ardoise vol 1 no 6implant cochléaire la réadaptation, la clé du succès ! chaque année au...
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Volume 1 - Numéro 6 Décembre 2012
FranceQuébec
Réseau francophone en déficiencesensorielle et du langage
SOMMAIRE
Éditorial p. 1
Nouvelles brèves...
- IRDPQ p. 2-4
- CROP Paul Bouvier p.5
- Institut Bruckhof p.6
- INLB p.7
- Institut Public La Persagotière p.8
- Projet SensAge p.9
- IRSA p.10-12
- Services d’appui à l’emploi p.13
- Stagiaire France/Québec p.14-15
- Institut Raymond-Dewar p.16
- Institut Paul Cézanne/Le Bouclier p.17-18
À propos de l’@rdoise p.19
par FRANCIS GUITEAU, PRÉSIDENT DU RÉSEAU
ÉDITORIALL'année 2012 a été riche d'activités pour notre réseau. C'est même la première année pleine, au sens où les projets initiaux (échanges entre professionnels des deux pays, visioconférences, déroulement de formations, élargisse-ment du réseau, assemblée générale, etc.) y ont tous trouvé leur place.
Notre assemblée générale tenue à Ste-Hyacinthe le 24 octobre 2012, a témoigné de la vitalité et du dynamisme du réseau. Regroupant désormais 21 membres (puisque nos collègues de l'Institut Royal pour Sourds et Aveugles de Bruxelles, du Centre régional pour déficients visuels de Clermont-Ferrand et du CROP Paul Bouvier à St Hippolyte du Fort nous ont joints), ils s'engagent pour 2013, à poursuivre les mêmes activités : mise en place de visioconférences thématiques, échanges entre professionnels, forma-tions bilatérales, et vont s'enrichir par la constitution de groupes de travail sur la recherche, les nouvelles technologies, ainsi que sur les sources de financement qui peuvent être mobilisées pour engager nos projets de développement.
Cette assemblée générale a également été l'occasion de réélire les membres de l’Exécutif. Louise Lavergne reste donc vice-présidente, Line Ampleman, secrétaire, Christian Uhlmann, trésorier,
et je conserve la présidence pour un nouveau mandat.
Je veux aussi souligner l'activité essen-tielle de la table des coordonnateurs qui s’est réunie par conférence téléphonique périodiquement de 3 à 4 fois par an, et dont l'efficacité a permis l'organisation de toutes les activités du réseau, notam-ment ce mémorable séjour d'études de 80 professionnels français, belges et libanais qui se sont réunis du 20 au 27 octobre dernier. Cet événement mar-quant de l'année 2012, a renforcé les liens entre les établissements du réseau et engagé une nouvelle dynamique dans les échanges entre professionnels, tout en inscrivant notre action dans la durée.
L'année 2013 s'annonce sous de bons auspices, et je tiens à remercier tous les collègues du Québec, de France, de Belgique et du Liban, pour leurs actions et leur dynamisme; c'est l'engagement de chacun avec sa compétence et son expertise qui assure le succès du réseau.
Je profite de cette publication pour souhaiter à toutes et à tous de passer de bonnes fêtes de fin d'année et je vous présente, au nom de l'Exécutif, tous mes vœux de bonne santé, de succès et de bonheur pour cette nouvelle année.
Nouvelles brèves...
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Par MÉLANIE LAFERRIÈRE et STÉFANY GARNEAU
Programme déficience auditiveenfants/adolescentsImplants cochléaires, IRDPQ
Implant cochléaireLa réadaptation, la clé du succès !
Chaque année au Québec, plus de 140
personnes ayant une perte auditive
reçoivent un implant cochléaire.
Depuis 1987, plus de 1 500 personnes
ont été implantées.
Le Centre québécois d'expertise en
implant cochléaire, composé du CHUQ-
HDQ et de l'IRDPQ, se charge de la
sélection des candidats, de la chirurgie
et de la programmation initiale pour la
clientèle de l'ensemble de la province
de Québec. Le CHUQ-HDQ est
également responsable du suivi de
programmation pour les usagers de
Québec, de l'Est-du-Québec et de
l'Estrie. L'IRDPQ et huit autres centres
de réadaptation du Québec assument
la réadaptation fonctionnelle intensive
post-implantation cochléaire.
Pourquoi la réadaptation après un
implant cochléaire? Pour des résultats
concrets… le plus rapidement possible !
La réadaptation fonctionnelle intensive
(RFI) après la programmation initiale
de l'implant est nécessaire pour utiliser
et développer de façon optimale la
nouvelle audition apportée par
l'implant. La personne doit
réapprendre (ou apprendre si la
personne n'a jamais entendu) à
donner un sens aux sons entendus
par le biais de l'implant. Cet
apprentissage requiert un
entraînement.
Dès la première journée de
programmation, la personne peut
entendre des sons. Cependant, la
parole peut manquer de clarté et il
est alors difficile de comprendre la
parole sans voir les lèvres. Avec les
ajustements, l'entraînement et le
temps, la compréhension de la
parole va s'améliorer.
Le processus d'adaptation à la
nouvelle information auditive
amenée par l'implant demande du
travail et de la persévérance.
Toutefois, les bénéfices obtenus
varient grandement d'une
personne à l'autre selon certaines
caractéristiques (durée et degré de
surdité, port d'appareils auditifs,
niveau de langage, etc.). De façon
générale, plus la surdité
importante est de courte durée,
plus les résultats avec l'implant
sont intéressants et apparaissent
rapidement. En effet, la personne
présentant une courte durée de
surdité peut se référer plus
facilement à ses souvenirs auditifs
pour donner un sens aux
nouveaux sons entendus avec
l'implant.
La RFI permet également de faire
l'essai de différentes aides
techniques pouvant faciliter la
réalisation des habitudes de vie au
quotidien (l'utilisation du
téléphone, l'écoute de la télévision
et de la musique, etc.).
Pourquoi la réadaptation
après un implant cochléaire ?
Pour des résultats concrets…
le plus rapidement possible !
http://www.irdpq.qc.ca/communication/diffusion/novembre2012/souvenirs2012.pdf
Nouvelles brèves...
Lire la suite en page 4
Kurbongul Davlatova : Prix France-Legault et Prix Ambassadeur de l'IRDPQ, catégorie adultes et aînés – cheminement personnel – déficience auditive
Jérôme Métivier-Pinard : Prix Ambassadeur de l'IRDPQ, catégorie adultes et aînés – travail et vie spirituelle – déficience du langage
Guillaume Parent : Prix Ambassadeur de l'IRDPQ, catégorie adultes et aînés – travail – déficience motrice
Marie-Ève Létourneau : Prix Ambassadeur de l'IRDPQ, catégorie jeunesse – études et sciences – déficience visuelle
Réseau de transport de la capitale (RTC) : Prix Ambassadeur de l'IRDPQ, catégorie partenariat
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Consultez l'album souvenir sur notre site Web
Une soiréeinspirante !
Lauréats2012
C'est dans une ambiance festive et
empreinte d'émotions que s'est edéroulée la 6 Soirée de la fierté 2012
le 18 octobre dernier.
Plus de 200 personnes étaient réunies à
l'auditorium de l'IRDPQ, afin de
souligner les succès de 13 personnes et
de 7 organisations mises en
nomination.
Parents, amis, partenaires et
intervenants ont été touchés et
impressionnés par la variété et la force
des candidatures présentées.
Hommageposthume
Richard Chabot
Mme Louise Lavergne,
directrice générale de
l’IRDPQ, Mme Kurbongul
Davlatova, récipiendaire du
Prix France-Legault, Mme
Marie-Josée Savard,
conseillère municipale et
présidente d’honneur de la
Soirée de la fierté IRDPQ
2012, M. Claude Lafrance,
président du conseil
d’administration de l’IRDPQ.
Nouvelles brèves...
Cet événement a mis en lumière le cheminement peu banal et les réalisations
d'usagers et d'ex-usagers de notre établissement. Deux nouveautés s'ajoutaient
au programme cette année. La catégorie jeunesse a été créée afin de
reconnaître le potentiel des jeunes vivant avec des limitations fonctionnelles. La
catégorie partenariat, quant à elle, a pour but de souligner l'engagement
exceptionnel de partenaires de la communauté. Toutes ces personnes et ces
organisations mettent leurs compétences, leur détermination, leur engagement
et leurs projets au développement d'une société québécoise plus inclusive.
La Soirée de la fierté illustre admirablement la contribution de la réadaptation au
parcours de ces personnes exceptionnelles et rappelle que la participation
sociale demeure la finalité de notre mission.
Nous tenons à féliciter toutes les personnes et les organisations candidates en
2012. Toutes sont une source importante de motivation et d'inspiration pour les
employés, les bénévoles et les dirigeants de l'IRDPQ.
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Nouvelles brèves...
Nous étions six Français de régions différentes dans le groupe de travail avec les familles ! Chefs de services et éducatrices à être deux jours ensemble depuis notre arrivée… repas, visite de Québec, balades à pied dans Montréal et rencontres de deux établissements à Repentigny et Montréal (merci à Michel, notre chauffeur !!).
Les discussions tout au long de la journée sur nos pratiques et nos impressions recueillies lors des visites d'établissement ont été très enrichissantes pour tous.
Le lundi, nous avons été reçus par deux personnes du CRDP Le Bouclier de Repentigny. Des échanges ont pu avoir lieu au fur et à mesure des présentations : Plan d'intervention individualisé (PII) et
présenté par une éducatrice du CROP de St Hippolyte du Fort. Nous aurions aimé rester plus longuement tant ces discussions ont suscité de l'intérêt de la part de tous ! Nous avons terminé par la visite des salles de l'établissement.
Le mardi, journée complète au Centre de réadaptation Marie-Enfant du CHU Sainte-Justine à Montréal. Là encore, un très bon accueil et une journée partagée entre la
les Objectifs et les modalités de l'accompagnement familial
Un long voyageet des échangesfructueux !!
Par MP. BOUSSAGOL, éducatriceCentre de rééducation de l’ouïeet de la parole (CROP Paul Bouvier)St Hippolyte du Fort
présentation du centre sur le programme des troubles du langage, le système de santé, le plan d'intervention (PAPI) et le processus d'accueil des familles faites par cinq professionnels et la présentation par une éducatrice du CAMSP Farendole de Fougères sur la Philosophie d'intervention et les relations avec les familles. Deux petits films sur des témoignages de parents du MFAM d'Angers ont clos la présentation.
Débats, commentaires et réflexions n'ont pas été interrompus par le repas pris en salle de réunion et lors de la visite du centre ou nous avons constaté les moyens mis en œuvre pour que les familles puissent être totalement parties prenante de la rééducation de leur enfant.
Nous avons tous apprécié le désir de partage et la qualité de l'accueil des professionnels. Merci à eux et nous espérons que bientôt nous pourrons continuer à avancer ensemble !
PARTICIPANTS :
CJC St Brieuc :Michel Thébaud
ALP Fougères CAMSP :Cathy Chesnay
IRSM Marseille (IRS Provence) :Nathalie Lauby
MFAM Montéclair Angers :Françoise Le Gal, Marie-Anne Poirier
CROP Paul Bouvier St Hippolyte du Fort : Marie-Pascale Boussagol
THÉMATIQUE : LE TRAVAIL AVEC LES FAMILLES
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Nouvelles brèves...
Implants cochléaires enfantCadre et techniques d’adaptation
Nos réflexions furent déclinées, à travers l’expertise de chacune, comme suit :
�Présentation générale des établissements, de la population et des partenariats
�Modalités d’intervention – Protocoles, finalités et résultats de la rééducation
�Suivis à long terme et perspectives
Nos échanges, denses et fournis, ont produit une telle résonance en chacune, que l’envie de poursuivre s’est rapidement fait entendre. À cet effet, un projet de visio-conférence a été énoncé et validé le lendemain en assemblée générale par le bureau du Réseau francophone en déficience sensorielle et du langage.
En conclusion et point d’orgue, nous tenons à exprimer nos remerciements les plus vifs à toute
3l’équipe de l’IRDPQ , pour la qualité de l’accueil produit, au même titre que l’engagement plénier de nos hôtes mus parce désir constant d’interrogeret d’améliorer nos pratiques respectives.
Au nom du principe de
mutualisation des pratiques et
des réflexions professionnelles,
une équipe pluridisciplinaire de
France, de Belgique et du Liban a
eu le plaisir d’être accueillie pour 1travailler à l’IRDPQ deux jours
entiers (22 et 23 octobre 2012),
lors de son déplacement au
Québec dans le cadre du Réseau
francophone en déficience
sensorielle et du langage.
Ce projet, entamé dès juillet
2012 avec Madame Pascale
Lavoie – mandatée par
Messieurs Denis Morisset et
Patrick Fougeyrollas, avait retenu
pour thème central
« l’adaptation à l’implant
cochléaire chez l’enfant ».
Ce groupe de travail était 2composé de huit (8)
professionnelles :
�quatre orthophonistes
(Madame Suzie Gobeil du
programme implant cochléaire
de l’IRDPQ Saint Viateur, et
Mesdames Carole Lemerle de
la MFAM Charlotte Blouin
d’Angers - France, Anne-Marie
Féron - responsable du service
de logopédie à l’IRSA de
Bruxelles – Belgique, et Mylène
Rousseau de l’ALP de Fougères
– France)
�une éducatrice spécialisée
(Madame Isabelle Beaumont
du programme implant
cochléaire de l’IRDPQ Saint
Viateur)
�une audiologiste (Madame
Geneviève Tremblay,
coordinatrice clinique implants
cochléaires de l’IRDPQ Saint
Viateur)
�une psychologue et directrice
d’établissement (Sœur Patrice
de l’IPRJS de Kesrouan – Liban)
�et une coordinatrice clinique
du réseau (Madame Chantal
Chaillet Damalix de l’Institut
Bruckhof de Strasbourg –
France).
1 Institut de réadaptation en déficience physique de Québec2 Par ordre chronologique d’intervention3 S’agissant des deux sites visités : l’IRDPQ, 525, boul. Wilfrid-Hamel, Québec et l’IRDPQ, 775, rue Saint-Viateur, Québec
Par Coordonnatrice clinique du Réseaufrancophone en déficience sensorielleet du langage, Institut Bruckhof,Strasbourg (France)[email protected]
CHANTAL CHAILLET DAMALIX
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Nouvelles brèves...
L'Institut Nazareth & Louis-Braille (INLB) a publié au cours des derniers
mois plusieurs documents à l'intention des intervenants et des usagers.
Pour les jeunes et leurs parents : Un clic à la fois, Stimuler la vision au
quotidien et Bien jouer. Pour les activités de vie quotidienne, le
document Manger avec aisance a été revu et bonifié. Finalement, en
informatique, Windows 7 : Personnalisation et stratégies d'utilisation
(série grossissement), Mac OS X Lion : Personnalisation (série
grossissement) ont été publié.
La version Mac OS X Mountain Lion sera
disponible dès décembre 2012. Ces
documents sont en vente sur le site Web
du comptoir des ventes de l'INLB au
http://cdv.inlb.qc.ca/
7 Nouvelles publicationspour l’INLB
L’INLB se mériteun prix d’excellence
Par ANNIE HULMANNresponsable des communications
Dans le cadre du 9e Congrès québécois de réadaptation de l'Association des
établissements de réadaptation en déficience physique du Québec (AERDPQ) en
octobre dernier, l'INLB a remporté le prix d'excellence 2012 dans la catégorie
Intervention clinique en déficience visuelle pour son programme clinique
d'évaluation et d'entraînement à la vision excentrique.
Certaines maladies entraînent une perte de la vision centrale et de ce fait, une
diminution de l'autonomie fonctionnelle et de la qualité de vie. L'évaluation et
l'entraînement à la vision excentrique est une méthode de réadaptation visuelle
visant à compenser la perte de vision centrale. L'usager apprend à voir son
environnement en utilisant une portion excentrée de sa rétine.
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Nouvelles brèves...
Forte mobilisation de la délégationeuropéenne sur le sol québécois
Du 22 au 26 octobre 2012, environ
80 professionnels issus des
établissements français ou belges
membres du Réseau francophone
en déficience sensorielle et du
langage, ainsi que des partenaires
de ceux-ci se sont rendus au
Québec.
Le déplacement était construit en
deux parties : des visites et des
échanges sur des thématiques
diverses les deux premières
journées, et le Congrès de
réadaptation pour les deux
dernières journées.
Dix thématiques ont fait l'objet
d'échanges sur les organisations,
sur les pratiques et sur les
réalisations. Chaque thématique
regroupait entre 4 et 15
personnes. Les groupes ont été
accueillis à chaque fois dans un ou
deux établissements québécois de
réadaptation membres du Réseau.
Ces deux journées ont été mises à
profit par l'ensemble des
participants pour comprendre et
partager le fonctionnement des
établissements, les modèles
d'intervention, la nature des
services, les approches
conceptuelles, les systèmes
d'organisation etc. Ceci s'est fait
dans une véritable préoccupation
d'échanges, avec des
présentations réciproques de la
part des professionnels européens
et québécois.
Pour donner une idée de la
richesse et de la variété de ce qui a
pu être échangé et approfondi
durant ces deux journées, voici la
liste des thématiques :
�Le travail avec les familles�Les implants cochléaires
(enfants)�Les enfants sourds avec
handicaps associés�La qualité et l'évaluation�Les enfants DYS (dysphasiques,
dyslexiques, dyspraxiques)�Les aînés (déficience auditive
et déficience visuelle)�La petite enfance (déficience
auditive, visuelle, du langage)�La formation et la
sensibilisation�L'insertion sociale et
professionnelle�La philosophie et l'organisation
de la réadaptation
Pour tous les participants, une
telle expérience est marquante et
restera un moment important,
voire exceptionnel de la vie
professionnelle. C'est l'objectif du
Réseau que de favoriser de tels
échanges permettant d’enrichir les
pratiques de tous.
À signaler enfin et surtout : la
réussite de ces journées n'aurait
pas été ainsi sans le formidable
travail d'organisation et sans
l'exceptionnelle qualité d'accueil
de nos partenaires québécois dans
tous les établissements de
réadaptation.
Par JEAN-YVESLE CAPITAINE,Institut PublicLa Persagotière
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Nouvelles brèves...
Un réseau européen pour l’accompagnementde la personne âgée déficiente sensorielle
SensAgeEn tant que coordinateur du Projet
SensAge, j'ai eu le plaisir de présenter les
objectifs et les progrès actuels à la réunion
du Réseau francophone à Montréal en
octobre 2012.
C'est un projet de grande importance pour
le Réseau parce que, pour la première fois,
un partenaire québécois est inclus dans un
projet européen. Nous sommes très
contents que l'Institut Nazareth et Louis
Braille aie pris ce rôle
pour le bénéfice du projet.
Le but du projet lui-même est d'établir un
réseau qui deviendra le point de référence
au sein de l'Union européenne en ce qui
concerne l'apprentissage et la réadaptation
des personnes âgées souffrant de handicaps
sensoriels, afin qu'elles puissent conserver
leur indépendance et améliorer leur qualité
de vie.
avec tout l'expérience
et la connaissance de la région québécoise,
En somme, il y a 14 partenaires de 11 pays,
Québec inclus, et le focus cette année – la
deuxième des trois années du projet – sera le
développement et la croissance d'une base de
données de connaissances pour devenir le
point central et collectif, ouvert à tous, pour
collecter la connaissance, les références et les
pratiques de tous – Québec inclus.
Nous sommes très heureux et honorés que
l'Institut Nazareth et Louis Braille partage la
même vision et les mêmes buts pour le
développement et l'autonomie des personnes
âgées avec handicaps sensoriels, et nous
sommes ravis de continuer ainsi notre
partenariat.
par John HarrisCoordonnateur du projet [email protected]
La personne clé au Québec pour l'accès
et l'information au projet est Sylvie Bilodeau :
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Nouvelles brèves...
Le Club des « DYS »
Les « DYS-sidentes »au Centre de réadaptation Estrieet à l’InterVal de Trois-Rivières
PAR CHRISTINE CLÉMENÇON
Coordinatrice pour leRéseau francophoneIRSA/France
Françoise Dutoit (IRSA Bruxelles), Mélanie Pommereuil (Centre G. Deshayse Auray), Christine Clémençon (Centre Peyrelongue, IRSA Bordeaux), Rachel Sanchez (Centre J. Cartier, St Brieuc), Karine Virevaire (CROP Bouvier, St Hyppolyte du Fort) et Dr Nelly Suze (IRSAM, Marseille).
Dimanche 21 octobre, le soir : direction Sherbrooke, région de
l’ESTRIE. Destination atteinte : Hôtel Delta où Steve Quirion,
notre hôte du CRE, nous attendait aimablement pour nous
donner les dernières informations pour la visite du lendemain et
des suggestions gastronomiques locales !
Lundi 22 octobre : Après plusieurs « réchauds », nous avons été
chaleureusement accueillies par les membres de l’équipe de
Sylvie Doiron qui nous ont expliqué en détail le rôle et la place
du CRE dans le réseau de la Santé et des Services sociaux du
Québec. Lire la suite en page 11 et 12
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(SUITE... LES « DYS-SIDENTES » AU CENTRE DE RÉADAPTATION ESTRIE ET À L’INTERVAL DE TROIS-RIVIÈRES)
Puis, nous avons découvert grâce à une présentation très vivante, l'organisation et les types d'intervention pour
la clientèle d'enfants dyspraxiques accueillis par ce service. Nous avons pu aussi nous rendre compte de
l'implication des familles et de la place que leur accordait l'institution au regard des ateliers mis en place.
En effet, il n'est pas rare que les parents observent et participent
dans des salles aménagées (avec miroirs sans teint). Les parents sont les piliers de la réussite, c'est
pourquoi ils prennent part au suivi en faisant des activités suggérées par le professionnel qu'ils doivent refaire à
la maison avec l'enfant.
Nous avons ensuite échangé sur les pratiques et les outils utilisés dans les sous-programmes. Nous avions
beaucoup de questions liées à nos expériences pédagogiques de terrain auxquelles France Léger, orthophoniste
et auteure de plusieurs ouvrages sur la dyspraxie, nous a fait la gentillesse de répondre.
Un autre moment fort de la journée : l'intervention du Dr Nelly Suze, membre du club des « DYS » et neuropé-
diatre nous a fait partager le quotidien d'un CAMSP dont elle a la direction sur l'Île de la Réunion. Cela nous a
permis de confronter nos points de vue sur les différents outils d'évaluation et les divers types d'intervention
avec les enfants ayant des troubles d'apprentissage.
à des séances d'orthophonie ou de psychomo-
tricité
Mardi 23 octobre : Destination : Le
Centre de réadaptation InterVal à
Trois-rivières. Nous n'avons pas eu le
temps de compter les rivières mais
nous sommes arrivées à bon port où
Martin Dionne et ses collègues nous
avaient concocté une présentation sur
le cadre de référence clinique en les
illustrant par des concepts-clé utilisés
lors de leurs interventions et dans le
champ de la réadaptation en général
tels que : habitude de vie, projet de
réadaptation, modèle de développe-
ment humain.
CENTRE DE RÉADAPTATION
InterVal
Sherbrooke
Trois-Rivières
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Nouvelles brèves...
(SUITE... LES « DYS-SIDENTES » AU CENTRE DE RÉADAPTATION ESTRIE ET À L’INTERVAL DE TROIS-RIVIÈRES)
Après le déjeuner de travail et la visite de l'établissement, nous avons fait
la connaissance du reste de l'équipe intervenant auprès de jeunes
atteints de dysphasie et de troubles d’apprentissages. Des éducatrices,
psychologues, orthophonistes, psychomoteurs ont témoigné avec
enthousiasme et passion de leurs expériences et de leur travail auprès de
ces enfants en nous présentant des ateliers comme :
L'atelier Croque-Mou : atelier co-animé
par une éducatrice et une orthophoniste
ayant pour objectif de permettre à
l'enfant via une marionnette de se
familiariser avec des concept-clés tels
que le lieu, le temps..
Le club des débrouillards : atelier co-
animé par une psychomotricienne et une
éducatrice permettant à des jeunes de
7 à 10 ans de développer la motricité fine
grâce à des jeux et des expériences
récréatives.
Les Super-Amis : co-animé par une
psychologue et une orthophoniste ayant
pour but d'aider le jeune à entrer en
c o n t a c t e t à a v o i r d a v a n t a g e
d'interactions sociales avec ses camara-
des à l école.
Nous avons été vraiment touchées
par la richesse des échanges et par
la générosité des professionnels
qui nous ont fait partager un peu
de leur savoir, de leurs expériences
et de leur passion à travers ces
deux journées.
Nous serions bien restées plus
longtemps dans cette belle région
s'il n'y avait pas eu de prévu pour
le restant de la semaine : la table
des coordinateurs, l'assemblée
générale du Réseau francophone
et le Congrès québécois de la
réadaptation à Sainte-Hiacynthe,
bref, tout le reste…
Avant de quitter ce magnifique
pays, nous avons pensé à ces
belles rencontres et à ces discus-
sions passionnantes, elles reste-
ront longtemps gravées dans nos
cœurs et dans nos esprits.
Atelier Croque-Mou
Le club des débrouillards
Les Super-Amis
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Nouvelles brèves...
Nouvelles brèves...
Lors de notre séjour canadien et dans le cadre de nos
échanges, nous avons eu la chance de pouvoir
présenter notre service auprès de nos collègues
québécois (Institut Raymond-Dewar), ainsi que
certains collègues français intervenants dans
d’autres services en déficience auditive ou visuelle.
ITINERAIRES, services d'appui à l'emploi, au bénéfice
des personnes sourdes, dans le cadre de l'accès, la
formation ou le maintien dans l'emploi :
Il existe 2 ITINERAIRES, l'un en région Centre
(6 départements) et l'autre en région Pays de Loire
(5 départements). Nous sommes mandatés par
notre financeur : l’Association de gestion du fonds
pour l'insertion professionnelle des personnes
handicapées (AGEFIPH), suite à un appel d'offres à
répondre aux demandes de nos prescripteurs : Cap
emploi, Sameth, Pôle emploi, référents apprentis-
sage.
Ces prescripteurs nous sollicitent dès lors qu'ils ont
besoin d'une expertise, d'une accessibilité à la
communication (humaine ou technique), d'une
évaluation fonctionnelle, d'une sensibilisation dans
une entreprise, un centre de formation et ce, dans le
cadre d'un projet professionnel, d'un accès à
l'emploi, d'une formation, ou d'une difficulté de
maintien à l'emploi d'une personne sourde.
ITINÉRAIRESServices d’appui à l’emploien faveur des personnes sourdes
Tout cela fait référence à un cahier des charges très
précis, fixé par notre financeur.
Nos équipes sont composées de conseillers
techniques, interfaces de communications,
codeurs, preneurs de notes, ainsi que d'une
équipe pluridisciplinaire d'évaluateurs (activation
ponctuelle) : ORL, audioprothésiste, psychologue,
formateur sourd, enseignant spécialisé, ortho-
phoniste.
Cette présentation a permis d'échanger sur notre
dispositif en corrélation avec le système québé-
cois. On s'aperçoit alors que des notions qui nous
paraissaient « naturelles » n'ont pas de transposi-
tion chez nos collègues outre atlantique : le
« médecin du travail » semble être un dispositif
français, sans équivalence chez eux. Ceci est un
exemple et il y en a certainement d'autres, dans un
sens comme dans l'autre.
Par NATHALIE GUILLON
Responsable de serviceAngers
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Nouvelles brèves...
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Un cursus de formation professionnalisant
L'Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique, située à
Rennes, est un établissement public français assurant des
formations professionnelles post universitaires aux futurs
cadres supérieurs de la fonction publique. Le cursus de
formation des directeurs des établissements sanitaires,
sociaux et médico-sociaux est de deux ans et s'articule
autour de temps de formation à l'école et de temps
d'application en stage (11 mois sur les 24). Il est ainsi
proposé aux élèves directeurs d'enrichir leur expérience
professionnelle et personnelle par un stage de deux mois à
l'international.
Des objectifs d'apprentissage professionnels en lien avec
une ouverture internationale
Outre la découverte d'une autre culture, les objectifs du
stage à l'international s'articulent autour de la sensibilisation
aux problématiques de santé mondiale. Ainsi, l'élève
directeur se doit, au sein d'une organisation administrative
différente, de comparer et de mettre en perspective le
système français par rapport à l'organisation sanitaire,
sociale et médico-sociale d'un autre pays.
Un terrain de stage « rayonnant »
Grâce à l'appui du Réseau franco-
phone en déficience sensorielle et
du langage, j'ai pu effectuer mon
stage auprès de Martine Patry,
directrice des services profession-
nels et de réadaptation de
l'Institut Raymond-Dewar à
Montréal.
Par CHRISTOPHE DESIXDirecteur stagiairede France au Québec
Un D3S à l’Institut Raymond-DewarPRÉSENTATION DU STAGE À L’INTERNATIONAL
D'UN ÉLÈVE DIRECTEUR
Lire la suite en page 15
Nouvelles brèves...
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Le thème de mon stage portait sur
l'étude de l'insertion profession-
nelle des jeunes déficients
sensoriels. Cependant,
l'opportunité m'a été donnée
d'étudier l'ensemble des disposi-
tifs d'accompagnement des
jeunes : de l'intégration scolaire à
l'adaptation au poste de travail.
Ainsi, j'ai pu me rendre dans
différents établissements mem-
bres du Réseau comme le Centre
de réadaptation Estrie à
Sherbrooke et l’Institut de
réadaptation en déficience
physique du Québec, à Québec.
De plus, j’ai rencontré les partenai-
res intervenants dans le dispositif
de transition École – Vie Active :
soit la Commission scolaire de
Montréal, le Comité d'adaptation
à la main d'oeuvre et le Service
spécialisé en main d'oeuvre.
Une réelle complémentarité dans mon cursus de formation
Pour mon stage à l'international, j'ai eu la chance de pouvoir
intégrer une direction dynamique dans un établissement
membre d’un réseau ayant des échanges réguliers et fructueux.
J'ai pu ainsi étudier le fonctionnement d'un établissement au
sein d'un système sanitaire, social et médico-social différent
mais aussi être au cœur de la gestion d'un centre de réadapta-
tion spécialisé québécois. Cela m'a permis de participer à des
réflexions et à des échanges en interne et en externe, mais
également de prendre le recul nécessaire pour réaliser une
analyse comparative des accompagnements tout en mettant en
perspective mon métier de directeur.
Ce stage a été pour moi une opportunité de découverte et
d'ouverture. À ce titre, il était nécessaire de m'emparer des
possibilités d'apprentissage aussi bien auprès des intervenants
cliniques que de la direction de l'établissement, des usagers,
des partenaires ou des membres du Conseil d'administration.
Merci encore à l'Institut Raymond-Dewar et à l'ensemble des
professionnels rencontrés pour leur accueil et leur sympathie.
(SUITE... UN D3S À L’INSTITUT RAYMOND-DEWAR - PRÉSENTATION DU STAGE À L’INTERNATIONAL D'UN ÉLÈVE DIRECTEUR)
Nouvelles brèves...
NOUVEAUTÉ ! Le logiciel « La santé mentale en LSQ »Par LOUISE LIVERNOCHE, chef du servicedes communications, archives et documentation, IRD
Le logiciel est disponible en contactant :[email protected]
Le logiciel « La santé mentale en LSQ » est un outil de référence spécialisé pour soutenir les professionnels dans leurs interventions en langue des signes québécoise (LSQ) afin d’offrir des services de qualité aux personnes sourdes gestuelles recevant des services en santé mentale.
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Les auteures de ce projet innovant sont Micheline Vallières, coordonnatrice professionnelle au
reservice de 1 ligne, continuum de services en santé mentale et Lynda Lelièvre, agente de formation LSQ au service des communications.
Brigitte Ross, participation à la réalisation technique et conception graphique du logiciel et agente administrative au service des Communications, archives et documentation ; Maryse St-Onge, directrice générale ; Lynda Lelièvre, auteure et agente de formation LSQ ; Micheline Vallières, auteure et coordonnatrice professionnelle au
reservice 1 ligne et continuum de services en santé mentale ; Martine Patry, directrice des services professionnels et de réadaptation ; Isabelle Fournier, chef intérimaire au programme sourds gestuels et continuum de services en santé mentale ; Louise Livernoche, chef du service des communications, archives et documentation.
Nouvelles brèves...
Pour que, travailler avec une famille ait du sens, une finalité et un effet
sur le système, il est important de renforcer les liens sociaux, de mettre
la famille au service de ses membres pour leur développement : offrir en
ce début du 21e siècle ces possibilités, est un devoir et reste une
innovation pour nos institutions.
Travailler avec les familles, c’est gagnant !
Depuis les années 1960, le mouvement systémique humaniste remet
l’accent sur les potentiels de développement et de croissance des
personnes et des systèmes. Ce qui caractérise l’approche centrée sur les
solutions. En abordant ensemble les points forts et les réussites avec les
usagers, alors nous éveillons notre inventivité et notre créativité.
Deux visioconférences ont été organiséessur la thématique de l’accompagnement des familles
L’accompagnement des familles fait partie d’un parcours, d’une étape et d’un passage...
Par S. BOURDONAssociation Le ParcInstitut Paul Cézanne,responsable du SSEFIS
etS. VALADECentre de réadaptation en déficiencephysique Le Bouclier
Travailler entre professionnels c’est gagnant aussi !
NOUS AVONS ORGANISÉ
2 VISIOCONFÉRENCES DONT
L’OBJECTIF ÉTAIT :
�présenter la place des familles
dans le processus de
réadaptation
�favoriser les échanges entre
les professionnels sur les
pratiques entourant
l’implication et
l’accompagnement des
familles dans le processus de
réadaptation de leur enfant
�déposer les communications
dans une banque de données
disponible et consultable par
les membres du Réseau
francophone, le cas échéant.
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Lire la suite en page 18
Lors de la PREMIÈRE VISIOCONFÉ-
RENCE, L. Cloutier et S. Valade du
CRDP Le Bouclier, côté québécois
et S. Bourdon de l’Institut Paul
Cézanne, côté français ont
présenté pendant une heure
chacun des vignettes présentant
l’implication et la participation des
familles dans le cadre du projet de
service, du projet de réadaptation,
des projets individuels
d’accompagnement, des parcours
personnalisés de scolarisation et à
la vie du service. Ces présenta-
tions ont duré une heure chacune
et la troisième heure a été
consacrée aux questions et aux
échanges entre les professionnels
présents lors de la visioconfé-
rence. Les échanges étaient
centralisés autour des pratiques
professionnelles actuelles. Cette
première visioconférence s’est
déroulée entre deux sites : à
FOUGÈRES Institut Paul Cézanne en
France et à MONTRÉAL, Centre de
réadaptation Marie Enfant le 19
octobre 2011.
La DEUXIÈME VISIOCONFÉRENCE a eu
lieu le jeudi 3 mai 2012. Elle s’est
déroulée entre deux sites de
FOUGÈRES : à la Chambre de
Commerce et de l’Industrie de Nous remercions l’ensemble des professionnels
et des partenaires qui se sont investis et associés
à la mise en oeuvre des visioconférences.
Fougères, et de MONTRÉAL, à l’Institut Raymond-Dewar. Lors de cette
deuxième visioconférence, les professionnels ont fait des présentations
de cas cliniques sur l’implication et l’accompagnement des familles au
sein de nos centres de réadaptation respectifs. Ces communications se
sont déroulées comme suit : quatre présentations au total (deux du côté
français et deux du côté québécois); présentation de 15 minutes
maximum; présentation des caractéristiques du client/usager et de sa
famille; présentation de son historique de suivi au centre de réadaptation
ou ailleurs, en milieu éducatif, etc., y compris ce qui va bien dans la
relation partenariale avec le client et sa famille et ce qui est difficile dans
la relation partenariale avec le client et sa famille
Ensuite, nous avons laissé la place aux échanges et aux discussions
pendant 30 minutes après chaque présentation de cas. LES ÉTABLISSEMENTS
qui ont préparé les présentations de cas cliniques étaient, du CÔTÉ
FRANÇAIS : La Persagotière de Nantes, intervention pilotée par Arzhelenn
Cheilletz, et JY LeCapitaine, Le Centre J. Cartier de St-Brieuc, intervention
pilotée par A. L. Arnaud et I. Desjardins. Du CÔTÉ QUÉBÉCOIS : l’Institut
Raymond-Dewar, intervention pilotée par Roxane Robitaille, le CRDP Le
Bouclier, intervention pilotée par Renée Rancourt et Lynda Cloutier.
Au regard des échanges, nous pouvons affirmer que l’accompagnement
des familles est un rapport et un lien. Pour que cet équilibre puisse
exister entre les familles et les professionnels, il est essentiel de faire
preuve d’humilité, de laisser le temps au temps et de faire évoluer les
pratiques professionnelles. L’accompagnement des familles fait partie
d’un parcours, d’une étape et d’un passage. Ce cheminement est efficient
lorsque le début et la fin sont clairement énoncés. Ce parcours est
possible lorsque nous sommes ensemble. À l’issue des réflexions, une
question (proposée par Arzhelenn Cheillets) a été soulevée et fera sans
doute l’objet de nouvelles visioconférences : COMMENT ARRÊTER LA
SÉQUENCE D’ACCOMPAGNEMENT ?
(SUITE...DEUX VISIOCONFÉRENCES ONT ÉTÉ ORGANISÉES SUR LA THÉMATIQUE DE L’ACCOMPAGNEMENT DES FAMILLES)
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L’@rdoise est un document électronique édité par le Service des communications de l’Institut Raymond-Dewar.
Idéation et conceptLouise Livernoche
Conception graphique, infographie, composition, correction des textes et mise en pageBrigitte Ross
À propos de
À bientôt !
Christine Clémençon
Coordonnatrice pour l’Ardoise,
Centre Peyrelongue / IRSA
France
DU CÔTÉ DE LA FRANCE
DU CÔTÉ DU QUÉBEC
Martine Patry
Coordonnatrice pour l’Ardoise,
Responsable de l’Édition
Institut Raymond-Dewar
Québec
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