la keynote reprisemedia du 23/03/11

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23/03/2011

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Le digital évolue perpétuellement. Il bouge, il vit. Difficile de le suivre au quotidien. Notre idée : vous faciliter le décryptage et le suivi de l’actualité DIGITALE dans son ensemble. C’est pourquoi nous avons décidé de mettre en place un outil QUOTIDIEN accessible à tout le monde : la KEYNOTE. Simple, synthétique et diversifiée, son rôle n’a qu’une prétention : éveiller votre curiosité et vous apporter une veille digitale réclamée par l’ensemble de nos clients. Vous en souhaitant bonne lecture

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L'IRSN met en ligne une simulation du passage du panache radioactif sur la France réalisée avecle concours de Météo France, et offre son outil Criter aux internautes qui permet un suivi enquasi temps-réel.

Si le Japon est malheureusement toujours dans la crainte d'une catastrophe nucléaire, lesémanations radioactives se propagent depuis une dizaine de jours dans le reste du monde au grédes mouvements atmosphériques. Les experts sont toutefois formels, il ne s'agit pas d'un nuagecomme celui qui avait traversé la France après la catastrophe de Tchernobyl, mais d'un "panache"radioactif, estimé 1000 à 10 000 fois moins nocif et quasi-invisible même pour les appareils decontrôle les plus perfectionnés. Reste que cela génère des craintes chez de nombreux français, etc'est pourquoi l'IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nationale) veut jouer la transparence,publiant en temps-réel les informations dont il dispose.

On peut donc voir sur le site de l'IRSN une simulation du passage de ce panache radioactif, prévupour aujourd'hui, sur la France. L'institut a également mis en ligne une version améliorée de sonoutil Criter qui surveille la France d'un point de vue radiologique (Métropole et Dom-Tom). Criters'appuie sur les résultats provenant de 180 balises mesurant le rayonnement gamma toutes les 5minutes. Si le traitement de ces données est fait en temps-réel dans un centre des Yvelines, la cartevisible par les internautes est mise à jour toutes les 4 heures. "La radioactivité ne devrait d’ailleurspas être détectable par les balises du réseau Téléray de surveillance français de la radioactivitéambiante" précise l’IRSN.

Un site pour suivre le "panache" radioactif en France

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Un site pour suivre le "panache" radioactif en France

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L’ iPad 2 disponible depuis le vendredi 25 mars

Apple vous invite depuis le 25 mars à découvrir l’ iPad 2 à l’Apple Store .

Pour découvrir l‘ iPad, le rendez-vous a été donné dès 17 h à l'Apple Store le 25 mars.

Des spécialistes vous en montreront les fonctionnalités sont à disposition et aideront le public àchoisir le modèle qui vous correspond et le configureront selon les désirs de chacun. La marquepropose également de l’achetez en ligne et de bénéficiez d'une livraison gratuite à domicile.

Côté prix, l’ iPad 2 Wifi uniquement sera plus accessible, avec un prix de base fixé à 489 euros,contre un peu moins de 510 euros pour l’iPad 1 16 Go à l’époque de sa sortie. L’ iPad 2 version 32Go sera proposé à 591 euros, contre 610 euros pour la première version. La version 64 Go seraquant à elle à 693 euros. Pour les versions Wifi +3G, il faudra compter 609 euros pour l’iPad 2version 16 Go, 711 euros pour le 32 Go et 813 euros pour le 64 Go.

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Le site d'information high-tech et lifestyle, Teknologik.fr, lance un journal vidéo hebdomadaireen ligne dédié exclusivement à l'actualité des tablettes numériques, TAB7.

Aux commandes : les journalistes, Benjamin Vincent et Pierrick Fay, créateurs du site Internet. Pourson premier numéro, TAB7 propose notamment un test de la tablette Xoom de Motorola.

Cette émission tout en images d'une durée de 5 minutes environ est diffusée tous les samedis enligne. Elle est également disponible en podcast sur l’ i Tunes Store.

Un journal vidéo en ligne dédié aux tablettes numériques

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La distribution alimentaire prépare sa web révolution avec le concept du Drive, la dernièretrouvaille des distributeurs pour enfin réussir dans l'e-commerce.

Le marché du e-commerce français a atteint 31,2 milliards d'euros en 2010 enregistrant uneprogression de 26 % par rapport à 2009. Pour 2011, les prévisions font état d'un marché européenqui devrait frôler les 203 milliards d'euros et d'un marché national de 38,7 milliards soit uneprogression de 24 %. Cette évolution amènera le e-commerce à peser environ 7,3 % des ventes dedétail en France en 2011 et 11 à 12 % à l'horizon 2015.

Le Drive : enfin le bon concept pour l'e-commerce alimentaire ?

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La part des ventes réalisées online varie très fortement selon les secteurs, le voyage, les produitstechniques et l'habillement faisant parties des secteurs où la part des ventes online est la plusimportante.

A l'inverse, le marché de l'alimentaire sur Internet est lui très faible puisqu'il représente moins de1% du marché de la grande distribution. En effet, après avoir été un secteur pionnier il y a plus de25 ans avec les courses sur minitel (Cadditel qui devint ensuite Telemarket.fr), le modèle de lalivraison à domicile n'a jamais explosé. Car malgré l'intérêt porté par la plupart des enseignes(Auchan avec Auchandirect, Carrefour avec Ooshop, Cora avec Houra, Monoprix avec Telemarketpuis Monoprix.fr, Intermarché avec Expressmarche.com, Casino avec feu Cmescourses etaujourd'hui Monsupercasino) le modèle reste instable et peu ou pas rentable. En effet lesproblématiques logistiques (prioritairement la livraison du dernier kilomètre) et la stratégie prixposent de sérieux problèmes aux différents intervenants ce qui explique le non déploiement dumodèle sur 100 % du territoire.

Le Drive : enfin le bon concept pour l'e-commerce alimentaire ?

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Pour contourner ces difficultés et pour permettre au consommateur de mettre fin aux "courses-corvées", Auchan, en complément de son site de livraison à domicile, a créé Auchan Drive etChronodrive.

Avec ce modèle, la contrainte de la logistique aval est transférée au client comme dans le modèletraditionnel des hypermarchés et supermarchés. De plus, le gros avantage de ce modèle tientdans son positionnement prix qui est le même que dans les magasins physiques. Après plusieursannées de réglages à petite échelle, les enseignes ont décidé de déployer ce concept.

Aujourd'hui, le Drive s'inscrit parmi les nouveaux services proposés aux consommateurs par laplupart des enseignes. Il constitue, par exemple, une alternative permettant de desservir certaineszones non couvertes par le réseau classique de livraison à domicile.

Le Drive : enfin le bon concept pour l'e-commerce alimentaire ?

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Deux modèles se côtoient aujourd'hui :

Un premier modèle que nous pouvons appeler le « Pure-drive », où le consommateur récupèresa commande en se rendant avec son véhicule sur un lieu déterminé. Selon ce système, le clientidentifié par un code personnel récupère ses achats dans un entrepôt dédié ou un espace accolé aumagasin, auprès d'une équipe en charge de remplir son coffre. Ceci sans que le consommateur ait àdescendre de son véhicule. C'est le modèle principalement exploité par Leclerc et Auchan.

Le second modèle est le « drive-piéton » , comme son intitulé l'indique, le consommateur se rendà pied dans le magasin où il aura choisi de récupérer ses achats. Dans ce cas de figure, on parled'"emporté-magasin". On retrouve ce modèle chez Système U, Intermarché et Simplymarket parexemple. Ce système est particulièrement adapté aux centres villes où le foncier est rare et cher.Pour ce service toutes les enseignes n'ont pas la même approche logistique : certaines privilégient lepicking magasin et d'autres la préparation sur un entrepôt unique qui livre ensuite les magasins.

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Ces deux modèles permettent un gain de temps mais le premier modèle connaît une réussitecommerciale pour plusieurs raisons :

- le coût du service : le modèle "Pure drive" est gratuit, à l'inverse de l'emporté magasin quisouvent est payant.

- la praticité du service : l'emporté piéton oblige le consommateur à entrer dans le magasin et àattendre qu'un employé se libère pour lui remettre ses courses.

- le confort du service : il est plus facile de transporter 80-90 euros de courses dans le coffre de savoiture que de les porter à la main.

Au niveau économique, autant la lecture est simple et la rentabilité présente pour une activité"Pure Drive", autant les résultats réalisés via le picking magasin sont timorés et peu lisibles. Eneffet, avec le premier modèle, les investissements, les frais de personnel et la productivité sontconnus et maîtrisés. Un point de vigilance doit cependant être levé : la sélection de l'emplacementsont primordiaux dans la réussite économique du modèle, car un niveau de chiffre d'affairesplancher est nécessaire. Sur cette problématique, nous avons défini un profil type de driver qui nouspermet de modéliser le chiffre d'affaires potentiel d'une unité Drive en fonction de différentscritères, comme par exemple le type de flux routiers mais aussi l'appétence au modèle Drive de lazone de chalandise.

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A l'inverse, avec un modèle de picking magasin, la productivité et les frais de personnel de l'activitésont noyés avec ceux du magasin. Ce modèle, qui nécessite peu d'investissements, était intéressantil y a quelques années pour tester l'intérêt des consommateurs, mais aujourd'hui il semble qu'ilconnaisse ses limites (faible niveau de chiffre d'affaires, préparation des commandes peu optimisée,gestion complexe des stocks...). Au-delà de l'enjeu majeur pour l'avenir qu'est l'e-commerce, leDrive est aussi une arme redoutable au niveau de l'expansion et de la stratégie des enseignes. Eneffet il permet de s'installer dans des zones où l'enseigne n'est pas présente, sans avoir besoind'une surface importante et sans avoir besoin de multiplier les points de vente : le concept deDrive est, aujourd'hui, suffisamment novateur pour permettre le développement rapide de lanotoriété de l'enseigne dans la zone (comme le prouve la réussite de Chronodrive). Devant de telsenjeux, les enseignes, dans une stratégie dans certains cas de défense et dans d'autres cas deconquête de part de marché, ont annoncé des déploiements massifs dans les mois et les années àvenir (Leclerc annonce 400 unités, Carrefour 180 unités). A ce rythme, le marché de l'e-commercealimentaire qui se répartit aujourd'hui à 50/50 entre le concept de livraison à domicile et celui deDrive devrait vite basculer en faveur du second et dépasser les 3,5 milliards d'euros en 2015. A cemoment là, nous pourrons dire que l'e-commerce alimentaire aura fait sa révolution. Avant cela, ilreste aux distributeurs à trouver les emplacements les plus judicieux en termes de flux routier et dezone de chalandise : la course aux emplacements est donc lancée. Course à laquelle d'autresintervenants comme les distributeurs spécialisés et les industriels pourraient venir participer, lemodèle Drive pouvant s'adapter à d'autres secteurs.

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