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MAGAZINE PERIODIQUE D’ALD AUTOMOTIVE DEC2013 #1 Au cœur de la course Ferdinand Porsche From electric to electric Royal Belgian Caviar Les perles noires de Turnhout Deepsea Challenger Voyage au fond des abysses

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Page 1: Smile #1 FR

MAGAZINE PERIODIQUE D’ALD AUTOMOTIVEDEC2013#1

Au cœur de la course

Ferdinand Porsche From electric to electricRoyal Belgian Caviar Les perles noires de Turnhout

Deepsea Challenger Voyage au fond des abysses

Page 2: Smile #1 FR

NEW PEUGEOT 3O8CONCENTRÉE SUR

VOS SENSATIONS

Informations environnementales [AR 19/03/2004] : www.peugeot.be

NEW PEUGEOT 308

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Page 3: Smile #1 FR

Cher lecteur, chère lectrice,

Bienvenue dans cette première édition de Smile, le nouveau magazine d’ALD Automotive. Comme son nom l’indique, nous l’avons conçu avec le sourire, imaginé comme une pause, un moment de détente à la découverte de nouveaux horizons. Vous y trouverez tout le dynamisme qui nous caractérise en tant que partenaire de leasing. Avec une flotte de 70.000 véhicules en gestion et 230 collaborateurs enthousiastes, ALD Automotive Belgique fait route depuis près de 70 ans vers une qualité de service optimale dont vous bénéficiez tous les jours.

Passion, innovation, esprit d’équipe et customer service. Telles sont les valeurs qui nous animent quotidiennement, et que vous retrouverez dans cette première édition de Smile. A sa lecture, vous allez constater que notre métier ne se

limite pas à vous offrir le meilleur service en leasing. Nous avons l’ambition de toujours faire mieux, en osant sortir des sentiers battus et en prenant l’initiative, comme en témoigne ce nouveau magazine.

Notre priorité : vous fournir des solutions globales de mobilité parfaitement adaptées à vos besoins et vos attentes. Votre bien-être, et celui de votre famille, est notre récompense. Et puisqu’un sourire vaut mieux qu’un long discours, nous vous souhaitons d’ores et déjà de fabuleuses fêtes de fin d’année.

Miel HorstenManaging Director ALD Automotive

editoDEC2013#1

sommaire

04 NEWS 06 AVENTURE Duo de choc sous le soleil08 SPORT AUTO Au cœur de la course 10 GASTRONOMIE Belgian Royal Caviar12 FÊTES Illuminez votre Noël14 SPORTS D’HIVER Nouvelles sensations16 AVENTURE Voyage au fond des abysses 18 AUTOMOBILE Salon de Bruxelles 22 EXPOSITION Ferdinand Porsche 24 TECHNOLOGIE L’impression 3D 26 TOURISME Nuit magique à l’Ice Hotel

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NEW PEUGEOT 3O8CONCENTRÉE SUR

VOS SENSATIONS

Informations environnementales [AR 19/03/2004] : www.peugeot.be

NEW PEUGEOT 308

www.professional.peugeot.be

3,6 L /100 KM 95 G /KM

*Le calcul de l'Avantage Toute Nature net est effectué sur une New Peugeot 308 Active 1.6 HDi FAP 92 ch et se base sur le précompte professionnel le plus élevé : 53,5%.

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Avantage toute nature net 54 €/mois*

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120824

COLOPHON AXUS SA, agissant sous sa dénomination commerciale ALD AutomotiveRue Colonel Bourg 120 – 1140 Evere – 02 706 41 11 – www.aldautomotive.beEditeur responsable - MIEL HORSTENCréation - ACTIVE - 02-467 61 50 - www.activeonline.bePublicité - PATRICK QUATENNENS – [email protected]

Loi relative à la protection des données à caractère personnel : les données à caractère personnel seront transmises et reprises dans un fichier d’AXUS S.A., ayant son siège social Rue Colonel Bourg 120 à 1140 Evere, le responsable du traitement. Les données à caractère personnel seront utilisées par ALD Automotive pour les finalités suivantes : la gestion des relations précontractuelles et contractuelles, la prévention d’abus et d’irrégularités, l’établissement de statistiques et de tests, l’assistance et l’information aux conducteurs et le lancement d’une enquête de satisfaction parmi les conducteurs. Les données à caractère personnel peuvent être transmises par ALD Automotive à des tiers qui sont en relation contractuelle avec AXUS, y compris les fournisseurs et les sous- traitants. Vous disposez d’un droit d’accès et de rectification de vos données à caractère personnel en contactant ALD Automotive par écrit à l’adresse susmentionnée. Ce magazine est protégé par le droit d’auteur. Son contenu est purement informatif et n’a aucune valeur contractuelle.

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La collaboration avec la jeune société bruxelloise Mobispot s’inscrit parfai-tement dans cette stratégie. Avec ce spécialiste belge du télétravail, ALD Automotive offre une solution concrète au problème des embouteillages. Le « télétravailleur » réserve, par le biais d’une plate-forme de réservation, un poste de travail ou une salle de réunion qui répond le mieux à ses be-soins. Plus de 500 espaces de « co-working », postes de travail et salles de réunion sont disponibles dans 40 Mobispots.

« Chez Tele’Train, nous utilisons Mobispot depuis plus de six mois déjà », déclare Sofie Boey, Manager RH de Tele’Train. « Nous sommes un bureau de consulting qui aide les organisations et entreprises à éta-blir le contact et l’interaction avec leurs clients de manière aussi optimale que possible. Comme nous faisons beaucoup d’outsourcing chez Te-le’Train, nous avons cherché une solution pour utiliser plus efficacement le temps de travail. Un grand nombre de nos spécialistes IT et consul-tants travaillent sur place, chez le client. D’autres opèrent fréquemment de chez eux. Le siège de Gand n’est pas toujours l’endroit idéal pour réunir tout le monde. Souvent, nous perdions un temps précieux pour être à l’heure au siège principal. Avec Mobispot, nous trouvons toujours une salle de réunion bien située et qui ne nécessite pas de traverser tout le pays pour y arriver. »

La réservation est très simple et fonctionne avec un système de crédits qu’il faut acheter au préalable. Pour le choix de la salle de réunion, il est possible d’opérer une sélection via un certain nombre de paramètres comme l’emplacement, les possibilités de parking, le wifi, etc. Sofie Boey : « Moins de déplacements entraîne de nombreux avantages : gain de temps, moins de stress, une productivité plus élevée et une réduction de l’empreinte environnementale. Grâce à Mobispot, nous économisons beaucoup de temps que nous pouvons utiliser de ma-nière très utile. »

04 News

ALD Automotive, traditionnellement actif

dans le secteur du leasing automobile, se

positionne de plus en plus comme fournisseur

de solutions globales en matière de mobilité.

Tele’Train choisit Mobispot :moins de stress, plus de temps

Page 5: Smile #1 FR

UNE FLOTTE DE PLUS EN PLUS PROPREAu 1er octobre 2013, les rejets moyens de CO2 de la flotte d’ALD Automotive s’éta-blissaient à 120,4 g/km. Une performance énergétique d’autant plus pertinente qu’elle s’inscrit dans un programme de réduction des émissions baptisé ALD bluefleet. Par le biais de

ce programme, ALD Automotive encourage et accompagne ses clients à respecter l’environnement grâce à un ensemble de services dédiés. Il y a 4 ans, les rejets moyens de CO2 de la flotte étaient encore de 140,6 g/km. Au-jourd’hui, 67,6% des véhicules de la flotte d’ALD Automotive rejettent moins de 125g de CO2/km ! Une flotte qui compte de plus en plus de véhicules électriques (63) et de véhicules hybrides (300).

CRASHSTICKERS® : RAPIDE ET PRATIQUEUn accident provoque souvent pas mal de stress. Et pourtant, à cet instant précis, il est primordial de conserver son calme pour remplir correctement le constat. Pour faciliter la vie des clients qui sont assurés par son intermédiaire, ALD Automotive propose des CrashStickers®, des étiquettes autocollantes pré-imprimées qui reprennent toutes les données utiles concernant le preneur d’assurance, le véhicule et la compagnie d’assurances. Les CrashStickers® sont envoyés chaque année avec la nouvelle carte verte. Surveillez votre courrier…

DES VÉLOS POUR LA PROVINCE D’ANVERSDans le cadre de son programme ALD companybike, qui permet aux clients de financer un vélo de société en combinaison avec une voiture ou de manière indépendante, ALD Automotive s’associe à un projet de mobilité durable à deux roues pour les collaborateurs de la

Province d’Anvers. Cette dernière a choisi le tandem iBike-Levanto pour la livraison, la maintenance et la gestion de la flotte. De son côté, ALD Automotive finance les vélos pendant les 48 mois de lea-sing opérationnel qui inclut l’entre-tien et l’assurance. Un partenariat entre professionnels qui offre non

seulement des avantages économiques et fiscaux, mais contribue aus-si à la protection de l’environnement et au bien-être des travailleurs. En 6 mois, pas moins de 100 vélos ont déjà été commandés sur un potentiel d’environ 600 collaborateurs. Ces derniers s’engagent à réaliser au moins 50% des déplacements domicile-lieu de travail à vélo et renoncent à leur place de parking. Quatre type de vélos sont proposés : un vélo pliable, un vélo de ville classique et deux modèles de vélos électriques (longue ou courte distance).

Un partenariat entre professionnels qui offre non seulement des avan-tages économiques et fiscaux, mais contribue aussi à la protection de l’environnement et au bien-être des travailleurs.

120,4 g/KM Aujourd’hui, 67,6% des véhicules de la flotte d’ALD Automotive rejettent moins de 125g de CO

2/km !

UN CONDUCTEUR AVERTI EN VAUT DEUX !Depuis le 7 novembre dernier, la direc-tive européenne sur l’échange automa-tique de données entre les autorités des différents pays est entrée en vigueur. Concrètement, cela signifie que les infractions commises par les Belges à l’étranger seront systématiquement poursuivies. Une situation également valable pour les étrangers com-mettant des infractions sur le territoire belge. Outre les excès de vitesse, les infractions concernées sont l’absence du port de la cein-ture de sécurité ou de casque, le non-respect des feux de signalisation, la conduite en état d’ivresse ou sous l’influence de drogues et l’usage du téléphone au volant.

News

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Page 6: Smile #1 FR

Le Punch Powertrain Solar Team de la KU Leuven a

décroché la sixième place du World Solar Challenge,

une course de voitures propulsées à l’énergie solaire

organisée tous les deux ans à Adelaïde, en Australie.

Quarante équipes venues des quatre coins du monde

ont parcouru ce circuit de 3.021 km. En tant que

sponsor, ALD Automotive n’est pas étranger à cet

excellent résultat.

Aventure

ALD Automotive et Solar Team :

soleilduo de choc sous le

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Page 7: Smile #1 FR

Pas moins de dix-sept étudiants ingénieurs de la KU Leuven ont travaillé pendant plus d’un an pour développer Indupol One.« Nous valorisons les projets

innovants à la recherche de solutions qui réduisent l’empreinte écologique, » souligne Miel Horsten, Managing Director d’ALD Automotive Belgium. « Leaders sur le marché de la mobilité, en particulier de la mobilité durable, nous avons tout de suite été séduits par le projet Solar. En outre, l’initiative du partenariat avec Solar Team s’inscrivait dans un timing idéal puisque nous lancions, quasiment au même moment, notre offre ALD electric qui propose une gamme complète de véhicules électriques. »

Pas moins de dix-sept étudiants ingénieurs de la KU Leuven ont travaillé pendant plus d’un an pour développer Indupol One, le véhicule avec lequel ils ont pris part au World Solar Challenge, le championnat du monde non officiel des voitures à énergie solaire. Lors de cette course, qui s’est déroulée du 6 au 13 octobre, les 40 équipes se sont affrontées sur un parcours qui s’étend de Darwin, au nord, à Adelaïde, à l’extrême sud du pays, à bord des voitures conçues par leurs soins. Une distance de 3.021 km à travers l’arrière-pays australien, sous un soleil brûlant et avec des batteries chargées uniquement à l’énergie solaire.

« Une expérience inoubliable, » nous confie Xu Suihong, étudiant et membre de l’équipage louvaniste Solar Team. « Le World Solar Challenge n’est pas seulement une course, c’est aussi une épreuve de survie. Nous n’étions autorisés à rouler que jusque 17 heures, parce qu’il est trop dangereux de se déplacer le soir. Nous devions ensuite trouver un endroit approprié pour dormir. La plupart du temps, nous plantions nos tentes au bord de la route pour être prêts à repartir dès 8 heures le lendemain.

Nous devions nous arrêter une demi-heure aux différents postes

de contrôle pour changer de conducteur, recharger la batterie et exécuter les contrôles de routine. Pour le reste, nous étions

complètement autonomes. » Trois conducteurs se relayaient au

volant. Le reste des étudiants formait le convoi. L’équipage parcourait des étapes de 600 à 700 kilomètres chaque jour, à une vitesse moyenne de 80 km/h. La voiture a subi deux crevaisons, mais elle a surtout dû esquiver les road trains, les tourbillons de poussière et les kangourous. « Imaginez les dégâts qu’un kangourou ou qu’un de ces gros poids lourds tirant parfois plus de quatre remorques peut occasionner ! De plus, nous devions supporter une chaleur torride à laquelle succédaient des averses aussi soudaines qu’intenses, sans parler des willy-willies, des minitornades. Mais nous en sommes sortis indemnes et nous avons sabré le champagne à l’arrivée ! »

« La voiture a tourné comme un charme et nous nous réjouissons d’avoir franchi la ligne d’arrivée sans le moindre problème technique. Malheureusement, à 100 km de l’arrivée, nous avons dû céder notre cinquième place à une équipe suisse, » conclut Xu Suihong qui est toutefois très satisfait du résultat obtenu : « Nos concurrents venaient d’universités renommées, nous pouvons donc être très fiers de notre sixième place. L’équipage belge se retrouve dans les cimes du classement. »

Miel Horsten, Managing Director d’ALD Automotive Belgium rejoint cet avis. « Nous sommes très fiers de la prestation des Louvanistes du Solar Team. Les 3.000 kilomètres traversés en sept jours prouvent que l’énergie solaire a de beaux jours devant elle. D’ici quelques années, nous retrouverons peut-être l’une ou l’autre technologie développée pour Indupol One dans les véhicules proposés par ALD Automotive à ses clients. »C’est l’université de Delft qui a remporté la course. Les tenants du titre, les Japonais de l’université de Tokai, terminent deuxièmes. La troisième place revient à l’université de Twente.

La voiture a subi deux crevaisons, mais elle a surtout dû esquiver les road trains, les tourbillons de poussière et les kangourous.

ALD Automotive et Solar Team :

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Avec ses équipages de trois pilotes et des séances de qualification in-spirées de la Formule 1, le champi-onnat Blancpain Endurance Series est devenu une véritable référence dans le monde du sport automobile. Malgré son niveau très relevé, il laisse une large place à la convivialité et au partage des émotions entre pilotes et spectateurs. Esprit d’équipe, compé-titivité, excellence… Autant de valeurs essentielles qui caractérisent aussi la culture d’entreprise d’ALD Automo-tive. Pas étonnant dès lors, de re-trouver le logo d’ALD Automotive sur deux des voitures les plus en vues du championnat : les McLaren MP4-12C GT3 de Boutsen Ginion Racing. La N°5, engagée en catégorie PRO-AM,

était emmenée par un équipage 100% belge composé de David Dermont, Frédéric Vervisch et Koen Wauters. Ce dernier n’a d’ailleurs pas manqué de partager sa passion de la course, que ce soit au sein du team ou dans les paddocks.

La compétition automobile est inscrite dans les gènes d’ALD Automotive depuis de nombreuses années.

En 2013, le partenariat avec Boutsen Ginion Racing dans le championnat Blancpain Endurance Series

fut riche en émotions, avec Koen Wauters au volant d’une McLaren MP4-12C GT3. Point d’orgue de

la saison, les 24 Heures de Spa furent aussi le théâtre d’une magnifique expérience humaine avec

l’association Make-A-Wish.

08 Sport auto

Au cœur de la course

Les 24 Heures de Spa furent le théâtre d’une magnifique expérience humaine avec l’association Make-A-Wish.

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UN GESTE DU CŒUR Le 27 juillet dernier, lors de la 65e édition des 24 Heures de Spa-Francorchamps, c’est donc naturellement Koen Wauters qui fit visiter les infrastructures du team à Jelle, 15 ans. En partenariat avec l’association Make-A-Wish, ALD Automotive a donné vie à la passion de ce jeune louvaniste pour le sport automobile. Malgré la maladie et toutes les difficultés qu’elle représente au quotidien, Make-A-Wish s’est fixé pour objectif que les rêves des enfants deviennent réalité. Et le rêve de Jelle, c’était justement de pouvoir vivre de l’intérieur un événement tel que les 24 Heures de Spa. Alors imaginez son sourire lorsqu’il fut accueilli par Koen Wauters pour un petit « tour du propriétaire »…

UNE JOURNÉE INOUBLIABLELe programme qui attendait Jelle ce samedi 27 juillet, sur le circuit de Spa-Francorchamps, était plutôt chargé. Ce jeune homme de 15 ans, passionné par les voitures de sport et la vitesse, souhaitait approcher au plus près l’univers magique de la course de haut niveau. ALD Automotive avait donc organisé pour lui une journée riche en émotions : visite des paddocks, balade en hélicoptère autour du circuit, présence sur la grille de départ, tour en 4x4 sur les voies de sécurité et rencontre avec Koen Wauters… Rien ne manquait pour faire de cette journée un moment inoubliable. Invité d’honneur dans la tente VIP d’ALD Automotive. Jelle a pleinement profité du programme exclusivement mis sur pied pour lui.

Koen Wauters n’a pas manqué de partager sa passion de la course, que ce soit au sein du team ou dans les paddocks.

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Dix ans de sport automobile2003 – 2013 : depuis dix ans déjà, ALD Automotive est un partenaire du sport automobile, plus spécialement des 24 heures de Spa et des championnats réservés aux voitures de Grand Tourisme. ALD Automotive s’est retrouvé de nombreuses fois sur le podium des 24 Heures, notamment grâce à trois victoires en 2005, 2006 et 2008.

Equipage de charmeAu volant de la seconde McLaren aux couleurs d’ALD Automotive, Marlène Broggi démontre que les femmes ont toute leur place en course automobile. Sa titularisation en tant que pilote s’inscrit d’ailleurs dans la volonté d’ALD Automotive de donner aux femmes un rôle de plus en plus important dans un secteur traditionnellement masculin. Habituée des circuits (Eurocup Megane Trophy, 24 Heures de Spa 2012, Trophée Andros), cette Française au sang chaud impose le respect tant sur la piste qu’en dehors.

De la scène à la courseS’il a forgé sa notoriété en tant que chanteur du groupe Clouseau avant d’étendre ses activités vers la TV et la presse (il est Rédacteur en Chef du magazine Menzo), Koen Wauters est aussi un habitué de la compétition automobile avec, notamment :

• 20 participations aux 24 Heures de Zolder• 10 participations aux 24 Heures

de Spa-Francorchamps• 2 participations aux 24 heures de Daytona• 12 participations au Dakar

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S’il est une période où le caviar fait sa-liver les gastronomes du monde entier, c’est bien durant les fêtes de fin d’an-née. De par sa rareté et son prix (entre €1.500 et €5.000 le kilo selon l’origine), le caviar est depuis longtemps réservé aux tables les plus raffinées. Mais d’où viennent ces perles noires ? Principale-ment d’Iran et de Russie. Ce que l’on sait moins, c’est que depuis une dou-zaine d’années, la Belgique est entrée dans le cercle très fermé des produc-teurs renommés.

BIOLOGISTES VISIONNAIRES

C’est en décembre 2001 que les premiers œufs d’esturgeon sortent des étangs de la société Aqua Bio, à Turn-hout. Le Royal Belgian Caviar était né. A la base de cette formidable aventure, Joosen et Luyckx, deux biologistes visi-onnaires spécialisés dans la production d’aliments pour poisson. Au début des années 90, Aqua Bio importe les pre-miers esturgeons des pays de l’Est. « Initialement très limitée, la produc-tion dans notre propre pisciculture a progressivement augmenté, tout comme le nombre d’espèces élevées. Grâce à des années de recherche in-tensive, nous avons réussi à contrôler le cycle complet de production. De la fécondation de l’œuf jusqu’à la pro-duction du caviar, chaque étape est surveillée et contrôlée dans nos pro-pres installations. »

ESTURGEON ALBINOSOutre les variétés « Classic » et « Gold Label », toutes deux élaborées à partir d’œufs d’esturgeons sibériens, Aqua Bio est l’un des rares producteurs au monde à pouvoir offrir le vrai caviar « Osciètre » produit à partir des œufs d’esturgeons russes. Ces perles ma-giques, teintées de vert olive et dont le goût évoque la noisette, sont au-jourd’hui réputées bien au-delà de nos frontières. Ces dernières années, Aqua Bio a également utilisé la variante albi-nos de l’esturgeon Sterlet pour produire du caviar blanc, mieux connu sous l’ap-pellation de « White Pearl ».

CAVIAR D’ÉLEVAGEEn raison de la réglementation sur la pêche des esturgeons dans la région de la mer Caspienne, l’offre de caviar sauvage est actuellement limitée à quel-ques centaines de kilos pour le monde entier. Aujourd’hui, le caviar d’aquacul-ture a donc largement remplacé le ca-viar sauvage, et c’est principalement l’alimentation des poissons qui déter-mine la qualité des œufs. « Des années de recherche nutritionnelle donnent à nos œufs d’esturgeon une telle qualité qu’ils peuvent aujourd’hui rivaliser avec le caviar d’origine sauvage. Nous ne ju-rons que par la méthode traditionnelle de préparation, comme cela s’est fait pendant des siècles près de la mer Cas-pienne. Aqua Bio est convaincue que seule cette méthode, qui n’utilise que des œufs non ovulés, peut garantir un caviar de très haute qualité. »

Symbole ultime de raffinement gastronomique, le caviar est synonyme

de luxe et d’exclusivité. Un mets rare et cher que l’on produit aussi en

Belgique, et dont la renommée s’étend bien au-delà de nos frontières.

Vous trouverez le Royal Belgian Caviar dans tous les établissements Delhaize Le Lion

Aqua Bio est l’un des rares producteurs au monde à pouvoir offrir le vrai caviar « Osciètre » produit à partir des œufs d’esturgeons russes.

Gastronomie

Royal Belgian Caviarde Turnhout

Les perles noires

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Page 11: Smile #1 FR

* Estimation de la contribution nette mensuelle que l’employé aura à verser sur base du taux d’imposition maximum de 53,50% sur l’avantage de toute nature, sur base du prix catalogue de l’Insignia 4-portes Business 120 ch. Modèle illustré à titre indicatif.

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votreIlluminez

Noël !

Fêtes12

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Noël, un moment de chaleur en plein hiver. Une féérie éphémère, hélas. Sauf à Nivelles, chez Globall Concept, où c’est Noël toute l’année.Chez Globall Concept, on sait appâter le visiteur. Au bout d’un dédale de couloirs et de passerelles, une porte s’ouvre sur le noir absolu. Mais très vite, la magie d’un banal interrupteur agit. Un showroom de 1.000 m² s’illumine. Une explosion de couleurs. Un feu d’artifice. Ici, un sapin blanc gigantesque illuminé par 30.000 lampes LED. Là, une étoile argentée géante. Un peu plus loin, une maisonnette recèle le trône du Père Noël. Des guirlandes, des décorations,… C’est certain : la lumière a une saveur, celle de la fantasmagorie. « Il n’y a pourtant pas de secret », s’enquiert Cédric Bruyère, Marketing Assistant chez Globall Concept, créateur d’illuminations et de décorations festives. « Noël reste un événement traditionnel. Nous nous devons d’en respecter la codification dans nos créations. Pas de place pour l’extravagance ! L’étoile, le renne, les boules, le traîneau… : voilà les symboles phares de la fête de Noël. »

A LA MODE… OU PASEn fait, l’univers de Noël est semblable à celui de la mode : il est cyclique. « Nous devons nous démarquer, tout en suivant la tendance. Quand nous parvenons à influencer le marché en lançant une couleur un peu originale, l’impact en est éphémère. Les gens se lassent très vite et finissent toujours par revenir vers le traditionnel. » C’est ainsi que, pour les illuminations, la faveur du public va

toujours vers le blanc chaud, une lumière blanc-jaune. « Là, nous remarquons de grosses différences entre les marchés. L’Allemand, très conventionnel, privilégie le blanc chaud. Le Français préfère le blanc froid, la couleur naturelle du LED. Et entre les deux, il y a le Belge, qui, qu’il soit chaud ou froid, se tourne lui aussi vers le blanc, au détriment de couleurs plus affriolantes. En termes de déco, les tendances varient souvent entre le rouge, l’argenté ou le doré. »

CRÉATION VS TRADITION ?Le conventionnel n’entrave pourtant pas la création. « De par l’apport technologique, d’abord », ajoute Cédric Bruyère. « Le LED est apparu récemment. Plus durable, plus solide, plus économe aussi, le LED finit par remplacer les lampes à filaments dans les rayons, même s’il reste un peu plus cher. Nous travaillons aussi les animations lumineuses. Certains préfèrent une lumière figée, d’autres choisiront des guirlandes clignotantes. L’animation digitale, plus sophistiquée et plus dynamique, fait également son entrée sur le marché. » Si les symboles de Noël restent bien ancrés, leur design et les matériaux utilisés, eux, évoluent bel et bien. « C’est vrai en tout cas pour les objets décoratifs. Les petits animaux en acrylique fonctionnent très bien, de même que la décoration de saison (champignons, petits arbres et sapins en rotin, branches, etc.). » Et puis, parce que nous sommes tous pressés d’entrer dans ce moment de plénitude que nous procure la magie de Noël, les designers de Globall Concept veillent à la facilité et à la rapidité d’installation. « Nous avons créé le Speed Light, une guirlande lumineuse que l’on installe par le dessus du sapin en 30 secondes chrono. Plus besoin de faire le tour du sapin, souvent placé contre un mur ou dans un coin. Plus de perte d’aiguilles. Plus de disproportion lumineuse non plus sur l’arbre de Noël. »Le processus de création ne s’arrêtera pas là. Chez Globall Concept, on travaille déjà sur des prototypes pour Noël 2014. Mais là-dessus, pas un mot… Secret défense. A chaque Noël sa féérie !

Et si vous cherchez des idées ou des conseils pour décorer votre maison ou votre sapin, n’hésitez pas à vous rendre sur www.light-creations.eu ou sur www.facebook.com/lightcreationsby-globallconcept.

Un savoir-faire fort prisé

Globall Concept n’est pas le seul créateur d’illuminations et de décorations festives en Belgique. A l’instar du design automobile et de mode, le savoir-faire belge dans ce domaine est reconnu un peu partout dans le monde, surtout sur le marché professionnel (centres commerciaux, villes, lieux publics). De nombreux installateurs et décorateurs internationaux se tournent en effet vers les créateurs belges pour embellir des endroits « mythiques » comme les Champs Elysées à Paris. La Russie, l’Afrique du Sud, l’Australie, New-York, Chicago… Autant d’Etats ou de villes – et pas des moindres – qui sont très friandes de la magie de Noël à la Belge !

Noël !

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Page 14: Smile #1 FR

Snake gliss

Sports d’hiverNouvelles sensations

L’AIRBOARDVenu des Alpes suisses, l’airboard est en quelque sorte le bodyboard des neiges, sauf qu’ici, la planche se gonfle. C’est allongé sur ce « matelas gonflable » que vous dévalerez les pistes, tête la première, mais protégée par un casque. Sensations garanties, au ras de la neige. L’engin se dirige

en déplaçant le poids du corps pour utiliser les carres dans les virages. Le coussin d’air amortit les sauts et l’apprentissage est assez simple.

LE SKI JOERINGPas besoin de pente ni de vent pour pra-tiquer le ski joering. Le skieur est tracté par un cheval ou un poney à l’aide d’un cadre rigide, et se laisse guider sur le parcours. Ce sport de glisse permet d’apprécier la montagne dans le respect de la nature et de l’environnement.

LE SNAKE GLISSVous connaissiez la luge, voici le snake gliss, aussi appelé « serpent des nei-ges ». C’est probablement la plus con-viviale des nouvelles disciplines de glisse. Autre avantage : elle est accessible au plus grand nombre et ne requiert pas de technique particulière. Son principe est

Il est bien loin le temps où le ski régnait en

maître absolu sur les montagnes enneigées.

Depuis quelques années, les nouvelles

disciplines se multiplient dans les stations.

En famille ou entre amis, seul ou à plusieurs,

les occasions de glisser ne manquent pas.

Sport

Ski Joering

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Page 15: Smile #1 FR

on ne peut plus simple : chaque partici-pant dispose d’une luge spécifique avec laquelle il s’assemble aux autres afin de former un petit train. A la tête de celui-ci, un moniteur spécialisé dirige la troupe sur plusieurs kilomètres le long des pistes en fonction du nombre de participants, de leurs envies et de leur aisance.

LE YOONERLe Yooner est un autre dérivé de la luge et, à l’instar de l’airboard, il est assez

facile à appréhender. L’équipement se présente sous la forme d’un

petit monoski surmonté d’un siège et d’un manche pour

le diriger. Proche du sol, il donne rapidement une

sensation de vitesse. Autre avantage :

les chutes sont peu douloureuses. Dans le pire des cas, vous tombez assis dans la neige et le Yooner s’arrête tout seul. Moins physique, moins technique et moins risqué que le ski, il fait de nombr-eux émules sur les pistes.

LE SNOWKAYAKVous connaissez le kayak ? Remplacez l’eau par la neige, et vous obtenez le snowkayak. Plus sérieusement, cette jeune discipline est née au début des années 2000 et dispose depuis 2007 d’un championnat du monde. Le snow-kayak consiste donc à dévaler les pistes sur… une embarcation de rivière ! Les kayaks sont fartés afin de mieux glisser sur la neige, et peuvent atteindre 50 km/h. Comme sur l’eau, c’est avec les pagaies que l’embarcation se dirige. Un sport à réserver aux casse-cou et à pra-tiquer avec un casque…

LE SNOWSCOOTNettement moins facile à manier que le Yooner, le snowscoot s’adresse avant tout à ceux qui ont une expérience en VTT ou en moto tout-terrain. Il est composé d’un cadre qui res-semble à celui d’une trot-

tinette renforcée, de deux planches simi-laires à des snowboards, d’une fourche et d’un guidon pour orienter la planche avant. La planche arrière est fixée au cadre, et celle de devant est solidaire de la fourche. Conçu pour être utilisé sur les remontées mécaniques, le snowscoot se pratique debout, sur ou en dehors des pistes.

LE SNOWKITELe kitesurf des neiges s’appelle snow-kite. Le sport consiste à être tracté par une aile proche de celle d’un parapente, à glisser sur la neige et à faire des figu-res. Le snowkite utilise indifféremment une planche de snowboard ou des skis. Lorsque le vent souffle fort, les vols peuvent atteindre plusieurs dizaines de mètres de haut. Le snowkite peut éga-lement s’exercer avec un kitewing en remplacement de la voile traditionnelle.

Le kitewing est une aile qui se manie directement avec les mains, sans système de commande.

Snowscoot

Yooner

Snow kayak

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Dans le nord-ouest de l’Océan pacifique, à l’est des îles éponymes, la fosse des Mariannes est une sorte de longue cicatrice de 2.550 km dans la croûte terrestre. C’est là que l’on trouve l’endroit le plus profond de la terre, à 11 km sous la surface de l’eau. Ce point, baptisé Challenger Deep, est le lieu le plus hostile du globe. Plongé dans l’obscurité permanente, il est littéralement écrasé par une pression de 1.100 atmosphères, c’est-à-dire 1.100 fois plus forte qu’à la surface de la Terre. C’est là que le cinéaste James Cameron, réalisateur d’Abyss, Titanic et Avatar a décidé de plonger à bord du sous-marin Deepsea Challenger. C’était le 25 mars dernier.

LE TROISIÈME HOMMEJusque-là, et alors que pas moins de 12 hommes ont déjà foulé la surface de la lune, seules deux personnes avaient atteint le fond des océans. Il s’agissait de Jacques Picard et Don Walsh. En 1960, ils plongèrent à 10.916 m dans le bathyscaphe Trieste. Depuis, plus rien ! Un demi-siècle plus tard, Cameron est le premier à tenter l’aventure en solo. Son sous-marin, qui a nécessité 8 années de recherche, pèse 12 tonnes, contre 150 tonnes pour le Trieste. Il est alimenté par des milliers de petites batteries lithium-ion et piloté par plus de 180 systèmes électroniques.

FILMÉ EN 3DLe Deepsea Challenger a atteint 10.898 m après une descente de 2h36. L’engin a passé plusieurs heures au fond, battant ainsi le record de 20 minutes détenu par le Trieste, avant de remonter en 70 minutes. Le tout à la verticale, comme une torpille envoyée vers l’inconnu. Des caméras ont filmé toute la plongée en 3D, éclairée par un gigantesque panneau LED. Les images seront exploitées non seulement par les scientifiques, mais aussi pour la réalisation d’un documentaire.

LE RÈGNE DES MICROBESMais qu’y a-t-il tout au fond ? Au moment de s’y poser, James Cameron évoque « le néant du dessous qui ondule comme un voile de soie. La vase la plus fine que j’aie jamais vue s’élève en volutes, telle la fumée d’une cigarette, et reste en suspens, quasi-immobile ». Il n’y a donc rien, les poissons ne s’aventurant pas plus bas que 8.400 m. Pas de traces de vers non plus, ni de concombres de mer. Pourtant, la vie est bien là, sous forme de microbes. C’est la conclusion des chercheurs qui ont analysé les prélèvements remontés à la surface, et isolé pas moins de 20.000 microbes. Le règne de l’infiniment petit, dans l’infiniment profond…

Pendant que Curiosity fait des trous sur Mars

pour y trouver des traces de vie, le réalisateur

James Cameron explore en solo le plancher

océanique de notre planète bleue. Direction

la fosse des Mariannes, à 11.000 mètres de

fond. Là où la vie n’existe pas. A moins que…

Le point, baptisé Challenger Deep, est le lieu le plus hostile du globe.

Le sous-marin de l’expédition a nécessité 8 ans de recherches.

Aventure

Deepsea Challenger

des abyssesVoyage au fond

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g

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5,9 - 9,2 L/100 KM ◆ 155 - 216 G CO2/KM.Modèle présenté avec options. Informations environnementales (AR 19/03/04): www.audi.be

L’artde faire naître un sourire.La nouvelle Audi A8 fascine d’abord par sa ligne sculpturale époustouflante et son charisme exceptionnel. Mais à bord, c’est l’art d’associer à la perfection les innovations technologiques de pointe et l’émotion d’un intérieur sobre et luxueux qui ne manquera pas de vous faire esquisser un léger sourire.

- Audi félicite ALD Automotive pour son nouveau magazine SMILE -

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SKODA RAPID SPACEBACKAvec la Rapid Spaceback, SKODA in-vestit pour la première fois le segment de véhicules le plus important d’Euro-pe, celui des hatchback compactes. Largement personnalisable notamment grâce à son toit panoramique en verre et sa lunette arrière allongée, elle se dis-tingue aussi par son vaste habitacle et son généreux coffre (415 l). La version GreenLine se contente de 3,8l/100 km, soit 99 g de CO2/km.

SEAT LEON STAprès la 5 portes et le coupé (SC), la Leon se décline en version break (ST). Plus longue de 27 cm que la berline, la Leon ST joue résolument la carte de la

sportivité. Pour autant, elle ne fait pas l’impasse sur les aspects pratiques, loin s’en faut. De 587 litres banquette en place, le coffre passe à 1.470 litres une fois les sièges arrière repliés. Sur certains niveaux de finition, les objets les plus longs (jusqu’à 2,5 m) peuvent être logés en rabattant le siège du pas-sager avant.

RENAULT MÉGANEL’ensemble de la famille Mégane (ber-line, coupé, Grandtour) bénéficie d’une cure de jouvence et adopte la nouvel-le identité visuelle de la marque (face avant). Bruxelles aura même droit à la version CC (Coupé-Cabriolet) en premi-ère mondiale. La gamme Mégane inau-gure également l’association du moteur essence de 130 ch avec la boîte à dou-ble embrayage EDC.

Le Salon de Bruxelles qui se profile à l’horizon est

l’occasion pour les constructeurs automobiles de

présenter les modèles qui feront l’actualité du début

d’année. Un showroom géant dans lequel nous vous

convions pour une petite visite en avant-première.

18 Automobile

Salon de Bruxelles

Le plein de nouveautés

Mazda 3

Skoda Rapid Spaceback Seat Leon ST Renault Mégane

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MERCEDES-BENZ GLAAprès la Classe A et le coupé CLA, Mer-cedes-Benz décline le « A » sous forme de crossover avec la GLA. Compacte (4,4 m de long), mais affichant une belle prestance, la nouvelle GLA vient étoffer l’offre de la marque en tout-terrain qui comptait déjà dans ses rangs les GLK, ML, GL et G. Disponible en deux ou quatre roues motrices, la GLA reprend les moteurs de la berline dont elle est dérivée.

OPEL MERIVAPremière mondiale pour le nouvel Opel Meriva au Salon de Bruxelles, qui reçoit une nouvelle face avant inspirée de la nouvelle Insignia. Le nouveau Meriva hérite du nouveau moteur 1.6 CDTI en version 136 ch qui se contente de 4,4 l/100 km (116 g de CO2/km). D’autres déclinaisons de ce bloc suivront en 2014. Côté équipement, il reçoit le sys-tème multimédia IntelliLink doté d’une navigation rapide et intuitive.

BMW SÉRIE 4 CABRIOLETAprès le coupé, c’est au tour du ca-briolet Série 4 de faire tourner les têtes sur le stand BMW. Son toit rigide es-camotable en trois parties séduit par une isolation phonique remarquable. Avec son ciel de pavillon entièrement habillé, l’ambiance à bord est très pro-che de celle du coupé. Lorsque le toit est ouvert et logé dans la partie arrière, un mécanisme d’aide au chargement soulève le toit replié pour faciliter l’accès au coffre.

AUDI A3 CABRIOLETBasée sur la nouvelle A3 Berline, l’A3 Cabriolet est plus longue mais moins haute que sa devancière. Fidèle à la capote en toile, elle s’ouvre ou se ferme en moins de 18 secondes jusqu’à une vitesse de 50 km/h. Peu encombrante une fois repliée, elle permet de conser-ver un volume de coffre généreux. Plus légère de 50 kilos que la précédente génération, la nouvelle A3 cabriolet ac-cueille sous son capot les mêmes mo-teurs que la berline.

VOLKSWAGEN GOLF SPORTSVANLa Golf Sportsvan prend le relais de la Golf Plus et sera commercialisée à la mi-2014. Ce monovolume compact se caractérise par une habitabilité éton-nante, une large ouverture des portes et une position plus élevée des sièges. Pratique, la banquette arrière coulisse sur 18 cm et les dossiers des sièges sont inclinables. Le volume de coffre varie ainsi de 498 à 586 l. La version 1.6 TDI BlueMotion se contente de 3,7 l/100 km (95 g de CO2/km).

FORD TOURNEO CONNECTLes nouveaux Tourneo Connect (5 places) et Grand Tourneo Connect (7 places) combinent espace intérieur et polyvalence pour répondre aux besoins des familles. Ils offrent ainsi une modu-larité optimale grâce à leurs multiples configurations d’assise, leurs nombreux rangements et leurs portes arrière cou-lissantes. Ils se distinguent aussi par leur faible consommation et des équipe-ments exclusifs sur le segment comme l’Active City Stop et le système SYNC.

VOLVO R-DESIGNAmbiance sportive chez Volvo qui pré-sente les versions R-Design des modè-les S60, V60, XC60 et V40. Les modè-les de la série 60 bénéficient d’un nouveau museau plus expressif et plus dynamique. A l’arrière, le diffuseur spécifique est encadré par la double sortie d’échappement chromée. Les sièges sport associant nubuck et cuir

19Volvo R-Design Ford Tourneo Connect BMW Série 4 Cabriolet

Audi A3 Cabriolet

Mercedes GLA

Opel Meriva

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équipent de série les modèles R-De-sign, lesquels peuvent être associés à toutes les motorisations proposées dans la gamme standard.

PEUGEOT 308Même si Peugeot présente des fa-ce-lift de ses 3008 et 5008, la reine du stand reste la 308. Grâce à la nou-velle plateforme modulaire, la nouvelle Peugeot 308 affiche des dimensions compactes et une masse allégée (-140 kg), alors que ses émissions de CO2 font référence dans son seg-ment. La qualité de fabrication place la voiture au niveau des meilleures, il-lustrant une fois de plus la montée en gamme de la marque.

HYUNDAI i10Plus longue, plus basse et plus lar-ge que sa devancière, la nouvelle i10 soigne sa ligne pour s’imposer dans le segment A. Conçue et développée en Europe (Centre R&D de Rüsselsheim, en Allemagne) pour les Européens, elle offre le plus grand coffre de sa catégo-rie et une habitabilité record. Très bien équipée de série, elle offre le choix entre deux petits moteurs à essence (1.0 ou 1.2).

NISSAN NOTELe nouveau Nissan Note débarque avec un véritable « bouclier de sécuri-té ». Détection des angles morts, alerte de franchissement de voie, détection des objets en mouvement lors des manœuvres : le Nissan Safety Shield utilise les données recueillies par une caméra grand angle. Le nouveau Note est aussi la première voiture du seg-ment B à proposer un système de vi-sion panoramique à 360° qui permet de voir les abords du véhicule lors des manœuvres.

MAZDA 3Disponible en version berline ou 5 por-tes, la nouvelle Mazda 3 se distingue par un équipement multimédia éton-nant. En plus des fonctions e-mail, sms et navigation, le système propose un large éventail de contenus mobiles gratuits dont Facebook et Twitter. Sous le capot, on retrouve la technologie SKYACTIV avec plusieurs moteurs à essence de 100 à 165 ch et un diesel de 150 ch.

RANGE ROVER HYBRIDELes Range Rover et Range Rover Sport hybride combinent le moteur 3.0 l SDV6 avec un moteur électrique développant 35 kW et 170 Nm de couple. La puis-sance combinée atteint 340 ch et 700 Nm, de quoi passer de 0 à 100 km/h en moins de 7 secondes et pointer à 218 km/h tout en se contentant de 6,4 l/100 km, soit 169 g de CO2/km.

LEXUS GS 300hAprès la 450h, la GS se décline désor-mais en version 300h. La GS 300h est animée par le même module hybride que l’IS 300h. Le moteur thermique 2,5 litres de 181 ch est combiné à un moteur électrique de 143 ch. L’entraî-nement des roues arrière est assuré via la transmission électronique à variation continue ECVT. Malgré une puissance combinée de 223 ch, la consommation moyenne ne dépasse pas 4,7 l/100 km (109 g de CO2/km).

20 Automobile

Lexus GS 300h

Hyundai i10

Peugeot 308

Range Rover Hybrid

Nissan Note

Infos

Où ? Brussels Expo, Place de Belgique/Avenue Miramar, 1020 Bruxelles

QUAND ?Du jeudi 16 au dimanche 26 janvier de 10 à 19hNocturnes les 17, 20 et 24 janvier jusqu’à 22h

COMBIEN ?Adultes : 13 eEnfants de 6 à 12 ans : 7 eEnfants de moins de 6 ans : gratuitGroupes : cartes 10 entrées à 80 e

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From electricto electric

Ferdinand Porsche naît en 1875 à Maffersdorf, en Bohème du Nord, à une époque où l’électricité fait ses premiers pas dans la vie quotidienne. Il n’a que 8 ans lorsque Thomas Edison invente la lampe à incandescence et, très vite, il se passionne pour cette nouvelle invention, allant jusqu’à monter un petit générateur dans la maison familiale pour y installer de l’électricité. Il a 24 ans lorsque, en tant que « chef constructeur » pour le carrossier Lohner, il crée l’Elektromobil dont chaque roue avant est actionnée par un moteur électrique situé au centre de la jante. Très vite, il est tenté par l’idée de créer une voiture hybride.

DE VIENNE À STUTTGARTPendant 25 ans, Ferdinand Porsche connaît un parcours professionnel qui le mène à Vienne chez Austro-Daimler où il réalise, entre autres, la Sascha, une voiture de course commandée par le comte Sascha Kolowrat, un

riche producteur de films. Il part ensuite à Stuttgart chez Daimler-Benz où il participe au développement des moteurs à compresseur ainsi que des célèbres S, SS et SSK avec, à la clé, de nombreuses victoires en compétition.

MOTEURS DE LÉGENDEEn 1930, Ferdinand Porsche crée son propre bureau d’études à Stuttgart où son génie pourra s’exprimer en toute liberté. Il conçoit, entre autres, les moteurs 6 cylindres pour Wanderer ainsi que les voitures de courses à moteur central arrière V16, les fameuses « flèches d’argent », pour le compte de Auto Union. En 1936, il met au point la Mercedes T-80, une machine destinée à battre le record du monde de vitesse dont le développement doit être arrêté par le déclenchement des hostilités. C’est la guerre. Ferdinand Porsche meurt en 1951.

Du 6 au 19 décembre, le musée Autoworld de Bruxelles vous emmène à la découverte de l’extraordinaire

histoire de la famille Porsche. Du début du siècle à nos jours, les « quatre Ferdinand » ont marqué l’automobile

de leur empreinte. Une épopée fantastique qui a fait de Porsche une marque à nulle autre pareille.

Exposition

Ferdinand Porsche

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FERRY ET LA 356En 1947, c’est Ferdinand Anton Ernst Porsche dit « Ferry » qui poursuit l’œuvre de son père en mettant au point, dans les ateliers aménagés dans une ancienne scierie à Gmünd, en Autriche, la toute première voiture signée Porsche : la 356 n°1, un roadster à moteur central arrière. Elle est immédiatement suivie par une petite série de 356 à moteur arrière, descendante directe de la « Berlin-Rome », un prototype développé avant la guerre par Ferdinand Porsche. Un an plus tard, Ferry fonde la société Porsche.

BUTZI ET LA 911En 1963, c’est le fils de Ferry, Ferdinand Alexander Porsche dit « Butzi », qui reprend le flambeau. Passionné d’aérodynamisme, il de-vient responsable du studio de design de la société. C’est lui qui dessine, entre autres, la 904. Mais son œuvre maîtresse n’est autre que la mythique 911, appelée à succéder à la 356.

La 911 est présentée au Salon de Francfort en 1963. Le début d’une longue épopée…

PIËCH ET LA COURSELe quatrième « Ferdinand » de l’histoi-re Porsche est Ferdinand Karl Piëch, petit-fils de Ferdinand Porsche. Il est le deuxième fils de Louise Porsche, sœur aînée de Ferry, et d’Anton Piëch. En entrant dans l’entreprise familiale en 1963, au département technique, Ferdinand Piëch remplace d’emblée la 904 par une voiture plus moderne : la 906 ou Carrera 6, l’ancêtre de la 917, la première Porsche à triompher aux 24 Heures du Mans en 1970. On lui doit aussi la partie mécanique de la 911. Ferdinand Piëch n’a cessé de se fixer de nouveaux objectifs et hissa la marque sur les plus hautes marches du podium des circuits du monde en-tier. Il est nommé à la tête du Groupe Volkswagen en 1993 puis devient Pré-sident du Conseil de Surveillance du groupe en 2002.

RETOUR À L’HYBRIDEAujourd’hui, la Porsche 918 Spyder est dans les starting-blocks. Avec sa propulsion hybride (un moteur V8 thermique et deux moteurs électri-ques), elle offre des performances de premier plan pour une consommation très mesurée. 113 ans après la Loh-ner-Porsche Elektromobil, elle consti-tue, avec la Panamera E-Hybrid, un magnifique hommage aux origines de la marque. La boucle est bouclée…

Porsche, une histoire de famille.

info

OÙ ?Autoworld BrusselsParc du Cinquantenaire 111000 Bruxelleswww.autoworld.be+32 (0)2 736 41 65

QUAND ?Du 6 au 19 décembreEn semaine de 10h à 17h, sa-medi et dimanche jusqu’à 18h

COMBIEN ?Adultes : €12 Groupes/Etudiants/Seniors/Non valides : €9 Enfants de 6 à 12 ans : €6 Gratuit pour les moins de 6 ans

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Materialise

L’impression 3D (chez Materialise, on préfère d’ailleurs parler de « fabricati-on additive ») commence seulement à susciter l’intérêt de la presse en raison du lancement d’imprimantes compac-tes destinées au consommateur lamb-da. Malheureusement, il y a quelques mois, on a aussi beaucoup entendu parler de cet individu qui avait imprimé un… pistolet en 3D ! Les produits fa-briqués par Materialise grâce à cette technologie sont heureusement plus pacifiques, et surtout plus utiles. For-te de plus de 22 années d’expérience, Materialise a développé et amélioré sa technologie au cours des deux der-

nières décennies... et la R&D constitue encore aujourd’hui l’un des piliers de la société. La technique est au point, et les applications pour les clients ne cessent de se multiplier. Materialise est passée de trois unités commerciales à huit en à peine trois ans... et rien ne semble pouvoir freiner cette croissance exponentielle.

TECHNOLOGIEComme son nom l’indique, la fabrication additive se base sur la superposition de couches multiples pour aboutir à un produit final. Une toute autre approche lorsqu’on la compare aux méthodes de

L’impression 3D fait couler beaucoup d’encre dans la presse, comme s’il s’agissait d’une technologie

émergente. Mais saviez-vous que la plupart des brevets ont été déposés dans les années 80 et qu’un

des leaders mondiaux a son siège à Louvain ? La société Materialise est rapidement devenue un acteur

mondial dans une large gamme de secteurs. Les possibilités de l’impression 3D semblent infinies, mais

c’est surtout le bref délai entre la conception et la production qui rend cette technologie prometteuse.

Technologie

L’impression

3D

Une révolution industrielle !

C’est surtout sa flexibilité et sa capacité à produire à la demande qui rend cette technologie révolutionnaire.

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production traditionnelles. On réalise d’abord un moule prototype, puis une machine ou une ligne de machines fabrique des produits à grande échelle. Cela ne signifie pas que la fabrication additive va supplanter soudainement toutes les méthodes de production existantes. La force de cette technologie constitue à fabriquer de petites séries de produits sur-mesure sans devoir ouvrir une usine entière. Un produit est conçu en 3D sur l’ordinateur (CAO ou conception assistée par ordinateur) et le design est directement reproduit par l’imprimante 3D. C’est surtout sa flexibilité et sa capacité à produire à la demande qui rend cette technologie révolutionnaire.

Il ne s’agit d’ailleurs pas

d’une technologie uni-que. En effet, Materialise

utilise aujourd’hui trois métho-des différentes dont le facteur

distinctif est la matière utilisée pour l’impression. La première s’appelle le FDM (Fused Deposition Modelling). Un fil de matière est extrudé pour devenir semi-liquide (comme du dentifrice) et imprimer l’objet couche par couche à travers une buse. Le FDM n’est autre que la technologique utilisée dans les imprimantes des particuliers, dispo-nibles aujourd’hui sur le marché. La deuxième technologie est le frittage sélectif par laser. Ce procédé utilise de la poudre chauffée et agglomérée à l’aide d’un laser à chaud pour former le produit final. La troisième technolo-gie utilise des liquides et est appelée la stéréolithographie. Le même principe prévaut : un rayon laser combiné à des UV chauffe les particules qui mettent en forme le produit final.

APPLICATIONSGrâce à sa flexibilité, la fabrication

additive s’est imposée dans de nombreuses applications. Ainsi, Materialise s’attel-

le à la production de prototypes avec les con-

structeurs automobiles et elle a participé au développement de la batterie du véhicule du Punch Power-train Solar Team belge (voir page 6). En outre, une de ses unités commer-ciales est dédiée au monde médical : la reconstruction faciale, les implants sur mesure, les appareils auditifs, etc. Les applications semblent s’étendre à l’infini. Le secteur du design s’intéres-se lui aussi à l’impression 3D : des accessoires de mode, des meubles ou encore des lampes qui n’auraient pour seule limite que l’imagination humaine. Son atout majeur est que le designer opte lui-même pour l’exclu-sivité en fabriquant des petites ou des grandes séries. Si un produit ne rem-porte pas le succès escompté, le de-signer peut simplement en changer le design et faire imprimer une nouvelle série. Saviez-vous d’ailleurs qu’en tant que client, vous pouviez concevoir votre propre coque pour iPhone (ou tout autre objet) et la faire imprimer par Materialise ? C’est dire si l’impression 3D peut révolutionner toute l’industrie de la vente au détail en proposant des alternatives aux produits de masse.

Le matériel utilisé chez Materialise est à la pointe de la technologie.

infowww.materialise.com

Une envergure mondialeAujourd’hui, quelque 300 personnes hautement qualifiées et de toutes nationalités travaillent au siège de Materialise à Louvain. La société emploie 900 personnes à travers le monde, et possède également des sites à Kiev, en Malaisie, en Chine et au Japon. Enfin, une unité de production se situe aux États-Unis.

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Kiruna, au cœur de la Laponie, à l’extrême nord de la Suède. Ici, le thermomètre peut descendre jusqu’à – 40°C pendant que les avions posent leurs roues sur la piste enneigée du petit aéroport. On vient y faire des balades à chiens de traîneaux, des excursions en motoneige, des promenades en raquettes ou du pilotage sur glace. Mais ce voyage vers le grand nord recèle une surprise de taille : l’Ice Hotel. Que ce

soit pour une simple visite ou une nuit entière, cet endroit à nul autre pareil reste gravé dans la mémoire de ceux qui ont eu la chance de le découvrir. Entièrement fabriqué en glace, cet hôtel est une œuvre éphémère dont la construction commence chaque année en octobre pour se terminer en décembre : 5.000 tonnes de glace, découpée sous forme de 2.500 blocs dans la rivière Torne toute proche, et 30.000 tonnes de neige. De

Ice HotelNuit magique

A plus de 200 km au nord du cercle polaire,

dans le petit village suédois de Jukkasjärvi,

l’Ice Hotel accueille ses hôtes dans des

chambres à – 5°C. Un igloo éphémère de

65 chambres sur 5.500 m2 reconstruit

chaque année avec 1.000 tonnes de glace

prélevées dans la rivière voisine.

Tourisme26

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quoi aménager 65 chambres froides (l’hôtel compte également 72 chambres chaudes) sur plus de 5.000 m2. Mais l’Ice Hotel n’est qu’un prêt hivernal de la rivière, lorsqu’elle se tient tranquille durant les mois de gel. Lorsque le printemps revient, en avril, l’édifice retourne à la Torne sous forme liquide, pour continuer son parcours vers la mer.

SCULPTURE SUR GLACEChaque année, pas moins de 60.000 personnes visitent l’Ice Hotel, et 35.000 y passent une ou plusieurs nuits. On y trouve même une chapelle où sont célébrées les cérémonies de mariage (une centaine par an). Mais il n’en a pas toujours été ainsi. Dans les années 70, la société Jukkas AB, fondée par Yngve Bergqvist, se contentait de proposer quelques activités aux touristes de passage : pêche et rafting en été, skidoo et chiens de traîneaux en hiver. Mais tout bascula en 1989. Cette année-là, inspiré par la tradition japonaise de sculpture sur glace, Bergqvist invita plusieurs artistes à exercer leur talent sur la rivière figée. L’événement pris une toute autre ampleur l’hiver suivant lorsque l’artiste Français Janot Derit fut invité à sculpter un igloo géant de 60 m2 baptisé « Artic Hall ». Les curieux ne tardèrent pas à s’y presser, notamment pour boire un verre au bar aménagé à l’intérieur. Et ce qui devait arriver arriva : un groupe d’illuminés décida de passer la nuit à l’intérieur. L’Ice Hotel était né.

MATELAS EN PEAUX DE RENNESPlusieurs types de chambres sont disponibles, à des prix allant de 300

à €700 la nuit. Les « Art Suites » sont créées par des artistes différents chaque année. Plus simples dans leur conception, les « Ice Rooms » sont moins originales, mais tout aussi confortables, alors que les « Snow Rooms » se présentent sous forme de petits dortoirs de 2 à 4 personnes. Même si la température n’y dépasse pas les -5°C, l’atmosphère de l’hôtel est nettement moins froide qu’à l’extérieur. Dans les chambres, les lits sont fabriqués en glace et en neige. Des peaux de rennes font office de matelas isolants, et l’on s’emmitoufle dans d’immenses sacs de couchages thermiques. Mais avant de s’endormir dans cette nuit qui semble éternelle (il n’y a quasiment pas de lumière en hiver à cette latitude), un détour par le bar « Absolut Vodka » s’impose. On y boit dans des verres, eux aussi taillés dans la glace !

Plusieurs types de chambres sont disponibles, à des prix allant de €300 à €700 la nuit.

infoT +46 (0) 980 66 [email protected]

Dans les chambres, les lits sont fabriqués en glace et en neige.

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