élection du kideat du séntt -...

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Paraissant la «laikil et te Dimanclie. JOURNAII Rédacteiü' éii dti A. s o vt vftm i l SI xff a; s i ‘-Oirt^iâJfüan sm Bare&ux du Journal et dans to u * ]^>%tetMx°d6 p o ^ . — L'abonnement est payaue I d’araace ei con^ûa de plein drrât' jui^u'à roc^t&on i coî^îaire^ iB de chaque mois. vv. f?'.' c Aàtreedïÿ. AU»fr— ‘•■••i.v.v- A ifc. Xm ithonfémanfai da i" ou du '•ufwîr- BERTROZ. ■,H . ' ':: à .« î iî*s^a Paraissant le Jeudi et le DtmawBftèî; . ' ' ■ . ~ 1. :k-î ^.W iî "«j J’J BUREAUX, REDACTION ADMINISTRATION 7 t SEIWIilS -i t*i Place de KOEa^-^^YPle» SÊBIIilS T3É î I j 3ÊJ^HO^EX la* 4 ies manuscTntSy insérés ou non, ne sont pas rendus. 3DS3S IISrS?i%TIO]^,S.^. Annonces l è g à ^ . V . / j^O c. k li^ | Rficbinw..w.,■ .0^, Réclames....... A3inottce&*(^wd#ès...> —" . | ONHVCCEFIBf'yAS n’œSBMIW JOWBSSÇüS DBî TRANC .• ' . Les annonces, réclames, etc., ccmoemant Paris et les D^^artemenis s ^ t reçues dmecteB)^|r _ ai^bnreaux du journaL - ' - Senlis, le 17 Février 1906. Pour défendre les Mouchards. Le dossier de fiches que publiait l’anuée dernière M. Guyot de Vil leneuve avait été interrompu sur la promesse que les mouchards et les délégués de M. Combes n’au raient plus leurs grandes et petites entrées dans les ministères et les préfectures. Malgré les déclarations du gou vernement, qui condamnait à ja mais ce système oflieux, les blo— tords n’oht pas tononcé à leurs îprocédés de délation. Dans btou- çottp de communes, le délégué, pèrsona prote-de la préfecturej continue d’exercer ses fonctions Jioas l’œnSngilanrdeLÏadmiiawîra- fioh qui, paraît-il, eh tire un pré cieux parti. Certes, nous sommes les pre- mierà à demander que lesSwn-i dales qui ont affligé notre pays ne se prolongent pas indéfiniment. A la suite des faits que l’on connaît, une sanction énergique s’impo sait ; il est à regretter que lesrfdnc- tionnaires du cabinet Rouyier aient cru devoir préférer à ses insr tructions cèlles de MM. Combes, Audrié et Pelletani Pour ces motifs, M . Guyot de Villeneuve reprend la publication du dossier que Bidegain, l’ancien associé de Vadécart, lui a trans mis- Quand l’orage éclata comme une bombe, en bon. Quftdd Tbonorablo député de la Seine dévoila les agissements de la Franc^Maçonnerte, ctorgée par,le général André d’établir le ^bléau d’avancement des om- eiers, ce fut un « toile » général. L’opinion publique, révoltée a l’idée que d’honorables officiers ou fonctionnaires étaient, livrés à la merci de vulgaires mouchards, cloua ces derniers au pilon. Les ^francs maçons, îè® bloçardg étaient dans la consternation. A la chuté du ministère de la dé lation, les esprits sè ca’mèrent, rassurés parlesdéclarationsnettes et catégoriques du cabinet Rou- Yier, qm r<^püdiait hautement ces iouîeux procédés. , Mais tes sectaires du Bioc ne songent pap à renoncer à ce qu’ils co .nsiJêreht comme leur juste pré rogative, et, mieux que cela, ils obt l’aplomb d’affirmer que les Biûuchards sont d’excellents dé fenseurs de la République. C'est sans doute à ce titre que certains d’entre eux ont vu leur boutonnière s’orner du ruban rouge ou violet, réservé j n ^ à ce jour aux gens n’ayant pMtnM*<lbô avec l’bpnb.étu^' mais le confrère perd toute notion de bon sens quand il approuve le ministre de la Guerre d’avoir eu recours, à cet égard, à l’officine de la rue Cadet. Nous ne voyons pas pourquoi il faisait intervenir, en cette occurrence, des éléments étrangers à son ministère. La com mission de classement, les com mandants de corps d’armée, les généraux et les colonels étaient tout désignés pour les renseigner suffisamment. Les Vadécart, les Bidegain et leurs sous-ordres n’a vaient aucune qualité, autre que celle de mouchards, pour fournir des renseignements sur la vie privée d’bonorablss officiers, par faitement libres d’assister à la messe, de fréquenter le temple ou la synagogue, et d’élever leurs en- enfants à l’institution qui leur convient. Sous un régime vérita- 'blemént démocratique, respectant laliberté individuelle, le fonction- baire ou l’officier possède un droit indéniable, celui de pratiquer et de pratiquer aux siens la re-^ ligion qui lai convient. Le système cher aux blocards et aux francs- maçons a surtout pour but de donner de l’â'vpbcoment à leurs adeptes, à l’excmsion de tous ceux qui ne pensent pas comme eux. L’agence Vadécart donnant des notes sur les aptitudes profession nelles des officiers, est une chose inconcevable qui soulève l’indi gnation légitime de tous ceux qui ont le souci de sauvegardér l’hon neur de l’armée ; c’est un scandale public, et nous ne comprenons pas que des journalistes osent prendre la défense des mouchards voués au mépris de l’opinion publique. La plaidf'ine 'le la République de l’Oise en faveur des francs-mou- cbards est piteuse, cela se con çoit; pour remplir au miçus ce rôle si ingrat, le confrère se paie d’audace et prétend que si le dos sier de M. Guyot de Villeneuve doik soulever un toUe général, c'ést .contre les victimes des délateurs at non contre geiix-ci. Autrement dit, qn’on décore les inouçbards et qu’ob mette à la réforme les pffl- . ciars victimes 4® Ih délation, telle est la logique dont s’inspire 1 or gane de MM. Noël, Baudon, Bouf- f a u d e a u e t C‘". , Apiès celle-là, tirons l’échelle! J.OUP BERTROZ. Les FiaLes de délation. En 1903, M. Ledoax (18*), succède à M. I^u- Te«n ci)iai9 $ Ténérable de la Loge « La Par fait» Union *. M. Ledoux est professeur à l’Ecole national» ^’agricnltnre 1 I^ n e s. U. Ledoux est lin 4* principe». U m’adinet pas la duplicité do» F*** * Chose assez singiültoe, U su->« 1 ..— Aistamoi n*A nOg Itgni Wlcitio'n des_flchet,n’a^ça8 seole-» -snaot ledojï de souléver l’iudtgna- éifcite 'li Verve ffe: tortates JjltoéHer cmi ferafent mieux de ■possède prtod adjourd’Jïut leur défefatoî: tola m isurprèhd personne* Le géniSral André, dit-elle eu *nbstance,uvait besoin de se penr -éeîiKbar sur la valeur des officiers! 'qifi^ont placés sôqs to® ordrM,i ’b’éftit son droit et son devoir ;[ •t Tot. k tou. Ut couTeat. contn U-Bborti du sratiqou cultuhlw laittdn aux Fr.-.. Da BtdiM. H b it M t flcha. lulHudma at prand. •olB dtlf iifUjljir.SBflOi U Mgna..., et qui ' • ca 2 itpttm bta iâOS, ^jpiàt. iù rmâtignéaunt» q w ' Vou» orWudamaudét.:Ja ngntt. da S&oir pu , Tonalat^ouaer ^ a . tdt. n tl. Ja tenait àjas ■raudra atoi-mèma et i. lu coutroUr pour ftm oârtaia da leur uaetituda abtolua. Daut jtûiaconuua Rennu. ca n'att pat tou- ftcj^e- f . . . . éuulez agréer. T.:. C.% F. l , l’assurance de tnes.aentixnènta fret.*, pt Ips pJn» dévoués. . , tt > Lwo^. EtàUmajor. H. Pretet» commandant n. C. — Rétctionnaîre, en tous ca» antiininis- tériel et ne se gène pas pourlaisser paraître. Clérical. ^ iif infaaterie. — M, Pougia de la Mawon- neûvé, commandât* H.é&ctioncaira clé rical. n v En 1904, M.'Abadie succède au F.*. Ledoux coapme vénérable de la Parfaite Union. I^est donc à son nom que le Grud-Orient flaqt*! dès cette époque, les renseignement qui lui parviennent sur les officiers de la ré gion. L’adresse de la Loge est également modifiée. Elle est ainsi conçue: M. Parfôn jeune, 13, Mail Donges. » . M. Abadie (Marc-Guillaume-Robert), 3*. est ingénieur agronome et professeur de génie rural à l’Ecole nationale d’Agriculture de Rennes. Abadie, Rennes. 20/4 1904. — 7375. . , 41* in f .nterie. — Brière, lieut.-col. — Clérical et réactionnaire. Ses deux fils sont élevés au collège ecclésiastique de Saint-Vincent, A Rennes, établissement bien connu dans la ré gion comme fojcr de réaction ; il 'a refusé de les retirer, malgré les conseils pressants du général en chet Homme froid et peu commu- Btcatif, ne dévoile pas ses opinions, au moins àrec les gens qu’il ne connaît pas. Certains prétendent qu’il est mené par sa femme, ins trument des jésuites. I Àbadie, Rennes. 7375. — 23/4 1904. 41* infentcrié. — Be Goy, commandant. -- Homme très superficiel, clérical, très lancé dans le monde réactionnaire ; a été com mandé, au mois d’octobre dernier,* pour con- duire un détachement chargé d’éppujer les autorités pour l’exécution de la loi si sur les assodaiions. N’a marché qu’après avoir - con sulté quelques offîciers frequentu^le'^mème monde que* lui, m ^ a exprimé, LmTx SoüTiSrînâiî^ dë’^alnt Drieu:,'.où U de ses subordonnés qui mardiaieBit evec^iut «« t . Vutl- le dégoût que lui inspirait panil^ Mr^ce.' Depuis cette époque, le commandant de Goy acherché à tirer parti de l’exécution de ce ser vice en prétendant qu’aujourd’hui les portes du monde où il fréquentait auparavant lui étaîent.fermées. Allégation absolument fausse, puisqu’il continue à etre reçu à bras ouverts par les membres du clergé. Abadie, Rennes 23/4 1904. — 7375 RENNES, 41* INFANTERIE Lieutenant-colonel Dueàtte, — Clérical et réactionnaire. A une conception étroite de l’armée; affiche son mépris pour le civil; le prêtre et le noble seuls trouvent grâce auprès de lui. Critique violemment devant ses infé rieurs les actes du gouvernement et, par ses manifestations continuelles, fait une véritable propagande antirépublicaine, ce qui ne l’em- pècne pas de changer le ton de la conversa tion lorsqu’il se trouve-avec des républicains qui peuvent être influents. Commandant Gaudel. •» Noyé dans un mi lieu réactionnaire, se contente d’approuver les déclarations des gens qui l’entourent. Abadie, Rennes tl/3 1904. — 8342 AINT-^ALO — SAINT-SERVAN, 47* D’INEANTKRIE M. Eftrabon, liey,tenant'Colonel. — Ne fsit pas montre de ses opinioas. N’est pas clérical, vit dans l’isolement. Assez dur pour ses hom mes. M. Feudière, lieutenant-colonel. — Clérical acharné. Ji. Braulty commandant. —Clérical acbame. Af. Henry, commandant. — Clérical anti gouvernemental militant. En 1903^ était parmi les manifestants à l’église de Saint-Jouen des Guérets, commune de Saint-Servan, lors de l’application, dans cette commune, de la loi sur les congrégations. Il a un fils qui est en tré è Saint-Cyr après avoir fait ses études dans un établissement de jésuites. Il a encore un ô's au collège congréganjstedç Salnt-Malo. Depuis un an, il est devenu prudent. 11 ne cri tique plu» le gouvernement qu’en « chambre »■ on en « lieu sûr ». M. Guirin, commandant. — Attitude cor recte, c’est-è-dire qu’il ne critique pas les actes du gouvernement et n’affiche pas des ten dances cléricales. Au fond, réactiopuaire son fils, âgé de 14 ans, fàit ses études' au collège congréganiste de Saint-Màlo. ractèrefaux et sans volonté.A^es^ntiments nettement réactionnaires qu’il cache autant que possible dims le désir de monter en grade. S’est signalé pendant les expulsions les frères de Vitré par sa mauvaise volonté et son apathie.— ---- - Rolland de Chamhaudoin, commandant. Vient d’ètre mis à la retraite. Est sous la do mination absolue du clergé. A manifesté ou - vertement, sous les armes, en faveur des congrégations, lors de l’expulsion des frères de Ploërmel. tenant école à Vitré. De Robert de Châtelet, lieutenant-colonél. — Sans caractère et sans énergie Clérical et réactionnaire è fond. Absolument opposé aux idées républicaines. Bourdeàu, Colonel. — A fait preuve de fai blesse en diverses circonstances vis-à-vis d’officiers cléricaux et réactionnaires, lesquels le dominènt complètement. Continue à mon trer djin« ses parolés une hostilité marquée envers le gouvernement. Abadie. Rennes. 14/5 1904. — 8564 SAlNT-BRIBÜC, 71* INFANTERIB Mi, de la Motte Rouge, commandant. — Clé rical. Vit parmi ses parents et amis qui as- sistentà toutes les processions du paye, même celles des Rogations. A envoyer dans un paye de eocialîstee, et au plus vite. . Lieutenant-colonel Hotié. — Très-nouyelle- meat arrivé au 71*. souvent malada Clérical. if. AH'.x. commandant — A quitté le 7Ϋ, est actueHement commissaire du gouverne ment au Mans. Clérical. . , , De Rebien, commandant. Clému. de pr^ S ormi ses parents et amis, tous c'éri* itants. Très cassé ; à mettre à la re habite eaux militants, traite d’office. Abadie, Rennes. 24/5 1904. — 9025. GÜINGAMP, 48* INFANTERIE M, Parenty, commandant. — Très clérical. M, Lameyt commandant. ^ Douteux. M. Potier de Coureutlcommandani. — Clé rical, M. Wavrin. commandant. — Gérical, M. Le Tulle, lieutenant-colonel. — Rëpubli- crin. ’M. Raffenelt lieutenant-colonel. •—Bon répu- Mlcain- . , M , Vermeil d^ Couchardf eoloneh -v Très clérical» Abadie, Rennes; 20/4 1904.-r 71^. ‘ VITRÉ, 7C* INFANTERIE De Sonie, commandant en retraite, — Cléri cal militant. Germain, commandant. — D’une inconsé quence, de langage qui prouve son peu de suite dans ses idées et ses opinions. S’est plaint sbuvpdt de cg qu’il appc|le. « l’fsprit militaire nouveau ». Lf-eureuil, commandant. . Tiè» réserve, opinions politiques peu nettes; Jdbuton. commandant. — A proféré à plu sieurs reprises des propos hostiles au gou vernement et aux officiers républicains, Ca- LA LÉGION D’HONNEUR ■. I Paris, IS février. — Comme on l’a an^ noncé, le conseil de l’ordre s’est réuni mercredi matin, sous la présidence du général Florentin. Les membres du conseil de l’ordre, des leur entrée en séance, ont décidé de gar der le secret le plus absolu sur leurs déli- tiérations,'de taçon à éviter les indiscré tions fâcheuses de la semaine dernière. Nous croyons cependant savoir- que le conseil de l’ordre a ratifié les propositions du ministre des- finances et a donné son agrément aux croix prises sur le COTlingênt spécial du président de la République. Par conséqueHt, la proposition faite en faveur de M. Emile Combe, rédacteur au Journal des Débats, efqul avait été refusée au der nier conseil, a été approuvée. Le conseil est également revenu sur sa décision en ce qui concerne M. Paul Slou- uet, sociétaire de la Comédie-Française. On dit, d’antre part, que plusieurs an tres « refusés » du ministère des beaux- arts auraient été acceptés.par ie conseil. Pour d’antres candidatures, notamment pour deux ou trois émanant du minist-ere de l’intérieur, et qui avaient été rejetées la semaine précédente, le conseil a de mandé la communication de certaines piè ces, ou des éclaircissements sur jes états de service consignés dans les notices. l.’arrèt do conseil pour cette catégorie de candidats est donc ajourné à une pro chaine réunion. Il semble i|U’en agissant ainsi, les mem bres du conseil de l’ordre ont surtout voulu éviter un conflit aigu. Y ont-ils réussi ? C’est ce que l'on saura bientôt. Le conseil des ministres doit s’occuper, en elïet, la semaine prociiaine, de la situation qui est créée au gouvernement par cer taines décisions de la grande chancelle rie, Les tulll.tes lyonnais Lyon, l.ï février. — Les fabricants de inlle ont tenn. ce matin, une réunion au cours de laquelle ils ont décidé de suspen dre tou» les ponrparler» ayec les maître» tnlllstes, tant que conx cl s'obsUaeront & ne pas rendre les pièces en cours d eivdn- tion. * , . Si les maître» tnlllstes nereven-iientpas ■upcette décision, les fabricants auraient rinteution de faire jolntibnner le différend par Te tribunal de commerce, -la grève contlnné sans incident, , ^ inqi^pnfÿ à Pradet Prades,14 février,— Sept cent» ouvriers mineurs en grève ont parcouru les rues en chantant VInternationale, pins sont allés devant ie domicile de M. Dincur, di recteur de la Compagnie minière, et onf lapidé sa maison, i,es gendarmes ont cliargé, blessant un gréviste. ün gendarme a été blessé d’un coup de pierre. Cannes tant lumlSre ' Cannes, U février. — Les onvriers dn gaz ont commencé la grève. La ville est plongée dans l'obscurité. Les ouvriers ne formulent aucune re-' Tendication, mais' ils ont vouln sé .solida riser avec lenrs' camarades d’Antibes qni demandent une augmentation de salaire. ; Paris, 15 février. — Dans le courant d’octobre dernier, un vol s’élevant à 3,800 francs était commis à l'Ecole polytechni que au préjudice de la caisse formée par les élèves pour venir en aide à leurs cama rades dans le besoin et secourir les famil les malheureuses àvoisinant l’Ecole. Une porte, une armoire et la cassette où se trouvaient les fonds avaient été brisées pendant la nuit. Les soupçons se portèrent aussitôt sur un élève de l’Ecole, un boursier nomihé Lauret, fils d’un recteur d’aciutémie. Les agents delà Sûreté le prirent en t filatu re > et après cinq mois d’investigations ils . réunissaient contre 1 ni un laiseeàu dé preu ves telles que le général’Lhérftiér, com mandant de Polytechnique, faisait arrêter le coupable, Lauret commença par protester avec in- dignatioir; mais, hier, pressé de question» par M. Guernet, commissaire de police dn quartier de la Sorbonne.il a fait des aveux complets, et sur l'ordre du général Dessi ner, gouverneur de Paris, a été écroué à la prison du Cherche-Midi. . La Conférence d’Algésiras Commaniqué ofHolel ,, Algésiras, 15 lévrier, — La Conférence s’est réunie mercredi matin de dix heures à midi. . . Voici le communiqué officiel : Dans sa séance d’aujourd’hui, la Confè rence a poursuivi l’examen et la discus sion du projet de règlement snr le» doua nes de l’Empire èt de répression de la fraude et de la contrebande. Elle a adopté successivementles articles 14 à 27. Les articles 14 et 15 ont trait aux pénalités applicables aux complices des délits de fraude sur les mentions du ma- difeste et des délits de contrebande avec taculté pour la donané'de saisir le navire, rt le remettre à l’antorité consulaire du fort ie plus proche, ' s - Les article» 16 et 17 déclarent que la na- tigation de (iibotage sera soumise au mê me régime et que les liiarchandises de ca botage exemptes de droits d’exportation tevront être accompagnées d’un certificat te sortie. L’article 18 exige la consignation an port f» sortie des droits d’exportation pour les ,7iarcli.indises destinées au comiuèrce du caiiotage et soumises à ces droits. Les articles suivants concernent la liqui dation des droits d’exportation et d’impor tation entre le Trésor marocain et les agents qui ont saisi la marchandise et les indicateurs qui ont amené la découverte de la contrebande du produit de leur V6n te. L’article 20 précise que l’application du règlement dans la région frontière de l’Al gérie, de même t|ue ilahs la région frontiè re des possessions cspagaales, demeure l aftaire exclusive, d’une part.de la France et du .Maroc d’autre part, d,ç l’EJpagne et du Maroc, - La Conférence a adopté deux nouveaux articles dont l’nn détermine la juridiction chargée de connaître des infractions au présent règlement et d’appliqner les pei nes édictées, selon qu il s’agit 4’étranger» on de sujets marocains 1 •. Un aiitre article â7 et dernier prévoit qae le règlemeiit pourra être révisé par accord entre le maghzen et le corps diplomatique è Tanger, après nneexpériencededetuani. A la prochaine séance otficielle, samem, jt lobenrei, ji ladierb’d'artijlé' rîierjri ïnsflu’icr suf |e contrôle des opérations douanières et l’Ins titution des estimateurs en (loiiane», a*”*! qne l’artiete 21, relatif à la responjabilité de la douane ppnr lacQnséryât'Qri dès mar chandises, ,., j L^attitude de M He Radowitx < Alri^sirns, I- t février — .An ooqr§ de l-eq-; "ïreviie d’avant hjer,'M. HfiüewUz a.en- tretcnu M, 'iiévcil d une manière très gé nérale et i’a prévenu même qu’il ne taisait aucune proposition rrrme. M. Revoit a {répondu simplement qu’il ferait 'part de la conversation à son gou vernement, électiondu Kideat du Séntt Ainsi que le faisdfi piéiroir/lé des groupes républictoUi M . à«to»»» J>a» boiit a été élu par Si< veix e n t i e r C 11. Bourgeois, S à H. F ey ^ et.l 4 Les histituteurs , et " la Dépêche.” te ToulouMb Les instituteurs ont un organe' Icuse, qui s'appeUe rxrolc jétyMuaiGe journal dèdare la giuan i la Déjfitekt, en ce* teraios < Les instituteurs n’ayapt plus qu’an goût relatif pour le métier: de dupes ont trop lpngoe»nBat2^:sn.:pMUntila mot , Çordrê .é là D^pithe.-, vieneaÉWe décider d’une fa^n aussi tatite«to»3kt> uérale, d’atteindre et. de méter le tyrie- uique jommal„en faisant échee et u ^ t au point institu^^iU^^Ste autant que' son socialiste coqbnrrenti-aMds ce n’est ni pour, ni contre .iut-0u>iÜat qu’ils voteront et qu’ils feront yotw. ;'è ^ t uniquement, exclusiTmneiticantrBnn jeUr- nal qui les opprime, qui les exécie et T«s méprise ». Les hostilités sont engagées. Qni l’e n : porteraT ■q ' La Dépêche a Touiu faire des institntenn des agents électoranx. Ceux, .qui l’ont écoutée la combattent maintenant. Ans»! demande-t-elle que les instituteurs ahen* donnent la politique pour tetonntwi i l’écolè. : Pour une fois, nous sommet d’accord arecja D^écAs de Toulouse. Loterie des EdM tieroA . Numéros gagnants. Le numéro 274.270 gagne 2SO.éOQ.,fr. Le numéro 2.691.965 g^gne 50.060 fir. Le numéro 1.598.866 gagne 'SO.OOO fr. Les 2 nninéros suivants : 3 9 3 .8 6 ^ ^ 2.934.949 gagnent 5.000 francs. . ' - Les 10 numéros suivants gagnent 1.000 francs : ? 3.063.i10 414.285 2.103.431 3.563.575 2.324.307 1 .743.'è(M. 2.854.396 3.937.684 868.9ÔÜ 3.Î67.029 * Les 20 numéros suivants gaÿCQO^x 600 francs : . •■e 1.577.473 615.435 2.044.869 3.862.703 837.508 2.034.'0C0- 449.026 2.241.886 708.746 22.173 609.764 1.777.602 324.282 1.605.145 913.052r 2.236.609 2.462.766 1,753.6» . 2.055.365 1.346.217 ECHOS aM*VELL^ L<es nonvèaiix évéqucMi Oa sait que la loi dt séparatidu Mtsq sonaàisle chef de l’BgUse catholique otaut libra da nommer las éTèqaea4trç^«:t aaar RToir à s’entendra avec la Le pape aorait déjà d è s ig d é ^ '^ ^ ^ tî^ q ’ titulaires peur les évlehés TacantSt - intéressés ont été arisé|, mata, désir exprimé par le Souxarain-Po^t^tl Je secret a été gardé juaqu’à présent. Toutefois, oa annonce que.M- UifiieSe ;crré de Saint-Paterne d’Ôrlêans, Vient, de ran- Yflir de Rome un aVis l’inforniant de sa no- BftlnatioQ épiscopaie. Lé nouŸel éTéque est un des iprètres les plqa distingués djo. dipcèsa d’Orléans. ; - Le pape a exprimé à l’abbé Gibier je^dféfir de le Yoir à Rome pour y être sacré. Ge n^at qu’après cette cérémonie que Mgr C^Jj^er pourra indiquer le diocèse dont il serais pas teur spirituel. Ji FiüiLLrton nu COÜBBIMR L’OISÈ (05) ;. - PA» .S éaei .DSM BDSB. - - .î* . iC tl- . PUiXIÉliS PARTIS IV u LrVBB (Mite) Choisir son moment... Pas de lo- -leO... Bêle le soleil... Nuit;..-M-ratral... -Bu... hu .... hù... hou... houl.. Goimne ta thantesur reau qui ise ^lamtl Elle 'Se., la « verte! » Elle emrageL.iElle écume!..Beau!.. CeatbeauL.Sauvew, •cul, au milieu de tout ça... large l.. La lanterne, point rouget-. Hu...Ett«>ta... 1»«®* H nfJ* "• •Tn voudrai» Wen me reMerser.ihem • li ^ h e , ma veille!.. C o m m è re BMie l Hèin, comme ra ronle... ^ 'venx-ma carcasse !.. Tu 1 a u ^ !•• 4e Mercédés !.. Plus detenaiUes...Plus de fil» de forçat !.. Délivré, Sauveur !.. • C lS Difan^entL fiara, pour risquer sa peau, tou» les Lettre*. lUj [oetieB matins, et pour faire manger du poisson frais à ceux qui ont de l’argent, assez pour cajoler Mercédès!.. Pitié!.. Te naillé !.. Pas le sou !.. .Racaille !.. Mer- cédis!.. Pas si bête... Pas si bête, la jolie fleuriste ! H se tut et demeura en contempla tion; Que voyait-il î Ses deux amoureuses : la femme et la mer, et il leur souriait, charmé et irrité* toiffAtOur. ü n instant, il s’assoupit sur sa chaise. 11 se réveilla en sursaut. X , — Ça y était I Je faisais la culbute ! Quand on pense que si c’était -vrai, ça xersât fini à présént ! Dommage ! Dom mage ! Partie renzise ! Bientôt ! Bientôt C’est décidé! Ça'-vaudra mieux ! L’aînt et maman, tout de même, ils pleureroni lev misérable ,! » ' Tout à coup, il lui ■vint une idée ba- rbque. — Avec tout ça, je n'ai pas raccom modé mon filet! reprit-il. Si je na’y mettais î Pourquoi pas ? Beigne faite n’éât plus &: faire, comme disait je ne «ni» plus quel imbécile! Ouste, mon -vieux Sauveur, travaille. ' B passa dans sa chambre, d’où il re vint avec un filet de pêche, qu’il étendit sur le plancher. _ Trois mailles seulement à refaire. On se couchera après. Lors, ouvrantrun des tiroir* da buf fet, il y chercha des aiguilles etdujti*- Mais il y voyait mal', car la lainpe était restée sur la table, encore servie, ç’est-à-dire loin du btiffet. Et puis, il brinquebaUait, de plus en plus ivre, ce qui le rendait maladroit. ^ D'ailleurs, le tiroir où il fouillait était rempli d'objets div ers qui devaient gêner ses recherches. Il contenait, notamment, plusieurs volumes... que Sauveur, impatienté, saisit enfin, et jeta, rageusement, sur la table, à la volée, et qui vinrent heurter les assiettes. Il sourit, amusé, goguenard. — Il» vont se figurer, là-haut, que le < miséraÛe > casse la vaisselle ! fi: il. Il trouva, soudain, ce qu’il, cherchait ^ une aiguillé et du fil. Il se rapprocha de la table, devant laquelle il s’assit, après avoir ramassé son filet, qu’il traîna derrière lui. Puis, le cerveau lassé... -vide, il sc mit à l’oeuvre, machinalement, en chan tant, à demi-voix, un vieux refrain de pêcheur : Le jour s’achèye ; L’astre aux reflets d’argent Sur le flot vacillant Au loin se lève..; Ma barque agile est là. Se balançant déjà : Santa-Lucia la guidera. La flamme de la lampe baissait, et. par suite, dansait, sans interruptior, ce qui fatigua bientôt les yeux de l’i- -vrogne. — On n’y voit goutte !.. Tout tourne... Je suis gris, c’est vrai : mais c’est aussi la faute de cette sale camoufle qui pique ;Vjti_cbahut du diable ! Danse si tu veux. va ; Cadet Mouraille est entêté, il 'vei t raccommoder son filet,- et, quand lo toimerre y serait, il te raccommodcre. Ah! mais! Il faudrait mctu'c la lampe plus haut. Attends un peu... Il regarda tout autour de lui. Jtl aperçut, sur la table, les livres qn'il y avait jetés, un instant uupara- vant . . . ., — La distraction du capitaine ! fit-il en ricanant. Il en mange : c’est ça qui le rend poseur ! Attends ! Au moins, ils me serviront à quelque chose ! Il saisit les volumes. Il les posa l’un sur l’autre. — Ça ne sera pas aussi haut que la tour Eiflel, mais, tout de même, ça suf fira pour élever cette sale camoufle ! Espèce de maladroit ! Sauveur, mon vieux, tu as des mains en coton, ce soir ! Les trois livres avaient roulé sur le plancher. Non sans peine, l’ivrogne les ra massa. Mais, tout à coup, jl tressaillit. — Nom de nom ! s’écria t-il. L’un des volumes, qu’il n’avait pas remarqué, tout d’abord, s’était trouvé sous ses doigts. — Je le reconnais ! Et, pâle, il répéta : — C’est le bouquin que l’aîné lisait le soir du... Il était tout bouleversé ! La vue de ce livre l'avait subitement dégrisé à demi, en lui rappelant un ter rible souvenir qu’il s’efforçait de chasse r de son esprit. — C’est ce bouquin qui est resté su' la table quand le père Marins est entr : dans cette maisou d'où il ne devait plu ' sortir vivant l Machinalement, il ou-vrit ce volume. Qu’a t-il donc î Ses yeux se fixent sur l'une des pages du livre. Il pousse un cri formidable, une so, te de rugissement ! Ce cri est un cri de joie ; plus que de joie, de triomphe ! C’est im hosannah : c’est un hymne d’allégresse ! Son ivresse s’est dissipée... complète ment. A présent, son visage est rayonnant. Il se lève, tremblant... frémissant, et d’une voix retentissante, de sa voix de pêcheur habitué à crier dans le vent qui hurle et siffle sur sa tête, il appelle : — Olivier ! Olivier ! Maman ! \ Ma- an ! Son appel a été entendu. Il ouït du bruit, là-haut. On vient... — Ils vont descendre! reprend-il, joyeux. "Voilà une trouvaille! Et c’est moi qui l’ai faite ! Jour fortuné !. Il estime que ceux iju’il a appelés n’accourent pas assez vite! C’est qu’il est impatient de leur mon trer sa trouvaille ! Alors, derechef, il crie, plus fort en core : — Olivier ! Maman ! Ah ! cette fois, ils descendent ! Enfin ! Que de temps perdu ! Soudain, Sauveur frissonne. Sa phy sionomie, si belle, si radieuse, fout à : -■ K >=■ ■■ dît l’heure, devient effrayànté.'Un 'soxïft» hidiux fait frémir ses lèvres. Ses ÿébx se sont injectés de sang et luisent dans le clair obscur. — De l’argent! murmura-t-il. J’en aurai ! Mercédès! Non! Canaille ! Non! Pourtant... '" Evidemment, une lutte terrible s’cit engagée en lui, c’est visible ! — Il en est temps encore ! repreâd» il, te n’ai rien dit! Cadet M oucâte: Réfléchis ! Ils viennent 1 On eût dit, que, maintenant, il trou vait que ceux qu’il avait appelés avec tant d’impatience, tout à l’heure, arri» valent trop vite ! — Ils viennent ! dit-il. Si je me tai sais ! Non ! Mercédès ! De l’argent ! J'en Je l’a'uroi !*Jé! m e * .-il ■■ aurai! Je l’aurai! tairai ! Les voilà ! Tète basse, plus titubant encore que lorsqu’il était ivre, il cache le htaiè,'liste, très vite. , __ Cependant, Norine, tout apeurée, el Olivier -viennent de paraître. .,, , ,.i {. — Sauveur! Sauveur! dit là'mèrel (Ju’as-tu donc? Qu’èst-ce qui est ai^ rivé? Elle est mère, n’est-ce pas ? . Il a eu beau se mal conduire, sps.ea<l det : Elle l’ainie; c’est son fils, .^eipNs tout ! Déjà elle lui a pardonné aa-'der^ nière frasque ! ^ Elle était inquiète, làrhàut !,ÈUe 09 répétait, avec angoisse — Que.fait-il? Je'Taitrop brataflaét J"ai été coauvaise ! ' (A suivre.)

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Page 1: élection du Kideat du Séntt - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1906/bms_js_1906_02_18_MRC.pdf · Paraissant la «laikil et te Dimanclie. JO U R N A II R é d a c te iü ' é

P a ra issan t la «laikil e t te Dim anclie.J O U R N A I I

R é d a c t e i ü ' é i i d t i

A. s o v t vftm i l SI xff a; si ‘-Oirt^iâJfüan s m Bare&ux du Journal et dans to u * ]^>%tetMx°d6 p o ^ . — L'abonnement est payaue I d’araace e i c o n ^ û a de plein drrât' ju i^u 'à roc^t&on i

coî îaireiB de chaque m o is .

vv. f?'.' c Aàtreedïÿ. AU»fr—‘•■••i.v.v- A ifc.

X m ithonfém anfai da i " ou du

'•ufwîr-

BERTROZ.

■,H. ' ': :à . « î iî*s^a

P a ra is san t le Jeud i e t le DtmawBftèî;. ' ' ■ . ~ 1. :k-î .W iî "«j

J’J

BUREAUX, REDACTION ADMINISTRATION 7 t

S E I W I i l S - i t * i P la c e d e K O E a ^ -^ ^ Y P le » S Ê B I I i l ST3ÉîI j3ÊJ^HO^EX la* 4

ie s manuscTntSy insérés ou non, ne sont pas rendus.

3DS3S I I S r S ? i % T I O ] ^ ,S .^ .Annonces l è g à ^ . V . / j ^ O c. k l i ^ | Rficbinw..w. ,■ ■ . 0 ^ ,Réclames.. . . . . .A3inottce&*(^wd#ès...> —" . |

ON HVCCEFIBf'yAS n’œSBMIW JOWBSSÇüS DB î TRANC .• ' .Les annonces, réclames, etc., ccmoemant Paris e t les D^^artemenis s ^ t reçues dmecteB)^|r

_ ai^bnreaux du journaL - ' - ■

Senlis, le 17 Février 1906.

Pour défendreles Mouchards.

L e do ssier de fiches qu e p ub lia it l’an u ée d ern iè re M. Guyot de V il­leneuve ava it été in te rro m p u su r la p rom esse q u e les m o u ch ard s et les délégués de M. Com bes n ’au ­ra ie n t p lu s le u rs g ran d es e t petites en tré es d an s les m in is tè re s e t les p réfec tu res.

M algré les déc la ra tions d u gou­vernem en t, q u i condam nait à ja ­m a is ce systèm e oflieux, le s blo— to r d s n ’o h t p a s tononcé à leu rs îprocédés de délation . D ans b to u - ço ttp de com m unes, le délégué, pèrsona p r o te - d e la p réfec tu re j co n tin u e d’exercer se s fonctions Jioas l’œ nSngilanrdeLÏadm iiaw îra- fioh qu i, para ît-il, eh tire u n p ré ­c ie u x parti.

C ertes, n o u s som m es le s p re - m ie rà à d em ander qu e le sS w n -i d a les qu i o n t affligé n o tre pays ne se p ro longen t p a s indéfin im ent. A l a su ite des fa its que l’on connaît, u n e sanction énerg ique s’im po­s a it ; il e s t à reg re tte r que lesrfdnc- t io n n a ire s du cab in e t R ouyier a ie n t c ru devoir p référer à se s in sr tru c tio n s cèlles de MM. Com bes, Audrié e t P elle tan i

P o u r ces m otifs, M. Guyot de V illeneuve rep ren d la publication d u do ssie r que B idegain, l’ancien a sso c ié de V adécart, lu i a tran s­m is- Q uand l’orage écla ta com m e u n e bom be, enbon. Quftdd Tbonorablo dépu té de la Seine dévoila le s ag issem en ts d e la F ranc^M açonnerte , c to rg é e p a r , le général A ndré d ’étab lir le ^ b l é a u d ’avancem ent des o m - e ie rs , ce fu t u n « toile » général.

L ’opinion publique, révoltée a l’idée que d’honorab les officiers ou fonctionnaires étaient, liv rés à

■ la m erci de vu lga ires m ouchards, c loua ces d e rn ie rs a u p ilo n . Les ^francs m açons, îè® bloçardg é ta ien t d a n s la consternation .

A la ch u té du m in is tè re de la dé­la tio n , les esp rits sè ca’m èren t, r a s su ré s p a r le sd é c la ra tio n sn e tte s e t ca tégo riques du cab ine t R o u - Yier, qm r<^püdiait hau tem en t ces i o u î e u x procédés. ,

Mais tes sec ta ires d u Bioc ne son g en t pap à renoncer à ce qu ’ils c o .nsiJêreht com m e leu r ju s te p ré­rogative, et, m ieu x qu e cela, ils o b t l’ap lom b d ’affirm er que les B iûuchards so n t d ’excellen ts dé­fe n se u rs de la R épublique.

C 'es t s a n s doute à ce titre que c e r ta in s d ’e n tre e u x o n t v u leu r b o u to n n iè re s ’o rn e r d u ru b an ro u g e o u violet, rése rv é j n ^ à ce jo u r a u x g en s n ’ay an t pMtnM*<lbôavec l’bpnb.étu^'

m a is le confrère perd tou te notion de bon sen s q uand il approuve le m in is tre d e la G uerre d ’avo ir eu recou rs, à ce t égard , à l’officine de la ru e Cadet. N ous n e voyons pas pourquoi il faisait in te rven ir, en cette occu rrence , des élém ents é tran g ers à son m in istè re . L a com ­m ission de c lassem en t, les com ­m an d an ts d e co rps d’arm ée, les généraux e t les colonels é ta ien t to u t désignés p o u r les rense igner suffisam m ent. L es V adécart, les B idegain et leu rs sou s-o rd res n ’a ­vaien t aucune qualité , au tre que celle de m ouchards, p o u r fou rn ir des rense ignem en ts su r la vie privée d’bonorab lss officiers, par­faitem ent lib re s d ’a s s is te r à la m esse, de fréquen ter le tem ple ou la synagogue, e t d’élever leu rs e n - en fan ts à l’in stitu tion qui leu r convient. Sous u n rég im e v é rita -

'b lem én t dém ocratique, resp ec tan t la lib e rté individuelle, le fonction- b a i re ou l’officier possède u n dro it indéniab le, ce lu i d e p ra tiq u er et de p ra tiq u e r au x s ie n s la re-^ lig ion q u i la i convient. L e systèm e ch e r a u x b locards e t au x f ra n c s- m açons a su rto u t p o u r b u t de donner de l’â'vpbcoment à leu rs adeptes, à l’excm sion de tous ceux q u i n e p en sen t p as com m e eux.

L ’agence V adécart don n an t des no tes s u r les ap titudes profession­nelles des officiers, e s t u n e chose inconcevable qu i soulève l’indi­gnation légitim e de to u s ceux qui on t le souci d e sauvegardér l’hon­n eu r de l’arm ée ; c’es t u n scandale public , e t nous n e com prenons pas que d es jo u rn a lis te s osen t p rendre la défense des m ou ch ard s voués au m épris de l’opinion publique. La p la id f'ine 'le la R ép u b liq u e de l’Oise en faveur des f ra n c s-m o u - cbards es t p iteuse , cela se con­ço it; pou r rem p lir a u m iç u s ce rôle si ingrat, le confrère se paie d’audace e t p ré ten d que si le dos­sie r de M. Guyot de V illeneuve doik sou lever u n toUe général, c 'ést .contre les v ic tim es des déla teu rs at non con tre geiix-ci. A utrem ent d it, qn ’on décore les in o u çb ard s et qu’ob m ette à la réform e les pffl-

. c iars v ictim es 4® Ih délation , telle est la logique don t s’in sp ire 1 or­gane de MM. Noël, B audon, Bouf- fa u d e a u e t C‘". ,

A p iès celle-là, tiro n s l’échelle!J.OUP BERTROZ.

Les FiaLes de délation.En 1903, M. Ledoax (18*), succède à M. I ^ u -

Te«n ci)iai9 $ Ténérable de la Loge « La P a r­fait» Union *. M. Ledoux es t professeur à l’Ecole national» ^’agricn ltn re 1 I ^ n e s .

U . Ledoux e s t lin 4* principe». Um’adinet pas la duplicité do» F*** *

Chose assez singiültoe, U su->«1 . .— Aistamoi n*A nOg

ItgniWlcitio'n des_flchet,n’a^ça8 seole-»-snaot ledojï de souléver l’iudtgna-

éifcite 'li Verve ffe: tortates JjltoéHer cmi ferafent mieux de

■possède p r to d ad jourd ’J ïu t le u r défefatoî: t o l a m isurprèhd personne*

Le géniSral A ndré, d it-e lle e u* n b s ta n ce ,u v a it beso in de se penr

-éeîiKbar s u r la v a leu r d es officiers! 'q if i^ o n t p lacés sô q s to® ordrM ,i ’b’é f t i t so n d ro it e t so n devoir ;[

• t T o t. k to u . U t couT eat. c o n tn U -B borti d u s r a t iq o u c u ltu h lw l a i t t d n aux Fr.-.. Da BtdiM. H b i t M t flcha. lulHudma a t prand. • o lB d t l f iifUjljir.SBflO i U M gna..., e t qui

' • ■

ca 2 i tp t tm b ta iâOS,

^ j p i à t . i ù rm â tig n é a u n t» q w ' Vou» o rW u d a m a u d é t.:J a n g n t t . da S & o i r pu

, T o n a la t^ o u a e r ^ a . td t . n t l . Ja te n a it à j a s ■raudra atoi-m èm a e t i . l u coutroU r pour ftm oârta ia da leu r u a e t i tu d a ab to lua. D au t

jtû iaco n u u a R e n n u . ca n 'a t t p a t tou- ftcj e- f . . . .

éuulez agréer. T .:. C.% F .l , l’assurance de tnes.aentixnènta fret.*, p t Ips pJn» dévoués.

. , tt > Lw o^.EtàUmajor. — H. Pretet» com m andant n .

C. — R étctionnaîre , en tous ca» antiininis- té rie l e t ne se gène p a s p o u rla is se r paraître . C lérical. ^ •

i i f infaaterie. — M, P ougia de la Mawon- neûvé, com m andât* H.é&ctioncaira clé­rical.

n v

E n 1904, M .'A badie succède au F.*. Ledoux coapme vénérable de la Parfaite Union.

I^ e s t donc à son nom que le G ru d -O rien t flaqt*! dès cette époque, les ren se ig n e m en t qui lu i parv iennen t su r les officiers de la ré ­gion.

L’adresse de la Loge e s t égalem ent modifiée. Elle e s t ainsi conçue: M. Parfôn jeune, 13, Mail Donges. » .

M. A badie (M arc-Guillaume-Robert), 3*. est ingénieur agronom e e t professeur de génie ru ral à l’Ecole nationale d’A griculture de Rennes.

Abadie, Rennes.20/4 1904. — 7375. . ,

41* in f .nterie. — Brière, lieut.-col. — Clérical e t réactionnaire. Ses deux fils son t élevés au collège ecclésiastique de Saint-V incent, A Rennes, établissem ent bien connu dans la ré ­gion comme fo jc r de réaction ; il 'a refusé de les re tirer, m algré les conseils pressan ts du général en c h e t Homme froid e t peu commu- Btcatif, ne dévoile pas ses opinions, a u moins à re c les gens qu’il ne connaît p as. Certains prétenden t qu’il e s t m ené p a r sa femme, ins­tru m en t des jésuites. I

Àbadie, Rennes.7375. — 23/4 1904.

41* infentcrié. — B e Goy, com m andant. - - Homme trè s superficiel, clérical, trè s lancé dans le monde réactionnaire ; a été com­mandé, au m ois d’octobre dernier,* p ou r con-duire un détachem ent chargé d’é p p u je r les au to rités pour l’exécution de la loi sisu r lesassodaiions. N’a m arché qu’après avoir - con­sulté quelques offîciers frequen tu^ le '^m èm em onde que* lui, m ^ a exprim é, L m T x S o ü T iS r î n â i î ^ d ë ’ a l n t Drieu:,'.où Ude ses subordonnés qui mardiaieBit e v ec ^ iu t « « t. V u tl-le dégoût que lu i in sp ira it p a n il^ M r^ce.'Depuis cette époque, le com m andant de Goy acherché à tire r p a rti de l’exécution de ce ser­vice en p ré tendan t qu’aujourd’hu i les portes du monde où il fréquen tait auparavan t lui étaîent.ferm ées. Allégation absolum ent fausse, puisqu’il continue à e tre reçu à b ras ouverts par les m em bres du clergé.A badie, R ennes 23/4 1904. — 7375

R E N N E S , 41* IN F A N T E R IE

Lieutenant-colonel D ueàtte, — Clérical e t réactionnaire. A une conception é tro ite de l’arm ée; affiche son m épris pou r le c iv il; le p rê tre e t le noble seuls trouven t grâce auprès de lui. Critique violem m ent devan t ses infé­rieurs les actes du gouvernem ent e t, p a r ses m anifestations continuelles, fa it une véritable propagande antirépublicaine, ce qui ne l’em- pècne pas de changer le to n de la conversa­tion lorsqu’il se trouve-avec des républicains qui peuven t ê tre influents.

Commandant Gaudel. •» Noyé dans un mi­lieu réactionnaire, se contente d’approuver les déclarations des gens qui l’en tourent.

Abadie, R ennes tl/3 1904. — 8342A I N T - ^ A L O — S A IN T -S E R V A N , 47* D’IN E A N T K R IE

M . E ftrabon, liey,tenant'Colonel. — Ne fsit pas m ontre de ses opinioas. N’est pas clérical, v i t dans l’isolement. Assez d u r pour ses hom ­mes.

M . Feudière, lieutenant-colonel. — Clérical acharné.

J i . Braulty commandant. —Clérical acbam e.Af. H enry, commandant. — Clérical an ti­

gouvernem ental m ilitan t. En 1903 é ta it parm i les m anifestants à l’église de Sain t-Jouen des Guérets, commune de Saint-Servan, lors de l’application, dans cette commune, de la loi sur les congrégations. Il a un fils qui est en­tré è Saint-Cyr après avoir fa it ses études dans u n établissem ent de jésu ites . Il a encore un ô 's au collège congréganjstedç Salnt-M alo. Depuis u n an, il e s t devenu prudent. 11 ne cri­tique plu» le gouvernem ent qu’en « cham bre »■ on en « lieu sû r ».

M . G uirin, com m andant. — A ttitude cor­recte, c’est-è-dire qu’il ne critique pas les actes du gouvernem ent e t n ’affiche pas des ten ­dances cléricales. A u fond, réactiopuaire so n fils, âgé de 14 ans, fà it ses études' au collège congréganiste de Saint-M àlo.

rac tè re fau x e t sans v o lo n té .A ^ e s ^ n tim e n ts nettem ent réactionnaires qu’il cache au tan t que possible dims le désir de m onter en grade. S’e s t signalé pendan t les expulsions l e s frères de V itré p a r sa m auvaise volontée t son a path ie .— ---- -

R olland de Chamhaudoin, commandant. V ien t d’è tre m is à la re tra ite . E s t sous la do­m ination absolue d u clergé. A m anifesté ou - vertem ent, sous les arm es, en faveur des congrégations, lors de l’expulsion des frères de Ploërmel. te n an t école à V itré.

De R obert de Châtelet, lieutenant-colonél. — Sans caractère e t sans énergie Clérical e t réactionnaire è fond. A bsolum ent opposé aux idées républicaines.

Bourdeàu, Colonel. — A fa it preuve de fa i­blesse en diverses circonstances vis-à-vis d’officiers cléricaux e t réactionnaires, lesquels le dom inènt com plètem ent. Continue à mon­tre r djin« ses parolés une hostilité m arquée envers le gouvernement.

Abadie. Rennes.14/5 1904. — 8564

S A lN T -B R IB Ü C , 71* IN F A N T E R IB

Mi, de la M otte Rouge, commandant. — Clé­rical. V it parm i ses paren ts e t am is qui as- s is ten tà to u te s les processions d u paye, même celles des Rogations. A envoyer dans un paye de eocialîstee, e t au plus v ite . . • „

Lieutenant-colonel Hotié. — Très-nouyelle- m eat arrivé a u 71*. souvent m a lada Clérical.

i f . AH'.x. commandant — A qu itté le 7Ϋ, est actueHement com m issaire du gouverne­m ent au M ans. Clérical. . , ,

De Rebien, commandant. C lé m u . de p r ^

Sormi ses paren ts e t amis, tous c'éri* itants. T rès cassé ; à m ettre à la re ­

hab ite eaux m ilitants, tra ite d’office.

Abadie, Rennes.24/5 1904. — 9025.

G Ü IN G A M P , 48* IN F A N T E R IE M, P aren ty , commandant. — Très clérical. M , Lam eyt commandant. ^ Douteux.M . Potier de Coureutlcommandani. — Clé­

rical,M . W avrin . commandant. — G érical,M. L e Tulle, lieutenant-colonel. — R ëpubli-

crin.’M . Raffenelt lieutenant-colonel. •— B on répu-

Mlcain- . ,M , Vermeil d ^ Couchardf eoloneh -v T rès

clérical»Abadie, R ennes;

20/4 1904.- r 7 1 ^ . ‘V IT R É , 7C* IN F A N T E R IE

De Sonie, commandant en retraite, — Cléri­cal m ilitan t.

Germain, commandant. — D’une inconsé­quence, de langage qui prouve son peu de su ite dans ses idées e t ses opinions. S’est p la in t sbuvpdt de cg qu’il a p p c |le . « l’fs p rit m ilitaire nouveau ».

Lf-eureuil, commandant. . Tiè» réserve, opinions politiques peu nettes;

Jdbuton. commandant. — A proféré à p lu ­sieurs reprises des propos hostiles au gou­vernem ent e t aux officiers républicains, Ca-

LA LÉGION D’HONNEUR■. • I

Paris, IS février. — Comme on l’a an^ noncé, le conseil de l’ordre s’est réuni mercredi matin, sous la présidence du général Florentin.

Les membres du conseil de l’ordre, des leur entrée en séance, ont décidé de gar­der le secret le plus absolu sur leurs déli- tiérations,'de taçon à éviter les indiscré­tions fâcheuses de la semaine dernière.

Nous croyons cependant savoir- que le conseil de l’ordre a ratifié les propositions du ministre des- finances et a donné son agrément aux croix prises sur le COTlingênt spécial du président de la République. Par conséqueHt, la proposition faite en faveur de M. Emile Combe, rédacteur au Journal des Débats, efqul avait été refusée au der­nier conseil, a été approuvée.

Le conseil est également revenu sur sa décision en ce qui concerne M. Paul Slou- uet, sociétaire de la Comédie-Française.

On dit, d’antre part, que plusieurs an­tres « refusés » du ministère des beaux- arts auraient été acceptés.par ie conseil.

Pour d’antres candidatures, notamment pour deux ou trois émanant du minist-ere de l’intérieur, et qui avaient été rejetées la semaine précédente, le conseil a de­mandé la communication de certaines piè­ces, ou des éclaircissements sur jes états de service consignés dans les notices.

l.’arrèt do conseil pour cette catégorie de candidats est donc ajourné à une pro­chaine réunion.

Il semble i|U’en agissant ainsi, les mem­bres du conseil de l’ordre ont surtout voulu éviter un conflit aigu. Y ont-ils réussi ? C’est ce que l'on saura bientôt. Le conseil des ministres doit s’occuper, en elïet, la semaine prociiaine, de la situation qui est créée au gouvernement par cer­taines décisions de la grande chancelle­rie, ■ ■ ■ •

L es tu l l l . te s lyonna isLyon, l.ï février. — Les fabricants de

inlle ont tenn. ce matin, une réunion a u cours de laquelle ils ont décidé de suspen­dre tou» les ponrparler» ayec les maître» tnlllstes, tant que conx cl s'obsUaeront & ne pas rendre les pièces en cours d eivdn- tion. * , .

Si les maître» tnlllstes nereven-iientpas ■upcette décision, les fabricants auraient rinteution de faire jolntibnner le différend par Te tribunal de commerce, -la grève contlnné sans incident, , ^

inq i^pnfÿ à P r a d e tPrades,14 février,— Sept cent» ouvriers

mineurs en grève ont parcouru les rues en chantant V In te rn a tio n a le , pins sont allés devant ie domicile de M. Dincur, di­recteur de la Compagnie minière, et onf lapidé sa maison,

i,es gendarmes ont cliargé, blessant un gréviste.

ün gendarme a été blessé d’un coup de pierre.

Cannes tan t lumlSre 'Cannes, U février. — Les onvriers dn

gaz ont commencé la grève. La ville est plongée dans l'obscurité.

Les ouvriers ne formulent aucune re-' Tendication, mais' ils ont vouln sé .solida­riser avec lenrs' camarades d’Antibes qni demandent une augmentation de salaire. ;

Paris, 15 février. — Dans le courant d’octobre dernier, un vol s’élevant à 3,800 francs était commis à l'Ecole polytechni­que au préjudice de la caisse formée par les élèves pour venir en aide à leurs cama­rades dans le besoin et secourir les famil­les malheureuses àvoisinant l’Ecole. Une porte, une armoire et la cassette où se trouvaient les fonds avaient été brisées pendant la nuit.

Les soupçons se portèrent aussitôt sur un élève de l’Ecole, un boursier nomihé Lauret, fils d’un recteur d’aciutémie. Les agents delà Sûreté le prirent en t filatu­re > et après cinq mois d’investigations ils . réunissaient contre 1 ni un laiseeàu dé preu­ves telles que le général’Lhérftiér, com­mandant de Polytechnique, faisait arrêter le coupable,

Lauret commença par protester avec in- dignatioir; mais, hier, pressé de question» par M. Guernet, commissaire de police dn quartier de la Sorbonne.il a fait des aveux complets, et sur l'ordre du général Dessi­ner, gouverneur de Paris, a été écroué à la prison du Cherche-Midi. . ‘

La Conférence d’Algésiras •Commaniqué ofHolel ,,

Algésiras, 15 lévrier, — La Conférence s’est réunie mercredi matin de dix heures à midi. . .

Voici le communiqué officiel :Dans sa séance d’aujourd’hui, la Confè­

r e n c e a poursuivi l’examen et la discus­sion du projet de règlement sn r le» doua­nes de l’Empire èt de répression de la fraude et de la contrebande.

Elle a adopté successivementles articles 14 à 27. Les articles 14 et 15 ont trait aux pénalités applicables aux complices des délits de fraude sur les mentions du ma- difeste et des délits de contrebande avec taculté pour la donané'de saisir le navire, rt le rem ettre à l’antorité consulaire du fort ie plus proche, ' s -

Les article» 16 et 17 déclarent que la na- tigation de (iibotage sera soumise au mê­me régime et que les liiarchandises de ca­botage exemptes de droits d’exportation tevront être accompagnées d’un certificat te sortie.

L’article 18 exige la consignation an port f» sortie des droits d’exportation pour les ,7iarcli.indises destinées au comiuèrce du caiiotage et soumises à ces droits.

Les articles suivants concernent la liqui­dation des droits d’exportation et d’impor­tation entre le Trésor marocain et les agents qui ont saisi la marchandise et les indicateurs qui ont amené la découverte de la contrebande du produit de leur V6n te.

L’article 20 précise que l’application du règlement dans la région frontière de l’Al­gérie, de même t|ue ilahs la région frontiè­re des possessions cspagaales, demeure l aftaire exclusive, d’une part.de la France et du .Maroc d’autre part, d,ç l’EJpagne et du Maroc, - ■ ‘

La Conférence a a d o p té deux nouveaux articles dont l’nn détermine la juridiction chargée de connaître des infractions au présent règlement et d’appliqner les pei­nes édictées, selon qu il s’agit 4’étranger» on de sujets marocains

1 •.

Un aiitre article â7 et dernier prévoit qae le règlemeiit pourra être révisé par accord entre le maghzen et le corps diplomatique è Tanger, après nneexpériencededetuani.

A la prochaine séance otficielle, samem,jt lobenrei, jilad ie rb ’d 'artijlé ' r î ie r jr i ïnsflu’ic r su f |e contrôle des opérations douanières et l’Ins­titution des estimateurs en (loiiane», a*” *! qne l’artiete 21, relatif à la responjabilité de la douane ppnr lacQnséryât'Qri dès mar­chandises, , ., j

L ^ a t t i t u d e d e M He R a d o w i t x <Alri^sirns, I-t février — .An ooqr§ de l-eq-;

"ïreviie d’avant hjer,'M. HfiüewUz a.en- tretcnu M, 'iiévcil d une manière très gé­nérale et i’a prévenu même qu’il ne taisait aucune proposition rrrme.

M. Revoit a {répondu simplement qu’il ferait 'part de la conversation à son gou­vernement,

élection du Kideat du SénttAinsi que le faisdfi piéiroir/lé

des groupes républictoUi M. à«to»»» J>a» boiit a été élu par Si< veix e n t i e r C 11. Bourgeois, S à H. F e y ^ e t.l 4

Les histituteurs ,et " la Dépêche.” te ToulouMb

Les instituteurs ont un organe'Icuse, qui s'appeUe rxrolc jétyMuaiGe journal dèdare la giuan i la Déjfitekt, en ce* teraios —

< Les instituteurs n’ayapt plus qu’an goût relatif pour le métier: de dupes ont trop lpngoe»nBat2^ :s n .:p M U n tila mot , Çordrê .é là D^pithe.-, vieneaÉW e décider d’une fa^n aussi tatite«to»3kt> uérale, d’atteindre et. de méter le ty rie- uique jommal„en faisant échee et u ^ t au

point in s t i tu ^ ^ iU ^ ^ S teautant que' son socialiste coqbnrrenti-aMds ce n’est ni pour, ni contre . iut-0u>iÜat qu’ils voteront et qu’ils feront yotw. ; 'è ^ t uniquement, exclusiTmneiticantrBnn jeUr- nal qui les opprime, qui les exécie et T«s méprise ».

Les hostilités sont engagées. Qni l’e n : porteraT ■q '

La Dépêche a Touiu faire des institntenn des agents électoranx. Ceux, .qui l’ont écoutée la combattent maintenant. Ans»! demande-t-elle que les instituteurs ahen* donnent la politique pour tetonntwi i l’écolè. ■ :

Pour une fois, nous sommet d’accord arec ja D^écAs de Toulouse.

Loterie des EdM t i e r o A .

Numéros gagnants.Le numéro 274.270 gagne 2SO.éOQ.,fr. Le numéro 2.691.965 g^gne 50.060 fir. Le numéro 1.598.866 gagne 'SO.OOO fr. Les 2 nninéros suivants : 3 9 3 .8 6 ^ ^

2.934.949 gagnent 5.000 francs. . ' - Les 10 numéros suivants gagnent 1.000

francs : ?3.063.i10 414.285 2.103.4313.563.575 2.324.307 1.743.'è(M.2.854.396 3.937.684

868.9ÔÜ 3.Î67.029 *Les 20 numéros suivants gaÿCQO x 600

francs : . •■e1.577.473 615.435 2.044.8693.862.703 837.508 2.034.'0C0-

449.026 2.241.886 708.74622.173 609.764 1.777.602

324.282 1.605.145 913.052r2.236.609 2.462.766 1 ,753 .6»

. 2.055.365 1.346.217

ECHOS aM *VELL^L<es n o n v è a i ix évéqucM i

Oa sa it que la lo i d t séparatidu M tsq s o n a à is le chef de l’BgUse catholique o taut libra da nom m er las é T è q a e a 4 t r ç ^ « : t a a a r RToir à s’entendra avec la

Le pape ao ra it déjà d è s i g d é ^ ' ^ ^ ^ t î ^ q ’ titu la ires p e u r les év lehés TacantSt -

intéressés o n t été a r i s é |, mata, désir exprimé p a r le S o u xara in -P o^ t^ tl Je secret a été gardé juaqu’à présent. ‘

Toutefois, oa annonce que.M - UifiieSe ;crré de Sain t-Paterne d’Ôrlêans, Vient, de r a n - Yflir de Rome u n aVis l’in fo rn ian t de sa no- BftlnatioQ épiscopaie. Lé nouŸel éTéque est u n des iprètres les plqa distingués djo. dipcèsa d’Orléans. ;- Le pape a exprimé à l’abbé G ibier je^dféfir de le Yoir à Rome pour y ê tre sacré. Ge n ^ a t qu’après cette cérém onie que M gr C^Jj^er pourra indiquer le diocèse don t il s e r a is pas­teu r spirituel. Ji

FiüiLLrton nu COÜBBIMR L’OISÈ (05)

;. - PA». S é a e i . D S M B D S B .

- - .î* . iC tl- • .

PU iX IÉliS PARTIS

IVu LrVBB

(M ite)

Choisir son m om ent... P a s de lo- -leO... Bêle le soleil... Nuit;..-M-ratral...-B u ... h u ....h ù ... hou... h o u l.. Goimne t a th a n te su r reau qui ise ^ lam tl Elle

' S e . , la « verte! » Elle emrageL.iElleécum e!..B eau!.. C eatbeauL .Sauvew , •cul, au milieu de tout ça... large l.. Lal a n t e r n e , point rouget-. H u...E tt«> ta...

1»«®* HnfJ* "• “• T n voudrai» Wen m e reM erser.ihem • l i ^ h e , m a veille !.. C o m m è re BMie l H èin, comme ra ron le ... ^'venx-ma carcasse !.. T u 1 a u ^ !••4e Mercédés !.. P lu s detenaiU es...P lus de fil» de forçat !.. Délivré, Sauveur !.. •

C l S D i f a n ^ e n t L

f i a r a , pour risquer sa peau, tou» les

Lettre*.

lU j [oetieB

matins, et pour faire manger du poisson frais à ceux qui ont de l’argent, assez pour cajoler Mercédès!.. P itié !.. Te­naillé !.. P as le sou !.. .Racaille !.. Mer- céd is!.. P as si bête... P as si bête, la jolie fleuriste !

H se tu t et demeura en contempla­tion;

Que voyait-il îSes deux amoureuses : la femme et la

mer, et il leur souriait, charmé et irrité* toiffA tOur.

ü n instant, il s’assoupit su r sa chaise.11 se réveilla en sursaut. X

, — Ça y était I Je faisais la culbute ! Quand on pense que si c’était -vrai, ça xersât fini à présént ! Dommage ! Dom­mage ! Partie renzise ! Bientôt ! Bientôt C’est décidé! Ça'-vaudra mieux ! L’aînt et maman, tout de même, ils pleureroni le v misérable ,! »' T out à coup, il lu i ■vint une idée ba- rbque.

— Avec tou t ça, je n 'a i pas raccom­modé mon filet! reprit-il. Si je na’y m ettais î Pourquoi pas ? B e ig n e faite n’éât plus &: faire, comme disait je ne «ni» plus quel imbécile! Ouste, mon

-vieux Sauveur, travaille.' B passa dans sa chambre, d’où il re ­

v in t avec un filet de pêche, qu’il étendit sur le plancher.

_ Trois mailles seulement à refaire. On se couchera après.

Lors, o u v ran tru n des tiroir* d a buf­fet, il y chercha des aiguilles etdujti*-

Mais il y voyait mal', car la lainpe était restée sur la table, encore servie, ç’est-à-dire loin du btiffet.

E t puis, il brinquebaUait, de plus en plus ivre, ce qui le rendait maladroit. ^

D'ailleurs, le tiroir où il fouillait était rempli d'objets div ers qui devaient gêner ses recherches.

Il contenait, notamment, plusieurs volumes... que Sauveur, impatienté, saisit enfin, et jeta, rageusement, sur la table, à la volée, et qui vinrent heurter les assiettes.

Il sourit, amusé, goguenard.— Il» vont se figurer, là-haut, que le

< miséraÛe > casse la vaisselle ! fi: il.Il trouva, soudain, ce qu’il, cherchait

une aiguillé et du fil.Il se rapprocha de la table, devant

laquelle il s’assit, après avoir ramassé son filet, qu’il traîna derrière lui.

Puis, le cerveau lassé... -vide, il sc mit à l’oeuvre, machinalement, en chan tant, à demi-voix, un vieux refrain de pêcheur :

Le jo u r s’achèye ;L’astre aux reflets d’argent S u r le flot vacillant

A u lo in se lève..;M a barque agile e st là.Se balançant déjà :S anta-L ucia la guidera.

L a flamme de la lampe baissait, et. p ar suite, dansait, sans interruptior, ce qui fatigua bientôt les yeux de l’i- -vrogne.

— On n ’y voit goutte !.. Tout tourne... J e suis gris, c’est vrai : mais c’est aussi la faute de cette sale camoufle qui pique ;Vjti_cbahut du diable ! Danse si tu veux. va ; Cadet Mouraille est entêté, il 'vei t raccommoder son filet,- et, quand lo toimerre y serait, il te raccommodcre.

Ah! mais! Il faudrait mctu'c la lampe plus haut. Attends un peu...

Il regarda tout autour de lui.Jtl aperçut, sur la table, les livres

qn'il y avait jetés, un instant uupara- vant. . . .,

— La distraction du capitaine ! fit-il en ricanant. Il en mange : c’est ça qui le rend poseur ! Attends ! Au moins, ils me serviront à quelque chose !

Il saisit les volumes.Il les posa l’un sur l’autre.— Ça ne sera pas aussi haut que la

tour Eiflel, mais, tout de même, ça suf fira pour élever cette sale camoufle ! Espèce de maladroit ! Sauveur, mon vieux, tu as des mains en coton, ce soir !

Les trois livres avaient roulé sur le plancher.

Non sans peine, l’ivrogne les ra ­massa.

Mais, tout à coup, jl tressaillit.— Nom de nom ! s’écria t-il.L’un des volumes, qu’il n’avait pas

remarqué, tout d’abord, s’était trouvé sous ses doigts.

— Je le reconnais !E t, pâle, il répéta :— C’est le bouquin que l’aîné lisait

le soir du...Il était tout bouleversé !La vue de ce livre l'avait subitement

dégrisé à demi, en lui rappelant un ter­rible souvenir qu’il s’efforçait de chasse r de son esprit.

— C’est ce bouquin qui est resté su ' la table quand le père Marins est entr : dans cette maisou d'où il ne devait plu ' sortir vivant l

Machinalement, il ou-vrit ce volume.

Qu’a t-il donc îSes yeux se fixent sur l'une des pages

du livre.Il pousse un cri formidable, une so , te

de rugissement !Ce cri est u n cri de joie ; plus que de

joie, de triomphe !C’est im hosannah : c’est un hymne

d’allégresse !Son ivresse s’est dissipée... complète­

ment.A présent, son visage est rayonnant.Il se lève, tremblant... frémissant, et

d’une voix retentissante, de sa voix de pêcheur habitué à crier dans le vent qui hurle et siffle sur sa tête, il appelle :

— Olivier ! Olivier ! Maman ! \ Ma- an !Son appel a été entendu.Il ouït du bruit, là-haut.On vient...— Ils vont descendre! reprend-il,

joyeux. "Voilà une trouvaille! E t c’est moi qui l’ai faite ! Jou r fortuné ! .

Il estime que ceux iju’il a appelés n’accourent pas assez vite!

C’est qu’il est impatient de leur m on­tre r sa trouvaille !

Alors, derechef, il crie, plus fort en ­core :

— Olivier ! Maman !Ah ! cette fois, ils descendent !Enfin ! Que de tem ps perdu !

Soudain, Sauveur frissonne. Sa phy sionomie, si belle, si radieuse, fout à

: - ■ K >=■ ■■ ■ d î t l’heure, devient effrayànté.'Un 'soxïft» hidiux fait frémir ses lèvres. Ses ÿébx se sont injectés de sang et luisent dans le clair obscur.

— De l’argent! m urm ura-t-il. J ’en aurai ! Mercédès! Non! Canaille ! N on! P ourtan t... '"

Evidemment, une lutte terrible s’c it engagée en lui, c’est visible !

— Il en est temps encore ! repreâd» il, te n’ai rien dit! Cadet M o u c â te : Réfléchis ! Ils viennent 1

On eût dit, que, maintenant, il trou­vait que ceux qu’il avait appelés avec tan t d’impatience, tout à l’heure, arri» valent trop vite !

— Ils viennent ! dit-il. Si je me tai­sais ! Non ! Mercédès ! De l’argent ! J 'en

Je l’a'uroi !*Jé! me* .-il ■■aurai! Je l’aurai! tairai ! Les voilà !

Tète basse, plus titubant encore que lorsqu’il était ivre, il cache le htaiè,'liste, très vite. , __

Cependant, Norine, tou t apeurée, e l Olivier -viennent de paraître. .,, , ,.i {.

— Sauveur! Sauveur! dit là 'm ère l (Ju’as-tu donc? Qu’èst-ce qui est a i^ rivé?

Elle est mère, n’est-ce pas ? .Il a eu beau se m al conduire, sps.ea<l

det : Elle l’ainie; c’est son fils, .^eipNs tout ! Déjà elle lui a pardonné aa-'der^ nière frasque ! Elle était inquiète, làrhàut !,ÈUe 0 9 répétait, avec angoisse

— Que.fait-il? Je 'T a itrop brataflaét J" ai été coauvaise ! • '

(A suivre.)

Page 2: élection du Kideat du Séntt - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1906/bms_js_1906_02_18_MRC.pdf · Paraissant la «laikil et te Dimanclie. JO U R N A II R é d a c te iü ' é

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: i f iy g w 8, à â IL1m m

L E C O U iijU lüil L E L 'O iSEitT iâê. W m

i'6l aHuentt et 8 ejoiUBis.)Qh ü : L n i^ T ^ t 8 E . m (887 COU-

e r l ^ ? 8 e jM a n é f .)

m ÿ e ÿ t c h i l B ê n i t

lu d o n ."8* bnnen : M. Gaillard.9* b u e ra : H. Andigier.

i* Imreaa : M. Cnrinot.S* bnrean : MM. Dopont et Noël.

|C k > ii8 ^ a o u j l c l p a l d e S e n lie »' :Sesèi«i*-de t t r r i e r 1906.

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de^eL jp^sten t S i^ o b e t ie n d e )e .$ « tr . ^ S o b n M com inêrce entee la F tan çe e t i e

r d e s ékvnié», «*a ÿ é s ^ i ü ^ é .dèpu tË i de VOise o n t Toté contre.

e» S c ru tin s u r le p ro je t.de lo iM r te n te p ^ e * DTetttidn -de-fl6M bg |cff en tre le

-xftie .' : .-■ • t *'•___________) des*députès a addpté.L es d o u té s de PtKse e n t Toté peur.

TA SSaneé du. 13 JéoHt^.— S c ru tin sur4^«Braidenient d eM . D orm qj

, > tendent'à la suppiiessien de la partie de88 (lefreites .’oûTrières], aonsi c o n ^ a :

- âtwrf t ^ a u x m éteyers ou cM oos -perfiâTes» 4 to u te s t e lo is q u ’Ss n’au ro n t pas de oaüd*una

'd te é e supérieure à tro is ans. »'■ t h C H âitire 'des députés n’a p a s adopté.

O nt Toté pour .* MM. Audigier» Dusquesn■« TtanArryATiTt. ~

A' Tolé contré ■' M . Bàudon.Scru tin s u r l’am endem ent de M . L u c i^

C om at, miôdifié p a rM . Lam endin, au cbep itre- ^ èS S d u ^m d ^ t de r in s iru c tiô n p u b l i é e (exemp­

tio n des & ais d’ia te m a t.)<XA.Qiemhre des d épu tés a adopté,

^ ' ^ â t . ' î b t é pour: M M . Audigier» Baudon» > D iM jte ie r6 t^ tH à le ld .4 . A -yoiéiceittre'rML H eudricourt.

tî'i p IWl^^éféotMrâ* M. M,esrin9 çpn- ARMlAf 'ÿ ré lbè tiré de l’Oise, ^ no iài^

.-.i'æniém ee foàetiQiis dans la Manche, iFest %«B{d8eélitf V:'Pascàl, conseiller de pré- ^ p ao re dn Vanelase.

.■’s < ê li« tifn e« f* r jd 'ln té r t t looal. — Bésnltats de l’aploitation pendant le !*■

âinéés t90S490i. ' f ^ W ^ a ^ i e de chemin de fer de B u^y i ^ c È î u . — En 1905 : Frais d établissenmt, ^ ^ Ï:7 Ï3 fiancs. — Becettes, 43.5i9 francs'. ^81 ÔëpopMS, 47.000 francs. — Exc^ent ’l t f r d é p é ^ , 4.454 francs.^ IB n t^ g t Frais d’établissement, 967.713 francs.—^Recettes, 44.814 francs. — Dér

^9 Asàs> 47.000 francs. — Excédent de dé. yanses, S.48S franesl ''^XMiipagnie des chemins de fer de lUillu

-^é Formerie et de Noyon à Guiscard et a t tassigdy. — En 4905 ; Frais d’étabUsse* 4W>nt, 4.967.998 francs.— Recettes, 77.638 i'flmaes. — Dépenses, 81.865 francs. —■

S é a iije ^ ^ ; 80 fé v r ia , à bnit: henres eiHêmiê dû soir.

OBDRE DU JOUR : imisatlon Æon secrLaire.

ixpmçnanoBt; d« t e m r i u a o zs i déménié âe loCatlôn p u bûl.

ComptaUliU. — D ip e n s à ra p ii ie n re s à 300 fr. à faire sans ad jad ication n i tra ité . — M utualité scolaire : Im pressions à la charge je la V ille ; O n . . r t n r . d e crédit . A liénée :-

. f t a i s - d e iia i teiueu l eu « ^ ^"O uY ertore de

Excédent de dépenses, 4.237 francs. î t ï i S a ^ O t T F ^ d’établissanént, 4.957.963

francs.— RetÉtfés, 74.891 francs; — Dé-> _nm eg,78R 98francs. — Excédent de fré ' jgMMs, 7.547 francs.

dis chemin de fer d’Eslrées-i Saini-Benis à Froissy, — En 4905 : Fraiü d’établissiune^^3.16jA4>2ft francs. — Re.4 eettjBS, 4â.32slrancs. — Dépenses, 59.089 f ra ë s . — Excédent de dépenses, 9.764 tri

:ii. <'& 4904 : F rsit d’établKsemsnt, 3 milr .^Ugns 469.964 francs. — Recettes, 55.838

I j ^ e s . .Dépenses, 61.377 francs. — ^ é é d e n t de djépenses, 5.539 francs.

i,T ' Chemin de fer de Miru à La Bosse (sec- 'W n de Mém à HesnU-Tbéribns). — En

4 ^ 5 f Frais d’établissement, 1.495.000 fr. — R écités, 30.548 francs. — Dépenses, 32.382 frabcs. — Excédant de dépenses, 4.834 francs]

Compagnie du chemin de fer de Hermes ' ^ Beduniçnt. — En 1905 : Frais d’établis­

sement, 8.427.082 francs. — Recettes 7E,438 francs. — Dépenses, 50.000 francs.

Bénéfice, 28 438 francs.En 4904 : Frais d’établissement, 2 mil-

Imns 427.082 francs. — Recettes, 75.696 frnnt». — Dépenses. 50.700 francs. — Bé' Péfieei, 84-996 francs.

-E x p o sitio n univopseile do Saint- n u is 1 3 0 4 . — Dans la liste offlcielle ça récmnpenses accordées anx cellabora-

'tenrs de la section française, nous rele- Tons, ppnr l’Qise, les noms suçants :

Mon^fMture nationale deJBeaujais,. Grand ir ix . M. Badin, directenr. "Médailles d’or. — MM. Léon Cantrel,

•Mtaf deeatsliers; Pécheretet Carbonnier, - -d b M i d ’M ditiTa

T Bédatlies-tt’argent. —MM. Em ilelitier, t’jMrdtis tfiief d’atelier ; Paul Mahn, Cartier

MédailleSMé’brbn'zè. — MM4 Bontté et ''^dm ond LiTier, artistes.

' Maison Uaurey-Deschamps, àTrie^Château.

. î Médaflle d’or. — M. Robert Manrey.Médailles d’argent. — MM. Léonard Bi

'‘•net, AcblUe LéSobre, Jules Bizet, Hlppolite "■pntrelle,Paiil LOtoEy, Hippoljte Forél,

‘pb Bi^.'M llies Emestiné Baèr, Anne Wièr', ■ MM .^ Julien Cantrel, HenriBchandi, Henri Dnmesnil.

MédaUles de bronze. — MM. Alfred Bel- ^ K d , Gaston Gossein, Camille Fndiet,

MmeMiiie Blaret, M. Alexis Blaret, Mme M. Anatole Gêorget, Mme

r i f r a ^' Usine Daydé et Pillé, à Çrnl.

yM éé^es d’or. — MMi^nsmVô' Gfrard ■^Touifî&éanéi Joseph Collin.

'ÿfaison Masèimé Clair, à Créÿy.§nff7alois. ^..^Médailles d’or. — MM. Léon Bordierj ‘"'Denis DelaJtre, A. Schmidt et Engint .îjteBraiid.e^Mason Uarchand-Hébert, à Andeville.

Médailles d’à r^ n t. — MM. Alexàndri -’UffrnifiT. Albert Lecopte et Aimé Branre e^v^fediERs de bronza. — MM. Edmont -ffmniaiWGeeiges Bastgrd.

Maison LouisSoualle, à PontSaïnte-Maxence,> d’or. — M. A. FasijueL

ülie d’argent. — M. R. Fasqnel. et;-.Tons nos eoinpiiinsnts à ces déTonfi .«jèHaborateari'

j | n é r 9 lp0 d u 'C o n se il de R6»lslbn

Betz rlo n d i 49 février, i 40 henre«'(85 conscritspt 49 ajonrnésA

NeniUy-éfr-TEèJlec Mardi 20, & 4 0 h. 3/4 ‘•ykd^nÊcitte et 24 sjàurnés.) ■*p^Bailî^-fé-jpîndonin“; Mercredi 21,

9Üdnscr!ts'èt.4D ajonrxtâs^)'

.■i-’-Cr^y-'OD-TMois ■- Ssunédi 3 mars, S eonst!disjt;29 #nn> és. !

m ie rto n r, deiBÇ(m fine pas néccsmter u n second tour? L . B.

_ 'ï ittu UHBlénfààcainct e tS ô p i ta L ^ Compte ü# ;% tfsd^jdeM .-Jussem urt A y û à donner. ~ S e c o u rs '« é p tin e t « n 'in éd lcsm en ts : O utsT ' tu re .d e ç ç ^ to n p p lém en ta ire s .

^snMiôttce «iéoteaZe.- —• RéTÛiqn annuelle. Atettteéée <ôî^’'vùéurabZef. Placement à

M tetxeuiL-- ;A »yteJ pem#gd^ 4e sagsto d’ineorpora- tîetf'.'^Mldce^ns'^joûi'nilières pour soutiens de famille» de dispenses de périodes d’exer- dcese

Rappelona -que àmfûàa aura lieu, dansles çhctGo-'u^ de.'Cénton, l’élection âfi Trlbtinâl dé Conùnérce, d’un juge ènpidiiant'j^our rem placer M. Fiez, élu |d |e '; i p id ^ e . bJfHjt» né saurions trop êngagérJÙia.. électeurs .eL. électiïces à venir en noinbre déposer leur buRetin dans ruzbè, afin qu’u né soit pas Jiéces- sairé, coinme ££lâ..se fait toifiours, de pro.céder fi .ànde;uxiéme tou r de scrutin.

' Nidus p iïb lîo ^ de nouveau les circu­laires desé^qxcsmdidats : MM. Lepape etX écuyer. N ous avons dit, et tou t le monde l’a bien compris,- p r^ q u o i nous iKms es-rapportions \entiéretnént 'aU bon jdgC Tëntdés électénfs concernant cèt^é etectiqn. N oiisdé répéta is , MM. L ep tipé"et’Xécuyér''soB4-deux hono-

------- — — i t és danssans ïnil

doute, les sptitûdes indibpeiisables à u n juge sttpplécmt. Lés âecteurs apprécie­ront,' e t cerlsinement ce qu.’îls feront sera b iénfrit.

CirevUaire de M . Lepajpe. M esdpaes lep élejctrices, MesététirW lés électeurs.

Les électeurs au Tribunal de com­merce dé Seniis sont convoqués le 18 février à l’effét d’éliréun j i^ e suppléant en re p la c e m e n t de M. Fiez, nommé juge titulaire.

Se'référant aux circulaires parues en novembre dernier dans les difiérenti joum aüx dé l’arrondissenient, un grou­pe très im portant de co m m erça is sen- üsiens et des villes de l ’arrondissement a désigné M. Lepape, quincaillier à Seniis, comme candidat à ce siège.

N ous recommandons aux suffrages des électeurs M. Lepape, candidat dé la preinière heure, honorablem ent connii d é is cette ville, et ddnt l’expé.; rience des affaires et les capacités commerciales sont justem ent appréciéeé dgtojis. '

M. Lepape a accepté d’être candidat U n groupe de commerçants^

Seniis, lé iD février 1906.Chers électnces et électeurs,

Gn groupe de commerçants m’a dé­signé comme candidat aux élections consulaires pour les fonctions déjugé suppléant au Tribunal de commerce de Semis, en remplacement de M. Fiez, nommé juge titulaire. J ’ai accepté, et me présente à vos suffrages.

Si vous voulez me les accorder, vous pourrez c o p t e r su r tou t mon dévoue­m ent e t su r mon impartialité.

V «iiïïez agréer, chers électrices et électeurs, l’assurance de mes sentiments dévoués.

L . Lepape, quincaillier à Seniis.]

■denlis, le 15 février 1906.Circulaire de M . Lécuyer Chères électrices.Chers électeurs,

Des honorables commerçants et in­dustriels de la région, estiiaaant, d'une part, que le commerce des fers est déjà représenté au Tribunal de commerce de Seniis, et que, d’autre part, celui de-; grains, ün dés plus im portants de la

„réaion, n’a.pas de représentant auprès d-- ce 'Tribunal, m’ont proposé de poser m a candidature 'au siege déjugé sup pléanQ

Devant cette raison m e su re ,| je n’ai pas cru devoir refuser l’offre qui m’était faite, et si vous m’honorez de suffrages je mets à votre disposition, avec mon expérience dés affaires, m on dévoue-^ m ent le-plusabsolu.

L écüyer, meunier à ocnlis,

conseiller m unicipal. Seniis, le 15 fémerîigOâ.

«• •

A propos du scrutin.Nous recevons la lettre suivante avec

prière de l’insérer :M onsieur le D irecteur,

A ux dernières élections consulaires plu* s ieurs électeurs, assez éloignés du chef-^i de cantou , se so n t en tendus p o u r ne TOter qu’au • second • to u r e t ; ' Ontî<aonné de leur absten tion a u prem ier to u r les raisons sui-‘■e»te« : ..................................................-

c Nous avons rem arqué que jam ais ees élec­tions n e fon t en u n seiil' tortp do> scru tin , è

• cause:du g rand nom bre 41&bstentl(ms 7 puis­que, m algré l’av is générât des électeurs, n?al gré leurs réclam ations, on se refuse à orga-

• n iser le y o ^ “p a r dorréspim daùce, contre lequel on n ’a jam ais dodné une seule raison,

;,'pm sque,um lgré le stjésu lta ts connus d’avance e t qu i so n t tou jours te s m êm es dgns ces élec­tions, on persiste à obliger ‘les « é c teu rs de BMme volontfeà-faiiJéid^K fois lé voyage de leu r com m une au cbef-lieu pouri.ncHttmer des juges qui ob tiennen t natu re llem ent m oins de vw x au second to u r, nôus àvOns décidé de ne p lu s jam ais vo ter qu’au second to u r ; nous gagnerons a ^ s i un, voyage e t nos élus n ’y perderon t pas, puisque, s i les électeurs ap­p rouven t n o tre conduite é t veu len t b ien nous im iter, leu r nom bre é tan t p lu s im portan t, les juges au ra ien t un p lu s grand nom bre de voix e t n ’en au raien t, p a r conséquent, que p lu s de prestige, a

Les électeurs consulaires approuveront cer­ta inem ent cette m anière de v o ir; q u an t à nous, so u s n ous ’y conforméroiM désorm ais ; nous ne vo terons pas.le 18 féTrier, m ais seule­m ent au second tour.

Lc$ électeurs de CreilN os honorables correspondants ont

évidemment raison de réclamer fe vote par- correspondance ; il serait égale­m ent plus pratique et plus simple pour l’électeur- de voter-^fi la inafrie de sa commune, cela éviterait les déplace­m ents quielqBefois coûteux-et-souvent ennuyeux ; mais pourquoi engager - les électeurs à ne prendrè p art-qû ’au se­cond tou r tie scrutin? Ne serait-il pas pluslofciqne<iatt eontraire,'de les mvi- te r fi vem r en nombre suffisant au pre-

La NaUvité.D onain dimanche, à 2 h . 1/2, dans l a '

saBédéTEvêché, aura lieu le magni­fique spectacle, -la N ativité , de M. Tabbé Jonin , interprété p a r les élèves du patiroBime Saint-Rienl. L a répéti-.; tion g ^ é r ^ qui a eu lieu hier soir nous perm et de dire d’ores e t déjà «pie ce sera pour les jeunes acteurs et leurs professeurs un succès des plus com- ^ e t s . .

Voûtes les places sont déjà re ten ttà pour la pi^imère audition, de lavité ; il n ’ que tem ps de se 4n:éiB]mir >our la seconde. N ous avons dit tout e l ^ n qu’on peut penser de ce chef-'

d’oeuvre qui, nous n 'en doutons pas, fera courir tou t Seniis e t beaucoup de personnes des environs.

■■ V ^

A Saint-Vincent.Selon l’usage à pareille époque, les

élèves de l’Iostitution Saint-V incent offriront mardi gras une matinée litté- ra irp e t musicale a u profit des pauvres.

N ous donnerons Je programme de cette intéressante séance dans notre prochain numéro.

A bout d’arguments-Nous recevons la lettre suivante d’un

de nos lecteurs :« Monsieur le Directeur,

< Des affiches ont été ^ p o sées sur les m urs de Seniis la semaine dernière concernant les inventaires; elles ont sahs'doute eu le don d’frriter les blocards et les francs moucharda de la ville. Ces derniers ne pouvant réfuter les argu­ments qu’èlles renferment, ont iugé i propos de les, faire lacérer p i : des ga­mins de douze à quinze ans.

« Plusieurs de ces petits voyous ont été aperçus venant de la rue du Châtel’, vers dix heures du soir, se dirigeant vers des rues désertes et cherchant sur les m urs remplacement des affiches qu’ils se méttment en devoir de dé; c h ir e r .

< D ’autres affiches seront également apposées, et ime suryéillance partieu-f liere sera exercée pour pincer les jeunes apaches qui lacèrent les affiches, et les traduire devant les trihunaux.

c Nous comprenons la rage des blo. càrds, dont les procédés honteux sont m is à jou r e t livrés' à la vindicte pu-: blique ; mais nous entendons qu’on res­pecte le droit d’affichage, comme là uberté de la presse, contles catholique) (feivent bénfficier au rnême titre -que tous les autres citoyens. C’est ce que M. Combes lui-même a rappelé aux préfets dans une circulaire du 14 avril 1903.

« Que les blocards et les gamins, dont ils se servent pour détruire les affiches, se tiennent pour avertis. Les mesures les plus énergiques sont prises pour empêcher les coupables dont on connait déjà les noms, de se livrer de nouveau à ces exploits dignes des blocards.

e Un Catholique,

A l’£xp08iiion <ie Ssaint.LiOui8iM. Lestocart, directeur de l’Ecole des

garçons, a obtenu une médaille d’argent à l’Exposition universelle de St-Louis

'Tous nos compliments.— ■

L>’Avenir.Assemblée générale du 10 février 1906,

Les membres participants et hono­raires de la Société de secours mutuels L’Avenir se sont réunis en assemblée générale, à THôtel-de-Ville, le 10 fé­vrier dernier.

La séance est ouverte à huit heures un quart, sous la présidence de M Léon Thirion. prem ier vice-président, assisté de MM. Beaufort, deuxième vice - président, L uzurier, trésorier adjoint, et Prévost, secrétaire adjoint.

M. Beaufort, vice-président, donne connaissance d’une lettre que lui a adressée M. DémeUn, président, dans laquelle il rappelle la m ort de M. Thi­rion père, et le deuil qui frappe la so ciété L ’Avenir en la privant de son président d’honneur, qui a rendu tan t de services à la mutualité.

M. Démehn, que la maladie empêche de venir ce soir, prie M. Beaufort de vouloir bien fsûre voter par l’assemblée

• les regrets profonds que cette m ort lui inspire,

C.CS regrets seront insérés au procès- verbal et un extrait en sera transm is à la famille de M. Thirion père, comme un témoignage de sa vive et affectueuse r e e o n n a is s a n e e t

M. Beaufort ioum ét au vote de l’as­semblée le texte suivant :

« L’assemblée des membres partici- f pants de L’A ven ir, profondément X émue de la perte irréparable que lui € cause la m ort de M. 'Thirion père, « em portant avec lui l’estime et Taffec-< tion de tous les membres participants< e t honoraires, exprime toute sa c reconnaissance du dévouement que X son cher président d’honneur n ’a « cessé de lui prodiguer sous toutes les

Inenfiannle paÿspÀ r les séco u rs qu’edie dmine' à ses m em bres p a itid p an ts et p a r le b'el é z ^ j ^ e de. s6]i&uÉS qu’iffièl offre p a r Tünibn'de tons ses m è m b t^ '

L*<ûffre dû ^ u r > e l l é également l’é’eetiende £ u x naenàbrês dix conuitil

dont les pouvoirs sont expirés, MM. ' Levaaseur e t Lqymarie, qui sont réélus fi une grande majorité.

T ons deux rem ercient rassem blée de lee m aintenir aù poste de confiaheéqu’elle leur avait delà confié. ___

E n Tabsence. de ’M- Delmont, tréso­rier, retenu chez lu i p f r l a 'lifefedie, le secpÉfeiie. adgcînt donné leeture'-d’un exposé succinct que lui a remis le tiré-, .soner; ,ce reqipôrt, mis amc voix, est ‘- 't r o u v é 'à l’unanimité._ jq n t prfeentrâ e t admis neuf nou- vraux membres participants.

L’ordre du jo u r étant épuisé, la séance - est levée à neuf heures trois quairts.

. » " ■1,68 Mpévoj'aatsi Ae l’Avenir.

L’assemblée générale' annuelle (où la présence des hommes est exi^ble, et celle des dames facultative] aura lieu le 25 février 1906, date fixée par les statuts, dans line des salles de la Mairie de Seniis, à deux heures précises de V a^hs '- m idi. Seuls les sociétaires n’babitanl pas Seniis, et ceux qui fourniront, paf écrit,une excuse valable, n’auront pas à payer l’amende de 1 franc infligée aux absents par les statuts.

— Avis im portant. — Les membres de la 5S5" section sont informés qu’aus­sitôt après l’assemblée dont il vient d’être parlé, une autre réunion, de-j- mandée par le Comité central, sera tenue, afin de donner une sanction nouvelle aux sta tu ts, modifiés par là loi du 3 février 1902.

L a loi exigeant la présence d’un nombre assez im portant de votants] les sociétaires (hommes et dames) sont instam ment priés d’assister à cetti réunion, afin d’éviter les dérangement: et les frais qu’occasionnerait une nou velle convocation.

« form eyjendant de longues années.€ M. Tnirion père a puissamment

c aidé à la fondation de L Avenir, qù’il « a toujours aimée et servie jusqu’à sa< m ort, e t, lui a toujours apporté le « plus utile-et le plus entier concours. ■

« La Société a ressenti et. ressentira « toujours de la plus vive douleur de la t. m ort de Thonune en qui s’incarnait ï tous, les sentiments nu devoir, et t aussi, de la solidarité humaine.

€ Ses enseignements ne seront jam ais « oubliés, et elle adresse à sa veuve et « à ses enfants l’expression la plus vive< de sa douleur et des regrets profonds « que cette perte lui inspire. »

Cette adresse est votée à l’unanimité, et il est décidé qu’un extrait du procès- verbal sera transm is à la famille de M. ITiirion.

M Beau.ort cède la présidence à M Thirion fils, vice-président.

Le président donne la parole au se­crétaire-adjoint, qui procède à l’appel nominal.

Le secrétaire-adjoint donne ensuite lecture du procès-verbal de la dernière assemblée, qui ne donne lieu à aucune observation et est adopté à l’unanimité.

Il est ensuite procédé à l’élection du premier vice-président, dont: les pou­voirs sont expirés; M. Tffirion fils est réélu à une grande majorité.

Le vice-président exprime à Tàssem- blée sà reconnaissance pour le vote qu’elle viént Æ émettre;.il se seiit parti- cubèrement'. honoré d’être mis à la deuxième place à la tête dé la belle So­ciété L ’Avenir, qui fait le p lus grand j

noa et 1m éen s oid '

m\-, ■■■■ièntl D |e l^ c l è te l .

poinrfT^kmné, pcr4é£uit, à t e t e 9ÜêoiiT«rt r é o B w n f A CoalUy, où i r ^ Q tSaioQye» fl’funw jU «c

o péxo tdo a êM j|ii* A

b ille t de— P o n r CToir TOi ....................^ l e à Creil, le 19 dèMxelHre» C ertier , dnle), 63 ens, m anouTrier à Seiat^M anm in,

Seniio, ^ — D im anche dei O ecrens (Angnste)» 26 ans, o n t ^ é l e ’maiÂchal d e s- .io j^ hossérds, rém jdîssant le s fpnctions dé p(^ê» nu q o a r t t e Oxdener.

XTi^aserit hntt'jomrs ea prisom . Sé^-À Iagneoal. ~lee.3i-d6cam l»e» particolier CoBâs a snlpris'Lârb^^''^ m is, m s^dm oaim ie fixe, ^

F a r dC Tant;'& Œ -m ois d e priàôn d’amende»

U n G an « lid te t s o e ia l is te » | I L e bruit court qu ’un citoyen, Bérinj-

f;er, se présenterait aux élections légist atives sous l’étiquette de socialistê

unifié. TOuvrier en automobile, ce candidaj

se propose de faire du 100 km . à l’heùrl dans ses tournées : pas la peine dé tanj sé paresser piour aller cW ch er im^ veste... i

PoU oe coF F ec tio u ae lIa d e SenU alAudience du 42 février J906.

Présidence de M. P a is a n i , président. Ministère public : M. Lebrun,

tnbstitat..Chaa$e. *— u r leâ ^oaXi.uites de l’Adminis-^

tra tion des ro rè ts , son t condam nés commà braconniers de chasse :

M ahienx (''barles), 23 ans» de Chantilly» dix mois d’em prisonnement» 350 francs d’am ende : Bonlanger (Louis), 34 ans» de Chantilly» sep t mois d’emprisonnement» 300 francs d’am ende ; Rnffier (Henri)» 19 ans, de Chantilly» quatr< mois de prison, 1(X) francs d’am ende ; Petii (Jules), 34 ans, de Chantilly, 50 fr. d’am ende Pinçon (Léopold), .47 ans. de Chantilly» u t mois de prison, 50 francs d’am ende ; Tempêté (Louis)» 29 ans, de Chantilly, qua tre m ois de prison» 150 francs d’am ende; Decreus (Edf mond), 28 ans, de Crëii, h u it jo u rs de prison^ 50 francs d’am ende; Oecreus(Auauste),.-26'ans» de Creil, h u it jo u rs de prison, w f ra n c s ‘d’a ­mende ; Deltr-ur (Marc), 46 ans, sans domicile., un mois de priso<j, 50 francs d’am ende ; Beau- fils (Jules), 39 aoh, sans domicile» u n m ois dd prison, 50 francs d’am ende; L am bert (Henri); 40 ans, de Creil, douze m ois de prison, .300 fr. d’am ende; Gervaîs (Clotaire), 21 ans, sans do­micile, deux mois de prison, 100 fr. d’am œ de; Plumecoq (André), 27 ans, de Creil, h u i t moia de prison, 200 francs d ’am ende; Toffin (Isi­dore), 21 ans» de Creil, ’ring.t-cinq jo u rs de

Srison, 50 francs d’am ende; B u llo t (Ulric)^’t ans» de C reil, quatre m ois de prison, 100 fr.

d’am ende ; T issèren t (Louis), 27 ans, de Creil, un m ois de prison» 100 francs d’am ende ; Sau­ra i (Eugénej, 27 ans» de Creil, deux m ois de piison, 100 francs d’am ende ; Dupré (Raoul)

ans, de Creil, 50 francs d’am ende ; P lum e coq (Augustin), de Creil, 50 francs d’amiende Oagneau (Léon), 33 ans, e t sa femme née 'Van ienneste (Angèle), 25 ans, d’E rm enonrille chacun 50 francs d’am ende.

Baron. — Le i " ja n ’rie r, le s ieu r CoUgno. (Louis), m enuisier à Baron, se renda it chez sa blanchisseuse, lorsqu’il rencon tra ,-dans l’es-; caüer de la maison» Noël (Octare), 25 aDs,qu' 'e p renan t sans doute p ou r un malfaiteur» le fit descendre à coups de poing «Cot^t: 50 francs d’am ende, axec la loi de sursiss

Co-ir-teiJiZ. — Rennesson (Alfred), 45 ans,op-! posant à u n jugem ent par défaut du 16 ja n ▼ierl905, le condam nant pour chasse à deux; mois de prison» en tend réduire sa peine d’uni mois.

C n tl. — B raconnant dans la soirée du 7 fé rrier» dans le bais du Plessis-Pom m eraie.. Sauvai. (Eugène), 28 ans. e t Dupré Raoul), 22 ans, on t tu e deux dindons, croyant, pré'* dent-ils» q u ^ s tira ie n t su r des faisans.

Poursuiv is p ou r vol, Dupré est condam né à; treisH om s de p rison e t deux an sd ’ià te rd ic tios de séjour, e t Sauvai à u n m ois de prison.

— Sont condam nés à nouveaupour ch an e , la requête d u P a rq u e t :

B ullot (Ulric,, 3(4 ans^ de Creil» à douzem ois de p rison ét^dOOfr/d’am ende; L am bert (Henri), 40 ans, die Creil, à six m ots de prison e t 150 fr. d’am end ; P lum eceq (Jules), 27 ans» de Creil, à neu f m ois da -prison e t 200 fr. d’amefide;. T issèren t (Louis), 27 ans» de Creil» à treize: mois de prison e t 300 fr. d’am ende; Sauvai (Eugène)» 27 ans ; P révost (Joseph), 19 ans» et Eum ont (Charles)» 20 ans, de Creil» chacun ôO fr. d’am ende.

— Po tier (Jules), 49 ans, n o u rs u m pour ho- . micide p a r im prudence, à la su ite de l’acci­

dent survenu le 10 octobre 1905, au passage k' n iveau de Creil-M ontataire, où il occupait le poste de garde-barrière, accident qui coûta la vie d u (m arretier D olhant, e s t condam né à 50 fr. d’amende» avec application de la loi de su rsis. Le s ieur Q uignon (Marcel), chargé de la surveillance de la barrière du côté de Mon- ta ta ire , qui é ta it égalem ent poursuivi, est acquitté.g — Le 3 décembre, P içquert (Emile), 50 anSi rep résen tan t de commerce à P a ris ; est venu iusqu’é Creil sans billet. A u contrô leur Delà» herche, qui- l’in terpella it, P icquert déclara ven ir de C hantilly. ^

Gratifié d’un procès-verbal, il devra payer 50 fr. d’am ende. '

Lévigntn. — Rom a’n (Jules), 39 ans» cu lti­vateur a Lévignen, a le poing leste. Le 13 janv ier, ayan t appris que le s ieu r B terread ^Georges) avait trouvé un m erlin qu’il avaitÊe rd u , il a l la lé lu i réc lam e r. C om m e le s ie u r

le r re a u lu i d é c la ra i t q u ’il l’a v a it re p o r té è‘ M m e R o m a in m è re , J u le s R o m a in lu i p o r ta o n v io le n t coup s u r la lé te d’o ù le s an g ja i l l i t abondamment.

I l p a iero 2 0 ;r . d ’am ende.M onta tà ire .^ 'Le 15 janv ier, D epauw (Emile),

26 ans, ouvrier d ’usine è M ontataire, se pré­sen ta it en é ta t d’ivresse dans le débit Di wuyst- M écontent de ce que le pa tron de l’é ta ­blissem ent lu i refusait une consommation» il lu i p o rta un coup de m arteau su r la tète. Depauw déclare reg re tte r son acte d e ’rio- lence.

Il récolte six jo u rs de prison avec applica* tion de la lo i de sursis.

— Logeant en garni à M ontataire. chez le s ieur G eerste ljnck leur com patriote, P lé ta in (Auguste), 46 ans, e t sa concubine, d’H auw er (Catherine), femme Adam, 45 ans» on t qu itté M ontataire le 30 décembre» em portan t la p lus grande p a rtie des objets de literie . A van t de fuir, lam m m e A dam a» en outre, em prunté à la dam e Depestelle, sa ’ voisine» divers vête­m ents qu’elle a ôublié de lu i rendre.

Ils so n t condam nés chacun à quinze jo u rs d e ^ iso B .

gros, sous’le nom de Dbnon. A près avoir fa it

t e e j i u e«ItflV ibi

& iM -M axim in B em n an s (A I^ o b m ), 29 ans. a form é oppositian a u n jùgem m it du 27 décem bre dern ier, le condam nant p a r défaut, p oü r coups p e rlé s a u sieur Taaaart»«à m i m ois d s prlseB* ' ' * - i ci ? ^

Il en tend réduire sa peMe'à'fiûlt'joulrs*»

A 'ÿ â X kjp rlM la lié

. V i d a m a

n tx m , P O B lS D ins . a m b u l ta t , i),39«bs,!

p«ir NT( ’ T a n n e .

déüTTé'p-

50 frr.m ohr d e p ri! . . . _v ra n d e (^cfor),* 33 ans» cotrviShcns ’ dfiwoit é té su ^ iu ^ fab ric an t des collets.

VfTsignÿ. ~ L e i** janv ier, D upaquier JJu* les),' 50 éns, ay an t rencontré la veuve Herpin, sa^volsine.. « p r ts l’s ’v o ir injuriée, ‘ l’à violem­m ent frappée*

ri e s t condam né, p a r défaut» à un m ois dp p rison .

Etat «dvil de Senlta :d u 10 a u 16 février

ATofasonces*12. D um ont (Rpger-Alfred), ru e du Châtel. 26. 12. Chevallier (AJphonse-Jules-Alexandré), rue

de la Po terne. 13»M eêA «

i l . A veline (An^é-MaiA el), 11 m ois, rue de la Fontaine-dés-ALrène’i, 8 . ^

PubUea^onc de Mariage». 6 i l . E n tre M. L evasseur (Georgés-JuIes-rAu*

ras te ) , métreur-vérificateur» dem eurant de fa it â Sen iis et, de droit à V ineuil; e t Mlle' MÔDory (EagénierJuUe-Elisehethj» sans proferâion. aem éuriant à Cayeux?- su r-M er (Somme).

11. E n tre M. B atardon (DésirérAIphense), en^ 'oyé de commerce, dem euran t é Gau* eviUe-la-|tivière (Eure), e t’M lle Fâgès

-■ ü d e -F a i r* ' --------

Sau-Préfat, *zi(é en puni! eu . Ea outra, M. Bardin, propriétairad*laT«TCrae,san

eweoaditiws.— Un Fou. — S'étant éyadé de l’aiilo

d’aliA nfa^ y ilW if- â - ô e f f j - _

3 ;ie ffa 0 a u E jlA a dérobé irait pièeei de

—- EiiHAHGi D 'jÀ tom ds. — Ben dianita le* fenuAPVincfenï -i ïtpqBUaBft4taBiMWtafiBÔé> de ë sà -

dale en s'insBltantgieisiéjment, rae de

Etat eiva de Creil du 2 au 9 fé v r ^ .N a iu m ^ . jVWtfeiae-

Jeanne-M ane. — 2 : B rasseur Femande>Au* gustine. S'^Bébmtbht Ccfktio-Sméiio-Aji^

ig d îfa . « S M âderéisen G àâriei.Décès. — 3 : Cefias"Louîse-AugustiBe-An*

rèle, w y e Dachepx, 78 ans, fh ô p ite li 4 : Sury V ictbnilé-Em èlie, veuve S’artin.'TBai

ployé de commerce, dem euran t é Gau* ^eviU e-la-ltiv ière (Eure), e t’M lle Fâgès ^lémentine*MathUde*Fmicis}» employée de commerce, dem eurant à D am'nilé •fE ute),'e t1fvàht à S^ÛHs. -

11. £ |ù r e M .; D ei^éleéu -(A |id ré*L ou lâJeaar Qimtisté)». bzigajdier m a itre botfrer ; aU ^ t t i t e a r d s , dem euran t dé fa it Ï^Scfilia e t de.droitfc'AbbeviHe» e t 'h iü e ‘ H ën* m ann (M arie-Emélie-JuUettè), sans pro4 fessîon»' dem eurant à R eim s. " <

i i ÿ r k M

m s w m C Û T E L L E

f A r r S J d O G A Ü X

B é th ls j '-S a U it i 'l lIa p t iB . —. CON- TRÀraNiiON. — Mardi 13 courant, une eontrarentian à la police du rou lée à été relevée contre H Ferrlf, Toyageor de cent- merce, qui avait abaDdonné sa voiture sur la yoie publique, à Léfilisy-Sailit-Martin.

B è th i s y - S a in t - P i e v p e . — Acci­dent. — L'ouvrier Leiros (Alexandre)' a été, le 7 février, atteint d’une plaie cou- .tasede la majn droite par nne-ibille de bois. Lë docteur Résibois a prescrit 40 jours de Dépôt.

lia - .u fs e a s e . — Noionajion. — Nous -apprenons que M, Cuvinot (Henri) vient

1 être agréé par M, le Sous-Préfet, à la date du 8 février, en qualité de, garde champêtre de ta Commune de Brasseiisé,P ' 'c i a a n i b ly . — Union sipuBucAiNi DixockAiiQui nu. Canton dk Niuilut-ën-: Thzllb. — La Conférence de Jf- G.'Lepètii à Chambly. — Dinûtitcbe dernier a enj lieu, à Chambly, une conférencebi^nisée par l ’Union républicaine démocratique do canton de NenilIy-en-Thel!eiLeT ditiing'né etffévoué président d e l’Union, M. Dupont, mÿre'de Botan, présidait, et c’est devant uc'e'iàltè (Sonfflle, oà se pressaient près de d;nx cents électeuts, parmi lesquels le ConseirïnuhicipaT presq-ae an complet, que M. Dupopt a donné la parole à l’élo- quètit conférdncier.

M. G. Lepetit à exposé avec son talent habituer les prilicipes démocratiques qui doivent être la base de la République,, et de chaleureux applandissements lui ont prouvé à maintes reprises qu’il étaff en absolue communion d’idées avec soffendi- tofrii

A la fin de la réunion, Tefire du j .t r suivant à été lu parM. Dupoit :

< Deux cents citoyens, réunis à 'efasm- bly, sons les auspices de runienrépàbü- caiBÿ'déméCritêqne'dë'’ Neuilly-é'n-Thelle. adressent leur respectueux ét loyal hom- mage/'à' MM. Emile Lonbet et Armand FalliMes, et engagmt le cabinet Routier  Mà^k^yre .^ditiqàè ff’aqt^ëme-- et de'concordé éntie'Ies républicains, >

Après quelques paroles de M. G. Lépetit, qui demandé à l’assemblée de voter - cet ordre du jour, il est adopté sans opposi­tion. '

C’est là, BOUS en sommes convaincus, une excellente réunion qui portjra ses fruits ; les'travailleurs et les cultivateurs dé Chambly conservèrent un durable sou­venir du programme de progrès démocra­tique et de réformes sociales que M. G. Lepetit leur a exposé et dont il est le sin­cère et éloquent défenseur.

C h a n t i l ly .Bal, — .Samedi 10 février a eu lieu, S

l’hôtel du Grand Condé, le bal offert {aii les demoiselles de Chantilly. A 9 b. 1/2, le bal a commencé, et toute la jsnnesse ao-: courue à cette soirée, pleine d’entrain; so i sons d’un orchestre nombreux et ç^ojsi/ se sont récriés quand la dernière dansé ésf venue. ‘

An résumé, belle et bonne soirée dan­sante, où tous sé sont quittés en eQpor-: tant ua bon souvenir.. '

— CONXHAINIE PAR CORPS. — LO SieUT Boullanger, braconnier fieffé, qui a, par habitude, de séjourner en celte ville, s est vu arrêter par les gendarmes de Chantilly, pour contrainte par corps.

C re iLIvresse. — Contravention a été raie-:

vée contre Maquenne (Isidore), 53 ans, mauouvrier à 'Malassise, rencontré impasse du Palais, et le 19, contre Brunei (Lènis- jà w n e ), 61 ans, cordpnnier, trouvé'cou- cbé place de i’Hôtel-de Ville ; enfin, ^n fre DeSrnes (Félix), 51 ans, ouvrier zingUètir, troiavé couché rue desRoulins.

— Chiens sans Collier. — Rropés.- v.erbal a été dressé le 10 contre la dame Ctézéba, veuve L., et le 12 cmtrè,la dame Q. (Hélène), femme B., 44 ans", cn/t:và- trice.

— Vols. Dans la nuit d u 40.au 14,. on a volé aqx, épot^, Ddfay,. tcpis.T^jÿns, et aux époux Vitré, un lapin ;' le teut.es- thué 42 francs.

artiste

inry Vict6niie-lBmèUe, TenTé Vartin.TB u s .épicièie. - « -------- - - — >1 an . — i .B ilrogne ■ p U r , '62 ans, journaU cr (hôpital).

-8 : B e a « V im ettà -m ailà -E stên ., 6 moisI = M»tie-CatlieriD«, r a i m AeStoppërane» 70 àns» sans profession. — 9 • Délabré Mieria-Lohisé. i i mois.

PubU eetim u de m a r io fa . — E n tre D ebàn- couTt G aston, a justeur, dem eurant 1 S t^ jted re (Nord) e t dempiseUe P en teu il Rein» Alice,m â b a ^ re . dëfàebraBt dè’ i o i t à Creil. e t de* fait'iàSt^iüvefMorâ) ' * ’

' E n tre L éo B .A n g aste^B S t« i *Clément» dém enran t à Creil. e t dem ote) iLèsage L otâte-L idnie; « ta s p ro fe s s f r i i i^ m euraa t à Creil. L v - , ?

. I«rd XAoji^Aiigaste*CoBstvit* Ihmetirant à Creil. e t Ü e m o i^ e

E h tre V^^er Adolp'he. boulanger.-dem eittân t à ^ o n te ta îr e » e f f d d t o < d s ë S ^ o î > e k ™ ^ HorioBBè.' san s j^refrssioir,)demedribit’’i r î ^ I , . M e ^ g t s . — D u 3 î>|iL D h o h t Ê ^ r i f t e ,

chauneur. deaÇ ltf*at à Cnil» e^ dem ofstfe Degôiiy Jeanne»' dômestiqiie» demeùrahÇ à CreiL . ■ ' i ■ »

Du 3 ! M. Berly Ju lien , chaudronnierj 'de* m eurent à Nogent-les-'Vtergês»' e t d è iM ^ 'l le C ^ ;nê rd ' lCeri«*BÉâfiBe;' d u d

— Void le pro- giimime del.à lo f r^ ^ ' s e n 9 o n n éé '» r ’éCmMe^lrÔsUqûgdeffrèpy, Ië'âffbài|%e

février 4 906j'à huit heures et deffliè du

P r e m iè r e P a r t ie Sêfênode Çrientale.. . . . . . . . , . O rchestre.Berceuse pour M aryvonne.. , M . Colmont.Pour t e Jeu n e t F m a t (mono* ^

lo g u e ).........................................M.“« C otterd .L’Ecao a u TaZIon (tyrolienne) M . Lhêrm itte. Ce que c’est qu’un Drapeau

(chanson )..;...,.Noce Vitiageoise^** audit‘i“). Les Dragons de Y iü a rs (air) Les Drajuon» de Villar» (1^

au d itio n ) ................. .

M, Colmont. Chehestre.

'i ' i

O rchestre.Plus Fort que l’Amour,

pièce en 1 acte en vers» de Léon B erthau t (décor nouTeaa).

P rélude p a r n>rchestre.D is ^ b u tio n :

Je a n Tremer» M. Colmont. — Pierlre M orrau ,M P^ Bonniol. — Pérros, M. Lhêrm itte.

Perros, M * Leliè-rre. — Maria» M“^'NÔi- ’o t. — U n pêcheur» X-

D e u x iè m e Ç a r t ibStoccott, Scherzo M andolines.Frisette et B rocktt (duo

f M“* Nofrot e t M jcom ique j u „ n B i t te . “fonoiZZe (m onologue).... M; D.«•-_ f M“» Vandew odide.Vm : (d u o ) , . . , ................... l Crinwntt.chan t . jdA.ndatqusU (1” : .

audition ........ ^M andaH net*P a « tt '(â ir des Bfr’o u s)..[a» P arapluie de la neuoe " 'M o kch e t (chanson co­

m iq u e ) ............... M . Isherm itte.Q uête au profit des pauTres.

T r o is iè m e P a r t ie Scaramouche, xalse (1' audition). O rc h e s t^

Edfi rd et sa Bonne»Taude'rille en 1 acte,

de Labiche e t de M arc M ichel.D istribution :

Edgard Baudeloche. M. Colmont. -<• 'Veau- vardin» M. Bonniol — Un notaire» M. D, ~

Baudeloche. Boulanger. — H enrie tte , M”o LelièTO. — Floresrine, Druelle.

Cette so iré e e s t <" c lq s iv e m e n t'ré se rv é e aux m e m b res d ù G etclà^aT trstiqae, à le u r fam ille b a b i ta u ts o o s le m êm e to i t e t au x perso n n es à le u r s e rv ice .

Noos .stÉ ainee, certains^ d n succès q u e r e m p ^ é r a ce^te so irée , l a com posi'ion 4 n 'o ftg ram m ê n o u s 'e ~ ' e s t ù n g a r u i t . A d im w h q d o D C q t,i.uaù ieIU ears v q eu x p èu r

‘la.TémsimmCpçle'ài;Üsfiqùe, ;‘ |C r a è p y . « n .Y * i d e i a , - — ÀJMBblCArtoN,

— L’ad ju d ica tio n d e s '.v in s .p o a r 'i ’faospice d e jfrép y a e n ffén à îa M a in e , lu n d i d e r - n i è ^ 14- G. F r è i ^ n â fre ;c g b e ito ÿ à n , a é té , i ^ |d i e a f e i f {4 p p n r l’i n n é e . . 4 906,

— C A m o i nonnAÎN- — N o m a p p ren o n s J e p rachaffi m a riag e d e M. GoUei, a w û en t ié v e d e T E co le B on lle , c e p tre -B ia it ra -à T o sin e Q a ir , avec M"* G a n tm e n d e D u is .

Nos voeux s in c è re s au x fiancés.

— A ccinxN T.— U n aç(ûden t assez v e s 'e s t p ro d u it le 7 fé v rie r d e rn ie r , à l ’u s in e à gaz dé É répy , M . C adot (Ju le s-D rn es t) ? é ta i t 'p ie n té su r, u n e éch e lle q u a n d e e l lé if i

' së rb ii rp it 's o u d a in e t ' T è n tra in a 'd a n s 's a c h ù te . Le doc teu r C ailleux , m a n d é au ss itô t c o n sta ta d e lésion in te rn e s . I l e sp è re ce­p e n d an t que 40 jo u rs de so in s s e ro n t su f-

. f is an ts à g n é r ir .M . C adot.

'E tat ewil de trépg-da p^ au 18 Fivriér',. Naissances. ^ 10 1 F<Mret Germaine-Louise* Augiistine» rue de l a Cloche» tO. ~ 13 : B itiry

'M arceLH enri, ru e d e S o teo o a , 30.P ubZ tcariO M dem tf^g^ .*^l:E u traM .H enT i

Ruraux, agriculteur, domicilié à M erm ont, te rrito ire de C T é p y ,^ ^ l I e T hérèse Moquet» sacs profession» domiciliée à Feigneux.

11 : É ô tre M, Ô)Uet JûUen*Louis; ébéniste» domicilié à Crépy, e t Mlle M aiguerite Gau* tie r. brodeuse, adm îcîïï8è rue 'W attignies» 56, Paris.

18 : E n tre M. Bertzand- François-Louis, m a­çon à Crépy» e t Mlle Foury Louise-Eugénie, blanchisseuse à S a iv t^ a n d é (Seine).

18 : Entre M. B londeau Ju les, ouvrier agri.; cole i Crépy. Mlle X ^ m b e rt Victqrinei-* Agathe, jaum aliè rê à R burille . /

Mariage. — 5 : M. R ichard E m est, m ahou- Trier à (>épy. e t M lle Ju lie tte M artin , sima .r'' p ro te a io n a Crépy. ’

jDécès. — 4 : M agnier Léonne-Jeaane-Flo* radA a, 2 a ss , Seresm es. — 5 : Quenoble M a- rie-Q a^erihe-M élânie, 8 8 ans» rue Tbiers, 35.— -g :JM atM on A lbert-L ucien, 9 mfois, rue Gaston. 8. — i l :G 6uT em eur Irénée» 68 ans,— 13 : Cousin A m broise, 51 ans, aTemat Pis* teu r.

G o u v i e i U E . — L i s PiévoTANTS n s l ’A vèn ik : — Le b u re a u d e l a 4799* seéfidn des P rév o y a n ts d e l ’A v en ir io fo rm e t e s io c ié ta ire s q u e liassem blée g é n é ra le ’V & s lieu ï d K fé v rie r p ro ch a 'in , à l a m a ir ie 'd e G dnviéux, à 2 h e u r e s p réc ises d e 'T e le v é é .

tkw ferU iéæ fent 'A '^Tarticlë 7 d e s s la tn ts , u u t s s e i é à i r e v i ’a s s is ia n tp a s à la ré o n ie h , e r a à T àœ Â fd « d e"d n fn m c . T o u t ë ^ | ( les

■!xcuse« p # i e t t r à s p e u v e n t 'f itre «èceptées a a r le B ù r e a u r t a s 'd a m e s n e M at-p a s •m endàb les. ’ ~ - n .

Nota. — La sec tio n , q u i n ’e s t - f e a d é a

Page 3: élection du Kideat du Séntt - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1906/bms_js_1906_02_18_MRC.pdf · Paraissant la «laikil et te Dimanclie. JO U R N A II R é d a c te iü ' é

©B:7 - \ -<' .'■ ' X i_ ;_ : i , ' .~ ^ . , r .u ^ - '- ■

_ i ia 3 M M («PiTCMBOta w ta # - t u »B a n » ^ B ureau .

réuni !> et da

parii « ^ a n i r à t « u n

SdtC -------n-îffljj. i l’elle. —

l ’aàtear de «e défiisseiBeiit d’enfmt.

t t paâsîuuO d6 nvii

secrétaire, donnep 5«p tio n -tonetFIan,excnsta

U. Hocnenot. ém

* S î “ Ü . T i n T O te densei î r id ï3 Corbin,ausiljetde la demande

la commune pour la construction de ses

^*M*Hnguenot, en raison du m M q u ^ e B ine-ersurteut an ix ^ td e ’eso-ee-rBf- riène et de la salubrité. lait obserrer qu il

- S ^ t ^ r e temps do s’eccnp» de la càénstruction des écoles. _vi«

0n trayaiPprépaiâtoire sw l a a s ^ l e do prfièt ‘pourrait être éM.*^ ®* ioœusItiH W 581B0 Q S à*-1U 1 6 C O H U Û M S IO D , C[QI^ é U '

Mtreifgn rapport, co qiû permettrait an <:dnéml de ttsntber la question.

_ {.ectnre est donnée d’une lettre de H. Cïétt,m isant connaître qu’il s p ^ M fetiTéteent du projet d’aliçaement de la cavée Tàntost, et de la création d une rue reliant la dite earée & celle d’Angy.

Gaz. — La transformation, primitiT^ n t fi?ée à ÎO francs par bec, a été ré-

a ï s 10» -, j . aiuToasêtre Uol^et d ;u f mandat d’a^ôl-

I W l é i ^ S à i n t ^ P â i d . — « . / . . r » —. — POUŒ DORODLAM .— Procès Terbal a ^ j é l oTt

4 à à n F u ta ille (JuÎMt). .pSmr «BûU do (oides. _ _ _

‘i f é r y . ~ SocDÉré wi aKODimJtonJiLs, Opérations de ia Société de Secours

^ en 1905 :E K C X nE S

Subventions .......................Cotisations membres honora' res Gotisat’e n sa e a b r » partimp.- •Amendes.................................Droits d'entrée ..........Intérêts des fonds touchés........

Total..........ndpmtsis

Boncraires des médecins........Fraii de pharmacie.................Dépenses diverses .................

Total.. . . . •Kicédent de recettes.........Avoir au 31 déc IS O i....

Avoir au 31 décembre 1905 ...

® t e i 18 francs, de même, du reste, im le prix horaire de consommatit-n, qui a été

i O'Itv QXZ auLiieU; iltfiO fr.'OéO. L’entretien serait fixé à 0 fr. 65 n y lanterns 6t p»r nod^ d’é d i’rag®. M compensation des sacrifices feits p w m Compagnie, celle-ci demande une prolo^nation de traité de quinze années.

Le Conseil, après examen, eonadéiMt que les résultats obtenus par la m inua- palité représentent lés desiderata de la ville; que Pédairage actuel estabsoliment insuffisant et ne saurait être conservé^wM longtemps; q » Msont parfoitefflent acceptables, décide, a l’unanimité, qu’il y a Beu d'accueillir fer verabhmént les proposinons précitée, et dém ettra i exécution le projet qui don­nera satisfactioa aux réclamations Cgi- times de ia population, tout en ménageant les finances communales dans la dépense, md ne déwssqiaque de tri» peu ceUe <pi

I r t 8« u è l% eh t i n ^ é é la vîRe.— Lêmlimoi:ecqh(ÿpsanil’installation,

du gaz à l’école des garîôhs, est accepté à l’unanimité-

'Arbres du cimetière. — Le Conseil pro­cède i la rédaction du cahier des charges relatif à l’adjudication des arbres du cim*- iière.

üeie de la Saint-Simon, à Monchy-le- Chêtel. Chingement de dite. — Avis fa­vorable est donné par le Conseil.

— Le mémoire concernant la réfection effectuée à la pempe i incendie par la mai­son Thirion, de Paris, est accepté à 1 una-si Bimité. Les fonds seront prélevés sur le crédit comprenant la subvention accordée par l’Etat aux sapeurs-pompiers.

—“Xe Conseil prend une délibération demandant que M. le Préfet veuille bien faiie versar dans la caisse communale les fonds avancés par la Ville pour le malade Plessier.“ Affaire du Rond du milieu. — Le Maire informe le Conseil que la Cure a interjeté appel d i jngsment concernant le Rond du imliau au cimetière. Cette affaire sera donc jugée de nouveau en Cour d’appel.

Soutiens de famille. — Les demandes Desmarest.'Jonret, Catoire, Pichenet, L ^ marre et,Ronjg.qpis sont l'objet d’nn avig^fevoiabîe de la part du Xonseil.

t r o i s iè m e emploi de facteur est 1 objet d-on avis favorable.

— Unademande da chat^eroent d’ho­raire de trains, pr|ientée par l’association des commerçants de Cires-b s Mello et Melle, esrPobjet d’un avis f-vorable.

— ù fixation de là subvention à a-cer- deranx vieiUards sera étudiée par une ‘fiünâssion. \ „

C o r b U ta r d .— Sur la demande de ! Duret. adjoiat»lé Conseil décide à 1 unani­

mité qu’il y a lieu de faire des réparations au corbillard. .

-1- Eè- tfonseil se constitue en eomw secret pmir e»a»B #r,J»-co;es irrécy s

•vwWea.diversosdemMides, et pour arrêtw la liste d’adsistance médicale gratuite.

M oW itatiairvs. C*nnr.iOLA6i.'D SihalM éufx se scmt introduits danaie ' bmWu de la Société des Ponts et T r a ^ enfw , et e n « t emporté le coffre-int., ffia’ils ont ouvert fin peu plus loin. Fw

'^lO T é^t^eiîîeT nne somme importante, lin Wlfii 'f** nntAlA volés.'^ W o ir e i i t - l e B - v ie r g e » . — Lism

— La-Gommissiou derevi; -’jiW w ttH stéé léc to fa le pour 1906a

rê té lend irtre des électeurs tu chiffre de  033, soit, une augmentation de 100 sur T905:

— .GiiRiBHix DojtsixDR. — M. Dema- ine*z? propriétaire e t conseiller munici. ASogent, n en t de verser, comme ÿaqi

ro e somme de 850 francs dans caisse du Bureau de bienfaisaneo, Nm ^ m erciom éiits^M sincères pour cet acte, dégéhérosïté.'' P ré ë ÿ -» tth -O Ï* ^ * — Du EstAirt

■ iïÔ&VÜ — Dn enfant .âgé de quelquejouft-béiftemetit à été'Çpdvé a b M d ^ i^ iînf«i15ràgoîCde 3*.eIas8ed’ua tramveT-

406 50 10 »

« Q 50 19 75

.12 s 480 >788 76

519 75 203 45

44 40

737 » 51 75

8.287 668.339 i l

Sur cette somme de 8.339 fr. 4!, 739 fr soEt entre les mains du 3.400 fr. i l à Caisse d’épargne, et 4.800 fr . sont placés en rente sur l’EtaL

[te Président : PanAOT.— Acoteni d* Tbavail. — Le 6 févper

1906, l’ouvrier Petit (Emile), carrier chez * . Calpain, a reçu dès contdsions a iaàain gauche par suite du cboc d’im outU. ffi docteur Résibois a prescrit 8 jours de IRpos.

' O r m o y - V i l le r » .— Gbav* ACdDUHr. - M. Thieux C*%r‘). ffli. Floqnet, de Dflty.

^0 làriB® dwii là coor i® M. BsrïôU,- ___ _ 4M wvee _bonliü^er A OrmwrVilIérs ;_celuf-ci^n- h itiœ passcn un di

æ

% dm t : .1IM. ,_ire i GbnvieBi,

w aronuiv, Cultivateur iRaint-Martin anx-Bois (Oise), son beau

D’Après la cfrémonie civile, M- Hubert Grisou, maire, a adressé aux jemiM épirâ *_____ laABrdnil

aavtttivwwu »» des sacs éhaïgte w la f®itar8p m ûs le lai sa to2 ber a i r le doa de * . T7ileax,W *»• ***11® grav«B«it attonrt.

ertemer a'.constaté, en effet, des articulations costales et

_isection complètes des cotes diirtiiàfes, à la tonteur de fe

9* et 4 cO tei^o iies . etapréiscnt onmoit de cessation de travail.

P o i s t - S a i n t e - M s i z e n c e . — ,M ^BwîTim conhÀJniil — M B erto vient d’être condamné par le Tribunal de simple police du canton de Pont-Sainte-Maxence, à propo' de faits qui méritent d’être mis an lumière. „

E sa q iîlité de maire, de Pont, M. Ber- din, conseiller général de POise, sa permit de traiter de * crapule > un de ses conci­toyens, M. C... C’était là, on en convien­dra, une injure assez peu parlementaire et acétique, et U faut que M. Berdln ait perdu tout sang-froid pour en arriver à empîojer, (Dême confe un adversaire, de pareilles®xpr6nioxur

le s bioiai ds se croient décidément tout permis; mais M. C... n’entendit pas laisser sans sanction une semblable inconvmance, et il poursuivit sans tarder M. Rerdin de­vant le Tribunal de simple police de Pont, afin de lui prouver que de tels outrages ne pouvaient demeurer impunis.

L’affaire a été plaidée devant le juge de paix, et'M. Berdin a été condamné à 5 fr. d’amende et aux frais.

g . C... estime que c’est là une peine m- sufflsante, et il sa propose. non« dit-on, d’iDterjBtor appel dès que le jugement con- dïSHIW PM n^dln lui aura été signifié.

Le Barde de Pont apprandra, de cette feçen. q« iLvaut mieux faire des vers que de diffamer ses cmcitoyens!

— L a F an fa rU s — Dimanche dernier a en lieu, dans une-des salles de la Miirie, U réunion générifle annuelle de la Fan­fare d e Pont Sainte-M axence.

Airès lecture d»s lettres d’excuses de MM. Berdin, Bolün, Dehuoay, Fas- qnelfe, etc... M. le Président a pris la pa­role et a fait 'e compte-rendu des événe­ments de rannée.1

I l a p a rle des sncnès remportés par la Musique, des concerts donnés par elle dans les différente quartiers de la Ville, a remercié la population de l’accueil sympa- titirâe qui a tonjiàrt été réservé aux musi- mens, etj après s ^ i r adresséjm soDVemr Awi aux famiUtt des membres décédés ’dahi l’innée, a é ta n ê la parole au Trtso- Méf pour la lecture des comptes

. .Après approbation déS’wmlp a., fA*i/>ieilians an Tréi

A n « n i l de lan o n v è lle ex istesee que von» crée le m eriege. je »ni» b e ^ u j Je_TOM adresser m es m ellfenrs sonhalts de bonhenr

• 'V oCb S ^ ^ o i t t e r cettetcÎBclié où TOUS oTez granffii-Où- TOusaw acquis, sous la direction intelhgente et dé­vouée de vos excellents RUMts, q» dfordre, de travail, d’ecosniie, qAt'ios**" véritable femme d’intérieur, et où vous ayezaepri», en mêm e tempe. U inatiqne des plusbeéles vertus familiales. ‘Vous allez entrer daoe u n e nouvelle fSiniUe. L’excellente considéialion dont eUe jouit vous est no sût garant que vous T„ye»z e^ cueillie avec 1% plu» enüère bieuTcillMcc et oue -vous y tr«uT«rez V^ectioUg leasoiD», te» eocreuraKements dont to u » pourre» aToir be­soin*

Monsieur»Vous me permettrez, à Voccaei»

mariage, de tou» adresser me» pl®* * “ " fJ Î féUcitation» pour rheureux «▼«z tait de la compagne de Totre existence.

Issue d’une des W U le s l ^ l u s sn o en n M e t le» m ieux considérée» de ThiTeinyp au milieu dTionnêt»» traTaiUeursqui jouissent è ju s te t itre de la sympathie de tous, certainement pour t o u s l a femme capable de diriger arec intelligence l’inténeur de Totre

^*Sle* sera aussi, e t je la connais ^ e z pour pouvoir l’affirmer, la compagne aim able e t déTonée que t o u s désirez. . .

Jeunes époux, je me reprocherais de t o u » re ta rder p lu s îo n g teM » p a r mes term ine en ad rcssan t& es p lus ^ e è r e s féh d - ta tions à to » parent» qui on t bien jo u lu donner leu r consentem ent à Totre union, e t en TOU» renouTelant me» t æ ox ^de jo ie , de saQbé, de bonheur e t de prospérité .

T r n m i l ly . — Accidihi. — Le 4" f ^ vrier, M. Prdülon. forgeron à l’tisme de Beasrain, transpor'aiit des rsi’Ji de chemin de fer, qnand il fat piqué par un» pa lie d« ter à la base interne du médias gauche.

Le decteur Chevallier a présent huit jours de repos.

V m uiixolsB . •— Dü CoinOüil “ Dûeom lot vient d’être déeoii»ert i Van- moite ! Il paraîtrait que M. Nicolas curé de VaamoiM, aurait arboré, le 4 4 juillet et au mois d’août derniers, des emblèmes ro-alistei. Due instruction fut oqvwte et un orocès-verbal vient d’être dressé centreI. rvw.v..R*i>v<TriA Ad*f*ld«f9tt'mio. T.*ÔH cou*

mais

ï i ’rùnlte, en effet, des renseignOTents que nous avons recneUlis, que M. Nicolas avait pavoisé son presbytère d« drapeaux tricolores, le jour de la Fête nationale ; mais il lonr avait adjoint deux ou trois bannières bleuet et blanches, portant des fleurs de lys et une couronné royale. C é- taient tout simplement las étendards de leanne d’Arc; mais nos bons sectaires ne virent pas cela Les fleurs de lys. la cou­ronne. tout cela était royaliste, et il n y avait pas à douter.

AU mois d’août, pendant uneLpromenade des enfat/ts de la Prém’ère Communion, ces mêmes emblèmes furent arborés. C en était trop. Une plainte fut déposée, et noiu verrons, à la prochaine aud euce du Tn- bunal de simple police, M. Nicolas matdé i la barre pour ce f*it grave.

Il y a de quoi rire.V e r . — Une OcroedNAiRE noyéz. -

Le 41 février, vers trois heures de l’après midi, M“ * A'bry so trouvait le long de la Launette. lortqu’elle aperçut le lorg de la berge des sabots et une canne q ' ’elle sa­vait appartenir à une vieille femme du 'ays, la veuve Robinet. âiée_de 85 inr.

Elle courut avertir la famille, et. après un qoart d'heure dé re'-h-rches,fin dé couTrit da®* 1® de la rivlèr® I0 corpsinanimé de la malhaureuse.

On ne ssit s’il s'agit d’un accident, d un crime ou d'un suicide.

dê trésbiu ig& haireat tenu bfea^.^ , réK 9aa« ïT aw iaefi*« ‘ ««»*» dèehanme » t« - la moisson twmii donc® nn bÿd tohonrd* fcjrof*

4 » meffloorp o u r V avoiite, o n f a i t u n p ro fo n d l à l m hd e d é & lc h « n » t a v a n t l a l 9 d ÿ f w e s géiéesi O n d o n n e e u sm te , a u p r m f e i ^ , u n searifiàge, p u is u n h e rsq g e , e t o n te p lu s fn t p b s riH e . cair : à s r e in q b â ti* # .

avec antsmt d e v s^ B : /I avoitfè bi*m,famée rem dfr;^.® ]??'® *• P m de plsmtes t aiissi s m to -^ Jjn* ’cetle-ôArteâe'à l’aetfon dw" c“ ” “-m eU ’asâmilidites çûDÿiire fo ;- -'^-S,’'Tè hitràto de s4wdo et.-;uiuiw, ™ u.u—u do

lA Méasae «wmmie 14 inghatéd e la p M e . te poids .dM gfaiBS’M ^ o -tège te jeûne r t a n c o u ^ les dTn• sectes. Le ptofwseut T&^ndqsm, d_M- ras, conséiUe aux cultivateurs sfrtésions de donner à l’avQ«Be 800 kilos de chlo­rure de potauium. 400 kilos pbosphate. 'et -450 kilos dé mlrete de sonde. Dans le pays de CaBs, lé p r o f ^ senr Lan eut a mo' tré l’équivalelico CffiBi plète de la kaïniteet du ( hlorme dejiq- ta«iinn AUX prixactuels des zffis dépo­tasse, la k ï f l e est souvent plus avaota- gense que le cl forure, et nous oB consml- lons l’emploi, sauf en terres humides

Le cbofx de la varié'é exerce éyidem- ment une très grosie influence sur le r u ­dement; on sèmera de préféré acç le» plw prodacüTes, <îui »ont aussi les plu» exi­geantes. Soirant les région», ctms.r t’aroîDO noire de Coulommier»» trts ap­préciée sur le marché de Paris, les bonne» aToînes blamches du Nord, ou môme lesg'aines sélectionnées de TaToine de

grmns les plim lourd» s o t ie s meil-

' L’js nouvelles variété» allemandes, tel­les oue la preliû(iue de Saie, et 1 avoine jaune de Heine, donnent en terres bwo préparées et blon fumées de» repdeinwte vraiihent extraordinaire», et le» eugrau dont tous conseillons remploi I w per­mettent de b‘en supporter la séghwsse, surtout quand elles sont semées de bonne hOT^ —

Le» cultivateurs ont le plus grand inUrdt. & rechercher par tous les moywiapMsible»

1 A n ï p u ^ E p x ( l o s a s g é

ios8iure^*WièflBiïeM).UiiiKliiàiicéntè Pisà«fe._—"HtMettO dé'

lanavit. AbandiHiÙée (cbaraao senlo- areut). i.’lT

d tr m .

to célèbre r L Voir rauBonoét . .

LES àtjB O M ^ a BE V K

A W H S f i É B '

■jumatiMiwz.fia m xjuulib’io de i« ié r ir prf

lyéeavâa teosle i.: «S rK dm ti

e lutt junnaBiiaire, ert la

Rcrite, p ir lattre ou cartf p o ^ * M. Vîneeait,». place Victm Hugo, é a re” Boble, M ^flpéB én graha î i f Hmco j j r

m i w

tléu'fraûqàisedehors. ' ..

11 nous semble que se bat peurrait être facilement atteint, et même déparé b iœ an delà; pour y arriver, il serait nécessaire de foira i

40 Les labours d’automne profonds, par­tout oû le sol le permet, afin d’éviter dans une certaine mesure les «ïffets de fe séche-res’o des mois de juin et juillet;

S» Un choix et surtout un triage soigné des semences; .

3* Géné a ber l’emploi des engrais poM cette culture comme pour celle du b é, emp'oyer Is superphosphate et le nitratedesonde. . . ■ „

Si tous les cultivateurs pouvaient suivre une bonne partie de ces coBseils dès la première a née, nous ne serions plus tn - butaires de l’étranger, et c’est plusieu s millions qui re teraient annuellement en­tre leurs mains.

L’agriculture doit devenir de plus en p l u s indsstrielle et comviorciale. elle doit d’abord app-eDd'-e à pr.t quer de plus en plus les meill“'T»s méihodes pour assurer sa prospérité et les besoins du pays, et en­suite pour lui permettre de travaiUer pour l’sxportation quand les conditions écono­miques s’y prêtent.

J. Laberokrix.

C h su ra d ePar M is s B o b H in e t t .

Chei les rois on voit mon premier; Aux cStemps ou trouve mon dernier. E t quand on est tians mon prwnier Oû use peu de mon dernier,E t fait beaucoup de mon entier.

adresse dé fé’ictetioss.aa T r ^ i o r mut •on zèle et sa i^m-Jualité. 1 assemblée a pneédé aa resoiteei.lmBeW du

.iA« û l'anaoimité et <st auui 'compbsAsonr l’année 4906 :

Président : M. Souallo.•n® ÎW n(6B ts ; MM. Beauéhamps et

JaiHiez.Seerétaire : M. Chéry.

n i & r i e r : M.Gbarcousset. 'C blvterm y. — Carhei mmuiaik. — Le

■èâ: gilém er dernier, a été cé ébré Lia ^^■ d eT h frb rn y te mariage de M“* la ­

ie Lecierc, fille de M. Eugène Lscierc, ^ œKÂéûiM— Leclorc, née Fleury,

iavocllLlAlfced Mabiaiu, de Saint- irid^Earereht.-ÿ'-s de M. Emile Mabisux,

„_ltivateur à Sajht- Leu, et da M“ * Mahieux, jféèDeimiaà ..

A ^ ^ îté m o in s de 1 époiisa etuenf^ MM.

-^ p r ié ta ire ,,gnBd-end*.

S o c i é t é G r é i i é r - a l e .B u r e a u d e S e n l i s .

La Société Générale à Senlis reçoit dès maintenant sans frais les sou’crip'-ions à l’Emission de 1 4 6 .7 2 0 obligations delà République o.^ieotale de l’üruguay, 5 7o or 4905.

Prix d’Emission : 97.50 7»» soit : fr. 487.Æ0

pour une obligation de fr. 500.Jeuissance, 4" janvier 1906.

Payables: En souscrivant... fr. 100 »A la répartition, du 4" au

3u«irs 4906....................... &• 8®^Sous déduction du ceeçonn» 4, à l'éché -

anee du 4" avril 4906, payé paranüwpa tioii'B.'25 i

Ce qi.i ramène le prix d Emission a 481.25, «t constitue pour le soutcriptenr un placer ont au taux de 5,15 "/. environ.

C H R O N l O U E J t e B l C O L E

I jU C u l t u r e d e P A v o in e .Conseils pratiques.

On fera beaucoup d’aveine cette année, tant pour remplacer da-beiterave' à sucre dans 1-r Nord que pour profiter des cours élevés des grains, et nous croyons utile de

fionner à nos lecteurs quelques conseils pratiques qui leur permettiont la réussite de cette culture. -- -

L’avoine eit très rustique : elle s accom­mode de tous les so’s, môme les plus mé-

-dîocres et les moins bien cu ltiv^m ais elle paie ’largèmélit ■ fo'ûléT;''lèï'dS(teases faites pour sa. culture.. Elle a fièsoin de beaucoup d’humidité pour germer, e t la

S'prémière coniiition du succès est de semer

I jO g o g r ip lx eProposé par Lilas Blanc.

Je sais ésiter l’écueil,Je dois braver la tempête.E t ceux que je laisse en demi A mon retour m e font fête.Mais si tu coupes m a tête,D’nn esclave j ’ai l’aspect.E t je suis un être abject.

Mous publierons les noms ou les psou-- donvmes des lectevirs ou lectrices qui auront trouvé les solutions .ou l’une ou rautre d’elles.

La solution de la charade du numéro du 11 février est :

VOL— AGE (Volage).La solution de l’énigme est :

OISEAUOnt trouvé les deux so'ntion* ;Ah-Xisse. — Miss de G ace; — Sire de

Peu 1 — Ouctamilatass. — RObmsonnette. — Brùnette de 17 printemps. — N aimant qu’eUe 1 — COoolababts. — tBrunetle’tiê^ veuse.

Ont trouvé seulement la première solu-

^*Mâure-Isse. — Brun aimant Branette. — Un.Matou. r^'Regrettë toujburs.

Ont trouvé seulement la seconde soîu-

^*Une Habitante de la rivière d’Automne. J’adore le eharobard, — Bébé a mal auxdents. — Miss Bob Hinett. — Le grand, le fort Emmanuel. — Miss Therr rieuse. — Deux Blondinettes. — Artiste aimé d une Brune. - Ecoutez ! .mon cœur bat. — Une Rousse, la Blondinette et son Brun. — Nous nous aimons encore. ’

Réponse à R . îsson.' Certes, je ik’ai pas la science infuse ;

L^<m me - t ^ t è sônvént <Ju de buse. Chacun de nous-â sa ««pacité :J ’ai mon petit m érite, en vérité,' pHtfqu&'j» 8«i»'mseau qui te_ procure Mode .certain ppuf ..fr8®r récriture.

B“ D’HALaTTB.

MontigBy-les-Ch«ilienx, te 47 févriar.Encore te nenrasth^Blé I n ie r a d it qu'à notre a |e la: pm H«wde

aunTeiifia été trouvé a W* :IhÆteli îSrMnsest'La fàmtilé de M. lArget on a va eê»-j|pu»fie«fers nBe preav* ab-

-Rolnmont roiivâiBcréte.Depuis l’êge de 80 ans, M. L a i^ t souf­

frait d’une iteâraàthénie des ptes-teiiacas'.A la -h an t^ d’jflées BitiFes et d’outiéceu- ragemeot' aeonBpàgné de tristess^pro- fonde, notre ébaspairioto avait vu stejou- ter une grands faiblesse de tout son orga­nisme : ■perté'de la méfiolra, dimiantipu du sans intellectud, abssiice coMpwtu d’appétit, dfi«esliôn imposa ble, tout le cortège, en un mot, de cette’Bèuraslhénie impitoydle-qu’on a aypdée te mal du tièèle.

' Après avoir essayé tous les médicaments connus, il e t t l’heuretise idée de s’adres­ser à M. te Directeur de l’Académie Dher- mothérapique,49, rue de la ’Tépiniêreî à Paris. C’est ainsi qu’il reçut te Journal de Méieeins Français* qai -est envoyé tfroïii temrèt à tous ceux qui ep fon tl^ demande, et il fit aussitôt l’essai de la méthode d^mothérapiqae enseignée par ce jouiBàl; ' .

Devons-nous dire que sa anrorise. fiU g r » ^ , dte les premiers jours, dé conste- ter un mteux sensiKe qui, i ’aceoBtBanta* plus en plus, a déterminé sa complète guérison. Apjônrd^ui, - M. fl.wget -« - re­trouvé la santeetlttgaieté de ses 48 ans, e til ne cesse de raconieri luui wn mre- timable bonheur.

IR ev rax e d e s . I . i v x ’esi.UN L IV R E PRÉCIEXJX. — Noiw '’^ s e m

de recevoir le beau Tolame d e M. .Emile Améf : CommentIdie e t ittroH er p , . . , . ^(recueil de 19000 locution» em pruntée» au ianeaire de» atiaire*. à re c une é t w nrénaration autom atique de»' écrits e t des SscouTs. chez J o u tc . 15, rue Racine, Pan» , in-8» relié de 610 page», t a franc» franco eare). V oilé-certes un ÜTre. »éneux quOT -peut recom m ander en to u te confiance. x«a méthode de. VauXtur est une ^véntahle trou­vaille. C 'est un lir re original, ingénieux et u tile en tre tou», den» u n tem p» comme Je nô tre où chaque citoyen p eu t éfre appelé a faire p a rtie de conseil», comité», associa­tion» où il aura souvent Toccasion. so it de prendre la parole, so it de feirc un rap p o rt »ur une question déterm inée. « Si irotTc pe ­t i te lam pe donne to u te sa lum ière, c’e s t tou jo u rs a u U n t de ténèbres de moin» daim ce inonde, quelque p e tit que so it le coin quelle éclaire. >

LA NATURE, R evue des •âéuce» e t de leu rs epulicetions aux A rts e t à 1 Induem e. journal hebdom adaire illueVé. M asso n r t Cie. éditeurs, 120, bouleTard S ain t‘G e rm a ln ,^ n » . — Som m aire du n* 1708, d u 17 féynerlSOS. — La condam nation d’unU m ontagne d e là Sague), p a r Octave Juetice. E ntre tm e électrique du p é c u l e , par J . L - -L espro je ts de chem ins de fer T rapsp jréneens, p a r Uanlel Bellet. — O bjets e t d icqrs en pa-

Sier e t en carton, p a r Lucien Fournier. — La ouille p rodu ite en 1905, p a r G. lA ton r. —

L’industrie électrique, par J . L a ffa rp e .--N o - Torosü-k e t l’exportation des céréales, p a r H. A nnett — D issolution du p latine, p a r l*®^*

nique. — Académie des science»;12 février 1906, par Ch. de V illedeu il.— B ou­te illes à poisons, par W ill D arrille m éro contient 15 gravures e t le bu lle tin m é­téorologique de la semaine.

M flttUlf!HftlÉNIQU

pint ine, d« F«m riiu

M A R G ^ DP B É Pi M i p i t T

C m ap lég aa , 10 février.Blé de 22 . . 4 23 . . . Seigle 14 50 4 15 Orge

. . 4 . . . . Avoine 19 . . 4 .......... Farines31 .. 4 32 ... finadvUUcBg. 12

Blé, Ire q té22 . . . 2e 21 25. M étl^ ..14 . . . Orge, 18 5 0 iA » m e ,lta qté 18 50 i2e l8 .w ,V. . . . . . TdVl '

lillq,1450

P qtoz 'w ïe l* . (EM4,vb

le tout ans 10(1 o s .Onoote'

M é te i le . iTtqU^^un, b -

Bcnü^ le — oesti 1 1 * ;^ 19rwèHito>l4iteriaz.

lecm, 15 .J., 1" qlé, 32 ». lA ; 5?*^ «•

I s 9 t é , 3 2 0 ; 9 ®, S 7 0 . (BaO, le

tSOfr. Pime.l i 'radm eapoBUstei ià. 8V . > _ On V 1 Oft 1m.V

rporei de 23 r 56 fr. l’un. 1345 dekâog. 712 courent, .

lait, de 11 à 23 fr. l*un.V olam a ItodoBs, M 18

Oiea, de 9 . . 410. Obnards, . . 4 . . . . Foulats, 7 . . 4 9 ...K gsons, 1 75 4 2 25. Li«ias, 2 . . 4 4 .. la pUica.S a in t X aat-eB -C h aaw ée . 13 février.

Froment nouveau, le« lOO kilog., l> ^ té , ^ 25 ; - — . . . . Seigle, 14 w . Orge, 16 . . .

18 50 ; 2*, 18 . . ; blanche, 17 . . .Z-, 20 . . . Avmne, 1’

- ■ 1, le

8*,, 1- qté,’85 c .; ït.ROo.

L a S a g e s s e d e » r e a t î o n e .Vous avez fagot et fagot.Répète l’humaine Sagesse ;Mais on ne garde la jeunesseQue par l’emploi du fin Congo.

C. Terum, d Victor Vaissier.

lEPlUttŒ BBlEITilE lE r a W l f . . 1 4 6 . 7 2 0 Obligations 5°/o 500

Faisan t paxtlo des 348.400. .constituant l’KmiânMluttai i 11 COU vBBSioH ‘t i i n g M W C T W tf f *

A Ï S E m p r u n t a I n t e r i o v i r a * • / .

BEBiOlinSllS éS PA1»:P4B Tiatgxrewswn*

v.1r—... / vrlAnltala» ri» l’UnUT

qupttdicimeinfiatM oaieyW eo —

S I S M S ^ a c W o o d a eo«poir«» 1. . . •

S!'On souscrit le Hanli 20 Féarltr 1900KT BfcS AUJOUHD'HUI, PAR CORMESiroNDANCE

àPASIS

S 81 e s

JUI ww- V— •""»* wa«»,ga»w—BANIIDC dej^ y t 3ei PATS-BAS,

E t dsn-s ses S a c c u r s a jw e t ^ '«dtniqgfnn fi Ifi Cotê OmciêlK

f 0* d» PnrêttCt, 54 *t 55. oEOeîîe s daafifidtoYPfirii.'rt

...jozre, le ÙL, !*• qtée 3 . . ; 2®* 2 80.(Soff, le cent, 11 fr. 20 k . . . .

-------------------- Tl i rA é i d u DéputeiBnti M t i o ] ^

C h A tea u -T h le rr , (Aisne), 9 lévrier.H é, 23 50 4 Selde, 15 M à .. - Orge, . . . .

à . . . Avoine noire, 19 50 k20 . . . M étâ^ . . . .i ...........Farines. 31 50 k . . ; le tout aux 100 kilog.E v ren x (Eure), 10 février.

Blé, 2 îB 0 à 2 3 . . . Seigle, 15 50 à 1 6 . . . Orge 17 50 à 18 . . . Avoine, 20 . . à 20 50 ; le tout aux 100 kilog. - V -IBisora (Enre), 12 février.

Blé, IhectoL, l " qté, 16 . . ; 2® qté, 15 ...» M.étÆ '.. Seigle.............O ago ,...........Avoine, qté

*9 75; 2®, 9 50.On cote aux 100 kü. (cours moyen) : Blé, 19 87.

Seigle, . . . . . Avoine, 20 92. ^p « ii,le kiL, 1®* qté, 85 c, ;A q t4 i 30.e..............Beurre, le kU., 3 . . i C ^ s , ü cent, 10 fr. . . .

O o u n u y (Seine-Inférieure), 13 février.On cote à l’hectolitre : Blé, 16 . . . Métefl,.........

Seigle, Oige, 12 ...Avoine, 9 ..-.-Pommeide terre, 11 . . .

Beurre, le kilog., !*• qté, 3 . . k 3 20 ; 2*, 2 90 k3 . . . GBoT», le o n t, 12 •• k 13 50.

YolailUf (la paire). — Dindons, de 16 k 20 fr. O ie.,9 . . 411 . . . ( in a r d s 5 . . 4 6 . . . P o t ^7 . . à 9 . . . Pigoon» . . . k . . . . Lapins, de 2 50 k 4*50 la ïûkce. -

Bestiau», — 11 vache» grasses, de i 30 k 1 40 le kilog. 27 vaches borbagèro^ ^ . 90 à 110 le !& T&ches. de 4(X) k 450 fr. la pièea.

40 porcs mas, do I . . 4 1 20 le kil. 350conrenrs,% 40 4 70 fr. la d e ^ de 154 20 ft. la pièce, te chqvaai,da300 4 SQOfi.p^s.

4e . . . k ^f rfèif f^nré), S f^yrier.

H é bianc dé 2? . , . , 4 ^Orge . . 4 . . ’ Avômel9 . . 4 20 le toutanîtOOiaios;LatoB (Aisn^; 7-févrimp.

H érùim 22 25 4 Swste Orge 18 60 4 . . . AvomelS . . 4 20 la tsptan z lO S h àa .

Pain leJôlo ’l " qté 35 c; 2* 31 «. F*rM m » 1SpBune), 10, févriar.

Blé, 1 " qté,.235(A2’i 3 Beiglei te 50. Ocga, 17 60, Avbinp, 1” qté, 19 . . 4 20 . . ; la tc u lm â

^ ^ î S f e s a c g . , 31 4 33 c. ^Reyo f nynTT>fi)|il2 ftiWMP S'-

Blé'22=©' 4 23 Seigle 14 . . 4 14 50. Qtgn 16 . 4 I f f ^ - AvîSne 19 . . 4 ;19 50, le tout ’anx ICO’iàlôs. ' ’ ■ ’Saliit-Q aea tfla (Aisne), 10 février.

Blé roux, n - cpé,,,22... ; 2-, 21.50. Seirie, 14 . . . Orge, 1 9 ...; Avoine, j j 5ftA 19 . . . Farine, J - qté,

' 32 W 4 33 le tout aux 100 kilos.SoissoBS (Aisne), 10 février.

F our combattre la c o n s t i p a t i o n et id ’e s t o m a c . M

Sn'sses constitnenl l’u n i q o e r e m e t t e atant fait ses prouTes dans le monde en tier depuis 85 Sus. 1 ffi.BO ^boite .

Blé, ir* qté 23 . . ; 2 ’, 22 . . . Avoines de ^o ix

(ont aux 100 kRcg.

. Seigle, 7. Orge,

. ; l ’s -qM, . . . . ; la

Le Gérant : SAYEStot-BuaKHARS.

Imprimerie Âdministiatire et ComUfeéciale I 9-11, place a . i’nA .iIdo-VD:..g

tBBOUCES JPMCIAgBSAnTisiA. 1 -.

lOi ttte :tneceesèor àà -lfr L rrifcux. i

i D ’u a . » * ( ^ ^

3 ^ < i m t au

P o u r lesquels domicile es t élu k 10, m e S a m t-H ü a î^ en l’étude de M ( J e o i ^ M orand, àvoùé ; ^

^ â f i e a t i o n a été faite k : t:PrMàiérement. — M onsieur A lbert

:Cfraditiaiiz, c u l t iv a » ^ , dem eurant, k iSaiKWld«i-< IN»i«nt,

• • iû ù s a u t au nom et comine«i nîWMé-ttrteur de : 1* L ^ û

■ ‘ DttàwtfourF-2® et Lucien Du- - enfant» mineurs

* - ------'- '“O de Monsieurfour et de dtlne

K m pitoaès-varbal dressé M*Baauehaaaps, nota ire 4 . Pont-Sainte- U axanca, le _ ting t-nanf décembre mil neuf cent cinq, enregistré ;

Contenant, 4 U requête de :Monsieur M axent Duomuil’onr, culü-

v a teu r, dmnenrhnt 4 S am t-Patem e,commune de P o n tpom L veuf^^ ^^^^ ^

_s^dlrf*lr Josarit"«m w orm t xn

. commnïwAe PonS>omt ;■ " " ’ife-i. HBBaîwé’ A ngntte

aririm hpr, û m tm ru ri A., coimmûne de Pon tp 'un t; a*> S -Ito n a ieu r <3»Tget-

~ eeefflitot. Et-Mousieur Joie»-e.N finnr, c n l ^ t e u r , demeu-

seconde^ d t e t ' n o ^ é 4 cette

eM oôtüon snÎTant d tf ibératiou du « ^ a ta in l ddvfrm îû» desdxU mi-

tfhùe sous la présidence .véUM M œ H m m le Ju g e de Paix • uanfdfr" *db~ P o n t- S a in te -

« xesce, le dîx-neuf janvier m u « n eu f cent six ; ■

•DeuzièBtément. — E t k M onsieur le P rocurenz de la République,, le

'T ribunal civil de preimèro instance, s i u i t 4 S enlis;

Tw>.I’eisddiri<m d’on acte dressé an a re ffe d u l r ib u n a l civil de première ■ dé Senlis, le deux février mil“ * ^ n t s i L ^ g i s t r é , constatant

l ^ n é I T d i t Greffe le de U <»pie coUarionnéa et

commune ne r _m iéres noces de M a d ^ e Ji

égnin, et en deuxièm eÿnoc-sum é de Madamè Hélène Cbadufanx ; Adjudication au profft de : P rem ièrem ent — M onsieur Magnier,

sns-Bommé, do : . «!• Une Maison, sise 4 Saii.t-Patem e,

« m m u n e de P o u tpom t su r la rouU de P ont 4 •V'erbevie, cons'rm te en pierres, couverte en tuaes, com prenant : deM mèces, fourm i, cave e t 8^*“ '*”’41a su ite , cour avec po rte çochère s œ la rue, dans « * te cqm la p im u re ^ pon- laiUor e t autres ; ja rd m d e n è ro de la

oB tenance de vingt-hnit ares sorxante-donse centiares; le tonttenan t d n n côtél’article de»x e i,ap rte , d a n tre «ô** dame Delaruelle, du nord 4 départementale, e t du midi 4 1 ancien ^ e rn iu dé Oeépy,

2- U ne OTtr« Ifedsou, ose *u môme ü en , construite en p im e s , tniles, com prenant : ^ x n ier, petite pour e t j a r t o ; 1*.“ ™*' contenance de cinq wes loixante ceu'

tiares, tien t d’un côté l’article prem ier, d’autre côté M onsieur Séguin, du nord la route départem entale, e t du midi l ’anrien chemin de Cr^^py; m o y e n n ^ t lé prix principal de d ii-nenf « n t cin­quante francs, outre les charges.

Deuxièmement. M onsieur Desenlis, sus-nommé, de :

Vingt-six ares cinquante-neuf cem- centiai’es de terre, te rro ir de Pootpoint, lieu dit dans le M arais de Saint-Pa- tem e, tenant des deux côtés Monrieur Desenlis, du Montcel, d’un bout le fossé T rax in , et d’autre bout la riv ière; moyennant le prix princigal de neuf cents francs, outre les charges.

Troisièmement. — Monsieur Claux père, sus-nommé, de :

D ix-neuf ares cinquante-deux cen­tiares de terre, même terro ir, lieu d it la Vîolette, tenant d’ùn côté et d’un bout Monsieur Mancheron, d’antre côté Mon­sieur N am ur, e t d’antre bout Monsieur (jauthier ; moyennant le p rix principal de cinq cent soixante francs, |ou tre le: charges

Quatrièmement. — M onsieur Claux fils, sus-nommé, de : .

E aviron dix ÿres de terre , même terixorTlieu dSTâû'ITàraia du"M<Jnteti,' tenant d’un côté Monsienr Namnr, d’au­tre côté Mademoiselle Julien, d’un bout

la vo irie , e t d’autre bout . Monsieur Claux ; moyennant le prix principal de deux cent quatre-vingts francs, outre les charges.

Cinquièmement. — Monsieur Namur, sus-nommé, de :

N euf ares de terre, en ja rd in , même terroir, lieu d it la Violette ou les Buis­sons Derouvjlle, tenant d’on côté le. chemin de Crépy, d’autre côté Monsieur N am ur, d’un l» u t M onsieur GiUet, et d’autre bout en pointe : moyennant le prix principal de cent dix francs, outre les charges ;

Avec déclaration :Que ladite notification leu r était faite

conformément k l’article 2194 du Code civil, pour qu’ils a ient k prendre teUe inscription d’hypothèque légale qu ’ aviseraient, dans.le d è l^ de deux mois, faute de quoi lesdits immeubles seraient e t dem eurerrient définitivement pnrgé^', entre les m ains des acquéreurs, de toute hypothèque de cette nature ;

E t k M onsienr le P rocureur de la République : ~ .

Que le», anciens propriétaires desdits g immeubles paraissaient être, indépen- - -dttM aaeafc^ v«tdeup->

(Communauté d’entre M axent Du- chauffour et dame Joséphme-Geneviève Séguin, sa première épouse ;

Joséphine - Léo-tine Duchauffour ,- épouse de Alfred-Jules A rnou id ,

M arie-Angéline Duch’ uffour, épouse de P iérre-JosepkR oget;

E t que tous ceux du chef desquels il pourra it ê t » pris des inscriptions d hy­pothèque lé g ^e , n ’étant pas connus desLquéreurs, ils feraient faire la présente insertion conformément k ukvis au Conseil d’B ta t des neuf mai e t prem ier jéSn mil huit cent sept.

P our insertion t 2 2 5 Signé I MORAND.

Loui^G régoireJ)achauffour et dame Marie-Antetndiftf Diot, son épdhse;

(Oise), le fonds de commerce de m ar- chand de vi»*:limouadier qu’ils exploi­tan t e t font valoir dans une maison s i s e k Chantilly, k l’angle des rues de Paris h t d’Atùhale.

D o m ’ c i l e e s t é l u k C h a n t i l l y , e n l ’É t u d ede M® B^éz-»aux, notrire. 136

Aat . 2.

Étude de M* H e n r i 'B A L É Z E A Ü X , no^a i^ k Chantilly.

Suivant acte reçu par M® Balézeaux, nota ire k Chantilly, le quinze février nril neuf cent six. Monsieur Charies- Eueène Chocat, m archand de vins limonadier, e t Madame Clbtilde V alen- tine H uaviii. son épouse- demeurant ensem ble 'k (JhantiUy, - o n t ven4u k M onsieur Jean-Baptiste Gorin, garçon Iritier, et Madame Jeanne Aübbrt, son épouse, dem eurant ensemble k Flrilly

Ar t . 3.Suivant acte reçu par M® P etit, no­

ta ire k Senlis, le neuf février m il neuf cent six, M onsieur Ju les-H enri I v o a a , coiffeur-à ChanjÛUy, est devenu seul propriétaire du fonds de coiffeur-par fu m W qui était exploité pa r ses pè’-e et mère, k Chautilly, ru e de Paris, nu ­méro 12.

n a -été fait, élection de domicile en l ’E tude dè M®TeÛt, notaire.139 p e t i t .

DE : UNEmïsms i ta ô e à T»O N T;S*^-lf A ï K î C E ,

T 'aulîonrg d tiN ord i sur la route de Flandre,-n* 13,

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Mise k prix : frjycfi.

L’adjudication a s ra Usa l e D l s M e h e c t i P ^ T r t e r

à deux heures de reUidésit eu l’É tude et par

Etodes de » e e n r s é s M O K A N B ,licencié eu droit, avoué k Sentis,

10 m e âriut-H ilafre, succetseùr de M® Letieox;

e t d e ■ * ttotaireAgmiA-Sainte Maxence.

VENTE SUR U O T Â T IC M îi aux enc/ières publiques.

M -BEA H CH A JIfe5 ■ notaire k P o n t-S ^ te -M û e a c e ,

commis k cet- e ^ .

S*ad7*ewer pour les refwipfweiewt» ;a ' H - G e o c e s . a ^ d k

Senlîs, pônrsuivant 7à vante ;A M 'ESÇA V Y , aroué

sent k la vente ;fifcAAlîrBBAÜCHAMEaà.-iM^.^

Pont-Sainte-M axeuce, dépottiaire éa. cahier des diarges.'

Page 4: élection du Kideat du Séntt - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1906/bms_js_1906_02_18_MRC.pdf · Paraissant la «laikil et te Dimanclie. JO U R N A II R é d a c te iü ' é

P m I caUM BABV»S r « B ? 5 S é - i e ftToaé à Saaiili.

3 ^ rae . da O iM ^ inenssÀ v de M* Pb« Maktih î

«t de S* SHEOLLUfcBB, hm uâa à Senfie,

1& roe de 1& République.

laeM VM if ■wBV'VB$6

/ fÊgÊfÊ0Qf de M i« TXBUXt

c a s . emcUres publiques,

■MP M iivartioii d* t a l t i a ,

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enchérisseur.m v E 611 l'endieiice des tûsies inuûobihÔîM

du Tribunal ciril de Senlis, au Palais de Justice de ladite rille, rue de la RëpubHque, u* 14,

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Dans le but de £ iae c o in é i^ et s ip ré d tf , oonmte elle .le asérite, la

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Senlis, ppursuirant la ren ta ;A M*"SA1NTB-BBÜVE, aroué

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S adresser p o u r les renseignements : A M« I .« a le E 6 CAVY, aroué à

Senlis, poursuivant la rente ;AM* DIBîT, notaire à Ciépy-en-Va-

lois;E t à M* NBUVILLB, huissier à Cré-

py-en-Yalois.

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le ministère de M* Mellottés, notaire à Mello,

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nau^oW ant M rèn te ; '■ . « . A a . X , Cl A. . 1 {n2* A M* CHAMBARD, arpué à Senlis, présent à la rente ;}

3* A M* MSLLOTTÉB, notaire # MelVo, dépositaire du cahier des' charges e t ckstsegé de la rente ; , - • ' V .

4* A M* DELAHOUSSE, huissier i Neuilly'en>Tbelle.

Études de M* PsHd GHAÎWJJUO] aroué, licencié en'droit,

snecesseur de M* Ph. M a r t i n , demeurant à Senlis, 35, rue du Châtel;

et de M* M A U èE E E T , notaire ’ à NanteuiHe-Haudouin.

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^adresser pour les renseignements i* A V* P a u l CHAMBARO, avoué

poursuivant, demeurant à Seulis, 35, lue du Châtel;

2® A M® LOIR, avoué à Senlis ;3* Au Greffe du Tribunal civil de

Senlis, où le cahier des charges est

Étude de H® P a u l C H \M B A B »avoué à Senlis, 35; rue du. Châtel,

successeur de M® P h. Martin,

V E IV T Eswr surenchère du sixième,

au plus offrant et dernier enchérisseur,en l’audien'’e des criées du Tribunal

civil de Senlis, au Palais de Justice de ladite ville, rne de la République, n® 14, heure de midi,

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g*aljs, SS, rne du ChateTTV a m** liOJIt 9t V ï ,

avoués à Senlis;3* A M* FÊTIZON, notaire k Senlis j E t su r les lieux pour tîwIoA ’

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Étude de M* DELAUNAY, notaire à Senlis.

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Ftude de M» DESABIB, notrire à Creil.

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Faubourg de Paris, n* 40, et l’autre rue du Ternie, n* 13. — S’adresser à M® Desabie, notaire à CreiL

Étude de M* THIROUIN, notaire à Acy-en-Multien (Oise).

A vendre par adjudication volontaire. Dimanche 18 Féviisr 1906, à une

de relevée, à Bouillancy, canton de Betz (Oise), en la salle de la Mairie, et >ar le m’nistère de M® Thirouin, no-

Acy, u n C orps d e F erm e.

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Ponr les aanonees devant paxaUre noeeeriveaftent dans idnrieaxs luanéfos iu jo n n a l, le pifs de ahagie insertion est de 1 frsfrs.

Le ■«■tant de «es annànoês doit ae eo^rngat'- la ço#maxd6

situé à Bdûillancy, et 1 9 h c c î a r r s 9 9 a r e s 9 9 e cn f la re n d e * T e rresitués aux terroirs de Bouillancj et Rées-Fosse-Martiu.

On demande n n j a r d in ie r à tout faire, sans enfants, sachant sonner cheval et voiture ; la femme concierge et basse-cour.

S’adr. au Bureau du Journal. 117

MÉBfS ÉTUDE

Adjudication volontahe, à Acy-en- Multieu, en l’Etude de M* Thirouin, notoii'e, le Dimanche 4 Mars 1906, âuneheure de l’ rés-m idi, par le minis’.ère

'fiiirouin, a ’un C orps dedudit M'F e rm e , situé à Acy-en-Multien, en m e de la Tournelle, en 5 lots.

Etude de M* Edmond FERRY, notaire à Béthisy-Saint-Pierre.

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Étude de M* FERRY, notaire à Bétitisy-Saint-Pierre.

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