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Que ce soit pour apprendre l’anglais ou jouer du piano, la formation en ligne – ou e-learning – a le vent en poupe ! De nombreuses écoles de formation taxi ont déjà réalisé des outils pédagogiques en ligne pour accompagner leurs candidats mais ce type d’enseignement prépare-t-il réellement les stagiaires à devenir chef d’entreprise ? Pour en savoir plus, nous avons interviewé Pascal Guilbert, expert en formation taxi et fondateur du site Formprotaxi.

éditoNUMÉRO 4/// 1er février 2013

A u moment où nous bouclons ce numéro, les organisations professionnelles ter-minent la semaine de marathon des négociations déclenchées par la manifes-

tation nationale du 10 janvier dernier. Les taxis retiennent leur souffle en attendant l’issue de ces rencontres. Une chose est sûre, les échanges dans les travées du Salon des Taxis – qui se déroule les 9 et 10 février prochain au Parc des expositions de la Porte de Versailles à Paris – risquent d’être animés ! D’autant que la 11e édition de cet événement organise deux conférences dont les thèmes sont d’une actualité à tout le moins brûlante : « Le taxi pourra-t-il encore être un prestataire de santé ? » le samedi 9 février de 11 h à 12 h 30, avec des représentants de la Caisse nationale d’assurance maladie des travailleurs salariés, autrement dit la CNAMTS, qui seront confrontés aux questions et remarques des organisations professionnelles pré-sentes. Puis, le dimanche, de 14 h à 15 h 30, « Le statut du VTC est-il un handicap pour les taxis ? » sera l’occasion d’assister à un second débat qui ne devrait pas manquer de susciter de multiples interventions… notamment grâce à la présence d’exploitants de VTC ! Comme à l’accoutumée, le Salon des Taxis permettra en outre aux visiteurs de rencontrer les acteurs majeurs de la profession. Plus de 70 exposants ont répondu à l’invitation des organisateurs : constructeurs, équipementiers, assureurs, banques, etc. L’ensemble des organisa-tions professionnelles sera également présent ainsi que la préfecture de police de Paris et le RSI. À ne pas oublier de visiter le centre d’essai véhicules et, pourquoi pas, participer à la traditionnelle tom-bola qui, cette année, vous propose de gagner un écran plasma Philips par jour… Enfin, pour tous les chauffeurs de taxi (sur présentation de leur CDC), l’entrée est gratuite ainsi que l’accès aux conférences, sans oublier le parking pour les véhi-cules équipés d’un lumineux.Ah, j’allais presque oublier : 100% News sera bien évidemment présent pour vous rencontrer pour faire écho à votre actualité !

VTC & TAP, match retour29

janvier, ministère du Tourisme, 30 janvier, ministère de l’Intérieur, 1er

février, ministère de la Santé : deuxième semaine marathon pour les représentants des organisations professionnelles taxi depuis la mani-festation nationale du 10 janvier dénonçant l’appli-cation de l’article 44 de la loi de financement de la Sécurité sociale ainsi que la concurrence déloyale des voitures de tourisme avec chauffeur. La pro-fession sera-t-elle comprise et respectée ? État des lieux et tour d’horizon des perspectives grâce aux interviews d’Ahmed Senbel (FNTI), Alain Griset (UNT) et Didier Hogrel (FNDT).

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Directrice de Publication : Hélène Manceron

À la fleur d’oranger, aux pommes ou à la frangipane, la galette des Rois offre une occasion festive de se réunir qui n’a pas échappé à l’AFNST, l’Association fédérative des seniors du taxi…

100% loisirs>>> suite de l’article page 3

100% parisConcurrence : une sévérité concrète

>>> suite de l’article page 2


Afnst, les séniors de la Galette !

La manifestation nationale du 10 janvier a permis d'ouvrir les négociations.

crédit : LNM communication


Devenir taxi en ligne, comment ça marche ?100% formation

M ardi 22 janvier, les représentants des taxis parisiens ont été reçus par la préfecture de police de Paris. Après les déclarations du

préfet Bernard Boucault (voir 100% News n° 2), on attend aujourd’hui des mesures concrètes concer-nant le stationnement et les capacités de contrôles et de sanctions aux gares et aéroports parisiens.

La Rédaction


100% TechniqueVolvo fait sourire l’écopastilleÀ la détaxe qui diminue d’année en

année comme peau de chagrin et un coût des carburants qui ne cesse de grimper, les taxis doivent encore ajou-ter l'écopastille… Difficile pourtant de travailler dans un pot de yaourt tracté par des papillons ! Dernière initiative

Ahmed Senbel, président de la FTI 75.crédit : LNM communication

de Volvo : réduire les émis-sions de CO2 sur le cœur de gamme de ses voitures diesel. Une bonne nouvelle qui ne manquera pas de faire plaisir aux fidèles de la marque !

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100% NEWS numéro 4 /// 1er février 2013

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taire ». Serait-ce la fin de la possibilité de cumul des deux activités ? Du côté des taxis, ce scénario ne semble pas recueillir l’unanimité mais la situation semble nécessiter une évolution. « On ne peut pas hélas gommer de la carte l’ensemble des VTC créées ces dernières années. Il faut recentrer les activités de chacun », nous indique Didier Hogrel. TAP : ni suppression, ni appels d’offres

« Je ne suis que le porte-parole de mes mandants. Les taxis ne veulent pas de ces appels d’offres. Il faut proposer

autre chose » déclare Didier Hogrel. « L’UNT refuse toute expérimentation qui découle-rait des appels d’offre. Il faut voir comment faire au mieux pour amélio-rer l’existant », affirme de son côté Alain Griset. Toutes les organi-sations pro-fessionnelles restent fermes sur l’une des r e v e n d i c a -tions phares de la manifestation du 10 janvier dernier : « Non aux appels d’offres ! »En effet, les taxis refusent toute miss en place d’expérimentation et redoutent l’incompatibilité des calendriers

L a date du 4 février circulant sur les réseaux sociaux n’a pas été confirmée. Toutefois, les organisations professionnelles taxi se sont réservé le droit d’or-

ganiser un nouveau mouvement de protestation si les négociations engagées avec les pouvoirs publics après la démonstration de force du 10 janvier dernier aboutissent à un échec. Deux réunions techniques avec les ministères du Tourisme, de l’Intérieur ont eu lieu début de semaine et celui avec le ministère de la Santé se déroule au moment où nous diffusons ce numéro. Pour faire le point sur la situa-tion, nous avons recueilli le point de vue trois acteurs clefs de la profession : « Nous n’avons qu’un seul objectif : trouver les solutions en fonction des besoins des taxis. Nous allons mesurer la capacité de réaction des ministères aux proposi-tions que nous ferons », Alain Griset, président de l’UNT ; « Va-t-on trouver un juste milieu pour respecter l’équilibre économique et pouvoir travailler en complémentarité comme cela se fait dans d’autres pays ? », Ahmed Senbel, membre du comité exécutif de la FNTI et président de la FTI75 ; « La situation concerne 30 000 emplois dans un secteur qui contri-bue pour près de 600 millions d’euros par an au financement social ! », Didier Hogrel, président de la FNDT.VTC : Une complémentarité raisonnéeLoin de revendiquer un monopole du transport de per-sonnes, les taxis proposent de s’inscrire dans la raison. L’ob-jectif est « de revenir à une situation de complémentarité, comme avec les grandes remises », explique Ahmed Senbel. Une déclaration qui ne semble pas contraire aux préoc-cupations du CSNERT, la fédération des voitures de tou-risme avec chauffeur : « La Fédération des VTC a de longue date remis ses préconisations visant à stabiliser une concur-rence loyale et complémen-taires en concertation avec les taxis, en évitant l’amalgame entre le métier historique des grandes remises et de nouveaux acteurs sans discerne-ment. » De bon augure pour les négociations à venir si l’on considère que l’intersyndicale FNTI-FNAT-FFTP-FNDT a déjà proposé, dans son compte-rendu préparatoire, que les nouveaux grands remisiers se spécialisent dans l’accueil touristique ainsi que le transport de luxe. Elles demandent également la formation obligatoire des chauffeurs de VTC, sans équivalence ni dérogation ; la définition d’un péri-mètre d’activité en fonction de la domiciliation de l’en-treprise ; l’interdiction d’installation en zones franches ; l’application d’une TVA unique à 19,6 %, l’attribution d’un code NAF autre que celui des taxis... Quant au nombre d’entreprises inscrites sur le registre d’Atout France, les avis des taxis et des VTC semblent également converger. Sur les 4093 entreprises dénombrées au 30 décembre 2012, 42 % seraient également taxis et les 58 % restant seraient majori-tairement exploitées selon le régime de l’auto-entrepreneur. Selon certaines fédérations VTC comme taxi, la solution pourrait-être d’obliger les entrepreneurs soit à se spéciali-ser, soit à abandonner l’activité pour cause d’une montée des exigences administratives et réglementaires d’exploita-tion. Par ailleurs, la CSNERT juge « pernicieux d’être VTC et taxi dans des métiers dont la tradition est d’être complémen-

entre les discussions en cours et l’expiration des conventions signées dans les départements entre les taxis et les CPAM. La spécificité de l’activité dans chaque territoire, et notamment de l’orga-nisation des soins dans les départements, semble rendre toute solution unique pour l’offre taxi difficile à réaliser. Néanmoins, sans dévoiler cer-tains arguments réservés aux négociations qui se déroulent ce vendredi 1er février, certaines pistes peuvent être ouvertes : mise en place d’une réelle convention nationale ; intégration d’une repré-sentation taxi au sein du fonctionnement des ARS ; harmonisation tarifaire nationale, déve-loppement de l’organisation du transport simul-tané, rationalisation du carnet de rendez-vous des patients pour limiter les déplacements, sus-

pension de l’avance de frais pour cer-taines pathologies, cadrage de l’utilisa-tion de la prescrip-tion de transport couché ainsi que optimisation du stationnement des taxis.«J’ai tenu à rappeler au ministère de l’In-térieur que le taxi n’est pas une variable

d’ajustement ! Ils ne sont pas les cou-

pables de la situation mais les victimes », précise Didier Hogrel. Rappelons que les transports par taxi ne représentent que 30 % du coût total des transports pour la Sécurité sociale, transports qui ne pèsent que pour 2 % dans le budget total de la Sécurité sociale. De même, le transfert de

100% actu

Manifestation nationale : VTC & TAP, match retour

Face à l'hémorragie du secteur, les VTC semblent favorables au gel des

inscriptions.

Le 10 janvier dernier, taxis ruraux comme urbains ont témoignéde leur inquiétude pour l'avenir.

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En 15 jours, le ministère de l'Intérieur aura reçu deux fois les taxis.

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charge de la politique hospitalière qui a mécaniquement augmenté le volume de transports en favorisant l’hospitali-sation à domicile et l’organisation des centres de soins en plateaux régio-naux, représente une économie cer-taine pour l’Assurance maladie. Les taxis sont conscients et impliqués dans l’amélioration de la gestion et du financement du transport de malades assis. Dans un contexte de crise éco-nomique qui les frappe déjà de plein fouet, les taxis proposeront des solu-tions d’économie à l’Assurance mala-die pour conserver ce marché. Mais, dans les départements, la majorité des remises d’ores et déjà consenties semble flirter avec le point mort de la rentabilité et la marge de manœuvre des négociations en cours semble très étroite.

100% parisGares et aéroports : des mesures de sévérité concrètes

À la demande commune du préfet de police de Paris, de celui de Roissy ainsi que de celui du Val-de-Marne, les organisations professionnelles du taxi

parisien ont été invitées, le 22 janvier dernier, boulevard du Palais pour être informées des mesures de sévérité prises pour améliorer la situation du service des taxis parisiens dans les gares et aux aéroports. La manifesta-tion du 3 décembre 2012 organisée par l’intersyndicale parisienne FTI75, FO, CFDT, CFTC, Sud et Gescop n’est sûrement pas étrangère à cette prise de conscience de la situation par les autorités. Les revendications parisiennes contre la concurrence déloyale de certains VTC ont trouvé écho dans l’action nationale de la profession. Les conditions de travail des taxis parisiens vont-elle pouvoir concrètement s’amé-liorer ? Nous vous livrons les commen-taires d’Ahmed Senbel, président de la FTI75.Gare du Nord : premiers résultats« À la gare du Nord, aujourd’hui, une partie du nettoyage a été fait. Rares sont les motos stationnées devant les café alentour comme précédemment. » En dressant ce premier bilan, Ahmed Senbel, président de FTI75, sait de quoi il parle car il était en première ligne lors de la manifesta-tion organisée de la gare du Nord à l’Hôtel de Ville. Pour prolonger l’information que vous avez pu lire dans 100% News 2, ce sont plus de 1000 taxis qui étaient au point de rendez-vous du cortège initié par la FTI75, FO, Sud et Gescop.« Il y a une réelle volonté de la préfecture d’améliorer le ser-vice taxi dans les gares. À la gare du Nord, les taxis précom-mandés ne disposaient que de 11 places, souvent polluées. Depuis notre action de décembre, nous avons obtenu 27 places en sous-sol mais ce n’est pas encore suffisant étant donné le volume de l’activité taxi à la gare. » Véritable nœud ferroviaire, la gare du Nord est en effet la première gare européenne, accueillant plus de 500 000 voyageurs par jour ! Une prochaine réunion est prévue à la mairie de Paris pour envisager des dispositions complémentaires,

comme l’utilisation de la rue de Compiègne ainsi que de la partie centrale du terre-plein devant la gare. Au total, 45 à 50 places sont prévues d’ici cet été. Les moyens d’une sévérité accrueLes dispositions prises concernent prioritai-rement le cadrage des VTC et des motos. C’est d’abord une augmentation des effectifs des forces de l’ordre avec 18 Boers sur le site de Roissy et 4 sur la capitale. « Point positif, la PAF d’Orly va pouvoir intervenir en contrôle supplémentaire sur la zone aéroportuaire », ajoute Ahmed Senbel. La collaboration des services de police sera

également effective sur le site de Roissy et les actions seront concentrées sur les flagrants

délits d’exercice illégal de la profession de taxi, avec audition des clients racolés. Une des nou-veautés annoncées dans la lutte contre l’exercice illégal de l’activité taxi est le contrôle des entre-prises de VTC et, le cas échéant, le rappel à l’ordre du gérant de la société si celle-ci utilise l’un des signes distinctifs du taxi : lumineux, compteur, voire même, pour certains, le macaron indiquant le conventionnement CPAM… L’utilisation abu-sive du terme taxi dans la promotion des sites Internet d’autres transporteurs sera également surveillée et les contrevenants qui cherchent – ou chercheraient – à se prévaloir du taxi pour développer leur activité seront sanctionnés. Enfin, à partir de la mi-février, la préfecture de police mettra en place la vidéo-verbalisation sur tous les axes rouges et une formation spéciale sur l’utilisation desdits axes sera dispensée aux forces de l’ordre avant le début des interventions.De nouvelles mesures qui devraient bénéficier non seulement aux taxis mais également et sur-tout à leur clientèle.

La collaboration Boers et PAF se concentrera sur les flagrants délits.

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Didier Hogrel, président de la FNDT.

Alain Griset, président de l'UNT

Ahmed Senbel, FTI75, membre du comité exécutif de la FNTI

Symbole de la situation, la gare du Nord accueille 190 000 passagers par an.

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Manifestation nationale : VTC & TAP, match retour


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ne tiennent pas encore compte des opportunités que proposent les nouvelles technologies. « L’arrêté de 2009 cadre un système ancien et il est difficile de faire évoluer les réglementations. Quoi qu’il en soit, à Formprotaxi, nous préparons nos aspirants chauffeurs à devenir de bons chauffeurs de taxi et réussir leur examen. Se former en ligne ne signi-fie pas être seul à apprendre. Pour l’UV4, par exemple, nous dévelop-pons un partenariat avec un réseau d’écoles taxi qui font, en plus, bénéfi-cier nos stagiaires de tarifs préféren-tiels », conclut Pascal Guilbert.La flexibilité de la formation en ligne

semble une réponse solution lorsque les déplacements et la

disponibilité font obstacle à la for-mation et à la reconversion. Certes, fondée sur une discipline person-nelle des candidats, elle n’est pas forcément adaptée à tous. À chacun sa méthode ! Il reste que le dévelop-pement des formations en ligne ou accessibles par téléphonie mobile pourraient apporter un gain de qua-lité aux professionnels, notamment dans la formation continue, sans les contraintes d’un enseignement classique.Plus d'info : [email protected]

mation, précise l’auteur en nous décrivant les atouts nécessaires d’un bon « cyberprof ». L’uti-lisation des nouvelles technologies permettrait aux enseignants « de construire des cours plus attrayants et d’être plus efficaces dans leurs pra-tiques. » S’inscrire pour une formation en ligne, c’est aussi l’occasion d’intégrer et de pratiquer les nouvelles technologies de communication pour ceux qui n’utilisent pas encore les Facebook et autres Skype dans leur vie quotidienne. Et pour devenir taxi ?Responsable du recrutement des taxis à la Pré-fecture de Police de Paris pendant plus de 25 ans, Pascal Guilbert est aujourd’hui installé dans le Var où il a développé Formprotaxi, une solution d’e-learning pour devenir taxi. Formprotaxi est organisé autour d’une bibliothèque de cours et d’exercices préparant aux UV1, UV2 et UV3 de la formation initiale taxi. En plus d’une aide en ligne quotidienne, il orga-nise des vidéoconférences, en groupe ou en indi-viduel, à la demande des stagiaires à la formation grâce au logiciel gratuit ooVoo. « Dans ce type de formation, il est nécessaire de faire un vrai suivi individualisé du stagiaire. Chacun évolue à son rythme. Pour cette raison, nous n’imposons pas de délais de formation. » En cas d’échec, « ils peuvent reprendre leur formation sans se réinscrire à For-mprotaxi. » De nombreuses écoles proposent dorénavant des solutions d’e-learning, comme celle des taxis G7 ou celle de la Cité du taxi à Levallois. Néan-moins, les considérant comme de simples outils pédagogiques animés, les textes régissant le taxi

100% formationFormation taxi en ligne, comment ça marche ?

L e développement des nouvelles technologies aura transformé jusqu’aux méthodes d’enseignement. Depuis l’apprentissage et la préparation de diplômes

en langues étrangères jusqu’à la formation taxi, l’e-learning – ou formation par Internet – se développe tous azimuts. Ce type d’enseignement est-il réellement adapté à la formation taxi ? Nous avons rencontré Pascal Guilbert. E-learning, quésaco ?Également appelée formation à distance ou formation en ligne, cette nouvelle méthode d’enseignement a révolu-tionné l’accès à la formation, même si elle continue de faire débat chez les professionnels de la pédagogie. Rendue possible grâce au développement de la téléphonie, de la communication écrite instantanée et de la visioconférence gratuite ou disponible à faible coût, elle inaugure en effet de nouvelles relations professeur/apprenant. « Un enseignant n’est plus le sachant universel dispensant ses acquis mais celui qui sait vers quelles ressources orienter son élève et à quel moment. Une relation somme toute inchangée depuis Aristote ou Socrate. » Et qui n’empêche pas d’appliquer « les bonnes vieilles méthodes », rassure Xavier de Mazenod dans un article paru en août 2012 sur le site d’informa-tion www.atlantico.fr. À ne pas confondre avec l’autofor-

Crédit photo : Formprotaxi

De nombreuses écoles proposent des solutions d'e-learning.

Pascal Guilbert, expert en formation taxi et créateur du site de formation en ligne Formprotaxi.

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100 % astuce« Zut, c’est écrit trop petit ! », « Avec leur nouveau système, je n’arrive plus à télécharger la news sur mon PC ! »…Ne vous inquiétez pas, avec 100% News, tout est possible !

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Crédit photo : LNM communication

C’est toujours un rendez-vous chaleureux et sympathique que l’on partage avec les membres de l’AFNST, un morceau de

galette à frangipane fondante à la main. Orga-nisé de main de maître comme chaque année dans la salle des mariages de la mairie du XIXe arrondissement de Paris, l’événement est l’oc-casion pour le président Claude Manceau de rappeler la raison d’être de cette association : « Profondément attachés à nos racines profession-nelles, nous cherchons constamment à entretenir les liens qui nous unissent aux actifs du métier pour continuer à comprendre son évolution et soutenir nos cadets. »Si vous souhaitez prendre contact avec eux pour partager la prochaine galette ou être informés de leur programme, n’hésitez pas à venir les ren-contrer au Salon des Taxis les 9 et 10 février à Paris-Porte de Versailles, ou lors de leur perma-nence hebdomadaire tous les mercredis de 10 h à 16 h à L’Artisan Taxi, 82, rue Petit - 75019 Paris - Tél : 01 44 52 23 80.Contact : Claude Manceau : 06 78 36 18 88 [email protected]

Afnst, les séniors de la Galette !

Fidèles au rendez-vous, les adhérents ont partagé souvenirs et amitié.

La vocation de la brigade n’est pas de pénaliser les taxis.

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C’est une communication officielle du constructeur parvenue aux rédactions en cette fin janvier

qui a annoncé la bonne nouvelle : « Pour faire face à une législation toujours plus exigeante en matière de fiscalité automobile, nos ingénieurs suédois travaillent en permanence à l’amélioration des émissions de CO2 de notre gamme. En ce début d’année 2013, nous sommes fiers de pouvoir vous annoncer la réduction significative des émissions de CO2 sur les motorisations cœur de gamme de nos voitures diesel. » Sans être une révolution en la matière, c’est toujours ça de gagner pourrons faire remarquer ceux qui commençaient à se laisser séduire par les différents atouts de la gamme Volvo.Les véhicules concernés par cette baisse de CO2 sont principalement, pour une affectation à l’activité taxi, les boites automatiques des moteurs D3 136ch et D4 163 ch installées dans les modèles S60, V60, S80 et V70. Les modifications annoncées par Volvo interviendront sur les productions à compter de février. Le constructeur invite les professionnels intéressés à se rapprocher de son réseau pour être informés de la disponibilité en date de livraison. Enfin pour ceux qui désire évaluer le montant de l’écopastille 2013, visitez le site www.autodeclics.com, « le web 100% auto ! ».

Volvo, des améliora-tions pour faire sou-rire l’écopastille

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Modèle moteur Boîte Puissance CO2/g Ecopastille

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S60 D3 Geartronic 136ch 126 neutre


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S60 D5 AWD Geartronic 215ch 166 malus 1 500

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Publication : LNM communication Rédactrice en chef : Hélène [email protected]étaire de Rédaction : Laurent Thelliez Mise en page : Stanislas Marçais / JUKASTAN

La Volvo S80 séduit de nombreux taxis

Plus compact , la S60 offre une ligne de charme.

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