l'il lisible (aptation du coran)

8/16/2019 L'Il Lisible (Aptation Du Coran)

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1 Halphé Mihcel à MoNTROJ

Aptation de coran alternatif

Hervé MICHEL

Lien : site Finicoincequoique

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1. Ouverture Par mon protocole de transfert

hypertexte romanié aromathic (1)

*Acception universelle là donnée à quoi

dit tout et le contraire de tout (2)

rumeur romaniée (3)

quand c’est qu’on s’ a (4)

toi qu’on sert, toi qui nous sers (5)

guide sur la voie tenue (6)

voie d ’un bonheur sans furie ni folie (7)

*


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2. La génisse dorée

Prononce ce son qui fait bon à fond

M.A.L.(1) Voilà écrire sans y mettre de doute dutout com un coguid éthiculeux(2) conscient del’énigme, joue du code, pense et dépense (3) la conscienceréceptive,attentive aux tenants et aux aboutissants, c’estelle qui est convaincante (4) qui guide avec maîtrise versla jouissance (5) mais on foire, qu’on soit prévenu ou non,on n’y arrive pas (6) le secret fermé de son proprecœur dont on n’entend rien, on ne voit rien et dont on a uneénorme peine (7) il y a des gens qui disent enêtre jusqu’au bout maisils ne sont pas près d’y arriver (8) ils feignentl’assurance et la confiance en soi,mais ilss’abusenteux-

mêmes sanss’en rendre compte (9) au fond de soi lemalaise ne fait qu’augmenter à la mesure de la souffrancedouloureuse liée à la fausseté (10) on dit de ne pass’enfaire, onrépond qu’on fait de son mieux (11) sauf qu’on peut s’y prendre mal sans même savoir pourquoi (12) etquant à avoir confiance com tout le monde, on se ditcomment avoir confiance bêtement com ça, et se faire bêtecom si on ne savait pas ? (13) comment faire confianceaux premiers venus, lorsque de tenir compte des doutesqui subsistent, ils ne font que plaisanter ? (14) cettesituation est ridicule et la prolonger serait une exagération(15) caron ne choisit pas d’être perdu plutôt que de savoiroù aller coms’il yavait à y gagner à ne pas savoir où aller

(16) c’est à l’image d’un feu qu’on aurait allumé pour


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s’éclairer et quis’éteint laissant dans le noir sans rien pouvoir voir (17) sourds aveugles et muets sans plus derecours (18) que sous le ciel tout noir de nuages avec letonnerre et les éclairs, de se mettre les doigts dans lesoreilles contre la foudre par peur de la mort, noyés dansl’angoisse (19)dès que par l’éblouissement des éclairs, ily a de la lumière,on avance et s’il fait noir , on s’arrête, etencor,on pourrait être privés d’entendre et de voir , car laréalité admet toute la possibilité (20) poisson nu servi

dans la nasse sociale en péché à la ligne du bon art (21)qui vous fasse surface et façonne le vased’expansion quidéverse les fluides d’où s’extraient les produitsnourriciers de la seule réalité objective qu’il y ait àconnaître (22) et même on reste perplexe, on ne peut passincèrement avancer de modèle alternatif ou produire destémoins de confiance (23) et même si quand on a beauessayer, onn’y arrive pas, on admirel’ardeur qui consumeles gens et les choses les plus inertes jusqu’à la pierre,entretenue par leur inquiétude(24) ce qu’on célèbre pourinstaurer la confiance,c’est d’agir correctement dans lerespect des procédures qui nourrit la prospérité du cycleéconomic d’une production variéeet abondante et

régulièrement renouvelée avec une vie sexuelleharmonieuse et stable (25) on peut représenter la réalité par une image microscopique ou macroscopique com unevérité à suivre mais on peut aussi en douter en interrogeantla signification de l’image qui égare autant qu’elle éclaireet qui est utilisée avec perversion (26) de toutes façons ily a la perte, la critique del’arrangement convenu deschoses ou la dénonciation des liens noués par arbitraire,


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l’illustration de la vanité de ce monde (27) comment pensers’il ya la mort,qu’en vienne la vie, et que ce quifait mourir fasse vivre et que ça revienne toujours (28) lesavoir suscite chaque chose de la terrequ’il range avecensemble ordonné sous les sept cieux (29) et quand tu tedétermines par rapport aux potentialités : moi je constitueune personne morale, on dit est-ce tu y mets celui qui pollue et qui verse le sang pour qu'on chante ta gloirequ'on te sacralise (30) car son corps infusel’hom de

science des noms et de les exposer aux potentialités pourles informer dans leur authenticité (31) mais ta gloire estqu'il n'y a de science que celle que tu réfères en sachant eten décidant (32) par voix d’hom qui nomme à hom, et endonnant nom rend connaissable le mystère du haut et du bas,de l’apparent et du caché (33) si nous disons que touteautorité procède du peuple, cela ne s’applique pas augénie qui a la grandeurde la liberté d’esprit (34) le quidamqui habite avec son épouse son petit paradis enconsommantà l’envi les plaisirs de la vie sanss’approcherde la symbolisation vitale se fait du tort (35) la sortie del’état originel est une entropie conflictuelleSalut c’est ainsique sur terre le séjour et le plaisir n’ontqu’un temps (36)

par la voie del’instruction et de la culture, l’hom retrouveles mots pour guérir, la guérison et bonheur de vivre (37)l’entropie est générale, mais à chaque fois, j’arrive àtrouver une contre-voie à suivre là où il n’ya ni peur, nitristesse (38) même ceux qui sont critiques et dénoncentla fausseté des apparences brûlent de ce désir (39) Ô bénisse réelle, rappelez-vous le plaisir que je vous donne, jouissez de votre part com je jouis de la mienne, sinon


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c'est la panique (40) fiez vous à ce qui me fait messagequi confirme les précédents vécus, sans critiquerd’abord,sans négliger le coût, soyez précis (41) que délibérémentle juste ne se vête futile ou caché (42) Ô bénisse réelle,rappelez-vous le plaisir que je vous donne, et que je vousfais une faveur mondaine (43)Ce n’est pas raisonnabled’édicter des prescriptions pour ne pas s’y conformer dansl’exécution des programmes (44) même s’il fautune patience pesante pour les méditations sauf pour les

humbles

(45) qui sont sûr s d’atteindre une réalitésupérieure ou d’y revenir (46) Ô bénisse réelle, rappelez-vous le plaisir que je vous donne,et que c’est un privilège (47) redoutezle moment où rien ne s’écoule d’une âme àl’autre, aucune compassion ni justice qui prévale (48) etnous vous sauvons de la lie pharaon qui vous traite mal,massacre et viole,c’est une grande épreuve de maîtrise(49) et nous vous ouvrons la mer noyer la lie pharaon,vous n'avez qu'à voir (50) et quand Moussé passe à nousconcilier la garante nuit, après vous vous prenez à la vaut-vite excessivement (51)l’erreur est heureusement pardonnable (52) car le discernement littéraire que nousattribuons à Moussé peut guider (53) et quand Moussé dit

au public qu'il exagère à se prendre à la vaut-vite vousdevez retrouver votre état naturel en vous battant contrevous-même pour que vous vous repreniez et soyezheureux (54) si vous dîtes, Moussé, nous ne te feronsconfiance qu’àvoir directement l'éclair de vérité,c’estattendre tomber la foudre devant ses yeux (55)d’ailleursau-delà de la mort, il y a la renaissance, par le désir de lareconnaissance (56) on est protégés par la nébulosité, bien


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nourris, logés et blanchis par la providence sociale, on nefait pas de mal, mais on s’y fait mal(57) si on veut entrerdans cette citoyenneté et être un consommateur satisfait,il faut se soumettre à passer àl’entrée par un processusd’amélioration pour abroger les fautescommises parimpropriété (58)il s’agit de la substitution de ce quia étédit par erreur et qui cause des dysfonctionnements du point de vue de l’intérêt général(59) se rappeler quecherchant à ce que soient satisfaits les besoins du peuple,

la législation articule les for mules d’activation de lacirculation monétaire qui irrigue les différentes nations pour que soient fournis les biens et services sansdisruption ni désordre (60) sachant que les régimes derestriction sont mal tolérés,on demande à l’autorité quesoit favorisée la variété des productions en arbitrant entrel’accessibilité et la qualité sur un marché organisé pourrépondre à la demande, on se représente donc la misère etle dénuementqu’inflige la fureur d’être abusé parlacommunication de responsables incompétents etillégitimes et qu’il faut combattre parce qu’ils sonthostiles (61)tout système fiable qu’il soit tribal, nationalou sectaire est basé sur la confiance, la responsabilité et le

travail bien fait qui rapportentavec l’ordre l’absence de peur ou d’affliction(62) et adopter des lois constitutiveset leur donner un tour supérieur doit être effectué avecforce pour qu’il y ait une chance qu’elles soient observées si on s'en souvient (63) des dérives font tout se perdre ensuite par la faveur et le privilège (64) et on reconnait les perdants à ce qu'ils sabotent le travail et qu'on leur parlecom de vilains singes (65) ce qu'on fait com une


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précaution à prendre au préalable et consécutivement (66)quand l'autorité patriotique ordonne de sacrifier sagéniture, on prend ça à la plaisanterie, mais on proteste ne pas l’ignorer , on aimerait bien ne pas avoir à y procéder(67) ils disent tire au clair de ton système ce que c'est, quec'est une génisse entre le veau et la vieille, qui doit fairece qu'on lui dit (68) ils disent tire au clair de ton systèmesa sorte, il est dit que c'est un géniste doré, sain qui fait plaisir à voir (69) ils disent tire au clair de ton système ce

que c'est parce qu'on confond avec la jaunisse sans repères(70) on dit voilà la jeunesse valide qui n'a été soumise àaucun travail de la terre ou labour des champs, c'est làqu'on en arrive au droit de la sacrifier presque sans le faire (71) tuer sans répulsion tout doit pouvoir ressortir de cequ'on a caché (72) on dit de frapper avec une des parties propres de l'objet, ainsi donner vie aux morts et faire voirl'évidence que la rationalité est éventuelle (73) face à des pensées et sentiments figés plus immobiles que pierre,mais pierre où flux explosent, se fendent couler de l’eau,qui va s’infiltrer partout à la recherche de la vérité sansnégliger aucun détail (74) * Faudrait-il attendre de laconfiance de sectateur s d’une vérité sciemment

manipulée ? (75) la raison est bien le partage de la véritégénérale saufqu’entre soi, on parle de schémas pours’assurer la maîtrise des débats (76) le savoir impliqueautant le secret que la divulgation (77) et il y al’illettrismeet la superstition (78) le malheur est que le dogme estédicté de manière idiosyncratique, mais le malheur estqu’on dit c’estcomça sans dépenser plus d’efforts Salut etle malheur est quec’est fabr iqué et le malheur est que


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c’est exploité (79) on se dit que ça ne prendra quequelques jours de scandale,mais c’est s’engager sanssavoir (80) et là quand ça tourne mal et qu’on est cerné par ses erreurs on est pris dans le feu de la tourmente sans pouvoir s’en sortir(81)alors qu’avec la confiance, on faitles choses comil faut et c’est le bonheur tous les jours(82) on voudrait que la lecture engage au service de lavérité et des bons sentiments envers les parents, les proches, les pauvres et les abandonnés, à dire le bien aux

gens, le respect des rites et le paiement des impôts, mais beaucoup font le contraire (83) quele contrat social, c’estla renonciation au meurtre et le respect de la propriété, ilfaudrait en témoigner (84)or là on s’entretue et on expulseles gens de chez eux par le moyen du crime et del’agression, on fait des captifs qu’on rançonnealors qu’ilest interdit de les expulser, est-ce qu’on peut reconnaîtreune partie de la loi et en répudier une autre, mais celarapporte-t-il à qui agit comcela qu’ignominie dansl’immédiat et des conséquences terribles en fin de compteet de telles actions ne seront-elles pas toujours oubliées ?(85) ne rechercher que le profit immédiat sans vouloir êtrecomptable des conséquences ne les amoindrit pas et n’en

exonère pas (86) la tradition légale donne la formulationdu dogme d'après quoi se succèdent les interprétations des jurisconsultes mais quand intervient tel Il hominé en saqualité native qui postule par lui-même les évidences avecl’esprit le plus pur, est-ce qu’à chaque fois qu’on reçoitdegens ainsi motivés un avis contrariant, on peut le prendrede haut, partie par le déni, et partie par le meurtre (87) etcouvrir ses affaires de secret,non c’est être voué à l’échec


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que d’être si peu de bonne foi (88) le déni et la répudiationde la consignation écrite de ce qu’ona fait de sa propreinitiative manifeste une mauvaise foi terrible (89)c’ests’attirer le malheur que de travestir la vérité par désird’obtenir des privilèges exorbitantset vivre fureur surfureur, car la mauvaise foi est une maladie rageuse (90) sefier à ce qui nous passe par la tête ne débouche qu’aprèscritique sur la vérité qu’ona en soiDICT c’est dire pourquoion tue dans l’œuf bien des élans quand on veut être fiable

(91) * devant un projet évidemment fondamental, on bâcle (92) on adhère bien au progrès où nous hisse Tor,saisis par sa force à son écoute, maisd’une oreille, tout endésobéissant parce qu’on pense à autre chose absorbé parles charmes de la vie qui passe et tant pis pour les ordres,et notre désird’être fiable (93) mais avoir pour but ultimeune vie perpétuellementexclue de la vie sociale c’estenvérité souhaiter la mort (94) on ne souhaitera pasl’avoirà portée de main et se reconnaître foirer (95) pour seretrouver les plus désirants des gens de la vie et de sesattaches, on voudrait vivre mil ans, mais ça ne déplace pasla douleurqu’on endure, on le sait bien(96)Vois qu’on adu mal avecl’algèbremalgré son ancienneté reconnue

(97)l’inimitié à l’égard de l’innocence, de l’inspiration etde l’algèbre et de la mécanisation, c’est aussi l’hostilité audoute (98)l’évidence à n’en pas douter, c’est qu’il ya laméchanceté (99)et à chaque fois qu’on s’entend sur uneconvention, un parti la dénonce, et la plupart ne luiaccorde pas de crédit (100) et quand viennent des gensinspirés par une démarche authentique, ils sont récusés par une partie des autorités officielles qui agissent derrière


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leurdos pour qu’on ne le sache pas(101) ils suivent ce quileur est dicté par les complexités du régime de sécuritédont le principe même est évident, mais sa mise enœuvre est complexe ce qui entretient chez les gens des fantasmesqui, manipulés avec duplicité,n’enseignent que ladissension et le fanatisme, tout particulièrement laséparation de l’hom et de la femme, et avec la permissionde personne, on définit le bien et le mal, même en sachantque finalement cette définition est toute contingente, il

faudrait prendre conscience du malheurqu’on se fait avecces trafics (102) si on savait comment faire, ce serait bienmieux (103) mais la réussite, ce n’est pas dire : fais-moides faveurs, mais regarder, écouter, tenir le travail criticlong et douloureux (104) la discussion contradictoire, lacomptabilité, la société n’aiment pas que ce soit par octroide votre patron que vous ayez un bien comme par unefaveur extraordinaire (105) tel acte édicté peut être abrogé pour le meilleur, com ça peut revenir au même,mais c’esttout le cadrice du hasard (106) et y-aurait-il un propriétaire de la base et des sommets à reconnaître qu’ilne donnerait à personne protection et sécurité (107) veut-on poser la question comelle l’a été aux homs illustres du

passé sur l’arbitrage à faire entre doute et crédulité pourtrouver un chemin praticable (108) beaucoup d’officielsaimeraientqu’à leur confiance réponde de l’esprit critic par envie spontanée de faire se manifester la vérité, pardonner et oublier jusqu’à ce que s’établisse un ordreévident, qui est toujours potentiel (109) respecter les procédures, payer les impôts et faire répertorier les propriétés (110) interdire le bonheur à ceux qui ne sont


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pas fonctionnaires et cultivés,c’est une perspective donton se demande ce qui peut la justifier (111) mais non,celui qui s’y met directement et bien obtient des résultatsqui s’imposent sans crise ni arrière-pensées (112) lalecture traditionnelle oppose une école fondamentale etune école réformée sur ce qui n’est pas reçucom chacunele dit et personne ne réconciliera leurs divergences avantla révolution des temps (113) on atort d’interdire lareligion et de détruire les temples mais on a peur d’y

pénétrer prononcer un nom sacré et s’en fairerécompenser par ceux-ci et être finalement mis à mal parceux-là (114)l’orient et l’occidentont leur nom sacrémais quelle que soit sa prononciation il recouvre toutel’étendue et le savoir(115)L’ensemble de tout ce qu’il ya en haut et en large inclut tous les arrangements deschoses, en dire que le tout fait partie, c’est très gros ! (116)un zinzinvanteur de firmament fondement qui déicide desubjoindrel’ordre d’être en disant : soit ! (117) dont on nesait pas pourquoi il ne parle pas directement ou pourquoiil ne se manifeste pas avec évidence, les ancêtres disentau fond la même chose, les signes se comprennent à lalumière de la compréhension d’un peuple (118) ainsi la

vérité me vient comune nouvelle à diffuser sans que j’aieà m’interroger sur les tenants de l’obscurantisme (119) lesécoles fondamentalistes ou réformées veulent enrôler sansrelâche, un guide est un guide, mais si je suis leurs idéescontre ce que je suis sûr de savoir, je perds tout appui, toutrecours (120) ceux qui se sont donnés le droit d’interpréterles écritures y réussissent en traitant ceux qui le contestentde perdus (121) Les initiés gardent en mémoire le talent


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dont ils sont doués, mais com cet avantage est ambigu(122) quand on contemple un temps où rien ne sert à rien,où il n’ya pas de justice, où la compassion est inutile etoù on ne gagne rien (123)l’accomplissement de la langueselon son éprouvement traditionnel donne une précédencesur les gens, ça n’en consacre pas les er reurs qui endérivent (124) le domicile est un abri sûr dont le respectest constitutionnel et qui implique l’hygiène de l’envir onnement et la salubrité (125)l’idée maîtresse de

ce fondement traditionnel est d’asseoir latranquillitéd’un pays et de permettre à son peuple de jouir des bienfaits dela paix dans la contemplation de l’être et des fins dernièrescar dans l’inconscience on ne jouit pas beaucoup et on estcontraint aux affres de la fièvre activiste au coursmalheureux (126) par la prééminence du droit constitutifet le principe de nationalité faisons accepter au pouvoir politic qu’il sache écouter (127)ce n’est que lacompassion faite de repentance qui apaisera les gens pour bâtir pour les générations qui les suivent la cosmopole dela paix envisagée par la révision et le pardon (128)l’éducation doit susciter les vocations à clarifier lesévidences età enseigner le dogme et l‘autorité sur un

mode purifié dela force de l’autorité (129) le désir desortir du cosmopolitismen’est quede l’imbécilité alorsque le monde actuel s’y range dans la perspective de laréforme finale (130)quand on parle d’ordre public il y aune ambigüité (131) les dispositions constitutionnelles et pénales font hériter les choix religieux auxquels on estsoumis jusqu’à la mort (132) est-ce que le martyrereprésente la peine de mort au service de la retransmission


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de la marque patriarcale exclusive, de sa nationalisation etde sa banalisation dans la soumissionde l’individu (133)à un monde vidé où chacun gagne sa vie sans poser dequestion sur l’organisation des opérations(134) s’ilsdisent que le judéo-christianisme est une solution, il fautdire que la religion est le culte des ancêtres, mais elle nefait pas la société (135) se fier à la nature, à la tradition, àla nation, à l’esprit, à la débrouille, à la famille, à l’état dela législation, au géniede l’individu et aux évidences des

professeurs quine font pas de différence tant qu’on s’y soumet (136)si les convictions s’accordent çadonne unorientation, si elles divergent, leurs contradictions nelaissent plus rien qu’à la fantaisie d’écouter apprendre(137) une touche de fantaisie, quoi de meilleur à servir(138) est-ce qu’on discute de la fantaisie qui nous mènetous, chacun dans ses propres actions bien appliquées ?(139) est-ce atavisme ou conformisme de faire le père toutseul ou le perdu fils ou le fils offert ou le faux frère, oudes enfantaisies par savoir ou par hasard d’autant plusfatalqu’on enétait moins (140) cette ummanisme est videoù chacun gagne sa part sans poser de question sur ladistribution (141) les imbéciles disent aux gens de

changerd’orientation qui à l’Est ou à l’Ouestcom on veutsa direction (142) on te vous rend ainsi médiocrel’humminité dont témoignent les gens et les individus quiles portent en donnant une orientationofficielle sauf qu’ilfaut savoir suivre son idée ou faire sa révolution, même sila grande suit un cours capricieux,ce n’est pas pour faire perdre l’adhésion, telle est la bienveillance et lagentillesse des gens (143) quand on se voit tournicoter la


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tête en l’air à la recherche d’une orientation favorable, onregarde du côté du centre officialiséoù qu’on soit on vade son côté sachant qu’il est le lieu du droit en vigueurenregistré qui recouvre toutes les activités (144)l’enregistrement suit chaque caractéristique del’orientation individuelle, chacune différente de toutes lesautres même si chacun en vient à prendre connaissance deses lubies, au risque d’avoir tort(145) l’inscriptionanalytique fait connaître la génération, même si une part

reste cachée, on sait sa vérité (146) la véritéindiscutablement effective (147) chaque visage a soninclination pour rivaliser d’excellence partout dans lasociété, tout est possible (148)alors d’où qu’on sorte, onse tourne vers l'oratoire de la consécration pour faire prévaloir sa vérité sans négliger aucune activité (149)alors d’où qu’on sorte, on se tourne versl'oratoire de laconsécration, et où qu’on soit on se tourne vers lui où nese dispute que ce qui fait tort sans crainte ni de l’un ni desautres pour trouver les chemins du bonheur (150) lavariété des individus décline les caractéristiques dans leur pureté particulière dont la description atteste de la justesse pour faire connaître l’inconnaissable (151) mentionner

l’un fait mentionner les autres pour un agrémentindubitable (152) la confiance confortée par la patience etla méticulosité aide à tout (153)la lutte essentielle n’est pas la mort, mais la vie sans sentiment (154) éprouvée enquelque sorte par la peur lafaim le manque d’argentd’inspiration et de ressources, mais la patience rendl’optimisme(155) atteint par une affliction on dit c’estrien ça va passer (156)c’estcomça qu’on trouve le moyen


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d’avoir le dessus et d’être soulagé, c’est la bonne voie(157)on sait que l’hygiène et le sport signalent de bonneshabitudes, les voyages et les tournées ne font pas de mal,les disciplines sont gratifiantes (158) cacher cequ’implique les évidences et le sens qu’on leur donnesocialement dans l’État c’est se condamner soi-même àl’exclusion(159)il n’ya qu’à être respectueux du travail bien fait et être pragmatic pour être admis de boncœur (160) mais la mort nie les certitudes et condamne tout un

chacun, même les plus doués, tout le monde ensemble(161) perpétuellement, sans soulagement de la souffrancequ’on neveut pas voir (162)on n’a qu’une vie, il n’yaque ça, tout bonnement (163)la perception de l’harmoniedes sphères, la distinction du vide et du plein, ledévelopment de la prospérité commerciale, la gestionhydrôlique, la valorisation agricole et l’élevage du vers àsoi, les connaissances méthéorologiques, ce sont dessignes de la rationalité du peuple (164) les gens setrouvent tout seuls des aides dans la vie qu’ils aimentcomeux-mêmes, ils leur font la plus grande confiance, mêmesi la déception est cruelle (165) quand se brisent les liensentre ceux qui sont suivis et ceux qui les suivent (166) à

vrai dire c’est l’occasion de s’affranchir les uns des autres parce qu’à considérer ses regrets on ne sort pas de la fièvre(167)la société dit ce qu’il ya à manger de comestible et bon sans suivre les explorations évidemment dangereuses(168) car ne sont taxées que de mauvaises et gâtées ceschoses qu’on ignore(169) on dit de suivre sa fantaisie plutôt que de dire suivre les repères de ses pères même siles pères erraient irrationnels et inconséquents (170) le


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modèle de la méfiance est de crier parce qu’on n’entendque des appels et des cris sourds muets et aveugles et pasraisonnables (171) faire confiance pour manger les bonnes choses qu’onse voit offrir en ayant de la gratitude pour le service (172) on avertit seulement contre lesdangers du faisandé du sang de la viande de porc contrece qu’on mange sanssavoir ce que c’est, ce qui s’imposeà celui qui ne fait exprès, et celui quin’exagère pas, maisce n’est pas un crime il faut être compréhensif et tolérant

(173) se dissimuler ce que révèlela science et s’acheterdu bricolé c’est avaler de la vache enragée, ne rien obtenirfinalement qui vaille d’être nommé, ou qui puisse êtrerécupéré, ça marche vraiment mal (174) préférer l’erranceà la bonne direction, la souffrance au soulagement, c’est supporter la fièvre (175) cependant chaque lectureindividuelle de la vérité scientifique diverge selon unefracture profonde (176)la vertu n’est pas d’adopterl’orientation de droite ou de gauche, mais la vertu c’est laconfiance en soi en l’avenir au progrès à la science et augénie,à l’investissementdans ce qu’on aime et ce dontonest prochesans discrimination sur l’origine familiale ousociale ou géographique pour répondre à la nécessité,

pour la liberté, et suivre les procédures, payer ses impôtset respecter la parole donnée, la patience dans l’adversitéet le malheur , voilà l’authenticitéet le dévouement (177)suivre la loi du talion, c’est œil pourœil, dent pour dent,mais pour alléger la charge publique et pour la tranquillité, plutôt que punir le transgresseur, poursuivre unereconstitution rationnelle acquittant la meilleureindemnisation selon une logique de pardon fraternel (178)


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la loi du talion,c’est larestauration de l’intégrité physiqueet morale, si on al’intelligence d’être méticuleux (179) àla mort de quelqu’un qui laisse un bien, le testament écritrègle la répartition convenable entre parents et proches, ildonne le droit à appliquer (180)qu’enfreint celuiqui luisubstitue autre chose après réception, un crime contreceux qui sont affectés par la substitution pour ce qu’on ensait pour ce qu’on ena vu (181) maisl’héritier qui a peurd’un crime oud’une magouille arrange les chosesqu’il

n’y ait pas decrime grâce à un pardon compréhensif (182)la prescription du jeûne dès son origines’applique auvolontaire à savoir se priver (183) le nombre de joursdépendant si on est malade ou en voyage ou si on peut encontrepartie participer à la lutte contre la malnutrition,c’est bien si ça fait du bien quand on sait le bien que çafait (184) le mois où on en perçoit, parmi les gens avecqui on vit, la lisibilité avec une évidence nette et tout bien pesé, décidé à faire l’expérience, on jeûne ce mois-là, ouun autre si on est malade ou en voyage, si c’est facile, caron ne cherche pas là la difficulté ou à accomplir unnombre de jours pour la gloriole, mais pour la gratificationéventuelle (185) quant à moi, si on me cherche pour le

service, je suis tout près, je réponds à l’appel si onm’appelle, alors qu’on me demande de répondre et qu’onme fasse confiance pour que les choses soient bien menées(186) la permissivité pendant la nuit du carnaval, l’orgieavec les femmes, homs et femmes com des vêtements lesuns pour les autres tout en sachant qu’on s’abuse soi-même, c’est par donnable et oblitéré pourvu qu’on jouisseavec elles en désirant selon le discours de la fantaisie,


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boire et manger tant qu’on distingue avec évidence le blanc et le noir à l’aube, alors faire la fête sans s’ébattre pendant les cérémonies quand les limites à ne pas franchirsont claires dans le détail de leur application (187) il estvain de dépenser les richesses en influençant les arbitressi c’est sciemment dépenser par fraude l’argent des gens(188)c’est une question de phases, il ya un calendrier desfêtes qu’il n’est pas correct de prendre à l’envers, ce quiest correct est d’appliquer le phasage dans l’ordre, si on a

plaisir à appliquer les ordres (189) se battre pour sesconvictions sans extrémisme déplaisant (190) çaamènerait à tuer, à chasser et à être chassé, la lutte mèneà une discorde pire, alors il vaut mieux avoir scrupule àcommencer à se battre dans les zones civilisées (191) latolérance et la compréhension y mettent fin (192) alors se battre pour qu’il n’y ait pas discorde mais reconnaissancevraie des droits, et l’absence d’injustice met fin auxhostilités (193) la trêve est la trêve, la briser signifie lesreprésailles, l’excès nourrit l’excès, on sait qu’il faut être prudent là-dessus (194)s’investir dans ses passions sansse jeter dans la destruction, mais dans l’amélioration, onaime l’amélioration(195) quand on connait une grande

difficulté, faire un voyage ou prendre une annéesabbatique, et si on en est empêché se consacrer à quelquetâche d’intérêt général, et ne pas se couper de ses relationstant que le projetn’a pas trouvé sa place et si on est maladeou psychiquement atteint, compenser par la méditation, lagénérosité et la dévotion, et remis en confiance de retourde voyage ou de l’année sabbatique se consacrer à quelquetâche d’intérêt général, et de toutes façons, faire la fête,


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surtout si on habite loin de tout (196)l’année sabbatiquecorrespond à un nombre limité de mois pendant lesquelsle but n’est pas la luxure, la débauche ou la bagarre, maisla recherche d’une activité qui fasse du bien et fasse desréserves desérénité parce que c’est la meilleure desréserves où puiser, si on se rend compte (197) rienn’interdit de poursuivre l’excellence, alors au milieu duflot des connaissances, se rappeler son sentiment le plusintime et se rappeler le guide qu’ila pu être dans

l’égarement(198) on peut ensuite se plonger dans le flotde la société avec tolérance et compréhension (199) dansle flot des rites sociaux se rappeler son originalité plus quese rappeler ses origines car une partie de la sociétés’exerce dans une sphèreimmédiate sans prolongementdurable (200)l’autre partie assure les biens aussi biendans l’immédiatqu’à long terme contre les dommages dela consommation des temps (201) il faut participer à cesgains et le compte est vite fait (202) du calcul des joursqu’on ya consacrés avec promptitude ou avec retard sansfrauder avec assiduité, ce sont des données agrégées (203)l’assurance immédiate plait aux gens et ilsont àcœur d’endiscuter avec acharnement (204) mais au revers la

corruption court sur la terre ravager les cultures et lesélevages, on n’aime pas la corruption(205) parler demodestie,l’orgueil criminel s’avère voué à la confusionqui étale le pire (206) une part de la société se dédie àl’intérêt général, au service de la civilité(207) laconfiance est toute entière dans la paix et non dans les pasde la dissension (208) si elle perdure contre l’évidencel’arbitrage revient à la force(209) comment ne pas voir


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qu’elle s’exerce dans l’ombre et l’opacité et que les puissances et les dominations décident de l’affaire, et lesaffaires restent les affaires (210) la question del’aristocratie est qu’après de nombr eux signes évidentselle préfère sacrifier le bonheur de chacun avec desconséquences sévères (211) on embellit le profit immédiatet on se moque de la fidélitéet de l’exactitude des résultatslaissant à l’arbitraire la distribution des bénéfices (212)l’unité du genre humain fonde l’égalité des individusqui

se manifestent en apportant des descriptions de la véritéou des prescriptions de leurs droits dont il faut arbitrer lesdifférences, et une fois constatésà vue d’œil l’évidencedes envies mutuelles, des déviances réciproques, descontingences communes et la conjoncture particulière, lehasard va droit son chemin (213) faire une comptabilitéd’admission au paradiscom cela existait auparavant faittoucher aux malheurs auxinjustices et à l’instabilité jusqu’à ce que s’approche la victoire des droits del’individu et la confiance qu’ils généralisent(214) laquestion est de payer, savoir payer faire du bien pour les pauvres qu’ils aient ou non des relations familiales ou une proximité géographique (215)c’est une lutte détestée

mais, nul ne sait comment, on peut détester ce qui fait du bien et aimer ce qui fait du mal (216) quant à la questionde la lutte par rapport aux conventions sociales qui la prohibent, mais si cela va contre la conviction intime ousi cela recouvre la violation du contrat social oul’aliénation du peuple, il y a une infamie, pire que la lutte,contre laquelle il faut lutter jusqu’à sa capitulation sanscondition, car renoncer à ses droits c’est la mort et


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l’animalité végétante qui dévalorise les actions et interditl’aveniren restant toujours pris en proie (217) la toléranceet la compréhension permettent la confiance en soi et lamobilité sur le chemin de la réussite et du bonheur (218)sur la question de la drogue et du jeumalgré l’interdictionles gens y trouvent des avantages même s’ils impliquentdes dommages plus grandset ce qu’on y dépense estoblitéré c’est évident qu’il vaut mieux y réfléchir avantqu’après quand on est ruiné et qu’il faut se refaire en

dépendant des liens de solidarité si on est récupérable etéligible à l’assistance au gré de la dureté des jugements(219-220) on ne se marie pas avec des partenaires tantqu’ils nesont pas fidèles, l’humanité vaut plus par laconfiance que par la grégarité, même si ça donne des plaisirs, alors on ne se marie pas avec des partenaires tantqu’ils ne sont pas fidèles, un service fiable vaut mieuxqu’un service conditionnel, même si ça donne des plaisirs,mais qui mènent à la frénésie, alors il faut se rappelerqu’évidemmentce qu’onveutc’est le bonheur permis parla tolérance (221) et si la menstruation fait question etqu’on la trouve gênante, s’isoler des femmes pendantleurs menstruations et ne les approcher pas avant qu’elles

en soient lavées selon le commandement de la nature si on préfère parler de purification plutôt que n’y pas voir demal (222) si les femmes sont un champ à labourer com onveut, mettez-vous à leur place, sincèrementc’est quelquechose qui peut se faire pour apprendre de belles choses enconfiance (223)ce n’est pas par une fabrication objective,mais par sincéritéqu’opèrent la vertu la prévenance et laréconciliation entre les gens, ce quelque chose qu’on


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sache écouter (224) on ne devient pas sincère paramusement mais parce que la tolérance et la douceurnourrissent lecœur (225) si on veut se séparer de sonconjoint, prendre un délai de réflexion pour rester tolérantet compréhensif (226)et si le divorce est décidé, qu’onsache écouter (227) le délai le temps de voir si unegestation est en train si finalement il y a une envie sincèrede reprendre la vie comune et de l’améliorer,homs etfemmes semblables en raison,quel que soit l’ascendant

que peut prendrel’hom, telle est la force du droit (228) onest deuxà divorcer, à convenir de ce qu’on prend et àchercher le mieux pour ce qu’on laisse sans qu’on puisserien reprendre de ce qu’ona donné, sauf si tous deux ontle sentiment intime d’exagérer, et qu’ils trouvent légitimed’ajuster par respect deleurs sentiments sincères, ça seraitune erreur de ne pas le faire (229) divorcer ne permet pasensuite à aucun des deux de conserver quelque droit surl’ancien conjoint même s’il n’est pas remarié et les chosessont claires pour les gens qui ont à en connaître (230) ledivorce prononcé le délai écoulé, reprise ou séparationselon ce qui est entendu, mais la reprise par force seraitviciée par elle-même, on ne doit pas se moquer des

évidences, eu égard aux agréments individuels àenregistrer et au jugement à promulguer avec prévoyancetenant compte de tous les éléments de la situation (231) ledivorce prononcé le délai écoulé, le remariage estencouragé si les deuxl’entendent àleur convenance,même si tout un chacun ne peut pas savoir si c’est plusdécent ou plus pur (232) les géniteurs font allaiter leur progéniture deux ans si ils veulent un allaitement complet


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et les concepteurs fournissent les moyens de subvenir aux besoins convenus des géniteurs mais chacun ne prend encharge que selon ses moyens que l’enfant ne soit pas unfardeau pour le géniteur ni pour le concepteur, de mêmequand la charge est transmise par l’héritage, il n’ya pasde problème s’il ya accord discuté convenable pourdéléguer l’élevage de l’enfantsi on paye ce qui estconvenableen étant très attentifs à ce qu’on fait(233)mour ir c’est le temps qu’il faut pour laisser son conjoint

se remarier (234)il n’ya pas de problème à négocier lemariage, ouvertement ou en secret, tout le monde sait bienqu’on y pense,on ne donne des rendez-vous secretsqu’avec des mots de convenance, mais le mariage sedécide selon des formes prescrites avec des annonces publiées, dans un esprit adulte et tolérant (235) si lemariage n’est pas consommé, la modulation del’indemnisation est fonction de l’accord sur le défaut àcompenser et de la bienveillance sans oublier l’avantagemutuel, tout cela est parfaitement visible (236-237)régularité des exercices, exercice au milieu desopérations, il faut s’y tenir avec modestie(238)qu’on ait peur ou qu’on soit en déplacement, on se calme en se

rappelant ce qu’on s’est fait savoir ne pas savoir(239) letestament au profit du survivant, l’indemnisation dudivorce, ce sont des cas à juger en conscience (240-242)on a vu des gens expulsés de chez eux par milliers endanger de mort retrouver une vie sans rien demander à personne (243) il faut se battre en suivant sa voie, écoutersa voix intérieure (244)investir dans l’espoir est d’un bonrapport, le taux peut varier mais il y a toujours retour (245)


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on voit les notables instruits à l’appel de mobilisationdemander l’élection d’un chef pour mener la lutte pour lesdroits de la personneen protestant qu’ils ne feront pasdéfaut contre les menaces d’expropriation et d’esclavage,mais ils sont peuà s’engager dans la lutte le moment venu,on connait bien le tort qu’ils font(246) mais quandl’élection désigne unhom simple ils contestent sonautorité parce qu’ils sont plus riches et qu’il n’a pas degrands biens alors qu’ila été élu pour ses aptitudes

physiques et psychiques,car c’est un vaste champ que desavoir à qui échoit l’autorité(247) car le suffrage consacrel’autorité selon les voies de la constitution qui enchâsse ledépôt de la succession des chefs de l’État pour la paix etla confiance publique (248)une fois qu’il fut élu, il partitsélectionner les troupes avec une épreuve de natation oùil ne fallait pas boire la tasse, sinon une gorgée, pour êtreretenu, peuréussirent à traverser le cours d’eau sinon luiet les plus assurés qui se trouvèrent alors sans plus deforce face aux troupes de l’ennemi et pensaient être tuéss’ils n’avaient pas le cran de se rappeler combien de foisle petit nombre a gagné sur le grand nombre (249) etquand parut le tyran avec ses troupes, il fallut rassembler

son courage, affermir son bras pour obtenir la victoirequels que fussent les doutes (250) avec une déterminationconvaincue le héros du peuple abattit le tyran et il en reçutle pouvoir et l’autorité et l’enseignement de la liberté,mais sans l’élan de solidarité du peuple, le monde auraitété subverti, mais la liberté est le meilleur des mondes possibles (251) il y a des signes répétés de cette vérité, cesont les individus (252) certains individus sont plus doués


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que les autres, ontdu génie et de l’ascendantalorsl’intervention d’un clone parfait du génie génétic qui postule par lui-même les évidences avec l’esprit le plusnet pourrait-ilfaire qu’après lui on ne se batte plus aprèsla manifestation de tant d’évidences, mais les gensdissentent, on est d’accord et on n’est pas d’accord, un bon esprit ferait qu’on ne se batte pas, mais le bon espritfait ce qu’il veut (253) avoir conscience de ses moyens pour anticiper le moment où on ne négocie plus, où on n’a

plus d’amis, plus d’intercessions, où ona tort d’êtrecirconspect (254) il n’y a rien qui soit tout, mais il y a queça vit et ça se tient, que tu somnoles ou que tu dormes,l’espace et le tempss’ont donné les conditions del’intercessionqui joint leur passé et leur avenir avec cequ’ils peuvent vouloir comprendre parmi l’immensité oùsiège l’espace-temps sans entropie faire, il y a ce qui esthaut important (255)la transcendance n’est pas unecontrainte qui forcerait une bonne direction là même où ilest évident qu’on s’égare, désavouer son angoisse et sefier à son inspiration c’esttenir un manche très sûr qui nese défait pas de savoir entendre (256) le sentimentintérieur est maître de la confiance qui fait sortir des

ténèbres vers la lumière, mais la perplexité devantl’oppression expulse de la lumière vers les ténèbres où ilfaut perpétuellements’exciter(257) est-ce que dans lestemps les plus vénérables où on était maître de soi et entoute autorité le cycle de la vie et de la mort ne faisait selever les choses dans leur orient puis disparaitre dans leuroccident dans les contradictions de l’analyse, sans qu’onait d’autre guide que l’err eur (258)c’est com passer par


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une ville aux masures vides et se demander comment lavie peut y revenir après un siècle qui passe aussi vitequ’un seul jour on retrouve nourriture et boissonsfraiches, des moyens de transport qui signalent la vie avecsa structure, ses articulations et sa chair com une évidencede tout ce qui peut se faire (259) et demander com undébut de conscience comment se fait la vie de la mort, pas par peur, maisl’âme calme, évoquer le retour desquatre quarts de quatre oiseaux qu’onaura partagés aux

quatre coins des montagnes environnantes revenirrecomposés à tire d’aile c’est apprendre la force et lasagesse du psychisme (260)le modèle de l’investissementdans le dévelopmentlibre, c’est de planter une graine quidonnesept épis de cent graines chacun c’est exponentiel,une vaste chose à connaître (261) maisl’investissementde ses biens dans le dévelopment libre au risque de ladépense, des intérêt ou des dividendes, doit trouver sarétribution dans le capital sans crainte ni regret (262) unmot d’entente et de responsabilisation vaut mieuxqu’uneaumône où s’attache un prix, car la gentillesse estle rêvede la richesse (263)la conscience n’est pas dedisqualifiercom les gens le font inconsidérément sans souci du

résultat final, les libéralités avec intérêt ou dividendes pour rétribuer le capital, à l’image de la terre fertile sur unrocher que le pluie vient lessiver à nu, détruisant toute possibilité de récolte, l’inconséquence égarant l’espritcritic (264) en effetle modèle de l’investissementsatisfaisant car porteur de stabilité est celui du jardin surune colline que la pluie arrose il donne le double de fruits,ou si ce n’est la pluie, c’est la rosée, mais il s’agit d’être


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attentif à ce qu’on fait(265) est-ce quequelqu’un aimeraitavoir un jardin luxuriant et prospèrequ’à son grand âge,il laisserait à sa descendance nombreuse, ruiné par lafoudre et l’incendie, ces évidences sont là pour qu’on y pense (266) consommer en confiance les bonnes chosesde ce qu’on a gagné et produit sans en exonérer la pollution parce qu’on ne va pas prendre les yeux ferméssur ce qui fait la richesse et la gloire (267)l’angoissevoueà la misère et commande l’échec, on sait le vaste champ

qu’ouvre de se promettre la tolérance et la réussite(268)la sagesse n’est pasdonnée à tout le monde, et ça faitgrand bien d’enavoir, ça serait intelligent de se le rappeler(269) on connait ses goûts et ses souhaits, on ne gagnerien à se les obscurcir (270) faire connaitre sesengagements les favorise mais cacher ce qu’ondonne àfonds perdus fait du bien parce qu’on compense ainsi cequ’on saurait mal faire connaitre (271)ce n’est pas pourdonner des orientations car chacun s’orientecom il veutet on ne s’engage que pour son bien propre, on nes’engage que pour ce quia de la gueule rétribue bien et nelèse pas (272)la misère c’est la frustration de l’existencelimitée insupportable que l’ignorant pense celle des riches

de n’avoir rien à demander à per sonne, mais c’est meilleurde se livrer si on veut savoir (273)savoir s’engager à toutmoment de manière publique ou secrète est logiquement profitable quand on n’a pas peur et qu’on n’est pasdéprimé (274)exiger un taux d’intérêt n’est qu’obéir à lacontrainte économique, c’est-à-dire le commerce, car lecommerce est licite et si on rendl’intérêt illicite, l’agentrationnel s’arrête à ce qu’ila déjà et son affaire va à vau-


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l’eau toute initiative étant perpétuellement vouée àl’incertitude(275) car le temps annule l’actualisation del’intérêt selon le rendement des investissements en dépitdes raisonnements fallacieux (276) la confiance larégularité et le règlement des dettes ont leur rétributionlogique sans crainte ni déception (277) si on veut être enconfiance on distingue ce qui revient à l’intérêt(278) à ne pas le faire on se jette dans la guerre de chacun contre tousalors qu’à l’observer on garde son capital sans léser ni être

lésé (279) si nécessaire, on examine des délais, on sait lefaire (280) respecter le moment des échéances et chacunmérite ce qu’ila gagné sans faute (281) en confianceétablir par écrit la reconnaissance de dette pour s’entendresur les termes en justice consignés en langagecompréhensible sous la dictée du débiteur précise et sansomission et si le débiteurest naïf ou faible et qu’il ne peutdicter, que son tuteur dicte en justice devant deux témoins,homs ou femmes, qui s’épaulent l’un l’autre, et ne puissent se récuser, ne pas négliger d’établir un contratécrit, qu’il soit bref ou long, avec le terme, c’est le moyenréel le plus équitable, le témoignage le plus stable et le plus propre à écarter le doute, sauf s’ils'agit d’un négoce

immédiatà régler entre soi, il n’ya pas d’inconvénient àne pas écrire de contrat, mais en prenant des témoins, carforcer le rédacteur ou les témoins est un vice rédhibitoirec’est la bonne foi qui rend les choses possibles et connues(282) au cas où en voyage on ne trouve pas de notaire, on prend un gage de confiance mutuelle qui soit restitué avecexactitude sans escamoter les témoins sous peine de vicierle contrat, car tout finit par se savoir (283)dans l’étendue


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et dans le temps, on finit par rendre comptede ce qu’onmontre et dece qu’on cache à l’intér ieur de soi, même sitout est possible au profit ou au détriment de l’un ou del’autre(284) l’individu se fie à son inspiration et à sonsens de la logique entre gens de bonne foi, chacun se faitconfiance, en ses capacités, aux agents de l’État sansdiscrimination, on obéit à ce qu’on entend, le sort estlogiquement clément (285)on n’a de charge que suivantses aptitudes, à gagner si elles sont positives ou à perdre

si ellessont déficientes, quand on n’est pas pris en défaut,de par ses oublis ou ses fautes, quand ne pèse pas le poidsdu passé, un poids qu’on ait pas la force de lever, le pardon, la tolérance et la compassion sont alors la victoireque l’examen critic obtient sur les éléments maîtres de lasituation (286)


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3. La lignée structure

Nommade le mot de passe partout ronamichel

A.L.M. (1)Moi, il n’ya que moi qui sois moi, me tenantmaintenant ma vie (2) je révèle la vérité transcendante del’écriture authentifiée chez les Anciens et les Modernes(3)d’emblée je guide les gens et révèle les distinctions maisça exigeun ardu et têtu travail de reprise des évidences (4) qui ne laisserien à couvert de l’espace et du temps(5) et toute la force del’aléatoire me façonne dès gestation pour être ce que je veux (6) je révèle l’évérité transcendante de l’écriture par des signesarbitraires qui en sont la matriceet d’autres qui sont imitatifs,alors avec une perversité profonde on en poursuit l’imitation pour le plaisir de la polémique et de l’interpolation, on peuttoujours interpoler, et les plus grands scientifiques s’y fient, comà tout ce qui prend forme, mais il faut de la subtilité pour serappeler (7) la ductilité même de la forme une fois que j’aiadopté une orientation et que je me suis trouvé un plaisir que jem’adonne (8) là je me rassemble les gens pour fixer le moment,c’est des rendez-vous à ne pas manquer (9)c’est les aliments dela consommation intenseoù tout n’est que production et procréation dont il faut penser la contradiction (10) com la prérogativede l’État et ce dont elle procède nie les identités, elle

est saisie pour ses abusdont j’ai beaucoup de ressentiment (11)c’est dommageque le refus de la contestation gâche et perde toutdans une haine que je n’aime(12) c’est évident qu’il y a deux partis, un parti se bat suivre son inspiration,l’autre conteste, onles voit comse voit l’œil, on réussit quand ça veut bien, et lamarque en est d’abord optique(13) ce que les gens se font de beau par les désirs de l’amour , les conquêtes sexuelles, les

maisons, les métaux précieux, les voitures de marque, les


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machines et les usines, tout ce qui rend plaisante la vie et enaméliore le séjour (14)c’est ça que je me promets de bien parfaire, une organisation de flux permanents de plaisirs avec

une vie sexuelle harmonieuse et satisfaisante, mais il faut êtreattentif au service (15) parler de la politique qui donne uneassurance contre les évolutions dommageables et les menaces dedestruction (16) avec patience, sincérité, humilité, générosité etdisponibilité dès avant l’aube(17) Je me montre moi, il n’yaque moi qui sois moi, les passions qui me possèdent, les bribesde connaissance qui essaient de s’équilibrer, il n’ya que moi qui

soismoi, la force et l’autorité ne sont que ce que j’en aie (18) enfinance, mon crédit est forcément égal à mon débit, une fois que je sais ça, les différences et les erreursd’inscriptions font lavitesse du contentieux sur mon compte (19) dans la discussion, je dis mon financement et qui l’a suivi et je vérifie l’exactitudedes écritures financières, le financement est la clef du futur, sil’affaire se retourne, attention aumessage, mon travail est sousobservation (20) mais les erreurs et les échecs de mes entreprisess’annoncent malgré le droit et l’exigence de justice sociale dontl’expression est si pénible et doulour euse (21)c’est là une luttevaine en fin de compte qu’on ne peut pas gagner (22) ne voilà-t-il pas qu’une partie de mes associés invoque ce que j’ai dit contremoi et que l’autre se détourne(23) par ce qu’ils ne veulent êtretouchés par le feude l’action que pour une période déterminéeet leur tiédeur trouble leur investissement (24) mais commentrassembler sur la certitude de mourir et de ne rien gagner sansavoir mal fait (25) ah tout est affaire de possession de propriétémais on est propriétaireou on ne l’est pas, on en gagne, on en perd, on a du talent ou pas, et quant à réussir, tout peut arriver(26)la nuit s’étend sur le jour et le jour se prolonge dans la nuit,on fait sortir du vivant du mort et du mort du vivant, avec desressources innombrables (27) la mise en confiance ne se fait pasen mettant la critique en second rang à moins de dénaturer


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l’essence du projet et ne pas prendre de précautions, il faut seméfier de soi-même, mais c’est en soi qu’est l’issue(28) du plus profond de son intimité connaître ce qui apparait dans toute

l’étendue de l’espace et du temps par l’exploration de toutes les possibilités (29) le psychisme de chacun travaille à sereprésenter le bien et le mal en préférant les mettre à distancel’un de l’autre avec toute la prévention de soi-même, c’est untravail de compassion (30)s’aimer soi-même, c’est se faireaimer avec la compréhension de ses défauts et une gentilleindulgence (31)c’est dire la mise en puissance de la subjectivité

et de l’inspiration, même si on s’en détourne par peur de lacritique (32) je fais des choix depuis le début de l’humanité, àtravers les civilisations disparues et les nations les plusanciennes, l’histoire et son versant caché(33) la succession desgénérations, je donne à voir et à savoir (34) j’offre à voir et àsavoir com la femme le fruit de sa gestation à la construction del’hom (35)accoucher fait la différence entre l’hom et la femmeet dès l’accouchement ondonne le nom de fille chez qui protégerl'âpre géniture contr e l’agression infâme(36) et Turlurette luifait bel accueil et lui offre des fleurs et trouve provende chaquefois qu’il pénètre la niche, et lui demande ô désirablecommentfais-tu ça, elle dit c’est du fond de moi que jedonne plaisir sanscompter (37)là Turlurette l’appelle sa maîtresse et la prie de luidonner une belle descendance (38) alors quand il se tient dans laniche elle invoque les potentialités de faire part de la naissanced’un enfant vivantau vrai sens du mot maître de lui et de ses passions, un exemple de correction (39) ce qui arrive com onveutun enfant d’un vieuxet d’unefemme stérile (40) pour s’enfaire une idée fixe, il ne parle à personne de trois jours et il prieavec beaucoup d’exaltation soir et matin (41) en virtualité ladésirable devient l’élue toute pureélue entre toutes les femmes(42) ô désirable soumet-toi à mon assaut d’homination et rendmoi ton culte (43) selon les énigmes de mon inspiration, tandis


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que les autres rivalisent du plumeau et à discutailler qui serait letuteur de la désirable (44) en virtualité la désirable est la prémonition du mot-nom messie fils du désir qui donne visage

au monde et à la mort pour ceuxqui savent s’approcher (45) ilfait parler en ordre les gens au berceau et à l’âge mûr (46)lacréation ex nihilo et l’immaculée conception, il suffisait d’y penser (47) et de savoir l’écrire avec l’autorité de la bible (48) etl’inspiration des prophètes qui dechic soufflent sur une imaged’oiseau qu’elle devienne oiseau selon leur fantaisie, guérissentl’aveugle de naissance et le lépr eux et ressuscitent les morts

selon leur fantaisie, annoncent ce qu’il faut manger , ce qu’il fautenfermer chez soi, ce qui n’a de sens que pour ceux qui y croient(49) attestant ce qui leur est accessible de la législation envigueur et manipulant le licite et le prohibé en signal de leurdomination ils promeuvent la religion pour prendre le pouvoir(50) mais le pouvoir de moi, le pouvoir de vous, c’est le travail,la voie du progrès (51)l’examen linguistic fait sentir le rapportde force militaro-idéologic et fait voir son financement (52)suivant les écoles de pensée que révèlent les écritures (53) onmagouille je magouille à la meilleure magouille (54)c’est à moiqu’il revient en fin de compte d’arbitrer entre toutes lesdivergences par la critique de toutes les voies à suivre celle quim’élève au dessus du senscommun et le purifie faire parce que je meurs que je dise ce que je dis (55) la critique me donne unmal de chien et finalement on y gagne rien (56) mais à êtrecrédule et zélé, je ne suis payé que de mes erreurs et du manqued’amour (57) je me répète cela, c’est une évidence de sagesse àrappeler (58) je dis ça com ça selon le même mode radicalementconcret à chaque fois (59) la vérité hésitée de la situation (60) ladiscussion ne vient qu’après se faire connaissance mutualiser lafausseté par la mal diction de mes choses par tes choses (61)c’est bien ça l’histoire vraie qu’il n’ya que moi qui sois moi etqui me donne force et autorité (62) je sais bien qu’on se détourne


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de moi (63) jusqu’à ce que les gens qui sont quelque chose enviennent à un discours égalisé entre nous qui serve mamarchandise sans équivoque sans se prendre les uns les autres

pour des poteaux indicateurs aléatoires quimontrent l’intérêtqu’ils peuvent trouver (64) bande d’immatriculés peut-ondiscuter sans code et sans marque (65) si on ne parle que dechoses objectives comment parler des choses subjectives dontvous ne savez rien et que je suis seul à connaître (66)l’initiative,ce n’est pas l’État ou le marché, c’est l’investisseur prudent quine parasite pas (67) les premiers à le suivre en font un patron à

qui on fait confiance, et la confiance précède la fidélité (68) maison s’égare à consigner les intérêts particuliers (69) ah voilà pourquoi l’écriture ne fait voir l’évidence que par lacontradiction(70) qu’on connaisse la vérité, le droit se cachedans des détails inutiles (71) des spécialistes disent se fier auxdéclarations, mais ce qui est fiable sous une lumière est criticableen dernière analyse, et il faut peut-être y revenir (72) et on nefait que suivre son système de pensée, il faut dire que la règle,c’est la règle qu’on se fixe chacun comelle vient ou qu’elle estdiscutée par sa hiérarchie mais il revient à chacun de favorisercom il veutet qu’il sait le champ large (73) l’amour -propre a lacompassion arbitraire et le favoritisme immense (74) et alorsqu’une dette d’un quintal est consignée, on peut avoir à tenir pour un denier bloqué par un mensonge procédural patent qui nese fait pas accessible à l’ingénu (75) respecter les contrats c’est par amour de la beauté (76) troquer la foi dans le contrat ne coûte pas cher si on n’est jamais pris, convoqué ou inspecté jusqu’audernier jour, donné quitus sans sanction infâmante (77) il y en aqui vont tordre la langue pour faire prendre en compte de faussesécritures qu’ils vont attester vraies(78)et il n’yaura pas un homqui aurait le talent de se voir conférer fonction, autorité etcompétence pour donner l’ordre de service, sinon dire aux gensd’êtr e parfaits d’apprendre à lireles modes d’emploi et d’étudier


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(79) on ne reçoit pas un potentiel et la culture par ordonnance,mais on peut être prudent après avoir été critic (80) et jen’accepte l’authenticité d’un document constitutif que si m’en

sont donnés les concepteur s et le moment de l’écriture etqu’ensuite les utilisateurs lui ajoutent foi en en entérinant lesacceptions dominantes et que si la question se pose de s’y référerattestée par les intéressés (81) on met le trouble às’en abstenir(82) mais l’absence de la référence universelle à quoi sesoumettre de gré ou de force revient (83) à la confiance relativeque je reçois de mes inspirations et de mon héritage reçu de Pier,

Paul ou Jac, de ma nationalité et de l’ordre légal instauré par larecommandation, l’onction, ou les magistrats sans pouvoir endiscriminer un seul et à tout quoi je suis soumis (84) mais àdésirer un autre ordre général, je ne suis pas accepté et je m’y perdrai finalement (85) comment se guider sinon sur la critiqueen situation de ses propres croyances et expérimenter la justessede ses inspirations quand elles viennent com des évidences, onne sait pas où aller quand on se sent en défaut (86) sans rien àdire, personneà l’entendre, inapte et inepte (87) un poids perpétuel et le délaissement(88) sauf qu’on trouve rémission etréforme si on est bon et généreux (89) la dépression alimente ledénigrement sans rémission jusqu’à l’égarement (90) et à lamort, relégué même si on est plein d’or pour s’acheter desremèdes, on souffre douloureusement et on n’y gagne rien (91)la dévotion ne donnera rien tant que le débordement d’amourque je sais moi dispenser (92) toute nourriture est permise au bien-né au netsauf ce qu’il s’interdit lui-même en dehors detoute promulgation de code d’hygiène, et qui peut réciter le codede l’hygiène (93)sinon en inventant des trucs pleins d’er reurs(94) parler sincèrementen récupération de l’homd’initiative quis’investit sans faire le parasite (95) d’abord pour les gens créertrès tôt le théâtre et son double riant(96) où s’illustrentles jeuxclairsde l’initiativeouvre-âme ; entres-y prendre confiance et à


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chacun dans le peuple de faire s’il peut le chemin de cetteodyssée à revers chez soi, riche du cafard de sa duplicité (97) ahà écrire pourquoi se méfier des signes de l’aléa qui se montrent

dans ce qu’on fait (98) ah à écrire pourquoi obstruer le sentierdu sens sincère qu’on désire et qui se montre sans rien omettrede ce qu’on fait (99) la sûreté de soi ne donne pas une écriture partielle qui ramène de la crédulité à la perplexité (100)comment sinon réciter des vers inspirés sous la sangle du géniequi aille droit son chemin (101)la sûreté de soi n’a pas peurd’avoir peur d’être soumise à la mort (102) se sangler ensemble

au câble d’une conviction sans se diviser , se rappeler le bienqu’elle fait, traiter les ennemis d’un cœur doux, en faire par lagénérosité des frères et ainsi rendre évident l’éventualité d’unchemin (103) vers une lhuminité qui invoque le bien,rationnalise les conventions, encadre la réprobation, se rendeheureuse (104) se diviser et diverger après avoir constatél’évidence produit un grand malheur (105) à ce moment les facesdeviennent blanches, les faces deviennent noires quand les facesnoircies sont celles qui reviendraient sur des croyances par goûtdu malheur parce qu’elles sontcritiques (106) tandis que lesfaces blanchies seraient dans le bonheur perpétuel de la bonnegrâce (107) on se récite les signes du bon droit de celui qui neveut faire de tort à personne de deux côtés de la barrière (108)mais la détermination de la vitesse et de la position désimbergeau hasard (109)c’est le bien qui appelle l’humanité chez les gensl’acceptation des règles du contrat, la lutte contre l’exclusion, laconfiance dans l’individu, c’est ce qui est dans les textes, maisla plupart des lettrés ne les interprètent pas bien (110) ça ne fait pas beaucoup de mal qu’ils polémiquent et tournent le dos pourvu qu’ils n’aient pas le dessus (111) ils s’infligent la misèrede la culture tant qu’ils ne se câblent pas sur les gens, lessouffrances de l’exaspération et de la mesquinerie, tout cela parce qu’ils se méfient de la spontanéité, combattent sans raison


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l’innovation, tout cela parce qu’ils sont revêches et hostiles(112) pas tous, certains officiels sont humains et droits, laissents’exprimerleur personnalité nocturne et ils sont polis (113) ils

ont leur sincérité et leur cohérence raisonnable, leurconformisme optimisateur et réformiste (114) mais ils necritiquent pas ce qu’ils fonteu égard à leur dévouement (115)mais famille et travail negarantissent en rien contre l’angoisseet la frénésie perpétuelle (116) ça prend la forme de tous lesinvestissements dans la vie quotidienne qui sont com un champ balayé par le blizzard des torts qu’on se fait à soi-même (117)

ah y croire sans s’occuper de l’entourage en dehors des siensn’épargne pas la confusion, ça fait aimer les soucis, la haine parait dans les bouches et se love pire dans lescœurs alors qu’ily a des éléments évidents pour être raisonnable (118) vous voilàaimer ceux qui ne vous aiment pas, vous êtes entièrement persuadés de votre interprétation et vous les rencontrez pour les persuader alors que par eux-mêmes ils se mordent les doigts derage au point que vous leur dîtes de mourir de rage, mais personne ne connaît le fond descœurs (119) s’affliger du bonheur ou se réjouir du malheurde l’autre est d’uneméchanceté vaine à supporter avec patience et obligeance si onsait faire le tour des choses (120) ceci su et entendu, on se lèvetôt placer ses actifs en ordre de bataille (121) en pensant qu’undes deux partis sera mis en échec sous la loi du hasard, le hasardqui fait bien les choses (122) le hasard fait gagner dans les casles plus désespérésqu’on ne sait pascomment lui dire merci(123) sans se contenter de ne pas avoir à démêler l’interventionde trois mil facteurs (124)certes, la patience et l’application yajoutent l’action de cinq mil facteurs favorables (125) la bonhomie et la simplicité y font, mais arrive ce qui arrive par laforce com par le droit (126) tranche une part de malchance aurevenir déçu (127) on n’y est pour rien qu’on soit indulgent poureux ou qu’on les accuse, ilsont tort (128) dans l’immensité du


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monde, pardon et reproche sont arbitraires, et pardonner c’estcompatir (129) quand on a un projet fiable le temps le mange enmultipliant le multiple de l’intérêt, alors il faut être exact pour

être heureuxen affaires (130) et s’apprêter à la critique (131)obéir à ses impulsions à ses inspirations et éventuellement êtregentil (132) on va vite à l’indulgence d’un sort qui ouvrirait auxconsciencieux un paradis grand com le ciel et la terre (133) às’engager contre vents et marées à encaisser les avanies la bonnefortune aimant les bonnes intentions (134) mais on fait unesaloperie ou on se trompe et on cherche dans le néant comment

effacer ses erreur s et à s’excuser alors qu’il ne faut pas s’obstinerquand on sait ce qu’ona fait (135) mais là, la complaisance estrécompensée par l’organisation dans des jardins d’anharconditioné séjour payé pour les bons agents (136) les âges passent et on parcourt la terre voir la conséquence du mensonge(137) c’est évidemment pour les gens des précédents instructifset une recommandation d’être accommodant (138) sansfaiblesse sans tristesse on est au dessus de tout ça (139) on estcontent avec tout le monde même quand les époques sesuccèdent à prendre parmi les gens leurs témoins et à ne pasaimer leurs errétiques (140) fourbir les bons et faire croupir lesmauvais (141) comment penser qu’on va entrer au paradis parchoix supérieur au vu de ses efforts et de sa patience (142) alorsqu’on souhaitait la mort avant terme on le sait bien (143)l’inspiration vient après beaucoup d’autres, et mort ou combat,on peuts’en détourner, ça ne fait rien, celui qui l’a est gratifié(144) com personne ne meurt de cequ’il ya un moment donnéet que chacun se donneà l’immédiat ou à l’éventuel, existergratifie (145) pour autant que les amis soient nombreuxconstants sur le chemin sans faiblir ni fléchir, la patience est lesecret de l’amour (146) pas toujours à s’excuser ses er reurs etses excès et à prendre posture pour gagner contre les critiques(147)revêtir de beau le présent et l’avenircom on aime le beau


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(148-149) ne pas croire que le scepticisme fait tourner le dos et perdre son assurance, mais on est maître de soi par la meilleuredes victoires sur soi-même (150) on trouve aucœur du mauvais

esprit la terreurde l’imposture stérile qui se réfugie dans lafrénésie qui se condamne à mal faire (151)la promesse s’avèreà ce que permet le contact de la situation, mais on fléchit, onconteste l’ordre ou on se dérobe en vue de lachose aimée, on vitau jour le jour plutôt que d’anticiper , on doit en rabattre, c’estéprouvant, mais on trouve des excuses, tant on trouve avantageà être rassuré (152) quand on vous monte dessus et que vous ne

vous retournez vers personne alors même que vous êtes appelésà autre chose,qu’on vous fait honte de votre honte pour n’être pas triste de ce qui vous arrive et qui vous atteint, sachant bience que vous faîtes (153)le calme vous prend après l’angoissecom un sommeil sur une part de vous-mêmes, tandis qu’uneautre est soucieusede ce qu’elle n’a pas de pensée correcte, maisune pensée ignorante, qui ne sait pas ce qu’il ya à faire quand iln’ya qu’à laisser faire, elle se cache à elle-même et ne laisse rien paraître que si elle y était pour quelque chose, elle ne prendrait pas part à la lutte là, mais même chez soi le destin vous atteintet met à l’épr euve les ressources les plus cachées et révèle lescœurs au plus profond (154) qu’on se détourne au momentcrucial,c’est de la plus grande inconséquence par rapport à cequ’on aff iche mais on se le pardonne avec la plus douceindulgence (155) pleins de foi on bat la campagne à l’attaquemais il reste ce doute qui nous parle d’un monde fraternel où onne meurt pas tué et ça crée un grand vide dans lecœur , vivre etmourir se succèdent on l’observe bien dans ce qu’on fait (156)se battre pour ses idées et mourir pour un but consacré serait unegrâce la meilleure à recueillir (157) tuer et mourir en masse (158)alors en fait de grâce sois doux uncœur rude ferait le vide autourde toi, sois indulgent et compréhensif, discute avec eux del’affaire avant de te décider et d’engager ton destin car


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l’engagement est amour (159) convaincus de n’être jamaisvaincus, si on vous prend qui vous convaincra après, carl’engagement doit être sincère(160)ce n’est pas parce qu’on est

génial qu’on doit s’approprier la plus-value, tout ce qu’ons’approprie rentre dans la comptabilité générale où chacun justifie ses gains sans qu’aucun soit lésé (161) est-ce querechercher la satisfaction générale est com susciter la colère sousla protection de la répression et son cours détestable (162) lesaristocrates on voit qu’ils se fourvoient (163) certes la diffusiondes talents confèrent des caractéristiques de distinction,

d’instruction et d’autorité parmi ce qui était auparavant dans uneconfusion évidente (164) mais qu’un malheur s’abatte sansqu’on sachecomment, faut-il s’en prendre à soi-même, quandtout peut arriver ? (165) le momentde l’alternative est frappéd’indécision absolue où on ne sait que par crédulité (166) etl’ambigüité de dires’engager par conviction dans le combatoffensif en suivant un programme clair, mais le moment venu,la bouche ne disant pas ce que recèle lecœur, on sait qu’on doitle critiquer plutôt que lui donner foi (167) on peut essayer decommander l’arrêt du combat par fraternité et de cesser la tueriecom si sincèrement la mort dépendait de soi-même (168) etraconter que les tués au combat ne sont pas morts, mais vivants par la gloire de leur chef (169) heureux et privilégiés donnantune image qui oblitère pour ceux derrière eux la peur et latristesse de mourir (170) ils donnent une image de gratification personnelle et de privilège de quelqu’un qui n’a pas laissé perdrela récompense d’enavoir voulu (171) d’avoir répondu auxappels des commis à la surnatureet s’ils sont f rappés d’une blessure d’avoir fait deleur mieuxet de jouir d’une granderécompense (172) de s’y être cru d’autant plus que les gensleurdisaient de faire attention que les gens s’assemblaient à caused’eux qui se disent marqués à la bonne agence (173) ça leurconfère un avantage et un privilège extraordinairede n’être plus


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touché par la misère et de poursuivre l’assouvissement du désir,d’un désir de grand privilège (174)mais vous avez seulement lacontrariété dont les métastases vous font peur alors qu’il ne faut

pas en avoir peur mais avoir peurde moi s’il s’agit de votrecrédulité (175) ne t’attriste pas s’ils te font rapidement coffrer,ça ne te fera jamais de mal,c’est que ça n’aura pas de part pourla suite, mais ils sont très pénibles (176) être mis en boîte au prixde son assurance, ça ne fait pas de mal au moral,mais c’estquand même douloureux (177) le temps qu’ouvrel’enfermement n’est pas un bien en soi, il peut exacerber un

délire, ce qui est une épreuve avilissante (178) on ne peut pascontinuer à croire aux valeurs que vous avez du bien et du mal,mais on ne peut pas non plus vous expliciter le mystère sinonselon des inspirations aléatoires auxquelles se fier si on veut biencroire en retirer un grand profit (179) mais être chiche quant àl'avantage que donne un don n'est pas bon, c'est mauvais, c'estfinalement se mettre la corde au cou, la terre et les cieux sontl'héritage du hasard et c'est lui qui informe les agissements (180)on comprend dire que l'individu est misérable et que la richesseest une réalisation collective, ça ne donne pas droit à tuer lesalarmistes qui crient au feu (181) à cause de ce qui a été fait carla conscience n'est pas un défaut si elle est déférente (182) on ditque le pacte social est ainsi fait de ne valoir qu'au sacrifice dansl'épreuve du feu c'est com ça qu'on tue depuis toujours ce quimanifeste l'évidence de la sincérité (183) les menteurs traitent demensonge tout ce qui a pu advenir de plus clair dans la poésie etde lumière dans la littérature (184) chaque souffle exhale la mortet ne trouve sa rétribution que dans l'existence même du momentoù s'écarte l'angoisse et où s'introduit la jouissance triomphantecar la vie n'a que l'immédiateté de l'illusion (185) qui affecte biens et personnes et donne beaucoup de mal à en décrire d'oùelle vient et à quoi elle rime même avec patience et application,si c'est ça l'ordre des choses (186) un pacte de ceux qui ont le


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don de savoir écrire qu'ils doivent expliquer aux gens sans rienen cacher mais qu'ils fourrent derrière leur dos pour en tirer vil prix, affreux commerce (187) dont on ne peut compter jouir de

ce qu'il rapporte et être aimé être loué pour ce qu'on n'a pas fait,on ne peut compter gagner que du malheur et de la douleur (188)nul n'est propriétaire des cieux et de la terre, nul n'est capable detout à la fois (189) pourquoi y a-t-il les cieux et la terre et quelquechose plutôt que rien, ça fait travailler les cervelles (190)question qu'on peut aborder debout assis ou couché d'autant plusobsédante qu'elle fait se douter de la vanité de la gloire qui

domine l'existence et nous en épargne la cuisante douleur (191)l'ordre du monde nous plonge dans le feu et nous en fait ressortir,sans aide pour nos erreurs (192) l'ordre du monde nous faitentendre des appels à la foi, à la confiance et au crédit et nousnous y fions en priant de pardonner nos défauts et de ne pasexaminer nos mauvaisetés en nous prenant pour des innocents(193) de remplir nos espoirs et de ne pas nous accabler de jugement définitif ou de remettre les choses à plus tard (194) laréponse est que l'ordre est de ne rien laisser perdre du travail dequiconque hom ou femme des uns au profit de quelques autreset que s'exiler, être banni, proscrit, persécuté dans sesconvictions, tuer et être tué, j’en découvrirai les mauvaisetés pour entrer dans les jardins climatisés de mes fantasmes, car la personne vit du meilleur des fantasmes (195)qu’il ne se perde pas dans les contestations révolutionnaires du pays (196)friandes d'améliorations provisoires qui sombrent dans larépression, des feux de paille (197) mais les tenants de l'ordre seretrouvent toujours et encor sur les champs élysées aux ondes policées, s'ils ont eu la bonne inspiration, celle des innocents quiont les mains pleines (198) savoir prescrire la valeur à créditer par soi com par les autres en tenant compte des variables personnelles et en payant l'information le prix qu'il faut, c'estl'assurance d'une rétribution fondée sur l'ordre, le compte est vite


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fait (199) la finance c'est avoir le temps et prendre le temps etfaire le lien entre les éventualités de satisfaction de chacun (200)


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4. L'en-deçà

Par l ’en- deçà, elle l’a ramené l’être humaine

Vous êtes des homs en ce que vous êtes soigneux de votreouvrage qui vous crée à partir d’une unicité pneumatique en unedualité qui informe dans leur multiplicité homs et femmes, et prenez soin de votre idée, que vous la questionniez, et desmatrices, que vous soyez en contrôle de vous-même (1) toutenfant a ses droits, ne pas confondre malheur et faute et nier sarichesse propre, ce qui est une spoliation extrême (2) quelle peurde partager avec les abandonnés alors que vous faîtes tous lesmariages que vous pouvez vous permettre avec des à-côtés au plus près d’enavoir trop (3) chacun apporte sa contribution etl’autre n’en consomme que ce qu’on lui en laisse de bon cœur etsans problème(4) il ne s’agit pas dedonner ses biens légitimesmais d’assurer aux incapables gîte et couvert décent (5) et

l’éducation des abandonnés jusqu’à leur majorité etl’encouragement deleur s talents dont n’a pas besoin le riche etdont profite convenablement le pauvre, des contributionsdéclarées officiellement avec tenue d’une comptabilitésuffisante du système (6) une part légale de ce que laissent les parents obligatoirement égale va à chaque enfant hom comfemme (7) ainsi le partage doit inclure convenablement

l’entretien des abandonnés et des miséreux (8) de crainte delaisser une génération affaiblie, la raison commande unesolution pertinente (9) car dénier les droits des abandonnés estune injustice qui entretient l’instabilitéqui ronge vite le fondmême du système (10) la recommandation est donc que pour cequi concerne les enfants qui ont la part mâle double,l’État ait la part femelle soit le tiers, une fois disposé de la quotité laquelleest le rapport inverse du nombre d’enfants augmenté de un(11)


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et s’il n’ya pas d’enfants le conjoint survivanta part du nondisposéégale avec l’État (12) Tel peut être un ordre rationneldont l’observation maintienne des flux harmonieux et stables, à

défaut de quoi continuent les ennuis et les conflits (13-14) quantaux femmes les croire siennes quand on fait témoigner contreleur s actes d’amour et qu’on les cloître à vie chez elles c’est uneabomination dont leur liberté ouvre le chemin de sortir (15)l’accouplement des amants est une rémission et une exemption par la jouissance compatissante et généreuse(16) il n’ya pardonque du mal fait sans le savoir et regretté peu après ça on le

pardonne naturellementsachant ce qu’autorise la nature (17)mais il n’ya pas de pardon pour ceux qui font le mal jusque faceà la mortil dit je me repens maintenant et ceux qui meurent n’ont pas de doutes que nous leur préparions un châtiment douloureux(18) pas de crédit aux escrocs, aux accapareurs, mais même aux pervers, il faut tenir un discours convenable, et leur apprendre lavie sociale, peut-être à contreceur, mais ça donne très bonneconscience (19) changer de partenaire ne permet de rienreprendre de ce qu’ona donné, ce serait évidemment un délitstupéfiant (20) comment reprendre ce qui a été convenu et qui aété pris par un accord profond (21) on ne se marie pas pour ses parents, ce serait faire une tradition de la prostitution et dumauvais chemin (22) pères et mères, frères etsœurs, oncles ettantes, cousins et cousines, gendres et brus sont les positionsconsacrées par l’exclusivité matrimoniale (23)la chasteté estqu’il n’y a pas prise de possession du partenaire, c’est une prescription de l’amour, on peut poursuivre un désir, y consacrerses richesses sans prostituer, car si la jouissance oblige àgratifier, il n’ya pas de mal à le négocier à la satisfactionmutuelle en sage connaissance de cause (24) il ne peut pas yavoir de mariage sans confiance chaste, ça serait un esclavagearr angé en famille sous la convention que ce n’est pas une prostitutionalors que c’est un régime pénal qui sanctionne


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impitoyablement les actes d’amour (25) je veux clarifier lesusages antérieurs et leur pardonner autant que le permet une sagecompréhension (26) je veux leur pardonner pour que les

passions suivent tout leur penchant (27) alléger la faiblesseconceptive de l’humain (28) il est vain de consommer sesressources sans négocier l’accord mutuel en se tuant les uns lesautres, soyons gentils (29) l’hostilité et l’injustice font desravages facilement (30) éviter les énormités s’épargner lesmauvaisetés c’est le portail de la dignité (31) la distributionarbitraire d’avantages n’est pas souhaitable, chacun,hom com

femme, a ses profits, grâce à ses talents dont il est doué par lehasard (32) tout le monde est fait de ce que lui laissent ses parents et son milieu, ce qui montre la participation au pactesocial (33) les homs font des femmes une valeur qui mesure leursfaveurs mutuelles dans la circulation des richesses, des bonnesobéissantes à escamoter le mystère de l’amour dans la peur , laviolence conjugale, le moralisme, la misère sexuelle, et où onrecherche l’obéissance par le plus grand des caprices (34)la peurdivise les époux sous l’arbitrage des famil

l'il lisible (aptation du coran)

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