du 27 e au 30 - débusquer et pour ... avec vous dans votre beau pays et...

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U N CINÉMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE .Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CIÉNMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE .Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CIÉNMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE .Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CIÉNMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE .Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CIÉNMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE .Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CIÉNMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE .Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CIÉNMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE .Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CIÉNMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE .Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CIÉNMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE .Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CIÉNMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE .Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CIÉNMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA www.festivalcineseverin.org 8 E ÉDITION www.festivalcineseverin.org 418.353.2304 201 2 N CINÉMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du bec au Japon, de Montréal à Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film nt-Séverin se veut un temps d’arrêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CINÉMA QUI NOUS E .Le Festival de Saint-Sévérin propose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Repulse Bay en passant par la Grande Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut rêt pendant lequel nous nous regardons et nous nous laissons regarder. UN CIÉNMA QUI NOUS REGARDE. Le Festival d opose un voyage à travers le monde et à travers l’âme du monde. Du Québec au Japon, de Montréal à Repulse Bay de Chartreuse de France et la Chine industrielle, le Festival du Film de Saint-Séverin se veut un temps d’arrêt pe PROGRAMMATION 22 FILMS REGARDS DU 27 AU 30 SEPTEMBRE 2012

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Page 1: DU 27 E AU 30 -    débusquer et pour ... avec vous dans votre beau pays et particulièrement dans votre si joli village. Un festival de films comme le vôtre est un cadeau que

UN

CI N

ÉMA

QUI

NOUS

REGARDE.

Le

Festi

val

de Sa

int-S

évér

in

propos

e un

voya

ge à

trave

rs le

mon

de et

à tra

vers

l’âm

e du

mon

de.

Du Q

uébec

au Ja

pon,

de M

ontré

al à

Repuls

e Bay

en

pas

sant

par

la

Grand

e

Chartr

euse

de

Fran

ce e

t la

Chine

indus

triell

e, le

Festi

val d

u Film

de S

aint-S

éver

in se

veut

un te

mps d

’arrê

t

pendan

t leq

uel n

ous

nous

reg

ardon

s et

nou

s no

us la

isson

s

regar

der.

UN CINÉM

A QUI

NOUS REG

ARDE .Le

Festi

val

de

Saint

-Sév

érin

propos

e un v

oyag

e à tr

aver

s le m

onde e

t à tr

aver

s l’âm

e du

mon

de. D

u Q

uébec

au

Japon

, de

Mon

tréal

à Rep

ulse

Bay e

n pas

sant

par

la

Grand

e Cha

rtreu

se d

e Fr

ance

et

la Chin

e ind

ustri

elle,

le

Festi

val

du Fil

m d

e

Saint

-Sév

erin

se ve

ut un

tem

ps d’ar

rêt p

endan

t leq

uel n

ous n

ous r

egar

dons e

t nou

s nou

s

laiss

ons r

egar

der. U

N CIÉ

NMA Q

UI NOUS

REGARDE.

Le F

estiv

al de

Saint

-Sév

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propos

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voya

ge à

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rs le

mon

de et

à tr

aver

s l’â

me

du m

onde.

Du

Qué

bec a

u Ja

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e M

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al à

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e Bay

en

passa

nt p

ar la

Gra

nde

Chartr

euse

de

Fran

ce e

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tival

du Fil

m

de Sa

int-S

éver

in se

veu

t un

tem

ps d’ar

rêt p

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t leq

uel n

ous

nous

regar

dons

et n

ous

nous

laiss

ons

regar

der. U

N CIN

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REGARDE.

Le

Festi

val d

e Sa

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évér

in pro

pose

un v

oyag

e à

trave

rs le

mon

de et à

trav

ers l

’âme d

u mon

de. D

u Qué

bec au

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, de M

ontré

al à R

epuls

e Bay

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assa

nt p

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Gra

nde

Chartr

euse

de F

ranc

e et l

a Chin

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elle,

le Fe

stiva

l du F

ilm d

e Sain

t-Sév

erin

se ve

ut un

tem

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rêt p

endan

t

leque

l nou

s no

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ous

nous

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.Le F

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propos

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ge à t

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rs le

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e M

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Chartr

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Fran

ce e

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hine

indus

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trave

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mon

de et

à tr

aver

s l’âm

e du

mon

de. D

u Q

uébec

au

Japon

, de

Mon

tréal

à Rep

ulse

Bay e

n pas

sant

par

la G

rand

e Cha

rtreu

se d

e Fr

ance

et l

a Chin

e ind

ustri

elle,

le F

estiv

al du

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de

Saint

-Sév

erin

se ve

ut u

n te

mps d

’arrê

t pen

dant l

eque

l nou

s nou

s reg

ardon

s et n

ous n

ous l

aisso

ns re

garder

. UN C

INÉM

A QUI N

OUS

REGARDE.

Le F

estiv

al de

Saint

-Sév

érin

propos

e un

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ge à

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de et

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aver

s l’âm

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mon

de. D

u Q

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au

Japon

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tréal

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Le

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Film

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l nou

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. UN

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A QUI N

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Du Q

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aisso

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dant l

eque

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nous

nou

s reg

ardon

s et n

ous n

ous l

aisso

ns re

garder

. UN C

IÉNM

A QUI N

OUS REG

ARDE. Le

Fes

tival

de Sa

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évér

in pro

pose

un vo

yage

à tra

vers

le m

onde

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trav

ers l

’âme

du m

onde.

Du

Qué

bec au

Japon

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tréal

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Gra

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Chartr

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PROGRA

MMATION

22FILM

SREGARDS

DU 27 AU 30 SEPTEMBRE 2012

Page 2: DU 27 E AU 30 -    débusquer et pour ... avec vous dans votre beau pays et particulièrement dans votre si joli village. Un festival de films comme le vôtre est un cadeau que

Mot du maire

À vous tous et toutes, je souhaite le plus

agréable des séjours chez nous, à l’oc­

casion de la 8e édition du Festival du film

de Saint­Séverin.

De par sa programmation qui sort de

l’ordinaire ainsi que les activités multiples

qui y sont rattachées, nul doute que vous

repartirez heureux et rempli de bons sou­

venirs.

Soyez assurés que tout est mis en place

pour vous accueillir à bras ouverts et

rendre votre séjour des plus agréables.

Bon festival !

Daniel Perron, maire

MuniciPalité De Saint-Séverin900, rue des LacsSaint­Séverin, QuébecCanada, G0N 1V0

Téléphone : (418) 426­2423Télécopieur : (418) 426­[email protected]

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3

Mot de la présidente

Quel bonheur de vous revoir à cette 8e édition du Festival

du film de Saint­Séverin !

Un de nos cinéastes invités, Richard Lavoie, a écrit un jour :

« Faire des films… pour explorer les mille facettes de la vie…

donner la parole et l’écran à

ceux qui ne l’ont pas… qu’on

ne voit jamais… découvrir…

émouvoir… contester… cri­

tiquer… débusquer et pour­

fendre la bêtise humaine, la

platitude, la violence, l’injus­

tice… chercher quelques

recettes de bonheur et un peu

de vérité… dépoussiérer le

monde… le reconstruire avec

les passionnés, ceux qui croient dans l’avenir de notre pla­

nète… chercher ce qui reste de grandeur et de sagesse

dans l’humain ».

On ressent dans ces mots comme une parenté d’idée. Ce

sont les mêmes raisons qui nous guident dans notre pro­

grammation et donnent au Festival sa raison d’exister. Venez

nous rejoindre ! Prenons ensemble le relais des « faiseurs »

de films qui regardent vivre les milliards d’humains de ce

village global qu’est la Terre !

Notre village à nous est tout petit mais chaleureux et il saura

bien vous accueillir.

louise chamberland

Mot de la présidented’honneur

Je suis de retour parmi vous avec un petit faux pas vers le

théâtre qui m’avait retenue l’année dernière. Le merveilleux

Festival de films de Saint­Séverin reprend de plus belle cette

année. C’est toujours un immense plaisir de me retrouver

avec vous dans votre beau pays et particulièrement dans

votre si joli village.

Un festival de films comme

le vôtre est un cadeau que

peu de gens osent s’offrir.

Chaque fois que je raconte

que la projection des films

a lieu dans l’église, que les

gens du village le suivent

avec beaucoup d’intérêt

et que les cinéastes se

retrouvent ici heureux, l’envie d’y venir est immédiate.

C’est qu’il y a de l’ambiance, de la chaleur, de la générosité

et surtout l’amour du cinéma. Louise Chamberland et son

équipe ont réussi là où beaucoup échouent. La persévé­

rance, un amour sincère pour le cinéma et une envie de

mettre son village à l’honneur ont contribué à faire de votre

festival un réel succès.

C’est votre festival et il existe grâce à vous. Vous avez raison

d’être fiers et de l’encourager.

Bon festival !

louise latraverse

conseil d’administration : Louise Chamberland, présidente, Richard Lapointe, vice­président, Micheline Grenier, secrétaire, Nelson Lachance, Jeanne Couture, Isabelle Roy, Olivier Laverdière, administrateurs

Directrice générale : Marie Giguère

comité de sélection : Louise Chamberland, France Roy, Olivier Laverdière, Gaston Lessard Carmelle Nadeau, Suzanne Careau

Montage audio-visuel : Ocus Pocus Production

Site web : Zonart Communications

logo : Évelyne Lupien

Hébergement : hospitalité locale et Auberge des Moissons

conception et mise en page : Zonart Communications

impression : Création Info +

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5

8E FESTIVAL DU FILM DE ST-SÉVERIN | PROGRAMME | LE JEUDI 27 SEPTEMBRE 2012

Le goût prend le dessus.

www.savoura.com

13 h : Moi pis ma caméra, tsé(WAPIkONI MOBILe, HeRVÉ JUNIOR CHACHAI, 9 MIN 22 SeC)

Hervé documente avec humour sa vie de tous les jours.

­­­­­­­­­­

Herménégilde Lavoie, vision d’un pionnier du cinéma québécois 1908­1973 (RICHARD LAVOIe, QUÉBeC, 1976, DOCUMeNTAIRe, 53 MIN 17 SeC)

Le cinéaste trace un portrait de son père, Herménégilde Lavoie, orphelin, père de famille, photographe, auteur de films religieux, conférencier et documentariste. Malgré ses soixante films tournés de 1933 à 1962, ce pionnier du cinéma québécois demeure un grand méconnu. en présence du réalisateur richard lavoie.

­­­­­­­­­­

15 h 30 : Mamu(WAPIkONI MOBILe, ANNA­SHeILA BeLLeFLeUR, 4 MIN)

Anna­Sheila Bellefleur raconte le plaisir d’être entre amis et de faire de la musique.

­­­­­­­­­­

Quai blues(RICHARD LAVOIe, 2012, DOCUMeNTAIRe, 1 H 32, VeRSION ORIGINALe FRANçAISe)

Dans plusieurs villages de la Gaspésie, de la Côte­Nord et des Îles­de­la­Madeleine, des riverains sont sur le point de perdre « l’âme » de leurs villages, leur quai, lieu de rassemblement, d’échange et de travail. Pour ces populations qui vivent face à la mer, un village sans quai c’est comme une maison sans porte, c’est un drame collectif et le temps presse. en présence du réalisateur richard lavoie.

­­­­­­­­­­

19 h 30 : Ouverture officielle­­­­­­­­­­

Terre et Mère(WAPIkONI MOBILe, GUILLAUMe PINeTTe, MATHIeU ANDRÉ, 3 MIN 52 SeC)

Une femme nous parle de sa relation avec la terre­mère. elle trouve dans la nature, la source de l’équilibre. Un poème imaginé sur la joie de vivre.

­­­­­­­­­­

Rang 5(RICHARD LAVOIe, 1994, DOCUMeNTAIRe, 1 H 58, VeRSION ORIGINALe FRANçAISe)

Le réalisateur donne la parole aux agriculteurs et aborde des thèmes essentiels tels : la relève, le rôle de la femme et des enfants sur la ferme, la conquête et la mondialisation des marchés, les question­nements sur le chimique et le virage biologique, l’inquiétude environ nementale sur l’avenir de la planète et beaucoup d’autres. Le film a gagné plusieurs prix :

­ Prix Belle Gueule pour le meilleur long métrage au Québec 1996, décerné par l’Association Québécoise des Critiques de Cinéma ;

­ Prix Cinéma 1996 de l’Office des Communications Sociales du Canada ;

­ Prix Spécial du Jury pour sa Contribution au Patrimoine, Festival International Agrividéo, Montréal 1994.

en présence du réalisateur richard lavoie.

JeuDi 27 SePteMBre 2012

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L’ÉNERGIE RENOUVELABLE,C’EST AUSSI

LE RESPECT DEL’ENVIRONNEMENT

INNERGEX PRODUIT DE L’ÉNERGIE RENOUVELABLE GRÂCE À DES INSTALLATIONS DE GRANDE QUALITÉ, DÉVELOPPÉES DANS LE RESPECT DE L’ENVIRONNEMENT ET L’INTÉRÊT DES COMMUNAUTÉS HÔTES.

Marc Bisaillon Scénariste, réalisateur, auteur, compositeur, Marc Bisaillon se lance en réalisation avec les courts­métrages « SPCe » (2002), « Y’en n’a pas comme nous ! » (2004) et « One take one shot –Une prise une gorgée » (2007). Il a scénarisé « Les Immortels » (2003), le premier long­métrage de Paul Thinel, et a tenu des premiers rôles dans les 3 longs­métrages de Claude Fortin. Parallèlement à l’écriture du dernier volet de sa trilogie dont le titre de travail est l’amour, il a lancé en mars 2012 « ennuyez­moi », le deuxième disque de son nouveau groupe de chanson Léopold Z, nom inspiré du célèbre film de Gilles Carle.

richard lavoie - rétrospective Richard Lavoie est fasciné dès son plus jeune âge par la magie des images animées de son père Herménégilde Lavoie et il a eu la chance d’être initié au 7e Art par ce pionnier du cinéma québécois (1908­73). Tout au long de sa carrière, les films de Richard Lavoie, presque tous produits, réalisés, tournés et montés par lui­même, ont été honorés par divers festivals nationaux et internationaux. Suite à un parcours riche en évènements personnels et professionnels, il parcourt les rives du Saint­Laurent et du Golfe et complète son dernier long métrage documentaire « Quais­Blues ».

Pierre letarte D’abord homme de documentaire, il ne travaille que rarement en fiction avant la fin des années 80. Collaborateur assidu de Jacques Leduc, il dirige la photographie des films le « Dernier Glacier », « Trois Pommes à côté du sommeil » et « L’Âge de Braise ». en 1990, il s’associe à John N. Smith pour tourner la série « The Boys of St. Vincent ». Cette association l’amènera à quitter l’ONF et à poursuivre sa carrière tant aux États­Unis qu’au Canada. Tout en poursuivant sa carrière de chef opéra­teur, il renoue avec la photographie et nous propose, depuis 2003, un journal personnel photographié qui est l’objet d’une rétrospective annuelle à la Casa Obscura.

Francis collard Musicien, compositeur, arrangeur, ingénieur de son, pro­ducteur, Francis a contribué au succès des albums d’Ariane Moffat, Stéphanie Lapointe, Brigitte Boisjoly. en 2004, il se joint au Cirque du Soleil pour la direction musicale du spec­tacle « Delirium ». en 2011, il découvre l’univers musical des jeunes Roms avec le projet GRUBB (Gypsy Roma Urbain Balkan Beats). Il réalise l’album de 14 chansons enregis­trées à Belgrade en février et avril 2011, une riche trame de musique traditionnelle gitane ponctuée de rap et de rythmes contemporains.

Jacques leduc C’est à l’âge de 15 ans que Jacques Leduc conçoit l’idée qu’un jour il fera du cinéma et c’est en 1962 qu’il fait son entrée à l’Office national du film. Documentaires, films­essais, longs métrages de fiction, la carrière de Jacques Leduc s’étend sur quarante­cinq années et englobe une trentaine de films, des milliers de photos et de nombreux textes sur le cinéma. C’est la photographie qui l’accapare dorénavant car il souhaite procéder au classement de 50 000 photos prises depuis le début des années 1970, entièrement en noir et blanc. en 2008, il reçoit le prix Albert­Tessier, ce qui vient récompenser l’un des talents les plus originaux du cinéma québécois.

Pierre-luc lafontaine Réalisateur et acteur professionnel, Pierre­Luc Lafontaine a incarné une multitude de premiers rôles et de rôles princi­paux tant au cinéma qu’au petit écran. en 2011, son premier court métrage « Lumière dans la nuit » fait partie de la sélec­tion officielle du Toronto International Short Film Festival et il remporte le prix du meilleur scénario remis par la SARTeC lors du festival international du film Regard. De plus, en 2011, le film est présenté au Short Film Corner du Festival de Cannes en France.

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Le goût du cinéma

8E FESTIVAL DU FILM DE ST-SÉVERIN | PROGRAMME | LE VENDREDI 28 SEPTEMBRE 2012

13 h : Les petits bonheurs (WAPIkONI MOBILe, MARIe­PIeRRe OTTAWA, 2 MIN 29 SeC)

Méditation poétique sur l’enfance et les petits bonheurs.

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Dictature affective (kARINA MARCeAU, QUÉBeC 2012, DOCUMeNTAIRe, 52 MIN, VeRSION ORIGINALe FRANçAISe)

Le documentaire aborde le thème de l’aliénation parentale qui est depuis peu considérée comme une forme de maltraitance de l’en­fant. Les parents aliénants manipulent l’état mental de leur enfant en le retournant contre son autre parent. Des questions sont posées : Comment les victimes s’en sortent­elles aujourd’hui ? Quelles séquelles gardent­elles de cette expérience troublante ? Comment le système judiciaire s’adapte­t­il à cette réalité contemporaine ? en présence de la réalisatrice Karine Marceau.

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15 h 30 : Mon voyage(WAPIkONI MOBILe, TSHUeTIN VOLLANT, 3 MIN 53 SeC)

Un jeune homme raconte son voyage en canot de Mani­Utenam à Shefferville.

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Le dernier glacier (JACQUeS LeDUC, ONF 1984, DOCU­FICTION, 1 H 23, VeRSION ORIGINALe FRANçAISe).

Un mélange de fiction et de documentaire sur l’histoire des miniers de Shefferville qui ont perdu leur emploi lorsque la mine d’Iron Ore a cessé ses opérations. Raoul, un pionnier installé à Shefferville avec sa femme Carmen et leur fils Benoît, sera obligé de quitter sa demeure, laissant derrière lui les traces impérissables de la prospé­rité passagère. AvecRobert Gravel et Michel Rivard. en présence du réalisateur Jacques leduc et du directeur photo Pierre letarte.

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19 h 30 : Coureurs de nuit(WAPIkONI MOBILe, CHANOUk NeWASHISH, 2 MIN 33 SeC)

À défaut de traquer les proies comme leurs ancêtres, la nuit dans le village désert, ils courent, ils courent les jeunes de Wemotaci ! Ils courent pour s’amuser, ils courent pour s’épuiser jusqu’à ce que la police les prenne en chasse. Une prouesse cinématographique pleine de fraîcheur !

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Les enfants carton (JeAN­CLAUDe LABReCQUe, PRODUCTIONS ÉCHO MeDIA, 2011, DOCUMeNTAIRe, 53 MIN, VeRSION ORIGINALe FRANçAISe)

Le metteur en scène québécois Serge Denoncourt travaille depuis deux ans à monter une comédie musicale avec 25 jeunes Roms en Serbie. GRUBB, pour Gypsy Roman Urban Balkan Beats, n’est tou­tefois pas seulement un projet artistique, c’est aussi un projet édu­catif pour favoriser la scolarisation de ces adolescents constam­ment confrontés à la discrimination et l’exclusion. en présence de Francis collard, réalisateur de l’album Grubb, 14 chansons enre-gistrées à Belgrade en février et avril 2011.

venDreDi 28 SePteMBre 2012

Karina Marceau Journaliste de profession depuis 18 ans, karina a travaillé comme reporter puis lectrice de nouvelles et animatrice pour les plus grands réseaux télé avant d’embrasser sa vraie passion : le documentaire. elle a scénarisé, réalisé et produit plusieurs séries documentaires et films dont « Filles de jar­dinier », récipiendaire de nombreux prix et vendu dans huit pays. Photographe de fins de semaine, cinéphile à temps plein et mélomane le reste du temps, cette lectrice inas­souvie aborde avec sensibilité et intelligence des sujets qui marquent notre temps.

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13 h : kokom déménage(eVeLYNe PAPATIe, VINCe PAPATIe, 5 MIN 55 SeC)

Ce film raconte la migration du dernier peuple nomade d’Abitibi vers kitcisakik, « l’île des aînés », dans le Grand Lac Victoria, où les grands­pères et les grands­mères se retrouvent chaque été depuis des siècles. Là où le temps s’est arrêté.

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Tibet terre des braves (GeNeVIèVe BRAULT, PRODUCTIONS MULTI­MONDe, 2011, DOCUMeNTAIRe, 1 H 36, VeRSION ORIGINALe FRANçAISe SOUS­TITReS eN FRANçAIS)

Gyamtso Sotse vit au Canada avec sa femme, Marijo Demers, une jeune Québécoise passionnée par la culture et la langue tibétaines. Ayant fui son pays en 1992, Gyamtso n’a pas revu le Tibet depuis treize ans. L’obtention d’un passeport canadien lui permet de retrouver sa famille, et de faire découvrir son héritage à sa femme et à sa fille sans crainte de représailles de la part des autorités chinoises. en présence de la réalisatrice Geneviève Brault, du couple Giamtso Sotse/Marijo Demers et de leurs deux enfants.

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15 h 30 : La course(WAPIkONI MOBILe, SHeILA VICkY BRAZeAU, 2 MIN 10 SeC)

Les adultes courent pour gagner du temps, les enfants pour le plaisir.

Des ailes aux talons (MARIe­ANDRÉe MAUGeR, PRODUCTIONS L’œIL OUVeRT, 2011,

DOCUMeNTAIRe, 51 MIN 28 SeC, VeRSION ORIGINALe FRAN­

çAISe SOUS­TITReS eN FRANçAIS)

en proie à une profonde crise existentielle, le Québécois Jean Béliveau, ancien vendeur d’enseignes lumineuses s’est volontai­rement mis au ban de la société. À 45 ans, le 18 août 2000, il est parti retrouver l’essence de la vie. à travers les méandres d’autres cultures et avec les moyens primitifs de l’humain : la marche. Un périple de 75 000 kilomètres auquel il a consacré 11 années de sa vie et qui l’a mené dans 64 pays. en présence de la réalisatrice Marie-andrée Mauger et de Jean Béliveau.

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19 h 30 : Purpl Love (PIeRRe­LUC LAFONTAINe, PRODUCTIONS ÉPHÉMèRe, 2012, COURT MÉTRAGe De FICTION, 13 MIN 30 SeC)

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La vérité (MARC BISAILLON, PRODUCTIONS CAMeRA OSCURA, 2011,

FICTION, 1 H 31, VeRSION ORIGINALe FRANçAISe).

Inspiré d’un fait réel, « La vérité » est un drame social. À Saint­Hyacinthe, deux adolescents sont aux prises avec les consé­quences morales d’un homicide qu’ils ont commis un soir de fête. en présence du réalisateur Marc Bisaillon et du comédien Pierre-luc lafontaine.

SaMeDi 29 SePteMBre 2012

8E FESTIVAL DU FILM DE ST-SÉVERIN | PROGRAMME | LE SAMEDI 29 SEPTEMBRE 2012

Geneviève Brault Diplômée en journalisme à l’Université du Québec à Montréal, Geneviève Brault est une jeune réalisatrice­cinéaste fascinée par les problématiques sociales. Ses multiples expériences comme réalisatrice et recherchiste à la télévision lui ont permis d’explorer plusieurs sujets d’actualité, dont la diver­sité culturelle canadienne, la condition féminine et les ques­tions autochtones.

Marie-andrée Mauger Marie­Andrée Mauger a fait ses premières armes à la réalisa­tion en Inde, où elle a réalisé des reportages pour le compte de RDI et Radio­Canada. Pour TV5, elle a aussi réalisé plu­sieurs documentaires sur des thèmes aussi variés que la Seconde Guerre, l’accession des femmes au métier de poli­cière et la francophonie (Mémoires de Normandie, Mémoires de la Libération, Sur un pied d’égalité). Passionnée par l’écri­ture, elle partage sa carrière entre la traduction et la réalisa­tion. « Des ailes aux talons » est son plus récent film.

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13 h : Des forêts de kitcisakik aux forêts de Xingû (WAPIkONI MOBILe, eVeLYNe PAPATIe, 6 MIN 10 SeC) Sous forme de carte postale video, evelyne Papatie raconte son voyage dans les forêts du Mato Grosso au Brésil. À travers les rites et coutumes de ses frères, les Ikepengs, Évelyne retrouve la fierté d’être une Anishnabe.

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Le chant de la brousse (BRUNO BOULIANNe, PRODUCTIONS PIMIeNTO, 2011, DOCUMeNTAIRe, 46 MIN, VeRSION ORIGINALe FRANçAISe)

Chaque année, de mai à novembre, ils sont plusieurs centaines d’hommes à monter dans le bois, partout au Québec, afin d’exé­cuter des travaux d’éclaircie pré commerciale. On les appelle les « débroussailleurs ». Mais depuis le début des années 2000, une petite révolution est en marche dans nos forêts. 80 % de ces bûche­rons nouveau genre sont maintenant originaires d’Afrique ! Ils se nomment Mamadou, Asani ou Drissa et, six jours par semaine, 10 heures en ligne, ils répètent les mêmes gestes, armés d’une dange­reuse machine et progressant dans un terrain rempli d’obstacles. en présence du réalisateur Bruno Boulianne.

DiMancHe 30 SePteMBre 20128E FESTIVAL DU FILM DE ST-SÉVERIN | PROGRAMME | LE DIMANCHE 30 SEPTEMBRE 2012

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15 h 30 : Chevelure de la vie(WAPIkONI MOBILe, RÉAL JUNIOR LeBLANC, 2 MIN 12 SeC)

Film poétique qui célèbre la beauté et la force séculaire de l’arbre.

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Hommes­des­bois (SIMON RODRIGUe, CRÉATIONS TeMPêTe BLANCHe, 2011, DOCUMeNTAIRe, 52 MIN, VeRSION ORIGINALe FRANçAISe)

Dans la mémoire et l’imaginaire, le bûcheron c’est la campagne et la forêt, le gars de bois qui ne fait qu’un avec la nature. L’homme fort, travailleur acharné, repousseur de frontières, descendant du coureur des bois, être fier et indépendant. Le bûcheron est un héros québécois. Le bûcheron était un héros québécois avant que la technique ne le repousse dans l’antre du folklorique. en pré-sence d’angelo trépanier, ancien bûcheron et collectionneur de scies anciennes.

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Une exposition de Jacques Leduc et Pierre LetarteIls ont été réalisateurs, scénaristes, directeurs photo, monteurs, à l’ONF et ailleurs. Jacques Leduc a tourné une trentaine de films échelonné sur quarante­cinq ans. Pierre Letarte a été son col­laborateur assidu avant de quitter l’ONF pour poursuivre au Canada et aux États­Unis. Au terme d’une carrière bien remplie, ils s’asso­cient à nouveau pour présenter « Les chemins de la vie », une expo­sition qui pose un regard sur leurs oeuvres photographiques de toutes ces années. ils seront présents tout le week-end au café communautaire.

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Un lancementPour mieux faire découvrir le caractère unique du cimetière de Saint­Séverin, une équipe s’est attelée à la création d’un guide. Le livret de 18 pages raconte la vie et l’apport à leur communauté de paroissiens qui ont vécu et sont enterrés ici. Le lancement de la brochure « Un cimetière qui se raconte », le vendredi 28 septembre à 19h, avant la projection de soirée. Invitation à tous.

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Un collectionneur de scies à chaîne Lors de l’édition 2011, le court métrage « Collecscieonneur » nous avait fait découvrir l’ancien bûcheron Angelo Trépanier et sa pas­sion pour les scies anciennes. Il sera là, en personne, avec une quin­zaine de ses plus beaux spécimens. Dimanche le 30 septembre, à partir de midi. admission gratuite.

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Bruno Boulianne Remarqué à La Course europe­Asie en 1990­1991, Bruno Boulianne complète un premier documentaire, « Un cirque sur le fleuve », qui se mérite de nombreux prix, dont celui du meilleur espoir aux Rendez­vous du cinéma québécois ’94. De nombreuses réalisations suivent et d’autres récom­penses jalonnent sa route, dont « Bull’s eye », son premier long métrage documentaire en 2010, et récipiendaire du Prix tremplin pour le monde ARTV au 28e Festival international du film sur l’art de Montréal. Il vient de terminer le montage de deux nouveaux documentaires : « Des phares sur la plaine » et « Le chant de la brousse ».

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L’histoire racontée dans le cimetière de Saint­SéverinLynda Cloutier, recherchiste et animatrice, et Caroline Desmeules, comédienne, vous invitent à une visite du cimetière. Cet événe­ment est tout sauf nostalgique. La sélection d’une vingtaine de pierres tombales permet de découvrir les us et coutumes d’une autre époque, d’entendre raconter des histoires cocasses et des faits vécus. le dimanche 30 septembre à 11 h. Durée d’environ 1 heure. en cas de mauvais temps l’activité se tiendra dans l’église.

8E FESTIVAL DU FILM DE ST-SÉVERIN | PROGRAMME | ACTIVITÉS

­­­­­­­­­­ La virée des rangsUne façon inédite de découvrir l’histoire et les magnifiques pay­sages de Saint­Séverin en compagnie d’un guide­animateur. Durée : 1 h 15. Départs en après-midi samedi et dimanche, les 29 et 30 septembre entre 13 h et 16 h 30. Durée 1 h 15. coûts 10 $.

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Des liens de parenté grâce à la généalogiePour la troisième année, une équipe de généalogistes pas­sionnés sera sur place pour accueillir les chercheurs qui s’inté­ressent à l’histoire de leur famille. Pour discuter de vos racines et faire des liens. c’est gratuit ! Durant tout le week-end au café communautaire.

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Laurent LessardDéputé de Frontenac

Ministre responsable des régionsde Chaudière-Appalacheset du Centre-du-Québec

8E FESTIVAL DU FILM DE ST-SÉVERIN | PROGRAMME | GRILLE HORAIRE

9 h 9 h 9 h 9 h

13 h 13 h 13 h 13 h

Moi pis ma camera, t’sé(9 min 22 s)

Herménégilde lavoie pionnier du cinéma

québécois (53 min)

les petits bonheurs(2 min 29 s)

Dictature affective(52 min)

Kokom déménage(5 min 55 s)

tibet terre des braves(1 h 36)

Des forêts de Kitcisakik aux forêts de Xingû

(6 min 10 s)

le chant de la brousse(46 min)

15 h 30 15 h 30 15 h 30 15 h 30

Mamu(4 min)

Quai blues(1 h 32)

Mon voyage(3 min 53 s)

le dernier glacier (1 h 23)

la course(2 min 20 s)

Des ailes aux talons(51 min 28 s)

chevelure de la vie(2 min 12 s)

Hommes-des-bois(52 min)

19 h 19 h 19 h

terre et mère(3 min 52 s)

rang 5(1 h 58)

coureur de nuit (2min 33 s)

les enfants carton(53 min)

Purpl love(13 min 30 s)

la vérité(1 h 31)

clôture

Jeudi 27 septembre Vendredi 28 septembre Samedi 29 septembre Dimanche 30 septembre

Gr

ille

Ho

ra

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aDMiSSion 1 film – 8 $, 2 films – 15 $, 3 films – 20 $, cinépasse – 50 $ Taxes incluses