journal de l'option dp3

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Avril 2015

N° 1

DP3 Actus Collège Marie Mauron

DOSSIER SPECIAL

Reportage photos à l’école

Franco -Allemande de

l’ALAT

Pour tout savoir de la DP3

Témoignages et reportages

Commerce-Distribution

Restauration

Retrouvez-nous sur

http://www.mariemauron.fr/dp3

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Sommaire

http://www.mariemauron.fr/dp3

3 C’est quoi la DP3?

par Marie-Amélie, Mélissa, Vincent, et Romain

4 Nos sorties ...

par Marie Amélie

5 Le speed dating

par Alicia et Romain

6 LE DOSSIER :

Reportage photo à l’ALAT au Cannet des Maures

par tous les élèves de la classe et Mme Breyton

10 A la table d’Yves Merville

par Kévin, Nicolas et Vincent

et par Alicia, Mélissa et Marie-Amélie

12 Coté Primeur

par Vincent

13 Coté Fleurs

vu par Nathanaël et Alicia

14 Fiche métier de Melissa : Graphiste

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C’est quoi, la DP3 ?

L a DP3, c’est la découverte professionnelle avec 3 heures d’enseignement hebdomadaire.

Par Marie-Amélie, Mélissa, Vincent, et Romain. Ils ont résumé les principales caractéristiques

de cette option pas comme les autres…

« Les cours de DP3 se déroulent au CDI. Nous avons 3 heures de cours par semaine, avec 3 professeurs diffé-

rents cette année: M. Anderbegani, professeur d’histoire, Mme Breyton, professeur de mathématiques et

Mme Valet, professeur documentaliste. Nous ne sommes qu’une dizaine d’élèves cette année.

On utilise très souvent les ordinateurs pour travailler, faire des recherches (dernièrement sur le bulletin de

salaire), des comptes rendus de nos sorties, ou répondre à des questionnaires (QCM) sur la plateforme de

cours en ligne. Les cours peuvent aussi être plus traditionnels, avec utilisation du vidéoprojecteur et lecture

et analyse de documents.

Comme d’autres options facultatives, nous sommes évalués sous différentes formes : QCM ou question-

naires à réponses libres en ligne, élaboration de diaporamas sur différents métiers, comptes rendus ou re-

cherches documentaires. Une note d’oral prend en compte la participation et l’implication des élèves dans

les cours, ainsi que la présentation de nos diaporamas.

Tous les points au-dessus de 10 comptent pour le brevet, dans le cadre du contrôle continu.

Malgré tout, l’ambiance est détendue et chaleureuse, car nous ne sommes pas nombreux cette année ! »

PRÉSENTATION DE L’OPTION

Une belle

équipe

M. Anderbegani

Vincent

Valentin

Alicia

Melissa

Marie Amélie

Nathanël

Kevin

Nicolas

Yoan

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Nos sorties...

L a première sortie que nous avons effectuée avec la classe de DP3 a eu lieu

au restaurant de Fayence « La table d’Yves » qui est situé non loin du col-

lège sur la route de Fréjus. Puis nous avons enchainé sur d’autres visites:

celle de l’hôtel des Oliviers toujours à Fayence, une grande surface,

Super U en l’occurrence, mais la plus éloignée de toutes a été celle de la base mili-

taire de l’ALAT au Cannet des Maures. Puis, nous nous sommes rendus à côté du

collège chez un primeur/ fleuriste, « Coté fleurs, coté primeurs », qui nous a permis

d’interroger ces personnes sur leurs métiers. Après ces sorties qui, je l’avoue, sont

déjà très nombreuses, nous allons en faire encore deux autres à la boulangerie de la

Gourmandine à Fayence ainsi que sur l’exploitation agricole de M. Rebuffel.

Marie Amélie nous présente ici les sorties de la classe de DP3

N ous avons proposé cette année à nos élèves une découverte du monde de l’en-

treprise en début d’année d’octobre à novembre, puis nous avons étudié les

secteurs d’activité prédominants dans le Var.

Des visites ont émaillé nos séquences, et donné à voir à nos élèves des situa-

tion concrètes, agrémentées de rencontres souvent sympathiques. Les secteurs étudiés

cette année ont été:

L’armée

L’hôtellerie / restauration

Le commerce de proximité et la grande distribution

L’artisanat

L’agriculture / viticulture

...dans ce cadre


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L e mardi 18 novembre 2014 , le classe de DP3 a organi-

sé au CDI un speed dating des métiers du collège.

Nous avons invité des personnes représentant diffé-

rents métiers au collège : principal, principal adjoint,

infirmière, CPE, surveillants, professeurs, comptable, cuisinier, profes-

seurs, secrétaires, agent d’entretien et personne du service informa-

tique… Nous nous sommes directement adressés aux

professionnels pour qu’ils nous renseignent sur leurs

métiers, leurs avantages et leurs inconvénients, les

conditions de travail. Chaque élève de DP3 a rencon-

tré durant 15 minutes 4 professionnels. »

Cette belle expérience, menée en début d’année, a

permis à nos élèves de faire de belles rencontres et

de se rendre de compte que leur collège recelait une

richesse de métiers insoupçonnés.

Les élèves ont aussi eu des notions de droit du travail et de connais-

sance du monde de l’entreprise :

Connaitre les différents types d’entreprises,

Les contrats de travail,

Savoir décrypter un bulletin de salaire…

Qu’est ce qu’un CV?

Comment le présenter? Qu’y mettre?

Comment rédiger une lettre de motivation?

Comment mener un entretien d’embauche?

Témoignage de Suzanne BOISSIN, ex DRH chez Castorama

A venir

Alicia et Romain témoignent

Mais aussi...

Organisation d’un SPEED DATING

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La base

militaire de l’ALAT Compte rendu collectif

L e 17 février 2015, à 12h25 de Fayence, nous

sommes partis en direction de la base mili-

taire de l’ALAT (aviation légère de l'armée

de Terre, ndlr) contenant la base elle-même

et trois écoles militaires franco allemandes.

Arrivés sur place, on nous a divisés en 2 groupes pour la

visite.

On a visité le centre météorologique. Le centre est en

communication avec un satellite géostationnaire civil

pour obtenir des informations précises (cartes, anima-

tions en temps réel ) On nous a présenté un logiciel qui

permet de modéliser des situations et de faire des pré-

visions météo.

Ensuite, nous sommes allés au B I A ( bureau d’infor-

mations aéronautiques ). Dans cette salle, nous avons

vu des cartes où étaient dessinés des couloirs aériens :

une de la France entière et une autre de la région PA-

CA. Ces cartes sont mises à jour tous les jours. Ces

cartes vont être utiles pour planifier les sorties des héli-

coptères. Chaque pilote doit passer au BIA pour donner

son plan de vol en trois exemplaires : un pour eux, un

pour le BIA et le troisième entré numériquement.

Sur ces cartes, il y a différentes couleurs qui renvoient

vers des classeurs de la même couleur contenant des

informations sur les vols du jour.

Ensuite, nous nous sommes rendus sur la terrasse de

la tour de contrôle où l’on a vu des hélicoptères et un

avion qui décollaient.

Dans la tour de contrôle, quatre personnes sont pré-

sentes :

Une pour le sol

Une pour les décollages et l’atterrissage et

les mouvements près de l’aéroport.

Une pour la sécurité aérienne

Une pour superviser le tout

De la tour de contrôle, on pouvait voir toute la base et

les pistes de décollage et atterrissage. On a remarqué

que les pistes se croisaient.

Après avoir visité la tour de contrôle, on est parti chez

les pompiers et ils nous ont montré les camions et le

matériel.

La fin de la journée fut consacrée à la visite des im-

menses hangars contenant les hélicoptères Tigre fran-

çais et allemand.

DOSSIER

DEFENSE—SECURITE

SECTEUR D’ACTIVITE

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Un petit avion de la DGAC


TARMAC ouest

Ici, c’est le BIA avec les cartes et les plans de vol Deux hélicoptères de l’armée de terre

TARMAC Est

Rep

ort

age

ph

oto


TARMAC ouest

Les abris temporaires des hélicos

TARMAC Est

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Là, c’est la visite du service de sécurité qui doit intervenir très rapidement en

cas d’accident

Sur la terrasse de la tour de contrôle, on aperçoit les avions et les hélicos qui

se posent.

Rep

ort

age

ph

oto

Bas

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de

l’AL

AT

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Ici, c’est nous avec plein d’autres élèves de 3e qui sont aussi venus à la sortie.

Là, on a vu l’hélicoptère Tigre. Nous n’avons pas eu le droit de pho-tographier les appareils allemands.

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ON A VU...

Par Kévin, Nicolas et Vincent

Le mardi 20 janvier 2015, la classe de DP3 s’est rendue au restaurant à la table d’Yves situé à Fayence, non

loin du collège, pour le visiter et s’informer sur les métiers de la restauration.

L es patrons sont propriétaires de leur restaurant. Auparavant, M. Merville était cuisinier chez d’autres

restaurateurs. En 1998 avec sa femme, ils fondent leur propre restaurant La table d’Yves à Cagnes-sur-

Mer. Ils choisissent ce nom « La table d’Yves » pour le côté familial et convivial alors que la mode de

l’époque était surtout influencée par les noms de restaurants typiquement régionaux.

En 2002, le couple de restaurateurs décide de s’installer à Fayence dans un bâtiment à vocation sportive (terrain

de tennis à proximité). Ils ont restauré et réaménagé l’ensemble en cassant des cloisons, en insonorisant le pla-

fond, en achetant les tables et les chaises à l’occasion d’un salon professionnel à Paris.

Les propriétaires s’occupent de différentes tâches : monsieur Merville travaille à la cuisine. Il est aidé selon les

saisons. Ils sont en général de 3 à 5 et en été, il y a un plongeur qui les aide. Côté salle, madame Merville accueille

les clients, leur présente la carte et prend les commandes. Elle est aidée de 2 à 5 personnes selon la saison.

Comme dans tous les restaurants, les patrons organisent le service de manière à ce que l’enchainement du tra-

vail soit synchronisé et que chacun sache ce qu’il a à faire.

Le personnel a sa propre tenue. Elle est noire et blanche pour les ser-

veurs, en noir pour les cuisiniers et en vert kaki pour le patron. Ils ont

une tenue pour que le client puisse identifier facilement le serveur ou le

cuisinier si nécessaire.

C’est un des rares métiers où l’on peut évoluer car c’est un métier où on

peut commencer comme commis et où l’on peut devenir chef étoilé si

l’on est capable, si l’on en est très motivé, disponible, efficace, travail-

Rencontre avec un couple de restaurateurs passionnés

A LA TABLE

D’YVES

MERVILLE

RESTAURATION


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ON A VU...

leur, à l’écoute et aussi savoir gérer une équipe.

Le salaire varie selon les grades : le commis commence à 1 250€ net par mois au lieu de 1135€ net pour le smic

normal. Cette différence est due au fait que l’hôtellerie a besoin d’effectif supplémentaire car le chômage est

rare dans ce secteur d’activité.

Par Mayot Alicia Buchet Mélissa Gonçalves Marie

-Amélie

N ous sommes arrivés par une allée joli-

ment décorée donnant accès à une

petite cour, où il y avait un bassin et

une terrasse ombragée l’été. De celle-

ci, nous avons pu apercevoir des pay-

sages de toutes beautés. Nous sommes ensuite

rentrés dans le bâtiment, où nous avons été ac-

cueillis par les patrons M. et Mme Merville.

Le restaurant la « Table d’Yves », a été créé en

2002 par Yves Merville et sa femme. L’établisse-

ment porte le nom de son créateur et de son propriétaire. Le restaurant figure dans plusieurs guides dont « le

petit futé » et « le guide Michelin ». Avant l’arrivée des propriétaires, le bâtiment n’était pas un restaurant

mais un club de sport. Depuis, les façades ont été rénovées, le matériel de la cuisine a été changé, les salles

ont été redécorées et les fenêtres seront prochainement remplacées.

La salle de restauration est divisée en 2 parties séparées par un bar. La terrasse est aussi un atout ma-

jeur en été pour ce restaurant car on peut s’y retrouver pour se restaurer entre amis ou en famille.

Le restaurant la table d’Yves sert de 12H à 13H30 et de 19H a 21H30 tous les jours. La table d’Yves est

fermée pendant le mois de novembre, durant 2 semaines de février, à noël et le jour du nouvel an. La période

estival est la plus chargée.

Le restaurant peut servir de 20 à 60 couverts l’été. Il possède 50 tables à l’intérieur et 50 tables en ter-

rasse. De cette manière, en cas d’orage toutes les personnes dînant ou déjeunant en extérieur, peuvent ren-

trer manger à l’abri. Il n’est pas nécessaire de réserver pour manger, mais cela est préférable pour être sûr

d’avoir de la place.

La carte de ce restaurant possède trois menus, dont un à 30 euros, un à 45 euros et un à 60 euros.

Tous les repas sont faits maison sauf le pain, fait par un boulanger, et la glace, réalisée par un artisan glacier

italien. Les spécialités de la table d’Yves sont le poisson et les produits de la mer. La carte est changée tous

les mois en fonction des produits du marché. La plupart des produits proviennent du sud de la France. Les

crustacés et fruits de mer sont en provenance des régions françaises du nord. En automne, le chef achète des

champignons et du gibier aux ramasseurs et aux chasseurs des environs. Lors de notre visite, M Merville nous

a présenté M Blanc un trufficulteur qui ne fait commerce qu’avec les restaurateurs.

Le restaurant : le pourquoi et le comment ?

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ON A VU...

L e mardi 24 mars, la classe de DP3 est allée visiter l’entreprise Côté fleur /Côté primeur. Nous

avons vu que le magasin est ouvert 6/7jours de 8h30 à19h30. Le magasin a été créé depuis deux

ans, son propriétaire ne prend pas de vacances. Le loyer du bâtiment est de 3000 euros/mois. Il

possède aussi le magasin de fleurs à côté.

Ce magasin est connu grâce au bouche à oreille et grâce au relais colis. Les périodes les plus difficiles

sont les mois de novembre à février, car les fruits et légumes sont moins variés qu’en été et du manque

de touristes.

Il ne fait pas pousser les légumes et

les fruits lui-même. Il va les chercher

au MIN de Cavaillon. Certains fruits

exotiques sont importés de l’étran-

ger (ex : les mangues)

Le propriétaire du côté primeur a fait

un CAP mécanique (donc rien à voir

avec cet emploi).

En hiver comme en été, la tempéra-

ture du magasin doit être de 10 à

13° pour une meilleure conservation

des produits : en hiver grâce à la

température ambiante et, en été,

grâce au climatiseur.

Le produit le plus apprécié et le plus

vendu est le poulet rôti : il en a vendu 5 tonnes en 20 mois!

Coté Jardin… Le marchand de Primeurs par Vincent

COMMERCE


Visite de

Commerces

De proximité

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DEUX POINTS DE VUE...

Coté Fleurs… du coté de Prim’fleurs

L a fleuriste qui nous a

accueillis, a fait un CAP

de fleuriste. Pour faire

ce métier, il n’y a pas

besoin de cursus complémen-

taire. Les locaux sont petits car

les impôts pour les créations d’en-

treprise sont très chers. Elle n’a

pas d’employés, son produit

phare est la rose car elle est tradi-

tionnelle et surtout très popu-

laire. Ses fleurs proviennent du

marché d’Hyères qui est le marché de fleurs le plus important de la région. Il

est réputé pour ses fleurs de qualité. Pour conserver ses produits, elle garde

une température entre 10 et 13 degrés Celsius.

Le magasin est ouvert de 8h30 à 19h30 du mardi au samedi et pour le di-

manche de 10h a 13h. Elle est fermée le lundi car elle est toute seule toute la

semaine et car la loi l’y oblige. Elle a entre 2 et 15 clients par jours, la gestion

de son magasin est très difficile. Les périodes sont très différentes en particu-

lier le mois de novembre, car il fait froid et le soleil est souvent caché par la

pluie. Les mois où il y a le plus de clients sont février car il y a la saint Valentin

et les mois de juin, juillet et aout, avec les touristes qui passent dans la région.

Pour l’instant elle n’a pas eu de vacances car les trois premières années, il n’est

pas conseillé de prendre des vacances car le revenu est trop faible pour une

création d’entreprise.

Par Nathanaël

Le 24 mars 2015, je suis allée visiter avec la classe de DP3 une entreprise qui se nomme

« Côté Fleurs Côté Primeurs », qui se situe à Fayence. Nous avons rencontré les deux patrons, mais je

vais vous parler de la fleuriste qui est sa propre patronne depuis 2 ans, donc depuis 2013. Elle loue un

local qui lui coûte 15 euros au mètre carré.

La patronne du coté fleurs ouvre de 8h30 a 19h30 tous les sauf le lundi. Il y a des grosses journées

comme le 1er mai, la st Valentin et la fête des mères où les clients sont le plus nombreux.

Depuis 2 ans, elle n’a encore jamais pris de vacances, car c’est un travail

qui demande beaucoup de temps et qui est difficile ; par contre, c’est un

métier très artistique, varié et créatif. En plus des fleurs, elle vend

d’autres produits, comme des bijoux, des vases…

Pour travailler dans la fleur, elle a fait un CAP fleuriste.

Dans son magasin, la fleur la plus « populaire » c’est la rose!

Par Alicia

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FICHE METIER DE MELISSA

Graphiste

En quoi consiste ce métier ?

Il consiste à imaginer des logos d’entreprises, créer

des affiches publicitaires ou de films, dessiner des emballages pour des

produits ou illustrer des couvertures de livres.

Quelles sont les qualités requises pour exercer ce métier ?

Il faut être créatif, savoir s’adapter à la demande et

avoir le sens de la communication.

Quelles sont les conditions de travail ?

On travaille souvent devant un ordinateur seul ou en groupe.

C’est un métier stressant.

Quelle formation exige ce métier ?

On peut suive le Bac STD2A,

(lycée Léonard de Vinci dans la région)

puis continuer avec des études supérieures d’art (DSAA).

On peut aller jusqu'à un bac +5 avec un DNSEP.

Quelles connaissances sont nécessaires ?

Ce métier fait appel à des compétences en art plastique

et en informatique.

Quels sont les aspects positifs, les avantages de ce métier ?

On peut laisser libre cours à son imagination et à sa créativité,

on travaille en collectivité.

Quels sont les aspects négatifs ou les difficultés éventuelles de ce métier ?

C’est un métier très stressant. Si un client n’aime pas notre travail,

il peut annuler la demande. Il faut toujours avoir de nouvelles idées

en s’adaptant à la demande.

Directrice de publication : Mme Lamblé - Rédactrice en chef : Marie Valet - Rédacteurs : Mélissa , Marie Amélie, Alicia, Nathanaël, Vincent, Yoan, Romain, Kevin,

Nicolas, Valentin - Maquettiste : Marie Valet : CDI - Relecture et corrections : Mme BERTIN - Editeur ©ACTU DP3 Collège Marie Mauron de Fayence, 851 route de

Fréjus, 83440 .FAYENCE - Avril 2015 .

Diffusion en ligne sur http://www.mariemauron.fr

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