fuensanta la moneta

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LA MONETA Foto by Edward Olive

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Artiste reconnnue de Flamenco

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Page 1: Fuensanta La MONETA

LA  MONETA

Foto by Edward Olive

Page 2: Fuensanta La MONETA

Les yeux de La MonetaDans les yeux de la Moneta se concentre toute la tension artistique qui

est née pour danser. Son regard profond et énergique ébloui le public, le faisant

tomber dans un singulier syndrome de Stendhal difficile à traiter.

Ce sont des yeux qui regardent de manière percutante à chacun des

spectateurs et ne regardaient personne; matérialisant le passé et l'avenir, au

milieu de miroirs qui la précèdent et l'accompagnent.

En silence, telle une statue de glace, si ce n'était pas parce qu'elle brûle,

Fuensanta La Moneta démarre sa danse en écoutant la musique avant d'agir.

Souvenez-vous, cette jeune fille grenadine va danser le chant, répondant à la

guitare. Parfois en danse silencieuse faisant de la musique avec ses talons ou

en faisant glisser ses pointes avec son seul mouvement des bras, déchirant

l'atmosphère. Il s'agit d'un ensemble harmonieux. Musique et danse sont

fusionnés en parfait siamois.

Et, après la tension introspective, débarque la rage, le jeu des pieds

précis, plein de compas, s'autorisant au beaucoup d'improvisé, de sentiment.

Maintenant apparaît le sang pur, les empreintes de son école du Sacromonte,

avec une spéciale finesse. Canalisant sa verve innée. A sa force, l'intuition et le

drame spontanés, ajoutant technique, repos et intelligence.

Avec queue de pie, robe courte, costume léger ou "nuisette", Fuensanta

frissonne, maintienne la tension, bat tout son corps. Et à la fin, s'abandonne en

points suspensives, avec la même fraîcheur qu'elle a commencé, comme

avertissant qu'elle pourrait poursuivre. Cela fait partie de sa vérité. Les mots

manquent réellement pour la décrire dans sa danse au seguiriyas, soleares ou

farruca. Il faut la voir, la sentir, profitez avec elle d'entrevoir son talent, sa

passion, son authenticité.

Ses propositions sont aussi traditionnelles que contemporaines, aussi

réfléchies qu'imprévisibles, aussi rationnelles que folles. Mais avant tout

flamencas, en effet, très flamencas.

Jorge Fernández Bustos

Page 3: Fuensanta La MONETA

BIOGRAPHIE

Fuensanta “La Moneta”. Bailaora.

Granada 1984.

Fuensanta «La Moneta», c'est le cas d'une artiste à vocation précoce. Sonengouement pour le baile flamenco se réveille dans son enfance. Tel est son dévouement etses conditions innées pour la danse, qu'en étant encore enfant, les plus célèbres zambras duSacromonte et tablaos de Grenade se l'arrachent. Dans cette période, elle est sollicitée pourjouer dans des galas organisés par la radio et de la télévision. Elle remporte quelques priximportants.

La Moneta combine ses études avec le travail dans les zambras et tablaos afin de sepayer les cours de formation en danse avec les meilleurs professeurs: Javier Latorre, MarioMaya, Juan Andrés Maya, Juana Amaya, Matilde Coral, Israel Galván et autres.Quand elle dansa pour la première fois à Madrid, - à 16 ans-, dans la salle Suristan, lesaficionados et les spécialistes présents, ont conclu qu'ils étaient devant quelqu'un qui avaittoutes les qualités pour devenir une figure de la danse flamenco. A l'occasion de cettereprésentation, le magazine de flamenco Alma 100, l'a interviewé et fait sa couverture,l'appelant comme la danseuse la plus remarquable des années quatre-vingt. Depuis,Fuensanta La Moneta a dansé dans les plus prestigieux recontres de flamenco, dans denombreux festivals de flamenco et théâtres des pays d'Europe, Asie et Amérique.

Elle rejoint la compagnie de Javier Latorre pour les pièces "Triana, en el nombrede la rosa" et "Rinconete y Cortadillo". Le spectacle de flamenco "Hommage àFosforito" au Concours National de Cordoba et le film "Por qué se frotan las patitas" duréalisateur Álvaro Vegines.

Dans les Veranos del Corral de 2006 elle crée la Suite flamenca "Lo que trae elaire."Lors de la Biennale Málaga en Flamenco de 2007 elle créa la pièce de théâtre et danseFlamenco "De entre la luna y los hombres'' dirigée par Hansel Cereza. Au cours de lesVeranos del Corral 2009 elle présente avec le danseur et chorégraphe Rafael Estévez uneexpérience flamenca avec le titre Estévez & La Moneta.

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Dans la Biennale de Flamenco de Séville 2010, elle crée la suite flamenco "Danser, vivre."Au Festival International de Musique et Danse de Grenade 2010, elle crée «ExtremoJondo».

Lors de la fête du Corpus à Grenade 2012, elle présente "Muy Especial." et la Biennale deFlamenco de Séville 2012, voit sa création "La Moneta, paso a paso''

En 2011, elle collabore avec le compositeur Mauricio Sotelo dans la première de la pièce''Muerte sin fin" composition sur le poème de José Gorostiza, présentée en version réduiteau Muziekgebouw à Amsterdam pour la Flamenco Biennale d'Hollande, et en versioncomplète au Teatro Real de Madrid à Suma Flamenca. Elle a également collaboré à lapremière mondiale de la pièce "Luz sobre Lienzo" du maître Sotelo à l'Auditorium 400 duCentro Nacional de Arte Museo Reina Sofía, pour commémorer le 200e anniversaire dela Constitution de Cadix "La Pepa".

En 2003, a remporté le Prix "Desplante " au Concours National de Dance du Festival deCante de las Minas de La Unión.

En 2008, il a reçu le Premier Prix «Jeune Artiste» au Festival Flamenco de Torrelodones.MadridEn 2010, l'Association des journalistes spécialistes en flamenco d'Espagne lui décerne le"Prix Flamenco Hoy, à la meilleure danseuse, 2009"

En 2011, la Peña Flamenca El Taranto de Almería, donne le Prix El Taranto au meilleurspectacle flamenco de l'année en Almeria.Fuensanta La Moneta possède des trésors parmi ses atouts artistiques, une profondeurexpressive dramatique, un control parfait du "compas", une grande variété de registres, unevaste connaissance du chant et un talent inné qui lui permet de faire sa danse, -y comprisles plus difficile-, avec la facilité de la respiration d'un art ancestral et bien que ses approchessoient très actuels sa danse semble aussi ancienne que le flamenco qui coule dans sesveines.

REPRÉSETANTIONS LES PLUS REMARQUABLES

2006

- REPRÉSENTATION CICLO FLAMENCO VIENE DEL SUR EN EL TEATRO CENTRAL DE SEVILLA- REPRÉSENTATION CICLO “NOVISIMOS” DEL FESTIVAL DE JEREZ, TEATRO DE GUADALCACIN. - REPRÉSENTATION CICLO FLAMENCO VIENE DEL SUR, EN EL TEATRO JOSE TAMAYO DEGRANADA.- REPRÉSENTATION GALA DE LOS PREMIOS MAX- REPRÉSENTATION FESTIVAL FLAMENCO FIESTA DEL ESPÁRRAGO EN HUETOR TAJAR - REPRÉSENTATION COLEGIO MAYOR SAN JUAN EVANGELISTA DE MADRID, EN EL XVII FESTIVALFLAMENCO POR TARANTOS EN MADRID.- FLAMENCO TIENE NOMBRE DE MUJER EN LA ZUBIA- REPRÉSENTATION FESTIVAL FLAMENCO DE CIUTAT VELLA DE BARCELONA.- REPRÉSENTATION FESTIVAL CAJA MURCIA.- DESTACADA PARTICIPACIÓN EN EL BALLET DE LA PELÍCULA MUSICAL “¿POR QUÉ SE FROTANLAS PATITAS? DE ALVARO BEJINES, - FESTIVAL DE LA PUEBLA DE CAZALLA, - LOS VERANOS DEL CORRAL EN GRANADA. - TEMPORADA DE FLAMENCO DE MOTRIL, - FESTIVAL FLAMENCO DE BERLIN, - FESTIVAL INTERNACIONAL DE RIKJ (CROACIA) - BIENAL DE FLAMENCO DE SEVILLA, - FESTIVAL DE LA MISTELA FLAMENCA DE LOS PALACIOS, - FESTIVAL FLAMENCO DE MONTERREY (MÉXICO)

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2007

- FLAMENCO FESTIVAL USA. WASHINGTON, NEW YORK- FLAMENCO FESTIVAL LONDRES- FESTIVAL FLAMENCO DE GINEBRA- FESTIVAL FLAMENCO DE NIMES (FRANCIA)- GIRA POR CINCO CIUDADES DE FRANCIA: AGEN,SAVIGNY-LE-TEMPLE, BAYONNE, AUCH, TOULOUSE, - FESTIVAL GRANADA FLAMENCO- SUMA FLAMENCA. MADRID- FESTIVAL INTERNACIONAL DE MUSICA Y GRANADA- FESTIVAL DE MONT DE MARSAN.- BIENAL MALAGA EN FLAMENCO (Première mondiale “De entre la luna y los hombres) - EUTOPIA 2007, CORDOBA- ENCUENTROS FLAMENCOS 2007

2008

- CICLO FLAMENCO DE LA FUNDACIÓN EL MONTE, 18 REPRÉSENTATIONS SEVILLA, HUELVA,CÓRDOBA, CADIZ Y CACERES.- CICLO ANTEQUERA DANZA- FLAMENCO VIENE DEL SUR EN MALAGA, SALA CANOVAS- FLAMENCO VIENE DEL SUR EN JAÉN. TEATRO INFANTA LEONOR- FESTIVAL FLAMENCO DE LISBOA, PORTUGAL- FESTIVAL DE LA MISTELA, LOS PALACIOS - FESTIVAL SUMA FLAMENCA DE MADRID- FESTIVAL INTERNACIONAL DE NÁPOLES, ITALIA- REUNION DE CANTE JONDO DE LA PUEBLA DE CAZALLA- FESTIVAL ETNOSUR.- PROGRAMACION CULTURAL DE MARBELLA- LOS VERANOS DEL CORRAL. GRANADA- BIENAL DE FLAMENCO DE HOLANDA- FESTIVAL DE FLAMENCO DE TORRELODONES. MADRID.

Foto by Paco Manzano

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2009- JUEVES FLAMENCOS DE LA FUNDACION CAJASOL. SEVILLA- FESTIVAL DE FUENLABRADA. MADRID- FESTIVAL DE JEREZ. CADIZ- BIENAL DE SALZTBURGO. AUSTRIA- TEATRO DE LA ZARZUELA. MADRID- ESTIVAL CAM. MURCIA- FESTIVAL DE MONT DE MARSAN. FRANCIA- LOS VERANOS DEL CORRAL. GRANADA- FESTIVAL DE ROMA- ESPECIAL FLAMENCO PA´TOS DE GOMAESPUMA EN MADRID.- TEATRO MAESTRANZA DE SEVILLA.100 ANS DE MAIRENA.

2010- JUEVES FLAMENCOS DE LA FUNDACION CAJASOL. SEVILLA- FESTIVAL FLAMENCO DE AVIGNON- CENTRO CULTURAL CAJA GRANADA MEMORIA DE ANDALUCIA.- SEMANA DE FLAMENCO DE LA PEÑA EL TARANTO. ALMERIA.- FESTIVAL DE FLAMENCO DE ARAHAL.- FESTIVAL INTERNACIONAL DE MUSICA Y DANZA DE GRANADA- FESTIVAL DE FLAMENCO DE SAN PEDRO DEL PINATAR. MURCIA.- FESTIVAL FLAMENCO DE MOGUER. HUELVA.- BIENAL DE FLAMENCO DE SEVILLA.- GIRA POR HOLANDA- FESTIVAL FLAMENCO DE GINEBRA. SUIZA.

2011- GRAN TEATRO DE HUELVA. FLAMENCO VIENE DEL SUR.- FESTIVAL FLAMENCO DE ESCH. LUXEMBURGO.- FESTIVAL FLAMENCO DE CIUTAT VELLA. BARCELONA.- FESTIVAL FLAMENCO DE MARSELLA. FRANCIA.- TEATRO CHAILLOT DE PARIS. FRANCIA.- FERIA FLAMENCA DE AMBERES. BELGICA.- FESTIVAL FLAMENCO DE ALBUQUERQUE. NUEVO MÉXICO. USA.- 1ª PRIMAVERA FLAMENCA DE TOKIO. JAPON.- TEATRO REAL. SUMA FLAMENCA. MADRID.- REUNION DE CANTE JONDO DE LA PUEBLA DE CAZALLA. SEVILLA- FESTIVAL FLAMENCO DE CHATEAUVALLON. FRANCIA.- LOS VERANOS DEL CORRAL. GRANADA- AUDITORIO 400 DEL CENTRO NACIONAL DE ARTE MUSEO REINA SOFIA.

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2012- FESTIVAL FLAMENCO DE NIMES. FRANCIA- FESTIVAL DE JEREZ.- TEATRO LOPE DE VEGA- TEATRO CIRCO MURCIA- FESTIVAL ARTFEST DE MONTERREY, NUEVO LEÓN, MEXICO- FESTIVAL FLAMENCO DE PARIS, TEATRO LA VILLETE.- FIESTAS DE CORPUS EN GRANADA, TEATRO ISABEL LA CATOLICA- SUMA FLAMENCA, TEATROS DEL CANAL. MADRID- FESTIVAL PUNTO FLAMENCO, PICOLO TEATRO, MILAN, ITALIA- FESTIVAL FLAMENCO DE RIVESALTES. FRANCIA- TEATRO CENTRAL DE SEVILLA, BIENAL DE FLAMENCO

Fuensanta “La Moneta”

LA PRESSE A DIT D'ELLE: ABC. 3/2/2004. Alberto García Reyes.“...La Fuente Santa de la Moneta...” GRANADA HOY. 4/2/2004. Jorge Fernández Bustos. “...La Moneta bailó unas seguiriyas que provocaron llantos y risas de pura emociónentre el público...”

IDEAL. 4/2/2004. Carlos Arbelos. “...si algo caracteriza su manera de bailar es la pasión vital y la fuerza arrolladoraque le imprime a sus coreografías...”

EL MUNDO. 5/4/2004. Manuel Martín Martín. “...ritmos inquietantes y sugerencias desabridas pero flamencas hasta lastimar...”

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EL MUNDO. 5/2/2005. Manuel Martín Martín. “... la granadina se nos antoja como un inesperado descubrimiento al simbolizar la intima devoción por lo autentico...”

ABC. 1/10/2005. Manuel Ríos Ruiz. “...una bailaora temperamental, sentidora de su quehacer gustoso, prodigiosa en los zapateados, tensa en el braceo, que busca por la intensidad el lucimiento, y lo consigue con amplio repertorio de posturas, mudanzas, escobillas, paseíllos yreplantes...” EL PAÍS. 3/10/2005.Ángel Álvarez Caballero. “...entra despacio en los bailes, como pensando en lo que va a hacer, y de prontosuelta un zapateado con fuerza y con raza a gran velocidad. Todo su baile será así,cuajado de reciedumbre, hecho con determinación y muy bien hecho...”

EL MUNDO. 4/10/2005. Alfredo Grimaldos. “...en el encorsetado panorama actual del baile flamenco, resulta reconfortanteencontrar a una joven artista que se sale de la norma. Y, además por derecho...”

DIARIO DE SEVILLA. 22/2/2006. Juan Vergillos. “... arte de la sugerencia, de cierta contención. Arte de romperse por dentro...”

DE FLAMENCO.COM. 28/2/2006. Estela Zatania. Festival de Jerez“...es como indica su mote, muy guapa, pero si no podemos apartar la vista de ellaes más bien por la calidad de su baile...”

INFORMACIÓN DE JEREZ. 28/2/2006. Pepe Martín. Festival de Jerez“...Tras lo visto ayer, “La Moneta” demostró que tiene ante sí un futuro lleno deéxitos...”

DE FLAMENCO.COM 23/4/2006. Manuel Moraga. Festival Taranto. Madrid“...bailaora granadina que tiene todas las cualidades para ser figura de peso en ladanza flamenca. Es personal, utiliza perfectamente la expresión, busca recursosdiferentes y carga de emotividad los bailes...”

FLAMENCO WORLD. 23/4/2006. Silvia Calado. Festival Taranto. Madrid“...baila desde el pie a la pestaña...” “...a cada estilo le dio lo que requería, desde el gesto a la coreografía...”

EL PAÍS. 24/4/2006. Ángel Álvarez Caballero. Festival Taranto. Madrid“...tiene la intuición del baile como disciplina total a la que debe de entregarse encuerpo y alma...” “...estuvo inmensa en todo ello, inmensa...”

DE FLAMENCO.COM. 9/7/2006 Stela Zatania.Festival Flamenco de La Puebla de Cazalla. Sevilla"...cada movimiento de su diminuto cuerpo está dirigido por la intensa vida internaque poseen los grandes artistas. "

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IDEAL. 28/7/2006. Carlos Arbelos. Los Veranos del Corral. Granada“...No se podía determinar quién disfrutaba más con su baile, si el público que laestaba admirando o ella misma con sus acompañantes, que tenían la cara llena defelicidad, porque se sentía crecer en el escenario...” DIARIO DE SEVILLA. 30/9/2006. Rubén GutiérrezBienal de Flamenco de Sevilla."...nos ha deleitado por alegrías con bata de cola, una sentida farruca con trajecorto y unas emotivas seguiriyas donde le compás ha marcado la pauta..."

EL MUNDO. 1/10/2006. Manuel Martín MartínBienal de Flamenco de Sevilla."...La Moneta había dejado muy buenas sensaciones. Más interesa hacernos eco desu peculiar estética, concepto que asociamos a aquel Juanillo el Gitano que gemíapor cada poro un grito de desconsolación, como quien deja una estela que de tantoescarbar sobre sollozos del alma, huele a la tierra que te vio nacer, pero también alos caldos en que el bronce de los ecos derritió su dolor..."

ABC. 30/9/2006. Alberto García Reyes.Bienal de Flamenco de Sevilla."...El Extremeño le pone una nube bajo los pies. Baila lo que quieras, niña. Y baila.Vamos que si baila. La Farruca, en la que se muestra mucho más estilizada, menossalvaje, deja claro su enorme preparación. Pero la esencia de La Moneta reside enla capacidad que tiene de olvidarse de lo que sabe, de lo ensayado en el estudio. Surebelión por seguiriyas es la prueba..." "... La Moneta es un ejemplo de libertad ycontundencia..." FLAMENCO WORLD. 30/9/2006. Silvia CaladoBienal de Flamenco de Sevilla."...sale de rojo fuego la bailaora y reconduce la escena a seguiriyas. Sólo necesita alos palmeros -este trío, protagonista total de esta Bienal-, para introducir el baile enformación de triángulo. A tierra. Y sin perder el suelo de vista, va deshojando unbaile con espaciosos silencios, tremendos arrebatos de fuerza y mucho atractivo.Viva la sangre joven... y los jóvenes con sangre." DE FLAMENCO.COM. 28/10/2006 Stela Zatania."...El gesto sutil puntuado con arranques geniales..."

LA FLAMENCA Nº 18-2006 Oscar SánchezFestival de La Mistela. Los Palacios. Sevilla" Fuensanta La Moneta, acompañada por José Valencia al cante derrochó una fuerzay un temperamento que dejó perplejos a todos. La Moneta bailó. Los Palacios callóy entonces el duende salió a escena"

DE FLAMENCO.COM. 28/10/2006 Stela Zatania."...Nadie queda indiferente ante el baile de La Moneta...""... la Moneta sale con un sencillo vestido rojo, sin mangas ni bata de cola yemociona al público una y otra vez con sus pellizcos y flamenquería..."

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PASEO (magazine japonais de flamenco)Couvertures numéros 7 et 12 en 2006.

FLAMENCO WORLD. 23/1/2007. Silvia CaladoFestival Flamenco de Nimes. Francia"... No cabía un alfiler en el Odeón. Ningún aficionado en muchos kilómetros a laredonda había querido perderse a la revelación del baile que hacía escala en Nimes.Y Fuensanta La Moneta sació, con creces, las expectativas de la bulliciosaaudiencia.

GRANADA HOY. 4/5/2007. Jorge Fernández Bustos.Flamenco tiene nombre de mujer. La Zubia. Granada“…La Moneta, esa piedra preciosa va adquiriendo la forma que le dará su valordefinitivo, se va puliendo lentamente sin olvidar la intuición, ese crear espontáneo,ese dejarse llevar por los latidos flamencos, después de un minuciosos estudio,después de horas y horas de ensayo. Resultado: un baile vísceral en donde labailaora recupera su garra, pero se muestra más introspectiva que nunca…”

JONDO WEB. 12/5/07. Ángel Lacalle.Suma Flamenca. Madrid"...tiene una escuela notoriamente granaína muy festera que encandila a losjóvenes y a los menos jóvenes con su misterio..."

EL PAÍS. 12/5/2007. Ángel Álvarez Caballero. Suma Flamenca. Madrid "...bailó como los ángeles. Hizo, sobre todo, un baile por seguiriyas que quitaba elsentido. Con garra, con decisión sobre todo. Es bailaora menuda, pero en elescenario adquiere una presencia que subyuga. En las seguiriyas puede decirse quepuso toda la carne en el asador, volcándose en un ritmo que abrasaba. Marcaba elcompás sin pausa, llevándolo a unos causes de emoción que raramente sepresencian en un escenario. Parece mentira que una persona aparentemente frágilpueda mantener la tensión suprema de una manera tan uniforme y rica de pasos,giros y desplantes. La Moneta lo hace posible y con una naturalidad que dejaperpleja a la audiencia, que vivió una noche de verdadera conmoción...

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GRANADA HOY. 17/8/2007. Jorge Fernández Bustos.Los Veranos del Corral"…Una farruca ya conocida por sus incondicionales, pero que La Moneta pule hastala perfección...""...Es un baile maduro, reposado, lleno de silencios y complicidades. Paralelo a lostiempos. Compañero de las mejores vanguardias..."

DIARIO DE CÓRDOBA. 17/9/2007. Francisco del Cid.Eutopia. Córdoba"...La seguirilla, donde alcanzó el pináculo de su propia capacidad expresivavolcando todo su caudal hondo en cada desplante, movimiento o taconeado, anteun público subyugado y sobrecogido por el baile de esta granadina de aparienciafrágil..."

EL MUNDO. 20/9/2007. Manuel Martín Martín.Bienal Málaga en Flamenco. ".. Son, empero distintas formas de estimulación a las que recurre La Moneta paraprovocar sentimientos sinceros, tal que tratar cada baile con la franqueza quedemanda su historia, no perder el dibujo tonal que le traza Eva Durán, ejecutarlocon amor y afecto, desarrollarlo con ternura o coraje, según proceda, y jugárselaluego en las mutaciones, contrastes y resoluciones. Así, y no de otra forma seincentivan los sentidos..."

GRANADA HOY. 7/12/2007. Jorge Fernández Bustos.Teatro Isabel la Católica. Granada“… La bailaora ocupa el escenario sin dejar de transmitir: fresca, apasionada, sinfisuras…”

IDEAL. 7/12/2007. J. M. ROJASTeatro Isabel la Católica. Granada“…combinación majestuosa de todos los elementos corporales hasta que se quedasola y la luz se apaga. El público rompe en aplausos…”

LA OPINIÓN DE GRANADA. 7/12/2007. JUAN PINILLASTeatro Isabel la Católica. Granada“…La Moneta, que posee una importante capacidad interpretativa que alcanza elclímax con esas miradas profundas, inmersas en no sabemos que espacios infinitos(¿Qué verá el artistas en esos momentos sublimes?) depuró una coreografía queaunó detalles personales, detalles granadinos y sevillanos, que observamosespecialmente con la bata de cola y el abanico, aunque por encima de todo, unavisión personal de la danza y los elementos coreográficos, como siempre,arrolladora…”

DEFLAMENCO.COM 7/12/2007. Estela ZataniaTeatro Isabel la Católica. Granada“… encuentra su verdad bailaora apoyándose en un compás infalible, un excelentesentido coreográfico y su sensibilidad flamenca…”

IDEAL. 17/8/2008. José Manuel RojasLos Veranos del Corral“…Fuensanta La Moneta clausuró magistralmente los 10 años de flamenco en elCorral del Carbón con un espectáculo donde reunió al que, posiblemente, haya sidoel mejor cuadro de todos los presentados en esta muestra y una de las propuestasde baile más impactantes y arrebatadora…”

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IL MATTINO. 26/6/2008. Enrico FioreFestival Internacional de Teatro de Nápoles. Italia“… Davvero, cosí, la notte é quella di Novalis: la “regina del mondo”, “l´eccelsaannunciatrice dei Mondo Sacri”. Ma in un certo punto, ed ecco l´alto approdo dellospecttacolo, Fuensanta si guarda ballare in un video. Ed é como infastidita. Perchésa che ci tocca la materia di cui son fatti i sogni, ma sa pure che, ala fine, la nostrabaccheta magica dobbiamo spezzarla. Calato il sicario, ci aspettano i giorni e leore.”

ROMA. 26/6/2008. Francesco Urbano.Festival Internacional de Teatro de Nápoles. Italia“…De entre la luna y los hombres sublima la libertá dello spirito femminile e lo faattraverso l´amore, la solitudine, la nostalgia, il coraggio, in dialogo fra loro, undialogo che alla fine, semplicemente, definisce e purifica i colori del flamenco…”

GRANADA HOY. 17/8/2008. Jorge Fernández Bustos.Los Veranos del Corral“… Parecía que arrojaba el baile, que le salía a borbotones, que había abierto la cajade Pandora y se habían liberado todos los truenos. Una tormenta que electrificaba atodo el público, que lo hipnotizaba. Su taconeo preciso, siempre argumentado ycoherente, es pura música…”

DEFLAMENCO.COM 17/8/2008 Antonio CondeLos Veranos del Corral“…La dramaturgia de su baile inquieta. Es viejo, cargado de expresión, y gusta. Espuro hasta las entrañas. Es de esas artistas que dan veracidad a su baile. No quedaen una coreografía aprendida. Siente lo que hace y se nota. Es pura energía…” “…Elbaile de Fuensanta La Moneta se escribe con Mayúsculas…”

AD. Rotterdam Cultur. 10/11/2008 Hans E. MertsBienal de Flamenco de Holanda“…Fuensanta La Moneta danst met enorme passieROTTERDAM - Intens, sierlijk en krachtig. In ieder geval met een enorme passie zijn de bewegingen van Fuensanta LaMoneta, een van de parels van de Flamencobiënnale die deze editie voor het eerstook Rotterdam heeft aangedaan. In een ruim gevulde, maar niet uitverkochteDoelen, werd afgelopen weekeinde het podium omgetoverd tot een dorpspleintjewaar de aanwezigen getuige mochten zijn van een samenkomst van tweegitaristen, twee zangers en de begenadigde flamencodanseres.

Verschillende stijlen binnen de flamenco passeren de revue. Vanuit stilte wordtlangzaam opgebouwd. Handgeklap en zang van Miguel Lavi en David El Galli zettenaan. Het lijkt wel of de diepste zielenroerselen van deze mannen van trots wordenblootgelegd. Al snel komt een antwoord van de gitaar. Het is de beurt aan MiguelIglesias en David Carmona, die bij tijd en wijle fabuleus gitaarspel aan de dagweten te leggen in deze opmaat. De onvermijdelijke uitkomst van dit opzwependespel van jammerende zang, ritmisch geklop en geklap en technisch hoogstaandgitaarspel is de komst van een vrouw in dit mannentafereel. Eindelijk, daar is ze:Fuensanta La Moneta. Met een houding alsof zij weet dat haar aanwezigheid deontbrekende schakel is, zet zij haar eerste schreden op het podium, wat direct hethare is.

Subtiel zijn haar handdraaiingen, vrouwelijk haar lijfbewegingen en gedecideerd hetvoetenwerk. De chemie tussen zang, gitaar en La Moneta is betoverend. Ditgezelschap weet te roeren en te vervoeren. Een keur van stijlen, schitterendejurken en melancholische schoonheid trekt aan de dankbare toehoorders voorbij.”

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DIARIO DE SEVILLA. 30/1/2009. Juan Vergillos. Jueves Flamencos Sevilla“…La Moneta ha entrado en el club de los privilegiados. Me refiero a ese puñado deartistas capaces de hacernos sentir un temblor de emoción en la columnavertebral…”

EL MUNDO. 31/1/2009. Manuel Martín Martín. Jueves Flamencos Sevilla“…La Moneta está llamada a abrazar la gloria. Afronta el baile sin adornos fatuos yresuelve los problemas escénicos a modo de un ciclón invocador, como un canto alas fuerzas telúricas. Pero lo hace con tal desenfadada nobleza que uno no puedemenos que dejarse llevar por su energía, su talento y sus sueños, el mundo interiorde una artista que apunta al portento de un final glorioso…”

ABC. 1/2/2009. Alberto García Reyes. Jueves Flamencos de Cajasol. Sevilla“… en la seguiriya avivó el tiempo hasta poner el escenario en candelas vivas ysacar al Extremeño de la cueva del olvido sevillano…”

FLAMENCOWORLD. 5/3/2009. Silvia Calado. Festival de JerezQuizás la pega es que este sobredimensionar el espacio, usando toda la altura de lacaja, empequeñece a la solista, que ha de redoblar esfuerzos para crecerse yconcentrar la atención del espectador. Aunque ese peligro sólo se roza en algúnmomento, pues La Moneta se basta para ser centro. Tiene en este espectáculo lanovedosa capacidad de ser muchas más bailaoras de las que hasta ahora ha sido.La sensualidad, la dulzura, el dolor, la fuerza, la violencia y la debilidad se conjuganen sus movimientos, en sus potentísimos ojos y en el difícil acto de caminar por latabla, asumiendo los dramas y satisfacciones de esas otras mujeres por las queaquí se preocupa. Abandolaos, guajira, farruca, soleá, bulerías y seguiriyas son lasformas que aquí toma, casi sin respiro, su danza… y también su pensamiento.

LA VOZ. 6/3/2009. Antonio Conde. Festival de Jerez“… Se pierde entre las sabanas mientras empieza a regalar la cristalina pureza deun baile que irradia estremecimiento. Su rostro lanza miradas furtivas que lo dicentodo. El abanico se sostiene en la guajira. Se impone la calidez del ritmo cubano.Cuando entra en escena la farruca, el baile se apodera de ella. Un resquicio deCarmen Amaya parece vislumbrarse en su imagen. Con pantalón y espaldadescubierta le gana la batalla al baile. Su racialidad se enzarza en pasos de grancarga flamenca..”

DIARIO DE JEREZ. 6/3/2009. Francisco Sánchez Múgica. Festival de Jerez“… Me gusta como baila La Moneta. Sus cambios de ritmo, su astuta combinaciónde los clímax y anticlimax, de las subidas y las bajadas en la intensa montaña rusaque representa su volcánico baile. Valoro su capacidad dramática y, en especial, esedominio total de su cuerpo: desde la cabeza a los hombros, desde su cintura hastala punta de sus pies descalzos. Admiro ese temperamento larvado, esa fuerzaexpresiva cual olla a presión a punto de eclosionar. Cómo emana fuego mientrassube su camisón mostrando fibra. Me gusta cómo se mueve Fuensanta. Delicada ysensual, reflexiva y silenciosa, racial y explosiva. Me gusta su baile…”

SALZBURGER NACHRICHTEN. 9/3/2009. Karl Harb Bienal de Salzburgo.“…precisamente la noche de flamenco con La Moneta, con su pasión y su quejio,junto a sus cantaores y guitarristas, nos despertó un fuerte deseo por conocer enprofundidad el flamenco…” “…Fuensanta y su compañía representan la fuerza pura yla verdad del flamenco…”

EL PAIS.COM. 12/3/2009. Ángeles Castellano Teatro de la Zarzuela. Madrid“…Ataviada con un simple camisón blanco la mayor parte de la obra, La Monetadomina la escena con su baile. Ocupa el espacio y sabe colocarse…” “…con fuerza,

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escuchando el silencio, colocando los brazos y dando espacio al zapateado. LaMoneta juega con su baile a ser torera, atrevida, pero sin alardes, en su sitio…”

LA RAZÓN. 15/3/2009. Balbino Gutiérrez Teatro de la Zarzuela. Madrid“…Hora y cuarto de baile autentico sin más alivio que los silencios, que también sonbaile. El espectáculo es ella, La Moneta, arropada por un grupo de atrás eficaz y elcante adecuado y bonito de la cantaora malagueña Eva Duran. Criadaartísticamente en el Sacromonte granadino, Fuensanta hace honor a la primera raízde su nombre, porque es una autentica fuente de baile. Baile racial, sensual; bailesintético porque modera los excesos de la casta e incorpora elementos artísticosevolucionados...”

ABC. 17/3/2009. Manuel Ríos Ruiz Teatro de la Zarzuela. Madrid“… domina perfectamente su bagaje estilístico y en cada estilo deja patente yvibrando su indiscutible personalidad, al injertarle su concepción al genero.La Moneta desarrolla en “Entre la luna y los hombres” un programa sumamentecompleto. Y desde la estampa titulada “Cal” que abre el repertorio deja patente sucalidad y saberes interpretativos en malagueña, rondeña y jabera. Después alientauna singular guajira, bajo la égida de”Perdedora”. Y es una taranta, la que respondeal titulo del montaje, para pasar a la farruca “Sueños” verdaderamentepersonificada. Finalmente, no podían faltar las soleares, las bulerias y las siguiriyas,donde La Moneta le pone moño a su actuación con su temperamento y su natahondura. La bailaora granadina es una artista de raza, que se inspira en el aura dela inmortal Carmen Amaya, para poner de relieve su entrega y el enamoramientoque le despierta su arte.

ELMUNDO.ES. 20/3/2009 Abraham García. Teatro de la Zarzuela. Madrid“..El pasado sábado y acomodado entre dos bailaoras (privilegio que fue comopresenciar la goyesca de Ronda entre Curro y Antoñete), me premió la fortuna conel lenguaje ancestral y nuevo de la mejor bailaora que este aprendiz de palmerohaya admirado en su jaleada vida.Cuando la luz azoto el escenario descendió un oleaje de sábanas que parecíancolgadas de las nubes, Azoteas del alma, caricias de seda, que contrastaban con elquejio de una voz rota que nos devolvió a las cavernas.Sobre aquella bahía de Sorolla, apareció por malagueñas Fuensanta (¿cabía mejornombre?), La Moneta. Descalza y algo más vestida que las azucenas, nos ganódesde la primera mirada. No se puede interpretar el baile con mayor sensualidad ypureza. Sentimientos que cuando de manera natural afloran, nos hacen olvidar latécnica que en La Moneta es sencillamente prodigiosa. Aún vestida de sal,florecieron a sus pies guajiras, tarantas, farrucas, bulerías, soleares… en las quedesbordó la belleza, hasta que el escenario se tiño de rojo festivo para queFuensanta moviera la cola como una sirena.

Ella era su propio espacio en el que lidiaba contra ella misma. Bailando hasta porlos poros, el duende por momentos, amenazaba con evadirse de su cárcel carnal.Midiendo los silencios, administrando las pausas, gustando y gustándose como sijugara (“Es una niña que baila”, susurró una gitana a mis espaldas), nos tuvo unahora en trance. Sesenta delirantes minutos bastaron para retornar a las raíces, a lacavidad materna del Sacromonte y al esperanzador futuro.Y aunque el incendio de diez minutos de aplausos le iluminó la cara, Fuensanta LaMoneta, no condescendió al más mínimo bis. ¿Para que, si lo había dado todo?

LA VERDAD. 28/3/2009. Patricio PeñalverCumbre Flamenca de la CAM. Murcia.“…entró muy despacio sobre el escenario con vestido negro de bata de cola, conpespuntes rosas, y ejecutó un soberbio baile por granainas… turno al baile por solea

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y La Moneta volvía a entrar despacio y, ya en los primeros compases, demostrabasu gran dominio del compás, su hondo dramatismo expresivo…”

EL CORREO DE ANDALUCIA. 11/7/09. Manuel BohórquezFestival Flamenco Mont de Marsan. Francia.Bailar flamenco a las cuatro de la tarde, aunque sea en Francia, es algo nada fácil.Sólo una bailaora de raza como Fuensanta La Moneta, una granadina de untemperamento impresionante y de sólo 24 años, está capacitada para hacerlo. ElTeatro Municipal se llenó para ver su espectáculo Lo que trae el aire, una obrasencilla en la que contó con las voces enjundiosas de El Galli y Miguel Lavi, ademásde con las buenas guitarras de Miguel y Paco Iglesias. Esta bailaora no necesitanada más para poner la carne de gallina con una farruca gitanísíma, como ella, quees gitana hasta cuando no baila. ¡Pero cuando baila es tan gitana que lastima! Esbailaora de seguiriyas, de soleares, de bulerías y de otros palos muy calés. Y no essólo un prodigio de fuerza, por sus escasos años: el buen gusto, cómo lo vive ycómo lo siente, consiguen que verla bailar en vivo y en directo sea una granexperiencia. Eso es bailar gitano.

IDEAL DE GRANADA. 22/7/09. José Manuel RojasLos veranos del Corral. Granada.Y es que la teatralidad no es el exceso sino el efecto, un tesoro que ‘La Moneta’lleva en el DNI y en el ADN cuando mira al patio y parece decir “aquí estoy” ocuando contrae su cuerpo para querer tocar el cielo de Granada con las manos a lapar que mueve la bata de cola. Dos maneras opuestas pero que se gustan y quetuvieron momentos comunes en el escenario con un inicio frenético por alegrías, losvistosos tangos y un remate de noche, cuando ya se llevaba casi hora y medio derecorrido sin pausa, en que reafirmaron que la emotividad no las dan las grandesproducciones sino la capacidad de hacerla nacer.

GRANADA HOY. 23/7/2009. Jorge Fernández BustosLos veranos del Corral. Granada.“…La propuesta de Fuensanta La Moneta y Rafael Estévez deslumbró. Con unmontaje ex profeso para la ocasión e irrepetible, elevaron los niveles artísticoshasta altas cimas” “...La Granaína que baila Fuensanta es antológica, de unadelicadeza y, al mismo tiempo de una fuerza especial…” “…Si a alguien le cabeduda, que vea a La Moneta bailar por soleá y firma lo que sea…”

IL MESSAGGERO. 13/9/2009. Donatella Bertozzi. Festival de Roma.Con la misma longitud de onda que Esperanza Fernández, pero quizás más incisiva,por la notable fuerza del impacto físico que tiene su danza sobre el público.Fuensanta ha recordado el flamenco más antiguo, dibujando incluso fragmentosgraciosos de clásico español. Gracias a una refinadísima dirección Fuensanta La Moneta construye el retrato de una mujer de increíblecontemporaneidad.Incluso en el baile de Fuensanta – maravillosa tensión, casi violenta, ráfagastorrenciales sin fin de energía dinámica que la mueven- se puede leer el pasado delflamenco y su presente, así como el presente de todos.Todo es armonioso, pero con furia. Inspiración repentina, como el rayo, perseguidounas veces por el valor del duelo, y otras por la penetrante pulsación de losmúsicos y los cantaores, la hacen bailar casi con rabia, con pasos y gestosinconexos que después felizmente se recomponen en una áspera y robusta,armonía de un baile tan femenino como intrépido. Inolvidable.

Enlace fotos del festival de Roma.http://www.flickr.com/photos/lucafiaccavento/sets/72157622229787623/

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DEFLAMENCO.COM. 15/12/2009. Gonzalo Montaño Peña.“100 años de Mairena”. Teatro Maestranza de Sevilla“Uno de los momentos más interesantes del espectáculo vino con el baile de LaMoneta por Tangos, la escuela granadina ha encontrado un punto especial en esteestilo y en ella uno de sus proyectos de presente y futuro”

El Mundo. 30/1/2010. Manuel Martin Martin.“La música que baila”“…Son las alegrías las primeras imágenes que se traducen a partir de la música. Enestos gestos de Estévez y La Moneta se reflejan las emociones estéticas de lostablaos y descubren que si no hay duende, la perfección técnica y los ejercicioscomplejos no auguran el éxito…”

ABC Sevilla. 1/2/2010. Marta Carrasco.“El Flamenco que sorprende”“… Fue un recital de jóvenes artistas con mucho arte, inquietos, innovadores, peroeso sí, desde las esencias…”

DEFLAMENCO.COM 30/1/2010. Estela Zatania.“Reinventando el baile de parejas”“…es todavía más fascinante ver como una perfecta química, basada en laadmiración mutua y una visión compartida, convierte su colaboración en el eventomás interesante que ha surgido en el mundo del baile flamenco en varios años…”

WWW.FLAMENCO-WORLD.COM 2/2/2010. Silvia Calado.Fundación Cajasol“Simbiosis”“…en el centro se encuentran bailaor (Rafael Estévez) y bailaora (La Moneta)de nuevo con bravura, que si un guiño a lo añejo, que si un silencio meditado,golpes secos, caderas densas. El gesto de unir bellamente las cabezas fue más quesimbólico. Podía haber acabado aquí el espectáculo pero aún quedaba respirar porcolombianas y, sobre todo, retarse a una improvisación por solea…y acabar cadauno sentado en la silla del otro con un fundido a negro…”

IDEAL DE GRANADA. 10/07/2010. José Manuel RojasFestival Internacional de Música y Danza de Granada“…El “trance jondo” es un estado en el que muy pocos artistas pueden entrar peroaún menos son los elegidos que pueden trasmitirlo al público. Fuensanta “LaMoneta”, hoy por hoy, es la suma sacerdotisa de una religión popular que cada díatiene más feligreses…”

VOLANDOVENGO BLOG 21/4/2011. Jorge Fernández Bustos“…Para mí fue una sorpresa de gusto y emoción. A pesar de mi incondicional apegohacia esta bailaora, mi reconocimiento va ensanchándose como un mar de aceite yel estremecimiento que me produjeron sus intervenciones, sobre todo la soleá, nolo había experimentado desde hacía bastantes meses.

Un comienzo por granaínas sirve para establecer sus distancias. Ya no esuna bailaora impetuosa (o no sólo eso). Ahora es reflexiva, llena de silencios, depropuestas y sugerencias. El tacón golpea en su momento y la punta rasguea laescena puntosuspenseando un todo armónico. Los pies no son la base, sino uncomplemento, que, junto a las manos, los hombros y las caderas, estánsupeditados a los ojos, que no son más que los carbones encendidos delpensamiento del arte puro que esta granadina destila…”

DIARIO DE ALMERÍA 22/05/2011. Miguel H. Pérez

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“Por vez primera El Taranto entrega su premio grande a una bailaora”“…Un éxito rotundo. El baile de la joven granadina produce unas sensaciones quereconozco no sentirme capacitado para expresarlo con palabras que permitan allector hacerse una idea cercana a la realidad. La Moneta baila con todas las partesde su anatomía, con una fuerza descomunal, difícil de entender de un cuerpo tanpequeño que se va engrandeciendo a medida que el espectador va siendoarrebatado por algo mágico, ancestral que la artista, en trance, va derramandojunto al sudor en el escenario. No se puede bailar un flamenco más genuino y raroa la vez. No sé si me explico…”

DANCE MAGAZINE. 12/6/2011. Ninotchka BennahumThe exception to this critique was Fuensanta La Moneta, who performed June 9 atUNM’s Rodey Theater. From the tablaos (flamenco bars) and zambras (flamencocafés) of Granada, La Moneta shared a full-evening entitled "Bailar, Vivir" with twobailadors—David Coria and Raimundo Benitez—and five excellent singers, guitaristsand percussionists. La Moneta, the star of "Bailar," danced two lengthy solos thatopened and closed her show. Each soleá showcased the power in her legs andarms. Her footwork was precise and powerful, each sound a resounding attack onthe floor and the dance itself. Loud echoes of foot and heelwork poured vibrationalforce into the stage, leaving the audience in awe.

In the second, more interesting solo, La Moneta entered the stage with a rush oftremendous energy, stopped and began a series of deep backbends accompaniedby extended arms and hands. Her supple fingers traced tiny circles as her shethrew her head back, turning around herself. In these stiller, more private momentsMoneta’s control over her full body and not just her feet became apparent. Thenshe abandoned her use of the upper torso, appearing semi-human in quick dartsacross the floor; these were little conquests of space. A rather small woman withlong, shiny black hair, an intense gaze and unkempt costuming, Moneta’s gift is rawpower. Her eyes signal a dancer who travels between spirit worlds as she movesfrom moment to moment across the stage.

LA OPINIÓN DE ZAMORA. 27/6/2011. Félix Rodríguez LozanoY llegó el momento más esperado del Festival, el baile de La Moneta. Al cante,Miguel Lavi y Daniel El Gallo y al toque Paco Iglesias. Abren por soleá para darentrada a una monumental –artísticamente hablando, porque su menudo cuerpo seagiganta en la escena- Fuensanta con chaquetilla corta y ajustada y vestido rojovivo de volantes. ¡Es el desplante personificado!, la magia de las formas, el dominiodel espacio, la transmisión artística en estado puro. Como ya he dicho, lareencarnación misma de la gran Carmen Amaya. Termina esta primera parte conbulerías romanceadas. Cambio de vestuario, momento aprovechado por loscantaores para engarzar una serie de tonás fuera de micrófono. Enfrenta estasegunda y última parte por seguiriyas, de negro y simulando mandil de lunares.Vuelve a demostrar Fuensanta que, a fecha de hoy, aunque haya bailaoras de másnombre y caché ninguna, ninguna absolutamente, le llegan a la suela de susflamencos zapatos.Y eso con veintiocho años. Con el público puesto de pie aplaudiendo, se despide conbulerías por soleá. Cuatro largas horas que se pasaron como un suspiro. ¿Hay quiéndé más por menos? Próxima cita, el 16 de Julio en Morales del Vino. Y ojo, que esea priori prometía más que el de Zamora.

EL PAIS 30/06/2011. Ángel Álvarez CaballeroTeatro Real, Madrid“…Fuensanta La Moneta bailó bastante asimismo, con el relieve de hacerlo casisiempre en primer plano. Fue la bailaora que ya conocemos, rica en registros

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aunque esta noche los midiera mucho, seguramente por prescripción de Sotelo. Aúnasí brilló en sus intervenciones, que hizo con sobriedad, con rigor sobre todo.Fuensanta La Moneta es una bailaora de raza, de cuerpo entero, que llega al públicoy mantiene su atención, que vibra constantemente en lo que hace. Una granbailaora, en definitiva…”

IDEAL 14/8/2011. José Manuel Rojas.“… Todo es un ritual donde hasta que la suma sacerdotisa no acaba su liturgia nadieosa romper el silencio. La granadina infunde miedo y respeto a partes iguales consu mirada. ¡Qué no consigue con el resto de su lenguaje corporal!

VOLANDOVENGO BLOG 18/8/2011. Jorge Fernández Bustos“… La Moneta presenta este espectáculo como un homenaje a la música, comosumisión al flamenco. Escucha como nadie el cante, al que se debe, y cada giro,cada zapateado, el germen de su fuerza lo justifica el cuadro de atrás. Es un bailepensado y repensado, ensayado mil veces, pero que parece nuevo sobre las tablas,que es nuevo, como concepto heracliteano del “todo pasa”.

Cartel de la Primavera flamenca de Tokio.

MIDI LIBRE 16/1/2012 Roland Massabuau.(Festival de Nimes)“La Moneta” dans la grande courSur scéne, elle est "La Moneta", pseudonyme emprunté au surnom, féminisé, detoute sa famille. Et depuis hier soir, á l´unanimité du public présent au théâtre, ellea atteint triple M. Comme la premiére lettre de son nom de scéne, bien sûr, maisaussi M comme magistrale et magnifique. C´est le crédit que lui a apporté lespectacle, devant une salle bondée, programmé dans le cadre du festival flamencoet elle assurait la derniére partie.“…Mais, et lá, sans réserve aucune, c´est avec Fuensanta La Moneta que le théâtreentier impressionné par la classe et la performance, á tous les niveaux, réalisée parl´artiste, a salué une danseuse franchissant avec panache les portes de la grandecour. D´une intensité renversante, avec un zapateo á la fois nuancé et vibrant, une

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aisance gestuelle digne des meilleures, une intuition chorégraphique et une énergiequi en disent long sur la lette compléte de ses possibilites, elle a maintenuconstants la tensión et l´impact du moindre des signes de son vocabulaireflamenco. Grenade a une nouvelle reine. “

DIARIO DE JEREZ. 8/3/2012 Fran Pereira“Entre rabia y arrebatos de puro arte”“…La Moneta tuvo destellos de alegría, destellos de pena, destellos de impotencia,de rabia y sobre todo y lo más importante, destellos de gran artista porque cuandoFuensanta dice aquí estoy ya no hay quien le tosa…”

LA VOZ DE JEREZ. 9/3/2012 Javier Prieto.“La antología de bailes lleva a La Moneta a una catarsis de jondura”“…Perdonen que el texto no respire, pero el baile no lo hizo en ningún momento yquisiera que sintiesen el vértigo de la propuesta de La Moneta. Y así, sinmiramientos, “Extremo Jondo” llego a su fin. Con una bailaora exhausta y unpúblico agradecidamente entregado. Tomen aire.La Moneta bailó y bailó, dejo sonar a sus compañeros y armó la marimorena en unmomento…”

EL MUNDO. 9/3/2012 Manuel Martín Martin.“…Con la minera de Luis Mariano es cuando la bailaora granadina gana en calidad,ofrece su cara más esperada, clava sus ojos en el respetable y con dos quiebrosque te matan y tres braceos de singular hermosura, inmoviliza al personal…”

LA FLAMENCA. 7/3/2012 Roberto D´Armiento. “Predestinada”“…Fuensanta viste un traje naranja y negro con mantón naranja, su figura es algoretro, sus juegos con el mantón nos brindan una imagen de antaño. Una bailarorade raza con pose firme y dispuesta a desplegar esta noche todo su quehacerflamenco. Un percance insólito, a la vez que intrascendente, enfría por momentos elarranque: Fuensanta pierde un zapato en el escenario.., pero la bailaora no pierdela compostura, sigue su pieza hasta perderse detrás de las bambalinas de dondesaldrá después de unos instantes como si nada. Nada puede parar a La Moneta estanoche. Suena la caña y Fuensanta baila con personalidad, inspirada, despliega unaadmirable variedad de recursos rítmicos, coreográficos, y todos interpretados con lanecesaria medida e intensidad. Las transiciones son casi imperceptibles, no haysolución de continuidad, las alegrías corren por bulerías y el ritmo de amalgama seconvierte en el colchón de unos abandolaos. Fuensanta baila airosa, utiliza todo elcuerpo, vueltas quebradas, muñecas, juego de pies sin abusar, cadera. Baila comosi estuviera en trance, alterna momentos de énfasis tribal con movimientos de granelegancia. Cambia el palo, pero La Moneta no sale del escenario, esta cómoda, sesienta y contempla los aires mineros que Luis Mariano interpreta; no descansa,espera su momento y allí llega, una vez más se inventa y reinventa, hombros,caderas, braceo, La Moneta condensa fuerza y poesía, intensidad y fraseo. Despuésde cuarenta minutos la Granadina sale del escenario y lo hace solo para cambiar detraje y vestirse de negro; mientras, Miguel Lavi se encarga de poner eco plazueleroy cantes de fragua. Argucias rítmicas del atrás permiten convertir ese instantedenso en bulerías de Cádiz, en las que Fuensanta baile con gracia y salero antes deque, sin casi darse cuenta, las bulerías se hayan convertido en serrana. En la sierrahace fresco y Miguel Lavi, jondo y certero en este palo, ofrece una chaquetilla a LaMoneta que baila con buen dramatismo interpretativo este bonito fragmento. Elcajón de El Cheyenne late hipnóticamente y de repente nos encontramos en mediode unos tientos en los que Fuensanta mueve sus hechuras haciendo presagiar otrogran momento que sera, como no, por tangos. La Granadina lo hace todo con talnaturalidad y flamencura que imparte sobre las tablas una clase magistral portangos, pieza con la que se despide sin más coletillas, a sabiendas de que el

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pescado, del mejorcito, está vendido y el público, antes de que se vaya, ya la echade menos…”

EL NORTE. MONTERREY. MÉXICO 28/4/2012 Andrea Menchaca.¡Qué intensidad!“…Fuensanta “La Moneta” Quedó anoche al servicio del cante y el público del Auditorio de San Pedro quedó asus pies…Fuensanta invoco el espíritu del duende, dejándose llevar por la estelaque le dejaba el vivido cante de Miguel Lavi…”

L`EXPRESS. 5/5/2012. Emilie Cailleu.Puissante, ensorcelante, fougueuse. La maturité artistique de “La Moneta”, quiprésentait son spectacle “Extremo Jondo” à La Villette, la place parmi les grandsdanseurs de la scène flamenco actuelle.Tout est là: voix du cantaor, la guitar, le son du cajon et les palmas. Pourtant on nevoit qu´elle, comme si le reste n´était que décor et ambiance. Fuensanta “LaMoneta” occupe tout l´espace et l´habille de son propre univers. Sa bata de cola(robe de flamenco) est suffisamment discrète pour que notre regard soit happépar son zapateado (la frappe de ses pieds), les mouvements de ses mains et lescontorsions de son corps. Cette danseuse native de Grenade a beau être un bébé dans la profession (elle estnée en 1984), on la considére déjà comme une des bailaoras les plus remarquablesde la génération actuelle du flamenco.La Moneta surprend par l´authenticité et la maturité propres à ceux qui ont déjàbien vécu. Son expression dramatique, sa maîtrise du rythme et de la techniquebrouillent avec culot les frontières du flamenco, classique et moderne, Elle bat lamesure de ses “tacones”, prenant la liberté d´accompagner ou non la musique.Imposant un style à la fluidité et la fraîcheur fascinantes.

VOLANDOVENGO BLOG 6/6/2012 Jorge Fernández Bustos“Lo que trae el aire”El aire es caprichoso. El aire va y viene. El flamenco que presentó La Moneta en elteatro Isabel la Católica el lunes, 4 de junio, coincidiendo con el primer día de lasfiestas del Corpus de Granada, fue como el aire, como ese viento que va y viene acapricho, que lleva y que trae a voluntad.Comienza por granaínas. Se escora a la izquierda, pues sus músicos se agrupan a laderecha. Rompe la simetría y rompe moldes con su parquedad. La luz es bondadosay desvela todos los secretos. No hay nada que ocultar. El sonido también esimpecable. Se aprecia hasta la ausencia de taconeo en esta primera pieza. Sólo elcuerpo canta. Con bata leonina y mantón, le baila al cante que, como ella, es unaceremonia. Primero Juan Ángel Tirado y su personal caja de música, después JaimeHeredia ‘El Parrón’ y el bronce en su voz. El remate antológico lo pone Manzanita deGranada y su torrente.En los abandolaos sin baile se estrenan los cantaores Miguel Lavi de Jerez y David‘El Galli’ de Morón. Qué lujo de voces, qué lujo de timbres. Todos distintos,complementarios, admirándose mutuamente, imponiendo su paladar.Vuelve la bailaora por soleá con su vestido sangre con tres volantes. El compáspreciso, su mirada, sus silencios, su caída y sus desplantes dejan clara su apuesta:el cante es el idioma, ella la intérprete; el cante es libre, ella inventa; el cante crea,ella recrea. El remate por bulerías es una fiesta donde parece que la granadinaentra en trance. Se deja llevar y no teme al vacío ni a san Vito.La guitarra se queda sola para hacer entrega de una bella bulería. Luis Mariano esel sonido del monte. Trasmite amor y desamor, fuerza y calma. Lo acompañaespecialmente fino Miguel ‘El Cheyenne’ con el cajón.

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Luis queda sólo y comienza la farruca. Con un traje negro de pantalón y la espaldadescubierta, Fuensanta descubre otra forma de bailar. La farruca cambia de sexo.Ahora es sinuosa y sensual. Los pies cantan la ausencia de voces. El cielo es suyo.Una rueda de martinetes nos descubre la grandeza de los cantaores, su buenaforma, su pique sano. Se miran y se gustan. Se pasan el testigo jaleando losrequiebros y pellizcos del compañero. La seguiriya viene rodada. Posiblemente es elestilo que más identifica a La Moneta. El dramatismo se hace liviano y la mueca conla contemporaneidad sabia que ha impregnado todo el concierto.El fin de fiestas, después de los saludos, viene en forma de tangos, donde loscantaores cantan a voluntad y se hacen corales cuando son del Camino. Fuensanta,con más libertad que nunca, baila a los postres.

IDEAL 6/6/2012 José Manuel Rojas.“El Cante Rinde Tributo a La Moneta”Pocas son las que mandan y pueden pero aún son menos las que respetan ycomparten. Esta reflexión es una de las principales valoraciones que deben pasarpor la cabeza de cualquiera al salir de ver bailar a Fuensanta La Moneta. Y es que sien “Extremo Jondo”, la granadina declaraba bailarle al cante en “Lo que trae el aire”a pesar de no tener un guión establecido, se respira una primitiva estructura similaraunque con tintes más cercanos a la simbiosis. Un póker de cantaores se crecenen constantes relevos por diferentes palos apoyados por el colosal trabajo de LuisMariano a la guitarra y la primorosa percusión de “el Cheyenne”. Todos trabajanpara el placer del público pero igualmente para la satisfacción personal delmomento. Esto no es un mero encargo, es un reto entre amigos donde ningunoquiere quedar por detrás del otro y eso se trasmite a modo de sana competición.Con estas mimbres cualquier bailaor se crecería y en el caso de Fuensanta, seconfigura una transición a ser enorme, casi titánico. Llena el escenario del teatroIsabel la Católica con un repertorio de figuras por granainas adornadas por losvuelos de mantón y bata de cola; protagoniza un crescendo por soleá donde hastalos neófitos al flamenco aplauden a rabiar. Y sin querer, ya hemos entrado en su ritual, un espacio donde el receptor estáhipnotizado por cada una de sus miradas, y donde la suma sacerdotisa del bailepodría hacer lo que quisiera pues ya nos ha embrujado. Pero sin trampa ni cartón,sino en base a un credo donde no hay mentiras. Únicamente entrega.Pero más allá de lo que pudiese parecer un acto fervoroso e instintivo, La Monetaescucha cada acorde de guitarra, se alía con cada golpe de cajón y respeta con todala intención del mundo cada letra de sus cantaores. Todos cantan de todo, perocada uno se lleva un premio. Redondo Miguel Lavi por soleá, potente y con gusto“El Galli” a ritmo de abandolaos, hiriente en intenso “El Parrón” por seguirilla,inapelable Juan Ángel Tirado con su martinete y cercanos a la vez que añejos lostangos de “El Nitro”. La Guitarra tiene igualmente su momento, aunque sumomento es igualmente toda la noche. Junto a un solo apoyado por percusión, LuisMariano borda una farruca 2.0 donde el baile se torna modernista y el respetablesueña con las formas de Fuensanta gracias a un vestido negro que deja toda suespalda al aire. Se acerca el final con una ronda de martinetes y la penúltimacoreografía de la noche por seguirillas en esta ocasión aunque, finalmente, en unbis por tangos habrá otra patada importante.Aquí sale más que nunca ese salvajismo que las bailaoras granadinas no deberíande perder, esa frescura que no debe educarse, ese bailar lo que trae el aire.

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GIRALDA TELEVISIÓN 28/9/2012 ANTONIO ORTEGA. “…La Moneta cuando se pone a bailar por derecho que es lo que hizo anoche,encandila los sentidos de los aficionados más exigentes, en su baile nos regaladetalles de las más grandes bailaoras de la historia, pero los adereza con su propiapersonalidad sacándole un jugo que sabe a raíz de la tierra…” “… bailó un paso ados con Javier Latorre que quedara en los anales de esta Bienal…” Dio una lección de flamencura sin más protagonismo escenográfico que el baile deuna artista brillante y elocuente en sus formas. Fuensanta la Moneta se dejo la pielen el escenario en este recital de baile cien por cien flamenco, sin edulcorantes,bailando por derecho, ella sola y su jondura.“…contó con la colaboración del maestro Juan José Amador en el cante porseguiriyas, evocación de una de sus bailaoras de cabecera la Gran Carmen Amayaa la que la bailaora le hace constantes guiños en su baile…” “…También contó con la colaboración especial del bailaor y coreógrafo JavierLatorre. Su baile es como la arquitectura de una catedral, una obra de arte. El bailede Latorre es de excelencia porque todo en él se desarrolla en un lenguaje corporalque no se anuda a las tensiones, bailar en él es lo mismo que parpadear, no es unapostura, es una prolongación más de su cuerpo. El pozo de sapiencia que ahoraatesora le ha dado finura y elegancia. Solea Apola, la maestría de Latorre se fundiócon el temperamento de La Moneta en el paso a dos. Son dos conceptos alejados,pero la unión fue encantadora…”“…La Moneta en este recital naturalizo el baile y despejo el desconsuelo de unaafición afligida por el impurismo de la falsa vanguardia, con música de Luis Mariano,guitarrista del montaje la artista además interpreto farruca, malagueñas,zapateados, tientos, zambras, jaleos y solea por bulerías. “…Su flamencura fue suprema, repleta de detalles, en los tangos se supero, lo diotodo sin salirse de la llave se rebusco una y otra vez sacando gestos y movimientosque acunaron un sabroso paladar, se dolió en la tragedia de la seguiriya, sentenciónen la solea y fue un río de júbilo en los estilos festeros. Sus brillantes zapateadosmandan en su baile pero no lo condena porque la vehemencia de La Monetaencuentra el temple cuando lo que baila y lo que cuenta es una misma cosa…”

SEVILLA FLAMENCA 28/9/2012 Alejandro Medina MerinoAl son de la malagueña y la farruca vemos una Moneta más clavada, atenta a lacolocación del cuerpo. A veces buscó posturas forzadas, pero aun así aparecesiempre el aroma de la inspiración. La visión de esta granadina del baile flamencoactual no cede el mínimo espacio a la banalidad. En el zapateado se aligeró,conectó mejor con el cuadro y empezamos a relajarnos para ver bailar de unamanera única, lo que empieza a ser exclusivamente el baile de La Moneta. Ese baileno es misericordioso, no conoce el alivio, está enfrascado en una tragedia flamencade aire oscuro y denso.La seguiriya es un puñal que se le clava y sobre el que ella se retuerce, luchandocon la fuerza volcánica de sus pies. Cuando parece que la tierra va a quebrarse, laMoneta alza la cara y nos corta el aliento. Su cara es el centro de su expresión, lomás jondo de ella misma en un cuerpo flamenco que lastima y con el que selastima.Fuensanta la Moneta fija su discurso en los pies y la torsión del tronco. Esto puedegustar o no, ya que la feminidad tiene aquí una versión más terráquea que sensual.Los brazos no tienen papel primordial, raramente coronan la cabeza. Sus torsionesparecen buscar el dolor de sus pies, para luego, por un instante, liberarse, erguirsey fijar los ojos en el público: ¡Ay! El momento más brillante de la noche llegó en lasoleá a dúo con Javier Latorre, quien fuera su maestro. La fuerza ciclónica de laMoneta se lanzaba contra la quietud de Latorre; su baile varonil y alzado amansabalos empellones de Fuensanta, que bailaba como el viento silba entre los árboles.Flamenquísimo, emocionante.

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Con la soleá por bulerías entramos en otro ciclo emocional, y nos regala estampasinolvidables. Pero fue en los tientos con aires de zambra donde la Moneta abrió elfrasco de la sensualidad: aparecen los brazos y las caderas, el juego de volantes, lamagia del Sacromonte…Nuestro pecho se abre y palpitamos con los aires morosporque La Moneta nos está dejando enamorados de ella. En los jaleos finales yaestamos entregados, bien despachados de baile.El espectáculo tiene aspectos mejorables, como la iluminación y algunos momentosdel cante, pero tenemos que darle las gracias a todos por traernos tanto flamenco,de ese del que estamos tan necesitados.

ABC SEVILLA 29/9/2012 Marta Carrasco.“Baile de Granada de verdad”“La Moneta paso a paso” es una obra honesta, seria y pensada para responderexactamente a su nombre. Es decir, dar a conocer el baile de esta granadina que seenfrenta sola a su baile y al público.Bien rodeada de un plantel de cantaores y con la sola guitarra de Luis Mariano,Fuensanta La Moneta lleva su baile hasta la maestría. La obra está dividida en tresepisodios, “Sobre mis pasos”, por farruca, malagueña y zapateado; “Hados” porsoleá apolá y seguiriyas y “Vereda”, tientos azambreados, jaleos y solea porbulerías. Todo ello con dos colaboraciones geniales: Juan José Amador y Bobote.Pero además de mostrar su baile la Moneta quiso recuperar a un bailaor al que noveíamos, en un escenario de la Bienal desde 1994, cuando intervino en unhomenaje a Antonio el Bailarin: Javier Latorre. Estos 18 años de ausencia en losque Latorre se ha dedicado a crear, no le han quitado un ápice de su esenciabailaora. Disfrutó él y disfrutó el público con su baile.El baile avanzaba poco a poco y fue por tientos azambreados y jaleos cuando salióGranada a borbotones. En un mundo tan homologado, donde todos se imitan laMoneta ha elegido diferenciarse. Así su baile es fuerte de pies, pero singular enbrazos y torso. El Sacromonte, el Albaizin están impresos a fuego en el baile deMoneta. Echa hacia atrás la cabeza, alza los brazos y baila con los pies, y le faltohacer el cambré en el suelo de la famosa Golondrina. Me gusto lo que emana delbaile de Moneta, porque va desde la sensualidad a la dulzura, desde lo académico alo popular. Los jaleos y la soleá por bulerías fueron el broche de oro para una nocheen la que una bailaora nos mostró su honesta forma de entender el flamenco, el desu tierra granadina. Me alegro que nunca olvide dónde están sus raíces.

Vidéos de La Moneta www.fuensantalamoneta.comhttp://www.youtube.com/watch?v=0idln6zbZ5Y&feature=plcphttp://www.youtube.com/watch?v=28cSH65mj0s&feature=plcphttp://www.youtube.com/watch?v=jEfGexNKTC8http://youtu.be/2lYtT8ZfHQY

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Management France: Alexei Issacovitch Booking : 00 33 (0) 4 75 21 29 38 - [email protected]

Production: Raúl Comba - Teatro de la Zambra s.l. Plaza del Retiro, 11 - 3º

18199 Cajar. Granada. Españ[email protected] - www.teatrodelazambra.com