tetsave 2012

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B''H N° 62 BEIT MIDRACH TORAT HESSED MALEY RAHAMIM 11 KIKAR HATSMAOUT NETANYA Rav Acher Fitoussi Chelita 03/03/2012 SITE: WWW.TORAT - HESSED.COM 9 ADAR 5772 CHABBAT : TETSAVE CHABBAT ZAKHOR ENTRÉE : 17H19 SORTIE : 18H17 HAFTARA : VAYOMER CHEMOUEL BIOGRAPHIE : Rabbi Chimchon Aharon Polanski Le gaon Rabbi Chimchon Aharon Polanski, Rav du quartier de Beit Israël à Jérusalem, était très jeune quand il devint Rav, d’abord dans la petite ville de Madwin dans la région de Kiev et ensuite, en 5660, dans la ville de Taflik en Podolie, pour remplacer le gaon Rabbi Fischel Metz, qui fut alors nommé Rav de la ville proche d’Ouman. C’est le nom de cette ville que les gens lui ont donné jusqu’à la fin de sa vie, « le Rav de Taflik». Pendant la Première guerre mondiale, après la révolution et l’arrivée au pouvoir des Bolchévistes en Russie, il connut de terribles épreuves. Au cours de la guerre civile, beaucoup des juifs de Taflik furent égorgés sous ses yeux par les bandes de bandits de Pateliora et Dinikin. Lui-même fut plusieurs fois menacé d’être exécuté. Il fut sauvé par quelqu’un de sa ville, Rav Raphaël Platnik, qui engagea toute sa fortune pour le racheter des mains des cruels bandits. Pendant quelques années après la révolution soviétique, Rabbi Chimchon Aharon continua à diriger sa communauté, sans que les autorités le dérangent. A la suite d’un incident qui s’était produit, il décida qu’il devait quitter les lieux le plus rapidement possible. Voici ce qui s’était passé. Deux des habitants de la ville étaient venus devant lui en Din Torah. L’un était le bedeau de la synagogue, et l’autre gagnait sa vie comme boucher. Le Rav entendit les arguments et les réponses de chacun, et après avoir réfléchi profondément, il avait tranché en faveur du bedeau. Et voilà qu’au bout de quelques jours, le fils du boucher était entré chez lui pour exiger qu’il révise son jugement, qui à son avis était erroné … Le fils du boucher servait dans l’armée communiste. Il avait un fusil à la main, ce qui rendait le message parfaitement clair. C’était la première fois que quelqu’un de la ville osait s’opposer au Rav, Rabbi Chimchon Aharon, depuis qu’il y était arrivé plus de vingt ans auparavant. Il ne fut pas impressionné par les menaces du fils du boucher et ne revint pas sur sa décision, qui reposait naturellement sur la Halakha. Mais en fait, cet incident fut pour lui un signe que les temps avaient changé et que ce n’était plus sa place naturelle. Au début de l’année 5683, il partit s’installer à Jérusalem, où il resta encore quelque vingt-cinq ans. Il s’assimila immédiatement à la vie de la communauté de Jérusalem et à ses habitants, des grands de la Torah qui reconnurent sa valeur et le nommèrent alors Rav de « Beit Israël » et des environs. Il le resta jusqu’à la fin de sa vie, dans le dénuement et la pauvreté. Rabbi Raphaël HaCohen Kook a raconté sur lui un merveilleux acte de ‘Hessed. Un jour, alors que j’habitais Jérusalem, le Rav est entré chez moi la veille de Soukot à un moment où tout le monde est très occupé, pour me demander instamment de me joindre à lui pour les besoins d’une grande mitsva urgente. Que s’était-il passé ? Il avait entendu parler de tel talmid ‘hakham, effacé et de grande stature, dont la maison était vide et qui n’avait tout simplement pas de quoi manger pendant la fête. Venez vite et rassemblons un peu d’argent pour lui, me supplia-t-il. Un peu perplexe, une question naïve m’échappa : « Maintenant ? En ce moment ? Je n’ai pas encore eu le temps de choisir des aravot ni de finir de décorer la souka … Attendons un peu plus tard … » Mais le Rav ne me laissa pas continuer : « Est -ce que le Saint béni soit-Il se soucie que nous n’ayons pas le plus beau dans les quatre espèces ? Même si nous n’en avons pas du tout, des gens comme nous

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B''H N° 62

BEIT MIDRACH TORAT HESSED MALEY RAHAMIM

11 KIKAR HATSMAOUT NETANYA

Rav Acher Fitoussi Chelita

03/03/2012 SITE: WWW.TORAT - HESSED.COM 9 ADAR 5772

CHABBAT : TETSAVE CHABBAT ZAKHOR ENTRÉE : 17H19 SORTIE : 18H17 HAFTARA : VAYOMER CHEMOUEL BIOGRAPHIE : Rabbi Chimchon Aharon Polanski Le gaon Rabbi Chimchon Aharon Polanski, Rav du quartier de Beit Israël à Jérusalem, était très jeune quand il devint Rav, d’abord dans la petite ville de Madwin dans la région de Kiev et ensuite, en 5660, dans la ville de Taflik en Podolie, pour remplacer le gaon Rabbi Fischel Metz, qui fut alors nommé Rav de la ville proche d’Ouman. C’est le nom de cette ville que les gens lui ont donné jusqu’à la fin de sa vie, « le Rav de Taflik». Pendant la Première guerre mondiale, après la révolution et l’arrivée au pouvoir des Bolchévistes en Russie, il connut de terribles épreuves. Au cours de la guerre civile, beaucoup des juifs de Taflik furent égorgés sous ses yeux par les bandes de bandits de Pateliora et Dinikin. Lui-même fut plusieurs fois menacé d’être exécuté. Il fut sauvé par quelqu’un de sa ville, Rav Raphaël Platnik, qui engagea toute sa fortune pour le racheter des mains des cruels bandits. Pendant quelques années après la révolution soviétique, Rabbi Chimchon Aharon continua à diriger sa communauté, sans que les autorités le dérangent. A la suite d’un incident qui s’était produit, il décida qu’il devait quitter les lieux le plus rapidement possible. Voici ce qui s’était passé. Deux des habitants de la ville étaient venus devant lui en Din Torah. L’un était le bedeau de la synagogue, et l’autre gagnait sa vie comme boucher. Le Rav entendit les arguments et les réponses de chacun, et après avoir réfléchi profondément, il avait tranché en faveur du bedeau. Et voilà qu’au bout de quelques jours, le fils du boucher était entré chez lui pour exiger qu’il révise son jugement, qui à son avis était erroné … Le fils du boucher servait dans l’armée communiste. Il avait un fusil à la main, ce qui rendait le message parfaitement clair. C’était la première fois que quelqu’un de la ville osait s’opposer au Rav, Rabbi Chimchon Aharon, depuis qu’il y était arrivé plus de vingt ans auparavant. Il ne fut pas impressionné par les menaces du fils du boucher et ne revint pas sur sa décision, qui reposait naturellement sur la Halakha. Mais en fait, cet incident fut pour lui un signe que les temps avaient changé et que ce n’était plus sa place naturelle. Au début de l’année 5683, il partit s’installer à Jérusalem, où il resta encore quelque vingt-cinq ans. Il s’assimila immédiatement à la vie de la communauté de Jérusalem et à ses habitants, des grands de la Torah qui reconnurent sa valeur et le nommèrent alors Rav de « Beit Israël » et des environs. Il le resta jusqu’à la fin de sa vie, dans le dénuement et la pauvreté. Rabbi Raphaël HaCohen Kook a raconté sur lui un merveilleux acte de ‘Hessed. Un jour, alors que j’habitais Jérusalem, le Rav est entré chez moi la veille de Soukot à un moment où tout le monde est très occupé, pour me demander instamment de me joindre à lui pour les besoins d’une grande mitsva urgente. Que s’était-il passé ? Il avait entendu parler de tel talmid ‘hakham, effacé et de grande stature, dont la maison était vide et qui n’avait tout simplement pas de quoi manger pendant la fête. Venez vite et rassemblons un peu d’argent pour lui, me supplia-t-il. Un peu perplexe, une question naïve m’échappa : « Maintenant ? En ce moment ? Je n’ai pas encore eu le temps de choisir des aravot ni de finir de décorer la souka … Attendons un peu plus tard … » Mais le Rav ne me laissa pas continuer : « Est -ce que le Saint béni soit-Il se soucie que nous n’ayons pas le plus beau dans les quatre espèces ? Même si nous n’en avons pas du tout, des gens comme nous

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accompliront la mitsva à la perfection,nous irons à la synagogue et nous dirons la bénédiction sur l’étrog et le loulav des autres. Mais si ce pauvre est assis dans sa souka affamé et qu’il verse fût-ce une seule larme,le Saint béni soit-Il pleurera avec lui ! » J’ai immédiatement quitté tout ce que je faisais à ce moment-là et nous sommes allés ensemble ramasser de l’argent pour lui. On raconte une autre histoire à ce propos. L’un de ses disciples était le docteur Mordékhaï Eliash, qui lui confiait tous les mois des sommes d’argent à distribuer en Tsédaka.Rabbi Chimchon ne prenait pas de cet argent fût- ce un seul sou, mais le distribuait aux pauvres de Jérusalem. Un jour, l’un de ses petits- fils s’aperçut qu’il envoyait à telle famille une double somme. « Voici ce que m’a expliqué mon grand-père : « Quand je suis sorti des pogromes en Russie, nous avions faim. Cet homme à qui j’envoie en ce moment était alors responsable de la Tsédaka, mais il ne m’a rien donné. Maintenant, la roue a tourné. C’est moi qui distribue la Tsédaka et lui qui reçoit. Et pour ne pas risquer de commettre une faute, je lui envoie plus généreusement, afin qu’on ne me reproche pas dans le monde de vérité de m’être vengé … » » Il éprouvait un amour particulier pour le saint Or Ha’Haïm, dont il connaissait les livres par cœur. Il enseignait le ‘Houmach avec le Or Ha’Haïm les nuits du vendredi à la synagogue « Beit Yaacov » du quartier Beit Israël. Pendant de longues années, il lisait de mémoire aussi bien que dans le livre, et le public écoutait ses merveilleuses explications. En toute occasion où l’on s’adressait à lui pour lui demander de prier pour un malade, ou choses de ce genre, il allait sur la tombe du Or Ha’Haïm au mont des Oliviers et se répandait en prières et supplications. Quand on lui annonçait ensuite une bonne nouvelle, que la santé du malade s’était améliorée, ou qu’un salut s’était produit, il disait : « Voyez combien est grande sa puissance, tout est par le mérite du saint Or Ha’Haïm … » Au moment de sa mort le 28 Sivan 5708, des bombes des forces de la légion jordanienne s’amoncelèrent dans le ciel de Jérusalem, si bien que les habitants de la ville ne purent pas faire son oraison funèbre comme il convenait. Son cercueil fut enterré (parce qu’il avait acquis de son vivant une tombe au mont des Oliviers) dans le cimetière Sanhédria, et le sentiment d’être orphelin remplit les habitants de Jérusalem qui sentaient le vide qu’il laissait derrière lui. Le gaon Rabbi Yossef Chaoul Elichar, a parfaitement résumé sa grandeur en une seule phrase : « Notre maître était fort comme Chimchon dans la Torah et poursuivait la paix comme Aharon. » Que le mérite du Tsadik nous protège. HISTOIRE : La Force De La Tefilah Un des avrékhim (personne marié qui étudie la Torah toute la journée dans un collel) vint se plaindre auprès de son Rav, Rav Chimchon Pinkous, sur le fait qu’il n’avait pas encore d’enfant.Le Rav écouta la plainte de son élève, et décida de faire quelque chose pour lui. Au milieu de la nuit, Rav Pinkous prit sa voiture et se rendit chez son élève. Arrivé devant la porte, il frappa plusieurs fois. L’avrekh ouvrit la porte et fut surpris de voir son Rav à une heure si tardive de la nuit. Il lui demanda des explications sur les motifs de sa venue.Le Rav ne répondit pas et dit simplement à son élève de prendre son manteau et de le suivre. L’élève, qui connaissait bien son maître, n’essaya même pas de le contredire ni de lui demander des explications, et sans perdre un instant, il alla chercher son manteau afin de partir avec son Rav. Ils sortirent rapidement de la maison et montèrent dans la voiture. Durant le trajet, l’élève ne tenant plus, demanda à son Rav où il le conduisait, mais ce dernier lui répondit d’être encore un peu patient. Il lui expliquerait en arrivant. Quelques minutes plus tard, le Rav, qui conduisait la voiture, s’écarta de la route normale, et emprunta un petit chemin qui n’avait rien d’une route empruntée par les voitures.Le Rav arrêta alors sa

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voiture près d’un bois. Il sortit de la voiture et demanda à son élève de le suivre. L’élève s’exécuta aussitôt. Le Rav lui dit alors : « Veux-tu réellement avoir un enfant ? » L’élève répondit par l’affirmative. Le Rav lui dit alors d’entrer dans ce bois et de prier Hakadoch Baroukh Hou de lui donner un enfant. Il lui dit que dans une demi-heure, il reviendrait le chercher. Le Rav remonta dans sa voiture et s’éclipsa immédiatement. Au bout d’une demi-heure, lorsqu’il revint, il trouva son élève qu’il l’attendait, là où il l’avait laissé. Le Rav jeta un regard rapide sur son élève, puis lui dit : « Excuse-moi, mais il me semble que tu n’as pas prié ». Le jeune homme le regarda étonné, et lui répondit qu’il se trompait et qu’il avait bien prié. Rav Pinkous lui objecta que même s’il pensait avoir prié, il n’avait pas fait une Téfilah telle que l’on doit la faire pour avoir des enfants. Le Rav lui dit : « Ecoute -moi bien ! Je vais te laisser une seconde fois, mais cette fois-ci, prie réellement Hakadoch Baroukh Hou, et insiste auprès de Lui pour qu’Il te donne des enfants ! Supplie-Le ! Ne quitte pas cet endroit tant que tu ne sentiras pas qu’Hakadoch Baroukh Hou va répondre favorablement à ta demande. Quant à moi, je reviendrai dans une heure ». Il monta à nouveau dans sa voiture et disparut.Quand il revint une heure plus tard, il ne trouva personne. L’avrekh n’était pas là. Le Rav alluma les phares de sa voiture afin de voir si son élève était quelque part dans les parages, mais en vain, il n’y avait personne à proximité. Il attendit encore une demi-heure et soudain, il vit le jeune homme se diriger vers lui. Il était en train de s’essuyer le visage et les yeux avec un mouchoir qu’il tenait dans la main. Il voulait cacher ses larmes, mais il n’y arriva pas, ses yeux rouges le trahissaient. Il avait « réellement » prié, et cette fois, sa Téfilah avait certainement percée les cieux et était arrivée jusqu’au Trône Céleste. Effectivement, quelques temps plus tard, sa femme tomba enceinte et ils eurent un garçon. Rav Pinkous voulait lui enseigner que pour qu’une Téfilah soit entendue par Hakadoch Baroukh Hou, il ne suffit pas de prier, il faut supplier et insister, comme l’ont fait Yits’hak et Rivka pour avoir des enfants. Hakadoch Baroukh Hou attend cela de nous ! HALAKHOT : L’obligation D’entendre Parachat Zah’or Le Chabbat qui précède Pourim (ce Chabbat 27.02), lors de l’ouverture du Heh’al à la synagogue, nous sortons 2 Sifré Torah. Dans le 1er nous lirons la Paracha de la semaine (Tétsavé), et dans le 2ème, nous lirons le passage de « Zah’or Et Acher ‘Assa Leh’a ‘Amalek… ». Cette lecture s’appelle « Parachat Zah’or » (ce passage se trouve à la fin de la Paracha de Ki Tétsé dans le livre de Dévarim). Selon l’opinion de la majorité des décisionnaire, la lecture de Parachat Zah’or est un devoir ordonné par la Torah (Mitsvat ‘Assé Dé-Oraïta). Or, selon le grand principe général tranché dans le Choulh’an ‘Arouh’ (O.H chap.60 parg.4) selon lequel les Mitsvot nécessitent une concentration (Mitsvot Tsérih’ot Kavana), il est impératif de se concentrer lors de la lecture de Parachat Zah’or, et de penser à ce moment précis que nous somme en train de nous acquitter de notre devoir de se souvenir de l’acte de ‘Amalek, et du devoir de son extermination. De même, le H’azzan qui lit dans le Séfer Torah, doit penser à acquitter l’assemblée de son obligation. Une personne qui a eu un cas de force majeur, et qui ne s’est pas rendue à la synagogue ce Chabbat matin pour entendre Parachat Zah’or, devra – lors du Chabbat Ki Testé – penser à s’acquitter de son devoir

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lorsqu’il entendra Zah’or à la fin de cette Paracha. Dans ce cas, il devra demander au préalable au h’azzan de penser à l’acquitter de ce devoir lors de la lecture de Zah’or à la fin de la Parasha de Ki Tetsé.Le Rav Ovadia YOSSEF Chlita ajoute qu’il est quand même bon que cette personne - qui ne peut se rendre à la synagogue lors de Chabbat Zah’or - lise le passage de Zah’or au moins dans un H’oumach (un livre de Paracha). Les décisionnaires discutent sur l’obligation de la femme à entendre Parachat Zah’or.Selon le Séfer Hah’inouh’ et d’autres, les femmes sont exemptes du devoir d’entendre Parachat Zah’or, puisque le devoir de se souvenir de l’acte de ‘Amalek a pour seul objectif l’extermination de ‘Amalek. Or, généralement les femmes ne participent pas activement à la guerre, et ne sont pas soumises au devoir de faire les guerres ordonnées par la Torah. C’est pourquoi – selon ces Poskim – les femmes ne sont pas non plus soumises au devoir d’entendre Parachat Zah’or. (Ceci ne fait absolument aucune différence entre une femme ordinaire et une femme qui a personnellement pris l’initiative de faire la guerre, car la Torah n’a pas soumis la femme à la guerre contre ‘Amalek parce qu’elles n’ont généralement pas une nature de conquérantes). Cependant, selon de nombreux autres Poskim, les femmes sont soumises à l’obligation d’entendre Parachat Zah’or C’est pourquoi, les femmes qui s’imposent de se rendre à la synagogue ce Chabbat matin, afin d’entendre Parachat Zah’or, sont dignes de La Bénédiction. VIE SAINE : Propriétés De La Sardine La sardine est un poisson gras, riche en oméga 3. Elle est totalement bénéfique pour la santé C'est un poisson qui se nourrit de plancton et la teneur en mercure de sa chair est peu importante en regard des poissons carnivores qui augmentent cette teneur du fait de leur alimentation. La sardine est riche en calcium, en phosphore, en fer, en sélénium, vitamine B3, B12