m. messina ien mission eac mme saurel-franck cpd arts … · 2018-02-23 · sandrine saurel-franck...

M. MESSINA IEN Mission EAC Mme SAUREL-FRANCK CPD Arts

DSDEN – 06 Avenue Cap de Croix

06281 Nice

Et les Arts du Spectacle Vivant

Projet pédagogique autour de l’exposition au Musée Cocteau de Menton

Sandrine SAUREL-FRANCK CPD Arts Plastiques – DSDEN 06

« Biographie »

Ø 1889 Jean Cocteau nait le 5 juillet à Maisons-Laffitte. Il grandit dans un milieu mondain et artistique. Ø 1909 Il rencontre un grand succès dans les milieux littéraires, introduit notamment par De Max. Il

publie son premier recueil de poèmes, ainsi que des articles et dessins dans Comoedia. Ø 1911 Il écrit un texte, Le Ballet russe, pour le programme de la troupe. Ø 1913 La première du Sacre du Printemps le transporte. L’hostilité du public le conforte dans l’idée

qu’il n’y a de création artistique qu’anticonformiste. Il entreprend ce qui deviendra « Le Potomak » et dessine ses premiers Eugènes.

Ø 1917 La première représentation de Parade, ballet créé avec Satie et Picasso et interprété par les Ballets russes, surprend le public et la critique.

Ø 1921 Au printemps, première des Mariés de la tour Eiffel, qui sera chahutée par les dadaïstes. A l’automne, Cocteau entreprend les adaptations d’Antigone et d’Œdipe roi.

Ø 1927 Il publie Orphée et Opéra. Ø 1929 Il écrit les Enfants terribles en dix-sept jours et reçoit un accueil très positif par la critique. Ø 1930 Il tourne son premier film le Sang d’un poète, financé par les De Noailles. Opium, journal d’une

désintoxication sort en librairie. Ø 1934 Cocteau tient le rôle de la Voix dans La Machine infernale. Ø 1938 Il écrit Les parents terribles en huit jours qui lancera la carrière de Jean Marais la même année.

Jean Cocteau écrit Les Monstres sacrés alors que Jean Marais est mobilisé pour la guerre. Ø 1940 La première des Monstres sacrés a lieu, avec en lever de rideau, Le Bel indifférent, interprété

par Edith Piaf. En juin, Jean Marais, démobilisé, rejoint Cocteau. Ø 1941 Cocteau se consacre surtout au théâtre. La première de La Machine à écrire suscite de violentes

attaques dans les milieux de la collaboration. Ø 1942 Cocteau fréquente beaucoup Picasso, Eluard, et travaille pour le cinéma. Ø 1943 Antigone remporte un grand succès à l’Opéra. Cocteau part pour Nice où se tourne L’Eternel

retour dans lequel Jean Marais triomphera. Ø 1945 Tournage de La Belle et La Bête. Cocteau tient le journal de ce tournage, La Belle et La Bête.

Journal d’un film, qui paraitra en 1947. Ø 1947 Rossellini tourne La Voix humaine. Cocteau achète avec Jean Marais une Maison à Milly-la-

Forêt, tourne L’Aigle à deux têtes, rencontre Edouard Dermit et écrit le scénario d’Orphée. Ø 1948 Le cinéma est toujours au premier plan. Il tourne Les parents terribles et se met à la tapisserie

avec Judith et Holopherne. Ø 1949 Cocteau organise le Festival du film maudit à Biarritz et tourne Orphée. Le 3 septembre, il est

fait chevalier de la Légion d’honneur. Ø 1954 Il est victime d’un infarctus et part en convalescence à Santo Sospir. Ø 1963 Il meurt le 11 octobre, une heure après avoir appris la disparition d’Edith Piaf. Il est inhumé le

16 octobre à Saint-Blaise-des-Simples. (*) https://www.museecocteaumenton.fr/Biographie.html


« Les œuvres de Cocteau »

Théâtre, musique et ballet (*) :

1912 : Le Dieu bleu, musique de Reynaldo Hahn, chorégraphie de Michel Fokine, décors et costumes de Léon Bakst 1917 : Parade, musique d'Erik Satie, chorégraphie de Léonide Massine, décors et costumes de Pablo Picasso 1921 : Les Mariés de la tour Eiffel, musique de Georges Auric, Arthur Honegger, Darius Milhaud, Francis Poulenc et Germaine Tailleferre 1921 : Le Gendarme incompris critique bouffe de Jean Cocteau et Raymond Radiguet, musique Francis Poulenc, mise en scène Pierre Bertin, Théâtre Michel 1922 : Antigone 1924 : Les Biches, musique de Francis Poulenc, chorégraphie de Bronislava Nijinska, décors et costumes de Marie Laurencin 1924 : Roméo et Juliette 1926 : Orphée 1930 : La Voix humaine 1934 : La Machine infernale 1936 : L'École des veuves A.B.C. 1937 : Œdipe-roi. Les Chevaliers de la Table ronde25 1938 : Les Parents terribles 1940 : Les Monstres sacrés et Le Bel Indifférent 1941 : La Machine à écrire 1943 : Renaud et Armide. L'Épouse injustement soupçonnée 1944 : L'Aigle à deux têtes 1946 : Le Jeune Homme et la Mort, ballet de Roland Petit 1948 : Théâtre I et II 1951 : Bacchus 1960 : Nouveau théâtre de poche 1962 : L'Impromptu du Palais-Royal et Festival de Lyon création de Jean Cocteau Œdipe-Roi - avec Jean Marais dans le rôle d'Œdipe. 1963 : Ballett Theater ouvrage collectif : Jean Cocteau - Carl Orff - Rudolf Betz, Werner Egk - Hermann Frieb 1971 : Le Gendarme incompris (posthume, en collaboration avec Raymond Radiguet) (*) https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Cocteau#Th.C3.A9.C3.A2tre.2C_musique_et_ballet


« Les Arts du Spectacle Vivant »

Définition : L'appellation « spectacle vivant » désigne un spectacle qui se déroule en direct devant un public, par opposition aux créations artistiques de l'audiovisuel issues notamment du cinéma, de la télévision ou d'Internet.

La notion de spectacle vivant document de la DRAC :

On entend par « spectacles vivants » les spectacles « produits ou diffusés par des personnes qui, en vue de la représentation en public d'une œuvre de l'esprit, s'assurent la présence physique d'au moins un artiste du spectacle percevant une rémunération. (Loi n°99-198 du 18 mars 1999, art. 1er)

« C'est la présence physique d'au moins un artiste du spectacle rémunéré qui se produit directement en public qui constitue le critère principal du spectacle vivant. « (circulaire du 13 juillet 2000, chap. II, 1.1.)

N’entrent pas dans la catégorie de spectacle vivant : « les spectacles sportifs, les corridas, les spectacles enregistrés, l'organisation de défilés de mannequins » (circulaire du 13 juillet 2000, chap. II, 1.1.)

Artiste du spectacle vivant :

L’artiste du spectacle vivant s’entend au sens définit par le Code de la propriété littéraire et artistique (article L. 212-1) :« L'artiste-interprète ou exécutant est la personne qui représente, chante, récite, déclame, joue ou exécute de toute autre manière une œuvre littéraire ou artistique, un numéro de variétés, de cirque ou de marionnettes. »

L’article L. 7121-2 du Code du travail précise :« Sont considérés comme artistes du spectacle, notamment l'artiste lyrique, l'artiste dramatique, l'artiste chorégraphique, l'artiste de variétés, le musicien, le chansonnier, l'artiste de complément, le chef d'orchestre, l'arrangeur-orchestrateur et, pour l'exécution matérielle de sa conception artistique, le metteur en scène... »

(*) www.culturecommunication.gouv.fr/content/download/21440/182980/version/3/file/Licences_Fiche1_definition_spectaclevivant.pdf


« Les œuvres de l’exposition »

Démarche d’un poète, acte II : L’exposition à partir du 18/11/17 fait suite au premier volet « Démarche d’un poète » en référence à l’ouvrage de Jean Cocteau, ce deuxième volet vient compléter cette démarche en intégrant les liens de Jean Cocteau avec la scène. Jean Cocteau, avant-gardiste, est à la recherche d’un théâtre moderne et populaire mêlant tragédie, comédie, participant ainsi à l’opération de destruction de l’héritage classique et académique qui suit la Première Guerre mondiale. Ce nouveau parcours laisse la place au loufoque et à la comédie déconcertante avec « Parade » et « Les Mariés de la tour Eiffel », mais aussi à la tragédie, à la danse...

Plans de l’exposition :


« Théâtrographie de Jean Cocteau »

Ø 1911 Le Dieu bleu Ballet de Jean Cocteau et Frédéric de Madrazo. Musique de Reynaldo Hahn, décors et costumes et Léon Bakst, chorégraphie de Michel Fokine.

Ø 1919 Parade Ballet de Jean Cocteau. Musique d'Erik Satie, décors et costumes réalisés avec la collaboration de Picasso, chorégraphie de Léonide Massine.

Ø 1920 Le Bœuf sur le toit ou The Nothing Doing Bar Farce de Jean Cocteau. Musique de Darius Milhaud, décors de Raoul Dufy, costumes de Guy-Pierre Fauconnet, mouvements réglés par l'auteur.

Ø 1921 Le Gendarme incompris Critique bouffe de Jean Cocteau en collaboration avec Raymond Radiguet et Francis Poulenc.

Ø 1922 Antigone De Jean Cocteau, d'après Sophocle. Décors de Picasso, musique d'Arthur Honegger.

Ø 1924 Le Train bleu Opérette dansée de Jean Cocteau. Musique de Darius Milhaud, décors et costumes d'Henri Laurens, chorégraphie de Mme Nijinska.

Ø 1924 Les Fâcheux Ballet en un acte de Georges Auric, avec un texte de Jean Cocteau et Louis Laloy.

Ø 1924 Les Mariés de la tour Eiffel En collaboration avec les musiciens du groupe des Six. Décors d'Irène Lagut, costumes de Jean Hugo.

Ø 1924 Les Biches Ballet en un acte de Francis Poulenc, avec un texte de Darius Milhaud et Jean Cocteau.

Ø 1926 Roméo et Juliette Prétexte à mise en scène de Jean Cocteau d'après le drame de William Shakespeare, en 5 actes et 23 tableaux. Décors mobiles et costumes de Jean Hugo, musique de scène d'après des airs populaires anglais arrangés et instrumentés par Roger Désormières.

Ø 1927 Le Pauvre Matelot Complainte en trois actes de Jean Cocteau. Musique de Darius Milhaud.

Ø 1927 Œdipe-Roi Adaptation libre de Jean Cocteau d'après Sophocle.

Ø 1927 Œdipus Rex Opéra-oratorio en deux actes de Jean Cocteau, d'après Sophocle. Musique de Stravinski, texte de Jean Cocteau mis en latin par Jean Daniélou.

Ø 1927 Orphée Tragédie en un acte et un intervalle de Jean Cocteau. Décors de Jean Hugo, robes de Gabrielle Chanel.

Ø 1928 Antigone Tragédie lyrique en trois actes de Jean Cocteau (adaptation libre d'après Sophocle). Musique d'Arthur Honegger.

Ø 1930 La Voix humaine Pièce en un acte de Jean Cocteau créée par Berthe Bovy. Décors de Christian Bérard.

Ø 1934 La Machine infernale Pièce en quatre actes de Jean Cocteau. Décors et costumes de Christian Bérard.

Ø 1936 L'École des veuves De Jean Cocteau d'après le conte de Pétrone, La Matrone d'Ephèse. Un acte écrit pour Arletty.

Ø 1937 Les Chevaliers de la Table ronde Pièce en trois actes de Jean Cocteau. Décors et mise en scène de l'auteur.

Ø 1938 Les Parents terribles Pièce en trois actes de Jean Cocteau. Décors de G. Monin, mise en scène d'Alice Cocéa.

Ø 1940 Le Bel Indifférent De Jean Cocteau, écrit pour Édith Piaf. Décors de Christian Bérard.


Ø 1940 Les Monstres sacrés

Pièce en trois actes de Jean Cocteau. Décors de Christian Bérard. Ø 1941 La Machine à écrire

Pièce en trois actes de Jean Cocteau. Décors de Jean Marais. Ø 1943 Renaud et Armide

Tragédie en trois actes et en vers de Jean Cocteau. Décors et costumes de Christian Bérard. Ø 1946 L'Aigle à deux têtes

Pièce en trois actes de Jean Cocteau. Robes de Christian Bérard, décors d'André Beaurepaire, musique de Georges Auric.

Ø 1946 Le Jeune Homme et la Mort Mimodrame de Jean Cocteau. Décors de Georges Wakhevitch, costumes de Barbara Karinska et Christian Bérard, chorégraphie de Roland Petit.

Ø 1949 Un Tramway nommé désir Adaptation d'après Tennessee Williams de Jean Cocteau (d'après la traduction de Paule de Beaumont).

Ø 1950 Phèdre Ballet de Jean Cocteau. Musique de Georges Auric, décors et costumes de Jean Cocteau, chorégraphie de Serge Lifar.

Ø 1952 Bacchus Pièce en trois actes de Jean Cocteau. Décors et costumes de l'auteur.

Ø 1952 Œdipus Rex Décors, costumes, masques et mouvements de Jean Cocteau. Musique d'Igor Stravinski.

Ø 1953 La Dame à la licorne Ballet en un acte de Jean Cocteau. Musique du XVIe siècle, arrangement de Jacques Chailley, décors et costumes de Jean Cocteau, chorégraphie de Heinz Rosen.

Ø 1959 Le Poète et sa muse Scénario et décors de Jean Cocteau. Musique de Gian-Carlo Menotti.

Ø 1960 Cher Menteur Adaptation de Jean Cocteau de la pièce de Jérôme Kilty.

Ø 1962 L'Impromptu du Palais-Royal Divertissement de Jean Cocteau.

Ø 1967 Paul et Virginie Livret d'opéra-comique en trois actes de Jean Cocteau et Raymond Radiguet (texte de 1920).

Ø 1968 Le Disciple du diable Adaptation par Jean Cocteau de George-Bernard Shaw. Montée par Jean Marais pour le cinquième anniversaire de la mort de Jean Cocteau au théâtre de Paris. (*) Sources Musée Cocteau de Menton Théâtrographie et Biographie de Jean Cocteau, plans de l’exposition


Un projet pour : « Les Arts du Spectacle Vivant »

« Définir le type de projet » :

1ère proposition « Le projet n’entre pas dans le Parcours EAC de l’élève » :

Ø Dans le cadre d’un Projet en EAC qui n’entre pas dans le Parcours EAC de l’élève seulement deux des grands objectifs de formation qui constituent les piliers de l’EAC seront traités ; la « Pratique » et la « Connaissance ». Toutefois, la rencontre se fera de manière indirecte dans le cadre de l’appropriation des connaissances au travers des œuvres, repères chronologiques, artistes, abordés tout au long du projet.

Un Projet en EAC : Le Parcours EAC de l’élève : Choisir un Domaine Artistique Les Arts du Spectacle Vivant Un Projet EAC les 3 piliers : Le Parcours EAC et les 3 piliers : Rencontrer Pratiquer Connaître

Voir des œuvres des Arts du Spectacle Vivant Faire des activités théâtrales Observer, discuter et enrichir le lexique

Un Projet EAC : Le Parcours EAC de l’élève : Partenarial Choisir un partenaire dans les arts du spectacle


2ème proposition « Le projet entre dans le Parcours EAC de l’élève » :

Ø Dans le cadre d’un Projet en EAC qui entre dans le Parcours EAC de l’élève les trois grands objectifs de formation qui constituent les piliers de l’EAC seront traités ; la « Pratique », la « Rencontre » et la « Connaissance ». Toutefois, la « Rencontre » se fera de manière indirecte dans le cadre de l’appropriation des connaissances au travers des œuvres, repères chronologiques, artistes, abordés tout au long du projet et, soit de manière directe en allant voir un spectacle ou soit par la rencontre « humaine » lors d’un échange avec un artiste du spectacle ou un artisan des métiers du spectacle.


« Le théâtre à l’école »

La pratique du théâtre est caractérisée par une approche concrète, le contact avec des professionnels et une démarche de projet s'appuyant sur des ateliers artistiques. Elle peut aboutir à des temps forts manifestant les acquis des élèves devant un public.

Les objectifs éducatifs de la pratique théâtrale : ü Percevoir les enjeux de la création théâtrale ü Appréhender l'espace scénique ü Développer la créativité et l'imaginaire des élèves ü Apprendre à se mettre en jeu, à s'affirmer en public ü Faciliter la découverte de valeurs de sociabilité et de respect de l'autre

Les programmes et le théâtre :

"Apprendre à l'école, c'est interroger le monde." Tel est le vecteur essentiel qui régit les programmes d l'enseignement de l'enseignement élémentaire. Il s'agit d'interroger le monde par l'apprentissage de la langue, par la pratique de l'oral, par l'articulation entre le concret et l'abstrait mais aussi par la sensibilité et l'expression artistique. " Les enseignements artistiques prennent en compte le son et les images qui font partie de l’environnement quotidien des élèves. Ils développent une écoute, un regard curieux et informé sur l’art, dans sa diversité. Ils contribuent ainsi à la construction de la personnalité et à la formation du citoyen, développant l’intelligence sensible et procurant des repères culturels, nécessaires pour participer à la vie sociale. (...) Ils s’articulent aisément avec d’autres enseignements pour consolider les compétences, transférer les acquis dans le cadre d’une pédagogie de projet interdisciplinaire, s’ouvrant ainsi à d’autres domaines artistiques, tels que l’architecture, le cinéma, la danse, le théâtre. Ils s’enrichissent du travail concerté avec les structures et partenaires culturels. Ils sont ainsi le fondement, au sein de l’école, du parcours d’éducation artistique et culturel de chaque élève, contribuant aux trois champs d’action constitutifs : rencontres, pratiques et connaissances. Par leur intégration au sein de la classe, ils instaurent une relation spécifique au savoir, liée à l’articulation constante entre pratique et réflexion." Outre cette continuité affirmée avec le Parcours d'Education Artistique et Culturel mis en place dès l'école maternelle, les programmes invitent à croiser les enseignements "pour consolider les compétences et transférer les acquis dans le cadre d’une pédagogie de projet interdisciplinaire". Le théâtre et les arts prennent ainsi leur place de choix au cœur même des enseignements. http://www.education.gouv.fr/pid285/bulletin_officiel.html?cid_bo=94753 http://eduscol.education.fr/cid49865/theatre.html


« Les connaissances »

Le lexique autour des métiers :

Domaine artistique Domaine technique Domaine administratif Auteur dramatique Comédien Costumier Créateur de lumières Eclairagiste Créateur de sons Décorateur Scénographe Dramaturge Maquilleur Marionnettiste Metteur en scène

Accessoiriste Constructeur machiniste Directeur technique Habilleur Peintre décorateur Régisseur général Régisseur lumière Régisseur plateau Techniciens de spectacle Régisseur son

Administrateur Chargé de communication Chargé de production Chargée des relations publiques Directeur de théâtre Secrétaire général

Le lexique autour des pièces de théâtre :

Domaine d’organisation Domaine des procédés Domaine d’actions Acte Antonomase Dialogue Didascalie Dramaturge Drame Mise en scène Monologue Réplique Scène Tirade

Aparté Canevas Coup de théâtre Double énonciation Illusion Mimésis Mise en abyme Quiproquo Soliloque Stichomythie

Dénouement Exposition Intrigue Nœud Péripétie


Domaine du genre Domaine des registres Domaine des personnages

Comédie Comédie-ballet Commedia Dell’Arte Divertissement Farce Pantomime Saynète

Comique Pathétique Satirique

Caractère Dramatis personae Elocution Masque Rôle

Domaine des règles Domaine des lieux Domaine du public Bienséance Règle des 3 unités :

- D’action - De lieu - De temps

Vraisemblance

Espace scénique Hors-scène Objet Décor

Public Réception Spectacle

Les œuvres de Cocteau au théâtre :

Ø L'Aigle à deux têtes : L'Aigle à deux têtes est une pièce de théâtre en trois actes de Jean Cocteau, créée le 21 décembre 1946 au théâtre Hébertot à Paris. https://www.youtube.com/watch?v=Q8Tj_idiLgU ou https://www.youtube.com/watch?v=hpIQzb0RRpM

Ø Antigone (Cocteau) : Antigone est une pièce de théâtre de Jean Cocteau écrite à Paris en

1922. Elle s'inspire entièrement d'un thème mythologique déjà traité par le dramaturge grec Sophocle au Ve siècle av. J.-C. et fréquemment repris depuis. Moderne mais plus classique que celle que proposera Jean Anouilh en 1944, l'Antigone de Cocteau souligne le goût prononcé de l'auteur pour les sujets mythologiques.

Ø Le Bel indifférent : Ce monologue a été écrit spécialement par Jean Cocteau pour son amie

Édith Piaf et joué en lever de rideau de la pièce « Les Monstres sacrés ». https://www.youtube.com/watch?v=MLjYPfoJkmk

Ø Les Chevaliers de la Table ronde (pièce de théâtre) : Les Chevaliers de la Table ronde est

une pièce de théâtre de Jean Cocteau, écrite en 1937. Il fait ressortir beaucoup d'aspects négatifs chez Merlin, un « vieil enchanteur génial et cruel […] logé comme une araignée au centre de sa toile ». Cette image est liée aux « enchantements de la drogue », l'opium que Cocteau consomme alors en abondance. http://www.ina.fr/video/CPF86621133 interview de Jean Cocteau


Ø Le Gendarme incompris : Le Gendarme incompris est une pièce en un acte écrite en 1920 par Jean Cocteau et Raymond Radiguet et mise en musique par Francis Poulenc. La pièce met en scène trois personnages : le commissaire Médor (interprété par Pierre Bertin), un gendarme nommé La Pénultième dont les répliques sont tirées d'un poème des Divagations de Stéphane Mallarmé, et une vieille dame, la Marquise de Montonson. Elle n'est jouée publiquement qu'une fois, le 24 mai 1921, en plus de la répétition générale de la veille.

Ø La Machine à écrire : La Machine à écrire est une pièce de théâtre en trois actes de Jean

Cocteau, inspirée par l'affaire de Tulle1 et jouée pour la première fois le 29 avril 1941 au Théâtre Hébertot, à Paris, dans une mise en scène de Raymond Rouleau. Avec La Machine à écrire, qui va voir le jour au théâtre Hébertot, Jean Cocteau s'inspire en effet d'une affaire criminelle qui fit du bruit à son époque : l'affaire des lettres anonymes de Tulle. http://www.ina.fr/audio/PHD89017523

Ø La Machine infernale : La Machine infernale est une pièce de théâtre en 4 actes de Jean

Cocteau, rédigée en 1932 et jouée pour la première fois le 10 avril 1934 à la Comédie des Champs-Élysées à Paris, théâtre alors dirigé par Louis Jouvet, dans les décors de Christian Bérard. Elle se fonde sur Œdipe roi de Sophocle. Jean Cocteau dédie la pièce « à Marie-Laure et à Charles de Noailles ».

Ø Les Monstres sacrés : Les Monstres sacrés est une pièce de théâtre en trois actes de Jean

Cocteau, créée le 17 février 1940 au théâtre Michel à Paris.

Ø Les Parents terribles (pièce de théâtre) : Les Parents terribles est une pièce de théâtre en trois actes de Jean Cocteau, créée le 14 novembre 1938 au Théâtre des Ambassadeurs à Paris. Le 3 janvier 1939, à la suite de la 9e représentation, le Conseil municipal de Paris, propriétaire du Théâtre des Ambassadeurs, interdit la représentation de la pièce l'accusant de mettre en scène l'évocation d'un inceste. Elle sera reprise au théâtre des Bouffes Parisiens, mais en octobre 1941 elle est à nouveau interdite à la suite des pressions de la presse collaborationniste y voyant un « déprimant spectacle, tableau d'une famille française où le proxénétisme, l'ordure morale, la prostitution la plus basse nous sont représentés comme l'image même de nos mœurs ». Après 1945, elle sera reprise de nombreuses fois.

Ø Renaud et Armide : Renaud et Armide est une tragédie en trois actes de Jean Cocteau, jouée

pour la première fois le 13 avril 1943 à la Comédie-Française.

Ø La Voix humaine : La Voix humaine est une pièce de théâtre en un acte de Jean Cocteau, créée dans une mise en scène de Jean-Pierre Laruy à la Comédie-Française le 17 février 1930. L'œuvre, sous le titre éponyme de La Voix humaine, est adaptée sous forme de tragédie lyrique par Francis Poulenc en 1959.

(*) https://fr.wikipedia.org/wiki/Catégorie:Pièce_de_théâtre_de_Jean_Cocteau (*) https://cocteau.biu-montpellier.fr/index.php


Ø Jean Marais et Cocteau Jean Alfred Villain-Marais, dit Jean Marais, est un acteur français, né le 11 décembre 1913 à Cherbourg, mort le 8 novembre 1998 à Cannes ; il est également metteur en scène, écrivain, peintre, sculpteur, potier et cascadeur. Il a reçu en 1993 un César d'honneur. Le lancement de sa carrière est marqué par sa rencontre avec Cocteau en 1937, lors de l’audition pour la mise en scène de la réécriture d’Œdipe Roi. Le cinéaste et le jeune acteur entretiennent une relation particulière, puis restent amis jusqu'à la mort de Cocteau en 1963. Dans la pièce, Jean Marais a un rôle muet car il ne maîtrise pas assez sa voix pour le théâtre : il y joue le rôle du Chœur. Il apparaît vêtu de bandelettes dont le costume a été créé par Coco Chanel qui est une amie de Cocteau. Après Œdipe Roi, Cocteau écrit rapidement « Les Parents terribles » (1938) pour Jean Marais. Cette pièce lui donnera la reconnaissance de la profession. Cette "seconde naissance" comme Jean Marais se plait à l'appeler s'avère très vite fructueuse. Il joue ainsi dans L'Eternel retour de Jean Delannoy (1943) et La Belle et la Bête de Jean Cocteau (1945). Sous la direction de Jean Cocteau, Jean Marais joue dans L'Aigle à deux têtes (1947) et Orphée* (1950). On le voit également aux côtés de Louis de Funès et Jeanne Moreau dans le Dortoir des grandes de Henri Decoin (1953). Vers 40 ans, Jean Marais étoffe son registre, passant de la belle gueule aux bras d'acier pour des films de capes et d'épée. Beaucoup des héros décris par Dumas (et d'autres) y passeront. Le Comte de Monte Cristo (1953), Le Bossu (1959) et Le Capitan (1960), deux films d'André Hunebelle, Capitaine Fracasse (1961), Le Masque de fer (1962) ... Il enfilera également collants et jupette pour le péplum de Jean Delannoy, La Princesse de Clève (1960). Après la mort de Cocteau en 1963, Jean Marais passe sous la direction de Christian-Jaque dans Le Gentleman de Cocody (1964). Il interprète ensuite Fandor / Fantômas dans la trilogie d'André Hunebelle. Et c'est finalement en roi dans Peau d'âne de Jacques Demy (1970), que l'acteur retrouvera un peu de l'œuvre poétique et fantastique de son ami Jean Cocteau. (*) Jean Cocteau - Mythes et cinéma « La traversée du Miroir » éd. Canopé


« Les pratiques artistiques »

Les activités théâtrales en classe peuvent tourner autour de différents exercices :

Ø Dynamisation - Echauffement : § Échauffement dansé pour préparer le corps et l’esprit :

Les enfants sont allongés confortablement sur le dos et écoutent une musique apaisante. Dans un premier temps chacun prend le temps de déposer son corps dans le sol tout en étant conscient des points d’ancrage (talons, mollets, fesses, omoplates, têtes). Chacun exprime son état du moment, qu’il soit physique ou mental. C’est un moment pour quitter la vie du dehors et se préparer à ce qu’il va se passer dans l’heure qui suit. Une fois que chacun a pris ce temps, leurs demander d’imaginer que le corps se mets en action progressivement en partant des pieds pour remonter jusqu’à la tête. Une fois le corps en marche, nous imaginerons que notre corps est recouvert de peinture et que nous devons repeindre le sol. On étire progressivement chaque partie du corps pour créer un contact avec le sol et petit à petit, agrandir son espace au sol.

§ Tableaux vivants pour préparer le corps et la voix : Un élève sort de la salle. L’enseignant annonce un lieu, le groupe représente en image arrêtée tous les personnages qui se trouve dans ce lieu. L’élève qui est sorti entre et doit deviner le lieu. S’il se trompe, l’enseignant dit : « tableau mimé ! » et les personnages s’animent. Si l’élève ne trouve toujours pas, l’enseignant dit : « tableau parlé ! » et le groupe parle comme on parle dans ce lieu. Exemples de lieux : Supermarché, bibliothèque, camping, parc d’attraction, usine, forêt, rue, plage, patinoire, cours de théâtre… etc. Autres exercices possibles : Soleil, le vaisseau spatial, les bonds, la danse du foulard, paume à paume, les flammes, les saisons dans l’arbre…

Ø Expression corporelle – occupation de l’espace : § La déambulation pour apprendre à occuper l’espace :

Le déplacement dans l’espace, permet la détente et l’appropriation de la pièce/scène. C’est un travail d’échauffement, de concentration mais aussi de mémoire de l’espace, d’occupation, de prise de marques. Quand le comédien se déplace dans l’espace, il doit toujours avoir un objectif de marche. Le regard doit être focalisé. Il faut éviter de tourner en rond, de se suivre, de laisser des espaces vides. Le meneur de jeu délimite avec ses bras étendus un espace qui se rétrécit ou s’étire à l’envi. Aucun joueur ne doit passer derrière lui. Le plateau doit rester équilibré, comme un disque posé sur une pointe. Plus les comédiens sont aguerris, plus on peut faire des changements rapides.


§ Le radeau pour apprendre à occuper l’espace : Les enfants marchent dans l'espace en se regardant et en ne se touchant pas. L'enseignant frappe dans les mains. Chaque enfant se place alors dans l'espace de manière à combler les trous. Donner l'image du radeau qui ne doit pas couler. Recommencer trois ou quatre fois. Variante : le maître agit en perturbateur et se place dans un endroit afin de déséquilibrer l'espace. Les élèves doivent rétablir l'équilibre. Autres exercices possibles : La chasse aux papillons, arriver - partir, les espaces contraires, les caméléons, le toucher, la danse des fous…

Ø Respiration – Voix : § La paille pour apprendre à gérer sa respiration/son souffle :

Allongé par terre : respirer par le ventre et souffler Exercice assis, avec une paille dans la bouche :

ü Souffler dans la paille, avec un débit d’air constant, régulier et aller jusqu’au bout. ü Ajouter un son dans la paille, avec une vibration des cordes vocales. ü Faire une tierce dans la paille en pensant bien à sa colonne d’air.

On peut demander aux joueurs d’accompagner le son d’un geste de la main.

§ Le son continu pour apprendre à maîtriser sa voix/son souffle : Tous les joueurs, chacun son tour : Un joueur envoie en pointant son doigt un son à quelqu'un qui l'envoie à un autre etc. mais chacun garde le son jusqu'à ce que tout le monde soit passé.

§ Les appelés pour apprendre à moduler le son de sa voix : On forme un groupe de six, un joueur se place au centre. Les autres se placent à des distances très différentes et se mettent de dos. Celui du milieu dit une phrase à l’adresse de chacun des autres. Ne doit se retourner que celui qui croit avoir été́ appelé. Variante : pour un groupe nombreux, constituer deux lignes, dont l’une tourne le dos à l’autre. Même exercice (chaque joueur peut par exemple avoir appris par cœur une brève réplique, un ou deux vers). On fait pointer du doigt le destinataire, a n d’assurer une bonne adresse, qui mobilise aussi le corps. Autres exercices possibles : Le ballon gonflable, l’allumette, l’ascenseur vocal sur un texte, clap-son, les consonnes…

Ø Mémoire – Concentration : § La machine à écrire et la circulation pour la concentration :

ü Exercice la petite machine : se lever en tapant dans ses mains sur une lettre d'une phrase donnée. ü Exercice la circulation : on marche dans l'espace, au premier frappé de mains : on s'arrête, on

repère sa place. Au deuxième frappé, on circule. Au troisième frappé, on doit reprendre en cinq secondes sa place de départ.


§ L’aveugle et la chaise pour la mémoire et la concentration : Une chaise est placée au milieu de la scène (ou de la salle). La première fois le joueur doit marcher les yeux ouverts jusqu'à la chaise, s'asseoir et revenir par l'autre coté. La deuxième fois il fait la même chose avec un bandeau sur les yeux. Variante : le faire à reculons. Autres exercices possibles : Allo taxi, la promenade terrible, les détails, mime arabe…

Ø Diction – Articulation : § Les poissons pour mieux articuler :

Imiter le poisson : bouche ouverte, menton sur le torse. On relève la tête. Au moment où l’on regarde le plafond, on referme la bouche. Variante : Imiter la mastication du chewing-gum, croquer une pomme, faire la baleine en faisant vibrer les lèvres, bâiller excessivement pour détendre

§ Les vire-langues pour travailler la diction et l’articulation : Distribuer puis faire lire ou mémoriser les phrases suivantes sans se tromper : Son sage chat, son sage chien, son sage singe Trois petites truites cuites, trois petites truites crues Que lit Lili sous ces lilas là ? Lili lit l’Iliade Je veux et j’exige d’exquises excuses du juge. Du juge, j‘exige et je veux d‘exquises excuses. Aglaé glisse gracieusement sur la glace glauque du Groenland Donnez-lui à minuit huit fruits cuits ou huit fruits crus Trois très gras rats gris dans trois très gros trous creux Ces saucissons-ci sont si secs qu’on ne sait si c’en sont ! Ah les bons gros gras bras blancs ! Je vais chez ce Serge si sage et si chaste Si ceci se sait, ses soins sont sans souci L’assassin suçait son sang sans cesse Doit-on dire : seize sèches chaises ou bien seize chaises sèches ? On peut instaurer une règle du jeu et « éliminer » le joueur qui se trompe. Cela oblige les joueurs à se concentrer. Autres exercices possibles : Un mot à la fois, téléphone avec bouchons, ratatam, le chansonnier…

Ø Improvisation – Performance : Les ateliers d’improvisation théâtrale comprennent en règle générale plusieurs types d’activités qui concernent, par exemple, l’écoute et le respect, la construction d’un personnage, le développement de l’imagination, l’écriture d’une histoire.


§ Les Monologues pour préparer à l’improvisation : Chacun ouvre un portail et dit ce qu'il découvre. Même chose en se mouvant dans l'espace à découvrir.

§ Marcher avec un objet imaginaire pour préparer à l’improvisation : Le bol d'eau : traverser la scène en imaginant avoir entre les mains un bol plein d'eau...et qu'il se renverse à un moment.

§ Un objet à présenter pour préparer à l’improvisation : Histoire et objet : présenter une histoire improvisée à partir d'un objet.

§ Un objet à mettre pour préparer à l’improvisation : La veste : donner comme consigne de « mettre une veste posée sur une chaise » et donner à chaque participant avant d'entrer sur scène une information liée à la veste : c'est celle de la personne aimée, d'un ami avec qui on vient de se disputer... Autres exercices possibles : Lire un article de journal, le bonimenteur, revisiter la Fontaine… Dans le cadre d’un travail sur l’improvisation, on peut orienter les activités sur le « théâtre d’improvisation » qui s’accordera plus particulièrement avec le cycle 3. Cf. : 100 exercices d’entraînements au théâtre, éd. Retz http://www.dramaction.qc.ca/fr/ressources/documents-a-telecharger/ateliers-prepares/ http://www4.ac-nancy-metz.fr/ia57educationmusicale/IMG/pdf/animer_un_atelier_theatre_en_classe_exercices.pdf


« Arborescence du projet »

Grands objectifs : Fréquenter : - Appréhender des œuvres et des productions artistiques - Echanger avec un artiste, un créateur ou un professionnel de l'art et de la culture - Identifier la diversité des lieux et des acteurs culturels de son territoire Pratiquer : - Mettre en œuvre un processus de création - S'intégrer dans un processus collectif S’approprier : - Comprendre et utiliser un vocabulaire approprié à chaque domaine artistique ou culturel - Mettre en relation différents champs de connaissances - Exprimer une émotion esthétique et un jugement critique - Mobiliser ses savoirs et ses expériences au service de la compréhension d'une œuvre

Socle Commun : Domaines 1, 3 et 5 du socle : - Comprendre, s'exprimer en utilisant les langages des arts et du corps - Comprendre, s'exprimer en utilisant la langue française à l'oral et à l'écrit - Expression de la sensibilité et des opinions, respect des autres - Responsabilité, sens de l'engagement et de l'initiative - Organisations et représentations du monde

Compétences : Cycle 2 - Fréquenter : - Intégration des codes appropriés face aux œuvres et productions artistiques rencontrées - Questionnement d'un artiste (d'un créateur) sur ses œuvres et sa démarche - Repérage et qualification des principaux lieux culturels de son environnement Cycle 2 - Pratiquer : - Identification des différentes étapes d'une démarche de création - Engagement dans le collectif Cycle 2 – S’approprier : - Appropriation des noms de différentes formes de productions artistiques - Comparaison et rapprochement des éléments constitutifs de différentes œuvres - Identification de quelques éléments caractéristiques d'une œuvre Compétences : Cycle 3 - Fréquenter : - Adaptation de son comportement face aux œuvres et aux productions artistiques selon les circonstances de la rencontre - Débat avec un artiste (un créateur) et restitution des termes du débat - Découverte du rôle et des missions des principaux acteurs et lieux culturels de son territoire Cycle 3 - Pratiquer : - Implication dans les différentes étapes de la démarche de création - Respect de l'avis des autres et formulation de propositions Cycle 3 – S’approprier : - Utilisation de quelques éléments d'un lexique adapté pour caractériser une œuvre - Situation des œuvres du passé et du présent dans leurs contextes - Mise en relation de quelques éléments constitutifs d'une œuvre avec les effets qu'elle produit

Cocteau et le spectacle vivant

Pratiquer : - Activités théâtrales - Ecriture d’une pièce - Théâtre d’improvisation - Création de décors - Création de costumes - Représentation théâtrale - Acteur/ spectateur …

S’approprier : - Les différents métiers d’art du théâtre - Le vocabulaire autour du théâtre - Etude d’une pièce de théâtre de Jean Cocteau - Biographie de Jean Cocteau (vie, amis, artistes, metteur en scène…) - Les œuvres artistiques de Cocteau (Pièces, films, romans, décors, costumes, - Les Mythes (Orphée, Antigone…) - Le fantastique (La Belle et la Bête) - Les films en noir et blanc - La fabrication des décors - La création des costumes - Les affiches publicitaires - La réalisation des musiques - Les Opéras - Les Ballets - Les orchestres …

Fréquenter : - Visite d’un théâtre - Visite Musée Jean Cocteau - Rencontre avec un artiste - Rencontre avec un metteur en scène - Rencontre avec un artisan des décors scéniques - Rencontre avec un conservateur du théâtre - Rencontre avec un costumier - Voir une pièce de théâtre/opéra/ un spectacle de rue …


« Arborescence du projet »

Cocteau et le spectacle vivant

Français : - Lexique/vocabulaire spécifique - Production d’écrits - Lecture – Compréhension - Expression orale

EPS : - Danse - Expression corporelle - Echauffement corporelle - La gestuelle

Science et technologie : - L’appareil photo - La caméra

Histoire : - L’époque contemporaine - La seconde guerre mondiale - Les frères lumières - Les grandes inventions

Arts plastiques : - Conception de décors - Conception de costumes - Création d’affiches pour le spectacle - Caméra obscura - Sténopé - Folioscope – Flip book - Thaumatrope - Phénakistiscope

Musique : - Ecoute musique d’Opéra - Réalisation sonore (bande musicale, effets sonores…)

m. messina ien mission eac mme saurel-franck cpd arts … · 2018-02-23 · sandrine saurel-franck...

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