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COLLÈGF DE LA PROTECTION CIVILE DU CANADA

ÉTUDE SUR LES MÉTHODES DE IRÉSENTATION DE RECHANGE

kAPPORT FINAL --

Préparé pour le Collège de la Protection civile du Canada : Protection civile Canada Par : DVS Communications Inc. et Formation et perfectionnement Canada Le 3 octobre 1994

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COLLÈGE DE LA PROTECTION CIVILE DU CANADA

ÉTUDE SUR LES MÉTHODES DE PRÉSENTATION DE RECHANGE

RAPPORT FINAL

Préparé pour le Collège de la Protection civile du Canada : Protection civile Canada Par : DVS Communications Inc. et Formation et perfectionnement Canada Le 3 octobre 1994

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COLLÈGE DE LA PROTECTION CIVILE DU CANADAÉTUDE SUR LES MÉTHODES DE PRÉSENTATION DE RECHANGE

TABLE DES MATIÈRES

1.0 RÉSUMÉ .............................................................

2.0 INTRODUCTION ........................................................ 32.1 CONTEXTE ....................................................32.2 MÉTHODOLOGIE DE L'ÉTUDE ....................................... 4

3.0 OPÉRATIONS COURANTES ................................................ 43.1 PRÉSENTATION .................................................. 43.2 COURS ......................................................... 6

4.0 MÉTHODES D'INSTRUCTION POSSIBLES .................................... 74.1 HYPOTHÈSES .................................................... 74.2 STRATÉGIES GÉNÉRALES.. ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,74.3 AUTRES MÉTHODES DE PRÉSENTATION ............................... 84.4 STRATÉGIES DE PRÉSENTATION EN CLASSE ......................... 134.5 APPLICATION AUX COURS ACTUELS ................................ 13

5.0 RECOMMANDATIONS .................................................... 145.1 INTRODUCTION ............................................145.2 RECOMMANDATIONS GÉNÉRALES .................................... 155.3 PLAN DE PRÉSENTATION DE RECHANGE ............................. 175.4 PLAN DE MISE EN OEUVRE ....................................... 18

5.4.1 1" ANNÉE ..• ......................................185.4.2 ANNÉES 2 À5 ..................................... 20

6.0 ÉTABLISSEMENT DES COÛTS ............................................ 21

7.0 APPENDICESA. COMPARAISONS ENTRE LES PRÉSENTATIONS DE RECHANGEB. MÉTHODES DE PRÉSENTATION DE RECHANGE - MODÈLE DE BUDGETC. MODÈLE DE CALENDRIER DE PROJETD. ANALYSE DU CONTENU DES COURSE. MATÉRIEL DE COURS NÉCESSAIREF. MODULARISATION DU COURS POPG. TERMINOLOGIEH. BIBLIOGRAPHIE

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COLLÈGE DE LA PROTECTION CIVILE CANADA ÉTUDE DES MÉTHODES DE PRÉSENTATION DE RECHANGE

1.0 Résumé

Contexte

Protection civile Canada (PCC) désire porter à 30 000, au cours des cinq prochaines années, le nombre de personnes qui reçoivent de la formation au Canada chaque année (qu'elle soit dispensée par PCC ou par les provinces), sans augmenter sensiblement les coûts de l'ensemble des programmes (le nombre de personnes recevant de la formation actuellement est d'environ 9 500).

Dans le rapport qu'il a présenté le 23 juillet 1993 au Conseil des ministres responsables de la protection civile, le Groupe de planification de la mise en application a recommandé «que soit mis sur pied au Canada un système rationalisé d'instruction et d'éducation en matière de protection civile et d'intervention d'urgence dans lequel chaque compétence générerait ses propres cours de formation de base, conformément aux normes nationales établies, et que le Collège de la Protection civile du Canada soit l'agent de coordination au niveau national, offre des cours spécialisés et s'occupe d'autres besoins d'instruction qui relèvent principalement du gouvernement fédéral.»

Le groupe de la planification de la mise en application a recommandé également que le CPCC assure aux programmes provinciaux et territoriaux un soutien en matière d'élaboration et de présentation, notamment :

faire des recherches sur l'éducation à distance et d'autres méthodes d'instruction de rechange;

• mettre au point du matériel de soutien des programmes

d'instruction des provinces et territoires;

aider les provinces et les territoires à former des instructeurs.

L'objet de l'étude est d'examiner les options et les stratégies relatives aux méthodes de présentation de rechange des cours offerts au CPCC, aux coûts connexes et aux implications pour le personnel.

Le CPCC donne ou offre actuellement 15 différents cours à différentes périodes de l'année. Les provinces' gèrent de plus en plus leurs propres programmes. Les provinces désirent, en général, élargir, à tout le moins, la présentation des programmes les plus applicables, particulièrement le cours sur les Plans et opérations en temps de paix (POP) et d'autres cours de base. Toutefois, compte tenu des multiples restrictions des dépenses, il faut réaffecter les budgets actuels et créer de nouveaux modes de présentation.

LE CPCC estime qu'il pourrait consacrer, la première année, entre 100 000 $ et 200 000 $ à l'élaboration d'autres méthodes de présentation. Ce montant pourrait passer à environ 500 000 $ la cinquième année. Le financement de la stratégie proposée dans le présent rapport est fondé sur ces prévisions.

Stratégies générales

On considère que les principaux buts stratégiques

Nota : dans ce document le terme «province» signifie «province ou territoire» à moins qu'il ne soit fait référence particulière à une province ou à un territoire.

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consistent à élaborer d'autres méthodes de présentation des cours qui permettront :

a. d'augmenter le nombre de stagiaires (30 000 au lieu de 10 000);

b. d'aider les provinces à offrir une formation de base dans leur champ de compétence;

c. de réduire sensiblement les coûts qui résulteraient de l'expansion directe des méthodes actuelles;

d. de maintenir l'intégrité de l'instruction.

Dans le présent document, on a mis l'accent :

a. sur l'examen d'autres modes de présentation que les cours en classe, particulièrement des mallettes d'autoformation. Ils contribuent à augmenter le nombre de stagiaires, à réduire les coûts et à maintenir des normes de cours plus uniformes;

b. comme tous les cours comportent un certain degré d'activités en classe (voir la ventilation du contenu des cours à l'appendice D), sur la mise au point de techniques pour maintenir ces activités : a) au strict minimum et b) près du domicile des stagiaires afin de réduire les frais de déplacement.

Un certain nombre de solutions de rechange sont présentées dans la section 4.3 de ce rapport. L'appendice A présente une analyse sous forme de tableau.

Recommandations

Le rapport trace les grandes lignes d'un plan qui permettra au CPCC d'atteindre les objectifs fixés dans le rapport du Groupe de planification de la

mise en application. L'approche globale prévoit la conversion des cours du CPCC dont la fréquence doit être diminuée (on envisage aussi des contributions aux cours généraux); ces cours donnés en classe deviendront des cours autodidactes ou décentralisés qui seront complétés, au besoin, par des sessions de groupe locales.

Suivant ce plan, le rôle du CPCC consisterait à préparer, en totalité ou en partie, le contenu des cours, à fournir des services de consultation aux groupes locaux et à donner des cours spécialisés (comme les cours de formation des instructeurs, des cours hautement techniques ou des cours à l'intention des fonctionnaires fédéraux). Quant aux provinces, leur rôle serait de fournir les installations et le personnel nécessaires lorsque des simulations, des ateliers locaux, etc. (par ex., la continuation de séances en classe) s'imposent.

Les recommandations générales comprennent les suivantes :

Modifier graduellement le rôle du CPCC de sorte qu'il soit axé sur l'élaboration de cours, des programmes de formation des instructeurs, des services de consultants sur le terrain, la communication et la coordination interprovinciales au chapitre du contenu et de la présentation des cours, ainsi que sur la présentation de cours très spécialisés à un petit nombre de stagiaires.

Tirer profit des objectifs établis pour les provinces et les municipalités, à savoir une responsabilité accrue de la présentation de programmes bien précis du CPCC.

Surveiller les programmes provinciaux et territoriaux et communiquer avec les responsables afin d'évaluer notamment la mise en oeuvre planifiée ou réelle de la

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technologie pour la présentation desprogrammes. Demander aux provincesquel genre de cours serait préférablepour compléter leurs programmes.

• Mettre au point du matériel d'instructionpour la présentation des cours àl'échelon local ou régional, peut-être àdomicile ou dans des bureaux locaux(afin d'éliminer les frais de déplacementet de logement) ou convertir le matérielexistant dans cette perspective.

• Établir un programme de localisation desstagiaires afin de leur faire subir desévaluations de suivi (pour déterminerl'efficacité de l'instruction, le besoin decours de recyclage et l'état depréparation).

• Établir des normes relatives à un«certificat» ou à un programme de«reconnaissance d'achèvement descours» (tant pour les instructeurs quepour les stagiaires) afin de maintenir laqualité des cours et d'inciter lesstagiaires à suivre d'autres cours.

• Envisager la participation des stagiairesaux frais de cours, particulièrement ceuxqui seront offerts de façon autonomesous forme de vidéos ou grâce à la FAO.

• Les provinces devraient envisager de seprévaloir du JEPP ou d'utiliser d'autressources de financement pour payer enpartie les coûts de mise sur pied decapacités de présentation dans leurschamps de compétence.

• Chercher des façons de combiner lesexercices, de les abréger et de les tenirdans les localités.

Le plan précis de mise en oeuvre prévoit ce quisuit :

• Concevoir une trousse initialed'autoformation pour le POP ou le POPgénéral. La trousse comprendrait dumatériel sur support papier, des vidéosdidactiques et explicatifs, ainsi qu'unguide pour les activités de groupe. Onprivilégiera initialement le vidéo plutôtque la FAO, puisque les stagiaires aurontgénéralement accès à des magnétoscopeset des téléviseurs. L'accès à des plate-formes informatiques pouvantaccommoder les présentations de FAOsera limité, au moins à court terme.

• Lancer un projet pilote de FAO en vuede la mise en oeuvre à plus grandeéchelle de méthodes de présentationappropriées.

• À partir de programmes provinciauxparticuliers, faire des essais detéléconférence, de vidéoconférence, detableaux électroniques blancs, de postesde travail partagés et d'autres techniqueset technologies de télé-apprentissage.

• Mettre au point d'autres cours destinésaux méthodes de présentation derechange et élargir l'utilisation de laFAO, des technologies à large diffusiontel le CD-ROM et des méthodes du télé-apprentissage.

• Recourir à des services externes, aubesoin, pour aider le personnel du CPCCdans l'application des nouvellestechnologies de formation et dans lacréation des programmes de formationmultimédias.

Raison d'être des coûts d'élaboration deprésentations de rechange

L'utilisation de méthodes et de technologies deprésentation de rechange, ainsi que la prestationlocale accrue d'un certain nombre de cours dans

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les provinces, permettra au CPCC de réaliser permettre la réalisation d'économies certaines économies. Ces économies pourront comparables. servir à mettre au point des méthodes de présentation de rechange.

Bien que les dépenses en capital soient considérables, les coûts par stagiaire des présentations de rechange sont beaucoup moins élevés. Examinons le cas du POP et POP général. Comme on l'a dit dans la section 3.1, le coût d'un cours de 30 stagiaires au CPCC est d'environ 30 000 $ ou 1 000 $ par stagiaire. Les coûts des provinces sont en moyenne de 12 000 $ par cours ou 400 $ par stagiaire (133 $ dans le cas du POP général).

Comme il est démontré à l'appendice B, les coûts d'élaboration des présentations de rechange seraient d'environ 400 000 $. En supposant un amortissement sur 5 ans à raison de 10 000 stagiaires par an, ces coûts seraient d'à peu près 8 $ par stagiaire. Si les activités de groupe sont décentralisées (par exemple, dans le cas du POP), on peu raisonnablement supposer que le coût des sessions de groupe sera de 100 $ ou moins par stagiaire.

Selon cette analyse, le coût global de présentation des cours, par stagiaire, sera le suivant:

POP POP général

Méthode actuelle : 400 $ - 1 000 $ 133 $

Présentation de rechange : 115 $ 15 $

Si 10 000 stagiaires suivent le POP et le POP général chaque année, on devrait pouvoir réaliser des économies de 1 à 2 millions de dollars par an.

Il s'agit bien sûr d'une analyse grossière, mais elle illustre les possibilités d'économies. Les autres cours susceptibles de faire l'objet de modes de présentation de rechange devraient

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2.0 Introduction

2.1 Contexte

La Loi' sur la protection civile du Canada stipule que «Le Service a pour mission de prévoir les mesures de protection civile nécessaires pour préparer le pays à faire face aux situations de crise de toute nature, y compris la guerre et les autres conflits armés, en facilitant et en coordonnant, au sein des institutions fédérales et en collaboration avec les gouvernements provinciaux, les États étrangers et les organisations internationales, l'élaboration et la mise en oeuvre de plans d'intervention civils.»

PCC a fondé le Collège de la Protection civile Canada (CPCC) à Arnprior, en Ontario, afin qu'il l'aide à remplir ce mandat. Le CPCC donne à des personnes désignées une formation liée à la protection civile et aide les gouvernements provinciaux et autres administrations à faire de même.

Dans les lettres d'intérêt qu'elle a adressées à des fournisseurs de matériel et de logiciel pour l'apprentissage assisté par technologie, Protection civile Canada (PCC) affirmait qu'elle désire, au cours des cinq prochaines années, porter à 30 000 le nombre de personnes qui reçoivent une telle formation au Canada chaque année (qu'elle soit dispensée par elle ou par les provinces), qui est actuellement d'environ 9 500 2 , sans augmenter sensiblement les coûts de l'ensemble des programmes.

Dans le rapport qu'il a présenté le 23 juillet 1993 au Conseil des ministres responsables de la protection civile, le Groupe de planification de la mise en application a formulé un certain nombre de recommandations, dont les suivantes :

1. que l'instruction et l'éducation en matière de protection civile et d'interventiond'urgencesoient élargies afin que d'ici la fin de la décennie, la capacité canadiennes soit de 30 000 stagiaires par an.

2. que soit mis sur pied au Canada un système rationalisé d'instruction et d'éducation en matière de protection civile et d'intervention d'urgence dans lequel chaque compétence gérerait ses propres cours de formation de base, conformément aux normes nationales établies, et que le Collège de la Protection civile du Canada soit l'agent de coordination au niveau national, offre des cours spécialisés et s'occupe d'autres besoins d'instruction qui relèvent principalement du gouvernement fédéral.

3. que le degré de ressources consacrées actuellement par le gouvernement fédéral à l'instruction et à l'éducation en matière de PCIU3 soit au moins maintenu et soit accru si c'est possible.

On recommande également dans le rapport que les provinces mettent l'accent sur la présentation des cours et mettent en pratique divers modes de présentation. Il est recommandé que le CPCC assure aux programmes provinciaux/territoriaux un soutien en matière d'élaboration et de présentation, notamment :

• faire des recherches Sur l'éducation à distance et d'autres méthodes d'instruction de rechange;

mettre au point du matériel de soutien des programmes d'instruction des provinces/territoires;

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• aider les provinces et lesterritoires à former desinstructeurs.

L'objet de l'étude est d'examiner lesoptions et les stratégies relativesaux méthodes de présentation derechange des cours offerts au CPCC,aux coûts connexes et auximplications pour le personnel.

2.2 Méthodoloaie de l'étude

La méthodologie utilisée comprend lacueillette de données principales etsecondaires. La cueillette dedonnées principales se fait au moyend' e n t r e v u e s a v e c 1 e sformateurs/experts en la matière duCPCC. Quant à la cueillette dedonnées secondaires, elle vise lesdidacticiels courants (y compris lesdocuments de cours), le matérield'instruction pertinent, les rapportsd'instruction et les recherches surl'instruction. Tous les cours ontété examinés dans une perspectivegénérale, y compris les suivants :

• Plans et opérations en temps depaix

• Elaboration d'exercices• Opérations d'urgence• Télécommunications d'urgence• Gestion du lieu d'une catastrophe• Cours d'information publique ensituation d'urgence

• Conférence des maires et desreprésentants municipaux élus

Le cours Plans et opérations en tempsde paix (POP) est le cours le plusimportant du CPCC vu le nombre destagiaires l'ayant suivi, et il estconsidéré comme étant représentatifdes cours du CPCC. La présente étudeest principalement fondée sur cecours, et parfois sur d'autres cours,qui sont alors mentionnés.

La méthodologie de l'étude comprendégalement un examen des niveaux deprésentation actuels et desmodifications proposées aux rôles duCPCC et des provinces/territoires

dans l'instruction en matière dePCIU. Les informations disponiblessur les opérations et les plans desprovinces ont été prises enconsidération; il s'agissait surtoutd'intrants du CPCC et d'un rapportdes Provinces de l'Atlantique 4.

Enfin, on a ventilé les cours du CPCC(voir l'Appendice D) afin dedéterminer des stratégies relatives àdes modes de présentation derechange.

3.0 Opérations courantes

3.1 Présentation

Au Collège de la Protection civileCanada (CPCC) à Arnprior en Ontario,PCC forme (annuellement - données de1992-1993) environ 2 000fonctionnairess choisis par leursemployeurs et, dans la plupart descas, parrainés par des organisationsdes gouvernements provinciaux.Environ 8 000 autres personnes sontformées tous les ans dans chaqueprovince, avec ou sans l'aide duCPCC. Il faut que d'ici l'an 20006,plus de 30 000 personnes suivent descours équivalents à ceux du CPCCchaque année.

Le CPCC donne ou offre 15 différentscours (dont 8 à 10 pourraient fairel'objet d'une présentation derechange) à différentes périodes del'année. Les places des coursdispensés au Collège d'Arnprior sontattribuées par province (certainesplaces sont réservées aux employésfédéraux). Le coût moyen d'un coursau CPCC est de 30 000 $ (les frais dedéplacement et de pension desstagiaires représentent 80 p. 100 decette somme). Le budget O et E totaldu CPCC est d'environ 2 500 000 $,dont près de 2 000 000 $ sontconsacrés à la présentation descours. Les coûts moyens deprésentation de cours équivalents parles provinces sont d'environ 12 000 $et de près de 4 000 $ pour des coursdifférents (surtout d'ordre général).

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Les provinces gèrent de plus en plus leurs propres programmes, mais ce genre d'activité varie beaucoup d'une province à l'autre; il y en a beaucoup en C.-B. et en Alberta, mais très peu dans les provinces situées à l'est de l'Ontario. Cependant, les provinces désirent en général élargir, à tout le moins, la présentation des programmes les plus applicables, particulièrement le cours sur les Plans et opérations en temps de paix (POP) et d'autres cours de base. Toutefois, compte tenu des multiples restrictions des dépenses, il faut réaffecter les budgets actuels et créer de nouveaux modes de présentation.

Il existe peu de statistiques obtenues au moyen de tests sur l'efficacité des méthodes d'instruction actuelles, au point de vue d u maintien des connaissances/habiletés ou de leur application. On a mis au point des examens pour les cours POP et Élaboration d'exercices, mais les examens ne font habituellement pas partie du programme d'études (des études de cas fournissent des informations sur l'apprentissage effectué pendant un cours, mais on n'en tire aucune statistique). Il n'existe également pas d'informations centralisées sur les différents stagiaires, à savoir leur utilisation de l'instruction, s'ils sont toujours en mesure de l'utiliser et s'ils auraient besoin de Cours de recyclage. On dispose cependant de certains renseignements sur les attitudes, et selon le CPCC, une étude indépendante a révélé qu'entre 85 et 95 p. 100 des stagiaires sont très satisfaits des cours sur les plans de l'organisation, des techniques, du degré et de la qualité de l'instruction, ainsi que de l'évaluation globale.

On estime que la première année, le CPCC pourrait consacrer entre 100 000 $ et 200 000 $ à l'élaboration d'autres options de

présentation. Ce montant pourrait passer à environ 500 000 $ la cinquième année. On pense que si les provinces et le CPCC atteignaient l'objectif de 30 000 stagiaires au moyen des méthodes d'enseignement courantes en classe, cela coûterait 2,55 millions de dollars de plus' par année.

Les stagiaires du CPCC viennent de toutes les régions du Canada; ils travaillent principalement pour des municipalités et sont surtout choisis par les autorités provinciales. On trouve aussi des fonctionnaires fédéraux et provinciaux parmi les stagiaires. Bon nombre des représentants municipaux ont demandé eux-mêmes à suivre les cours. La population cible comprend :

• des représentants élus • des ambulanciers • des directeurs de services • des policiers municipaux • des ingénieurs

• des travailleurs sociaux municipaux • des pompiers • des fonctionnai-

' • du personnel de la Croix- res du Transport Rouge • des agents de

• du personnel de l'OIU soins de santé

Selon le CPCC, le coût moyen d'un de ses cours ne varie pas beaucoup suivant sa durée (parce que les frais de déplacement représentent la majeure partie du coût). Le coût des cours types des provinces équivaut à moins de la moitié du coût moyen de ceux du CPCC.

Les antécédents des stagiaires sont très diversifiés. On suppose qu'ils ont au moins terminé leur dixième année, quoiqu'il y ait un certain taux d'analphabétisme. Il faudra tenir compte, dans le recours à la technologie, des connaissances informatiques limitées de nombreux stagiaires. L'accès des stagiaires à la technologie informatique varie beaucoup, et bien que la situation puisse s'améliorer durant la période de planification, cet accès est généralement inexistant dans les petites municipalités.

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On connaît mal les raisons qui poussent les stagiaires à suivre les cours, mais d'après les informations relatives aux attitudes, leur motivation semble élevée. 'A ce stade-ci, on ne sait pas à quel point le remplacement d'un cours au CPCC par un cours à domicile ou un autre type de cours auto-administré touchera la demande en matière d'instruction.

3.2 Cours

Les cours actuels comportent beaucoup d'études de cas et de séances d'exercice. Dans un cours type du CPCC, les exposés représentent 35 p. 100 du cours, les ateliers ou les discussions, 40 p. 100, et les vidéos ou les conférences, 25 p. 100.

L'appendice D contient une ventilation du contenu de divers cours du CPCC. La durée de tous les cours (sauf le CMRÉ, qui dure 3,5 jours) est de 4,5 jours. La quantité de jeux de rôle, d'exercices, de simulations et de discussions est particulièrement intéressante. En effet, ce sont les éléments qui exigent le plus haut degré de technologie dans les présentations de rechange des cours. En outre, ces éléments sont ceux qui nécessiteront le plus d'installations locales au cours de la décentralisation de la présentation des cours.

On donne une ventilation du matériel d'instruction nécessaire à l'Appendice E. Il faut prêter attention aux articles qui seraient difficiles à obtenir si les ateliers devaient se tenir dans des installations municipales ou provinciales.

4.0 Méthodes d'instruction possibles

4.1 Hypothèses

Considérons l'horizon de planification de cinq ans, particulièrement en fonction de la

maximisation de toute dépense en capital au cours des dernières années.

• Les fonds qui serviront à l'élaboration d'autres types de présentation des programmes proviendront principalement de la réaffectation des sommes consacrées actuellement aux frais de déplacement des stagiaires qui utilisent les installations d'instruction centrales (p. ex., les salles de classe du CPCC).

• 90 p. 100 des stagiaires du CPCC travaillent pour des municipalités du Canada. Au cours de la 1' année de la période de planification, on estime que la grande majorité des stagiaires actuels et futurs n'auront pas accès à des supports de FAO. Le programme de présentation de rechange doit en tenir compte et être rajusté au cours des années suivantes, au fur et à mesure que la technologie deviendra plus accessible.

• La première année, les sommes disponibles, réaffectées par le CPCC, s'élèveront à 200 000 $ et passeront à 500 000 $ la cinquième année. Dans le cadre du présent rapport, on suppose que ces sommes seront consacrées à l'élaboration de programmes de présentation de rechange ou à la nouvelle technologie.

• Le personnel du CPCC demeurera en place et il disposera d'assez de temps pour élaborer ou contribuer à élaborer des programmes de rechange comme les cours par correspondance, les cours sur vidéo et la FAO. Parallèlement, le CPCC devrait faire appel à des consultants pour aider son personnel à exploiter de nouvelles

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1

technologies d'instruction et à concevoir des programmes d'instruction à la carte.

• Compte tenu du fait que 80 p. 100 des frais de cours sont liés au déplacement et qu'une bonne part des frais généraux sont fixes, on ne pourrait pas réaliser des économies substantielles en réduisant la durée des cours donnés au CPCC. Cela signifie que pour réaliser de telles économies, le CPCC doit présenter les cours de façon totalement différente.

4.2 Stratégies générales

On considère que les principaux buts stratégiques consistent à élaborer d'autres méthodes de présentation des cours qui permettront :

a. d'augmenter le nombre de stagiaires (30 000 au lieu de 10 000);

b. d'aider les provinces à offrir une instruction de base dans leur champ de compétence;

c. de réduire sensiblement les coûts qui résulteraient de l'expansion directe des méthodes actuelles;

d. de maintenir l'intégrité de l'instruction.

Pour atteindre ces buts, il faudra élaborer de nouvelles stratégies et technologies de présentation des cours. Il faudra également redéfinir constamment les rôles et les rapports des organisations municipales et provinciales et du CPCC.

Dans le présent document, on a mis l'accent :

a. sur l'examen d'autres modes de présentation que les cours en classe, particulièrement des mallettes d'autoformation. Ils

contribueront à augmenter le nombre de stagiaires, à réduire les coûts et à maintenir des normes de cours plus uniformes;

b. comme tous les cours comportent un certain degré d'activités en classe (voir la ventilation du contenu des cours à l'Appendice D), sur la mise au point de techniques pour maintenir ces activités : a) au strict minimum et b) près du domicile des stagiaires afin de réduire les frais de déplacement.

4.3 Autres méthodes de présentation

On expose dans la présente section un certain nombre de solutions de rechange génériques à la présentation ou aux méthodologies utilisées en classe. Elle contient aussi des commentaires sur l'instruction en classe. Aucune des solutions de rechange ne pourra sans doute s'appliquer entièrement à tous les cours, peut-être seulement à certains d'entre eux. Elles peuvent servir à remplacer du matériel de cours, à réduire les déplacements coûteux ou à augmenter de beaucoup la population que l'on peut joindre ailleurs que dans une salle de classe.

Présentation en classe

L'enseignement en classe est un mode d'instruction traditionnel. L'accent est mis sur la communication dirigée par un instructeur, la communication entre une personne et un groupe et l'intercommunication au sein de ce dernier. La préparation des cours est généralement effectuée par les enseignants, souvent dans de brefs délais et à peu de frais (en supposant que l'instructeur est déjà au service de l'employeur et suivant la quantité de matériel déjà préparé). Selon le nombre de stagiaires dans la classe,

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il peut y avoir beaucoupd' i n t e r a c t i o n a v e cl'instructeur. L'interactionhumaine se fait généralementautomatiquement ou s'organisefacilement (que ce soit ou nonimportant pour la matièreenseignée). Les auditeurs sonthabituellement «captifs», et onpeut au moins mesurer laparticipation. On peutadministrer des examens etcertains stagiaires peuventoffrir spontanément leur aide.

Cependant, l'instruction enclasse est globalementcoûteuse. A long terme, lessalles de classe etl'utilisation d'instructeurspour donner les cours (au lieud'y faire appel pour élaborerdes cours) représentent descoûts marginaux déboursés.Faire venir les stagiaires auCollège suppose des frais dedéplacement et de subsistance,ainsi qu'une diminution dutemps passé au travail. Lescours ne sont pas toujoursofferts au moment où lesstagiaires seraientdisponibles, la qualité del'instruction est souvent trèsvariable et le rythme del'apprentissage ne tient pascompte des besoins individuels.

Plus important encore, peut-être, est le fait qu'une foisque les stagiaires ont reprisleur travail, ils n'ont plusaccès à la matière enseignée (àl'exception, parfois, decertains documents de référenceimprimés). Il a été démontréque les stagiaires oublient 80p. 100 des connaissancesacquises dans les 30 jourssuivant une sessiond'instruction s'ils ne lesappliquent pas immédiatementdans leur travail.L'utilisation de matériel quipermet d'avoir de nouveau accès

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à la matière, pouvant êtrecombiné à des cours en classe,pourrait pallier la majeurepartie de ce problème.

Voici des solutions de rechange auxcours en classe qui pourraients'appliquer à ceux du CPCC :

Cours sur papier

Cela comprend des cours deréflexion, de l'instructiontextuelle, de la documentation,des manuels, des tableaux deplanification, des commentésd'études de cas, des programmesd'exercices et peut-être desbandes sonores ou des bandesvidéos puisque la plupart desgens disposent de latechnologie nécessaire. Parmiles avantages des cours surpapier : leur distribution estpeu coûteuse, ils n'exigent pastoujours de la technologie, etl'apprenant peut en prendreconnaissance à domicile ou autravail, en temps opportun.Aussi, grâce à des examens, onpeut évaluer leur efficacitéjusqu'à un certain point.Parmi leurs désavantages : lesstagiaires doivent être trèsmotivés, ils sont très axés surle texte et ne permettent nil'interaction, ni l'utilisationd'autres techniquesd'instruction.

Bande vidéo

Dans le présent document, onconsidère deux catégories decours sur vidéo : a) ceux dontle contenu est didactique ouinformationnel et b) ceux dontle contenu est explicatif. Onpeut trouver les deux types decontenu dans un même vidéo,mais c'est peu courant. Unvidéo didactique ouinformationnel est conçu defaçon systématique, dans un butd'apprentissage, et les

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cours sur papier, l'apprenant peut utiliser les vidéos chez lui ou au travail, quand cela lui convient. En moyenne, le temps d'apprentissage peut être réduit car le stagiaire procède à son propre rythme. De plus, l'apprenant perd moins d'heures de travail car il peut regarder la bande dans ses temps libres.

Parmi les désavantages : le coût de la production et le manque d'interaction avec l'apprenant.

Bande sonore

La bande sonore peut être une solution de rechange économique à certains contenus de cours tels que la narration de lignes de conduite ou d'anecdotes. Toutefois, la bande sonore ne peut généralement que compléter du matériel de cours et non le remplacer.

Formation assistée par ordinateur (FAO)

La formation assistée par ordinateur, interactive, à la carte, peut être une solution de rechange complète à d'autres méthodes de présentation de cours. Les méthodes informatiques peuvent servir à la transmission du savoir, à la production de matériel anecdotique et à certaines formes d'exercices et de tests. Elles permettent une interaction avec l'utilisateur, ainsi qu'un degré élevé de participation. Si la technologie de distribution et de présentation nécessaire est disponible, un grand nombre de stagiaires peuvent avoir accès rapidement au matériel sans qu'on ait à organiser des classes.

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dialogues ont été rédigés au préalable. Le vidéo explicatif vient généralement appuyer le matériel didactique au moyen de démonstrations ou d'exemples.

Les bandes vidéo peuvent être utilisées de bien des façons pour la transmission du savoir, particulièrement pour appuyer des cours en classe ou sur papier, des études de cas ou des ateliers, ainsi que des examens (écrits). Il est ainsi possible de réduire ou d'éliminer le temps passé en classe. Le contenu des vidéos didactiques ou informationnels peut comporter, à titre indicatif, des séquences animées qui illustrent des situations d'urgence, ainsi que des anecdotes.

Dans bien des cas, la bande vidéo est un meilleur outil d'apprentissage que le support papier. Habituellement, le matériel audio-visuel est mieux mémorisé, plus intéressant et permet un meilleur apprentissage.

Comme la plupart des gens ont maintenant accès au magnétoscope et à la télévision, les problèmes de supports de présentation sont minimes. Par ailleurs, la FAO pourrait être fondée sur du matériel vidéo si les problèmes connexes de technologie et de financement venaient à perdre de leur ampleur.

Parmi les avantages des bandes vidéo : une motivation modérée de l'apprenant, la capacité de l'adapter à d'autres contextes d'enseignement, une distribution peu coûteuse, la disponibilité des supports de présentation et l'efficacité de l'apprentissage dans de nombreux cas. Comme pour les

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Bien qu'on puisse utiliser un disque dur informatique ou un serveur de fichiers de réseau zonal local pour la FAO, on peut obtenir une distribution plus élargie au moyen du CD-ROM ou du CD-1. Le CD-ROM peut contenir un programme d'instruction complet et être inséré dans un ordinateur multimédias; sur le plan du contenu, c'est le support qui offre le plus de souplesse. Le CD-1 est légèrement plus limité, mais il permet l'utilisation d'un dispositif de lecture relativement économique (comparé au prix d'un ordinateur multimédias) et d'un poste de télévision.

Parmi les avantages de la FAO :

une capacité de remplacement des cours en classe considérable, un meilleur apprentissage, ainsi qu'un accès plus vaste et plus pratique. Comme l'apprenant progresse à son propre rythme et que l'enseignement est plus intensif, la durée de l'apprentissage est écourtée. L'apprenant peut choisir le moment de l'apprentissage, entre autres dans ses temps libres, ce qui réduit les heures de travail perdues. Le coût de la distribution est insignifiant.

Parmi les désavantages : le coût d'investissement du contenu de la FAO et la grande quantité de technologie appropriée nécessaire. Les connaissances techniques des stagiaires sont un sujet de préoccupation, mais cette difficulté devrait pouvoir être surmontée.

Satellites, vidéoconférences et téléconférences

Il s'agit de technologies de distribution dont le support de présentation est le téléphone ou la télévision (c.-à-d. que ce ne sont pas des méthodes d'enseignement comme telles, mais qu'elles permettent de réduire le coût des présentations traditionnelles en classe). On s'en sert habituellement pour des discussions et d'autres activités interpersonnelles, mais elles conviennent aussi à la présentation unilatérale du contenu d'un cours. Parmi les avantages de ces technologies :

la possibilité d'avoir une discussion en temps réel et d'atteindre un auditoire très dispersé, ainsi que l'adaptabilité aux méthodes d'enseignement en classe traditionnelles. On peut les utiliser conjointement avec du matériel d' instruction différent de celui des salles de classe afin de permettre l'interaction humaine quand c'est important, tout en maintenant les coûts à un niveau inférieur à celui du transport des stagiaires vers une installation plus éloignée.

Parmi les désavantages : le coût de la technologie, et par conséquent, son utilisation limitée, le degré élevé de technologie nécessaire à toute une gamme de présentations et d'interactions, ainsi que la disponibilité relativement restreinte et affectée des installations.

Salle de classe à distance

La salle de classe à distances est le résultat d'une

combinaison de technologies dans un lieu éloigné (de l'instructeur); le stagiaire est «virtuellement présent» dans une salle de classe. Dans

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sa forme la plus complète, cette solution de rechange comporte la télédiffusion (probablement par satellite) de l'avant de la classe, des connexions informatiques afin que les stagiaires puissent voir (sur un écran d'ordinateur ou de télévision) ce qui est affiché sur un écran d'ordinateur, (parfois) le partage de bureaux informatisés, des caméras spéciales qui sont dirigées sur un tableau-papier ou une palette d'ordinateur de table (commutable par l'instructeur), une liaison avec un lecteur de bandes vidéos, ainsi que des dispositifs de rétroaction de données et de la voix (il s'agit habituellement de blocs numériques spéciaux qui permettent au stagiaire d'interrompre la présentation, de s'identifier et d'obtenir des réponses à ses questions, ainsi que des types semblables de rétroaction limitée). On peut parfois employer divers sous-ensembles de ces technologies afin de faciliter la présentation locale en classe.

L' avantage de cette technologie, c'est qu'elle permet de reproduire assez bien une salle de classe pour le bénéfice d'un apprenant à distance. Les coûts d'investissement et de fonctionnement sont cependant très élevés et cette méthode exige quand même que les stagiaires se rendent périodiquement dars une installation adaptée. Elle est surtout utile aux organisations qui ont un nombre considérable d'employés, répartis en relativement peu d'endroits, et qui doivent offrir une instruction imposante ou très

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spécialisée à partir d'un emplacement central.

Les solutions de rechange, les avantages, les désavantages et les coûts que le CPCC doit considérer sont résumés dans les tableaux 1 et 2 de l'Appendice A.

4.4 Stratégies de présentation en classe

L'une des préoccupations suscitées par un certain nombre de méthodes de présentation de rechange (par rapport à une salle de classe) est qu'elles réduisent ou éliminent les contacts humains, les stimulis et les échanges d'idées. Si l'interaction humaine fait partie du futur travail du stagiaire, il ne peut s'exercer que

.sur d'autres humains. On ne peut remplacer toutes les activités qui ont lieu en classe, et il n'est ni pratique, ni économique, de se borner à augmenter le nombre de cours donnés au CPCC. Il va falloir trouver aussi des solutions de rechange à la présentation en classe.

Les autres modes de présentation dont il a été question sont plus ou moins applicables aux cours (parfois complètement, parfois pas du tout - les cours sont examinés plus en détail à la section 4.5). Afin d'atteindre l'objectif de 30 000 stagiaires, il faut décentraliser les activités essentielles qui ont lieu en classe. Certaines technologies peuvent être utiles à cet égard (p. ex., salle de classe à distance, vidéoconférences et téléconférences) . Une autre stratégie serait de faire en sorte que les activités essentielles en classe aient lieu plus près du domicile ou du bureau du stagiaire.

L'idéal serait, si c'est possible, que du personnel qualifié sur place dirige de telles activités dans le cadre de sessions de planification simulées et d'ateliers de groupe dans la collectivité. Ainsi, on réduirait

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sensiblement ou éliminerait les fraisde déplacement et l'ordonnancementpourrait être plus souple. Des coursde formation des instructeurs,dispensés par le CPCC, pourraientfournir la majeure partie desmoniteurs de cours dont on a besoin.On peut aussi utiliser des lieux deréunion économiques (par exemple, lesécoles de la collectivité). Aubesoin, les compétences localespourraient être complétées pendantles sessions de groupe par unevidéoconférence ou une téléconférenceavec un membre du CPCC ou un autrespécialiste.

4.5 Avplication aux cours actuels

Les stratégies dont il a été questiondans les sections 4.3 et 4.4s'appliquent plus ou moins à tous lescours du CPCC. Il est possible, maispas nécessairement souhaitable, queles cours généraux soient entièrementdispensés à l'extérieur des salles declasses. on pourrait éliminer lesactivités de groupe de certainscours, comme le POP, le CMRÉ et lecours d'Élaboration d'exercices, etfaire appel surtout à la FAO, maisils perdraient une partie de leurefficacité et de leurs qualités.Dans le cas d'autres cours, comme leGLC et l'IPSU, les activités degroupe sont essentielles. En sefondant sur la ventilation des coursdu CPCC donnée à l'Appendice D, onestime qu'aucune approche ne peut, ensoi, remplacer entièrement cesactivités.

Si elle est combinée à destechnologies de reproduction d'unesalle de classe à distance, la FAOpourrait devenir une solution derechange autonome puisque latechnologie multimédias ne cesse deprendre de l'expansion et que l'accèsgénéralisé aux communicationsnumériques extra-rapides se répand.Cependant, on n'a considéré dans leprésent document que les méthodes derechange pouvant être combinées (p.ex., des cours sur papier combinés à

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une bande vidéo digitale et à desateliers locaux).

La vidéoconférence est une nouvelletechnologie économique et il seraitsouhaitable de l'expérimenter. Les-installations de télécommunicationsnécessaires permettront égalementl'essai d'autres technologies liéesau «partage des bureauxinformatisés», comme les tableauxélectroniques blancs. Dans leurdocument de stratégie9, les Provincesde l'Atlantique indiquent qu'ellesprévoient utiliser la technologie de«l'audiographie» pour présenter leurscours. Le CPCC aurait tout avantageà mener des expériences conjointes àcet égard (avec les Provinces del'Atlantique). Il pourrait aussifaire de même avec d'autresprovinces. On pourra ainsidéterminer si ces nouvellestechnologies sont rentables ouefficaces sur le plan del'apprentissage, et dansl'affirmative, accélérer leur mise enoeuvre si le besoin se fait sentir etsi l'on dispose des fondsnécessaires.

Le rapport du GPMA contient uncertain nombre de ventilations, parprovince ou territoire, du nombre decours qui seront dispensés ou quidevront l'être au cours de la périodede 5 ans. Selon ce rapport, environ10 500 stagiaires (sur un total de30 000 qui suivront les cours du CPCCou des cours équivalents) doiventsuivre le POP (ou le POP général)durant les 3 premières années de lapériode de planification. [En outre,plus de 73 000 stagiaires suivrontdes cours différents de ceux du CPCCpendant la même période.) Dans sonrapport, le GPMA établit aussi pourle CPCC un programme de cours,échelonné sur cinq ans, selon lequelle nombre de cours POP passera de 12à 3 (voir l'Appendice B).

Comme on l'a déjà dit, c'est pour cesraisons que les cours POP et POPgénéral sont représentatifs et que le

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présent document est axé sur eux. Ce sont également les cours qui ont pour objet d'intéresser le plus grand nombre de stagiaires.

Les provinces qui offriront les cours de PCIU se distinguent par le nombre de stagiaires, leurs besoins et leurs capacités. Certaines d'entre elles ont investi ou prévoient d'investir dans les nouvelles technologies de présentation ou disposent de salles de classe dotées de bon nombre des caractéristiques de celles du CPCC. Bien que l'objet général des cours offerts par les provinces sera semblable, le contenu pédagogique et le mode de présentation se diversifieront avec le temps. On ne tente pas, dans le présent rapport, de rendre compte des différents plans de chaque province, mais plutôt de déterminer comment les modes de présentation de rechange pourraient bénéficier de ces plans.

5.0 Recommandations

5.1 Introduction

Dans la présente section, on établit un plan qui permettra au CPCC d'atteindre les objectifs fixés dans le rapport du Groupe de planification de la mise en application. L'approche globale prévoit la conversion des cours du CPCC dont la fréquence doit être diminuée (on envisage aussi des contributions aux cours généraux); ces cours donnés en classe deviendront des cours autodidactes ou décentralisés qui seront complétés, au besoin, par des sessions de groupe locales.

Suivant ce plan, le rôle du CPCC consisterait à préparer en totalité ou en partie le contenu des cours (de l'une ou de plusieurs des façons décrites ci-dessus), à fournir des services de consultants aux groupes locaux et à donner des cours spécialisés (comme les cours de formation des instructeurs, des cours hautement techniques ou des cours à

l'intention des fonctionnaires fédéraux). Quant aux provinces, leur rôle serait de fournir les installations et le personnel nécessaires lorsque des simulations, des ateliers, etc., locaux (p. ex., la continuation de sessions en «classe») s'imposent.

Le plan prévoit que le CPCC devra mettre davantage l'accent sur l'élaboration que sur la présentation de cours. Si les cours ne sont plus donnés au CPCC, ce dernier disposera de fonds pour s'engager dans l'élaboration. Le plan ci-dessous a pour objet de faire en sorte que non seulement les coûts soient transférés d'une activité à une autre, mais que le coût global par stagiaire soit sensiblement réduit. Cependant, il est vrai que la diminution des exposés en classe prévue dans le plan entraînera une augmentation de la capacité 'du CPCC de tenir des ateliers, et si l'on disposait des fonds nécessaires, le CPCC pourrait accueillir beaucoup plus de stagiaires.

On compare les avantages, les désavantages et les coûts des méthodes de présentation de rechange dans le tableau de l'Appendice A. On recommande l'approche mixte ci-dessous parce qu'elle constitue une option économique, à faibles risques, qui satisfait aux principaux critères du rapport du GPMA (c.-à-d. que les provinces se chargent davantage de la présentation des cours, parallèlement à une augmentation marquée du nombre de stagiaires, sans hausse notable des coûts).

5.2 Recommandations générales

Voici des mesures générales que le CPCC devrait envisager afin de réaliser les objectifs du GPMA :

Modifier graduellement le rôle du CPCC de sorte qu'il soit axé sur l'élaboration de cours, des programmes de formation des

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instructeurs, des services deconsultants sur le terrain, lacommunication et lacoordination interprovincialesau chapitre du contenu et de laprésentation des cours, ainsique sur la présentation decours très spécialisés à unpetit nombre de stagiaires.

Tirer profit des objectifsétablis pour les provinces etles municipalités, à savoir uneresponsabilité accrue de laprésentation de programmes bienprécis du CPCC. Cela n'empêcheaucunement les provincesd'élaborer leurs propres cours,ni le CPCC de continuer àoffrir ces programmes de façonlimitée, au besoin. Il fautque la communicationinterprovinciale et entre leCPCC et les provinces soitrenforcée afin d'éviter lesredondances ou de déterminer sielles peuvent mettre leursressources en commun.

Surveiller les programmesprovinciaux/territoriaux etcommuniquer avec lesresponsables afin d'évaluernotamment la mise en oeuvreplanifiée ou réelle de latechnologie pour laprésentation des programmes.Au fur et à mesure que lesprovinces élaboreront leurspropres programmes, le CPCCpourra contribuer au partagedes contenus de cours et desinnovations.

Demander aux provinces quelgenre de cours seraitpréférable pour compléter leursprogrammes. L'élaboration demallettes de formation etsurtout de modes deprésentation numériques descours augmentera lespossibilités d'intégration descours du CPCC par lesprovinces.

Mettre au point du matérield'instruction pour laprésentation des cours àl'échelon local ou régional,peut-être à domicile ou dansdes bureaux locaux (afind'éliminer les frais dedéplacement et de logement desstagiaires) ou convertir lematériel existant dans cetteperspective.

Établir un programme delocalisation des stagiairesafin de leur faire subir desévaluations de suivi (pourdéterminer l'efficacité del'instruction, le besoin decours de recyclage et l'état depréparation).. Cela nécessiterala cueillette et le partage dedonnées statistiques par lesorganismes pertinents dans lesprovinces ou les municipalités.

Établir des normes relatives àun «certificat» ou à unprogramme de «reconnaissanced'achèvement des cours» (tantpour les instructeurs que pourles stagiaires) afin demaintenir la qualité des courset d'inciter les stagiaires àsuivre d'autres cours. Celapourrait prendre la forme d'unélargissement de l'«Attestationde réussite» donnée dans lecadre des cours POP etÉlaboration d'exercices etnécessiterait l'administrationd'une plus grande quantitéd'examens. En plus dedéterminer l'efficacité del'apprentissage, ces examenscontribueraient par la mêmeoccasion à la cueilletted'informations sur l'identitéde ceux qui ont reçu uneformation et sur «l'état depréparation» des diversesautorités.

Envisager la participation desstagiaires aux frais de cours,particulièrement ceux qui

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seront offerts de façon autonome sous forme de vidéos ou grâce à la FAO. Certaines provinces exigent déjà des droits ou envisagent de le faire. Il faudrait au moins considérer la récupération des coûts des mallettes de formation.

• Les provinces devraient envisager de se prévaloir du JEPP ou d'utiliser d'autres sources de financement pour payer en partie les coûts de mise sur pied de capacités de présentation dans leurs champs de compétence (tel qu'expliqué dans le rapport des Provinces de l'Atlantique intitulé Une stratégie sur la présentation d'instruction en matière de protection civile dans les Provinces de l'Atlantique [Traduction libre]).

• Chercher des façons de combiner les exercices, de les abréger et de les tenir dans les localités. Même si les modes de présentation sont modifiés, les exercices et les discussions de groupe font partie de tous les cours et constitueront un élément important de l'instruction. Les frais de déplacement représentent le principal coût au comptant de l'instruction.

5.3 Plan de présentation de rechange

Il s'agit d'un plan que le CPCC pourrait mettre en oeuvre afin de créer des progiciels de présentation de rechange pour les cours qu'il donne actuellement. Le plan consiste à présenter un certain nombre de cours du CPCC comme des mallettes de formation afin qu'il soit moins coûteux de les dispenser, que les provinces puissent participer plus facilement à leur présentation, que plus de stagiaires soient formés et

qu'on puisse encore bénéficier de la compétence du CPCC dans le domaine.

Les provinces ont instauré diverses stratégies de présentation ou prévoient le faire. Par exemple, les Provinces de l'Atlantique ont exposé n de façon assez détaillée leurs projets de gestion de la présentation. Dans le présent document, on tente de rendre compte de ces projets et de décrire comment le CPCC peut y contribuer, mais on ne suggère pas de plans précis pour chaque province ou municipalité. On suppose que les provinces vont se doter d'installations selon leurs besoins et les fonds dont elles disposent, et qu'elles adopteront à tour de rôle des plans qui leur permettront de profiter au maximum des progiciels élaborés par le CPCC. L'établissement des coûts a été examiné du point de vue du CPCC. Ce plan devrait contribuer à maintenir les coûts des provinces au minimum, mais il ne vise pas à limiter leurs options.

Comme on l'a dit dans la section 4.5, le cours POP servira de modèle pour un mode de présentation de rechange. C'est le choix logique pour l'application de nouvelles techniques de présentation puisqu'il est censé s'adresser (tout comme le POP général) à la plus grande population de stagiaires (environ 10 500 sur 30 000). Le contenu du cours POP est donné à l'Appendice D. Sa durée est de 4,5 jours; 35 p. 100 du temps (1,6 jour) est consacré à des exposés ordinaires, 40 p. 100 (1,8 jour) à des ateliers et 25 p. 100, à des vidéos ainsi qu'à des conférences (1,1 jour).

Les projets de présentation de rechange doivent tenir compte de deux composantes principales du contenu des cours :

1. Transmission des connaissances - les éléments que les stagiaires pourraient acquérir

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eux-mêmes s'ils disposaient du matériel voulu.

2. Perfectionnement des habiletés - les éléments qui demandent de la pratique. S'il faut pour cela travailler en collaboration, une salle de classe pourrait être nécessaire.

Dans le cadre du plan proposé, le POP et les autres cours qui doivent être présentés par les provinces dans la majeure partie des cas doivent être réaménagés en vue d'une présentation distribuée. On suggère d'avoir recours à des modules (voir à l'Appendice F un exemple de modularisation du cours POP par le CPCC) qui aideraient les provinces à assumer plus rapidement la responsabilité des cours qu'elles projettent de donner et qui permettraient de mettre le matériel à l'essai au fur et à mesure qu'il est prêt. Le but est de concevoir à l'intention du CPCC et des provinces un programme combinant des ateliers et de l'autoformation.

5.4 Plan de mise en oeuvre

Le plan ci-dessous suppose que le cours POP sera le premier à être remanié. Bon nombre des mesures qu'il contient peuvent être prises simultanément l2 .

5.4.1 1' année

1. Rédiger des instructions pour un cours d'autoformation et créer ou remanier des exposés informationnels et didactiques sur papier.

2. Créer des vidéos numériques' 3 pour tous les exposés (p. ex.,

didactiques). On peut ainsi profiter des avantages suivants :

a. Les vidéos numériques peuvent être axés sur la transmission

du savoir et faire partie d'un programme d'autoformation.

b. On peut réduire sensiblement la quantité d'exposés au moyen de vidéos numériques ou de FAO (voir l'Appendice G - Terminologie pour une explication de la compression du contenu). On atteint fréquemment des taux de compression de 4 pour 8 et on suppose un taux de 6 dans le présent cas, ainsi que pour l'établissement des coûts. Cela signifie que des exposés d'une durée de 1,6 jour correspondent à 2 heures de vidéo numérique.

Le plan, du moins dans le cas du cours POP, consiste à combiner un vidéo numérique (et de la FAO par la suite), un Cours écrit, un vidéo explicatif et des sessions de groupe. Dans cette perspective, on propose que ce type de présentation comporte un vidéo numérique de 1,5 h (afin de contribuer à la gestion des coûts).

Le matériel créé pour le vidéo numérique est un programme informatique (dans ce cas-ci, enregistré sur bande vidéo) dont la majeure partie pourra être réutilisée dans des modes de présentation informatisés et interactifs.

d. Le contenu informatisé du vidéo numérique peut servir à produire une variété de matériel de présentation comme des documents de Cours imprimés, des transparents, des diapositives, etc.).

3. Créer des instructions et du matériel d'apprentissage sur papier (comme des copies de tableaux, d'écrans et de cartes).

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4. Remanier les vidéos explicatifsexistants (voir ce qui concerneles bandes vidéos à la section4.3) afin de diminuer le nombrede bandes nécessaires et deconcentrer le matériel de sortequ'il corresponde le plusfidèlement possible auxinstructions du cours.

5. Créer des instructions sur lesateliers pour les éléments ducours qui doivent se donnerdans une classe ou un atelier.S'il y a lieu, les instructionsindiqueront comment le CPCCpourrait participer auxateliers à l'aide detéléconférences. Le matérieldes ateliers serait installédans les locaux provinciauxpertinents (dans le cas du POP,les besoins sont assez simples- voir l'Appendice E). Le CPCCexpliquerait comment concevoirune trousse de base que lesprovinces pourraient adapter àleurs besoins.

Afin que le POP et les autrescours puissent faire l'objetd'une mallette de formation, ilfaut structurer les ateliers desorte qu'ils ne durent pas plusde deux jours. Si lesprovinces peuvent tenir desateliers en plusieurs endroitsdifférents, on pourra réduireau minimum les frais dedéplacement et de subsistancedes participants, et c'est làl'objectif visé.

6. Enregistrer des conférences etles intégrer dans les mallettesde formation. Il s'agirait devidéos explicatifs.

7. Former un groupe consultatifsur le programme d'études,composé de représentants duCPCC et des provinces, afin des'assurer que le contenu descours pourra être adapté parles provinces, au besoin.

8. Mettre au point des examens etles intégrer dans la mallettede formation. Ils serontfacultatifs, mais ilspourraient servir àl'attribution d'attestations ouà la sélection préalable desparticipants aux ateliers. Aucours de la 11 année, lesstagiaires passeraient desexamens écrits qui seraientnotés, entre autres, par lescoordonnateurs des ateliers.

9. Présenter toute la matière ducours sous forme de «trousse»d'enseignement qui seraitdistribuée sur demande. Commeles provinces utiliseraient lestrousses à leur discrétion(tout comme les inscriptionsaux cours du CPCC sontactuellement facultatives),probablement à l'occasiond'ateliers, on pourrait faireparvenir des trousses«maîtresses» aux responsablesprovinciaux afin qu'ils lesdistribuent aux utilisateurs.Cependant, il faudrait alorsprendre des dispositions pourque le CPCC surveillel'utilisation des trousses etobtienne des données à ce sujetafin de pouvoir évaluer leurefficacité et leur pertinence.

10. Parallèlement à ce qui précède,convertir une petite partie duPOP (ou du POP général) en uneFAO interactive qui servira deprototype en la matière. Uneassociation avec une autreprovince serait souhaitable,par exemple l'Ontario,puisqu'elle s'est diteintéressée par la FAO.

Une fois qu'un programme a étéconverti en FAO, le contenu del'écran d'ordinateur peut êtrefilmé sur bande vidéo. Ilfaudra peut-être concevoir desliaisons entre les diverssujets, mais la majeure partie

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g

de la bande vidéo ne devrait nécessiter aucun coût supplémentaire notable.

11. Soumettre le contenu du cours à un ou plusieurs essais pilotes spéciaux dans les provinces afin de le perfectionner avant la diffusion générale.

Le plan ci-dessus, préparé pour la 1' année, devrait servir à toutes les provinces, mais son utilisation est laissée à la discrétion de ces dernières. Pour faciliter les projets du CPCC (p. ex., l'élaboration de la FAO, l'emploi des vidéoconférences et des téléconférences), il deviendra crucial que celui-ci élabore et comprenne de façon plus approfondie les plans provinciaux.

5.4.2 Années 2 à 5

Au cours de la 2' année, on mettra pleinement en oeuvre la mallette de formation conçue durant la 1' année. De la 2' à la 5' année, un programme de transition à la FAO sera mis en application. La FAO comprendra une part de plus en plus grande des instructions, du vidéo explicatif, de l'exercice en atelier et des examens. Le rythme de la conversion sera fonction de la disponibilité de l'infrastructure technologique nécessaire à la présentation, et par conséquent, de la justification de l'investissement dans la FAO.

Les objectifs de l'élaboration de la FAO seraient les suivants :

a. réduire davantage le nombre d'heures de classe et les frais de déplacements afférents;

b. améliorer l'apprentissage;

c. améliorer le degré de «protection civile» des divers groupes qui en ont besoin et fournir des statistiques sur l'état de préparation qui

seront fondées sur les cours suivis et les attestations des stagiaires;

d. faciliter dans toute la mesure du possible la présentation d'instruction de PCIU à tous ceux qui désirent la recevoir.

On remanierait d'autres cours que le POP en vue d'une présentation de rechange. Parmi les Cours admissibles, il y a l'Élaboration d'exercices, le SSU et les Services de santé d'urgence, plus un certain nombre de cours généraux (le POP, l'Élaboration d'exercices, le SSU, les Services de santé d'urgence, le COU et l'IPSU).

On pourrait commencer à donner des vidéoconférences de bas de gamme durant la 2' année ( ou plus tôt si l'on dispose des ressources nécessaires). Comme bien des technologies en la matière comprennent des tableaux électroniques blancs, on pourrait évaluer ce type de matériel simultanément. Il ne s'agit pas seulement d'une question technique; le plus important, c'est que la technologie soit utile pour des types d'instruction bien précis. Au fur et à mesure qu'on en saura plus long sur l'utilité de la technologie, on pourra s'en servir davantage. Le fait que la technologie relative aux vidéos, à l'informatique et aux télécommunications progresse rapidement favorisera le processus, et bien qu'elle ne soit pas encore abordable ou tout à fait au point, ce sera chose faite d'ici quelques années.

Au cours de la 2' à la 5' année, le grand public aura accès aux progrès technologiques en matière de présentation et les prix continueront de baisser. Le matériel d'instruction présenté sous forme de mallette de formation (numérique) pourra facilement être comprimé et transmis par des mécanismes comme le

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câble, le satellite et les lignes téléphoniques à fibres optiques, au fur et à mesure qu'ils seront mis en oeuvre. D'ici la 5 année, les stagiaires auront beaucoup plus accès à des dispositifs interactifs multimédias comme les ordinateurs, les unités CD-1 et la télévision numérique, et de plus en plus de gens pourront bénéficier des investissements initiaux.

6.0 Établissement des coûts

Il sera question ci-dessous des coûts d'élaboration et de fonctionnement du CPCC. Les coûts de mise en oeuvre et de fonctionnement des provinces varieront suivant leurs ressources et la façon dont elles utiliseront les mallettes de formation du CPCC.

Le tableau 2 de l'Appendice A illustre les principales technologies de présentation de rechange, ainsi que les coûts probables de leur mise en oeuvre. Afin d'établir des coûts fermes, il faudrait étudier et concevoir chaque cours en détail.

Le tableau de ventilation de l'Appendice B illustre un modèle de coût pour la mise en oeuvre du plan d'élaboration décrit à la section 5.4.1. Les coûts sont fondés sur les coûts types donnés à l'Appendice A.

Les coûts de fonctionnement du CPCC sont basés sur le Programme quinquennal de ce dernier, dont les grandes lignes sont données à l'Appendice 1 de l'Annexe B du rapport du GPMA (ce tableau figure comme référence à l'Appendice B). Le nombre total de cours dispensés par le CPCC changera, tel qu'il est indiqué ci-dessous :

95/ 96/ 97/ 98/ 96 97 98 99

52 49 41 46

20 23 31 26

La diminution du nombre de cours donnés par le CPCC permettra à ce dernier de consacrer les sommes économisées à l'élaboration de méthodes de présentation de rechange, tel qu'il est expliqué à l'Appendice B. De même, les coûts de fonctionnement du CPCC pourraient diminuer (surtout grâce à la réduction des heures de classe des instructeurs) s'il utilisait lui-même les nouvelles technologies de présentation. Cependant, on suppose que ces heures de travail en moins, tout comme les heures de cours en moins, seront consacrées à l'élaboration des nouveaux cours. On estime que ces économies de temps combinées permettront au CPCC d'élaborer tout nouveau Cours nécessaire.

C'est en 1995-1996 que la bàisse du nombre de cours dispensés sera la plus marquée. On pense que cette diminution précoce laissera aux instructeurs du CPCC le loisir d'entreprendre la conception didactique des nouveaux cours et d'agir comme experts en la matière (EM) au cours de l'élaboration des vidéos ou de la FAO.

Les coûts d'élaboration d'une mallette de formation de rechange sont fondés sur le cours POP. On suppose que le même programme pourra être appliqué à d'autres cours du CPCC qui peuvent être réaménagés. Comme la durée de tous les cours est à peu près semblable et que la proportion d'exposés, d'ateliers et de vidéos ou de conférences est censée être la même, les coûts ne changeraient pas. En pratique, la complexité et la logistique des cours varieront et influeront sur le coût des présentations de rechange, mais on estime que les différentes variations s'équilibreront.

L'élaboration de cours sur papier signifie le réaménagement des exposés

Année 94/ 95

Nbre de 72 cours

Baisse 0

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et des vidéos d'un cours sous une forme autogérée. Ce type de présentation comprendrait un vidéo numérique, un vidéo explicatif remanié, des examens et d'autre matériel d'instruction. Dans le cadre de la présente analyse 14, on suppose qu'un concepteur de matériel pédagogique devra consacrer 6 mois à ce réaménagement (plus le soutien à la production vidéo dans les installations du CPCC, plus la production par un sous-traitant d'un vidéo numérique ou de la FAO).

Aux fins de la présente analyse I5 , on pense que les coûts de production d'un vidéo numérique seront d'environ 125 $ l'heure (en anglais et en français; on suppose que le matériel sera bilingue), d'après une plage de 100 $ à 150 $. Les coûts réels varieront suivant le contenu des cours et leur traitement. On estime que la FAO coûtera 33 p. 100 de plus qu'un vidéo numérique, mais cela dépend beaucoup du traitement employé.

La durée du vidéo numérique est fonction de celle des exposés. La durée réelle pourra varier suivant la proportion vidéo/progiciels écrits.

Raison d'être des coûts d'élaboration de présentations de rechange

Bien que les dépenses en capital soient considérables, les coûts par stagiaire des présentations de rechange sont beaucoup moins élevés. Examinons le cas du POP et du POP général. Comme on l'a dit dans la section 3.1, le coût d'un cours de 30 stagiaires au CPCC est d'environ 30 000 $ ou 1 000 $ par stagiaire. Les coûts des provinces sont en moyenne de 12 000 $ par cours ou 400 $ par stagiaire (133 $ dans le cas du POP général).

Comme il est démontré à l'Appendice B, les coûts d'élaboration des présentations de rechange seraient d'environ 400 000 $. En supposant un

amortissement sur 5 ans à raison de 10 000 stagiaires par an, ces coûts seraient d'à peu près 8 $ par stagiaire. Quant aux coûts de fonctionnement, ils s'élèveraient à environ 5 $ par stagiaire. Si les activités de groupe sont décentralisées (par exemple, dans le cas du POP), on peut raisonnablement supposer que le coût des sessions de groupe sera de 100 $ ou moins par stagiaire.

Selon cette analyse, le coût global de présentation des cours, par stagiaire, sera le suivant :

POP POP gén. Méthode actuelle : 400 $ - 1 000 $ 133 $

Présentation de rechange :

Si 10 000 stagiaires suivent le POP et le POP général chaque année, on devrait pouvoir réaliser des économies de 1 à 2 millions de dollars par an.

Il s'agit bien sûr d'une analyse grossière, mais elle illustre les possibilités d'économies. Les autres cours susceptibles de faire l'objet de modes de présentation de rechange devraient permettre la réalisation d'économies comparables.

115$ 15$

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1I1It11IirI.1I

1. Cliapitre 11 de la Loi sur la Défense nationale, 27 avril 1988

2. Réf. : Rapport du Groupe de planification de la mise en application de la stratégie fédérale-provinciale relative à

l'instruction et à l'éducation en matière de protection civile et d'intervention d'urgence (juillet 1993). [Traductionlibre]

3. PCIU - Protection civile et intervention d'urgence.

4. Une stratégie sur la présentation d'instruction en matière de protection civile dans les Provinces de l'Atlantique, 22juin 1994; directeurs des mesures d'urgence des Provinces de l'Atlantique. [Traduction libre]

5. Tout au long du présent rapport, l'expression «le nombre de personnes formées» signifie le total des stagiaires. Siune personne suit plus d'un cours, elle est comptée comme stagiaire chaque fois qu'elle en suit un.

6. Réf. : Rapport du Groupe de planification de la mise en application de la stratégie fédérale-provinciale relative àl'instruction et à l'éducation en matière de protection civile et d'intervention d'urgence (juillet 1993). [Traductionlibre]

7. Réf. : Rapport du Groupe de planification de la mise en application de la stratégie fédérale-provinciale relative àl'instruction et l'éducation en matière de protection civile et d'intervention d'urgence (juillet 1993). [Traductionlibre]

8. Voir l'Appendice G - Terminologie.

9. Réf. : Une stratégie sur la présentation d'instruction en matière de protection civile dans lesProvinces de L'Attantique, 22 juin 1994. [Traduction libre]

10. Le POP, l'Élaboration d'exercices, le SSU et le SSU.

11 . Réf. : Une stratégie sur la présentation d'instruction en matière de protection civile dans les Provinces del'Atlantique, 22 juin 1994. [Traduction libre]

12. Voir à l'Appendice C un modèle de calendrier de remaniement du cours POP en vue d'une présentation derechange.

13. Voir la description de vidéo numérique à l'Appendice G.

14. D'après les estimations du CPCC.

15. Les coûts ont été calculés d'après l'expérience de DVS, un producteur de vidéos numériques et de formationassistée par ordinateur.

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APPENDICE A

COMPARAISONS ENTRE LES PRÉSENTATIONS DE RECHANGE

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TABLEAU 1 - COMPARAISON ENTRE LES MÉTHODES DE PRÉSENTATION DES COURS

MÉTHODOLOGIE AVANTAGES DÉSAVANTAGES COÛTS* ÉCONOMIES PAR

EN CAPITAL DE FONCT. RAPPORT AUX CLASSES

Salle de Peu de préparation/mettre à Coût de présentation Élaboration Heures de Aucune classe/ jour la durée; peu (instructeurs, installations); du cours travail du atelier d'élaboration/mettre à jour moniteur/rythme adapté au Équipement moniteur/

le coût; possibilités d'ex. calendrier; date présentation de la salle pers. de de communication; prévue à l'avance; le de classe soutien discussions impromptues; stagiaire n'a pas de nouveau Frais de calendrier prévisible; bon accès au contenu; dépend de la déplace- taux de présence des qualité du moniteur; frais de ment/sub- apprenants déplacement; heures de travail sistance

en moins Fournitures

Cours sur Distribution facile et Frais d'élaboration; mettre à Élaboration Reproduction Salaire du papier économique; rythme jour les coûts; pas du cours distribution moniteur

individuel; disponible sur d'interactions; exige une Frais de demande; de nouveau grande motivation de déplace- accessible; peut être l'apprenant; difficultés ment/sub- décentralisé; possibilités d'organisation de sessions sistance de moins d'heures de travail d'exercices perdues

Bande vidéo Présentation économique; Coûts d'élaboration; mettre Élaboration Reproduction Salaire du (numérique, rythme individuel; les coûts à jour; pas distribution moniteur didactique) disponible sur demande; de d'interactions; difficultés Frais de

nouveau accessible; devient d'organisation de sessions déplace- une base de connaissances/ d'exercices ment/sub- d'informations; exige une sistance motivation moyenne de Temps l'apprenant; technologie de consacré présentation existante; bon aux apprentissage; possibilités stagiaires de moins d'heures de travail perdues

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= M = = = = = M = i M = = = = M = = =

MÉTHODOLOGIE AVANTAGES DÉSAVANTAGES COÛTS* ÉCONOMIES

PAR

EN CAPITAL DE FONCT. RAPPORTAUX CLASSES

Bande sonore Présentation économique; Coûts d'élaboration; pas Élaboration Reproduction Aucunerythme individuel; d'interactions; distributiondisponible sur demande; de l'apprentissage laisse ànouveau accessible; désirer; exige une grandetechnologie de présentation motivation de l'apprenant;facilement disponible impossibilité d'organiser des

sessions d'exercices

Assistée par Présentation économique (si Frais d'élaboration; mettre Élaboration Reproduction Salaire duordinateur la technologie existe déjà); les dépenses à jour; coût; distribution moniteur

devient une base de disponibilité limitée de la Frais deconnaissances/d'informa- technologie de présentation; déplace-tions; difficultés d'organisation de ment/sub-rythme individuel; durée sessions d'exercices sistanced'instruction réduite; moins Tempsd'heures de travail perdues; consacréde nouveau accessible; auxdisponible sur demande; stagiairesinteractions; bon tauxd'utilisation parl'apprenant; bonapprentissage mesurable

Vidéoconfé- Permet de communiquer Le coût horaire absolu peut Équipement Salaire du Frais derence directement avec des être élevé (p. ex., pour la moniteur déplace-téléconfé- auditeurs à distance; moins diffusion par satellite); temps ment/sub-rence de frais de déplacement; communication généralement consacré aux sistance

possibilités de joindre un limitée, même avec des stagiairesvaste auditoire; utilisation installations coûteuses; la constructionlimitée des méthodes plupart des désavantages de /locationd'instruction en classe l'instruction en classe des instal-

s'appliquent toujours lationstélécommuni-cations

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MIR MM MI MI MM MI MI MI MM MI Mi MM MM MI • • MI MI

MÉTHODOLOGIE AVANTAGES DÉSAVANTAGES COÛTS* ÉCONOMIES PAR

EN CAPITAL DEFONCT. RAPPORT AUX CLASSES

Salle de Utilisation maximale du Exige des technologies de Équipement Salaire du Frais de classe à modèle didactique employé en pointe dans certains domaines; moniteur déplace- distance classe (s'il est approprié) les dépenses en capital et les temps ment/sub-

par les apprenants à frais de fonctionnement consacré aux sistance distance; moins de frais de absolus sont élevés; la stagiaires déplacement plupart des désavantages de construction

l'instruction en classe /location s'appliquent toujours des instal-

lations télécommuni- cations

* Voir à la page suivante l'évaluation de ces coûts lorsqu'ils s'appliquent au CPCC.

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MO MM 11111 MI MW MI MI MM Ili MM IIIIII MM 1•11 MM MM • IIIM MI URI

TABLEAU 2 - COMPARAISON ENTRE LES MÉTHODES DE PRÉSENTATION DES COURS

Note du tableau 1 - coûts qui s'appliquent au CPCC

1. On estime que l'élimination des cours permettra au CPCC d'économiser 30 000 $. Il s'agit d'une économie au comptant approximative. On n'a pas tenu compte des possibilités de baisse des frais généraux du Collège.

MÉTHODOLOGIE COÛTS TYPES* ÉCONOMIES

EN CAPITAL DE FONCTIONNEMENT

Salle de Pratiquement aucun; installations Instructeur, pers. de soutien; Aucune classe/ existantes. environ 6 mois/personne par session atelier de cours (compte tenu de 36

employés à temps plein et de 72 cours par an); temps consacré aux stagiaires - 1 sem./personne par cours; coût global - environ 30 000 $ par cours

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= = M r ^ ^ = = ^ = M w M = M = w = =

MÉTHODOLOGIE COÛTS TYPES* ÉCONOMIES

EN CAPITAL DE FONCTIONNEMENT

Cours sur Coût d'élaboration - environ 6 Maintien du cours, environ 15 % des on recommande unepapier mois/instructeur par cours, plus 1 coûts de création combinaison de cours sur

mois/personne de montage vidéo, papier, de bande vidéoplus les frais de traduction; Reproduction, distribution numérique et de bandeéquipement d'atelier initial (pas surtout coûts du papier et de la sonore. Les économiesde matériel) pour les provinces; duplication des bandes combinées du CPCC seraientenviron 50 000 $ par cours vidéos/sonores; environ 50 $' par de 30 000 $ par cours.

stagiaire. Si les provinces font ladistribution (méthode recommandée),ces coûts seraient essentiellementinexistants.

Les provinces devront enassumer une partie

Bande vidéo Coûts d'élaboration - environ Maintien du cours; environ 15 % des lorsqu'elles organiseront(numérique, 125 $/h de vidéo numérique coûts de création. des ateliers. Ces coûtsdidactique) bilingue. 1,5 heure en moyenne seront fonction de leurs

pour le POP, conjointement avec un Reproduction, distribution plans, mais il faudrait lescours sur papier et un vidéo surtout la duplication des bandes réduire au minimum enexplicatif. Les examens vidéo; voir ci-dessus tenant les ateliers le pluspréliminaires indiquent que les près possible du lieu decoûts des autres cours seraient résidence des stagiairessemblables. (voir la section 4.4); ces

coûts devraient êtrecompensés par le fait queles stagiaires perdrontmoins d'heures de travail.

Bande sonore Coûts d'élaboration - environ Reproduction, distribution5 000 $ par cours, surtout pour surtout duplication des bandes;des extraits de commentés de voir ci-dessusvidéos numériques.

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111111111 Mn MS 111111 11111 OBI OUI 11111111- MM UNI Mir M1111 MI MI MI III UNI

COÛTS TYPES* ÉCONOMIES MÉTHODOLOGIE

DE FONCTIONNEMENT EN CAPITAL

Environ 40 000 $/h, plus les coûts du vidéo numérique, en supposant que la FAO est planifiée depuis le début. Prévoir 10 000 $ pour la création d'un disque matrice CD-ROM ou CD-1 (un ou l'autre). Les principaux coûts de la FAO sont liés à la technologie de présentation. On suppose que celle-ci serait justifiée par les multiples possibilités d'application et que la FAO n'en serait qu'une parmi tant d'autres. Il faut parfois ajouter une bande sonore et un CD-ROM (env. 300 $ par support), mais ils font de plus en plus souvent partie des caractéristiques standard des ordinateurs.

Reproduction, distribution probablement pour le CD-ROM ou le CD-1. Habituellement, la création d'un disque matrice de CD-ROM coûte 2 000 $, plus 2 à 3 $ par copie selon les quantités. Les coûts de distribution seraient semblables aux coûts des cours sur papier ci-dessus.

30 000 $ par cours pour le CPCC. Les provinces devront assumer une partie de ces coûts lorsqu'elles organiseront des ateliers. Les installations interactives de la FAO peuvent permettre le remplacement d'un certain nombre d'ateliers et réduire ainsi davantage les coûts des provinces à cet égard.

Assistée par ordinateur

Surtout des frais d'interurbain. La technologie nécessiterait du matériel de fonctionnement mains libres là où on désire entendre un ou plusieurs experts à distance (p. ex.). Le coût du matériel de qualité est d'env. 1 000 $ à 2 000 $ par installation, bien que du matériel plus simple et moins dispendieux puisse parfois convenir.

Téléconfé-rence

Les téléconférences serviront probablement surtout à donner de l'aide qui, autrement ne serait pas disponible, et par conséquent, à améliorer la qualité du cours. Elles pourraient permettre une économie de temps et de frais de déplacement, mais ce ne serait pas un facteur décisif. On ne prévoit aucune économie d'argent.

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MM en 1111 11111 MD 11111 MM MI 111111 111111 M11 1111111 1111111 11111 1111111 11111

MÉTHODOLOGIE COÛTS TYPES* ÉCONOMIES

EN CAPITAL DE FONCTIONNEMENT

Vidéoconfé- Le matériel et les Surtout des frais de À court terme, on réduirait rence télécommunications sont télécommunications. Les services probablement les frais de

diversifiés et évoluent requis pour des vidéoconférences déplacement et éliminerait rapidement. Pour bien évaluer des (p. ex. un RNIS) sont de plus en le salaire d'un cas précis, il faudrait les plus accessibles et abordables. Le instructeur. À mesure que étudier en profondeur. Voici coût type d'une ligne de bonne la technologie et les cependant certaines données qualité est d'env. 2 à 5 $/min. installations individuelles générales. s'amélioreront, certains Le coût des installations varie Il faut retenir les services d'un stagiaires ne devront plus entre env. 25 000 $ (qualité technicien. se déplacer pour participer raisonnable, 2 postes) et aux ateliers et d'autres 100 000 $ ou plus pour une salle réduiront leurs de conférence adaptable. Les déplacements. variables : nombre de caméras, installations de projection et qualité du vidéo. Il faut aussi considérer les coûts de conception et d'installation. Il faudra engager un spécialiste pour la conception initiale; prévoir entre 20 000 $ et 50 000 $. Les coûts d'installation varient entre quelques milliers de dollars et 10 000 $ ou plus, suivant la technologie choisie.

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^ ^ ^ ^ ^ M"Mm- wm^=^MMMWMM

MÉTHODOLOGIE

EN CAPITAL

Salle declasse àdistance

COÛTS TYPES*

DE FONCTIONNEMENT

Surtout des coûts detélécommunications semblables àceux des vidéoconférences.

Surtout des coûts detélécommunications semblables àceux des vidéoconférences.

Surtout pour la location derépéteurs de satellite (et uncentre de commutation avec desliaisons terrestres puisque celaserait sans doute plus rentablequ'une liaison montantespécialisée). Les coûts types sontde 12 000 $/mois seulement pour lerépéteur. Il faut ajouter le coûtde lignes terrestres de téléphoneet de transmission des données,

Comme pour les vidéoconférences,la conception d'une salle declasse à distance doit se faire aucas par cas. La combinaison d'unetéléconférence et d'un tableauélectronique blanc peut suffire.Les coûts seraient semblables àceux d'une vidéoconférence de basde gamme.Bien des technologies devidéoconférences comprennent aussides extras comme des bureauxinformatisés partagés, sanssupplément. Il est probable queces caractéristiques serontperfectionnées conjointement. À ceniveau, de nombreusesparticularités de la salle declasse à distance peuvent êtreréalisées sans différence de prixmajeure.Pour une salle de classe à

distance complète au moyen de latechnologie de pointe, il fautprévoir des installations detélévision (unilatérales), ainsique des communications phoniqueset numériques bilatérales à chaqueemplacement. Cela suppose aussides transmissions (centrales) etune réception (à distance) parsatellite. Il existe différentes

ÉCONOMIES

Surtout les frais dedéplacement del'instructeur et desstagiaires. Comme il fautdes facilitateurs à chaqueemplacement, cela réduiraitde beaucoup les économiesréalisées au chapitre del'instructeur.

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MI CIO ION Ille un Ille OUI MI MW IBO MM In III UNI

MÉTHODOLOGIE COÛTS TYPES* ÉCONOMIES

EN CAPITAL DE FONCTIONNEMENT

possibilités de configuration, ainsi que le salaire du personnel mais il faut prévoir des centaines technique à chaque emplacement. de milliers de dollars pour une lision montante de satellite et d'autre matériel. Le coût des liaisons descendantes et du matériel représenterait normalement entre 100 000 $ et 125 000 $ par emplacement.

Les coûts sont des coûts types. Pour obtenir des coûts fermes, il faudrait concevoir et étudier en détail chaque cours ou mise en oeuvre de la technologie.

1. P. ex., 100 feuilles, 3 bandes vidéo, conditionnement, expédition, portion du salaire d'une personne (p. ex. 1/10 000 pour 10 000 envois) et frais généraux.

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COLLÈGE DE LA PROTECTION CIVILE DU CANADA ÉTUDE SUR LES MÉTHODES DE PRÉSENTATION DE RECHANGE

APPENDICE B

MÉTHODES DE PRÉSENTATION DE RECHANGE

MODÈLE DE BUDGET

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IIIIIII MOI MS MO MI MO Un 1111111 Mt OMO On MN MM 11111111 OIS 111111111

APPENDICE B Collège de la Protection civile du Canada

Méthodes de présentation de rechange - modèle de budget (Les coûts sont indiqués en milliers de dollars)

9/16/1994

1994/1995 1995/1996 1996/1997 1997/1998 1998/1999

Stratégie de présentation En De En De En De En De En De capital fonct. capital fonct. capital fonct. capital fonct. capital fonct.

Fonds pouvant être réaffectés

Cours POP

Matière sur papier 50

Vidéo numérique 125

FAO 50 125

Maintien 52,5 52,5 52,5

Adaptation du POP général 50

Cours d'Élaboration 125 175 45 45 d'exercices

Services sociaux d'urgence 200 100

Services de santé d'urgence 200

Cours généraux 150 100 22.5 100 37.5

COOT AU COMPTANT NET 225 300 377.5 420 535

Hypothèses : 1. On suppose que les cours comprennent un vidéo numérique de 1,5 h ou de la FAO et des textes écrits. 2. On suppose que les cours généraux comprennent un vidéo de 0,5 h ou de la FAO et des textes écrits. 3. Les coûts de maintien tiennent compte du changement de 15 % de la matière chaque année. 4. Après le remaniement du POP, on suppose que tous les cours seront convertis en FAO et comprendront des vidéos. 5. Le budget du CPCC reste inchangé.

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I APPENDICE 1ANNEXE BCCFPT12-14 AVRIL 1994

PROGRAMME QUINQUENNAL POUR LE CPCC

II11IIII1I1I1II

Cours 1994/1995 1995/1996 1996/1997 1997/1998 1998/1999 Franç.

POP 9/f3 7 6 4 2 1

CMRÉ 5/f2 3 2 1 0

*SSU 8/f2 8 6 4 2 1

*SSU 8/f2 8 6 4 2 1

Élab.ex.

5/f2 5 5 5 4 1

GLC 4/fl 4 5 6 7 1

COU 4/f2 4 4 5 5 1

IPSU 4/fl 4 4 3 3 1

Form.instr.

1 1 1 1 1 1

Sim.vict.

1 0 1 0 1 0

*Soinsspéc.

2 2 2 2 2 0

*Triage 1 1 1 1 1 0

*Hosp. 1 2 2 2 3 0

Tél.d'urg.

3/fl 3 3 2 2 1

*IetRGestionCAU

0 0 1 1 2 0

Les chiffres doivent être confirmés paret des services sociaux en juin 1994

Directiona des services de santé

Préparé par le CCFPTLe 13 avril 1994

1

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COLLÈGE DE LA PROTECTION CIVILE DU CANADA ÉTUDE SUR LES MÉTHODES DE PRÉSENTATION DE RECHANGE

APPENDICE C

MODÈLE DE CALENDRIER DE PROJET

Préparé pour le Collège de la Protection civile du Canada : Protection civile Canada Par : DVS Communications Inc. et Formation et perfectionnement Canada Le 3 octobre 1994

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I

B

Appendix C - CEPC Alternative Delivery

1995 2 1997 1996 1999 1998

1 1 i I 1 1 i 1 I 1 i 1 1 1 i 1 ID Name Q4 Q1 Q2 Q3 Q4 Q1 Q2 Q3 Q4 Q1 Q2 Q3 Q4 Q1 Q2 Q3 Q4 Q1 Q2 Q3 Q4 01 02 POP Development

Analysis, Design

Paper-based Development Video Development

1 . 1

10

11

12

13

14

15

Module Testing

CBT Prototype Development Pilot Testing

Remote Classroom Tests Full CBT Development

O'POP Adaptation

Ex Des Development

ESS Development

O'Crses - ESS, EHS

EHS Development

0 Crses - Ex Des, EOC, EPI

Project: CEPC Alternative Delivery Date: 9/27/94

Critical progress Inimi■IIIIIIIIIIIM summery 1.111.111.111.1.11.111.

Noncritical Milestone • Rolled Up 0

OM 0111 111110 MU UM Me SU Me MO 0111 al Me 11110 MI

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Appendice C - Présentations de rechange du CPCC9/15/94

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

il

12

13

14

15

Nom

Élaboration du POP

Analyse, conception

Élaboration de courssur papier

Élaboration de vidéos

Essai des modules

Élaboration d'unprototype de FAO

Essai-pilote

Essais de la salle declasse à distance

Élaboration d'une FAOcomplète

Adaptation du POPgénéral

Élaboration de laConception d'exercices

Cours généraux -Conception d'exercices,COU, IPSU

Élaboration du SUS

Élaboration du SUS

Cours généraux - SUB,sus

Ti

1995

Ti T2 I T3 I T4

Projet : Présentations de rechange duCPCCDate : 9/15/94

1996

T1 I T2 T3 T4

1997

Ti T2_ T3 T4

1998

Ti T2 _ T3 _ T4

1999

Ti T2_T3_T4

Essentiel Progrès RésuméNon essentiel Jalon Sommaire

2000

Ti T2 I T3

W mr m M rr IM"M •"4Mm mr m afttir roftm so

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COLLÈGE DE LA PROTECTION CIVILE CANADA ÉTUDE DES MÉTHODES DE PRÉSENTATION DE RECHANGE

APPENDICE D

ANALYSE DU CONTENU DES COURS

Préparé pour le Collège de la Protection civile du Canada : Protection civile Canada Par : DVS Communications Inc. et Formation et perfectionnement Canada Le 3 octobre 1994

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COLLÈGE DE LA PROTECTION CIVILE CANADA ÉTUDE DES MÉTHODES DE PRÉSENTATION DE RECHANGE

Appendice D - Analyse du contenu des cours

Les tableaux de cet appendice fournissent des précisions sur le contenu et les particularités des principaux cours du CPCC. Il s'agit essentiellement d'un examen des diverses composantes des cours en vue de déterminer les méthodes de présentation pouvant s'y appliquer. Ces tableaux illustrent également le degré de modularité des divers cours. La modularité, de par sa souplesse, permet de mettre en oeuvre progressivement des programmes de présentation de rechange.

Les composantes des cours qui se prêtent le mieux aux méthodes de rechange autodidactiques (par ex., papier, vidéo, FAO) sont celles qui ne comportent pas d'activités de groupe et qui visent davantage le transfert de connaissances, c.- à-d. composantes Exposé/Rétroprojection. Les cours qui comportent des activités de groupe — jeux de rôles, exercices, simulations, démonstrations et discussions — sont plus difficiles à présenter par d'autres méthodes que la formation conventionnelle en salle de classe. Diverses techniques peuvent s'appliquer aux activités de groupe.

Toutefois, certaines activités de groupe pourraient être présentées, au moins en partie, sous forme d'autoformation (particulièrement au moyen des techniques FAO) ou autrement qu'en salle de classe. Par exemple, les exercices sur papier, s'ils sont bien structurés, pourraient se faire en partie de façon autonome et en partie par des discussions en groupe. Les simulations peuvent être reconstituées jusqu'à un certain point à l'aide des techniques de simulation FAO. Quant aux discussions en groupe, elle peuvent se faire par téléconférence ou vidéoconférence. À tout le moins, de nombreuses réunions pour la conduite d'activités de groupe peuvent être décentralisées. Les sessions qui se prêtent le

moins aux méthodes de présentation de rechange sont celles qui prévoient un haut degré d'application physique (y compris les techniques de communication interpersonnelle et de gestion des groupes) ou encore celles qui exigent du matériel ou de l'équipement complexe et coûteux (voir l'appendice E qui montre pour chaque cours le matériel requis).

Le tableau 1 résume ces facteurs pour douze cours du CPCC. Selon les tableaux, y compris le matériel requis, les cours se prêtant le mieux aux méthodes de présentation de rechange sont les suivants : POP, Élaboration d'exercices, Télécommunications d'urgence et Conférence des maires et représentants élus. Parmi ces cours, les cours POP et Élaboration d'exercices seraient considérés prioritaires, puisque qu'ils constituent, selon le rapport du Groupe de la mise en application, les priorités en ce qui concerne le transfert de la prestation aux provinces.

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'ow ^ ww"Wowl" mm 4 01060 go ow 400M go ar iw +iw

PROTECTION CIVILE CANADA - Cours offerts

Cours Niveau Documents Études Jeu de Démons- Simu-TITRE DU COURS préala-bles du cours Mobile Exercices de cours de cas rôles trations Vidéos la-

tionsExposés Ordinateur

Plans et opérations en temps de paix (POP) Aucun Débutant OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI DémonstrationConception d'exercices POP Avancé OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUIOpérations d'urgence POP Avancé OUI OUI OUI OUI OUI OutilTélécommunications d'urgence POP* Spéciali-sé OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUIGestion du lieu d'une catastrophe POP,EU* Avancé OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI OutilInformation publique en situation d'urgence POP* Spéciali-sé OUI OU[ OUI OUI OUI OUIConférence des maires et des représentantsmunicipaux élus

Aucun Initia-tion OUI OUI OU[ OUI OUI OUI OUI Démonstration

Formation de l'instructeur Aucun S. O. OUI OUI OUI OUIAtelier sur les problèmes d'instruction Aucun Initia-tion OUI OUI OUI OUIAtelier sur les urgences touchant les commissionsscolaires Aucun Initia-tion OUI OUI OUI OUI OUI OUI

Atelier de PCC Aucun S. O. OUI OUI OUI OUI OUI

* Signifie q ue le cours est souhaitable, mais non obli gatoire

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MS ai 11. eV aie 1.110 11111. Illie 1111110 1111111 111111 Oie MO PROTECTION CIVILE CANADA - Contenu du cours Plans et opérations en temps de paix (POP)

Exposé/ Jeux transpa-rent Vidéo de rôle

Discussion Discus-sion

de groupe centrale Document de cours Activité Exercice Démonstration Simulation

Accueil, admin et inscription X

Objet et portée X 102

La protection civile au Canada 110 X X

Planification, instruction et politique de la protection civile 115 X X

Types, catégories et caractéristiques communes des catastrophes X 120

Principes de la planification opérationnelle 125 X

Analyse des risques 130 X

Estimation de la situation 140 X

Exercice CROWNFIRE 190 Sur papier X

Exercice CROWNFIRE 190 Sur papier X

Planification dans les municipalités 145 X

Transport des marchandises dangereuses X X X

Exercice FIREBALL 191, 192 Sur papier X

Exercice FIREBALL X Sur papier X

Centre des opérations d'urgence 150 X X

Plan de communications pour l'intervention délibérée 161 X

Exercice COLLEGE VILLE 193 Sur papier X

Exercice COLLEGEVILLE Sur papier X

Quinze étapes de planification X X

Exposé sur le stress causé par une catastrophe 175, 180 X

Exercice ATLANTIS Sur papier 194 X

Exercice ATLANTIS Sur papier X

Exercice ATLANTIS 194A, 194B Sur papier X

Exercice ATLANTIS Sur papier X

Exercice ATLANTIS 194C Sur papier X

Exercice ATLANTIS 194D Sur papier X X

Examen final

Planification d'urgence régionale X

Visite du Centre des opérations d'urgence (COU) X

Fin du cours (revue des examens, présentation des certificats) X

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Document Exposé/ Jeux de cours transpa-rent Vidéo de rôle

111111 MIS MI OM 11111 MIR lie OM OM MO MO Ile 1111111 ale ION Mlle PROTECTION CIVILE CANADA - Contenu du cours Conception d'exercices

Discussion Discus-sion de groupe centrale Activité Exercice Simulation Démonstration

Accueil, admin et inscription X

Objet et portée X 701

Éducation, instruction et exercices 705 X X

Types d'exercices 710 X X Le processus de la conception d'exercices 715 X

Conditions et problèmes locaux X 720 X

Exercices sur table (démonstration) 745 X

Exercice MALVOISIN DERAILMENT 770 X Plan d'urgence de la ville d'Alexandria * Lecture obligatoire 735

Supervision des exercices 725 X X Communications pendant les exercices 730 X Structure des exercices 740 X Structure des exercices 740 X Structure des exercices 740

Devoir en groupe 775 Sur papier X Plan d'urgence de la ville de Collegeville* X

ai Discussion centrale 775 X Sur papier Exercice CLEAN UP - Introduction 780 Sur papier Exercice CLEAN UP

Exercice CLEAN UP

Exercice CLEAN UP 780A Exercice CLEAN UP

Exercice CLEAN UP 780B Exercice CLEAN UP X Devoir en groupe (exercice de réflexion) 785

atiK cudi Exercice de réflexion

Exercice SKYLINER - Introduction 790 Exercice SKYLINER

Exercice SKYLINER

Exercice SKYLINER/Opération Siamese X

Aspects pratiques (province) X X Examen final, fin du cours X

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PI+^CTICIV^CAII A - Contenu âu c"ours edengestiof Mdu lieu de catastropheau

Activité::;:;°^:::;::;::>;;;;;;;,;;;;;;;;:.;;:.;;;;;;;:.;;;;;;;;;;;:;;:;:<:;:.;>;;:;;;:.;;;;;:.;;:;:.;:;.;;:: ;;;;;;;;;:;:;::.:;;;:.::;•:::::::

^titr>:>€::`:>' >::>:<:>::................................... . . ............Accueil, admin et inscription (PCC/SBSC)

Obiet et portée

Au cours d'une catastrophe, une question de perception

Introduction aux types de leadership et à leurs utilisations dans la gestiondes catastrophes

Inventaire des types de leadershipAnalyse personnelle du leadership

Exercice SURVIVAL prise de décisions en groupeExercice SURVIVAL un exercice de prise de décisionsRevue du plan de Colleeeville/Guides d'interventionLecture à faire par les stagiaires 1

^^C[^^::i::?::^_^'':::::'i::::;::;::::i:;É:::ü`:`i::'">i:i::::::`::`::::::::`<::;'::É::•.`'•:i:i:i::i::;::;i:;i:::i:;:;>:;ü:i;;:;::::ü;^;:4i:::::i;:i:iti;;;i?:i^i:i::i::^:::;::::::;i:

Principes de gestion du lieu d'une catastrophe

Gestion du lieu d'une catastrophe - concept d'opérationsAménagement du lieu de la catastropheDevenir sensibilisé au stress

Gérer le stress en cas de catastrophe

Faire affaire avec les médias en cas de catastropheEsposé sur le stress causé par une catastropheDiriger des réunions du personnelPlan d'évacuation de ColleQeville

Ateliers sur les guides d'interventionLecture à faire par les stagiaires 2

ere I^•>:::<>:::: ::<:.:<:::>::::::::>::>::::::':<:'::<:::>::>::::?::»:':»::'::::»:::<:>::>::» ::;:'>:>;:>::Exercice QUICK THOUGHT stade IExercice QUICK THOUGHT stade IlExercice QUICK THOUGHT stade IIIExercice ROYAL DISASTER et exposéEst-ce que quelqu'un peut m'aider!

Préparation en groupe de l'exercice FALLEN BIRDDéroulement de l'exercice FALLEN BIRDLes évaluateurs font le compte rendu de l'exercice FALLEN BIRDCompte rendu de l'exercice FALLEN BIRD pendant le cours

Préparation en groupe de l'exercice UPWIND

Déroulement de l'exercice UPWIND

Les évaluateurs font un compte rendu de l'exercice UPWIND

Compte rendu de l'exercice UPWIND pendant le cours

Préparation en groupe de l'exercice CALAMITYDéroulement de l'exercice CALAMITY

Les évaluateurs font le compte rendu de l'exercice CALAMITYCompte rendu de l'exercice CALAMITY pendant le cours: : : : : : . . . : . . ., .. . . . . . . . . . . . . : : . . . . ..;: : . : . : . : : . : : :

':«'':::;'::`:::i>s:»:'::::::::::É:>::>::'::::::;::::::<:::>:::::::>:::<':<::<::;<:::::::::::»i::z::::::<:::

Qu'est-ce que la gestion du lieu d'une catastrophe?Fin du cours

Document 1 Exposé/ 1J Jeux Discussion Discus-sionde cours

1102

11051110

1115

1125

1135

1140

1175

XX

1150

1185

1190

transpa-rent

XX

Vidéo

X

de rôle Exercice

X

...................P...................

Simulation Démonstration:;:'': :::': : <::::::::>:

de groupe centrale

X

.................... . . . . . . . . . . . . . . . . . ::>;:::: ^

i

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Jeux de rôle Démonstratiori Simulation Exercice

Discussion Discus-sion de groupe centrale

Document Exposé/ de cours transpa-rent Vidéo Activité

X 1553 X X X

X X X X

X

X X

Lectures à faire — Étude indépendante*

X X X

X X X

X X Préparation X Reportages X Préparation des exercices d'urgence à venir • X

X X

X X X

X X 1180 X

X X Gouipte . reudu. peudànt le cours

th X X

X 1185 X

X X X X

X 1190 X

X X X X

X Ou'est-ce que la gestion du lieu d'une catastrophe?

Compte rendu pendant le cours

X X

X X

ams sue aie le le in; as Me ale ami a. Val ZN an MO PROTECTION CIVILE CANADA - Contenu du cours sur l'information publique en situation d'urgence

Accueil. admin et inscription (PCC/SBSC) Administration et introduction Les_médias Équipes pour les exercices du cours Entrevues Préparation approfondie Préparatifs Entrevues Planification de l'intervention — Information publique dans une situation d'urgence Revue de la journée — O et R Revue du plan de Collegeville

Le rôle des porte-paroles désienés Les porte-paroles et les médias Point de presse Information de presse et écoute des entrevues Entrevues au téléphone Conférence de presse Le Centre des opérations d'ureence

Déroulement des exposés Maîtriser les informations et la source Exercice OUICK THOUGHT stade III Exercice ROYAL DISASTER et exposé Est-ce que quelqu'un peut m'aider? Préparation en groupe de l'exercice FALLEN BIRD Déroulement de l'exercice FALLEN BIRD Les évaluateurs font le compte rendu de l'exercice FALLEN BIRD

Préparation en groupe de l'exercice UPWIND Déroulement de l'exercice UPWIND Les évaluateurs font le compte rendu de l'exercice UPWIND Compte rendu pendant le cours Préparation en groupe de l'exercice CALAMITY Déroulement de l'exercice CALAMITY Les évaluateurs font le compte rendu de l'exercice CALAMITY

Sous les veux du public Projection et analyse «1 minute» des participants Projection des faits saillants du cours Fin du cours

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Document I Exposé/ Jeux

de cours I transpa-rent Vidéo de rôle

se ami Wla me us se ai as us die, as en Si ter isme PROTECTION CIVILE CANADA - Contenu du cours sur les télécommunications d'urgence

Activité Exercice Simulation Démonstration

Discussion Discus-sion

de groupe centrale

Jour 1— Lund Accueil, admin et inscription (PCC/SBSC)

Objet et portée

Revue du questionnaire (documentation d'avant-cours)

Besoins en communication dans un système de gestion des urgences

Éléments de base des communications (concepts) Éléments de base des communications (mesures du rendement)

X

X X

1501 X X

1501-2 X

1502-2 X

Installation de communications, aménagement du COU et visite du COU de Collegeville

Éléments de base des communications (maintenance et réparations)

Jour 2 -' Marii

Élaborer un diagramme de réseau (tutoriel)

Évaluer les communications existantes

Règlements Industrie Canada

Déterminer les utilisateurs et préciser les besoins de communication

Inventaire des communications existantes

Contrôle de la charge des lignes

Exercice COLLEGEVILLE — Communications

Exercice COLLEGEVILLE — Travaux de groupe sur les communications

Jour 3 — Mercredi

1502-6 X

1502-5 X

1506 X

1506 X

X X

1503 X

1507 X

X

1508 X

1508 X X

X X Exposés en groupe

Comment choisir des solutions de rechange 1507 X

Exercice MERCURY — Introduction Sur papier

Exercice MERCURY — Rédiger un plan de communication pour Collegeville

Exposés en groupe

Mise en oeuvre et gestion de projet

1510EX X X

X X

X

X Gérer les communications du COU — Storm Warming I

Problèmes de personnel et solutions

Rôle des radioamateurs pendant une catastrophe

Exercice SMOOTH FLOW

1513 X

X

X

X X

1513EX X Exercice SMOOTH FLOW — Exposé

Exercice SMOOTH FLOW — Discussion en groupe X

Les télécommunications au Canada

Planification des télécommunications d'urgence

X

X X

X Fin du cours

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Exposé/ Jeux

transpa-rent Vidéo de rôle

ene »am lat ams lap MD III, UM MR «Mr ale MP PROTECTION CIVILE CANADA - Contenu du cours sur les opéralions d'urgence

Activité Exercice

Document

de cours Simulation Démonstration

Discussion Discus-sion

de groupe centrale

Accueil, admin et instruction (PCC/SBSC) X

Objet et portée X 901

Les caractéristiques du COU STORM WARNING I

Groupe témoin du COU STORM WARNING II

Traitement de l'information des messages

Planification des télécommunications STORM WARNING III

Exercice COSMOS — Exposé du MDN

Plan d'urgence et guides d'intervention de Collegeville*

alVIded

Relations avec les médias

910 X X

915 X X

920 X

925 X X

990 X

985

930 X

X X Visite du COU

Planification opérationnelle

Exercice COSMOS session de réflexion — Scénario II

Contrôle/Simulation exposé

940 X

990 X X

X

X X Exposé du COU — Conseil sur les plans d'urgence X Exercice COSMOS

Rédaction du rapport du COU

Présentation du rapport du COU

Contrôle/Simulation exposé

X

X X

X

995 X X Exercice SLOWBURN X Exercice SLOWBURN

X Exercice SLOWBURN

Rédaction du rapport du COU

Présentation du rapport du COU

Les opérations d'urgence dans la réalité

Systèmes d'information pour la gestion des urgences

X

X X

X

X

X Fin du cours

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rI COLLÈGE DE LA PROTECTION CIVILE DU CANADA

ÉTUDE SUR LES MÉTHODES DE PRÉSENTATION DE RECHANGE

APPENDICE E

1^I^iI

.1t

1r

MATÉRIEL DE COURS NÉCESSAIRE

Préparé pour le Collège de la Protection civile du Canada : Protection civile CanadaPar : DVS Communications Inc. et Formation et perfectionnement Canada Le 3 octobre 1994

0

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Document Exposé/ Jeux

de cours transpa-rent Vidéo de rôle

di

Oir flige flum (Ins am tait supe, glio PROTECTION CIVILE CANADA - Conférence des maires et des représentants élus

aref ai air le 111. '-

Exercice Simulation Démonstration

Discussion Discus-sion

de groupe centrale Activité

Accueil, admin et inscription (PCC/SBSC) X X

501 X Objet et portée du cours

510 X X La protection civile au Canada X Les phases et les caractéristiques des catastrophes et les priorités en

matière de planification 530 X Analyse des risques 550 X X Direction, contrôle et le COU X X Gestion des crises

590 X X Exercice CROWNFIRE X Exercice CROWNFIRE - Compte rendu

570 X Les réactions humaines en cas de catastrophe - Partie I

X Les réactions humaines en cas de catastrophe - Partie II

X X Transport des marchandises dangereuses

X Flood Essex County

594 X X X Exercice ATLANTIS

X Exercice ATLANTIS le patron, c'est moi

:meieïaemeeme X La menace d'un conflit

X X Stress causé par une catastrophe X Vents terrifiants

591 X X X Exercice FIREBALL

X Exercice FIREBALL

Faire affaire avec les médias

Mettre votre plan en pratique

560 X

X X

X Fin du cours

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COURS

SOUTIEN MAIRES POP ÉLAB EX COU GLC IPSU TÉLÉCOM COMM SCOL

Vidéos 13 10 5 11 11 10 7 7

Transp. X X X X X X X X

35 mm X X X X X X

Magné— X X X tophone

Mobile X

Cartes 24 24 24 24 24 + 20 24 + 10 murales (ex.) (COU)

Cartes 1 1 1 4 1

Cartes Mappemonde transparents transparents 4 cartes + pour 2 Upwind 11 + 6 4 cartes- tableau 2 écrans réponse

3

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SOUTIEN MAIRES SCOL

ÉLAB EX COU GLC IPSU TELECOM COMM POP

lift ail tie 111111, 4elre 1111! 181, f_ ale alb se as fee ime 11»

Salle de 1 1 1 1 1 1 1 1 grande salle classe

Salles de 4 4 4 2 + 2 6 4 4 + COU 8 + 2 conférence COU COU

Livres de 1 par 4 4 Collègeville personne

Visite du X X X COU

Microphone X

Démonstration X op. contrôle

Livres 4 CANUTEC

Téléphones 14 23 28 14 17 42

4

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SOUTIENCOMM SCOL

MAIRES POP ÉLAB EX COU GLC IPSU TÉLÉCOM

Télécopieurs

Radios

Télés et 1/2magnétoscopes

Tableau 1électronique

Insignesnominatifs

Cartes pour

les ex.

Tablessupplémentaires

1/2 1

1 3

2 4

1 1

3

16

1 2

4 26

2 7 7 1

20

4

14

10

+ 28 insignes + 5 insignes 16 + 8 insignesde porte de porte de porte 20

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SIM - 26 SIM - 6 27COU - 11 INF - 10PC - 15

5

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40 Chaises supplémentaires

Ordinateur

Mini- trousse professionnelle (3)

Cloisons-meubles

Caméra/ magnétoscope

30 SIM - 26 SIM - 6 27 COU - 11 INF - 10 PC - 15

1 1

1 1

8 8 1

X X X

Is lee 4ef l• se re eire me as Wm arb ir* 'Su IN low elm el

SOUTIEN COMM SCOL

MAIRES POP ÉLAB EX COU GLC IPSU TÉLÉCOM

6

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CARTES MURALES

Travaux publics

Service des incendies

Population

Évacuation

Service de police

Générales

LISTE D'APPROVISIONNEMENT

Formules de message

Tableaux

Crayons

Crayons gras

Cartes (autre format que les cartes murales)

Index des rues

Caramate (diapositives)

Rallonges

Rallonges de téléphone

Porte-plaquettes nominatives

Poubelles

Boîtes d'épingles, de punaises, etc.

Listes téléphoniques

Étiquettes pour radios

Étiquettes pour les pièces

Cartes du réseau électrique/réseau d'égouts/des fuseaux horaires

Vestes (pour les jeux de rôle)

7

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t COLLÈGE DE LA PROTECTION CIVILE DU CANADAÉTUDE DES MÉTHODES DE PRÉSENTATION DE RECHANGE

APPENDICE F

MODULARISATION DU COURS POP

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Préparé pour le Collège de la Protection civile du Canada : Protection civile CanadaPar : DVS Communications Inc. et Formation et perfectionnement Canada Le 3 octobre 1994

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N° 20 Pouvoir décrire les activités des médias et leurs besoins en casd'urgence.

N° 21 Pouvoir énumérer les objectifs et les caractéristiques d'un pland'information publique.

MODULE QUATRE - FORMATION ET EXERCICES

N° 7 S'exercer à évaluer des situations susceptibles de devenir

dangereuses et pouvoir préparer une évaluation des risques pendantle processus de planification.

N° 14 Pouvoir mettre en oeuvre le processus de planification d'urgence.

N° 19 Pouvoir déterminer les besoins en formation.

FACULTATIF

N° 9 Pouvoir expliquer la nécessité de planifier une intervention encas d'incidents TMD et énumérer les lignes de conduite relatives àl'intervention initiale.

N° 10 Pouvoir expliquer comment obtenir des renseignements détaillés surun incident TMD.

N°18 Pouvoir appliquer le concept, les principes, les étapes et laforme du processus de solution des problèmes (estimation de lasituation).

N° 24 Pouvoir différencier les mythes de la réalité en cas decatastrophe.

N° 27 Être en mesure d'appliquer les principes de la planification et del'intervention d'urgence.

N° 28 Être initié au besoins et aux méthodes de compte rendu du stresscausé par une catastrophe (sensibilisation seulement).

1

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MODULE UN

N° 1

Annexe A 6810-20 Le 22 juillet 1994

ORGANISATION

Pouvoir expliquer le mandat et la politique des gouvernements fédéral et provinciaux, ainsi que des municipalités, en matière de planification d'urgence.

N° 17 Démontrer la capacité de déterminer les conditions locales et les problèmes courants auxquels un groupe de planification d'urgence peut avoir à faire face et les minimiser.

N° 25 Pouvoir expliquer les programmes fédéraux d'aide à la planification d'urgence, y compris le JEPP et l'Accord d'aide financière en cas de catastrophe.

MODULE 2 RECHERCHE

N° 2 Pouvoir expliquer les caractéristiques communes des urgences.

N° 6 Pouvoir décrire le processus de détermination des risques.

N° 22 Pouvoir donner des exemples d'urgences naturelles et d'urgences causées par l'erreur humaine.

N° 23 Être en mesure de classer les urgences (soudaines/instantanées, graduelles, prévisibles/imprévisibles)

N° 26 Pouvoir différencier une urgence et une catastrophe.

MODULE TROIS PLAN

N° 3 Connaître les phases des opérations d'urgence.

N° 4 Pouvoir décrire les activités propres à l'intervention d'urgence.

N° 5 Pouvoir définir la planification, les opérations et les hypothèses.

N° 8 Pouvoir expliquer les rapports entre le COU et le gestionnaire du lieu d'une catastrophe.

N° 11 Pouvoir énumérer les besoins matériels (y compris les systèmes de communication) d'un COU.

N° 12 Être en mesure de définir les éléments d'un COU et leurs fonctions.

N° 13 Pouvoir donner deux exemples de la façon dont les activités du COU sont coordonnées.

N° 15 Pouvoir donner les grandes lignes d'un plan, y compris le rôle et les responsabilités des intervenants d'urgence, des services de santé et des services sociaux, des groupes de bénévoles et d'autres organismes.

N° 16 Démontrer la capacité (comme membre d'une équipe) d'esquisser un plan d'urgence.

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COLLÈGE DE LA PROTECTION CIVILE DU CANADAÉTUDE SUR LES MÉTHODES DE PRÉSENTATION DE RECHANGE

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IAPPENDICE G

TERMINOLOGIE

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1

ttt Préparé pour le Collège de la protection civile du Canada : Protection civile Canada

Par : DVS Communications Inc. et Formation et perfectionnement CanadaPage 1

Le 3 octobre 1994

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COLLÈGE DE LA PROTECTION CIVILE DU CANADA ÉTUDE SUR LES MÉTHODES DE PRÉSENTATION DE RECHANGE

Appendice G - Terminologie

Vidéo numérique. Dans le présent document, l'expression vidéo numérique signifie un vidéo créé à partir de matériel audio-visuel numérique préparé à l'aide d'un ordinateur et pouvant être projeté sur un écran d'ordinateur. Le programme informatisé est enregistré sur une bande vidéo. Tout le contenu est numérique.

La durée de ce type de programme d'information peut être beaucoup plus courte que celle d'un tel programme en classe. Généralement, le taux de réduction est de 4 pour 1, et on peut même obtenir un taux de 8 pour 1. On peut «comprimer la matière» parce que le contenu du vidéo ne porte que sur les points d'enseignement. Les stagiaires étudient le contenu par étapes, et ils ont l'occasion de le réviser, de s'exercer et de passer des examens. Le contenu peut être très dense parce que le stagiaire peut revoir une section aussi souvent que c'est nécessaire (ou la survoler s'il est familiarisé avec la matière ou s'il est très intelligent). Le temps d'apprentissage réel d'un stagiaire ne peut être inférieur à la durée de l'exposé en classe remplacé, bien que des données empiriques indiquent qu'il est souvent de 30 à 40 p. 100 moins long.

Formation assistée par ordinateur (FAO). Au début, la FAO était principalement composée de textes présentés sur ordinateur - limités souvent à un manuel et à un tourne-page électronique. Au fur et à mesure que les programmes sont devenus plus complexes, on a ajouté du matériel d'examen et des mécanismes plus souples d'orientation dans le texte, ainsi que des graphiques et différentes techniques de référence (p. ex., la fonction de recherche des mots). De nos jours, la FAO peut comprendre des bandes sonores et vidéos, ainsi que des examens, et permet l'accès à des

données sophistiquées, une interaction avec l'utilisateur, ainsi que la gestion des stagiaires. Dans le présent rapport, on utilise le terme FAO au sens large (mais il ne comprend pas des techniques en voie de développement comme les bureaux informatisés partagés et la télévision interpersonnelle en direct). La FAO peut remplacer l'instruction en classe par un enseignant ou la compléter.

On peut aussi combiner la FAO à certaines technologies d'apprentissage à distance afin de créer des ateliers virtuels. Bien que ces technologies ne soient pas encore au point ou abordables, elles seront beaucoup plus courantes d'ici cinq ans.

Salle de classe à distance. Cette expression a le même sens (bien que ce type de présentation soit plus complet sur le plan technologique) que la définition courante «d'apprentissage à distance», une expression utilisée plus souvent. En voici une définition :

«L'apprentissage à distance est un processus d'apprentissage où les apprenants et l'instructeur sont séparés pendant au moins une partie de l'instruction. On utilise des médias pédagogiques pour présenter une portion de la matière; l'instructeur et les apprenants disposent d'un mode de communication bilatéral.'

Règle générale, l'apprentissage à distance peut comprendre n'importe quel mode de communication avec des stagiaires qui ne sont pas dans la salle de classe, y compris lorsqu'il n'y a pas d'instructeur.

CD-ROM. Le CD-ROM est un support d 'entreposage de données informatisées. Un lecteur de CD-ROM fonctionne comme un disque dur d'ordinateur. Le CD-ROM est avantageux parce qu'il contient

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COLLÈGE DE LA PROTECTION CIVILE DU CANADA ÉTUDE SUR LES MÉTHODES DE PRÉSENTATION DE RECHANGE

beaucoup de données, parce que sa duplication est économique et qu'il est petit et portatif. C'est un mode de distribution multimédias idéal.

CD-1. Le CD-1 ressemble au CD-ROM, mais son format est différent et il est conçu pour des lecteurs spécialisés (dont le coût et la taille sont semblables à ceux d'un magnétoscope), reliés à un écran de télévision. Il offre un peu moins de souplesse que le CD-ROM parce qu'il est breveté et qu'il nécessite un lecteur spécial.

RNIS. Réseau numérique à intégration de services. Un service (standard) qui permet la transmission de la voix et de données au moyen d'une ligne numérique.

1. Réf. : Le téléapprentissage dans les administrations publiques fédérale et provinciales; Formation et perfectionnement Canada.

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I COLLÈGE DE LA PROTECTION CIVILE DU CANADAÉTUDE SUR LES MÉTHODES DE PRÉSENTATION DE RECHANGE

APPENDICE H

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BIBLIOGRAPHIE

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COLLÈGE DE LA PROTECTION CIVILE DU CANADAÉTUDE SUR LES MÉTHODES DE PRÉSENTATION DE RECHANGE

1

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Appendice H - Références

Adams, Nina. CBT or Not CBT?Training. Mai 1993.

Costello, Gerry. Learning from adistance takes careful planning.Computing Canada. 13 septembre 1993.

Daly, Edward A. «We've Got to StopMeeting Like This: - A Primer onVideo Conferencing. KJHCommunications. 1992.

Feldman, Robert. Real WAN Costs.LAN Times. 25 avril 1994.

Foy, Norman G. Selling a DeliveryMethod. Data Training. Juillet1990.

Kearsley, Greg. How to Conduct aCost-Benefit Analysis. AmericanSociety for Training and Development.Juillet 1990.

Krivda, Cheryl D. WANs: unlimitedpotential. LAN Computing. Mai 1994.

Machrone, Bill. Desktopvideoconferencing:Seeing is almostbelieving. PC Magazine. 14 juin1994.

Norton, James R. The Marriage ofEvaluation and Training - Part I.Performance and Instruction. Janvier1990.

Valenz, Shari; Newton, Harry. Vidoand Teleconferencing. Teleconnect.Mai 1994.

Wehr, Joe. Instructor-Led orComputer-based: Wich Will Work BestFor You? Training and DevelopmentJournal. Juin 1988.

An Assessment of TrainingMethodologies and Technologies forCompensation Line Training.Formation et perfectionnement Canada.Mars 1993.

Distance learning technologies are

changing the face of training. HRReporter. Janvier 1993.

Loi sur la protection civile -Modification à la Loi sur la Défensenationale. 27 avril 1988.

Evaluation Framework, Design, andReports. Training and DevelopmentJournal. Juillet 1990.

Le téléapprentissage dans lesadministrations publiques fédérale etprovinciales. Formation etperfectionnement Canada. Juin 1993.

Préparé pour le Collège de la Protection civile du Canada : Protection civile CanadaPar : DVS Communications Inc. et Formation et perfectionnement Canada

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PSEPC./SPPCC LIB/BIBLIO

11111111 1 0000066906

HV Étude sur les méthodes di 551.5 présentation de rechange .C2 rapport final / A58 I 00/1.

DATE DUE

PRINTED IN U.S.A. GAYLORD

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