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N° 4 - Mai 2012 M A G A Z I N E BLOG MODE LIF Week 2012 INTERVIEW Jenny Duarte

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Au sommaire ce mois-ci Jenny Duarte, créatrice Péruvienne, la LIF Week 2012 de Lima, le 50ème anniversaire du Fashion Group International,...

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N° 4 - Mai 2012

M A G A Z I N E

BLOG MODE

LIF Week 2012

INTERVIEW

Jenny Duarte

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En couverture : Jenny Duarte

Crédits photos : Pages 4 et 5 : remerciements à Artiluxe Diffusion - Pages 6 à 9 : remerciements à Lilly Gabriela - Pages 11 et 12 : remercie-ments à CANTRA Fashion Mkt Consulting - Pages 14 à 19 : remerciements à Jenny Duarte et à Peru Moda - Pages 21 à 23 : remerciements à Artiluxe Diffusion - Pages 24 et 25 : remerciements à Carlota de la Vega Pietrini - Pages 27 à 31 : remercie-ments à Carlos Alberto Rodriguez - Page 28 : remerciements à Ugo Camera - Page 31 : remerciements à Gerado Larrea.

Sommaire - Contenido

Latina Creación Magazine est édité par la société Artiluxe Diffusion SARL - SIRET : 520 607 532 000014 264 Rue des Sables de Sary - 45770 Saran - France - Tel : +33 970 445 472 - Courriel : [email protected]

Rédaction en chef : Benoît Loubière & Jean-Claude Vallart Périodicité : mensuelle

Agenda

Agenda

Alejandro Carlin Nouveau Show-Room à Mexico 4 Alejandro Carlin

Nuevo Showroom en México

Jenny Duarte Prendre soin de la Terre et des Hommes 14 Jenny Duarte

Cuidando a la Tierra y a la Gente

Vanessa Drummond Inauguration de son Show-Room 21 Vanessa Drummond

Inauguración de su Showroom

Lilly Gabriella Simplicité et pureté… 6 Lilly Gabriella

Sencillez y pureza…

Fashion Group Mexico 50° Anniversaire 11 Fashion Group Mexico

50° Aniversario

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Camomilla Carlota de la Vega Pietrini 24 Camomilla

Carlota de la Vega Pietrini

Blog Mode Estilozas - LIF Week 2012 27 Blog Mode

Estilozas - LIF Week 2012

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Alejandro Carl in

L e 25 Avril dernier, en fin d’après-midi, une agitation peu commune animait le quartier Polanco de Mexico, quartier chic s’il en est de la capitale mexicaine.

Il est 19h00, et nous approchons enfin du 38 de la rue Gold-smith, l’endroit même où Alejandro Carlin a décidé de s’instal-ler. Si vous ne connaissez pas encore ce créateur mexicain, nous vous conseillons la lecture de notre numéro d’Avril dans lequel un article lui est consacré. Nous passons la porte, à la peinture encore fraîche. Sur notre gauche, légèrement en retrait, nous découvrons un petit salon très cosy. Couleurs chaudes et lumière tamisée pour cet espace sur lequel veille un mannequin, arborant fièrement une des créations qui fait la renommée d’Alejandro Carlin. L’espace principal est quant à lui très spacieux, lumineux et chaleureux. Une grande baie vitrée illumine l’ensemble du show-room aux murs immaculés, contrastant avec le parquet en chêne clair qui habille le sol. S’y côtoient mannequins, tables, fleurs et portants, mettant en valeur les créations de la marque, dans une harmonie de couleur particulièrement soignée. Quelques minutes plus tard, le Maître des lieux à fait une entrée aussi remarquée qu'attendue. Son visage lumineux et souriant, laisse transparaitre une réelle émotion. Un mélange de joie et de fierté, enrobées par la fébrilité que génère la concrétisation d’un rêve si longtemps espéré.

Lors de cette inauguration, les avis étaient unanimes : la décoration et l’agencement du lieu sont le parfait reflet des créations de la marque. Il y a fort à parier que l’existence de ce show-room va être pour Alejandro Carlin une ouverture vers de nouveaux horizons.

Nouveau Show-Room à Mexico

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Alejandro Carl in

E l pasado 25 de abril por la tarde, encontramos en Polanco, colonia chic de la capital mexicana, una agitación poco común.

Son las 19h00 y nos acercamos al numero 38 de la calle de Goldsmith, lugar donde Alejandro Carlín ha decidido instalarse. Si aún no conoce este diseñador mexicano, le aconsejamos leer nuestro número de abril en el cuál le hemos dedicado un artículo. Pasamos la puerta, aún con pintura fresca. A la izquierda, ligeramente apartado, descubrimos una acogedora salita. Colores cálidos y una iluminación suave para el espacio en el que vigila un maniquí, llevando con orgullo una de la creaciones del famoso Alejandro Carlín. El espacio principal es en sí muy espacioso, luminoso y cálido. Un gran ventanal ilumina el conjunto de la sala de exhibición, con paredes muy blancas en contraste con el parquet de madera de roble claro que cubren el suelo. Conviven maniquís, mesas, flores y prendas en exhibición, en una armonía de color muy bien elegida, para destacar las creaciones de la marca. Algunos minutos más tarde, el diseñador hizo su entrada tan esperada. Su rostro brillante y sonriente, revela una emoción real. Una mezcla de alegría y orgullo, revestida por el entusiasmo generado por la realización de un sueño tanto tiempo esperado. Durante la inauguración, las opiniones fueron unánimes : la decoración y el diseño del lugar son el reflejo perfecto de las creaciones de la marca. Es seguro que la

existencia de esta sala de exhibición abrirá nuevos horizontes para Alejandro Carlín.

Nuevo Showroom en México

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Li l ly Gabr iel la Simplicité et pureté…

D ’origine Brésilienne, Lily Gabriella est une collection ex clusi ve d e b ijoux contemporains composée de

3 éditions différentes. L'édition de base propose des pièces illimitées, tandis que l'édition limitée (20 pièces) ou l'édition unique proposent une valeur ajoutée à ces pièces créées à la main dans un atelier de Milan. Latina Creación : Vous êtes née à Rio de Janeiro au Brésil. Quelles sont les raisons qui vous ont fait quitter le Brésil et amenée à parcourir le globe au parcourant des villes comme Monaco, Boston, Miami, New-York, Genève, Paris et Milan ? Lily Gabriella : Je me suis installée à Monaco à un très jeune âge, car mes parents voulaient que leurs enfants aient une éducation européenne. J'ai donc fait toute ma scolarisation à Monaco et ce, jusqu'au Bac. Boston, à l’âge de 16 ans pour poursuivre mes études à l'université de Brandeis où j'ai reçu mon diplôme en Histoire de l'Art et Arts Plastiques. Miami, après Boston, afin de travailler au sein de Vogue Amérique Latine. Puis New York, après Miami, pour étudier au Gemological Institute of America (GIA), et recevoir mon diplôme de Gemmologie. J’arrive ensuite à Genève, pour travailler chez Christie’s dans leur département de joaillerie. Paris devient ma prochaine étape, et je commence à y créer mes bijoux. Enfin Milan, c'est là où j'ai mon atelier. L’Italie est réputée pour ses créations,

pour les marques de luxe, et tous mes bijoux sont fait à la main, par un couple qui travaillait les bijoux de Bulgari à l'époque où il s’agissait encore d’une petite maison. J'ai toujours beaucoup voyagé et je dois avouer que j'aime cela. Je parle d’ail-leurs plusieurs langues couramment. L.C. : A quel moment dans ce périple vous rendez-vous compte de votre passion ? Quelle influence a eu votre entourage durant votre jeunesse pour choisir cette voie ? L.G. : J'ai toujours été très créative. Lorsque j’étais encore toute petite fille, je voulais être couturière. A l’âge de 9 ans j'ai dessiné une collection de prêt à porter féminin que j'ai montré au grand couturier Mr. Hubert de Givenchy. A 16 ans j'ai fait un stage avec Mr. Alber Elbaz couturier de la maison Lanvin. A l'université j'ai commence à explorer un peu plus l'univers des accessoires, en m'amusant a créer des objets ludiques qui puissent être porté. Ce n'est que lorsque je suis arrivée à Vogue que j'ai réellement commencé à voir beaucoup de jeunes talents d'Amérique latine qui faisaient des collections de bijoux ext raord inai res . D es créat ions différentes, qui m'ont incité à prendre cette voie. Mais je pense que c'est une évolution, cela ne s'est pas passé d'un jour à l'autre. J'ai grandi dans le milieu de l'art, parmi de magnifiques bijoux et des antiquités, et j'ai eu la chance de côt oyer d es personnes t rès intéressantes et reconnues dans leur milieu. Je pense que le tout m'a beaucoup influencée : tout aussi bien

mes expériences personnelles d’une p art , q ue mes ex p éri ences professionnelles d’autre part. L.C. : Quel est l'élément déclencheur qui en 2010 vous fait prendre la décision de créer votre propre marque ? Est-ce une décision qui était en train de mûrir en vous depuis plusieurs mois ? L.G. : Lorsque je travaillais chez Christie's, j'ai montré une bague que j'avais faite à l'université à un très grand joaillier qui m'a dit: "tu as un vrai talent, ne le gâche pas, crée ta collection". La bague en elle même était très simple, en or jaune. Ce qui l'a plutôt étonné était la forme de la bague. Et à partir de là, j'ai créé ma 1ère collection, intitulée Tribal. Vous y retrouverez d'ailleurs la même bague, en différents modèles. J’ai toujours pensé à réaliser une collection à un moment ou à un autre, mais je ne pensais pas le faire aussi tôt, car je ne pensais pas avoir assez d'expérience. Je me suis lancée quand même, et l'aventure a vraiment commencée. L.C. : Existe-t-il un dénominateur commun entre vos diverses collections ? Si oui, quel est-il ? L.G. : Je suis née dans un pays pauvre. J'ai eu le privilège d'avoir une éducation, une culture et des expériences qui m'ont beaucoup apporté. Lorsque j'ai créé ma collection, je suis partie du principe que personne n'a besoin de bijoux, ce n'est pas une nécessité.

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Par contre, il y a beaucoup de misère dans le monde, beaucoup de violence, d'injustice. J'ai voulu que mes bijoux soient en quelque sorte des "intermédiaires". Je voulais qu'au travers de mes bijoux, on puisse aider différentes organisations caritatives. C'est une façon pour moi de sentir que ce que je fais apporte aussi des opportunités à d'autres personnes et que ce n'est pas seulement un bien matériel. Donc pour moi, tel est le dénominateur commun. L.C. : Comment se ressent votre âme Brésilienne au sein de vos créations ? Quel est l'impact de vos origines et de certaines expériences professionnelles, comme par exemple avoir travaillé su sein de Vogue Amérique Latine ? L.G. : Je pense que chaque collection possède sa propre touche (qui provient de mon âme brésilienne), tantôt par les pierres que j'utilise (le Brésil est un pays très riches en pierres précieuses et semi-précieuses) tantôt par les formes organiques de certaines pièces, ou des inspirations qui me sont venues, par exemple, pour ma toute première collection Tribal, inspirée des tribus indiennes d’Amazonie. Âme Brésilienne aussi car j'essaie de dégager une gaieté, cette joie de vivre qui n'existe nulle part ailleurs. Je m'inspire de tout et n’importe quoi. Ayant beaucoup voyagé, travaillé chez Lanvin, Vogue ou Christie’s, tout cela m'a ouvert les yeux. Je vois le monde de façon émerveillée. Je m'aventure à marier des matériaux et pierres d’une façon non conventionnelle. Le Brésil est un pays très créatif, qui fait de son mieux avec ce qu'il a, et cette attitude m'inspire. Je recherche l'alternatif. Je ne veux surtout pas devenir un moule parmi tant d'autres. Je veux créer un univers qui m'est propre et qui puisse avoir un impact aussi petit soit-il. L.C. : Finalement, quels sont vos projets dans les mois á venir ? L.G. : Beaucoup de nouveautés ! Je ne peux pas tout vous dévoiler ... à suivre !

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Li l ly Gabr iel la Sencillez y pureza…

D esde Brasil, les presentamos a Lily Gabriella, una colección exclusiva de joyería contemporánea, la cual se

compone de 3 ediciones diferentes. La edición de base propone piezas ilimitadas, mientras que la edición limitada (20 piezas) o la edición única le dan un valor agregado a esas creaciones a mano hechas en un estudio de Milán. Latina Creación : Nació en Rio de Janeiro, ¿cuáles son las razones que la llevaron a salirse de Brasil y viajar por el mundo, descubriendo ciudades como Mónaco, Boston, Miami, New-York, Ginebra, Paris y Milán? Lily Gabriella : Me mudé a Mónaco cuando era muy joven, porque mis padres querían que sus hijos tuvieran una educación europea. Así que estuve

haciendo toda mi escolaridad en Mónaco, hasta obtener mi bachillerato. Boston a la edad de 16 años para continuar mis estudios en la Universidad Brandeis, donde recibí mi licenciatura en Historia del Arte y Artes Visuales. Miami, después de Boston, para trabajar en Vogue América Latina. Luego Nueva York, después de Miami, para estudiar en el Instituto Gemológico de América (GIA), y recibir mi diploma de Gemología. Entonces me fui a Ginebra para trabajar en la casa Christie en su departamento de joyería. Próxima parada, París, dónde empiezo a crear mi joyería. Por último Milán, aquí es donde tengo mi estudio. Italia es famosa por sus diseños para marcas de lujo, y todas mis joyas están hechas a mano por una pareja que trabajó la joyería Bvlgari en

su momento, cuando todavía era una pequeña casa. Por mi parte siempre he viajado mucho y debo admitir que es algo que me gusta, de hecho hablo varios idiomas con fluidez. L.C. : ¿En qué punto de este viaje se da cuenta de su pasión? ¿Qué influencia tuvo su familia y su alrededor durante su juventud a elegir este camino? L.G. : Siempre he sido muy creativa. Siendo pequeña, yo quería ser costurera. A la edad de 9 años he diseñado una colección de prêt-à-porter que le mostré al gran costurero Hubert de Givenchy. A los 16 años hice una pasantía con el Sr. Alber Elbaz, diseñador de modas de Lanvin. En la universidad comencé a explorar más el mundo de los accesorios,

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divertirme creando algunos objetos lúdicos que pueden ser usados . Pero es únicamente cuando llegué a Vogue que realmente empecé a ver una gran cantidad de jóvenes talentos de Améri c a Lat i n a q ue ha cí an extraordinarias colecciones de joyería. Creaciones muy originales, que me llevaron a tomar este camino. Creo que es una evolución, esto no sucede de un día para otro. Yo crecí en medio del arte, rodeada de joyería magnífica y antigüedades, y tuve la oportunidad de conocer a personas interesantes y muy reconocidas en su medio. Creo que todos me han influenciado mucho : tanto mis experiencias personales, por un lado, como mis experiencias profesionales, por el otro. L.C. : ¿Cuál fue el detonante que en 2010 hizo que tomara la decisión de crear su propia marca? ¿Es una decisión que fue madurando durante varios meses? L.G. : Cuando estuve trabajando en la casa Christie, le enseñé un anillo que había hecho en la universidad a un gran joyero, quien me dijo: "Tienes un

verdadero talento, no lo desperdicies, ve creando tu colección". El anillo en sí era muy sencillo, en oro amarillo. Lo que lo había sorprendido bastante era más bien su forma. Y de ahí, he creado mi primera colección, llamada Tribal – en la cual encontrará por cierto el mismo anillo, en varios modelos. Siempre había pensado crear mi colección en algún momento, pero no pensaba hacerlo tan pronto, por no tener la experiencia suficiente en el medio. Me armé de valor, y empezó la aventura de verdad. L.C. : ¿Hay algún denominador común entre sus diversas colecciones? ¿cuál es? L.G. : Nací en un país pobre. Tuve el privilegio de tener una educación, una cultura y unas experiencias que me han ayudado mucho. Cuando creé mi colección, consideré que nadie necesita realmente de la joyería, no es una necesidad. Pero lo que si, hay mucha miseria en el mundo, mucha violencia e injusticia. Yo quería que mi joyería sirva de "intermediarios". Quería que a través de mis joyas, logramos ayudar a varias organizaciones caritativas. Es para mí

una manera de sentir que lo que hago también ofrece oportunidades a los demás y no es sólo un valor material. Así que para mí, este es el denominador común. L.C. : ¿Cómo se expresa su alma brasileña en sus creaciones? ¿Cuál es el impacto de sus orígenes y de a lguna s de su s ex per iencia s profesionales, como el haber trabajado en la revista Vogue América Latina? L.G. : Creo que cada colección tiene su propia identidad (que proviene de mi alma brasileña), tanto por las piedras que utilizo (Brasil es un país rico en piedras preciosas y semi-preciosas), como por las formas orgánicas de algunas piezas, o la inspiración que me llegó, por ejemplo, para mi primera colección Tribal, inspirada en las tribus indígenas en el Amazonas. Alma brasileña también porque trato de expresar la felicidad, esa alegría de la vida que no existe en otra parte. Puedo inspirarme de todo y de cualquier cosa. Al haber viajado mucho, trabajado en Lanvin, Vogue o Christie, todo esto me ha abierto los ojos, veo al mundo de una

manera muy receptiva, me atrevo a casar entre si los materiales y las piedras de una manera poco convencional. Brasil es un país muy creativo, haciendo todo lo posible con lo que tiene, y esta actitud me inspira. Estoy buscan-d o lo al t ernat i vo. No quiero ser un molde, entre otros. Quiero crear un mundo con mi propia identidad y que pueda tener un impacto no importa cuán pequeño sea. L.C. : ¿Finalmente, cuales son sus proyectos para los próximos meses? L.G. : ¡Muchas novedades¡ No les puedo platicar todo ahora … se enterarán!

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Fashion Group Mexico 50° Anniversaire

F ashion Group International a été fondé en 1930 à New York c o m m e l a p r e m i è r e organisation à but non lucratif

visant à promouvoir l'industrie de la mode. Ses premiers membres ont été Eleanor Roosevelt, Elizabeth Arden et Helena Rubinstein, entre autres. Il est présidé aujourd’hui par Margaret Hayes à New York avec des représentations au sein des grandes villes des États-Unis, Paris, Londres, Tokyo, Séoul, Sydney, Bogota, Toronto et Mexico. L'idée derrière le Fashion Group est d'unir les forces, créer des synergies et des réseaux, afin de promouvoir l'industrie de la mode. Au Mexique, le Groupe va célébrer cette année son 50e anniversaire. Sa directrice actuelle, Carlota de la Vega Pietrini, organise des réunions mensuelles avec ses membres, avec pour objectif de développer et d’encourager l'industrie de la mode

dans le pays, en insistant sur l’importance des réseaux et de la vision d'affaires qui doit exister entre les partenaires. La dernière réunion en date, intitulée «Networking Cocktail» a eu lieu le 26 avril dernier à Mexico. Plusieurs membres de la représentation Mexi cai ne de Fashion Group International étaient présents en cette occasion. "Le Networking est important, car il s’agit d’un véritable catalyseur afin de signer un contrat, d’envisager de nouvelles opportunités ou de développer un projet. Cela crée et renforce des partenariats au sein de l’industrie de la mode dans notre pays. Le fait de disposer d’un vaste réseau de contacts permet notamment d’accroitre le nombre de ces partenariats, d’arriver à des accoords plus rapidement et d’en augmenter l’efficacité. C’est pourquoi le

Fashion group accorde autant d’importance à ce thème, qui permet d’obtenir de véritables bénéfices pour ses membres. », a déclaré Carlota de la Vega Pietrini, directrice Fashion Group International pour le Mexique. Pour célébrer son 50e anniversaire, Fashion Group International Mexico va organiser un dîner de gala le 20 Septembre prochain, cérémonie durant laquelle un hommage sera rendu aux principaux acteurs de l’industrie au cours de ces 50 dernières années.

De gauche à droite : Leticia Licerio, Gabriela Sandoval, Nelly

Machiavello, Blanca Estela Ochoa

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Fashion Group Mexico 50° Aniversario

Anna FUSONI

F ashion Group International se fundó en 1930 en Nueva York como la primera organización no lucrativa para impulsar la

industria de la moda. Sus principales promotoras fueron Eleanor Roosevelt, Elizabeth Arden y Helena Rubinstein, entre otras. Es presidido mundialmente por Margaret Hayes en Nueva York y cuenta con sedes en las principales ciudades de Estados Unidos, en París, Londres, Tokio, Seúl, Sidney, Bogotá, Toronto y Ciudad de México. Toda la idea detrás de The Fashion Group es de unir fuerzas, crear sinergias y networking para que la industria de la moda se promueva. En México el grupo celebrará este año su 50º aniversario. Su actual Directora Carlota de la Vega Pietrini, tiene como objetivo realizar reuniones mensuales con los socios, con el fin de promover e impulsar la industria de la moda en el

país a través de fomentar el networking y la visón de negocios entre los socios. La ulti ma reunión i nti t ulad a “Networking Cocktail” fue organizada el pasado 26 de abril en la ciudad de México. Varios miembros del FGI México estuvieron presentes en esta ocasión . “El Networking es importante ya que resulta más efectivo para cerrar un negocio, generar uno nuevo o hacer crecer otro. Esto genera alianzas y fortalece la industria de la moda en nuestro país. Contar con una amplia red de contactos permite poder generar lo anterior de manera más rápida y efectiva, por esta razón, Fashion Group fomenta este tema que permite obtener un verdadero beneficio entre los socios”, comentó Carlota de la Vega Pietrini, Directora de Fashion Group Internacional México. Para celebrar su 50º aniversario, Fashion

Group International México estará organizando una cena de gala el próximo 20 de Septiembre 2012, ceremonia en la cual se rendirá homenaje a los principales exponentes de la Industria a lo largo de estos años.

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Jenny Duarte Prendre soin de la Terre et des Hommes

L a créatrice Péruvienne Jenny Duarte a fait ses études de stylisme à l’école Fashion Forum de Paris, études durant

lesquelles elle effectuera des stages au sein de la maison de haute renommée Torrente. S’inspirant des trésors naturels du Pérou, elle travaille aujourd’hui sur sa ligne de haute couture, ainsi que sur sa ligne de prêt-à-porter et sa ligne de bijouterie/joaillerie. Le 28 avril dernier elle a présenté sa collection Automne/Hiver en alpaca, lors d’un défilé organisé par Promperú au sein du salon Perú Moda. Latina Creación : Je suis ravi d’avoir cette occasion d’échanger quelques mots avec toi, et pouvoir découvrir un peu plus de la personnalité qui se cache derrière la marque Jenny Duarte. Je pense savoir que ton histoire est composée de plusieurs étapes importantes, mais la toute première

question qui me vient à l’esprit est liée au début de ta carrière. Comment est née cette passion pour la mode? Jenny Duarte : Ma mère m’a beaucoup influencée pour avoir le goût des belles robes. Etant elle-même étrangère (d’origine argentine), elle était vraiment fascinée par la culture Péruvienne. Elle créait les différentes tenues que je portais enfant, celles-ci étant bien différentes des tenues des autres filles de mon âge. Puis, à l’adolescence, j’ai moi aussi commencé à imaginer mes robes, à dessiner et à peindre, mais à cette époque je ne pensais pas encore à faire des études de stylisme ou dans le secteur de la mode. D’ailleurs à la fin de ma scolarité je me suis orientée vers des études d’architecture. » L.C. : Je mentionnais à l’instant plusieurs étapes importantes de ton parcours. Tu es notamment partie faire tes études de

stylisme à l’école Fashion Forum de Paris. Comment se prend une telle décision ? Pourquoi Paris, et dans quelles conditions ? J.D. : J’ai voyagé à Paris pour des raisons familiales. J’y ai ressenti le désir de découvrir le monde de la mode et de la création. J’ai visité les écoles de mode et stylisme, et j’ai été fascinée de me rendre compte qu’il s’agissait de ce que j’avais toujours fait : dessiner et créer des robes, mais je n’avais jamais imaginé que cela pouvait être une profession. Effectuer ce cursus a été pour moi une expérience merveilleuse ! Toutes les activités que nous faisions au sein de l’école, étaient d’une façon ou d’une autre liées à l’art. . Et puis le fait de connaître Paris et le monde de la mode m’a aidé á me découvrir moi-même et mieux me connaître en tant que créatrice.

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L.C. : Après ce séjour en Europe, tu as pris la décision de revenir vers ton Pérou natal, et de créer en 1997 ta propre ligne de haute couture. Il s’agissait là d’une décision qui avait été prise bien auparavant ? Quelle est la raison qui a motivé ce retour ? J.D. : Après avoir vécue en France pendant presque 6 années, surtout à Paris, ville tellement cosmopolite, tu découvres et côtoies d’autres cultures et du coup tu valorises tes racines, et tu apprécies encore plus ton propre pays. Il est vrai que j’étais un peu inquiète de ne pas pouvoir mettre en application l’ensemble de mes acquis dans le domaine de la mode, mais ce fût incroyable. En fait, à mon retour à Arequipa (Pérou), j’ai eu énormément de possibilités pour me développer en tant que créatrice et il reste encore une marge énorme pour continuer de grandir. L.C. : De retour à Arequipa, avec ton projet en tête, quelles ont été les principales étapes pour pouvoir débuter ton activité et réaliser ton rêve ? A cette époque, tu avais déjà adopté la philosophie de « prendre soin de la Terre et de son Peuple » ? J.D. : Cette philosophie résulte d’un long processus d’apprentissage et de création dans le domaine de l’alpaca. Le fait d’être en contact avec les artisans, témoins d’une tradition ancestrale de diverses techniques de tissage et de broderie, et l’utilisation de fibres naturelles de haute qualité m’ont donné une sensibilité profonde. Cela m’a également donné un grand respect pour la Terre et pour son Peuple, avec le sentiment de soutenir et de revaloriser ces magnifiques traditions, et de développer mon travail dans le cadre du commerce équitable. » L.C. : Suite à ta ligne de haute couture, est arrivée en 2005 ta ligne de bijouterie-joaillerie, puis en 2006 ta ligne de prêt-à-porter. Dès lors, et jusqu’à aujourd’hui tu as enchainé tes participations à divers salons internationaux, au rythme de un ou plusieurs chaque année. Comment choisis tu les destinations où présenter tes collections ? Pourquoi l’Europe ou bien les Etats-Unis ? J.D. : Nous avons participé dans un premier temps à la Semaine International de la Mode de Madrid

(SIMM), puis à Paris, au sein de l’Ethical Fashion Show et du Salon Prêt-à-porter Paris. Le choix de présenter en premier lieu nos collections en Europe, s’est justifié car c’est dans cette partie du monde qu’est née mon inspiration pour la mode. C’était aussi pour moi un moyen de maintenir un lien constant. Puis nous nous sommes dirigés vers les Etats-Unis, en particulier vers New-York, parce que notre style est adapté à ces villes cosmopolites, et plaît beaucoup sur ces marchés. L.C. : Entre 2009 et 2011, l’organisation International Trade Centre (I.T.C.) a lancé au Pérou un projet intitulé “Renforcer la compétitivité des femmes entr epr eneur s dans la pha se

d’exportation », suivi par une phase complémentaire (2011-2013) « Former les femmes entrepreneurs Péruvienne pour pénétrer le marché des Etats-Unis ». Comment est né ce projet, et comment l’as-tu intégré ? J.D. : A Arequipa il existe une forte i ni t i at i ve p our favo ri ser le développement d’entreprises dirigées par des femmes. L’une des institutions en charge de cela est notamment l’organisme gouvernemental Promperú. C’est grace à eux que j’ai été contactée par l’organisation I.T.C. En raison de mon travail, de mon parcours, et sachant que mes créations ont un potentiel très intéressant pour représenter le Pérou.

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L.C. : En regardant vers le passé, et en analysant le chemin parcouru depuis 2009, ainsi que l’impact sur ton équipe, quels sont selon toi, les réalisations les plus importantes associées au projet de l’I.T.C. ? J.D. : Le fait de participer à ce projet, nous a aidé sur un plan commercial et entrepreneurial, notamment grâce à un voyage en Europe, organisé par l’I.T.C. (France et Hollande). Lors de ce déplacement, nous avons pu voir un monde de possibilités pour la

commercialisation de notre marque. Les réalisations les plus significatives, sont les rencontres auprès de clients qui apprécient nos collections, et de ce fait améliorent notre activité vers l’exportation. L.C. : Au sein de ton équipe, il y a une personne qui est très importante pour toi : ta fille Soraya. Au fil du temps, son rôle a grandi. Elle est aujourd’hui créatrice à tes côtés pour la marque Jenny Duarte. Comment peux tu nous décrire cette relation mère-fille ?

Comment s’intègre-t-elle dans la phase de Design et comment le vivez-vous au quotidien ? J.D. : Pour moi, le fait de pouvoir partager une relation de travail avec ma fille est quelque chose de merveilleux. En tant que mère, il est toujours très gratifiant de passer le plus de temps possible avec nos enfants, et en même temps, c’est une opportunité de découvrir une personne avec beaucoup de richesse intérieure. Au niveau de la conception, nous formons une équipe, et même si nous n’avons pas toujours le même point de vue, au final nous aboutissons à un résultat positif, nos idées se complètent et s’enrichissent. L.C. : Enfin, il y a de cela quelques mois, tu as inauguré ta boutique de haute couture. Parle-nous de ce projet, et à propos de l’année 2012, quels sont tes projets et tes priorités dans les jours et les mois qui viennent ? J.D. : La boutique de haute couture est un projet que nous avons mené l’année dernière, en prolongement d’un effort que nous avions amorcé pour nous développer dans le monde de la mode. Mes objectifs sont de consolider c h a c u n d es ax e s d e développement que nous avons en cours, et continuer à travailler avec nos partenaires afin de positionner notre marque à un niveau international. Au travers de notre distributeur Artiluxe Diffusion pour la France et Monaco, de notre distributeur Designers Intrigue pour les pays nordiques ainsi qu’au travers de

nos agents et distributeurs aux Etats-unis. Nous continuerons à travailler en parallèle nos lignes de haute couture, prêt-à-porter et bijouterie-joaillerie, aussi bien pour nos clients locaux que pour l’exportation. Très prochainement nous participerons au salon Perú Moda et nous présenterons notre collection en alpaca au sein d’un défilé (28 avril 2012), puis nous continuerons d’être présent lors de divers salons internationaux.

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Jenny Duarte Cuidando a la Tierra y a la Gente

L a diseñadora Peruana Jenny Duarte estudió diseño de modas en la escuela Fashion Forum en Paris y realizó sus

prácticas en la casa Torrente. Inspirándose de los tesoros naturales del Perú, trabaja hoy en día su línea de alta costura, junto con su línea de prêt-à-porter y una línea de joyería. El pasado 28 de abril presentó su colección de Otoño/Invierno en alpaca, en un desfile organizado por parte de Promperú, dentro de los eventos de Perú Moda. Latina Creación : Me agrada tener esta oportunidad de conversar contigo, con el fin de descubrir un poco más de la personalidad de la mujer detrás de la marca Jenny Duarte. Creo que tu historia se compone de varias etapas importantes, pero mi primera pregunta podría darnos una idea sobre el inicio de tu trayectoria. ¿Cómo nace esta pasión por la moda?

Jenny Duarte : Mi madre influyó en el gusto por los bellos vestidos. Ella siendo extranjera, argentina, estaba fascinada con la cultura Peruana, y creaba los diversos vestidos que yo usaba, los cuales eran diferentes a los que llevaban las otras niñas. Luego yo de adolescente también empecé a diseñar mis vestidos, a dibujar y a pintar, pero hasta entonces no pensaba estudiar diseño de modas, pues inclusive cuando terminé el colegio estudié arquitectura. L.C. : Estaba mencionando varias etapas importantes en tu camino, dentro de ellas te fuiste a estudiar diseño de modas en la escuela Fashion Fórum en París. ¿Cómo se toma una decisión de este tipo? ¿Porqué París y en qué condiciones? J.D. : Por motivos familiares viajé a París, estando allí sentí el deseo de descubrir el mundo de la moda y de la creación, visité las escuelas de moda y

quedé fascinada con la idea, pues me di cuenta que era lo que siempre había hecho : dibujar y crear vestidos, sin imaginarme que podría ser mi profesión. Fue una experiencia maravillosa estudiar esta carrera, los trabajos que hacíamos en la escuela estaban tan relacionados con el arte, y al mismo tiempo conocer París y el mundo de la moda me ayudó a descubrir y conocerme a mí como creadora. L.C. : Despuès de esta estancia en Europa tomaste la decisión de regresarte a tu natal Perú, para crear en 1997 tu línea de alta costura. ¿Fue una decisión que ya tenías contemplada mucho antes? ¿Qué motivó ese regreso a casa? J.D. : Después de permanecer en Francia casi 6 años y vivir en París, una ciudad cosmopolita, conoces y convives con otras culturas y valorizas tus raíces, entonces aprecias mucho más

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tu país. Es verdad que tenía un poco de temor de no poder desarrollarme en lo que había estudiado, la moda, pero fue increíble porque aquí en Arequipa (Perú) tuve muchísimas posibilidades de realizarme como diseñadora y todavía hay tanto por hacer. L.C. : Al llegar de regreso a tu tierra, con tu proyecto en mente, ¿cuáles fueron las etapas principales para poder iniciar tu actividad y concretizar tu sueño? ¿Ya tenías contemplado desde entonces la filosofía de “Cuidando a la tierra y a la gente “? J.D. : Esta filosofía nace después de un largo proceso de aprendizaje y creación de la línea de alpaca. Al interactuar con artesanos portadores de una tradición ancestral de diferentes técnicas de tejido y bordado, y el uso de las fibras naturales de alta calidad me dieron una profunda sensibilidad y un gran respeto por la tierra y la gente, junto con el sentimiento de apoyar y revalorizar esas magníficas tradiciones, y desarrollar mi trabajo dentro del contexto del comercio justo. L.C. : Después de tu línea de alta costura, llegó la línea de joyería en el 2005, y la línea de prêt-à-porter en el 2006. A partir de ahí y hasta la fecha participaste en una o varias ferias internacionales de moda cada año. ¿Cómo defines tu

participación y los destinos para presentar tus colecciones? ¿Porqué Europa o Estados Unidos? J.D. : Empezamos nuestra participación en España, en la Semana Internacional de la Moda en Madrid (SIMM), y luego en París en el salón Ethical Fashion Show y Prêt-à-porter Paris, escogiendo primero Europa para mostrar nuestras colecciones y abrir mercado, porque en este lugar fue dónde nació mi inspiración para la moda y de esta manera mantener un vínculo constante. Luego Estados Unidos, especialmente New York, porque nuestro estilo se adecua para las ciudades cosmopolitas y gusta mucho en este mercado. L.C. : Del 2009 al 2011, la organización International Trade Center (I.T.C.) inició en Perú un proyecto titulado “Fortalecer la competitividad de las mujeres empresarias en la fase de exportación”, seguido después por una fase complementaria (2011 – 2013) con un nuevo objetivo: “Capacitar a las mujeres empresarias peruanas (en el sector de la alpaca) para entrar al mercado de los Estados Unidos Americanos”. ¿Cómo fue el origen de ese proyecto y cómo fuiste parte de las elegidas? J.D. : En Arequipa existe una fuerte iniciativa por promover el desarrollo de

empresas lideradas por mujeres, y una de las instituciones que se encarga de esto es Promperú, quienes me ponen en contacto con esta organización al conocer mi trabajo y mi trayectoria, sabiendo que mi trabajo sería una muestra muy i nt eresant e p ara representar al Perú. L.C. : Viendo hacia atrás, y considerando el c a m i n o d e t u marca desde el 2009 y el impacto hacia tu equipo, ¿cuáles son para ti los logros más significativos asociados a ese proyecto del I.T.C.? J.D. : Al participar en este proyecto, la parte

comercial y empresarial comenzó a fluir como resultado del viaje a Europa orga-nizado por el ITC (Holanda y Francia) programa en el que se nos mostró un mundo de posibilidades para la comercialización de nuestra marca. Los logros más significativos para nosotros es haber encontrado clientes que gustan de nuestras colecciones y de esta manera reforzar el camino de la exportación. L.C. : Dentro de tu equipo, existe una persona que tiene mucha importancia para ti, tu hija Soraya. Con el tiempo se ha integrado como diseñadora de tu marca. ¿Cómo puedes describirnos esta relación madre e hija, su integración en la fase de diseño, y cómo se vive a diario? J.D. : Es maravilloso para mí poder compartir una relación de trabajo con mi hija, ya que como mamá es siempre muy gratificante pasar el mayor tiempo posible con nuestros hijos, y a la vez es una forma de descubrir a una persona que tiene mucha riqueza interior. A nivel de diseño somos un equipo que no siempre tiene los mismos puntos de vista, pero que al final lleva a un resultado exitoso, pues las ideas se complementan y enriquecen.

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Vanessa Drummond

V anessa Drummond est originaire de Belo Horizonte, capitale de l'état de Minas

Gerais dans le sud-est du Brésil. Après avoir finalisé ses études au Brésil, et avoir remportés p l u s i e u r s r é c o m p e n s es nationales et internationales dans la création de bijouterie-joaillerie entre 1990 et 1997, elle part pour l’Europe afin de suivre des études de spécialisation sur le design de joaillerie en Italie. Lors de ce séjour, en marge de ses études elle aura l'occasion d’occuper le poste de créatrice, en charge du développement des nouvelles collections au sein de la société Micheletto, qui travaille notamment comme fabricant pour des marques comme Bulgari et Tiffany. Puis Vanessa va aussi travailler dans diverses compagnies en tant que Freelance, et c'est notamment durant cette période qu'elle va développer son identité, son ADN de design. En 2002, elle quitte l’Europe avec son mari, destination le Mexique. Après une phase d’installation difficile au cours de laquelle Vanessa se rend compte que le marché local est peu demandeur de sa spécialisation. Elle s’imagine alors un nouveau p a r cou r s p r ofe ss i o n nel . Aujourd'hui lorsqu'elle ne donne p a s d e s c o u r s à l'IGARM (Instituto Gemológico y de Alta Relojería de Mexi-co), Vanessa s'adonne à plein temps au développement de sa propre marque, un choix qui aujourd’hui porte ses fruits. C’est en effet il y a quelques jours (25 avril 2012) que Vanessa Drummond nous a accueillis pour l’inauguration de son Showroom/atelier dans ses locaux du quartier de Polanco à Mexico. Dans un espace totalement remodelé, ses collections ont trouvé un écrin pour les mettre en valeur. Le lieu respire une identité tout en accord avec la personnalité de la créatrice.

Parmi les pièces exposées l’on pouvait entre autres redécouvrir la collection de bagues Yin Yang (Symbole de l’Infini) qui combine le brillant de l’argent 925 avec les couleurs de cristaux faits main, interchangeables et permet-tant de jouer avec les couleurs pour transformer l’effet de chaque bague.

Inauguration de son Show-Room

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Vanessa Drummond

V anessa Drummond nació en Belo Horizonte, capital del estado de Minas Gerais, en el sureste de Brasil. Después de finalizar sus estudios en Brasil, y de haber ganado varios premios nacionales e

internacionales en diseño de joyería entre 1990 y 1997, se trasladó a Europa para estudiar una especialización en diseño de joyería en Italia. Durante su estancia, en el marco de sus estudios, tiene la oportunidad de servir como creativo, responsable del d es a r r o l l o d e n u e v as colecciones en la sociedad Micheletto, la cual trabaja como fabricante para marcas como Bulgari y Tiffany. Más adelante, Vanessa estará también trabajando en varias empresas como freelance, y es durante este período que va a desarrollar su identidad, su ADN de diseño. En 2002, abandona Europa con su esposo, teniendo como destino México. Después de una fase de instalación difícil durante la cual Vanessa se da cuenta de que el mercado local no necesita de su especialización profesional, se reinventa e inicia una nueva carrera. Hoy, cuando no da clases en la IGARM (Instituto Gemológico de Alta Relojería de México), Vanessa se dedica a tiempo completo a desarrollar su propia marca, un reto que hoy en día esta dando fruto. El pasado 25 de abril, Vanessa Drummond nos dió la bienvenida en la inauguración de su showroom / taller, en sus instalaciones de la colonia Polanco, en la Ciudad de México. En un espacio totalmente remodelado, sus colecciones han encontrado un escenario de lo más destacado. El lugar expresa una identidad en total coherencia con la personalidad de la diseñadora. Entre las piezas expuestas se

podían redescubrir la colección de anillos Yin Yang (símbolo del infinito) que combina el brillo de la plata 0.925 con los colores de cristal hecho a mano, intercambiables y que permitan jugar con los colores para cambiar el efecto de cada pieza.

Inauguración de su Showroom

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Camomilla Carlota de la Vega Pietrini

C 'est au mois de Novembre 2011 que Carlota de la Vega Pietrini, directrice de la société Cantra Fashion Mkt Consulting, et

di rect ri ce d u Fashion Group International Mexico pour la période 2011-2012, a lancé sa ligne d’accessoires en tricot, sous la marque Camomilla. Ce projet est le fruit d'une riche tradition familiale qui a débuté en 1951 et a poursuivi son évolution au travers trois générations. Tout d’abord, ce fût Carlota Dominguez de la Vega, grand-mère paternelle de la créatrice, qui fonda la société «Tejidos Ancar», considérée à l’époque comme un pionnier de l’industrie du tricot au Mexique. Par la suite, Lili Pietrini, la mère de la créatrice, a poursuivi la confection au travers de la même technique, se faisant notamment remarquer par ses capes, ses châles et robes au design élégant, et qui ont été reconnus pour leurs matériaux colorés et leur combinaison exotique. Finalement, l'union de l'héritage familial et la passion de Carlota de la Vega

Pietrini pour la mode, lui ont fait prendre la décision de créer sa propre ligne d'accessoi-res, au sein d’une marque qui rassemble près de 60 ans d'expérience, et reconnue pour l'utilisation de techniques de tissage excel-lente et de matériaux exclu-sifs. Avec sa polyvalence et son adaptabilité à tous les cli-mats et toutes les formes, le tricot est l'une des plus ancien-nes techniques dans l'art de la filature, et très

u t i l i s é -dans l'histoire du textile mexicain. Camomilla reconnaît la valeur d'une telle accumulation de connaissances, et reprend cette technique ancienne afin de la réinterpréter dans une conception qui tisse à la fois tradition et modernité. Le nom Camomilla choisi par la créatrice pour sa marque, est basée sur le mot italien signifiant «camomille», due en partie à la volonté d’introduire dans ce projet une référence à son expérience en tant qu'étudiante d’un Master of Marketing de la mode en Italie. Mais c’est aussi un choix dû au son doux et harmonieux du terme, dont le lien avec la consommation de thé se réfère à un état de relaxation et de confort, semblable à l'effet que produisent ces articles quand ils enveloppent le corps, avec leur

agréable texture. Camomilla est conçu pour être un compagnon dans la vie des femmes, afin de leur offrir au travers du tissu, la chaleur d'une étreinte réconfortante et protectrice, très semblable à celles imprimées dans nos mémoires, que nous offraient nos mères et nos grand-mères. Carlota de la Vega Pietrini est diplômée du cursus de « Communication » au sein de l’Universidad Iberoamericana et elle est titulaire d'un Master en Fashion Marketing Management de l’Instituto Europeo di Design à Milan. Son expérience professionnelle a été un appui très important pour cette nouvelle aventure, même si comme elle le reconnaît elle-même, elle doit faire face dans le cadre de ce projet à une situation nouvelle pour elle, en p a r t i c u l i e r e n s ’ a f f r o n t a n t régul i èrement aux p rob lèmes quotidiens de gestion logistique de sa nouvelle marque.

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Camomilla Carlota de la Vega Pietrini

E s en el mes de Noviembre 2011 que Carlota de la Vega Pietrini, directora de Cantra Fashion Mkt Consulting, y directora de

Fashion Group International México para el periodo 2011-2012, lanzó su línea de ropa de tejido de punto bajo la marca Camomilla. El proyecto de la diseñadora resulta ser el producto de una rica tradición familiar que inició en 1951, y continuó su evolución a través de tres generaciones. El negocio nace con Carlota Domínguez de la Vega, abuela paterna de la diseñadora, quien fundó la empresa Tejidos Ancar, y es considerada una de las pioneras del tejido de punto en México. Posteriormente, Lili Pietrini,

madre de la diseñadora, continúa la confección de prendas bajo la misma técnica, destacando sobre todo por su diseño de elegantes capas, chales y vestidos entre otras prendas, que fueron reconocidas por sus coloridos materiales y combinaciones exóticas. Finalmente, a través de la unión del legado familiar y su pasión por la moda, Carlota de la Vega Pietrini decide crear su propia línea de accesorios en una marca que reúne casi 60 años de experiencia y destaca por la utilización de excelentes técnicas de tejido y materiales exclusivos. Gracias a su versatilidad y adaptabilidad a todos los climas y formas, el tejido de punto es una de las técnicas más antiguas en el arte de hilar, y de gran uso en la historia textil mexicana. Camomilla reconoce el valor de tal acumulación de conocimiento, y retoma esta técnica milenaria para reinterpretarla en un diseño que teje tradición y modernidad. El nombre de Camomilla que la diseñadora eligió para su marca, se basa en el término italiano que significa ‘manzanilla’, debido en parte al deseo de la diseñadora por reflejar en el proyecto algo de su experiencia como estudiante de la maestría de Mercadotecnia de moda en dicho país mediterráneo, pero sobre todo por la sonoridad armónica y suave de la palabra, cuyo vínculo con la bebida del té remite a un estado de relajación y

comodidad, similar al efecto que producen estas prendas cuando envuelven al cuerpo con su agradable textura. Camomilla busca ser una acompañante en la vida de las mujeres para brindarles a través del tejido el calor de un abrazo reconfortante y protector, muy parecido también al que imprimen en nuestra memoria nuestras abuelas y madres. Carlota de la Vega Pietrini es egresada de la carrera de Comunicación por la Universidad Iberoamericana y cuenta con una Maestría en Fashion Marketing Management del Instituto Europeo di Design en Milán. Su experiencia profesional ha sido un respaldo muy importante para esta nueva aventura, aún si como lo dice ella misma, tiene que enfrentarse como parte de ese proyecto a situaciones totalmente nue-vas para ella, en particular en cuanto a la logística de su nueva marca.

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Blog Mode Au cours d e la d erni ère semaine du mois d’avril a eu lieu la deuxième édition de la Fashion Week de Lima (LIF Week). A cette occasion, ce sont onze des plus prestigieux designers péruviens qui ont présenté leur collection Automne-Hiver. Je vous propose un bref résumé de ce qui a été vu sur les passerelles.

Durante la última semana del mes de abril se llevó a cabo la Segunda Edición de la Semana de la Moda de Lima. En esta oportunidad, fueron once de los más prestigiosos diseñadores peruanos quienes presentaron sus colecciones de Otoño-Invierno en la Lima Fashion Week. Les traigo un breve resumen de lo que se vió en las pasarelas.

La collection présentée par cette créatrice, venait il y a quelques jours, d’être présentée à la Mercedes-Benz Fashion Week Russia à Moscou et a sans doute été l'une des plus acclamées de la semaine. Un mélange fascinant de textures, de superpositions, de tissus métalliques, d’organza et de paillettes ont été les protagonistes de cette collection. Selon les aveux de Sitka Semsch elle-même, elle s’est inspirée de la côte péruvienne, que nous avons pu retrouver dans la gamme de couleurs utilisées dans la collection. Cependant, l'utilisation de matériaux tels que les plumes qui avaient été brodées sur les vêtements et les coiffes arborées par les modèles, nous ont rappelé les Amérindiens. Une conjonction entre l'ethnique et le somptueux, telle a été la marque de cette collection.

La colección que presentó esta diseñadora fue la misma que acababa de presentar en la Semana de la Moda de Rusia y sin duda fue una de las mas aplaudidas de la semana. Una fascinante mezcla de texturas, superposiciones, telas metálicas, organza y lentejuelas fueron los protagonistas de esta colección. Según el dicho de la diseñadora estuvo inspirada en la costa peruana, lo cual pudimos ver reflejado en la gama de colores utilizada en la colección; sin embargo, el uso de materiales como las plumas que estaban bordadas en la ropa, así como los tocados que llevaban las modelos nos hacían recordar el vestir de los nativos americanos. Una conjunción entre lo étnico y lo fastuoso fueron el sello de su colección.

S i tka Semsch

Fátima est renommée au Pérou, pour ses créations de robes de mariée et tenues de soirée. Aussi, comme nous pouvions nous y attendre, la collection présentée lors de cette Lima Fashion Week, a fait honneur à son image. Des tissus très vaporeux, un heureux mélange de matériaux et de textures, et une broderie minutieuse ont été les protagonistes de cette collection tant attendue.

Fátima es una renombrada diseñadora de vestidos de novia y de fiesta en nuestro país. Y como no podía ser de otra forma, la colección que presentó en el Lima Fashion Week hace honor a su escencia. Telas muy vaporosas, la mezcla de materiales y texturas; y, un esmerado trabajo de bordado fueron los protagonistas de esta esperada colección.

Fát ima Arr ieta

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Il a été l’unique designer à présenter une collection masculine complète sur la passerelle. Nous avons été surpris par une mise en scène très émouvante faisant référence au folklore Péruvien, avec une présentation d’un carnaval andin, mais dans une version relookée pop. Grace à ses connaissances en conception graphique, Edward Venero nous a offert une proposition différente, qui intégrait l'élaboration de tissus contenant des symboles nationaux. En outre, une collection très colorée d'accessoires accompagnait ses tenues, et c’est sans aucun doute le défilé qui a volé la vedette. La collection « Andine Pop » de Edward Venero a véritablement secoué le défilé et a fait de son créateur un favori du public.

Fue el único diseñador que presentó íntegramente una colección masculina en la pasarela. Nos sorprendió con una puesta en escena muy emotiva que hacía referencia al floklore peruano, con la representación de un carnaval andino pero en una renovada versión pop. Gracias a sus conocimientos de diseño gráfico nos trajo una propuesta diferente, que incluía la elaboración de telas que contenían los símbolos patrios. Asimismo, una colorida colección de accesorios acompaño sus tenidas y sin duda se robaron el show. La colección andina pop de Edward Venero estremeció la pasarela y lo hizo uno de los favoritos del público.

Edward Venero

La maison Privat a proposé pour cette nouvelle saison, une collection dans laquelle la couleur noire a été la composante principale. Tandis que les tissus comme le velours continuent d’orner les créations d'hiver, cette collection comprenait de nombreuses textures nouvelles. De même nous avons aussi pu observer que la couleur or n'était plus la star de la collection Privat, laissant la place au vert émeraude.

La Casa Privat trajo para esta nueva temporada una colección en la que el color negro fue el protagonista. Si bien, telas como el terciopelo siguen adornando sus colecciones de invierno, esta colección incluyó muchas texturas nuevas. De igual modo también pudimos ver que el dorado dejó de ser el protagonista de la colección Privat para dar paso al verde esmeralda.

Gerardo Pr ivat

Elle nous a présenté une collection inspirée par les années 70. Cependant, nous avons pu nous rendre compte que bien que restant fidèle au style féminin qui la caractérise, sa collection possédait un aspect plus audacieux qu’à son habitude. De nouveaux éléments, tels que des tissus vaporeux et des imprimés comme l’animal-print, étaient sans aucun doute des nouveautés dans cette collection.

Nos presentó una colección inspirada en los años setenta. Sin embargo, pudimos ver que si bien siguió manteniendo el estilo femenino que la caracteriza, su colección tuvo un aire mas atrevido. Nuevos elementos, tales como telas vaporosas, y estampados como el animal print fueron sin duda novedades en su colección.

Claudia J iménez

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L'un des défilés les plus applaudis. Elle nous a transporté au milieu d’une tempête dans une sombre forêt. Sa collection entière a été faite sur la base de la couleur noire, de sorte que ce sont les textures, les matériaux et les coupures qui ont été mis en évidence sur la passerelle. La silhouette en Y a transmis une tonalité masculine a la collection, ce qui a été renforcé par des accessoires tels que les lunettes et les « flatforms » utilisés par les modèles.

Una de las mas aplaudidas. Nos transportó a una tormenta en un bosque oscuro. Toda su colección fue realizada en base al color negro, así que las texturas, materiales y cortes fueron que resaltaron en la pasarela. La silueta en Y le dio un aire masculino a la colección, lo cual se vió reforzado por elementos como los lentes y las flatforms que usaron las modelos.

Andrea L losa

Très fidèle à sa ligne de

design, elle nous a

présenté une collection simple en termes de

lignes morphologiques,

mais très riche en textu-

res et matériaux. Et bien

entendu, la couleur verte ne pouvait pas manquer,

en tant que véritable

identité de la créatrice.

Muy fiel a su línea de

diseño nos presentó una

colección sencilla en t érmi no d e lí neas

morfológicas pero muy rica

en texturas y materiales.

No pudo faltar el color

verde, sello de la diseñadora.

Sumy Kujón

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Il était le meilleur représentant de la

haute couture péruvienne pendant

cette édition du LIF Week. Sa collection a été inspirée par la magie

des nymphes qui habitent dans les

forêts enchantées et par la France du

XVIIIº siècle. Un travail spectaculaire

de broderie à la main en utilisant des pierres fines a notamment marqué

cette collection, qui couvrait une

gamme de couleurs crème, blanc,

bleu, rose et rouge.

Esta colección estuvo definida por

tres coordenadas: la primera fue el

Africa, la segunda Sofía Loren y la tercera una fusión de estos dos

elementos en el que presentó tenidas

completamente blancas. Telas como

las sedas naturales, chiffón y

estampados como el animal print y mucho color block fueron los

protagonistas de esta colección.

Noe Bernacel l i

Cette collection a été définie par trois axes : le premier étant l’Afrique, le deuxième Sophia Loren et le troisième résultant d’une fusion des deux premiers. On a remarq ué notamment durant la présentation, des t enues comp lèt ement blanches. Les tissus comme la soie naturelle, la mousseline, les imprimés animal-print et beaucoup de color block étaient le symbole de cette collection.

Ani Alvarez Calderon

Esta colección estuvo d e f i n i d a p o r t r e s coordenadas: la primera fue el Africa, la segunda Sofía Loren y la tercera una fusión de estos dos elementos en el que presentó tenidas completamente blancas. Telas como las sedas nat urales , chiffón y estampados como el animal print y mucho color block fueron los protagonistas de esta colección.

Ce créateur Péruvien travaille

dans l'industrie du denim, de

sorte que ce n'était pas une surprise de le voir utiliser ce

matériau dans ses créations.

Par contre la surprise est

venue au moment de

découvrir l’utilisation qui en était faite pour créer des

robes de style rococo,

inspirées par la mode du XVIIIº

siècle.

Jorge Luis Sa l inas

Este diseñador peruano

trabaja en la industria del

denim, así que no fue sorpresa para muchos que

utilizara este material en sus

creaciones, sin embargo lo

que si sorprendió fuera que

lo usara para hacer vestidos de estilo rococó, inspirados

en la usanza del siglo XVIII.

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Reine de la couleur, elle nous a

présenté une collection de luxe, au

sein de laquelle elle a réinventé des silhouettes en leur insufflant sa

marque de fabrique. Nous avons pu

clairement distinguer deux lignes :

l’une plutôt avant-gardiste et l’autre

rétro. La première était composée de pièces principalement de couleur

noire, tandis que la seconde ligne

offrait beaucoup de couleur, comme

Ana Maria Guiulfo nous y a habitués.

La reina del color nos presentó una

colección de lujo en la que reinventó

siluetas dándole su sello personal. Se pudo diferenciar claramente dos

líneas, una vanguardista y una retro.

La línea mas vanguardista estuvo

compuesta por prendas que tenían al

color negro como protagonista; y, la línea retro tuvo por su parte mucho

color, tal como es el estilo de la

diseñadora.

Ana Maria Guiulfo

J'espère que vous avez apprécié ce bref aperçu de ce que cette seconde édition de la Fashion Week de Lima nous a fait vivre. Sans aucun doute, notre pays dispose de nombreux designers talentueux, et chaque année de nouveaux talents présentent leur collection sur nos passerelles.

Nous tenons à remercier Jeani Jaramillo, Fashion Bloggeuse Péruvienne reconnue, pour l'excellente couverture de cette 2º édition du LIF Week et pour son expertise. - www.estilozas.com

Espero que les haya gustado este breve repaso de lo que se vivió en esta Segunda Edición del Lima Fashion Week. Sin duda, nuestro país cuenta con diseñadores muy talentosos y cada año se incluyen nuevos artistas en las pasarelas.

Queremos agradecer a Jeani Jaramillo, famosa Fashion Blogger Peruana, por la excelente cobertura de esta 2º edición de LIF Week y por su aportación. - www.estilozas.com

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Usted va a organizar o bien a participar a un evento dentro de los próximos meses ?

Haganos participe de sus activ idades :

redaction@arti luxe.f r

8 - 13 Mai 2012 Barcelona Bridal Week Barcelone - Espagne

Salon spécialisé, auquel assisteront les plus prestigieuses

marques nationales et internationales.

Evento en el cual las firmas nacionales e internacionales, más pres-

tigiosas, estarán presentes.

www.moda-barcelona.com/en

Agenda

16 Mai 2012

Flora María, Joyas de la Tierra Espace Design

Mexico - Mexique

Plaza Grand San Angel, Amargura 17-3

19 - 23 Mai 2012 Vicenzaoro Spring Milan - Italie

Salon international de l'or, des bijoux, des créations en argent,

des montres et des pierres précieuses.

Exposición internacional de oro, joyas, creaciones de plata, relojes

y piedras preciosas.

www.vicenzaorospring.it/site/?lang=en

26 - 28 Mai 2012 Moda Prima Florence - Italie

Salon International mettant en vedette le prêt-á-porter, avec une

offre hommes et femmes de vêtements et accessoires.

Exposición Internacional de Prêt-à-porter, con una oferta para hom-

bres y mujeres de prendas de vestir y accesorios.

www.pittimmagine.com/en/corporate/fairs/modaprima.html

Avril 2012 - Latina Creación Magazine - 33

9 - 12 Mai 2012 Círculo de la Moda Bogota - Colombie

Salon spécialisé dans la présentation de designers

et de marques du secteur de la mode.

Evento especializado en los diseñadores y las marcas de moda.

www.circulodelamoda.com/

1er - 4 Juin 2012 JCK Las Vegas Las Vegas - Etats-Unis

Le principal rendez-vous de la Bijouterie-Joaillerie aux Etats-unis,

une expérience pour les affaires et le Networking.

Evento principal para el tema de la joyería en Estados-unidos, una

experiencia para hacer negocios y Networking.

http://lasvegas.jckonline.com/

16 - 19 Mai 2012 Jeweler Expo Kiev - Ukraine

Le plus grand Salon en Ukraine pour les bijoux

et les pierres précieuses.

La Feria más importante de Ucrania para joyería

y las piedras preciosas.

www.jewellerexpo.kiev.ua/english/yuvelirekspo/o-vyistavke.html

29 Mai 2012 Angel Sánchez

Collection Automne 2012

Las Vegas - Etats-Unis

La Esmeralda, Campo Alegre

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L a i n e A l p a c a Jenny Duarte cultive l’Ethique et l’Excellence

L’Ethique en mettant un point d’honneur à sublimer les matières originaires de son pays : le Pérou

L’Excellence en confectionnant ses collections à partir d’une fibre prestigieuse : l’Alpaca

www.artiluxe.fr/jennyduarte