portfolio mpp
Post on 21-Feb-2016
256 Views
Preview:
DESCRIPTION
TRANSCRIPT
architecte de hmonp _ mp.planche@gmail.com
Architecture
Paysage
Urbanisme
I + II
Marie-PierrePlanche
Portfolio2007-2011
Curiculum vitae
2
Marie-Pierre PlancheArchitecte diplomée d’Etat habilitée à la maîtrise d’oeuvre en son nom propre(ade hmonp)
Le caire, 24200 Sarlat-la-Canédamp.planche@gmail.com+33 (0)640595698
1985 . 06 Née à Sarlat, France
FORMATION ACADEMIQUE
2011 . 06 2010 . 10
2009 . 06 2008 . 10
2008 . 06 2007 . 10
2007 . 06 2006 . 10
2006 . 06 2003 . 10
2003 . 06
Formation d’architecte-urbaniste DsaEcole de la ville et des territoires à Marne-la-valléeProjet urbain : Penser le cluster Descartes en 2050 Projet urbain : Densification dans la ville nouvelle de Sénart,étude commanditée par le Conseil Général de Seine-et-Marne
Formation d’habilitation à la maîtrise d’œuvre en son nom propre [hmonp]Ecole nationale supérieure d’architecture et de paysage de Bordeaux[ensapBx]Formation professionnelle à l’agence W-architectures à Toulouse
Master 2 d’architecture - architecte diplômée d’EtatEcole nationale supérieure d’architecture et de paysage de Bordeaux[ensapBx]Projet de fin d’étude : Requalification des quais Bacalan-Bastide de Bordeaux, en salles des musiques actuelles, réflexions sur l’aménagement de l’espace public, la gestion des flux (véhicules, tramway, piétons...)Projet de master 2 : De gare en Garonne, création d’un pôle mutltimodal, projet exposé lors de la Biennale Agora 2008 à BordeauxMémoire: Que provoque l’instrumentalisation du patrimoine sur la ville et sa culture? A l’appui : la façade des quais de Bordeaux
Master 1 d’architecture en échange ErasmusEscuela tecnica superior de arquitectura de granada [etsa], EspagneProjet de master 1 : Restructuration du quartier industriel de La Ermita, à Marbella, réflexions sur le tourisme et la privatisation de la Costa del SolWorkshop : La protection des rivières, montagnes, plages de Marbella
Licence d’architectureEcole nationale supérieure d’architecture et de paysage de Bordeaux [ensapBx]Projet de licence : Transformation et requalification de la cité du Grand Parc à Bordeaux
Baccalauréat scientifique, spécialité mathématiquesLycée St Joseph de Sarlat-la-Canéda
EXPERIENCE PROFESSIONNELLE
2010 . 06 2009 . 07
2009 . 06 2008 . 10
2008 . 10 2008 . 09
2008 . 04 2008 . 03
2007 . 09 2007 . 08
2006 . 09 2006 . 07
2005 . 08 2005 . 07
COMPETENCES EN LOGICIELS INFORMATIQUES
LANGUES & CENTRES D’INTERETS
Architecte collaboratrice Agence Coco architecture [Staubmann & Ramière] - Cénac (24)Concours d’un EPHAD à Salignac les églises (24) Concours de l’Ecole Internationale des sciences des technologies et de l’information [EISTI] à Pau (64) (responsable du projet)Esquisse-PC pour la construction des bureaux Coco architecture et d’un cabinet de kinésitherapie à Cénac (24) (responsable du projet)APD-PC centre de psychiatrie à Libourne (33)Concours d’un groupe scolaire à St-Pierre, La Réunion
Architecte collaboratrice (formation hmonp)Agen ce W-architectures [Raphael Voinchet & associés] - Toulouse (31)Concours collège de 700 élèves à Labarthe-sur-Lèze (31) Etude APS-APD du groupe scolaire Jean Moulin à Montauban (31)Concours du centre de musique à Tyrosse (64)Concours du centre d’innovation et de recherche circacien à Auch (31)Etude de définition du port de SOCOA à St-Jean de luz - Projet lauréat
Architecte collaboratriceAgence Coco architecture [Staubmann & Ramière] - Cénac (24)Concours de la faculté de langues, lettres et sciences humaines à Nouméa (Nouvelle-Calédonie) - Projet lauréat
StageAgence Sarthoux & Michard - Bordeaux (33)Maquette 3D et relevé de la boutique Michard & Ardiller à Bordeaux
Stage de masterAtelier Jean Nouvel - Paris (75)Esquisse (maquette, CAD) de l’hôtel de luxe Santa Giulia à Milan
StageAgence Coco architecture [Staubmann & Ramière] - Cénac (24)Esquisse d’un loft à Périgueux (maquette 3D, CAD)
Stage de première pratique de la licenceConseil d’architecture d’urbanisme d’environnement [CAUE] de la Dordogne (24)Analyse territoriale du Parc Naturel Régional du Périgord Limousin
AutoCad 2008, 2009 (2D) (confirmée), SketchUp (confirmée), V-Ray, Adobe Photoshop (confirmée), Adobe InDesign (confirmée), Adobe Illustrator (confirmée), Adobe Première Pro (confirmée), MS Word, MS Excel, MS Power Point, Ms Outlook, Vector Works (débutante).
Anglais (bon niveau : parlé et écrit), espagnol (courant : parlé et écrit)Voyages (Royaume-Uni, Allemagne, Belgique, Espagne, Italie, Portugal, Maroc...)Intérêt dans l’art, la musique.
3 _PORTFOLIO 2007-20011
Extension de l’université de Nouvelle-Calédonie
CoCo architecture Octobre 2008
Ecole Internationale des sciences et de l’information
CoCo architecture Septembre 2009
Bureaux CoCo architecture et cabinet de kinésithérapie
CoCo architecture Novembre 2009
Le port de Socoa
W-architectures Avril 2009
Centre de musique
W-architectures Février 2009
Centre d’innovation et de recherche circassien
W-architectures Juin 2009
Groupe scolaire Jean Moulin
W-architectures Janvier 2009
Travaux Iprofessionnels
6
8
10
14
16
12
18
4
Travaux IIétudiants
Sénart en Brie
Dsa - Ecole des territoires de la ville de Marne-la-ValléeFévrier 2011
La sixième séquence des quais
PFE - Master 2 - Ecole nationale supérieure d’architecture et de paysage de BordeauxJuin 2008
De gare en Garonne, étirer le pôle multimodal
Master 2 - Ecole nationale supérieure d’architecture et de paysage de BordeauxFévrier 2008
Le quartier la Ermita
Master 1 - Escuela tecnica superior de Granada
Juin 2007
Une ville dans l’albufera
Master 1 - Escuela tecnica superior de Granada Février 2007
20
24
28
32
34
5 _PORTFOLIO 2007-20011
6
IExtension del’université de
Nouvelle-Calédonie
NOUMÉA - NOUVELLE CALEDONIE
CoCo architecture
Mission: concours, construction neuve, projet lauréatMaîtrise d’ouvrage: Université de Nouvelle CalédonieMaîtrise d’oeuvre: Architecture Com-posites (Jean De Giacinto) mandataire, Coco Architecture, P. JarcetProgramme : locaux d’enseignement, amphithéâtre de 250plSHON : 4 500 m²
octobre 2008
L’université de Nouméa est située entre Nouville et Magenta. Ces deux sites trop éloignés l’un de l’autre posent des problèmes d’organisation auxquels l’université met fin aujourd’hui, en quittant les locaux vétustes de Magenta pour développer le site de Nouville en un vaste campus.A Nouville, l’université profite de l’impulsion que lui apporte l’hébergement des Jeux du Pacifique en 2011 pour s’étendre et se réorganiser. La construction du département «Langues, Lettres, et Sciences-humaines, formation continue et vie sociale», est l’occasion de créer des locaux fonctionnels, surs, accueillants, et de participer à la structuration du nouveau campus.
Cet édifice est un des premiers visibles depuis l’avenue James Cook, situé le long de la voie à flanc de coteau, face à la mer. Il est un élément signal pour le campus. Le parti architectural choisi souligne la linéarité du terrain naturel en terrasse et s’insère entre les deux programmes existants l’IUFM et le département DEG et ST. Le terrain a souffert de nombreux terrassements autres que ceux existants. Ainsi, une part importante du terrain constructible est rendue au paysage. Le projet tire parti au maximum de la topographie du site en s’y insérant de manière cohérante face aux éléments naturels: la mer, la baie, les collines, les terrasses. Le département LLSH s’organise comme des lames bâties sur pilotis dans lesquels s’articulent les différents espaces de travail et d’enseignement. L’organisation spatiale en séquences, séparée par des interstices ouverts sur l’extérieur (coursives, galeries) donneront de la souplesse et transparence au bâtiment.
7 _PORTFOLIO 2007-20011
CONCOURS D’EXTENSION DES LOCAUX D’ENSEIGNEMENT LLSH ET FORMATION CONTINUE / CARNET GRAPHIQUE / OCTOBRE 2008
COUPE TRANSVERSALE DD’ SUR LE PARVIS, L’AMPHI 250 ET LA LOGISTIQUE - 1/200°
COUPE TRANSVERSALE BB’ SUR LES SALLE D’ENSEIGNEMENT LLSH - 1/200°
21
CONCOURS D’EXTENSION DES LOCAUX D’ENSEIGNEMENT LLSH ET FORMATION CONTINUE / CARNET GRAPHIQUE / OCTOBRE 2008
COUPE TRANSVERSALE DD’ SUR LE PARVIS, L’AMPHI 250 ET LA LOGISTIQUE - 1/200°
COUPE TRANSVERSALE BB’ SUR LES SALLE D’ENSEIGNEMENT LLSH - 1/200°
21
DIR
ECTI
ON
/AD
MIN
ISTR
ATIO
N
LOG
EMEN
T
VIE
ETU
DIA
NTE
ACCU
EIL
RECH
ERCH
E ET
DEV
ELO
PPEM
ENT
PRO
FESS
EURS
AD
MIN
ISTR
ATIO
N T
ECH
NIQ
UE
ENSE
IGN
EMEN
T_sa
lle in
fo/la
bo a
ngla
is
ENSE
IGN
EMEN
T_sa
lle d
e co
urs
clas
siqu
e
AM
PHIT
HEA
TRE
DIR
ECTI
ON
/AD
MIN
ISTR
ATIO
N
LOG
EMEN
T
VIE
ETU
DIA
NTE
ACCU
EIL
RECH
ERCH
E ET
DEV
ELO
PPEM
ENT
PRO
FESS
EURS
AD
MIN
ISTR
ATIO
N T
ECH
NIQ
UE
ENSE
IGN
EMEN
T_sa
lle in
fo/la
bo a
ngla
is
ENSE
IGN
EMEN
T_sa
lle d
e co
urs
clas
siqu
e
AM
PHIT
HEA
TRE
DIR
ECTI
ON
/AD
MIN
ISTR
ATIO
N
LOG
EMEN
T
VIE
ETU
DIA
NTE
ACCU
EIL
RECH
ERCH
E ET
DEV
ELO
PPEM
ENT
PRO
FESS
EURS
AD
MIN
ISTR
ATIO
N T
ECH
NIQ
UE
ENSE
IGN
EMEN
T_sa
lle in
fo/la
bo a
ngla
is
ENSE
IGN
EMEN
T_sa
lle d
e co
urs
clas
siqu
e
AM
PHIT
HEA
TRE
DIRECTION/ADMINISTRATION
LOGEMENT
VIE ETUDIANTE
ACCUEIL
RECHERCHE ET DEVELOPPEMENT
PROFESSEURS
ADMINISTRATION TECHNIQUE
ENSEIGNEMENT_salle info/labo anglais
ENSEIGNEMENT_salle de cours classique
AMPHITHEATRE
8
IEcole internationale
des sciences des technologies et de
l’information
PAU - FRANCE
CoCo architecture
Mission : concours, construction neuveMaitrise d’ouvrage : Ecole interna-tionale des sciences du traitement de l’informationMaitrise d’oeuvre : Architecture et composites (Jean De Giacinto) manda-taire, Coco ArchitectureProgramme : locaux d’enseignement, amphithéâtre de 250plSHON : 3500m²
Septembre 2009
Le nouveau siège de l’EISTI est une figure de proue greffée sur la pénétrante allant de l’autoroute au centre-ville. Ce projet par sa position balise et sa fonction, réunit les conditions idéales pour être un pôle de communication et d’information à l’échelle de la ville. La transmission d’un message informatif se gerait par la peau de l’édifice avec un dipositif de «façade media». A un site urbain aux contraintes fortes, nous répondons par un nouveau type de spatialité, qui forment les éléments structurants de notre projet : le socle - le monolythe - la façade media. Ce socle répond à l’environnement très ouvert et destructuré qu’offre le rond point. D’une géométrie organique, il devient l’aménagement paysagé du projet. La sous-face abrite les principales fonctions d’accueil, le hall, la cafeteria, l’amphithéatre. La surface est un espace additionnel créant une interface d’échange de vie privée/publique. Comme suspendue au dessus du socle le monolithe reçoit les espaces de travail et l’enseignement sur deux niveaux rectangulaires. Les patios apportent de la lumière et jouent un rôle thermique dans la ventilation naturelle du bâtiment. A l’extérieur du monolithe, les façades se parent d’une peau photosensible, qui joue avec les teintes du ciel. Le rôle de l’EISTI est de former au traitement des informations informatiques, et à la maîtrise des nouvelles technologies, la façade pixelisée constitue un système d’abstraction et de superposition des réseaux virtuels et physiques.
9 _PORTFOLIO 2007-20011
10
IBureaux CoCo
architectureet cabinet de
kinésithérapie
CENAC - FRANCE
CoCo architecture
Mission : concours, construction neuvePC - APS- APDMaitrise d’ouvrage : CoCo architec-ture et cabinet de kinésithérapieMaitrise d’oeuvre : Coco ArchitectureProgramme : bureaux d’architectes et cabinet de kinésithérapieSHON : 280m²
Novembre 2009 (date du PC)
Il s’agit d’une construction neuve pour la SCI la feuillade, située le long de la voie départementale et à 6m de la voie.Ce bâtiment abrite un cabinet de kinésithérapie et un cabinet d’architectes, situés respectivement au rez-de-chaussée et au 1er étage. La bâtiment présente 2 niveaux habitables et un 3ème destiné à une terrasse accessible végétale, couverte de 2 pergolas en bois.La volumétrie de l’édifice respecte l’harmonie urbaine du bourg, au niveau de l’implantation et de sa hauteur.La construction est un système de poteaux poutres béton sur pré-dalles, entouré d»’une ossature de bois avec laine de verre, lui conférant une très bonne isolation thermlque. Le système de chauffage est une pompe à chaleur située en sous-sol.La volumétrie est recouverte d’une peau en bois perçèe d’ouvertures sur les 3 faces, et celle située au nord se différencie par une façade végétalisée, proche d’une maison voisine.
11 _PORTFOLIO 2007-20011
Vue sur le port de plaisance de SOCOA
Principes de composition du site
12
tnasserétni sèrT
euv ed tnioP
PLAN F - Points de perceptions du sitePLAN C - Eléments paysagers emblématiques
Le Fort et ses digues
Le Port
La Plage
2.3 ANALYSE DU SITE : LES POINTS FORTS
ETUDE DE PROGRAMMATION URBANISTIQUE ET ARCHITECTURALE DU QUARTIER DE SOCOA - CIBOURE [6]
La Corniche
3.1 LE SOCLE DU PROJET
Nous venons de le voir, si le site de SOCOA est complexe, ces qualités re-posent essentiellement sur la présence d’un paysage remarquable et d’ac-tivités liées à l’Océan. Les uns et les autres doivent être préservés tout en permettant une extension significative (port de plaisance) du port et une amélioration des zones qui sont déficientes sur le plan du paysage.
Si l’on pousse l’analyse du site, deux éléments apparaissent primordiaux et sont à prendre en compte pour l’évolution du site.
Premièrement, l’emplacement du port de plaisance. Celui-ci ne peut se développer que dans la partie de la baie limitée par la plage des dériveurs à l’Est, la digue du port actuel et la passe vers le nord. Cette position permet en outre de conférer au site une qualité paysagère qu’il est loin d’avoir actuellement ; cela suppose de construire des quais et des digues ayant les qualités similaires aux ouvrages existants.
Deuxièmement, l’utilisation du relief du site. Outre, le relief périphérique du site qui lui donne ses limites physiques et prégnantes, il faut souligner que dans le sens sud-nord, il est constitué successivement par trois pla-teaux horizontaux, échelonnés, mais actuellement peu lisibles [Plan A]:
- celui qui se développe du pont de l’Untxin jusqu’au chantier naval (al-titude moyenne 7 m) où se situent les blocs, la maison des blocs et le fronton,
- celui sur lequel est installé le parc de stationnement des automobiles et des dériveurs (altitude moyenne 3,5 m),
- celui en fin du plan d’eau (variable suivant les marées).
Ces deux éléments fort et incontournables (extension du port et relief) sont intégrés dans le projet et utilisés le plus judicieusement possible pour donner un sens à toute la zone centrale à aménager et pour con-férer au site une image nouvelle et forte faisant un écho au fort et au port d’une part, mais aussi, à la plage et à la colline du cimetière marin d’autre part.
3 – CONCEPT GENERAL
+ 3,5 NGF
+ 4,5 NGF
+ 7 NGF
Niveau mer
Niveau quai
Niveau chantier naval
Niveau maison des blocs
Niveau colline+ 20 NGF
PLAN A - Altimétrie du site PLAN B- Extension du port / digues
Point de vue crée
ETUDE DE PROGRAMMATION URBANISTIQUE ET ARCHITECTURALE DU QUARTIER DE SOCOA - CIBOURE [8]
tnasserétni sèrT
euv ed tnioP
PLAN F - Points de perceptions du sitePLAN C - Eléments paysagers emblématiques
Le Fort et ses digues
Le Port
La Plage
2.3 ANALYSE DU SITE : LES POINTS FORTS
ETUDE DE PROGRAMMATION URBANISTIQUE ET ARCHITECTURALE DU QUARTIER DE SOCOA - CIBOURE [6]
La Corniche
ILe port de
SOCOA
CIBOURE - ST-JEAN DE LUZ - FRANCE
W-architectures
Mission : étude de programmation urbanistique et architecturaleMaîtrise d’ouvrage : Syndicat Intercommunal pour l’équipement et l’aménagement des communes de St-Jean de Luz - CiboureProgramme : port de plaisance, capitainerie, aménagement de l’espace public, stationnement, clubs nautiques, le chantier naval, réhabilitation du fort en lieu d’expositionSHON : 10 600 m²
Juin 2009
Le projet repose sur trois éléments:- le port de plaisance: il est trés ordonné pour accompagner le port de façon calme. Il est desservi par des quais dégagés de tout traffic automobile, hors celui nécessaire à la bonne marche du port et aux activités navales.- un cheminement piéton continue. Un cheminement relie le pont de l’Untxin (doublé par une passerelle) au fort et aux digues.- le fort mis en valeur au service de l’océan. A l’extrémité du cheminement le fort reste le lieu où l’on rencontre l’Océan et où l’on est amené à rêver. Le donjon et les courtines seront restaurées.
Une attention particulière a été portée:- à la séparation des circulations piétons et automobiles- à la necessité d’aboutir à un port de grande qualité non pollué d’automobiles- à la possibilité de conserver des places de sationnement en liaison directe avec les pôles d’activités du port.
La mise en place d’un niveau de promenade haute est la résultante de plusieurs motivations:- amorce d’un second niveau de référence par la maison des blocs- potentiel foncier sous la dalle de la promenade en rapport aux activités maritimes et associations- élément fédérateur permettant l’occupation foncière dans le temps- contenir le sationnement automobile par rapport au front de mer.
13 _PORTFOLIO 2007-20011
Vue sur la façade des locauxd’administration
Coupe élèvation sur le patio
Elèvation coté voirie
Plan RDC
Plan R+1
14
ICentre
de musique
Plan masse
ST VINCENT DE TYROSSE - FRANCE
W-architectures
Mission : concours, construction neuveMaîtrise d’ouvrage : Communauté de communes Maremne Adoure Côte-Sud (MACS)Programme : auditorium, studios de répétition, salle de cours, administration, locaux techniquesSHON : 2546 m²
Février 2009
Offrir l’image d‘un bâtiment serein, qui s’inscrive résolument dans le paysage et qui sache assumer son statut d’équipement public structurant et symbolique. Le bâtiment en proue - ouvert et dynamique - s’attache à créer un appel comme un logotype à grande échelle.Ce dispositif -continu- qui se retourne sur lui-même permet de générer tour à tour des espaces extérieurs ou plus privés, des «entre-deux» ou au contraire des zones parfaitement définies.
Le principe d’implantation et la composition paysagère retenue permet d’atteindre le triple objectif :- premièrement confronter l’image «d’équipement public» offrant au public deux grandes façades orientés vers le sud et vers l’est.- deuxièmement donner à la composition une direction et un mouvement, en déroulant un «ruban». Ce dispositif d’organisation permet de marquer le parvis est et l’entrée piétonne principale- troisièmement séparer les flux de circulations et privilégier les «liaisons douces», en repoussant le parking et la zone de livraison à l’ouest de la parcelle.Le bâtiment structure à lui tout seul le site sans autre artifice que sa volumétrie en mettant en scène ses propres horizons.Le traitement des volumes intérieurs s’attache à mettre en valeur l’arrangement et la continuité des vides. C’est ainsi que les murs porteurs des circulations réalisées en béton assurent, outre une excellente durabilité pour ces zones fortement sollicitées, l’unité spatiale recherchée. Aucun poteaux ne vient obérer la spatialité des espaces intérieurs.
Vue sur le patio, un espace privatif de détente
15 _PORTFOLIO 2007-20011
Vue sur l’entrée principale du cirque
16
ICentre d’innovation et
de recherche circassien
AUCH - FRANCE
W-architectures
Mission : concours, construction neuveMaîtrise d’ouvrage : Ville d’AuchProgramme : espace d’acceuil, administration, hébergement des artistes, salle de répétition, cirque, stockage ateliers, locaux techniquesSHON : 3689 m²
Avril 2009
Si la symbolique de l’itinérance prend forme dans le chapiteau de toile, la permanence et l’image de stabilité de l’institution du CIRC s’expriment par le bâtiment « en dur ». Le projet a pour vocation de favoriser la transdisciplinarité des arts du cirque mais aussi « l’enracinement » pour offrir un véritable accueil des compagnies en résidences en leur donnant des conditions de travail optimales.
Par son usage et son caractère, ce nouvel équipement s’attache à symboliser un territoire, une histoire du cirque liée intimement au développement culturel de la ville d’Auch.
Le principe d’implantation et la composition urbaine retenus permettent d’atteindre un triple objectif :Premièrement, conforter l’image« d’équipement public », offrant un système d’accueil du public en équerre articulant l’espace public.Deuxièmement, donner à la composition une direction et un mouvement. Ce dispositif d’organisation permet de marquer le parvis sud et l’entrée piétonne principale réservée sans obérer.Troisièmement, séparer les flux de circulation et privilégier les « liaisons douces » en repoussant la zone livraison à l’est de la parcelle ; dissimuler également la zone de services et de déchargement.Le bâtiment structure ainsi cette zone du site à lui tout seul sans autre artifice que sa volumétrie en mettant en scène ses propres horizons.De permettre de s’affranchir de l’état sanitaire des structures attenantes.De tirer parti de l’architecture tramée du bâti existant.
Vue sur le patio du bâtiment existant
17 _PORTFOLIO 2007-20011
18
IGroupe scolaire
Jean Moulin
MONTAUBAN- FRANCE
W-architectures
Mission : APS-APDMaîtrise d’ouvrage : Ville de MontaubanProgramme : groupe scolaire, zone préélementaire, zone élémentaireSHON : 2250 m²
Janvier 2009
L’idée qui fonde la proposition est la suivante : offrir l’image d’un bâtiment serein, qui s’inscrive résolument dans le « paysage industriel » et qui sache assumer son statut d’équipement public structurant et symbolique. Le bâtiment – ouvert et dynamique - s’attache à composer avec la pente et le dénivelé qui caractérisent le terrain.La composition, qui est conçue sur le modèle d’un ruban, se retourne sur elle même et n’offre pas de pignon, ni de hiérarchie entre les façades.
Premièrement, conforter l’image de « d’équipement public », en plaçant le nouveau bâtiment au plus prés de la rue de Fonneuve.Deuxièmement, donner à la composition une direction et un mouvement, en déroulant un « ruban ». Ce dispositif d’organisation permet de marquer le parvis et l’entrée piétonne principale réservée à la maternelle sans obérer et l’accès à la cour des primaires.Troisièmement, séparer les flux de circulation et privilégier les « liaisons douces » en repoussant et le parking automobile au sud en limite parcelle ; dissimuler également au nord la zone de services et de déchargement, utilisée quotidiennement par le centre de restauration.L’architecture du bâtiment veut être la traduction fidèle de l’organisation fonctionnelle tant interne qu’externe. Le bâtiment, constitué par un « ruban » unitaire formant le volume unique et continu, abrite trois zones correspondantes aux trois fonctions du programme (zone des préélémentaires (maternelle), zone des élémentaires (primaires), centre de restauration et espaces adultes mutualisés. Ces entités sont organisées, en plan, autour des deux cours de récréation communes (en position centrale) et installent en coupe un système de terrasses pour aménager des échappées visuelles contrôlées qui profitent de la déclivité du terrain.
Vue sur le parvis d’entrée
19 _PORTFOLIO 2007-20011
L’idée qui fonde notre proposition est la suivante : offrir l’image d’un bâtiment serein, qui s’inscrive résolument dans le « paysage industriel » et qui sache assumer son statut d’équipement public structurant et symbolique. Le bâtiment – ouvert et dynamique - s’attache à composer avec la pente et le dénivelé qui caractérisent le terrain.
UN RUBAN POUR DONNER DU SENS A L’ESPACE
Notre composition, qui est conçue sur le modèle d’un ruban, se retourne sur elle même et n’offre pas de pignon, ni de hiérarchie entre les faça-des. C’est ainsi que le volume se creuse, se déforme et s’infléchit pour créer des appels et des prolongements vers l’intérieur de la parcelle. Ce dispositif continu qui se retourne sur lui-même permet de générer tour à tour des espaces extérieurs ou plus privé, des « entre-deux » ou au contraire des zones parfaitement définies.
UNE INTERVENTION A L’ECHELLE DU QUARTIER
Le principe d’implantation et la composition paysagère retenus permettent d’atteindre un triple objectif :Premièrement, conforter l’image de « d’équipement public », en plaçant le nouveau bâtiment au plus prés de la rue de Fonneuve.Deuxièmement, donner à la composition une direction et un mouvement, en déroulant un « ruban ». Ce dispositif d’organisation permet de marquer le parvis et l’entrée piétonne principale réservée à la maternelle sans obérer et l’accès à la cour des primaires.Troisièmement, séparer les flux de circulation et privilégier les « liaisons douces » en repoussant et le parking automobile au sud en limite parcelle ; dissimuler également au nord la zone de services et de déchargement, utilisée quotidiennement par le centre de restauration.
UN BATIMENT LISIBLE, FONCTIONNEL ET PERENNE
L'architecture de notre bâtiment veut être la traduction fidèle de l'or-ganisation fonctionnelle tant interne qu'externe. Le bâtiment, constitué par un « ruban » unitaire formant le volume unique et continu, abrite trois zones correspondantes aux trois fonctions du programme (zone des préélémentaires (maternelle), zone des élémentaires (primaires), centre de restauration et espaces adultes mutualisés. Ces entités sont organisées, en plan, autour des deux cours de récréation communes (en position centrale) et installent en coupe un système de terrasses pour aménager des échappées visuelles contrôlées qui profitent de la déclivité du terrain. Au sud, l’accès des primaires est exprimé au moyen d’un auvent. Il forme un portique qui permet d’articuler le bâtiment avec le petit édicule du garage à vélos. Cet « entre-deux » extérieur ainsi formé, qui peut être fermé par deux grilles successives (les perspectives représentent ce cas) est en connexion directe avec la salle péri scolaire et la cour des primaires. Cette disposition permet un usage des plus aisés pour les parents d’élèves et le personnel de surveillance.
Maîtrise d'Ouvrage :Ville de Montauban
Maîtrise d'Œuvre :W-Architectures sarlArchitecte mandataire
Type de mission :Concours Mission de base + EXEMission HQE + Paysage
Partenaires :Kaplan PaysagePaysagiste
BETCE IngénierieBureau études Fluides
MSI IngénierieBureau études Structure
IDE environnementConsultant HQE
Yves Le DouarinEconomiste
Bureau de contrôle :N/A
SHON :2250 m²
Coût des travaux:3 700 000 € ht TF
Livraison : Concours Lauréat(Calendrier non fixé)
Prestations HQE: Conception HQEChantier HQE
Enseignement - Bâtiment HQE -
VILLE DE MONTAUBAN GROUPE SCOLAIRE JEAN MOULIN
Mise en valeur des routes départementales pour
renforcer un urbanisme éclaté
RENFORCEMENT D’UNE URBANISATION ECLATÉE POUR UNE PRÉSERVATION DES TERRES AGRICOLES
LA VILLE NOUVELLE DE SÉNART A CONSOMMÉE 30% DE SES ESPACES NATURELS, POLITIQUE D’UNE URBANISATION ETALÉE
1965 1985 2000 2030Evolution de l’urbanisation de la ville nouvelle de Sénart
Stratégie territoriale à l’échelle de l’Ile de France
20
0 mk 02mk 01mk 5mk 1N1/50 000emeTitre
Paris
Melun
Sénart
E vry
pl ateau de Brie
Paris
Melun
Sénart
Evry
IISénart-en-Brie
À l’échelle du territoire de la ville nouvelle, Sénart s’est développée autour des bourgs existants. Les excroissances urbaines ainsi engendrées ont bien souvent atrophié les centres historiques. La croissance est sectorisée entre habitat et zone industrielle et colonisent les terres agricoles.
Afin d’éviter l’étalement urbain et préserver l’économie agricole, notre première action est de conserver l’intégralité des terres agricoles. Répondant presque exclusivement au marché international, le territoire de Sénart doit développer parallèlement sa production de proximité. Cette préservation des terres agricoles va de pair avec l’optimisation de l’infiltration de l’eau dans le sol. La non prolifération des zones urbaines induit une production de la ville sur la ville. Pratiquée de façon opportuniste et raisonnée elle permettra un enrichissement des espaces urbains traités.La simplification du réseau secondaire participera à favoriser un réseau local. Il permettra aussi de développer des mobilités alternatives face au «tout automobile» actuel. Mais des déplacements plus raisonnés passent aussi par le développement des équipements de proximité existants qui participent à l’attractivité locale des bourgs.
Pour finir, le village de Réau sera la démonstration de la démarche globale, d’optimisation du foncier. Il prend place dans le territoire agricole mais également sur le réseau autoroutier avec deux aires de repos. Le réseau de production à l’international existe, il faut en complément s’inscrire dans une production locale. La transition sera articulée par la construction du pôle agricole dédié au circuit court. Dans la limite du village actuel, des logements se développeront dans les espaces urbains disponibles.
SEINE-ET-MARNE
Dsa - Ecole des territoires de la ville de Marne-la-Vallée
Objet : Projet urbain - Comment densifier dans la ville nouvelle de Sénart?
Commande : Conseil départemental de Seine-et-Marne et l’Etablissement Public d’Aménagement de la ville nouvelle de Sénart
Février 2011
La relation de limite aux terres agricoles
21 _PORTFOLIO 2007-20011
22
Les terres agricoles
73%soit 607 ha sur le cadrage
Les terres résultantes des terres agricoles
27% soit 197 ha sur le cadrage
Les terrains disponibles
35%des terres résultantes des terres agricoles, soit 269 ha sur le cadrage
Extension de Réau
15 ha de terrain prévu
par Réau soit 600
logements, avec un
COS 0,4
Axonométrie de propositions pour la densification de Réau et son extension vers son aire d’autoroute.
Propositions de densification, sur les délaissés d’infrastructures et de reconversion d’ancienne fermes agricoles en logements
23 _PORTFOLIO 2007-20011
Projet de ZAC sur la zone des bassins à flots et projet du pont Bacalan-Bastide pour
ceinturer les boulevards
Lieu marquant la fin des quais et l’entrée des bassins à flots
La berge de la Garonne laissée à l’état naturel.
Lieu d’amarage des bateaux de plaisance
24
IILa sixième séquence
des quais
BORDEAUX
Ecole nationale supérieure d’architecture et de paysage de Bordeaux
Master 2 - PFEProgramme : salles des musiques actuelles (SMAC), aménagement urbainSHON : 4700 m²
Juillet 2008
Le projet se situe à la fin de la promenade des quais, entre le futur pont Bacalan-Bastide, qui reliera les boulevards de la ville de Bordeaux, et les bassins à flots.
Les différentes problématiques urbaines, notamment dans le croisement des fluxs (piétons, automobiles...), l’image de l’entrée de ville, le rapport paysager au fleuve..., m’ont motivée à choisir ce site pour mon projet de fin d’étude.Le projet s’insère dans la continuité de la façade des quais, classée au patrimoine mondiale de l’UNESCO, aménagés par le paysagiste Michel Corajou. La promenade se divise en cinq séquences reliées par un même traitement paysager ordonancé.
L’idée du projet est donc créer une sixième séquence en poursuivant la promenade et de s’imprégner des qualités naturelles, sauvages et patrimoniales de ce site abandonné.C’est un projet multiple : projet d’entrée de ville, projet d’infrastructure dans la gestion des flux, projet d’équipement public dans l’établissement d’un programme des musiques actuelles, projet paysager dans son rapport aux berges. Mais c’est un projet qui se veut avant tout généreux, ouvert sur le fleuve comme lieu de contemplation, mixant les fonctions (spectacles, restauration, bureaux, sationnement...)
Le bâtiment s’intègre dans le contexte urbain par ce mouvement dynamique linéaire puisé dans l’aménagement des quais. Il s’ancre à son site naturel pour laisser apparaître l’eau et la végétation de type marécageuse. Il réunit différentes activités en une plaque publique destinée à offrir des animations le long de la promenade des quais.
Décomposition de l’aménagement des quais en 6 séquences
Lus viris bon scioremquem uterusus,
25 _PORTFOLIO 2007-20011
Quai BacalanHangars commerciaux, parking
Quai des ChartronsExposition, marché, skate parc
Quai Louis XVIIIParc
Quai de la DouaneEspace vert jardiné, miroir d’eau
Quai Ste-CroixTerrains de sport
Quai Bacalan-Bastide
?
Principes d’implantation
LINEARITE DES QUAIS POURSUITE D’UNE PROMENADEACCROCHE A L’EXISTANT
Coupe edla salle des mu-siques actuelles au futur pont
Bacaclan
26
Plan RDC
Un solarium sur la caféteria offrant une vue dur la Garonne
27 _PORTFOLIO 2007-20011
Lus viris bon scioremquem uterusus,
Lus viris bon scioremquem uterusus,
28
IIDe gare
en Garonne, étirer le pôle multimodal
BORDEAUX
Ecole nationale supérieure d’architecture et de paysage de Bordeaux
Master 2 - Projet urbain et d’architectureProgramme: logements, bureaux, commerces, équipements sportifs, culturels, crèche. SHON: 16000m²
La démarche du projet est guidée au départ par une analyse des flux à l’échelle du quartier St-Jean Belcier, au sud du centre ville de Bordeaux. Il apparaît des saturations à différentes échelles : routières, ferroviaires, transport en communs (tramway, bus). Un rééquilibrage modal est donc nécessaire afin de résoudre la saturation des flux et l’accessibilité à la gare. Le quartier de Belcier est séparé du centre-ville, et devient donc un point d’implantation stratégique dans la connexion de la gare vers la Garonne.
L’objectif est donc de proposer un territoire intermodal pour la ville, il s’agit d’un «corridor urbain» qui condense une gare régionale, une gare routière, une promenade piétonne afin que les visiteurs puissent profiter du spectacle qu’offre le fleuve. A côté un quartier se développe, il s’agit d’un ilôt ouvert et mixte alliant commerces, logements, bureaux d’affaires, équipements publics sportifs, culturels...
29 _PORTFOLIO 2007-20011
Rue piétonne à l’intérieur de l’ilôt
Une esplanade le long des rails de train
Des commerces ouverts sur un patio
30
Plan RDC
Coupe longitudinalesur l’ilôt mixte
Coupe transversale entre le corridor et l’ilôt mixte
31 _PORTFOLIO 2007-20011
32
1.
Ilôt ateliers+logements
4.
Ilôt ateliers+logements
3.
Ilôt ateliers + logements
2.
Ilôt ateliers + logements
5.
Ilôt ateliers+logements
4
53
21
IILe quartier
la Ermita
La rivière reconvertie en parc agricole et de loisirs
MARBELLA - ESPAGNE
Escuela tecnica superior de Granada
Programme : logements, bureaux, commerces, équipements sportifs, culturels, ateliers automobilesSHON : 10 000 m²
Juin 2007
Exclu du centre-ville de Marbella, proche de l’autoroute, le quartier de La Ermita est lieu delaissé de sa population, déstiné principalement à l’industrie automobile.
L’objectif du projet est d’ouvrir le site à son environnement naturel (la rivière, la plage) et de proposer une mixité programmatique de façon à ce que ce quartier devienne un lieu de vie pour ses habitants. Cet élan de renouveau ne passe pas par une destruction totale, mais par une conservation de la structure viaire existante, et de l’activité industrielle présente, tout en superposant une seconde trame destinée aux parcours piétons, aux espaces publics, activités sportives, culturelles ...
Plan de l’existant du quartier industriel
Restructuration d’un ilot
Coupe d’un ilôt
33 _PORTFOLIO 2007-20011
Analyse du lieu d’implantation: La huerta un espace intermédiaire hétérogène
La punta de la Huerta : une ville «verte», une nouvelle ville écologique connectée à la ville existante
34
IIUne ville dans
l’Albufera
Analyse du lieu d’implantation: La huerta un espace intermédiaire hétérogène
VALENCIA - ESPAGNE
Escuela tecnica superior de Granada
Programme : logements, bureaux, commerces, équipements sportifs, culturels, ateliers automobilesSHON : 10 000 m²
Février 2007
L’intervention paysagère se situe sur le lac de Guejar-Sierra entre la ville de Granada et les montagnes de la Sierra Nevada. C’est la dualité du naturel et de l’artificiel que nous avons voulu développer pour l’installation d’un projet. Ce lac est né à la suite de la création d’un barrage. C’est sur ce lieu façonné par l’homme que la nature reprend peu à peu ses droits. La montée du niveau d’eau du barrage laisse une empreinte sur le paysage. L’intention du projet est donc d’utiliser cette notion de temps, en offrant la possibilité que l’installation soit évolutive pour les promeneurs, dans le sens où la nature la transformera.Là où le créateur du projet a un impact sur l’usage du site, c’est dans la conception des formes de plaques, en elles mêmes, et non dans leur positionnement sur le barrage. Les plaques d’acier corten sont jetées sur la barrage, nous ne sommes plus maitre et laissons agir la nature et le hasard.
L’albufera, une zone naturelle écologique proche de l’aire urbaine de Valencia
35 _PORTFOLIO 2007-20011
top related