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Uaiai». •'IV.aMrtitsdble 85 25 85 20 » »• > 05 V* 83 50 83 40 • ». . 40 i i/2*/.-... 113 50 11350 - «> . .« &*/. .............. 119 05 119 >• • » 05 BULLfTIN ; En parlant de la séance parlementaire de jeudi, on poorrait dire : la journée des in terpellations. Au Sénat, H . de Garayon-Latour a posé au ministre de la guerre une question, qui a pris bientét l’importance d'uneinte/pellation, sur la mise à la suite d’officiers supérieurs de l’armée territoriale. Pourquoi, a-t il demandé, Jë ministre n’a-t-il pas respecté les droits de ces officiers? Quel avantage trouve t-il à rem placer de jeunes officiers par des officiers retraités? H. le ministre de la guerre a répondu que ces jeunes officiers étaient insuffisants et que de vrais officiera de l’armée valent mieux. Quant àux droits prétendus de ces officiers. Ils seraient supérieurs à ceux des officiers de l'armée active si le mfnistre n’avait pas la faculté de leur retirer l’emploi, en leurlaissant le grade. Ils conserveront donc le grade. Mais jusqu'à quel âge? Jusqu’à quarante ans, a dit le ministre, et cette limite est natorelle ; car, les officiers de l’armée territoriale n’étant pas obligés de servir après quarante ans, on comprend que le ministre ne soit pas obligé de les garder lorsqu’ils ont dépaséé la qua- rantalnei M. de Carayon-Latour avait reproché au ministre d’avoir exclu des officiers pour raison politique. Il ne faut pas, disait-il, faire entrer la politique dans l'armée. — Le ministre de là guerre a répondu : Gela est vrai. Il faut Qéoae l’en faire sortir. Et je fais sortir la politique de l’armto territoriale lorsque je mets à la suite certaine officiers qui vont, dans des réunions politiques, faire des pro fessions de foi hostiles à la République. I a Chambre avait à entendre la discussion dé l’Interpellation de H. Godelle sur les faits énoncés dans la lettre de démission de H. Jodm aull, secrétaire généraldufoüvernement de l’Algérie. Ledéputé bonapartiste a donné, dès le début, un caractère tellement injurieux à son interpellation que des incidents fâcheux devaientnéeessairëmentseproduire. La droite voulait une séance tapageuse. Elle l'a eue, ou plutôt elle l’a faite. Il est devenu nécessaire d’appliquer'le règlement nouveau pour ré primer ses violences. Trois feis la censure a été appliquée dans cette séance : d’abord, à H. Godelle, avec exclusion temporaire; puis à H. Gunéo d’0 ^ nano et à H. deBaodry-d’Asson. La Oiumbre, pleinement satisfaite des ex- plicalic^ excellentes de H. Albert Grévy, gouverneur général de l’Algérie, qui parlait à titre de commissaire du gouvernement, a volé, par 367 suffrages, un ordre du jour ap- proüvanrla conduite de H. Albert Grévy. Vendredi, au début de la séance de la Chambre, M. Paul Bert a déposé no projet de loi rendant obligatoire, pendant un an au moins, le service militaire pour les futurs membres de l’enseignement et les futurs mi nistres des .cultes. Sans entrer dans la discussion de celte grave question, nous rappellerons que, dans le récent congrès des Instituteurs, il a été adopté un vote tendant à ce que le privilège de re.xemp(ion fut supprimé pour les Insti- tuteujs; que'l’exemption accordée aux sémi naristes date seulement de 4818; et qu’enfin elle n’existe, pour les futurs ministres' des cultes, ni en Italie ni en Altemague. Dans ce dernier pays, les futurs ministres des cultes sont astreints à un an de service militaire, et les instituteurs à six mois seule ment. La loi militaire qui vient d’être votée par le Relcbtag-,oblige même les ecclésiasti ques à participer aux exercices de la réserve complémentaire. Le séminariste fait donc, en Allemagne, un an de service, et de plus, lorsqu'il est devenu ministre du culte, il n’est pas exempt du service de la réserve. La proposition déposée, on a été témoin d’une scène curieuse : deux bonapartistes de mandant l'urgence, l’un parce qu’il est favo rable à la proposition, l’autre parce qu’il lui est hostile; un légitimiste appuyant aussi la demande d’urgence, parcq qu’il veut que la proposition soit repoussée au plus vite. L’ur gence a été déclarée, et la proposition est renvoyée à une commission spéciale. On a ensuite abordé la discussion de la se conde section du tarif général des douanes, relative aux matières minérales. Nous signa lerons seulement un vole important :1e rejet d’un amendement supprimant le droit de douanes existant actuellement sur les houilles étrangères. Ce droit rapporte dix raillions au Trésor. La discussion continuera aujourd’hui. chage aura Iti-u précisément dans le 8* arrondis sement qu’babiie le président de la République Mntre lequel a été profM l’injure qui a valu à H. Godelle cette peine disciplinaire. E" w qui concerne la censure siniple infligée ■ aM . Beudry-d’Arson et Guneo d’Ornano, 1rs conrëquences de cette peine sont la privation, P^J^ant un mois, de la moitié rie. l’indemniié et 1afucmge comme dans lè cas précédent. U. Godelle, nen-seulemont ne peut pa» venir Héger dans la Balle des séances, mais il lui n t même interdit de reparaître dans l’enceinte du Pahis-Bourbon avant l’expiration du délai réglementaire. S'il y reparaias>ait, il serait, aux termes de l’article 126 du rtelemeni, arrêté par 1oMre des questeurs et conduit dans un local préparé à cet effet, où il punrrait être retenu pendant trois jours au plus. liWORUiTIO.VS POLITIOUEi le Journal officiel publié le mouv« m «it ad ministratif suivant : 8 odi nommés sour-préfciB ; M. 8»¥ou» uk, à Choiet ; M. Bonini, à Gérct ; U. Sainsère, à Loudéac. Sont nommés conseillers de préfecture • W. Pealrfl.dansfLére; M. Uémon, dans les Lotes-du-Nord ; B. Faisant, dans le Pas-rie- Calaip; M. Richard, dans b- Cantal ; M. Denis Ardouin, dans la Drôme ; U. Cuérilaull, dans 1Allier. X Le retour da M. Mariel, présid.nt du Sénat, est ajourné, sur le conseil de bon médecin. Il wt probable qu'il n'aura lieu que vers le 40 mai. 11 se confirme de plus en plus que M. Martel est disposé à maintenir sa démission. Li’JËxclusion éemporaire. La Chambre a prononcé jeudi la peine de la censure avec exclusion temporaire contre M. Go delle, le député bonajiariiale du huitième arron- dpseraent de Paiis, et la peine de la lensure simple contre MM. fiaudiy-d'Asson et Cuneo d Ornano. C’est la première fois qu’on aura l’occasion, à propos de l’exécution de ces peines discipli naires, d’appliquer les nouvelles dispositions du r^lem ent de la Chambre. Aulrefois, la censure avec exclusion temporaire ne comportait l’inter diction de reparaître i la Chambre que pendant trois séancei et la privation de la moitié do traitement pendant un mois. Mais, i la euiio des violences répétées de M. Püul de Caniagoac, la Chambré dut renforcer •en régi ment. En vertu des nouviilcs dispositioni votées il y a quelques mois et appliqué4*s aujourd'hui pour la première fois à M. Godelle, » la censure avec exclusion temporaire entraîne rinlerdiciion de prendre part aux travaux de la Chambre et de reparaître dans le palais législatif jusqu’à 1 expiration du jour de la quinzième s^nce qui suivra celle eù la mesure aura été prononcée/ » u ^ règlement. H. Godelle ne pourra donc revenir siMer qu’à la ei'ance du 40 mai prochain. En oulre, la censure avec exclusion tempo raire rmporte de droit la privation de moitié de I indemnité pendant deux mois. Enfin, cette même peine entraîne l’impres- sien et I affichage à deux cents exemplaires, aux frais de H. Godelle, de l'extrait du procès-verbal mentionnant la censure dans toute 1étendue da sa circonscription. Il est à remarquer que l’affi- C’^ l itemsin qu’aura tieu le second tour da scrutin dans la première circonsr.riuiion de BeHar.çin pour l'é ectioii d’un député en rem placement de M. Albert Grévy. On se rjppelle que trois candidats républicains étaient en irPMnce: M. Bcauquier, rie l .xliôme gauche; d. Olivier Ordinaire, de l'Union républicaine, t-t M. Dsvid, de la gauche. Ce dernier vient de fedérist«‘r; la luilc reste donccirconscrile emreMM. Beauquieret Ordi naire. X l>8 prélats contimun: à prote.M«r contre les décçftis du 29 mars II nous faut sianalcr cnrorH ai»j.)urt hiii une lettre de rarclievèque ri’Aix à M. le président de la République et uue de I évôque d'Amiens au mu.ietre de l'intérieur et des cultes. X H. de Radowilz, te ministre plénipotentiaire chargé de l’intérim du prince de Ilohenlohe, a rendu visite mercredi àJM. Garabctia. Le pré sident de la Chambre a retenu près d une lieurê le représentant d’Allemagne, qui, dans le courant de renlratieii, a affirmé qu’il serait relevé de ses fonctions vers la fin du mois d’août. X M. Gambetta a également reçu mercredi la visite de M. Grévy, chez qui il avait déjeuné la veille «n lêie-à-téte. Le»'deux présidents out fait une prora-nade assez longue dans les jardins du Palaifi-Bourbun. dos pmts Un seul port, dans la province de GoDslMtlQO, n’ayait pas son chemin de fer. port de Bougie, qui a la meilleure l’Algérie, qui est le débouché naturel de la p line de 8étif, riche en laines et en cé réales !t qui sera la Beauce de TAlgérie. Malhetffeusement, le trajet entre ces deux points travaux route d plus be du Diab reverse un pays ipontagneux, où les sont très difficileè. Là se trouve la terre du Chabet-el-Àkhra, l’un des ux travaux do l'ingénieur; ■ la route , comme disent les Kabyles. U. L'InlerpellatioB Godelle. La Compagnie de l’Est algérien avait ob tenu, sous le 'gouvernement dn général Cbanzy, la concession de diverses lignes de chemins de fer. Les unes sont exécutées, les autres en cours d’exécution. La concession d’autres lignes à la même Compagnie avait été préparée par le général Chanzy; elle a été faite, sauf ratification des Chambres, parM. Albert Grévy, avec cette modification avanta geuse pour l’Etat, que la garantie d’intérêt, .accordée à 6 O/o pour les lignes coacédéespar le général, n’est plus que de 5 0/ q quant aux lignes concédées par M. Albert Grévy. C’est là, on l’avouera, de la bonne administration. Mais les lignes parallèles à la mer, concé dées à l’Est algérien, doivent se raccorder à Albert (révy a pensé, et avec raison, que, quelles due fussent les difficultés da tracé, il était néressalre do construire cette ligne. Le gomerneur général s’est adressé à l’Est algérlenj et il a bien lait, car celte Compa gnie est toncessionnaire de la ligne centrale d'Alger i|' Gonstantine,’ passant par Séllif, et la ligne de-Sélif à Bougie n’est qu’un embran chement-qui revient naturellement à cette ^"igeagple. _ ^lipTÉst algérien a accepté'cette condition, qui serait léonine, s’il n’avait pas traité avec lËlat, dont la bonne foi n’abusera pas d’un engagement imprudemment pris par cette Compagnie, - l’Est algérien a accepté celte condition de consentir, comme base de Il garantie d'intérêt accordée par l’Etat, la chiffre, quel qu'il soit, qui sera fixé par les ingénieurs de 1 Etat, dans leur évaluation de la dépense à faire. Do telle sorte que, si le prix des travaux opérés par lui dépasse les évaluations des ponts et chaussées, l’intérêt ne lui sera pas garanti pour l'excédant. Ce traité, si avantageux, a été signé. Il est la base d’un projet de loi soumis aux Cham bres. Mais il n’a pu être signé que sous la clause résolutoire de l’approbation ultérieure des Chambres. SI le Parlement ne l'approuvait pas, il serait sans effet; mais à coup sûr il sera approuvé. Tout allait donc pour le mieux lorsque M. Journauli, laissé seul à Alger, eut l’idée bi zarre d’accorder une autorisation d’études nouvelles sur la ligne de Sétif à Bougie à cer^ tains individus. Cette autorisation venait hors de propos, quand un traité était déjà signé avec l'Est al gérien, quand ce traité était approuvé par le conseil général des ponts et chaussées et ac cepté par le gouvernement. Ajoutons que la Compagnie concurrente n’était pas sérieuse, qu’elle n’a pas fait d’études sérieusement, et que son intervention ne pouvait qu’entraver l’opération. M. Journault, pour justifier l’autoiisation malencontreuse de nouvelles études, qu'il avait faites de son chef, a dit que l’interven tion de cette prétendue Compagnie avait dé cidé l’Est algérien à abaisser le chiffre de la garantie demandée par lui. Or, nous venons de le dire, il n'y a pas de chilirefixé. Le chiffre sera fixé ultérieurement par les ponts et chaussées, et l’Est algérien l’accepte d’avance, quel qu’il soit. M. Jour nault n’était pas an courant; il aparlélégè- mént, et maintenant il est certain qu’il a re connu son erreur. Si M. Godelle, après les explications que nous résumons et que H. Albert Grévy a données avec une clarté et une précision qui ont convaincu tous ses auditeurs, avait re connu de bonne foi son erreur, la discussion était finie. Mais le député bonapartiste a maintenu son dire, en l’exprimant de nouveau en termes injurieux. La question n’en est pas moins jugée, jugée définitivement, contre lui, et en faveur de U. Albert Grévy. M. Godelle n’a pas été plus heureux quant à l’exposé des griefs personnels que H. J oun nault, l’ancien secréulre-général, croit avoir contre le gouverneur de l'Algérie et des criti ques qu’il dirige, dans sa lettre an ministre, contre l’administration de son chef hiérar chique. I M. le ministre de l’intérieur a refusé avec raison de discuter ces griefs et ces critiques. Les rapports d’un chef de service avec son subordonné sont du ressort de l’adnilnislra- tion, et le Parlement n’a pas à s’en occuper. Ce sont des affaires d’intérieur, des questions de ménage qui ne doivent pas sortir des bu reaux, dont le ministre seul est juge et qui ne sont point de la compétence du Parlement. _ Les Chambres n'ont à apprécier que les actes administratifs; les discussions entre ad ministrateurs ne les concernent pas. Or, les actes administratifs ont été expli qués hier de la manière la plus satisfaisante, et la Chambre a été satisfaite. Le ministre avait déclaré qu’il prenait la responsabilité des actes du gouverneur général, dont 11 est le chef, et la Chambre a approuvé à la fols les actes du gouverneur et le ministre qui les couvrait de sa responsabilité. Lia Commission des Tarifs. ^ 1.8 commûsBioli rfg tarif général des douanes «est réunis v.'n.trerii avant la séance publique, pour fiialuer tur les an o ïdemenl» aux diiréreols articles du projet qui devai-int venir aujourd’hui en riiscuesion. M. Crozct-Fourneyron bm I présenté pour eouU'ijjr le droit rie 9 fr. par 100 k-los sur les rails d acier, que la commission a frappés d’un droit de 7 fr. 50, et que le gouverui-mi-ul pro- po--e de taxrr à 6 f'r, seul) ment. M. So'iriguea a d< mandé que le droit sur les rail- d acier soit de 2 fr. 50 seulement. La com- misKion a r«-pouftié les amendemeiiU Crozn- Kourneyron et Sourigues et maintenu U droit de 7 fr. 50, précériemmenl adopté par elle comme droit de lard g nr-ral. ü'i aiD-ndimenl rie M. Betlimoni, relal.f à lineciiption dais lé tarif d'un article nouveau quiviseiail Iw briqu.liiw de liouillD pi|,.s ag_ glomenes jour le,qiul8 M. Beilmio Id.mande uu droit spécial de t fr. 50 mt 100 kilos, a été egalem<nt rejeté. M. Marqiiivui a développé ensuite ron amen dement SU! Ie.«i fils de fer eiamés ou non, cui- wes OU ziiigués qu’il propo o de porier aux droits reepeilifs de 12 fr. les 100 kilos quand Ils ont de 1 millimètre s 5 dix èm.s de milli mètre, de 15 fr. quand le diamè re est iiifériei.r a 5 dix’omes, et de 8 fr. pour tous les autres, anieiidemt’iil repnu-sé. El fiii.la cimmisMon a statué >urlesamen- ifeitieriis relaiifs aux roaliëie.s niinéialt?, lunin- leiiaiit SOS piétéJeiite.t dè.i-iori.*», sauf en ce qui c<ii.>rne les cimMiis exempts jusqu’ici et qu elle frappe d un dioit do 0 fr, 40 les 100 itilos. .Mercredi, la commission te réunira pour ixa- miner les amendimcnts concernant lesindus- t^riestextiles qnl emre dans la tioisième section du tarif. * E * donc paru opportun do nvênlr à w «vn| 1831. et des prinripei coosacrÀ dm des arràts de la cour de casMtlon. ^ - € En coniéqueme, le ministr* des financM'i îîSm S rt eiroplemènt, Je 8 avril 4880, la décision du 25 juin I852.‘ • , « Les agents auranl soin d’appljqner d ^ r.^ mais aux artes prévus par celte dêdnon \m rtgles ordinaires de la perception des drmts d enregistrement et de transcription. ' Le eonieillêr d état, directeur général de Teerep^freiiieiif des domaines et du timbre, < L eclkb. > Comme on éerll l’Ustoire. L'BcJo du Jford a découvm une perle, une fS L ’”'” ’’ <le I. plue M e eau. frissons la parole à qotre ceofrèfe : dans le ÿontteur unirerw/, s'il tous pl.ll . C est anjpnrd hui que le ninisire de l’ine- E n ”rfi!; 3“' " ' “ d* * /’omiTOo» guU « fM e ulAjte. ta voyage eel pour le moinrat, le dernier de ç8ui au'jl .'éUil proposd de laite po,|^r provoquer Ses lUauif.alStion. d'oprSo” en fjveur de ea puliiiqua II. Jules Ferrr . Ire- roio de ces manireslaliona pour se consolider dsna ea ronviclion. Ce qui e lgrave, ceiiéadanl, et ce qu ou ne noui» dit pas, c’est qu'il a saisi î™.ürT**’ ‘W '»'® » du nécnum- lement des populations. » Ainsi, voilà comitent Jps journaux réaction- n.ires sfrvent leur lecteure I Et voilà la manièro im .V Ï f f " 9ueiit les piliis entrefilets veni meux qu ils adressml diaque jour au scuver- nemenr. M. K,.rry, . ce V 'o u riche « " î le plus grand FOin, mais ce que le Moniteur a »u par èes jmelligFDce» particulières, saétéi'obiet de manifeslatioiw ll081llF^• à Lille, où U n'arnl virj que samedi prochain lll VoHà ce qui s appelle un jonrnal renseigné I SÉNAT Ld© L’as© et l©8 OoiagpégalionsF La circulaire suivar.le vient d'être adressée aux din clcurs de l'enrfgiitrement : Une décision prise par le minûtre des financi's le 2,'* juin 1862 a exempté du droit proportionnel d’enregistrement, sous certaines conditions, les a< tes par lesquels les membres rie» congrégations religieuses de femmes dé- clareiit, dans les six mois de leur reconnaissance legaJe, que les biens acquis en leur nom ner- sonnçl sont la propriété rlTrctive de I. commu- nauté. < Cette décision, ainsi que l’indique son con- texte, constituait une dérogation à l’article 17 de la loi du 18 avril 1831, suivant lequel les acquisitions des e départements, arrondiase- menls, communes, hospices, séminaires, fa briques, congrégations, consistoires et autres établissements publics, » sont pa>«ibles des droits proportionnels d’enregistrement et de transcription selon le droit commun. < L’immunité qu’elle consacre au profit des congrégations ne pouvait pas d'ailleurs être maintenue en présence de la jurisprudence, ac tuellement bien établie, d’après laquelle tout acto ou d^laration ayant pour objet de faire passer les biens sur la tête d'une autre personne que ccl e qui en éiait propriétaire apparent d après J acte d’acquisition, opère en droit fiscal transmission passible de l’impôt proportionnel. Séance du 22 aerif 1880. Unn quc,.| on du M. de C.r.yon Lalour >u raiMHio n,. 1. guvrrv, une in crpnllaliou de M. lleniy pouinier au garde d™ tcrall, ut pour . grrroeider loul cela, de. iuterrupiido.! uw «TI8, uiie a^-itatioii |.rè.'que cuiiiiuue.vvoilà beaucoup de tiovail dai.s une seule séance! La b mal. lieui. iisciiiFi.t. a de» jours plu» calmes. Toute cette i/ri-ivcsceme s’explique. Nos séraleurs viennent de se rein ro p r en pioTmce: ; t'I a l««r ardeur juvénile. D.-« deciets du 29 m an, il n’e-t point mlniTn b’épmseraii inuiile- menl dans une lulerpellalion à ce sujet, eoa- damiiee d avance. On va l’épuiser daos de petites escarmouches. C'est plus amusant et moins dangereux. 1. ™ p': 1" '^f“ïon-L,tonr ce plaint que le nunislru de la guerre ait, au mepna d u droiu atquiH, juge bon de mettre à la auite piusieun 0 liciers aiiperieura de l’armée teinteriale. See plaintes durent quinio minutes, avec des ve nantes sur ce thème ccnnu : honneur, patrio- Itsme, services tendus, dro ls acquis, et, pas de politique dans 1 armeel En quelques .mots, M. le général ftrro explique les maures qu’il a cru devoir prendre. Il rte faut pas longtemps à ces militaires pour dire ce qu Ils ont à dire, et le dira bieaVAd R un décret rendu pèr le conseil d E u t qui justifia ces meeuree. politique, ajoute 1 honorable géuefai, en scandant a phr^i. je me garderais bien de le récuser en aucone façon. 'I“0 f* politique n’entre pas dans I armee, il faut qu elle en sorte. J'ai agi pour le plus grand bien derarméel... Et, là-dcesue, le ministre descend de la tri- bune, au milieu dra applaudiBsemenle de là ® . l 1 ahurissement de la droite, qui S n E IT >!•»« I» bouch. d’ h Snqucs ‘‘“ «PliMUonsiuseicT I '“u l'inlerpellstion, Apiis I. Isver de rideau, la pièce. M. Henry Fournier (Cher), se plaint surtout qnele décret du U «vrii 1879, qui n’admet tu FEUILLETON (50) SANS FAMILLE PAR ■ M to r HAleOT. DEUXIÈME PARTIE Car c'était l’amitié senle qui avait provoqué ce en et nop rintéréi. Mania n’avait pas bm in de root pour Bigner sa vit, il éuit parfaitement capable de la gagner tout seul. A vrai dire même, il avait pour cela des qua lités natives que je ne possédais t>w au même degré que loi, il s’en fallait beaucoup. D’abord il était bien plus apte que moi à jouer de tous l« instrameots, à ciianter. à daqser à, remplir tous les rôles. Et pois il savait encore bien mienx que noi eng^er « l’honorable société, ■ comme diiaitVitaliSphaettrelamainh la poche. Rien que par son sourire, ses yeux doux, ses dents Maoeheo, son sir ouvert, il loucbait les ccrars les moins senaibles h la générosité, et sans rien demander il ins|draU aux gens l’envie de donner i on avait plaisir à lui faire plsislr. Gela était si vrai, que pendant sa courte expéditloo avec Capi, tandis qiM je me faisait rotüeor, Il avait tronvé ; moyen d’amasüer dix-huit francs, ce qui était une somme considérable. Cent vingt-huit francs que nons avions en MfsM et dix-huit francs gagnés par Matiia, cela faisait un total de ceni quarante-six francs ; il ne manquait donc plus que quatre francs pour acheter la vache an prince. Bien que je ne voulusse pas travailler aux mines, ce ne fut pas sans chagrin que je quitui Tarses, car il fallut meséparer d’Alexis, deroncle Gaspard et do roagister; mais c’était ma destinée de me séparer de ceux que j'aimals et qui me me lémoigoaienl de l’afreciion. Bq avant! ^ J**T>o snr l'épaule et le sac sur le dos, noos voilà de noovesQ sor les grands chemins avec CsjM joyeux qui se roule dans la powriére. J avoue que ce ne fut pas sans un senilment de satisoctioD, lorsque noos fûmes sortis de vanes,qiN je frappai dn pied ta route Mnora, qui retentissait autrement que le sol booeux de la mine : le bon soleil, les beaux arbres! Avant notre départ, nous avions, ,Maiiia et mol, Unguement discuté notre itinéraire, car je * II*® sur les cartes et il ne s imiginait plus que les distances n’étaient pas plus longues pour les jambes qui font ono roule, que poùr le doigt qui lur uno carte va d’une ville à une autre. Après avoir bien peaé te pour et le contre, nous avions décidé qu'au lien de nous diriger directement sur Ussel cl de là sor Chavanon, nous passerions par Liermont, ce qui n’allongerait'pas beaucoup notre route et ce 3 ui nous donnerait l’avantaged'czploiter les villes ‘eaux, à ce moment pleines de malades, Saint- Nceiaiiy, la Mont-Dore, Royal, la Bonrboule. Pendant que je faisais le métier de rouleor, Mattia dans son excuntion avait rencontré un ^ n ire u r d'ours, qui se rendait h ces villes d MQX, où, avalt-U dit, on pouvait gagner de l’argeni. Or, Mattia voulait gagner de l’argent, trouvant que cent cinquante francs pour acheter unevache, ce n’éuit pas assez. Plus nous aurions d argent, plus la vache serait belle, pins mère Bar^rln serait contente, et plus mère Barberin serait contente, plus noua serions heureux de notre côté. H fallait donc noos diriger vers Clermont. En venant de Paria à Varses,j’avab commencé I instruction de Hailia, lui apprenant à lire et lui enseignant aussi les premiers éléments de la musique; de Varses à Clermont, je continuai mes leçons. Soitque je ne fusse pas on très-bon prefesseor, — ce qui est bien possible, soit que Mattia ne fût pas nu bon élève, ■— ce qui est ponibte sossl, — toujoqn esivil qu’en lectureles progrès furent lents et difficiles, ainsi que je l’avais déjà diL ^ Mjui J aval! b«D .'appliquer et coller aea y en anr le livre, il Usait tontes sortes de cboaes fantaisistes qui faisaient plus d’honneur à son imagination qu’à son attention. Alprs quelquefois l'impatience me prenait cl, frappant sur fe livre, je m’écriai avec colère que décidément il avait la tfiie trop dure. Sans sàfécber, il me regardait avec ses grands yeux doux, et souriant : — C'est vrai, disait-lt,Je ne l’ai tendre que quand «Ht cogne dessus j Garofoli, qui n’éult nas béto, avait tout de suite trouvé cela. Comment rester en colère devant une pareille répoiM? Je riais et nous reprenloos nos Icm s. Mais en musique les mêmes difficultés ne s étaient ^présentées, etdés le.débnt MatUa avait fàit des progrèsétonnanis, eisi r^narquabies. que bien vile il en était arrivé à m’élonner nar ses qoestkm t pois après m’avoir étonné, il m avait embarrassé, et enfin il m’avait pfosd’nne iMi Intertoqné au point que J'étais reeté oout • B ij’avooe que cela m'avait vexé et mortifié: Je prenais su sérieux mon rôle de professeur; et je trouvais liumiliGotquemonétèvem’adressaidcs questions auxquelles je ne savais que répoudre ; il nie sembla que c’était jusqu’à un certain point tricher. Et il ne me les épargnait pas les questions, mon élève : ^ — Pourquoi n écnt-on pas la musique sur la même clef? — Pourquoi emploie-t-on les dièzes en mon tant et les bémols en descendant f — Pourquoi la première et la dernière mesure d on morceau ne cratiennent-eiles pas toujours le nombre de temps r e l i e r f — Pourquoi accotw-t-on un violen snr certaines notes plaiôtqoesur d’autres? A cette dernière question j’avats dignement répondu que le violon n’étant pas mon instru ment, je ne m’élals jamais occupé de savoir comtneût on devait l’on ne devait pas l'accorder, et Mattia n’avait en rien à répliquer. otànière de me tirer d’affaire n’avait pas été de mise avec des questions comme celles qui so rapportaient aux clefs ou aux bémols : cela 's snjiliquaU tout simplement à la musique, à la théorie de la musique; j ’étais professeur de musique, professeur de solfège, je devais ré pondre ou je perdais, je le sentais bien, mon autoriié et prestige; or, j’y tenais beaucoup à mon autorité et à mon {wesiige, Alore, quand je ne savais pas ce qu’il v avait à répondra, je me lirai d’embarras comme l’oncle GasMid, quand Ini demandant ce qnec'était que le charbon do terre, il me disait avec assurance : C est du cbarboti qu’on trouve dans la terre, il ?*“ wn»nce, je répondais k Mania, I ^ n e je n'avais rien k lui répondre : a l i ï . r t l . S . ’w ! '’ Mattia n était pas d’on caractère à s’insurger contre une loi. seulement il avait une façon de me regarder en ouvrant la bouche et en écar- quillent les yeux, qui ne me rendait pas du tout fier de moi. 11 y avait trois jours que nous avions quitté Varsi», lorsquil me posa précisément une question de ce genre : au lieu de répondre à son pourquoi : « Je ne sais pas, . je lèpondis noble ment ; » Parce que cela est. » Alorsil parut préoccupé, et de toute la journée je ne pus pas lui tirer une parole, ce qui avec loi était bien extraotdlnaire, car il était toujours disposé à bavarder et à rire. Je le pressai si bien qu'il finit par parler. Certainement, dit-il, tu es on bon pro- foMur, et je crois Men que personne ne m aurait enseigné comme toi ce que j'ai appris • cependant... * Il s'arrêta. — Quoi cependant T — Cependant, il y a peut être des choses que tu ne sais pas : cela arrive aux plus savants, n est-ce pas? Ainsi,quand tu me réponds :« t'ela est, parce que cela est, . il y aurait peut-être d autres raisons à donner que to ne donnes pas parce qu'on ne le les a pas donnée» à toi-méœe. Alors, raisonnant de cette façon, je me suis dit que si lu voulais, nous pourrions peut-être acheter, oh pas cher, un livre où se trouveraient les principes de la musique. — Gela est juste. “T Pw l J® pensais bien que cela le paraîtrait juste, car enfin lu ne peut pas savoir tout ce qu’il y a dans les livres, puisque tu n’as pas apmit dans Iw livres. — Un bon maître vaut mieux que le meilleur livre. ^ — Ce que tu dis là m’amène à te parler de quelqae chèse encore t si tu voulais, j'k is de- j mander une leçon à on vrai maître, une senle et alors il faudrait bien qu’il me dise tout ce anâ je ne sais pas. ^ — Pouçqnoi n’as-tu pas pris cette leçon au« près d un vrai maître pendant que lu étais seul ? Parce que les vrais maîtres se font paver et je n aurais pas voulu prendre le prix de rette leçon sur ton aident. J’étais blessé que Mattia me pariât ainsi d'na vrai maître, mais ma sotte vanité ne tint pas contre ces derniers mots. — To es on trop bon garçon, lui dis-je, mon a ^ n t est ton argent, puisque lu le gsgoea comme moi, mieux que moi, bleu s o u v e n ttu' prendras autant de leçons que in voudras, et te les prendrai avec toi, , Pois j’ajouui bravement cet aveu de mm igoorance. — Comme cela je ponrrai, mol -aumi ad- prendre ce que je ne sais pas. Le maître, le vrai mittre qu'il nons fallait, eu n était pas un' ménétrier de village, nuis ou artiste, un grand artiste, comme ou en trouve seulement dans les villes importintce. La carte me disait qu’avant d’arriver à clermoei, la vUle la plus importante qui se trouvait aar Boim nmie était Mend& Mande était-il vratoMil une ville imporiaote, c'est cp que je ne savais pas. mais comme le caractère dans Irtnal sou mom était écrit sor la carte loi donnait cette imnoiy lance, je no pouvais croire que ma carte. ' Il fut donc décidé que ce serait à Mende ouo noua ferions la grosse dépeute d’use Iccou oe musique ; car bien que nos recette* tesswt^nlm que médiocres dans ces tristes m ûeiiB 2 .4àia Lozère, où le* villages sont n re i *t S ? Æ | te Mail” . *** (dMters).

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F e a ille ia a i S a ru Famille, p a r H ec to r M alo t.

f t o u r s e d é P a p iA »(Otiilob» T4Ùgr«|;blqo«).

CiSur»» do S3 do St Haoii». Uaiai».•'IV.aMrtitsdble 85 25 85 20 » »• > 05• V* 83 50 83 40 • » . . 40i i / 2 * / . - . . . 113 50 113 50 - «> . .«& */............... 119 05 119 >• • » 05

BULLfTIN; E n parlant de la séance parlem entaire de

jeudi, on poorrait d ire : la journée des in ­terpellations.

A u Sénat, H . de Garayon-Latour a posé au m inistre de la guerre une question, qui a p ris bientét l’im portance d 'uneinte/pellation, su r la mise à la su ite d ’officiers supérieurs de l ’arm ée territoriale. Pourquoi, a - t il demandé, Jë m inistre n’a-t-il pas respecté les droits de ces officiers? Quel avantage trouve t-il à rem­placer de jeunes officiers p ar des officiers re tra ités?

H . le m inistre de la guerre a répondu que ces jeunes officiers étaient insuffisants et que de v ra is officiera de l’armée valent mieux. Q uant àux d ro its prétendus de ces officiers. Ils seraient supérieurs à ceux des officiers de l'arm ée active si le mfnistre n’avait pas la faculté de leur re tirer l’emploi, en leurlaissant le grade. Ils conserveront donc le grade. Mais ju squ 'à quel âg e ? Jusqu’à quarante ans, a d it le m inistre, e t ce tte limite e s t natorelle ; c a r, les officiers de l’arm ée territoriale n’étant pas obligés de serv ir après quarante ans, on com prend que le m inistre ne soit pas obligé de les garder lo rsqu’ils ont dépaséé la qua- rantalnei

M. de Carayon-Latour avait reproché au m inistre d’avoir exclu des officiers pour raison politique. Il ne faut pas, disait-il, faire entrer la politique dans l'arm ée. — L e m inistre de là guerre a répondu : Gela est v ra i. Il faut Qéoae l’en faire so rtir. E t je fais so rtir la politique de l’arm to territoriale lorsque je m ets à la su ite ce rta ine officiers qui vont, dans des réunions politiques, faire des p ro­fessions de foi hostiles à la République.

I a Chambre avait à entendre la discussion dé l’Interpellation de H . Godelle su r les faits énoncés dans la le ttre de démission de H .Jodm au ll, secrétaire généraldufoüvernem entde l’A lgérie. L edépu té bonapartiste a donné, dès le début, un caractère tellement injurieux à son interpellation que des incidents fâcheux devaientnéeessairëm entseproduire. La droite voulait une séance tapageuse. E lle l 'a eue, ou plutôt elle l’a faite. I l es t devenu nécessaire d’app liquer 'le règlem ent nouveau pour r é ­prim er ses violences.

Trois feis la censure a été appliquée dans ce tte séance : d’abord , à H . Godelle, avec

exclusion tem poraire; puis à H . Gunéo d’0 ^ nano e t à H . deB aodry-d’Asson.

La O ium bre, pleinem ent satisfaite des ex- p lic a lic ^ excellentes de H . A lbert Grévy, gouverneur général de l’A lgérie, qui parlait à titre de commissaire du gouvernement, a volé, p ar 367 suffrages, un ordre du jou r ap- p ro ü v an rla conduite de H . Albert Grévy.

V endredi, au début de la séance de la C ham bre, M. Paul Bert a déposé no projet de loi rendan t obligatoire, pendant un an au m oins, le service m ilitaire pour les futurs m em bres de l ’enseignem ent et les futurs m i nistres des .cultes.

Sans e n tre r dans la discussion de celte grave question, nous rappellerons que, dans le récent congrès des Instituteurs, il a été adopté un vote tendant à ce que le privilège de re.xemp(ion fut supprim é pour les Insti- tu teu js; q u e 'l’exemption accordée aux sémi naristes da te seulem ent de 4818; e t qu’enfin elle n’existe, pour les fu turs ministres' des cultes, n i en Italie ni en Altemague.

Dans ce dern ier pays, les futurs m inistres des cultes son t astreints à un an de service m ilitaire , e t les instituteurs à six mois seule­m ent. La loi m ilitaire qui vient d’être votée p ar le Relcbtag-,oblige même les ecclésiasti­ques à partic iper aux exercices de la réserve com plém entaire. Le sém inariste fait donc, en Allemagne, un an de service, e t de plus, lorsqu'il es t devenu m inistre du culte, il n ’est pas exempt du service de la réserve.

La proposition déposée, on a été témoin d ’une scène curieuse : deux bonapartistes de­m andant l'u rgence, l’un parce qu’il est favo­rable à la proposition, l’au tre parce qu’il lui es t hostile; un légitimiste appuyant aussi la demande d ’urgence, parcq qu’il veut que la proposition so it repoussée au plus vite. L’ur­gence a été déclarée, e t la proposition est renvoyée à une commission spéciale.

On a ensuite abordé la discussion de la se­conde section du tarif général des douanes, relative aux m atières m inérales. Nous signa­lerons seulem ent un vole important :1e rejet d ’un am endem ent supprim ant le droit de douanes existant actuellem ent sur les houilles étrangères. Ce dro it rapporte dix raillions au Trésor. La discussion continuera aujourd’hui.

chage aura Iti-u précisément dans le 8* arrondis­sement qu’babiie le président de la République M ntre lequel a été p rofM l’injure qui a valu à H . Godelle cette peine disciplinaire.

E" w qui concerne la censure siniple infligée ■ aM . Beudry-d’Arson et Guneo d’Ornano, 1rs conrëquences de cette peine sont la privation, P^J^ant un mois, de la moitié rie. l’indemniié et 1 afucmge comme dans lè cas précédent.

U. Godelle, nen-seulemont ne peut pa» venir Héger dans la Balle des séances, mais il lui n t même interdit de reparaître dans l’enceinte du Pahis-Bourbon avant l’expiration du délai réglementaire. S'il y reparaias>ait, il serait, aux termes de l’article 126 du rtelemeni, arrêté par 1 oMre des questeurs et conduit dans un local préparé à cet effet, où il punrrait être retenu pendant trois jours au plus.

liWORUiTIO.VS POLITIOUEil e Journal officiel publié le mouv« m « it ad­

m inistratif suivant :8 odi nommés sour-préfciB ; M. 8»¥ou» uk,

à Choiet ; M. Bonini, à Gérct ; U. Sainsère, à Loudéac. ’

Sont nommés conseillers de préfecture •W. P ealrfl.dansfL ére; M. Uémon, dans les

Lotes-du-Nord ; B. Faisant, dans le Pas-rie- Calaip; M. Richard, dans b- Cantal ; M. Denis Ardouin, dans la Drôme ; U. Cuérilaull, dans 1 Allier.

XLe retour da M. Mariel, présid.nt du Sénat,

est ajourné, sur le conseil de bon médecin. Il w t probable qu'il n'aura lieu que vers le 40 mai.

11 se confirme de plus en plus que M. Martel est disposé à maintenir sa démission.

Li’JËxclusion éemporaire.La Chambre a prononcé jeudi la peine de la

censure avec exclusion temporaire contre M. Go­delle, le député bonajiariiale du huitième arron- dpseraent de Paiis, et la peine de la lensure simple contre MM. fiaudiy-d'Asson et Cuneo d Ornano.

C’est la première fois qu’on aura l’occasion, à propos de l’exécution de ces peines discipli­naires, d ’appliquer les nouvelles dispositions du r^ lem e n t de la Chambre. Aulrefois, la censure avec exclusion temporaire ne comportait l’inter­diction de reparaître i la Chambre que pendant trois séancei et la privation de la moitié do traitement pendant un mois.

Mais, i la euiio des violences répétées de M. Püul de Caniagoac, la Chambré dut renforcer •en régi ment.

En vertu des nouviilcs dispositioni votées il y a quelques mois et appliqué4*s aujourd'hui pour la première fois à M. Godelle, » la censure avec exclusion temporaire entraîne rinlerdiciion de prendre part aux travaux de la Chambre et de reparaître dans le palais législatif jusqu’à 1 expiration du jo u r de la quinzième s^nce qui suivra celle eù la mesure aura été prononcée/ » u ^ règlement.H. Godelle ne pourra donc revenir siMer qu’à la ei'ance du 40 mai prochain.

En oulre, la censure avec exclusion tempo­raire rmporte de droit la privation de moitié de I indemnité pendant deux mois.

Enfin, cette même peine entraîne l’impres- sien et I affichage à deux cents exemplaires, aux frais de H. Godelle, de l'extrait du procès-verbal mentionnant la censure dans toute 1 étendue da sa circonscription. Il est à remarquer que l’affi-

C’ l itemsin qu’aura tieu le second tour da scrutin dans la première circonsr.riuiion de BeHar.çin pour l'é ectioii d ’un député en rem­placement de M. Albert Grévy. On se rjppelle que trois candidats républicains étaient en irPMnce: M. Bcauquier, rie l .xliôme gauche; d. Olivier Ordinaire, de l'Union républicaine,

t-t M. Dsvid, de la gauche.Ce dernier vient de fedérist«‘r; la luilc reste

donccirconscrile emreMM. Beauquieret Ordi­naire.

Xl>8 prélats contimun: à prote.M«r contre les

décçftis du 29 mars II nous faut sianalcr cnrorH ai»j.)urt hiii une lettre de rarclievèque ri’Aix à M. le président de la République et uue de I évôque d'Amiens au mu.ietre de l'intérieur et des cultes.

XH. de Radowilz, te ministre plénipotentiaire

chargé de l’intérim du prince de Ilohenlohe, a rendu visite mercredi àJM. Garabctia. Le pré­sident de la Chambre a retenu près d une lieurê le représentant d’Allemagne, qui, dans le courant de renlratieii, a affirmé qu’il serait relevé de ses fonctions vers la fin du mois d’août.

XM. Gambetta a également reçu mercredi la

visite de M. Grévy, chez qui il avait déjeuné la veille «n lêie-à-téte. Le»'deux présidents out fait une prora-nade assez longue dans les jardins du Palaifi-Bourbun.

dos pm ts Un seul po rt, dans la province de GoDslMtlQO, n ’ayait p as son chemin de fer.

port de Bougie, qui a la meilleure l ’A lgérie, qui es t le débouché naturel

de la p line de 8étif, riche en laines e t en cé­réales !t qui sera la Beauce de TAlgérie. Malhetffeusement, le traje t en tre ces deuxpoints travaux route d plus b e du Diab

reverse un pays ipontagneux, où les sont trè s difficileè. Là se trouve la terre du Chabet-el-Àkhra, l’un des

ux travaux do l'ingén ieu r; ■ la route , comme disent les Kabyles. U.

L'InlerpellatioB Godelle.L a Compagnie de l’E st algérien avait ob­

tenu, sous le 'gouvernem ent dn général Cbanzy, la concession de diverses lignes de chemins de fer. Les unes sont exécutées, les au tres en cours d’exécution. La concession d’autres lignes à la même Compagnie avait été préparée p a r le général Chanzy; elle a été faite, sauf ratification des Chambres, p arM . A lbert Grévy, avec cette modification avanta­geuse pour l’E ta t, que la garantie d ’intérêt,

.accordée à 6 O/o pour les lignes coacédéespar le général, n ’est plus que de 5 0/q quant aux lignes concédées par M. A lbert Grévy. C’est là , on l’avouera, de la bonne adm inistration.

Mais les lignes parallèles à la m er, concé­dées à l ’E s t algérien, doivent se raccorder à

Albert (rév y a pensé, e t avec raison, que, quelles due fussent les difficultés da tracé, il é ta it néressalre do construire cette ligne.

L e gom erneur général s’est adressé à l’Est algérlenj e t il a bien lait, car celte Compa­gnie es t toncessionnaire de la ligne centrale d 'A lger i|' Gonstantine,’ passant par Séllif, et la ligne de-Sélif à Bougie n’est qu’un em bran­chem ent-qui revient naturellem ent à cette ^"igeagple. _

^lipTÉst algérien a accepté'cette condition, qu i serait léonine, s’il n’avait pas traité

avec lË la t , dont la bonne foi n ’abusera pas d ’un engagement im prudem m ent p ris p ar cette Compagnie, - l’E s t algérien a accepté celte condition de consentir, comme base de I l garantie d 'in térê t accordée p a r l’E ta t, la chiffre, quel qu'il so it, qui sera fixé p ar les ingénieurs de 1 E ta t, dans leu r évaluation de la dépense à faire. Do telle sorte que, si le prix des travaux opérés p a r lui dépasse les évaluations des ponts e t chaussées, l’intérêt ne lui sera pas garanti pour l'excédant.

Ce traité, si avantageux, a été signé. Il est la base d’un projet de loi soumis aux Cham­bres. Mais il n’a pu ê tre signé que sous la clause résolutoire de l’approbation ultérieure des Chambres. SI le Parlem ent ne l'approuvait p as, il serait sans effet; m ais à coup sû r il sera approuvé.

T out allait donc pour le mieux lorsque M. Journauli, laissé seul à Alger, eu t l ’idée b i­zarre d ’accorder une autorisation d ’études nouvelles sur la ligne de Sétif à Bougie à cer^ tains individus.

Cette autorisation venait hors de propos, quand un traité é ta it déjà signé avec l'E st al­gérien, quand ce tra ité é ta it approuvé par le conseil général des ponts et chaussées et ac­cepté p ar le gouvernem ent. Ajoutons que la Compagnie concurrente n’était pas sérieuse, qu’elle n ’a pas fait d ’études sérieusement, et que son intervention ne pouvait qu’entraver l’opération.

M. Journault, pour justifier l’autoiisation m alencontreuse de nouvelles études, qu'il avait faites de son chef, a d it que l’interven­tion de ce tte prétendue Compagnie avait dé­cidé l’E s t algérien à abaisser le chiffre de la garantie demandée par lui.

Or, nous venons de le d ire , il n 'y a pas de chilirefixé. Le chiffre sera fixé ultérieurem ent par les ponts et chaussées, e t l’E st algérien l’accepte d ’avance, quel qu’il soit. M. Jour­nault n’é ta it pas an courant; il a p a r lé lé g è - mént, e t m aintenant il est certain qu’il a re­connu son erreur.

Si M. Godelle, après les explications que nous résumons e t que H . A lbert Grévy a données avec une clarté e t une précision qui ont convaincu tous ses auditeurs, avait re­connu de bonne foi son erreu r, la discussion était finie. Mais le député bonapartiste a maintenu son dire, en l’exprim ant de nouveau en termes injurieux. L a question n ’en est pas moins jugée, jugée définitivem ent, contre lui, e t en faveur de U . A lbert Grévy.

M. Godelle n ’a pas été plus heureux quant à l’exposé des griefs personnels que H . Joun nault, l’ancien sec réulre-généra l, croit avoir contre le gouverneur de l'Algérie e t des criti­ques qu’il dirige, dans sa le ttre an m inistre, contre l’administration de son chef h iérar­chique.

I M. le m inistre de l’in térieu r a refusé avec raison de discuter ces griefs e t ces critiques. Les rapports d ’un chef de service avec son subordonné son t du ressort de l’adnilnislra- tion, e t le Parlem ent n’a pas à s’en occuper. Ce sont des affaires d ’in térieur, des questions de ménage qui ne doivent pas sortir des bu­reaux, dont le m inistre seul est juge e t qui ne sont po in t de la compétence du Parlem ent._ Les Chambres n 'on t à apprécier que les actes adm inistratifs; les discussions en tre ad­m inistrateurs ne les concernent pas.

Or, les actes adm inistratifs ont été expli­qués h ier de la m anière la plus satisfaisante, e t la Cham bre a été satisfaite. Le m inistre avait déclaré qu’il p renait la responsabilité des actes du gouverneur général, dont 11 est le chef, e t la Chambre a approuvé à la fols les actes du gouverneur e t le m inistre qui les couvrait de sa responsabilité.

L i a C o m m i s s i o n d e s T a r i f s . 1.8 commûsBioli rfg tarif général des douanes

«est réunis v.'n.trerii avant la séance publique, pour fiialuer tu r les an o ïdemenl» aux diiréreols articles du projet qui devai-int venir aujourd’hui en riiscuesion.

M. Crozct-Fourneyron b’m I présenté pour eouU'ijjr le droit rie 9 fr. par 100 k-los sur les rails d acier, que la commission a frappés d’un droit de 7 fr. 50, et que le gouverui-mi-ul pro- po--e de taxrr à 6 f'r, seul) ment.

M. So'iriguea a d< mandé que le droit sur les rail- d acier soit de 2 fr. 50 seulement. La com- misKion a r«-pouftié les amendemeiiU Crozn- Kourneyron et Sourigues et maintenu U droit de 7 fr. 50, précériemmenl adopté par elle comme droit de lard g nr-ral.

ü 'i aiD-ndimenl rie M. Betlimoni, relal.f à lineciiption dais lé tarif d'un article nouveau quiviseiail Iw briqu.liiw de liouillD p i|,.s ag_ glomenes jo u r le,qiul8 M. Beilmio Id .m ande uu droit spécial de t fr. 50 m t 100 kilos, a été egalem<nt rejeté.

M. Marqiiivui a développé ensuite ron amen­dement SU! Ie.«i fils de fer eiamés ou non, cui- wes OU ziiigués qu’il propo o de porier aux droits reepeilifs de 12 fr. les 100 kilos quand Ils ont de 1 millimètre s 5 dix èm .s de milli­mètre, de 15 fr. quand le diamè re est iiifériei.r a 5 dix’omes, et de 8 fr. pour tous les autres, anieiidemt’iil repnu-sé.

El fiii.la cimmisMon a statué >urlesam en- ifeitieriis relaiifs aux roaliëie.s niinéialt?, lunin- leiiaiit SOS piétéJeiite.t dè.i-iori.*», sauf en ce qui c<ii.>rne les cimMiis exempts jusqu’ici et qu elle frappe d un dioit do 0 fr, 40 les 100 itilos.

.Mercredi, la commission te réunira pour ixa- miner les amendimcnts concernant lesindus- t^riestextiles qnl emre dans la tioisième section du tarif.

* E * donc paru opportun do n v ên lr à

w «vn | 1831. et des prinripei coosacrÀ d m des arràts de la cour de casMtlon. ^ -

€ En coniéqueme, le ministr* des financM'i îîSm S r t eiroplemènt, Je 8 avril4880, la décision du 25 juin I852 .‘ • ,

« Les agents auranl soin d’appljqner d ^ r .^ mais aux artes prévus par celte dêdnon \m rtgles ordinaires de la perception des drmts d enregistrement et de transcription. '

€ L e eonieillêr d é ta t , directeur général de Teerep^freiiieiif

des domaines e t du timbre,< L eclkb. >

C o m m e o n é e r l l l ’U s t o i r e .L'BcJo du Jford a découvm une perle, une

f S L ’”'” ’’ <le I . plue M e eau.frissons la parole à qotre ceofrèfe :

dans le ÿo n tteu r un irerw /, s'il tous p l.ll

. C est anjpnrd hui que le n in isire de l ’ine- E n ”rfi!; 3 “' " ' “ d* * / ’omiTOo» g u U « fM e u lA jte . t a voyage eel pour le m oinrat, le dernier de ç8ui au 'jl .'éU il proposd de laite po,|^r provoquer Ses lUauif.alStion. d'oprSo” en fjveur de ea puliiiqua II . Jules F errr . Ire- roio de ces manireslaliona pour se consolider dsna ea ronviclion. Ce qui e lgrave, ceiiéadanl, et ce qu ou ne noui» d it pas, c’est qu'il a saisiî™ .ü rT * * ’ ‘W '» '® » du n é c n u m -lement des populations. »

Ainsi, voilà com itent Jps journaux réaction- n.ires sfrvent leur lecteure I Et voilà la manièro im .V Ï f f " 9ueiit les piliis entrefilets veni­meux qu ils adressml d iaque jour au scuver- nemenr. M. K,.rry, . ce V 'o u riche « " î le plus grand FOin, mais ce que le Moniteur a »u par èes jmelligFDce» particulières, s a é té i 'o b ie t de manifeslatioiw ll081llF • à Lille, où U n 'a r n l v i r j que samedi prochain lll

VoHà ce qui s appelle un jonrnal renseigné I

SÉNAT

Ld© L ’as© e t l© 8 O o i a g p é g a l i o n s FLa circulaire suivar.le vient d'être adressée

aux din clcurs de l'enrfgiitrement :€ Une décision prise par le m inûtre des

financi's le 2,'* juin 1862 a exempté du droit proportionnel d ’enregistrement, sous certaines conditions, les a< tes par lesquels les membres rie» congrégations religieuses de femmes dé- clareiit, dans les six mois de leur reconnaissance legaJe, que les biens acquis en leur nom ner- sonnçl sont la propriété rlTrctive de I . commu- nauté.

< Cette décision, ainsi que l’indique son con- texte, constituait une dérogation à l’article 17 de la loi du 18 avril 1831, suivant lequel les acquisitions des e départements, arrondiase- menls, communes, hospices, séminaires, fa­briques, congrégations, consistoires et autres établissements publics, » sont pa>«ibles des droits proportionnels d’enregistrement et de transcription selon le droit commun.

< L’immunité qu’elle consacre au profit des congrégations ne pouvait pas d'ailleurs être maintenue en présence de la jurisprudence, ac­tuellement bien établie, d ’après laquelle tout acto ou d^lara tion ayant pour objet de faire passer les biens sur la tête d'une autre personne que ccl e qui en éiait propriétaire apparent d après J acte d ’acquisition, opère en droit fiscal transmission passible de l’impôt proportionnel.

Séance du 22 ae rif 1880.Unn quc,.| on du M. de C.r.yon Lalour >u

raiMHio n,. 1. guvrrv, une in crpnllaliou de M. lleniy pouinier au garde d™ tc r a l l , ut pour . grrroeider loul cela, de . iuterrupiido.! uw «TI8, uiie a^-itatioii |.rè.'que cuiiiiuue.vvoilà beaucoup de tiovail dai.s une seule séance! La b mal. lieui. iisciiiFi.t. a de» jours plu» calmes.

Toute cette i/ri-ivcsceme s’explique. Nos séraleurs viennent de se re in r o p r en pioTmce: ; t ' I a l««r ardeur

juvénile. D.-« deciets du 29 m a n , il n’e-t pointm ln iT n b’épmseraii inuiile-menl dans une lulerpellalion à ce sujet, eoa- damiiee d avance. On va l’épuiser daos de petites escarmouches. C'est plus amusant et moins dangereux.1. ™ p': 1" '^ f “ïon-L ,tonr ce plaint quele nunislru de la guerre ait, au mepna d u droiu atquiH, juge bon de mettre à la auite piusieun0 liciers aiiperieura de l’armée teinteriale. See plaintes durent quinio minutes, avec des ve­nantes sur ce thème ccnnu : honneur, patrio- Itsme, services tendus, dro ls acquis, et, pas de politique dans 1 armeel

En quelques .mots, M. le général f t r r o explique les m aures qu’il a cru devoir prendre. Il rte faut pas longtemps à ces militaires pour dire ce qu Ils ont à dire, e t le dira bieaVAd R un décret rendupèr le conseil d E u t qui justifia ces meeuree.

politique, ajoute1 honorable géuefai, en scandant a p h r^ i . je me garderais bien de le récuser en aucone façon.

'I“0 f* politique n ’entre pas dans I armee, il faut qu elle en sorte. J 'ai agi pour le plus grand bien d erarm éel...

E t, là-dcesue, le ministre descend de la t r i -bune, au milieu dra applaudiBsemenle de là ® . l 1 ahurissement de la droite, qui S n E I T >!•»« I» bouch. d’ hS n q u c s ‘‘“ « P liM U o n siu se icT

I ' “u l'inlerpellstion, A piis I .Isver de rideau, la pièce.

M. Henry Fournier (Cher), se plaint surtout qnele décret du U «vrii 1879, qui n’admet tu

FEUILLETON (50)

S A N S F AMI L L EPAR

■ M to r HAleOT.

DEUXIÈME PARTIE

Car c'était l’amitié senle qui avait provoqué ce e n e t nop rintéréi. Mania n’avait pas b m in de root pour Bigner sa v it, il éu it parfaitement capable de la gagner tout seul.

A vrai dire même, il avait pour cela des qua­lités natives que je ne possédais t>w au même degré que loi, il s’en fallait beaucoup. D’abord il était bien plus apte que moi à jouer de tous l« instrameots, à ciianter. à daqser à, remplir tous les rôles. E t pois il savait encore bien mienx que n o i en g ^ e r « l’honorable société, ■ comme d iiaitV ita liSphaettrelam ainh la poche. Rien que par son sourire, ses yeux doux, ses dents Maoeheo, son sir ouvert, il loucbait les ccrars les moins senaibles h la générosité, et sans rien demander il ins|draU aux gens l’envie de donner i on avait plaisir à lui faire plsislr. Gela était si vrai, que pendant sa courte expéditloo avec Capi, tandis qiM je me faisait rotüeor, Il avait tronvé

; moyen d’amasüer dix-huit francs, ce qui était une somme considérable.

Cent vingt-huit francs que nons avions en MfsM et dix-huit francs gagnés par Matiia, cela faisait un total de ceni quarante-six francs ; il ne manquait donc plus que quatre francs pour acheter la vache an prince.

Bien que je ne voulusse pas travailler aux mines, ce ne fut pas sans chagrin que je quitui Tarses, car il fallut meséparer d ’Alexis, deroncle Gaspard e t do roagister; mais c’était ma destinée de me séparer de ceux que j'aimals et qui me me lémoigoaienl de l’afreciion.

Bq avant!^ J**T>o snr l'épaule et le sac sur le dos, noos

voilà de noovesQ sor les grands chemins avecCsjM joyeux qui se roule dans la powriére.

J avoue que ce ne fut pas sans un senilment de satisoctioD, lorsque noos fûmes sortis de vanes,q iN je frappai dn pied ta route Mnora, qui retentissait autrement que le sol booeux de la mine : le bon soleil, les beaux arbres!

Avant notre départ, nous avions, ,Maiiia et mol, Unguement discuté notre itinéraire, car je

* II*® sur les cartes et il ne s imiginait plus que les distances n’étaient pas plus longues pour les jambes qui font ono roule, que poùr le doigt qui lu r uno carte va d’une ville à une autre. Après avoir bien peaé te pour et le contre, nous avions décidé qu'au lien de nous diriger directement sur Ussel cl de là sor Chavanon, nous passerions par Liermont, ce qui n ’allongerait'pas beaucoup notre route et ce

3ui nous donnerait l’avantaged'czploiter les villes ‘eaux, à ce moment pleines de malades, Saint-

Nceiaiiy, la Mont-Dore, Royal, la Bonrboule.Pendant que je faisais le métier de rouleor,

Mattia dans son excuntion avait rencontré un ^ n i r e u r d'ours, qui se rendait h ces villes d MQX, où, avalt-U dit, on pouvait gagner de

l’argeni. Or, Mattia voulait gagner de l’argent, trouvant que cent cinquante francs pour acheter unevache, ce n’éu it pas assez. Plus nous aurions d argent, plus la vache serait belle, pins mère B ar^rln serait contente, et plus mère Barberin serait contente, plus noua serions heureux de notre côté.

H fallait donc noos diriger vers Clermont.En venant de Paria à Varses,j’avab commencé

I instruction de Hailia, lui apprenant à lire et lui enseignant aussi les premiers éléments de la musique; de Varses à Clermont, je continuai mes leçons.

Soitque je ne fusse pas on très-bon prefesseor, — ce qui est bien possible, soit que Mattia ne fût pas nu bon élève, ■— ce qui est ponibte sossl, — toujoqn esivil qu’en lectureles progrès furent lents et difficiles, ainsi que je l’avais déjà diL ^

Mjui J aval! b«D .'appliquer et coller aea y e n anr le livre, il Usait tontes sortes de cboaes fantaisistes qui faisaient plus d’honneur à son imagination qu’à son attention.

Alprs quelquefois l'impatience me prenait cl, frappant sur fe livre, je m’écriai avec colère que décidément il avait la tfiie trop dure.

Sans sàfécber, il me regardait avec ses grands yeux doux, et souriant :

— C'est vrai, disait-lt,Je ne l’ai tendre que quand «Ht cogne dessus j Garofoli, qui n’éu lt nas béto, avait tout de suite trouvé cela.

Comment rester en colère devant une pareille répoiM? Je riais et nous reprenloos nos Icm s.

Mais en musique les mêmes difficultés ne s étaient ^ p ré s e n té e s , e td é s le.débnt MatUa avait fàit des progrèsétonnanis, eisi r^narquabies. que bien vile il en était arrivé à m’élonner nar ses qoestkm t pois après m’avoir étonné, il m avait embarrassé, et enfin il m’avait pfosd’nne iMi Intertoqné au point que J'étais reeté o o u t •

B ij’avooe que cela m'avait vexé et mortifié: Je prenais su sérieux mon rôle de professeur; et je trouvais liumiliGotquemonétèvem’adressaidcs questions auxquelles je ne savais que répoudre ; il nie sembla que c’était jusqu’à un certain point tricher.

Et il ne me les épargnait pas les questions, mon élève : ^ •

— Pourquoi n écnt-on pas la musique sur la même clef?

— Pourquoi emploie-t-on les dièzes en mon­tant et les bémols en descendant f

— Pourquoi la première et la dernière mesure d on morceau ne cratiennent-eiles pas toujours le nombre de temps r e l i e r f

— Pourquoi accotw -t-on un violen snr certaines notes p la iô tqoesu r d ’autres?

A cette dernière question j ’avats dignement répondu que le violon n’étant pas mon instru­ment, je ne m’élals jamais occupé de savoir comtneût on devait où l’on ne devait pas l'accorder, et Mattia n’avait en rien à répliquer.

otànière de me tirer d ’affaire n’avait pas été de mise avec des questions comme celles qui so rapportaient aux clefs ou aux bémols : cela

's snjiliquaU tout simplement à la musique, à la théorie de la musique; j ’étais professeur de musique, professeur de solfège, je devais ré­pondre ou je perdais, je le sentais bien, mon autoriié et prestige; or, j ’y tenais beaucoup à mon autorité et à mon {wesiige,

Alore, quand je ne savais pas ce qu’il v avait à répondra, je me lirai d ’embarras comme l’oncle GasMid, quand Ini demandant ce qnec'était que le charbon do terre, il me disait avec assurance :C est du cbarboti qu’on trouve dans la terre, il ?*“ wn»nce, je répondais kMania, I ^ n e je n'avais rien k lui répondre :

a l i ï . r t l . S . ’w ! '’

Mattia n était pas d ’on caractère à s’insurger contre une loi. seulement il avait une façon de me regarder en ouvrant la bouche et en écar- quillent les yeux, qui ne me rendait pas du tout fier de moi.

11 y avait trois jours que nous avions quitté Varsi», lorsquil me posa précisément une question de ce genre : au lieu de répondre à son pourquoi : « Je ne sais pas, . je lèpondis noble­ment ; » Parce que cela est. »

A lorsil paru t p réoccupé, et de toute la journéeje ne pus pas lui tirer une parole, ce qui avec loi était bien extraotdlnaire, car il était toujours disposé à bavarder et à rire.

Je le pressai si bien qu'il finit par parler. Certainement, dit-il, tu es on bon pro-

foM ur, et je crois Men que personne ne m aurait enseigné comme toi ce que j'a i appris • cependant... *

Il s'arrêta.— Quoi cependant T— Cependant, il y a peut être des choses que

tu ne sais pas : cela arrive aux plus savants, n est-ce pas? Ainsi,quand tu me réponds :« t'ela est, parce que cela est, . il y aurait peut-être d autres raisons à donner que to ne donnes pas parce qu'on ne le les a pas donnée» à toi-méœe. Alors, raisonnant de cette façon, je me suis dit que si lu voulais, nous pourrions peut-être acheter, oh pas cher, un livre où se trouveraient les principes de la musique.

— Gela est juste.“ T P w l J® pensais bien que cela le

paraîtrait juste, car enfin lu ne peut pas savoir tout ce qu’il y a dans les livres, puisque tu n’as pas apm it dans Iw livres.

— Un bon maître vaut mieux que le meilleur livre. ^

— Ce que tu dis là m’amène à te parler de quelqae chèse encore t si tu voulais, j ' k i s d e- j

mander une leçon à on vrai maître, une senle et alors il faudrait bien qu’il me dise tout ce anâ je ne sais pas. ^

— Pouçqnoi n’as-tu pas pris cette leçon au« près d un vrai maître pendant que lu étais seul ?

“ Parce que les vrais maîtres se font paver e t je n aurais pas voulu prendre le prix de re tte leçon sur ton aident.

J ’étais blessé que Mattia me pariât ainsi d 'na vrai maître, mais ma sotte vanité ne tint pas contre ces derniers mots.

— To es on trop bon garçon, lui dis-je, mon a ^ n t est ton argent, puisque lu le gsgoea comme moi, mieux que moi, bleu s o u v e n t tu' prendras autant de leçons que in voudras, e t te les prendrai avec toi,, Pois j ’ajouui bravement cet aveu de m m igoorance.

— Comme cela je ponrrai, mol -aumi ad- prendre ce que je ne sais pas.

Le maître, le vrai mittre qu 'il nons fallait, eu n était pas un' ménétrier de village, nuis ou artiste, un grand artiste, comme ou en trouve seulement dans les villes importintce. La carteme disait qu’avant d ’arriver à clerm oei, la vUlela plus importante qui se trouvait aa r Boim nmie était Mend& Mande était-il vratoMil une ville imporiaote, c'est cp que je ne savais pas. mais comme le caractère dans Ir tn a l sou mom était écrit sor la carte loi donnait cette imnoiy lance, je no pouvais croire que ma carte. '

Il fut donc décidé que ce serait à Mende ouo noua ferions la grosse dépeute d’use Iccou oe musique ; car bien que nos recette* tessw t^nlm que médiocres dans ces tristes m û e iiB 2 .4à i a Lozère, où le* villages sont n r e i *t S ? Æ | te

Mail” . ***

(dM ters).

_ r ^ N i w l l d 'E u t qu« CicQltéid«l’E ti t,

HiroÙMtQ fiottoonn. Il • d t iU<Ei d« M. U garde d «

Mf la décret «aU retiré.\ U d it 4<éc beaucoup

dMecMcx avait plMui pou* - ^ d é c r é t a .■JV puroler isterpellef n plûa

J N t par^gée par are m a de la , a crie, ou tm ig o é ; H . Fournier inter-

1* miDiaire oe la joaticet maie on en a^interpelier de collègue k collègue,

“ 'udiffrat^aaqoier e t M. le préaldenl a in> Mt l’uD l’autre assai v iv en ra l, et M. ce mêle k cette Interpellaliaa tandia que

É« B e ^ ee lève debout peur interpeller le iie iid e e i et M. Telain. Le» interpellations de eelUgne à co lique sont bien défendues par le lèÿem eot, mais nos séuattnrs ont besoin de iT idter. Ils revlenoeot de vacances.

Donc, H . le garde des sceaux déclare nette* n e o t au Sénat qne, si Ivs diplômes conférés par les Cicullés de TBtat ont même valeur, i ses yeux, pour l'admisiion au coucouh de l’audi* (oral, w n’est paa. l’avis du conseil d ’Etat. Le l^ a is tre ne pouvait prendre un engagementJaé dans le cercle de ses ailribntienr. Il ne peut

e loi-méme retirer un décret. Toutes ces ex- «licatlens, fort justes, sont néanmoins accueil- Bas, par 1rs interruptions coùtinues de la droite. Quand H. Le Rover monte à la tribune pour soutenir la thèse du ministre, l a inier- n p û o n s redoublent. La président a b a u inter­venir, egiter sa eonnttto, impossible d’obtenir le àlence. E t M. Le Royer, qni-cepcndant traite «ne quMÜon ded ro it en jurisconsulte, sans pa^* r i » , Mt obligé de quitter la tribune avant

• d’avoir achevé son discours.M. Balbie avait demandé la parele pour ré-

Endreè H . Le Royer^ Mais, devant le refus de Le Royer de remonter à la tribune pour

— idétor son discours, H. Batbie renonce à la

« La clôture! la clôture! » crie-t-an de tontes parts. Deux ordres du jo u r sent déposés : «D ordre du jour de H . ifenry Fournier et l'ordre du jour pur et simple. Ce dernier, qui a la priimté, est mis aux voix. Il est voté par 154 voix contre 126.

Conclusion : H . Henry Fournier a interpellé, maie son intwpeilation n 'a pas ■ abouti. »

CHAMBRE DES DÉPUTÉSSéantê du 22 avril,

PnisiDEItCE' DB M. GAHBBTTA.Cette'séance nous reporte au temps où l’As*

semblée nationale, si^ean t A Versailles, se li­vrait aux discussions les plus violentes et les plus «assionoées, arrêtant ainsi les travaux vraiment «tiles.

Les bonapartistes ont voulu une fois encore désoenlrer leur impuisi^ance et leur rage. La ma- jiN ÎtélearadonB é satisfaction en écoutant avec calme leurs injures, mais en les châtiant avec fonneté.

Du fend de la diKussion nous dirons peu de choea, on de nos confrères se chargeant aujour­d ’hui de traiter la question dans un article qu’on a lo en première page.

n s’agissait de Vinterpellation de H . Godelle an gouvernenr général de l’Algérie et au minis­tre de l'intérieur. Tous les journaux réaclion- nairee avaient fait grand bruit aetour de cette iaterpellalion: il y avait, disaient-ils, des rêvé- htions monstrueuses, desfaitsinouIs la charge d n genvemement civil de l’Algérie. H . Godelle aTétait chargé d'expliquerlout cela. Neusl'avons eateodo, cet ancien conseiller d ’Etat de l'Em-Ï ire, e t il a réussi à nous prouver, deux heures

orant, que l’auteur du scandaleannoncéç’était loi, H . Godelle.

Son attitude a été celle d'un chef de parquet demandant la tête d’un accusé. Pas de talent,

Sis de style, mais des injures A pleine bouche, uân ta u x , preuves, aux arguments, point de

trace. Ses preuves sont des dépêches qu’il cite, mais qu’il ne peut produire; ses arguments, ils aonl ceatenus dans cette phrase que tout le m onde a entendue en haussant les épaules : cJe « e n sais rien, mais je l’afQrme. »

Pendant plus d’une heure, il s’est bonté à donner lecture d’extraits d’articles de journaux algériens, soigneusement découpés et collés enr dm .feuilits de papier, ce qui faisait dire k côté de nous qu il jouerait avec succès, daiis an journal, le rôle de préposé aux décou- pnres.

Hé Baudry d'Asson, que ce bruit de cireanx ezaspërasans doute, lance une interruption qui le fait rappeler k l'o rdre ; puis, comme il la maintient, le président le place sous le coup de k censure.

E t tan t ça, c’est la faute i M. Godelle.A partir de ce moment, le tum ulte devient

iodeècripiible, les droites bondissent, M. Harnt* jane m xsm das notes snraigu6<, M. de Sep- tm rilie s’agite comme un épileptique, l’incoro-Crib le H . Erière opine, comme toinonrs, du

nnet. Un autre bonapartiste, kl. Janvier de k Hotte, veut placer un pe tit discours avant eeloi du gouverneur général de l’Algérie.

A b bvenr du r^ leroent, il parvient k ce m aintenir k la Iribnne, où il débite res plaisan­teries plus 00 m aint spirituelles, tout cela pour le plus grsQd ébaudissement du public féminin dee galeries.

Le grand succto de la journée a été pour H. Albert Grévy. H a soffi d’un coup d ’épingle peur dégonfler aoaaiiôt le ballon construit par son acoisateur. Anx applaudissements plusieurs fois répétés de toutes les gauches, l'htmorable gou- vam enr civil d e l’A ^eriea fait bonne et prompte justice de tons les racontars rais en circulation par nos ennemis. Son succès a été un des plus grands que nous ayons encore vusan Parlement; auaei les félicitations ne lui ont-elles pas man- q aé qôand il est descendu de la tribune; tout le monde se presriiit autour de lui ; H . Louis Blanc n'a paa été un des derniers k lui serrer la ■ttin.. H . Godelle, n'ayant fourni aucune preuve, konve tou t naturel de répondre k H. G ré ^ ttiM ses cxplicationB ne sont pas suffisantes, fl aeÉuhde une enqnèle et d it qu’ellè cet nécer- • a in parce nu’tl pèse encore des soupçons in ju ­rieux sur • le front du frère du présidcbt de la

.. C(8 mots injurieux pour le chef de n U a t , là m ajorité, indignée, deroadde une peine sévère contre ce bonapartiste dont l’in- lem |4 ^ o ce de langage n’a d ’égale que ron au­dace.

H . Gambette bondit sur son siège, agile fié- vfettssment b sonnette et, d ’une voix ferme, daoe bqtielle on sent une émotion contenue, ÿHlMMe ees m ets :

• Dans les paroles qui ont terminé son dis- « .« M i i H .'O odrils a associé H . le président

' ' ' Mbliqos k H . Alberi G r m dansS Ifijorieoae, il y a donc lieu ds

. ’ b ^ m b r s sur l’application dn . bnf, qui pnnlt de rexrln**nn teropo- r« 'toute parole outrageante ü : .t .-tw.au/ d e l ’E h L a

Mnctre d ’applaudiasements de toutes k couvre les c b n e o rs ds b droite. Le

nlT Indescriptible, tous les 'd ro i- V gasticabot. H . Rouher.veut par-

;, debout! exdam s b fou-

Mdent parvient k obtenir * ’x minutas de vociféro-

voit, des bancs I k a t M M i dn centre g iu -

- — < pMT proponoer

l’sxclasion lemperalre ds H. Godelle, qui s'sro- prsaes ds filer liors d s la salle des séances.' Ce coup ds b ab i uns fois donné, il ne reste plM qu'k calmer, au moyen ds la censure, les ardeurs d s HU. Gqnée d ’Oroano et Baudry CAsson.

Un premier vote pronenos cette peins contreH . Cunéo d'Oroano; on SKond s'applique k H. Baudry d'As^en, auqud b (% annre apprend que te règlement est plus dilQcile k froochir que les bar-rières.

J f . Afkerf Gréey, commissaire du gouverne­ment, décbre qu’après l’inddant il renonce k la parole.

L inddent est clos.Jf. Spuller propose un cid re du jour motivé

ainsi conçu : '« La Chambre des députés, pleinemènt satis­

faite des explications qui lui ont été fournies par U. le gouverneur général d s l’Algérie et convaincu que le développement du régime civil peut seul assurer la prospérité de l’Algérie, passe k l'ordre du jour. ■

Cet ordre du jour est mis aux voix et, k l’u- oanlmite de 367 volant*, est adopté.

Séance du 23 avril.On a pu croire un instant qu’on allait assister

k une répétition de la séance d'hier. Il ne s’agis­sait point toutefois d'inventer un scandale, et ce n’était pas un bonapartiste qui occupait la tri­bune. Une question éminemment démocratique, absolument ^alitaire , se produisait sous forme d’uno proposition de loi déposée par H. Paul Bert. Aux termes de cette proposiiton, tous les futurs fonctionnaires de l’enseignement et les futurs ministres des ouïtes seraient soumis au service militaire pendant un an au moins.

La chose n’est pas nouvelle, puisque celte obligation existe déjà en Allemagne et en Italie; mais pour les cléricaux français la pilule est un peu grosse k avaler; et ils poussent des cris, des gémisMroents qu i, k fortode devenir aigus, fi­nissent par ressembler k des hurlements. Bona­partistes et légitimistes s’entecdent k merveille sur celte question; le concert est au grand corn-Ïitet. Un seul, H . Janvier de la Hotte, tonjours antaieisle, vient, on ne sait trop pourquoi, ré­

clamer l'urgence pour que la loi puisse être ap­pliquée cette annM.

Cette sortie inattendue excite l’hilarité et ap­pelle H . Paul Bert k la tribune. Sans s’opposer k l’urgence, le vaillant député pense que la Otiambre vlteSèobln* p o u rro n t st«\uvr sur cvtle proposition de façon k foire passer cette année la loi dans la pratique.

Alors com'mence le défilé des cléricaux bona- parto-l^itim istes. — H. Perrochet, côté des f^itim isles — ouvre la maiche, et, d ’une voix que rien ne peut traduire, procUme, k la face du ciel, que tous les catholiques se lèveront « comme un seul homme • pour repousser la Ici. Puis, vient U. Jolibois, — k côté des bona­partistes. — qui, quoiquo ancien procureur gé­néral, fait preuve d’une ignorance absolue de la loiendisani queleConcordat a regléla situaliou des élèves ecclésiastiques au point de vue du re­crutement.

Il faut qu’un agriculteur, H. Guichard, vienne loi rappeler que le Concordat est muet k cet ^ a r d , et qu’une seule loi, datant de 1818, em- { ^ h e les séminaristes d'échanger, pour quelque temps, leur robe noire contre le pantalon rouge du troupier français. M. Jolibois, renvoyé ainsi k l’école, a fait le seurd-muet.

Cela n’a pas empêché un autre bonapartiste, M. Caxeaux, d’emboîter le pas kson collègue kl. Jolibois, mais lui, au moins, a trouvé un argu­ment original et peu flatteur pour le clergé, en disant que le projet de H. Paul Bert est contraire aux véritables intérêts de l’armée.

Bien des choses sont contenues dans cette phrase. La commentera qui voudra.

Un prince, saluexl H. de Léon, parle des no­bles, qui tous commandaient des ré^m ents avant 89, et cède la place k l’éminent orateur légiti­miste. il s’agit, vous l’avfz deviné, de H . de li Rocberoucauld.

Une seule phrase est sertie de la bouche de l’arrière-pelil-neveu de l'auteur Maximes, mais elle mérite d'être citée :

• Réfléchissez, a-t-il d it, sur la pente où vous êtes. Elle vous conduira k l’ablme. » Ah! comme le grand onde a dû tres.«aillir dans son tombeau.

Ce petit tournoi oratoire une fois terminé, non sans cris et trépignements, l’urgence a été vorée.' Voilk un bien beau tour qu’a joué k ees col- lèguei de la minorité H. Janvier de la Hotte. Il a voulu tendre un piège k la gauche; c’est la droite qui a été prise.

A dater do ce m em rnt, nous planons dans des régions plus sereines.

Avancez, messieurs les douaniers!La deuxième section (malièr&s minérales) est

entamée et donne lieu k une courte discussion. Les marbres, l’alb&ire, le cristal, les ardoises et les pierres ouvrées semblent jeter on froid (de marbre) et ne passionnent guère.

La plupart de ces produits sont exempts; pour les autres, la commission, d’accord avec le geu- veroement, obtient gain de cause. Les votis marchent grand train.

En quittant la Chambre, nous sorlon* des houillères, où HM. Hichaul et Louis L«^raÙd nous ont promenés pendant quelques instants, la premier demandant la suppresdon du droit de 12 centimes par 1,000 kilos réclamé par la commission, U le second maintenant ce droit.

U . Louis Legrand est sorti victorieux. H . Hi- chaut est resté dans la benne.

ItUHMAL DH

ECHOS DE PADIOCTLe dépouillominl du scrutin pour les

membres devant faire partie des .conseils supé­rieur de l’instruction publique est terminé.

En récapitulant l'ensemble de ces élections, 00 compte qu’il y a eu seulement 2 0/0 d 'a t ^ tentions, proportion très remarquable si on se souvient que, dans les élections l^islalives, les abstentions variinl ordinairement entre 33 et 25 0/0.

On estime que les quatre cinquièmes des élus sont favorables aux refermes k réaliser dans notre enseignement national.

I) y a lieu de procéder k un second tour de scrutin pour les facultés de théologie catho­liques, les agrégés des lettres et les agrégé. des soences mathématiques dans les lycées dont au- ca.i des candidats n’a obtenu la majorité des suffrages; pour les licenciés è>ciences des col­lé e s communaux, les facultés des lettres et les faculléi do d io il auxquels sont attribués deux dél^ués cl dont un seul a obtenu la m ajorité: enfin pour l'instruction primaire, qui a seule­ment un délégué sur six.

XVoici, d ’epiès un de nos confrères du m atin,

quelles seraient les principales dispositions du programme universitaire de M. le ministre de l’im-truction publique :

Ne plus commencer l’étude du latin qu’en sixième et celle du grec qu’en troisième*

Supprimer absolument lee thèmes. les dis­cours, et les vire latins, ainsi que le thème grer.

Plus d’hUtoire sainte dans les classes élémen­taires. (G-*t enseignement sera remplacé par l’étude, to rh /to r.qu r, de l'histoire dL ra ël, en même tempe que celle des autres peuples an­ciens).

Supprimer le programme du baccalauréat.Restreindre k sa plue limple expression

l'étude de la granunalre.

Gonracrer le tempe qui sera gagné p ir ces suppressions è l’histoire, k l'étude due langues vivantes et k l’explication orale des auteurs la­tins et grecs.

HLe Gauloit publie la nouvelle suivante, que

neus reprodu'isqns sous toutes réserves tLe buste ds la République, par Francia, coif­

fé du bonnet phrygien, a été reflisé par le jury d’admission au Salon de cette année.

AI. Turquei e.d intervenu au nom do gouver­nement, pour faire observer k HH. les membres du jury que ce buste avait été adopté par H. le président de la République, et allait être re­commandé officiellement k toutes les municipa­lités de France et d’Algérie.

Lo jury , faisant acte d’indépendance, a déclaré qu’en matière d’art il n’avait pas k se préoc­cuper d ’autre opinion que de la sienne. -

^ 'i , •Il est question au ministère des finances de

supprimer le monopole des allumettes chi­miques, pour couper court aux nombreuses plaintes qui se root produites.

- XLes ouvriers des établissements de tissage de

Lillebonne, de Bolbec et des environs se sont rois en grève mercredi.

Cette grève est motivée par une rédudiou de 10 0/0 dans les salaires. On craint que !es éta­blissements de filature, p r iv ^ de l'écovlement d» leurs produits, ne soient obligés de Armer.

Dès à présent, il y a six mille ouvriers en grève. Le nombre en sera doublés! les Ratures arrêtent leurs travaux.

XLes ouvriers charpentiers de Tours sont p a ­

iement en grève; ifs demandeot 15 :entimes d’augmentation par heure de travail.

LB IRATilL AGRICOLB ET L l TRATAIL UDDSTBIBlIl a été dit par M. Guichard de si excellentes

choses sur les travailleurs des villes, que ce nous est un devoir de reproduire un extrait du compte-rendu de la séance du 13 mars dernier, ou H . Guichard s’est exprimé ainsi k propos de. de la question douanière :

Peut-être dans cette grande question qui occupe, il y 1 un ordr* fia consid^ations

qu’on a trop n^ ligé ; il faut voir ce que de­vient notre population rurale dans le régime suivi depuis dix-neuf ans. Quel est celui dç^ncus qui, lorsqu’il a jeté lesyeuzsur le dénombrement de la France, n’a pas été doulouscment affecté de voir que la population rurale va toujours en diminuant.

En 1851, le rapport de la population rurale avec ta population urbaine était celui-ci 25 p. 100 de population urbaine, 74 p . 100 de la po­pulation rurale.

En 1856, 27 p. 108 de population urbaine, 71 p. 100 de population rurale.

En 1861, 26 p. 100 de population u rla in ^ 71. p. 100 de population rurale.

En 1866,30 p. 100 de population urbaine, 69 p. 100 de population rurale.

En 1872, 31 p. 100 de population urbaine, 68 p . 100 de population rurale.

En 1876, nous sommes arrivés k 32,54 p. 100 de population urbaine et 67,56 p. 100 de population rurale.

dépendant, mesrieurs, il a été constaté que, dans les campagnes, les naissances présentent sur les décès un excédant a^sez considérable, et3ne, bien quo les naissances excèdent les décès

ans la population des campagnes, celle-ci va diminuant, relativement k la populatiou des villes.

Croyez-vous, rors’ieurs, qu’il n ’y ail pas là un grave sujet de réflexion ? Je ne pense pas, me^ieurs, que nous ayons à nous mvttrn en travers du courant des choses. Si le mouvement de la civilisation porte les habitants des campa­gnes vers les villes, nous ne devons certes pas nous y opposer. Mais est-il nécessaire, messieurs, de venir en aide à ce mouvement qui entraîne les populalious des campagnes dans les villes 7 N’esl-il pas imprudent d ’accorder «ne protec­tion exciuiive au travail industriel? Ne voyez- vous pas que, par cette protection privilégié, vous portez atteinte au travail des campagnes? Car^ il n’y pas a se le dissimuler, il faut bien, il est naturel que l'ouvrier aille où se trouve le travail le mieux rénuméré.

Ici, messieurs, j ’ai une question k vous adresser; avant de pousser les populations des campagnes dans les villes, êtes-vous bien cer­tains que l’organisation du travail industrie soit supérieure a l'orginisation du travail agri­cole des campagnes ?

Dans nos campagnes, quand un homme a de l’ordre, ds ratliviié,srtl acquiert la pr. priétédo la terre du capital rural auquel il consacre son travail. Pouvez-vous en dire autant des ouvriers de l’industrie ? (Approbation sur piusiturs banca).

O ui I vous cherchez avec bonne foi, — et nous cherchons tous comme vous, — le moyen de faire cesser le prolétariat des ouvriers de I in­dustrie ; mais vous ne l’avrz pas encore trouvé, tandis que le problème est à peu près rérotu dans nos campagnes. (Nouvi lie approbation sur les mêmes banc^y

Quand vous aurez dans vos villes et dans vos ateliers une organisation de travail semblable k la notre, nous comprendrons alors vos eflorts pour chercher à amener les populations des campagnes dans les villes. Mais jusque-là. nous vous dirons, à vous qui êtes les amis sincères de la démocratie, nous vous<diron3 que voua n’en êtes peut être pas le.< amis éclairés, et que vous Iravail'rz contre notre cause commune lorsque vous refusez de traiter le travail agricole sur le même pied que le travail industriel.

Dans nos rampsgtte*, la fille travaille avec ra mère, ira fils havaillent avec leur père, la vie de la famille est alliée au travail qui procure k l’ouvriey agricole la propriélédu sol. IPouvrz- vous en dire autant du travail industriel 7 Non, laesrieursl

J'ai rntendu de mes meilleurs amis de ce côlé (l’orateur désigne la gauche) gémir de la ritua- Itoa de l’ouvrier lorsqu’il a atteint l’àge de 85 ou 40 ms ; ils disent qu’il trouve difficilement de l'ouvrage; qu’on ne lui reconnaît plus ass<z d’habileté de main, assez de souplesse de carac­tère peur l’occuper, et que est homme, qui a contribué à la richesse, k l'ornement de nos cité, n'y trouve plus de travail quand il est k peine parvenu au milieu de la vie.

Au contraire, dans nos campagnes, tonte per­sonne trouve un travail approprié k ses- forets, depuis l’enfant jusqu’au vieillard. Est-ce quo vous n’avez pas vu d.ms nés pays des hommes courbés sous le poids de l'ége et d'ioQrroilés, tailler encore Ik vigne dont ils ne récollefont pas lea raisins ?

Avant de refuser toute protection au travail agricole, Ikcbezdoncde trouver l’organisaliun du travail qui permèlle aux ouvriers iiidusUjels' de devenir propriétaires dn capital indajpR i, comme les paysans deviennent p ro p rié ta i^ du sol.

Nous avons des communes où toute la terre est 11 propriété de ceux qui la travaillent ; et dans les communot où il y a encore des lots de terre qui n’appartiennent pas aux travailleurs, on Ira désigne et l’on d it : Ce eont les lois ap­partenant k tdles personnes ; il y .i r-nrore deux de ces lots dans notre commune, mais quand le piopriétaire de ces lots mariera sa fillo ou achètera une charge de notaire k son fils, le i lots seront achetés par nous.

La transformation des prolétaires en proprié­taires, Toiu 00 l'atteigaei pa^, voua n’indiqnéi

même aucun moyen d e-l’a ttriad ro ; attaodei donc d evoir rérolu ce grand problème avant d entraîner nos euvrisrs agriceléa k venir foire ®®"®urrenca aux ouvriers de hnduatrle .

w n s doute, messieurs, vous avez vu, comme moi, des étrangers qui voyageaient en France, étu­diant notre papulation, chercbant k déceuvrir ^ n s la transibrroation actuelle de la pepalation française 1 avenir qu’il deivent désirer pour leur

Lrâ étrangers, quand ils comparent la France s’attribuent naturellemebt la sup4-

riorilé, mais cependant il est un point sur le­quel Il sont tous d’accord ; c’oet qu’il n ’y a pas

* comparable k la population agri­cole de la France, où le petit propriétaire, qui t t t maure dans sa chaumière comme le seigneur daw son château, qui travaille de toutes mains, qui est bûcheron, moissonneur, faucheur, qui conduit sa petite affaire avec infiniment d’intel-

.ligence; qui s’occupe des inléiéis de sa com~ m une, de l'élection du conseiller municipal ou du député, ce petit propriétaire, d it-je , n’a rtcn de comparable dans le monde.

G est sur ses populations, disint les étrangers, que repose surtout la rauee de la démocratie françrire ; ce sont elles qui, assurant le triomphe du sulfrage universel, et ces populations, objet de 1 admiration et de l’e.-poir univerral, ce sont elles que vous voulez mettre hors du droit commun I I I y a une protection pour toutes les branches du travail national et vous n ’en vou­lez pas pour le travail agricole !

Messieurs, je sais le prestige qu’exercent sur les «wprits généreux Ira mois de démocratie et de liberté. N’a-l-on pas un peu abusé de ce prer- t i p ? Un bandeau sur lequel on écrit le mot de liberté en est-il moins un bandeau fait pour obscurcir la vue T

Ainsi comprise, la question agricole e<t de celles qui méritent toutes sollicitudes. Elle se pore excellemment sur le terrain de la conciliation et de I apaisemeut. Tout ce qui sera fait peur nos populations rurales avancera considérable­ment 1 heure où le régime de l’ a lité rempla­cera la régime des privil^es et des antagonismes.

CHRONIQUE LOCALEVILLE DB 8BNUS

F É T E DE f a m i l l eC O W C I S R T R T B A . E .

Pour le Jeadi 29 Avril 1880.Les organisateurs de la Fête de famille prient

instamment les personnes chez lesquelles ils se sont présentés pour obtenir leur souscription, de vouloir bien s’adresser k l’imprimerte Payen, place Henri IV, ou c h » H. Gaudefroy, proprié­taire, rue de la Poulaillerie, n* 6 , afin de se faire instrireen temps utile; car, avec la meil­leure volonté du monde, ils na peuvent retour­ner à nouveau à domicile, et teraient désolés qu’on pût croire k un sentiment d’excluiion.

Cette note s’adresse également k toutes les personnes qui n ’auraient pas été visitées par oubli bien involontaire et k qui il serait agréable de témoigner de leurs bennes dispositions eu faveur du commerce, et des Sociétés musicales de la ville.

Les Sociétés musicale et choralo se réuniront place de l'IIôtel-de-Ville, k huit beurra.

Le Concert commencera à I heures i /2 .

PROGRAUUE DU COKCERT

1. Allegro.................................... X***par la Fanfare.

2 . Le CAubI des Ann'f, chœ ur.. A. Tuouxs.f>ar la Senlisienne. peucte, trio pour violon,

f lû te o t piano ......................... G o u n o d .par MH. Cliarpentier ,Valut et Quinzard.

4 . Itigeletlo, f a n ta is ie ............... Ve r d i .par la Fanfare.

5 . Caufeef France, c h œ u r ... . A. Siirtis,par la Ssntisienne.

6. LtsMousquelairesdelaBeineIfw .......................... IlatÉvy.la r UH. Charpentier ,V<’lu tet Quinzard.

7 . S ijé la is Itoi, fantairie A. Adam.par la Fanfare.

Le premier quadiilla lera exécuté par la Fanfare. *

K o i r e d e S a i D é - R i e u l *C-tle année, la foire de Saint-Rieul sens pro-

met une abondance inaccoutumée de distrac­tions et d'attractions de toutes sortes. Un nombre considérable de marchands divers et de troupes d’artistes forains se sont donné rendez- vous sur lo vaste et magnifique emplacement qui leur est, chaque année, arsigné par l’admi- nistralion municipale.

Il est k désirer dans l'intérèl de celte nom­breuse population foiainr>, aussi bien que dans l’in téiélde nôtre ville, que les habitants des localités voisinis de Seniis se rendent parmi nous pendant les belles journées de la semaine qui va s'ouvrir, comme ils le faisaient en masse jadis, alors que la fêle de Seniis était si impa­tiemment attendue de toutes les familles des communes de notre canton.

L’occasion est splendidemeit offerte de re­nouer avec le présent les traditions encore vivaces de ce passé joyeux et sans embarras qui a cau^é tant de plaisirs a nos ancêtres.

Nous invitons nos lecteurs à venir rendre vi­site k notre fête et à entraîner avec eux une nombreuse affluence. Il n’y aura jamais trop de monde k Seniis pendant lei belles journées de la foire de Saiot-Rieul, car le temps semble de­voir prot<’'ger tout ce qui demande en ce mo­ment protection, le commerce, le plaisir et la bonne volonté.

Le 'Cirçue écologique, appelé k faire tes dé­lices des enfants, est installé sur lo champ de foire. Rien des grandes personnes y trouveront aussi l ’occasion de paraer un moment agréable.

Dans ce cirque, cependant, ne figurent ni chevaux, ni clowns, ni écuyèrrs. Ils sont rem­placés : les chevaux, par des chèvres savantes et des chi^-ns non moins savants; les écuyers, par des singea dont les grimaces, les conlordons et Ira airs étonnés font dérider les visages Iss plus sévères.

Dans rétablissement de H. Chamu, on voit figurer également une série ■ d’artistes bipMes, » chouis parmi les animaux qui semblent lei moins faits peur êtro dressés : des coq<, des oies, des canards, etc.

Ce spectacle, assez rare dans notre ville, ne manquera pas d’obtenir ira véritable sucirô de curiosité.

Places réservées, 1 fr. ; premières, 50 c. ; secondes, 30 c.

V o l« B é « r l a 4 dPamINSTITUTION CO.'^SIN, A SENUS

Les Cours comm(nc^;root le 1«* Jf«> pro­chain.

Dans les deux dernières chasses de dselrao- tion organiséra et dirigées par le service dra forêts, le 16 et le 21 aviil dernier, dans la forêt domaniale d’UiIatto, il a été tué six bicliri at un saiiglier.

d e S i o n l L »DU 16 AU Ht AVML i880.

Naisoam o.Pinçon (ErontlDC-Paulina).Frigault (Henry-Anatole).Favery (Albert-Leois).Favery (Albertioe-Aline).

Ù M s.Lainé (Louieo-RonHe), veuve Gourbrent,

83 ans. 'Hercier (JoséphlnfrHarle), veuve Prévost,

62 ans 4 mois.IHiôIsMfMm de mariage.

Entre kl. Fréry (Arthur-Vincent), typographe, demeurant k Seniis, et Hllo Lamballe (U irie- Louise), sans profession, demeurknt k Seniis.

Mariage.U . Fleur (Louis-Alfred), ouvrier mégissier k

Seniis, et UlleLinder (Juhctte-Marie-Victorine), lingère k Seniis.

CHRONIQUE DEPARTEMENTALES é n a t .

Les sénateurs de l’Oise sont ainsi répartisdans les burraux jusqu’au 20 mai :

M. Guvinot, 3* bureau; H . Gélestin Lagache, 5* bureau ; U . d ’Andlau (généralcomte), ^ bu­reau.

C h n n n li i* e d o n D é p o të n .Les députés de l'Oise sont ainsi répartis dans

les bureaux jusqu’au 20 mai :M. le comte de Gossé-Brissac, 4* bureau ; U.

Léon Ghevreau, 5* bureau; M. Levavasieur, 9* bureau; MU. Boudeville, FranckGhauveau, 11* bureau. ^

G’esl jeudi dernier que le conseil d'Elat a dû statuer sur un projet de loi relatif aux hospices cantonaux.

Ge projet a pour but d’élendre et de faciliter la création des hospices au moyen des ressources commuuales.

En voici les principales dispositions :Les hospices cantonaux seraient fondés parles

communes et les départements au moyen desub- ventions, et par les particuliers au moyen de dons et 1 ^ . Ils seraient reconnus comme éta­blissements d’utilité publique.

Le canton ne constituant qu’une unité judi­ciaire et élective, et nullement une personnalité adminisiralive, on veut, en érigeant l'bospice cantonal en personne civile, assurer son fonc­tionnement au moyen d’organes sp^iaux .

Quelque! articles supplémei.talres règlent les points de détail.

L’ensemble du projet repose sur l’intervention active des conseils municipaux. G’esl d'eux qu’é ­manerait l'initiative, dans la plupart des cas. C’est par le choix qu’ils feraient de mandataires spéciaux que la fondation et le fonclionnemeat des éiabüssement charitables seraient assurés cl contrôlés.

Les dél^ués, réunis en assemblée générale, nommeraient k l'eleciion les membres des*tom- missiens administratives hospitalières.

De droit, le préfet ou le sous-préfet assisterait aux séances ou s'y ferait représenter.

Le ministre des poslei et des télégraphes vient d ’adresser aux préfets une circulaire relative k la transmission des renseignem<nls agricoles, publiés par les soins du bureau ceiiliat météo­rologiques. Le ministre lait connaître que le comiiiuiies sont admises à s’abonner, moyen­nant une redevance de 20 franrs pour une pé­riode de six mois, du 1*’ mal au 31 octobre prochain.

On parle de la prochaine réunion au Grand- Hôtel, k Paris, d ’un certain nombre de délégués des n M o c i i i t i o n s n f r i c a l c s d-j France. Il s’agirait d ’éludier les dégrèvements d'im pôt qu’on pourrait obtenir en faveur de ragriculture et d’une enquête à faire sur la situation de la propriété rurale.

Les délégués des comices trouveront dans les travaux de la Société dessgriculleurs de France tous les élémenis d’une solide délibération. Ré­cemment encore, elle a cliaigée sa commission d'ccoBomie et législation rurales de l’étude de celte importante question des d^rèvem ents. La Société va publier le rapport de sa commis­sion sur ce sujet, ainsi que le résultat de i’en- quète faite auprès de six mille correspondants, sur la situation de l’agriculture.

Lo ministre des travaux publics vient d’adres­ser aux préfets la circulaireeuivante au sujet des mesures à prendre, au cas où une tentative d’ad­judication serait restée infructueuse :

Monsieur le préfet,Il arrive fréquemment qu’à la suits d ’una

tentative infructueuse d’adjudication, HH. les préfets se croient autorisés k accepter des sou­missions, au pair eu avec rabais, qui leur sont remises, soit directement, soit par l’intermé­diaire de MM. les ingénieurs.

Cette manière de procéder est absolument contraire aux règlements at en particulier aux prescriptions de la circulaire du 5 août 1861.

Lorsqu’une adjudication n’aboutit pas, il ap­partient exclusivement à radminislralien supé­rieurs de décider, sur la proposition du préfet et des ingénieurs, s'il y a lieu k un nouveau concours ou, au contraire, de traiter de gré k grék raison de l’urgence des travaux avec ur entrepreneur, en dehors des conditions ordi­naires de publicité et de concurrence.

Vous ne devrez donc jamais, en pareil cas oublier de m ’en référer.

J'adresse ampliation delà préiente circulaire kUM. les ingénieurs.

Recevra, Monsieur le préfet, etc.Le ministre des travaux publics.

IL Vabrot.

Le ministre de la guerre publie une instrec- tioR recommandant aux autorités civiles et mi- liiairM de donner la plus grande publicité aux dispontions de la loi d’arauistie militaire du 16 mars 1880 pour faire sentir aux intéraraésetk leurs familles quel intéiét ils ont k en profiter dans les délais prescrits, puisqu’on aucun cas ces délais no seront prorogra.

Rappelons que ces délais, durant lesquels ta déclaration de repentir doit être formulée devant les aulsritéa compétentes, sont les sui­vants :

Trois mois pour les déserteurs et insoumis habitant la France ou laGorse; six mois pour ceux qui sont hors du territoire français, mais en Europe ou en Algérie; un an pour ceux qui sont hors du territoire d ’Europe, et dix-huit mois pour ceux qui sont au-delk du cap de Borine«Espérance eu du cap Iloro.

lÀ Journal officiel publie une proporition de loi ayant pour ob jtt de définir las eonditiona normales où le cours fôrcé dra billets deBinque de France pourra être établi régùlièremvnl, et, par conséquence naturelle, les cond-tions où il pourra être ensuite graduellement ou totalement supprimé, prétentée par M. la comte de Douhct, sénateur.

A n. 1*'. — L’encaisse métallique de la Dan- qae de France possédera désormais un minimum

qui ne devin jamais être In flM c^rV eobaillIon* en o r et I milliard en argent.

Art. 2 — Si, par le fait des drcenstancei et nonobstant le relèvementde l'esoonpte^^le chif­fre ds I epcaisM descend au-dessous de ce mini­mum s«r te simple avis do conseil de ta Ban­que, et H , le ministre des finances entendu, le cours forcé se tionvera rétabli de foit, e tn a to - rellement, sans qu’il sait nécessaire de sou­mettre cette mesure k l’approbation des Cham­bres.

Le gouvernement aura seulement le devoirde 1 annoncer officiellement au pays.

AtL 8 . — cours forcé ainsi réub li ponrra d exister partiellement d’abord, aussitôt

fl"* J ^ r a i te e général de la Banque sera remonté à 1,700 millions et se eera malmena aux envi­rons de ce taux perokent au moins un mois. Il sera totalement supprimé lorsque l’eaca'iese gé­néral dépassera le chiflVe de I.ROO millions, ré­partis entre Ira deux étalons de notre monnaie dxptès les proportions d’iisige. ’

® ® * siw « l* . — G’A t demain dimanche, w avril, qu’aura lieu, au nom de H . Jeseph- Désiré Dennel, la prise de possession officielle du sKge épiscoj>al de Beauvais. H . Uillière, vi­caire g'-néral, représentera l ’évêque dans cette cérémonie.

B e é s . — 22 avril 1880 :H . Roblin, m airede Betz et conseiller d 'ar­

rondissement nous prie d ee orier k ta c o n n a ^ sance dra intéressés, que le 10 février 1880, il a reçu de H . Drin k Seniis' la somme de 684 fr. 24 c. provenant du reliquat de seus- criptions pour l’armement et l'habillement de mobile du canton en 1870, e t qu’il a réparti cette somme d’après le travail de la commiseion de liquidation remis par U . Drin.

El comme suit :B il l .............................. 5 8 fr .7 0Antilly H 74A c y . . ^ .................... 58 70Autheuil U 74Bargny......................... 3 91B o u i l l a n c y . 19 57Boullarre.................... 23 48Boursonne.................. 23 48CuvergDon.................. 89 13 1Etavigny..................... 15 65Réez-Po8se>H ariin.. . 3 91Gondreville 1 37Iv o rs ........................... 15 65Lavilicneuve I l 74l évignen..................... 39 13M.vreuil....................... 58 70Ormey......................... -9 80 "T h u ry ................ 234 80V arinfroy .................. 7 83VilIer^-^ainl-Genrat. 3 91Neufchelira 31 30

Les reçus de toutes les communes éuumerées ci-dessi's sont entra ses mains.

— Aux courses de dimanche, au bois de Boulogne, le niix de Ssinf-A m ea a été gagné par Versigny, du haras de Ghamant 1 Gctte pouliche était monté par Archer.

C l e r m » i t t . — On lit dans le /o u rn a f de■ Ciermont :

c On nous raconte, et le fait ne reste pas douteux, qu’un aliéné qu’Eiforel voulait sans doute p in ir, fut; par son ordre, mis tout nu on jour des grand froids de cet hiver, et, toujours sur to rd re d’E^toret, poursuivi k coup de cravache dans la cour pendant environ une demi-heure,

€ Nous avons déjà fait remarquerque,dansles maisons d aliénés, il est inadmissible qn’on exerce des n g u eu n contre Ira malheureux qui y sont renfermés, car, si ce sen t des aliénés, ils ne méritent aucune punition, ou s'ils ne sont pas des aliénés, il faut les m ettre dshorau

• Le crime de celui qu’Estoretavait fait mettra nu dans une cour durant le froid le plusrigoureox de ce terrible hiver, c’é u it d'avoir voulu sAvadsr. Si Eriori't avait été arrêté dans sa tentative d évasion, ce n’est sans doute pas le procédé que l’on eût employé envera lui. »

c Nous apprenons ajoute le même journal, qne l’enquête commencée à l'asile des aliénés par M. Pélissier, dé% ué du ministre de l’in­térieur, va être continuée. On attend jeudi on vendredi l'arrivée de cet inspecteur général. •

C r ë p y . — Nous avons reçu la lettre sui- vanle :

« Monsieur le Rédacteur,... * V®®taz-vou8 me donner une seconde fois 1 hospitalité? Vos lecteurs vous pardonneront M excès de bienveillance k mon é ^ r d , car ils com­prendront que vous ne pouviez me refheer le droit de réponse k la lettre que vous avez insé­rée dans votre numéro do jeudi dernier e t qui est signée « Garon. •

c Je laisse de côlé tout Iq verbiage oisenz qu’elle renferme t critiques dé la façon dont ta battue a été organisée et dirigée, éloges dra ta­lents dont on s'est privé Ik e t ailleurs peut-être: protestation tardive de dévouement k l’i o t é ^ public; tout cela est fort beau, mais je n’y crois, pas. On noua d it encore qu’une femme a M4 insulté-' : Que voulait-on que nous fassions à cela, surtout ignorant je fait? G’est, il m e sem­ble, affaire du mari ou dra tribunaux; question de tempérament.

• Hais je proteste contre le dém ràti qne me donne M. Garon e t je lui oppose son prapra aveu : < Vous a v » dit devant témoins que, ^ chm t que la battue devait avoir lieu, vous aviei lâché vos chiens, > et k trois heures du matin ils étaient dans lus bois. Tenez, entre nous, con- yeniz que vous vous rappelez beaucoup mieux la dire que lea phrases de votre lettre de jeudi.

■ Je suis seul juge du jou r où il me plaira de substituer mon nom k l'anonyme ; la chose me sera toujours possible, no m ’étant pas caché derrière un gérant responsable.

c Yeuillix agréer, Monsieur, avecmra remer^ ciemenL*, l'assurance de ma considération dis­tinguée.

■ Permettez-moi une simple rectification k ma note de dimanche dernier, j ’avais écrit :« les fantaisies dra gros, > une erreur d’im prer- eion me fait dire : « dra grands » ce qui rat fort différent. •

C rè v re c c e a ip , La foire de Grèveccaur, dite de la S aia te^ re ix , a lieu ordiBairemsnt la jeudi suivant le 3 m ai; ce jeudi tombant celte année le jour de l’Ascension, ta foira cal remise au jeudi suivant 10 mai.

M « iaee arax -l* A fo lM iy e . — U 17 avril,vers 10 heures 1/4 du soir un incendie dont ta cause n’rst pas encore bien définie a d to a l t quatre maisons d ’habitation, écuries et remises au préjudice des sieurs Perne, Letourneur. Gosseiin et Bourdon. La nerte est de 2,100 tr pour le premier; de 1,60t)fr. pour le deuxième: de 700 fr. pour le troisième et do 100 fr. ponr te quatrièm e; en tout 4.500 fr. en partie 00a - veriB par des assurances.

Les pompiers de Feuquièrra, Holisns, Bro- quicrs, Btargies, Siint-Arnoult et Monceaux eû t fait vaillamment leur devoir en cette cir* constance critique.

j •ulorisée par décretM 'tae ta

Jeudi 29 avril.Cette Foiro rat franrhe das droits de places.

. Un Incendiaso it déclàré dans ta nuit du jeudi 22 avril ait

TMdredK <liDi 1« bltim ents | | m i t i t U N . B o n b an , do Soiotÿetn-ëu^B oif, lituéo va Dépôt d « HouniorOf à qudqttoi kllomèlrw de eeUe eoBmuQo. ?. çonwroô el U porto o in ilérèluéo h ;& 0,0to ft*. Qo déplorerait auwi la parte dw lirrao é^alim oit brûléo.

lao pompiere do Salot-Joan» accoorao do bonoé ÜMro a u r lo lia a dn dDislro, D'onlpu*

loure olTortei- coBjoror leo ran g es du

Ob igaoro les causes^do ce riDiatro. -

j 9 a l B t - « V m i - « B ^ l u i u M é c . — l ) anous éc rit)

U semaine dernière, h la gare de Saint-Juat, 10 facteur Gueudre k irouTé, après le départ du Ualn, sur une banquette de la salle d ’attente desB** ciaaset, un portereuille contenant? billef» de m ü h firtnca.

Cet honnête homme s’eat eropreasé de rem et­tre au chef de gare s i troun ille .

Pendant ce tempe, H . Ledour mi^iseie: k G in rs, qui avkil pMdu ce portereuille, ae rendait k Breteuil et le c l a m a i t aveo inelance dans les

‘ maisons où il était entré.Désespéré, il télégraphia k la gare de Saint-

. répondu qu’en eflel son perte~feuille a n i l été trouvé.

U . Ledour fut donc remis en possmion de *0° *rgeat, mais l’idée ne lui vint nullement de a inl^qrmer de la personne qui l'avait trouvé I I

Départements voisins.A im m e,

La petite commune d e Henneasis, dans le département de l'Aisne, a été le théktre de tra­g iq u e événements qu i ont causé dans le pays une émotion facile k comprendre. '

A Uennessis, habitait depuis quelque temps un ferinier nommé Blancquaniaux, apjk frappé de pliisieure condamnations en raison de' son ^ ra c lë re violent e t emporté. 11 avait conservé, de nombreux procès perdus, une vive irritation contre ses anciens adversaires, el les menaces qu il proférait sans cesse inspiraient dans le vil­lage une véritable terreur.

Je finirai par faire • un coup d ’éclat t • B*écriait-il souvent.

Hardi, sous l'empire des idées de veogeoce qui ne le quittaisnt guère el surexcité par la beissoD, il p rit son fusil et partit dans les chim ps.

Un sieur Bellard était occupé à herser. Blacr quaniaux, l’apercevant de loin, épaula son arme e t fit feu des devx coups sur le malheureux, qui fut atteint par un des projectiles k la cuisse.L autre balle alla tuer le cheval attelé k la heive.

L’assassin prit aussitôt la fiiite. Ayant ren-; contré sur son chemin le sieur Brûlé, il lui tira\ nn coup de fusil qui le blessa k la jambe gaucho, puis il courut se barricader chex lui, déchar­geant des coups de revolver sur tous ceux qui approchaient.

La gendarmerie de Tergnier arriva en toute faite, et, après mille dangers, parvint k se rendre maîtresse de ce forcené.

Dans la prison, il a voulu se suicider et s’est crevé un œil en voulant se briser la tète contre ion lit.

f i i e i a e - e l - l i i i r n e .Le Concours musical qui aura lieu k Uelun,

le 13 juin prochain, promet d'élra très brillant. Déjt un grand nom bie de Société se sont fait inscrire «i d’autres se préparent k envoyer leur adhésion.

Le voyage de Melun présentera au mois de juin un attra it tout particulier.

Cette ville aura alors un concours r^ional{tour la région «omprenant les départements de a Seine, de Seine-et-Harne, de Seine-el-Oise,

du Nord, du Pas-de-Calais, de la Somme, de l'Alstic e td e i’Oire, où se donneront reudn-vous tous ceux qui s’intéressent aux progrès de l’agri- culture. r o o

f Une exposition des produits des arts et de indm lrie, qui a déjà reçu plusieurs milliers

d'adhésions, vera également ouverte dans une propriété magnifique sur les boids de la Seine.

Donc, chanteurs et instrumentistes, nréparex- vous. Allés k kjelun, qui a la renommes d aveir toujours accueilli avec faveur ses hôtes, et vous en rapporterei, outra dç brillantes récompenses, un agréable souvenir.

u u T e | i p i q i ’l l f t i t ,

s e r V i c e m é t é o r o l o g i q u e

M m ï T t a s o .Baromètre remonte de 6 *■/«.Vent nofd-nord-ouest.Thermomètre minima — 1*8 .Ciel peu nuageux.T êm ptpnbéh tt. — Temps beau. — Gelées

blanchee k craindre.

Agrleoltare.

IS « a a M e . .Le Conseij général de la Somme a décidé,

scfsion d ’aoùt 1879, qu 'une somme de 1,500 francs serait affectée au iraiteroetit d’un préparateur k la station agronomique d ’Amiens.

Un coucours sera ouvert, le 12 mai prochain, pour la nomination du litulaiiv. Les personnes qui désirent se présenter comme candidats k cet emploi, sont invitées k. adresser leurs de­mandes, avant le 8 du méma mois, k la Préfec­ture de la Somme où le programme est dérosé (3* division).

E l U t P R V n i T T U R Cfâiemant d«« Coupon*—Rec«piuUuUon de* fond* engtg)*

B A N Q U E O R I E N T A L EPA U lS, 16, Aeanue dé l'Opéra, 16, PA R IS

Les Porteurs d’em prunt turcs 5 0/q et d ’obli­gations ottomanes doivent s’adresser ou écrire au Directeur, en m entiennanlleur nom, adres­ses et la quantité de rentes ou d’obligations dont ils eent possesseurs.

PeiemeN) IrimetlrUl de rinlérél, réponse ex­plicative est^ envoyée immédiatement sur de­mande.

On lit dans la Gosette du ruiagé ;La terre est un désinfsoUnt, el c’est la raisen

qus I on donne aiix cultivateurs qui ne os aou- 5? A. Ef" champs leségsûls des villes. Le fait est que les eaux mal­propres se nettoient et perdant leur mauvaise odeur en traversant la terre remuée comme si elles çsssaient par un filtre.

Oui, elle n t un dAlnfectant, et ceux qui ma­rnant le fumier et les engrais puants le savent bien, puisque, aussitôt leur besogne finie, fisse nettoient les mains avec la terre du champ avant de Its psmer dans l'eau. -

Oui, elle eat un déslnfecunt, et la preuve de ceci, (real que si l’on ouvre ub bassin dans un tas de terre neuve ou vierge pour y jeter des matières fécales ùralches que l’on recouvre en­suite avec la même terre, ces matières se désin­fectent. Au bout de quelques mois, vouspouvei remuer la terre avec la pioche; Iss matières auront disparu e t ne lairaeront voir que des marbrures brunes. Plus rien de répugnant, ni pour les yeux, ni pour le n » .

Oui, elle est un désinfectant puisque de la terre brûlée et pulvérisée enlève toute odeur aux excréments humains aveo lesquels en la brasse tour obtenir un engrais qu’on appelait autrefois vers 1845) 1 engrais B arenn^.

kfais il en estdograud filtre que nous appelons - j champ comme d ’un filtre de cuisine. A force de nettoyer et de désinfecter, il arrive k se rera- ilird e sa la é s qui l'empêchent tô t ou lard de oiictioneer. A la ciiisine, il eslaisé d ’y remédier;

nous ôlons le charbon el le gravier que nous remplaçons p a r du charbon m u f i t du gravier propre ; raa ia iu champ, c'eei une autre affaire ou, comme néus disons entre nous, une autre paire de manches. lA, il n’y a rien k ôter et rien

■ k remettre. Il aura boaii pleuvoir et vous aurez beau labourer bas. le nettoyage du grand filtre ne sera pas sulfiianl. E t il es passera avec la

*t*rre r i ih e tn pleine desaletés,cequisepasse avec une riche terre dA jardin qui ne rtés-infecte pres­que pas les m atièm fécales, tandis que la terre neuve ou vierge les désinfecte absolumeul de même que la terre brûlée dont nous parlions tout h l'heure.

C’est à quoi il faut songer.On a vu des terres k jardin qui, k forced’avoir

été fumées copieusement pendant une longue suite d’années, refusaient de produire. En d ’au­tres termes, le filtre n’allait plus, et, pour le dé­boucher, on le labourail, on y semait ua pré et on cessait de fumer. Pendant cette interruption dans la fumure, les saletés végéules du terrain pourrissaient, se délayaient dans i'eau des pluies et nourrissaient I herbo de pré. Au bout de quatre ou cinq ans, on rompait la gazon, le filtra était redevmu en bon étal, et on réiablh- sait le jardin.

n ’eût pas été possible, s’il n’y avait point eu d interruption dans les lumures. Il is i bon que les théorcieos de l’agriculiuio la sachent.

m iu o do H am iy, ivoiaiDaDt la forêt d ’Aro, d jtn o ^ u e lle le prince ponèdo un massif de

. 10,w O bectarof. Lee cbimpe du fermier sont, en effet, souvent visitée par las sangliers de la forH, et le Juge de paix de Cbkteauvilaio, homme juste, qui n’a socun égard nonr les san- § » des priBcao, a mis cette snnéo au compto do H . de Joinville ta moitié des dommages u u - sés aux récoltas.

La cause de tout cela, d ’a p rk le plaignant, fermier érudit, remonte k MmjTAdâa1(to, qui ‘••®*it élever des sangliers dans le parc du chk- teau d Arc, M ur le divertissement des jeunes Pf*”*’** d Orl&ns pM dant leurs vacances. k l t ” I # », co® "une volrine,liBéisl fanatique, ouvrit les portes do parc aux sangliers, qui le quittèrent k regret, mais qui B en ont pas moins peuplé toutes les f e i to en- vironnantee do leurs terribles rejetons.

Deux surtout, particulièrement choyés an çhkteau, • Dradm -et Huberto >, on t eu une descendance oqmbreuse qui a gravement engagé la responsabilité des princes.

Eo Ifibunal de Ghaumont vient, une fois de plui, de condamner le prince de Join- yills k payer au fermier la somme de 700 fr., k titre de doromages-inléréts.

VARIÉTÉSl im e m n ié a m y a tè r e s d e P e r l a .

Sovra youe, ô Parisiens, k que! le prince Os­car de Suède a employé h s dernières heures de son séjour k Paris f

Tous qui n ’a ,H jamais iU prince e t sutloul irince curieux, vous ne comprenez pas qu'un aune homme destiné k monter un jour sur le rôa# passe ses nuits ailleurs que dans on ex

îÜ Î Î Ï Î ’j t “ “ • ombtea « trm p |M ti un coup de bltod et Tou peut ,o ir lea

" '* * • " • « « « . tp r t - l’e w ir malnir- ï ï îh L ÿ»l*ijtau-daiiU8 du pan p e l, le laiaaar

' dans le fleuve.m. f î î *'** witoe effroyable, courons I courons

*®®oursdu roalbeuraux.i i ü i i i . ' " ? " " * " ' . de po-t to e n débouché d une tu e obacore et la cliasae * coeam anc.

I » policier., mai. » n guide lui rappela que ce . M rteid ’opirationa

poo.toojout» par l ’arreslation

h r i r t îm ê ’ “ “ “ l’” ' ” *oraarrdau quai. Leadcui

hommes y pénStrtrent et lord Seymour, eu ao - . l”?" '*0 <i>nl)rid,o q u ii diait prit les

E l î f m iT f " " l’ooilroit où dlail, S’a p ii .loi, tombe le cadavre de la victime.n i î r o J î ” '***? « dreeiant i l'arritrepoussa no cri terrible.« iT l Milord, il! S i . J î i ? 7° “ ® "OW ap-Sfall- ÿ « n d e i.v o u 8 passa voix qui nous im­plore, vmez, venez vite avec moi.

. »?>“emont fixé les eaux i1*, k i endroit indiqué par son com pa- 1

ne voyait rien, mais le guide persistait, f K> dressant su r le bord du I

I opéraüeos deim X S n if^S * w awmeotalloDtf iiï^ J iîi par la création dînouveaox

' ancÎMiora* norm aldüactions

b î l f t - 3 q » ' p*r h .fa?™ J lE P><"«lon. d e l ’araiiir. U eat to n dené * '" 'î W '* “ « Pri"w de M » » » « r o e d S l S '•,.* '<»«« de banquier, in lm -

déduction faite dm liraia d ’émiirion, “de ré ierre apécUle au

grand proOl dm amnréa et dm acUonnairm.a V.ÎJ" “ "eeription n u l tria­

de ^ ? Epetgno, le pria net b « r « r aat ™ e“ MOBcrirant et

d ^ ton î " * ™ / " " » en Iroia n iM m anta é n u i e t î ® *® i“ ' “ e t 15 jniliet. et un CKompte de 5 pour cent l ’an mra b i t pour to u .im «rM m enl.an lic ip fe .

l l r n f r a o * “ “ “ "d"-! 40V l “ “ • “ “ d™ l'ourerturo

oraciolla de iémiMion ; on peut s’altcndra 1 un grand succès de souscription.

du fleui gnon, ilPuis br -a,m.ua,bateau ahoté :

- Y vais seu

E t SO I d ’un bo

tus ne voulez pas venir. C'eut bien, i ’v L adisu milord 1 ^

Quani au cercli

' 7,“* ailleurs que dans on ex­cellent h t, aux rideaux excellammentcapllonnés p eu r atténuer le bruit de la rue, Undis que sura table de nuit srintille k la lu rur de fa veil-

JeuEo d OMla le verre d'eau sucrée aromatisée k la fleur d oranger, qui doit ramener le som­me! s i l lui prenait par haiard la fanUisie de fuir les paupières princières de l’Altesse royale.

Vous supposez donc béatement que notre eune et illustre faôle a dormi du sommeil des

, usies, — Il existe des princes qui y ont absolu­ment droit, croyez-le bien, — et a fait, dans un ratme parfkit, son petit four du eadrmn, af i. Irn^^ia in ’’ reposé pour le voyage du

Détrompez-vous chers lecteurs.En v é rit^ le raifiné qu’il « ! , le prince Oscar

a voulu s offrir le speciade d ’une nui) de P a rü et animer un des chapitres mystérieux des Mut- téree de P an e, cette œuvre gigantesque d ’Eugène Sue, qu II avait lue h-bas, en Suède, avec toute I émotion que peut éprouver un adolescent mis en préseBce des rcènes si vivantes et si nouvelles pour lui de la vie des noctambules na- risiens. r

faits divers

j. corps disparul dans le fleuve eu milieu iillonnemeut d*4cume,.

lord Seymour riconla le leudemeio *!" ‘‘ * ™ ‘.<P™“ ''* «o amUlinl i le

lolie eub I . et au luicids de son compeinsn. 1 audiloii 1 ernlocralique eut dm frimons Miii■a suite du récii *tibion*ii a kî™™ ■__teura dai

Lord

On lit dans la Gasetle du Village zOn nous questionne souvent sur la meilleure

manière d’employer la chaux en agriculture, et bien que nous nous soyons déjk expliqué Ik- dessus, il faut y revenir.

Quand on emploie la chaux seule, on la con­duit .:.ux champs avant l’hiver, ou, si mieux vous aimez, plusieurs mois avant les semailles; on la dispose de loin en loin par petits las, on recouvre chacun d’aux de quelques pelletées de terre et on laisse ainsi la chaux se deliier com - ptètçment. Celle manière d'opérer ne nous sa­tisfait qu’k demi, parce que les places occupées par lei tas sont toujours plus chaulées qu’on no le voudrait et qu’on est forcé d ’enlever une partie de la terre ainsi recouverte A de l’énar- piller avec la pelle.. P jw ^dé que nous préférons k celui-ci con­

siste k former des composts dechaux et de terre eu de gazon, k bouleverser ces composts avec la boue au Im utds quelques m oisetk les répandre eu m êm e^m ps que le fumier k l’époque des semailles. C'est le cas de redire qbe la chaux ne doit jamais dispenser du fumier, qu’il faut tou­jours fumer comme si on ne chaulait pas et même davantage.

Selon nous, on emploie trop de chaux k la fois et k de trop longs intervalles. Il s’en perd et 11 en coûte de fortes avances. Au lieu de chauler pour neuf ans, k raison de 80 et 100 bMtqlitres par hectare, on pourrait fort bien chauler plu» souvent avec des quantités moin­dres. Il est plus ailé de tronver de petites som­mes de loin en loin que d ’en trouver tout de suite une grosse.

Tribonanx.ü 1® prince de Joinville est as*suré d avoir un procès k sootenir contre uu fer­m ier tèlu nommé Roblin, qui exploite le d o -

Dooc. ir . Andrieux, notre préfet de police, avait prévenu M. kfacé. chef de la police du eû- reté, de léquipée projetée et toutes les mesures avaient été prise* pour que le nouveau prince Rodolphe put parcourir, dans h plus grande ^ u r i tp . tous les quartiers de Pari», pénétrer dans tous les bouges, visiter tous les Upis-francs sutionner dans les maisons interlope» dont les tmmenses numéros sont si connus sur le* boule­vards excentriquM, et se risquer même dans les repaires ou la police va chercher le» voleurs el assassin» qui s’y réunissent pour m édi'erde nou­veaux exploits.

Parti k dix heures du soir, le prince n ’est rantre k son domicile que vers quatre heures du matin, et nous devons avouer qu’il ne nous a pas ete permis de le suivre dans celte prome- naile nocturne, pour saisir au passage ses im­pressions.

biais cette audacieuse idée venue k l’héritier de la couronne de Suède, n’est jpas absolument nouvelle. Dcjk dans les prem ères année» du régnedeLouis-Philippo, unauire grand seigneur, lord Seymour, avait voulu se procurer cette acre 8i>nsation d ’une nuit passée dans le Paris mysMneu» Mais ici pour l'originalité briUnni- quo on déploya toutes les ressources de la fan- lam e. Lord Seymour voulant avoir des émo­tions Il en eut de singulières, je vous l’affirme.

L» jour fixé pour la promenade nocture do celui qu on devait surnommer plus tard Milord lA rsou tlle , ce gentilhomme reçut un cuide choisi exprès par le préfet de police et l’on w r - tit vers m inuit. ^

» •Nous ne nous arrêterons pas k la première

partie de cette tournée mystérieusa, accomplie au sein de ce Paris-iRcomiu. Après avoir visité les bouges et tapis-fraics, et les guinguettes et las repaires. Après qu'un eut fait ouvrir devant u * l u p a n a r s , depuis le sommet de l’é­

chelle jusqu’au dernier sous-sol enfumé où grouille le vice hideux, Milord déclara k son guide que tout ce qu’il avait vu l’avait simple- raiint intéressé mais que tien n'avait remué en lui.

G est alors que commença la seconde narü» du programme.

On longeait les quais en bateaux. Soudain, une étincelle jaillit et trois ombres apparaissent sur le peut qui fait face. U Boble lord saisit le bra» de son compagnon, celui-ci le rraarde en face et prononce Eimplement ces mots : Un ertme, n'est-eepas, milord f

Biais le genilemen ne répond pas. Il regarde. L k -^ s , k quelques mètres de lu i,trc ii hommes semblent en être venus aux mains. Tout k coup unaïoistre Mfllemeot, long, modulé, strident.

• ----- •'” •'1“" 4JCO IIWUIIE, BIIS\ r r ; ‘ • “ ï 'S n .il 4 b i.n d 'au lrn Ijiu -■ i scneile fanlaetique,

ippelé ausecouraet 4 ses çr a de d * r « . un groupe d ’hom m esan it paru » I ou.erlÉre d une porte d’fgouldounanl e!!r la beine, e lfes marieiera avarrnl h4li le bale'ier. Mai. 4 prine lord S rjm our ar ill- ll abordé nu'il fui sauj, M lo o n é el entraîné dans l'égaul donl la porte se. referma tup lui arec un bruit de fer- rure grinçant dans ra rouille.

‘I *“ reconnaître,

tlViiLfr “ “ T î*"* “ «e rapiditéverfigincuse. Au bout du parcours, on rendit

qui put alors se rendre compte de sa siiuaiion

‘l® faux-monriayeur» qui voulaient, à tout prix, l enricliir.

Une ronde de police termina celle dernière aveiilure. Le» agents pénétrèrent ra r le côtéon- ^ et une véritable bataille s’engagea entre h» faux-monnayeurs et les agent?. Il y eut d « coups de feu échangés et comme une fumée in­terne empht tout d un coup l’égout. Lord Sev- m our se sentit soulevé sans qu’il put savoir nar qui, et hiEsé jusqu’à l’orifice d ’une bouche d ’é- goui dont !a plaque, k un signal, sesouleva rou r lui donner pas.«ago. '

Lorsqu’il put se reconnaître, lord Seymour se rftrouva ?ur le boulevard des Italien- à quelques mètrys de chez Torloni, où l’atlèn- yeux**° 8’était suicidé sous ses

Celui-ci, s’avançant vers legeniltmen, lui dit en Bourianl : . » •»

“ ^ d o rJ , est-il un peu plesérootionné main­tenant '

Tout ce que nous venon.» de raconter avait été préparé et ng lé d avance comme une pièce do Iheàire, avec ses acteurs el ses -comparses. Lord Siymour avait voulu jouer au prince Ro^ de **“ “ Mystères

Ci^lté fantaisie coûta au genlilhommeriOO.OOO . qu il remit au prefel de police pour être dis

tnbues aux pauvres.

KST-CB DIIB PLVUa db garabd ?On lit dans la F ^ ie de Cherbourg ;Notre ville possède en ce moment un phéoo-

que le monde existe ; üu enfant de six mois, Auguatine L ivir.

p o u ^ tous les SIX jours. Le phénix fabuleux, renaissant de ses cendres, devient une réalité.

«ou» avons vu les vingl-iroi» plames qui ont pouMésuccessivement sur la têlodecetteenfant.

«oiis avons assisté, samedi dernier, chez son père, brave ouvncr menuisier, 161, rueSainte-i Honorine, a a chute de la dernière. Nous assis- teroni probablement aujourd’hui, vers quairo heuras, k la renaissance de la vingt-quatrième.

Voici comment.l’étrange phénomène se pro­duit : rien n est plus curieux.

Un boulon n lormo oor la nuque d . l'enfant. Au m oraeit ou le boulon doit s'épanouir Au— gustine éprouve un petit trcmblernent qui an­nonce une légère souffrance.«^^1 .®.“]®" plume se montrepoussant «n courbe, ae m an'èrekatteindretoute

^ *2 cenlimètrei.. Elle est dorée sur m bord» et présente 1m nuan­ces 1« plus variéi.*» et les plus charmantes.i m & hi A®,™*’®» gouilelettes d’imiquide blanchâtre Eorleni du trou, qui se re­

ferme aussitôt, pour ne li>i!«er aucune trace de sou existence, jusqu’à la réapparition d ’un nou­veau boutoD.

Lenfant porte celte plume sur la tête tantôt SIX jours, tantôt quatre jour», et ce qu’il y a de plus m ptérieux, c’est que la nouvelle plume met autant de temps k pousser que son ainée k tomber.

Lo iièro t»Tir partira, dimancho prorbain, a m la prtilo Aiigasline, pour aller m oijirrr cel élrange pliénomen. 4 MM. Ira membres de 1 Acadi mie do médecins de Paris.

FLOS DE i t ^ ,

n w u ip o a r u e ra ia B u m ^ i iM

« i ™ 4 . c i d « i r t . , « Z M C 5 î a

G a r n i r r o i o i i a d b i i u é i .

D E l l I d n M U T G O i m U LïM OBLIMTIONS DE HO FS. 1 Hto

AVEC« m a m e m c o n o n u « r a t p n o n i u -

d.u’dÆ ’ d ta m b r ^ ^ t f e ^ 'iœ W ’:

Tableau synoptique (les Marchés de la Région

LOCALITÉS

G la o re .....^ ’ ? ' ? ; . . . .G nadvilliera................Noaliles........................Royo..............................

Mardi.Gournay-en-Bray........S e n l ia . . ........

J fm ra d f.Breteuil.........................F o n n e n e ......................

Jeudi.Crevecœur....................Songeons ........Beaumobt-sur-Olse. . .

Vendredi.Marseille.......................Méru ............NanteulMe-llaudouin. Pont-Salnie-M axence.

Reauvals. C lerm ont. GomplègoeC rtp r........Meny........Moyoo. . .

•Samedi

les 100 kil. 1 hectolitre

I»* q. 2«q. l**q. î* q .

26 69 " 80 19 6tl

27 6328 20

28 *i>19 12

28 50 25 6429 »»29 8(1

32 60 2828 73 28 80 27 98 19 80

21 67 20 6»20 4021 63

i t SI 21 28

2129 ••

28 a*

18 50 20 18 21 46 21 18

22 I

21 75 20 30 19 éé 19 26

20 30 19 481920 81

(919 80 22

19 88 18 88

20 76 12 04

19 a>

les 100 Ul. I bectolitre

l«* q. 2*q

17 2816 4017

18 12

16 65

17 4'

18 75

16 .419 »»

1514 80

IS ■»13 20

1414 5015 ».

ts12 8712 9(1

16 XI

ts 60 14 70

11*

13 37 13 8 1.3 80 13 78

12 9513 78

12 M 14 M14 I»

13 . 13 29 t l 6ü

13 LO

20 552020

2024 »•

19 ■> 23 21

16 22 26 19 80 19

22 80 2 0 >■ I l 76

13 83 11

17 20 60

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10 »*9 >•

10 10 10

10 12 **

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10 60 8 38 8 74

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10 »

10 548 76

9 93

22 60

2524 60

23 28 23 78

12 n*t l 28

27 60 16 »

L^ prince Oîcar de Suèle rentré de sa pro­menade nocturne dans Paris, k quatre heures du m atin, se rendait quelques heures plus lard k la gare. Gageons qu'il a eu à ce moment un soupir de regrets k l’adresss de ce Paris qu'il commençiil k si bito connaître.

J ohn Box,

I j ’H y p o t h è q n e F o n e i é r e .C est le M avril qu’a lieu l’émission des actions

nouvelles de l Hypothèque foncière. Ainsi que nous 1 avens dit, celle alfiire constitué* l'an dernier a donné pour cinq mois d'exercice un dividende qui représenta un revenu annuel de 10 /o. Si ce iN uital a pu être cbtenu en pleine période d organuation, on est fondé k croire que mainlf-naqt que tou» les services sont admi­rablement installé» on arrivera facilement à des produits plus brillants encore.

L’augmenUtion du capital «si un gase de securiie d» plus pour les assurés. On sait que la matière assurable est immense, si l'Hypothèaue /onciér» arrivait k a.^surer la dixième pariiJde a dette hypothécaire de la France, elle réaliserait

un bénéfice annuel da deux millions et demi de francs pour un capital social de dix millions de francs.

Il est bon de faire remarquer que cette société est la saule qui assure le remboursement des irèls hypothécaires des fermages «t des loyer» ; lies quelle n’ait pas de monopole, la priorité

peu té iie considérée comme un alantage irès- serieux dont une administration aussi honorable qu babile doit retirer de grands bénéficei

■arché de Paria d* 23 iT r il .Farine, le sac de 100 kil. n e t . . . 44 59 â 47 77

, do seigle, les 100 k i l . . . 32 50 33 50Blé indigène, suivant qualité. . 31 50 34 •

,& igle nouveau............................ jg , 2 3 5 ©yn!« - ............................ so . J 4 .Escourgeon nouveau............... .. 20 50 2! 50Avoine, suivant lo ts ................ 19 * 2160

....................................... S ) . . 31 40................................... O . . 16 . .R eco o m lles ................. ......... u . ,5 „

Remoulagcs(suivantcouleur).. 16 » 21 >

Premier blanc de cristal 60 *465 •Massé de fécule n* 1, 40 degrés. 50 * 52 >I l I . « d c g iv îs . . 48 . 50 *Liquide, 33 degrés....................... 45 » 43 »

A a n ld œ M .Pains de Paris, les 100 k ilo s... .Pains de province........................Briques d^Altace e t M arseille...Amidon de mais, rix et divers... — . .

1mes d e «oaïueMMiktleB.IW kU. K» kll.

L homme le plus marié des Etats-Unis (Mor­mons nencom jirl»)«t, d illeC burrier dé» EtaU- Unts, Clarence Davis. En 1876, époque où il était druwiner, ou commis-voyageur pour une maison de thé de New-Yorck, il eut le désaeré- ment d’être enfermé dans la prison do Ludiow Street, en conséquence de la découverte qu’il avait deux femmes et quatre fiancé*». Son onde obtint son elargiss- mentsans caution, et il s’em pressa de quitter l Eial.

C’est seulemf'nt après son départ qu’on dé­couvrit qn'il n ’avait pas lUux femmes, tomme on 1k crovaii, mat» ?ix. D-pms celle époque. Clar.nce Ddvis habi:c le Mithigan, iGuiouis comme drummer, el danslecoursdeses voyages il a ai'gmomé considérablement le nombre de ses cpouse?. Il a épourâdans l’I linoi», dans le Michigan, dans l'Indi.na, dans l’Ohio, dans le M SîOuri, dans le Wirconrin et dans le Canada

Arrêté ces derniers Jours à Chicago, sur la plainte de trois de ses femmis Icgitlmes, au mo­ment ou il venait défaire lén ir son union avec une nouvelle, il a été écioué. Le bruit de son arredfttjon s’est répandu, et, aux derniers avis, il y avait k Chicago treize dames Davis, dont chacune prétend èire la véritab'e.

I^ prisonnier a dit dans son interrogatoire préhmmairo que tels el leUde sssmariages éiaient nuls de plein droit parce que les épouséas étaient déjà mariées, t e l s d tel» autres parce que les épouséis «avaient qu’iT était marié, celui-ci parc* que l’épousée élait mineure, celui-ci par quelque autre raison. Bref, il prétendait n avoir Ote véritablement et légalement marié qu une seule fois, et il ajoutait avoir divorcé, ce qui fait qu’il n’est pas marié dn teut.

La nouvelle qu’une treizièra» de ses femmes venait d arriver k Chicago lui a abattu le moral.Il avait confronté la douzaine sans sourciller, mais la » douzaine de boulanger > lui a fait nerdre courage et il a essayé de s’étrangler. Un fait cuneux, c 'u t que la polygamie a ’étant pas prévue par la loi, cet épouseur insatiable est accu-é de « bigamie ».

Un journal indien, leSpecfafrurdeDcnoafore, prévient les gourmets qu'il existe un meis excel­lent dont en ne s’était pas encore avisé ; c’eei, paralt-il, la chair du tigre, qui forme un déli­cieux régal. Cette viande a do plus l'avantage d ê tre beaucoup plus nourrissante que le roaslbeef, ajoute le journal de l’indebrilannique.Il ts t vrai qu il est plus difficile de es procurer petto chair-lk que celle du bœuf.

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T j Î.™» “ “ nouvel KmproDtMmmnnaldeSOO millions. Cet em pm oldlait devenu n e c ^ i r e p . , , „ i , , l ’em plS , in jonr-

1879 î î . . . A" S M ûtiM n '. . A*»ron minieWrielle du 8 J u r i w1880 a e n l e ^ la c r id il Fonder à (m ettre im ~

1 “ ûl'»n d ’obJImUoiia t?tr« “ l’Em prunt, le nom bre de

270 “ dbons, correepondanl au ( nonvellea de-mandm d emprunt des communes.franS B ^ consi.teut en Obligationa de MO

I obligation remboursée. ....................... lOO.OOOfr.fiXKi“ r- 36,000 *o ôbligations rerobour-

« fa par 6,000 fr. soit 80,000 » 43 obligations rembour-

. per 1,000 fr. soit . 6,000 .Orage p o u r.. 200,000 »

et 318 lots par an pour 1,200,000 .t e l - Ureg, a eu lieu le 5 A eril; le lecoad

aura lieu le 5 Juin.

t m m " " “ Àrotdes de 1 à

j rfmboursAfn*nt par anUcina-tion des prêts communaux pour lerquels l’I ^ ^ prnnt est ém i., le C r^ it PoScier ra c tè lîra U w pair, à fa süite d un tirage spécial, une ou p lu-

‘ afin de maintenir(art. 7b des etatuts) l'équilibre entre ira prfita «Vhé.a ™ “! ‘"■“ 'd io n . Les obligations ainri rachetées continueront à cottcourir a u i tirages et pourront être eintses de nouveau, après l é a ^ sation dau '^eeptèis communaux.

Les mtérc.s des obligations ?onl payables les Ln™' ' ” . eeplenibre, è Parie, au Crédit Foiieier et (Lins lee départemenbt, dans toute, les Recettes des ünances.

‘‘*1;’ ' ^ vous forme <roiliga- “ fi “ MOre 'des dem in-

‘mmédial d e là lelalilériuprtat deniiEsion, fiié d 486 f r a e a .k n • demandes sont réciw» ;A Pans : au Crédit Foncier de France, rue

Neuvf-dcs-(ipucines, 17 •D.ms les DépartrmM ls: rhezMM. les Trésoriers-

r™ r ï - m a S

^ ’H y p o l h è q u © F o n e i é r e .

Cctlesociélé, qui fait en ce moment l'émission de ?es actions nouvelle», a obtenu d* très brillant» ré-uliat» de» ses débuts, pnUque le divie.ende qu elle a rtif-tribué par uu exercire de de cinq moi? repré?ei.t - au revenu de 10 •/ e s r an sur lu capilül fer^é. '* ^

La<gm“ntaiton du capital devenu indisneiia* îble p i r sotte de la progrssion rapide des

operaiioiis, va donner à la société une rituatiou exceptionnellement favorable; elle accroîtra les praiiiiFâ dKsawuréset contribuera puiseaœment à donner un vif ts or aux afidircs sociales.

On sait de-longue date quo les enlrepriMs d assurançtîs ont fait la fortunedes capitalistes oui ont eu l iD ie igence de s y iutéresser dès les d tbu ls; il enlfiide consulter la cote pour se œnTaiiicre que les cours actuels des bonnes Compagniea reprétenlent cinq, dix, vinat ou même trente-cinq foi» le. capital déboursé d abord. Ces précédents sont d’antant nlns encourageants, que l'i/î/polftcoue foncière a k

champ absolument nouveau, nui se chiffre par plus de dix milliards d e francs, el Il suluraii da rau riT un milliard pour que cetto comprtgni* réalirêt un bénéfice net annuel de 3 milions el demi de francs.

On TOit quel brillant avenir a’ouvre devant celle aflairesi féconde! Les capitaux disponibles seront donc bien inspirés en souscrivant anx actions nouvellM de ['Hypothèque foncière. Ce» titres h b e ^ d e 125 franc», sont offerl» au public

PPîa ® francs. Il n’y a donc k verser jo n ^ francs, dont 50 francs en sonscrivant, 100 francs le 15 mai, 100 francs le 15 ju in et 100 francs le l^ m î le l . Ainsi quen o u arav o n i d it, la nnm e de 2% francs est porté k unerésMve spéciale *i reste la propriété de» acUonnaires. tout en augmentant la garantie des assurés

U fouscnpiion sera ouverte le 25 avril aux guichets d* 1 HyMtAégue/'onciére,en eon hôlel, 40, rueLaffite,à Pari», etchez toussesrepré?en- tantsen province. MauilarrivedéjkdeSdemande» considérable» par lettres chaigées, el «n présence do cet empressement de l’Epargne k participer k cette émission, on peut dès k présent conopter sur un grand succès de souscription.

B o a r s e d e P e r l a d u « 3 A v r i l , r o n s D*tTAT — acTiM s

? 0/9.......... .. M SOiOrléana I i 9g n .. 0/0 amortis. 84 924 l[2 0i0......... 118 506 0 /0 ......... 119 15banq. d e F r .. 3200 » Banq. d. Paris 815 n» Lompt. d’eac. 895 60 Crédit foncier. 12i0 »• Cr. industriel. 725 >« Créd. lyonnais 930 •» Crédit mobil.. 6^0 »> D ép.etcom pt. 712 50 Société Anane. 845 >» 'Société génér. 560 »• Binq.hr.-égyp. 760 »» Gbarentes.. . . 31 »•Est 737 *»Midi................ 970 •»N ord 1565 >•

Obi. d i Trésor 5 3 7 » D. delaScIno. 242 » Paris, 1856-60 tOS »»

1865... 525 ».1869... 403 »»1871... 400 •• 1/41871 104 16

Bonallq.60Â). 631 » ' 600 4Ôi0 617 60

10* 40i0 101 69 ‘600 SOiO 640 » 10* 30(0 108 •»

-600 4 0|0 517 81} com .30 |0 481 21

6* SOt(> 97 »• ^ dén. 5 0|0 305 25 S .a l t .f5 0 f .^ . 146 •» Gbaïonte».. . . 81 »

O u ra l .. . . . 771 „Pw - L tou- I I . IJ9J ». L o m p .m r.g u ISIO >. i ^ é t e i a s i . . 19 »» Looap. trans.. 610 »> Hftss.maritim. 720 »• Canal do Sues 942 80 I ta H e B .... . . . 83 90Fonc.d’A utr.. 745 a» Cr.mobU.esp. 746 »• CbeiQ.antrieB. 690 •• S.-Aal.-Lomb. 182 »* N ordderE sp . 917 71 P o r t ^ . . . . 6c0 *aCh. fer. H o a . 139 »a S m ip a s o . . . . 850 80Omnibus . . . . 1238 a»Vidanges 650 a*.

oaiisaTioMS608 •» 383 as381 a»382 80

E atSO iO ....Est S 0 (0 .... A rdennes...Lyon 38ÎBonrbon.SOtO 383 . . I ^ n p b ia é . . . . 881 80 Médit, (fusion) 388 80 M id lt . l8 M .. 385 .» Vteur-Kmm.. 378 >.* tû l . , 388 60M .rtim u«Ü <. 3 M » .OvIA m 383 MGraudraitnl. 333 . .

mM édoe.. 293 M^BU) do Subi 870 a»O a tn ib o s ... . 627 >•

Le Gérant : D a iu b t.

S m E i. - Im p t i iM i, P IB III fu iftt ,.

i i i g e A L E

8 i d n » t d u pinistàre de — •“ k CbâotiUj. ea d iw

_ . J A H/Jetn-i>ï«açoMll(tt(|l» •teMUat, «t mKUma JMnne- P i u w U geodre. m » épousa, do loi M toriiiK d s v w n u l OMNobio à Paru, iM d a T m p lo ,a n m é r o l7 d :

k w A étà domakUo oa f élude de H* C h âu eii, OToaé, .demeurant k SmIis, l a e B tiB t'Ù laire, numéro 10,

' VoO&cation a été Uite k- Monsieur le P ro ^ re o r de te République près le lri« b u n d dTil de p iW ière instance de SanlH

Ite raipédiÜOD d’nn «cto dressé au gjrefle do tribunal dv il de Seiüis, le t ln A q u a tre jinv iw 1880, constatant te d é ^ teit au grefle ledit jou r, par H* Cbalmio» avoué, de la copie cofla- ÜMinée, vguée de lui et airaKislrée, d'un

Ltediodicitioa aura lien te m r n r é t v I m M b m M « k tIM M ,

heure de midi.S*adp«at«r pour tea rm m igM m ^nts : V k H* B a m n GUAUHN, avoué

nie, demeurant rJOjlOî

R* i H* FOULON, fauinter k SenlU; 8 * E lâ tt greltedu tribunal ^ v ù de

Sremière instance de Senlis, où lecabier es charges est dépoeé.

ponrfttivant 'te voue, demeurant k Seolia» rue Saint-Hllure, numéix).

contrat m isé devant M* f alézeaux, no> I k Chaut l l j , te trente novembre

v r/0« contenant vente par H. ^o y se Kobler, imprimeur sur elofiè^ et m a-

laire i

dame Marie-Adé ine-Auteé Leclerre, e épouse, de lui autorisée, demeurant en* eemble k Geve, an profit de H. e t ma­dame MUtet, d’une Propriété située k Coje, en te rue de l’Abreuvoir, consis­tan t en : 1* une maison d'habitation, précédée d’une petite cour sur te rue, avec ees oireonstaaces et-dépendances, jard in k te 8a i t^ droit commun k un puits es tronvant an bout dudit jardin; tenant l ’ottem bte par devant k te rue,

' p ar de iriè re k Vaast et Uelacbasse, d'un eOlék Taast, et d ’autre k veuve Letel- liér. — R*. Un jardin potager d ’une contenance de no are trente centiares, derrière la maison de madame veuve Letellier, tenant ledit jardin d ’no bout k veuve Letellier, d’autre bout à H . Le­clerre on eèn représentant, d ’un cété k petecbasse, et a a u tre c6ié k V ^ t ; ce

~ OcB uiuia Tnhvjntste tre MM. Ddacnasse, reprèBeniani Le- de rre e t madame Letellier, et par un trn liage du côté de H. Vaast.

Moyennant, outreles charges, la som­me de e û ; m iH e c in q ce n ts fr a n c s de pria principal.

Avec décliraüon k Uoorisur le Pro­cureur de. la République :

i* Que ladite notification lui était ' ' e en conformité de l’article 2194

■ ciril, afin qu’il eAt k prendre It de qui de dro it, sur l’im - vendu,' telle inscription d’hy­

pothèque légale qu’il avisèrait, dans le délai de deua m ois, et que tente par lu i de ce fairèdans ledit délai et iceloi pâmé, l’immeuble dont s’c„ e t demeurerait définitivement libéré entre les maies des acquéreurs ^ " 'i s dettes et hypothèques de cette

Etudes deM **D éM «llia et C lia lm ilm avoués k Senlis (Oise).

V ^ T B ’AUX n tc n k u s pobuqdbs,

S u r baisse d e Aftse à P r i x , D e l a N u e - P r o p r i é t é

créances 'VALEURSICTIONS ET OBLIGHTIONS

L’Adjudication aura lieu le M u n I I• m m rn l 18M P ,

k deux heures de relevée, .E n l ’étude «I p a r te ntRÛtere de

H* DHiiBi), notoire à Senlit (Owe).

S'adresser pour tes renstipnemente : A Senlis (Oise) :

1* A U* DEUEUN, avoué poursui­vant la vente;

2* AM* CIIALUIN, présent k la vente; S* E t k U* DRIARD, notaire, dépo­

sitaire du cahier des charges.

3* Qu'indépendamment des vendeurs, les andens propriétaires dudit immeu­ble éUient, de rarticle premier, moins te jardin :

Jean Bonnet e t Gécile-Angélique Le- telller, son épouse; — Gharles-Zélia Vernier et Clémentine-Eugénie Lefur, son éponse; — Louis Tignard; —Aimée* QotUde Yignard, épouse de Charles- François Caboche; — Jean-Nicolas-Joles Tignard; — Denis Millot; ~ jean*lA»uis Tignard; AngottneM illolt — Gonr-

,^tant Pécbeuz; — Eogène Millot; — com- monanlé d ’antre Louis Tignard et dame VarioAdételde Flan, son épouse; — Ho- Doré'LoDte-Tonssaint Dnmont et José- pUnfrSibilta Marth, son épouse.

Jardin article deux ;Dame TMoiN-, née Lerur, sus*nom-

m és; — Nicolas-Vagloire Leeur et Eiéo- Dore Ccsurderoye, son épouse; — Marte- Marguerite Champagne. épouse de Louis- CpMUnl MirvUle; ^ Antoine LoogaL

Jardin compris dans l’article preroièr: Looise-Adélina Cpsse, épouse de Geor-

ge»Frédéric Clady; — Antoine Gas5e;— E u ^ e C a r s e ; — Urbain Casse; — Jules Tteaae;— Ernest Casse; — A'ièlc- A n ^stin e Chaalon, veuve de Auguste- Denis Dopnis; — Louis-Antoine Casse et Bonorine-Rieuletle Duruelie, son ^ u s ^ — Laurent-Amhroise Letellier;— Bustacbe Letellier.

3*.E t qpa ne connaissant pas tons ceux do c W ou an profit desquels il p o n m lt être pris inscription pour cause d'hvpothèqoe légale, N . et madame MilJot,açquér«ur8 feralent insérer ladite notificatîMi dans le Journal de Senlit, confermémenl k te loi.

Pour insertion,Signé :EaimsrCHALHIN.

Bttide de M* E an u v d a m l m l i i , avoués Smlia,

rue S d n t-HUaire, numéro 10.

WMIM'I B S U R U C l T A T i e nE n randieoce des o iéesdu tribnnal dvil r de prem ièrt i n ^ c e de Soilis,

an Palais, de Justice de ladite ville,

P T B W T E M A I S O N4 S s r 9 S l t l 8 (Oise), rue du P eiit-

Ghkalis, numéro 5. Lte(UodicaUon aura lieu le M aarM I

H m g tr m n p t A v r i l f f l » * , heure de midi,

dtedremer pour tes rsRMtgiieiiiefite : i* A H* Eamtev CIIALIIIN, avoué

1 Senlis, n e Salot^Hilaire, numéro 10,

Etude de H* E iiilb D ë n a e l i n , licencié a i droH, avoué k Senlis,

rue de Villevert, n* 7, succsseur de M* Deloovb et T n E u a v .

Vende su r liciùitionIN T U MAilUa KT IfIMRiniB,

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Sises communes et terroirs de GOUVIEUX, PBEGV-SUR-OISE

et LAUORUTË,Gn soixante lx>ta

Q u ip o u r r o n f ê t r e ré u n is ou d ivisés L’adjudication aura lieu le D la a s u a e i ie

dcvam M a l « « M O , deux heures de relevée.

E n la M airie d e G o u v ieu x (Oise) Par te ministère de M* W ateau,

notoire d Pre'ey‘S u r^ » e . Sadretter pour U t renuignem entt :

A Senlis (Oise) : i* A M* EmilbDEMELIN, avoué pour­

suivant la vente;2* A M*CHALMIN, avoué co-licitant; 3 ‘ El k M* WATEAU, notaire k Précy-

sur-Oise, dépositaire du cahier des charges.

Etude de AI* Eiule U é v a e l i i a , licencié en droit, avoué k Senlis,

rue de Villevert, n® 7, successeur de H** Delcove et Theiirt.

pontshivant te vente; 2* A M®* P---------PBL60IS et TANTROTS,

k Sentis, présents k te vente;8* à M* MOREL, notoire k Senlis;4* A l K ttSs du (ribuDal civil de

00 te cahier des charges est

sur Ira Itenx, pour visiter, tons te l i a i n Idimancbee exceptés), de deux l ^ iM n b e o re s .

Bfaléi 4 é . l i * S i n R C I i a 1 m l n ,

; ; m i J S S S ^ i S l w ^ l i k t x o .

v m r â nn m BAISIB lUMOBILIÊ F:,

ip.dèsciFiéèBda tribunal uvilI de Senlis,

^Ab JüÉiieo.de ladite ville,

I 8 0 N

Ëde Terre

v e ;%i t eSur Publications judiciaires,

P a r s u ite d 'a c c e p ta tio n bénéfic ia ireDE : 1*

UNE MAISONA U S A G E D ’A U B E R G E

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Sise k ERMENONVILLE (Oise), en ta Grande Rue,

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Un Fonds de Commerce d'A ilerg iste e t de B ' de V üu

Exploité dans ladite Maison,E^8UIIILE

l a C lie n tè le e t P A c lia la n d a g c L ’a cq u é reu r d e v ra p ren d re à d ire

d ’ex p er ts les M a té r ie l, U stensiles e t Objets M o b ilie rs s e r v a n t à son e x p lo ita tio n .

L'adjudication aura lieu le D ia n a B c la e n e u f M a i ItefliO ,

k deux heures de relevée,En la salle d'écolo d'Ermenonville,

P ar le mmistere de M* B igot, notaire au PUttis-BeUtvilU.

^a d re tte r pour les renieignetnentt : !• A H* E a iu DËHEUN, » o u < i

Senlis, poursuivant la vente;2® Et k U® BIGOT, notoire au Pies-

sis-Belleville, dépositaire du cahier des chargea.

Etudes de M* D e p , avoué k Ghkteau-Thierry, et de M* G i l q u l n ,

notaire k Neuilly-Sainl-Front.

En vertu d’ordonnance de réréré. S u r baisse d e m ise à p r ix ,

Eu l'étude et par le miniïtère de M* GILQUiN, notaire,

L e D im a n c h e 2 M a i 1880,£ à u n e h e u re d e relevée,

DE :L ’A t t i r a i l , E m p o n ille S f T r a -

T a u x d e C a l lo r e , R é c o l le s e n G r a in s e t e n M cnlesV e t O b je t s d iv e r s .

Dépendant de te Ferme de Ressons, commune de Latilly, canton de Nemlly- Salnt-Fronl;

et du Droit au BailJusqo'k la récolte de 1888,

Sur 3à pièces, comprenant 1 0 6 hectares 0 5 mree 9 4 e«

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A . Céder de suitePour se retirer des afiaires,

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et Jou ets d’enfants.S’adresser k Madame TOUZËT-LES-

SERTI8SEUR, k Pont-Siinte-Maxènce.

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D E U X B I L L A R D S . Dans une ville de 0,060 kmes.

S'adresser au Bureau du Journal.

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MAISONS contiguRsAVEC

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numéros 8 et 10.S ’adresser pour visiter et pour traiter :

A M. Cretenet, propriétaire k Senlis; E t à M* F êtuon, notaire.

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ootoire à Chambly,Le Dimanche 9 Mai, k midi.

S’adresser audit M® Carillon, notaire.

Etude de M* B i r o t , notaire au Plecsis-Delteviile (Oise).

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En la salle de la Mairie de Nanteuil, Le D.manche 16 Mai, kdeux heures. S’adresser audit M* Bigot, notoire.

Etude de M * llu g ^ a e t, notaire k Creil.

A D J U D I C A X I O I VEn la ülaine de Montaidire,

Le Dimanche 2 Mai, k une heure. Par le ministère de M* Ddguet, notoire

à Creil,DB

36 Pièces de TerreP i * é c i B o i s

Situés commune de Montataire. S 'odreûêf audit M* Ducubt, notaire.

A D J V D I C A T l O i VEn la Mairie de Montataire,

Le Dimanche 9 Mai, k deux heures. Par U mintetère de M* Dügoet,

flototre à Creil,

D’IJîViË tlA IS O Nà u s a g e d e ^ F e r m e ,

Sitcéd à Honiaïaire, rue de la Ville,KT DB

39 Pièces de TerreP r é e t B o i s

Terroirs de Mon’ataire, Nogenl-lcs- ViergÇR et Saint-Maximin.

S’adresser audit U* Dugubt, notaire.

Etudes de H** P « j e a et R i e h a r d ,notaires k Pont-Siinte-Maxence. '

A l A K O NSituée k Pont-Saiote-Maxence, faubourg

de Gavillé, num éro 6 ,

A V e n d r e p a r a « y u d i c a t i o nLe Dimanche 25 Avril, k deux heures.

Eu l'étude de M* Paven, notaire k Pont-Sainte-Maxence.

Par là minisUre de M** P a tk ( et Richard.S'adresser k M" Patsn et Richard,

notaires k Pont

Etude de M* Edhono l * a y « v i i , notaire k Pont-Sainte-Maience.

MAISONJardin et Terres

Sis k Ponl Saiiite-Miixence, A v e n t i r e u a r a d j u d i c a t i o n

Le Dimanche 9 Mai, a une heure, E ti l’Jfiùte et par U ministère de

U* Pave», notaire à PonlSle-Maxenee. S'adresser audit M* Paten,. notaire.

Etudes de H* L < e n i c q u e , notaira k Nanteuil-le-Hdudouin (Oise),

et de M* V I o l l e t Ê jO D u « x , notaire k Dammartin (Scino-et-Marne).

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de Terre labourableTeiroirs de Nanleuit-le-IIaudouiR

k e t de Peroy,Lé Dimanche2 Mai, V une heure.En l ’étude e t par le ministère de

H* Lam cgni, notaire à Noateiui, En présenci4*^ fi* V io llb t Le Doc,

Dammartin,« p ré s e n té e H®'

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Maison d'école.Le Dim anches Mai, k deux heures.

Par te mtaisters de H* Vrahamt, notoire d Baron.

On traitera avant l'adjudication, s’il est tait des otires sulfisaoles.

Sadresser audit H* Vramakt, nofoira.

Etudes de H* l j e n i e % u e , notaire k Nanteuil-le-Ilaudouin,

et H* V r a m a n t , nôlaire k Baron.

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A V e r a i g n y ,En te demeure mortuaire de M. et ma­

dame Roussel-T rllifr ,, Le Dimanihe 9 Mal, k midi.Pat te ms'nûtere de H® L bnicqub,

notoire à Nahteuil,Eu ptéïeiice de M* Yramant, notaire

k Baron._____________

Etude de M* K ib o ta » , notaire k Crépy.

m a I s o nSise k Orrouy, rue de Visery,

A v e k a d r e p a r a d j u d i c a t i o nEn te salle d'école d ’Oirouy,

Par te ministère de U* Riocos, notoire d

Le Dimanche 2 Mai, k une heure. S ’adresser audit H* R ibous, notaire.

Etude de M® D r e t t e , notaire k Acy, canton de Betz (Oise).

A C é d e r à l ’a m i a b l eDans te canton de Betz,

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Elude de M* l l ë m o t , huissiet-pnseor kChantilly.

V e n t e a u x E n c h è r e sPour cause de cessation de culture,A la F e r m e d e la M é n a g er ie ,

à V in e u il , c o m m u n e d e S t - F ir m in , p rès C h a n ti l l y ,

Exploitée par M. Ca r t e r ,Le Dimanche 9 Mai, k neid' heures,

Par te tnintetere dudilM* IIémet, D e V o i t u r e s , M a té r ie l d e

c n ltu re y 2 ) 0 0 0 b o t te s d e b o o f o i o e t d e lu z e rn e , e t c . , e tc .

V e n t a a u x e n e b è r e eP ar suite de 1a faillite du sieur Nestor

GéiARDiN. fabricant de cages et porte- boutedies. k Chantilly,

Par le ministère dudit M* H bhet, commis k cet effet.

En présence et k te requête de M* Paul Deuportb . avoué à Senlis, syndic de te faillite,Le Dimanche 9 Mai, k une heure,

A C h a n t i l l y ,Dans l’ancien logement du failli.

Grande Rue, n® 62,D ’u n e g r a n d e q u a n t i t é d e

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■arehandises e t M atériel divers 0 1 > | c t s l U l o l > l l l c i * n

Etude de H* i r o u l o n , huissisr-ptiseur a Senlis (Oise),

Succeiueur de M® CotLAS-NÉRT.

G B I Q V A Ü Xe t

Matériel de CultureA v e n d r e p a r a < y u d i c a 4 i o n

A L a C h o p e l l e - e n - S e r v a l ,En la demeure de M. Lebaillt,

cultivateur,Le Dimanche 25 Avril 1880, à deux

heures de relevée,Par le ministère de M* Foulon,

kuiu ier d Senfte.

Etude de H® A . L i o a a g e t greffier de la justice de paix de Crépy,

Vente MobilièrePour rause do d éN rt,

A V r e a n o y - i a - H l v l b r e «Au domicile de M. Bodrmer, propriél’*,

Le Dimanche 25 Avril, à midi,Par te mimstère dodit H* L uaob.

Venta nny- D nehèreeP ar M ita de cessktlm de commerce,

D’OBJETS MOBILIERS

UROHiHÔisis HBIIVESA ] ^ ô f e n a - l e a * V l e r « e n

(Oise), place de l'Eglise,Au domicile de M. Baodail, marchand

de nouveeuléi et de bonnelerle.Par le’roini.'lère de H* UUGÜBT. giefûsr

de la justice de paix de Greii,Le Dimanche 25 Avril, le lendemain 26,

le Dimanche 2 e t le Lundi 8 Mai, i m idi, et jours suivants, s’il y s lieu.

Etude de H* FMux C t a n l n t huissier- priseur k Pont-Sainte-Maxence.

Matériel de M'‘ ForainA Vendre «n x enehèree

P ar suite de saii>ie*exéculion,. S u r la p la c e d u M a rc h é d e P o n t -

Sat'nfê-A fcu;ence,Le Vendredi 30 Avril, k miiii précis. P a r te tiMnisfére dudif M® uimih.

\ i l l e lie S e o l i s (O is e ) .

A D J U D I C A T I O VDES

Travaux de toute natureA exécuter pour te Construction d’unP a v i l l o n c i o M u s i q u e

A n R o n d - P a in t d u G r a n d C o u r s

Le M a r d i 4 M a i 1880, k deux heu­res de relevée, il sera procédé en, la grande salle de riIétel-de-Ville, k râd- judication au rabais, sur eoumiseious cachetées, des travaux de toute nature k exécuter pour la construction d’un Pavil­lon de Musique, au rond-poinldu Grand Cours. Lesdits travaux indiqués au devis dei^iriptif dressé parM. Drin; archictecte, seront exécutés à forfait et sur te mise a prix de 6,900 franis chiffre m aiiinuro.

On pourra prendre coiinaisrdnce du devis et du cahier des charges au &e- cr ilen ai de la Mairie.

V i l l e ( le S e n l i s (O is e ) .

V E I V X E

d’Objets Mobiliers, H o r i s d ’u s a g e

Déposés dans les «ours de l’aiicipn Quar­tier Saint-Pierre, k Senlis,

L e M a r d i 4 M a i , à 3 heu res .On pourra visiter les objets te m ïtin

de 1a vente.

Elude de M® L e v a l r i ® , huissier- priseur k Précy-sur-Oise.

V E 3 I T BA u x enchères publiques.

Pour cause de cessation de culture,

D’a Is té r le l de CultureA l i o r a n C O l a a ) ,

Ente demeure de M. Louis IIaribb,Le Dimanrhe 25 Avril, k Hne heure, .

Par te m tnùtere dodif M* LBViiBB. I

5 ® i t Q i a 3 AP l a c e S t - F r a m b o u r g , ô S e n l i s

P r( !» ic n l la c l ie n lè le b o u rg e o is e q o ’i l e n t r e p r e n d à faço n la T a p i s , s c r ie en to u s g e n r e s c i d e s ly le .

P r i x m o J é r é e .

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