fete des meres

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Page 1: Fete Des Meres

Maman, Papa

Vous avez seméDes « Je t’aime »Dans le jardinDe mon cœurEt toutes les fleurs d’amourJe vous les offreA mon tour.

Poèmes trouvés sur mômes.net

Fête des mères

S'il m'arrive quelquefois D'avoir un rêve qui me fait peur, Maman chérie, c'est dans tes bras Que je retrouve la douceur

S'il fait trop gris ou nuageux, Que je m'ennuie un peu, Tu m'inventes vite un nouveau jeu Qui sèche la pluie dedans mes yeux

Si mes leçons sont bien trop dures, Le calcul ou la lecture, Tu viens souvent m'aider le soir A terminer tous mes devoirs

Et si mon coeur bondit de joie, Que c'est la fête dans ma tête, Maman chérie, c'est dans tes bras Que je partage mon bonheur

Et si je t'aime tendrement C'est parce que quand je serai grand Tu seras encore ma Maman, Je serai toujours ton enfant. © Arnaud Dupin de Beyssat

J'appelle maman

- Il fait nuit J'entends la pluie J'entends le vent J'appelle ma maman MAMAN !

Page 2: Fete Des Meres

Refrain : Heureusement, Maman est là La voilà, la voilà Heureusement, Maman est là Qui me prend dans ses bras. - Il y a du bruit En-dessous du lit C'est peut-être un serpent J'appelle ma maman MAMAN ! Refrain:... - C'est mon armoire J'ouvre le tiroir Il y a du monde dedans J'appelle ma maman MAMAN ! Refrain... - Un coup de tonnerre Et un éclair Le ciel n'est pas content J'appelle ma maman MAMAN ! Refrain... - Dans le grenier Un fantôme s'est caché Sous un drap tout blanc J'appelle ma maman MAMAN ! Refrain...

Merci à stephanie leschiera

- Cette chanson est de Philippe Roussel dans son avant-dernier CD "Les questions" et a été créée en collaboration avec une classe de l'école maternelle du Bout du Pont à Charmes (88)

La Merveille

Ma vie est un enchantement Quand je m'endors, Quand je m'éveille, Ou quand je joue, A tout moment, Une fée douce me surveille Et m'entoure de soins charmants Cette merveille : C'est ma maman !

Page 3: Fete Des Meres

Devinez (poésie)

Quand le matin je sommeille Attendant le déjeuner Devinez qui me réveille ? D'un baiser au bout de mon nez C'est toi petite maman Toi qui sais toujours comment Me rendre heureux(se) et content(e) Et je t'aime tant ! Ma chère petite maman. merci à Virginie, M.Enf. Moutier

Pour ma mère

Il y a plus de fleurs Pour ma mère, en mon coeur, Que dans tous les vergers ;

Plus de merles rieurs Pour ma mère, en mon coeur, Que dans le monde entier ;

Et bien plus de baisers Pour ma mère, en mon coeur, Qu’on en pourrait donner.

Maurice Carême

Ce qui ne peut s'user

Tout peut s’user. Mais moi, je connais quelque chose Qui ne peut pas s’user. C’est la joue de maman Qui reçoit des baisers de son enfant

Maurice Carême

Pour toi maman (poésie)

Pour toi maman J'ai fait un ruisseau avec mes rêves Avec mon rire j'ai fait le soleil Avec des mots magiques j'ai fait Un petit pont sur l'eau et j'ai traversé

Page 4: Fete Des Meres

le ruisseau pour te dire : «maman je t'aime.»

Maman

Si j'avais des ailes maman rapide comme l'hirondelle Par dessus le toit des maisons sans demander la permission vite j'irai t'embrasser pendant la récréation ... et si pour je ne sais quelle raison Maman je n'étais pas ton petit garçon Je désirerais je crois Une maman comme toi Evelyne Kommer

Des milliers de coquillages

Des milliers de coquillages sur la plage Des milliers de fleurs dans les champs Des milliers d'oiseaux dans le ciel Mais seulement, seulement UNE maman ! autre version: Une Maman Des milliers d'étoiles dans le ciel Des milliers d'oiseaux dans les arbres Des milliers de fleurs dans les jardins Des milliers d'abeilles sur les fleurs. Mais seulement, seulement Seulement, seulement Seulement, seulement...une maman Par milliers aussi les coquillages Par millions nagent tous les poissons Mais il est un seul personnage Une étoile qui brille à la maison C'est seulement, seulement... Si je ne suis pas toujours très sage Si souvent je veux avoir raison Aujourd'hui, on tournera la page Pour ta fête, je t'offre cette chanson Seulement, seulement Seulement, seulement Seulement, seulement... pour toi maman Seulement, seulement Seulement, seulement

Page 5: Fete Des Meres

Seulement, seulement... une maman

À ma maman

Bien sûr, maman, je veux t'offrir Oh, tout ce qui peut te faire plaisir. Naturellement, pas des trésors, Non, mais de gros efforts. Et, cette fois-ci, promis, je vais Faire mon lit, ranger, m'appliquer; Eteindre la télévision, Apprendre par coeur mes leçons, Etre un modèle d'obéissance...

Mais tout à coup, maman, j'y pense : Avec un enfant si parfait, Maman, c'est sûr, tu t'ennuierais.

Ma Maman à moi

Elle est brillante comme le soleil Belle comme une rose juste éclose Printanière comme la rosée du matin Solide comme les arbres de la forêt Délicate comme un flocon de neige Douce comme le velours de la pêche De nous tous, elle est la plus futée! Et sur elle, je peux toujours compter! Ma maman à moi, c'est tout simple: Elle est magique.

Bonne fête, maman!

Qui m'embrasse le matin... Me fait plein de calins? Qui m'habille et me coiffe... Me donne à boire si j'ai soif? Qui prépare des gâteaux... Soigne mes petits bobos? Qui raconte des histoires... Pour m'endormir le soir? C'est ma maman, Maman chérie.... Et c'est elle La plus jolie!

Page 6: Fete Des Meres

Maman chérie

Même si le lilas A oublié de fleurir Même si l'alouette A oublié de chanter Même si le soleil A oublié de venir Ne t'en fais pas Maman chérie, Ne t'en fais pas Moi je suis là!

Fleurs immortelles (poésie)

Devine ce que je cache Derrière mon dos ? Non, ce n'est pas une tache, ni un accroc. Ce ne sont pas des mains sales, ni un trou ovale. Ce sont des fleurs de mai Qui ne faneront jamais. "Bonne fête maman.

Ma main est une fleur

Imaginons que ma main est une fleur Avec une marguerite Ou avec la main Imaginons que ma main est une fleur Voyons si maman m'aime. Elle m'aime un peu, beaucoup, Passionnément, à la folie, Pas du tout. Pas du tout? Vilaine fleur! Je sais bien que maman m'aime De tout son coeur!

Ouvre grand la fenêtre Maman!

Ouvre grand la fenêtre Maman Ouvre grand Chut! Écoute le vent Qui te porte un poème Des milliers de "je t'aime"

Page 7: Fete Des Meres

Chut! Écoute le vent Comme un jour de printemps Il t'apporte un baiser Celui de ton enfant Bonne fête maman!

Un miroir (poésie)

Un miroir ne se souvient de rien, Ni des regards, Ni des sourires… Mais ton enfant, Chère Maman, Se souviendra toujours De tes regards, De tes sourires, De ton amour !

Dans ton coeur (poésie)

Il y a dans ton coeur La douceur sans pareille Du miel que fait l'abeille Et des fruits, et des fleurs.

Il y a tout cela Dans tes mains qui me prennent Et pas à pas m'entraînent Vers le temps qui viendra. merci à Virginie, M.Enf. Moutier

Chère maman (poésie)

Pour toi j'ai fait ce collier Il te plaira j'espère Mais je sais que tu préfères Un collier bien plus beau Un collier bien plus doux Mes deux bras autour de ton cou.

Le plus beau collier (poésie)

Je voudrais être riche Et t'acheter un beau collier Je n'ai que quatre sous Et un désir fou

Page 8: Fete Des Meres

De mettre mes deux mains Autour de ton cou Et faire de mes bras Un collier Que tu n'aurais Plus envie de quitter.

Chère maman (poésie)

Si tous les petits bras du monde Faisaient un seul collier Si toutes les petites bouches du monde Donnaient un seul baiser Si toutes les petites voix du monde Répétaient un seul nom, Quel grand collier Quel doux baiser Quel tendre nom Cela ferait pour toi, ma chère maman Et pour toutes les mamans du monde !

Simplement (poésie)

J'ai cherché dans les poèmes Comment dire je t'aime J'ai trouvé des mots savants Bien trop longs pour mes cinq ans Alors, j'ai cherché ailleurs Et j'ai trouvé dans mon coeur Les mots que tu m'as appris Quand j'étais encore petit Maman, je t'aime, grand comme ça ! Je le dis avec mes bras.

Maman (poésie)

Les petits enfants En ce jour charmant, Ont pour leur maman Un beau compliment. Le mien n'est pas grand ; Deux mots seulement « Je t'aime maman, Bien, bien tendrement. »

Je rêve parfois (poésie)

Page 9: Fete Des Meres

Je rêve parfois Que de jolies fées Me tendent les bras Mais quand je m'éveille Je sais que la plus jolie La plus jolie fée de la terre C'est ma maman à moi.

Les bras d'une maman (poésie)

Les bras d'une maman Sont comme un petit lit, Un lit jamais défait, Qui sent bon les baisers.

Maman (poésie)

Le visage de maman est doux J'aime l'embrasser Les yeux d'une maman sont beaux J'aime les regarder Les mains de maman sont lisses J'aime les caresser Le coeur de maman est bon Pour lui j'aime chanter.

Quand je suis sur tes genoux (poésie)

Quand je suis sur tes genoux, Caché(e) tout près de ton coeur Il fait bien chaud et plus doux Qu'au fond d'un nid de bonheur Et quand, sur tes genoux, J'écoute battre ton coeur, J'entends ma maman, Tout doux, tout doux, Chanter le bonheur.

Comment s'écrit le mot MAMAN

Pour te dire que je t'aime J'ai pris deux M à la crème Avec deux A en chocolat Plus un petit N en nougat M A M A N Ma bouche est pleine !

Page 10: Fete Des Meres

Mais il faut que j'apprenne A mon estomac gourmand Comment s'écrit le mot MAMAN !

Maman printemps (poésie)

Maman-printemps Voilà des baisers blancs Des baisers bleus, Des baisers de toutes les couleurs. Des baisers-pois-de-senteur Légers, légers, légers… Des baisers pâquerettes Tout ébouriffées Et des baisers-soleil Avec des coeurs Grand comme ça Maman printemps Voilà tout un bouquet De baisers-fleurs.

Chère maman (poésie)

Si tous les petits bras du monde Faisaient un seul collier Si toutes les petites bouche du monde Donnaient un seul baiser Si toutes les petites voix du monde Répétaient un seul nom, Quel grand collier Quel doux baiser Quel tendre nom Cela ferait pour toi, ma chère maman Et pour toutes les mamans du mondes !

Maman (poésie)

Faisons que ma main est une fleur Maman m'aime un peu, Beaucoup, Passionnément, Pas du tout. Méchante fleur, Tu mens j'en suis sûre Maman m'aime de tout son coeur.

Chère maman (poésie)

Page 11: Fete Des Meres

On dit que la coccinelle Est un petit porte-bonheur Mais elle vole Et s'envole ! Tandis que moi, chère maman C'est bien mieux qu'une coccinelle Je serai ton porte-bonheur En ce beau jour Et pour toujours.

Maman (poésie)

Maman pour te fêter Dans ce petit panier J'ai mis ces jolies fleurs Et je te donne aussi Pour te dire MERCI Tout l'amour de mon coeur.

Maman (poésie)

Les petits enfants En ce jour charmant, Ont pour leur maman Un beau compliment. Le mien n'est pas grand ; Deux mots seulement « Je t'aime maman, Bien, bien tendrement. »

Maman (poésie)

Quoi de plus doux, de plus tendre Que le coeur d'une maman ? Qui donc sait mieux me comprendre Et calmer tous mes tourments ?

Maman, c'est pour toi seule que je chante Maman, toi, dont la grâce et la joie Et puis la douceur m'enchantent.

Maman (poésie)

Le petit pinson En chantant Dit merci à sa maman

Page 12: Fete Des Meres

Le mignon chaton En ronronnant Dit merci à sa maman Le petit mouton En bêlant Dit merci à sa maman Et moi aussi tendrement Je te dis merci maman Pour tout l'amour Que chaque jour Tu donnes à ton petit enfant.

Pour maman (poésie)

Chère maman que j'aime, Je t'apporte mon cadeau, Un beau bouquet cueilli dans le pré C'est pour décorer chez maman que j'aime tant.

Douce maman que j'aime, Je suis ton petit oiseau, C'est ma chanson que je viens chanter, C'est tout ce que j'ai pour maman que j'aime tant.

Maman (poésie)

Devines-tu, maman chérie, Ce qu'il y a dans ce paquet ? Beaucoup d'amour maman jolie Plein de baisers dans ce paquet ! Et veux-tu l'ouvrir, s'il te plaît ?

Si j'étais jardinier (poésie)

Si j'étais jardinier Je ferais pousser une Fleur en forme de coeur. Elle serait pour maman Qui la garderait longtemps Car maman saurait que La fleur c'est tout L'amour de mon coeur !

Toi ma jolie maman (poésie)

- Toi ma jolie maman Avec ton sourire rayonnant.

Page 13: Fete Des Meres

- Toi ma jolie maman Dans tes bras je me blottis. - Toi ma jolie maman Tu sais me consoler et me rendre gai. - Toi ma jolie maman Avec ton coeur tu me remplis de bonheur. - Toi ma jolie maman Toute ta tendresse et tes caresses me Donnent un sentiment d'amour. - Toi ma jolie maman Que je t'aime tant Je t'envoie mille bisous.

Mon poème

C'est un poème, Il est très court, Il est charmant, C'est mon poème : « Maman, je t'aime. »

Petit poème pour maman (poésie)

Il a plu des mots ce matin Ils sont tombés dans mon jardin. Des mots très fous Qui font la roue, Des mots d'amour Tout en velours, Des mots très doux, Des mots pour toi. Et tout le jour, dans le secret, Je t'en ferai des bouquets.

Maman (poésie)

Pour moi tu es la plus belle Car tu es maman Pour moi tu es la plus douce Car tu es maman Pour moi tu es la plus patiente Car tu es maman Pour moi tu es la plus joyeuse Car tu es maman !

C'est aujourd'hui la fête des mamans

Page 14: Fete Des Meres

C'est aujourd'hui la fête des mamans Je veux lui offrir un bouquet charmant Mais qu'est-ce donc qu'elle préfère ? Les roses ? Les lilas ? Les oeillets ? Moi je sais ! Pas les fleurs les plus chères Un bouquet de fleurs des champs Avec un baiser de son enfant.

Je voudrais pour ta fête

Maman Je voudrais pour ta fête T'apporter un très beau cadeau Non pas un cadeau qu'on achète Mais mon amour, c'est bien plus beau !

La fête des mères

- Maman : De toutes les fêtes Qui pour une journée Deviennent la vedette Du calendrier, Celle que je préfère : C’est la fête des mères. Déjà, parce que Cette fête magique A la bonne idée De toujours tomber Quelque soit l’année Un dimanche de mai. C’est comme qui dirait, Une petite avance Sur les grandes vacances - Une autre raison De ma préférence Ce sont les cadeaux. Car là, pas de blabla Qu’ils soient petits ou gros On ne recule pas Devant la dépense. Pour faire ton bonheur Collier en perles de papier Pots de fleurs sans les fleurs Dessous de plats déjà cassés Rien n’est trop beau.

Page 15: Fete Des Meres

- Voilà les raisons De ma prédilection Aurais-je oublié Un point essentiel ? Mais... pour t’embrasser Maman, la plus belle, Jamais une année N’aura assez de journées Pour contenir tous mes baisers Car, dans ma petite tête Ma maman d’amour Pour moi, tous les jours C’est ton jour de fête. - Bonne fête ma maman Que j’aime tant.

Ailleurs sur le net …

C’est toi

C’est toi Qui m’a porté, m’a donné le jour Balancé, caressé, cajolé

C’est toi Qui depuis toujours M’a chéri, m’a aimé, m’a bercé

C’est toi Qui a séché mes larmes Adouci mes peines

C’est toi Qui m’a offert mes premières armes Contre la vie et la déveine

C’est toi Qui m’offre ton épaule Quand j’ai peur et que le jour s’achève

C’est toi Qui me console Quand je fais un mauvais rêve

C’est toi Qui me supporte tout le temps Qui me cède ce bonheur

Page 16: Fete Des Meres

Qui me fait sourire

C’est moi A présent Qui te rend cet honneur Un peu, pour te séduire

C’est pour toi Sincèrement Ce petit mot de mon cœur Juste pour le plaisir

Bonne Fête, tout simplement A toi, maman…

Michaëla Degui

« J'ai de toi une imageQui ne vit qu'en mon cœur.Là, tes traits sont si pursQue tu n'as aucun âge.

Là, tu peux me parlerSans remuer les lèvres,Tu peux me regarderSans ouvrir les paupières.

Et lorsque le malheurM'attend sur le chemin,Je le sais par ton cœurQui bat contre le mien. »

Maurice Carême (1899 - 1976)

A ma mère

« Ô Claire, Suzanne, Adolphine,Ma Mère, qui m'étiez divine,

Comme les Maries, et qu'enfant,J'adorais dès le matin blanc

Qui se levait là, près de l'eau,Dans l'embrun gris monté des flots,

Page 17: Fete Des Meres

Du fleuve qui chantait matinesÀ voix de cloches dans la bruine ;

Ô ma Mère, avec vos yeux bleus,Que je regardais comme cieux,

Penchés sur moi tout de tendresse,Et vos mains elles, de caresses,

Lorsqu'en vos bras vous me portiezEt si douce me souriiez,

Pour me donner comme allégresseDu jour venu qui se levait,[…] »

Max Elskamp (1862-1931)

Le Balcon

« Mère des souvenirs maîtresse des maîtressesO toi, tous mes plaisirs! O, toi, tous mes devoirs!Tu te rappelleras la beauté des caresses,La douceur du foyer et le charme des soirs,Mère des souvenirs maîtresse des maîtresses,Les soirs illuminés par l'ardeur du charbon,Et les soirs au balcon, voiles de vapeurs roses.Que ton sein m'était doux! Que ton coeur m'était bon!Nous avons dit souvent d'impérissables chosesLes soirs illuminés par l'ardeur du charbon,Que les soleils sont beaux dans les chaudes soirées!Que l'espace est profond! Que le coeur est puissant!En me penchant vers toi, reine des adorées,Je croyais respirer le parfum de ton sang.Que les soleils sont beaux dans les chaudes soirées!La nuit s'épaississait ainsi qu'une cloison,Et mes yeux dans le noir devinaient tes prunelles,Et je buvais ton souffle, O douceur! O poison!Et tes pieds s'endormaient dans mes mains fraternelles.La nuit s'épaississait ainsi qu'une cloison,Je sais l'art d'évoquer les minutes heureuses,Et revis mon passé blotti dans tes genoux.Car à quoi bon chercher tes beautés langoureusesAilleurs qu'en ton cher corps et qu'en ton coeur si doux?Je sais l'art d'évoquer les minutes heureuses!

Page 18: Fete Des Meres

Ces serments, ces parfums, ces baisers infinis,Renaîtront-ils d'un gouffre interdit à nos sondes,Comme montent au ciel les soleils rajeunisAprès s'être lavés au fond des mers profondes?O serments! O parfums! O baisers infinis! »

Charles Baudelaire (1821-1867)

A ma mère

« Après un si joyeux festin,Zélés sectateurs de Grégoire,Mes amis, si, le verre en mainNous voulons chanter, rire et boire,Pourquoi s'adresser à Bacchus ?Dans une journée aussi belleMes amis, chantons en " chorus "A la tendresse maternelle.

Un don pour nous si précieux,Ce doux protecteur de l'enfance,Ah ! c'est une faveur des cieuxQue Dieu donna dans sa clémence.D'un bien pour l'homme si charmantNous avons ici le modèle ;Qui ne serait reconnaissantA la tendresse maternelle ?

Arrive-t-il quelque bonheur ?Vite, à sa mère on le raconte ;C'est dans son sein consolateurQu'on cache ses pleurs ou sa honte.A-t-on quelques faibles succès,On ne triomphe que pour elleEt que pour répondre aux bienfaitsDe la tendresse maternelle.

Ô toi, dont les soins prévoyants,Dans les sentiers de cette vieDirigent mes pas nonchalants,Ma mère, à toi je me confie.Des écueils d'un monde trompeurÉcarte ma faible nacelle.Je veux devoir tout mon bonheurA la tendresse maternelle. »

Page 19: Fete Des Meres

Alfred de Musset (1810-1857)

L'oreiller d'un enfant

Cher petit oreiller, doux et chaud sous ma tête,Plein de plume choisie, et blanc, et fait pour moi !Quand on a peur du vent, des loups, de la tempête,Cher petit oreiller, que je dors bien sur toi !

Beaucoup, beaucoup d'enfants, pauvres et nus, sans mère,Sans maison, n'ont jamais d'oreiller pour dormir ;Ils ont toujours sommeil, ô destinée amère !Maman ! douce maman ! cela me fait gémir...

Marcelline Desbordes-Valmore (1786-1859)

Dormeuse

Si l’enfant sommeille,Il verra l’abeille,Quand elle aura fait son miel,Danser entre terre et ciel.

Si l’enfant repose,Un ange tout rose,Que la nuit seule on peut voir,Viendra lui dire : « Bonsoir. »

Si l’enfant est sage,Sur son doux visage,La vierge se penchera,Et longtemps lui parlera.

Si mon enfant m’aime,Dieu dira lui-même :J’aime cet enfant qui dort ;Qu’on lui porte un rêve d’or.

Fermez ses paupières,Et sur ses prières,De mes jardins pleins de fleurFaites glisser les couleurs.

Ourlez-lui des langes,Avec vos doigts d’anges,Et laissez sur son chevet,

Page 20: Fete Des Meres

Pleuvoir votre blanc duvet.

Mettez-lui des ailesComme aux tourterelles,Pour venir dans mon soleil,Danser jusqu’à son réveil !

Qu’il fasse un voyage,Aux bras d’un nuage,Et laissez-le, s’il lui plaît,Boire à mes ruisseaux de lait !

Donnez-lui la chambreDe perles et d’ambre,Et qu’il partage en dormant,Nos gâteaux de diamant !

Brodez-lui des voiles,Avec mes étoiles,Pour qu’il navigue en bateau,Sur mon lac d’azur et d’eau !

Que la lune éclaire,L’eau pour lui plus claire,Et qu’il prenne au lac changeant,Mes plus fins poissons d’argent !

Mais je veux qu’il dorme,Et qu’il se conforme,Au silence des oiseauxDans leurs maisons de roseaux !

Car si l’enfant pleure,On entendra l’heure,Tinter partout qu’un enfant,A fait ce que Dieu défend !

L’écho de la rue,Au bruit accourue,Quand l’heure aura soupiréDira : L’enfant a pleuré !

Et sa tendre mère,Dans sa nuit amère,Pour son ingrat nourrisson,Ne saura plus de chanson !

Page 21: Fete Des Meres

S’il brame, s’il crie,Par l’aube en furie,Ce cher agneau révolté,Sera peut-être emporté !

Un si petit être,Par le toit peut-être,Tout en criant, s’en ira,Et jamais ne reviendra !

Qu’il rôde en ce monde,Sans qu’on lui réponde ;Jamais l’enfant que je dis,Ne verra mon paradis !

Oui ! mais s’il est sage,Sur son doux visage,La vierge se penchera,Et longtemps lui parlera !

Marcelline Desbordes-Valmore (1786-1859)

Pain Merveilleux

Ce siècle avait deux ans. Rome remplaçait Sparte,Déjà Napoléon perçait sous Bonaparte,Et du premier consul déjà, par maint endroit,Le front de l'empereur brisait le masque étroit.Alors dans Besançon, vieille ville espagnole,Jeté comme la graine au gré de l'air qui vole,Naquit d'un sang breton et lorrain à la foisUn enfant sans couleur, sans regard et sans voix ;Si débile qu'il fut, ainsi qu'une chimère,Abandonné de tous, excepté de sa mère,Et que son cou ployé comme un frêle roseauFit faire en même temps sa bière et son berceau.Cet enfant que la vie effaçait de son livre,Et qui n'avait pas même un lendemain à vivre,C'est moi. -Je vous dirai peut-être quelque jourQuel lait pur, que de soins, que de vœux que d'amour,Prodigués pour ma vie en naissant condamnée,M'ont fait deux fois l'enfant de ma mère obstinée ;Ange qui sur trois fils attachés à ses pasÉpandait son amour et ne mesurait pas !Oh ! l'amour d'une mère ! amour que nul n'oublie !Pain merveilleux qu'un dieu partage et multiplie !

Page 22: Fete Des Meres

Table toujours servie au paternel foyer !Chacun en a sa part et tous l'ont tout entier !Je pourrai dire un jour, lorsque la nuit douteuseFera parler les soirs ma vieillesse conteuse,Comment ce haut destin de gloire et de terreurQui remuait le monde aux pas de l'empereur,Dans son souffle orageux m'emportant sans défense,A tous les vents de l'air fit flotter mon enfance.Car, lorsque l'aquilon bat ses flots palpitants,L'océan convulsif tourmente en même tempsLe navire à trois ponts qui tonne avec l'orage,Et la feuille échappée aux arbres du rivage.Maintenant, jeune encore et souvent éprouvé,J'ai plus d'un souvenir profondément gravé,Et l'on peut distinguer bien des choses passéesDans ces plis de mon front que creusent mes pensées.Certes, plus d'un vieillard sans flamme et sans cheveux,Tombé de lassitude au bout de tous ses vœuxPâlirait, s'il voyait, comme un gouffre dans l'onde,Mon âme où ma pensée habite comme un monde,Tout ce que j'ai souffert, tout ce que j'ai tenté,Tout ce qui m'a menti comme un fruit avorté,Mon plus beau temps passé sans espoir qu'il renaisse,Les amours, les travaux, les deuils de ma jeunesse,Et, quoique encore à l'âge où l'avenir sourit,Le livre de mon cœur à toute page écrit.Si parfois de mon sein s'envolent mes pensées,Mes chansons par le monde en lambeaux dispersées ;S'il me plaît de cacher l'amour et la douleurDans le coin d'un roman ironique et railleur ;Si j'ébranle la scène avec ma fantaisie,Si j'entre-choque aux yeux d'une foule choisieD'autres hommes comme eux, vivant tous à la foisDe mon souffle et parlant au peuple avec ma voix ;Si ma tête, fournaise où mon esprit s'allume,Jette le vers d'airain qui bouillonne et qui fumeDans le rythme profond, moule mystérieuxD'où sort la strophe ouvrant ses ailes dans les cieux ;C'est que l'amour, la tombe, et la gloire, et la vie,L'onde qui fuit, par l'onde incessamment suivie,Tout souffle, tout rayon, ou propice ou fatal,Fait reluire et vibrer mon âme de cristal,Mon âme aux mille voix, que le Dieu que j'adoreMit au centre de tout comme un écho sonore.D'ailleurs j'ai purement passé les jours mauvais,Et je sais d'où je viens, si j'ignore où je vais.L'orage des partis avec son vent de flamme

Page 23: Fete Des Meres

Sans en altérer l'onde a remué mon âme.Rien d'immonde en mon cœur, pas de limon impurQui n'attendît qu'un vent pour en troubler l'azur.Après avoir chanté, j'écoute et je contemple,A l'empereur tombé dressant dans l'ombre un temple,Aimant la liberté pour ses fruits, pour ses fleurs,Le trône pour son droit, le roi pour ses malheurs ;Fidèle enfin au sang qu'ont versé dans ma veineMon père, vieux soldat, ma mère vendéenne !

Juin 1830

Victor Hugo (1802-1885)

A ma mèreIn Les exilés

ô ma mère et ma nourrice !Toi dont l' âme protectriceme fit des jours composésavec un bonheur si rare,et qui ne me fus avareni de lait ni de baisers !Je t' adore, sois bénie.Tu berças dans l' harmoniemon esprit aventureux,et loin du railleur frivolemon ode aux astres s' envole :sois fière, je suis heureux.J' ai vaincu l' ombre et le doute.Qu' importe si l' on écouteavec dédain trop souventma voix par les pleurs voilée.Quand sur ma lyre étoiléetu te penches en rêvant !Va, je verrai sans envieque le destin de ma vien' ait pas pu se marieraux fortunes éclatantes,pourvu que tu te contentesd' un petit brin de laurier.

16 février 1858

Théodore de Banville (1823-1891)

École primaire le Fullet

Page 24: Fete Des Meres

Maman, quand tu es en colère,je t'aime de travers.Maman, quand tu t'en vas,je t'aime couci-couça.Maman, quand tu es de bonne humeur,Je t'aime de tout mon cour.Maman, quand tu me cajolesJe t'aime sans parole.Maman, quand je te dis ce poème,Comprends-tu combien je t'aime.

Marie Aubinaisdans Les Belles Histoires (Bayard Jeunesse) N° 343 de mai 2001

Fête des Mères

Je voulais, Maman gentille,T'offrir de belles jonquillesEn un bouquet engageant.J'ai regardé les boutiquesMais les prix sont fantastiquesEt ma bourse a peu d'argent!

Alors, au fond de ma tête,J'ai composé pour ta fêteUn tout petit compliment,Et je t'offre ce poèmePour te dire que je t'aime,Je t'aime bien fort, Maman.

Michel Beau

J’aime ma mère

J’aime ma sœurPour ses yeux clairs,J’aime mon frèrePour sa candeur,J’aime mon pèrePour sa douceurEt je ne doisSûrement pasDire pourquoiJ’aime ma mère.Je me demande

Page 25: Fete Des Meres

Même parfoisSi je ne l’aimePas plus que moi.N’est-elle pasLa vraie lumièreQui nous éclaire,Ma sœur, mon frère,Mon père et moi ?

Maurice Carême

Maman

J’ai de toi une imageQui ne vit qu’en mon cœur.Là, tes traits sont si pursQue tu n’as aucun âge. Là, tu peux me parlerSans remuer les lèvres,Tu peux me regarderSans ouvrir les paupières. Et lorsque le malheurM’attend sur le chemin,Je le sais par ton cœurQui bat contre le mien.

Maurice Carême

Un enfant précoce

Une lampe naquit sous la merUn oiseau chantaAlors dans un village reculéUne petite fille se mit à écrirePour elle seuleLe plus beau poèmeElle n'avait pas appris l'orthographeElle dessinait dans le sableDes locomotivesEt des wagons pleins de soleilElle affrontait les arbres gauchementAvec des majuscules enlacées et des cœursElle ne disait rien de l'amourPour ne pas mentirEt quand le soir descendait en ellePar ses jouesElle appelait son chien doucement

Page 26: Fete Des Meres

Et disait"Et maintenant cherche ta vie."

René Guy Cadou

Il pleut doucement, ma mère,Et c’est l’automneSi doucementQue c’est la même pluieEt le même automneQu’il y a bien des ans.

Il pleut et il y a encore,Comme il y a bien des ans,Combien de cœurs au fil de l’eauEt combien de petits sabotsRêvant au coin de l’âtre.

Et c’est le soir, ma mère,Et tes genoux sont làSi près du feuQue c’est le même soirEt les mêmes genouxQu’il y a bien des ans.

Il pleut doucement, ma mère,Et c’est l’automneEt c’est le soir, ma mère,Et tes genoux sont là.

Prends-moi sur tes genoux, ce soir,Comme il y a bien des ansEt raconte-moi l'histoireDe la Belle au bois dormant.

Maurice Carême

Maman

J’ai de toi une imageQui ne vit qu’en mon cœur.Là, tes traits sont si pursQue tu n’as aucun âge. Là, tu peux me parlerSans remuer les lèvres,Tu peux me regarderSans ouvrir les paupières.

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Et lorsque le malheurM’attend sur le chemin,Je le sais par ton cœurQui bat contre le mien.

Maurice Carême

Tu es belle, ma mère

Tu es belle, ma mère,Comme un pain de froment.Et, dans tes yeux d'enfant,Le monde tient à l'aise.

Ta chanson est pareilleAu bouleau argentéQue le matin couronneD'un murmure d'abeilles.

Tu sens bon la lavande,La cannelle et le lait ;Ton coeur candide et fraisParfume la maison,

Et l'automne est si douxAutour de tes cheveuxQue les derniers coucousViennent te dire adieu.

Maurice Carême

Paysage

Il y avait un merle blancun merle noirIl y avait des fées parmi les pâquerettes.

Il y avait une abeille blonde,une source bleue,une rose thé,une tulipe chocolat.

Il y avait une femmequi descendait la colline,une femme habillée de feu, de laine et d'amour.

Une mère aux yeux d'iris,

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une mère aux mains de soie,une mère coiffée de rêves.

Et je chantais avec ses lèvres.Et je vibrais avec son coeur.

Il y avait une maison de sucre et de blé.Il y avait un abricot mûr sur une fenêtre.Il y avait un grand soleil de cuivre rouxet des iris aux langues d'or.

Il y avait une femme qui s'approchait de la maisonet qui caressait l'abricotet qui regardait le soleil.

Une mère aux yeux de violette,Une mère aux mains de velours.Une mère habillée de brouillard et de larmes,De lumière et d'amour. Pierre Gamarra Je te souhaite...

Je te souhaite un jour de velours,d'iris, de lis et de pervenches,un jour de feuilles et de branches,un jour et puis un autre jour,

un jour de blés, un jour de vignes,un jour de figues, de muscats,un jour de raisins délicats,un jour de colombes, de cygnes.

Je te souhaite un jour de diamant,de saphir et de porcelaine,un jour de lilas et de laine,un jour de soie, ô ma maman

et puis un autre jour encore,léger, léger, un autre jourjusqu'à la fin de mon amour,une aurore et puis une aurore,

car mon amour pour toi, ma mère,ne pourra se finir jamaiscomme le frisson des raméescomme le ciel, comme la mer...

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Pierre Gamarra

Maman

Qui coud mes vêtements,les allonge et ravaudeSans perdre un seul instant ?Qui met la «cruche» chaudeDans mon petit lit blanc ?C’est maman.

Qui, tout tranquillement,Accomplit son ouvrage,Lave l’appartement,Soigne bien le ménage,Sait faire un pansement ?C’est maman.

Qui chaque jour, m’attendAu sortir de l’école,Et m’embrasse en riant ?Qui m’écoute et consoleMes gros chagrins d’enfant ?C’est maman.

Vio Martin

Sur Fête des enfants …

Ma mamanQuand j'étais petite, je ne savais pas manger,Ma maman m'a apprisEt depuis, je dévore, je dévore sans arrêt.

Quand j'étais petite, je ne savais pas parler,Ma maman m'a apprisEt depuis, je bavarde, je bavarde sans arrêt.

Quand j'étais petite, je ne savais pas marcher,Ma maman m'a apprisEt depuis, je gambade, je gambade sans arrêt.

Quand j'étais petite, je ne savais pas chanter,Ma maman m'a apprisEt depuis, je chantonne, je chantonne, sans arrêt.

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Quand j'étais petite, je ne savais pas aimer,Ma maman m'a appriset depuis, je l'embrasse, je l'embrasse sans arrêt.

(Auteur inconnu)

Poèmes pour la fête des mères : dans la vie

Dans la vie

Dans la vie, j'aime deux choses,Toi et la rose,La rose pour un jour,Et toi pour toujours.

(Auteur inconnu)

Poèmes pour la fête des mères : la merveille

La merveille

Ma vie est un enchantementQuand je m'endors,Quand je m'éveille,Ou quand je joue,A tout moment,Une fée douce me surveilleEt m'entoure de soins charmantsCette merveille :C'est ma maman !

(Auteur inconnu)

Poèmes pour la fête des mères : tout peut s'user

Tout peut s'userTout peut s'usermais moi, je connais quelque chosequi ne s'use jamaisc'est la joue de mamanqui reçoit les baisersde son petit enfant.

Bonne fête maman !

(A. Got)

Page 31: Fete Des Meres

Poèmes pour la fête des mères : pour ma mère

Pour ma mère

Il y a plus de fleurs,Pour ma mère, en mon coeur,Que dans tous les vergersPour ma mère, en mon coeur,Que dans le monde entierEt bien plus de baisersPour ma mère, en mon coeurQu'on en pourrait donner.

(Maurice Carême)

Poèmes pour la fête des mères : ouvre grand...

Ouvre grand ta fenêtre Maman !

Ouvre grand ta fenêtre MamanOuvre grandChut !Écoute le ventQui te porte un poèmeDes milliers de "je t'aime"Chut !Écoute le ventComme un jour de printempsIl t'apporte un baiserCelui de ton enfantBonne fête Maman !

(Auteur inconnu)

Poèmes pour la fête des mères : des milliers de coquillages

Des milliers de coquillagesDes milliers de coquillages sur la plageDes milliers de fleurs dans les champsDes milliers d'oiseaux dans le cielMais seulement, seulement UNE maman !

(Auteur inconnu)

Poèmes pour la fête des mères : maman farine...

Maman farine, dans la cuisine,

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Maman histoires, quand vient le soir,Maman bisous, quand tout est doux,Maman tambour, les mauvais joursMaman championne du téléphoneMaman régime et cours de gymMa maman à moiTu es tout à la fois etJe t'aime comme ça

(Auteur inconnu)

Poèmes pour la fête des mères : chère maman...

Chère Maman, je t'aimePeut-être que je ne te le dis pas souventMais au fond de moi, je le pense chaque jour,Car tu es celle qui m'as fait naître et qui me caresse avant de dormirSimplement, je veux te donner 365 bisous.