MENSUEL MUNICIPAL - NOVEMBRE 2011 - N°313

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Vos suppléments : Chilly rendez-vous + Programme cinéma

BOURADA Stella, BRUNEAU Célia, CANTON Lucie, CHAFFAR Nadir, COHEN Lexi, EDOUARD Eden, GONCALVES JOOTY Ruben, HAMEL Nathane, JOURDAIN Romane, LE FLOC’H Ewen, MADANI--MATHEU Enzo, MAJID Rayane, PINDRAY Naomie, SERVAT Manon, VANDEL--PRIOU Lavinia

SILVIO Michael et VIGNEROL Marie, GUERRIB Nasser-Dine et LEFRANC Julie, SILVA Frédéric et USHIYAMA Yuki, AÏTA Jérôme et GRADELET Laëtitia, BOUDET Lionel et DEBEUF Aurélie, BOUZIANE Malik et ZITOUNI Nadia, DUPRAT David et VALLÉE Sabrina

HARLÉ Dominique, BOYER épouse REVAUX Nathalie, COUSSOT Delphine, WALTER Paulette, DANDOIS Florent, NOÉ Simone

Ce magazine est imprimé sur papier labellisé PEFC. Cette certification garantit que ce support est issu de forêts gérées durablement.

La photo du mois

Au fi l de la vie

Édito

L e mois d’octobre a été celui de la rentrée pour les dispositifs de Démocratie locale de notre ville : le Conseil des Sages, le Conseil Municipal des Enfants, la Comex Handicap, le Collectif jeunes se

sont réunis et ont, pour certains, mené leurs premières actions. Ainsi, les Sages ont pris rendez-vous avec le Conseil des Séniors d’une ville voisine, le Conseil Municipal des Enfants a participé à la brocante au profi t de l’asso-ciation « Le Rire médecin ».Puis, comme à chaque rentrée, il y a les nouveautés : la Comex commerçants s’est réunie pour la première fois au début du mois et une rencontre-débat sur un fait de société a eu lieu (les phénomènes de bandes pour cette première).Au cours du mois de novembre, la Comex des sports se réunira à son tour et bien sûr, les réu-nions de quartiers, ouvertes à toutes et à tous, se tiendront pour leur 4e édition près de chez vous, les 24, 29 et 30 novembre.Un premier bilan de ces réunions a été dressé et a conduit à une modifi cation du zonage des quartiers Sud et Centre : désor-mais, tous les habitants au Sud de l’autoroute seront rattachés au « quartier Sud ».Je souhaite que toutes ces structures participent au progrès de l’information, de la concertation et, en défi nitive, de la démocra-tie dans notre ville.

À chaque rentrée, il y a les nouveautés :

la Comex commerçants s’est

réunie pour la première fois

au début du mois

Paulette Walter nous a quittés le 15 septembre à l’âge de 86 ans. Après avoir élevé cinq enfants et travaillé pendant 22 ans au sein d’une maison d’édition, elle est arrivée à Chilly-Mazarin en 1990, consacrant tout son temps au bénévolat.Elle a cumulé les mandats auprès de nombreuses associations caritatives de la commune et avouait ne pas pouvoir s’en passer !Secrétaire de l’ARAC, de Services Compris, de l’Association d’Aide et d’Hébergement en 2002, puis Vice-Présidente en 2006, membre du Conseil d’administration du Centre Communal d’Ac-tion Sociale depuis février 1995, administrateur à Dom’Services et au Club de Prévention, Vice-présidente de l’Épicerie Sociale La Clé en avril 2001, Présidente, de mars 2002 à mars 2004. Paulette Walter gérait un emploi du temps de ministre ! Elle s’impliquait beaucoup dans ses missions surtout quand il s’agissait d’enfants.Sa plus grande satisfaction était de réussir à sortir une famille de ses diffi cultés et à la réinsérer. Rien de ce qui était humain, rien de ce qui était social n’était étranger à cette femme très active et proche des gens.« Être bénévole, c’est aussi montrer que l’on n’est pas le nombril du monde, relativiser ses problèmes et surtout être à l’écoute » : c’était sa philosophie !

hommage

Arrêt sur images

Arrêt sur images

D es aides financières peuvent être accordées par le Centre Communal d’Ac-tion Sociale (CCAS) et le Conseil général de l’Essonne. Elles ont pour voca-tion d’aider les personnes en difficulté, au travers d’une somme versée pour

le paiement du gaz, électricité et combustibles ainsi qu’une allocation de Noël.

L es jeunes, les filles comme les gar-çons, de nationalité française ont l’obligation de se faire recenser

dans les trois mois qui suivent leur 16e anni-versaire à la mairie de leur domicile ou du consulat s’ils habitent à l’étranger.Les jeunes devenus français entre 16 et 25 ans doivent se faire recenser dans le mois qui suit la date d’acquisition de la nationalité française. Si les délais ont été dépassés, il est toutefois possible de régulariser leur situa-

tion jusqu’à l’âge de 25 ans auprès de leur mairie de domicile ou du consulat s’ils habi-tent à l’étranger.N’oubliez pas de vous faire recenser, car cette formalité est obligatoire pour pouvoir se pré-senter aux concours, aux examens publics, ou pour faire de la conduite accompagnée.Les pièces à fournir : une pièce d’identité (carte nationale d’identité, passeport ou tout autre document justifiant de la nationalité française) et un livret de famille.

P récédemment situé à Juvisy-sur-Orge, le CIO a déménagé à Chilly-Mazarin. Ce centre est un

service public, gratuit, ouvert à tout élève à partir de la classe de 6e, accompagné ou non de sa famille, et à toute personne, sco-larisée ou non, en quête d’informations et de conseils sur le choix de ses études ou de son métier. Le CIO de Chilly-Mazarin accueille les jeunes scolarisés dans l’enseignement

public et privé, les jeunes non scolarisés et les adultes relevant de Chilly-Mazarin et des communes suivantes : Athis-Mons, Juvisy-sur-Orge, Morangis, Paray-Vieille-Poste, Wissous.

• Avoir en charge un ou plusieurs enfants de moins de 12 ans

• Ne pas être hébergé

• Seuil des ressources mensuelles :1 014,60 € pour une personne seule avec un enfant à charge (+ 302,4 € par enfant à charge supplémentaire)

• 1 344 € pour un couple ayant un enfant à charge (+ 302,4 € par enfant à charge supplémentaire).

• Être âgé d’au moins 65 ans ou 60 ans en cas d’inaptitude au travail

• Être titulaire de l’alloca-tion supplémentaire.

• Seuil des ressources mensuelles :1 344 € pour une personne seule avec au moins 2 enfants à charge (+ 302,4 € par enfant à charge supplémentaire)1 948,80 € pour un couple avec au moins 3 enfants à charge, (+ 302,4 € par enfant à charge supplémentaire)

• Ne pas être hébergé.

Vie locale

Début octobre, la Police municipale a déménagé avenue Charles de Gaulle, derrière la place de la Libération, dans les anciens locaux du Point d’accès au Droit (PAD). Celui-ci se trouve désormais au 6-8, rue Ollivier Beauregard (01 69 10 59 25).

Comprendre les subtilités de sa fac-ture EDF n’est pas toujours chose aisée. Ai-je consommé plus que l’année dernière ? Ai-je des heures creuses ? Est-ce que je paye une esti-mation ou est-ce ma consomma-tion réelle ? Pour mettre fin à ces doutes et s’informer sur les réflexes à acquérir pour maîtriser au mieux sa consommation d’énergie, le Centre Communal d’Action Social (CCAS) organise une réunion d’informa-tion et d’accompagnement desti-née à tous les Chiroquois le mardi 15 novembre 2011 à 18h30, salle à la Roue, dans le parc de l’Hôtel de Ville. Celle-ci sera animée par une intervenante de l’association SoliCités.Pensez à vous munir d’une de vos dernières factures !

S i l’on pouvait déjà prendre le thé en savourant un millefeuille à la boulangerie de Bel Abord

grâce à sa terrasse d’été, les après-midi brumeux et froids de l’hiver nous lais-saient sur le carreau ! Haut les cœurs, vous ne serez plus obligé de protéger maladroitement votre chou à la crème de votre main sous une pluie battante.M. et Mme Meaux, propriétaires de la bou-langerie de Bel Abord viennent d’ou-vrir, depuis septembre, un coin salon de thé. « Nous souhaitions créer un lieu convi-vial, qui puisse accueillir les gens pour toutes les occasions. Prendre son petit-déjeuner ou son déjeuner assis, seul ou avec des amis, ou s’installer tranquillement avec ses enfants pour le goûter par exemple, c’est ce qui manquait à notre boulangerie ! », explique Mme Meaux. Un projet qui mature depuis novembre dernier, après déjà presque six ans d’existence à Chilly. « Je m’oc-cupe essentiellement de la vente, car j’aime être au contact des clients. Et quoi de mieux qu’une boulangerie ! Je connais les enfants, les petits enfants, les parents, cela me permet de créer des liens. Ce rapport de proximité, je l’entretiens en proposant d’autres ser-

vices, comme le journal le dimanche lorsque le marchand de journaux est fermé. Je peux dépanner aussi pour les timbres-poste… ». Une multiplication des tâches qui lui correspond bien car Mme Meaux four-mille d’idées et de projets. « Mon mari a un CAP et un bac pro de boulanger-pâtissier, du coup, je souhaite aussi passer le mien. Et puis, je vends des produits du Portugaldepuis la création de la boulangerie. J’en ai tout un catalogue, et je souhaiterais ouvrir une offi-cine dédiée à ces produits dans les prochains mois. Nous proposons également du pain bio depuis mi-septembre. » à partir de-là, l’idée de confectionner également une gamme bio de confitures, pain d’épices et miel a germé. « Nous nous sommes rap-prochés de l’agriculteur bio de Chilly, qui fait des paniers garnis, pour voir comment cela serait réalisable. »Des projets qui vous inciteront peut-être à faire un tour dans cet antre de la gour-mandise !

Vie économique

Samedi 19 novembre de 8h à 18h, la boucherie St-Éloi située au 76, rue de Gravigny organise une anima-tion commerciale pour le plaisir des grands et des petits. M. Ribeiro vous proposera son désormais traditionnel couscous géant ! Afin d’allier plaisir de la table et animation de quartier, la boucherie St-Éloi vous concoc-tera également différentes surprises. Venez nombreux !

Terre & Sens, votre boutique « bio et bien-être » à Chilly-Mazarin orga-nise des journées portes ouvertes les samedi 29, dimanche 30, lundi 31 octobre et le mardi 1er novembre de 11h à 19h.Aurélie Perrier-Such, naturopathe et gérante, vous fera découvrir ses fruits et légumes bio, par l’intermé-diaire de savoureux veloutés. Pour vous aider à affronter l’hiver qui s’an-nonce, vous pourrez également vous renseigner sur les huiles essentielles, les compléments alimentaires bio, et bien d’autres produits naturels. Pour conclure votre visite en beauté, un atelier massage vous sera proposé.

Développement durable

E n France, on estime que près de 100 000 tonnes de pes-ticides sont utilisées chaque

année. Cause majeure de la pollution des rivières en Île-de-France, ils occasion-nent des risques non négligeables pour la santé et sont responsables d’une mise en danger de l’écosystème. Les pesticides ne tuent pas que les mauvaises herbes… Il était donc important d’adopter un usage raisonné de ces produits.La Vil le s ’est engagée depuis juin 2008 dans l’action Phyt’eaux Cités. 73 communes des bassins de la Seine, de l’Orge et de l’Yvette se sont ainsi portées volontaires pour limiter l’emploi de ces produits. Car le constat est sans appel : les communes sont responsables de près de la moitié de la contamination urbaine des eaux ! À Chilly-Mazarin, l’arrêt complet de l’utilisation de ces produits phytosanitaires a été décidé pour les trois espaces verts les plus importants de la ville : le parc de l’Hôtel de Ville, le parc des Champs Foux et le square Condorcet ainsi que sur plusieurs voiries.

En juin dernier, la Ville a été récompensée de ses efforts en matière de préservation de l’environnement par le Trophée Fleur Verte. Une distinction, qui avec le trèfl e Phyt’Eaux Cités remis le 20 octobre à la Ville, sonne comme une reconnaissance des actions mises en place depuis maintenant deux ans. Petit tour d’horizon.

En outre, en juin 2009, les agents communaux ont bénéficié d’un programme de sensibilisation à la préservation de l’environnement inscrite dans le cadre de l’Agenda 21 de la commune.

D epuis le mois de mai dernier, dix ménages expéri-mentent la fabrication du compost naturel à domi-cile grâce à des composteurs attribués par la Ville

après appel à candidature. Séverine Rignault, l’une des bénéfi -ciaires, y voit à la fois un objet utile mais aussi militant !« C’est pratique, car cela désengorge le volume habituel des pou-belles. Toutes mes épluchures, trognons de fruits, etc. partent dans le composteur ! C’est aussi l’assurance de pouvoir oublier les engrais chimiques le printemps prochain. » Si Séverine connais-sait déjà les bons gestes à adopter pour préserver l’environ-nement de par sa formation de paysagiste, la réunion d’in-formation lui a permis de savoir comment faire son compost au mieux. « On évite d’y mettre certaines feuilles qui ne pourris-sent pas vite ou provoquent des odeurs désagréables. C’est une très bonne idée de la part de la Ville, car ces composteurs font des petits un peu partout dans le quartier… Depuis que j’en possède un, plu-sieurs amis s’en sont procuré, et j’en ai offert un à ma sœur. »

Moins de produits phytosanitaires

Composteur

Le potager :

Développement durable

R écupérer l’eau de pluie permet d’abord de faire des éco-nomies intéressantes, mais c’est aussi un geste citoyen accompagnant une démarche écologique de préserva-

tion des ressources naturelles. Car l’eau se fait rare ! Si tout l’ar-rosage n’est pas assuré par ce système (qui reste dépendant des condi-tions météo), depuis deux ans, plusieurs récu-pérateurs d’eau de pluie permettent au service des Espaces verts d’arro-ser les massifs ou encore le potager.

Récupérateurs d’eau de pluie

Question

16, rue Paul-Bert91380 Chilly-Mazarin(Près Centre Champion)

Tél. : 01 69 09 24 49Fax : 01 64 48 51 40

SARL Bailly

L a démocratie locale et participative comprend l’ensemble des actions et ins-tances initiées par la Ville en vue de faire participer les habitants à l’élaboration des projets et d’éclairer les décisions municipales.

Cette démarche de concertation vient en complément de la vie associative créatrice de lien social et d’engagement civique. Elle joue un rôle essentiel dans l’animation de la ville, et favorise l’écoute de l’ensemble des acteurs de la commune. Pour que cette forme de démocratie soit effective, encore faut-il proposer des instances au sein desquelles la parole des habitants soit entendue. Pour cela, des dispositifs ont été mis en place afin de renforcer les échanges entre les élus et les habitants, jeunes ou moins jeunes, présidents d’associations ou de syndicats de copropriété, commerçants, personnes à mobilité réduite… C’est-à-dire vous !Cette démarche se restitue au travers de différentes instances, telles que les réunions publiques, le Conseil Municipal des Enfants, les Cellules de Tranquillité Publique, le Conseil des Sages, le Collectif Jeunes, les réunions de quartiers ou la tenue de Commissions extra-municipales.

Dossier

Les réunions de quartiersRenforcer la relation de proximité entre élus et habitants pour améliorer la com-préhension et la gestion du quotidien et permettre une meilleure implication dans la vie locale, telles sont les raisons d’être des réunions de quartiers, mises en place depuis le mois d’octobre 2010. Animées par des élus référents de quartier, ces réu-nions ouvertes à tous, ont pour objec-tif d’informer les habitants sur les pro-jets de la Ville et les politiques menées dans leur quartier. Les habitants peuvent y aborder tous les thèmes et sujets d’inté-rêt général : des problèmes de stationne-ment ? À quoi sert l’intercommunalité ? Envie de créer un jardin en commun ? Besoin de plus de réunions ? Des souhaits de voir aborder des sujets en particulier ? Vous pouvez y poser toutes les questions concernant la commune et votre quartier, sans restriction.

Les réunions publiques thématiquesCette année, la Ville désireuse de dévelop-per les espaces d’échanges et de débats, a instauré des cycles de réunions publiques thématiques (cf. Chilly-Magazine n°312). Ces rencontres-débats, ouvertes à tous, permettront de se retrouver autour de sujets d’actualités ou de faits de société avec l’aide d’un ou plusieurs intervenants extérieurs. Le lancement de ce nouveau dispositif, le 18 octobre dernier, traitait des phénomènes de bandes. Ce débat était animé par Marwan Mohammed, spécialiste de la question et Docteur en sociologie, chargé de recherche au CNRS.

Les concertations de rueDes visites organisées avec des élus et les ser-vices techniques permettent d’observer les demandes et interrogations des habitants sur des aménagements ciblés de voirie (modifi-cation de sens de la circulation, pose de pas-sages piétons ou de coussins berlinois…)

Les Cellules de Tranquillité Publique (CTP)Pilotées par le service Prévention de la Ville, ces instances regroupent des élus, des services communaux, le Commissaire de police, les présidents de Conseils syn-dicaux, les commerçants ainsi que le Club de prévention, Alliance Prévention. Elles ont vocation à traiter des probléma-tiques tranquillité publique et de cadre de vie en tenant compte du vécu et du quotidien des habitants. Elles permet-tent d’échanger, de s’informer, dans le double but de se comprendre et de mieux comprendre, afin d’ajuster au mieux les actions de tous les acteurs de la préven-tion et de la sécurité.

Dossier

Proches de vous

À vos agendas !

Les Commissions extra-municipales (Comex)Elles regroupent les présidents d’asso-ciations, des particuliers, des élus et des services communaux autour de quatre grands thèmes : le commerce, le handi-cap, la culture et le sport.Ces Comex, ou Commissions extra-municipales ont pour objectif d’associer les citoyens à la vie de la commune. Elles ont un rôle consultatif sur des questions ou des dossiers proposés par la munici-palité dans leur domaine respectif. Ces instances offrent aussi l’opportunité de s’informer sur les affaires de la commune et d’engager un dialogue avec les élus.

La Comex Commerçants ou comment soutenir le commerce localDernière Comex créée, la Comex Commerçants s’est réunie pour la pre-

mière fois le 3 octobre dernier, avec pour objectif de renforcer la collabora-tion entre la Ville et les commerçants ainsi que d’accroître le dynamisme du commerce local.La Ville souhaite être encore plus atten-tive aux besoins des commerçants, acteurs de la commune au même titre que ses habitants et ses associations. Cet organe consultatif, présidé par le Maire, Gérard Funès ou Christian Proponet, conseiller municipal délégué au Développement économique et commercial et à l’Em-ploi, se veut être une plateforme d’initia-tives et un lieu d’échanges en direction des commerçants, pour leur permettre de ren-forcer leur dynamisme par la concertation et la création d’actions communes.Lors de cette première commission, les objectifs de la Comex ont été rappe-lés et des questions ont été soulevées sur le projet de création d’une associa-

tion des commerçants de Chilly. Les élus ont rappelé les bénéfices de ce type d’ac-tion collective notamment lors des appels à financement auprès de la Chambre de Commerce et de l’Industrie, l’obtention d’aides juridiques ou encore pour propo-ser des actions comme des animations, une carte de fidélité ou un site Internet pour les commerçants. Ces derniers ont longuement débattu de ce projet en sou-lignant la question des zones géogra-phiques commerciales et le nécessaire besoin de solidarité entre les commer-çants de la ville.Une autre réunion sera très prochaine-ment tenue afin de poursuivre ces débats riches et constructifs.

Démocratie locale : favoriser nos échanges

Dossier

À l’écoute des besoins spécifiques

Le Conseil Municipal des Enfants

Les jeunes élus du CME ont l’occasion non seulement de découvrir les méca-nismes de la citoyenneté, mais aussi de proposer des actions pour la ville. Ainsi, des visites de l’Assemblée Nationale, avec deux classes de l’école Jean de La Fontaine, et du Sénat sont d’ores et déjà prévues pour leur permettre de décou-vrir les coulisses de la Ve République. Une découverte de l’action politique qui s’ac-compagne par la mise en place de projets tels qu’une campagne sur les déchets et la propreté urbaine. Le 2 octobre dernier, leur participation à la Brocante au profit de l’association « Le rire médecin » leur a permis de récolter 125 €.

Le Collectif JeunesCréé en juin 2010 et piloté par le ser-vice Jeunesse, le Collectif Jeunes est un espace de dialogues et d’initiatives pour

les 18-25 ans, et on peut dire que ses membres ne manquent pas d’idées ! Après l ’organisation d’une soirée-concerts en juin dernier, c’est « une nuit de l’horreur » au Cinéma Truffaut que le Collectif vous propose le 31 octobre.N’attendez pas d’eux qu’ils s’arrêtent en si bon chemin. Plusieurs projets pour l’année 2012 sont dans les bacs. Entre autres, l’organisation d’une jour-née sportive et citoyenne ainsi que des soirées-débats en direction des 18-25 ans.Petit rappel : le Collectif Jeunes est ouvert à tous : pour y participer, n’hésitez pas à contacter le 01 69 10 59 93.

Le Conseil des Sages

Le Conseil s’est réuni pour la première fois le 9 novembre 2010. Les 22 Sages du Conseil ont été tirés au sort parmi plusieurs dizaines de volontaires. Pour assurer une représentation géographique cohérente, la Ville s’est attachée à sélec-tionner des membres issus de tous les quartiers de la ville avec une parité homme-femme respectée.

Trois commissions composent le Conseil : « Séjours, Activités, Sorties », « Actions Intergénérationnelles », « Senior et bien-être ». Lors de la séance plénière du 4 octobre 2011, les Sages ont rappelé le travail effectué par les commissions. Une rencontre avec le Conseil des Sages de Sainte-Geneviève-des-Bois, pour un par-tage d’expériences, a été actée.Le Collectif Jeunes, le Conseil des Sages et le CME se rencontreront bientôt pour échanger sur leur fonctionnement et envisager des actions communes.

Ces dispositifs d’échanges et de

concertation sont les vôtres. Vous êtes

tous concernés : habitants, associations,

commerçants, etc.

Sans vous, point de démocratie locale ! C’est

parce que le « vivre ensemble » doit être

cultivé au quotidien et à vos côtés que la Ville s’efforce chaque jour,

d’être plus encore à votre écoute.

Une action démocratique intergénérationnelle

Dossier

Que l’on ait 10 ou 80 ans, chaque habitant a le même droit à la parole. Il n’y a pas d’âge pour être citoyen ! Pour ce faire, vous pouvez compter sur le Collectif Jeunes, le Conseil Municipal des Enfants (CME) et le Conseil des Sages. Le but : mener des projets, non seulement pour ses semblables, mais aussi pour et avec les autres.

Jeunesse

I nstruites par le Point Information Jeunesse (PIJ) de la Ville, les bourses jeunes ont été augmentées en 2011 pour atteindre un montant de 225 €. En plus de ce sérieux coup de pouce pour la réalisation de vos projets, le PIJ pourra vous aider

à vous organiser dans leur élaboration.Toutes les demandes seront étudiées par la Ville. Si votre dossier est retenu, il vous sera demandé un retour sur le déroulement de votre projet qui pourra prendre la forme d’un journal de bord, d’une vidéo, d’une exposition photographique…Cette année, trois bourses ont été attribuées. Une première pour un projet humanitaire au Cambodge, une autre pour un projet universitaire aux États-Unis et en Suède et une dernière dans le cadre du dispositif Erasmus aux Pays-Bas.

P o u r c e r t a i n s p a r e n t s , l a recherche de la perle rare res-semble surtout à une course

contre la montre. « Je travaille souvent de nuit, et après mon divorce, il a fallu que je trouve urgemment un mode de garde », explique Laurent, papa de Margaux, 8 ans (photo). « Les organismes sur Internet sont souvent très chers et ma recherche par le bouche à oreille infructueuse. J’ai fi nalement appelé la Mairie, un peu désespéré. C’est là qu’on m’a parlé du PIJ. J’y suis allé directe-ment et j’ai pu contacter trois jeunes. C’est comme ça que j’ai engagé Charlène, qui se trouvait être ma voisine ! » Une rapidité qui s’explique par une certaine proximité, mais aussi par la motivation des jeunes qui proposent leurs services. Le PIJ leur fait connaître leurs droits et une sensibi-lisation à la garde d’enfants, une manière

d’assurer le futur baby-sitter tout en ras-surant les parents ! « J’ai vu dans le Chilly Magazine que le PIJ proposait de mettre en relation les jeunes et les parents. J’ai trouvé l’idée géniale d’autant que cela, pour moi, garantit un certain cadre. Après, c’est au parent et au jeune de convenir ensemble de la procédure », explique Sophie, jeune maman d’Adel, 3 ans (photo). « Et cela témoigne d’une démarche de la part du jeune que je trouve rassurante. Résultat, nous avons trouvé une baby-sitter, Clara, qui habite notre résidence, et on peut enfi n sortir le soir la conscience tranquille. »

Vous avez entre 16 et 22 ans, vous habitez la ville et vous avez un projet à caractère universitaire, humanitaire, solidaire, culturel, en France ou à l’étranger, la bourse jeune est faite pour vous !

Le Point Information Jeunesse propose depuis cette année de mettre en relation les parents et les jeunes en recherche de baby-sitting.

La Ville de Chilly-Mazarin propose à ses habitants de passer de deux à plusieurs jours dans son centre communal du Montcel (Savoie) pour le Réveillon de la Saint-Sylvestre. Vous pourrez être accueillis du mardi 27 décembre 2011 à partir de 14h au lundi 2 janvier 2012 au matin. Le tarif journalier, pension complète, le prêt des skis et des chaussures est de 37,80 € par personne. Les transports et les forfaits des remontées méca-niques sont à votre charge. Le séjour est gratuit pour les enfants de moins de 2 ans et demi-tarif pour les moins de 6 ans.

La commune propose à ses habitants de louer le chalet du Revard situé près du Montcel, au pied des pistes du mont Revard (1 550 m). La capa-cité d’accueil est de 15 personnes maximum.Le prix de la location par jour et par personne du chalet pour les habi-tants ou les associations de la ville est de 14,15 € (seul l’hébergement est assuré). Le tarif journalier pour les enfants de 2 à 6 ans est de 7,10 € et gratuit pour les moins de 2 ans.Les personnes extérieures à la commune peuvent également louer ce chalet.

Sports

E ncore une fois, le succès de la Foulée chiroquoise ne s’est pas démenti. Sous un soleil estival, 933 personnes se sont classées lors de cette 29e édi-tion. Parmi elles, 626 enfants, dont 572 scolarisés à Chilly-Mazarin, ont

donné du souffl e sur les parcours de 2 km et de 900 mètres.Une matinée que beaucoup n’auraient manquée pour rien au monde. « Je cours régu-lièrement seul dans mon coin, alors c’était l’occasion de me tester en étant pour une fois bien entouré ! » rigole Patrick. Parmi les enfants, c’est l’aspect festif qui était au ren-dez-vous. Entre les « experts », départ en trombe et foulée mesurée, et les bandes de copains faisant demi-tour pour aider l’un des leurs, la foulée a constitué une belle expérience sportive… « Mais fatigante ! » souffl e Camille, ravie mais épuisée. L’école Jean de La Fontaine était l’école la plus mobilisée sur la ligne de départ.Beaucoup de Chiroquois ont participé à ce grand rendez-vous, mais l’événement a également attiré des coureurs de France et de Navarre. Gilles Manse (cf photo), vain-queur du 10 km en 31’27 (record de l’épreuve) a parcouru plus de 500 kilomètres depuis les Cévennes pour participer à l’édition.Si sueur, larmes, contractures, encouragements, cris de joie et bonne humeur ont jalonné le parcours des coureurs, la foulée était aussi l’occasion d’allier le défi spor-tif à l’apprentissage des gestes qui sauvent. Une animation sur les premiers secours et l’utilisation de défi brillateurs automatiques dispensée par La Croix Blanche était en effet proposée pendant toute la durée de la manifestation.À noter également encore cette année, la mobilisation des partenaires communaux et associatifs qui ont contribué au bon déroulement de la compétition et qui est attendue encore plus forte l’année prochaine pour célébrer la 30e édition de cette manifestation. Celle-ci aura lieu le dimanche 30 septembre 2012 !

D epuis quelques années, le Karaté-Club de Chilly brille par sa présence à la Foulée.

Pour cette édition, 25 coureurs ont porté haut les couleurs du club. L’occasion pour nous de vous présenter un club dynamique et investi.« Pour nous, participer à la Foulée, c’est se fédérer, car nous sommes un peu comme les membres d’une même famille. C’est un défi que l’on se lance ensemble. Le classement, on s’en fi che, l’important c’est que tout le monde termine la course ! », explique Pauline Govillé, professeure au club. « La preuve, je suis arrivée 93e sur le 5 km… sur 96 ! ». Comptez sur eux l’année prochaine « car pour la 30e édition, nous serons encore plus nombreux ! ».Au-delà de la mobilisation lors de la fou-lée, le club s’est aussi proposé d’ani-

mer le 24 septembre dernier, des démonstrations de body karaté à la maison de retraite Arpage, située place de la Libération. « On avait fait une démo au mois de juin, et une dame qui travaille à la maison de retraite a trouvé ce sport génial. Elle nous a proposé de venir le faire découvrir aux personnes âgées, car ce sport est assez méconnu. Plusieurs seniors s’y sont même essayés ! C’était une super- expérience qu’on aimerait renouveler », poursuit Pauline. « Par exemple, on aime-rait pouvoir faire des démonstrations auprès des enfants. » Autant dire que ce club, qui a été élu par les membres de la commis-sion des sports pour recevoir le Trophée de la Ville la saison dernière (récompen-sant le club le plus « méritant » de la sai-son) ne relâche pas ses efforts pour se distinguer.

Et si vous souhaitez encoura-ger le club dans une ambiance festive, il participera en février prochain au Challenge national de Body Karaté. À vos ceintures !

Portrait

Deux ans de recherches ont été nécessaires à Hedi Guenane pour révéler le sens caché des rues de Chilly-Mazarin. Ce Chiroquois de longue date, directeur de la Maison des Adolescents de la Ville, présente aujourd’hui le résultat de son travail sur un site Web nommé « TéKiToi ». Un nom « djeun’s » pour un site chargé d’histoire.

A ujourd’hui, donner le nom de sa rue sert bien souvent à indi-quer où l’on habite. Mais qui

d’entre nous s’est-il réellement interrogé sur son origine ? Pourquoi cette grande avenue imposante s’appelle-t-elle Pierre Mendès France et pas Aimé Césaire ? Et cette petite venelle, là, d’où tient-elle son appellation « rue des Pas perdus » ?C’est parce qu’à chaque coin de rue Hedi Guenane ne pouvait s’empêcher de se poser la question que l’idée d’en expli-quer la provenance lui est venue. « J’ai pensé d’abord à la valeur pédagogique d’un tel travail », explique le directeur de la Maison des Adolescents. « J’ai commencé à faire des recherches sur les noms des rues de Chilly, dans l’optique de m’en servir auprès des jeunes. D’où le titre de mon site Internet : « TéKiToi ». En s’interrogeant sur les per-sonnes du passé que notre Ville a honorées en donnant leur nom à des voies de communi-cation ou des équipements publics, on perpé-tue une symbolique mémorielle pour les géné-rations à venir », poursuit Hedi. « Affecter des noms de personnes qui ont brillé par leur action, leur talent, leur dévouement ou leur sacrifi ce, c’est participer à la transmis-sion des valeurs de notre culture et de notre civilisation. »Ce projet, d’abord simple glossaire d’hodo-nymes, s’est enrichi au fi l du temps d’ex-plications plus poussées. « On ne pouvait

pas se limiter à une liste de biographies ou de défi nitions. Alors nous y avons intégré des faits du passé qui forment la mémoire de notre commune. » Car derrière un nom de rue, il y a un personnage, mais aussi un processus, une histoire. On a invoqué, par exemple, plus volontiers Jean Jaurès ou Charles de Gaulle à une certaine période qu’à une autre. « Il faut savoir qu’avant qu’on ne bap-tise des rues, celles-ci avaient déjà des dénomi-nations. Par exemple, au début du siècle, dans chaque village, on passait souvent par « la rue du Boucher », ou « la rue Droite », ou encore « la rue de Paris ». Ainsi, à Chilly, la rue Verte tient sans doute son nom du fait qu’on y trou-vait la plupart des fermes ! »Ces rues, refl ets de la culture, de l’écono-mie, de l’histoire, de volontés politiques ont retrouvé, grâce au Tékitoi, tout leur sens. En parcourant le TéKiToi, ce sont les lieux qui retrouvent une origine, une destina-tion. Les fantômes des seigneurs de la ville, l’ombre du roi de France ou de Molière s’ancrent dans la pierre pour le plus grand bonheur des curieux et des férus d’histoire.De-là à rapporter son GPS à la brocante, il n’y a qu’un pas !

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Rentrée scolaire 2011-2012Gérard Funès et Lisette Jovignot, adjointe au maire chargée de l’enseignement, font le point sur la rentrée scolaire qui s’est traduite par trois ouvertures de classes élémentaires (Château, Pierre et Marie Curie et Jean de La Fontaine). Demeurait le problème des classes surchargées aux Saules-Roseaux (voir page 6).M. RECROSIO, porte-parole des parents d’élèves de l’école « Les Saules – Les Roseaux » présent dans la salle, a fait une intervention, après une suspension de séance, pour exposer la situation et la mobi-lisation des parents d’élèves depuis mainte-nant deux semaines. Il a remercié la muni-cipalité et souligné l’engagement de Lisette Jovignot, adjointe au maire à l’Enseigne-ment, et du Service Enseignement dans la gestion de ces évènements.

Bilan des séjours été 2011Habib Hanana a dressé le bilan des séjours d’été 2011 qui ont concerné 167 jeunes.

Travaux 2011Henri FIORI, Premier adjoint au maire, a fait le point sur les travaux exécutés ou en cours en septembre 2011.

Projet de schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI)Considérant les propositions du Préfet de l’Essonne d’adjoindre à Europ’Essonne cinq communes dont trois qui ne sou-hai tent nul lement en fa ire part ie (Marcoussis, Nozay, Villejust), et de sous-traire du périmètre communautaire d’Eu-rop’Essonne la commune de Morangis étroitement liée à Chilly-Mazarin dans un bassin de vie, très associée dans les domaines culturels, sportifs et commer-cial (marché), menant ensemble des actions fortes, commune par ailleurs très engagée dans des projets communau-taires très avancés comme la navette, le très haut débit et les réhabilitations des zones d’activités, rendant ainsi beau-coup plus difficiles à l’avenir les coopé-rations entre nos deux communes, consi-dérant que les orientations proposées sont totalement opposées à l’idée même d’une complémentarité et d’une solida-rité des villes du territoire ; considérant par ailleurs, que ce projet évoque la dis-

solution du Syndicat Intercommunal de la Plaine de Balizy et du Bois de Saint-Éloi (SIAPBBSE) et celle du Syndicat I n t e rcommuna l de Re s t au r a t i on Municipale de Massy-Chilly-Épinay-sur-Orge (SIRMC), le Conseil émet un avis défavorable au projet de SDCI et à la dis-solution du SIAPBBSE et du SIRMC.Résultat du vote : 28 pour – 5 absten-tions (Y. Boidec, M. Girard et le pouvoir de C. Lacarriere-Farges, J.-P. Beneytou, HP Maltrud)

Sècheresse et famine dans la corne de l’AfriqueLa Ville souhaite s’associer à l’élan inter-national de solidarité et exprimer son soutien face à cette urgence absolue et à la gravité de la situation et décide de verser une subvention exceptionnelle de 3 000 € à Médecins Sans Frontières.Résultat du vote : unanimité

L’avenir de l’aéroport d’OrlyLe Conseil s’oppose absolument à la délocalisation de l’aéroport d’Orly pro-posée par certains députés de la majorité présidentielle.Résultat du vote : unanimité

Majoration du coefficient d’occupation des solsLe Conseil décide une majoration du coefficient d’occupation des sols de 20 % pour la réalisation de neuf logements sociaux à l’intérieur du secteur constitué par la parcelle cadastrée section AL n° 89, sise 50, rue de Gravigny, dans le cadre de l’opération de construction de 45 loge-ments par la société PROMOGIM.Résultat du vote : 27 pour – 6 contre (Y. Boidec, M. Girard et le pouvoir de C. Lacarriere-Farges, J.-P. Beneytou, HP. Maltrud, C.Morgantini)

Réforme de la fiscalité d’urbanismeVu le nouveau régime fiscal applicable à toutes les demandes d’autorisation d’ur-banisme déposées après le 1er mars 2012, avec le remplacement de la taxe locale d’équipement par la taxe d’aménagement, le Conseil institue sur l’ensemble du ter-ritoire communal la taxe d’aménagement au taux de 5 %. Sont notamment exonérés les commerces de détail d’une surface de vente inférieure à 400 mètres carrés.

Résultat du vote : 28 pour – 5 absten-tions (Y. Boidec, M. Girard et le pouvoir de C. Lacarriere-Farges, J.-P. Beneytou, HP Maltrud)

Taxe communale sur la consommation finale d’électricité (TCFE)Le Conseil fixe à 8 le coefficient com-munal utilisé pour l’année 2012 dans le calcul de la taxe sur la consommation finale électrique sur le territoire de la commune.Résultat du vote : 28 pour – 5 absten-tions (Y.Boidec, M. Girard et le pouvoir de C. Lacarriere-Farges, J.-P. Beneytou, HP Maltrud)

Charte communale d’accompagnement éducatifConsidérant la volonté communale d’ac-compagner et soutenir les initiatives contribuant à la réussite scolaire des enfants et des jeunes et d’être un parte-naire éducatif de l’école sur son territoire, le Conseil adopte la charte communale d’accompagnement éducatif qui forma-lise les actions à entreprendre et celles déjà engagées par la Ville en collabora-tion avec les associations afin d’encou-rager la réussite éducative, promouvoir l’éducation partagée et la complémenta-rité des temps éducatifs.Résultat du vote : unanimité

Interventions artistiques, culturelles et sportives dans les écolesLe Conseil approuve les termes de la convention d’objectifs entre la commune et l’Inspection départementale de l’Édu-cation nationale formalisant les actions de partenariat dans les domaines artis-tiques, culturels et sportifs au sein des écoles élémentaires et maternelles au titre de l’année scolaire 2011-2012.Résultat du vote : unanimité

Au Conseil

Expression libreChilly-Magazine ouvre ses colonnes aux groupes politiques de la ville. Les textes publiés sont sous la seule responsabilité des signataires.

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Primaires 2011 - En marche pour l’alternance !

Opposition municipale : « Chilly en mouvement »

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