CENTRE D’ART CONTEMPORAIN DE lA MATMUT

DOssIER DE PREssE

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Sommaire

Matmut, un destin de mécène ............................................................................................... 3

Le Centre d’Art Contemporain de la Matmut ......................................................................... 4

Quelques chiffres… ............................................................................................................... 5

Les expositions ...................................................................................................................... 6

La médiation .......................................................................................................................... 9

Le parc et les sculptures ...................................................................................................... 11

Les jardins à thèmes ............................................................................................................ 13

Informations pratiques ......................................................................................................... 14

Tous les crédits photographiques sont © Arnaud Bertereau, Agence Mona sauf mentions contraires.

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Matmut, un destin de mécène

La Matmut, depuis plusieurs années, accompagne et cherche à promouvoir des artistes et des structures dans leur démarche de création et de diffusion. La Matmut s'engage aux côtés de jeunes talents et sensibilise à la création contemporaine un public toujours plus large. L'ouverture sur la culture est un des points forts de l'action de la Matmut : musique classique ou jazz, théâtre, peinture, sculpture... L'entreprise s'ouvre sur les arts au profit des salariés, des délégués et des sociétaires... Les partenariats culturels Mécène du Centre Pompidou à Paris, présente aux côtés du Festival Normandie Impressionniste en 2010 et 2013, la Matmut accompagne aussi le 106, le musée des Beaux-Arts et l’Opéra de Rouen. En France, dans chaque groupement d’agences, des actions culturelles sont soutenues et des places proposées aux sociétaires et aux salariés pour assister à des festivals, des expositions, des concerts... Parmi ces partenariats culturels, citons la Rodia à Besançon, le festival de Jazz à Montauban, le Théâtre de Privas, le Concours international de musique de chambre à Lyon, le Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes de Charleville-Mézières, le festival de photographie ImageSingulières à Sète. En 2013 la Matmut a lancé le Prix du premier roman qui a vocation à récompenser un nouveau talent de la littérature n’ayant jamais publié de roman ; le lauréat de cette première édition a été présenté à l’automne 2014 par un jury présidé par Philippe Labro. L'idée mutualiste, c'est la solidarité et la conviction que nous pouvons contribuer à construire ensemble un monde et un avenir meilleurs.

Daniel Havis, Président-directeur général de la Matmut

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Le Centre d’Art Contemporain de la Matmut

L’édifice du XVIIe

siècle est bâti sur l’ancien fief de Varengeville appartenant à l’abbaye de Jumièges et devient en 1887 la propriété de Gaston Le Breton (1945-1920), directeur des musées départementaux (musée des Antiquités, musée de la Céramique et musée des Beaux-Arts de Rouen). Après plusieurs périodes de transformation qui se succèdent de 1891 à 1898, des peintres, sculpteurs, musiciens et compositeurs s’y retrouvent. Aujourd’hui, la chapelle, le petit pavillon de style Louis XIII et le fronton (où nous pouvons lire «Omnia pro arte», «Tout pour l’art») demeurent les témoignages de cette époque.

Le château est acquis en 1969 par la Matmut et laissé pendant quelques années en l’état. Il accueille, de 1984 à 2007, les équipes de gestion puis l’accueil téléphonique du groupe.

En 2009, un vaste projet de réhabilitation est mené en vue de créer un Centre d’Art Contemporain et une Université d’Entreprise. Le chantier dure jusqu’à la fin de l’année 2011 et donne naissance en décembre à un nouveau lieu dédié aux expositions temporaires d'artistes émergents et confirmés, inauguré par l’exposition Multiprise de Philippe Garel.

La galerie de 400m² accueille les expositions temporaires, les ateliers d’enfants et les visites libres ou guidées. Dans le parc de 6 hectares, au rythme des saisons, se dessine une rencontre entre art et paysage (arboretum, jardin japonais, roseraie).

Libre d'accès et ouvert à tous, petits et grands, amateurs ou connaisseurs... Le lieu est également dédié à la formation, puisqu’il accueille aussi depuis 2012 l’Université d’Entreprise du Groupe Matmut, qui se veut à la fois un lieu d’échanges et d’ouverture sur l’extérieur.

A DÉCOUVRIR : Le Panthéon de Philippe Garel dans la cave voutée du Centre d’Art Contemporain réunissant 16 bustes d’artistes célèbres.

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Quelques chiffres… 500 m2

de galerie d’expositions accueillent sur deux étages les expositions temporaires et permanentes… Le parc de 6 hectares est consacré à la mise en valeur de sculptures et de végétaux…

Près de 58 000 visiteurs avaient déjà été accueillis au Centre d’Art Contemporain de la Matmut au 5 octobre 2014… Certains samedis ou dimanches, le nombre de 1 200 visiteurs a été atteint…

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Les expositions

Actuellement

Naggar/Weil, minéral 11 octobre 2014 – 4 janvier 2015 Du 11 octobre 2014 au 4 janvier 2015, le Centre d’Art Contemporain de la Matmut présente l’exposition Naggar/Weil, minéral qui s’articule autour des toiles et collages de Patrick S. Naggar et des gravures et sculptures monumentales de François Weil présentées dans le parc et dans le Centre d’Art Contemporain. Patrick S. Naggar, né en 1954, vit et travaille à Paris. Il nous fait pénétrer dans des paysages intérieurs. La matière de ses peintures est épaisse, granulée, grattée, stratifiée. Les instruments glissent sur la toile en laissant des traces-signes. Cette aventure du geste utilise un minimum de moyens colorés. Comme une ascèse le fait plastique pur est recherché au travers d'une presque monochromie. Éclat minéral, soie du silence, dualité de la lumière et des ténèbres, un seul trait peut tout dire de la force tranquille. Ces paysages noyés de lumière de brume où s'exprime souvent la dualité de la lumière et des ténèbres sont comme des déserts : passage obligé pour une méditation. François Weil, né en 1964, vit et travaille entre Onzain et Issy-les-Moulineaux. Ardoise, basalte, granite, marbre… ces matériaux pesants, statiques, inertes deviennent au contraire des médiums capables de générer le mouvement, l’élan, la légèreté. Le minéral est alors résolument dynamique puisqu’il peut se balancer, osciller, tanguer, fluctuer. Le travail de François Weil allie la force et l’élégance. La beauté de ses sculptures tient autant à leur monumentalité, à la légèreté de leurs oscillations qu’au défi lancé à la pesanteur. À travers la gravure, l’artiste change d’échelle et retranscrit la densité et le grain de la pierre, son poids et sa présence massive. Autour de l’exposition Visites commentées / Dimanches 26 octobre, 16 et 30 novembre, 14 et 28 décembre 2014 à 15h, entrée libre Ateliers pour enfants / Samedis 25 octobre, 15 et 29 novembre, 13 et 27 décembre 2014 à 14h, gratuits, inscriptions au 02 35 05 61 71 Catalogues en vente au bénéfice de la Fondation Paul Bennetot, 12 € l'unité © A.Ricci © M.Constantini © ADAGP, Paris 2014

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Prochainement

Gilles Marrey, Le grand Salon Noir 10 janvier – 29 mars 2015

Le tableau qui donne son titre à cette exposition est un polyptyque de 2 x 7 m certains jours et de 1,70 x 5,40 m d’autres. S’y ajoutent quelques satellites qui apparaissent ou disparaissent au gré de la configuration des lieux et de facteurs indéterminés liés au bon vouloir ou aux incertitudes de son auteur. L’exposition présentée au Centre d’Art Contemporain de la Matmut donnera de nouvelles dimensions à l’œuvre : en hauteur, avec les pampilles d’un lustre miroitant dans l’ombre, et en largeur avec l’ouverture d’une nouvelle pièce attenant à ce Grand Salon Noir, tenant maintenant de l’appartement que du simple salon. Un tableau donc soumis à l’aléatoire et à l’arbitraire et dont la forme, au moment où j’écris ces lignes, ne semble pas encore aboutie. Dans le Salon Noir, le jeu entre les personnages, leurs corrélations ou l’indifférence feinte qu’ils se portent, semble soudain bien loin de la stratégie du damier qui occupe le centre de la toile. La lente construction de cette scène, la mise en place des corps, la vibration des regards et l’irrigation secrète des liens renvoient chacun à son énigme et à sa dépendance indicible aux autres. De ce « Fleuve Noir » découlent les autres toiles de l’exposition : les « petits salons », où ne siègent plus qu’un ou deux personnages, preuve que l’intensité de leur présence ne tient pas à leur nombre, et les «lotissements», poésie des lumières urbaines sur de banals pavillons varois, où le noir s’infiltre aussi pour se déverser enfin dans les eaux sombres d’une « Méditerranée », ressac nocturne d’une plage au sable tiède… Cette même plage réapparait dans les monotypes qui terminent cette exposition, série qui s’attache à distinguer les éclats de lumière dans des paysages de nuit, sur les aiguilles humides des oursins et dans les ombres douces des fenêtres ouvertes sur la nuit. Une technique d’estampe parfaite pour manipuler l’encre jusqu'à ce que les images naissent de l’obscurité. Cette exposition est en corrélation avec le Musée des Beaux-Arts de Rouen où un dessin d’une taille semblable, Médusa, sera exposé dans le cadre de la troisième édition du Temps des collections, du 27 novembre 2014 au 18 mai 2015.

Amérigo Rogas

Autour de l'exposition Visites commentées / Dimanches 25 janvier, 15 février, 1er et 22 mars 2015 à 15h, entrée libre Ateliers pour enfants / Samedis 24 janvier, 14 et 28 février, 21 mars 2015 à 14h, gratuits, inscriptions au 02 35 05 61 71 Catalogue en vente au bénéfice de la Fondation Paul Bennetot, 20 € l'unité

© Gilles Marrey

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Depuis l’ouverture du Centre d’Art Contemporain de la Matmut Philippe Garel, Multiprise, 2 décembre 2011 – 25 mars 2012 Jean-Pierre Le Bozec, Des Elles et des Iles, 31 mars – 3 juin 2012 Vera Molnar, une rétrospective 1942/2012, 15 juin – 30 septembre 2012 Patboun, 19 septembre – 10 novembre 2012 Daniel Authouart, rétrospective 2002/2012, 6 octobre 2012 – 6 janvier 2013 50 ans / 50 œuvres, un projet pour 4 galeries, 12 janvier – 24 mars 2013 Claude Viallat, 30 mars – 23 juin 2013 Jérôme Toq’r, Metamorphosis, 27 avril – 29 septembre 2013 Titus-Carmel, écarts I tracés, 29 juin – 29 septembre 2013 Michel Lecomte, de A à Z, 5 – 27 octobre 2013 Christian Renonciat, Au fil du bois, 2 novembre 2013 – 19 janvier 2014 Philippe Guesdon, Temps tressés, 25 janvier – 13 avril 2014 Sorg, XXIe Pierre Antoniucci, entracte, 12 juillet – 5 octobre 2014

siècle, la nature même de la peinture, 19 avril – 6 juillet 2014

EXPOSITIONS EN 2015 Gilles Marrey, Le grand Salon Noir, 10 janvier – 29 mars 2015 Christian Bonnefoi, 4 avril – 28 juin 2015 Odon, 4 juillet – 27 septembre 2015 Nathalie Leroy-Fiévée & Vladimir Skoda, 3 octobre 2015 – 3 janvier 2016

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La médiation

Individuels Visites Le Centre d’Art Contemporain de la Matmut propose un programme culturel et éducatif qui permet à tous les publics de rencontrer et de comprendre les formes et les enjeux de l’art contemporain. Une école de l’image qui accompagne chacun dans la découverte des projets des artistes à travers un programme de visites et d’ateliers conçus sur mesure ou simplement en poussant la porte. Deux dimanches par mois, à 15h et durant une heure, une conférencière du Centre d’Art Contemporain de la Matmut accompagne les visiteurs dans l’exposition temporaire en cours. Ateliers Destinés aux enfants, dès 6 ans, ces ateliers offrent de découvrir, en s’appuyant sur les expositions temporaires, les prémices d’une pratique artistique. A l’occasion d’une pré-visite accompagnée d’une conférencière, l’observation et l’analyse de certaines œuvres nourriront les démarches créatives. Un samedi par mois, à 14h et durant une heure et demi, une conférencière du Centre d’Art Contemporain de la Matmut accompagne les enfants dans l’exposition temporaire en cours puis anime un atelier de pratique artistique. Groupes

Scolaires Le Centre d’Art Contemporain de la Matmut accompagne les enfants, les adolescents et les enseignants dans leurs démarches de découverte, de sensibilisation, de préparation et de formation à l'art contemporain. Sa mission est de faire connaître et apprécier les richesses des expositions temporaires par le biais de visites et d'animations variées. Ces propositions s'adressent au jeune public en groupe, de l’école élémentaire à l'enseignement supérieur, et s'adaptent à toute demande spécifique. Adultes Le Centre d’Art Contemporain de la Matmut propose de découvrir les expositions temporaires avec une conférencière. Afin de préserver de bonnes conditions de visites pour tous, toute visite de groupe (accompagnée ou non par une conférencière) doit faire l'objet d'une réservation préalable au moins trois semaines à l’avance par email à contact@matmutpourlesarts.fr. La richesse des expositions temporaires et leur diversité permettent une grande variété de thèmes de visites accompagnées ou non par les conférencières.

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Ressources pédagogiques

Au regard de sa double mission éducative et culturelle, le Centre d’Art Contemporain de la Matmut se caractérise par sa relation avec le monde de l’éducation (IUFM, rectorats, écoles, collèges, lycées) et par ses relations avec un public divers, composé de jeunes adultes et d’adultes, du visiteur curieux à l’averti passionné. Il met en action des méthodes pour découvrir et comprendre les domaines particuliers de l’art contemporain. Pour ce faire, il crée des dispositifs de médiation, des modes d’accès aux projets des artistes, dans le souci de construire une relation qualitative et durable avec les publics en favorisant la participation du public. Le Centre d’Art Contemporain de la Matmut est une plateforme active de partage et de diffusion. Il reçoit les enseignants des 1er et 2nd

degrés lors d’animations pédagogiques. Ces rencontres sont l’occasion de faire connaître le Centre d’Art Contemporain de la Matmut et ses missions, son approche de l’art contemporain, et de présenter les formes variées de médiation qu’il a mises en œuvre auprès de tous les publics.

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Le parc et les sculptures

Au siècle dernier, le parc du château était composé principalement de tilleuls à grandes feuilles, de hêtres, d’érables sycomore, de frênes et de marronniers. Des charmes complétaient le patrimoine végétal. Un hêtre remarquable garde la chapelle et de grands tilleuls structurent l’espace. Un travail de gestion du patrimoine végétal a conduit à élaguer, soigner, conserver les sujets intéressants. Les arbres dangereux, malades ou sénescents ont dû être abattus. La Matmut a voulu les remplacer en menant une campagne de « re-plantation ». Le choix s’est porté vers les végétaux plus rares, bien acclimatés au climat normand, ayant un attrait esthétique particulier comme une belle écorce, un port majestueux, une coloration d’automne flamboyante, une floraison particulière ou un feuillage distinctif. Ainsi près de 70 arbres et grands arbustes ont été plantés pour le plaisir de nos yeux, pour transmettre aux générations futures un patrimoine végétal digne. Des sculptures acquises par la Matmut rythment la promenade dans le parc. Évolution de l’artiste britannique représentant de l’abstraction géométrique, Norman Dilworth (1931), est la première sculpture acquise pour le parc du Centre d’Art Contemporain. Réalisée en 2010, en acier corten, elle mesure 3,20 m de hauteur et 1,80 m de large. En regardant cette œuvre, on voit émerger des images qu’on associe aux formes naturelles de croissance. Les principes systématiques d’un côté, et les suggestions dynamiques de l’autre ne sont en aucune façon contradictoires mais complémentaires.

2M est une œuvre unique de Véra Molnar (1924), artiste considérée comme un précurseur de l'art numérique et de l'art algorithmique, œuvre pensée en atelier durant une longue maturation, dans des dimensions expressément adaptées au lieu. Ce cube de 1,60 m et de 22 tonnes est le fruit d’une collaboration avec les professeurs et les élèves du lycée professionnel Martin Nadaud de Saint-Pierre-des-Corps. Après un demi-siècle de transformations diverses, les M, lettres préférées de Véra (M comme Malévitch, M comme Mondrian, M comme Morellet ...), qui ont connu une existence démultipliée dans plusieurs centaines de dessins et de tableaux, franchissent le pas des trois dimensions et viennent s'incarner dans une sculpture, forme très rare chez l'artiste.

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Le Grand masque de gorille de Quentin Garel (1975) est une sculpture en bronze. Il pèse 1 tonne, mesure 2,20 m et utilise le parc comme socle donnant ainsi le sentiment qu’il Traverse la surface de la terre, tel le vestige d’un passé émergent. Le travail de sculpture de Quentin Garel se caractérise par la création d’un bestiaire, parfois très réaliste ou parfois ramené à un état de squelette.

Sur la colline de Nicolas Alquin (1958) est une sculpture en bronze mesurant 1,40 m de hauteur par 2,20 m de long et 1,30 m de large. Cette œuvre est d’une incroyable force empreinte de classicisme et de modernité qui interroge l’être.

659 de François Weil (1964) est une sculpture en marbre de Carrare et acier. François Weil organise ou assemble les blocs et les éclats, grâce à des armatures ou des systèmes métalliques animés. Elle pèse plus de 3 tonnes, mesure 2,63 m de haut par 90 cm de large et est posée au centre d’un des bassins miroir face au Centre d’Art Contemporain de la Matmut. Son travail est à la fois traditionnel (archéologie imaginaire, exploitation des richesses minérales, emploi du socle) et contemporain (récupérations, procédés mécaniques, défi des lois de la physique). La sculpture exposée démontre que le marbre peut lui aussi, malgré son poids et sa densité, s’animer d’un subtil mouvement dans l’espace.

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Les jardins à thèmes

Le jardin japonais La grande porte « Tori » traditionnellement rouge, permet d’accéder au jardin japonais. Elle représente le passage entre le monde profane et sacré. Ce jardin japonais se divise en trois parties répondant à des styles particuliers : le jardin japonais classique, le jardin du thé et le jardin zen. Le jardin des 5 chambres

Le jardin des 5 chambres borde la grande allée qui mène à la roseraie, allée ponctuée d'une collection de magnolias tous différents qui annoncent le début du printemps par l'explosion de leur floraison. Douze arceaux embellis de rosiers grimpants révèlent le cycle de l'année. D'autres interprétations liées à ce nombre permettent de multiples approches. Ce jardin décliné en 5 chambres peut s'appeler jardin de l'évolution. La roseraie

La roseraie offre une déambulation aux senteurs, odeurs, essences, couleurs et variétés mélangées.

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Informations pratiques

Centre d’Art Contemporain de la Matmut 425 rue du Château 76480 Saint-Pierre-de-Varengeville Tél. : 02 35 05 61 73 Email : contact@matmutpourlesarts.fr Web : www.matmutpourlesarts.fr Horaires d’ouverture Du mercredi au dimanche de 13h à 19h Fermé les jours fériés Entrée libre et gratuite Parking à l’entrée du parc Accueil des personnes à mobilité réduite Réservations Afin de préserver de bonnes conditions de visites pour tous, toute visite de groupe (accompagnée ou non par une conférencière) doit faire l'objet d'une réservation préalable au moins trois semaines à l'avance par email à contact@matmutpourlesarts.fr. Accès En bus, ligne 26 (Départ Rouen – Mont-Riboudet, Arrêt Saint-Pierre-de-Varengeville – Salle des fêtes) Par l’A 150, direction Dieppe / Le Havre. Sortie n°2 : La Vaupalière / Saint Jean du Cardonnay / Duclair. Suivre la direction de Duclair. A Saint-Pierre-de-Varengeville, prendre à droite la rue de l’Église puis à droite la rue du Château. A propos de la Matmut Avec près de 3 millions de sociétaires et près de 6,6 millions de contrats d’assurance gérés (au 31 décembre 2013), le Groupe Matmut est aujourd’hui un acteur majeur sur le marché français de l’assurance. Il offre à tous — particuliers, professionnels, entreprises, associations — une gamme complète de produits d’assurance des personnes et des biens (auto, moto, bateau, habitation, responsabilités, protection de la famille, santé, protection juridique et assistance) et de services financiers et d’épargne (crédits auto, projet, assurance emprunteur, livret d’épargne, assurance vie…). Le Groupe emploie plus de 5 700 personnes. Contacts presse Guillaume Buiron Marine Lutz Attaché de presse – Matmut Chargée de mission, Centre d’Art Tél. : 02.35.63.70.63 Contemporain – Matmut buiron.guillaume@matmut.fr Tél. : 02.35.05.61.84 lutz.marine@matmut.fr