quatre filles et un jean

22
PĂŽle fiction Extrait de la publication

Upload: others

Post on 21-Jun-2022

37 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

Page 1: Quatre filles et un jean

PĂŽle fiction

PĂŽle fiction

Pho

to B

eau

Bra

shar

es

PF1couv4filles_bat.indd 1 27/05/10 16:38

Extrait de la publication

Page 2: Quatre filles et un jean

PĂŽle fiction

FA_4filles_1BAT.indd 3 25/05/10 15:42

Extrait de la publication

Page 3: Quatre filles et un jean

Du mĂȘme auteur chez Gallimard Jeunesse :

Quatre illes et un jean :

2. Le deuxiÚme été

3. Le troisiÚme été

4. Le dernier été

Toi et moi Ă  jamais

Trois amies pour la vie

FA_4filles_1BAT.indd 4 25/05/10 15:42

Extrait de la publication

Page 4: Quatre filles et un jean

Extrait de la publication

Page 5: Quatre filles et un jean

Quatre filles et un jean

Traduit de l’amĂ©ricainpar Vanessa Rubio

Ann Brashares

GALLIMARD JEUNESSE

FA_4filles_1BAT.indd 5 25/05/10 16:14

Extrait de la publication

Page 6: Quatre filles et un jean

“Sisterhood of the Travelling Pants” est une marque dĂ©posĂ©e US de 360 Youth, LLC dba Alloy Entertainment. Tous droits rĂ©servĂ©s.

Cette traduction est publiĂ©e avec l’autorisation de Random House Children’s Books, une iliale de Random House, Inc.

Copyright © 2001 by 17th Street Productions, an Alloy company and Ann Brashares

© Gallimard Jeunesse, 2002, pour la traduction française© Gallimard Jeunesse, 2010, pour la présente édition

FA_4filles_1BAT.indd 6 25/05/10 15:40

Extrait de la publication

Page 7: Quatre filles et un jean

Pour Jodi Anderson,la muse du jean

FA_4filles_1BAT.indd 7 25/05/10 15:40

Extrait de la publication

Page 8: Quatre filles et un jean

Remerciements

Je tiens Ă  remercier Wendy Loggia, Beverly Horowitz,

Josh Bank, Russell Gordon, Lauren Monchik, Marci Senders et, bien sĂ»r, Jodi Anderson, qui m’a inspirĂ©e.

Merci Ă  Jacob Collins, Jane Easton Brashares,et William Brashares.

Mes plus tendres pensées à Sam, Nathaniel,et au bébé qui devrait arriver bientÎt.

FA_4filles_1BAT.indd 8 25/05/10 15:40

Page 9: Quatre filles et un jean

Ceux qui errentne sont pas

toujours perdus. J. R. R. Tolkien

FA_4filles_1BAT.indd 9 25/05/10 15:40

Extrait de la publication

Page 10: Quatre filles et un jean

FA_4filles_1BAT.indd 10 25/05/10 15:40

Page 11: Quatre filles et un jean

11

Prologue

Il Ă©tait une fois un pantalon. Un pantalon tout simple – un jean, bien sĂ»r, bleu mais pas trop foncĂ© ni trop raide comme ceux qu’on sort juste du placard le jour de la rentrĂ©e. Il Ă©tait d’un bleu dĂ©lavĂ©, irrĂ©gulier, un peu plus clair aux genoux et derriĂšre, avec de petits traits blancs dans le bas.

Il avait dĂ©jĂ  bien vĂ©cu. Ça se voyait. Acheter un vĂȘtement d’occasion, c’est un peu comme prendre un chien dans un refuge : on sent que quelqu’un d’autre est passĂ© avant. Notre pan-talon n’avait rien d’un chiot nĂ©vrosĂ© aban-donnĂ© par ses maĂźtres, qui aboie Ă  fendre l’ñme du matin au soir. Non, le nĂŽtre, c’était plutĂŽt un bon chien que ses propriĂ©taires avaient dĂ» laisser Ă  regret parce qu’ils emmĂ©nageaient en appartement ou qu’ils partaient pour un pays oĂč l’on mange les chiens, comme la CorĂ©e (je crois
).

Ce n’était pas un drame qui avait fait entrer ce jean dans notre vie, j’en Ă©tais convaincue. Il avait simplement atterri dans cette boutique Ă 

FA_4filles_1BAT.indd 11 25/05/10 15:40

Extrait de la publication

Page 12: Quatre filles et un jean

12

la suite d’un tournant dans la vie de son pro-priĂ©taire, une de ces pĂ©riodes de transition tout Ă  fait normales, et pourtant tellement pĂ©nibles. C’est ça, la vie de pantalon !

C’était un bon jean, sans prĂ©tention. On pou-vait se contenter de lui jeter un regard et se dire : « Ouais, bon, c’est un jean, quoi », ou bien s’attarder Ă  admirer sa coupe parfaite et son magniique dĂ©gradĂ© de bleu. Ce n’était pas le genre de pantalon qui veut forcer l’admiration. C’était un bon vieux jean, content de faire son boulot : c’est-Ă -dire couvrir les fesses de celle qui le portait sans en faire un boudin.

Je l’avais trouvĂ© au in fond de Georgetown, dans un magasin de vĂȘtements d’occasion coincĂ© entre un marchand d’eau (je ne sais pas pour vous mais, moi, j’en ai autant que je veux au robinet !) et une boutique de diĂ©tĂ©tique qui s’appelle « Yes ! ». Chaque fois que l’une de nous mentionne cette boutique (et nous essayons de la placer aussi souvent que possible dans la conversation), nous hurlons : « YEEEESSSS ! » toutes en chƓur. Bref, j’étais avec Lena, sa petite sƓur, Efie, et leur mĂšre. Efie voulait trouver une robe pour le bal du lycĂ©e. Ce n’est pas le genre de ille Ă  se jeter sur le premier chiffon rouge (dĂ©colletĂ©) venu comme toutes les autres. Elle voulait une tenue originale.

Si j’ai achetĂ© ce jean, c’est surtout parce que

FA_4filles_1BAT.indd 12 25/05/10 15:40

Extrait de la publication

Page 13: Quatre filles et un jean

13

je sais que la mĂšre de Lena dĂ©teste les vĂȘte-ments d’occasion. Des trucs de pauvres, selon elle. Chaque fois que sa ille dĂ©crochait un cintre, elle rĂ©pĂ©tait  : « C’est sale, Efie. » Et, dans le fond, j’ai honte de l’avouer, j’étais assez d’accord avec Mme Kaligaris. En fait, je prĂ©-fĂšre mille fois les Ă©talages bien propres du centre commercial, mais il fallait absolument que j’achĂšte quelque chose. Notre jean atten-dait innocemment, pliĂ© sur une Ă©tagĂšre prĂšs de la caisse. Je me suis dit qu’il avait dĂ» ĂȘtre lavĂ©. Et puis il ne coĂ»tait que 3 dollars 49 cents. Je ne l’ai mĂȘme pas essayĂ©, ce qui prouve que je n’avais pas vraiment l’intention de le porter. Avec les fesses que j’ai, je ne peux pas mettre n’importe quoi.

Efie a choisi une petite robe trĂšs originale, tout Ă  fait le contraire de ce qu’on porte d’ha-bitude au bal du lycĂ©e, et Lena a dĂ©nichĂ© une paire de mocassins avachis. On aurait dit les chaussures de mon grand-oncle. Lena a de grands pieds, elle doit chausser du quarante, quarante et un. C’est la seule partie de son corps qui ne soit pas parfaite. Moi, je les adore, ses pieds ! Pourtant, lĂ , je n’ai pas pu m’empĂȘ-cher de faire la grimace. Ce n’est dĂ©jĂ  pas ter-rible d’acheter des vĂȘtements d’occasion, enin, au moins, on peut les laver, mais des chaussures dĂ©jĂ  portĂ©es


En rentrant Ă  la maison, j’ai fourrĂ© le jean

FA_4filles_1BAT.indd 13 25/05/10 15:40

Page 14: Quatre filles et un jean

14

dans le fond de mon placard et je n’y ai plus du tout pensĂ©.

Il est ressorti de l’oubli la veille des vacances, juste avant que notre petit groupe se sĂ©pare pour l’étĂ©. Je descendais en Caroline du Sud rejoindre mon pĂšre, Lena et Efie allaient pas-ser deux mois en GrĂšce, chez leurs grands-parents, et Bridget partait faire un stage de football Ă  Bahia California (une ville de la cĂŽte mexicaine, comme son nom ne l’indique pas). Tibby restait Ă  la maison.

Ce serait la premiĂšre fois que nous ne passe-rions pas l’étĂ© ensemble, et ça nous faisait tout drĂŽle


L’an passĂ©, nous avions toutes suivi un stage de maths. Lena nous avait convaincues que cela nous aiderait Ă  avoir de meilleurs rĂ©sultats. Pour elle, ça a marchĂ©, comme d’habitude. L’an-nĂ©e d’avant, nous avions travaillĂ© comme ani-matrices stagiaires au camp des Grands-Bois, sur la cĂŽte est du Maryland. Bridget donnait des cours de foot et de natation, Lena s’occu-pait des travaux manuels et Tibby s’est retrou-vĂ©e une fois de plus coincĂ©e Ă  la cuisine. Moi, je donnais un coup de main Ă  l’atelier thĂ©Ăątre, enin, jusqu’à ce que je m’énerve aprĂšs deux monstres de neuf ans et qu’on me transfĂšre dans les bureaux oĂč je passais mes journĂ©es Ă  lĂ©cher des enveloppes toute seule dans mon coin. Ils m’auraient bien jetĂ©e dehors direct,

FA_4filles_1BAT.indd 14 25/05/10 15:40

Extrait de la publication

Page 15: Quatre filles et un jean

15

mais je crois que nos parents avaient payĂ© pour qu’on travaille lĂ -bas, alors


Et, avant ça, nous avions passĂ© l’étĂ© Ă  nous enduire d’huile solaire au bord de la piscine de Rockwood en nous rĂ©pĂ©tant que nous Ă©tions dif-formes (j’avais des seins Ă©normes et Tibby n’en avait pas du tout). J’avais bronzĂ©, c’est sĂ»r, mais mes cheveux avaient catĂ©goriquement refusĂ© d’éclaircir : pas la moindre mĂšche blonde en vue.

Et je crois que, encore avant
 euh, je ne me rappelle pas bien. Tibby a travaillĂ© sur un chantier de bĂ©nĂ©voles, Ă  construire des maisons pour les familles dĂ©favorisĂ©es. Bridget prenait cours de tennis sur cours de tennis. Lena et Efie passaient leurs journĂ©es Ă  barboter dans leur piscine. Et moi, je crois que je regardais pas mal la tĂ©lĂ©, pour ĂȘtre honnĂȘte. Enin, on se retrouvait quand mĂȘme quelques heures par jour et on ne se quittait pas du week-end.

Il y a eu des annĂ©es plus marquantes que d’autres, comme celle oĂč les parents de Lena ont fait construire leur piscine, celle oĂč Bridget a eu la varicelle et nous l’a reilĂ©e. Et l’étĂ© oĂč mon pĂšre est parti.

Nos vies Ă©taient rythmĂ©es par les vacances d’étĂ©. Durant l’annĂ©e, Lena et moi, nous allions Ă  l’école publique du coin tandis que Bridget frĂ©quentait un Ă©tablissement spĂ©cial « sport-Ă©tudes » et que Tibby suivait sa scolaritĂ© Ă 

FA_4filles_1BAT.indd 15 25/05/10 15:40

Extrait de la publication

Page 16: Quatre filles et un jean

16

L’Union, cette drĂŽle de petite Ă©cole oĂč les Ă©lĂšves s’asseyent par terre sur des coussins et oĂč les notes n’existent pas. Du coup, c’était l’étĂ© qu’on se retrouvait vraiment. C’était l’étĂ© qu’on fĂȘtait nos anniversaires l’une aprĂšs l’autre et que tous les trucs vraiment importants se produisaient. Sauf quand la mĂšre de Bridget est morte. C’est arrivĂ© Ă  NoĂ«l.

Toutes les quatre, nous Ă©tions liĂ©es avant mĂȘme de venir au monde. Nous sommes toutes nĂ©es Ă  la in de l’étĂ©, dans un intervalle de dix-sept jours : d’abord Lena, in aoĂ»t, et moi en dernier, Ă  la mi-septembre. Ce n’est pas vrai-ment une coĂŻncidence
 En fait, c’est mĂȘme ça qui est Ă  l’origine de notre amitiĂ©.

L’étĂ© de notre naissance, nos mĂšres se sont inscrites Ă  un cours d’aĂ©robic pour femmes enceintes (non, mais vous imaginez le tableau ?), dans un club baptisĂ© Gilda. Il faut dire que c’était la grande Ă©poque de l’aĂ©robic. La prof les appelait les « filles de septembre » (Lena est arrivĂ©e un peu en avance). Elle devait avoir peur qu’elles explosent en plein milieu du cours car elles Ă©taient enceintes jusqu’aux yeux. Elle allĂ©geait les enchaĂźnements exprĂšs pour elles. Ma mĂšre m’a racontĂ© qu’elle n’arrĂȘtait pas de crier : « Les illes de septembre, vous ne faites le mouvement que cinq fois, attention ! Atten-tion ! » Il se trouve qu’elle s’appelait Avril et les illes de septembre la dĂ©testaient cordialement.

FA_4filles_1BAT.indd 16 25/05/10 15:40

Extrait de la publication

Page 17: Quatre filles et un jean

17

C’est comme ça qu’elles ont commencĂ© Ă  se voir en dehors des cours : pour se plaindre qu’elles avaient les pieds enlĂ©s, qu’elles Ă©taient Ă©normes et qu’elles ne supportaient pas Avril. AprĂšs notre naissance – un vrai miracle : quatre illes (sans compter le frĂšre jumeau de Brid-get) – elles ont continuĂ© Ă  se voir pour se sou-tenir mutuellement. Elles nous laissaient gigo-ter dans un coin sur une couverture pendant qu’elles se plaignaient qu’elles dormaient mal et qu’elles Ă©taient toujours aussi Ă©normes. Le groupe s’est un peu dispersĂ© par la suite, mais l’étĂ© de nos un an, et l’annĂ©e d’aprĂšs et l’an-nĂ©e suivante encore, elles ont continuĂ© Ă  se retrouver Ă  la piscine de Rockwood. Pendant ce temps, nous, on faisait pipi dans le petit bain et on se piquait nos jouets.

AprĂšs, leur amitiĂ© s’est efilochĂ©e, je ne sais pas trop pourquoi. Leurs vies sont devenues trop compliquĂ©es, j’imagine. Deux de nos mĂšres ont recommencĂ© Ă  travailler. Les parents de Tibby ont emmĂ©nagĂ© dans cette ferme, lĂ -haut, au col de Rockville. Finalement, nos mĂšres n’avaient peut-ĂȘtre pas grand-chose en com-mun Ă  part d’ĂȘtre tombĂ©es enceintes en mĂȘme temps. Quand on y pense, c’était franche-ment un drĂŽle de mĂ©lange : la mĂšre de Tibby, la jeune rebelle ; celle de Lena, la Grecque pleine d’ambition qui voulait rĂ©ussir en repre-nant les Ă©tudes ; celle de Bridget, fraĂźchement

FA_4filles_1BAT.indd 17 25/05/10 15:40

Extrait de la publication

Page 18: Quatre filles et un jean

18

dĂ©barquĂ©e d’Alabama ; et la mienne, la Porto-ricaine dont le couple battait de l’aile. Mais, Ă  l’époque, elles ont vraiment Ă©tĂ© amies. J’en ai encore quelques souvenirs.

Maintenant, on dirait que pour elles l’ami-tiĂ©, c’est un truc en option, qui arrive tout en bas de leur liste de prioritĂ©s, aprĂšs le mari, les enfants, le travail, la maison, l’argent, quelque part entre les barbecues et la musique. Pour nous, c’est complĂštement diffĂ©rent. Ma mĂšre n’arrĂȘte pas de me rĂ©pĂ©ter : « Attends, tu ver-ras quand tu auras un copain et que tu feras des Ă©tudes. Tu verras quand tu entreras dans la vraie vie. » Mais elle a tort. On ne laissera pas la vie nous sĂ©parer.

En fait, tout ce qui a ini par rester entre elles, c’était nous, leurs illes. Elles se sont retrouvĂ©es dans la situation de parents divorcĂ©s qui n’ont plus grand-chose en commun Ă  part les enfants et le passĂ©. Elles ne sont pas trĂšs Ă  l’aise quand elles se voient – surtout aprĂšs ce qui est arrivĂ© Ă  la mĂšre de Bridget. Comme si elles avaient peur de raviver de vieilles dĂ©cep-tions et peut-ĂȘtre mĂȘme certains secrets, elles prĂ©fĂšrent en rester Ă  des relations superfi-cielles.

Les illes de septembre, c’est nous mainte-nant. Les vraies. Nous sommes tout les unes pour les autres. Mais nous n’avons pas besoin de le dire, c’est comme ça, c’est tout. Nous

FA_4filles_1BAT.indd 18 25/05/10 15:40

Page 19: Quatre filles et un jean

sommes tellement proches que nous avons par-fois l’impression de ne former qu’une seule et mĂȘme personne. Pour caricaturer, il y a Bridget la sportive, Lena la beautĂ©, Tibby la rebelle et moi, Carmen la
 la quoi ? Le mauvais carac-tĂšre. Mais aussi celle qui s’implique le plus, celle pour qui notre amitiĂ© compte plus que tout.

Vous voulez connaütre notre secret ? C’est trùs simple. On s’aime. On tient les unes aux autres. Et c’est rare, vous savez.

Ma mĂšre dit que ça ne durera pas, mais moi, j’y crois. C’est un signe, ce jean. Il reprĂ©sente la promesse que nous nous sommes faite : quoi qu’il arrive, nous resterons amies. Mais nous nous sommes aussi lancĂ© un dĂ©i. Ça ne suf-it pas de rester terrĂ©es dans nos petites mai-sons climatisĂ©es de Bethesda, au in fond du Maryland. Nous nous sommes promis qu’un jour nous sortirions de lĂ  pour conquĂ©rir le monde.

Je pourrais vous raconter que j’ai adorĂ© ce jean dĂšs le premier coup d’Ɠil et que j’ai tout de suite su apprĂ©cier sa beautĂ©, etc., etc., mais je prĂ©fĂšre ĂȘtre honnĂȘte et vous avouer que j’ai failli le jeter Ă  la poubelle. Je vais remonter un peu dans le temps pour vous expliquer com-ment l’épopĂ©e du jean magique a commencé 

FA_4filles_1BAT.indd 19 25/05/10 15:40

Extrait de la publication

Page 20: Quatre filles et un jean

La chance ne donne pas,elle prĂȘte.

Proverbe chinois

FA_4filles_1BAT.indd 20 25/05/10 15:40

Page 21: Quatre filles et un jean

Mise en pages : Maryline GatepaillePhoto de couverture © Patrick LĂ©ger ISBN : 978-2-07-055162-0Loi n° 49-956 du 16 juillet 1949 sur les publications destinĂ©es Ă  la jeunesseDĂ©pĂŽt lĂ©gal : juin 2010N° d’édition : 6410 – N° d’impression : xxxxxxImprimĂ© en France par Firmin Didot

Le papier de cet ouvrage est composé de ibres naturelles, renouvelables, recyclables et fabriquées à partir de bois provenant

de forĂȘts plantĂ©es et cultivĂ©es expressĂ©ment pour la fabrication de la pĂąte Ă  papier.

FA_4filles_1BAT.indd 384 25/05/10 15:41

Page 22: Quatre filles et un jean

Quatre filles et un jean Ann Brashares

Cette Ă©dition Ă©lectronique du livre Quatre filles et un jean d’ Ann Brashares

a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e le 18 juillet 2012 par les Éditions Gallimard Jeunesse.

Elle repose sur l’édition papier du mĂȘme ouvrage (ISBN : 9782070551620 - NumĂ©ro d’édition : 247112).

Code Sodis : N54041 - ISBN : 9782075027595 NumĂ©ro d’édition : 247516.

Extrait de la publication