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Lettre d’information financière Trouver son second souffle # 239 JUILLET À SEPTEMBRE 2017 ACTUALITÉS ASSURANCES Diversification au sein d’un contrat d’assurances : quelles sont les différentes options possibles ? UN MOIS SUR LES MARCHÉS Retour en faveur de la zone euro INTERVIEW Les villes durables, aux avant- postes de la lutte contre le changement climatique En bref Comité de rédaction : Julie Badaoui (Responsable Marketing) – Caroline Bernard (Gestionnaire de portefeuille sous mandat) – Guy-Pierre de Kersaint (Directeur Assurances) – Emmanuel Etevenon (Ingénieur Financier) – Thuy-Tien Gluck (Business Development) – Sébastien Soubise (Gestionnaire de portefeuille sous mandat) – Jean-Michel Starck (Directeur de l’Offre) Stratégies et marchés La dynamique de confiance actuellement en vigueur sur les marchés reste puissante. Sa pérennité dépendra de la capacité des entreprises à matérialiser dans leurs résultats l’embellie économique attendue. Les marchés sont globalement portés par un vent d’optimisme depuis le début de l’année, qui a été mis à l’épreuve de façon passagère en mai en raison de risques politiques en provenance des Etats-Unis, du Brésil et du Royaume- Uni. Néanmoins, nous pensons que les fondamentaux économiques globaux sont suffisamment robustes pour ne pas rendre les marchés vulnérables à ces risques imprévisibles, dont certains sont temporaires et d’autres sous contrôle. Malgré les aléas politiques et le bruit de court terme, il est important de garder en vue la trajectoire des profits des entreprises, qui est actuellement favorable. Notre scénario central de 1/ synchronisation globale de la croissance, 2/ progression des bénéfices et 3/ faiblesse du dollar reste inchangé. Il correspond à un environnement positif pour les actifs risqués, qui gardent nos faveurs. Ce scénario est conforté par les révisions à la hausse des prévisions de résultats des entreprises par les analystes, avec des variations spectaculaires en Europe et dans les pays émergents. Le momentum est particulièrement fort sur l’Europe, marché encore sous- détenu par les grands investisseurs internationaux et sur lequel le risque politique a diminué significativement à la suite des élections françaises. Aux Etats-Unis, le marché marque une pause alors que le gouvernement rencontre des difficultés pour mettre en place ses réformes fiscales. Mais les bilans des entreprises sont sains et la consommation robuste, ce qui devrait continuer à soutenir le cycle des fusions- acquisitions. Nos économistes prévoient une croissance économique positive pour l’intégralité des pays que nous couvrons. La croissance mondiale est attendue à 2,7% en 2017 et 2,8% en 2018. Les pays développés devraient afficher une croissance de 1,9% sur cette période, alors que les pays émergents devraient progresser de 4,4% en 2017 et 4,8% en 2018. Dans les pays émergents, la combinaison de 1/ matières premières stabilisées, 2/ d’une Fed peu agressive dans ses remontées de taux, 3/ d’un dollar plus faible et 4/ de réformes structurelles, devrait favoriser la progression des actifs. En Chine, l’agence Moody’s a dégradé la note de crédit du pays à A1, mais avec une perspective stable. Le gouvernement chinois a pris en compte la nécessité de mieux maîtriser le cycle de crédit pour éviter la formation ou l’éclatement de bulles. Cela passe par la mise en place de mesures spécifiques et graduelles, à la fois réglementaires, de disponibilité du crédit ou encore de taux d’intérêt. Ces mesures de long terme sont de nature à rassurer les marchés, sans pour autant provoquer un impact négatif fort sur la croissance, qui devrait atteindre 6,7% en rythme annuel pour les prochains 18 mois. La volonté de renforcer la stabilité interne du pays peut être interprétée comme un préalable à l’internationalisation progressive du marché chinois. En effet, la société spécialiste en indices boursiers MSCI a annoncé son intention d’inclure des actions chinoises de catégorie A dans certains de ses indices à partir de la mi- 2018 – une étape clé vers l'ouverture du marché actions chinois aux investissements étrangers. Sur le front des obligations, l’environnement de taux bas dans les économies développées reste de mise. L’inflation demeure modeste malgré la reprise économique, ce qui permet aux banques centrales de garder leur politique monétaire accommodante ou de pratiquer un resserrement très progressif. Nous attendons deux hausses de taux supplémentaires de la Fed en 2017. Néanmoins, nous maintenons notre vue baissière sur les rendements des obligations du trésor américain, qui devraient repasser sous les 2% d’ici à la fin d’année. Ce niveau de taux reflète selon nous les obstacles structurels forts auxquels l’économie américaine fait face : un niveau d’endettement élevé, une faible croissance de la productivité et une population vieillissante. En Europe, l’amélioration des données économiques augmente la probabilité de voir la Banque centrale européenne réduire son programme d’assouplissement monétaire. Éditorial Plus que jamais HSBC Private Banking se positionne au plus près des besoins des entrepreneurs en France et partout dans le monde. Notre nouvelle étude « Essence of Enterprise » vient de paraître. Cette étude menée auprès de 4 000 entrepreneurs dans 11 pays révèlent les nouvelles tendances de l’entreprenariat. Ce rapport vient enrichir et conforter notre vision du marché pour toujours mieux accompagner nos clients. En France, plus de 250 entrepreneurs ont répondu à cette enquête pour nous faire part de leurs engagements et de leurs motivations. Les résultats confirment la dynamique de croissance observée depuis ces derniers trimestres notamment dans le secteur des nouvelles technologies avec l’émergence d’une nouvelle génération d’entrepreneurs. Les dirigeants / actionnaires à la tête d’entreprises en hyper-croissance, par exemple, sont de plus en plus jeunes et concernés par les enjeux de société. Reconnaissance, impact sur l’économie, approche collaborative, autant de valeurs partagées par nos clients et la nouvelle génération Y (millénials). Nous aurons l’occasion de revenir sur les initiatives menées par HSBC pour répondre à ces nouvelles aspirations. En attendant, je vous invite à prendre connaissance de cette étude et à rencontrer nos équipes spécialisées dans la gestion du patrimoine du chef d’entreprise. Nos experts HSBC Private Banking aux côtés des équipes Corporate de HSBC France sont à votre disposition pour vous apporter des solutions sur-mesure et innovantes en France et à l’international pour la valorisation de vos actifs professionnels ou privés. Conseil en cession d’entreprise, financement immobilier, pacte d’actionnaires, transmissions, crédits patrimoniaux, investissements responsables : n’hésitez pas à contacter votre Banquier Privé(e) pour lui demander conseil et pour rencontrer nos experts en ingénierie patrimoniale, crédit ou gestion financière. Nous vous souhaitons une bonne lecture ainsi qu'un très bel été. François Essertel Directeur de HSBC Private Banking, HSBC France ETUDE 2017 « ESSENCE OF ENTERPRISE » Quelles sont les motivations des entrepreneurs qui ont réussi ? Pourquoi ont-ils décidé de devenir chefs d’entreprise ? Comment assurent-ils la croissance de leurs entreprises ? Retrouvez le rapport HSBC Private Banking « Essence of Enterprise » sur www.hsbcprivatebankfrance.com

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Lettre d’information financière

Trouver son second souffle

# 239 JUILLET À SEPTEMBRE 2017

ACTUALITÉS ASSURANCES

Diversification au sein d’un contrat d’assurances : quelles sont les différentes options possibles ?

UN MOIS SUR LES MARCHÉS

Retour en faveur de la zone euro

INTERVIEW

Les villes durables, aux avant-postes de la lutte contre le changement climatique

En bref

Comité de rédaction : Julie Badaoui (Responsable Marketing) – Caroline Bernard (Gestionnaire de portefeuille sous mandat) – Guy-Pierre de Kersaint (Directeur Assurances) – Emmanuel Etevenon (Ingénieur Financier) – Thuy-Tien Gluck (Business Development) – Sébastien Soubise (Gestionnaire de portefeuille sous mandat) – Jean-Michel Starck (Directeur de l’Offre)

Stratégies et marchés

La dynamique de confiance actuellement en vigueur sur les marchés reste puissante. Sa pérennité dépendra de la capacité des entreprises à matérialiser dans leurs résultats l’embellie économique attendue.

Les marchés sont globalement portés par un vent d’optimisme depuis le début de l’année, qui a été mis à l’épreuve de façon passagère en mai en raison de risques politiques en provenance des Etats-Unis, du Brésil et du Royaume-Uni. Néanmoins, nous pensons que les fondamentaux économiques globaux sont suffisamment robustes pour ne pas rendre les marchés vulnérables à ces risques imprévisibles, dont certains sont temporaires et d’autres sous contrôle. Malgré les aléas politiques et le bruit de court terme, il est important de garder en vue la trajectoire des profits des entreprises, qui est actuellement favorable.

Notre scénario central de 1/ synchronisation globale de la croissance,2/ progression des bénéfices et 3/ faiblesse du dollar reste inchangé. Il correspond à un environnement positif pour les actifs risqués, qui gardent nos faveurs. Ce scénario est conforté par les révisions à la hausse des prévisions de résultats des entreprises par les analystes, avec des variations spectaculaires en Europe et dans les pays émergents. Le momentum est particulièrement fort sur l’Europe, marché encore sous-détenu par les grands investisseurs internationaux et sur lequel le risque politique a diminué significativement à la

suite des élections françaises. Aux Etats-Unis, le marché marque une pause alors que le gouvernement rencontre des difficultés pour mettre en place ses réformes fiscales. Mais les bilans des entreprises sont sains et la consommation robuste, ce qui devrait continuer à soutenir le cycle des fusions-acquisitions.Nos économistes prévoient une croissance économique positive pour l’intégralité des pays que nous couvrons. La croissance mondiale est attendue à 2,7% en 2017 et 2,8% en 2018. Les pays développés devraient afficher une croissance de 1,9% sur cette période, alors que les pays émergents devraient progresser de 4,4% en 2017 et 4,8% en 2018.

Dans les pays émergents, la combinaison de 1/ matières premières stabilisées,2/ d’une Fed peu agressive dans sesremontées de taux,3/ d’un dollar plus faible et 4/ de réformes structurelles, devrait favoriser la progression des actifs.En Chine, l’agence Moody’s a dégradé la note de crédit du pays à A1, mais avec une perspective stable. Le gouvernement chinois a pris en compte la nécessité de mieux maîtriser le cycle de crédit pour éviter la formation ou l’éclatement de bulles. Cela passe par la mise en place de mesures spécifiques et graduelles, à

la fois réglementaires, de disponibilité du crédit ou encore de taux d’intérêt. Ces mesures de long terme sont de nature à rassurer les marchés, sans pour autant provoquer un impact négatif fort sur la croissance, qui devrait atteindre 6,7% en rythme annuel pour les prochains 18 mois. La volonté de renforcer la stabilité interne du pays peut être interprétée comme un préalable à l’internationalisation progressive du marché chinois. En effet, la société spécialiste en indices boursiers MSCI a annoncé son intention d’inclure des actions chinoises de catégorie A dans certains de ses indices à partir de la mi-2018 – une étape clé vers l'ouverture du marché actions chinois aux investissements étrangers.

Sur le front des obligations, l’environnement de taux bas dans les économies développées reste de mise. L’inflation demeure modeste malgré la reprise économique, ce qui permet aux banques centrales de garder leur politique monétaire accommodante ou de pratiquer un resserrement très progressif. Nous attendons deux hausses de taux supplémentaires de la Fed en 2017. Néanmoins, nous maintenons notre vue baissière sur les rendements des obligations du trésor américain, qui devraient repasser sous les 2% d’ici à la fin d’année. Ce niveau de taux reflète selon nous les obstacles structurels forts auxquels l’économie américaine fait face : un niveau d’endettement élevé, une faible croissance de la productivité et une population vieillissante.

En Europe, l’amélioration des données économiques augmente la probabilité de voir la Banque centrale européenne réduire son programme d’assouplissement monétaire.

Éditorial

Plus que jamais HSBC Private Banking se positionne au plus près des besoins des entrepreneurs en France et partout dans le monde.

Notre nouvelle étude «  Essence of Enterprise » vient de paraître.

Cette étude menée auprès de 4  000 entrepreneurs dans 11 pays révèlent les nouvelles tendances de l’entreprenariat. Ce rapport vient enrichir et conforter notre vision du marché pour toujours mieux accompagner nos clients.

En France, plus de 250 entrepreneurs ont répondu à cette enquête pour nous faire part de leurs engagements et de leurs motivations.

Les résultats confirment la dynamique de croissance observée depuis ces derniers trimestres notamment dans le secteur des nouvelles technologies avec l’émergence d’une nouvelle génération d’entrepreneurs.

Les dirigeants / actionnaires à la tête d’entreprises en hyper-croissance, par exemple, sont de plus en plus jeunes et concernés par les enjeux de société. Reconnaissance, impact sur l’économie, approche collaborative, autant de valeurs partagées par nos clients et la nouvelle génération Y (millénials).

Nous aurons l’occasion de revenir sur les initiatives menées par HSBC pour répondre à ces nouvelles aspirations.

En attendant, je vous invite à prendre connaissance de cette étude et à rencontrer nos équipes spécialisées dans la gestion du patrimoine du chef d’entreprise.

Nos experts HSBC Private Banking aux côtés des équipes Corporate de HSBC France sont à votre disposition pour vous apporter des solutions sur-mesure et innovantes en France et à l’international pour la valorisation de vos actifs professionnels ou privés. Conseil en cession d’entreprise, financement immobilier, pacte d’actionnaires, transmissions, crédits patrimoniaux, investissements responsables : n’hésitez pas à contacter votre Banquier Privé(e) pour lui demander conseil et pour rencontrer nos experts en ingénierie patrimoniale, crédit ou gestion financière.Nous vous souhaitons une bonne lecture ainsi qu'un très bel été.

François Essertel Directeur de HSBC Private Banking, HSBC France

ETUDE 2017 « ESSENCE OF ENTERPRISE »

Quelles sont les motivations des entrepreneurs qui ont réussi ? Pourquoi ont-ils décidé de devenir chefs d’entreprise ?

Comment assurent-ils la croissance de leurs entreprises ?

Retrouvez le rapport HSBC Private Banking « Essence of Enterprise » sur www.hsbcprivatebankfrance.com

Page 2: Lettre d’information financière · opérations d’investissements ou de désinvestissements sur les unités de compte en intervenant directement sur les marchés financiers. Ainsi,

Les détenteurs de contrat d’assurance doivent s’attendre à ce que l’actif général ne soit plus aussi performant qu’avant. Ils vont devoir orienter leur épargne vers les unités de compte pour doper le rendement de leur contrat.

Avec le niveau des taux d’intérêt très bas, il sera de plus en difficile de trouver dans un placement en actif général l’alliance de la sécurité et de la performance.

(cf. schéma ci-dessous)Dans ce contexte, les épargnants doivent rechercher des solutions en fonction des perspectives des marchés financiers et des possibilités offertes par les contrats d’assurance de diversifier les supports d’investissement selon l’allocation rendement/risque souhaitée.

Quels sont les différents modes de gestion disponibles dans un contrat d’assurance ?

Lors de la mise en place d’un contrat d’assurance, le souscripteur a le choix entre différentes options de gestion :

La gestion libre Dans le cadre de cette gestion, le client est libre d’arbitrer et de sélectionner les supports de gestion ; les conditions d’arbitrage d’un support vers un autre, se font dans un délai de 24 à 48 heures à réception de la demande.

Selon les contrats, le choix d’OPCVM est plus ou moins varié. Les supports d’investissement sont nombreux – fonds actions, fonds obligataires, produits structurés, lignes directes… – et permettent à chaque client de choisir le type et l’orientation de gestion selon ses objectifs et son profil de risque : du plus sécuritaire au plus risqué. Selon les variations des marchés

financiers, il pourra réallouer son capital d’un support à l’autre, et cela, sans fiscalité.

Les arbitrages au sein des contrats étant moins souples qu’au sein d’un compte titres, de nombreux clients en gestion libre choisissent des supports d’investissements avec un horizon de détention long. C’est notamment le cas des fonds profilés sélectionnés en accord avec le profil de risque du souscripteur et des fonds flexibles dont la gestion s'adapte aux opportunités de marché. Dans certains contrats, les produits structurés permettent également de viser des rendements attractifs avec une protection du capital à l’échéance.

La gestion sous mandat

Avec cette option de gestion, le client décide de confier la gestion de tout ou partie de son contrat à un gérant dédié ; cela se traduit par la signature d’un mandat de gestion.

Le souscripteur choisit dans ce cadre un profil de risque en fonction de son horizon et de son aversion au risque. Il bénéficie d'une gestion de portefeuille active et dédiée qui lui permet de suivre en toute transparence ses investissements.

Cette offre est disponible, selon les contrats, à partir de 500 000 euros soit au travers de contrat français soit de contrat luxembourgeois.

L’offre de gestion sous mandat de la banque privée a été récemment enrichie.

Nos profils diversifiés se construisent maintenant autour d’une allocation stratégique optimisée.

Nous nous sommes organisés pour intégrer de manière efficace des lignes en directes pour les actions, sur la zone Euro ou de manière internationale.

Dans ce contexte, nous pouvons aussi proposer

des gestions pures en actions et obligations dans les pays développés et sur les émergents.

Enfin, notre nouvelle offre maximise la transparence sur les frais en étant construite pour minimiser les frais liés aux OPC.

La gestion libre conseillée

Dans cette option, le souscripteur bénéficie d’un conseil proactif et personnalisé sur son contrat et dispose d’une liberté totale quant à l’acceptation du conseil qui lui est adressé.

Il conserve ainsi son libre arbitre et la maîtrise totale du niveau de risque inhérent à la gestion de son contrat.

Le conseiller propose à son client des arbitrages et recueille par téléphone son accord sur l’opération proposée.

Dans le cas où le conseil est accepté par le client, le conseiller réalise les opérations d’investissements ou de désinvestissements sur les unités de compte en intervenant directement sur les marchés financiers.

Ainsi, au travers de cette option de gestion, le client dispose régulièrement des analyses et commentaires sur les marchés financiers, et d’un mode de gestion financière souple lui donnant accès à un large univers de gestion et offrant une grande réactivité dans le passage des ordres.

Disponible à partir de 1 million d’euros, cette option pour la gestion libre conseillée peut être choisie à la souscription ou à une date ultérieure uniquement au sein de certains contrats français.

Les Banquiers Privés de HSBC Private Banking et les Gérants Conseils se tiennent à votre disposition pour répondre à vos questions, vous présenter les supports d’investissements adaptés et vous apporter les conseils répondant à vos objectifs, votre situation financière et votre profil investisseur.

Guy-Pierre de Kersaint, Directeur des Assurances HSBC Private Banking, HSBC France

Actualités assurances

Diversification au sein d’un contrat d’assurances : quelles sont les différentes options possibles ?

CONFIDENTIEL / RESTRICTED

Baisse certaine de la performance du Fonds GénéralAnalyse

(1) Performances moyennes nettes des rendements du Fonds Général des compagnies françaises ; OAT au 03/03/2017Source : Bloomberg, HSBC Private Bank

Evolution du rendement des fonds généraux des compagnies d’assurance en France depuis 2002 en comparaison à l’OAT 10 ans (1)

Informations données à titre indicatif. Ces simulations n’ont aucune valeur contractuelle et ne sauraient engager la responsabilité de la banque.

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Rendement Fonds Général OAT 10 ans

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4,8%

4,5% 4,4% 4,3%4,1%

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3,4%

3,0%

2,9% 2,8%2,5%

2,3%1,9%

1,65%

(1) Performances moyennes nettes des rendements du Fonds Général des compagnies françaises. Estrimation du rendement au 30/06/2017

OAT au 30/06/2017

Source : Bloomberg, HSBC Private BankingInformations données à titre indicatif. Ces simulations n’ont aucune valeur contractuelle et ne sauraient engager la responsabilité de la banque.

01.08 24.09T3 13.07 28.07

Agenda

Etats-Unis

Indicateurs Date Précédent Attendu

Réserve Fédérale T3 1,25% +

Lors du comité de juin, la Fed a relevé son taux directeur de 0,25% pour le porter dans la fourchette 1%-1,25%. Elle a aussi annoncé qu'elle entamerait prochainement une diminution de son bilan. Cela correspond donc à une reprise de liquidités, soit l'inverse du quantitative easing. Elle a pris toutes ses précautions en indiquant un processus graduel débutant par 10 milliards de retraits par mois. Cela la conduira vraisemblablement à ralentir parallèlement son rythme de hausse du taux directeur afin d'éviter tout choc sur les marchés obligataires.

PIB (var. trimestrielle annualisée) T2

28.07 1,20% +

Le PIB du T1 avait été relativement faible en raison principalement de facteurs techniques transitoires. Celui du T2 devrait donc être supérieur et plus conforme au potentiel de l'économie américaine évaluée entre 2% et 2,5%. En l'absence de mesures fortes de soutien conjoncturel, il n'existe pas de raison à ce stade d'observer une accélération de l'économie américaine.

Europe

Indicateurs Date Précédent Attendu

Allemagne : élections législatives fédérales 24.09 - 1,0% +

Ces élections permettant de choisir les 630 députés du Bundestag s'apparentent de plus en plus à un référendum sur la politique menée par la chancelière Angela Merkel. Si les aspects économiques constitueront un sujet majeur, le rôle des institutions européennes et les objectifs communs des pays membres feront aussi partie du débat. L'enjeu porte sur une meilleure répartition des « bénéfices » de la croissance et une redéfinition des objectifs de croissance, d'inflation et de déficits publics.

Zone euro : PIB (var. trim.)T2

01.08 0,60% =

Le PIB en zone euro devrait croître à nouveau sur un rythme relativement soutenu (>2% annualisé). Les indicateurs avancés ont globalement progressé au T2, traduisant une phase d'expansion économique en zone euro. Celle-ci devrait se poursuivre en raison du gisement de consommation dégagé par l'amélioration de l'emploi ainsi qu'un besoin d'investissement des entreprises.

BRIC

Indicateur Date Précédent Attendu

Chine : exportations (glt. an.)Juin

13.07 8,7 +

L'économie chinoise a récemment accéléré, marquant la fin du ralentissement de la croissance observé depuis 2010. Ce rebond lié aux mesures de soutien précédemment prises continuera d'être alimenté par une meilleure compétitivité chinoise à l'export. La baisse du Renminbi a en effet permis aux entreprises chinoises de gagner à nouveau des parts de marché.

Page 3: Lettre d’information financière · opérations d’investissements ou de désinvestissements sur les unités de compte en intervenant directement sur les marchés financiers. Ainsi,

Solutions d’investissementNos convictions sur la classe d’actifs « actions »Thématique infrastructures : de nombreux pays ont annoncé des programmes massifs d’investissement en infrastructures. Le contexte de taux constitue par ailleurs un soutien à ces projets qui offrent des rendements élevés et une bonne visibilité sur le long terme. Les investisseurs institutionnels sont à la recherche de ce type de placement ce qui fournit un socle important au secteur.

Support privilégié

Morgan Stanley IF Global Infrastructure

Thématique Value : après la hausse des marchés intervenue ces derniers mois, il nous semble important de renforcer le biais « value » dans nos portefeuilles et d’orienter les portefeuilles vers les actions ayant des valorisations raisonnables et un

potentiel de hausse qui reste significatif.

Support privilégié

Blackrock European Value Fund

Thématique Large Cap US : nos analystes prévoient une poursuite de la baisse du dollar qui devrait bénéficier aux entreprises exportatrices américaines. Nous avons donc recentré notre exposition sur les grosses valeurs exportatrices.

Support privilégié

Robeco US Large Cap Equity

Nos convictions sur la classe d’actifs « obligataire »Dette américaine à haut rendement : avec un nombre de défauts qui devrait rester stable voire baisser et des taux que nous voyons orientés à la baisse, le high yield américain nous semble toujours offrir un rapport rendement sur risque

attractif. Nous investissons sur la part couverte contre le risque de change pour que la performance ne soit pas grevée par une éventuelle baisse du dollar.

Support privilégié

AXA World Funds US High Yield Bonds A Cap Eur Hedged

Dette émergente : au sein du monde émergent, il est possible de trouver des pays et des sociétés qui offrent des niveaux de spreads encore attractifs et des perspectives intéressantes. Le fonds Total Return est un bon moyen d’investir de manière discriminée sur cette classe d’actifs en bénéficiant d’une exposition non contrainte et flexible.

Support privilégié

HSBC GEM Debt TR

Lors de ce premier semestre, l’ensemble des marchés financiers a progressé, porté par un environnement macro-économique favorable (reprise économique mondiale synchrone, maintien de politiques monétaires accommodantes, inflation modérée), et ce malgré l’incertitude politique. Ce contexte devrait perdurer, alors même qu’en Europe les résultats des élections françaises ont indiscutablement rassuré les investisseurs et qu’aux Etats-Unis, l’action de la Fed sera progressive. La poursuite du Quantative Easing en Europe et au Japon devrait compenser toutes opérations de réduction de la taille du bilan de la Fed.

Ceci est favorable à l’investissement en actifs risqués et notamment actions. Nous maintenons notre vue positive sur les marchés américains et asiatiques et arbitrons nos positions sur le UK au profit de la zone euro. En effet les perspectives économiques et le potentiel de surprises positives y sont supérieurs (la croissance au Royaume-Uni est pénalisée par l’incertitude politique quant à la mise en place du Brexit) ; et les actions, notamment françaises et allemandes, profitent, parallèlement, d’une meilleure dynamique des profits et du retour de l’attrait des investisseurs internationaux.

Aux Etats-Unis, les marchés financiers continueront, malgré leur valorisation élevée, d’être portés par le dynamisme des résultats des entreprises et les opérations de fusion-acquisition.

Ce sont toutefois les actions émergentes qui nous semblent recueillir le plus d’arguments. Les valorisations sont plus basses. Les profits sont revus à la hausse à partir d’une base déprimée, ce qui constitue une dynamique boursière très favorable. Par ailleurs, les surprises positives sur la macro-économie s’accumulent, notamment en Chine. Enfin, la décision de MSCI d’intégrer 222 actions A chinoises dans l’indice MSCI émergent est positive pour ce marché.

L’environnement économique reste défavorable aux marchés obligataires et les niveaux de prime de risque sont à des points bas historiques.

Aussi, nous conservons notre sous-pondération sur les emprunts d’Etats des pays développés, qui restent à notre sens surévalués. Néanmoins la dette émergente (en dollar et en devises locales) et le high yield sont toujours intéressants. Les investisseurs continuent d'être attirés par des niveaux élevés de rendement dans les pays émergents. En outre, certaines économies bénéficient de facteurs domestiques favorables (baisse de l’inflation en Russie, réformes structurelles en Inde).

Nous maintenons notre prévision Eur/$ à 1.20 fin 2017 compte tenu de la diminution de l’incertitude politique en Europe, d’une politique monétaire américaine moins agressive qu’anticipée et du retard dans le programme américain de relance. Enfin, nous renforçons notre diversification sur l’or.

Neutral

Sovereignfixed income

Fixed Income

Short durationfixed income

DevelopedMarket Bonds

Large capequities

DevelopedMarket Equities

Defensives

Risk aversion

Value

Corporate fixed income

Equity

EmergingMarket Bonds

EmergingMarket Equities

Cyclicals

Small capequities

Risk appetite

Long durationfixed income

Growth

Vues au 30 juin 2017. Les données sont présentées à titre d’illustration seulement et peuvent être soumises à des modifications.

Indicateurs

Actions (30/06/2017)

Paris (Cac 40) 5 120,68

Francfort (Dax) 12 325,12

Londres (FTSE 100) 7 312,72

New York (S&P 500) 2 423,41

Tokyo (Nikkei 225) 20 033,43

Source : Bloomberg.

Performances en devises locales (au 30/06/2017)

2017 2016

Paris (Cac 40) 5,3% 4,86%

Francfort (Dax) 7,4% 6,87%

Londres (Ftse 100) 2,4% 14,43%

New York (S&P 500) 8,2% 9,5%

Tokyo (Nikkei 225) 4,8% 0,42%

Source : Bloomberg.

Evolution des principales places boursières en devises locales (base 100 fin 2014)

Paris

Francfort

Londres

New York

Tokyo

01.15 05.15 09.15 01.16 05.16 09.1675

100

125

150

01.17 05.17

Source : Bloomberg.

Taux gouvernementaux

Evolution des taux à 10 ans depuis fin 2014

Source : Bloomberg.

Change 2017 2016

1 EUR / USD 1,1426 1,0517

1 EUR / GBP 0,8771 0,85352

1 EUR / JPY 128,4 122,97

1 EUR / CHF 1,09504 1,07209

Source : Bloomberg.

Matières premières 30.06.17 30.12.16

Pétrole ($ / baril) 46,04 53,72

Or ($ / once) 1241,61 1147,5

Maïs ($ / boisseau) 381 352

Blé ($ / boisseau) 511 408

Aluminium ($ / tonne) 1919 1693

Cuivre ($ / livre) 271,1 250,55

Source : Bloomberg.

Etats-Unis Allemagne

1

0

-1

2

3

4

12.14 06.15 12.15 06.16 12.16 06.17

Un mois sur les marchés

Retour en faveur de la zone euro

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Interview de Thuy-Tien GLUCK

Business Development - Développement Durable HSBC France

Pourquoi certaines villes se sont-elles engagées dans la lutte contre le changement climatique ?

Les villes représentent aujourd’hui 80% de la consommation énergétique mondiale et 70% des émissions de gaz à effet de serre.

Pour appliquer l’Accord de Paris, ratifié par près de 150 pays, et donc réduire leurs émissions des gaz à effet de serre pour contribuer aux engagements nationaux, les villes se sont retrouvées en première ligne des plans d’action.

L’impératif de réduction des émissions de gaz à effet de serre, et des pollutions afférentes, s’inscrit de manière cohérente dans le cadre plus large des problématiques auxquelles les villes sont confrontées. 66% de la population mondiale sera urbaine en 2050 contre 54% aujourd’hui. Cette pression démographique concernera principalement les pays émergents. Dans les pays développés, les infrastructures sont vieillissantes. Ici comme là-bas, les changements climatiques vont impacter les politiques de gestion des flux et des ressources et de développement économique, incluant les infrastructures, pour des modèles plus résilients.

Les maires des villes disposent d’une autonomie de décision et d’un champ d’action qui leur permettent d’être souvent plus agiles et plus opérationnels que les Etats. Ils ont donc un rôle majeur à jouer dans la lutte contre le changement climatique.

Ces villes engagées dans la lutte contre le changement climatique sont-elles nombreuses ?

Plus de 2 500 villes dans le monde ont soumis un plan climat sur la plateforme de l’ONU « NAZCA », dont certains particulièrement ambitieux : Melbourne vise à être carbone neutre dès 2020, Copenhague en 2025, Paris en 2050… Montréal a des objectifs de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre de 30% à horizon

2020, soit 10 ans avant le calendrier national du Canada. Aux Etats-Unis, 93 villes américaines (ainsi que 17 Etats et 3 comtés) ont également déposé des engagements climatiques sur la plateforme de l’ONU. Quant à l’initiative C40 présidée par Anne Hidalgo, ce sont 90 métropoles du monde représentant 650 millions de personnes et un quart de l’économie mondiale, qui se sont associées pour travailler ensemble sur la réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre et de leurs risques climatiques.

Quels sont les leviers d’action des villes en matière de lutte contre le changement climatique ?

Les villes, du fait de la concentration des acteurs économiques, ont une forte empreinte environnementale, essentiellement dans quatre secteurs : l’approvisionnement en énergie (32%), l’industrie (28%), les transports (23%) et les bâtiments (13%), sur lesquels l’impact des décisions politiques locales peut être décisif. Ainsi, les villes sont décisionnaires sur les questions de transport, notamment via les politiques de transport public incluant les infrastructures et le développement de services de mobilité durable (auto-partage, véhicules/vélos en libre-service, pistes cyclables, services de stationnement intelligent, navettes électriques…). En matière d’énergie, elles peuvent décider de s’approvisionner en énergies renouvelables en délaissant les grands fournisseurs traditionnels d’énergie fossile. Par exemple, San Francisco et Chicago se sont engagées à ce que 100% de leur énergie consommée provienne de sources renouvelables d’ici à respectivement 2030 et 2035. Enfin, Stuttgart est allée jusqu’à désinvestir les actifs qu’elle détenait dans les énergies fossiles et à réorienter sa politique d’investissement selon des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance bien définis.

Que peut faire une banque comme HSBC pour accompagner ces villes engagées ? HSBC a un rôle à jouer pour accompagner le développement de cette économie bas carbone. Les besoins d’investissements dans des infrastructures durables sont évalués à environ 375 milliards USD par an d’ici à 2020. De par son expertise et sa présence internationale, HSBC peut accompagner les entreprises comme les collectivités qui souhaitent développer des infrastructures et des services durables.

Ainsi HSBC France a co-dirigé l’émission obligataire climatique inaugurale de la Ville de Paris en 2015. Plus récemment, le Groupe HSBC était partenaire de la ville de Mexico dans l’émission de la première obligation verte par une ville d’Amérique latine. Le Groupe HSBC fait également partie des institutions accréditées par le Fonds Vert pour le Climat dont l’objectif est de structurer et faciliter le financement de projets résilients au changement climatique dans les pays en développement. Enfin, le Groupe HSBC accompagne de nombreux clients professionnels dont les activités améliorent l’efficacité énergétique ou réinventent des modèles d’affaires bas carbone. Par exemple, dans le financement de projets d’énergies renouvelables ou la structuration de financements de réseaux de bus à haut niveau de service offrant, dans de nombreuses grandes villes d’Amérique latine et d’Afrique, des transports plus « propres », plus rapides et plus efficaces au plan énergétique.

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Par ailleurs, selon la réglementation en vigueur, les personnes physiques domiciliées fiscalement en France, sont tenues de déclarer, lors de leur déclaration de revenus, certaines informations relatives aux contrats de capitalisation et placements de même nature, et notamment aux contrats d’assurance-vie, souscrits auprès d’organismes établis hors de France et, le cas échéant, les produits générés sur ces contrats lors d'un rachat total ou partiel. En outre, ces dernières doivent s’acquitter, dès le versement des revenus, des prélèvements sociaux. Enfin, ces contrats doivent être déclarés à l’impôt sur la fortune si les titulaires concernés en sont redevables. En cas de non-respect de ces obligations, les personnes concernées s’exposent à des rappels d'impôts et à l'application de sanctions. Pour plus de précisions concernant les obligations déclaratives et fiscales vous incombant, nous vous recommandons de vous rapprocher de vos conseils indépendants. 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Interview

Les villes durables, aux avant-postes de la lutte contre le changement climatique

Retrouvez la brochure « Le Groupe HSBC engagé

dans le développement d’une économie bas carbone »

sur le site Internet HSBC Private Banking en France :

www.privatebank.hsbc.fr/a-propos/actualites