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REVUE DE PRESSE du 15/09/2017 au 21/12/2017

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Page 1: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

R e v u e d e p R e s s ed u 1 5 / 0 9 / 2 0 1 7 a u 2 1 / 1 2 / 2 0 1 7

Page 2: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

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S o m m a i r e

Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3

Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La Lettre de l’Expansion p.5

La Côte d’Ivoire abrite la 3ème édition du LAB les 1er, 2 et 3 décembre 2017 sous le thème “Bancarisation : du cash a la banque” 26/10/2017 Vivafrik.com p.6

Annonce du LAB dans l’agenda 31/10/2017 Africa-salons.com p.7

Eric Bazin (Land of African Business): « Un think tank dédié aux Afriques et à la jeunesse entrepreneuriale » 31/10/2017 Africa-salons.com p.8

Les start-up africaines à l’honneur 02/11/2017 Le Figaro p.10

L’Afrique de demain se rencontre à Abidjan ! 21/11/2017 FemmesEntrepreneures.ci p.11

Jean-Jacques Seymour reçoit Eric Bazin pour parler du LAB et de l’entrepreneuriat Africain (16:19 minutes) 27/11/2017 Tropiques FM p.13

African Rethink Awards, le LAB à Abidjan 27/11/2017 African Business p.14

L’Afrique des talents existe, “Mondafrique” l’a rencontré 29/11/2017 Mondafrique p.16

L’Algérie sera représentée par un projet sur la lutte contre la désertification 01/12/2017 Liberte-Algerie.com p.18

3ème édition de Land of African Business & African Rethink Awards. 04/12/2017 Abidjan.net p.20

Think thank en Afrique: Land of African Business – LAB 05/12/2017 Afrique 21 p.21

Blockchain, machine à confiance ou chimère pour l’Afrique ? 07/12/2017 Les Echos .fr p.23

Numérique - Éric Bazin : « Start-up africaines : croyez en vous ! » 15/12/2017 Le Point Afrique .fr p.25

Eric Bazin revient sur le LAB 2017, en direct dans le 64 Minutes 17/12/2017 TV5 Monde p.32

Comment encourager la jeunesse au service de l’Afrique de demain ? Eric Bazin témoigne, de retour d’Abidjan (1h) 18/12/2017 Radio Notre Dame p.33

Les startups sont-elles l’avenir de l’Afrique? 19/12/2017 Géopolis Afrique p.34

Eric Bazin : « De nouveaux modes de financement émergent pour les start-up africaines » 21/12/2017 L’Opinion p.36

Page 3: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

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ANNEXES

Land of African Business - 1er, 2 et 3 décembre 2017 - Abidjan L’Afrique de demain se rencontre ici 16/10/2017 Communiqué de presse p.38

African Rethink Awards : Dénicheurs de success stories - Abidjan du 1er au 3 décembre 2017 13/11/2017 Communiqué de presse p.40

«Start-up in the Airport» : Royal Air Maroc coache les jeunes entrepreneurs africains 14/11/2017 Communiqué de presse p.42

L’innovation de 5 start-up africaines récompensée par les African Rethink Awards 2017 04/12/2017 Communiqué de presse p.43

Dossier de presse p.45

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Du 1er au 3 décembre 2017, se tiendra à Abidjan une réunion de réflexion autour du thème : « Bancarisation : du cash à la banque », avec plus de 100 startups africaines. Une initiative de Land of African Business (LAB).

Les 100 startups défendront durant 3 jours leurs projets devant un parterre de d’investisseurs en marge du sommet uA-ue. Ce sera aussi l’occasion pour les jeunes entrepreneurs africains de montrer le savoir-faire d’un continent où le taux de chômage est des plus élevés au monde. surtout qu’à ce sommet, seront présents presque tout ce que les deux continents (Afrique et europe) compte d’investisseur et d’experts.

Cette foire à la promotion de l’entreprenariat jeune est placée sous le patronage du Bruno Nabagne KONe, Ministre de la Com-munication, de l’economie Numérique et de la poste, porte-parole du gouvernement Ivoirien. et est organisée par Land of African Business (LAB). Avec pour objectif d’intéresser les jeunes entrepreneurs africain à la banque. d’où le thème « bancarisation : du cash à la banque ». Il faut préciser que le taux de bancarisation en Afrique se situe en dessous des 15%.

Né il y a 3 ans, le Land of african business (LAB) propose des expertises de haut niveau, inspirant des solutions novatrices dans une démarche sociétale inclusive. Il promeut le partage des meilleures pratiques environnementales, économiques, sociales, éducatives et culturelles développées sur le continent.

Support : Afriki Presse .frType : WebDiffusion : 100000 visites (source : editeur)Par : Chris MonsékélaDiffusé le : 25/09/2017Disponible sur : http://www.afrikipresse.fr/economie/entreprenariat-en-afrique-plus-100-startups-en-decembre-a-abidjan

Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan

Page 5: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

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La Lettre de L’ExpansionLa Lettre est réalisée chaque semaine sous la responsabilité dePhilippe Reiller, RÉDACTEUR EN CHEF (41.63),

[email protected],

Thierry Mestayer, RÉDACTEUR EN CHEF ADJOINT (42.06),

[email protected],Marie-Caroline Lopez, CHEF DE RUBRIQUE MACROÉCONOMIE ET ENTREPRISES (40.44),[email protected]

DIRECTEUR DE LA PUBLICATION : Guillaume Dubois.DIRECTEURS GÉNÉRAUX DÉLÉGUÉS :François Dieulesaint, Guillaume Dubois.RELATIONS CLIENTÈLE :Nadia Boufassa (42.99).RÉVISION : Catherine Schram.SECRÉTARIAT DE RÉDACTION :Dorothée Coelho, Stéphane Lay.

Prix du numéro : 32 € TTC.Abonnement premium : 1495 € TTC.Société éditrice : Groupe L’ExpressSA au capital de 47150 040C€. RCS Paris : 552018681.Siège social :29, rue de Châteaudun, 75009 Paris.PRÉSIDENT-DIRECTEUR GÉNÉRAL : Alain Weill.

Principal actionnaire : SFR Presse.Imprimée par Impro,98, rue Alexis-Pesnon, 93100 Montreuil.Commission paritaire n° 1117 I 82343.Toute reproduction non autoriséemême par photocopie est interdite.Copyright 2017.

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La Lettre de L’Expansion ❚ Lundi 25 septembre 2017 ❚ n° 2339

Mogherini :son plan pourla défense

L a coopération structurée

en matière de défense se

met en place. Plus d’une ving-

taine de capitales ont déjà

affirmé qu’elles étaient inté-

ressées. Federica Mogherini

est en passe de réussir son

pari, alors que son projet ren-

contrait beaucoup de scepti-

cisme il y a un an, avec seule-

ment Paris, Berlin et Rome

pour le porter.

La chef de la diplomatie

européenne a donc décidé

d’accélérer le processus et a

donné jusqu’à la mi-octobre

à chaque capitale pour noti-

fier officiellement sa partici-

pation. Le bonus de 10 %, pro-

mis par la Commission

européenne, dans le cadre du

Fonds pour la défense, fait son

effet. Même les plus scep-

tiques, comme la Lituanie et

la Pologne, ont fini par se ral-

lier au projet. On compte plus

d’une trentaine de proposi-

tions, de la surveillance des

frontières, défendue par les

pays d’Europe centrale, aux

drones, portés par la France

et l’Allemagne, en passant par

la cyberdéfense soutenue par

les pays Baltes et nordiques.

Il faudra donc opérer une

sélection. Ce devrait être fait

d’ici à la mi-novembre, ce qui

permettrait au Conseil euro-

péen d’enclencher dès décem-

bre le processus, qui devra

combiner un noyau dur com-

munautaire, voulu par Paris,

et une approche à la carte, pré-

féré par d’autres capitales. ❚

■ LA FRANCE s’oppose à la

Commission européenne sur la

traçabilité des produits du tabac.

Le 4 septembre, Bruxelles a sou-

mis à consultation un projet de

texte pour lutter contre le com-

merce parallèle. Lors d’une réu-

nion interministérielle à Matignon,

le 9 septembre, le gouvernement

a décidé de rejeter ce texte au

motif qu’il ne respecte pas le pro-

tocole de l’OMS qui exige une tra-

çabilité indépendante des ciga-

rettiers, soupçonnés d’organiser

eux-mêmes le trafic.

■ LE RÉSEAU WIL (European

Network for Women in Leader-

ship), dirigé par Thaima Samman,

organise cet automne deux ren-

contres au Parlement européen

pour les 300 membres du réseau,

l’un avec Michel Barnier fin sep-

tembre, et l’autre avec la com-

missaire à la Concurrence Mar-

grethe Vestager, début décembre.

■ GOOGLE a pris le leadership

du lobbying visant à contrer la

proposition française de taxation

des géants du numérique selon

leur chiffre d’affaires réalisé dans

chacun des pays de l’UE. La firme

de Mountain View mise sur les

divisions au sein de l’UE pour

retarder le plus possible une déci-

sion européenne.

■ SAMSUNG est en train de

s’accorder avec des chaînes hôte-

lières pour leur fournir une solu-

tion plus évoluée de son système

Hospitality TV, qui permettra aux

clients d’accéder à leur chambre,

faire leur réservation et check-

out depuis leur smartphone,

tablette et smartwatch.

■ KASPERSKY LAB finalise

avec le ministère brésilien de la

Défense un contrat de plus de

12 millions de dollars portant sur

la protection informatique.

■ LE LAB (Land of African Busi-

ness) porté par Eric Bazin et Sonia

Henry, dont la troisième édition

aura lieu en décembre à Abidjan,

planchera sur le thème : « Ban-

carisation : du cash à la banque ».

Des prix seront décernés parmi

plus d’une centaine de start-up

venues de tout le continent défen-

dre leur business model.

■ BRUXELLES estime qu’il

reste des points à éclaircir sur

les droits des citoyens euro-

péens installés au Royaume-Uni

après le Brexit, même si c’est le

sujet sur lequel les négociations

ont le plus avancé. Londres pro-

pose de simplement transposer

les droits européens, mais

Bruxelles réclame des garanties

sur leur évolution à long terme,

ainsi que la compétence de la

Cour de justice de l’UE plutôt

que celle de la justice britan-

nique pour trancher les litiges.

CORÉE DU NORD : POURQUOI PÉKIN A PERDU LA MAIN■ La crise entre les Etats-Unis et la Corée du Nord révèle aussi la perte d’influence de Pékin à

Pyongyang. Au cours du mois d’août, le ministère des Affaires étrangères chinois a mis à la

retraite le diplomate Wu Dawei, chargé depuis plus de dix ans des relations avec le pays

ermite. Wu Dawei était favorable à la poursuite de négociations sur les tests de missiles balis-

tiques nord-coréens mais n’avait plus été reçu à Pyongyang depuis février 2016. Son remplaçant,

le diplomate Kong Xuanyou, serait chargé de rétablir des relations diplomatiques entre les

deux pays. Une mission d’autant plus difficile que Kim Jong-un a écarté certains cadres du

régime, faisant notamment exécuter, en décembre 2013, Jang Song-taek, l’une des personnalités

les plus influentes du régime et proche de hauts dirigeants chinois. ❚

ILIAD-FREE : COMMENT IL PRÉPARE SON LANCEMENT EN ITALIE■ L’opérateur de Xavier Niel va recruter un jeune PDG italien pour incarner la marque Free

dans la Péninsule, où il compte lancer son offre mobile à la fin de l’année. Le choix devrait

être finalisé cet automne. Le siège devrait se trouver à Milan, avec une antenne à Rome pour

gérer les relations institutionnelles. Si la stratégie et les choix techniques sont pilotés depuis

la maison mère française, le futur opérateur italien devrait disposer d’équipes spécifiques

concernant la réglementation, les relations abonnés et le déploiement du réseau transalpin.

Iliad prévoit d’externaliser la fonction de gestion des relations avec les abonnés, au moins

pour le lancement. Avec un double objectif : dupliquer son modèle français, où les charges

fixes sont réduites au minimum, et bénéficier de la capacité d’un prestataire à gérer les

importantes charges de travail propres au lancement d’une offre. Mais Iliad ne s’interdit pas

d’acquérir en propre, par la suite, un site de relation client. ❚

29, rue de Châteaudun, 75308 Paris Cedex 09 ❙ RELATIONS CLIENTÈLE : Nadia Boufassa. TÉL. : 01 75 55 42 99 – FAX : 01 75 55 41 29

ISSN0399-8606

INTERNATIONAL

Support : La Lettre de l’ExpansionType : presse & NewsletterDiffusion : 1300 Abonnés (source : editeur)Par : philippe ReillerDiffusé le : 25/09/2017

Page 6: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

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Dans le prolongement du Sommet UA-UE, les figures emblématiques de l’Afrique de demain se réunissent à Abidjan les 1er, 2 et 3 décembre 2017, trois jours de réflexion et de partage, sous l’égide du Land of African Business (LAB) qui depuis trois ans, propose des expertises de haut niveau, inspirant des solutions novatrices dans une démarche sociétale inclusive, indiquent Alexia Chiche et Philippe Sclavon dans un communiqué transmis à VivAfrik.

Thème de cette 3ème édition : « Bancarisation : du cash a la banque », avec des experts faisant autorité, des institutions clés, et des profils atypiques. Loin des

grandes messes pro-africaines, où les officiants viennent se congratuler et distiller de bonnes intentions qui restent la plupart du temps embryonnaires, le LAB est un lieu de partage d’expériences et d’expertises au service de solutions concrètes qui tracent les chemins d’un développement pérenne, ajoute le document. Qui précise que neuf tables rondes réunissant économistes, financiers, chefs d’entreprises, universitaires et personnalités politiques, seront l’occasion de discussions interactives, autour des thématiques essentielles pour les porteurs de projets, parmi lesquelles : comment faciliter le financement des start-up face aux difficultés de la bancarisation ?, la blockchain : un graal pour l’Afrique ?, nouvelles monnaies numériques, quelles opportunités ? et enfin l’’accès à la terre, problématique du foncier lié à l’absence de bancarisation en zone rurale ?

Les African Rethink Awards, dénicheurs de Success StoriesCélébrant l’esprit d’entreprendre de la jeunesse africaine, ces rencontres permettront aussi à plus de 100 start-up, venues de tout le continent et prises en charge par le LAB, de défendre leur business model devant un parterre d’investisseurs, chefs d’entreprises et experts, dans le cadre des African Rethink Awards, dont les lauréats bénéficient d’un accompagnement de parrains impliqués tout au long de l’année. Cinq prix seront décernés : Grand prix – prix de la Francophonie – prix Agri-Tec – prix de l’entreprenariat Féminin – prix de la Meilleure start-up Ivoirienne.si l’on se fie à notre source, dénicheurs de success stories, les African Rethink Awards, ont révélé quelques pépites à l’image de Mariama Mamane (Jacigreen) qui transforme une plante nuisible en engrais naturel et en électricité, l’un des 20 projets les plus prometteurs en Afrique selon l’ONu, Christian Hafidh Mwijage (eCOACT) qui utilise des déchets plastiques pour construire des hôpitaux, des routes et des crèches, en matériaux de construction synthétique – Brenda Katwesigye (WAZI vIsION) qui offre aux écoliers des soins optiques et des paires de lunettes abordables conçues à partir de plastiques recyclés. Les femmes, au cœur des ac-tions de développement des territoires, seront également à l’honneur le dimanche, à travers deux tables rondes dédiées à l’économie du genre : comment combattre la fatalité ?, de l’usage et de la représentation de la femme dans les marques en Afrique.

de nombreuses personnalités africaines seront présentes, parmi lesquelles : Bruno Nabagne Koné, ministre de la Communication, de l’economie numérique et de la poste, porte-parole du gouvernement ivoirien, parrain de cette 3e édition du LAB – Françoise Assogba, ministre en charge de la Micro-Finance au Bénin – Touré Fama, président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte-d’Ivoire – Candace Nkoth Bisseck, fondatrice de digitalfordevelopment.org, qui travaille sur le numérique comme levier de développement – Mame Cafa sall, fondatrice du cabinet Kaizen spécialisé en développement personnel des managers et dirigeants et présidente de la commission leadership et compétitivité du Centre Africain de veille et d’intelligence économique (Cavie) – Omar Cissé, président d’In Touch, acteur majeur de la Fintech.

Fruit de ce foisonnement d’idées et d’initiatives, un livre blanc reprenant l’essentiel de ces échanges, formulera des recommanda-tions qui seront présentées lors d’une journée de débriefing «Back from Abidjan» le 16 mars 2018 au Conseil supérieur du Notariat Francophone à paris.

Support : Vivafrik.comType : WebPar : Moctar FicouDiffusé le : 26/10/2017Disponible sur : https://www.vivafrik.com/2017/10/26/la-cote-divoire-abrite-la-3eme-edition-du-lab-les-1er-2-et-3-decembre-2017-sous-le-theme-bancarisation-du-cash-a-la-banque-a12999.html

La Côte d’Ivoire abrite la 3ème édition du LAB les 1er, 2 et 3 décembre 2017 sous le thème “Bancarisation : du cash a la banque”

Page 7: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

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Land of African Business

Conférence organisée par le Think Tank Land of African Business et qui vise à faire se confronter les acteurs économiques et intellectuels. L’édition 2017 du LAB a pour thème \ »Bancarisation: du cash à la banque?\ ». C’est au cours de cette conférence que les Africa Rethink Awards sont décernés.

Organisateur : Land of African Businessdu 01 au 03 décembre 2017 à 9H00Thème : développementType : Conférenceville : AbidjanLieu : Chambre de commerce et d\’industrieAdresse : 6 avenue Joseph Anoma, AbidjanRécurent : nonTags : startups, économie, développement, banqueTagline : Tarif :gratuitNombre des visiteurs (année -1) :1000plus d’information : http://www.africa-salons.com/evenement/2017/10/31/eric-bazin-land-of-african-business-un-think-tank-de-die-aux-afriques-et-a-la-jeunesse-entrepreneuriale/

Support : Africa-salons.comType : WebDiffusé le : 31/10/2017 Disponible sur : http://www.africa-salons.com/salon/349-land-of-afri-can-business-2017-12-01-abidjan/

Annonce du LAB 2017 dans l’agenda

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eric Bazin, fondateur Land of African Business

La conférence Land of African Business (LAB) se tiendra cette année à Abidjan du 1er au 3 décembre 2017, avec le Baby Lab de Guiako Obin comme cheville ouvrière locale. Nous avons rencontré eric Bazin le fondateur du LAB, plateforme devenue une réfé-rence quand on parle de Business Afrique.

eric Bazin a conçu l’événement qui en est à sa 3ème édition comme un laboratoires d’idées où les acteurs du développement de l’Afrique – jeunes entrepreneurs, grands groupes, médias – peuvent se mettre autour d’une même table, pour mutualiser les bonnes pratiques. Bazin souligne la vocation humaniste du LAB.La thématique principale cette année sera la bancarisation, enjeu clé pour le développement de l’économie et des jeunes pousses. « Les jeunes entrepreneurs vont chercher des investissements, et ils rencontrent souvent une barrière » précise eric Bazin. Il espère que la conférence amènera les investisseurs à repenser leur approche.

Support : Africa-salons.comType : WebPar : KadjoDiffusé le : 31/10/2017Disponible sur : http://www.africa-salons.com/evenement/2017/10/31/eric-bazin-land-of-african-business-un-think-tank-dedie-aux-afriques-et-a-la-jeunesse-entrepreneuriale/

Eric Bazin (Land of African Business): « Un think tank dédié aux Afriques et à la jeunesse entrepreneuriale »

Page 9: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

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Comme à chaque édition, le LAB sera l’occasion de décerner les Africa Rethink Awards (ARA). 86 startups en provenance de 25 pays ont été sélectionnées, via des « ambassadeurs » et des incubateurs en activité sur le continent. Ces startups viendront pitcher tous les jours. Les jeunes pousses lauréates seront accompagnées par différents partenaires du LAB dont Innogence pulse et LA-BsN Avocats.

Le dimanche 3 décembre sera dédié à la thématique de la femme africaine, en présence des présidentes Afrique de L’Oréal, Google, Ipsos, Microsoft, Canal+ International.

Nous avons profité de cette rencontre pour demander à eric Bazin quelles étaient les tendances qu’il voyait se dessiner dans les économies africaines, depuis sa position d’organisateur d’un événement clé dans le Business Afrique.

Bien que soutien de startups par son activité, Bazin tient à souligner certains écueils dans la jeunesse entrepreneuriale, notamment ce qu’on pourrait appeler la « concourite » ou la multiplication de participations aux concours de startups.

Page 10: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

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Support : Le FigaroType : presseOJD : 305701 exemplairesPar : Yves ThréardDiffusé le : 02/11/2017

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dans le prolongement du sommet uA-ue, les figures emblématiques de l’Afrique de demain se réunissent à la Chambre de Com-merce et d’Industrie de Côte d’Ivoire (Abidjan), du 1er au 3 décembre 2017. Trois jours de réflexion et de partage, sous l’égide du Land of African Business (LAB) qui depuis trois ans, propose des expertises de haut niveau, inspirant des solutions novatrices dans une démarche sociétale inclusive.Loin des grandes messes pro-africaines, où les officiants viennent se congratuler et distiller de bonnes intentions qui restent la plupart du temps embryonnaires, le LAB est un lieu de partage d’expériences et d’expertises au service de solutions concrètes qui tracent les chemins d’un développement durable.

des tables rondes pluridisciplinaires, réunissant économistes, artistes, financiers, chefs d’entreprises, universitaires, jeunes entre-preneurs, experts et responsables politiques, seront l’occasion de discussions interactives, dans une approche transversale autour de thématiques essentielles pour les porteurs de projets, parmi lesquelles :• Comment faciliter le financement des start-up face aux difficultés de la bancarisation ?• La blockchain : Un graal pour l’Afrique ?• Nouvelles monnaies numériques, quelles opportunités ?• L’accès à la terre, problématique du foncier lié à l’absence de bancarisation en zone rurale ?

Célébrant l’esprit d’entreprendre de la jeunesse africaine, ces rencontres permettront aussi à plus de 70 start-up, venues de tout le

Support : FemmesEntrepreneures.ciType : WebPar : O’noryn KadioDiffusé le : 21/11/2017Disponible sur : http://femmesentrepreneures.ci/lafrique-de-demain-au-lab-abidjan/

L’Afrique de demain se rencontre à Abidjan !

Page 12: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

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continent et prises en charge par le LAB, de défendre leur business model devant un parterre d’investisseurs, chefs d’entreprises et experts, dans le cadre des African Rethink Awards, dont les lauréats bénéficient d’un accompagnement de parrains impliqués tout au long de l’année. Le cabinet d’avocats LABs-Ns Avocats, conseillera les jeunes entrepreneurs sur les questions juridiques liées à leurs activités. Gala paricheva, Oolith Avocats, protègera leur marque et autres brevets face aux appétits « carnassiers » de grands groupes. Grace Malanda, consultante en personal branding, les sensibilisera aux nouvelles stratégies digitales, tandis que douglas Mbiandou, fondateur de Ojis, proposera de les mentorer, etc.Les femmes, au coeur des actions de développement des territoires, seront particulièrement à l’honneur le dimanche 3 décembre, à travers deux tables rondes dédiées :•L’économie du genre : Comment combattre la fatalité ?•De l’usage et de la représentation de la femme dans les marques en Afrique.

Cliquez sur ce lien pour obtenir gratuitement des billets d’entrée.

pour plus d’information, visitez le site www.lelab.info et la page Facebook Land Of African Business.

A propos du LAB

Fondé en 2014 par eric Bazin, le Land of African Business (LAB) oeuvre à l’émergence de nouveaux modèles de développement plus respectueux de l’homme, qui contribuent à une croissance partagée et harmonieuse entre les populations et les générations, comme en témoignent les thématiques des tables rondes de l’édition 2017.

Le LAB se veut « un think tank tourné vers ‘les Afriques’, pour penser la mutation vers de nouveaux modèles de développement ».

Page 13: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

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Support : xxxType : xxxOJD : xxxPar : xxxDiffusé le : xxxDisponible sur : xxx

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Support : Tropiques FMType : WebDiffusion : 139000 Auditeurs (source : Médiamétrie)Par : Jean-Jacques seymourDiffusé le : 27/11/2017Disponible sur : http://tropiquesfm.herokuapp.com/records/emission-du-27-novembre

Jean-Jacques Seymour reçoit Eric Bazin pour parler du LAB et de l’entrepreneuriat Africain (16:19 minutes)

Page 14: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

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Support : African BusinessType : presseDiffusion : 80662 exemplaires (source : editeur)Par : Marie-France RéveillardDiffusé le : 27/11/2017Disponible sur : https://issuu.com/icpubs/docs/abf53_relaylr

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Du 1er au 3 décembre, se réunit à Abidjan le “Land of African Business” (LAB), un sigle obscur qui masque une confrérie fraternelle fondée en 2015 par Eric Bazin pour favoriser les start ups les plus prometteuses du continent.

Loin des grandes messes pro-africaines, où les officiants viennent se congratuler et distiller de bonnes intentions qui restent la plupart du temps embryonnaires, le “LAB” est un lieu de partage d’expériences et d’expertises inspiratrices de solutions concrètes qui tracent les chemins d’un développement pérenne. dans la foulée du sommet entre l’union européenne et l’union Africaine, les jeunes entrepreneurs “donnent corps à l’Afrique de demain”, selon le mot du créateur du LAB, eric Bazin, un ancien grand reporter de paris-Match amoureux du continent africain et totalement enthousiaste qui a lancé l’aventure en 2015.

Paris, Rabat, Abidjan

Le premier rassemblement du LAB, voici trois ans, s’est tenu dans le splendide Hotel de l’Industrie au coeur du quartier latin, que son propriétaire avait loué à un prix d’ami. Cette année, ce sera la Chambre de Commerce et d’Industrie d’Abidjan dans une Cote d’ivoire dont les performances économiques sont souvent saluées. une halte aura lieu jeudi, veille du rassemblement, dans les sa-lons privés de l’aéroport de Casablanca, où la Royal Air Maroc (RAM) organise une rencontre. entrepreneurs de tous pays africains, unissons nous!

A Abidjan, des experts reconnus, des institutions clés, et des profils atypiques, tous initiateurs d’écosystèmes variés et prometteurs, se rencontrent pendant trois jours. Ces acteurs de tous horizons peuvent collaborer et penser en toute liberté l’Afrique de demain. Cette troisième édition sera consacrée à la “Bancarisation, du cash à la banque”.

Support : Mondafrique.comType : WebPar : Nicolas BeauDiffusé le : 29/11/2017Disponible sur : https://mondafrique.com/lafrique-talents-existe-mon-dafrique-rencontre/

L’Afrique des talents existe, “Mondafrique” l’a rencontré

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Talents à promouvoir

Ces rencontres permettent aussi à plus de 100 start-up, venues de tout le continent, de défendre leur business model devant un parterre d’investisseurs, chefs d’entreprises et experts, dans le cadre des African Rethink Awards. Leurs lauréats bénéficient d’un accompagnement de parrains impliqués tout au long de l’année, aussi bien dans le domaine du droit que celui de la communication, du numérique ou de la défense des marques.

Les African Rethink Awards, ont révélé quelques pépites. Citons Christian Hafidh Mwijage (eCOACT), qui utilise des déchets plastiques pour construire des hôpitaux, des routes et des crèches, en matériaux de construction synthétique. Ou encore Brenda Katwesigye (Wazi vision) qui offre aux écoliers des soins optiques et des paires de lunettes abordables conçues à partir de plas-tiques recyclés.

Les sponsors sont nombreux à encourager cette initiaitive, d’ATOs et Canal + International à l’essec et à l’Association du Notariat francophone. Autant de bonnes fées qui, une fois n’est pas coutume, cherchent à promouvoir les entrepreneurs africains.

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L’Algérie sera représentée ce 1er décembre au African Rethink Awards (ARA) par le jeune agriculteur Jamel djeghidel. C’est un événement organisé par Le Land of African Business (LAB), un forum africain de réflexions et de solutions qui se tiendra à Abidjan (Côte d’Ivoire). Le LAB offre des trophées pour les jeunes entrepreneurs africains ou issus de la diaspora, dans l’objectif d’encoura-ger les initiatives répondants à différentes problématiques, qui concernent l’Afrique.

Comme indiqué dans le site du LAB, ce projet vise également à « promouvoir le développement économique et social du continent africain grâce à ses jeunes talents ». en plus de « mettre en lumière des projets prometteurs pour faire venir à eux le soutien finan-cier dont ils ont besoin, en particulier dans leurs premières phases de transformation ».

pour y participer, la startup devrait répondre à plusieurs critères, dont : exister depuis moins de 5 ans ; être porté(e) par un(e) entrepreneur (se) africain(e) ou issu(e) de la diaspora de moins de 35 ans ; intégrer les principes de Responsabilité sociétale des

Support : Liberte-Algerie.comType : WebPar : Imeèe AmokraneDiffusé le : 01/12/2017Disponible sur : https://www.liberte-algerie.com/actualite/lalgerie-sera-representee-par-un-projet-sur-la-lutte-contre-la-desertification-282128

#LIBERTEVENDREDI : AFRICAN RETHINK AWARDS (ARA) L’Algérie sera représentée par un projet sur la lutte contre la désertification

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entreprises (Rse) dans ses activités ; afficher des résultats positifs ; proposer un produit ou un service innovant.

pour le cas de Jamel djeghidel, il propose un projet répondant à la lutte contre la désertification et la pollution des sols, la création d’emplois pérennes et la valorisation de la biomasse, à travers sa startup pARIs-BRIsKA (pBA).

prenant attache avec la Rédaction digitale de « Liberté » (RdL), l’entrepreneur a indiqué son projet « s’inscrit dans l’économie circulaire zéro déchet en accompagnant les coopératives agricoles de dattes vers des pratiques durables et optimales ». Il a par ail-leurs rappelé son parcours, et la genèse du lancement de son entreprise. « Ayant hérité d’une palmeraie, j’ai à cœur de perpétrer ce savoir-faire dans une logique de développement local, durable et solidaire », a-t-il ajouté.

Ainsi, après avoir achevé ses études à l’esCp europe en entreprenariat sociétal, Jamel djeghidel a décidé de travailler autour de l’agrobusiness et de la Blue economy (économie circulaire) afin de valoriser et accompagner les producteurs de palmier dattier dans le monde.

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La 3ème édition de Land of African Business & African Rethink Awards a été ouverte le vendredi 01 décembre 2017 à la chambre de commerce d`Abidjan.

Support : Abidjan.netType : WebDiffusé le : 04/12/2017Disponible sur : https://news.abidjan.net/p/478093.html

3ème édition de Land of African Business & African Rethink Awards.

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un think thank (mot anglais), par sa définition est un groupe de réflexion ou laboratoire d’idées, il est généralement une structure de droit privé, indépendante de l’État ou de toute autre puissance, en principe à but non lucratif, regroupant des experts. L’activité principale d’un think thank est généralement de produire des études et d’élaborer des propositions, le plus souvent dans le domaine des politiques publiques et de l’économie.

Née dans les années 60 au etats unis, et propagé dans les années 2000, les think thank se sont propagé dans les pays an-glo-saxons,etla France. La Chine qui demeure le deuxième pays qui en compte le plus au monde.

Composé de membre issu de la société civile, d’experts, de décideurs, etc.…Ce réservoir de bonne volonté s’organise autour de débat, de colloque, de séminaire et de réunion.

L’Afrique, décidé d’être aux rendez de la mondialisation, et des grands défis du millénaire regorge également de plusieurs think thank qui apportent leur contributions et leur savoir faire dans les orientations sociales, politiques économiques et environnemen-tales de nos pays en voie de développement.

A ce titre Afrique 21 met un coup de projecteur sur Land of Afican Business-LAB qui est think thank africain qui se bat pour hisser haut le continent.

Support : Afrique 21Type : WebPar : Bouazi KouadioDiffusé le : 05/12/2017Disponible sur : http://afrique21.com/societe/think-thank-afrique-land-of-african-business-lab/

Think thank en Afrique: Land of African Business – LAB

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un think thank tourné vers « les Afriques » pour penser la mutation vers de nouveaux modèles de développement

Fondé en 2014, le Land of African Business – LAB – est un cercle de réflexion riche de l’expertise de ses membres et des opportu-nités d’actions pour l’Afrique. Ambitieux dans la mise en relation d’acteurs concernés par les défis émergents du développement et de la croissance africaine, il a acquis, grâce à sa 1ère édition lors de la COp21 à paris, une forte reconnaissance sur la scène inter-nationale. Le LAB rassemble et sensibilise au changement global de nos modes de vie et de gouvernance des acteurs économiques, académiques, associatifs, institutionnels et médiatiques du continent africain

Chaque année, le LAB organise le programme des African Rethink Awards (ARA), qui récompense des entreprises innovantes et performantes dont le modèle est duplicable sur le continent africain.

pour cette édition 2017, la mission du LAB s’est déclinée en plusieurs objectifs:

– encourager les initiatives qui répondent efficacement aux problématiques de mutation sociétale, économique, sociale et environ-nementale de l’Afrique,

– soutenir l’esprit d’entreprise, indispensable pour mailler le tissu économique des pays africains d’un secteur privé dynamique, proche des besoins de ses consommateurs,

– Mettre en lumière des projets prometteurs pour faire venir à eux le soutien financier dont ils ont besoin, en particulier dans leurs premières phases de transformation.

NB: Les inscriptions pour la 3ème édition de (LAB) qui s’est tenu les 1er – 2 et 3 décembre dernier à Abidjan, se poursuivent via l’application B2B

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Outil informatique créé pour développer le bitcoin, monnaie virtuelle, la blockchain permet d’envisager différentes applica-tions adaptées aux spécificités du continent africain.

Beaucoup présentent la blockchain comme une solution miracle pour l’Afrique, celle qui fabrique la confiance, joue la transparence, démocratise, supprime les coûts de transaction... Bref, l’avancée technologique qui va permettre au continent de réaliser un bond, un leapfrog (ou saut de grenouille) à l’image de ce qui s’est passé avec la téléphonie mobile. « La blockchain est une révolution silencieuse. elle oblige à repenser les modèles un peu partout : dans la banque, l’administration... et même dans le métro », détaille l’hebdo belge Le vif.

pour les non-initiés, la blockchain reste un obscur outil numérique. pourtant, tout le monde a entendu parler du bitcoin, la mon-naie virtuelle. et bien justement, la blockchain est l’outil développé pour créer et échanger le bitcoin. Chaque transaction est inscrite dans la blockchain, qui fonctionne comme un registre public en accès libre, stockée de manière décentralisée. Les transactions sont validées en ligne sans passer par une autorité centrale : les blocs de transactions codés et authentifiés s’ajoutent les uns aux autres par ordre chronologique dans le registre numérique, formant une «blockchain».peu à peu, le bitcoin se fraye un petit chemin en Afrique. Notamment au Kenya, en Ouganda et en Afrique du sud, la crypto-mon-naie sert de base à des transferts d’argent. déjà vivement concurrencées par les opérateurs de téléphonie mobile, qui dans le sillage du succès de safaricom au Kenya avec le M-pesa, développent des services de transfert d’argent via sMs, les banques s’intéressent de près aux monnaies virtuelles. La standard Bank en Afrique du sud expérimente une plateforme de compensation en bitcoins. de son côté, la start-up kenyane Bitpesa, a développé une plateforme de paiement basée sur la blockchain de bitcoin. elle offre ses services exclusivement aux entreprises pour effectuer des transactions, principalement à l’international.

Transparence et traçabilitéAu-delà de la création de crypto-monnaies, la blockchain offre aujourd’hui des opportunités multiples notamment grâce à la décentralisation des transactions qu’elle permet, la sécurité et la transparence qu’elle apporte. Certains parlent alors de « machine à confiance ». La blockchain peut faciliter les transferts de fonds internationaux et pallier l’inexistence ou la défaillance d’un système bancaire.Les applications de la blockchain ne se limitent pas à la sphère financière. elle permet par exemple de créer un cadastre virtuel. Au Ghana, un projet pilote est mené dans la ville de Kumasi (capitale de la région Ashanti) par Bitland qui compte bien déployer sa solution dans de nombreux pays africains. d’autres projets portent sur la gestion de registres d’identités, de la propriété intellec-tuelle… Grâce à la traçabilité qu’elle confère, la blockchain peut être utilisée dans la lutte contre les faux médicaments, ou la traçabilité des différentes matières premières agricoles, comme le café, le cacao ou le bois, mais aussi pour des produits miniers et notamment le coltan ou les diamants. elle peut aussi appuyer la certification des diplômes et des documents administratifs. « Nous sommes convaincus que la blockchain est un levier de croissance inédit pour l’Afrique. dans un environnement faiblement bancarisé, où la dynamique d’innovation est exemplaire et le marché des services mobiles en pleine explosion, ce protocole infor-matique est une chance extraordinaire pour les Africains », s’enthousiasme sophie Chambon, directrice Rse et conseillère Afrique chez Atos.

Des limitesMalgré toutes ces opportunités, il ne faut pas fermer les yeux sur les limites de cette technologie. pour être déployé et bien fonction-ner, cet outil doit d’abord bénéficier d’un cadre juridique approprié. À ce jour, il n’existe pas... sauf en estonie. Les pouvoirs publics vont devoir se pencher sur le dossier. du point de vue technique, les limites sont liées à la jeunesse de l’outil et à sa complexité tech-

Support : Les Echos .frType : WebOJD : 18849777 visitesPar : eric BazinDiffusé le : 07/12/2017Disponible sur : https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-176691-blockchain-machine-a-confiance-ou-chimere-pour-lafrique-2136523.php

Blockchain, machine à confiance ou chimère pour l’Afrique ?

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nique à sa relativement faible capacité de traitement des informations. La blockchain du bitcoin peut traiter au maximum 600 000 transactions par jour, loin derrière les 24 millions traités par le réseau de transactions interbancaires swift. en outre, le traitement de grand nombre d’informations implique un fonctionnement énergivore. « À titre d’exemple, la «blockchain» du bitcoin qui pèse aujourd’hui 78 gigaoctets consomme aux alentours de 600 mégawatts (MW) d’énergie », révèle sciences et Avenir.

(1) Le vif : https://trends.levif.be/economie/banque-et-finance/blockchain-l-outil-qui-va-revolutionner-le-business/ar-ticle-normal-748195.html

(2) sciences et Avenir : https://www.sciencesetavenir.fr/high-tech/promesses-et-limites-de-la-technologie-blockchain-nouvel-eldorado-de-la-finance_36846

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ENTRETIEN. En prolongement du sommet UA-UE d’Abidjan, le Land of African Business a fait son retour aux côtés des jeunes pousses africaines. Son fondateur s’est confié au Point Afrique.

un tournant ? La troisième édition du Land of African Business (LAB), qui s’est tenu pour la première fois en Afrique, vient de refermer ses portes à Abidjan, capitale économique de la Côte d’Ivoire. pourtant, son fondateur, le Français Éric Bazin, ne rêve que d’une chose : lui donner toute sa dimension africaine dans les prochaines années. Reconnu pour être un lieu d’échanges privilégié des innovations africaines, le LAB s’est spécialisé dans les initiatives transversales. Au départ, dans l’écologie et l’environnement, dans le cadre des Ateliers de la terre qu’organisait eric Bazin de 2005 à 2014. puis, en 2015, le rassemblement a pris un virage à presque 180 degrés sur un terrain où on ne l’attendait pas : le numérique. plus précisément dans l’accompagnement de start-up africaines.

L’an passé déjà, eric Bazin, ancien journaliste-reporter pour paris Match et d’autres supports, avait rassemblé à paris une centaine de start-up venues du continent pour débattre sur des sujets centraux, et surtout pour « pitcher » des propositions de projets. À la clé : un suivi avec des spécialistes et des sponsors de renom !

Mais voilà, Éric Bazin eut la mauvaise surprise de découvrir le peu d’entrain manifeste de certains des participants aux concours du LAB 2016. une seule parmi les neuf gagnants, initiatrice d’un projet à Madagascar, sollicita un mentoring sur l’entreprenariat concocté par sciences po, partenaire du LAB. si le sujet est tabou dans le milieu, Éric Bazin met les pieds dans le plat : « Il faut que ces jeunes s’occupent à plein temps de leur start-up, qu’ils s’y investissent et surtout qu’ils arrêtent de prendre l’avion à tout va ! »

Support : Le Point Afrique .frType : WebPar : viviane ForsonDiffusé le : 15/12/2017Disponible sur : http://afrique.lepoint.fr/economie/numerique-eric-ba-zin-start-up-africaines-croyez-en-vous-15-12-2017-2180406_2258.php

Numérique - Éric Bazin : « Start-up africaines : croyez en vous ! »

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dans un exercice de franchise plutôt direct, le fondateur du LAB revient sur les pistes de réflexion menées afin de voir pérennisée son initiative en Afrique. un défi qu’il veut vite relever, à en croire l’élan suscité à Abidjan où plus de 70 start-up ont défendu leur business model devant un parterre d’investisseurs, de chefs d’entreprise et d’experts. Tout cela en plus des African Rethink Awards, une remise de prix où les lauréats peuvent bénéficier d’un accompagnement de parrains impliqués tout au long de l’année.

Cerise sur le gâteau, avant de rejoindre Abidjan, de nombreux entrepreneurs devant passer par Casablanca ont participé à « start-up in The Airport ». Conçu pour éviter la longue attente des entrepreneurs à l’aéroport de Casablanca, le LAB les a invités à un mentoring original, proposé par Royal Air Maroc, dans ses salons privés de l’aéroport et prodigué par les professeurs de l’essec Afrique Atlantique de Rabat.

Le Point Afrique : Comment le LAB compte s’implanter durablement en Afrique ?

Éric Bazin : Aujourd’hui, ce qui est intéressant, c’est de travailler avec des start-up et décideurs qui sont sur le terrain. C’est le cas d’Incub’Ivoir, l’incubateur ivoirien avec lequel nous avons organisé la troisième édition du LAB. On leur a donné carte blanche pour nous accompagner sur la stratégie digitale de l’événement. On veut pouvoir s’appuyer sur des initiatives diverses dans le numérique que mènent, par exemple, l’OIF ou la BpI, et qui nous semblent plus concrets et font moins de divagations que d’autres. L’ambition du LAB est d’amorcer une démarche pérenne pour rester sur le continent, tout en programmant une journée de restitution à paris.

L’objectif amorcé dans cette troisième édition est clairement de rester en Afrique. en Côte d’Ivoire, ce serait bien, mais on peut aussi se déplacer vers d’autres pays. L’idée est de trouver des partenaires solides, comme Atos, system u, bien implantés dans plusieurs pays, notamment en Afrique de l’Ouest. en Côte d’Ivoire, il y a le programme phoenix du gouvernement entièrement dédié aux pMe qui nous intéresse, car il ambitionne de créer cinq grands incubateurs. sur le papier, c’est magnifique, mais ils ne savent pas encore avec qui le faire ni quoi mettre dedans. Notre ambition serait d’accompagner des relais comme celui-ci pour faire grandir les start-up et entrepreneurs africains.

Que faut-il retenir du cru 2017 du LAB ? Et comment comptez-vous faire la différence sur ce terrain en Afrique ?

Il faut surtout noter que ce sont les projets de terrain qui ont le vent en poupe. Ceux qui gagnent les concours ou intéressent les investisseurs viennent de start-up très concrètes, qui ont les mains dans le cambouis, et ça, c’est une sacrée avancée. parce que les start-up qui naissent de-ci, de-là au printemps et disparaissent malheureusement à l’hiver, il y en a beaucoup, et c’est dommage. et c’est exactement pour éviter ces « disparitions prématurées » que nous sommes là.

Aujourd’hui, avant de se lancer, il faut vraiment se demander « de quoi a-t-on besoin ? ». Les idées sont là, surtout dans le domaine de l’agriculture. parce que je crois qu’il faut répondre aux préoccupations des populations à propos de la nourriture qui va manquer, etc. L’Afrique doit penser à se nourrir elle-même.

pourquoi j’insiste sur cette idée ? parce que, si vous remarquez, il n’y a rien d’original à organiser une compétition de start-up. Il en existe à foison. Mais notre spécificité est de proposer un accompagnement inédit pour ces jeunes entrepreneurs, avec un cabinet d’avocats spécialisé sur ces sujets du digital et du droit Ohada. Chez nous, les quinze arrivés en tête du concours vont recevoir des conseils pour structurer leur projet, bien connaître le droit Ohada, les droits à la propriété intellectuelle, etc.C’est important. savez-vous qu’il y a plus de pillages d’idées de projets qu’on ne le croit ? Certains jeunes se font voler leurs idées, et parfois par de grands groupes étrangers. On veut protéger ces jeunes dès le départ, avec, par exemple, le soutien de nos partenaires : le cabinet d’avocats LABs-Ns Avocats conseillera les jeunes entrepreneurs sur les questions juridiques liées à leurs activités. Gala paricheva, d’Oolith Avocats, protégera leur marque et autres brevets face aux appétits « carnassiers » de grands groupes. Grace Ma-landa, consultante en personal branding, les sensibilisera aux nouvelles stratégies digitales, tandis que douglas Mbiandou, fonda-teur de Ojis, proposera de les mentorer, etc.

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De quels moyens financiers le LAB dispose-t-il ?

sur le plan financier, on prend totalement en charge les gagnants du concours grâce à nos partenaires privés, tels que Canal+, la Royal Air Maroc (RAM), Atos, la Fondation Hirondelle et d’autres. Le LAB, c’est quand même un budget de 300 000 euros par an !

Quels sont les autres besoins que vous avez identifiés et auxquels vous souhaitez répondre ?

Les start-up manquent de cadre. Certaines d’entre elles partent dans tous les sens. Nous ne sommes pas là pour donner des leçons, mais on préfère annoncer la couleur. C’est primordial de donner un cadre à son entreprise. Il y a certes des projets qui ne sont pas mûrs, qui peuvent, le temps faisant son travail, acquérir une légitimité. Après, il y a des projets qui sont particulièrement utiles, je crois qu’il ne faut pas perdre de vue cette notion d’utilité. dans nos critères, on regarde non seulement le côté innovant, mais aussi le côté performant, car il faut gagner de l’argent, c’est clair. Mais, à mon sens, il faut aussi que ça soit duplicable parce que ça ne sert à rien d’inventer un projet, une solution, qui ne sert qu’à une minorité. Autant satisfaire un grand nombre. en particulier sur l’agri-culture, les entrepreneurs débordent d’idées parfois très simples mais très constructives pour le plus grand nombre.

Mais la question des moyens reste le nerf de la guerre...

vous avez raison. Aujourd’hui, les start-up et les entrepreneurs ont surtout besoin de moyens. On ne peut plus faire sans l’Afrique depuis quelque temps et je pense que c’est inconcevable et incontournable. Ce qui me trouble, ce sont tous ces jeunes qui ont besoin qu’on leur donne les moyens des ambitions de leur start-up, qu’on les forme, qu’on leur donne un cadre.

et c’est là où il faut savoir interpeller les pouvoirs publics, les dirigeants, les ministres. Je conseille aux start-uppers de se tourner vers les pouvoirs publics, de croire en eux, en leurs projets, de se donner d’abord les moyens de réussir, en étant présents dans leurs entreprises, de suivre l’évolution au quotidien de leur structure, ensuite d’insister auprès des dirigeants. parce que, pour l’instant, j’observe que beaucoup sont livrés à eux-mêmes. Mis à part certains qui ont mis en place des fondamentaux, une structuration claire et des garde-fous, j’observe bien souvent que la moindre sortie de route peut être fatale !On veut absolument aider ces jeunes, les soutenir. et ce, malgré des anecdotes qui sont cruelles pour nous. Quand on perd des partenariats parce que les jeunes entrepreneurs ne se motivent pas assez ou sont tout le temps dans l’avion – c’est vraiment difficile. Aucun des jeunes parmi les neuf vainqueurs des prix de 2015 n’a participé au mentoring de science po qui avait lieu jusqu’à six mois après la remise des prix, malgré nos relances. une seule a finalement assisté à cette formation.

Dans l’accompagnement des start-up aussi, ça bouge, notamment du côté des investisseurs...

Cette année, nous avons pu compter sur GreenTec Capital partners, une société de capital-risque basée à Francfort et dirigée par Érick Yong (un proche de la chancelière allemande Angela Merkel) dont l’objectif est le développement de pMe et start-up à voca-tion impact en Afrique. Ils ont un modèle qui consiste a s’immerger totalement durant six mois dans une start-up au choix, d’obser-ver au plus près avant d’investir ou pas. Ils viennent de mettre un ticket d’un million d’euros dans une start-up camerounaise... dont le nom ne sera pas divulgué ici.

Quelques pépites révélées par le LAB depuis trois ans :

Mariama Mamane est la fondatrice de Jacigreen, qui transforme une plante nuisible en engrais naturel et en électricité, l’un des 20 projets les plus prometteurs en Afrique, selon l’ONu.

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Grand prix décerné par la Royal Air Maroc à Lifi Led, un projet porté par l’Ivoirien Ange Frederick Balma. Lifi Led a pour am-bition de résoudre, grâce à la transmission des données par la lumière, le problème de l’inaccessibilité à Internet haut débit et au déficit énergétique des populations situées dans les régions délaissées par les opérateurs de téléphonie mobile et distributeurs d’élec-tricité domestique.

prix de la francophonie attribué par l’Organisation internationale de la francophonie à Grainothèque de daniel Oulai, un jeune Ivoirien concepteur d’une application mobile qui aide les agriculteurs à reconnaître les principaux ravageurs et quelques désordres physiologiques pouvant toucher les cultures des zones tropicales afin d’améliorer les récoltes.

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prix de l’entrepreneuriat féminin désigné par Canal+ pour la Nigériane Miss Tope Omotolani, une plateforme qui donne aux Nigé-rians la possibilité de participer à l’agriculture en sélectionnant le type de fermes qu’ils veulent parrainer.

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prix de la meilleure start-up Ivoirienne dispensé par BRvM à sevi samuel N’Guessan Gbekon, lui aussi dans l’agriculture. Il est le créateur d’une solution permettant de mieux protéger les récoltes de caoutchouc des eaux de pluie, qui provoquent des dégâts considérables (jusqu’à 35 % de perte) et détériorent la qualité du produit. « son « protège-tasse à latex d’hévéa sIve » répond à peu de frais à une problématique essentielle des paysans », résument les organisateurs du LAB.

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prix Agritech décerné par la société générale à Biophyto, du Béninois Gildas Zodome. Fondateur d’une entreprise solidaire qui produit et commercialise des intrants biologiques à base de ressources naturelles locales, respectueux de la santé publique et de l’environnement pour assurer la protection et la croissance des végétaux.

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Support : TV5 MondeType : TvDiffusion : 7331000 Télespectateurs (source : Médiamétrie)Par : Xavier LambrechtsDiffusé le : 17/12/2017Disponible sur : http://www.tv5mondeplus.com/toutes-les-videos/infor-mation/64-le-monde-en-francais-hiver-2017-part-1-edition-du-17-12-17-part-1

Eric Bazin revient sur le LAB 2017, en direct dans le 64 Minutes

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Les jeunes africains rencontrent les mêmes difficultés en Afrique qu’en Europe pour lancer leur entreprise mais dans un contexte bien différent. Comment soutenir les porteurs de projets dans le domaine des innovations numériques, des énergies renouve-lables… Comment encourager la jeunesse au service de l’Afrique de demain ? Au micro de Sophie Nouaille pour aller plus loin le fondateur de Land of African Business et celui de Youscribe:

• eric Bazin, journaliste et grand reporter depuis 30 ans, co-fondateur des Ateliers de la Terre en 2006, Think Tank pour le déve-loppement durable et la Rse. Fondateur également du Land of African Business ( LAB) , qui du 1er au 3 décembre a accueilli à Abidjan ( Côte d’Ivoire) les figures emblématiques de l’Afrique de demain, pour partager leurs expériences et leurs expertises au service de solutions concrètes qui tracent les chemins d’un développement pérenne. une manifestation qui met également en lumière les jeunes entrepreneurs africains récompensés par les African Rethink Awards qui ont révélés quelques pépites lors des éditions précédentes. Les African Rethink Awards (ARA) visent à mettre en valeur les start-up innovantes dans les domaines économique, social, ou environnemental, avec une activité centrée sur l’Afrique.

• Juan pirlot de Corbion: fondateur de Youscribe, une bibliothèque numérique francophone sur mobile, lauréate du Challenge digital Africa, qui récompense l’innovation numérique en Afrique, remis dans le cadre du sommet uA-ue. une initiative qui constitue l’une des réponses au défi éducatif et participe à l’attractivité du français et de la culture francophone sur le continent, dont le président emmanuel Macron vient de faire un objectif prioritaire.

Support : Radio Notre DameType : RadioDiffusion : 126000 Auditeurs (source : Médiamétrie)Par : sophie NouailleDiffusé le : 18/12/2017Disponible sur : https://radionotredame.net/emissions/enquete-desens/18-12-2017/

Comment encourager la jeunesse au service de l’Afrique de demain ? Eric Bazin témoigne, de retour d’Abidjan (1h)

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Support : Géopolis Afrique / France TélévisionsType : WebPar : Laurent Ribadeau-dumasDiffusé le : 19/12/2017Disponible sur : http://geopolis.francetvinfo.fr/les-startups-sont-elles-l-avenir-de-l-afrique-172603

Les startups sont-elles l’avenir de l’Afrique?

dans une startup à Nairobi (Kenya) le 28 juin 2017© ReuTeRs/siegfried Modola

Le LAB (Land of African Business), qui se définit lui-même comme un «think tank dédié à l’Afrique», organise depuis trois ans les African Rethink Awards («prix pour repenser l’Afrique»), qui «célèbrent l’esprit d’entreprendre de la jeunesse africaine». et récom-pensent des startups africaines. Rencontre avec le fondateur du Lab, eric Bazin, un ancien journaliste.

Dans le dossier de presse des African Rethink Awards, vous expliquez que «72% des jeunes Africains se disent attirés par l’en-treprenenariat». Un chiffre étonnant. D’où vient-il?Il émane de la Banque Africaine de développement (BAd) qui couvre l’ensemble des pays du continent. effectivement, il peut paraître étonnant. Il est à la fois légitime et paradoxal. Légitime parce que l’entreprenariat est une échappatoire pour des jeunes souvent non diplômés et qui n’ont pas de porte de sortie. paradoxal parce que ces jeunes n’ont pas forcément la possibilité de créer une entreprise.

personnellement, ce chiffre ne me surprend pas. Car quand on est au contact de cette jeunesse, on voit qu’elle a envie de faire bouger les choses. elle est gourmande, elle représente une force de proposition. elle a envie de réaliser des projets. de fournir des offres par rapport à des demandes non satisfaites.

Regardez ce que dit le «baromètre d’opinion des chefs d’entreprise» de la Conférence permanente des chambres consulaires africaines et francophones: 12% des chefs d’entreprise interrogés ont moins de 30 ans!

Qui sont ces jeunes?des jeunes de milieux urbains, éduqués, qui n’ont pas forcément un parcours universitaire. une jeunesse émergente qui se sent parfois un peu perdue.

Et qu’en est-il de tous ceux qui migrent en Europe?Ils appartiennent à une jeunesse d’origine rurale, totalement abandonnée, complètement perdue, qui tente le tout pour le tout. pour autant, cela ne veut pas dire que les jeunes entrepreneurs délaissent les milieux ruraux. Ils portent une attention particulière à l’agri-culture. L’agro-business est d’ailleurs le domaine numéro un des startups qu’ils créent.

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Table-ronde d’entrepreneurs africains le 13 octobre 2017 à Lagos (Nigeria), dans le cadre du 3e forum annuel de la Fondation Tony elumelu. Laquelle a soutenu 3000 startups africaines. © AFp - vIRGINIe NGuYeN HOANG - HANs LuCAs

Les startups sont-elles vraiment une structure économique d’avenir pour le continent?personnellement, j’en suis persuadé. Les startups sont des structures qui correspondent bien à ces jeunes. Autonomes dans leur tête, ils peuvent être freinés dans leur développement par les etats de leurs pays. dans le même temps, ils sont aidés par les institutions internationales et des etats étrangers: BAd, Banque Mondiale, Allemagne, etats-unis, union européenne, France (au travers d’orga-nismes comme BpI France, l’AFd…).

Pourquoi les Etats africains sont-ils réticents?Ils ne sont pas conscients ou convaincus du problème. Ils regardent avec crainte cette jeunesse rafraîchissante, brillante. dans ce contexte, les projets des jeunes peuvent se retrouver entravés. Regardez l’initiative Boost Africa, lancée par la BAd et la Banque eu-ropéenne d’Investissement (BeI) en novembre 2016. Les fonds sont là: 30 millions d’euros sont ainsi disponibles. Mais le projet est bloqué par la bureaucratie, le manque de conviction des dirigeants africains.

Dans ce contexte, comment les startups de ces jeunes parviennent-elles à percer?Face au manque de compétences et d’appétences de leurs pouvoirs publics, il faut souligner le rôle solide et essentiel des incubateurs. Il s’agit de structures dédiées à l’entreprise, financées par des entreprises internationales, la BAd, la Banque Mondiale... Ce sont des partenaires qui ont des racines vraiment locales, qui sont diplômés. A leur tête, on trouve beaucoup de «repats», ces jeunes partis étu-dier à l’étranger qui reviennent dans leur pays. Ils créent, bâtissent, font des propositions à des jeunes en manque d’accompagnement.

Pourquoi en parle-t-on si peu?C’est tout le problème ! Ils ne sont pas connus aussi parce qu’ils ne savent pas se vendre, se valoriser. pourtant, rien qu’à Abidjan, il y a trois incubateurs.

A-t-on une idée du nombre d’emplois créés par les startups en Afrique?Il est difficile de répondre à la question. Mais je vous citerai un chiffre fourni par la chambre de commerce et d’industrie ivoirienne: en Côte d’Ivoire, on estime à 100.000 le nombre d’emplois créés. C’est infime quand on considère le taux de chômage. Mais c’est im-portant quand on sait qu’on sort là de l’économie informelle.

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Plateformes participatives, business angels, programme de prêts à taux zéro, fonds d’amorçage ou capital-risque... De nou-veaux modes de financement émergent pour les start-up africaines.

Oubliées les banques classiques ou plutôt leurs produits classiques. peu flexibles et frileuses face aux risques, elles ne jouent qu’un rôle marginal dans le développement des start-up. en zone rurale, la faible densité du réseau bancaire les incitent à se tourner vers d’autres solutions, comme les Fonds d’amorçage ou de capital-risque, les business angels ou les plateformes participatives. en Afrique, leurs besoins sont évalués à quelque 140 milliards de dollars par an.

en 2016, 77 startups issues du continent africain sont parvenues à lever 366,8 millions de dollars auprès d’investisseurs, selon le fonds de capital-risque partech ventures. Ces chiffres sont basés sur les levées de fonds supérieures à 200 000 dollars, autant dire la pointe de l’iceberg, et révèlent la forte concentration de ses gros financements sur trois pôles géographiques : au Nigeria dans la « Yabacon valley », au Cape en Afrique du sud et au Kenya dans la « silicon savannah ». seuls 10 % d’entre eux ont été captés par des start-up francophones, essentiellement au sénégal, en Côte d’Ivoire, au Rwanda, au Maroc et en Tunisie.

Francophones versus anglophones

en Afrique francophone, la levée de fonds relève du parcours d’obstacles. Au sénégal, Mamadou Niane a bien fait le tour des banques de la place, que des refus. Il a aussi fait du porte-à-porte auprès des grands patrons sénégalais, qui ont fait la sourde oreille. Cela ne l’a pas arrêté. Finalement, c’est auprès d’investisseurs français qu’il lèvera ses premiers fonds pour lancer Afrimalin, une plateforme de petites annonces. « Xavier Niel [le fondateur de Free], il répond aux emails et te dit s’il est intéressé ou pas », glisse-t-il dans une conversation à battons rompus. Il regrette aussi que l’aide à l’innovation publique et à l’entrepreneuriat reste le plus souvent au stade de l’effet d’annonce.

À l’occasion d’une tournée pour lever des fonds en europe organisée par CcHuB, le premier incubateur nigérian, en septembre dernier, Mafal Lo, co-fondateur de Firefly Média - start up sénégalaise dans le domaine de la publicité, confiait que les anglophones étaient bien rodés à ce type d’exercice : quand ils se lancent, ce n’est pas pour lever quelques milliers de dollars, mais plutôt un mil-lion, voire plus.

Les grandes organisations comme la Banque mondiale ou les agences de développement se penchent sur la question du finance-ment. L’Agence française de développement (AFd) à travers le programme Afrique Innovation propose des prêts à taux zéro, pour des emprunts compris entre 10 000 et 30 000 euros. en novembre, la Banque mondiale a lancé son incubateur XL Africa qui devrait accueillir une vingtaine de start-up dans le domaine de la technologie. en plus d’un accompagnement personnalisé, elles pourront lever des capitaux, entre 250 000 et 1,5 million de dollars.

Les leviers

pour les jeunes pousses, l’hébergement au sein d’un incubateur peut faciliter la levée de capitaux. CTIC à dakar a initié le pro-gramme BuntuTeki dont l’objectif est de soutenir une dizaine de projets par an, en partenariat avec Tigo. On parle de fonds d’amor-çage.

elles peuvent aussi tenter leur chance en participant à des concours destinés à révéler les champions de demain comme le prix Orange de l’entrepreneur social en Afrique, le startupper de l’année organisé par Total ou la Global social venture Competition de

Support : L’Opinion .frType : WebDiffusion : 1137000 visiteurs uniques par mois (source : Google Analytics)Par : eric BazinDiffusé le : 21/12/2017Disponible sur : http://lopinion.fr/edition/economie/eric-bazin-nou-veaux-modes-financement-emergent-start-up-africaines-140204

Eric Bazin : « De nouveaux modes de financement émergent pour les start-up africaines »

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l’université de Californie à Berkeley.

pour passer à l’étape supérieure, grandir et conquérir de nouveaux marchés, les start-up peuvent se tourner vers des fonds spécia-lisés dans le capital-risque. Créé en 2015, Teranga Capital, au sénégal, doté de près de 6 millions d’euros, a octroyé ses premiers financements. « Ils sont réalisés sous la forme de prises de participation minoritaire au capital et, en complément, de prêts d’action-naire participatifs », précisent les co-fondateurs Omar Cissé et Olivier Furdelle. Orange a annoncé en juin la création d’un fonds doté de 50 millions d’euros spécialement dédié aux jeunes pousses africaines. Même l’économie verte a son fonds. GreenTec Capital partners a annoncé début décembre son premier investissement dans une start up africaine francophone, la béninoise Bio phyto Collines spécialisée dans la production d’intrants naturels. « Nous prévoyons un financement de 300 k, dans l’année ainsi qu’un soutien opérationnel », précise erick Yong le président de GreenTec.

Autre possibilité, le recours à des business angels. des particuliers qui investissent leur argent dans des entreprises prometteuses, mettant également à contribution leurs réseaux, leur expertise et leur expérience pour favoriser le développement de ces dernières. Après l’Afrique du sud, le Nigeria et le Kenya, les réseaux de business angels éclosent aujourd’hui en Afrique francophone. Le ré-seau panafricain ABAN en dénombre 64 en Afrique dont 22 dans des pays francophones.

pour compléter leurs fonds propres, certaines start-up africaines ont aussi recours au financement participatif, via des plateformes de crowdfunding. Faso soap a ainsi pu lever 71 000 euros pour son projet de savon antipaludéen. sunna design, spécialiste du lam-padaire solaire, a elle, fait appel à une plateforme de crowdlending (prêt) pour lever 500 000 euros. Le particulier qui apporte son épargne se voit offrir en échange un taux d’intérêt de 6 % sur la somme prêtée.

dans l’avenir, d’autres canaux de financement apparaîtront, notamment grâce aux nouvelles technologies. On peut imaginer des levées de fonds via des applications boursières sur smartphone.

eric Bazin est fondateur du Land of African Business

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Dans le prolongement du Sommet UA-UE, les figures emblématiques de l’Afrique de demain se réunissent à Abidjan, pour trois jours de réflexion et de partage, sous l’égide du Land of African Business (LAB) qui depuis trois ans, propose des expertises de haut niveau, inspirant des solutions novatrices dans une démarche sociétale inclusive.Thème de cette 3ème édition : « BANCARISATION : DU CASH A LA BANQUE », avec des experts faisant autorité, des institutions clés, et des profils atypiques.

Loin des grandes messes pro-africaines, où les officiants viennent se congratuler et distiller de bonnes intentions qui restent la plupart du temps embryonnaires, le LAB est un lieu de partage d’expériences et d’expertises au service de solutions concrètes qui tracent les chemins d’un développement pérenne.

Neuf tables rondes réunissant économistes, financiers, chefs d’entreprises, universitaires et personnalités politiques, seront l’occasion de discussions interactives, autour des thématiques essentielles pour les porteurs de projets, parmi lesquelles :

• Comment faciliter le financement des start-up face aux difficultés de la bancarisation ?

• La blockchain : Un graal pour l’Afrique ?• Nouvelles monnaies numériques, quelles opportunités ?• L’accès à la terre, problématique du foncier lié à l’absence de bancarisation en zone

rurale ?

Les African Rethink Awards, dénicheurs de Success Stories

Célébrant l’esprit d’entreprendre de la jeunesse africaine, ces rencontres permettront aussi à plus de 100 start-up, venues de tout le continent et prises en charge par le LAB, de défendre leur business model devant un parterre d’investisseurs, chefs d’entreprises et experts, dans le cadre des African Rethink Awards, dont les lauréats bénéficient d’un accompagnement de parrains impliqués tout au long de l’année.

Cinq Prix seront décernés : Grand Prix - Prix de la Francophonie - Prix Agri-Tec - Prix de l’Entreprenariat Féminin - Prix de la Meilleure Start-Up Ivoirienne.

Dénicheurs de Success Stories, les African Rethink Awards, ont révélé quelques pépites à l’image de Mariama MAMANE (JACIGREEN) qui transforme une plante

A propos du LAB Lieu de partage des meilleures pratiques environnementales, économiques, sociales, éducatives et culturelles développées sur le continent, le « Land of African Business » a pour ambition : •D’animerlaviedesidéespourguider la vision à long terme des acteurs africains. •Devaloriserlesinitiativesinnovantes, notamment à travers un programme fort de soutien aux jeunes entreprises du continent et de la diaspora. •D’enrichirlesréseauxd’influence, et faciliter la collaboration entre sphères publiques et privées. Porté par Eric Bazin et Sonia Henry, il fédère les entrepreneurs du continent africain et mutualise les réseaux d’acteurs ingénieux, tout en accompagnant les « Best Practices » sélectionnés. www.lelab.info

Land of African Business1er, 2 et 3 décembre 2017 - Abidjan

L’ Afrique de demain se rencontre ici

www.rb-associes.fr RB & associés - 6, rue Daubigny - 75 017 Paris

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CONTACTS PRESSE

Alexia [email protected] 06 15 34 18 30

Philippe Sclavon [email protected] 06 70 29 51 29

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nuisible en engrais naturel et en électricité, l’un des 20 projets les plus prometteurs en Afrique selon l’oNU, Christian Hafidh MwIJAGE (ECOACT) qui utilise des déchets plastiques pour construire des hôpitaux, des routes et des crèches, en matériaux de construction synthétique – Brenda KATwESIGyE (wAZI VISION) qui offre aux écoliers des soins optiques et des paires de lunettes abordables conçues à partir de plastiques recyclés.

Les femmes, au cœur des actions de développement des territoires, seront également à l’honneur le dimanche, à travers deux tables rondes dédiées :

• L’économie du genre : Comment combattre la fatalité ?• De l’usage et de la représentation de la femme dans les marques en Afrique.

De nombreuses personnalités africaines seront présentes, parmi lesquelles :

Bruno Nabagne KoNE, ministre de la Communication, de l’Economie Numérique et de la Poste, Porte-Parole du gouvernement Ivoirien, parrain de cette 3e édition du LAB – Françoise ASSoGBA, ministre en charge de la Micro-Finance au Bénin - Touré FAMA, président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte-d’Ivoire – Candace NKoTH BISSECK, fondatrice de digitalfordevelopment.org, qui travaille sur le numérique comme levier de développement - Mame Cafa SALL, fondatrice du cabinet KAIZEN spécialisé en développement personnel des managers et dirigeants et Présidente de la commission leadership et compétitivité du Centre Africain de veille et d’intelligence économique (CAVIE) - omar CISSE, Président d’In Touch, acteur majeur de la Fintech.

Fruit de ce foisonnement d’idées et d’initiatives, un livre blanc reprenant l’essentiel de ces échanges, formulera des recommandations qui seront présentées lors d’une journée de débriefing «Back from Abidjan» le 16 mars 2018 au Conseil Supérieur du Notariat Francophone à Paris.

Retrouvez prochainement le programme détaillé de ces rencontres.

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Organisés dans le cadre du Land of African Business, qui réunira à Abidjan du 1er au 3 décembre prochains, les figures emblématiques de l’Afrique de demain, les African Rethink Awards célèbrent l’esprit d’entreprendre de la jeunesse africaine. Plus de 70 start-up, venues de tout le continent et prises en charge par le LAB, y défendront leur business model devant un parterre d’investisseurs, chefs d’entreprises et experts. Cinq prix seront décernés au cours de cette 3e édition : Grand Prix - Prix de la Francophonie - Prix Agri-Tec - Prix de l’Entreprenariat Féminin - Prix de la Meilleure Start-Up Ivoirienne.Les lauréats bénéficieront d’un accompagnement de parrains impliqués tout au long de l’année.Le 30 novembre, en avant-première, une journée de mentorat sera proposée aux start-up en transit à Casablanca, dans les salons privés da la Royal Air Maroc.

Dénicheurs de Success Stories, les African Rethink Awards, ont déjà révélé quelques pépites lors des éditions précédentes, parmi lesquelles : Mariama MAMANE (JACIGREEN) qui transforme une plante nuisible en engrais naturel et en électricité, l’un des 20 projets les plus prometteurs en Afrique selon l’ONU. Christian Hafidh MWIJAGE (ECOACT) utilise lui, des déchets plastiques pour construire des hôpitaux, des routes et des crèches en matériaux de construction synthétique. Brenda KATWESIGYE (WAZI VISION) offre quant à elle aux écoliers, des soins optiques et des paires de lunettes abordables, conçues à partir de plastiques recyclés.Des réalisations qui témoignent du foisonnement créatif d’une jeunesse désireuse d’entreprendre et d’être actrice de son destin, qui soulignent les atouts d’un continent en pleine mutation.

Cette année, les projets en lice attestent de l’attention portée par les nouvelles générations africaines, aux enjeux de société actuels que sont la solidarité, le lien social, l’esprit coopératif, l’autonomie financière, le développement durable et l’économie circulaire, dans un esprit inclusif.Découvrez toute la diversité des initiatives en compétition cette année sur le site du LAB : www.lelab.info/start-up-en-competition

Un accompagnement tout au long de l’année

Les lauréats des cinq prix remis à l’issue de la compétition, bénéficieront d’un accompagnement de parrains impliqués tout au long de l’année. Le cabinet d’avocats LAB-SN Avocats, conseillera les jeunes entrepreneurs sur les questions juridiques liées à leurs activités. Gala Paricheva de Oolith Avocats, protègera leur marque et autres

A propos du LAB Lieu de partage des meilleures pratiques environnementales, économiques, sociales, éducatives et culturelles développées sur le continent, le « Land of African Business » a pour ambition : • D’animer la vie des idées pour guider la vision à long terme des acteurs africains. • De valoriser les initiatives innovantes, notamment à travers un programme fort de soutien aux jeunes entreprises du continent et de la diaspora. • D’enrichir les réseaux d’influence, et faciliter la collaboration entre sphères publiques et privées. Porté par Eric Bazin et Sonia Henry, il fédère les entrepreneurs du continent africain et mutualise les réseaux d’acteurs ingénieux, tout en accompagnant les « Best Practices » sélectionnés. www.lelab.info

African Rethink Awards : Dénicheurs de success stories

Abidjan, du 1er au 3 décembre 2017

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CONTACTS PRESSE

Alexia [email protected] 06 15 34 18 30

Philippe Sclavon [email protected] 06 70 29 51 29

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brevets face aux appétits « carnassiers » de grands groupes. Grace Malanda, consultante en personal branding, les sensibilisera aux nouvelles stratégies digitales, tandis que Douglas Mbiandou, fondateur de OBJIS, proposera de les mentorer, etc.

Un coaching qui cette année, commencera avant même que la compétition ne débute, grâce à une initiative originale du transporteur officiel du LAB et des ARA : la Royal Air Maroc.

« Start-up in The Airport »

Les start-up, invitées par le LAB à concourir aux African Rethink Awards, mettront à profit leur journée de transit à Casablanca ce 30 novembre, pour participer à un mentoring original, proposé par la Royal Air Maroc dans ses salons privés de l’aéroport de 9h à 20h, prodigué par les professeurs de l’ESSEC Afrique Atlantique de Rabat, dirigée par Thierry Sibieude. Cette journée de mentoring, permettra à ces jeunes entrepreneurs d’échanger avec de nombreux acteurs de l’entreprenariat marocain, dont Monsieur Othmane Bekkari, dirigeant de la Royal Air Maroc.

Des modèles pour la jeunesse africaine

C’est en relayant les initiatives citoyennes, les nouvelles stratégies d’entreprises, les opportunités de développement, les métiers porteurs, les figures de l’innovation et de la recherche africaine et en valorisant ses plus éminents porte-parole, que la jeunesse africaine prendra davantage confiance en son formidable potentiel.

C’est tout le sens d’Afrique Activ’, qui sera lancée de manière opérationnelle lors du LAB 2017. Initiée par le Cercle Médias-Mutations, la fondation Hirondelle et The Conversation France, média en ligne d’information et d’analyse de l’actualité, cette opération a pour objectif la valorisation au travers des médias, du potentiel du continent en termes de création de richesses par l’entreprenariat, d’emploi et d’engagement citoyen. Une antenne de production, animée par le studio Mozaik, couvrira les débats du LAB 2017, à travers une série d’interviews et de portraits, largement relayés sur les réseaux sociaux (notamment la page Facebook Afrique Activ’), la plateforme The Conversation, les plateformes web des partenaires, les radios locales associées, les médias qui disposeront de podcasts téléchargeables gratuitement sur les plateformes iTunes et Google Play.

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Les start-up, invitées par le Land of African Business, à concourir aux African Rethink Awards à Abidjan, mettront à profit leur journée de transit à Casablanca ce 30 novembre, pour participer à un mentorat original, proposé par Royal Air Maroc, transporteur officiel du LAB 2017, dans ses salons privés de l’aéroport de 9h à 20h. Un mentorat prodigué par les professeurs de l’ESSEC Afrique Atlantique de Rabat, avec la participation de nombreux acteurs de l’entrepreneuriat marocain.

C’est une initiative originale que la Royal Air Maroc proposera aux jeunes entrepreneurs africains concourant pour les African Rethink Awards. Ceux-ci seront décernés dans le cadre du Land of African Business, qui réunira les figures emblématiques de l’Afrique de demain à Abidjan, du 1er au 3 décembre.

Profitant de la journée de transit à Casablanca de ces futures pépites de l’économie africaine, le transporteur officiel de la compétition leur proposera de bénéficier d’une journée de mentoring avec la participation des professeurs de l’ESSEC Afrique Atlantique de Rabat et de nombreux acteurs de l’entrepreneuriat marocain. L’occasion d’un vaste échange d’expériences et d’expertises qui leur sera précieux dans le développement futur de leurs entreprises respectives.De nombreux chefs d’entreprise marocains participeront à cette belle initiative, à commencer par Monsieur Othmane Bekkari, dirigeant de la Royal Air Maroc.

Depuis 3 ans, les African Rethink Awards, organisés dans le cadre du Land of African Business, célèbrent l’esprit d’entreprendre de la jeunesse africaine. Plus de 70 start-up, venues de tout le continent et prises en charge par le LAB, y défendront cette année leur business model devant un parterre d’investisseurs, chefs d’entreprises et experts. Cinq Prix seront décernés au cours de cette 3e édition : Grand Prix - Prix de la Francophonie - Prix Agri-Tec - Prix de l’Entrepreneuriat Féminin - Prix de la Meilleure Start-Up ivoirienne.Les lauréats bénéficieront d’un accompagnement de parrains impliqués tout au long de l’année.Le cabinet d’avocats LABS-NS Avocats, conseillera les jeunes entrepreneurs sur les questions juridiques liées à leurs activités. Gala Paricheva de Oolith Avocats, protègera leur marque et autres brevets face aux appétits « carnassiers » de grands groupes. Grace Malanda, consultante en personal branding, les sensibilisera aux nouvelles stratégies digitales, tandis que Douglas Mbiandou, fondateur de OBJIS, proposera de les mentorer, etc.

A propos du LAB Lieu de partage des meilleures pratiques environnementales, économiques, sociales, éducatives et culturelles développées sur le continent, le « Land of African Business » a pour ambition : • D’animer la vie des idées pour guider la vision à long terme des acteurs africains. • De valoriser les initiatives innovantes, notamment à travers un programme fort de soutien aux jeunes entreprises du continent et de la diaspora. • D’enrichir les réseaux d’influence, et faciliter la collaboration entre sphères publiques et privées. Porté par Eric Bazin et Sonia Henry, il fédère les entrepreneurs du continent africain et mutualise les réseaux d’acteurs ingénieux, tout en accompagnant les « Best Practices » sélectionnés. www.lelab.info

« Start-up in the Airport »Royal Air Maroc coache les

jeunes entrepreneurs africains30 novembre 2017 de 9h à 20h - Aéroport de Casablanca

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CONTACTS PRESSE

Alexia [email protected] 06 15 34 18 30

Philippe Sclavon [email protected] 06 70 29 51 29

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Organisés dans le cadre du Land of African Business, qui a réuni à Abidjan du 1er au 3 décembre, les figures emblématiques de l’Afrique de demain, les African Rethink Awards célèbrent l’esprit d’entreprendre de la jeunesse africaine. Plus de 60 start-up, venues de tout le continent et prises en charge par le LAB, y ont défendu leur business model devant un parterre d’investisseurs, chefs d’entreprises et experts. Une valorisation des plus éminents représentants du formidable potentiel d’innovation de la jeunesse africaine, honorée notamment par la présence de M. Sidi Tiémoko TOURE, ministre ivoirien de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique.

Cette année, les projets récompensés attestent de l’attention portée par les nouvelles générations africaines aux enjeux de société actuels que sont le développement durable, avec une attention particulière portée sur l’agriculture, l’économie circulaire, l’esprit coopératif, le lien social, l’autonomie financière. Des solutions qui illustrent le foisonnement créatif d’innovation technologique sur le continent et l’ambition d’une jeunesse africaine désireuse d’être actrice de son propre destin.

« 72% des jeunes africains se disent attirés par l’entreprenariat, mais tous ne peuvent y accéder. Cette jeunesse entreprenante est aussi attendue dans son engagement politique, sociétal, éthique, social et environnemental » souligne Eric Bazin, fondateur du LAB.

Cinq prix ont été décernés au cours de cette IIIe édition :

Grand Prix décerné par la Royal Air Maroc : LIFI LEDAnge Frederick BALMA, Côte d’IvoireLifi Led a pour ambition de résoudre, grâce à la transmission des données par la lumière, le problème de l’inaccessibilité à internet haut débit et au déficit énergétique des populations situées dans les régions délaissées par les opérateurs de téléphonie mobile et distributeurs d’électricité domestique. La technologie Li-Fi (transmission de données et d’internet par la lumière) permet d’apporter à la fois électricité, internet, télévision et contenus multimédias en zone rurale grâce aux énergies renouvelables.

Prix de la Francophonie attribué par l’Organisation Internationale de la Francophonie – GRAINOTHEQUEDaniel OULAI, Côte d’IvoireGrainothèque œuvre au renforcement de la productivité de l’agriculture paysanne et à son adaptation au changement climatique à travers des outils innovants de préservation de la diversité génétique des semences, de lutte intégrée contre les ravageurs, la maîtrise de l’eau et la gestion des risques climatiques. Son application mobile intelligente de

A propos du LAB Lieu de partage des meilleures pratiques environnementales, économiques, sociales, éducatives et culturelles développées sur le continent, le « Land of African Business » a pour ambition : • D’animer la vie des idées pour guider la vision à long terme des acteurs africains. • De valoriser les initiatives innovantes, notamment à travers un programme fort de soutien aux jeunes entreprises du continent et de la diaspora. • D’enrichir les réseaux d’influence, et faciliter la collaboration entre sphères publiques et privées. Porté par Eric Bazin et Sonia Henry, il fédère les entrepreneurs du continent africain et mutualise les réseaux d’acteurs ingénieux, tout en accompagnant les « Best Practices » sélectionnés. www.lelab.info

L’innovation de 5 start-up africaines récompensée par les African Rethink Awards 2017

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CONTACTS PRESSE

Alexia [email protected] 06 15 34 18 30

Philippe Sclavon [email protected] 06 70 29 51 29

www.rb-associes.fr RB & associés - 6, rue Daubigny - 75 017 Paris

diagnostic de plante aide les agriculteurs à reconnaitre les principaux ravageurs et quelques désordres physiologiques, pouvant toucher les cultures des zones tropicales afin d’améliorer les récoltes.

Prix de l’Entrepreneuriat Féminin désigné par Canal + – FARMCROWDY N°1Miss Tope OMOTOLANI, NigériaFarmcrowdy est une plate-forme qui donne aux Nigérians la possibilité de participer à l’agriculture en sélectionnant le type de fermes qu’ils veulent parrainer. Les fonds du sponsor sont mis à profit pour sécuriser la terre, engager le fermier, planter les graines, assurer les fermiers et les produits agricoles, achever le cycle complet de l’agriculture, vendre la récolte et ensuite payer le parrainage de la ferme. Pendant que ce processus d’exploitation est en cours, les promoteurs de ferme sont en mesure de suivre le cycle complet en obtenant des mises à jour dans le texte, les images et les vidéos.

Prix de la Meilleure Start-up Ivoirienne dispensé par BRVM : YOUNG POWER Sevi Samuel N’Guessan GBEKON, Côte d’IvoireC’est à 17 ans, que le plus jeune des lauréats de cette promotion (23 ans) a fait ses premières armes dans l’entrepreneuriat. Sevi Samuel N’Guessan GBEKON, est aujourd’hui distingué pour un dispositif (SIVE) permettant de mieux sauvegarder les récoltes de caoutchouc des eaux de pluie qui provoquent des dégâts considérables (jusqu’à 35 % de perte) et détériorent la qualité du produit. Son « protège tasse à latex d’hévéa SIVE » répond à peu de frais à une problématique essentielle des paysans.

Prix Agritech décerné par la Société Générale : BIO PHYTOGildas ZODOME, BéninBio Phyto est une entreprise solidaire qui produit et commercialise des intrants biologiques à base de ressources naturelles locales, respectueux de la santé publique et de l’environnement pour assurer la protection et la croissance des végétaux.

Les cinq lauréats bénéficient d’un accompagnement de parrains impliqués tout au long de l’année. Le cabinet d’avocats LAB-SN Avocats, conseillera les jeunes entrepreneurs sur les questions juridiques liées à leurs activités. Gala Paricheva de Oolith Avocats, protègera leur marque et autres brevets face aux appétits « carnassiers » de grands groupes. Grace Malanda, consultante en personal branding, les sensibilisera aux nouvelles stratégies digitales, tandis que Douglas Mbiandou, fondateur de OBJIS, proposera de les mentorer, et qu’ils auront l’opportunité d’être « incubés » à Abidjan par l’un des partenaires du LAB, Incub’Ivoir et son pool d’investisseurs.

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mèr

es d

ans

l’éd

uca

tio

n d

e le

urs

en

fan

ts a

fin

d’a

ffirm

er le

le p

osi

tif

des

fem

mes

.

PAR

MI L

ES

PR

OP

OS

ITIO

NS

DU

LIV

RE

BL

AN

C 2

016

:

Page 48: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

48

4

UN

LIE

U D

E P

AR

TAG

E D

’EX

PE

RIE

NC

ES

ET

D’E

XP

ER

TIS

ES

La b

lock

chai

n, u

n g

raal

pou

r l’A

friq

ue ?

15h

00

– 1

6h

30

Sal

le P

lén

ière

CC

ICI

La

blo

ckch

ain

, es

t-el

le

un

e te

chn

olo

gie

d

e ru

ptu

re

po

ur

les

entr

epri

ses

? C

on

stit

ue-

t-el

le

un

e ré

po

nse

au

x en

jeu

x d

e co

nfi

ance

et

d

e tr

ansp

aren

ce

en

Afr

iqu

e (c

orr

up

tio

n,

con

tref

aço

n,

traç

abili

té,

cyb

er-i

nsé

curi

etc.

) ?

Co

mm

ent

les

acte

urs

vo

nt-

ils

inté

gre

r la

b

lock

chai

n

dan

s le

urs

m

étie

rs

? D

e n

ou

veau

x se

rvic

es

von

t-ils

ém

erg

er

? L

es

déf

auts

d

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gu

lati

on

et

d

e la

co

ord

inat

ion

in

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atio

nal

e fr

ein

ent-

ils l

a ca

pac

ité

d’in

no

vati

on

des

en

trep

ren

eurs

?

Qu

els

son

t le

s p

rére

qu

is p

ou

r q

ue

la b

lock

chai

n p

ort

e se

s fr

uit

s en

Afr

iqu

e (i

nfr

astr

uct

ure

él

ectr

iqu

e, in

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et, c

om

pét

ence

s, c

adre

lég

al)

?

Nou

velle

s m

onna

ies

num

ériq

ues,

que

lles

opp

ortu

nité

s ?

17h

15 –

18

h4

5S

alle

Plé

niè

re C

CIC

IL

es m

on

nai

es s

e m

ult

iplie

nt,

qu

’elle

s so

ien

t él

ectr

on

iqu

es,

mo

bile

s o

u v

irtu

elle

s. L

es

cryp

to m

on

nai

es q

ui

on

t le

ven

t en

po

up

e, r

emet

ten

t en

cau

se l

e rô

le d

es o

pér

ateu

rs

his

tori

qu

es e

t p

erm

ette

nt

l’ém

erg

ence

de

no

uve

aux

acte

urs

. V

on

t–el

les

révo

luti

on

ner

le

s tr

ansa

ctio

ns

fin

anci

ères

su

r le

co

nti

nen

t ?

Co

mm

ent

ces

tran

sfo

rmat

ion

s vo

nt-

elle

s b

oo

ster

la c

rois

san

ce e

t l’e

mp

loi ?

Est

-ce

un

e o

pp

ort

un

ité

po

ur

dés

encl

aver

les

terr

ito

ires

et

les

po

pu

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on

s n

on

ban

cari

sées

?

VE

ND

RE

DI 1

ER

CE

MB

RE

Fond

é en

20

14 p

ar E

ric

Baz

in,

le L

and

of

Afr

ican

Bus

ines

s (L

AB

) œ

uvre

à

l’ém

erg

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d

e no

uvea

ux

mo

dèl

es

de

dév

elo

pp

emen

t p

lus

resp

ectu

eux

de

l’ho

mm

e,

qui

co

ntri

bue

nt à

une

cro

issa

nce

par

tag

ée e

t ha

rmo

nieu

se e

ntre

le

s p

op

ulat

ions

et

les

gén

érat

ions

, co

mm

e en

tém

oig

nent

les

thém

atiq

ues

des

tab

les

rond

es d

e l’é

dit

ion

2017

.

Com

men

t fa

cilit

er le

fina

ncem

ent

des

star

t-up

face

aux

diffi

cult

és d

e la

ban

cari

sati

on ?

13h

45

– 15

h0

0S

alle

Plé

niè

re C

CIC

IL

e fi

nan

cem

ent d

es s

tart

-up

afr

icai

nes

fait

tou

jou

rs l’

ob

jet d

e d

ifficu

ltés

san

s co

mp

arai

son

su

r le

s au

tres

co

nti

nen

ts, a

lors

qu

e le

urs

bes

oin

s so

nt

éval

ués

à q

uel

qu

e 14

0 m

illia

rds

de

do

llars

par

an

. Q

uel

les

son

t le

s n

ou

velle

s p

ersp

ecti

ves

po

rtée

s p

ar l

es a

cteu

rs p

ub

lics

ou

pri

vés

en q

uêt

e d

’ava

nta

ges

fisc

aux

et d

e d

ébo

uch

és c

om

mer

ciau

x en

Afr

iqu

e ?

Co

mm

ent

iden

tifi

er le

s fo

nd

s q

ui l

ien

t d

e p

lus

en p

lus

leu

r d

esti

n à

cel

ui d

es in

cub

ateu

rs

du

co

nti

nen

t ?

Qu

els

son

t le

s p

rin

cip

ales

act

ion

s fa

cilit

atri

ces

de

mo

uve

men

ts d

e cr

édit

s et

de

fin

ance

men

t ?

Page 49: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

49

5

Que

l rô

le p

our

les

Pouv

oirs

pub

lics,

les

Bou

rses

et

les

Ban

que

s af

rica

ins

dan

s l’é

volu

tion

de

la

ban

cari

sati

on e

t le

fina

ncem

ent

des

ent

rep

rise

s ?

10h

30

– 1

2h0

0S

alle

Plé

niè

re C

CIC

IE

n

Afr

iqu

e,

seu

ls

20

%

des

fo

yers

d

isp

ose

nt

d’u

n

com

pte

b

anca

ire.

C

e fa

ible

n

ivea

u

d’a

ccès

au

x se

rvic

es

ban

cair

es

con

stit

ue

un

o

bst

acle

éc

on

om

iqu

e im

po

rtan

t au

d

ével

op

pem

ent

des

p

ays

con

cern

és.

Co

mm

ent

déc

entr

alis

er

les

rése

aux

ban

cair

es

de

la

zon

e u

rbai

ne

et

pér

i-u

rbai

ne

vers

le

s zo

nes

ru

rale

s n

on

-co

uve

rtes

?

Co

mm

ent

le

Pat

ron

at

peu

t-il

acco

mp

agn

er

la

sort

ie

du

flex

e cu

ltu

rel

qu

i te

nd

à

pré

fére

r la

th

ésau

risa

tio

n

et

les

rap

po

rts

fin

anci

ers

entr

e in

div

idu

s sa

ns

inte

rméd

iair

e ?

La

bo

urs

e p

eut-

elle

ag

ir s

ur

le c

t d

es s

ervi

ces

ban

cair

es s

ou

ven

t tr

op

éle

vé c

om

par

ativ

emen

t au

niv

eau

de

reve

nu

m

oye

n d

es p

op

ula

tio

ns

loca

les

? E

nfi

n,

com

men

t co

mm

un

iqu

er e

t va

lori

ser

les

no

uve

lles

mo

nn

aies

au

prè

s d

es p

op

ula

tio

ns

frag

ilisé

es ?

Med

ias

et e

ntre

pri

ses

peu

vent

-ils

ag

ir e

nsem

ble

p

our

l’int

érêt

gén

éral

des

soc

iété

s af

rica

ines

?16

h45

– 17

h45

Sal

le P

léni

ère

CC

ICI

S’il

rev

ient

aux

Eta

ts d

e cr

éer

les

cond

itio

ns e

t le

s in

stru

men

ts d

’une

bo

nne

go

uver

nanc

e, l

a p

rise

en

co

mp

te d

u rô

le d

es m

édia

s d

ans

ce d

isp

osi

tif

s’av

ère

esse

ntie

lle

et

do

it

être

en

cour

agée

. Le

s m

édia

s re

sten

t m

arq

ués,

en

Afr

ique

, par

un

cont

exte

qui

ne

per

met

pas

to

ujo

urs

aux

jour

nalis

tes

d’e

xerc

er d

e m

aniè

re p

rofe

ssio

nnel

le,

libre

et

ind

épen

dan

te.

La

com

ple

xité

du

rôle

des

méd

ias

dan

s la

pro

mo

tio

n

de

la b

onn

e g

ouv

erna

nce

exig

e d

es jo

urna

liste

s no

n

pas

le m

ono

po

le d

e l’i

nfo

rmat

ion,

mai

s sa

lég

itim

ité.

Les

entr

epri

ses

finan

cent

so

uven

t ce

rtai

ns s

upp

ort

s et

peu

vent

par

co

nflit

s d

’influ

ence

, per

dre

de

vue

le

méc

énat

auq

uel

elle

s so

nt d

édié

es p

our

enf

rein

dre

la

lib

erté

d’e

xpre

ssio

n. C

om

men

t d

ès l

ors

, cr

éer

un

dia

log

ue o

uver

t p

ort

eur

de

sens

et

po

uvo

ir d

éno

ncer

lib

rem

ent

les

emp

êche

men

ts a

ux d

roit

s hu

mai

ns ?

Les

inno

vati

ons

en m

atiè

re d

e re

nfor

cem

ent

de

l’inc

lusi

on fi

nanc

ière

des

jeun

es e

ntre

pri

ses

à fo

rt

pot

enti

el d

e cr

oiss

ance

en

Afr

ique

fra

ncop

hone

14h

15 -

15h

45

Sal

le P

lén

ière

CC

ICI

Le s

out

ien

aux

PM

E e

st a

ujo

urd

’hui

rec

onn

u co

mm

e un

enj

eu d

e st

abili

té p

olit

ique

, d

e d

ével

op

pem

ent

éco

nom

ique

et

so

cial

d

u co

ntin

ent

afri

cain

. P

our

tant

, p

lus

de

25%

d

’ent

re

elle

s co

nsid

èren

t l’a

ccès

et

le

co

ût

du

finan

cem

ent

com

me

les

pri

ncip

aux

ob

stac

les

à l’e

xpan

sio

n d

e le

ur a

ctiv

ité.

Q

uel

est

le p

arco

urs

d’a

ccès

au

finan

cem

ent

des

je

unes

ent

rep

rise

s à

fort

e ca

pac

ité

d’in

nova

tio

n en

A

friq

ue s

ubsa

hari

enne

fra

nco

pho

ne ?

Que

ls s

ont

le

urs

bes

oin

s en

ter

mes

de

serv

ices

et

de

pro

dui

ts

finan

cier

s,

ains

i q

ue

d’a

cco

mp

agne

men

t no

n

finan

cier

s ?

Que

lles

sont

les

ini

tiat

ives

inn

ovan

tes

mis

es e

n p

lace

par

le s

ecte

ur b

anca

ire f

ranc

op

hone

à

des

tina

tio

n d

es P

ME

et

des

jeu

nes

entr

epri

ses

? Q

uelle

p

lace

p

our

l’é

duc

atio

n fin

anci

ère

et

de

l’acc

om

pag

nem

ent

des

ent

rep

rene

urs

?

SAM

ED

I 2 D

ÉC

EM

BR

E

Page 50: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

50

6

L’éc

onom

ie d

u g

enre

: C

omm

ent

com

bat

tre

la

fata

lité

?10

h3

0 –

12h

00

Sal

le P

lén

ière

CC

ICI

Un

e cr

uel

le r

éalit

é p

erd

ure

: L

es i

nég

alit

és e

ntr

e le

s se

xes

dem

eure

nt,

en

core

et

to

ujo

urs

, u

n

fait

st

ruct

ura

nt

de

no

s so

ciét

és

mo

der

nes

. L

e co

nti

nen

t af

rica

in n

’éch

app

e p

as à

la r

ègle

, co

mm

e le

rév

èle

l’in

dic

e d

e l’é

gal

ité

du

gen

re q

ue

pu

blie

la

Ban

qu

e A

fric

ain

e d

e D

ével

op

pem

ent.

Pla

fon

d

de

verr

e, s

alai

res

mo

ind

res,

em

plo

i à t

emp

s p

arti

el

sub

i, ex

plo

itat

ion

do

mes

tiq

ue,

etc

., le

s p

op

ula

tio

ns

afri

cain

es

plu

s fr

agili

sées

, p

ou

rro

nt-

elle

s ex

iger

d

avan

tag

e d

e le

urs

go

uve

rnan

ts à

la

lect

ure

de

ce c

on

stat

? Q

uel

s en

gag

emen

ts p

ou

r él

abo

rer

des

str

atég

ies

ten

ant-

com

pte

de

l’éq

uili

bre

en

tre

les

gen

res,

et

po

ur

amél

iore

r la

pri

se d

e d

écis

ion

s d

’inve

stis

sem

ent ?

Qu

elle

s so

nt l

es a

ctio

ns

po

litiq

ues

n

éces

sair

es p

ou

r su

rmo

nte

r le

s in

égal

ités

en

tre

les

gen

res

en A

friq

ue

et q

uel

s so

nt

les

do

mai

nes

ou

se

cteu

rs p

ort

eurs

de

chan

gem

ent

?

De

l’usa

ge

et d

e la

rep

rése

ntat

ion

de

la f

emm

e d

ans

les

mar

que

s en

Afr

ique

14h

00

– 1

5h3

0S

alle

Plé

niè

re C

CIC

IS

elo

n un

so

ndag

e d

’Ipso

s p

aru

fin

2016

, tr

ois

ax

es

fond

amen

taux

ca

ract

éris

ent

le

nouv

eau

p

osi

tio

nnem

ent

des

val

eurs

de

la f

emm

e af

rica

ine:

Le

tra

vail,

la b

ienv

eilla

nce

et le

resp

ect.

Un

ind

icat

eur

qui

no

us in

terr

og

e su

r le

clic

hé d

e la

fem

me

afri

cain

e un

ique

men

t vo

uée

au b

on

fonc

tio

nnem

ent

de

la

cellu

le f

amili

ale,

alo

rs q

ue 4

2 %

des

fem

mes

ont

au

jour

d’h

ui u

n tr

avai

l rég

ulie

r, p

arm

i les

que

lles

8,2

%

dir

igen

t le

ur p

rop

re e

ntre

pri

se (

plu

s sp

écifi

que

men

t en

zo

ne

sub

saha

rien

ne).

Q

uels

so

nt

les

réce

nts

chan

gem

ents

d

e p

erce

pti

on

des

no

uvel

les

cons

om

mat

ions

afr

icai

nes,

po

rtée

s p

ar l’

émer

gen

ce

rap

ide

des

cla

sses

moy

enne

s? Q

uelle

est

la n

ouv

elle

id

enti

té s

oci

ale

de

la f

emm

e af

rica

ine

en i

ntég

rant

le

s d

isp

arit

és g

éog

rap

hiq

ues

?

L’ac

cès

à la

ter

re,

pro

blé

mat

ique

du

fonc

ier

lié à

l’a

bse

nce

de

ban

cari

sati

on e

n zo

ne r

ural

e16

h0

0 –

17h

30

Sal

le P

lén

ière

CC

ICI

L’ac

cès

à la

te

rre

est

po

com

me

un

él

émen

t in

con

tou

rnab

le

de

no

mb

reu

ses

po

litiq

ues

d

e ré

du

ctio

n

de

la

pau

vret

é.

Co

mm

ent

pal

lier

l’ab

sen

ce

de

reg

istr

es

et

de

cad

astr

es

dan

s u

n

pay

s o

ù,

com

me

dan

s la

m

ajo

rité

d

es

état

s af

rica

ins,

9

0%

d

es

zon

es

rura

les

ne

son

t p

as

rép

erto

riée

s ?

Est

-ce

qu

e l’a

pp

arit

ion

d

e ca

das

tre

virt

uel

peu

t êt

re u

ne

solu

tio

n c

on

crèt

e ?

Le

dév

elo

pp

emen

t d

e la

b

anca

risa

tio

n

et

l’ap

par

itio

n

de

mo

nn

aies

vi

rtu

elle

s se

mb

len

t êt

re u

ne

solu

tio

n a

fin

de

sou

ten

ir u

ne

agri

cult

ure

p

aysa

nn

e n

on

pro

du

ctiv

iste

, ca

pab

le d

e g

énér

er

un

e au

tosu

ffisa

nce

alim

enta

ire,

en

jeu

vér

itab

le d

u

con

tin

ent.

« D

es e

xper

tise

s de

hau

t ni

veau

et

des

sol

utio

ns n

ovat

rice

s po

ur

dém

ontr

er c

oncr

ètem

ent

l’éla

n de

dév

elop

pem

ent

incl

usif

du

cont

inen

t af

rica

in »

DIM

AN

CH

E 3

CE

MB

RE

Page 51: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

51

7

DE

S E

XP

ER

TS

FA

ISA

NT

AU

TOR

ITE

, DE

S IN

STIT

UT

ION

S C

LES

, ET

DE

S P

RO

FIL

S A

TY

PIQ

UE

S

Bru

no N

abag

né K

ON

E –

Min

istr

e d

e la

Com

mun

icat

ion,

d

e l’E

cono

mie

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ue e

t d

e la

Pos

te, P

orte

-par

ole

du

Gou

vern

emen

t d

e C

ôte

d’Iv

oire

.A

sa

so

rtie

d

e l’E

SC

A

pui

s d

’HE

C,

en

198

5,

Bru

no

Nab

agné

K

ON

E

com

men

ce

sa

carr

ière

au

C

abin

et

Art

hur A

nder

sen.

Il a

par

la s

uite

occ

upé

plu

sieu

rs p

ost

es

de

Dire

ctio

n fin

anci

ère

d’e

ntre

pri

ses

ind

ustr

ielle

s et

de

serv

ices

en

te d

’Ivo

ire (

do

nt C

om

afri

que

Ent

rep

rise

s,

Gro

upe

SIF

CO

M)

avan

t d

’occ

uper

de

200

3 à

200

8 l

es

po

stes

de

Dire

cteu

r G

énér

al A

djo

int

pui

s d

e D

irect

eur

Gén

éral

de

te d

’Ivo

ire T

elec

om

(l’o

pér

ateu

r hi

sto

riq

ue

de

télé

com

mun

icat

ions

). D

’oct

ob

re 2

00

8 à

janv

ier

2011

, il

étai

t le

Dire

cteu

r D

élég

ué A

udit

Fin

ance

du

gro

upe

Fra

nce

Tele

com

– O

rang

e o

ù en

fév

rier

20

11, i

l est

pas

sé,

Dire

cteu

r d

es A

ffai

res

Règ

lem

enta

ires,

de

la z

one

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EA

(A

friq

ue, M

oyen

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ent,

Asi

e) a

vant

d’ê

tre

app

elé

dan

s le

no

uvea

u g

ouv

erne

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t iv

oir

ien.

Evar

iste

AK

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MIA

N –

SO

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cien

élè

ve d

e la

fac

ult

é d

e d

roit

de

l’un

iver

sité

Fél

ix

Ho

up

ho

uët

-Bo

igny

, il

se

lan

ce

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s le

B

usi

nes

s en

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even

ant

dir

ecte

ur

d’u

ne

soci

été

de

ven

te d

e m

atér

iels

in

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atiq

ue

à A

bid

jan

, av

ant

de

fon

der

SO

LA

RPA

K

qu

i p

rop

ose

un

car

tab

le c

har

gea

ble

en

éle

ctri

cité

en

u

ne

jou

rnée

, qu

i off

re u

ne

auto

no

mie

de

5 h

eure

s p

ou

r la

lam

pe

torc

he

do

nt

il es

t m

un

i, q

ui p

erm

et a

ux

enfa

nts

d

e fa

ire

leu

r d

evo

ir à

la

lueu

r d

’un

e so

urc

e d

’én

erg

ie

pro

vid

enti

elle

. Eva

rist

e A

KO

UM

IAN

a r

eçu

le 1

er P

rix

au

con

cou

rs d

e la

GS

VC

Fra

nco

ph

on

e à

Par

is, l

e 2è

me

Pri

x d

e la

Jeu

nes

se f

ran

cop

ho

ne

35/3

5 d

ans

la c

atég

ori

e In

no

vati

on

So

cial

e et

le

1er

Pri

x d

u M

érit

e au

Fo

rum

A

friq

ue

Exp

ansi

on

de

Mo

ntr

éal.

Dr.

Edoh

Kos

si A

ME

NO

UN

VE

– B

RV

M

Dr.

Ed

oh

Ko

ssi

AM

EN

OU

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E e

st t

itu

lair

e d

’un

Ph

D

en

Sci

ence

s d

e l’A

dm

inis

trat

ion

o

pti

on

F

inan

ce

de

l’Un

iver

sité

Lav

al a

u C

anad

a (1

99

5).

Dir

ecte

ur

Gén

éral

d

e la

BR

VM

et

du

DC

/BR

dep

uis

oct

ob

re 2

012

, il

a p

récé

dem

men

t occ

up

é le

s p

ost

es d

e S

ecré

tair

e G

énér

al

du

CR

EP

MF,

org

ane

de

rég

ula

tio

n d

u m

arch

é fi

nan

cier

d

e l’U

EM

OA

(20

03

à 2

012

) ; D

irec

teu

r G

énér

al d

e S

GI-

TOG

O (

199

7 à

200

3),

so

ciét

é d

e b

ou

rse.

Il a

ég

alem

ent

créé

OP

TI A

SS

ET

Man

agem

ent

et t

rava

illé

à la

mis

e en

p

lace

de

la B

RV

M e

t d

u D

C/B

R (

199

7 à

200

0).

Isab

elle

BE

BE

AR

– B

PIF

RA

NC

ED

irect

rice

de

l’Int

erna

tio

nal e

t de

l’Uni

vers

ité

de

Bp

ifran

ce,

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gèr

e no

tam

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t un

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s d

édié

à l’

inve

stis

sem

ent e

n

Afr

ique

, Ave

rro

ès F

inan

ce. P

récé

dem

men

t, e

lle a

occ

upé

les

fonc

tio

ns d

e D

irect

rice

du

Bus

ines

s D

ével

op

pem

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et

de

l’acc

om

pag

nem

ent

des

P

ME

, D

irect

rice

d

es

Inve

stis

sem

ents

dan

s le

s fo

nds

rég

iona

ux e

t d

ans

les

fond

s d

u su

d d

e la

Méd

iter

rané

e, a

vec

prè

s d

e 30

0 M

sous

ges

tio

n. I

sab

elle

BE

BE

AR

a a

ussi

tra

vaill

é d

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l’ind

ustr

ie

pha

rmac

euti

que

en

ta

nt

que

R

esp

ons

able

d

es r

esso

urce

s hu

mai

nes

à l’i

nter

nati

ona

l. D

iplô

mée

de

l’Ins

titu

t S

upér

ieur

de

Ges

tio

n, e

lle p

rési

de

le D

irect

oire

d

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sso

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ion

Eur

om

ed

Cap

ital

. A

dm

inis

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d

u

Co

nsei

l Afr

icai

n d

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ntre

pre

neur

iat

et d

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nnov

atio

n et

ad

min

istr

atri

ce d

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rop

arco

(G

roup

e A

gen

ce F

ranç

aise

d

e D

ével

op

pem

ent)

.

Page 52: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

52

8

Vin

cent

di B

ETT

A –

BP

IFR

AN

CE

Il a

rejo

int

la D

irect

ion

de

l’Int

erna

tio

nal e

t d

e l’U

nive

rsité

d

e B

pifr

ance

en

20

10,

en

tant

q

ue

Res

po

nsab

le

de

l’Act

ivité

E

xper

tise

à

l’Int

erna

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nal

(Par

is).

O

bje

ctif

: ac

com

pag

ner

des

E

tats

o

u st

ruct

ures

p

rivé

es

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s le

dév

elo

pp

emen

t d

’un

tiss

u d

e P

ME

et

de

star

t-up

, fa

cteu

r d

e cr

ois

sanc

e, d

’inno

vati

on

et d

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plo

i (z

one

g

éog

rap

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ue :

Afr

ique

Sub

-sah

arie

nne,

Mag

hreb

. Rus

sie,

E

uras

ie).

Pré

alab

lem

ent,

il fu

t R

esp

ons

able

de

l’Ani

mat

ion

d

u R

ésea

u F

ranc

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’OS

EO

, d

u M

anag

emen

t d

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rand

s p

roje

ts

tran

sver

saux

au

se

in

de

la

ban

que

p

ubliq

ue

et E

xper

t en

ris

que

sur

le

créd

it a

ux P

ME

. D

iplô

du

C

entr

e d

’Etu

des

Sup

érie

ures

de

Ban

que

– C

ES

B /

HE

C

et d

e l’E

cole

Sup

érie

ure

du

Co

mm

erce

Ext

érie

ur –

ES

CE

, Il

est

Mai

tre

de

conf

éren

ces

à l’E

xecu

tive

MB

A,

Ren

nes

Bus

ines

s S

cho

ol (

AA

CS

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ccre

dite

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sur

la t

hém

atiq

ue

: « c

om

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t un

e st

art-

up c

réée

, pro

dui

t et

dél

ivre

de

la

vale

ur »

.

Edit

h YA

H B

RO

U –

AFR

ICA

CO

NTE

NTS

GR

OU

PE

dith

YA

H B

RO

U e

st u

ne T

ech-

entr

epre

neur

. E

lle e

st l

a P

DG

d’A

fric

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ont

ents

Gro

up, u

ne e

ntre

pris

e m

ultim

édia

q

ui p

rod

uit

du

cont

enu

num

ériq

ue p

our

les

mar

que

s et

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influ

ence

urs

élec

tro

niq

ues.

Buz

zyA

fric

a.co

m –

un

po

rtai

l en

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ne p

our

les

mill

énia

ux a

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ains

fra

nco

pho

nes

– es

t un

méd

ia d

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arq

ue d

e ce

tte

entr

epris

e. C

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édia

se

po

sitio

nne

com

me

le b

uzzf

eed

ou

le D

émo

tivat

eur A

fric

ain.

E

n o

cto

bre

20

14, à

l’in

vita

tion

de

l’Uni

on

Inte

rnat

iona

le d

es

Télé

com

mun

icat

ions

(U

IT)

à B

usan

(C

oré

e d

u S

ud),

elle

a

par

ticip

é au

pro

gra

mm

e d

e 3

sem

aine

s P

OLI

TIQ

UE

TIC

D

ES

JE

UN

ES

LE

AD

ER

S.

En

févr

ier

2015

, Je

une

Afr

ique

M

agaz

ine

l’a c

lass

ée p

arm

i le

s 50

per

sonn

alité

s q

ui f

ont

b

oug

er l

a C

ôte

d’Iv

oire

. E

dith

est

dip

lôm

ée e

n sc

ienc

es

éco

nom

ique

s d

e l’U

nive

rsité

F

élix

H

oup

houe

t B

oig

ny

scie

nces

. D

epui

s le

22

déc

emb

re 2

015

, el

le a

été

élu

e P

rési

den

te d

e l’A

sso

ciat

ion

des

Blo

gue

urs

de

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’Ivo

ire

(AB

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Fati

ms

CO

ULI

BA

LY –

Ent

rep

rene

ur e

t Éc

riva

inF

atim

s C

OU

LIB

ALY

est

un

e je

un

e fe

mm

e iv

oir

ien

ne

En

trep

ren

eur

et é

criv

ain

. E

n 2

00

8 e

lle a

reç

u l

e ti

tre

de

« P

lus

jeu

ne

fem

me

entr

epre

neu

r d

e l’a

nn

ée

».

Qu

elq

ues

an

née

s p

lus

tard

, el

le f

aisa

it p

arti

e d

es «

su

per

s w

om

en d

e C

ôte

d’Iv

oir

e »

pu

is d

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Fem

mes

d

’Infl

uen

ce

» au

x cô

tés

d’é

min

ente

s p

erso

nn

alit

és

fém

inin

es d

e l’é

cosy

stèm

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es a

ffai

res

en C

ôte

d’Iv

oir

e.

« Il

ne

fau

t p

as d

on

ner

un

seu

l p

réte

xte

à la

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po

ur

no

us

emp

êch

er

d’a

ttei

nd

re

no

s o

bje

ctif

s »,

te

l es

t l’e

ssen

tiel

du

mes

sag

e q

u’e

lle e

nse

ign

e au

tra

vers

des

seau

x so

ciau

x et

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s se

s p

rise

s d

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aro

le.

Safo

ura

FAD

IGA

INST

ITU

T SU

RIE

UR

D

E

TEC

HN

OLO

GIE

DU

BA

SS (

IST-

DU

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Co

-Fo

ndat

rice

et

D

irect

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G

énér

ale

de

l’Ins

titu

t S

upér

ieur

d

e Te

chno

log

ie

DU

BA

SS

(I

ST-

DU

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SS

),

Ing

énie

ur S

tati

stic

ien-

Eco

nom

iste

dip

lôm

ée d

e l’E

NS

AE

P

aris

Tech

et

spéc

ialis

te d

es t

echn

ique

s d

’org

anis

atio

n,

Saf

our

a FA

DIG

A

a jo

un

rôle

d

e p

ionn

ière

ta

nt

dan

s le

do

mai

ne d

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nfo

rmat

ique

que

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s ce

lui

de

l’ent

rep

rene

uria

t fé

min

in

en

te

d’Iv

oire

. D

’ab

ord

In

gén

ieur

Ana

lyst

e à

la C

IER

IA p

uis

Che

f d

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roje

ts

Info

rmat

ique

s au

Min

istè

re d

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inan

ces,

elle

cré

e le

s so

ciét

és

SA

FC

I-IN

FO

RM

AT

IQU

E

(SS

II,

198

6-2

00

7)

et

SA

FI

(ag

roal

imen

taire

20

03-

2012

). A

ncie

nne

Dire

ctri

ce

de

l`In

stit

ut

Sup

érie

ur

d`I

nfo

rmat

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IS

I-IN

SE

T

(Ab

idja

n),

elle

a é

té m

emb

re d

u C

ons

eil

Eco

nom

ique

et

So

cial

(20

01-

2012

) et

a r

eçu

le «

offi

cial

20

17 A

lber

t N

elso

n M

arq

uis

Life

tim

e A

chie

vem

ent

Aw

ard

».

Page 53: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

53

9

Gui

ako

OB

IN –

BA

BY

LA

BIn

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atic

ien

de

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n, i

l es

t D

irect

eur

Exé

cuti

f d

u

Bab

y L

ab (

1er

Fab

Lab

ivo

irie

n).

Il es

t A

mb

assa

deu

r re

pré

sent

ant

la C

ôte

d’Iv

oire

au

pro

gra

mm

e sc

ient

ifiq

ue

inte

rnat

iona

l N

ext

Ein

stei

n F

oru

m d

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nsti

tut

Afr

icai

n

des

Sci

ence

s et

des

Mat

hém

atiq

ues

do

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e si

ège

est

à K

igal

i p

our

p

rom

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oir

l’i

nnov

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n sc

ient

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ue

et

tech

nolo

giq

ue a

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aine

sur

la

scèn

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ond

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. G

uiak

o

OB

IN e

st c

onf

éren

cier

inte

rnat

iona

l et

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laur

éat

d’u

ne

diz

aine

de

pri

x et

reco

nnai

ssan

ces

do

nt le

der

nier

en

dat

e es

t le

Pri

x N

atio

nal d

’Exc

elle

nce

2017

du

go

uver

nem

ent

ivo

irie

n.

Her

man

n C

hris

tian

KO

UA

SSI –

INC

UB

’IVO

IRC

on

sult

ant

en In

telli

gen

ce E

con

om

iqu

e et

co

-fo

nd

ateu

r d

’Incu

’Ivo

ir, u

n i

ncu

bat

eur

de

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jets

in

no

van

ts i

nit

par

le

C

lub

d

’Aff

aire

s A

friq

ue-

Mo

nd

e,

qu

i as

sure

l’a

cco

mp

agn

emen

t fi

nan

cier

d

e p

ort

eurs

d

e p

roje

ts

issu

s d

e la

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iasp

ora

, H

erm

ann

C

hri

stia

n

KO

UA

SS

I es

t d

iplô

de

l’Eco

le

Eu

rop

éen

ne

d’In

telli

gen

ce

Eco

no

miq

ue

de

Ver

saill

es, d

e la

No

ema

Bu

sin

ess

Sch

oo

l d

e R

ou

en (

Mas

ter

spéc

ialis

é en

Man

agem

ent

Fin

anci

er

Inte

rnat

ion

al)

et d

u G

rou

pe

Inst

ec à

Ab

idja

n (

Ing

énie

ur

com

mer

cial

op

tio

n A

ud

it e

t C

on

trô

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esti

on

).

Cha

rlot

te L

IBO

G –

AFR

IQU

E G

RE

NIE

R D

U M

ON

DE

Dip

lôm

ée

d’u

n

tro

isiè

me

cycl

e en

E

-bu

sin

ess,

en

trep

ren

eur

et m

ilita

nte

en

gag

ée,

Ch

arlo

tte

LIB

OG

, fo

nd

e la

pla

te-f

orm

e A

friq

ue

Gre

nie

r d

u M

on

de

en

2013

, d

ans

le

bu

t d

e p

rom

ou

voir

l’e

ntr

epre

neu

riat

ag

rico

le

en

Afr

iqu

e su

bsa

har

ien

ne

et

de

par

tici

per

ai

nsi

d

e m

aniè

re

effica

ce

et

du

rab

le

à u

ne

réel

le

émer

gen

ce

de

l’ag

ricu

ltu

re

afri

cain

e.

L’o

bje

ctif

d

e ce

tte

pla

tefo

rme

est

d’œ

uvr

er

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cem

ent

à sa

re

lan

ce

via

l’in

cita

tio

n

à l’i

nves

tiss

emen

t p

rivé

su

r l’e

nse

mb

le

de

la

chaî

ne

de

vale

ur

agri

cole

:

pro

du

ctio

n,

log

isti

qu

e,

com

mer

cial

isat

ion

, tr

ansf

orm

atio

n, s

ervi

ces

ann

exes

Dr

Mau

rice

MA

HO

UN

ON

– J

ourn

alis

teA

naly

ste

spéc

ialis

te

de

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tions

in

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atio

nale

s et

st

raté

giq

ues,

exp

ert

en d

éfen

se e

t sé

curit

é (p

réve

ntio

n,

ges

tion

et r

ègle

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t d

es c

rises

et

confl

its)

dan

s l’e

spac

e C

ED

EA

O. D

epui

s no

vem

bre

20

17, i

l est

Réd

acte

ur e

n C

hef

de

Rad

io B

énin

(O

ffice

de

Rad

iod

iffus

ion

et T

élév

isio

n d

u

Bén

in-O

RT

B).

Il a

effec

tué

de

nom

bre

uses

mis

sio

ns d

ans

les

pay

s en

cris

e et

co

nflit

en A

friq

ue d

e l’o

uest

. Il e

nsei

gne

le

Jour

nalis

me

et le

s S

cien

ces

po

litiq

ues

dan

s le

s U

nive

rsité

s p

ubliq

ues

et

éco

les

sup

érie

ures

p

rivée

s d

u B

énin

. M

auric

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aho

uno

n fa

it d

es r

eche

rche

s su

r d

es q

uest

ions

curit

aire

s en

Afr

ique

de

l’Oue

st e

t co

llab

ore

co

mm

e co

nsul

tant

av

ec d

es m

édia

s na

tiona

ux e

t in

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atio

naux

, In

stitu

ts e

t C

entr

es d

’ana

lyse

et

de

pré

vent

ion

de

cris

es

et c

onfl

its.

Mau

rice

Mah

oun

on

est

titul

aire

d’u

n D

oct

ora

t en

Dro

it in

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atio

nal e

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ces

po

litiq

ues

à l’U

nive

rsité

d

e M

aast

richt

(R

oyau

me

des

Pay

s-B

as)

aprè

s u

n P

h.D

en

R

elat

ions

inte

rnat

iona

les.

Page 54: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

54

10

Dou

gla

s M

BIA

ND

OU

– O

BJI

SIn

gén

ieur

d

e fo

rmat

ion,

D

oug

las

MB

IAN

DO

U

est

le

pré

sid

ent

du

cent

re d

e fo

rmat

ion

info

rmat

ique

Ob

jis,

spéc

ialis

é d

ans

les

tech

nolo

gie

s Ja

va W

eb M

ob

ile. I

l est

ég

alem

ent

le p

rom

ote

ur d

u p

rog

ram

me

100

00

Co

deu

rs,

actu

elle

men

t d

éplo

en

te

d’Iv

oire

, S

énég

al

et

Cam

ero

un :

il

se fi

xe p

our

ob

ject

if d

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ire d

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friq

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le p

rem

ier

four

niss

eur

de

dév

elo

pp

eurs

info

rmat

ique

au

M

ond

e.

Fran

cis

ME

STO

N –

ATO

SV

ice-

pré

sid

ent

exéc

uti

f d

e G

lob

al S

yste

ms

Inte

gra

tio

n,

il su

per

vise

dep

uis

ju

illet

20

15,

les

op

érat

ion

s M

EA

et

a ét

é n

om

agen

t d

e tr

ansf

orm

atio

n n

um

ériq

ue

du

g

rou

pe.

Au

ME

A, F

ran

cis

Mes

ton

dir

ige

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op

érat

ion

s d

’Ato

s au

Mo

yen

-Ori

ent,

en

Tu

rqu

ie e

t en

Afr

iqu

e av

ec

un

e p

rése

nce

dan

s 15

pay

s. A

u c

ou

rs d

e sa

car

rièr

e,

Fra

nci

s M

esto

n a

cré

é d

es s

ervi

ces

info

rmat

iqu

es e

t d

es c

entr

es d

e liv

rais

on

BP

O q

ui e

mp

loie

nt

aujo

urd

’hu

i 3

00

0 p

rofe

ssio

nn

els

en A

friq

ue

et 1

5 0

00

en

In

de.

D

iplô

en

gén

ie

info

rmat

iqu

e d

e l’E

cole

C

entr

ale

de

Mar

seill

e et

d’u

n M

BA

de

l’Un

iver

sité

Pu

rdu

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l es

t l’a

ute

ur

de

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x liv

res

de

ges

tio

n s

ur

la t

ran

sfo

rmat

ion

d

es

entr

epri

ses

et

la

ges

tio

n

info

rmat

iqu

e,

trad

uit

s en

plu

sieu

rs l

ang

ues

. P

rofe

sseu

r ag

rég

é à

HE

C,

Il es

t ch

arg

é d

e co

urs

dan

s p

lusi

eurs

éco

les

de

com

mer

ce e

t as

soci

atio

ns

pro

fess

ion

nel

les

fran

çais

es.

Can

dac

e N

KO

TH B

ISSE

CK

– S

TAN

FOR

DD

iplô

mée

de

l’ES

SE

C,

Can

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e es

t p

assi

on

née

par

le

dév

elo

pp

emen

t d

es p

erso

nn

es,

de

leu

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arri

ères

et

entr

epri

ses

via

l’in

no

vati

on

et l

a te

chn

olo

gie

nu

mér

iqu

e.

Elle

tra

vaill

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tuel

lem

ent

avec

Sta

nfo

rd e

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friq

ue

de

l’Ou

est,

et

aid

e le

s P

ME

de

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égio

n à

fai

re g

ran

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ur

acti

vité

p

ar

l’in

no

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on

. A

up

arav

ant,

C

and

ace

a d

irig

é le

sit

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mm

erce

en

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ne

Jum

ia M

arke

t au

C

amer

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n,

et

inte

rvie

nt

fréq

uem

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t d

ans

des

fo

rum

s in

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atio

nau

x su

r le

s th

èmes

de

l’éco

no

mie

n

um

ériq

ue,

de

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trep

ren

euri

at e

t d

e l’a

uto

no

mis

atio

n

de

la f

emm

e.

Dan

ièle

SA

SSO

U N

GU

ESS

O –

FO

ND

ATI

ON

SO

UN

GA

Sen

sib

le à

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cond

itio

n d

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fem

me

afri

cain

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aniè

le

SA

SS

OU

NG

UE

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O a

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sur

pie

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Fo

ndat

ion

So

ung

a,

fond

atio

n à

but

no

n lu

crat

if fo

ndée

en

20

15,

qui

a

po

ur a

mb

itio

n d

’alle

r à

la r

enco

ntre

de

ces

fem

mes

q

ui

conn

aiss

ent

tous

le

s jo

urs

des

en

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es

à le

ur

épan

oui

ssem

ent,

de

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éco

uter

, de

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do

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la p

aro

le

et d

e le

s ai

der

à a

cqué

rir

plu

s d

’aut

ono

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en

leur

o

ffra

nt l

es m

oyen

s d

’ent

rep

rend

re g

râce

à d

es a

ctio

ns

po

rtan

t su

r la

fo

rmat

ion

et

le

mic

rocr

édit

. D

aniè

le

Sas

sou

Ng

uess

o a

ég

alem

ent

lanc

é en

mar

s 20

16 l

e M

FAC

, M

ouv

emen

t d

es

Fem

mes

A

ctiv

es

du

Co

ngo

, p

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euse

s d

’un

livre

bla

nc (

recu

eil

des

rev

end

icat

ions

d

es f

emm

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ong

ola

ises

po

ur p

lus

de

par

ité

et m

oin

s d

e d

iscr

imin

atio

ns d

es g

enre

s).

Page 55: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

55

11

Gal

a PA

RIC

HE

VA –

OO

LITH

AV

OC

ATS

Avo

cat

au

Bar

reau

d

e P

aris

, as

soci

ée

et

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atri

ce

du

cab

inet

d

’avo

cats

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’aff

aire

s in

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atio

nal

Oo

lith,

G

ala

Par

iche

va

pra

tiq

ue

le

dro

it

de

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orm

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ue

et

de

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erne

t, l

e d

roit

des

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que

s, l

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d’a

uteu

r et

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es d

essi

ns m

od

èles

. E

lle e

st é

gal

emen

t sp

écia

lisée

en

co

nten

tieu

x d

e co

ntre

faço

n et

co

ncur

renc

e d

éloy

ale.

D

uran

t sa

car

rièr

e, e

lle a

act

ivem

ent

suiv

i d

es p

ort

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d

’aff

aire

s et

des

sta

rt-u

p d

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écur

isat

ion

de

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s d

roit

s su

r le

pla

n na

tio

nal e

t in

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atio

nal.

Gal

a P

aric

heva

es

t m

emb

re

de

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erna

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nal

Trad

emar

k A

sso

ciat

ion

(I

NTA

) et

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sso

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des

P

rati

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s d

u D

roit

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Mar

que

s et

des

Mo

dèl

es (

AP

RA

M).

Elle

est

ég

alem

ent

par

tena

ire d

u ré

seau

ww

w.le

-dro

it-d

es-a

ffai

res.

com

.

Jean

ne S

isso

ko-Z

EZ

E –

RE

FLE

T C

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SULT

ING

Dire

ctri

ce G

énér

ale

de

Refl

et C

ons

ulti

ng, c

abin

et c

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spéc

ialis

é en

Co

rpo

rate

Bra

ndin

g e

t P

erso

nal B

rand

ing

, ce

tte

anci

enne

ban

qui

ère

a ab

and

onn

é sa

car

rièr

e d

e sp

écia

liste

des

mar

chés

fina

ncie

rs,

afin

d’e

mb

rass

er s

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on.

Sa

visi

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: ch

aque

per

sonn

e et

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rep

rise

est

ca

pab

le d

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véle

r so

n id

enti

té e

t d

e se

dém

arq

uer.

Elle

s’

est

do

nnée

po

ur m

issi

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d’a

cco

mp

agne

r, en

trep

rise

s et

ind

ivid

us, d

ans

le p

roce

ssus

de

dév

elo

pp

emen

t et

de

ges

tio

n d

e le

ur m

arq

ue.

Mam

e C

afa

SALL

– K

AIZ

EN

Mam

e C

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SA

LL

est

co

ach

cer

tifi

ée e

n C

om

mu

nic

atio

n

Ski

lls i

n B

rid

gin

g D

ivid

es e

t B

eco

min

g a

Su

cces

sfu

l L

ead

er. E

lle e

st a

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ure

de

qu

atre

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res

en l

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ersh

ip

et p

rési

de

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om

mis

sio

n le

ader

ship

et

com

pét

itiv

ité

du

C

entr

e A

fric

ain

de

Vei

lle e

t d

’Inte

llig

ence

Eco

no

miq

ue

(CA

VIE

) b

asé

à Y

aou

nd

é. E

lle e

st c

hro

niq

ueu

se p

ou

r le

mag

azin

e éc

on

om

iqu

e «

Réu

ssir

» e

t fo

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atri

ce d

u

gro

up

e K

aize

n. K

aize

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st u

ne

entr

epri

se d

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ach

ing

et

de

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n. S

a m

issi

on

pri

nci

pal

e es

t d

’acc

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pag

ner

le

s ca

dre

s d

’en

trep

rise

et

le

s m

anag

ers

à le

ver

les

blo

cag

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iés

à l’a

ccél

érat

ion

de

leu

rs p

erfo

rman

ces

per

son

nel

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pro

fess

ion

nel

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anag

éria

les.

Fam

an T

OU

RE

– C

CC

I CÔ

TE D

’IVO

IRE

Dip

lôm

é d

’étu

des

su

pér

ieur

es

en

Ass

uran

ces

de

l’Ins

titu

t In

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atio

nal d

es A

ssur

ance

s (I

IA)

de

Yao

und

é au

Cam

ero

un.

Il es

t in

gén

ieur

ag

rono

me

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édia

teur

p

rofe

ssio

nnel

, d

iplô

de

l’Eco

le d

e M

édia

tio

n et

de

Nég

oci

atio

n d

e B

ord

eaux

. C

’est

dan

s le

sec

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des

as

sura

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qu’

il b

âtit

l’e

ssen

tiel

de

sa c

arri

ère,

en

tant

q

ue c

hef

d’e

ntre

pri

ses.

Anc

ienn

emen

t A

dm

inis

trat

eur

de

AV

EN

IRE

(S

oci

été

Inte

rnat

iona

le d

e R

éass

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ce),

de

CA

MIN

SU

R (

Cam

ero

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Insu

ranc

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’AT

LA

S A

ssur

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Pré

sid

ent

des

Bur

eaux

Nat

iona

ux d

e la

car

te b

rune

C

ED

EA

O.

Il es

t à

ce j

our

ad

min

istr

ateu

r et

co

nsei

ller

spéc

ial

du

Gro

upe

So

lidar

ité

Afr

icai

ne

d’A

ssur

ance

, P

rési

den

t d

u co

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dm

inis

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ion

de

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utue

lle d

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Taxi

s C

om

pte

urs

d’A

bid

jan

(MA

TCA

) ; j

uge

cons

ulai

re e

t vi

ce-P

rési

den

t d

e la

co

ur d

’arb

itra

ge

de

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’Ivo

ire, i

l es

t le

pré

sid

ent

de

la C

CI d

e C

ôte

d’Iv

oire

, dep

uis

2016

.

Page 56: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

56

12

Has

sini

TSA

KI –

Pro

fess

eur

d’U

nive

rsit

éP

rofe

sseu

r d

’Uni

vers

ité,

d

irect

eur

de

rech

erch

es

univ

ersi

taire

s, H

assi

ni T

SA

KI

est

Do

cteu

r en

Sci

ence

s A

gro

nom

ique

s et

Ing

énie

rie

Bio

log

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, et

dip

lôm

é d

e la

Fac

ulté

des

Sci

ence

s A

gro

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s d

e G

emb

loux

(B

elg

ique

). S

es a

ctiv

ités

de

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erch

es s

’eff

ectu

ent

par

un

e co

llab

ora

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n au

sei

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’un

‘’Rés

eau

de

Sur

veill

ance

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e l’E

nviro

nnem

ent’

’, ce

lui-

ci i

nclu

t la

«B

io-s

urve

illan

ce

de

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ollu

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l est

mem

bre

du

Co

nsei

l Sci

enti

fique

de

l’Ins

titu

t E

uro

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iter

rané

en d

e l’E

nviro

nnem

ent

et d

es

Ene

rgie

s R

eno

uvel

able

s (I

3ER

). D

ans

sa s

péc

ialit

é d

e co

mp

éten

ce, i

l a r

emp

li p

lusi

eurs

mis

sio

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e fo

rmat

ion

et

d’e

xper

tise

po

ur l’

UN

ES

CO

do

nt la

der

nièr

e, e

n fé

vrie

r 20

11,

en q

ualit

é d

e C

hef

de

pro

jet,

par

l’in

itia

tio

n et

la

pré

sid

ence

du

Sém

inai

re I

nter

nati

ona

l d

e F

orm

atio

n à

l’Ag

ricu

ltur

e B

iolo

giq

ue e

t au

Dév

elo

pp

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t D

urab

le.

Lind

a N

anan

VA

LLE

E

– FO

ND

ATI

ON

JE

UN

ESS

E

NU

RIQ

UE

Ap

rès

avo

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trav

aillé

p

end

ant

un

e d

izai

ne

d’a

nn

ées

à l’i

nte

rnat

ion

al,

elle

a

déc

idé

de

con

trib

uer

au

d

ével

op

pem

ent

de

son

p

ays

de

nai

ssan

ce,

la

te

d’Iv

oir

e, e

n s

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éin

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lan

t, d

’ab

ord

en

20

09

, en

tan

t q

u’e

ntr

epre

neu

re d

ans

le d

om

ain

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e la

fo

rmat

ion

en

T

IC, p

uis

en

20

15 e

n t

ant

qu

e fo

rmat

rice

et

ense

ign

ante

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ud

itio

nn

ée

en

2016

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le

Min

istr

e en

ch

arg

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e l’é

con

om

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nu

mér

iqu

e,

elle

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miè

re

fem

me

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join

dre

l’éq

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e d

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niq

ues

d

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Min

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con

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Nu

mér

iqu

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po

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la

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n

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le

en

200

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t d

’ab

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la

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ces

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de

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min

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atio

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io

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n p

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rej

oin

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n H

iro

nd

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cati

on

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friq

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ncie

n

d’é

cole

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com

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ssu

d’u

ne f

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e d

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Eri

ck

YO

NG

es

t un

ho

mm

e d

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po

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lott

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vis

ionn

aire

, q

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oss

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vast

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pér

ienc

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u

man

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ent

à l’i

nter

nati

ona

l et

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éjà

dév

elo

pp

é et

d

irig

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lem

ent

plu

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oci

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cour

s d

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rick

YO

NG

est

un

stra

tèg

e m

arke

ting

rec

onn

u, s

péc

ialis

te d

es p

rob

lém

atiq

ues

des

st

art-

up e

n fo

rte

cro

issa

nce.

Page 57: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

57

13

Cél

ébra

nt l

’esp

rit

d’e

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pre

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sse

afri

cain

e, c

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renc

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per

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tro

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lus

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70 s

tart

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, ve

nues

de

tout

le

cont

inen

t et

pri

ses

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harg

e p

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e LA

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déf

end

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b

usin

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t un

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rre

d’in

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isse

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ch

efs

d’e

ntre

pri

ses

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xper

ts, d

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le c

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des

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do

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bén

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d’u

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com

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nem

ent

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tout

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de

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s, o

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qu

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ne

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nu

isib

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n e

ng

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nat

ure

l et

en

éle

ctri

cité

, l’u

n d

es 2

0 p

roje

ts l

es p

lus

pro

met

teu

rs e

n A

friq

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selo

n l

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U,

Chr

isti

an

Hafi

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MW

IJA

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(E

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T)

qu

i u

tilis

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déc

het

s p

last

iqu

es p

ou

r co

nst

ruir

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es h

ôp

itau

x, d

es r

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tes

et d

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rèch

es

en m

atér

iau

x d

e co

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ruct

ion

syn

thét

iqu

e, B

rend

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WE

SIG

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(W

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I V

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qu

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ffre

au

x éc

olie

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es s

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s o

pti

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t d

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pai

res

de

lun

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s ab

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able

s co

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à p

arti

r d

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recy

clés

, B

oub

acar

SA

GN

A (

YE

NN

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ui

pro

po

se u

n d

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osi

tif

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pai

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t d

es s

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s sa

nté

en

lig

ne

per

met

tan

t au

x m

emb

res

de

la

dia

spo

ra a

fric

ain

e d

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ire

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éfici

er le

urs

pro

ches

de

con

sult

atio

ns

méd

ical

es e

t d

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édic

amen

ts a

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al.

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jets

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lice

cet

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nn

ée, t

émo

ign

ent

de

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on

po

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par

le

s n

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velle

s g

énér

atio

ns

afri

cain

es,

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ux

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soci

été

actu

els

qu

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nt

la s

olid

arit

é, l

e lie

n s

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l’esp

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coo

pér

atif,

l’a

uto

no

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fi

nan

cièr

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dév

elo

pp

emen

t d

ura

ble

et

l’éco

no

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cir

cula

ire,

dan

s u

n e

spri

t in

clu

sif.

Déc

ou

vrez

to

ute

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iver

sité

des

init

iati

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pét

itio

n s

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le s

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du

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ns,

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dat

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elle

et

Th

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ran

ce,

méd

ia e

n

lign

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’info

rmat

ion

et

d’a

nal

yse

de

l’act

ual

ité,

cet

te

init

iati

ve a

po

ur

ob

ject

if l

a va

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sati

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au

tra

vers

d

es m

édia

s, d

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ote

nti

el d

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on

tin

ent

en t

erm

es d

e cr

éati

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de

rich

esse

s p

ar l’

entr

epre

nar

iat,

d’e

mp

loi

et d

’en

gag

emen

t ci

toye

n.

C’e

st

en

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yan

t le

s in

itia

tive

s ci

toye

nn

es,

les

no

uve

lles

stra

tég

ies

d’e

ntr

epri

ses,

les

op

po

rtu

nit

és

de

dév

elo

pp

emen

t, le

s m

étie

rs p

ort

eurs

, les

fig

ure

s d

e l’i

nn

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tio

n e

t d

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rec

her

che

afri

cain

e et

en

va

lori

san

t se

s p

lus

émin

ents

po

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par

ole

, q

ue

la

jeu

nes

se a

fric

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e p

ren

dra

dav

anta

ge

con

fian

ce e

n

son

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able

po

ten

tiel

. U

ne

ph

iloso

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ie

qu

i re

join

t en

to

ut

po

int

celle

d

u

Lan

d

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ican

B

usi

nes

s q

ui

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eille

ra

le

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cem

ent

de

cett

e o

pér

atio

n,

avan

t so

n

dév

elo

pp

emen

t en

20

18.

En

par

ten

aria

t av

ec le

stu

dio

Mo

zaik

, par

ten

aire

de

la F

on

dat

ion

Hir

on

del

le, u

ne

ante

nn

e d

e p

rod

uct

ion

co

uvr

ira

les

déb

ats

du

LA

B 2

017

, à t

rave

rs u

ne

séri

e d

’inte

rvie

ws

et d

e p

ort

rait

s, l

arg

emen

t re

layé

s su

r le

s ré

seau

x so

ciau

x (n

ota

mm

ent

la p

age

Fac

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ok

Afr

iqu

e A

ctiv

’), l

a p

late

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e T

he

Co

nver

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on

, les

p

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es w

eb d

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arte

nai

res,

les

rad

ios

loca

les

asso

ciée

s, le

s m

édia

s q

ui d

isp

ose

ron

t d

e p

od

cast

s té

léch

arg

eab

les

gra

tuit

emen

t su

r le

s p

late

form

es

iTu

nes

et

Go

og

le P

lay.

Page 58: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

58

14

GR

AN

D P

RIX

Par

rain

é p

ar R

oya

l Air

M

aro

cR

éco

mp

ense

l’e

ntr

epre

neu

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rica

in(e

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le b

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nes

s p

lan

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plu

s p

erfo

rman

t p

ou

r ré

po

nd

e effi

cace

men

t au

x en

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x d

u c

on

tin

ent

afri

cain

, su

scep

tib

le

égal

emen

t d

’en

traî

ner

d

es c

han

gem

ents

ta

ng

ible

s, p

osi

tifs

et

con

cret

s en

Afr

iqu

e.

LE P

RIX

DE

L’

EN

TRE

PR

EN

EU

RIA

T

FÉM

ININ

Par

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é p

ar C

anal

+R

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ense

l’E

ntr

epre

neu

riat

F

émin

in a

fric

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is

su d

e la

dia

spo

ra,

po

ur

l’exe

mp

lari

té d

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n p

roje

t d

ans

tou

t d

om

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e fa

vori

san

t la

tra

nsi

tio

n v

ers

un

m

od

èle

éco

no

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viab

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ble

en

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ue.

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epre

neu

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e C

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oir

e, p

ou

r l’e

xem

pla

rité

de

son

p

roje

t d

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tou

t d

om

ain

e fa

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san

t la

tra

nsi

tio

n v

ers

un

m

od

èle

éco

no

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ue

viab

le e

t d

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en

C

ôte

d’Iv

oir

e.

LE P

RIX

AG

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EC

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arra

iné

par

la

So

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ale

Réc

om

pen

se u

n(e

) en

trep

ren

eur(

se)

dan

s le

do

mai

ne

de

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ricu

ltu

re, p

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r l’e

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pla

rité

de

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p

roje

t d

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e fa

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san

t la

tra

nsi

tio

n v

ers

un

m

od

èle

éco

no

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le e

t d

ura

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en

C

ôte

d’Iv

oir

e.

LE P

RIX

DE

LA

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OP

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rain

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la

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nco

ph

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ie –

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Réc

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pen

se la

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sta

rt-u

p

fran

cop

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ne.

Cin

q t

rop

hée

s se

ron

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écer

nés

:

« St

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Th

e A

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»L

es s

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, in

vité

es p

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LA

B

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uri

r au

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eth

ink

Aw

ard

s, m

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on

t à

pro

fit

leu

r jo

urn

ée d

e tr

ansi

t à

Cas

abla

nca

ce

30

no

vem

bre

, p

ou

r p

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cip

er à

un

m

ento

rin

g o

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inal

, p

rop

osé

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Ro

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Mar

oc,

tra

nsp

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offi

ciel

du

LA

B, d

ans

ses

salo

ns

pri

vés

de

l’aér

op

ort

de

9h

à

20h

, pro

dig

par

le

s p

rofe

sseu

rs d

e l’E

SS

EC

Afr

iqu

e A

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de

Rab

at,

dir

igée

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ierr

y S

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ud

e. C

ette

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rin

g,

per

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tra

à ce

s je

un

es e

ntr

epre

neu

rs

d’é

chan

ger

ave

c d

e n

om

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ux

acte

urs

d

e l’e

ntr

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nar

iat

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oca

in, d

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t M

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sieu

r O

thm

ane

Bek

kari

, dir

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nt

de

la R

oya

l Air

Mar

oc.

AF

RIC

AN

RE

TH

INK

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DS

: LE

S P

RIX

Page 59: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

59

15

LE L

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TR

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ES

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s et

tr

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ent

l’exp

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mm

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B

aby

Lab

. P

rem

ier

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la

b

(lab

ora

toir

e d

e fa

bri

cati

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) iv

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le

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ire

mo

nd

ial

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la f

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dat

ion

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ou

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itu

te

of

Tech

no

log

y),

le B

aby

Lab

axe

so

n

dév

elo

pp

emen

t su

r le

s ac

tivi

tés

de

recy

clag

e d

e d

éch

ets

élec

tro

niq

ues

, la

fo

rmat

ion

des

mo

ins

de

16 a

ns

au

cod

e in

form

atiq

ue,

à l

’éle

ctro

niq

ue

et l

a ro

bo

tiq

ue,

le

dév

elo

pp

emen

t d

’ap

plic

atio

ns,

o

u

la

con

du

ite

de

pro

jets

d

’inn

ova

tio

n

soci

ale

po

ur

des

org

anis

atio

ns…

Ses

an

imat

eurs

: G

uia

ko

Ob

in

son

P

rési

den

t –

Ab

do

ula

ye D

ia B

até,

Vic

e-P

rési

den

t –

Gh

isla

in D

essi

eh,

Ch

ef d

e p

roje

t éc

on

om

ie

circ

ula

ire

– E

dw

ige

Gb

og

ou

, Ch

arg

ée d

e co

mm

un

icat

ion

son

t le

s p

arte

nai

res

lég

itim

es

du

LA

B p

ar l

eur

exp

erti

se e

t le

ur

imp

lan

tati

on

re

con

nu

es.

Ils

son

t le

s cr

éate

urs

d

u

site

In

tern

et,

resp

on

sab

les

de

la p

olit

iqu

e d

igit

ale

du

LA

B e

t les

an

imat

eurs

su

r le

terr

ain

d

e l’a

mb

itio

n

entr

epre

neu

rial

e d

es

équ

ipes

par

isie

nn

es.

Po

ur

en s

avo

ir p

lus

: w

ww

.bab

y-la

b.o

rg

Am

bit

ieu

x d

ans

la m

ise

en r

elat

ion

d’a

cteu

rs c

on

cern

és p

ar le

s d

éfis

émer

gen

ts d

u d

ével

op

pem

ent

et d

e la

cro

issa

nce

afr

icai

ne,

le L

AB

a a

cqu

is, g

râce

à s

a 1è

re é

dit

ion

lors

de

la C

OP

21 à

Par

is q

ui a

un

i plu

s d

e 3

50

0 p

arti

cip

ants

, un

e fo

rte

reco

nn

aiss

ance

su

r la

scè

ne

inte

rnat

ion

ale.

Il as

soci

e d

ans

ses

réfl

exio

ns,

p

erso

nn

alit

és

éco

no

miq

ues

, m

édia

tiq

ues

, so

cial

es,

cult

ure

lles,

as

soci

ativ

es e

t p

olit

iqu

es a

vec

un

e ap

pro

che

tran

sdis

cip

linai

re c

entr

ée s

ur

les

par

ten

aria

ts,

en

met

tan

t l’e

ntr

epri

se e

t l’i

nn

ova

tio

n a

u c

œu

r d

u d

ébat

.

Sa

mis

sio

n :

•A

NIM

ER

la v

ie d

es id

ées.

•E

NC

OU

RA

GE

R l’

inn

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tio

n in

telle

ctu

elle

et

pro

du

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de

l’exp

erti

se p

ou

r g

uid

er la

vis

ion

à lo

ng

te

rme

des

déc

ideu

rs e

t d

es a

cteu

rs d

e te

rrai

n.

•P

RO

DU

IRE

un

e ré

flex

ion

co

llect

ive

face

au

x g

ran

ds

défi

s et

diff

use

r la

co

mp

réh

ensi

on

des

en

jeu

x co

nte

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ora

ins.

•E

NR

ICH

IR le

s ré

seau

x d

’infl

uen

ce e

t m

ener

des

act

ion

s d

e lo

bb

yin

g a

up

rès

des

déc

ideu

rs.

•FA

CIL

ITE

R la

co

llab

ora

tio

n e

ntr

e sp

hèr

es p

ub

liqu

es e

t pri

vées

, ser

van

t de

can

al d

e co

mm

un

icat

ion

en

tre

po

litiq

ues

, en

trep

rise

s, e

xper

ts e

t ac

teu

rs d

e la

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ciét

é ci

vile

.•

VA

LOR

ISE

R le

s in

itia

tive

s in

no

van

tes

et f

avo

rise

r le

par

tag

e d

e b

on

nes

pra

tiq

ues

.

Page 60: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

60

16

Eri

c B

azin

, fon

dat

eur

Eng

agé

dep

uis

plu

s d

e d

ix a

ns s

ur d

es p

rob

lém

atiq

ues

liées

à l

’ess

or

du

cont

inen

t af

rica

in,

il es

t co

nvai

ncu

d

e la

néc

essi

té d

’inté

gre

r la

vo

ix d

e l’A

friq

ue d

ans

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déb

ats

éco

nom

ique

s et

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ciét

aux

inte

rnat

iona

ux.

Une

co

nvic

tio

n q

ui l’a

mèn

e en

20

14, à

fond

er le

Lan

d o

f Afr

ican

B

usin

ess

(LA

B)

et l

es A

fric

an R

ethi

nk A

war

ds

(AR

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G

rand

rep

ort

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anci

en r

édac

teur

en

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de

l’Ag

ence

G

amm

a, E

ric

Baz

in a

fo

ndé

les

agen

ces

de

Pre

sse

Sao

la

en 1

99

3, S

atel

ight

en

200

4, a

gen

ce s

péc

ialis

ée d

ans

le

rep

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des

tiné

à P

aris

Mat

ch,

Sun

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Tim

es,

Ste

rn,

Nat

iona

l G

eog

rap

hic,

E

l P

ais,

Le

M

ond

e M

agaz

ine,

Ti

me,

New

swee

k, e

tc. E

n 20

06

, il f

ond

e av

ec G

eorg

e J.

G

end

elm

an L

es A

telie

rs d

e la

Ter

re,

thin

k ta

nk p

our

le

dév

elo

pp

emen

t d

urab

le e

t la

RS

E, q

ui d

onn

e na

issa

nce

au f

oru

m in

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atio

nal p

our

un

dév

elo

pp

emen

t d

urab

le

: la

«G

lob

al C

onf

eren

ce».

Il

crée

en

200

9,

l’ass

oci

atio

n

«Ed

urab

le»,

po

ur l’

ense

igne

men

t et

la s

ensi

bili

sati

on

au

dév

elo

pp

emen

t d

urab

le e

n A

friq

ue. O

rgan

ise

en 2

012

, la

« G

lob

al C

onf

eren

ce »

de

Rab

at a

u M

aro

c et

le 1e

r F

oru

m

Gre

en B

usin

ess

de

Po

inte

No

ire a

u C

ong

o. F

ond

ateu

r d

u

1er

Fo

rum

de

l’Eau

et

de

la M

er à

Bar

celo

ne,

en 2

013

, E

ric

Baz

in a

aus

si o

rgan

isé

de

nom

bre

uses

exp

osi

tio

ns

pho

tog

rap

hiq

ues

à tr

aver

s le

mo

nde.

Pas

sio

nné

par

l’ar

t d

u vi

n, i

l es

t co

nvai

ncu

qu’

une

soci

été

du

mie

ux v

ivre

en

sem

ble

pas

se p

ar l’

écha

nge

et la

tra

nsm

issi

on.

LES

AN

IMA

TE

UR

S

Soni

a H

enry

, dir

ectr

ice

des

pro

gra

mm

esC

ons

eillè

re te

chni

que

au

Min

istè

re d

es A

ffai

res é

tran

gèr

es

po

ur

la

mis

sio

n d

e co

op

érat

ion

en

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iter

rané

e o

ccid

enta

le,

avan

t d

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even

ir j

our

nalis

te g

éop

olit

ique

, S

oni

a H

enry

est

aut

eur

d’a

rtic

les

po

ur d

es p

ublic

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ns

inte

rnat

iona

les

sur

l’env

ironn

emen

t et

trè

s im

pliq

uée

sur

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que

stio

ns li

ées

au d

ével

op

pem

ent

dur

able

. Dip

lôm

ée

d’u

n m

aste

r en

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roit

in

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atio

nal

et

en

litté

ratu

re

fran

çais

e, e

lle e

st a

ussi

aut

eur

réal

isat

eur

(52

min

utes

‘ En

q

uête

d’é

nerg

ie d

urab

le’ p

our

La

Cha

ine

Par

lem

enta

ire).

A

uteu

r d

u liv

re «

50

ans

de

l’ind

épen

dan

ce a

fric

aine

»

po

ur l’A

gen

ce F

ranç

aise

du

Dév

elo

pp

emen

t (A

FD

), e

lle a

ég

alem

ent

pub

lié u

n o

uvra

ge

po

ur l’

Uni

on

Eco

nom

ique

et

mo

néta

ire e

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friq

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ccid

enta

le in

titu

lé «

Fo

rger

une

in

tég

rati

on

rég

iona

le s

olid

aire

». S

oni

a H

enry

pro

dui

t le

co

nten

u éd

ito

rial

et

mo

dèr

e le

s d

iscu

ssio

ns a

uto

ur d

u

Gre

en B

usin

ess

et d

e la

géo

po

litiq

ue e

nviro

nnem

enta

le.

«Not

re r

êve

est

de

cont

ribu

er à

bât

ir le

s te

rrit

oire

s de

dem

ain

que

sont

les

Fab

Lab

pour

pro

mou

voir

la

sci

ence

et

la

tech

nolo

gie

afin

d’ai

der

le v

ieux

con

tine

nt à

vi

vre

dura

blem

ent

sa

tran

siti

on n

umér

ique

. Ils

doi

vent

êtr

e vu

s co

mm

e de

s m

oyen

s de

soc

ialis

atio

n po

ur

reco

nver

tir

chaq

ue

cito

yen

Afr

icai

n en

un

ent

repr

eneu

r du

ch

ange

men

t.»

Gui

ako

Obi

n, p

rési

dent

du

Bab

y La

b

Page 61: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

61

17

Par

tena

ires

thé

mat

ique

s

ASS

OC

IATI

ON

DU

NO

TAR

IAT

FRA

NC

OP

HO

NE

Cré

ée e

n 19

92,

elle

reg

rou

pe

les

cham

bre

s n

ota

rial

es d

e 27

éta

ts e

t d

es n

ota

ires

mem

bre

s in

div

idu

els.

L’

exp

erti

se d

u n

ota

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fra

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ph

on

e s’

insc

rit

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s le

ren

forc

emen

t d

e la

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uri

té j

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diq

ue,

pie

rre

ang

ula

ire

de

l’Eta

t d

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roit

et

vect

eur

de

dév

elo

pp

emen

t éc

on

om

iqu

e d

es E

tats

. Un

env

iro

nn

emen

t ju

rid

iqu

e p

erti

nen

t fa

vori

se le

s éc

han

ges

co

mm

erci

aux,

les

inve

stis

sem

ents

et

l’am

élio

rati

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du

cad

re

de

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des

po

pu

lati

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s. L

’Ass

oci

atio

n d

u n

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riat

fra

nco

ph

on

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rgan

ise

ou

so

uti

ent

de

no

mb

reu

ses

acti

on

s et

in

itia

tive

s en

mat

ière

de

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atio

n n

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e, d

e re

nfo

rcem

ent

du

dro

it O

HA

DA

, d

e sé

curi

sati

on

fo

nci

ère

et d

’ap

pu

i à

la d

éliv

ran

ce d

e l’é

tat

civi

l. E

lle m

ilite

en

fin

po

ur

le m

ain

tien

de

la

div

ersi

té d

ans

l’ord

re ju

rid

iqu

e m

on

dia

l.

ATO

S L

ead

er m

on

dia

l des

ser

vice

s n

um

ériq

ues

, im

pla

nté

dan

s 12

pay

s af

rica

ins

avec

20

00

co

llab

ora

teu

rs,

Ato

s s’

illu

stre

co

mm

e le

par

ten

aire

de

con

fian

ce d

e la

tra

nsf

orm

atio

n d

igit

ale

des

Eta

ts e

t d

es a

cteu

rs

éco

no

miq

ues

du

co

nti

nen

t. S

on

en

gag

emen

t d

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le d

ével

op

pem

ent

d’u

ne

filiè

re n

um

ériq

ue

afri

cain

e a

po

ur a

mb

itio

n d

e so

ute

nir

la d

ynam

iqu

e d

e tr

ansf

orm

atio

n é

con

om

iqu

e, s

oci

ale

et e

nvir

on

nem

enta

le

de

la r

égio

n.

BP

IFR

AN

CE

A

vec

Bp

ifra

nce

, le

s en

trep

rise

s b

énéfi

cien

t d

’un

in

terl

ocu

teu

r p

uis

san

t, p

roch

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cace

po

ur

rép

on

dre

à le

urs

bes

oin

s d

e fi

nan

cem

ent,

à c

haq

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étap

e d

e le

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vie.

Elle

les

fin

ance

, de

l’am

orç

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jusq

u’à

la c

ota

tio

n e

n b

ou

rse,

en

pas

san

t p

ar la

tra

nsm

issi

on

, tan

t en

cré

dit

, en

gar

anti

e, q

u’e

n f

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ds

pro

pre

s et

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acco

mp

agn

e à

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ort

, en

par

ten

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t av

ec B

usi

nes

s F

ran

ce, c

om

me

dan

s le

urs

pro

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’inn

ova

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n.

BR

VM

La

Bo

urs

e R

égio

nal

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es V

aleu

rs M

ob

ilièr

es (

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VM

) es

t co

mm

un

e à

l’en

sem

ble

des

hu

it p

ays

de

l’Un

ion

Eco

no

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et M

on

étai

re O

ues

t A

fric

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e (U

EM

OA

) à

savo

ir :

le B

EN

IN, l

e B

UR

KIN

A F

AS

O,

la C

OT

E D

’IVO

IRE

, la

GU

INE

E-B

ISS

AU

, le

MA

LI,

le N

IGE

R, l

e S

EN

EG

AL

et

le T

OG

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a B

RV

M e

st à

la

fois

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su

ccès

éco

no

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ue,

po

litiq

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inst

itu

tio

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el e

t te

chn

iqu

e. Il

s’a

git

de

la s

eule

Bo

urs

e au

mo

nd

e p

arta

gée

par

plu

sieu

rs p

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to

tale

men

t él

ectr

on

iqu

e et

par

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emen

t in

tég

rée.

Ses

pri

nci

pal

es m

issi

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s :

• L’

org

anis

atio

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u m

arch

é b

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rsie

r ;

• L

a co

tati

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et

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égo

ciat

ion

des

val

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mo

bili

ères

;•

La

diff

usi

on

des

info

rmat

ion

s b

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rsiè

res

;•

La

pro

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n e

t le

dév

elo

pp

emen

t d

u m

arch

é.

LES

PA

RT

EN

AIR

ES

DU

LA

B

Page 62: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

62

18

CA

NA

L +

INTE

RN

ATI

ON

AL

CA

NA

L+

est

pré

sen

t su

r le

co

nti

nen

t d

epu

is p

lus

de

20 a

ns

et c

ou

vre

à ce

jou

r p

lus

de

25 p

ays

à tr

aver

s 11

filia

les

et p

lus

de

30

par

ten

aire

s et

dis

trib

ute

urs

. Ave

c so

n o

ffre

LE

S B

OU

QU

ET

S C

AN

AL

+ (

plu

s d

e 20

0 c

haî

nes

, rad

ios

et s

ervi

ces)

, le

gro

up

e es

t le

pre

mie

r o

pér

ateu

r d

e té

lévi

sio

n p

ayan

te e

n A

friq

ue

fran

cop

ho

ne.

Le

gro

up

e éd

ite

12 c

haî

nes

pre

miu

m C

AN

AL

+ p

ou

r le

co

nti

nen

t, p

rod

uit

ég

alem

ent

des

p

rog

ram

mes

déd

iés

à se

s ab

on

nés

du

co

nti

nen

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D’A

FR

IQU

E, R

ÉU

SS

ITE

, TA

LE

NT

S D

’AF

RIQ

UE

...)

et

a la

ncé

A+

, un

e ch

aîn

e 10

0 %

afr

icai

ne

en 2

015

et

A+

SP

OR

T, la

no

uve

lle c

haî

ne

de

spo

rt e

n A

friq

ue,

en

ju

illet

20

17. À

tra

vers

sa

filia

le T

HE

MA

, CA

NA

L+

per

met

à s

es a

bo

nn

és d

’avo

ir a

ccès

à N

OL

LYW

OO

D

TV

, NO

VE

LA

S T

V e

t G

OS

PE

L M

US

IC T

V. L

’off

re T

NT

est

dép

loyé

e so

us

la m

arq

ue

EA

SY

TV

. CA

NA

L+

es

t ac

tio

nn

aire

maj

ori

tair

e d

’IRO

KO

+, u

n s

ervi

ce d

e S

VO

D u

niq

ue

en A

friq

ue

fran

cop

ho

ne.

ESS

EC

AFR

IQU

E-A

TLA

NTI

QU

EC

e n

ou

veau

cam

pu

s d

e 6

00

0 m

2 si

tué

à S

idi B

ou

knad

el a

u c

oeu

r d

e l’a

ire

urb

ain

e R

abat

-Sal

é-K

enit

ra,

accu

eille

les

act

ivit

és a

cad

émiq

ues

de

l’ES

SE

C :

fo

rmat

ion

in

itia

le,

form

atio

n c

on

tin

ue,

an

imat

ion

d

’incu

bat

eurs

d’e

ntr

epri

ses

et a

ctiv

ités

de

rech

erch

e, e

n p

arte

nar

iat

avec

l’É

cole

Cen

tral

e in

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lée

à C

asab

lan

ca e

t av

ec d

es in

stit

uti

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s ac

adém

iqu

es m

aro

cain

es d

e tr

ès h

aut

niv

eau

co

mm

e l’U

niv

ersi

Inte

rnat

ion

ale

de

Rab

at.

FON

DA

TIO

N H

IRO

ND

ELL

EO

rgan

isat

ion

su

isse

à b

ut

no

n lu

crat

if, a

ctiv

e d

ans

18 p

ays

sur

3 c

on

tin

ents

, elle

fou

rnit

de

l’in

form

atio

n

à d

es p

op

ula

tio

ns

con

fro

nté

es à

des

cri

ses,

po

ur

leu

r p

erm

ettr

e d

’ag

ir d

ans

leu

r vi

e q

uo

tid

ien

ne

et

cito

yen

ne.

Par

so

n a

ctio

n, p

lusi

eurs

mill

ion

s d

e p

erso

nn

es d

ans

des

pay

s en

gu

erre

, des

co

nte

xtes

de

po

st-c

on

flit

, et

des

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ciét

és e

n t

ran

siti

on

dém

ocr

atiq

ue

on

t ac

cès

chaq

ue

jou

r à

des

méd

ias

qu

i leu

rs

par

len

t, e

t q

ui l

es é

cou

ten

t.

OR

GA

NIS

ATI

ON

INTE

RN

ATI

ON

ALE

DE

LA

FR

AN

CO

PH

ON

IEL

a fr

anco

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on

ie, c

e so

nt t

ou

t d’a

bo

rd d

es fe

mm

es e

t des

ho

mm

es q

ui p

arta

gen

t un

e la

ng

ue

com

mu

ne,

le

fra

nça

is, s

oit

274

mill

ion

s d

e lo

cute

urs

rép

arti

s su

r le

s ci

nq

co

nti

nen

ts.

Dep

uis

19

70 e

t la

cré

atio

n d

e l’a

gen

ce d

e co

op

érat

ion

cu

ltu

relle

et

tech

niq

ue

(AC

CT

) –

dev

enu

e au

jou

rd’h

ui

l’Org

anis

atio

n

inte

rnat

ion

ale

de

la

Fra

nco

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on

ie

(OIF

) –

les

fran

cop

ho

nes

p

euve

nt

s’ap

pu

yer

sur

un

dis

po

siti

f in

stit

uti

on

nel

vo

à p

rom

ou

voir

la

lan

gu

e fr

ança

ise

et l

es r

elat

ion

s d

e co

op

érat

ion

en

tre

les

84

Éta

ts e

t g

ou

vern

emen

ts m

emb

res

ou

ob

serv

ateu

rs d

e l’O

IF.

Ses

mis

sio

ns

:•

Pro

mo

uvo

ir la

lan

gu

e fr

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et la

div

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té c

ult

ure

lle e

t lin

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isti

qu

e.

• P

rom

ou

voir

la p

aix,

la d

émo

crat

ie e

t le

s d

roit

s d

e l’H

om

me.

• A

pp

uye

r l’é

du

cati

on

, la

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atio

n, l

’en

seig

nem

ent

sup

érie

ur

et la

rec

her

che.

Dév

elo

pp

er la

co

op

érat

ion

au

ser

vice

du

dév

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emen

t d

ura

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.U

ne

atte

nti

on

par

ticu

lière

est

acc

ord

ée a

ux

jeu

nes

et

aux

fem

mes

, ain

si q

u’à

l’ac

cès

aux

TIC

.

SOC

IETE

GE

NE

RA

LE

Pré

sen

t d

ans

18 p

ays

afri

cain

s, le

gro

up

e S

oci

été

Gén

éral

e p

rése

nte

un

po

siti

on

nem

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un

iqu

e su

r la

gio

n, q

ui p

erm

et d

’off

rir

à se

s cl

ien

ts l’

exp

erti

se e

t le

sav

oir

-fai

re d

’un

e b

anq

ue

inte

rnat

ion

ale

et la

Page 63: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

63

19

pro

xim

ité

d’u

ne

ban

qu

e lo

cale

. En

Afr

iqu

e, le

Gro

up

e ac

com

pag

ne

les

éco

no

mie

s lo

cale

s et

ser

t 3

,5

mill

ion

s d

e cl

ien

ts d

on

t 15

0 0

00

en

trep

rise

s.D

e p

ar s

on

an

crag

e h

isto

riq

ue,

mai

s ég

alem

ent

grâ

ce à

un

sav

oir

-fai

re r

eco

nn

u, S

oci

été

Gén

éral

e es

t au

jou

rd’h

ui l

’un

e d

es b

anq

ues

inte

rnat

ion

ales

les

plu

s fo

rtem

ent

imp

lan

tées

en

Afr

iqu

e. U

ne

ban

qu

e le

ader

dan

s la

plu

par

t d

es p

ays

d’A

friq

ue,

ave

c d

es p

arts

de

mar

ché

élev

ées

(su

pér

ieu

res

à 10

% d

ans

plu

s d

e la

mo

itié

des

pay

s o

ù le

Gro

up

e es

t p

rése

nt,

et

par

fois

su

pér

ieu

res

à 20

%).

Part

enai

re N

eutr

alit

é C

arb

one

GR

OU

PE

EC

OA

CT

Il ap

po

rte

aux

entr

epri

ses

et a

ux

terr

ito

ires

un

e ex

per

tise

un

iqu

e p

erm

etta

nt

d’a

nti

cip

er e

t d

e se

tr

ansf

orm

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osi

tive

men

t fa

ce a

u c

han

gem

ent

clim

atiq

ue.

Ses

exp

erts

dév

elo

pp

ent,

dep

uis

plu

s d

e 10

an

s et

à l

’éch

elle

in

tern

atio

nal

e, d

es s

trat

égie

s d

’att

énu

atio

n e

t d

’ad

apta

tio

n.

Ils p

erm

ette

nt

aux

dir

igea

nts

de

fair

e d

u c

limat

un

vér

itab

le le

vier

de

per

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ance

et

d’in

no

vati

on

.

Part

enai

res

inst

itut

ionn

els

CH

AM

BR

E D

E C

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ME

RC

E E

T D

‘IN

DU

STR

IE D

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OTE

D’IV

OIR

ED

oté

e d

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uto

no

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de

ges

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n,

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rep

rése

nte

au

prè

s d

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tat

les

inté

rêts

du

Co

mm

erce

, d

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nd

ust

rie

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es S

ervi

ces

avec

qu

atre

mis

sio

ns

clés

, d

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epré

sen

tati

on

, d

’Ass

ista

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et

le C

on

seils

au

x en

trep

rise

s, d

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réat

ion

et

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n d

’infr

astr

uct

ure

s et

de

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n.

So

n b

ut

est

de

déf

end

re

les

inté

rêts

des

en

trep

rise

s d

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n t

erri

toir

e et

de

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pro

mo

uvo

ir, e

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ével

op

pan

t le

s ca

pac

ités

des

h

om

mes

qu

i en

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nt

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acte

urs

et

en a

mén

agea

nt

des

esp

aces

, in

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tru

ctu

res

et s

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ces

néc

essa

ires

à

leu

r d

ével

op

pem

ent.

CO

NFE

RE

NC

E P

ER

MA

NE

NTE

DE

S C

HA

MB

RE

S C

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SULA

IRE

S A

FRIC

AIN

ES

ET

FRA

NC

OP

HO

NE

SC

réée

en

19

73 p

ar l

es p

rési

den

ts P

om

pid

ou

, S

eng

ho

r et

Ho

up

ho

uet

, la

CP

CC

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est

un

rés

eau

de

coo

pér

atio

n é

con

om

iqu

e, e

ntr

e l’A

friq

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fran

cop

ho

ne

(4 z

on

es :

No

rd, o

ues

t, C

entr

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Est

/ O

céan

in

die

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et le

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e d

e l’e

spac

e fr

anco

ph

on

e (C

anad

a/Q

uéb

ec, B

elg

iqu

e et

Lu

xem

bo

urg

, Haï

ti, F

ran

ce…

).

Elle

co

mp

te 3

0 p

ays

qu

i so

nt

rep

rése

nté

s, d

on

t 25

pay

s af

rica

ins,

po

ur

plu

s d

e 12

0 m

emb

res

dir

ects

, ch

amb

res

con

sula

ires

act

ives

. L

es p

roje

ts d

e co

op

érat

ion

po

rtés

par

la

CP

CC

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et

mis

en

œu

vre

sur

le t

erra

in p

ar l

es c

ham

bre

s co

nsu

lair

es c

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cern

ent

plu

s p

arti

culiè

rem

ent

: l’a

mél

iora

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n d

e la

g

ou

vern

ance

éco

no

miq

ue,

le

ren

forc

emen

t d

es s

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ces

d’a

pp

ui

et d

e fo

rmat

ion

pro

po

sés

par

les

co

nsu

lair

es a

ux

entr

epri

ses,

pro

mo

tio

n d

es é

chan

ges

et

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n d

’éq

uip

emen

ts p

ub

lics…

MIN

ISTE

RE

DE

LA

CO

MM

UN

ICA

TIO

N, D

E L

’EC

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IE N

UM

ER

IQU

E E

T D

E L

A P

OST

E

MIN

ISTE

RE

DU

CO

MM

ER

CE

, DE

S P

ME

ET

DE

L’A

RTI

SAN

AT

Page 64: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

64

20

Tran

spor

teur

Offi

ciel

RO

YAL

AIR

MA

RO

CL

ead

er e

n A

friq

ue,

Ro

yal A

ir M

aro

c, g

râce

à s

on

hu

b in

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atio

nal

bas

é à

Cas

abla

nca

, rel

ie le

mo

nd

e p

ar s

a p

rése

nce

su

r le

s 4

co

nti

nen

ts e

t o

ffre

à s

es c

lien

ts u

n r

ésea

u d

e p

lus

de

60

00

lia

iso

ns

heb

do

mad

aire

s ve

rs l

’Eu

rop

e, l

’Afr

iqu

e, l

’Am

ériq

ue

et l

’Asi

e. A

vec

un

e fl

ott

e je

un

e co

mp

osé

e d

e 56

ap

par

eils

, elle

des

sert

95

des

tin

atio

ns

et t

ran

spo

rte

plu

s d

e 6

mill

ion

s d

e p

assa

ger

s p

ar a

n.

Les

amb

assa

deu

rs d

es A

fric

an R

ethi

nk A

war

ds

AD

N F

AC

TOR

Y -

Côt

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’Ivoi

reIn

cub

ateu

r et

Co

-Wo

rkin

g S

pac

e la

ncé

par

An

tilo

p C

apit

al, à

Ab

idja

n, e

n ju

illet

20

15 s

ur

un

hu

b d

e 20

0

m2

en p

lein

cen

tre

des

aff

aire

s, c

et e

spac

e d

édié

au

x en

trep

ren

eurs

et

créa

teu

rs, c

on

trib

ue

à fé

dér

er

des

syn

erg

ies,

par

tag

er d

es i

dée

s, d

es e

xpér

ien

ces,

des

sav

oir

-fai

re e

t co

ncr

étis

er d

es i

nit

iati

ves.

L

e h

ub

héb

erg

e 10

en

trep

rise

s ré

sid

ente

s. I

l p

rop

ose

en

co

mp

lém

ent,

un

e sé

rie

de

wo

rksh

op

de

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atio

ns

cou

rtes

, u

n p

rog

ram

me

d’in

cub

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n s

emes

trie

l, u

ne

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ule

d’a

ccél

érat

ion

po

ur

des

st

art-

up

exi

stan

tes.

BA

BY

LA

B -

Côt

e d

’Ivoi

reP

ou

r le

Bab

y L

ab, l

’en

trep

ren

euri

at s

oci

al e

st la

mei

lleu

re p

olit

iqu

e d

e p

rise

en

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mp

te d

es p

erso

nn

es

qu

i viv

ent

dan

s le

s zo

nes

dit

es d

éfav

ori

sées

, lim

itée

s en

mat

ière

d’a

ccès

à la

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n e

t l’i

nfo

rmat

ion

, av

ec u

n n

ivea

u d

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auvr

eté

élev

é. L

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ab L

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aby

Lab

veu

t p

ar le

s n

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velle

s te

chn

olo

gie

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pér

er u

ne

tran

sfo

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ion

so

cial

e d

ans

un

e vi

sio

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’éd

uca

tio

n p

op

ula

ire.

Le

Bab

y L

ab a

xe s

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dév

elo

pp

emen

t d

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des

act

ivit

és d

e re

cycl

age

de

déc

het

s él

ectr

on

iqu

es,

form

atio

n d

es m

oin

s d

e 16

an

s au

co

de

info

rmat

iqu

e, à

l’él

ectr

on

iqu

e et

la ro

bo

tiq

ue,

le m

écén

at d

’en

trep

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s, c

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du

ite

de

pro

jet

d’in

no

vati

on

so

cial

e p

ou

r d

es o

rgan

isat

ion

s …

EP

ISTR

OP

HE

- C

ôte

d’Iv

oire

Lan

cé e

n 2

010

, p

ar P

hili

pp

e B

atre

au,

co-f

on

dat

eur

de

la F

ren

ch T

ech

Ab

idja

n,

Ep

istr

op

he

est

un

e ag

ence

de

com

mu

nic

atio

n d

igit

ale.

Lea

der

du

.ci

. E

lle p

rop

ose

des

no

ms

de

do

mai

ne,

sit

es e

t h

éber

gem

ents

web

, mes

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erie

web

pro

fess

ion

nel

le, d

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om

mu

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y m

anag

emen

t, d

es a

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licat

ion

s m

ob

iles

et a

utr

es s

ervi

ces

nu

mér

iqu

es e

t d

e co

mm

un

icat

ion

.

FRE

NC

H T

EC

H A

BID

JAN

- C

ôte

d’Iv

oire

Init

iée

par

des

en

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ren

eurs

fra

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is,

do

nt

Ph

ilip

pe

Bat

reau

, D

irec

teu

r G

énér

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’Ep

istr

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et

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assa

deu

r d

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Fre

nch

Tec

h A

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à P

aris

, ce

rése

au m

et e

n r

elat

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les

acte

urs

de

l’éco

syst

ème,

p

arti

cip

e et

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ie d

es é

vén

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ts d

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le d

om

ain

e d

e la

tec

h e

t d

e l’e

ntr

epre

neu

riat

.

GR

EE

NTE

C C

AP

ITA

L PA

RTN

ER

S -

Alle

mag

neD

epu

is l’

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mag

ne,

GC

P p

rop

ose

au

x en

trep

ren

eurs

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icai

ns

inn

ova

nts

des

par

ten

aria

ts s

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égiq

ues

d

’un

gen

re n

ou

veau

, fo

nd

és s

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e sy

stèm

e p

rop

riét

aire

Res

ult

s4E

qu

ity©

, mél

ang

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’acc

om

pag

nem

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op

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ion

nel

so

ute

nu

ain

si q

ue

d’in

vest

isse

men

ts fi

nan

cier

s et

en

tièr

emen

t ar

ticu

lés

auto

ur

des

Page 65: Revue de pResse · 2018. 3. 16. · 2 Sommaire Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3 Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La

65

21

bes

oin

s p

rim

ord

iau

x d

es je

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