pour l’instant leur compétence d’action sociale, l’idée de les faire disparaître est de plus en plus souvent évoquée par le Gouvernement.

Habitat et urbanisme au cœur du débatLa MGP sera en charge de l’aména-gement de l’espace métropolitain, du développement et de l’aménagement économique, social et culturel, de la protection de l’environnement et du cadre de vie et de la politique de la ville au sens global. Mais parmi ses compétences obligatoires figure aussi la politique locale de l’habitat : les communes verront ainsi certaines de leurs compétences leur échapper, et non des moindres, de l’amélioration du parc immobilier bâti à la résorp-tion de l’habitat insalubre, en pas-sant par le logement social. Qui plus est, les maires vont aussi perdre leur compétence en matière d’urbanisme : ils continueront à délivrer les permis de construire, mais ne pourront plus élaborer ou revoir l’aménagement au niveau de la commune…

E x p r e s s

Michel Mosimann a été nommé sous-préfet de l’arrondissement de Nogent-sur-

Marne et a pris ses fonctions début janvier. Auparavant délégué à l’information et à la communication au ministère de l’Intérieur, Michel Mosimann succède à Pascal Craplet, et s’est d’ores et déjà rendu à Vincennes à l’occasion des cérémonies de vœux.

La ligne de bus 46 (Paris Gare du Nord / château de Vincennes) dessert notamment

dans le bois le secteur du zoo. Le Syndicat des transports d’Île-de-France a annoncé en décembre son renforcement à compter du 12 avril prochain – date d’ouverture du Parc zoologique – avec une amélioration des fréquences le week-end, et le déplacement de points d’arrêt devant l’entrée du zoo.

À l’initiative de l’association Votre école chez vous, le chanteur Yves Duteil, parrain de

l’association, donnera un concert le samedi 15 mars à Vincennes, au centre Georges-Pompidou. Votre école chez vous apporte au domicile des enfants et adolescents malades, ou handicapés physiques, l’enseignement élémentaire et secondaire qu’ils ne peuvent recevoir, du fait de leur état de santé, dans les établissements collectifs.

Riff Cohen, chanteuse emblématique de la nouvelle scène pop rock israélienne,

devait se produire à Vincennes le 26 mars. Elle a malheureusement dû annuler sa tournée 2014 en Europe – et donc le concert initialement prévu dans le cadre de la saison vincennoise.

Maël Metzger, élève de flûte au conservatoire de Vincennes dans la classe

de Jean-Noël Bonmort, pendant 3 ans, et encore aujourd’hui élève en piano, a remporté début décembre à l’unanimité, à 8 ans, le premier prix dans la catégorie 2e cycle au Concours international du jeune flûtiste, à Saint-Maur (19e édition). Le jury était présidé par Florence Souchard-Délépine, flûte solo à l’Orchestre de Paris.

Grand ParisDes compétences des communes transférées à la métropoleLe 19 décembre dernier, la loi créant notamment la Métropole du Grand Paris a été adoptée. Zoom sur des dispositions qui impactent directement l’avenir de Vincennes.

Vincennes a choisi depuis plusieurs années de tis-

ser un partenariat solidaire et durable avec Gondar, en Éthiopie. Objectif de cette action de coopération décen-tralisée : développer sur le long terme les activités touris-tiques dans cette autre « ville royale », pour créer emplois et revenus et réduire la pauvreté.En attendant l’installation prochaine d’un centre de res-sources pour l’artisanat, le château de Ras Ghimb a été officiellement inauguré le 19 janvier, à l’occasion des cérémonies marquant Timkat – l’importante célébration orthodoxe éthiopienne de l’Épiphanie. La restauration du monument, construit entre 1730 et 1755, vient en effet de s’achever. Précédés par les chants traditionnels des azmaris (les trou-badours éthiopiens), les officiels du gouvernement fédéral et de la région Amhara, le maire de Gondar Ato Getnet Amare, et Son Excellence Brigitte Collet, ambas-sadrice de France en Éthiopie, ont souligné aux côtés de Guy Vindéou, adjoint au maire chargé des relations internationales, le rôle de Vincennes dans ce projet essentiel pour le développement de notre partenaire africaine.

Coopération décentraliséeLe château de Gondar inauguré

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Solide comme un rock… ’n’roll !

Le bonheur pour philosophieMais avant d’être parisienne puis vincennoise, Emily était marseil-laise. Sa voix rauque sans accent ne laisse pas deviner ses origines ensoleillées. Née dans la cité phocéenne et d’origine italienne, c’est à Marseille que la jeune fille est repérée, à seulement quinze ans, par Agnès Hampartzoumian, choriste de Patrick Fiori, Julie Zenatti ou encore Chimène Badi… « C’est Agnès qui a écrit J’ai trop froid. Elle m’a dit : “J’ai une chanson pour toi.” Nous l’avons enregistrée et elle l’a fait écouter à André (NDLR : André Hampartzoumian, guita-riste de Sardou, Fiori, Pagny…), qui a adoré ! J’avais seize ans et j’ai annoncé à mes parents que je serai chanteuse… » Ses parents ne sont pas étonnés, mais répondent sans surprise : « Passe ton bac d’abord ! » Alors Emily passe le bac et tente même une année de fac. « Je parle italien alors j’ai choisi une fac d’italien

pour pouvoir passer mon temps en stu-dio… », sourit-elle.Elle décroche très vite des études et monte à Paris à vingt ans, bien décidée à gagner sa vie sa guitare à la main. « Je suis hyperoptimiste et je me dis que même s’il ne fait pas beau, le soleil est juste derrière les nuages. » Une philo-sophie de vie qui désarme chez une si jeune femme. Bien campée sur son siège, un peu garçonne dans ses postures, tou-chante par sa naïveté, elle explique avec le sérieux d’un vieux sage que, pour elle, le bonheur est un choix. « Être heureux ça peut prendre une seconde ou toute une vie. Moi j’ai décidé de l’être maintenant, tout de suite, à chaque instant, quoi qu’il arrive. » Une rockeuse écorchée mais heureuse, un vieux sage avec une âme de fillette, une anticonformiste amou-reuse d’une ville cosy… Emily est toute de contradictions. Cela fait son charme, et nourrit assurément son art. CB/LM

Album Ose moi disponible sur www.emilytaliana.com et sur toutes les plateformes numériques.

De longs cheveux blonds aux mèches brunes, un bonnet gris

vissé sur la tête, un jean troué, un tatouage – « Rock your life » – sur l’avant-bras et un regard bleu piscine cerné de noir… Emily Taliana vit pour le rock. À seu-lement vingt-cinq ans, la jeune femme a autoproduit son pre-mier album et compte déjà plu-sieurs centaines de fans. On sent chez elle une urgence à écrire, chanter, jouer… Pour Emily, la musique est un besoin vital, un plaisir physique : « Quand je monte sur scène, ça me prend dans le cœur, il y a une espèce de vibration qui me monte partout… »

Rockeuse au cœur d’enfantMais sous ses airs noirs de roc-keuse se cache une petite fille aux yeux pétillants, une gamine qui aime encore chantonner les Disney et jouer dans le bois de Vincennes avec son chien Shaïlo. Et c’est justement son cœur d’en-fant, brisé à neuf ans par le départ de son grand frère de dix-huit ans, qui l’a inspirée pour son titre phare, J’ai trop froid. « Mon grand frère n’est pas parti à la guerre comme celui du clip. Il est parti avec celle qui est aujourd’hui sa femme… Mais pour moi c’est un peu la même chose, je ne l’ai jamais revu. » Et lorsqu’on lui demande si elle espère qu’il se reconnaisse dans le clip et revienne vers elle, elle sourit : « Forcément, quand j’ai tourné le clip, je me suis dit que si un jour il passait à la télé et que mon frère le voyait, peut-être que ça éveillerait quelque chose en lui… »C’est à Vincennes que la plupart des scènes de J’ai trop froid ont été tournées. Car Emily, vincennoise depuis six mois, a craqué pour « cette petite ville cosy, char-mante ». « Quand j’ai écrit le clip, je voyais déjà les rues, je voyais le bois, raconte-t-elle. J’ai tourné rue de la Jarry, près de chez moi, pour la scène où la petite fille et ses parents voient son frère partir à la guerre. J’ai aussi tourné chez moi, rue de Fontenay. Le chien, c’est mon chien ! Et j’avais très envie de tourner dans le bois que j’adore, donc toute la partie finale où je danse se passe dans le bois. »

Emily Taliana, jeune rockeuse de talent, vient de finaliser son premier album.Le décor de son clip ? Vincennes, où la jeune femme a déposé ses valises, et surtout sa guitare, depuis quelques mois.

BIO EXPRESS25 octobre 1988 : naissance à Nantes.À 7 ans : ses parents lui offrent sa première guitare, bleue, en plastique ! À 16 ans : 1er concert, seule sur scène. À 25 ans : 1er album, Ose moi.

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Paroles sensées et recenséesJ’aime Vincennes… Cette vibrante déclaration, des dizaines de Vincennois ont osé la faire au vu et au su de tout le monde en participant au concours d’écriture proposé l’an passé – dont les textes gagnants figurent au cœur de ce numéro de Vincennes info.Le piéton aurait bien participé, lui qui dit aimer Vincennes à longueur d’année – le genre d’amour de longue durée où, la passion cédant le pas au réalisme, on s’autorise à dire à l’autre ses petits travers. Mais pour une fois, il a laissé la Ville se livrer sans état d’âme à d’autres prétendants…Votre piéton n’est donc pas le seul à être inspiré, tout au long de l’année, par les trottoirs de Vincennes. Et s’il y en a bien qui les arpentent, ces temps-ci, ce sont les agents recenseurs en charge de nous compter. Bien loin des savantes additions qui s’ensui-vront, le piéton ouvre ce mois-ci le cœur de sa colonne à l’une d’entre eux, car elle a souhaité partager avec vous – vous qu’elle rencontrera peut-être pendant sa tournée – ses impressions et son expérience de piétonne vespérale.« À l’heure où les parents courent chercher leurs enfants avant la fermeture de la garde-rie, à l’heure où les bureaux se vident de leurs employés et laissent seuls les cadres et responsables à leurs téléphones et dossiers, alors que les métros s’espacent et sont un peu moins bondés, lorsque le soleil est bordé par la nuit déjà bien installée, elle sort… Dans sa rue bien éclairée, elle croise des gens pressés qu’elle va devoir visiter, elle observe les lumières qui s’allument une à une derrière les volets fermés, entre dans les halls protégés par des codes, examine les boîtes aux lettres… La rôdeuse ! »« C’est ainsi que je me vois lorsque je quitte mon appartement douillet, le classeur à la main et les crayons dans le sac pour récupérer les dossiers de recensement que j’ai déposés après avoir frappé à plus de 170 portes. J’ai l’impression de rôder lorsque je hante les ascenseurs et les escaliers, lorsque je tends l’oreille dans le couloir pour guet-ter les pas qui annoncent l’ouverture d’une porte. […] À la mauvaise heure, je sonne et dérange les familles, à l’heure du bain des enfants, je rencontre des gens charmants, des angoissés, des gens fatigués, des femmes qui s’occupent des petits après une grande journée de travail, des bébés qui pleurent et des enfants curieux, un papa qui permit à sa fille de 7 ans de signer elle-même, un autre qui me laissa expliquer aux enfants de quoi il s’agissait. J’ai rencontré quelques femmes ou hommes très importants qui n’ont “vraiment pas le temps” ! L’un fut très grognon mais un seul fut agressif et très désagréable. La plupart des gens sont aimables. Une jeune femme m’a offert un café, un couple m’a invitée pour un thé, et j’ai même accepté une coupe de champagne ! J’ai aussi rencontré des gens seuls qui avaient envie de bavarder, une vieille dame adorable que je me suis engagée à visiter de temps en temps… Voilà pourquoi je rôde ainsi tous les soirs autour de chez moi entre 19 et 21 h, heureuse de participer à la vie citoyenne. »Une fois n’est pas coutume, votre piéton a donc accepté ce mois-ci de mettre son orgueil dans sa poche, et, au lieu d’asséner ses propres analyses, d’écouter quelqu’un d’autre exprimer ses sentiments pour Vincennes – ou plutôt pour les Vincennois. Car après tout, c’est peut-être ça le secret d’une vie de piéton (ou de cycliste, ou d’automo-biliste, etc., etc.) réussie : aimer sa ville, c’est aussi aimer, dans leur diversité, ceux qui l’habitent !

Merci à Marie-Madeleine Albert, auteur du texte cité dans cette chronique.

La soirée de clôture des manifesta-tions du cinquantenaire du nom du lycée Hector-Berlioz ont eu lieu le 19 décembre dernier dans l’établis-sement, sous la présidence du provi-seur du lycée, Pascal Bolloré. Au pro-gramme, une exposition, un concert et la projection du film du cinquante-naire, riche de nombreux témoignages et images d’archives, et conçu et réa-lisé par les lycéens de l’option cinéma. L’occasion de démontrer une nouvelle fois, de génération en génération, toute l’étendue du talent des élèves de Berlioz !

AnniversaireBerlioz clôt son cinquantenaire

�Isabelle Tardy Priolet - Conseillère conjugale et familiale, thérapeute de couple, entretien en individuel ou en couple. Sur rendez-vous au centre de santé Clément-Viénot – 13 bis, rue Clément-Viénot – tél. : 06 34 43 09 54 – www.centredesantevincennes.fr.�Alain Afflelou Acousticien - Protections, appareils auditifs. 8, avenue du Château – tél. : 01 77 01 77 88 – [email protected]�Mood of Paris - Agence de conseil en image et style, accompagnement shopping, organisation de parcours mode. Tél. : 06 27 99 40 84 – www.moodofparis.com�Jean-Baptiste Dudeffand - Coaching en développement personnel (pour les particuliers et les entreprises) : domaine personnel (stress, confiance en soi, relations avec vos proches…) et domaine professionnel (prise de poste, relations avec vos collaborateurs…). Tél. : 06 22 29 31 61 – [email protected]

� Chaque mois, cette rubrique est réservée aux professionnels récemment installés à Vincennes. Contact : service du développement économique et de l’emploi – 01 43 98 66 09 ou 01 43 98 69 31.

Ils ont choisi Vincennes

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ici ou là

InitiativesDes globe-trotters solidaires

• La Sénégazelle est une course soli-daire féminine qui se déroule au Sénégal sur 5 jours et qui associe quotidiennement une course d’envi-ron 10 km et la distribution de maté-riel scolaire dans les écoles. Du 8 au 16 mars, la Vincennoise Catherine Terrier va relever le défi avec ses deux coéquipières, Élise et Michèle. Leur équipe, la « Dik Dik Team », est dès à présent en phase de collecte des fournitures scolaires qui pourront être distribuées sur place.

� Pour les soutenir et suivre leur aventure : dikdik.yala.eu et www.facebook.com/ groups/dikdikteam • Le rallye Aïcha des Gazelles aura lieu pour sa part dans le désert marocain du 14 au 29 mars. Ce rallye 100 % féminin, avec navigation à l’ancienne (boussole et carte uniquement), met sa force et son image au service de l’association « Cœur de Gazelles » qui œuvre notamment pour la construction de puits au Maroc, pour l’accès à l’éducation avec la construction d’écoles, la réinsertion professionnelle des femmes seules et pour la lutte contre le cancer. Le club Soroptimist de Paris-Est Vincennes fait partie, aux côtés de deux entreprises vincennoises (E-Sens’iel et Natur House Vincennes), des sponsors de la voiture pilotée par Juliette Thorpe et Hélène Rondou (équipage 105 – Les Gaz Online), toutes deux originaires de Vincennes.

� Pour les soutenir : www.facebook.com/Gazonline ou www.lepotcommun.fr/pot/tQceQd1A

Dimanche 22 décembre, se courait le prix de Vincennes à l’hippodrome Paris-Vincennes. Cette course de Groupe I très attendue a été remportée par Éric Raffin sur Atlessima ; comme le veut la tradition, la médaille de la Ville a été remise au jockey, tandis qu’une couverture brodée attendait la valeureuse jument.

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InsoliteVotre canard a de la mémoireChaque mois, la rédaction vous propose un petit voyage dans le temps et donne une seconde vie aux articles des décennies passées. Bond en arrière ce mois-ci il y a 80, 75 et 70 ans…

Démonstration de modernité, réservée… aux « cuisinières » dans le Bulletin municipal officiel de février 1934.

Témoignage photo de l’attention portée aux plus jeunes, en février 1939.

Deux gestes de solidarité mis en valeur parmi les instructions relatives aux tickets de rationnement ou à la vérification des masques à gaz, dans le Bulletin municipal officiel de février 1944.

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ici ou là

Depuis l’été, plus de 30 % des espèces ont déjà pris leurs quartiers au zoo. Mais d’où viennent ces animaux ? Quelles précautions a-t-il fallu prendre avant de les réintroduire ? Enquête dans les coulisses de cette impressionnante arche de Noé.

Zoo : les animaux aux premières logesLe 12 avril, le Parc zoologique de Paris ouvrira ses portes après trois ans de travaux de rénovation. Avant que les visiteurs ne découvrent ces nouveaux aménagements, les animaux profitent de ces dernières semaines de calme pour s’acclimater à leur nouvel habitat. Une installation progressive qui exige la plus grande attention des soigneurs.

Depuis la fermeture du zoo en 2008, seules les girafes n’ont pas quitté le parc. Les seize membres de cette famille ont

pu ainsi suivre avec une grande curiosité le déménagement des 1 200 animaux qui peuplaient le site. Ces belles Giraffa camelopardalis antiquorum forment en effet une famille si soudée qu’il n’était pas envisageable de les séparer.

Les gardiennes du rocherOriginaires de République centrafricaine, du Tchad et du Cameroun, ces girafes sont pourtant de vraies locales. Quinze d’entre elles sont nées ici. Alors, pour ne pas trop les stresser durant les travaux, une zone « calme » de 300 mètres a même été instaurée autour de l’enclos, lui-même protégé par une barrière métallique. En décembre 2012, elles ont été ainsi les premières à s’installer dans la biozone Sahel-Sahara, leur nouvel espace de vie, deux fois plus grand que l’ancien. Mais là encore, les soigneurs ont été aux petits soins après leur transfert qui a tout de même duré trois jours. Une petite gourmandise maison, la bar-botine, leur a vite fait oublier leurs émotions. En plus de leur donner le poil brillant, cette bouillie de farine d’orge et de flocons d’avoine est pour les girafes un véritable régal.

Pour preuve, de nombreux zoos s’arrachent la recette du zoo de Vincennes. Cette petite douceur les change de leur régime habituel composé de 1 kg de carottes, de 7 oignons, 3 bananes et 750 g de pommes, par jour et par girafe, le tout agrémenté d’un ballot de luzerne à volonté…

En zone de transitAu fil des mois, les girafes ont donc assisté à l’arrivée des nouveaux pensionnaires. Mais pas question pour les nou-veaux venus d’être placés directement dans leur enclos ! Il leur a fallu montrer patte blanche. Car bien que leur dos-sier médical soit impeccable, ces animaux ont été placés en quarantaine dans des enclos provisoires. Cette zone d’acclimatation a notamment permis aux soigneurs d’ob-server leurs comportements et d’organiser plus facilement leur visite médicale. Prise de sang, vérification du rythme cardiaque, de la dentition, échographie, radiographie, les animaux doivent être en effet en parfaite santé. Les varis roux, des lémurs arrivés en octobre, ont dû passer ainsi trois mois en observation avant d’être installés dans la grande serre tropicale. Deux mois plus tard, des cousins, un couple de lémurs varis à ceinture blanche, Jao et Holly, les ont rejoints. Ces deux-là se sont d’ailleurs rencontrés il y a un an dans cette zone sous haute surveillance. Jao le mâle, de parents « vincennois », a été élevé en Bretagne, quant à sa compagne, elle est originaire de Cologne en Allemagne. Devenus inséparables, ils ne devraient pas tarder à donner naissance à une nouvelle lignée.

Une promenade dépaysante au service de la sauvegarde des espèces menacées Les vieux enclos d’autrefois ont laissé place à une véritable scénographie paysagère et végétale. Les visiteurs pourront désormais s’offrir une magnifique promenade au cours de laquelle ils traverseront cinq biozones. Chacune d’entre elles correspond au milieu naturel des animaux présentés : Sahel-Soudan, Patagonie, Guyane-Amazonie, Europe, Madagascar. Abritant des espèces variées, les biozones sont constituées de milieux menacés par les activités humaines, faisant l’objet de recherches scientifiques et de politiques de protection. Car le rôle du zoo n’est pas simplement de présenter des animaux, mais de contribuer à la sauvegarde de leurs espèces.

Parrainez les animauxLancée mi-novembre, l’opération « Parrainez un animal » proposée par le Muséum d’histoire naturelle connaît un vif succès. Si vous souhaitez vous aussi contribuer au bien-être des animaux, à la conservation et à la protection d’espèces menacées dans leur milieu naturel en parrainant un animal du Parc zoologique de Paris, rendez-vous sur parczoologiquedeparis.fr. Des parrainages qui vous permettent de bénéficier, en tant que bienfaiteur, de contreparties.

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En chiffrEs

27mois de travaux auront été nécessaires pour que le Parc zoologique de Paris puisse rouvrir ses portes le 12 avril.

1 800 000visiteurs par an pourront découvrir le site sur un parcours de 4 km.

1 000

animaux sont présents dans le Parc, issus de 170 espèces différentes dont 74 espèces d’oiseaux, 42 de mammifères, 21 de reptiles, 17 d’amphibiens et 15 espèces de poissons.

5biozones les accueillent, sur une surface totale de 83 490 m².

À noter dès maintenant ! Les plus petits seront cette année au diapason de l’ouverture du zoo. Pour sa 9e édition, le Semaine de la petite enfance invitera les petits Vincennois de moins de 6 ans sur le thème des animaux avec des ateliers, spectacles, parcours ludiques, expositions, du 29 mars au 5 avril.

Sous haute surveillanceD’autres animaux ont débarqué en famille. Ainsi en octobre, des grenouilles de Madagascar et des tritons d’Europe du Sud – les pleurodèles de Waltl – ont fait l’objet de toutes les atten-tions. Les vétérinaires et soigneurs ont dû en effet les comp-ter un par un, identifier leur sexe et vérifier leur bonne santé avant de les laisser profiter de leurs vivariums et terrariums. Quelques semaines auparavant, des tortues rayonnées et des boas constrictors avaient eu droit au même traitement.Durant leur quarantaine, certains animaux peuvent tout de même bénéficier d’une permission. Ainsi, les zèbres de Grévy ont profité d’une belle journée de décembre pour se dégourdir les pattes à l’extérieur. Malgré quelques frayeurs avec le bruit des travaux, les zèbres ont semble-t-il appré-cié cette sortie revigorante. Pas d’autorisation de sortie par contre pour la meute de cinq loups ibériques arrivés des Pays-Bas en janvier dernier. Un déménagement trop rapide pourrait mettre à mal la hiérarchie de la meute et dégra-der la bonne entente du groupe. Ils devront attendre encore quelques semaines. Bientôt tous les animaux auront quitté la zone de transit pour rejoindre leur nouvel espace de vie. Nul doute que les Vincennois seront les premiers à leur souhaiter la bienvenue et que de nouvelles naissances per-mettront de célébrer la nouvelle vie de ce zoo historique, inauguré il y a tout juste 80 ans. AN

La billetterie est ouverte Très attendue depuis la fermeture du site en 2008, l’ouverture du nouveau Parc zoologique devrait connaître un grand succès. Une « nouvelle espèce de zoo » conçue avant tout autour du bien-être et de la protection des espèces présentées, très différente du zoo de 1934.Le Parc sera ouvert de mi-mars à mi-octobre de 10 h à 18 h en semaine et de 9 h 30 à 19 h 30 les week-ends, jours fériés et vacances scolaires ; de mi-octobre à mi-mars de 10 h à 17 h.

� La billetterie en ligne est déjà ouverte (renseignements sur parczoologiquedeparis.fr) : plein tarif 22 €, étudiant 16,50 €, enfants de 3 à 11 ans 14 €.

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Les girafes ont quitté leur enclos provisoire pour rejoindre leur biozone définitive.

Première sortie pour les zèbres de Grévy.

Les varis roux.


Initié en 2013, le concours d’écriture sur le thème « J’aime Vincennes »a rencontré un franc succès. Pas moins de 110 participants ont laissé libre cours à leur imagination pour déclarer leur flamme à la ville. Huit textes ont particulièrement retenu l’attention du jury et leurs auteurs ont été honoré(e)s à l’occasion des vœux aux Vincennois du maire et de la municipalité, le 12 janvier.

Ils aiment Vincennes… et ils l’écrivent

En prose ou en vers, sérieuses ou légères, fictives ou vécues…, les décla-

rations des Vincennois à leur commune avaient toutes un point commun : elles parlaient d’amour. « Je tiens à remer-cier les 110 participants à ce concours car leurs mots disent combien ils aiment Vincennes. Leur passion pour leur ville est une belle expression de l’engagement citoyen », notait le maire de Vincennes au moment de la remise des prix, aux côtés de la Vincennoise Véronique Olmi, écrivain et marraine du concours. « Vous avez osé vous dévoiler et vous exprimer et faire de la ville un personnage, lui don-ner vie, au sein d’un univers qui vous est personnel. Vos textes recèlent des senti-ments puissants, chacun à leur manière et en fonction de votre âge. Je vous féli-cite sincèrement pour la qualité de ces écrits », a-t-elle commenté.Les rues de Vincennes, son château, son bois, ses commerces, ses espaces verts, ses immeubles, des souvenirs

d’enfance, un premier amour ou les images jaunies d’une époque loin-taine…, les sources d’inspiration ont foisonné pour les participants, répar-tis en trois tranches d’âge (7-11 ans ; 12-18 ans ; plus de 18 ans). « J’ai décou-vert ce concours sur une affiche dans la ville et j’ai immédiatement flashé sur le nom de Véronique Olmi car il s’agit de mon auteur préférée ! J’ai alors pris ma plume et raconté mon histoire, ma ren-contre avec mon voisin de palier et ma découverte de la ville à travers ses sou-venirs d’une autre époque », explique Alexandra Prodomidès, lauréate de la catégorie adultes. De son côté, Zoé Chantreuil a décidé de participer car son père et sa sœur s’étaient inscrits. Et cette jeune élève de CM2 à l’école du Sud avoue n’avoir eu aucun mal à trou-ver l’inspiration. « Je ne suis pas née ici mais Vincennes est sans conteste la ville où je me sens le mieux ! » Camille Mazoyer admet quant à elle avoir res-senti une grande émotion au moment de recevoir une mention spéciale du jury devant une salle comble. Et à observer ses parents, on décelait également dans leurs yeux une fierté bien légitime. Une fierté partagée par l’ensemble des lauréats, heureux que leur amour de Vincennes ait été reconnu au travers de leurs écrits. MDUne plus large sélection de textes retenus par le jury est aussi à votre disposition sous forme de recueil, disponible dans les bibliothèques ainsi que sur vincennes.fr !

Le palmarès7-11 ans : Zoé Chantreuil, 1er prix – Hugo Depeux, 2e prix – Camille Mazoyer, mention spéciale du jury12-18 ans : Antony Perzo, 1er prix – Maëlann Benmouffek, 2e prixPlus de 18 ans : Alexandra Prodomidès, 1er prix – Florence Francou, 2e prix – Emmanuelle Pineau-Chardon, mention spéciale du juryLes membres du juryCinq élus : Alida Valverde, Josy Top, Gilles Pannetier (Conseil municipal), Auriane Aubert (Conseil municipal des enfants) et Mamédi Diarra (Conseil des jeunes de Vincennes) ; et dix personnalités locales du monde culturel : Brigitte Maury (Médiathèque), Véronique Delion (bibliothèque Est-Diderot), Nathalie Bertin (Millepages Jeunesse), Jean-Louis Hocq (Solar Éditions), Henri Gruvman, Jean-Pierre Douillet, Dominique Paulot, Évelyne Charnay, Jack Souvant et Mireille Pédaugé.

Aux côtés des élus municipaux : Camille Mazoyer ; Emmanuelle Pineau-Chardon, Zoé Chantreuil, Hugo Depeux ; Florence Francou ; Antony Perzo, Maëlann Benmouffek ; et Alexandra Prodomidès avec Véronique Olmi.


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C’était un samedi d’hiver. Je rentrais des courses avec mon frère et ma

mère. Nous étions allés rue de Fontenay acheter des livres chez Millepages. J’étais content car je venais de trouver un livre de ma collection préférée, et j’avais hâte de le lire.Nous remontâmes la rue de Montreuil et arrivâmes au carrefour de l’avenue de Paris, nous la traversâmes. Je vis la statue de Saint Louis, il était imposant avec sa couronne, et sur son habit, il y figurait des fleurs de lys.Je m’approchai, un mot était gravé. C’était « Saint Louis » : sur le I de Louis, il n’y avait jamais eu de point – mais là, il y en avait un. J’appuyai dessus. Une trappe s’ouvrit devant moi et je vis un couloir. Je le pris et mar-chai jusqu’à une porte, j’entrai. Et là je découvris un buffet avec un roi et des serviteurs. C’était un énorme buffet avec des musiciens et des troubadours. J’étais au Moyen Âge !C’était incroyable. Le roi m’aperçut aussitôt et me dit de venir.

« Qui es-tu ? Je ne t’ai jamais vu dans mon royaume.- C’est que je viens d’une autre époque,

j’habite à Vincennes.- Comment est-ce possible ?- Euh… Bon ben, je crois que je vais repartir, répondis-je timidement.- Aimes-tu Vincennes ?- Ben euh… oui- Alors reste ! répondit le roi avec

enthousiasme.À ce moment-là, un paysan entra dans la pièce en hurlant :« Le comte de Provins nous attaque ! »Des ennemis arrivèrent par dizaines dans la salle. Au début, c’était juste des paysans recrutés par le comte, mais ensuite, c’était carrément les esca-drilles d’élite ! Tout le monde fut tué sauf quelques-uns qui connaissaient bien le château et qui réussirent à s’en-fuir… Moi, j’étais totalement perdu. Les soldats formèrent un cercle autour de moi, une lance était pointée sur moi quand maman me dit : « Réveille-toi, il y a école ! »

Catégorie 7-11 ans

2e prix : Hugo Depeux, né en 2003

Lauréate : Zoé Chantreuil, née en 2003

Vincennes fait son entrée en scène

À VincennesTout s’enchaîneIl y a plein de choses à découvrirEt à savourer sans rien direComme il est beauCe magnifique châteauQu’elle est jolie

Cette merveilleuse mairieEt quand on se promène dans le boisOn s’y croit comme un roiEn hiverY a de quoi être fièreLa patinoireÇa rend l’hiver moins noir

En étéY a de quoi être gaiL’oasis C’est le déliceÀ Vincennes on s’amuseOn fait mumuseÊtre à VincennesC’est de la veine


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Mention spéciale du jury : Camille Mazoyer, née en 2003

Une promenade dans Vincennes Rue Diderot, des musiciens jouent du pipeau, c’est rigoloAvenue du Château, nous entendons du banjo et du piano à gogoRue Crébillon, les passants swinguent au son de l’accordéonEt rue des Vignerons, les anciens et les gendarmes jouent du basson

Rue du Midi, un ouistiti se promène à MonoprixÀ la Jarry, un grizzli joue aux échecs avec une sourisRue Pathé, une araignée grise file une toile au cinéRue de la Liberté, un sanglier roux apprend le français

Rue des Sabotiers, un vieux bibacier, il faut s’en méfierRue des Meuniers, un sorbier pousse avec fiertéRue Gounod, une brise fait danser le flamenco à un bouleauPlace Bérault, un ginkgo et un sureau réalisent un duo

Rue de l’Église, une marquise me claque des bises à sa guiseRue du Donjon, un baron tout rond à Vélib’ ôte veste et chemiseRue des Pommiers, une mule chargée galope avec son vaillant chevalierRue Leroyer, un roi grassouillet mange un goûteux cassoulet

Chaque rue de notre belle ville dévoile ses rimesAssise sur un banc, mon esprit vagabonde à travers leur charme

Et voilà ! On y est. Génial ! On quitte le bon air frais de la campagne pour aller respirer les gaz des

pots d’échappement. En plus (comme si ça ne suffisait pas !) maintenant, on a un minuscule appartement. Franchement qui a eu l’idée d’aller s’installer à Vincennes (mes parents, évidemment) ?! Et puis, cerise sur le gâteau, mes parents ont décidé de m’inscrire au conservatoire. Après avoir mangé (presque) rien, car en plus ce minuscule appartement (oui je sais, je me répète) coûte plus cher que notre ancienne maison, et avoir digéré difficilement toutes ces informations indigérables*, je suis allée me coucher en pensant que demain sera un jour meilleur pire ! Au fait, juste avant que je ne m’endorme, je viens de penser que je ne me suis pas présentée, donc : « Salut ! Je m’appelle Justine et j’ai 11 ans, je suis blonde aux yeux bleu-vert. J’aime bien jouer dehors, courir, danserrrrr…rooooo oonnnn-pschiiiii, rrroooon-pschiiiiiiiiiii, zzzzzzzzzzzzzzzz…Le lendemain matin, sur le chemin de l’école, j’étais de mauvaise humeur (je m’étais pourtant levée du pied droit !). J’étais tellement énervée que j’ai failli me prendre un lampadaire en pleine tête ! Au petit déjeuner, il y avait eu une discussion avec mes parents sur l’instrument que je ferai au conservatoire :Euh non ! Attendez quelque chose cloche… Ah oui ! C’est bon, je reprends.Au petit déjeuner, il y avait eu une discussion entre mes parents sur l’instrument que je ferai au conservatoire :

Ma mère : - Il va falloir que tu choisisses un instrument pour le conservatoire.Mon père : - Oui, nous t’avons déjà inscrite. Ton premier cours est demain, ce soir au plus tard nous devons avoir choisi ton instrument.Moi : - Mais je ne veux jouer d’aucun instrument !Mon père : - Eh bien, nous choisirons pour toi.Ma mère : - Oui, que dirais-tu du violon ? C’est un très bel instrument !Mon père : - Très bonne idée ! J’appellerai le conservatoire ce soir pour leur donner notre choix.Moi : - Mais…Ma mère : - Il n’y a pas de « mais » ! Et puis, dépêche-toi de finir de manger, tu vas être en retard ! »Et voilà pourquoi j’étais de mauvaise humeur ! Mis à part ça, la journée s’est bien passée : le collège est tout neuf et il est plus près de l’appartement que mon ancienne école était proche de mon ancienne maison (ce qui compte c’est que je me comprenne !). En plus, tous les élèves de 6e ont eu un ordinateur portable en début d’année. J’aurai le mien dans deux jours ! Sur le chemin du retour, le soir, j’étais gaie pour la première fois depuis le début de la semaine !Mon premier cours de violon… C’était génial ! Enfin génial, j’ai adoré l’instrument mais à vrai dire je ne suis pas très douée.C’est le week-end, j’ai été faire un tour en barque avec mes parents au lac des Minimes. Ensuite, on a nourri les canards et on a joué sur une pelouse grande comme

un terrain de foot, sans les cages, ni les lignes au sol, ni les gradins… Bon Ok je m’arrête. C’était super ! Et j’ai encore plein de choses à vous dire :1) Finalement j’adore le violon !2) J’ai mon nouvel ordinateur portable : il est génial !3) Je me suis fait des copines super-chouettes à l’école.Mercredi, on a visité le château de Vincennes avec son superbe donjon. Vous saviez que des rois comme Charles V y avaient habité ? C’est cool, non ? Et puis à l’école, j’ai entendu dire qu’une fois par an on projetait des films sur la pelouse du château ! Je ne sais pas quel film passera l’année prochaine mais cette année ils ont projeté E.T. !Vendredi j’ai eu mon cours de violon, j’ai un nouveau morceau à travailler.On est samedi, je suis allée à l’anniversaire de ma meilleure amie, Lucie. Je ne vous l’avais pas dit car je voulais vous faire la surprise : elle a invité un magicien ! C’était super-beau ! J’ai eu un peu peur quand il jouait avec le feu, mais sinon c’était époustouflant ! Dimanche, avec mes parents, on est allés se promener dans les rues pour essayer de mieux connaître la ville. Mais, au fait, vous ne les connaissez pas (mes parents bien sûr, pas les rues !) ! Ma mère s’appelle Sandra, elle a les cheveux bruns, longs et bouclés. Elle a 33 ans et elle est institutrice. Mon père s’appelle Laurent, il est brun, les cheveux courts. Il a 34 ans et il est délégué médical. Et maintenant, vous vous posez sûrement la question que tout le monde me pose, à savoir : « Mais alors, pourquoi es-tu blonde ? » Eh bien, si vous avez une réponse, donnez-la-moi car je ne la connais pas !Dans le courant de la semaine, mes parents se sont rendus à la médiathèque de Vincennes, à Cœur de ville, là où j’ai mes cours de violon. Car à Cœur de ville, il n’y a pas seulement une bibliothèque gigantesque (comparée à celle de notre ancien quartier) ; il y a aussi le conservatoire, où en plus de mes cours de violon j’ai mes cours de solfège et de chorale.Le samedi, on est allés pique-niquer au Parc floral avec de nouveaux amis de mes parents. En tout on était trois familles ! Ils avaient tous trois enfants, avec moi, on était sept ! On s’est éclatés, ils m’ont emmenée dans les jeux : la tyrolienne, la grande araignée, les toboggans et plein d’autres encore !Eh bien, maintenant que je la vois dans toute sa splendeur, avec toutes ses activités, ses établissements neufs et modernes, mais aussi avec des endroits historiques et des animations tout au long de l’année.Eh bien, vous savez quoi… ? I ♥ Vincennes !

* Indigérable : un mot que j’ai inventé pour dire que c’était vraiment très très dur à digérer.

Catégorie 12-18 ansLauréat : Antony Perzo, né en 2001Un déménagement presque parfait


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2e prix : Maëlann Benmouffek, née en 1997Perdue dans la ville de mes rêvesJe regarde autour de moi. Je crois que

je suis perdue. Pourtant, je suis bien à Vincennes, j’en suis sûre et certaine ! J’ai vu le panneau en arrivant, avec la précision « ville fleurie » en dessous… Mais cela fait si longtemps que je n’y suis pas allée que je ne reconnais plus la ville. C’est différent d’il y a quelques années. C’est comme nouveau : tout autour de moi, tout est neuf, beau et chic ! Ce n’était pas comme ça avant, l’endroit a tout de même bien changé depuis le temps. Auparavant, c’était plus calme, moins touristique, les façades avaient oublié d’être ravalées, et la ville était bien moins lumineuse qu’au-jourd’hui. Oui, Vincennes est vraiment mise en valeur !Je lance à nouveau un regard autour de moi, puis je me remets en route. Tiens ! Voici que mes talons claquent sur du pavé ! Un pavé tout neuf, clair, un joli pavé ocre. Auparavant, la petite place qui borde la rue de Fontenay entre les boutiques de musique et le café Un Marigny* n’était qu’une vaste allée goudronnée solitaire. Maintenant, elle paraît plus grande et resplendit vrai-ment ! Il n’y manque plus qu’une fon-taine pour éclaircir le tout !Enfin, je poursuis ma route et longe les allées commerçantes de la rue du Midi. Il y a de part et d’autre des magasins éclairés attractifs, des boutiques de vêtements aux vitrines colorées, ainsi que quelques chocolateries bien répu-tées qui proposent leurs larges palettes de glaces aux différents parfums, tous plus savoureux les uns que les autres ! J’aperçois avenue du Château le vieux fast-food américain qui s’est, tout comme les anciens immeubles de la ville, refait une beauté. Il paraît tout récent ainsi,

avec son café en terrasse.Puis je débouche sur la place de la Mairie, et là, comme un flot d’images défile devant moi. Je me rappelle ce fameux café près du magasin de jouets, qui nous proposait ses drôles de glaces italiennes, à la vanille ou à la fraise. Le souvenir délicieux de toutes ces glaces mangées avec ma sœur ou mes parents, tous assis sur un banc de la place, refait surface. Je me souviens que même en hiver nous passions y dévorer un cor-net. C’était une sorte de tradition, quand mes parents étaient encore ensemble : nous étions là tous les trois, maman, papa et moi, accoudés à la patinoire ins-tallée temporairement, tandis que ma sœur glissait habilement sur la glace, rayonnante. Ce souvenir me rend terri-blement nostalgique. J’accélère le pas en traversant la place, préférant fuir rapidement devant un endroit qui me rappelle trop de souvenirs. Les glaces à la patinoire, mais aussi les fêtes de la musique passées là, le bal des pompiers où une passante dans la ville, enchantée,

m’avait appris à swinguer sur le rythme entraînant des musiciens du conserva-toire de Cœur de ville, tout cela, tous ces événements, toute cette joie ! Tout comme le mariage de mes parents… Aussitôt ressurgit de ma mémoire leur divorce. Les disputes, les papiers, l’avo-cat et le psy, ma grande sœur me jetant un regard compatissant et moi qui ne comprenais pas…Puis les cartons ! Désormais, on ne devrait vivre plus qu’avec maman, chez mon oncle Franck qui habite loin, quelque part à Paris. Loin de la place de la Mairie et de ses souvenirs passés, loin de la ville, dans un duplex paumé, loin, enfin, de notre cher papa adoré… Ainsi, je revois le départ que nous avons connu, moi et ma sœur, il y a quelques années. Adieu papa ! Adieu notre ancien appar-tement ! Et enfin, adieu Vincennes !… En espérant te revoir un jour !… Ce jour, c’est aujourd’hui. Vincennes, cette ville qui abrite secrètement tant de bons souvenirs toujours enfouis dans mon cœur d’enfant. La ville que j’ai toujours rêvé de retrouver et dont j’effleure aujourd’hui de nouveau le pavé…Je ne supporte plus de rester là, et alors que je grimpe quatre à quatre les marches de la Mairie pour prendre de la


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hauteur, l’émotion me saisit à la gorge et des larmes menacent de glisser sous mes yeux.Je dois vraiment quitter cette place, aussitôt je fais volte-face à la Mairie et poursuis mon chemin cours Marigny, à grands pas, puis je tourne dans l’ave-nue de Paris, la traversant à vive allure, en regardant mes pieds parcourir le bitume, fâchée avec moi-même d’être si émotive, quand tout à coup je me fige. Juste devant moi se dresse, imposant et revêtant toute la majesté que l’His-toire a pu lui accorder, le château de Vincennes, qui surplombe de son don-jon altier et de ses remparts puissants une petite butte fleurie. À ce moment, je ne peux m’empêcher d’être émue. Je contemple sa grandeur avant de m’ac-couder au petit ponton qui sépare la ville du château, et me penche au-dessus de ses douves vides. Vides… Comme tout doucement mon cœur se vide… Je me repose, un instant, une seconde, deux minutes, peut-être une heure, autant de temps qu’il en faut pour que je puisse ensuite relever la tête et inspirer une grande bouffée d’air avant de reprendre ma route. Je vire par une envie sou-daine vers les quartiers sud, près du RER, pour déboucher finalement sur le lycée Hector-Berlioz. Grand. Moderne. Il a l’air toujours aussi neuf qu’avant, à l’époque où ma sœur y étudiait. En me concentrant sur l’image du lycée, les yeux fermés, je me rappelle les fois où elle sortait du bâtiment, poursuivie par deux ou trois garçons de son âge, et nous rejoignait dans la voiture en riant. Parfois, elle m’emmenait me promener dans la ville, je lui servais de prétexte pour aller faire du lèche-vitrine avec ses amies ! Mais je ne lui en veux pas, elle s’occupait bien de moi. D’ailleurs, com-bien de fois dans quels recoins avons-nous fait le tour de la ville ? Il y a tant d’endroits où elle m’emmenait que je n’ai pas revus.

À ces pensées, je trace mon chemin d’un pas rapide, d’un pas léger… mais d’un pas décidé ! J’arpente toutes les rues, tous les quartiers. Je veux tout revoir, tout redécouvrir ! Visitant le parc floral et ses senteurs agréables, approchant le bois où des promeneurs et des cyclistes en famille traversent les chemins, gaie-ment. Il y a des travaux non loin. On y rase une grande et vieille maison, sans doute pour la remplacer par un immeuble… Une grande et vieille mai-son… semblable à la mienne. Soudain, je me souviens ! Notre maison ! Je me rappelle son emplacement ! Alors qu’une famille rentre d’un pique-nique, je la suis et me retrouve à me promener çà et là dans les quartiers de l’est. Oui, c’est bien par là. Je crois reconnaître le coin, mais je n’en suis pas sûre… Oh, pourvu que les nouveaux propriétaires de notre mai-son n’aient pas envisagé de la détruire ! J’arrive dans la rue du Commandant-Mowat, et jette un regard en coin à la petite épicerie Pas trop tard*. « Pas trop tard » !… Ce nom n’est-il pas un signe ? J’ai l’impression d’entendre un message, c’est un signe, j’en suis sûre ! Il n’est pas trop tard, je cours dans la rue Diderot, apercevant les écoles jumelles de l’Est,

puis enfin, essoufflée, haletante et le cœur battant de pouvoir revoir la maison que je recherche, je m’arrête net.Je suis plantée devant la pharmacie, et je balaye du regard le bout de rue que j’ai parcouru. Puis, mes yeux sont por-tés vers la vitrine, et je reconnais le res-taurant à travers, et tous les éléments émergent de nouveau peu à peu, en reflet, flous. Comme si c’était en rêve que je revoyais la grille et le buisson haut qui l’escalade, le muret et la mosaïque où « Les Coquettes » est inscrit en tête. Comme si ma maison n’était plus qu’un rêve ! Est-ce un rêve ?! Je me retourne, et soupire de soulagement. Elle est tou-jours là, notre maison ! C’est dans cette rue que je me sens le mieux, c’est en voyant cette maison que Vincennes me plaît le mieux. Vincennes, cette ville qu’après le divorce de mes parents je n’ai ensuite toujours connue que dans ma tête, où je n’ai plus vécu que dans mes rêves : Vincennes, la ville de mes rêves ! J’y étais perdue, il y a quelques instants… Perdue dans la ville de mes rêves… Mais cela me suffit désormais. Ma soif de revoir la ville est étanchée, le feu dévorant de ma curiosité qui m’a poussée à me perdre s’est apaisé. Je me sens bien, et face à mon ancienne maison, je m’y sens mieux. Je reconnais maintenant où je suis et ma promenade est terminée, car mes pas m’ont guidée jusqu’à mon véritable chez-moi.Vincennes, j’aimerais bien rester encore un peu, perdue dans tes quar-tiers, mais déjà les rayons du soleil qui passent par ma fenêtre me tirent du sommeil. J’essaye de m’accrocher mais c’est trop tard, j’ai ouvert les yeux. Vincennes, au revoir, tu m’es un rêve merveilleux… * Les noms de ces enseignes ont été volontairement modifiés par l’auteur.


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Catégorie + de 18 ansLauréate : Alexandra Prodomidès

Rue des Laitières… Année 1931. Un immeuble ouvrier vient de se construire au 25. Alexandre Tsalpatouros

en est l’architecte. Les familles sont ravies d’habiter dans des appartements flambant neufs. Chacun se connaît. On se hèle d’une fenêtre à l’autre pour se parler « à la bonne franquette ». Un accordéoniste vient jouer des airs à la mode dans les petites cours, au bon cœur des locataires qui, de leurs fenêtres, jettent quelques sous enveloppés dans du papier journal.L’été, les petites cours intérieures résonnent des émissions de la TSF grésillante, des jeux d’enfants, des disputes des jeunes couples. Les odeurs de pot-au-feu qui mijotent se mêlent à celles de la soupe et des pommes caramélisées au four.L’hiver, la neige se noircit dans la cour à cause du charbon que l’on traîne pour chauffer le poêle toujours affamé. Les escaliers bien lustrés se recouvrent alors d’une poussière entêtante.Il n’existe pas de boîtes aux lettres. Le courrier est glissé sous la porte d’entrée de chaque appartement. Des centaines de marches sont montées et descendues chaque jour par la gardienne pour porter les mandats, les mots doux, les mauvaises nouvelles aux locataires des cinq escaliers de cet immeuble vincennois.Il y a bien longtemps que les appartements ne sentent plus la peinture fraîche lorsque Gaston emménage avec sa mère, ses frères et sœurs. Il a 13 ans. Nous sommes en 1941. Il va enfin vivre dans un vrai appartement au quatrième étage, un grand studio pour quatre, c’est Byzance ! De Vincennes, il ne connaît que le terrain vague où plusieurs familles s’entassent dans de petites cahutes de fortune sans confort aucun, une vraie cour des Miracles.Rue des Laitières… Année 2005. Je loue au 25 un petit studio haut perché, entièrement refait, sentant encore la peinture fraîche. Je remarque immédiatement le nom grec de l’architecte inscrit sur la façade de l’immeuble, un signe, me dis-je, ainsi que les motifs Art déco des beaux escaliers en bois. Je tombe d’emblée sous le charme de cet immeuble.Je m’installe seule, avec mes nombreux cartons et mes souvenirs que j’essaie de faire rentrer entre mes quatre murs. Chaque objet trouve peu à peu sa place dans ce 26 m². Sauf moi. La solitude pèse aussi lourd que mes cartons. Les fenêtres ouvertes laissent s’échapper des musiques à la mode, impersonnelles, un peu fortes, et les gémissements des couples qui s’aiment. Les petites cours qui se succèdent sont vides. Je ne vois pas d’enfants y jouer. Mais je les entends l’après-midi à la crèche d’à côté.Je ne connais pas les trois voisins qui partagent mon étage. Je sais seulement que ce sont trois hommes. Seuls. Comme moi. J’entends souvent une voix grave, celle d’un vieux monsieur probablement. Un médecin vient le voir ou peut-être un infirmier, la gardienne également, qui monte le courrier tous les jours et le glisse sous sa porte.Je me crée peu à peu de nouveaux repères, le café du matin pris sur le zinc du bar de la Prévoyance, la station de métro Saint-Mandé, la petite annexe de la bibliothèque, rue des Laitières, la piscine de l’avenue de Paris qui me rafraîchit

l’été, le cinéma près du château, le marché, les brocantes, le bois. Je découvre le quartier. J’en arpente les rues sans trop m’éloigner de la rue des Laitières. Georges-Huchon, Massue, Dohis, Georges-Clemenceau, Eugène-Blot, Renon, rue de la Prévoyance, rue de Lagny, rue de Fontenay… Je cherche au détour des rues les immeubles Art déco. Vincennes en recèle plus d’un.Un jour, j’aperçois dans la rue l’un de mes voisins. Celui à la voix basse et grave. Il porte plusieurs sacs. Je suis derrière lui. Il s’arrête, s’assoit sur un petit rebord de la rue des Laitières, pose ses courses à ses pieds. Je le salue et lui propose de l’aider à porter ses paquets. Il accepte du bout des lèvres, il bougonne presque. Mais je devine rapidement sa malice derrière ses yeux bleu perçant qui me fixent.Nous montons ensemble les marches jusqu’à notre quatrième étage. Nous prenons notre temps. Il reprend son souffle. Pour me remercier, il m’ouvre la porte de son appartement… et celle de son frigidaire pour en sortir une bouteille de pétillant. Son appartement est aussi grand que le mien mais sa disposition n’est pas la même. La distribution des pièces n’a pas changé depuis les années 1930 : une cuisine en longueur, un salon salle à manger, une chambre à coucher. Ma cuisine est plus petite car une salle de bains a été créée, des toilettes installées. Lui utilise celles du palier. Depuis 64 ans.J’aime le décor simple de son intérieur. Une photo trône sur une étagère, celle de Minouche, sa chatte adorée. Je remarque une pile de 33 tours près d’une chaîne hi-fi qui ne doit pas souvent jouer de la musique. Je choisis un disque. Édith Piaf. Il me laisse faire, amusé. Il me raconte qu’il est allé la voir chanter à l’Olympia.Au son de ces chansons anciennes, Gaston me parle de sa vie et m’évoque le Vincennes de l’ancien temps : l’usine kodak-Pathé, rue des Vignerons, où il a travaillé de nombreuses années, la fleuriste où il achetait un petit bouquet de violettes à ses fiancées avant de les inviter au cinéma, les bains-douches de la rue de Montreuil si désaltérants l’été quand la chaleur des appartements sans salle de bains devenait trop étouffante, les bals du 14 juillet, le rôti du dimanche que sa mère déposait chez le boulanger pour le faire cuire dans son grand four, les courses de chevaux qui lui donnaient l’espoir de gagner un peu plus d’argent et qui le faisaient rentrer chez lui, plus léger, sans un sou en poche.Il me parle des locataires de l’immeuble, de la famille de boulangers qui vivait dans mon appartement, des deux frères qui prirent leur succession, de Bourvil qui habita un temps l’immeuble, de la vieille dame centenaire du cinquième étage, ancienne télégraphe, la centenaire du quartier Ouest !Peu à peu, le Vincennes de Gaston se superpose au mien et teinte en sépia cette ville que je suis en train de découvrir. Il me montre des photos de Vincennes, de lui, et je découvre un beau jeune homme, aussi blond que Jean Marais, qui sourit à l’objectif.Le vieil homme n’a pas quitté son petit appartement haut perché. Depuis les années 1940. L’appartement familial

s’est transformé en garçonnière. Il y vit seul, avec les souvenirs de sa mère, des frangins, des frangines, disparus les uns après les autres, de Minouche.Il aime me raconter son Vincennes, son histoire, et s’étonne qu’une jeune femme de 31 ans puisse aimer à ce point l’écouter. « Un mur de 50 ans nous sépare, pourtant », me répète-t-il. Je lui réponds que c’est un tout petit mur. Nous devenons amis. Le matin, avant de partir travailler, je glisse sous sa porte de courtes missives pour lui souhaiter une bonne journée. Le soir, je découvre sa réponse. Nous échangeons beaucoup de petits mots, ce sont nos SMS, ceux d’un autre temps. Il m’invite souvent à dîner chez lui, je fais les courses, j’apporte une bonne bouteille et nous refaisons le monde, nous gommons notre différence d’âge, nous mêlons le passé, le présent, nous rions beaucoup.Un samedi matin, nous nous rendons à l’inauguration de la nouvelle place de la Prévoyance, bras dessus, bras dessous, heureux d’être ensemble et de partager ce moment. Un autre jour, je l’accompagne au cimetière, nous prenons le bus pour déposer des fleurs sur la tombe de La mère. Ses yeux bleu vif s’embuent et, d’un revers de manche maladroit, il essuie une larme.Avenue Joffre… Année 2010. J’ai quitté Vincennes pour un autre studio à Saint-Mandé. Les années ont passé. Gaston a retrouvé sa solitude, moi un nouveau fiancé. Nous continuons à nous voir mais de façon épisodique. Un soir de décembre, le petit papillon monté en collier qu’il m’avait offert se dénoue et tombe par terre. J’ai un mauvais pressentiment. J’essaie de le contacter, en vain. Je suis inquiète. Je pars cependant à Athènes le lendemain, mon égoïsme en bandoulière. Le petit papillon restera dans mon coffre à bijoux.À mon retour, une amie chère m’apprend la terrible nouvelle. Gaston est décédé dans son sommeil, au 25, rue des Laitières, dans son petit lit en fer forgé. Il avait 86 ans. Moi 36. Le mur qui nous séparait s’effondre soudain. Je n’ai jamais pu reporter le petit papillon. Trop d’émotions…Les habitants du quartier Ouest l’ont pleuré. Je pense très souvent à lui et à son Vincennes en Technicolor qu’il aimait tant. Le Titi vincennois s’en est allé… Il me manque.L’un de ses voisins, un homme qui l’appréciait beaucoup, a acheté son petit appartement pour agrandir le sien. Les murs ont été cassés, les pièces rasées mais une photo de Gaston est suspendue au mur. Le vieil homme veille ainsi sur cet immeuble de la rue des Laitières. J’aime imaginer le croiser au détour d’une rue et lui demander des nouvelles de ses « guiboles » qui le font tant souffrir. Je le vois me répondre avec son petit air malicieux qu’il se rend à « Pétaouchnok », attendre ma réaction, puis me dire qu’il va faire sa balade préférée autour du lac.


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2e prix : Florence FrancouDonnons« Rendez-vous à 20 h dans vingt ans sur l’esplanade du château de Vincennes. » Les mots résonnaient encore distincte-ment à son oreille. Vingt ans s’étaient pourtant écoulés depuis qu’elle les avait prononcés. Vingt ans qui avaient fui en douce, seconde après seconde, sans par-venir à entamer le souvenir de ces six mois, les plus heureux de sa vie. Peut-être même les seuls.Non, cette appréciation faisait sans doute trop abstraction de son histoire avec Cloé. Même s’il s’achève par un divorce, un mariage ne peut se limiter à son dénouement. Dix-huit ans de vie com-mune, deux enfants, aujourd’hui ados, qu’il adorait même s’ils lui donnaient constamment l’impression de ne pas être originaires de la même planète que lui, ce n’était pas rien, tout de même.Alors pourquoi le souvenir de ces six mois-là prenaient-ils l’ascendant lorsqu’il s’agissait de faire le bilan de sa vie ? Il réprima un sourire. « Faire le bilan de sa vie » sonnait comme une expression de centenaire. À quarante-cinq ans, il n’en était pas là. Pas encore, du moins.C’était à Vincennes qu’ils s’étaient ren-contrés, à l’occasion de la deuxième édi-tion du festival de littérature America. Il avait patienté presque une heure pour un autographe de Douglas Kennedy sur la page de garde de La Poursuite du bon-heur. Devant lui, dans la file d’attente, se tenait une jeune femme blonde au parfum de vanille, dont il ne voyait que le dos, sanglée dans un imperméable noir. Elle avait donné à signer le roman à l’auteur et échangé quelques mots avec lui, avant de tourner les talons sans qu’il ait réussi à voir son visage. Arrivé à son tour devant la table de Kennedy, il l’avait gratifié d’un enthousiaste « I love your books ! » avant de se ruer vers la sortie, laissant l’écrivain médusé.

Il l’avait rattrapée cours Marigny. De grande taille, elle était plus jeune que ce à quoi il se serait attendu, jolie sans être exactement belle. Elle l’avait écouté, avec un scepticisme non dissimulé, expliquer laborieusement qu’il n’avait pas l’habi-tude d’aborder les femmes dans la rue. Un sourire désarmant avait finalement illuminé son visage, et elle avait accepté de prendre un thé avec lui dans un café de la rue de Fontenay. Ils avaient débattu de littérature pendant des heures. Le thé s’était mué en dîner, le dîner en un der-nier verre chez elle, et le dernier verre en une suite d’heures inoubliables.Elle achevait alors une formation d’effets spéciaux cinématographiques. De son côté, il avait, à la demande de ses parents, provisoirement abandonné ses études de vétérinaire pour reprendre la direction de la PME de son père à qui on venait de diagnostiquer un cancer de la prostate. Dès le lendemain, elle emménageait dans son studio de la rue des Vignerons. Malgré son caractère soudain, la décision de s’installer ensemble leur parut natu-relle à tous les deux. Ils s’étaient trouvés, il n’y avait pas grand-chose de plus à dire.Cet hiver-là, il passa ses journées à s’ini-tier auprès de son père, sans beaucoup d’engouement, aux subtilités de la gestion d’entreprise et de la comptabilité. Mais le soir, il la retrouvait, et aux chiffres et aux formules succédait un bonheur tran-quille, qu’il n’aurait échangé contre rien au monde. Il ne se déclinait pas, comme dans les romans, en une fusion physique exaltante ou en des joutes intellectuelles débridées, mais en une série de moments

de tendresse, de petits geysers de féli-cité : son sourire, lorsqu’elle l’avait pris en photo devant le rocher du zoo, leurs discussions littéraires dans les rayons de la librairie Millepages, l’expresso domi-nical pris face au square André-Malraux, près du château. Il avait la certitude apai-sante d’être au bon endroit avec la bonne personne. Un soir de mai, elle lui annonça avec un peu trop d’enthousiasme à son goût qu’elle venait d’être admise en stage dans le studio de production le plus prestigieux en matière d’effets spéciaux, dont le seul tort était de se trouver à Wellington. Il éclata de rire. « Wellington ? Comme la capitale de Nouvelle-Zélande ? » Elle n’eut pas besoin d’en dire davantage. Il inspira profondément et exprima exacte-ment le contraire de ce qu’il éprouvait : elle ne pouvait pas hésiter, c’était une occasion unique et ils ne seraient sépa-rés que pour un an. Elle avait acquiescé en se mordant les lèvres. Ce soir-là, il avait pour la première fois ressenti une distance entre eux. Il ne regrettait pas sa réaction, mais à la fierté que lui inspirait cette bonne nouvelle pour elle, se mêlait une once de vexation qu’elle ait pris sa décision aussi rapidement. Elle avait fini par se blottir dans ses bras en chucho-tant : « Ça ne nous arrivera pas. »« Quoi donc ?- Ce que tu redoutes. La vie ne nous

séparera pas plus que les kilomètres.- Comment peux-tu en être aussi sûre ?- Il suffit de décider que même si les

vents nous sont contraires, on se retrouvera. Quel que soit le temps que cela prenne. Donnons-nous rendez-vous à 20 h dans vingt ans jour pour jour sur l’esplanade du château de Vincennes. »

Au début, ses craintes parurent infon-dées. Ils se téléphonaient quotidienne-ment, ils avaient tous les deux fait un aller-retour, et même si son absence lui pesait et qu’il détestait l’expression « à l’autre bout du monde » depuis qu’elle avait pris un tour aussi littéral, ils ne doutaient ni l’un ni l’autre de la possibi-lité d’un avenir commun.


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Elle l’appela pourtant, neuf mois après son départ, pour lui annoncer qu’elle venait d’accepter l’emploi ferme que le studio lui avait proposé. « Tu comprends, ce n’est que pour deux ou trois ans, mais c’est une opportunité que je ne peux pas laisser passer. »Ils feignirent de croire que leur relation allait se poursuivre. Peut-être même en furent-ils sincèrement persuadés un moment. Il lui rendit visite deux fois, mais l’état de santé de son père s’était brutalement aggravé et il ne pouvait s’absenter trop longtemps. De son côté, elle s’investissait beaucoup dans ses nou-velles fonctions et disposait de peu de temps libre.Peu à peu la vie et les kilomètres, insensibles aux serments, reprirent leurs droits. Ils n’avaient même pas rompu, juste cessé de se téléphoner…Une drôle de fin, pas franchement à la hauteur de l’histoire. Lorsque des amis ou des connaissances l’interrogeaient, il répondait évasivement, expliquant que personne n’était à blâmer, qu’ils s’étaient seulement rencontrés trop tôt. Il évita désormais de passer devant le rocher du zoo.Les années s’étaient enchaînées. Il avait rencontré Cloé quelques mois plus tard, chez des amis. Martin était né quatre ans après, suivi de près par Clémence. Son père, dont l’agonie avait été parti-culièrement longue, avait eu le temps de connaître ses petits-enfants. Quant à lui, il n’était jamais devenu vétérinaire et s’était peu à peu fait à son costume empesé de chef d’entreprise.Au cours de ces vingt ans, il s’était souvent demandé ce qu’il serait en train de faire au moment du rendez-vous et si elle se posait la même question. Serait-il encore au boulot ? Chez son kiné ? Au cinéma ? Réaliserait-il plusieurs semaines plus tard que la date en était passée ? En se levant ce matin, le jour du rendez-vous, il avait su. Il y serait, seul, et son absence à elle lui permettrait au moins d’apporter à cette histoire le point final dont l’avait privé une véritable rupture.C’était une belle soirée de mai. Il se sentait serein. En abordant la rue de Montreuil, il vit la silhouette du donjon, aux fenêtres duquel le cardinal de Retz, captif, s’était jadis penché, se découper sur un ciel aux reflets orangés. L’esplanade était vide. Vide, si ce n’est pour la frêle silhouette d’une blonde san-glée de noir qui s’approcha de lui avec un sourire désarmant. Il comprit alors que, venu chercher une fin, il avait trouvé un recommencement.

Mention spéciale du jury : Emmanuelle Pineau-Chardon

J’aime Vincennes…Vole, vole petit papier multicolore, emporté par le vent,De rue en rue, de trottoir en trottoir, de banc en banc,Évite les nombreux obstacles, jonchant le macadam,Envole-toi, petit papier de cellophane.

Vole, vole petit papier multicolore, emporté par l’élanDe la ribambelle continue d’enfants,Qui, dès le matin, vers l’école se dirigent,Avec courage et parfois enthousiasme.

Vole, vole petit papier multicolore, emporté par la rumeur,Remonte la droite rue de Lagny sur toute sa longueur, Sans doute, tu y découvriras les étals du marcher,Évite les chariots à roulettes et les clients chargés.

Vole, vole petit papier multicolore, emporté par la vie,Dans le cœur tu découvriras la rue du Midi,Ses artisans expérimentés, ses commerces variés,Ses piétons, parfois pressés, parfois flâneurs, toujours déterminés.

Vole, vole petit papier multicolore, emporté par la jeunesse,Ne t’attarde pas, sur le parvis de la Mairie,Pour danser avec la ronde des bambins,Qui le mercredi l’envahit de poussettes et trottinettes.

Vole, vole petit papier multicolore, emporté par l’espoir,Château, bois, zoo, il y a tant à voir,N’omet pas les impasses discrètes envahies de verdure,Les belles demeures témoins des splendeurs d’autrefois.

Vole, vole, petit papier multicolore, emporté par le temps,Laisse-toi porter par cette ville au passé imposant,À l’allure provinciale d’un présent enchanteur,Au futur assurément prometteur.

Vole, vole et virevolte, petit papier multicolore, porté par la liberté,Ne perd pas tes couleurs, ne te laisse pas capturer,Reflète les rayons de lumière que nous destine le ciel azuré,Continue à donner un éclat irisé à notre chatoyante Cité.

Le film diffusé à l’occasion des vœux 2014 faisait la part belle à la créativité des habitants : de nombreuses phrases issues des textes soumis durant ce concours en ont accompagné les images. Merci à Véronique Castanier, Colette Delestre, Évelyne Le Guyader, Marilyn Le Coent, Marie-Claude Mansuet, Sylvain Staquet, François Worms, dont les œuvres ont ainsi été mises à contribution. Merci également à Samuel Diot-Tcheou, Maud Eyméoud, Christine Matéos et Benoît Plane, des classes d’art dramatique du Conservatoire, qui ont prêté leurs voix à ce film ainsi qu’à la carte de vœux interactive de la Ville, créée autour de ces mêmes textes.Retrouvez le film sur vincennes.fr ou en flashant le code ci-contre.


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DécouverteCafé culturel

Cafés philo

SeniorsAnimations seniors

Des clés pour comprendre la symbolique militaireÀ travers le prisme particulier du langage des insignes militaires, le département de la symbolique de la Défense propose au public des séances d’initiation pratique à la symbolique militaire, outil de recherche pour le chercheur, le généalogiste et le particulier. Prochain rendez-vous le 12 février de 14 h à 15 h pour une séance d’archéologie mili-taire : Identification de militaires morts pour la France au cours de la Première et la Seconde Guerre mondiale.

� Château de Vincennes, pavillon du Roi – tous publics. Accès libre sur réservation au 01 41 93 21 07.

Patrimoine : découverte de l’hôtel de villeDans le cadre du label Ville d’art et d’histoire, le service municipal Archives et patri-moine propose une visite découverte de l’hôtel de ville, le samedi 8 février à 15 h. Issu de deux périodes de construction distinctes, l’hôtel

de ville illustre tout à la fois le style néo-Renaissance, s’inspi-rant du modèle que constitua celui de Paris au début de la IIIe République, et le style Art déco, par les aménagements intéri-eurs remarquables réalisés lors de son agrandissement dans les années 1930.

� Rendez-vous à l’hôtel de ville, 53 bis, rue de Fontenay, accueil principal. Tarif : 6 € ; réduit : 3 €. Durée : 1 h 30

Les samedis du film documentaireUne fois par mois, la Médiathèque vous fait découvrir un docu-mentaire ; samedi 15 février, rendez-vous avec Strand sous le drap noir, un film de John Walker. « Découvrez ce que vous avez à dire et faites en sorte que cela fonctionne dans un espace rectangulaire. » C’est ainsi que Paul Strand définissait l’art du photographe. Élève de Lewis Hine, inspiré par les clichés d’Alfred Stieglitz qui deviendra son ami, Paul Strand est le père de la straight photography (photographie non retouchée). Très tôt, il travaille sur le formalisme et l’abstraction (gros plan de plantes ou de roches), mais il s’intéresse aussi à la photographie sociale (reportage sur les Indiens du Nouveau-Mexique). Il est également l’auteur de Native Land (1942), un film sur la lutte syndicale aux USA, et de nombreux films documentaires deve-nus aujourd’hui des classiques. Il est mort en France en 1976.

� Samedi 15 février à 16 h 30, salle des Académiciens. Entrée libre dans la limite des places disponibles.

Jeune publicLes petits curieux et le 7e artL’Office de tourisme propose des ateliers cinéma les mer-credi 15 et samedi 19 février à 14 h aux enfants de 7 à 11 ans. Quelques jours après les Rencontres internationales du cinéma, les plus jeunes pourront en savoir plus sur l’histoire de Charles Pathé et les prémices du cinéma. Avec l’animatrice, ils apprendront à animer leurs propres images en créant un folioscope et un thaumatrope : des inventions qui ont contribué à la naissance du 7e art !

� Informations et inscriptions au préalable à l’Office de tourisme au 01 48 08 13 00 ou par courriel [email protected]. Tarif : 6 €, réduit : 3 €. Durée : 1 h 30

Contes pour les plus petitsLes petits ont rendez-vous avec Croc’histoires les mercre-dis 5 février et 5 mars à la médiathèque Cœur de ville, dans la salle du Bouche-à-Oreille : à 10 h 30 pour les 2-3 ans, et à 11 h pour les 3-6 ans.

� Entrée libre dans la limite des places disponibles.

Une fois par mois, les équipes des médiathèques vous présentent leurs coups de cœur, tant en littérature qu’en musique et cinéma. Venez échanger autour des livres, disques

et films qu’ont aimés les bibliothécaires, et apportez vos propres lectures : rendez-vous vendredi 14 février à 19 h.

� Cœur de ville – salle des Académiciens. Durée : 1 h 30 – Entrée libre

À la Maison des solidarités (70, rue de Fontenay), les cafés philo permettent d’aborder de manière conviviale des thèmes variés. Rendez-vous le jeudi 27 février à 15 h : Qu’est-ce qu’une rencontre ? Ces rendez-vous sont suivis d’un goûter.

� Réservation indispensable au 01 43 98 66 90 – nombre de places limité.

Chaque mois un programme varié d’animations est pro-posé aux seniors : le pro-gramme trimestriel est disponible dans les lieux publics et sur vincennes.fr. Après un tournoi de cartes le 2 février, un thé dansant aura lieu le mardi 11 février à 14 h 30 au 70, rue de Fontenay. Puis le 13 février à 15 h 30, un atelier rire et détente s’y déroulera.

Par ailleurs, la première conférence santé de l’année destinée aux seniors aura lieu le jeudi 20 février à 14 h 30 salle Robert-Louis à Cœur de ville et portera sur l’isolement des personnes âgées et ses conséquences.

� Renseignements au 01 43 98 66 90.


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PréinscriptionsTremplin des jeunes

Le Carré organise cette année son troisième tremplin artistique destiné aux jeunes Vincennois. Chant, danse, musique, arts scéniques : dans des conditions optimales, en groupe ou en solo, les Vincennois de 16 à 25 ans pourront faire la démonstration de leur talent en public le 5 avril. Les dossiers d’inscription, à remettre avant le 28 février, sont disponibles auprès du Carré.

Stage BAFALa ville organise un stage BAFA (brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur) : il aura lieu du 20 au 27 avril au Carré. Cette formation est destinée aux jeunes âgés de 17 ans au moins, motivés pour travailler avec des enfants et capables de vivre en collectivité. Une sélection sera effectuée après un entretien de motivation.

� Bulletin de préinscription disponible auprès des Espaces jeunes, de la Direction Enfance Jeunesse et du Carré et à retourner avant le 8 mars. Participation : 150 €.

La politique familiale françaiseLe quart des Français a moins de 20 ans. La politique familiale redistribue actuellement 2,8 % du PIB. Elle est considérée comme une réussite, puisque la France a un taux de fécondité satisfaisant et un taux d’activité des femmes parmi les plus élevés d’Europe. Pourtant, les familles avec enfants ont un niveau de vie plus bas que la moyenne et 19 % des enfants vivent dans la pauvreté. Faut-il repenser notre politique familiale ? Peut-on faire des économies sur les prestations familiales ? Faut-il remettre en cause le quotient familial ?� Jeudi 13 février à 14 h 30.

Faut-il une Europe sociale ?Dans tous les pays d’Europe, la protection sociale est menacée par des déséquilibres provoqués, à court terme, par la crise financière, et à long terme par le vieillissement de la population. Faut-il construire une Europe sociale en faisant converger les systèmes nationaux ? Faut-il des normes communes en matière sociale comme il y en a en matière de déficit public ?� Jeudi 6 mars à 14 h 30.

Au cœur des savoirs

L’économie à la loupe

Admission postbacL’admission postbac (APB) est le dispositif en ligne d’orientation des bacheliers vers les différentes formations proposées au niveau supérieur : une étape importante pour les lycéens, dont la 1re phase se déroule jusqu’au 20 mars (inscription, vœux et liste ordonnée de vœux). Le Carré accueille pendant cette période les jeunes qui souhaitent un accompagnement pour leurs démarches sur le portail Admission postbac, et des informations sur l’ensemble des filières : généralistes, mais aussi écoles de commerce, d’ingénieurs, formations paramédicales…

� Le Carré – 1, rue de l’Égalité – Tél. : 01 71 33 64 40. Ouvert en période scolaire les mardi, jeudi, vendredi de 12 h à 14 h et de 16 h à 20 h, le mercredi de 14 h à 20 h et le samedi de 13 h à 19 h ; et pendant les vacances scolaires du lundi au vendredi de 14 h à 20 h.

Initié en 2012-2013, le cycle économie des conférences Au cœur des savoirs offre de nouveau une carte blanche à Henri Sterdyniak,

directeur du département Économie de la mondialisation de l’OFCE, auteur de nombreux livres et articles sur les questions macroéconomiques, l’économie européenne, les questions sociales, fiscales et budgétaires.

� Conférences à l’auditorium Jean-Pierre-Miquel (Cœur de ville – 98, rue de Fontenay) Tarif : 5 € (réduit 18-25 ans 2 €, gratuité pour les – de 18 ans, demandeurs d’emploi, bénéficiaires du RSA, titulaires d’une carte d’invalidité ou d’une carte Améthyste et personnes non imposables, sur justificatif ). Renseignements au 01 43 98 67 71.

OrientationRencontre avec les métiers d’aujourd’hui et de demain

Les Centres d’information et d’orienta-tion de Vincennes et Nogent organisent, en collaboration avec les établissements scolaires de Bry, Fontenay, Nogent, Le Perreux, Saint-Mandé, Vincennes, les associations de parents d’élèves, et en partenariat avec les Points informa-tion jeunesse et services jeunesse, un Forum des métiers et des formations. Destiné aux élèves de la cinquième à

la terminale, il aura lieu le 8 février à Vincennes : des professionnels répar-tis par secteurs d’activité seront présents pour répondre aux questions des jeunes, apporter un témoignage sur leur expérience, expliquer leur métier et rapprocher ainsi les jeunes d’une véritable source d’informations.L’ensemble des secteurs professionnels et des métiers sera représenté (des métiers d’art aux métiers industriels en passant par le secteur des services). Afin de compléter l’apport des professionnels, des lycées, des lycées pro-fessionnels, des centres de formation, des universités, des IUT, des BTS…, seront également présents. Ces établissements apporteront des informations sur les parcours de formation, les conditions d’accès, les diplômes ; une façon d’illustrer et de compléter le discours des professionnels en terme d’accès à la qualification.

� Hôtel de ville et Cœur de ville, de 10 h à 17 h. Accès libre.


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Didier Jourde, Master spécialisé, ThérapeuteDiplômé de l’université de Paris V : aspects biologiques et psychologiques du stress

Diplomé de l’institut de Sophrologie et de Psychothérapie de Paris

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- Travailler sur la confiance en soi et sur les troubles psychosomatiques en général- Phobies, angoisses, anxiété…- Préparation aux compétitions sportives et aux examens

½ Intuitive décoFichier à venir Au cœur de la ville de Montreuil, territoire d’artistes et d’artisans

de renom, Intuitive deco propose à la vente ses coups de cœur : petites séries /éditions limitées/pièces uniques et objets d’art. Ecrin pour magnifier les créations d’artisans d’art français dont les ateliers se trouvent aussi bien en région parisienne qu’en province. Ce lieu dédié à la découverte de talents particuliers est pensé comme un cahier de tendances, fil conducteur de mises en scènes éphémères, habillées d’un art floral saisonnier. Plusieurs fois par an, l’ambiance, l’atmosphère, les objets évoluent pour une nouvelle scénographie soufflée par une saison, une fête, une couleur, où les artistes pourront également interpréter les thèmes selon leurs propres envies. Après «Monts et Merveilles» chasse aux trophées, conte poétique empreint d’une atmosphère de tons sourds, changeants, inspirés de la nature, «Gothique flamboyant» dans les tons rouge, noir et or en décembre, «Boudoir Gustavien» (le 3 février) sera à l’honneur, ballade d’antan tout en nuances poudrées, délavées, nacrées, mises en valeur par les blancs crayeux omniprésents. Le chineur, le promeneur ou le passionné seront séduits et ravis d’emporter chez eux une petite part du décor magique.

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Pour participer à la prochaine conférence de l’EPE : Jeudi 13 février à 20 h 30 à l’hôtel de ville, salle du Conseil53 bis, rue de Fontenay Renseignements au 01 53 66 32 60Entrée ouverte à tous et sans réservation

Rendez-vous suivant jeudi 15 mai sur le thème dela communication en famille.

Pour en savoir plus :L’École des parents5, impasse Bon-Secours – 75011 Paris01 44 93 44 88Pour une approche plus individuelle, rendez-vous au Café des parents !Renseignements sur www.epe-idf.com.

L’adolescence au cœur des débats L’adolescence est comme chacun sait une période charnière pour le jeune qui se construit. C’est ce que Françoise Dolto définit comme « le complexe du homard », une période où l’enfant va changer de carapace. Mais à Vincennes, les parents démunis face aux problématiques de l’enfance et de l’adolescence peuvent trouver une aide précieuse. L’association l’École des parents et des éducateurs (EPE) a été choisie pour mettre en œuvre des conférences thématiques destinées aux parents. Celles-ci ont lieu quatre fois par an. Parmi les thèmes déjà abordés, les troubles de l’apprentissage, l’orientation scolaire, la violence, les addictions, les adolescents et le monde virtuel ou la communication.Le Comité consultatif de la santé, à l’origine de l’initiative, donne rendez-vous aux parents à l’hôtel de ville dans la salle du Conseil, à partir de 20 h 30 ce jeudi 13 février, autour du thème de la crise d’adolescence. Pour explorer ce sujet, les parents pourront compter sur l’expertise de François Simonot, systémicien, thérapeute familial, ancien éducateur spécialisé et habitué des conférences

de l’EPE. « Aujourd’hui, explique-t-il, l’adolescence est une étape plus difficile à vivre pour les jeunes qu’il y a un certain temps. Un monde plus complexe, une pression énorme, une vision négative de la société véhiculée souvent par les parents, beaucoup de raisons font que nos ados peinent à trouver leur place. Les parents, note-t-il, vivent eux dans l’angoisse. Le 13 février, un des messages sera de leur dire que, malgré les difficultés, il faut continuer à faire confiance à ses enfants et, surtout, communiquer avec eux. »

Un moment d’échange et de convivialitéL’objectif, rappelle Martine Canu, directrice de la Vie sociale à la mairie, est de faciliter le débat à la fois entre les parents mais également entre les intervenants et les parents. « Les conférences sont l’opportunité pour les parents d’être rassurés dans leur rôle par des professionnels. Selon la thématique abordée, ils peuvent aussi rencontrer d’autres parents qui vivent les mêmes difficultés, ce qui est très constructif », ajoute Martine Canu.Chaque conférence dure 2 heures. Le lieu, la configuration même de chaque séance – des tables rondes avec une

petite estrade et la possibilité pour l’intervenant de se déplacer, le micro à la main –, créent une dimension de proximité. L’intervenant est choisi par l’EPE en fonction de la thématique. L’intervenant ouvre en général la conférence par un exposé de 40 minutes puis le reste du temps est consacré à un échange entre lui et les parents présents. « La qualité des intervenants, qu’il s’agisse de médecins psychiatres, de psychologues, de psychothérapeutes ou d’éducateurs, est vraiment un plus, confie Martine Canu. Grâce à des cas concrets, ils permettent aux parents de s’identifier, de dédramatiser et en même temps de bénéficier de nouvelles orientations. » Les conférences de l’EPE sont également un moment apprécié des intervenants, de par la richesse des débats. François Simonot « aime ainsi y entendre des expériences différentes, transmettre ses points de vue, souvent avec légèreté, histoire de favoriser l’adhésion et ainsi d’amorcer des petits changements de comportement chez les parents ».Jeudi 13 février, les parents vincennois, quel que soit leur vécu avec leur(s) enfant(s), sont donc attendus nombreux à l’hôtel de ville ! MH

L’École des parents : un rendez-vous pour mieux vivre son rôle de parentJeudi 13 février, la prochaine conférence de l’École des parents se propose d’aborder le thème de la crise d’adolescence : s’opposer pour grandir. Une nouvelle occasion pour les parents d’échanger et de trouver du soutien dans le rôle parfois dur qui est le leur.

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événement

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Théâtre

Inconnu à cette adresse

Ma seconde lettre m’a été retournée, non ouverte avec la mention

“Inconnu à cette adresse”. Quelles ténèbres véhiculent ces mots… » L’inconnu n’est autre que Martin Schule. L’expéditeur se nomme Max Eisenstein. Le premier est allemand et vit à Munich. Le second est juif américain et vit à San Francisco. À travers leur correspondance entre 1932 et 1934, les deux amis vont découvrir que la distance qui les sépare n’est plus seulement géographique mais surtout idéologique.Publié en 1938, sous la plume de Kathrine Kressmann Taylor, Inconnu à cette adresse est un chef-d’œuvre d’émotions, où chaque lettre est un coup porté à son destinataire, où l’amitié s’effrite en même temps que l’Allemagne tombe sous le joug des nazis.C’est ce fascinant témoignage d’une époque tourmentée que la metteuse en scène, Delphine de Malherbe, a choisi de livrer au public il y a deux ans au

théâtre Antoine. Grâce à un parti pris artistique audacieux, un nouveau duo de comédiens tous les mois (Dominique Pinon, Gaspard Proust, Francis Lalanne, Patrick Timsit, Thierry Lhermitte, pour ne citer qu’eux…), la pièce a franchi sa 200e avec succès il y a un an et reçu un Globe de cristal.Après une tournée à travers la France, Inconnu à cette adresse frappera à la porte du centre culturel Georges-Pompidou le mercredi 12 février. Pour l’occasion et tout juste un an après leur première joute oratoire, Charles Berling et Michel Boujenah reprennent respectivement les rôles de Martin et de Max. Et chacun, avec force talent, nous livre son combat acharné pour la vérité. L’amitié profonde de Martin et Max souffrira-t-elle de l’Histoire ? Pour le savoir, rendez-vous le 12 février ! MH

� Mercredi 12 février à 20 h 30 au centre culturel Georges-Pompidou. Plein tarif : 35 €, tarif réduit : 29 €, Divertissimo : 25 €. Réservation à la billetterie culturelle (accueil de Cœur de ville ou par téléphone au 01 43 98 68 87) et sur vincennes.fr.

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Jeune publicSur le fil de l’imaginaireAvec la compagnie Sens Dessus Dessous, nul n’est besoin d’artifice pour créer le rêve et plonger le public dans un monde imaginaire… À l’instar des enfants qui construisent des navires d’un simple carton d’emballage, ces danseurs-jongleurs donnent vie à une histoire avec un bout de corde. À la frontière du cirque, de la danse, voire de la magie, Linéa se construit peu à peu devant les yeux ébahis du public, véritable plongée dans le monde de l’enfance. Il suffit alors de se laisser aller à la rêverie pour embarquer dans leur histoire où la douceur et la joie se mêlent.

Jive Faury, directeur artistique et créateur de la compagnie, se décrit lui-même comme un jongleur atypique. Il sera accompagné par sa codirectrice Kim Huynh, danseuse contemporaine convertie désormais à l’art de la jonglerie. Loin des numéros enchaînés et de la recherche d’une prouesse exceptionnelle, la performance de ces artistes est à la croisée des disciplines artistiques et offre ainsi une vision originale du « cirque chorégraphique ». Une soirée onirique qui devrait donc non seulement ravir le jeune public (dès 6 ans) mais aussi les adultes. AN

� Samedi 8 février à 15 h – auditorium Jean-Pierre-Miquel. Tarif : 10 €. Réservations à l’accueil de Cœur de ville, au 01 43 98 68 87 ou sur vincennes.fr.

Ciné-concertÀ noter dès maintenant : King Kong revient sur les écrans dans un ciné-concert proposé aux enfants à partir de 8 ans, le samedi 8 mars à 15 h à l’auditorium Jean-Pierre-Miquel. Trois musiciens ont relevé l’extravagant défi de créer la partition musicale d’un ciné-concert pour un film parlant ! Sur scène, avec guitares, batterie, basse, trombone et saxophone, en utilisant la bande-son existante, ses dialogues et les sous-titres, Joachim Latarjet donne une lecture insolite de ce chef-d’œuvre de 1933, trésor parmi les trésors des premiers films parlants…

� Tarif : 10 €. Réservations à l’accueil de Cœur de ville, au 01 43 98 68 87 ou sur vincennes.fr.

Le centre culturel Georges-Pompidou accueille en février une pièce d’une rare intensité, mettant en scène Charles Berling et Michel Boujenah.


arts et spectacles

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Le festival Mozart proposé par Prima la Musica ! va être l’occasion

d’entendre les plus belles pages de la musique de chambre de Mozart : Sonates pour piano, Quintette pour clarinette, transcriptions d’opéra pour guitare…, il y en aura pour tous les goûts ! La soirée est construite sur le principe de la mosaïque : des pièces courtes interprétées par de nombreux musiciens se relayant sur scène pour constituer, au final, une grande fresque musicale permettant de mieux comprendre le génie de Mozart par la variété de son immense talent. Wolfgang Amadeus Mozart est vraiment le seul compositeur capable de susciter autant l’adhésion des musiciens que celle du public. Nombreux sont donc les interprètes qui ont accepté cette invitation !

La fine fleur des jeunes musiciensDeux pianistes viennent d’Ukraine : la jeune Anna Fedorova, au piano de feu, et sa compatriote Aliya Akbergenova, dont l’élégance racée va faire des merveilles pour sa première appari-tion à Vincennes. Du côté des violo-nistes, on entendra, pour ses débuts à Vincennes, la jeune violoniste russe Vera Lopatina (encouragée par Maxim Vengerov !) ; elle jouera, avec d’autres amis musiciens, le fameux Quintette pour clarinette de Mozart, épaulée par la brillante altiste Marie Chilemme, la remarquable violoncelliste Virginie Constant – également professeur au conservatoire de Vincennes ! – et la très fascinante clarinette de Pierre Génisson qui reviendra tout exprès de Los Angeles.Toujours du côté des violonistes, Hugues Borsarello, dont Mozart est le maître absolu, et qui a même constitué un ensemble dédié au divin Wolfgang (le collectif HB Mozart), se joindra aux précédents pour d’autres œuvres de Mozart. Autre nouvelle invitée à Vincennes, la guitare classique de Laurine Phélut, qui jouera une trans-cription d’air d’opéra. Le Trio con fuoco, trio avec piano énergique et fougueux (Sulliman Altmayer, violon,

Gauthier Herrmann, violoncelle, et Samuel Parent, piano), reviendra enfin à Vincennes pour se joindre à cette fête.Et cette liste n’est pas exhaustive : c’est dire si cette soirée est exceptionnelle. C’est donc à un concert d’un genre nou-veau que vous êtes convié. Ambiance de fête, jeunes talents, musique géniale… N’hésitez pas ! Une fête comme celle-là ne se manque pas…

� Samedi 8 février à 20 h 30 – Auditorium Jean-Pierre-Miquel – Cœur de ville – 98, rue de Fontenay. Prix des places : 23 € (2e cat.) et 36 € (1re cat.), moins de 25 ans : 14 €.

� Vente des billets et abonnements : en boutique à la librairie musicale Larghetto – 84, rue Raymond-du-Temple à Vincennes ; et au tabac de la Tourelle, 170, avenue de Paris, à Vincennes ; par Internet sur www.primalamusica.fr (paiement sécurisé Paypal).

� Réservation par téléphone au 01 43 98 68 33 ou par courriel à [email protected].

Achetez 1 place, venez à 2 !Offre réservée aux 15 premiers lecteurs de Vincennes info qui en feront la demande. Valable exclusivement sur réservation par téléphone au 01 43 98 68 33.

Prima la Musica !

Festival Mozart et festival des jeunes talents ! En février, Prima la Musica ! vous propose une soirée de bonheur absolu avec, le temps d’un concert, un festival Mozart interprété par la fine fleur des jeunes musiciens classiques de France et d’ailleurs.

À noter dès maintenant !Prochain concert le samedi 8 mars à 20 h 30 : Wolfgang, Jean-Chrétien, Joseph et les autres, avec l’orchestre Idomeneo (dir. Debora Waldman) et, au violon, Hugues Borsarello. La musique est une histoire de famille recomposée ! Ce concert réunira Mozart, son père adoptif Joseph Haydn et son frère d’âme, un des fils Bach supérieurement brillant. Au programme, le Concerto pour violon et orchestre n° 5 de Mozart, la Symphonie op. 9 n° 2 en mi bémol majeur de Johann Christian Bach, et la Symphonie n° 64 Tempora mutantur de Haydn.

De g. à dr., de haut en bas, parmi les jeunes musiciens qui interpréteront Mozart : Laurine Phélut, Aliya Akbergenova, Vera Lopatina, Anna Fedorova, Pierre Genisson, Hugues Borsarello.

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arTs eT specTacles

Danse

Gala de danse classiqueLes professeurs Samuel Bioulaygues et Christine klepal proposent un gala de danse en deux parties.

Quand la danse est au service de la musique… Les élèves proposeront d’abord une illustration chorégraphique sur différentes périodes de la musique européenne, de la Renaissance aux balbutiements de la danse moderne des ballets russes du XXe siècle, faisant référence à la création magistrale du Guide pédagogique du jeune auditeur

pour l’orchestre (The Young Person’s Guide to the Orchestra) de Britten sur un support initial composé au XVIIIe siècle. Ils danseront notamment sur la Danse allemande de Schubert, le lied de Schumann Ich grolle nicht et sur des extraits d’Enigma d’Elgar.

1 pour Brit, 2 pour Ten, 3 Pour BrittenAutour de l’œuvre de Benjamin Britten, les élèves illustreront la collaboration entre la musique et la danse et la transmission entre jeunes et grands danseurs, en dansant notamment sur The Young Person’s Guide to the Orchestra (op. 34) et sur la musique du ballet Le Prince des pagodes.

� Samedi 8 février à 19 h 30 et dimanche 9 février à 15 h au centre culturel G.-Pompidou. Entrée : 8 € (gratuit pour les élèves du conservatoire). Réservation indispensable au 01 43 98 68 68 – [email protected]

ConcertLes Clés d’Euphonia

CinémaOpéra sur grand écran

L’orchestre Les Clés d’Euphonia est né de la volonté de ses musiciens de faire découvrir à tous les richesses du réper-toire classique. Sous la baguette pro-fessionnelle de Laëtitia Trouvé, pro-fesseur au conservatoire, cet orchestre propose les clés des œuvres du réper-toire classique lors de concerts origi-naux ou insolites. Les morceaux joués sont assortis d’explications et d’anec-dotes musicales ou historiques. Une façon plus intelligente d’écouter la musique et, en plus, gratuite !Prochain concert les vendredi 14 et samedi 15 février à 20 h 30 : La Petite Suite de Debussy, bijou du raffinement de la musique française, dont Debussy lui même disait « qu’elle ne cherche

humblement qu’à faire plaisir », la 7e Symphonie de Dvorák, qui synthé-tise le style européen d’un Wagner ou d’un Brahms avec les accents slaves chers à ce compositeur, et le Premier Essai pour orchestre de Barber, le com-positeur du célèbre Adagio pour cordes à découvrir ici dans une œuvre moins connue.

� Auditorium J.-P.-Miquel, entrée libre. Réservation conseillée au 01 43 98 68 68. [email protected]. Durée : 1 h

Le cinéma Le Vincennes propose la diffusion en direct de l’opéra Don Giovanni de Wolfgang Amadeus Mozart, par le Royal Ballet de Londres (durée 3 h 25 avec un entracte), le mercredi 12 février à 19 h 45.

� Cinéma Le Vincennes (30, avenue de Paris) – tarif unique : 15 € (places en vente à la caisse du cinéma, une semaine avant la séance). Renseignements : www.cinemalevincennes.com.

ConservatoireConcert des orchestres à ventLes orchestres à vent junior et l’orchestre à vent de cycle 2 se produiront le 10 février avec des pièces originales pour orchestre junior : au programme, notamment, Libertango d’Astor Piazzolla, Les Sept Mercenaires d’Elmer Bernstein, La Grande Parade de Pascal Proust, des airs traditionnels – Irish Air and Dance, arrangé par Michael Story, A Celtic Christmas, air arrangé par Douglas Wagner –, un extrait de la Symphonie du Nouveau Monde de Dvoˇrák…

� Lundi 10 février à 20 h à l’auditorium Jean-Pierre-Miquel. Entrée libre. Durée : 45 min.

Auditions de chant des élèves de la filière voixLa quarantaine d’élèves du chœur d’enfants, du chœur de jeunes et de l’ensemble vocal sont habitués à se produire en groupe. Ces auditions, un peu spéciales, mettront en avant leurs qualités de soliste, fruit d’un travail sur la technique et l’interprétation effectué tout au long de l’année, en petit groupe et en complément des cours d’ensemble.Au programme le mercredi 12 février à 19 h, à l’auditorium Jean-Pierre-Miquel, Voyage à Paris par le chœur d’enfants et chœur de jeunes : La Complainte de la Butte, Les Quais de la Seine, Sous les ponts de Paris, Mademoiselle de Paris ; des mélodies autour du même thème (Montparnasse ou Voyage à Paris de Poulenc…) ; un extrait de La Vie parisienne d’Offenbach ; et des chants traditionnels européens (Santa Lucia, O Sole Mio, My Bonnie Lies over the Ocean…).L’ensemble vocal quant à lui se produira le vendredi 14 février à 19 h 30 salle Berlioz au Conservatoire autour de l’amour, Saint-Valentin oblige. Au programme, des mélodies et airs d’opéras de Purcell, Grétry, Mozart, Beethoven, Hahn, Poulenc…

� Entrée libre. Durée : 1 h 15 environ.

Heures musicalesLes Heures musicales sont des mini-concerts que les élèves musiciens offrent au public. Seuls ou en groupe, ils jouent un morceau préparé avec leur professeur.

� Les jeudis 6 et 13 février à 19 h – Conservatoire, salle Berlioz. Entrée libre.

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arts et spectacles

DanseL’Objet du déliceLe collectif Zone libre poursuit son exploration de l’univers pictural de Francis Bacon, avec de nouvelles représentations à Sorano de sa dernière création, L’Objet du délice.

� Les jeudi 6, vendredi 7, jeudi 13 et vendredi 14 février à 20 h 30. Tarifs : 18 € ; réduit : 15 € ; adhérent : 12 €.

Sorano JazzSamy Daussat invite Tchavolo Schmitt

Il est passé par tous les groupes qui comptent dans le genre, a joué auprès de ceux qui incarnent l’authentique mémoire du jazz manouche, adoubé par les héritiers d’une tradition née avec Django Reinhardt et Stéphane Grappelli. Avant de s’affirmer sous son nom, Samy Daussat a usé ses fonds de culottes auprès de Moreno, Patrick Saussois, Babik Reinhardt et bien d’autres, par passion pour le swing gitan. Reconnu pour ses propres talents d’improvisateur, il invite à Vincennes, dans le cadre de Sorano Jazz, un véritable maître de la guitare, Tchavolo Schmitt, révélé au grand public par le cinéaste Tony Gatlif…

� Samedi 8 février à 20 h 30 à l’espace Daniel-Sorano. Tarifs : 22 €, réduit : 18 €, adhérent : 15 €. Réservations : 01 43 74 73 74 – www.espacesorano.com.

Art contemporain

Des jeunes tête en l’Art!Volontaires, impliqués et désormais passionnés, cinq jeunes vincennois ont concocté l’exposition Symphonie plastique. À voir au Carré jusqu’au 19 février.

Des partitions de musique revisitées, un tourne-disque à l’ancienne qui diffuse un sample, un gong étrange qui résonne… L’exposition Symphonie

plastique a vraiment tout d’une grande ! À la tête de ce projet élaboré au Carré, en partenariat avec le FRAC (Fonds régional d’art contemporain), on ne trouve ni galeriste ni commissaire d’exposition. Les organisateurs ? Un groupe de cinq jeunes volontaires âgés de 16 à 23 ans, pour la plupart lycéens. « L’objectif était avant tout de les initier aux métiers du musée », explique Julie Liard, animatrice jeunesse au Carré et coordinatrice du projet : la petite troupe de novices s’est impliquée à tous les niveaux, depuis le choix des œuvres jusqu’à leur mise en place, en passant par la réalisation du catalogue de l’exposition. « Je pensais que c’était rapide de monter une expo mais en fait c’est beaucoup de travail ! avoue Ryan, 17 ans, en 1re S au lycée Hector-Berlioz. J’ai notamment été chargé de rédiger les notices qui accompagnent les œuvres. Quel boulot ! J’ai passé des heures sur Internet à la pêche aux infos ! » Un véritable challenge artistique… et logistique ! « Au départ, les jeunes avaient des idées très ambitieuses, se souvient Julie Liard. Mais ils ont vite été rattrapés par les réalités du terrain : certaines œuvres étaient intransportables, d’autres impossibles à accrocher au mur, etc. » L’exposition est désormais en place, et le travail de Ryan et ses « collègues » n’est pas terminé. « Nous prenons en charge de petits groupes pour faire des visites commentées de l’exposition, explique Charlotte, 16 ans, en 1re L option art à Berlioz, qui s’est elle aussi impliquée de A à Z dans ce projet. Je suis assez timide et c’est l’occasion de me forcer à aller vers les gens. C’est un vrai défi, mais je pense que c’est très positif pour moi. » Une conclusion que partagent tous ces jeunes qui ont eu l’art de s’investir dans un beau projet ! CB/LM

� Le Carré – 1, rue de l’Égalité. Jusqu’au 19 février. Entrée libre. Ouvert les mardi, jeudi et vendredi de 16 h à 20 h, le mercredi de 14 h à 20 h et le samedi de 13 h à 19 h. Renseignements au 01 71 33 64 40 – [email protected]

ExpositionsRencontre photographique

Le nu féminin de 1850 à 1960

En février, Sorano accueille les œuvres de deux photographes. Vincent Gramain officie notamment en indépendant dans les salles de spectacle, se délectant du velours rouge tapissant les théâtres à l’italienne… De scène en scène naissent souvent de belles rencontres et, guidé par la musique et à travers ses objectifs, l’auteur a fixé ces courts instants d’échange avec des artistes… Chloé Dupeyrat, artiste éclectique un brin lunatique, explore quant à elle avec grâce la solitude apparente des

instruments : ces êtres faits de bois, de cordes ou de cuivre nous emportent, seuls, dans leurs songes. Un arrêt sur image, ranimé par l’énergie de l’ins-tant, un soupçon de musique qui active notre imagination…

� Du 4 au 16 février à l’espace Daniel-Sorano.

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Le nu féminin est depuis la Renaissance au cœur de la peinture occidentale. L’exposition de la galerie Frémeaux & associés présente sur divers supports (peintures, dessins et lithographies) des œuvres d’artistes de 1850 à 1960, et interroge le rôle et le sens de ces représentations…

� Jusqu’ au 22 février – galerie Frémeaux – 20, rue Robert-Giraudineau – tél. : 01 43 74 90 24 – www.galeriefremeaux.com – ouverte du mardi au samedi de 10 h 30 à 13 h et de 14 h 30 à 19 h.


ET NOUS VOILÀ !DE NICOLAS PEYRACWagram Music – 16,99 €

ÉCRIRE ET êTRE ÉDITÉ ?DIx BONNES RAISONS POUR NE PAS (TROP) RêVER DE DIDIER MIREURÉd. L’Harmattan – 108 p., 10 €

Après Le Chant d’un départ, Didier Mireur livre un nouvel ouvrage aux éditions L’Harmattan et nous plonge dans les affres d’une passion : l’écriture. Qu’il y consacre sa vie ou qu’il écrive pour le simple plaisir des jouer avec les mots, de réveiller des souvenirs, d’explorer des terres inconnues à l’intérieur de son propre univers, l’ambition finale de tout auteur est d’être édité. Didier Mireur, chevalier de la Légion d’honneur, commandeur des Palmes académiques,

chevalier des Arts et des Lettres et adjoint au maire de Vincennes, propose dans cet ouvrage de découvrir le regard

porté sur cette aventure vers laquelle se précipitent tant de ceux qui ont un jour décidé d’écrire un livre. Pourquoi a-t-on envie d’être édité ? Comment vit-on les contraintes insoupçonnées qui en découlent ? Comment réagit-on à la découverte du monde de l’édition ? Une réflexion qui, de l’aveu même de l’auteur (et de son éditeur !), mélange ressenti, humour et la petite dose de mauvaise foi qui s’impose…

� En signature à la librairie Millepages le samedi 8 février à partir de 16 h 30.

LES GAZ DE SCHISTE,NOUVEL ELDORADO OU IMPASSE ?

DE JEAN-LOUIS FELLOUS ET CATHERINE GAUTIERÉd. Odile Jacob – 252 p., 23,90 €

Source d’énergie activement développée aux États-Unis, les gaz de schiste suscitent un vif débat en France où leur exploitation est interdite par la loi. Après la description d’une technique d’exploitation – la fracturation hydraulique – qui comporte de nombreux aléas environnementaux et sanitaires, ce livre expose les raisons de l’engouement que cette source d’énergie génère aux quatre coins du monde.

Sans prendre parti, il rappelle également les incertitudes encore élevées liées à son exploitation, l’abondance des ressources,

l’effet sur les aquifères et le climat, ou même des risques de mini-tremblements de terre. Directeur des programmes d’observation de la Terre au CNES et des recherches océaniques à l’Ifremer, le Vincennois Jean-Louis Fellous, qui a déjà animé plusieurs conférences Au cœur des savoirs, est le directeur exécutif du Cospar, le Comité mondial de la recherche spatiale. Sa coauteur, Catherine Gautier, est professeur émérite au département de géographie de l’université de Californie à Santa Barbara.

LA GRANDE GUERRE AU CœUR DES TRANCHÉESD’ÉRIC NGUYENTimée Éditions – 140 p., 13,90 €

Il y a 100 ans, la poudrière des Balkans précipitait l’Europe puis le monde dans ce qu’on appellerait la Grande Guerre. D’un côté, la Triple Alliance, qui réunit l’Allemagne, l’Autriche-Hongrie et l’Italie depuis 1882. De l’autre, la France, le Royaume-Uni et la Russie, qui ont signé la Triple Entente en 1907. Bientôt, la guerre ne connaîtrait plus de frontières. Diplômé de l’IEP de Paris et titulaire d’un DEA en relations internationales, le Vincennois Éric Nguyen revient sur les faits marquants de « la der des ders », des taxis de la Marne à l’enfer des tranchées, en passant par l’apparition des chars de combat ou les exploits des chevaliers du ciel. Un ouvrage qui rappelle que, par sa terrifiante modernité, la Première Guerre mondiale préfigura toutes les horreurs du XXe siècle.

Et mon père, So Far Away From L.A., Mississippi River… Ces grandes chansons ont bercé les années 1970. Nicolas Peyrac a constaté qu’elles avaient traversé les obstacles des générations et que de jeunes artistes aspiraient à les interpréter. C’est ainsi qu’est né Et nous voilà !, un album de duos qui métisse, où le timbre si reconnaissable du chanteur vincennois se mélange avec les voix de Bénabar, d’Anaïs, d’Emmanuel Moire, de Sofia Essaïdi, de Mickaël Furnon, de Julie Zenatti, de Serge Lama, de Sanseverino, de Carmen Maria Vega… Habilement rhabillés par Michel Cœuriot, l’arrangeur d’Alain Souchon et de Laurent Voulzy, ces tubes, mélangés à d’autres petites merveilles plus récentes de Nicolas Peyrac, confirment d’une génération à l’autre toute leur modernité…

QUELQUES HEURES AVEC MOIDE YOANN FRÉGETUniversal Music – 14,99 €

Yoann Fréget, lauréat de la deuxième édition de l’émission de TF1 The Voice, la plus belle voix et vincennois d’adoption, présente un premier album personnel et lumineux, à l’image de l’artiste. Les titres sont tous interprétés en français. L’album inclut son premier single Ça vient de là-haut, sa reprise de Céline Dion Vole, qui avait marqué les esprits lors d’une de ses prestations sur le plateau de l’émission qui l’a révélé, ainsi qu’en exclusivité le générique de fin du film La Belle et la Bête de Christophe Gans. Un album joyeusement paré de mélodies soul et gospel mises au service de la voix angélique de celui que les Vincennois avaient pu voir en concert au centre Georges-Pompidou en septembre dernier.


livres/disques

Activités du club BayardLe club Bayard propose régulièrement des concours équestres : saut d’obstacle, concours complet d’équitation (CCE), dressage, pony-games, carrousel, équifun, etc. Prochains rendez-vous les 16 mars (CCE club poneys - championnat départemental chevaux), 13 avril (concours de saut d’obstacles amateur et club) et 27 avril (Equifun - championnat départemental).

� Renseignements : Club Bayard Équitation – BP 153 – 94305 Vincennes Cedex – Tél./fax : 01 43 28 35 26 – www.clubbayard.com.

Course dans le bois de Vincennes

La SoMAD est une course nature à obstacles qui aura lieu dans le bois de Vincennes le 23 mars prochain. Plus de 4 400 participants s’y étaient frottés en 2013 pour courir, grimper, ramper, sauter dans les bois, l’eau, la boue, le sable… Deux parcours semés d’obstacles naturels et accessibles à tous les niveaux (12 km et 5 km) sont proposés par les organisateurs pour ce défi à relever en famille, entre amis ou simplement pour l’ambiance, où déguisements et bonne humeur sont de rigueur… Une course pour enfants est aussi proposée à partir de 6 ans.

� Informations et inscriptions sur www.so-mad.fr

Nouvelle victoire en badmintonUne paire vincennoise s’est illustrée durant la 1re édition du tournoi de Courtry (Seine-et-Marne) les 7 et 8 décembre derniers, en remportant le tableau mixte NC. Félicitations à Kim-Ly Vuong et Dara Chau pour cette belle victoire qui vient conclure une année 2013 riche en trophées pour le Vincennes Badminton Club.

� Pour toute information : www.vbc94.fr

Stage de karatéLe karaté club de Vincennes propose un stage spécial combat pour les 10-16 ans du 17 au 21 février de 14 h à 17 h au centre sportif Hector-Berlioz. Ouvert à tous, il sera animé par Eudes Arnaud Sana (2e dan).

� Tarifs : 70 € la semaine, 60 € pour les adhérents du club. Contact : [email protected] –06 61 42 97 82 ou karatevincennes.blogspot.com

JeunessePensez au Pass’sport !

GymnastiqueGym poussette

En brefSpectacle de capoeira

Shiatsu

L’association Gym V pour tous pro-posera aux beaux jours, comme l’an passé, des cours de gym poussette le jeudi de 10 h 30 à 11 h 30 : un pro-gramme de 12 séances de mars à juin, dans le bois de Vincennes, conçu pour redonner le goût de l’activité physique aux jeunes mamans, leur permettre de faire des rencontres, d’échanger des conseils, de s’oxygéner, de s’accor-der un bon moment et de retrouver la forme. Les exercices se font en pous-sant bébé ou à l’arrêt. On travaille l’endurance, la posture, la souplesse, la force musculaire. Il suffit d’avoir débuté la rééducation périnéale, d’être

équipée d’une poussette, de chaus-sures de sport, d’un vêtement de pluie et d’une bouteille d’eau ! Rendez-vous sur la place de l’hôtel de ville.

� Nouveaux tarifs dégressifs en ce début d’année pour tous les cours en salle et en extérieur, pour les adultes, seniors, enfants et bébés.

� Renseignements au 06 68 83 55 44 ou aux lieux et heures de cours. www.gymvpourtous.fr – [email protected]

Roda de Rio à l’espace Daniel-Sorano ! Le dimanche 16 février à 15 h, l’association Léop’Art vous invite en Amérique latine pour découvrir la roda du Brésil. Festive et chaleu-reuse, la roda (ou ronde) est formée de capoei-ristes et sert à créer une ambiance propice au spectacle, au cours de laquelle s’affrontent les joueurs impressionnants. Enfants, ados, adultes, laissez-vous enchanter par la musique brésilienne, qui, par ses instruments tradition-

nels (berimbau, pandeiro, atabaque, agogo), rythme comme par magie les chants et les acrobaties de ces excellents capoeiristes.

� Gratuit et ouvert à tous. Nombre de places limité. Réservation obligatoire : [email protected].

Envie de vous occuper de vous ? L’association vincennoise Shiatsu & énergie propose un stage mensuel, qui permet à tous d’apprendre à se faire du bien. L’automassage shiatsu s’adresse à tous ceux qui veulent se rendre autonomes dans la gestion de leur stress, se détendre. Pendant ces 2 heures, on découvre des gestes simples que l’on peut utiliser tous les jours dans son quotidien. Prochains stages les dimanches 9 février et 9 mars de 12 h à 14 h, à l’espace Sorano. Deux heures pour apprendre à écouter son corps… et à lui répondre !

� Nombre de places limité. Inscriptions auprès de Michèle Cataldi au 06 98 52 44 18 – shiatsuenergie.com.

À l’initiative du Conseil des jeunes, les Vincennois de 11 à 20 ans peuvent pra-tiquer le basket, le badminton, la danse, le skate-board ou encore le football en

salle librement deux dimanches par mois au gymnase de l’Est, sous la responsabi-lité d’un animateur. Prochaines sessions les 9 et 23 février et 9 et 23 mars.

� Renseignements et inscriptions au 01 71 33 64 40. Les mineurs doivent fournir une autorisation parentale.


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Visite guidée de l’église Saint-LouisL’église Saint-Louis a été classée monument historique dans sa totalité en 1996. Pour découvrir ce patrimoine exceptionnel, une visite guidée (gratuite) est proposée sur place le dimanche 23 février à 16 h par l’association pour la mise en valeur de l’église Saint-Louis.

� Site Internet de l’association : www.stlouisvincennes.fr. Visite suivante le dimanche 4 mai.

Parkinson : formation des aidantsLe Comité France Parkinson de Paris et Val-de-Marne organise, le mercredi 5 février de 14 h à 17 h 30, une réunion d’information pour les aidants.

� Cœur de ville, salle Robert-Louis. Inscription (réservée en priorité aux aidants) obligatoire par téléphone au 01 45 20 22 20 et par courriel : [email protected] (mentionnez : Comité de Paris et du Val-de-Marne, Formation des aidants).

Cinéma solidaireLe Rotary-Club Paris Est fait projeter le mardi 4 février, en avant-première, au cinéma Le Vincennes (30, avenue de Paris), le film Dans l’ombre de Mary, avec Tom Hanks et Emma Thompson, consacré à l’histoire vraie de la naissance du film Mary Poppins. Destinées à tous les publics et tout particulièrement aux jeunes, les places sont exceptionnellement à 15 € : une partie de la recette collectée par le Rotary-Club Paris Est sera destinée à la Fondation pour la recherche sur le cerveau.

Vente de mimosaLe Lions-Club de Vincennes proposera une vente de mimosa le dimanche 9 février, sur le marché à l’angle de l’avenue du Château et de la rue de Fontenay, ainsi que place Jean-Spire-Lemaître. La vente de ces bouquets contribuera à l’achat d’un chien-guide qui sera offert à un déficient visuel.

Concert pour Entraide et partageL’association vincennoise Entraide et partage vous convie dimanche 9 février à 16 h 30 à un bel après-midi musical, préparé et offert par Christiane Becker-Derex et ses amis autour du Carnaval des animaux de Saint-Saëns. Des dons seront collectés au profit des personnes en grande précarité.

� Entrée libre, libre participation. Auditorium J.-P.-Miquel (Cœur de ville – 98, rue de Fontenay).


associations

SolidaritéRestaurants du cœurLes bénévoles des Restaurants du cœur du centre de Fontenay-sous-Bois accueillent les personnes en difficulté en vue notamment de l’aide alimentaire jusqu’à la fin du mois de mars au 2, rue Alfred-de-Musset à Fontenay-sous-Bois (à l’angle de la rue Michelet, à côté du LEP – tél. : 01 48 76 73 02), de 9 h à 11 h 30, du lundi au vendredi.Les inscriptions se poursuivent pendant toute la campagne, de 9 h à 11 h 30 les lundis, mardis, jeudis et vendredis. Les personnes souhaitant s’inscrire doivent se munir des documents justificatifs de leur identité, de leur situation de famille et des pièces originales justifiant de leurs ressources et de leurs charges ; ces documents sont rendus aussitôt.

Le centre de Fontenay a toujours besoin de bénévoles ayant la volonté de s’inves-tir dans ses activités. Les dons, permet-tant d’obtenir une réduction d’impôts dans le cadre de la loi Coluche, sont les bienvenus. Ils peuvent être envoyés à l’adresse ci-dessus par chèque à l’ordre des Restaurants du cœur du Val-de-Marne.

� Tél. : 01 48 76 73 02. Ouvert du lundi au vendredi de 8 h 30 à 11 h 30.

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ConférenceJules Verne, précurseur du monde moderneLa Société des amis de Vincennes propose le samedi 8 février à 15 h la conférence Jules Verne, précurseur du monde moderne : la vie et l’œuvre de l’écrivain seront présentées par Simonne Abraham-Thisse, agrégée d’histoire et chargée de recherches au CNRS.

� Maison des associations – salle Paul-Rumeau - Tarif : 5 € - gratuit pour les adhérents.

StagesÉcrire son histoire de vieÉcrire son histoire de vie : pour qui, pourquoi, quels fils tirer, jusqu’où ? Faut-il tout dire, tout écrire ? Sous quelle forme, avec quels mots ? C’est à ces questions – et à bien d’autres – que répondra le stage d’écriture de l’association vincennoise Au fil de la plume, intitulé Écrire son histoire de vie et la transmettre. Animé par Jean-Christophe Camus, auteur et animateur d’ateliers d’écriture, le stage se tien-dra à l’Ageca (quartier de Nation) aux dates suivantes avec des angles de travail chaque fois différents : vendredi 28 février, samedi 1er mars et dimanche 2 mars, Commencer son histoire de vie ; les 25, 26 et 27 avril, Poursuivre son histoire de vie ; et les 6, 7 et 8 juin Aboutir son histoire de vie et la transmettre.

� 10 participants maximum. Informations et inscriptions : 06 78 65 66 43 ou 01 43 74 82 66. [email protected] – www.aufildelaplume.fr

PratiqueFamille servicesL’association Famille services Vincennes s’engage à répondre à vos besoins en matière de service à la personne : enfants (garde temps plein ou partiel, aide aux devoirs, sortie d’école ou crèche), famille (ménage, repassage, bricolage), seniors (auxiliaire de vie, présence nuit et jour, courses, logement intergénérationnel). Munie de l’agrément qua-lité et fonctionnant en mode mandataire, l’association présente du personnel recruté sur expérience professionnelle et répondant à sa charte qualité ; elle assure les rempla-cements en cas de congés ou d’absence de ses intervenants.En rémunérant les intervenants par chèque emploi services (CESU) ou par la PAJE, vous bénéficiez d’une déduction d’impôts de 50 % des frais engagés.

� Contact : Maison des solidarités – 70, rue de Fontenay – tél. : 01 43 98 67 63 ou 68 04 – [email protected]

CommunicationAssociations, cette rubrique est la vôtre : n’hésitez à faire parvenir vos demandes de parution concernant votre actualité ou les événements que vous proposez à la rédac-tion de Vincennes info. Mais attention, pour qu’elles puissent être relayées dans votre magazine, ces informations doivent parvenir avant le 5 du mois précédant la parution.

� Par courriel : [email protected] – par voie postale : Mairie de Vincennes – rédaction de Vincennes info – BP 123 – 94304 Vincennes Cedex.

MusiqueAMAC : ateliers et soirée musicale

AteliersDécouverte de la mosaïque

Ateliers à Sorano

FormationSocial builderL’association Social builder accompagne la réussite des carrières des jeunes professionnel(le)s avec une offre de for-mations unique dédiée à la concrétisa-tion de leurs ambitions. Les thématiques proposées sont au croisement de savoir-être et compétences indispensables pour réussir les premières étapes d’un par-cours professionnel, et plusieurs rendez-vous sont prévus pendant ces prochaines semaines à la Maison des associations. Au programme ce mois-ci : le 8 février, professionnaliser son réseau ; le 9 février, mieux gérer ses émotions pour mieux s’affirmer ; le 9 février également, gérer les comportements difficiles ; le 1er mars, utiliser les principes du coaching dans sa pratique de manager ; le 2 mars, gérer ses priorités, et le 2 mars aussi : dévelop-per son sens politique.

� Pour vous informer et vous inscrire : www.socialbuilder.org

Sport cérébralOpen rapide d’échecs de VincennesLes Échecs de Vincennes organise dimanche 16 février à partir de 9 h 15 à l’hôtel de ville leur Open rapide d’échecs de Vincennes (tournoi A : classement ELO rapide 2 000 ou plus ; tournoi B : entre 1 600 et 1 999 ; tournoi C : inférieur à 1 600), doté de 22 prix pour une valeur totale de 1 770 €.

� Tarifs : 25 € adulte, 12 € jeune (sur place : 30 et 15 €). Inscriptions et renseignements : Émile Hargoues-Turon (06 68 36 72 39 le soir – [email protected]) ou PhilippeVaillant (06 85 53 86 65 le soir – [email protected]) – lesechecsdevincennes.fr

L’AMAC, association des musiques pour adultes au conservatoire, pro-pose à l’auditorium Jean-Pierre-Miquel (Cœur de ville - 98, rue de Fontenay) sa soirée musicale de Saint-Valentin le mardi 11 février à 19 h 30. Les adhé-rents présenteront leur travail du 1er tri-mestre : violon, piano, chant, clarinette, contrebasse, harpe et bien d’autres.

� Entrée libre - Réservation 01 71 33 64 03 - [email protected]’AMAC propose tout au long de l’an-née des ateliers musicaux variés avec une pédagogie adaptée et des profes-seurs de qualité dans un environnement approprié. À découvrir notamment cette année, l’atelier d’histoire de la musique, qui a ouvert le 24 janvier : il propose à tous les publics de s’initier aux grands courants musicaux à l’aide d’exemples choisis sur disques et de méthodes d’analyse d’écoute transposables dans la vie culturelle quotidienne (recon-naissance de musiques à la radio, d’ins-truments aux concerts, de styles dans une pratique musicale…) : du Moyen Âge et de la Renaissance au baroque, à l’époque romantique et au XXIe siècle… Il est toujours possible de s’inscrire !

D’autre part, l’AMAC projette d’ouvrir un atelier de musique latino-améri-caine : une musique qui réunit influences précolombiennes, européennes et afri-caines, pour exprimer tour à tour la nos-talgie la plus profonde ou la fête la plus intense… Ouvert à tous les instruments y compris la voix, à tous les niveaux (les arrangements sont écrits en fonc-tion des ressources instrumentales), cet atelier abordera aussi bien les succès les plus connus que les trésors cachés à découvrir.

� Contacts et permanence : Chantal Belleteix du lundi au vendredi de 13 h 30 à 17 h à Cœur de Ville (2e étage bureau 2-06) – tél : 01 71 33 64 03. [email protected] – www.amacvincennes.fr

Artmosaik est une nouvelle association installée à Vincennes. Elle propose des ateliers de création, des expositions, des vente d’œuvres et bien sûr un enseigne-ment des techniques de la mosaïque pour adultes et enfants ; et la promotion de l’art du tissage. Des cours sont donc proposés de septembre à juin, ainsi que des stages enfants pendant les vacances scolaires.

� 23, avenue de Paris. Renseignements au 06 38 68 25 33 et par courriel : [email protected]

Une nouvelle année vient de commencer ! Quoi de mieux pour surmonter l’hiver qu’une pratique sportive ou artistique ? L’espace Daniel-Sorano est toujours là pour vous accueillir et vous faire découvrir de nouvelles activités plus riches les unes que les autres. Vous avez envie de dessiner ? de sculpter ? Envie de danser et de chanter ? Envie d’apprendre des langues étrangères ? De vous relaxer ou de vous maintenir en forme ?Grâce à l’apprentissage de nouvelles techniques et savoir-faire, l’espace Daniel-Sorano vous pro-

pose de découvrir et de voyager à travers de nouveaux horizons. Vous y appren-drez, vous vous y divertirez, vous vous y cultiverez. Venez vite, il reste quelques places disponibles pour diverses activités ! Et depuis le 1er janvier, les tarifs sont en baisse sur tous les ateliers.

� Plus d’informations sur www.espacesorano.com ou par téléphone au 01 43 74 73 74


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VINCENNES INFOS 87Lx56H 3adr_Hres.indd 1 03/09/2013 18:41:58

Agence 64 rue de Montreuil, 94300 VINCENNES

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Syndic et geStion92 av. du Président Wilson, 93100 Montreuil

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Cabinet Louis-Porcheret

Administrateur d’immeubles - Gérance Locations - Transactions immobilières

Depuis 1947, 3 agences sur l’est parisien

COUSCOUS FLASH®COUSCOUS FLASH®

Vite on livre ! Chez vous en moins d'une heure.Du couscous à domicile : une réalité !

VINCENNES

7j/7 - LIVRAISON GRATUITE - Paiement par ticket restaurant accepté. Limite deconservation : 48 heures au frais. Les prix s’entendent par personne. Pour les groupes, nous consulter.L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.

PLATSCouscous Royal 15,30€(mouton, boulette, merguez, poulet,bouillon, légumes, semoule, pois chiches,harissa maison)Couscous Maison 13,80€(mouton ou poulet ou boulette accompagnéd’une merguez, bouillon, légumes, semoule,pois chiches, harissa maison)Couscous Méchoui 14,30€(carré d’agneau accompagné d’une merguez,bouillon, légumes, semoule, pois chiches,harissa maison)Tajines 15,90€(agneau ou poulet ou poisson bouillon, auxpetits légumes, oignons, tomates, pommesde terre, boulette, pruneaux)

PLATSKemias - Tapas 6,50€(8 assortiments d’amuse-bouche)Bricks à l’œuf et au thon 6,00€

DESSERTSPâtisserie orientale 3,90€Salade de fruits frais 3,90€

BOISSONSVin du Maghreb 75 cl 13,10€Vin Français 75 cl 16,10€Coca, Orangina, Bière 33 cl 4,10€

Tél. : 01 43 74 80 56

Possibilité de couscous et plats à emporter sur place : 10% de réductionRestaurant le Méditerranée - 14 rue Robert Giraudineau - 94300 Vincennes

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Du 31 janvier au 3 févrierRencontres internationales du cinéma de patrimoineEn divers lieux de Vincennes

Jusqu’au 19 févrierExposition : Symphonie plastique Le Carré – 1, rue de l’Égalité

Jusqu’au 22 févrierExposition : Le nu féminin de 1850 à 1960 Galerie Frémeaux – 20, rue Robert-Giraudineau

Jusqu’au 20 marsAide aux démarches admission postbac Le Carré – 1, rue de l’Égalité

Samedi 1er février• Atelier multimédia :

musique assistée par ordinateur Médiathèque, espace formation multimédia de 10 h 30 à 12 h 30

• Contes : Bruissement d’images Salle des Académiciens à 11 h

• Balade commentée : Silence on tourne ! par l’Office de tourisme

• Braderie des écoles de l’Est De 11 h 30 à 17 h

Dimanche 2 février• Les Foulées de Vincennes

Départs cours Marigny à 9 h 15, 10 h 15, 10 h 45

• Animations seniors : tournoi de cartes 70, rue de Fontenay à 14 h 30

Lundi 3 févrierRemise des prix Henri-Langlois en direct sur vincennes.fr

Mardi 4 févrierCinéma avec le Rotary-Club : Dans l’ombre de Mary Cinéma le Vincennes – 30, avenue de Paris

Du 4 au 16 févrierExposition photo : Vincent Gramain et Chloé Dupeyrat Espace Daniel-Sorano

Mercredi 5 février• Réunion d’information du comité France

Parkinson Cœur de ville, salle Robert-Louis de 14 h 30 à 17 h 30

• Croc’histoires Cœur de ville, salle du Bouche-à-Oreille à 10 h 30 et 11 h

Jeudi 6 févrierHeure musicale Conservatoire, salle Berlioz à 19 h

Jeudi 6 et vendredi 7 févrierDanse : L’Objet du délice Espace Daniel-Sorano à 20 h 30

Samedi 8 février• Forum des métiers

Hôtel de ville et Cœur de ville de 10 h à 17 h• Visite-découverte de l’hôtel de ville

Dans le cadre du label Ville d’art et d’histoire Hôtel de ville à 15 h

• Théâtre jeune public : Linéa Auditorium Jean-Pierre-Miquel à 15 h

• Concert : Prima la musica ! Auditorium Jean-Pierre-Miquel à 20 h 30

• Sorano Jazz : Samy Daussat & Tchavolo Schmitt Espace Daniel-Sorano à 20 h 30

• Conférence par la Société des amis de Vincennes : Jules Verne Maison des associations, salle Paul-Rumeau à 15 h

Samedi 8 et dimanche 9 févrierGala de danse classique du conservatoire : De la Renaissance à Britten Centre culturel Georges-Pompidou, le samedi à 19 h 30 et le dimanche à 15 h

Dimanche 9 févrierConcert au profit d’Entraide et partage Auditorium Jean-Pierre-Miquel à 16 h 30

Lundi 10 févrierConcert des orchestres à vent du conservatoire Auditorium Jean-Pierre-Miquel à 20 h

Mardi 11 février• Animations seniors : thé dansant

70, rue de Fontenay à 14 h 30• Soirée musicale par l’Amac

Auditorium Jean-Pierre-Miquel à 19 h 30

Mercredi 12 février• Clés pour comprendre la symbolique militaire

Château de Vincennes de 14 h à 15 h• Théâtre : Inconnu à cette adresse

Centre culturel Georges-Pompidou à 20 h 30• Auditions du conservatoire : Voyage à Paris

Auditorium Jean-Pierre-Miquel à 19 h

Jeudi 13 et vendredi 14 févrierDanse : L’Objet du délice Espace Daniel-Sorano à 20 h 30

Jeudi 13 février• L’École des parents :

La crise d’adolescence : s’opposer pour grandir Hôtel de ville, salle du Conseil à 20 h 30

• Conférence Au cœur des savoirs : La politique familiale française Auditorium Jean-Pierre-Miquel à 14 h 30

• Heure musicale Conservatoire, salle Berlioz à 19 h

• Animations seniors : Atelier rire et détente 70, rue de Fontenay à 15 h 30

Vendredi 14 et samedi 15 févrierConcert : Les Clés d’Euphonia Auditorium Jean-Pierre-Miquel à 20 h 30

Vendredi 14 février• Saint-Valentin

Sur les journaux lumineux de la ville• Café culturel

Cœur de ville, salle des Académiciens à 19 h• Auditions du conservatoire : L’amour

Conservatoire, salle Berlioz à 19 h 30

Samedi 15 février• Samedis du film documentaire :

Strand sous le drap noir Cœur de ville, salle des Académiciens à 16 h 30

• Ateliers cinéma pour les plus jeunes Office de tourisme à 14 h

Dimanche 16 févrierOpen rapide d’échecs par les Échecs de Vincennes Hôtel de ville à 9 h 15

Mercredi 19 février Ateliers cinéma pour les plus jeunes Office de tourisme à 14 h

Jeudi 20 févrierConférence santé : L’isolement des personnes âgées et ses conséquences Cœur de ville, salle Robert-Louis à 14 h 30

Dimanche 23 févrierVisite guidée de l’église Saint-Louis 22, rue Faÿs à 16 h

Jeudi 27 févrierCafé philo : Qu’est-ce qu’une rencontre ? Maison des solidarités à 15 h

Du 3 au 23 marsExposition : aquarelles d’Annick Souchet Espace Daniel-Sorano

Mercredi 5 marsCroc’histoires Cœur de ville, salle du Bouche-à-Oreille à 10 h 30 et 11 h

Jeudi 6 marsConférence Au cœur des savoirs : Faut-il une Europe sociale ? Auditorium Jean-Pierre-Miquel à 14 h 30

Vendredi 7 marsSorano chante : Mônica Passos Espace Daniel-Sorano

Samedi 8 mars• Comptines : Zille, Zaille, Zouille

Bibliothèque Ouest Christine-de-Pisan à 10 h 30• Ciné-concert : King Kong

Auditorium Jean-Pierre-Miquel à 15 h• Conférence : La vie et l’œuvre de Modigliani

Salle des Académiciens (Cœur de ville) à 16 h• Concert : Prima la Musica !

Auditorium Jean-Pierre-Miquel à 20 h 30• Sorano Jazz : Éric Le Lann Trio

Espace Daniel-Sorano à 20 h 30

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Possibilité de couscous et plats à emporter sur place : 10% de réductionRestaurant le Méditerranée - 14 rue Robert Giraudineau - 94300 Vincennes

annonce couscous 184x122.qxp_AnnonceCouscousFlash 10/01/2014 14:36 Page1



agenda


pratiqueVie pratiqueMonoxyde de carbone, danger !On recense environ 6 000 intoxications et 300 décès dus au monoxyde de carbone par an : les risques d’intoxications ont souvent pour origine des négligences d’entretien ou de mise en conformité des installations de chauffage. Les sources de monoxyde de carbone dans l’habitat sont les différents appareils à combustion (chaudière, chauffe-eau, chauffage mobile d’appoint…). N’oubliez pas de faire vérifier régulièrement vos installations par un professionnel, entretenez les appareils et pensez à aérer et ventiler votre logement même en hiver.

Cheminées à foyer ouvert : feux interdits à partir de 2015L’utilisation de cheminées à foyer ouvert est déjà interdite en Île-de-France depuis 2007, sauf pour l’agrément ou le chauffage d’appoint. Dans le cadre du Plan de protection de l’atmosphère pour l’Île-de-France, cette interdiction sera généralisée à partir du 1er janvier 2015 en « zone sensible » du Schéma régional du climat de l’air et de l’énergie – une zone dont fait partie Vincennes. Cette mesure vise principalement à diminuer les niveaux de concentration de particules fines (PM10) dans l’air ambiant, auxquels le chauffage au bois contribue à hauteur de 23 %, soit autant que l’échappement des véhicules routiers. Les inserts (dont la mise en place est éligible au crédit d’impôt développement durable) resteront autorisés, et le renouvellement des appareils anciens par des équipements performants est encouragé.

� Plus de renseignements sur www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr

En brefCarte nationale d’identité : validité étendueÀ noter : la durée de validité de la carte nationale d’identité est désormais portée à 15 ans. Cette mesure d’allongement de la durée de validité s’applique aux cartes nationales d’identité sécurisées délivrées à compter du 1er janvier 2014. Quant aux cartes d’identité sécurisées en cours de validité au 1er janvier 2014 et délivrées à des personnes majeures, leur durée de validité est prolongée de cinq ans, nonobstant la date inscrite sur le titre.

VoirieEn cas de neige ou de verglas

En cas de verglas, les propriétaires ou locataires doivent répandre du sel ou du sable sur le trottoir situé devant leur domicile – sauf dans les rues nouvellement pavées du centre-ville, où le sel n’est pas approprié et où les services municipaux interviendront avec des produits adaptés. Attention : il ne faut évidemment surtout pas jeter d’eau, afin d’éviter la formation de glace.En cas de neige, les propriétaires ou locataires sont tenus de déneiger le trottoir en façade de leur domicile et de mettre la neige en tas le long du caniveau pour faciliter son enlèvement.

PropretéCollecte des textilesDes bornes ont été mises à votre disposition pour la collecte des textiles : l’une avenue des Murs-du-Parc, près du centre de secours et de la station Vélib’, et l’autre à l’angle de la rue des Vignerons et de l’avenue de Paris. Compte tenu du succès de ces bornes, la collecte assurée par un véhicule lors du marché de la place Diderot est désormais supprimée. La collecte de textiles proposée le 2e dimanche du mois lors du marché rue de Fontenay (à proximité de la mairie) est pour sa part maintenue : prochaine collecte le dimanche 9 février.

Centre des finances publiquesLe Centre des finances publiques qui regroupe le service des impôts aux particu-liers, celui des entreprises et la trésorerie municipale sera désormais ouvert les lundi, mardi, mercredi et vendredi de 8 h 45 à 12 h puis de 13 h 30 à 16 h 15 et le jeudi matin de 8 h 45 à 12 h.

� 130-132, rue de la Jarry. Le Centre des impôts fonciers situé à Créteil est quant à lui ouvert de 9 h à 12 h et de 13 h à 16 h, les lundi, mardi, mercredi et vendredi, et de 9 h à 12 h le jeudi.

� 1, place du Général-Pierre-Billotte à Créteil

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CitoyennetéRecensement en cours à Vincennes

Jusqu’au 22 février, les agents recenseurs vont à la rencontre des Vincennois. Depuis 2004, le recensement de la population a en effet lieu chaque année dans les villes de plus de 10 000 habitants, auprès d’un échantillon de 8 % de la population. Si votre logement appartient à l’échantillon concerné cette année, les questionnaires du recensement vous sont adressés à partir de la mi-janvier.Préparée et réalisée par la commune, l’enquête de recensement est contrôlée par l’INSEE. La loi rend obligatoire la réponse à cette enquête, effectuée par des agents recenseurs identifiables grâce à une carte officielle tricolore, sur laquelle figurent leur photographie et la signature du maire. Ces enquêteurs sont tenus au secret professionnel, les réponses demeurant évidemment confidentielles et étant protégées par la loi. L’agent recenseur peut vous aider à remplir les questionnaires, qu’il récupérera ensuite et que vous pourrez également déposer sous enveloppe à l’hôtel de ville.

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pratiqueScolaritéInscriptions scolaires pour la rentrée 2014

Les enfants vincennois qui fréquenteront à la rentrée 2014 pour la première fois une école maternelle ou élémentaire de la Ville doivent être obligatoirement inscrits auprès de l’accueil de l’hôtel de ville (53 bis, rue de Fontenay).Les inscriptions scolaires ont lieu jusqu’au 22 mars (sauf les jeudis matin) sans rendez-vous. Sont concernés :• enfants entrant à l’école élémentaire :- les enfants vincennois quittant la maternelle pour

entrer en cours préparatoire, âgés de 6 ans et plus au 31 décembre 2014 ;

- les nouveaux élèves récemment installés dans notre ville (présentation obligatoire du certificat de scolarité de l’ancienne école lors de l’inscription et du certificat de radiation auprès du directeur fin juin) ;

• enfants entrant à l’école maternelle :- les enfants nés jusqu’au 31 décembre 2011, entrant

pour la première fois à l’école maternelle à Vincennes, pourront faire l’objet d’une demande d’inscription pour la rentrée scolaire 2014.

Documents à présenter :- livret de famille ou acte de naissance récent de

l’enfant ;- en cas de séparation, jugement précisant votre

qualité de responsable légal de l’enfant et titulaire de la résidence de l’enfant ;

- pièce d’identité d’un des deux parents ;- carnet de santé (vaccinations) ;- 2 justificatifs de domicile récents tels que : quittance

EDF, taxe d’habitation, contrat de location, acte de vente (sauf facture téléphonique) ;

- certificat de scolarité pour les élèves actuellement scolarisés dans une autre commune ;

- numéro de CAF ;- nom et adresse des employeurs des parents.Pour le calcul du quotient familial année civile 2014 :- avis 2013 d’imposition sur les revenus 2012 ;- notification des droits et paiements de la CAF ;- allocations de perte d’emploi ou attestation de

paiement Pôle emploi.Consultez également www.vincennes.fr où vous pouvez retrouver l’ensemble des pièces et documents à fournir. Pour toute information complémentaire : 01 43 98 68 00 (serveur vocal inscriptions scolaires). Accueil les lundi, mardi et mercredi de 8 h 30 à 17 h 45, jeudi de 12 h à 19 h 15, vendredi de 8 h 30 à 16 h 45 et samedi de 8 h 30 à 12 h.

Bloc-NotesPréinscriptions aux séjours de printemps

La ville de Vincennes organise pendant les vacances de printemps au centre municipal Les Primevères à Habère-Poche (Haute-Savoie) un séjour pour les 6-10 ans et un séjour pour les 10-14 ans, du samedi 12 au samedi 19 avril (8 jours) ; les inscriptions ont lieu jusqu’au 7 février. Les parents intéressés sont invités à remplir et renvoyer ou déposer avant le vendredi 7 février le bulletin de préinscription disponible sur l’espace famille de vincennes.fr et dans les accueils municipaux.

� Renseignements au 01 43 98 65 00 et sur vincennes.fr

Attribution des places en crècheÀ Vincennes, les commissions d’attribution des places en crèche sont publiques. La prochaine commission aura lieu le vendredi 7 février à 15 h, salle Paul-Rumeau à la Maison des associations.

Point info petite enfance

Par ailleurs, des points info petite enfance sont organisés régulièrement pour présenter aux familles l’ensemble des modes d’accueil existants à Vincennes ; prochain rendez-vous le mercredi 12 février à 19 h salle Robert-Louis à Cœur de ville.

Lieu d’accueil enfants-parentsLe point d’accueil enfants-parents (7 bis, rue de la Liberté) accueille un samedi matin par mois, anonymement, sans inscription, des enfants de moins de 4 ans accompagnés d’un adulte. Une psychologue et une éducatrice de jeunes enfants sont présentes pour soutenir les parents dans leur rôle et leur permettre d’échanger afin de trouver des réponses aux questions de la vie de tous les jours, pendant que les enfants sont occupés. Prochain rendez-vous le 22 février de 10 h à 12 h 30.

Permanences écoutes jeunes au CarréDes permanences écoutes jeunes sont régulièrement proposées aux 16-25 ans au Carré (1, rue de l’Égalité) avec une psychologue, sur rendez-vous au 01 71 33 64 40. Prochaines permanences les mercredis 5 février et 5 mars de15 h à 18 h.

Opération tranquillité vacancesLes vacances d’hiver se déroulent du samedi 15 février au dimanche 2 mars. Si vous partez, sachez que l’opération tranquillité vacances est reconduite par les services de police à chaque période de congés scolaires. En signalant au plus tôt les dates de vos vacances, vous permettrez aux forces de sécurité de mieux prendre en compte vos absences et renforcer leur présence dans les quartiers pendant ces périodes propices aux vols par effraction. Pour y participer, il suffit de se présenter au commissariat au préalable (23, rue Raymond-du-Temple) ou à la police municipale (5, rue Eugène-Renaud), muni d’un justificatif de domicile.

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pratique

POLICE MUNICIPALE ..................................................... 01 71 33 64 15POLICE NATIONALE ........................................... 01 41 74 54 54 ou 17GENDARMERIE NATIONALE (Créteil) .......................... 01 49 80 27 00POMPIERS ........................................................................................... 18MAIRIE DE VINCENNES ................................................. 01 43 98 65 00ALLÔ PROPRETÉ VINCENNES ..................................... 0 800 77 00 66URGENCES SÉCURITÉ GAZ NATUREL ........................ 0 800 47 33 33DÉPANNAGE ERDF ......................................................... 0 810 333 294EAUX (service clients) .................................................... 0 811 900 900EAUX numéro d’urgence/fuites (24 h/24) ...................... 0 811 900 918CENTRE ANTIPOISON .................................................... 01 40 05 48 48ALLÔ ENFANCE MALTRAITÉE ........................................................ 119PERSONNES ÂGÉES MALTRAITÉES .......................................... 39 77VIOLENCES CONJUGALES .......................................................... 39 19SAMU SOCIAL .................................................................................. 115FIL SANTÉ JEUNES ......................................................... 0 800 235 236LIGNE DES SENIORS DE VINCENNES ......................... 0 805 11 94 00

Numéros utiles

En brefAssociation des paralysés de FranceCette permanence mensuelle a lieu un mercredi par mois de 16 h à 18 h sur ren-dez-vous auprès de l’accueil de la Maison des solidarités (70, rue de Fontenay – tél. : 43 98 68 93). La prochaine perma-nence aura lieu le mercredi 12 février.

Vaccinations

La plateforme départementale de vac-cination du Val-de-Marne propose à Vincennes un service de vaccinations gratuit et ouvert à tous au centre de santé Pierre-Souweine. Prochain rendez-vous le mercredi 19 février de 13 h 30 à 17 h 30.

� Renseignements (informations pratiques, vaccins concernés…) au 01 53 66 32 61.

Don de sang

Le sang est indispensable au fonctionne-ment du corps humain. Rien ne peut le remplacer, c’est pourquoi le don de sang est si important. Composé de plasma, de plaquettes, de globules rouges et blancs, il permet de soigner chaque année un million de malades en France. 1 700 dons quotidiens sont nécessaires pour cou-vrir les besoins en produits sanguins des 280 établissements de santé franciliens. Les prochaines collectes de sang à Vincennes auront lieu le dimanche 16 février de 9 h à 13 h et le lundi 17 février de 14 h 30 à 19 h 30 dans la salle des fêtes de l’hôtel de ville – 53 bis, rue de Fontenay.

Centre de santé municipalConsultations

Le centre Pierre-Souweine propose à tous l’accès à différentes consultations et à des soins : soins infirmiers (au centre en semaine de 8 h à 12 h et de 14 h à 18 h), gynécologie médicale (le mardi matin sur rendez-vous), rhumatologie (sur rendez-vous le mercredi de 14 h à 17 h et le vendredi de 9 h à 12 h et de 13 h 30 à 16 h 30), pédicurie (le mercredi matin de 8 h à 12 h sur rendez-vous, pour les personnes âgées, sous conditions de ressources).

� Centre Pierre-Souweine – 6, avenue Pierre-Brossolette – Tél. : 01 53 66 32 60 ou 61. Ouvert du lundi au vendredi de 8 h à 12 h et de 13 h 30 à 18 h. En dehors des heures d’ouverture, vous pouvez laisser un message sur un répondeur-enregistreur.

Lutte contre les troubles de la mémoireDédié à l’information des seniors en matière de santé, le centre de santé et d’informations gérontologiques Pierre-Souweine est une structure munici-pale qui offre plusieurs services de prévention en matière de troubles de la mémoire. Il propose notamment des séances de dépistage, accessibles sur rendez-vous, aux personnes de plus de 60 ans ainsi que, pour les personnes concernées, des ateliers de stimulation cognitive.

� Pour plus d’informations, vous pouvez vous adresser directement au centre Pierre-Souweine ou téléphoner sur ces sujets au 01 53 66 32 64.

Cancer du sein : groupes de paroleEn partenariat avec la Ville, l’association Espoir et vie avec le cancer du sein pro-pose des groupes de parole aux femmes atteintes par le cancer du sein et à leurs proches : prochains rendez-vous les mercredis 5 et 19 février de 14 h 30 à 16 h 30 au centre Pierre-Souweine.

� Entrée libre et gratuite sans réservation préalable – informations au 01 48 08 06 99 ou [email protected]

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pratique

2 févrierPharmacie BIJAOUI57, rue de Fontenay

9 févrierPharmacie BELALLAM2, place Jean-Spire-Lemaître

16 févrierPharmacie SEBAG36, avenue du Château

23 févrierPharmacie CROSNIER18, avenue Georges-Clemenceau

2 marsPharmacie POBEL2, rue du Maréchal-Maunoury

� Chaque soir après 20 h, les pharmaciens de Vincennes, Fontenay et Saint-Mandé assurent un service de garde. Le porteur de l’ordonnance doit se rendre au commissariat de Vincennes (23, rue Raymond-du-Temple) où la pharmacie de garde du secteur lui sera indiquée ; aucun renseignement n’est donné par téléphone.

Garde des pharmaciesLes dimanches et jours fériés

Chaque soir, et les dimanches et jours fériés, le SAMI (Service d’accueil médical initial) ouvre ses portes au centre Pierre-Souweine (6, avenue Pierre-Brossolette). Vous pouvez y bénéficier de consulta-tions médicales assurées par un médecin généraliste de permanence quand le cabi-net médical de votre médecin est fermé. Les consultations sont remboursées sur la base des tarifs conventionnels de la Sécurité sociale. Si vous êtes titulaire de la couverture médicale universelle (CMU), il faudra vous munir de votre attestation personnelle et actualisée.Attention, le SAMI n’est en aucun cas un service d’urgence comme à l’hôpital, vous ne pouvez donc pas y bénéficier

de radiographie ni d’examen de sang. Il ne permet pas la délivrance des médi-caments. Si votre état le nécessite, le médecin vous fera une prescription et vous obtiendrez les médicaments en vous adressant à la pharmacie de garde.

� SAMI – centre Pierre-Souweine – 6, avenue Pierre-Brossolette – ouvert de 20 h à 23 h 45 en soirée (du lundi au samedi), et de 8 h à 23 h 45 les dimanches et jours fériés. En cas d’urgence, appelez le 15.

Santé

Médecins généralistes de garde (SAMI)

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L’hôpital militaire Bégin (69, avenue de Paris à Saint-Mandé – tél. : 01 43 98 50 01) assure un service d’urgence 24 h/24, y compris en gynécologie obstétricale. Il reçoit sans discrimination géographique l’ensemble des patients qui s’y présentent.En cas d’intervention des pompiers, du SAMU, etc., ceux-ci ont pour instruction d’orienter les patients vers les hôpitaux dont les services d’urgence sont les moins débordés au moment de la prise en charge.- Urgences bucco-dentairesDimanches et jours fériés – Tour de garde assuré par le Conseil de l’ordre des chirurgiens-dentistes du Val-de-Marne.Tél. : 01 48 52 31 17.- Urgences pédiatriquesPour les enfants de moins de 15 ans, orientez-vous directement vers l’hôpi-tal Trousseau (26, avenue du Docteur-Arnold-Netter – 75012 Paris). Tél. : 01 44 73 64 87.- Urgences respiratoires (kinésithérapie)Les week-ends et jours fériés, un tour de garde est assuré par les kinésithérapeutes vincennois. Renseignez-vous auprès de votre kinésithérapeute.

Le Réseau bronchiolite Île-de-France (www.reseau-bronchio.org) assure aussi, jusqu’au 23 février, un réseau de garde médicale et de kinésithérapie. Des méde-cins libéraux disponibles 7 j/7 de 9 h à 23 h assurent les consultations pour répondre aux besoins des nourrissons atteints de bronchiolite – tél. : 0 820 800 880 (0,12 € / min). Des kinésithérapeutes libéraux sont également disponibles les week-ends et jours fériés de 9 h à 18 h – tél. : 0 820 820 603 (0,12 € / min).- Centre antipoisonHôpital Fernand-Widal (200, rue du Faubourg-Saint-Denis – 75010 Paris).Tél. : 01 40 05 48 48.

Hôpitaux des environs• Hôpital Bégin – 69, avenue de Paris

à Saint-Mandé – 01 43 98 50 00.• Centre hospitalier Henri-Mondor

51, avenue du Maréchal-de-Lattre-de-Tassigny à Créteil – 01 49 81 21 11.

• Hôpital intercommunal André-Grégoire 56, boulevard de la Boissière à Montreuil – 01 49 20 30 40.

• Hôpital Armand-Brillard – 3, avenue Watteau à Nogent-sur-Marne – 01 43 94 81 00.

• Hôpital Saint-Antoine – 184, rue du Faubourg-Saint-Antoine à Paris XIIe – 01 49 28 20 00.

• Hôpital Rothschild – 5, rue Santerre à Paris XIIe – 01 40 19 30 00.

• Hôpital Tenon – 4, rue de la Chine à Paris XXe – 01 56 01 70 00.

• Hôpital Trousseau – 26, avenue du Docteur-Arnold-Netter à Paris XIIe – 01 44 73 74 75.

• Hôpitaux de Saint-Maurice – 12/14, rue du Val-d’Osne à Saint-Maurice. Standard soins de suite et de réadaptation et dialyse : 01 43 96 63 63 – standard maternité : 01 43 96 60 68 – standard psychiatrie : 01 43 96 61 61.

Urgences médicales

Erratum concernant Vincennes, le Guide 2013 /2014Contrairement à ce qui est indiqué p. 69 du guide annuel de la ville (rubrique santé), le Dr xavier Iscovici, qualifié en angéiologie, exerce exclusivement en tant que médecin vasculaire (angéiologue).Cabinet : 8, rue du Lieutenant-Heitz – tél. 01 43 98 15 15.

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FinancesLe Conseil a approuvé (à la majorité – 8 abst. : élus verts, socialistes, Ensemble à gauche) une décision modificative pour l’exercice 2013 qui s’équilibre, en recettes et en dépenses, à hauteur de 81 021 € pour le budget principal de la ville. Il a aussi autorisé, jusqu’à l’adop-tion du budget primitif 2014 – qui aura lieu après les élections municipales –, l’engagement, la liquidation et le paie-ment de dépenses d’investissement (à hauteur au maximum de 25 % du budget 2013) : immobilisations incor-porelles (406 668,86 €), subventions d’équipement aux personnes privées (1 107 413,25 €), immobilisations cor-porelles (4 907 696,90 €), autres immo-bilisations financières (2 430 750,00 €), projet de ville (1 772 364,54 €), mater-nelle Ouest (291 734,32 €), centre spor-tif H.-Berlioz (200 000 €).Le Conseil a aussi voté des acomptes de subvention à valoir sur 2014 (pour un quart des montants 2013) aux orga-nismes suivants : à l’unanimité, Caisse des écoles (1 115 769 €), Centre com-munal d’action sociale (164 875 €), Mission locale des villes du nord du bois (15 610 €), Amicale du person-nel territorial de la ville de Vincennes (175 000 €), Vincennes en concert – Prima la Musica ! (13 125 €), Festival America (20 000 €), Rencontres inter-nationales du cinéma de patrimoine (11 250 €), Association vincennoise pour l’aide à domicile (18 750 €), Clubs loi-sirs découvertes (30 000 €), Protection, amélioration, conservation et transfor-mation de l’habitat, PACT de Vincennes (14 250 €), Club olympique vincennois (11 250 €), Rugby Club de Vincennes (9 000 €), Vincennes Volley Club (11 500 €) ; et à la majorité (8 abst. : élus

verts, socialistes, Ensemble à gauche), espace Daniel-Sorano (117 750 €).Il a aussi accordé (à la majorité : 1 abst., Ensemble à gauche – MM. Serne et Lebeau, membres du Conseil d’admi-nistration de l’OPH, ne prennent pas part au vote) la garantie de la Ville pour une ligne de crédit de 1 M€ que l’Office public de l’habitat de Vincennes se pro-pose de contracter auprès de la BRED, afin de financer ses besoins ponctuels de trésorerie.

La subvention départementale 2013 aux associations locales a d’autre part été répartie de la façon suivante : • à 1 association patriotique, 970 € (à la majorité – 4 abst. : élus verts, Ensemble à gauche) ;• à 18 associations culturelles, 6 480 € (à l’unanimité) ;• à 12 associations sociales, 11 745 € (à l’unanimité) ;• à 21 associations sportives, 10 006 € (à l’unanimité) ;• à 6 associations de jeunesse, 1 820 € (à l’unanimité).Le Conseil a aussi versé le solde des subventions communales aux associa-tions sportives à hauteur de 23 750 € à 13 de ces associations.

Le Conseil s’est réuni également le 20 janvier pour fixer les montants de la base minimum servant à l’établis-sement de la cotisation foncière des entreprises (CFE), adoptés à la majo-rité (4 v. contre : MM. de Landes, Blais, Mmes Danré, Combe – 7 abst. : élus socialistes, verts, Ensemble à gauche). Lire notre article p. 11.

LogementLe Conseil municipal a approuvé la cession de l’immeuble 144, rue de Montreuil au prix de 1 260 000 € à la société immobilière 3F, bailleur social, qui souhaite y réaliser une opération d’aménagement de logements sociaux. Cet immeuble avait été acquis par la Ville en mai dernier par voie de pré-emption pour le même prix.Il a accordé à la société Valophis Habitat la garantie de la Ville pour un emprunt de 1 164 540 € contracté auprès de la

Caisse des dépôts et consignations afin de réaliser une opération d’acquisition-amélioration d’un immeuble de 11 loge-ments sociaux situé 25, rue de Belfort, et une subvention pour surcharge fon-cière de 375 000 € pour cette opération (unanimité).Le Conseil a aussi accordé à Valophis Habitat une subvention pour surcharge foncière de 650 000 € pour l’opération de construction d’un immeuble de 30 loge-ments sociaux au 209, rue Diderot et 1 / 1 ter, rue Georges-Lamouret.Il a accordé à la société Sogemac Habitat la garantie de la Ville pour un emprunt de 200 000 € contracté auprès de la Caisse des dépôts et consignations pour une opération de réhabilitation d’un immeuble de 15 logements sociaux au 80, avenue de Paris (unanimité).

Le Conseil municipal a d’autre part attri-bué au département du Val-de-Marne (unanimité) une subvention abondant le Fonds de solidarité habitat à hauteur de 0,15 € par habitant, soit 7 343,25 € pour l’année 2013.Il a approuvé (unanimité) l’avenant n° 2 à la convention d’intervention fon-cière proposé par l’Établissement public foncier d’Île-de-France (EPFIF), qui s’est engagé dans ce cadre à accom-pagner la politique foncière locale en vue de la réalisation de programmes d’habitat. Les objectifs de réalisation de logements et de logements sociaux dans le cadre de cette convention étant atteints ou dépassés à son achèvement au 12 mars prochain, sa durée est prolon-gée conformément au souhait de l’EPFIF jusqu’au 31 décembre 2017 et son enve-loppe financière portée à 30 millions d’€.Le Conseil municipal a approuvé (à la majorité – MM. Lebeau et Serne ne prennent pas part au vote) l’avenant à la convention passée entre la Ville et l’Office public de l’habitat attribuant une subvention de 80 000 € à l’office pour l’année 2013.

Urbanisme, cadre de vieLe Conseil municipal a approuvé (à la majorité – 4 abst. : élus verts, Ensemble à gauche) des modifications du Plan local d’urbanisme. Pour mémoire,

Au dernier conseil municipalLe Conseil municipal s’est réuni le 18 décembre et le 20 janvier dernier : il a notamment voté des délibérations en matière de finances, de logement et d’urbanisme.

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démocratie locale

une enquête publique s’est déroulée du 29 avril au 1er juin dernier sur ces questions.• La première modification portait sur

la définition des CINASPIC (construc-tions et installations nécessaires aux services publics ou d’intérêt collec-tif). Selon l’article R.123-9 du Code de l’urbanisme, des règles particu-lières peuvent être applicables aux CINASPIC ; il s’agissait de désigner les équipements collectifs, publics ou privés, « assurant un service d’intérêt général destiné à répondre à un besoin collectif » sous cette unique désigna-tion, et d’apporter une correction au règlement du PLU afin d’équilibrer les équipements dans les différents quartiers de la ville.

Les CINASPIC peuvent bénéficier de règles spécifiques de hauteur, d’implan-tation, de gabarit, de prospect, de coef-ficient d’emprise au sol, de coefficient d’occupation des sols. Dans la zone USP qui correspond aux emprises occupées par des CINASPIC, les dispositions propres à chaque article de cette zone visent à favoriser leur maintien dans la ville en facilitant leur réalisation et/ou leur évolution. Dans les zones UA, UV, UL, UE, UM, UF, UO du PLU, seuls certains articles sont concernés par des dispositions spécifiques pour les CINASPIC et ont été modifiés.• L’autre modification adoptée portait

sur une mise à jour de l’inventaire des ensembles urbains cohérents, concernant une parcelle située en zone d’aménagement concerté, dans le cadre des travaux de renouvel-lement urbain de l’îlot Fontenay. L’objectif de cette modification est de veiller à ce que les immeubles futurs s’intègrent d’une façon satisfaisante par rapport au caractère des lieux, en respectant la trame parcellaire, de redonner à la rue de Fontenay une perspective harmonieuse et d’as-surer à l’ensemble une cohérence architecturale.

Le Conseil a d’autre part approuvé (unanimité) l’acquisition de la parcelle cadastrée section C n° 146 (30 à 36, rue Mirabeau), au prix de 3 100 000 €, et le programme de construction d’un groupe scolaire de 12 classes élé-mentaires et maternelles sur ces par-celles : ce vote fait suite à l’expulsion à l’automne des squatteurs du 34, rue Mirabeau qui a permis de rendre les bâtiments et le terrain de 2 377 m² à son propriétaire, l’Office public d’habitat du département Valophis, avec lequel

la Ville a trouvé un accord. Lire égale-ment notre article paru en janvier.

En brefLe Conseil municipal a attribué (una-nimité) une subvention au Foyer socio-éducatif du lycée d’enseignement professionnel Jean-Moulin pour un montant de 500 €, dans le cadre des relations entre le lycée professionnel vincennois et son homologue de notre ville jumelle de Castrop-Rauxel.Il a attribué (unanimité) dans le cadre de l’appel à projets en matière de développement durable proposé aux associations une subvention de 1 083 € au Club Bayard Équitation. Le projet porte sur le reboisement des 3 hectares de concession du Club suite à l’abattage d’arbres malades, avec la plantation de 12 arbres d’essences nobles.Dans le cadre des aides à projets jeunes, le Conseil a attribué (unani-mité) une aide financière de 1 100 € au projet présenté par Adrien Cailleux et intitulé Couture du monde sur les hauts plateaux d’Éthiopie, pour la découverte de la couture, de la broderie et du tis-sage éthiopiens et la création de vête-ments alliant la culture française à la culture éthiopienne.

Petite enfance, enfanceLe Conseil a autorisé le Maire (unani-mité) à solliciter auprès de la Caisse d’allocations familiales du Val-de-Marne l’attribution d’une subvention pour les travaux réalisés dans les crèches Robert-Jobard (travaux de réorganisation afin de permettre la création d’un second local de stockage des poussettes) et André-Bonhème (réaménagement dans le hall d’accueil pour créer une biberonnerie et une réserve pour les couches, travaux en façade pour la création d’un ascenseur pour l’accueil des personnes à mobilité réduite). Le montant de la participation de la CAF correspond à 80 % du coût

des travaux hors taxes, soit une somme évaluée à 140 135 €.

Le Conseil a fixé (unanimité) la partici-pation de la Ville pour l’année scolaire 2013-2014 aux sorties avec nuitées organisées pendant la période scolaire par les écoles publiques élémentaires vincennoises (classes initiatives) à 150 € par élève (versée sous forme de subventions aux coopératives des écoles concernées, sans pouvoir être supérieure au coût total supporté par les écoles).

VœuxLe 18 décembre, le vœu concer-nant les rythmes scolaires pré-senté par le groupe de la majorité municipale visant à solliciter le ministre de l’Éducation nationale afin qu’une dérogation puisse être accordée aux villes qui sou-haiteraient maintenir le rythme de 4 jours a été adopté à la majo-rité (36 v. pour : Avec vous pour Vincennes, Ensemble à gauche – 7 v. contre : élus verts, élus socia-listes). Lire également notre pré-cédent numéro.Le 20 janvier, le vœu concernant le découpage des cantons visant à solliciter le ministre de l’Intérieur afin que soit maintenu le principe d’unité communale a été adopté à la majorité (34 v. pour : Avec vous pour Vincennes – 4 v. contre : élus socialistes – 3 abst. : élus verts, Ensemble à gauche). Lire égale-ment notre article p. 12.

L’enregistrement sonore complet de la séance du Conseil municipal est à votre disposition sur vincennes.fr. Les comptes-rendus complets du conseil (y compris les questions orales et l’ensemble des points abordés) sont consultables sur Internet, ainsi que dans les panneaux d’affichage administratifs.

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démocratie locale

Groupe des élus socialistes

Faire de la lutte contre la précarité énergétique une priorité municipaleQui peut contester aujourd’hui que la précarité énergétique est un « fléau » qui mal-mène de nombreuses familles ? Près d’un ménage sur deux se chauffe moins pour réduire ses dépenses, selon le baromètre annuel « énergie-info 2012 » publié par le Médiateur de l’énergie. C’est un facteur aggravant de la crise du logement, qui ne cesse de s’étendre chaque année et à laquelle contribue la Majorité municipale actuelle. C’est ce qu’illustrent sans peine le faible taux de logements sociaux et l’inertie du maire dont la vision du logement exclut, en particulier, les jeunes et les plus fragiles.

La précarité énergétique étant au cœur de cette problématique, le Gouvernement actuel a intensifié son combat contre un phénomène étroitement lié à la baisse des ressources et à l’augmentation des dépenses contraintes. Après avoir étendu les tarifs sociaux à plus d’1,6 million de foyers en fin d’année 2012, la loi « Brottes » du 15 avril 2013 est venue les étendre à 4 millions de foyers. Il a suffi que cette loi soit partielle-ment invalidée pour qu’elle soit « jetée aux oubliettes », alors qu’elle consacre, entre autres, l’interdiction des coupures d’énergie pendant la trêve hivernale. Conscient du caractère essentiel de ces mesures, le Gouvernement ne s’en est pas pour autant contenté. L’amélioration de la performance énergétique des logements est d’autant plus fondamentale que de nombreuses familles occupent des « passoires énergé-tiques » qui peuvent ruiner leur santé. Grâce à un décret du 17 septembre 2013, une prime exceptionnelle attribuée sous conditions viendra aider les ménages qui souhai-teront entamer des travaux de rénovation thermique de leur logement. De manière complémentaire, la TVA 2014 pour ce type de travaux est passée à 5,5 %.

Combien de personnes souffrent de la précarité énergétique dans leur loge-ment ? Personne ne le sait mais nul ne doute que cette minorité silencieuse mérite qu’on s’y intéresse, dans notre Ville aussi.

Que fait donc la majorité municipale pour ces familles vincennoises ? Loin d’une poli-tique « des façades » comme l’AVAP (Aire de Mise en Valeur de l’Architecture et du Patrimoine), nous, Socialistes vincennois, sommes concernés par le bien-être de nos concitoyens, pour lequel le logement occupe une place vitale, et nous entendons agir avec force sur ces questions au cours du prochain mandat.

Les élus du groupe socialiste remercient chaleureusement les Vincennois-es, lecteurs assidus de notre tribune. Soyez assurés que nous aurons toujours à cœur d’enrichir l’information de nos concitoyens trop souvent verrouillée dans ce mensuel Vincennes info.

Groupe de la majorité municipale Avec vous pour Vincennes

Les élus du groupe de la majorité municipaleAvec vous pour Vincennes

À l’approche des élections municipales, qui se tiendront les 23 et 30 mars prochains, et dans le respect du Code électoral, nous avons décidé de ne pas publier de tribune jusqu’au scrutin.

Anne-Marie Maffre-SabatierConseillère municipale, pour le groupe des élus socialistes

Contactez la section de Vincennes du Parti socialiste par e-mail à [email protected], et retrouvez son actualité sur le site Internet www.psvincennes.fr. Vous pouvez également rencontrer les élus socialistes, le samedi 1er mars de 10 h à 12 h, (1er étage de l’Hôtel de Ville, bureau de l’opposition). Pour nous joindre : 01 43 98 65 21.


démocratie locale

Groupe des élu-e-s Verts de Vincennes

Groupe Ensemble à gauche Avec le soutien de progressistes de Vincennes et du Parti communiste français

Cité industrielle, suite…Fidèle à ses méthodes, la mairie n’a pas accepté un droit de réponse (pour-tant légal) des principaux copropriétaires de la Cité industrielle dont le conflit avec la municipalité bloque le dossier et retarde la construction du nouveau lycée de la ville.Parce que cela nous paraît juste et pour montrer à quel point la mairie se permet de prendre des libertés avec la vérité, nous avons décidé de don-ner de l’espace dans notre colonne à des extraits de ce droit de réponse aux écrits de Vincennes Info sur la Cité industrielle à l’été 2013 : « En tant que copropriétaire du bâtiment CITÉ INDUSTRIELLE, je fais bien évidemment partie des propriétaires désignés de la façon suivante par cet article “le bâtiment de la Cité industrielle appartient à dix propriétaires, dont une SCI qui possède plus de 80 % des parts…”Les passages incriminés sont les suivants :1 - “Après 9 ans de tentatives de négociations amiables entre les propriétaires et les deux communes qui se portent acquéreuses du terrain (Vincennes et Fontenay-sous-Bois)…”Non seulement il n’a jamais existé de négociation entre la SCI Vincennes Defrance et la commune de Vincennes, encore moins sur une supposée période de 9 années, mais en outre, la commune de Fontenay (…) n’a eu aucun contact avec les propriétaires.2 - “Quant aux nuisances au sein de la Cité, la Ville ne peut pas intervenir à l’intérieur puisqu’elle n’est pas propriétaire des lieux…”Cela est inexact. La Ville est propriétaire des lieux depuis l’ordonnance d’expropriation intervenue le 21/1/2010, conformément aux dispositions de l’article L. 12-2 du Code de l’expropriation (…).Ce qui est vrai en revanche, c’est que la Ville refuse inexplicablement de prendre pos-session des lieux, de payer ses offres et de consigner la différence entre ses offres et le jugement ayant fixé les indemnités de dépossession, ainsi que le prévoit l’article L. 15-2 du Code de l’expropriation. Elle contribue ainsi à accélérer la dégradation de la salubrité et de la sécurité de l’immeuble et de son voisinage.3 - “En revanche, les riverains sont incités à solliciter la police nationale et à déposer plainte à chaque nuisance constatée.”La commune de Vincennes serait bien inspirée d’agir conformément à ce discours ver-tueux. Elle ne l’a pas fait jusqu’à présent.On en jugera notamment par les termes d’un courrier du 20/3/2012 adressé au maire de Vincennes par maître Pellegrini, liquidateur judiciaire de la SCI Cité industrielle (…), à la suite de l’intoxication d’une famille : “… vous n’avez pas cru devoir prendre possession de l’immeuble nonobstant le juge-ment rendu par le TGI de Créteil fixant le montant des indemnités d’occupation. Vous avez ainsi favorisé l’occupation sauvage de l’immeuble pour en diminuer la valeur (…)” et le liquidateur de conclure, après avoir mis en demeure le maire de mettre en œuvre les pouvoirs de police générale qui sont les siens et de prendre possession de l’im-meuble : “ces mesures s’imposent avec la force de l’évidence, sauf à voir votre responsa-bilité engagée si un accident, aux conséquences dramatiques, devait malheureusement se produire à nouveau”. »

Chacun pourra donc se rendre compte, à nouveau, de la gestion calami-teuse de ce dossier par la ville. Pas étonnant que le maire refuse de nous répondre sur le budget réel et le calendrier pour le futur lycée, tant attendu par les Vincennois-es !

Pierre Serne (quartier Ouest)[email protected] – Vice-président du Conseil régionalFréderic Steinberg (quartier Centre)[email protected] Hauchemaille (quartier Est)[email protected] municipaux

VOTERDans l’isoloir,vous allez bientôt avoir le droitd’exprimer votre opinion.C’est un acte honorable,nécessaire et citoyen.

NE VOUS EN PRIVEZ PAS !

PIERRE CARDONIConseiller [email protected]


démocratie locale

À l’honneur

NaissancesATLANI Elly ; BAROUkH Liyat ; BARSOTTI Liva ; BASCHIERI DUCLOS Étienne ; BONPIERRE Rose ; BORIES AMAHOUA Anaïs ; BOUCHEREAU Eliott ; BOUVET Gustave ; BRILLANTE Bénédict ; CHAUCHIS Soline ; CHEBARO CARRÉ Rime ; CHEVALLIER Noëlynn ; CASADAMONT Ethan ; CASSART Angèle ; COLLIN Manon ; CONIL Marek ; COSTE Élise ; FARNOUX Chloé ; FOULON Camille ; GOSSIAUX Thomas ; HAYOUN Isaac ; HORTH Lucie ; HOTTON ALSTER Éden ; HUPIN Jade ; IBN DEBBA Ezzadine ; kARP Théodore ; LARROZE-FRANCEZAT Gaspard ; LE BRETON Gabin ; LECOCQ BRECHET Léonie ; LELLOUCHE Nina ; LEROY Ethan ; LIBERT Paul ; LUGINBUHL Charlie ; MACRI Alexandre ; MAGNIEZ DUSSERE Lino ; MARIGLIANO Valentino ; MESkANEN Henri ; MIJALCEVIC Adam ; MONRÉAL Zadig ; NOËL Alexis ; ONTIVERO Rafael ; OUAMARA Tristan ; PASQUEREAU Tom ; PETITPAS Auguste ; POLITZER Jacob ; ROMANENkO Mariana ; SALAMI Wissam ; SOUADJI Sabrine ; SOUMARÉ Haroun ; SUCHODOLSkI Elijah ; TIROT Claire ; TORDJMAN Éden ; VINCENT Eva ; ZEGLAOUI Sandra.

MariagesM. BOURSIER Jean-Pierre et Mme MENEZ Carole ; M. CHEMOUIL René et Mme LAkEL Rhira ; M. DELPON DE VAUX Régis et Mme DELESTRE Cécile ; M. DESELLE Stéphane et Mme RASMUSSEN Tine ; M. MARCHAND Philippe et Mme LATAPIE Olivia ; M. MATHIOU Jérémy et Mme VALIER Sandra ; M. ODDON Pierre-Antoine et Mme PANISSIÉ Anne-Charlotte ; M. ROUSSEL Vincent et Mme LONGUE Isabelle ; M. THIBAULT Raphael et Mme CHUNG Hsin-Ying ; M. VERROUST Denis et Mme MARIE Suzanne.

PUBLICATIONS DE MARIAGES HORS VINCENNES M. ALLONNEAU Richard et Mme CROCI Céline, résidant à Josnes (41) ; M. BOUDOT Camille, à Hyères (83), et Mme NAkAMURA Yui ; M. BOUHANI Djamel et Mme BAHRI Radhia, à Bougaa (Algérie) ; M. CHARTIER Claude et Mme VONGSAVATH Phiounouane, à Paris XIIIe (75) ; M. EL MAHI Yasser et Mme PERSONNIC Anne-Laure, à La Montagne (44) ; M. GAREL Olivier et Mme BARAULT Aurélie ; M. RAFFEGEAU Mickaël et Mme LINGE Valériane.

DécèsSurvenus à Vincennes M. APELBAUM Jacques, 89 ans ; M. DIRRINGER Alphonse, 97 ans ; Mme GALIANI Marie-Jeanne, 92 ans ; M. ROSSIGNOL Pierre, 97 ans ; Mme TRASLÉGLISE Jacqueline, 91 ans.

Transcrits à Vincennes M. BESSETTES René, 93 ans ; M. BOURNIZEAU Jean-Christophe, 69 ans ; Mme BOYER Aliette, 89 ans ; Mme BRIEUL Josiane, 79 ans ; Mme CHARTON Geneviève, 76 ans ; Mme DECAMBOS Geneviève, 85 ans ; M. EYMERY Jacques, 88 ans ; Mme GIRAUD Simone, 85 ans ; M. GRASSIN Guy, 73 ans ; Mme GUEZ Annie, 64 ans ; Mme HAMADOUCHE Henriette, 92 ans ; M. PASQUET Guy, 62 ans ; Mme POILLOT Odette, 89 ans ; Mme RAVONJIARIVELO Vero, 47 ans ; Mme ROUSSE Hélène, 68 ans ; Mme SERRATRICE Simone, 86 ans ; M. STERN Maurice, 90 ans.

À l’honneur récemment

Mme Encarnacion Ortega a fêté début janvier ses 100 ans à la maison de retraite intercommunale de la Dame-Blanche, où elle réside. Née en décembre 1913 à Barcelone, mère de six enfants, elle habite Vincennes depuis 1944 – elle y a notamment résidé au 55, rue de la Jarry, où elle se souvient d’avoir eu pour voisin Robert Chapatte ! Entourée de ses proches, elle a reçu la visite d’élus venus lui remettre au nom du conseil municipal fleurs et chocolats, et la féliciter pour ce bel anniversaire.

DécèsNous apprenons avec tristesse le décès survenu le 8 janvier de Mme Yvette Berthault, à l’âge de 76 ans. Vincennoise depuis 45 ans, mère de trois enfants et grand-mère de quatre petits-enfants, elle participait activement à la vie de nombreuses associations : gymnastique volontaire, Chœur chanter, Conférence au village, ateliers de peinture et peinture sur porcelaine, danse, informatique… À sa famille et à ses proches, Vincennes info adresse ses sincères condoléances.

Du 1er décembre au… 31 décembre 2013

PERMANENCES INSCRIPTIONSMardi et jeudi de 18 h 00 à 20 h 00

Maison des associations. 41-43, rue Raymond-du-Temple

Contact : 06 70 11 66 09 • [email protected] • www.danseleopart.com

• Tango argentin • Samba • Flamenco• Sevillanas • Ragga Dancehall • Capoeira

• Pilates • Danse Africaine • Hip Hop • Zumba Gold®

Lundi Lieux

10 h 30-11 h 30 Zumba® Basic 1 CCT

Mardi16 h 30-17 h 30 Tango argentin CCT

20 h 00-21 h 00 Zumba® Basic 2 MDA


Mercredi10 h 15-11 h 00 Flamenco+Zumba® CCT 4-7 ans

11 h 00-12 h 00 Flamenco+Zumba® CCT 8-12 ans

12 h 00-13 h 00 Sevillanas/débutant CCT


Jeudi16h15-17h15 Zumba Gold® CLD Seniors



21 h 15-22 h 15 Sévillanas/Interm. CCT

Vendredi10 h 30-11 h 30 Tango argentin CCT

19h15-20h15 Danse africaine CCT

Samedi9 h 45-10 h 30 Zumba® Kids/Eveil MDA 4-5 ans

10 h 30-11 h 15 Zumba® Kids MDA 6-7 ans



16 h 00-17 h 00 Hip hop MDA

17 h 00-18 h 00 Ragga Dance Hall MDA

Dimanche (Espace Daniel-Sorano)12 h 00-13 h 00 Pilates

13 h 00-14 h 00 Zumba® Basic 1

14 h 00-15 h 00 Capoeira

15 h 00-16 h 00 Capoeira 4-12 ans

15 h 00-16 h 00 Flamenco débutant

16 h 00-17 h 00 Flamenco intermédiaire

16 h 00-17 h 00 Ragga DanceHall 13-17 ans

17 h 00-18 h 00 Sevillanas Parents/enfants

17 h 00-18 h 00 Zumba® Basic 1 + 2

18 h 00-19 h 00 Zumba® Kids 3 ans et +

18 h 00-19 h 00 Tango argentin

Cours réguliers1 seule carte pour tous les sitesEnfants • Ados • Adultes

MDAMaison des Associations de Vincennes

41-43, rue Raymond-du-Temple.3ème étage, Vincennes

EDSEspace Daniel-Sorano16, rue Charles-Pathé.

Vincennes

CCTCercle Christian Tissier 108, rue de Fontenay.

Vincennes

CLDClub Loisirs Découvertes.

70, rue de FontenayVincennes

FLAMENCOStage chant/palmas/percussions

Le samedi de 13 h à 15 h1 février, 8 mars, 12 avril, 3 mai.

Avec : Anita Losada(danse, fl amencologie),Chuli (guitare, chant),

Ercan Dursun (percussions).Conservatoire. Coeur de ville. 98, rue de Fontenay

Ouvert à tous

SPECIAL ENFANTSAnimation récré’active

Carnaval déguiséDimanche 9 février, à 18 h

Avec : Léope et SolveigRéservation obligatoire : [email protected] Daniel-Sorano 16, rue Charles-Pathé.

CAPOEIRAAnimation : Roda de RioDimanche 16 février, à 15 h

Spectacle de capoeiristesAvec Jakaré et sa troupe.Danse, chant, percussions

Espace Daniel-Sorano 16, rue Charles-Pathé.

DANSE AFRICAINE + PERCUSSIONSStages exceptionnels

Le samedi, de 11 h à 13 h1 février, 8 mars, 12 avril, 3 mai.

Avec : Maître Guem, instigateur des cours de percussions en France, auteur du générique de l’émission

«Ca se discute», sur France 2.Conservatoire. Coeur de ville. 98, rue de Fontenay



état civil

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PERMANENCES INSCRIPTIONSMardi et jeudi de 18 h 00 à 20 h 00

Maison des associations. 41-43, rue Raymond-du-Temple

Contact : 06 70 11 66 09 • [email protected] • www.danseleopart.com

• Tango argentin • Samba • Flamenco• Sevillanas • Ragga Dancehall • Capoeira

• Pilates • Danse Africaine • Hip Hop • Zumba Gold®

Lundi Lieux


Mardi16 h 30-17 h 30 Tango argentin CCT



Mercredi10 h 15-11 h 00 Flamenco+Zumba® CCT 4-7 ans

11 h 00-12 h 00 Flamenco+Zumba® CCT 8-12 ans

12 h 00-13 h 00 Sevillanas/débutant CCT


Jeudi16h15-17h15 Zumba Gold® CLD Seniors



21 h 15-22 h 15 Sévillanas/Interm. CCT

Vendredi10 h 30-11 h 30 Tango argentin CCT

19h15-20h15 Danse africaine CCT

Samedi9 h 45-10 h 30 Zumba® Kids/Eveil MDA 4-5 ans




16 h 00-17 h 00 Hip hop MDA

17 h 00-18 h 00 Ragga Dance Hall MDA

Dimanche (Espace Daniel-Sorano)12 h 00-13 h 00 Pilates

13 h 00-14 h 00 Zumba® Basic 1

14 h 00-15 h 00 Capoeira

15 h 00-16 h 00 Capoeira 4-12 ans

15 h 00-16 h 00 Flamenco débutant

16 h 00-17 h 00 Flamenco intermédiaire

16 h 00-17 h 00 Ragga DanceHall 13-17 ans

17 h 00-18 h 00 Sevillanas Parents/enfants

17 h 00-18 h 00 Zumba® Basic 1 + 2

18 h 00-19 h 00 Zumba® Kids 3 ans et +

18 h 00-19 h 00 Tango argentin

Cours réguliers1 seule carte pour tous les sitesEnfants • Ados • Adultes

MDAMaison des Associations de Vincennes

41-43, rue Raymond-du-Temple.3ème étage, Vincennes

EDSEspace Daniel-Sorano16, rue Charles-Pathé.

Vincennes

CCTCercle Christian Tissier 108, rue de Fontenay.

Vincennes

CLDClub Loisirs Découvertes.

70, rue de FontenayVincennes

FLAMENCOStage chant/palmas/percussions

Le samedi de 13 h à 15 h1 février, 8 mars, 12 avril, 3 mai.

Avec : Anita Losada(danse, fl amencologie),Chuli (guitare, chant),

Ercan Dursun (percussions).Conservatoire. Coeur de ville. 98, rue de Fontenay

Ouvert à tous

SPECIAL ENFANTSAnimation récré’active

Carnaval déguiséDimanche 9 février, à 18 h

Avec : Léope et SolveigRéservation obligatoire : [email protected] Daniel-Sorano 16, rue Charles-Pathé.

CAPOEIRAAnimation : Roda de RioDimanche 16 février, à 15 h

Spectacle de capoeiristesAvec Jakaré et sa troupe.Danse, chant, percussions

Espace Daniel-Sorano 16, rue Charles-Pathé.

DANSE AFRICAINE + PERCUSSIONSStages exceptionnels

Le samedi, de 11 h à 13 h1 février, 8 mars, 12 avril, 3 mai.

Avec : Maître Guem, instigateur des cours de percussions en France, auteur du générique de l’émission

«Ca se discute», sur France 2.Conservatoire. Coeur de ville. 98, rue de Fontenay


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C. Cial Pince VentExt. Porte 2 bis, 1er étage

Tél : 01 45 93 05 39

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8 promenade Jules VallèsExt. C. Cial Arcades, Porte 13

Tél : 01 43 05 03 27

94300 VINCENNES

14 rue de Fontenay200 mètres de la Mairie Tél : 01 43 98 07 37

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