strategie 2013 12 fr

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2 Thème & Stratégie Accents ... pour la gestion de votre patrimoine personnel et familial 5 Vrai ou faux ? 6 Stratégie 14 Sous la loupe 15 Sous la loupe 12 Immobilier en point de mire Une publication mensuelle de KBC Banque & Assurance • Nr. 12 - 6 décembre 2013 La force du consommateur Misez sur le potentiel des actions européennes Investir dans l’immobilier 2013, l’année du redressement sans bénéfices Il est possible d’assainir sans étrangler la croissance : vrai ou faux ? Vous avez gardé une poire pour la soif...

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Publication mensuelle de KBC Banque & Assurances

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Page 1: Strategie 2013 12 fr

2 Thème

&Stratégie Accents... pour la gestion de

votre patrimoine personnel et familial

5 Vrai ou faux ?

6 Stratégie

14 Sous la loupe

15 Sous la loupe

12 Immobilier en point de mire

Une publication mensuelle de KBC Banque & Assurance • Nr. 12 - 6 décembre 2013

La force du consommateur

Misez sur le potentiel des actions européennes

Investir dans l’immobilier

2013, l’année du redressement

sans bénéfices

Il est possible d’assainir sans étrangler la croissance :

vrai ou faux ?

Vous avez gardé une poire pour la soif...

Page 2: Strategie 2013 12 fr

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Thème

Stratégie & Accents

Vous avez gardé une poire pour la soif...

Accents

❯ Exploitez toutes les possibilités offertes par le fisc

❯ Envisagez de passer à une formule plus défensive à l’approche de votre départ à la retraite

Vous êtes sur le point de prendre votre retraite, ou vous êtes déjà à la retraite. Ou vous avez récemment reçu une estimation de pension de la part de l’Office National des Pensi-ons (généralement à l’âge de 55 ans). C’est le moment idéal de vous pencher sur la consti-tution et la gestion de votre capital-pension. L’avantage fiscal est un argument de taille en faveur de l’épargne-pension. À mesure que vous approchez de votre départ à la retraite, vous vous rendez souvent compte que l’épargne-pension va bien au-delà d’un avantage fiscal. Après une carrière active, les revenus mensuels se limiteront en effet à une modeste pension légale dans la majorité des cas. À ce moment, le capital-pension accumulé grâce à l’épargne-pension représentera une belle somme. Certainement pour celui qui a commen-cé tôt et a poursuivi son effort d’épargne année après année.

Page 3: Strategie 2013 12 fr

3Stratégie & Accents

Thème

À mesure que vous approchez de votre départ à la retraite, vous vous rendez souvent compte que l’épargne-pension va bien au-delà d’un avantage fiscal

La valeur du capital-pension varie...

La valeur du capital-pension dépend des caprices des marchés financiers. Les fonds d’épargne-pension* peuvent dégager de beaux résultats sur une longue période. Mais les fluctuations, parfois violentes, sont le propre des marchés financiers. Elles peuvent se révéler avantageuses, tant que l’épargnant ne récla-me pas son capital (et cela vaut pour tous ceux qui sont encore loin de prendre leur retraite). Une baisse de la valeur d’inventaire permet ainsi d’acheter plus de parts, alors que l’effet inverse se produit en cas de hausse de la valeur d’inventaire. En répartissant l’épargne-pension dans le temps, vous achetez en moyenne à un cours attrayant.

À la veille de votre départ à la retraite, mieux vaut toutefois éviter les fluctuations boursières. Il serait en effet regrettable que des turbulences boursières éro-dent votre capital-pension juste au moment où vous souhaitez l’utiliser. Si vous comptez tirer un revenu supplémentaire de votre capital-pension, vous pouvez envisager d’opter, à l’approche de votre départ à la retraite, pour une formule plus défensive, moins sen-sible à la volatilité des marchés. Il y a même moyen d’éviter une amende fiscale.Si vous n’avez pas directement besoin du capital ac-cumulé, vous pouvez conserver votre fonds d’éparg-ne-pension après votre départ à la retraite. Vous n’êtes en effet pas obligé de prélever votre capital-pension. Pendant la crise financière de 2008-2009, de nom-breux investisseurs ont attendu un redressement des Bourses pour prélever leur capital. Et ils ont bien fait, car les fonds d’épargne-pension culminent en ce mo-ment.

* Fonds d’investissement de droit belge agréé dans le cadre

de l’épargne-pension légale.

Exploitez tous les possibilités offertes par le fisc

Toute aide est la bienvenue pour se constituer un ca-pital-pension. Prenez rendez-vous avec votre chargé de relations afin de vérifier si vous exploitez toutes les possibilités d’épargne fiscale.

•Épargnez-vous le maximum fiscal chaque année ? Il s’élève à 940 euros pour l’année de revenus 2013.

•Les deux partenaires participent-ils à l’éparg-ne-pension ?

•Comptez-vous poursuivre l’épargne-pension après vos soixante ans ? Car cela reste très avantageux. Après la retenue de l’impôt final à l’âge de 60 ans (cf. infra), les versements suivants ne sont plus taxés jusqu’à vos 64 ans mais donnent encore droit à une réduction d’impôts de 30%.

•Exploitez-vous également les possibilités de déduc-tion fiscale offertes par l’épargne à long terme ? Le remboursement du crédit logement libère souvent une marge de manœuvre dans le budget du ména-ge pour profiter de la réduction d’impôt offerte par l’épargne à long terme par le biais d’une assuran-ce vie individuelle. Cet avantage fiscal peut être combiné à celui de l’épargne-pension. Vous vous constituez ainsi une réserve supplémentaire.

Page 4: Strategie 2013 12 fr

4 Stratégie & Accents

Thème

Détails intéressants

Les versements effectués dans le passé dans un fonds ou une assurance d’épargne-pension donnaient droit à une réduction d’impôt de 30% à 40% (30% à par-tir de l’année de revenus 2012). Un impôt final de 10% est retenu à vos 60 ans. Il porte sur les verse-ments nets majorés d’un rendement fictif de 4,75% dans le cas d’un fonds d’épargne-pension et sur le rendement réel (hors participation bénéficiaire) dans le cas d’une assurance d’épargne-pension. Tenez-en compte lorsque vous élaborez des projets. Pour dor-mir sur vos deux oreilles, demandez conseil à votre chargé de relations KBC.

Page 5: Strategie 2013 12 fr

5Stratégie & Accents

Vrai ou faux ?

Vrai ! L’économie américaine digère à peu près sans mal un plan d’assainissement draconien, après une mise en scène politique qui n’était pas piquée des vers. Une frange de durs du parti républicain tente depuis fin 2012 d’empêcher la mise en œuvre de l’Obamacare en réduisant les moyens de l’État fédéral. Faute de compromis par manque de volonté politique, une série d’économies automatiques ont été activées le 1er mars 2013. Le déficit est par conséquent retombé de 6,2% pour l’exercice budgétaire 2011-2012 à pas moins de 3,8% pour l’exercice budgétaire 2012-2013. La croissance reste il est vrai atone, mais elle est positive.Faux ! Dans l’UEM, le Traité de stabilisation budgétaire est entré en vigueur le 1er janvier 2013, érigeant l’é-quilibre budgétaire en nouveau dogme. Désormais habilitée à des contrôles fréquents, à une gestion proactive et contraignante, à la mise en œuvre de plans pluriannuels, etc., l’Europe a davantage de prise sur les budgets nationaux. Faut-il y voir un nouveau départ ? Le 13 février, le président français François Hollande annonçait que le déficit budgétaire de l’Hexagone dépasserait largement la norme et que rien ne serait fait pour l’y con-former. Sur la base des résultats provisoires, la Belgique, l’Espagne, la France et l’Italie n’atteignent par leurs objectifs pour 2013. Et le déficit budgétaire de l’Italie est colossal. Si Bruxelles réagit peu, les grandes agences de notation ripostent : Standard & Poor’s a abaissé la note de la France à AA.

Il est possible d’assainir sans étrangler la croissance : vrai ou faux ?

Page 6: Strategie 2013 12 fr

6 Stratégie & Accents

Stratégie

2013 entrera dans les annales comme l’année où la crise de l’euro a été reléguée à l’arrière-plan

2013, l’année du redressement sans bénéfices

Accents

❯ L’économie mondiale se porte mieux que ne le laisse supposer la maigre croissance du PIB

❯ Vous ne pourrez profiter de la reprise conjoncturelle qu’en étant investi

Pérenniser la croissance économique reste un défi

L’année 2013 a été placée sous le signe de l’austérité. La croissance de l’économie mondiale s’est toutefois accélérée entre 3 et 3,2%. La seconde moitié de 2013 a montré une amélioration par rapport au premier se-mestre. Sur les quatre derniers trimestres, les États-Unis ont réalisé une croissance moyenne de 1,6%. Ici aussi, l’économie a affiché une croissance sous- jacente plus robuste que ne le laissait supposer l’ato-nie conjoncturelle. Sans l’assainissement considérable du budget, la croissance se serait établie à 3%, ainsi que le montre le niveau élevé de la confiance des pro-ducteurs. En Europe, la situation est quelque peu dif-férente. Dans la zone euro, l’économie sort lentement d’une longue et profonde récession. Même dans les pays durement touchés de la périphérie, les indica-teurs de confiance sont sortis de l’ornière. L’Espagne réalise de bons résultats. Le pays a retrouvé une partie de sa compétitivité, ce qui se traduit par la vigueur de ses exportations.

Nous prévoyons une légère accélération de la crois-sance économique en 2014 sur la base des éléments suivants :

•la confiance élevée des producteurs et le regain de confiance des consommateurs,

•la décrue de l’inflation, une même hausse du reve-nu engendrant un pouvoir d’achat plus important

•l’allègement des mesures d’austérité.

Le redressement des investissements des entreprises n’a pas eu lieu en 2013, mais il pourrait faire la dif-férence en 2014 et permettre une croissance vigou-reuse plutôt qu’une croissance ordinaire. Toutes les

conditions sont réunies : un élargissement des capaci-tés et, surtout, des investissements de remplacement s’imposent progressivement, les entreprises sont ren-tables et disposent de liquidités abondantes, etc.

Les créations d’emplois restent un facteur critique. La croissance de l’emploi a été un peu trop modeste en 2013. L’an prochain, 200 à 250 000 emplois devront en moyenne être créés chaque mois pour alimenter la conjoncture. L’évolution du chômage est tout aus-si cruciale pour la zone euro. Le lien est étroit entre l’emploi, la confiance des consommateurs et la crois-sance. Une croissance défaillante aurait tôt fait de réveiller la crise de l’euro...

2013 a aussi apporté son lot de déceptions

La Chine et les autres économies émergentes ont déçu cette année. L’auréole du pôle mondial de la croissance a quelque peu pâli. L’économie chinoise ne croît plus de 9 à 10% par an, mais de 7 à 7,5%. En soi, cette évolution n’est pas saine, mais la crainte d’une bulle immobilière et des crédits douteux dans le secteur bancaire l’a emporté. Les nouveaux diri-geants sont conscients de la nécessité d’un nouveau

Cette année, les investisseurs qui ne sont pas restés sur la touche ont engrangé un beau bénéfice tant sur les obligations que sur les actions. La part obligataire a profité d’un nouvel effritement des différentiels de taux entre les thèmes obligataires tels que les obligations d’entreprises et les emprunts d’État. Les actions sont devenues plus chères car la hausse des bénéfices des entreprises a été très modeste. En Europe surtout, les cours des actions ont devancé le redressement bénéficiaire escompté.

Luc Van Heden

StratègeKBC Asset Management

Page 7: Strategie 2013 12 fr

7

Évolution des marchés d’actions (indice 100 = 31/12/2012)

70

80

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100

110

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130

11-2011 05-2012 11-2012 05-2013 11-2013

Monde Europe Etats-Unis

Stratégie & Accents

Stratégie

modèle de croissance, plus soucieux de l’évolution de la consommation intérieure et moins favorable aux exportations.Les Bourses des marchés émergents sont donc restées fortement à la traîne des marchés classiques.

Vertige

Les actions ont globalement été très performantes en 2013 (voir graphique). Les cours ont progressé plus vite que les bénéfices, ce qui est normal car ces derni-ères années, l’inverse s’était produit. Les valorisations ont par conséquent augmenté et les actions ne sont plus aussi bon marché qu’au début 2013.

En Europe, les cours des actions et les bénéfices ont évolué en sens opposé. Alors que les cours ont effectué un puissant mouvement de rattrapage, la croissance bénéficiaire a été totalement inexistan-te. Cette année, le bénéfice moyen devrait accuser un recul de 5% par rapport à 2012. Les entreprises américaines ont en revanche encore amélioré leurs bénéfices record. Sur la base des résultats des trois premiers trimestres, la croissance bénéficiaire est esti-mée à 5%. Le chiffre d’affaires a progressé moins vite,

mais les marges ont encore progressé légèrement. Entre-temps, les bénéfices des entreprises européen-nes accusent déjà un retard de 25% à 30% par rap-port aux sociétés américaines. Il est peu probable que l’Europe puisse le combler l’an prochain.

Les restructurations sont devenues la pierre angulaire de la culture d’entreprise. Les entreprises voient leurs charges financières diminuer, lorsqu’elles paient peu d’intérêts et résorbent leurs dettes. Si en plus, elles n’investissent que peu voire pas du tout, leurs amor-tissements n’augmentent pas non plus. Une hausse limitée du chiffre d’affaires se traduit dès lors rapide-ment par une augmentation des bénéfices. Les entre-prises réalisent en outre un chiffre d’affaires de plus en plus important dans les marchés émergents, où les marges commerciales et bénéficiaires des biens de consommation occidentaux sont plus élevées qu’en Occident.

Page 8: Strategie 2013 12 fr

8 Stratégie & Accents

StratégiePortefeuille

0 20

20

40 60 80 100

25

13

32

60 33 4 12

46 15 24 1

40 1 537 4

4728

Actions sansprotection du capital

Actions avecprotection du capital

Obligations

Immobilier

Placementsalternatifs

Cash Très défensif

Défensif

Trèsdynamique

Dynamique

Bien que le rythme se soit considérablement ralenti, les bénéfices des entreprises continuent d’augmenter. Les cours des actions ont toutefois progressé plus vite que les bénéfices, de sorte que la valorisation des ac-tions a augmenté. Dans le portefeuille d’actions, nous donnons la préférence aux entreprises à faible capita-lisation boursière de la zone euro. Ces actions restent nettement moins chères que leurs consoeurs des au-tres régions. Les producteurs d’articles de luxe restent un accent dans le portefeuille d’actions. Ils sont net-tement moins sensibles à la conjoncture qu’on ne le pense généralement.Le poids des obligations demeure plus faible que la norme à long terme car leur rendement est beaucoup

trop faible. Une envolée des taux obligataires n’est pas à craindre dans l’immédiat. Il convient toutefois de ne pas oublier que l’inflation et une hausse des taux du marché sont les risques majeurs. Nous donnons la préférence aux obligations d’entreprises. Elles offrent une rémunération supplémentaire pour le risque de crédit. Notre quête de rendement nous incite égale-ment à nous tourner vers les marchés émergents. Ces derniers mois ont toutefois révélé que ces monnaies pouvaient provoquer d’importantes fluctuations dans les portefeuilles.

Page 9: Strategie 2013 12 fr

9Stratégie & Accents

StrategieAccents dans le portefeuille

La Banque centrale européenne préfère un euro faible à un euro fort

Dollar américain

Nous sommes favorables au dollar américain, Le billet vert est sous-évalué par rapport à l’euro. Plusieurs ar-guments plaident en sa faveur. Les États-Unis présentent de meilleures perspectives de croissance, malgré l’embellie conjoncturelle en Eu-rope.

•La politique (attendue) de la banque centrale est théoriquement favorable à la monnaie américaine.

•Les différentiels de taux d’intérêt jouent en faveur du dollar et ce, tant en ce qui concerne leur niveau que leur évolution récente.

•La Banque centrale européenne préfère un euro faible à un euro fort.

Articles de luxe

Les fabricants d’articles de luxe disposent d’un solide pouvoir de fixation des prix. Les barrières à l’entrée sont très élevées étant donné que les marques emblé-matiques s’appuient sur une longue tradition et sont difficiles à détrôner. Les producteurs d’articles de luxe sont en outre nettement moins sensibles à la conjonc-ture qu’on ne le pense généralement. Dans un con-texte marqué par l’essoufflement des bénéfices et des marges bénéficiaires, un secteur qui parvient à pré-server ses marges et sa croissance bénéficiaire a une longueur d’avance. Il abrite en outre de nombreuses entreprises européennes, ce qui complète parfaite-ment l’accent des petites et moyennes capitalisations de la zone euro.

Petites et moyennes capitalisations (small & mid caps) de la zone euro

Jusqu’il y a quelques mois, la morosité des perspec-tives conjoncturelles justifiait la valorisation plus fai-ble des actions européennes par rapport aux actions américaines. En raison de la récession et de la crise de l’euro, la croissance bénéficiaire européenne a ac-cusé ces deux dernières années un retard de près de 20% sur les États-Unis. Les nouvelles économiques en provenance d’Europe confirment de plus en plus le redémarrage de la croissance. La crise de l’euro est en outre de moins en moins jugée problématique. Il n’est donc plus justifié que les actions européennes soient entre 15 et 20% moins chères que leurs con-soeurs américaines. Les entreprises axées sur le mar-ché européen sont ainsi nettement moins chères que les sociétés américaines. Nous choisissons les petites et moyennes entreprises européennes. Ce segment regorge de sociétés intéressantes. Souvent surveillé par les investisseurs institutionnels et/ou peu suivi par les analystes, il offre de nombreuses opportunités aux investisseurs attentifs. Cet accent ne nuit en rien à notre vision favorable du dollar américain (ou inver-sement). Son appréciation est favorable à la compé-titivité des entreprises européennes car elle rend les produits européens moins chers à l’étranger.

Page 10: Strategie 2013 12 fr

10 Stratégie & Accents

StratégiePerspectives économiques

Perspectives économiquesUEM Royaume-Uni Etats-unis Japon

Croissance économique(%)

Inflation (%)

Taux officiel (%) (*)

Taux à dix ans (%) (*)

Cours de change (**) 1 EUR = GBP 1 EUR = USD 1 EUR = JPY

(*) hausse d’environ 25 points de base à partir du niveau actuel;

hausse d’environ 50 points de base à partir du niveau actuel; etc.;

(**) appréciation d’environ 2,5 % envers l’euro à partir du niveau actuel;

appréciation d’environ 5 % envers l’euro à partir du niveau actuel; etc.

28-11-2013

2012 -0,6 0,2 2,8 2,0

2013 -0,4 1,4 1,7 1,7

2014 1,2 2,5 2,6 1,7

2012 2,5 2,8 2,1 0,0

2013 1,3 2,6 1,5 0,3

2014 1,1 2,3 2,0 2,1

28-11-2013 0,25 0,50 0,25 0,10

02-2014

05-2014

28-11-2013 1,71 2,76 2,74 0,61

02-2014

05-2014

28-11-2013 - 0,83 1,36 138,60

02-2014 -

05-2014 -

Page 11: Strategie 2013 12 fr

11Stratégie & Accents

Stratégiesélection d’obligations

Notre sélection d’obligations(1)

Monnaie Emprunt Prix d’émis- sion ou cours indicatif

Coupon Rating Rendement (en %)

Contre- valeur en EUR (*)

Marché primaire

Marché secondaire

(1) Voir note 2 en dernière page.(*) Contre-valeur en EUR des coupures minimales y compris les intérêts courus. Cours de change indicatif : 29/11/2013

La crainte grandissante de voir la Banque centrale américaine réduire ses achats de titres de dette a récemment dopé les taux longs. Même après son récent rebond, le taux allemand à dix ans n’excède toutefois pas encore l’inflation moyenne escomptée sur cette durée. Le taux américain à dix ans a grimpé davantage et la dépasse de justesse.

Ces dernières années, les taux d’intérêt ont été très volatils dans l’UEM. Le retour de la confiance pendant l’année écoulée s’est traduit par un rétrécissement notable des différentiels de taux entre la plupart des pays en difficulté et l’Allemagne.

Le mois dernier, le différentiel de taux entre obligations d’entreprises et obligations d’État s’est stabilisé à 1,4 point de pourcentage. Même s’il s’agit du niveau le plus faible de ces cinq dernières années, cela reste une rémunération intéressante pour le risque de crédit encouru.

NOK KBC IFIMA NV3.500% 2013-2018

101.875 04/12 A- 3.090 1269.69

EUR AGFA-GEVAERT NV4.375% 2005-2015

100.940 02/06 3.700 1030.98

AUD MERCEDES BENZ Australia4.000% 2013-2016

101.250 19/09 A- 3.520 1376.90

NZD KFW3.750% 2012-2017

98.500 16/08 AAA 4.190 592.71

CAD ABN AMRO BANK NV3.500% 2013-2018

103.050 24/09 A 2.810 1489.91

USD PETROBRAS GLOBAL FINANCE4.375% 2013-2023

92.150 20/11 BBB 5.450 697.81

Page 12: Strategie 2013 12 fr

12 Stratégie & Accents

Immobilier en point de mire(1)

Investir dans l’immobilier

Accents

❯ Il est possible d’in-vestir dans l’immobi-lier moyennant des montants très limités en optant pour un fonds immobilier. Par rapport à l’achat d’un immeuble par-devant notaire, cette forme d’investissement vous dispense en outre des charges fiscales et administratives

❯ Vous pouvez éga-lement acheter des actions d’entreprises exerçant des activités immobilières

Locataire ou propriétaire, chacun de nous est con-cerné par l’immobilier. La plupart des propriétaires voient leur habitation comme une forme de confort plutôt que comme un investissement, mais l’investis-sement immobilier a surtout la réputation d’être sûr. En Belgique, ce sentiment est encore renforcé par la vigueur relative du marché résidentiel et le bas niveau des taux du marché.

L’amour de la brique se manifeste par un intérêt massif pour d’autres investissements immobiliers. Un investissement direct dans l’immobilier requiert la plupart du temps un montant important, même si ce-lui-ci est largement financé par des crédits. Mais vous pouvez aussi investir indirectement dans l’immobilier par le biais des actions de sociétés immobilières co-tées en Bourse. Les actions immobilières ont traditi-onnellement un rendement de dividende supérieur à celui des autres actions. Les hausses ou les baisses de cours jouent toutefois un rôle encore plus important dans le rendement final. Une action immobilière n’est donc absolument pas comparable à une obligation défensive. En moyenne, les cours des actions immobi-lières évoluent conformément au marché global, mais les fluctuations des prix ont été plus marquées ces dernières années. Depuis la crise immobilière de 2007 aux États-Unis, les actions immobilières sont en effet devenues nettement plus dynamiques à l’échelon mondial.

Contrairement à ce que l’on pense généralement, les actions immobilières ne protègent pas contre l’infla-tion. Le contexte économique est beaucoup plus im-portant pour le rendement des actions immobilières : les revenus locatifs des immeubles d’affaires sont lar-gement déterminés par le chiffre d’affaires et la force de frappe financière des locataires. Le redressement actuel de l’économie mondiale est donc favorable aux actions immobilières.

KBC Select Immo Europe Plus

En tant que promoteur, KBC propose Europe Plus, un compartiment de la sicav de droit belge(1) KBC Select Immo, qui investit essentiellement ses actifs en certifi-cats immobiliers, en actions de sociétés immobilières et en fonds immobiliers à caractère européen ainsi

que dans d’autres titres liés au secteur immobilier eu-ropéen. Il existe uniquement des actions de capitalisa-tion. La volatilité de la valeur nette d’inventaire peut être élevée en raison de la composition du portefeuil-le. Vérifiez avec votre chargé de relations KBC si un investissement dans KBC Select Immo Europe cadre avec une gestion de portefeuille.

La nouvelle sicaf immobilière Qrf entre en BourseQrf est une nouvelle sicaf immobilière publique(2) de droit belge, soit une société d’investissement à capital fixe, investissant son capital dans l’immobilier. Qrf se spécialise dans l’immobilier commercial intra-urbain en Belgique et se concentre sur les immeubles situés stratégiquement dans les principales artères commer-ciales des grandes villes et des villes régionales. Qrf utilisera le produit de son introduction en Bourse, conjointement avec un financement bancaire, pour acquérir un portefeuille d’immeubles commerciaux d’une valeur réelle totale de 114,2 millions EUR. Ce portefeuille est composé de 29 immeubles répartis sur 19 emplacements en Belgique, a un taux d’oc-cupation financier total (y compris les garanties locati-ves) de 99,2% et un taux d’occupation sur la base des revenus locatifs (hors garanties locatives) de 96,6%.

En investissant dans des immeubles situés stratégi-quement dans les principales artères commerciales des grandes villes et des villes régionales, Qrf mise sur la proximité et la mobilité du centre-ville en tant que lieu d’échanges sociaux. En outre, plusieurs tendan-ces sous-tendent l’importance des magasins du cent-re-ville. Ainsi, la croissance démographique n’est pas répartie uniformément en Belgique. Elle est en effet plus forte dans les villes, ce qui contribue à la nécessi-té et à la popularité des magasins intra-urbains.

(1): voir aussi la note 1 à la dernière page(2) Sicaf : abréviation de société d’investissement à capital fixe, soit un fonds caractérisé par le fait que le capital est en principe fixe. Le capital ne peut être augmenté ou réduit que selon les règles applicables à une société ordinaire, parmi lesquelles une modification des statuts. Les actions sont cotées en Bourse. En raison de l’offre et de la demande, le cours de Bourse peut s’écar-ter fortement de la valeur intrinsèque. La plupart des sicaf investissent dans l’immobilier, mais il en est d’autres qui investissent en actions.

Page 13: Strategie 2013 12 fr

13Stratégie & Accents

Immobilier en point de mire(1)

En outre, les autorités locales sont de plus en plus convaincues de l’importance économique des villes attrayantes. C’est pourquoi certaines villes prennent des mesures telles que :

•désigner un city manager

•embellir et faciliter l’accès aux centres urbains

•attirer les entreprises et les magasins.

Cela renforce l’attrait des villes pour les consomma-teurs qui font leur shopping et cela dope le chiffre d’affaires des commerçants du centre-ville. Malgré l’é-mergence des magasins en ligne, les magasins physi-ques restent attrayants tant pour les commerçants que pour les consommateurs. Ils contribuent à l’ex-périence de shopping multi-canaux, le consommateur exploitant plusieurs canaux commerciaux. Le consom-mateur peut combiner la spécificité d’un centre-ville et l’offre de magasins variée à d’autres possibilités de détente et vit ainsi une expérience qu’il ne peut trou-ver que dans un centre-ville. Les immeubles commer-ciaux du centre-ville sont par conséquent très prisés. Leur rareté détermine largement l’évolution de leur valeur. Les loyers de ce type d’immobilier ont en out-re augmenté progressivement. En valeur absolue, les prix restent toutefois significativement plus faibles que dans les pays voisins.

Conditions de l’introduction en BourseQrf souhaite lever entre 55,6 et 75,4 millions EUR. La période de souscription s’étend du 4 au 12 décembre 2013 (sous réserve de clôture anticipée). Le prix de souscription des nouvelles actions a été fixé à 25 EUR. Sur la base du montant levé maximal, la valeur d’in-vestissement nette par action est, à l’issue de l’offre, inférieure de 9,77% au prix de souscription compte tenu des frais liés à l’obtention du statut de sicaf, des frais liés à l’offre et du résultat de portefeuille néga-tif lié à l’acquisition du portefeuille immobilier initial. Vous pouvez souscrire auprès de votre agence KBC ou sur KBC Online.

Ces informations relatives à l’introduction en Bour-se de Qrf sont purement informatives et ne sont en aucun cas une recommandation d’investissement. Prenez contact avec votre chargé de relations KBC afin de déterminer la pertinence d’un investissement

dans Qrf. Investir en actions comporte des risques. L’investisseur risque de perdre une partie ou l’en-semble du capital investi. Nous recommandons aux investisseurs de consulter au préalable le prospectus complet tel qu’approuvé par la FSMA le 26 novem-bre 2013 et d’apporter une attention particulière aux facteurs de risque décrits au début du chapitre 2 du prospectus. Les principales caractéristiques sont également décrites dans une fiche produit KBC. Le prospectus et la fiche produit sont disponibles dans votre agence KBC et sur le site internet de KBC (www.kbc.be). Le prospectus est aussi disponible sur le site internet de Qrf (www.Qrf.be) et peut être obtenu gra-tuitement par l’intermédiaire du KBC-Telecenter (+32 3 283 29 70).

(1) Voir aussi la note 1 à la dernière page.

Europe Plus est un compartiment de la sicav de droit belge KBC Select Immo. Possibilité d’entrée et de sortie quotidienne. Frais d’entrée  : 3%. Frais de sortie: néant. Montant destiné à décourager un retrait dans le mois qui suit l’entrée : max. 5%. Taxe boursière sur les parts de capitalisation : 1% en cas de sortie (max. 1 500 euros). Parts de capitalisation et de distribution Service financier : KBC Bank et CBC Banque. Précompte mobilier sur les dividendes (actions de distribution) : 25%. Les plus-values (actions de capitalisation) ne sont pas soumises au précompte mobilier. La valeur nette d’inventaire est notamment publiée dans la presse financière (De Tijd et L’Echo) ainsi que sur le site www.kbc.be/recherchefonds.Nous vous conseillons de lire le document «Informations clés pour l’investis-seur» avant d’investir dans ce fonds. Ce document, le prospectus et le dernier rapport périodique sont disponibles gratuitement en néerlandais (ainsi qu’en français pour le document «Informations clés pour l’investisseur») dans toutes les agences de KBC Bank et CBC Banque. Ces documents peuvent également être consultés sur les sites www.kbc.be ou www.cbc.be.

Bron: Qrf

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14 Stratégie & Accents

Sous la loupeAssurance placement de la branche 23(1)

Misez sur le potentiel des actions européennes

Accents

❯ Le rendement escomp-té des actions euro-péennes reste attrayant

❯ Limitez le risque baissier

❯ Protégez vos héritiers grâce à une garantie accidents supplémen-taire

Actuellement, nous donnons la préférence aux acti-ons de la zone euro. Nous croyons en la reprise de la croissance en Europe. Les derniers indicateurs écono-miques envoient des signaux suffisamment clairs. La valorisation moins élevée des actions de la zone euro se justifie donc moins. Nous sommes conscients que la crise de l’euro continue à hanter l’esprit des inves-tisseurs et des ménages. Nous sommes cependant de plus en plus persuadés que la Banque centrale eu-ropéenne maîtrise la situation. L’amélioration dans la zone euro a permis à la BCE de supprimer l’excès d’in-jection de liquidités de ces dernières années.

KBC Life MI+ European Recovery 1

KBC Assurances lance KBC-Life MI European Reco-very 1, un nouveau fonds d’investissement de la gamme KBC-Life Multinvest, une assurance place-ment de la branche 23. Le rendement est lié à un panier de 20 actions d’entreprises qui profitent (in)directement de la reprise de l’économie européen-ne. Les objectifs d’investissement(2) du fonds sont les suivants : à l’échéance finale (31-01-2020), la haus-se éventuelle(3) du panier est prise en compte à hau-teur de 100%, avec un maximum de 80%, ce qui produit un rendement actuariel de 9,26%(4). En cas

de baisse éventuelle du panier(3), une moins-value de 10% au maximum est prise en compte à l’échéance finale (31-01-2020). La perte éventuelle est de ce fait limitée à 2,54% en moyenne en base annuelle(4). Le fonds s’adresse aux investisseurs ayant un profil de risque défensif. Prenez contact avec votre chargé de relations KBC et vérifiez avec lui la pertinence de cet investissement dans votre portefeuille. Une garantie accidents(5) est liée à ce fonds : si l’assuré décède par suite d’un accident, la réserve à verser est complétée d’au minimum 125% de la valeur d’inventaire initiale multipliée par le nombre d’unités à la date du décès. Si la valeur boursière est plus élevée, c’est bien enten-du ce montant qui est versé.

(1) Voir la note 3 à la dernière page.(2) Pour atteindre les objectifs d’investissement, le fonds investit, directement ou indirectement, jusqu’à 100% en dépôts et comptes à terme auprès de KBC Bank et/ou d’autres instruments financiers émis ou garantis par KBC Bank. À cet effet, le fonds investit dans une (ou plusieurs) obligation(s) d’Arcade Finance plc. spécialement émises à son intention. Vous trouverez de plus amples informations à ce sujet dans la fiche produit ainsi que dans le règlement de gestion.(3) (Valeur finale moins valeur initiale), divisée par la valeur initiale.(4) Frais et taxes inclus, hors précompte mobilier. Ces rendements ne sont pas garantis. En cas de rachat pendant les huit premières années du contrat, les fonds présentant une durée inférieure à 8 ans peuvent être soumis au précompte mobilier.(5) Celle-ci s’inscrit dans le cadre d’une assurance collective résiliable annu-ellement, conclue par l’intermédiaire, et pour laquelle vous ne devez payer ni prime ni frais supplémentaires. Vous pouvez obtenir votre exemplaire des conditions de couverture auprès de votre chargé de relations KBC.

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15Stratégie & Accents

Sous la loupeOrganismes de Placement Collectif (OPC)(1)

La force du consommateur

Accents

❯ Envisagez d’investir en actions afin de profiter de la reprise écono-miqueKBC Participation EMU Consumers 1

En sa qualité de promoteur, KBC propose EMU Con-sumers 1, un compartiment de la sicav de droit bel-ge KBC Participation, qui investit dans un panier de 30 actions d’entreprises (cf. infra) dont une partie du chiffre d’affaires est générée par les consommateurs de la zone euro. Le compartiment a une durée de 6 ans et 7 mois. Une hausse éventuelle du panier(2) à l’échéance finale (31-07-2020) est versée intégra-lement à titre de plus-value, en plus de votre mise initiale. La plus-value est plafonnée à 80%, ce qui débouche sur un rendement maximal de 9,36% en moyenne en base annuelle, avant frais et taxes. Une baisse du panier(2) à l’échéance finale (31-07-2020) est prise en compte à titre de moins-value, qui est plafonnée à 10%. La perte éventuelle s’élève par conséquent au maximum à 1,60% en moyenne en base annuelle, avant frais et taxes. Vous récupérez donc au moins 90% de votre mise initiale (soit 900 EUR sur 1 000 EUR avant frais et taxes) à l’échéan-ce. Le compartiment EMU Consumers 1 s’adresse par conséquent aux investisseurs défensifs. Votre chargé de relations KBC se fera un plaisir d’examiner si EMU Consumers 1 convient à votre portefeuille d’inves-tissement. Prenez rendez-vous dès maintenant. Les actions font l’objet d’une sélection internationale. La sélection s’effectue en quatre étapes sur la base de plusieurs critères : facteurs macroéconomiques (étape n°1), données financières historiques (étape n°2), rapports d’analyse (étape n°3) et données liées à la technique des options (étape n°4). Lors de la premi-

ère étape, les actions sont filtrées sur la base de leur capitalisation boursière et de leur liquidité (négocia-bilité en Bourse). Le panier final est approuvé par le Conseil d’administration de la sicav. Il doit également répondre à plusieurs exigences légales : nombre mini-mal d’actions, ventilation géographique et sectorielle suffisante, poids des actions individuelles,... La sélec-tion repose aussi sur des paramètres susceptibles d’in-fluencer le rendement potentiel des investissements. Vous trouverez plus d’informations sur la composition du panier dans le prospectus.

(1) Voir la note 1 à la dernière page.(2) (Valeur finale moins la valeur initiale minimale) divisée par la valeur initiale.

EMU Consumers 1 est un nouveau compartiment de la sicav de droit belge KBC Participation. Prix de souscription initial : 1  000 euros (parts de capi-talisation). Période de souscription : du 2 au 30 décembre 2013 avant six heures du matin (sauf clôture anticipée), avec date valeur le 8 janvier 2014. Après le lancement, possibilité d’entrée et de sortie quotidienne à la VNI en vigueur. Frais d’entrée : 2,50% pendant la période d’émission, 3,50% par la suite (dont 1% pour le fonds). Frais de sortie : à l’échéance finale : néant ; avant l’échéance finale : 1 % (ordres à partir de 1,25 million d’EUR : 0,50%). Montant destiné à décourager un retrait dans le mois qui suit l’entrée : max. 5%. Taxe boursière (parts de capitalisation) : 1% en cas de sortie (max. 1 500 euros). Régine fiscal en Belgique : la loi du 30 juillet 2013 prévoit la retenue du PM sous certaines conditions en cas de rachat, de liquidation à l’échéance finale ou de vente. Pour l’heure, nous ignorons si cette loi s’ap-plique également à ce produit d’investissement. Les informations relatives à la fiscalité sont donc sujettes à modification. Service financier : KBC Bank et CBC Banque. La valeur nette d’inventaire est notamment publiée dans la presse financière (De Tijd et L’Echo) et sur le site www.kbc.be/recher-chedefonds. Nous vous conseillons de lire le document «Informations clés pour l’investisseur» avant d’investir dans ce compartiment. Ce document, le prospectus et les derniers rapports périodiques sont disponibles gratuitement en néerlandais (ainsi qu’en français pour le document «Informations clés pour l’investisseur») dans toutes les agences de KBC Bank et CBC Banque. Ces documents peuvent également être consultés sur les sites www.kbc.be ou www.cbc.be.

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WWWPlus de renseignements sur: www.kbc.be/investir

Adresse de la correspondance: KBC BANK SA, KBC Asset Management, avenue du Port 2, 1080 Bruxelles.

Ce document est une publication de KBC Asset Management SA (KBC AM), basée sur les recommandations d’investissement de KBC AM et/ou les résumés de rapports d’analyse de KBC Securities SA (KBC Sec), et est diffusé par KBC Bank.

Cette publication est une communication publicitaire et n’entre pas dans la catégorie ‘recherche en investissements’, telle que visée par l’Arrêté royal du 3 juin 2007 portant les règles visant à transposer la directive sur les marchés d’instruments financiers, de sorte que les prescriptions légales destinées à promouvoir l’indépendance de la recherche en investissements ne sont pas d’application. Les présentes recommandations ne constituent pas un conseil en investissement personnalisé. Les gestionnaires de fonds de KBC AM peuvent effec-tuer des transactions sur l’instrument financier concerné avant la diffusion des recommandations. La rémunération des collaborateurs ou préposés employés par KBC AM et/ou KBC Sec et chargés de l’établissement des recommandations n’est pas directement liée à des transactions de banque d’affaires. Le prospectus, le document d’informations clés pour l’investisseur (“Key Investor Information Document” ou KIID) et les derniers rapports périodiques sont disponibles gratuitement auprès de KBC Asset Management SA et sont accessibles au public sur le site www.kbcam.be. Les informations du présent document sont valables au moment de sa rédaction. Elles peuvent être modifiées sans préavis et n’offrent aucune garantie pour l’avenir. Les résultats des instruments et indices financiers présentés sont des résultats obtenus par le passé. Ils ne constituent donc pas un indicateur fiable des résultats futurs. Si les résultats des instruments et indices financiers pré-sentés sont libellés dans une autre devise que l’euro, le rendement peut être plus ou moins élevé en raison des fluctuations de change. Aucun passage de ce document ne peut être reproduit sans l’autorisation expresse, écrite et préalable de KBC AM. Ces informations sont soumises au droit belge et relèvent de la juridiction exclusive des tribunaux belges.Pour certains éléments essentiels des recommandations d’investissement (dont le règlement de conflits d’intérêts), qui ne figurent pas dans le document faute de place, nous vous renvoyons, pour KBC Sec, aux ‘Disclosures’ consultables sur www.kbcsecurities.com/disclo-sures et, pour KBC AM, aux Directives générales relatives aux recommandations d’investissement de KBC Asset Management disponibles sur le site www.kbcam.be/actions.

Éditeur responsable : KBC Groupe SA, avenue du Port 2, 1080 Bruxelles, Belgique. TVA BE 0403.227.515, RPM Bruxelles. www.kbc.be

Faits et autres informations relatives aux sociétés cotées en bourse: KBC Asset Management SA publie sur son site une fiche d’action pour la plupart des sociétés cotées mentionnées dans la présente publication. Cette fiche comporte d’une part des informations pure-ment factuelles. Ces éléments d’opinion sont présentés sur fond coloré.

Fréquence des changements d’avis: Les analystes de KBC Asset Management suivent de près l’actualité financière mondiale. L’avis émis sur une action est la conclusion d’une évaluation rigoureuse de trois éléments: l’action proprement dite, le secteur auquel appartient l’entreprise et la région dans laquelle elle est implantée. Toute modification au niveau de l’une de ces trois composantes peut entraîner un changement d’avis.

Méthode de recommandation: Une description détaillée de la méthode utilisée est fournie dans l’édition de Stratégie & Accents numéro A01 du 6 janvier 2011. Celle-ci peut également être consultée sur www.kbcam.be/ actions/méthodederecommandation. Un exemplaire de cette brochure est également disponible dans toutes les agences KBC.

Photos utilisées: www.shutterstock.com

(1) Une sicav est un Organisme de placement collectif (OPC). Un OPC est généralement créé par un organisme financier mais forme une entité juridique distincte. Une part achetée dans un OPC donne droit à une partie du résultat en fonction du montant investi. Le capital investi peut toutefois se déprécier. Les investissements en OPC permettent de répartir les risques et facilitent l’accès aux Bourses et marchés étrangers. Les placements en OPC sont couverts par le Fonds de protection des dépôts et des instruments financiers. Cela signifie qu’une intervention peut être obtenue auprès du fonds de protection à hauteur de 20 000 EUR au maximum, si un établisse-ment de crédit ou une société de Bourse détient des parts d’OPC pour le compte de ses clients et ne peut les fournir ou les restituer à leurs propriétaires légitimes. Il convient de noter que la perte de valeur éventuelle d’un OPC par rapport à son prix d’acquisition n’est pas couverte par le fonds de protection.

(2) Une obligation est un titre de créance émis par une entreprise, un organisme public ou un Etat, remboursable à une date et pour un montant fixés au préalable et produisant un intérêt.

(3) KBC-Life MI+ European Recovery 1 (Classe de risque légale de 3 sur une échelle de 0 à 6 / profil défensif) est un fonds d’investis-sement lié à KBC-Life Multinvest, une assurance placement de la branche 23 proposée par KBC Assurances. En tant qu’investisseur, vous pouvez désigner le bénéficiaire du capital constitué s’il venait à décéder. Le capital reste en outre disponible dans l’intervalle. L’investisseur peut en effet le réclamer à tout moment, en tout ou en partie. La valeur des fonds et de leurs unités n’est pas garantie par la compagnie d’assurances et peut fluctuer dans le temps. Le risque financier est supporté par le preneur d’assurance. De plus amples informations sont fournies dans le règlement de gestion et dans la fiche d’information financière, disponibles sur le site www.kbc.be ou auprès de votre conseiller KBC. Siège de la société : KBC Assurances SA – Professor Roger Van Overstraetenplein 2 – 3000 Leuven – Belgique. TVA BE 0403.552.563, RPM Leuven, Compte bancaire 730-0042006-01, FSMA 038571 A, IBAN BE43 7300 0420 0601, BIC KREDBEBB. Une Société du groupe KBC

Le parution du prochain numéro le 3 janvier 2014