« LA PARTIE QUE J’J’AIMAAIMAIS, I DU MOULAGE É, C’ÉTAIT LA RENCONTRE AE AVEC L’ARTISTTISTE.E. À Ê IL AVAIT UNE HEURE ASSIS SUR UNE CHCHAISEA À SE FAIRE E TTRAVAILLER LA TÊTE

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É PUIS IL RELAXAIT. J’ÉTAIS TOUT SEUL AVEA C L’ARTISTE,E, PAR LA DISCUSSION, Î ON FINISSAIT PAR SE CONNAÎTRE. » — DANNY BARIBEAU, BEAU, ACCESSOIRISTE

“THAT’S TTHE PART I LIKEKED BED BEST IST IN MAAN KINKINGNG THETTH CASTCASC SS OF OF ARTIARTISTS’STS HEAEADS. DS. THE THE ARTIA ST WOULD SIT IN A CHAICHAIR AND RELAX FOR R AN HAN OUR OUR WHILWHILEE I WORKWORKKED. ED I WAS AALL ALALONEONE WITHWIITH HIM. AS WWE CHATATTED, I GOT TO KNOW HIM.”M.” — DANNY BARI— DANNY BARIBEAU, PROPOP

« « É É ÉCE QCE QE QUI AUI AA ÉTÉ ÉTÉ LE LE PLUSPLUS SPÉ SPÉCIALCCIA POUPOUR MOR MOI, CI, C’EST’ES DE DE FAIRFAIRE LE LES CHS CHAUSSAUSSURESU DE MA FMA FILLEILLE. JE JE LLUI LAISAISL SAISSAIS DES PETPETITS S MOTSMOMOTS À LL’INT’INTÉRIEÉRIEEUR «UR «UR

QQFAITFAITS AVS AVEC AC AMOUR DE E MAMAN »

É OU UN GUN GROS ROSR CŒURŒUCŒUR EN EN ROUGROUOUGE SUE SUR LER LER LES ÉTS ÉTS É IQUEIQUETTETTESEST » » » —HÉLÈNE LEFE—HÉLÈNE LEFEBVRE, COUTURIÈRE AAUX CHAUSSUX CHAUSSURES & MÈRE DE CINDY WHITEMAN – ARTISTEAN – A , POWER TRWER TRACK “T“THE MOST SPECIAECIAL THL THING ING FOR FOR ME WME WAS MS MAKINAKING SHG SHOESOES FOR FOR MYMY DAUGHTER.TER. I WOULD L LEAVE LLITTLITTLE NOOE N TES TES INSIINSIDE –DE – “MADEMADE WITW H LOH VE BVE BY MOY MOMM” – ” – OR PUT A BIGG RED R HEA HEARRT ON THTHE LE LABELSSBELS”” —HÉLÈNE LEFEBVRE, SHOE SEAMSTRESS AND MOTHER OF CINDY WHITEMAN – ARTIST, POWER TRACK

« S « S«« UR URR KKKÀÀÀ É ÉÉ™™, TOUT L’ATL’AT’ATELELIELIERR TRAVAILLALAIAITT AVT AVEEC MOI, C’ÉTAIT T EXTREXTRAORDINAIIRE.RE. C’ÉTC’ÉTAIT AÀÀÀÈ Ë É COM COMMME UME UME NE USINE DE DE DE CADECADEEAUX AUAA DU PD ÈRE RE RE R NOËOËLOËL : T: T : U PAU PARS UR NE JOURNRNÉE, ÉE TU REVIEENNS,NS,

É ÉÉ É PUIPUIS LES S TABLESLES SO SOONT PLEINNENES DES DE NO NOOUVEAUUX TRX TRRUCS UCS CSUC QUI QUIQUI ONTONT ONT ÉTÉÉTÉ ÉTÉ FABRRFAB IQUÉIQUÉS DAS DAANNS LNS LA JOURNÉE. C’EST EST BIEBIENN IMPIM RESSSSRE SIONNIONNANANT NTA QUANQUAND TUD TU A AS AS ACCÈACCÈS À S À ÇA. ÇA IL Y A DA DES GES GENS ENS

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QUI SONT LÀ DEPDEPUIS UIS 10, 10, 15 A15 A1 NS,NS, ILS ILS ONT ONT DE LE LDE L’EXP’EXPXPERTIERERTISE, SE, DE LDE LL’’QQQQQ

EXPÉEXPÉEX RIENRIENCE ÀCE À PAR PARTAGEAGERRÇÇ

. C’EST ASSEZ INOINON UBLIUBL ABLEABLE POU POUR DER DE JEUJEUNES NES CONCCONCEPTEEPTEURS URS COMMCOMME MOE MOI. »I. » — PATRICIA — PATRICIA RUEL, RUEL, CONCEPTRICE CONCEPTRICE ACCESSOIRESA

“FOR ÀKÀÀ, TH, THE ENE ENTIRET TEAM WORKEDRKE WITH ME. ITT WA WAS AMAZINGING. IT. IT WAS WAS LIK L E SANTA’NTA’SÀÀ WORKSHOOP: YP: YOU’D GO AWAYAW FOR A DDDAY, AYA AND ND WHENW YOUU CAM CAME BACK TTHE THE TABLEABLEBLES WS WOS WOULD BE E FULF L OF ALL THTHE NEW THIINGSNGS THEYT ’D M’D MMADE ADE THATTHAT DAY. IT WAS QUIQUITE ITE IMPREMP SSIVSIVE TOE T Q HAVA E ACCESSS TO TO ALL ALL THOSHOSE PEOPLE. SOME OF THEM HAD BEEN THERE FOR 10 OR OR 15 Y15 YEARSRS, AND HAD TREMENDME OUS S EXPEEXP RTISE AND D EXPEEXP RIENCE TO SHARE. IT WAS PRETTY MEMMEM ORABO LE FOR YOR YOUNGOUNG DESDESIGNEIGNERS LR IKE MME.” — PATRICIA R— PATRICIA RUEL, UEL, PROP DESIGNEPROP DESIGNERR

« POUR MOI, LE PREMIER R CHOCCHOC E EST PHYSIQUE, C’EST LE CONFORT. C’EST LE MOMENT DANS LE SALON D’ESSAYAGAGE DEE DE 2 MÈTRES PAR 2 MÈTRES DE FAIRE LA

QQQQSPLIT, DE FAIRE UN TT

SALTO, SI TU ES CONTORSIONNONNISTE S OU PORTEUR, TOUJOURS AVEC LES BRAS VERS LE HAUT, DE FAIRE CRAQUER LE COSTUMEUME. ESSAYER EN POSANT DES QUESTIONS AUX GENS DESQ QCOSTUMES ET AUX CONCEPTEEURS UR OU AUX HABILLEURS. ILS NOUS ENCOURAGENT : VAS-Y, CRAQUE LE, ON EST DANS LLE TEEMPORAIRE, ON EST DANS LE PROTOTYPE, LES COUTURES VONT ÊÊÊÊTREÊT RENFORCÉES. ET C’ESST LAT LA MÊME CHOSE MÊME POUR LES BESOINS ARCHI TECHNIQUES,

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ET DT DE SÉE CURITÉ. IL FAUT QUE QUE LES L SENS SOIENT LÀ. SOUVENT T SUR SCÈNE, ON A UNEQPERCRCEPTIEP ON DE L’ESPACE PPAR NAR NOS OO REILLES. » — RENALD LAURIN, ARTISTE, FLEUR SUR ALEGRIA

“FO “FOR MER ME, TH, THE FIE FIRST RS IMPRMPRESSIESSION ION IS PHS PHYSICYSICAL. A IT’SIT’S ABO ABOUTUT COM COMFORTFORT. TH. IS IS WHWHEN YEN YOU O HAV HAVE TOE TO DO DO THTHE SPLISPLITS OTS OR A R A BACKBACKFLIPFL , IFIF YOU YOU’R’RE A COA C NTORNTORTIONTIONIST IST OR AOR A CATCHEHER, , KKEEPINGPIN YOUYO R ARR ARMS UMS UP INP IN THETH AIRR – – ALL TTHIS IN A DRESSING ROOM THAT’HAT S NOO MOR MORE E TTHAN 2 2 METRMET ES BBY 2 Y 2 METRMET ES –ES TO O TRTRY ONON THE COSTUME AND PUT IT THHROROUGH ITTS PAS PACESCES. OOFTEN WN WE ASE K THK THE COE COSTUMSTU E PEE OPLELE OOR DEDESIGNERS OR DRESSERS AND TTHEEY T TELL USUS THATHAT IT IT’S AS ALL SLL STILLTI TEMT PORARARY, RY, IT’S JUST THE PROTOTYPE, THEE SE SEAMS WILL BEE

REIR NFORORCEDCED. GO GO AHEAAHEAD, TD, TRY ARY AND RIP IP IT. AT. AND IN T’S THE SAME THING FOR THE SUPER- TTECHNICNICAL RL EQUIEQU REMEREMENTS,NTS, EVEVEN THHEE SAFETY EQUIPMENT. IT HAS TO WORK WITH ALL YOURURQQ Q SEN SENSES.SES. OF OFTEEN, ON SON STAGETAGE, YOY U FEEL THE SSPACE AROUND YOU WITH YOUR EARS.”— RENALD LAU— RENALD LAURINRIN, ARTIRTIST, FLEUR IN ALEGRIAG

« OON FABRIQUEUE DDES PERRUQUEES SUR MER MESUREE, SELON LESS PERFER ORMANCES ÉÉ É ET ET SELOS N LES BBESOINS INS.S. ON PON PEEUT FAIIRE DED S MMÉLANGES DE CE COULEURS DIFFÉRENTNTNTES, ES,ES,

QQ QQ

È DES D LIGNES DEDE COULLEUR ET DES MÈCCHES DE DE COULCOULEUR. ONN P PEUT POSER AUSSSA I É DANANS LES LES PS PERRUQUEUES DES OBJETS OTS OU D’U AUTRES MMÉDIUÉDIUMMS POUR DONNER DDES EES EFFETFFFETS S S

DIFFÉREFÉ NTS. ON PEPEUT TOUT IMPLANPLANTER,TER, ÇA Ç C’EST CHEVEU PAR CHEVEU EU NOUÉNOUÉS SSQQQ

SUR LLE FILET, C’ES’EST UNT UN TRA TRAVAILVAIL EXT EXTX RÊMERÊMER MENTMMENT LON L G.ÇÇÇÇ

» — SYLVIE GRATTON, N, PERRUQUIÈREPERRUQUIÈRE PRINCIPALE

“WE MAKE CUSTOM WIGS, TATAIILORED TO THE DEMANDS OF EACH PERFORORMANCM E. WE CAN BLEND DIFFERENT COLOUROURS, OR USE STREAKS OR HIGHLIGHTS. WE CAN AALSLSO ADD THINGS TO A WIG, OR USE OTHERER MEDIA TO CREATE DIFFERENT EFFECTS. SOMETIMES WEE BUI BUILD ALD WIG ONE HAIR ATAT A A TIME, OR WE KNOT TWO OR TTHREEHREE TOG TOGETHEHER ANR D PLACE THEM. IT’S EXTREMEMEELY TIME-CONSUMING.” — SYLVIE GRATTON, SENIOR WIGMAKER

« POUR MOOI, LI, LEE MAQUMAQUILLAILLAGEGE É É, DANS UNE CRÉATION, C’EEST US N PEU COMME LA CHORÉGRAPHIE. É UN COSTUME,ME, I IL EST LÀ, LÀ TU LE METS SUR TOI, ALORS QUUQ EE POUR LA CHORÉGRAPHIE

QQQQ

ST À LUI ET LE JEU, TU DTU ONNES À L’ARTISTE LES OUTILS, TU LUIUI EN ENSEIGNES TOUT ÇA ET C’EST À LUI ÇQQQ

DE DE BIEN LE FAIRE TOUS LES SOIRS. TOUS LES SOIRS, LELE MAMAQ UILLAGE S’EN VA DANS Q LE LES POUBELLES ; TOUS LES SOIRS, IL DOIT REFAIREE SON SON MAQMAQ UILLU AGE, REFAIRE SON JEU, REF REFAIREA SES CHORÉGRAPHIES. S’IL NE PREND PAPAS S PLAISISIR À LE FE FAIREAIRE, ,

QQQQ

IL IL NE LNE LE FEE RA PAS BIEN. » —NATHALIE GAGNÉ, CONCEPTRICE MAQUILLAG

“I“I ALWAYS THINK OF THE MAKEUP WE CREATE AS A BIT LIKE CHOREOGRAPHY. A COSTUME IS SOMETHING TANGIBLE, IT’S SOMETHING YOU PUT ON, BUT FOR CHOREOGRAPHY AND PERFORMANCE, YOU GIVE THE ARTIST THE TOOLS, YOU SHOW HHIM HOW TO DO IT AND THEN IT’S UP TO HIM TO DO IT PROPERLY EVERY NIGHT. AND AFTER EVERY PERFORMANCE, THE MAKEUP GOES IN THE GARBAGE; EVE RY NIGHT THE ARTIST HAS TO REDO HIS MAKEUP, REDO HIS PERFORMANCE, REDO HIS CHOREOGRAPHY ALL OVER AGAIN. SO IF HE DOESN’T ENJOY DOING IT, HE WON’T DO IT WELL.” —NATHALIE GAGNÉ, MAKEUP DESIGNER