j ···~···· · ······i - chansons-paillardes.net · mordu ma grand-mère au cul. si mon...
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lE PILOU ~ PIIOU
SCOilo Cest nous 1e-8 terribles guerriers descendus des montagnes CHOEUR P ilQU 1
Et tandjs que nos femmes enceintes allaitent leurs petits Q lombre des grands cocotiers blancs
CHOEUR Pilou
EacuteoussG1ns notre terrible cri de guerre 1 CHOEUR Pilo II
Et1ieacutecha nous reacutepond CHOEUR l Merde
Mon non non non 9 le BoE~Ce nest f) CcedillS mort (bis) Car il gueule encore car agravel gueule encore 1 Et le BoE 3 Ccgt est bacirc t i sur pierre Et le BE6CO ne perira pas Et le Bec oui ouiouiEt le ESC non non] non~ bisEt le EBC ne peri~a pas 1
Lautre soir j 7 eacutetais agrave la morgue r our voiT sil Y a va t de S loyeacutes y avait une femne mOTte our secirctre fait sucer les pieds ~
La peau de son ventre eacutetait si verte Quon a Qrait ~i~ des fpi~ard3 Et sur 2 middot)~ do o - 0- ~
Etaient 6crit n cee 80t~ ~ Oh Oh E Oh Que de mande u 1 bol pt Cl di8 __~1 t (bi s) Une pip6 ~ Q~e fOD~8 e ~ de l ~argent (biS) Une pipe pou r ]_a te rYJ8 T ~
Une femme pour ~la b2ise~C~ Et deacute Itares2t pou~ 8 3 gueule Vi ve le 8 on G_U 1 0g10-- t
C e st nous le s l )eacuteci_st e s du quartier lat in (bis) Qui no~s couchons middottard et nou s levons ~as le matin (bis) Si lproprio nous engueule On lui- ss8ra la gueule Cest ccedila qu est licircon et bon et hon
bull 01 REFRAIN Et VOlLa 18 vie 1 la vie la vie la vie cheacuterie Ah Ah
Et voilagrave la vie que les beacutecistes font ~ D t voilagrave la vie la vie la middotvie la vie cheacuterie 1 Ah 1 AhI Et voilagrave 18 vie que les eacutetudiants font tl
Pour notre repas quelques p~tits oiSbaux (bis) Que IT ~n nom~e cailles ou teacutecasses ou perdreaux (bi~) Et la fine endouillette E- la S8Lloisson cle Lyon C est ccedila qu est bOIDL)l et bon et bon ( au refrain)
( agrave suivre)
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MAEGO~L
Air les 80 Cha s seur s
l Entendez VOQS dans le silence les accen~s de ces crisgQerri~rs ~ ~~ Gos cris guerriers Wue hurlent agrave gorge deacuteployeacutee Des bataillons pleins de vaillance Ils sont gr9upeacutes 8troitement
-Autour dune rouge bannieacutere
RE BIRAIN
NOQs-BOnwCa les universitair-es De ~ordeaux j6yeux eacutetudiants
( Bis ) C est le J E bull C eTe s t le B E bull C Chic anx eacutetudiants
( Bis )
2
Il faut pOUT faire un hon beacuteciste Savoir chanter avec ardeur
a ve cardeur Bien boir T et entonner en oh lnu Les chansons les plus fantaisistes Aussi parmi le s rouge 8 sang Il nest que de rudes compeacuteres
REFRAIN
3
Loregraveque nous partons en campagne Ce ~est je middotmais sens boire un coup
Oui boir un coup Ni chanter lePILOU-PILOU
Avec nos gra6ieQses compagnes ~ous ameutons tous les passants Par nos S8U vage s cris dB guexTe
REFRAIN
4 Si les circonstances le permetterit
Le BE C a gagneacute de s victoire s Le mail~ot roug a triompheacute
Oui trinmpheacute Nos adversaires sont deacutefaits Et le EEC sest couvert de Gloire Amie regt~ns toujoQrs c6nfiants 1 Car le BEC est bati sur pierres
Lagrave haut sur la barri eacutere Margot Margot ~ortillait son derrieacutere Bien haut Bien haut
Doucement je map~roche Et puis et puis Les deux mains dans les poches Je lui dis Je lui dis
Veux tu 8 ma divine Veux tu Veux tu
que je te foute ma pine dans le cu dans le cu
Oh me T8pondit - elle Je ne veux pas Je ne veux pas Je suis e~core pucelle Je ne peux pas je ne peux pas
Mais sil faut que je commonce Et bien et bien
A toi la preacutefeacuterence ~ - POUT rien pour rien
Je la crus sur parole Jy fus ~ jy fus
Elle a vai t la veacuterole Je leus je leus
Et ma pine encore vierge Coul~ ooula
l~ i plus )ni moins qu t un oierge Voila voila
Depuis cette aventure Damour d T amour Je me soigne au Mercure La nuit ~ le jour
Que ceci vous apprenne Mes freacuteres mes freacuteres
~ue la vsrole sans g eacutene prospeacutereprospeacutere
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MARCHE DE S NA VALAIS
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l II Et sil y en a qui prennent middotla coloniale Quand nous serons dans
17Afrique infernaleDevant ceux-lagrave foetus inclinez-vous (bis) Loin de Bordeaux et loinCar ils iront dans lAfrique infernale
du Cours Saint-Jean Porter la science au pays des ~amb0QS~ Les ~etits foetus consoshy
leront nos femmes REFRAIN Et serviront de ~egravere agrave
Quel que soit le cadre nos enfant a LAfriqJe ou lescadre
Dans les reacutegiments IIIOu bien agrave bard des lacirctiments rn fera la noce Et s t il yeri a qui prennent la marine
On roulera sa bosse Ils partiront vers le tlen horizolicirc1( bis) Mais quon foute le camp l ls quitteront Bordeaux citeacute chagrine De cet ignoble b~t~ment Pour le ciel bleu clala racle de Toulon
IV Au vieux Dagens vieillard syphilitique _ Vieux fil de fer que la r-ouille a tordu Nous quitterons tous ta sacreacutee boutique En te foutant un grand coup de ~ied dans le cul~
MARCHE DES FOETUS =-===
Cest nous les foetus les- pet~ts foetus Les petits avortons cui~n conserve ~ans leau middot1e vie Cest nous les foetus les petits foetus Tous ratatineacutes de ~La tecircte agrave lanuse
VI VE LE CHAMPP GNE =========
~
REFRAIN Vive le Champagne pagne pagne pagnes pagne (bis)
l l eacutetait un scu l te ur qui eacutetai t en cha le ur QQatr~ religieQses sont Il navait pas de femme et ne lai sait Qas lasseacutees Qar lagrave
At 1 Ah Ah Ahl )~fJ bullbull ()e
Il navait Ilas de femme et ne 11aisait pas Ahl dit la plus jeune qu e st --ce que ete st donc
Avec une mi~ette il se la coupa bull 0 ~ bull u 0 ft
Ah 1 Ah Ah Ah Cest la pine dun homme Puis au pied (iUltl arbre il lfabandonna qu 1 0n a planteacute l~L - - o o bullbull 0 bullbull e
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VIVE IE CHAMPAGNE ( Suite) =========
Prenez lagrave ma soeur elle nous servira Le soir au dortoir on sen eervira bullbullbullbull 1 t bull
Y a que Soeur Theacutereacutese qui nen anra pas oooo
1e cureacute du village lui en fournira
Rouge DOmme une cerise et gro~se ~omme le bras
LA BRABANCONNE TIUNE PUTAIN
lA ir La Bra banccedil onne
Je me souviensrlorsque jeacutetais jeune fille Quun jeune gagraverccedilon qui passait par bonheur Me trouva si mignonne et si gentille Quil me fit voir sa grosse pine en chaleur Et- t out -agrave-coup sous me s jupons s T eacutelance Leacutenorme q~eue quil ~enait agrave lagrave main Il deacutechira mon voile dinnocence Voilagrave pourquoi je me suis fait ~utain 1 (bis) Le Roi la Loi la LiberteacuteJ
Je ne sais pas si jeacutetais Qn peu coquinegrave jaimais deacutejagrave qUon me ohatouillacirct le bouton 7
Javais go 1teacute de ce bon jus de pine Jtav~s reccedilu du foutre dans le con Javais baiseacute je neacutetais plus pucelle Je cheacuterissais le meacutetier de putain Plus je baisais plus je deurovenais belle Voilagrave pourquoi je me suis fait putain 1 (biS) Le Roi la Loi la Li he Tt eacute l
Quoique je sois une fille publique J 8i l Tamour de l t humaniteacute Tout citoyen dans notre libre Belgique Doit- baiser et jouir en Li~erteacute Pour de largent le riche a ma fente Le pauv~elui peut en jouir pour rien kour soulager lhumaniteacute souffrante Voilagrave pourquoij e me SQis fait putain l (brus) Le Roi la Loi la Liberteacute 1
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LE CURE de SAINT SAUVEUR ===============
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Jill FRAIN
Trou la tYou Trou la trou
Monsi~ur le cureacute dSaint-~uveur Quand il est mort il sest pendu Les oiseaux nont pas eu pe~r De feire leur nid dens le trou dson
cul
~~utjour en passant place verte Jentendis un chien peacuteter Ca prouvions que ctte pauvrbampte Na ~oint le trou du cul boucheacute
Le cureacute de Saint-Martin ~ui sait toutmiddot et qui nsait rien A coupeacute la queue de son 3ne Pour la mettre agrave son petit chien
Monsieur le cureacutecest un bon zouille Il aime tout il laisse rien y sest coupeacute la peau des couilles our faire une niche agrave son chien Jeacutesus Christ a une queacutequette pas plus grosse quune allumette Il sen sert pour faire pipi Vive la queacutequette agrave Jeacutesus Christ
A Paris les vielles bigottes Marchent toujours les yeux baisseacutes cest pour voir d3ns notculotte Si lchinois nes~t pas releveacute
A chanter avec laccent du ch N ord )
la trou la la la trou la la Mon grand pegravere et ma gYnnd megravere ont l f ha bi t _ude de coucher nus Lautjourgrand-pegravere en colegravere A mordu ma grand-megravere au cul
Si mon pegravere couche avec ma megravere Ce nest point par amusement Cest pour me faire un petit fregravere Qui meacutenera la vache aux champs
Jaime bien mon pegraverejaime bien ma meacutere
Mais jaime aussi mon bourricot MonbourricotyJe peux monter ~
dessus Mais sur ma mecircrecest deacutefendu
Ils eacutetaient quatre pauvre diables ~ui navaient pas de quoi se
Chauffer Ils ont tous chieacute sur la table Et se sont chauffeacutes agrave la fumeacutee
En Afrique les dromadaires ont la peau quest si tendue Que pou~ fermer les paupiegraveres y doivent ouvrir leur trou du cul
icircte middot agrave gauchette agrave droite Disait un sous-officier Ferme ta geule reacutepondit lautre Tu commences agrave nous fairs chier
Cochon dT un i tel (1)
Bois donc ton verre (Bis
Et surtout ne le renverse pas De frontibu8 ( Bis
A la martiale (Bis
Et glou glou glou glougrave glou (2)
Il est des notres ( Bis )
Car il a bu son verre comme les autres
(1) Nom dq buveur que lon fait boire (2) Jusquagrave ce que le verre soit videacute
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middot REERAIN
Kyrie Christe DQminum l10Jstrum Kyl~ie E le i son
l III Kyrie kyrie Dans les chambres de nos abbeacutes (his) De ns abbeacutes On nt y ~ange(bis) Que des m~t5 fort bien preacutepareacutes (bis) Mais nous autres Pauvres apocirctres Igtauvres moines Tripaillons de rooines Sacreacute nom de Dieu de religieux Nous ne bouffons que des mets frelateacutes E -E-E -E -le ison
II
Kyrie Kyrie Dans les (hambres de nos abbeacutes (bis)On ny boit Que des vins fort bien cacheteacutes (bis) Bien cacheteacutes Mais nous autres Pallvresmoines Tripaillons de moines Sacreacute nom de niell de religieux Nous ne buvons qlle de s vins fre JLat eacutes~ E -E -E -E -le ison
Kyrie kyrieDans les chambres de nos abbeacutes(bis) OJt1l- se couche Sllr des matelas bien douillet middots( bis) Las bien d~uilletsQMais nous autre s ) Pauvre s moine s TripaillonR de moines Sacreacute n pm de Dieu de religieux Nous couchons sur la paillede ~leacute E] 03 CE ~~ -le ison
IV Kyrie) kyrie Dans les ~ha mbres de nos abbeacutes(bis) ])e nos a tbeacutes j
On ny ~aise(bis) Que des fe ~mes de qualiteacute(his) ~e qucircali t eacute q
Mais nous autre s Pa u vre 8 ~ middot f)gt~~ J FalJvre s moinegrave s ) Tripaillons de moi~es Sacreacute n~m de Dieu de religieux Nous ne hais~s ~e des culs v6roleacutes E middotmiddotE middotE -E lei s oD
Kyrie~ kyrie Dans les chamtreH dG no s ab b Eacute3 (bis) pe J1iOS a~6h ~middot On 1lli r encule ( bj8 ) tugravee de s jeune s gens fort bi en t o tLrn es (his) Fort bien t ourneacutesc
Mais nous a utre s Pa ~Lvres a pocirc t r e s Pa uvre s moines Tripailffion~ ~e moines Sacreacute nom ~1e ic1 ~1 8 xreligj_ e ux
Bous ne pouvons que nous entreculer L E -E -E middot le ison o
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REFRAIN
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Q~I Dieu recircva dans sa ~hilosophie Dtunir toujours les petits et les grands Oui Dieu recircvq agraveans sa philosopnegravee Dunir toujou~s les petits-et les grandso
l
Sur les d~~ris dune motte princiegravere Que la yeacuterole emportai t par lambeaux Un vieux morpion plu3ieurs fois0entenaire 9
A ses enfants disait ces derniers mts Suivez enfants~ le chemtn de ma vie 9
De tous les ccns soyez les conqueacuterants
II Jai vu le jour chez des peuples sauvages Qui du soleil se disaient rejetons 9
Jai traverseacute lAtlantique agrave la nage Sur les roustons du grand Christophe Colomb C~mme il donnait un monde agrave sa patrie~
Je le peuplai de nombreux habitants
III
Depuis pregraves de trois cent anneacutees Jai freacutequenteacute les plus hauts potentats~
Jtai poursuivi des pines couronneacutees Jai vu descoons engendrer des preacutelats Plus dun Saint Pegravere sur ses couilles fleacutetries Sentit grouiller mes arpions triomphants
IV De Louis Quatorze j ai SU0~ les cuisses~ Et jai veacutecu six mois p~us son b~ton Freacutedeacuteric II avait la ~haude-pissey Marie-Theacuteregravese avait un chaccre au ron Jai vu briller le scleil nItalie Au-dessus du trocircne des papes branlantso
V
Depugraveis jai eu des heures nalheureusefJ Bien peu de cons me furent hospitaliers Et le vagin dune religieuse Puait si fort que je faillis crever Dans les bidets j 1allais de compagnie Avec les spermatos agonisants
(agrave suivre)
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LES MEMOIRES DUN middot DIORPION ( suite)
Jai vu baiser la reine dAngleter~e
Par les sous-offs de toute la garnison Jai burineacute les couilles du Saint-Pegravere Quand tous 19s soirs il allait au boxonQ Suivez nfants le chemin de nos fregraveres De tous les cons soyez les conqueacuterants
A Austerlitz agrave Friedlandagrave R0me Partout o~ le pousse le sort Jai pursuivi la pine du grand homme Mci s il est mort et moi je vis encore Jhabite le con dlla princesse Eugeacutenie Et j eacute le livre agrave va u s ~ ID es che r s enfant s ~ Il
Le vieux middotCC -- ~ C) Gi voulut parler encore Mais dans Sa Jauche sa langue se gl a ccedila Un froit mortel envahit tOQt son copps Et l ent ement l e Ild0 rp ion exp i rI)
Du bout d ILJn pc~ ~l ql1 ~agi tait lagonie Il se raidit et dit agrave ses enfantpo
Au refrain
IV Entrant dans une eacuteglise Je te fr a i voir de lherbe Je ne vis dabord rien Qui pousse dans ma main Quun vieux cochon de moine V Qui se branlait dans un coin Qui fait grossir le ventre
Et arrondir les seinsREFRAIN VISi je tencule 9 cule~ cule
Et nous ferons ensembleSi je tencule best pour ton bien Un petit capucin
Si je te Baise~ baise 9 baise VIISi je te baise cestppur le mien Aux couilles tricolores
II Au poil du cul chatain Qun vieux cochon de moine VIII Qui se branla i t dans un coin Il aura la veacuter81e Et confessait les filles Sa megravere lavait bien Du soir jusquau matin IX
II I I l ira a~ bordel middot Il dit agrave la ~us jeune Son pegravere y allait bien
Tu reviendras dem8in JC-Encul er les maqueDelles Fa ire œinette aux putains
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LA DIGUE DU CUL ----------shy~-----~
La digue du cul en revenant de La digue du cu1 1 non re nest pas Nantes ( Bis ) le diable ( Bis
De Nantes agrave Montaigtl la Digue ~ Mais un gros dard pointuooooo la digue
La digue du culqui bande et quiDe Nantes agrave lVIo nta igu la digue du
deacutecharge ( Bis )OuI Et qui a beaucoup de jus La digue du cul je rencontre une
Belle ( Bis ) La digue du cu1 9 si ce nest pas le Qui dormait le cul nu le diable ( Bis )0middot bullbull 000
La digue dQ cul je bande mon Il est bien dans mon culoooo 0
arbalete ( Bis ) La digue du c~19sil y est quilLa fous droit au but 060~0
y reste ( Bis) La digue du cu1 1 la belle se reacuteshy Et qufil nen sorte plus 00
veille ( His ) Et dit J ta i l c diah l eau cul 0 bull 0
JEANNETON ===-===-==
Jeanneton prend sa faucille Le second un peu moins sage LaliretteLalirette LaliretteLalirette
Jeanneton prend sa fallcille Le second un peu moins sage Pour aller couper des joncs (bis) La coucha sur le gaz1n (bis)
En chemin elle rencontre Le troisieacuteme un intreacutepide Lalirette 9 Lalirette Lalirette lalirette
En chemin elle rencontre Le troisiegraveme un intr~pide
4 jeunes et beaux garcon3 (bis) Releva son blanc jupon (bis)
Le premier un peu timide CB que fit le quatriegraveme LaliretteLalirette Lalirette 9 Laltette
Le premier un peQ timide c~ rJue fit le quatriegraveme Lrembrassa sur le menton (bis) Nest p~s dit dans la ohansen (bis)
Si vous le saviez Mesdames LaliretteLalirette
Si vous le saviez Mesdames Vous iriez couper des joncs (bis)
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LE BORDEL A FE RlŒE SES VOLETS Air~ L-n guin~glicirceumltt euml--rermeacute-s8s-volets
IJ e b 0 rd e el a f e rm eacute ses vo let s
Elles sont toutes veacuteroleacutees y a plus moyen qUon boise Le dernier qui y est alleacute Pour se faire faire un pompier Est r1venu avec la pine enfl~e jheacutet
Le toubid qui les a visiteacutees A tout de su~te deacuteclareacute y faut plus quon les baise l La mnreacutechausseacutees les n toutes boucl~es
Et le bordei 3 fermeacute ses volets
Totor quest un habitu~ A voulu y aller Disnnt Cest dla foutaise Ir
Mais trois jours apr~s il npouv9it plus marcher
Tant sa pine eacutetait deacute13breacutee Oheacute
A 1 hosto 9 on lt 3 transporteacute Lui laissarlt Suumlpp0ser Que ce leacuteeer malaise Ne lempecircchersit pas drevenir baiser QU82 J_bordel rocvrirGit ses volets
Le toubid lui ayant conseilleacute De ne ~us coiumlter Sans une capote angl Ai$e 9
Arssitocirct smi t sur pied 9 il en [) comm3ndeacute
Douze douzaines avec bout renforceacute
Au premier coup qUil a tireacute Cest ~es couilies qUontlacheacute Pas ln capte anglaise On les n r tro uveacutees aux qu~at coins
du quartier Et lbordel a fermeacute ses volets
Air Marc he fun~bre n
TottOr nest plus Les putains lont descendu Un franccedilais de plus Que les Anglais auront foutu Et sa pine Quav~it belle mine Ne bander8 plus Ainsi triomphe la vertu
Air La guinguette bull
Le bnrdel a rouvert ses volets Par un bequ matin de mai Au temps des premi~res frsises Lpersonnel ~tait enti~rement
reno uveleacute Et la tocircli~re -eacutetai t toute en c -A
be3uteacuteOheacutel
La ~oule se pressait etvriait Elle avait oubli~ quldanger Quand on ba i se Etait dse confier au machins
anglais Et lbordel sest payeacute des
bidets
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shy J_Eshymiddotr (Chanson des Be~ux Arts)J REFRAIN
bulli---- Le casque est une coiffure1 r Qui sied agravela figure
i r-
J Un casqu~ de pompier
Jbull---- Ca fait presque guer~ierj C8middot lui donne un air vainqueur Qui sied ~as mol agrave sa valeur
icirc-]--- Sous son casque luisant t
Il a lair vr3iment eacutepatantT J Zim l a boum zim l a y la
--- - On peut lfblsguer t3nt quon voudraImiddotmiddot~-
-_shy Le pomp1egraveer est bien ou-dessus dccedilagrave--T--1shy
l On dit quelquefois au village Qun casque ccedila sert agrave rien du toutl
- rien du tout Ca sert agrave donner du courage
A ceux qui nen ont pas du tout shypas du toutl
De loin ccedila prend Jes airs fan~asques Et chacun dit en les voyant - en les
voyant Quils sont donc beaux avec leurs
c8sques Ca leur donne un p~tit 8ir ~patnnt
II
On nous raconte dans lh~stoire
Que les Romains et les Gaulois les Gaulois
Ces fils oneacuteris de la victoire Portaient des casques autrefois shy
autrefois Le cnsque cest donc l heacuteritage De tous ces guerriers valeureux shy
riers valeureux ~
Et si nous lsvons eh partage Cest gufnous sommes guerriers comme
eux
III
On sait que chacun sur la terre A son faible ou sa passion shy
sa pa ssion l Le pompier quest un militaire Est fier de S3 ~osition - sa
po si ti(l)n Le sapeur datsa barbe noire Est orgueilleux de son bonnetshy
de son bonnet Le pompier met toute S3 gloire Dans son casque et dans son
]lumet
V Les jours ousquil y Q fecircte Il endosse ses plus benuE hsbits
- 1) e el ux habi + rjJ Il met 80n casque sur sa tecircte Puis agrave lombre de sa visiegravere Pour aller flaner dans le pays
- dans le pRyS
Quand il rencontre un jeune teri i dron - jeune tendron
Il lance une oeillnde incendiaplusmnp~
Le yompier est tellement polisson _
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LES CENT LOUIS DOR (Air des Louis dOr)
Un soir dans une diligenoe Sur une route entre deux bois 9
Je branlaisavec assurance Une fillette pu frais minois Javais retrouss~ S3 chemise Et mis la ~3in sur son bouton Et je branlais malgregrave la bise A d~chirer mon pantalon Pour un quart dheure entre ses
cuisses Un prinoe sut dann~ ses tr~sors
Et moi j 3urais Dieu me beacutenisse Jaurais donneacutec oent Louis dtOr
Las de branler eacuteans r~sistance
La tecircte en feu~ la pine aussi Je pris 8a ~ain quelle ind~cence
Et la mis en forme dteacutetuis Je jouissais ~ perdre haleine Sa main sa robe en eacutetaient pleines Et cel~ne suffisait pas Sentant rallumer ma fournaise Je lui di slltiens f3i s pl us encor Sortons dici que je te boise ~
Je te egravecnne cent Louis dOr
La belle alors~toute confuse Me reacuteponctit ingeacutenument
Pardon Monsieur je refuse Ce que vous moffrez galamment M8is j 8i jureacute de rester sage Pour mon fiunQ6 mon mari De conserver mon puoelage ~-
Il ne s egraver r l j ama i s (~llJ tih~lUfL l 2 Ji Tu naura spa s le ri di c ul e Dis-je darrecircter ton essor Permets aU moins que je tencule J e te prGtmets nent Louis d Or ll
0
Au premier relais sur ln route Nous descendimes promptement~ Au CQl~ il faut que je te foute Nepouvant te foutre autrement Dans une auberge nous entraIDes Tout st Y trouvsit bon feu bon lit Brucirclants dqmour nous nous couchacircmes Je lenculai toute 13 nuit bull NU i s PQ ur changer de joui ssanc e s Je lui dis tiens fais plus encore Livre ton con et lttout d f av3nce Jete p bo ID et s 0 ent L 0 lAgravei s d ~ 0 r bull
ttJe veux bien~ sans plus de harange Dit-elle en me succedilant le gland~ Livrer mon con agrave votre langue Pour ne pas tr8hir mon serment Aussi~6t plac~s tecircte b~che Comme deux amants dans le lit Avec ardeur je la legraveche Pendant quelle me suce le vit Mais la voyant bi~ntocirct pam~G Je ps lui ravir son treacutesor Et je lui dis la pine entr~e~ Je ga gne mes c ent Louis d ~ 0 r n bull
Huit jours apregraves cette aventure Jeacutet8~S de retour ~ Paris Ne pren8nt llUs de nourri ture Restant pensif au logis o
A la gorge ainsi quIa la pine Javais ceacutetait inqugraveieacutetant Chancre poulain on 18 devine Une ch3ude pisse en rlecircmecirc temps Prenant le parti le plus sage Je me transporte che~ Rocord Qui me di t ~ nUn tel puoe18ge Vous co ucirctera cent Loui s d JOrn
Ir 1 Ir Il Il Il 1 P Il lt Il It H
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1 61-__-
l 5 Lautrjour ~ la consultation Pour ceux- yen 3 d 1 si deacutegoatants- Ltoubib 9 un vieux ~ lnir antique Qui deacutesirent to ut fa ire psr derriegravere Apr~s mavoir ~arfouilleacute lco~ Jorois qucest encore plus ~pnt8nt Ma dit qUjeacutetais syphilitique 0 y 8 vraiment dqu~i se egraveatisfaire Les meacutedecinsegraveest oomme les cureacutes Mon 9nus cest comm une vraie fletr Il faut bien lescroire sur parol t Une rose ~ triple corolle t Mais vrai ccedilui l~ ma sideacutereacutee On leffeuillerait avec bonheur Jpeux pas croire qucest ccedila la ~ ~Jpeux pas croire qucest ccedilagrave la
veacuterole veacuterole
2 6 Ca commenceacute par un bouton L autr t jour vl~-1 quen bntifolant Qu6tait situeacute tout nupregraves dlautre Jai vu q~mon typ le m6m Eug~ne Un peu plUS dur uL peu middotplus rond Il 3 queacuteqLl chose aussi maintenant Vrai grain d chnIl let pour mes Fout x7Tsiment qu on ait pns d veJne
p8tnocirctres Cest comme une pastille SLlr son Comme y mchatouillait dtemps en gland
temps On grille r9 ln sucer ma parole Je mgratouillaisccedila fsait tout drocircle Cest rondcest rose et cest y mIn fait mouiller ~~en souvent charmant ~
J p eux p 3 S C ro ire qu c est Ccedil8 la J p eux po s c ro ire qu c est ccedilagrave la veacuterole veacuterole
3 Puis sur le corl s il mest venu A lhopi tal ougrave j 1 ~ui s alleacutee Toutes une floppeacutee de ptites taches On ma montr~ ~ msieur lInterne
roses Un grgrtd gars agrave lair d~lur~ Qui contrastaient sur mon corps nu Qui mo ploteacutee dun nir p1terne Avec 18 blancheur des middot8ut choses Apregraves ru nvqir liien reluqueacutee Jcrois mecircme qUceacutetait plus joli -Pourtant ~ poi1 9 je nsuis pas y en a bien qui se foutsur la fiole gn61eshyDu cold-cream et dla poudre de riz Il ne sest mecircme pas fRit br8nler Jpeux pas croire qucest ccedil~ 18 veacuterole Ah oui j vois bien qujai
11 veacuterole
4 Comme ccedilagrave spassait j Qi constateacute Que par en ba sc eacuteit21i t PD s- 02 illme Quand dans ln glace je msuis rg~rdeacutee9
On aurait dit un vrai diadegraveme N en nva~t des ronds des pointus Cest velouteacute quand on les frocircle Oa fait trentsix ptits mamlons dplusa
J peux pas croire qLl egrave est ccedil~ la veacuterole ~
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aillardesn
et
Pegravere Dupanloup dans luteacuterus (bis) Etait deacuteja si plein dastuce (bis) Que dans le vagin de sa megravere Il succedilait la pine de son pegravere
RE~RAIN Ah ah ah oui vraiment
~ Pegravers Dupanloup (bis) Ah ah ah oui vraiment
pegravere Dupanloup est deacutegoutGnt
pegravere Dupanloup dans son berceaubis) Bandait deacutejagrave comme un toreau (bis) Et sur le sein de sa nourrice lIa ttrapa 18 chaude -pisse
pegravere Dupanloup monte en Mais il avai t le systeacuteme Quagrave trois cents megravetres
Ses couilles trainaient
ballon (bis) si long (B)
dans lathmosphegravere e~core par terrecirc
pegravere Dupanloup monte en bateau (bis) La pine en lairles couilles sous
Quand survint Qui lui mordit
pegravere Dupanloup Mais il avait Quen peacutedalant La peau de ses
pegravere Dupanloup
leau une grosae grenouille la peau des 80uilles
monte en le syst egraveme
agrave perdre couilleo
dans
en chemin
veacutelo (bis) si gros
haleine se sa
de Deacutesir mettre ses couilles agrave
prit chaine
fer(bis) lair
Passant sa pine par la portieacutere 11ere va l 0eil d II gar de barr i egravere
p egravere TIupanloup agrave lOdeacuteon Se conduisit comme un cochon Avec la peau de ses roupettes Il boucha le trou des cla1inettes e
Peacutere Dupanloup agrave lOpeacutera Se conduisit comme un goujat Au troisiegraveme acte dans la coulisse Il encula le pompier de service
pegravere Dupanloup agrave Saint-Malo Confesse les feGlmes dans Lill ~
tonneau Fassant sa pine par le trou de la
bonde Il seacutecrieuVla le s8uveur du
monde
pegravere Dupanloup le 14 Juillet Alla se promener agrave dos de mulet Pour que la fecircte soit complte Il encula la pauvre becircte
Fegravere Dupanloup fait cuire des oeuf Il les remue avec sa queue Sa femme qui passe dans la cuisine Lui di t ttcochon tu brucircles ta pine
Fegravere Du~anlou~ devenu vieux Ne bandait plus quune fois sur ~ Sarrachant la pine avec rage Il sen fit une canne de voyage
pegravere Dupanloup dans son cerceuil Bandait encore comme un chevreuil Avec sa pine en arc de cercle Il essaya de soulever le couvercle
pegravere Dupanloup au paradis Voulait enculer Jeacutesus Christ Non de Dieu dit le pegraveregrave eacuteternel Prends-tu le cie l pour un borde l
pegravere Dllpanloup Icircuttout confus De ne pouvoir lui foutre au cul Branlant sa pine de part et dautr Il aspergea les dOQze apocirctres
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~ r -middotmiddot
-0--
~-~
shy _ 1_-_
Du Dieu Vulcain quand leacutepouse fri- De Jupiterf3con vraiment divine ponne Le Jon lui pueil aime le goudron shy
Va boxonner loin de son vieux sournoisDfun trou agrave merdeil fait un trou Le noir jaloux que lamour aiguillonne Tranquillement se polit le chinbis Et bat le beurre Va-t-en di t-il ~ agrave ss fo utue femelle Cette facon e st Je me fous bien de ton con chassieux Pour terminer un De mes cinq doigts je fais une pucelleApr~3 ldessert Masturbons nouscest le plaisir des
Dieuxe
2 Bah Laissons lui oe p18isir ridicule Chacun dnilleurs sailluse agrave sa focon
Moi je preacutefegrave~e la maniegravere dHer6ule Jamais sa mainne l~i servit de con Le plus seacute11e trou la plus vieille
conn s se Rien nechappait a son vit glorieux
Nous serons fiers de marchermiddot sur ses
Traces Baisonsbaisons 9 cest le plaisir d~s
Dteux
3 Du Dieu Bacchus 9 quand 20cableacute dishy
vresse Le vit mollit etsur le co~ sendort 69 et le vit se renresse 69 ferai tbanderun mort a clitoristop parfun de fromage Fait regimlier nos engins victojeux A S8 vertu nous rendons tous hommage Gamahuchons 9 cest le plaisir des
Dieux )
l
Fo u tre
Foutons
agrave pine aQ milieu de leacutetron
di vinement bonne geuleton joyeux
on senc~le en couronne
Enculons nous cest le plaisir des
5 Quant agrave Plutonle Le moinllre effort AQssi veut-il sans
r Faire sucer son peUlS arrognnDt l + lJ nOJ8revan aux 8XTf~~S8S passees Tout 18nguj sS8n~s reacutejcissons nos
yeux Et laiss3nt faire une amante emshy
preacute)SS8J Lcissons sucerc1est ~e ~10isir des
Diel1x
r o rs st e Q insi_ quI 0 11 f 8 S 8 e agrave sa
_~Iampts
MnincoTI 9 cU1 9 bouche8U plaisir t 0 D tes t bon
SUT q1elque 2u~ el q~ or ceacutelegravebre fecircte
~o u jour 2 lagrave haut uuml~ est sur du
Foutre
Di evlX
Die~ agrave large pense lu~ semble fatigant craindre la deacuteshy
p9D set
fi arc~() n et joutr -IO~-U~_ J untque
middot1 - =~gt FI ire et j oU_ir vo il8 qlu~l s sont
amis qu liI~~or-t- la woniegravereacute Foutonsfoutonscest le plaisir
des DieLc
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AIR Mal bo ro ugh sten va-t-en guerre e
Lagrave haut sur la colline Un coup able de lenfer Les 2 piedsles 2 mains dans la Les de ux piedsles deux mains dans Lagrave-haut sur la colline merde Un coup able de lenfer la merde Il y avait un gros cu (bis) Qui ava it fait un gros peacute
Un gros cureacute de campagne Un gros p~cheacute mortel Les deux pieds Les deux pieds tooe ooeo 0000
Un gro s cureacute de campagne Un gros peacutecheacute mortel Quastiquait son gros bou (bis) Et nvait trop eacuteteacute (bis)
Son gros bouquin de prieacuteres Trop eacuteteacute 8U bordel Les deux pieds 0 Les deux piEds0 0 0 bullbull 11000 bullbull 00
Son gros bouquin de prleres Trop eacuteteacute au bordel Pour entrer dans un Con (bis) Ougrave il alloit quecircter (bis)
-Dans un confessionnal Quecircter laumone des pauvres Les deux pie d s bull 0 0 0 bull 0 0 0 Les deux pied~ 00 bullbullbull
Dans un confessionn31 Quecircter l Qum~ne des psuvres Pour y tirer un cou (bis) Qui en SV3iegravent besoin (bis)
CHA R LOT T E ~ ---I_middot middot--middot-I_(~-~~-
~ REFRAIN Branle (ter) Charlotte Branle (bis) ca fait du bien Branle (ter) ma chegravere Branle (bis) jusquagrave demain
1 LI
Dans son boudoir9~a petite Charlotte Ma is 6 mnlheur 5 6 fatale disgrace Chaude du con f3ute dAvoir un vit LQ jouiS8311Ce lui fi tfaire un Se masturbni t avec une carotte brlJ ~~qhes~ut
Et jouissait eacutetendue sur un lit Du contre l)oUP la c9rotte 88 ossee L Et dans le con il en reste un
Ah disai t-elle~ dnns le siegraveole oUgrave morceau nous sommes
Il faut savoir se passer des garcons Un meacutedecin praticien fort habile Moipour ma partje me fous bien Fut appeleacutequilui fit bieq du mal
des hommes Ma is par malheur la carotte indo- shyAvec ardeurje me branle le cont cile
3 Ne put sortir du conduit vaginal Alors 83 main neacutetant plus paresseuse Alla it vena it c omme un p e ti t re s So rt Mesdemoisellesque le sort de Et faisait jouir la petite vicieuse Charlotte Aussi ce jeu lui plaisait-il bien Puisse longtemps Vous servir de
fort lecon Ah croyez-moil a iss~z lagrave 18
(gt nro tte Preacutefeacuter8z lui le vit dun beau
gs rcon
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L A PO M P 0 NET T E
LE COlVUVLANDEUR DU CUL-SEC LE CHOEUR middot
Aimes tu mieux boire et deacutegueuler Quon verse agrave boire agrave ce cochon lagrave Queds npas oire 8t tJemmerder On verra bien sil d~gueulera bullbullbullbullbullbull eoOOOCJO bullbullbullbull O Pendant qUil deacutegueulera
Que son ~oisin sappr~teLE BUVSUR DESIGNE Pendant quil s3ppr~tera
Oui j oime mieux boire et deacutegueuler Ch3ntons ln pomponette Que denpas boire et memmerder L3 pomponette bullbull 0 bullbull 0080 bullbull 0 bullbullbullbullbullbull La pomponette
Il fil Lera (1) 00 O bull bull 0 bullbullbullbull
Ce cochon lagrave 8 bien fileacute A son voisin de rcommencer
LES MOINES DE SAINT-BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis) Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis) Si lprieur nous engueuleon chante des chansons
REFRAIN Vo ila c qui est bon et bon~ et bon Et voilk 13 viela viela viela vie cherie ah~ oh (bis) Et voilagrave la vie que tous les moines font
Pour notre souper de bons petits oiseaux (bis) Que lon nomme oaille ortolans ou perdrenux(lis) Et la fine nndouillette et la tranche de jambon
Pour notre coucherun lit aux draps bien blancs (bis) Avec une lone de 15 agrave 107 ans (bis) A la taille bien faite et aUx nichons bien ronds
Si cest ca la vie que tous les moines font (bis) Je me ferni moine avec ma Jeanneton (bis) Le soir dans ma chsmbrette je lui chatouillerai le bouton
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DLJ 1 VI
A la porte dtun couvent(bis) 1 l Y avait un moine Ah 1 djt- la soeur da couvent QlJ as-tu moine QU1ssctfLu mmine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine agrave gueuler tant
II Ma soeur je voudraisrentrer(bis)Maisma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Entre moine entre moine Ahr dit la so e ur du couvent Entre) moine e1 ngueule pas ~n~t
0 -
III Quand le ~oine fut entr~ (bi~) Il gueulait enoore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quas-tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu~ moine agrave gueuler tant
IV Ma sbeur je voudrai manger (bis) Ma i s ma s oe ur je n 0 s e Ah dit la soeur du couvent
M8nge ma ine mange mo ine Ah dit la soeur du couvent Mange mo ine J et lffie ~-gl-1~ ule pa e tant
v Quand le moine eut mElngeacute (is)
Il guelllait encore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quasftulmoine Ah dit la soeur du couvent qUas tu moine agrave geuler tant
Ma soeur je voudrai mcoucher -(BiS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Couche toi moinecouche toi moine Ah dit la soeur du couvet Couche tbi moine et gueule pas tant
VI-I Ccedilu~nd le moine fut cou~heacute (Bis) Il geulait encore Ah dit la soeur du couvent quas tu moine quas tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas tu moine agrave geuler tant
IX Ma soeur je voudrai vous baiser (bis) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine baise moi moine Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine et ne geule pas tant
IX Quand le moime eut baiseacutee (biS)Il geulait encore Ahl dit la soeur du couvent quas tu mOinequastu moine Ah dit la soeur du couvent Qutas tu moine ~ geuler tant
X
Ma soeur jvoudrai rcommencer (biS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Va au claque va au claque Ah dit la soeur du couvent Va au claque et fous-moi le camp
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((()ltrimiddot1
Samedi dernierceacutetait jour de la paye Et le soleil brillait agrave lhorizon Javais deacuteja bu cinq agrave six bouteilles l (bis) Jcrois bien qujamais jnavais eacuteteacute aussi rond)
Vlagrave ma bourgeoise qui sramegravene sur le zinc Et mdit Cochont ta quitteacute ton turbin
Ouiqujy reacutepond je men vais au meacutetinge) (bis) A u grand meacutet inge du Meacutetropo li tain J Les proleacutetaires dun eacutelan unanime y sont venus guideacutes par la raison _ En apportant chacQD cinquante centimes l
- ) (b2s)Pour soutenir les greacutevistes de Vierzon
avait Basile le mineur indompta ble cr lme linatr qu e st l honneur du part i (1)
sont monteacutes tous deux sur une table ( bis)Pour exposer la question sur le tapis Quand tout agrave coup on entend du bastringue C middotest un quidam qui veut faire son malin Il est venu pour saboter lMeacutetinge Le grand Megravetinge du Meacutetropolitain (bis)
Jy bondis dSBUS et avant quil rouspegravete Jy enfoncais jusquaux yeux son chapeau Il est parti sans demander son reste )
( bis)En faisant signe aux gardes municipaux (
Qui profitant ~e c que j1 eacutetais brinde zingue Mont emmeneacute au poste-le plus voisin Etc e st ainsi qu c e st termineacute le Meacutetinge ( ( bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetro~olitain
Couplet patriotique Peuple Francais la Bastille est deacutetruite Mais II y a encore des prisons pour tes fils Souviens toi bieuron des geacuteants dquarants-huit l (bis) Queacutetaient plus grands que les ceusses daujourdhui)
Couplet socia 1 Car cest toujours lpauvre ouvrier quicirc trinque
Cest lui quon met en prison pour des riens C eacutetait quand megraveme un bien joli Meacutetinge ) (bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetropolitain J
-(l)-Ces deux vers sont quelques fois remplaceacutes par les suivants
y avait Maurice le mineur indomptable Le gros Jacquot quest l honneur du parti
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PalU notre coucher dans de beaux draps bien blancs (hie) Avec une pucelle de seize ~ cent sept ans (bis)A la taille bien faite Et uxnichons bien ronds Cest ccedila qUest b0n et bon et bon I(au refrain)
Si cest lagrave la vie de les beacutecistes font (biS) Je mferais beacuteciste avec ma Janeton (biS) Et l soir dbns ma chaiTILbrette Jlui chatouillerai le bouton Cest ccedila quest ~on et bon et bon t (au refrain)
ff ff tf tr tl t Air nIl eacutetait un petitLE ~mSEE DATHENES
na vire
Visitez le Ruseacutee dAthegravenes (his) Vous y verrez reacutereacute bien conserveacutes (biS) Oheacute
Trois poils du cul de ~eacutemosthegravene (bis) Et les roustons ton ion du pegravere Caton(bis) Oheacute Oh6 1
~ 1
V(Uuml)~6 Y v9lZxe z la CM et e DiLne middot Le Et
egraveoh boumiddotlheacute pqrQJle les roustons tOl1ll~
banar~e ton du pegravere
~ -Oaton (bi~) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fils dHercule Photographieacutes quand ils senculent Etle s roust ons ton ton dQ pegravere Ca ton (bis) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fills dUlysse Photographieacutees ~endant quTelles pissent Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) ~heacute Oheacute l
Vous y verrez la megraveEgravee Egeacutee Caramboleacutee par le Pireacutee Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) Oheacute Oheacute 1
Vous y verre3 le cul dDiogegravene Deacuteveacuteroleacute agrave lThydrogegravene Et les roustons ton ton du pegravere Caton (biS) Oheacute Qheacute 1
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REFRAIN Et If on ST en fout dattraper la veacuterole Et l t on sen fOLlt pourvu qu 1 on tire un coup Avec 7 avec bullbull une femme bull sous les r C8~~ses
( Tous le c9uplet S 80)1 ~ ~ur le typ~ ~ d~ premier J Vivent les eacutetudiantegravema megravere Vivent les eacutetudiants t Ils ont des femmes e t pas dt enfants $$$~~$$~$~~~~$ $$~~$$$$$$ $ $ ~~$~ Vivent les eacutetudiants l $
~ ViTent les eacutetudiantes E 11 f S aiment a voir la pine au -v-entre bull ~ RE FRAIN
$AhI les fraises et les framboisesVivent les avocats bullbull Ah le bon vin ~ue nous avons buIls ont des couilles en chocolat bull iAh les belles villageoises ViTent les sor~onnards $Nous ne les reverrons plus Ils ont des couilles en peau dTleacutez~rdr bullbull ~
3 Suy la rout e de Montmartre Vi vent le S cOlonia ux De Mont oartre agrave Faris Ils ont des couilles en peau de chameau fiJ ai rencontreacute trois filles
~Trois filles de mon paysVi -ent le 3 cara bins bull $ Ils ont des femmes qui baisent bien $ f
~Jai rencontreacute trois il1e3 $iumlrois filles de mon paysVivent les carahines
E Iles adorent vous SLlcer la pine bullbullbull nJ embra sse la plLlS jeLUle lEt la plus belle aLlssi
Vivent les artilleursbullbull Ils tirent un coup tous les quarts i Je dansITemmegraven e ma chambre
d f he ure Et je la fous sur le lit
Vivent les pharmaciensbull Ils ont l permangaha te pour rienbullbull middotEJ8t regarde entre ses jambes
1 j y vois le paradis Vivent les pharmaciennesbullbull Elles sont putains OD bien Lesbiennes Je rgarde entre les miennesl
Et j ty vois Jeacutesus ChristVivent les PCE bullbull Ils ont les couumlt~~es galvaniseacutees Jeacutesus levant la tecircte Vivent les aviateurs ~Entra d3ns le Paradis Ils legravevent la qLleue tOLlS les i dheLil8 bullbull 1 Vivent les aviatrices $11 sy brisa le cracircne Elles ont le manche e~ vle ie~ ~uisses bull i La cervelle en jaillit
rVivent les arts deacuteco bullbull ~ Pleur z pleLlre Z1 me sdame sIls ont les couilles preacutes du pinceau hLa mort de Jeacutesus Christ
Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
$11 est encore en vie
11 Ji 1l- ~ igt tt Ji Lj ~ H plusmn i ~ ~ ft 4 Ltmiddot + ~i H ~ ~~ Ji y igt4 + t~ -- Li f-- ~ ~ -t u J 1 i -+ ~ q ~ gt~ ~ c ~ H + bull -c i ~ h t H li ~ middottt 4f H if lf H- if tf rt tI if tf ri +t l I tf iftf 11 r If l i of Il i1 ri i l ~( rf rf 11 Il ~ n r( Tl ~ i+r 1 ( rf Tl ri Ii II Ir rI li II If li middot( 11 1 lmiddot Il 11 rr n 1( tf if
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lE PILOU ~ PIIOU
SCOilo Cest nous 1e-8 terribles guerriers descendus des montagnes CHOEUR P ilQU 1
Et tandjs que nos femmes enceintes allaitent leurs petits Q lombre des grands cocotiers blancs
CHOEUR Pilou
EacuteoussG1ns notre terrible cri de guerre 1 CHOEUR Pilo II
Et1ieacutecha nous reacutepond CHOEUR l Merde
Mon non non non 9 le BoE~Ce nest f) CcedillS mort (bis) Car il gueule encore car agravel gueule encore 1 Et le BoE 3 Ccgt est bacirc t i sur pierre Et le BE6CO ne perira pas Et le Bec oui ouiouiEt le ESC non non] non~ bisEt le EBC ne peri~a pas 1
Lautre soir j 7 eacutetais agrave la morgue r our voiT sil Y a va t de S loyeacutes y avait une femne mOTte our secirctre fait sucer les pieds ~
La peau de son ventre eacutetait si verte Quon a Qrait ~i~ des fpi~ard3 Et sur 2 middot)~ do o - 0- ~
Etaient 6crit n cee 80t~ ~ Oh Oh E Oh Que de mande u 1 bol pt Cl di8 __~1 t (bi s) Une pip6 ~ Q~e fOD~8 e ~ de l ~argent (biS) Une pipe pou r ]_a te rYJ8 T ~
Une femme pour ~la b2ise~C~ Et deacute Itares2t pou~ 8 3 gueule Vi ve le 8 on G_U 1 0g10-- t
C e st nous le s l )eacuteci_st e s du quartier lat in (bis) Qui no~s couchons middottard et nou s levons ~as le matin (bis) Si lproprio nous engueule On lui- ss8ra la gueule Cest ccedila qu est licircon et bon et hon
bull 01 REFRAIN Et VOlLa 18 vie 1 la vie la vie la vie cheacuterie Ah Ah
Et voilagrave la vie que les beacutecistes font ~ D t voilagrave la vie la vie la middotvie la vie cheacuterie 1 Ah 1 AhI Et voilagrave 18 vie que les eacutetudiants font tl
Pour notre repas quelques p~tits oiSbaux (bis) Que IT ~n nom~e cailles ou teacutecasses ou perdreaux (bi~) Et la fine endouillette E- la S8Lloisson cle Lyon C est ccedila qu est bOIDL)l et bon et bon ( au refrain)
( agrave suivre)
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MAEGO~L
Air les 80 Cha s seur s
l Entendez VOQS dans le silence les accen~s de ces crisgQerri~rs ~ ~~ Gos cris guerriers Wue hurlent agrave gorge deacuteployeacutee Des bataillons pleins de vaillance Ils sont gr9upeacutes 8troitement
-Autour dune rouge bannieacutere
RE BIRAIN
NOQs-BOnwCa les universitair-es De ~ordeaux j6yeux eacutetudiants
( Bis ) C est le J E bull C eTe s t le B E bull C Chic anx eacutetudiants
( Bis )
2
Il faut pOUT faire un hon beacuteciste Savoir chanter avec ardeur
a ve cardeur Bien boir T et entonner en oh lnu Les chansons les plus fantaisistes Aussi parmi le s rouge 8 sang Il nest que de rudes compeacuteres
REFRAIN
3
Loregraveque nous partons en campagne Ce ~est je middotmais sens boire un coup
Oui boir un coup Ni chanter lePILOU-PILOU
Avec nos gra6ieQses compagnes ~ous ameutons tous les passants Par nos S8U vage s cris dB guexTe
REFRAIN
4 Si les circonstances le permetterit
Le BE C a gagneacute de s victoire s Le mail~ot roug a triompheacute
Oui trinmpheacute Nos adversaires sont deacutefaits Et le EEC sest couvert de Gloire Amie regt~ns toujoQrs c6nfiants 1 Car le BEC est bati sur pierres
Lagrave haut sur la barri eacutere Margot Margot ~ortillait son derrieacutere Bien haut Bien haut
Doucement je map~roche Et puis et puis Les deux mains dans les poches Je lui dis Je lui dis
Veux tu 8 ma divine Veux tu Veux tu
que je te foute ma pine dans le cu dans le cu
Oh me T8pondit - elle Je ne veux pas Je ne veux pas Je suis e~core pucelle Je ne peux pas je ne peux pas
Mais sil faut que je commonce Et bien et bien
A toi la preacutefeacuterence ~ - POUT rien pour rien
Je la crus sur parole Jy fus ~ jy fus
Elle a vai t la veacuterole Je leus je leus
Et ma pine encore vierge Coul~ ooula
l~ i plus )ni moins qu t un oierge Voila voila
Depuis cette aventure Damour d T amour Je me soigne au Mercure La nuit ~ le jour
Que ceci vous apprenne Mes freacuteres mes freacuteres
~ue la vsrole sans g eacutene prospeacutereprospeacutere
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MARCHE DE S NA VALAIS
- =====
l II Et sil y en a qui prennent middotla coloniale Quand nous serons dans
17Afrique infernaleDevant ceux-lagrave foetus inclinez-vous (bis) Loin de Bordeaux et loinCar ils iront dans lAfrique infernale
du Cours Saint-Jean Porter la science au pays des ~amb0QS~ Les ~etits foetus consoshy
leront nos femmes REFRAIN Et serviront de ~egravere agrave
Quel que soit le cadre nos enfant a LAfriqJe ou lescadre
Dans les reacutegiments IIIOu bien agrave bard des lacirctiments rn fera la noce Et s t il yeri a qui prennent la marine
On roulera sa bosse Ils partiront vers le tlen horizolicirc1( bis) Mais quon foute le camp l ls quitteront Bordeaux citeacute chagrine De cet ignoble b~t~ment Pour le ciel bleu clala racle de Toulon
IV Au vieux Dagens vieillard syphilitique _ Vieux fil de fer que la r-ouille a tordu Nous quitterons tous ta sacreacutee boutique En te foutant un grand coup de ~ied dans le cul~
MARCHE DES FOETUS =-===
Cest nous les foetus les- pet~ts foetus Les petits avortons cui~n conserve ~ans leau middot1e vie Cest nous les foetus les petits foetus Tous ratatineacutes de ~La tecircte agrave lanuse
VI VE LE CHAMPP GNE =========
~
REFRAIN Vive le Champagne pagne pagne pagnes pagne (bis)
l l eacutetait un scu l te ur qui eacutetai t en cha le ur QQatr~ religieQses sont Il navait pas de femme et ne lai sait Qas lasseacutees Qar lagrave
At 1 Ah Ah Ahl )~fJ bullbull ()e
Il navait Ilas de femme et ne 11aisait pas Ahl dit la plus jeune qu e st --ce que ete st donc
Avec une mi~ette il se la coupa bull 0 ~ bull u 0 ft
Ah 1 Ah Ah Ah Cest la pine dun homme Puis au pied (iUltl arbre il lfabandonna qu 1 0n a planteacute l~L - - o o bullbull 0 bullbull e
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VIVE IE CHAMPAGNE ( Suite) =========
Prenez lagrave ma soeur elle nous servira Le soir au dortoir on sen eervira bullbullbullbull 1 t bull
Y a que Soeur Theacutereacutese qui nen anra pas oooo
1e cureacute du village lui en fournira
Rouge DOmme une cerise et gro~se ~omme le bras
LA BRABANCONNE TIUNE PUTAIN
lA ir La Bra banccedil onne
Je me souviensrlorsque jeacutetais jeune fille Quun jeune gagraverccedilon qui passait par bonheur Me trouva si mignonne et si gentille Quil me fit voir sa grosse pine en chaleur Et- t out -agrave-coup sous me s jupons s T eacutelance Leacutenorme q~eue quil ~enait agrave lagrave main Il deacutechira mon voile dinnocence Voilagrave pourquoi je me suis fait ~utain 1 (bis) Le Roi la Loi la LiberteacuteJ
Je ne sais pas si jeacutetais Qn peu coquinegrave jaimais deacutejagrave qUon me ohatouillacirct le bouton 7
Javais go 1teacute de ce bon jus de pine Jtav~s reccedilu du foutre dans le con Javais baiseacute je neacutetais plus pucelle Je cheacuterissais le meacutetier de putain Plus je baisais plus je deurovenais belle Voilagrave pourquoi je me suis fait putain 1 (biS) Le Roi la Loi la Li he Tt eacute l
Quoique je sois une fille publique J 8i l Tamour de l t humaniteacute Tout citoyen dans notre libre Belgique Doit- baiser et jouir en Li~erteacute Pour de largent le riche a ma fente Le pauv~elui peut en jouir pour rien kour soulager lhumaniteacute souffrante Voilagrave pourquoij e me SQis fait putain l (brus) Le Roi la Loi la Liberteacute 1
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LE CURE de SAINT SAUVEUR ===============
(
Jill FRAIN
Trou la tYou Trou la trou
Monsi~ur le cureacute dSaint-~uveur Quand il est mort il sest pendu Les oiseaux nont pas eu pe~r De feire leur nid dens le trou dson
cul
~~utjour en passant place verte Jentendis un chien peacuteter Ca prouvions que ctte pauvrbampte Na ~oint le trou du cul boucheacute
Le cureacute de Saint-Martin ~ui sait toutmiddot et qui nsait rien A coupeacute la queue de son 3ne Pour la mettre agrave son petit chien
Monsieur le cureacutecest un bon zouille Il aime tout il laisse rien y sest coupeacute la peau des couilles our faire une niche agrave son chien Jeacutesus Christ a une queacutequette pas plus grosse quune allumette Il sen sert pour faire pipi Vive la queacutequette agrave Jeacutesus Christ
A Paris les vielles bigottes Marchent toujours les yeux baisseacutes cest pour voir d3ns notculotte Si lchinois nes~t pas releveacute
A chanter avec laccent du ch N ord )
la trou la la la trou la la Mon grand pegravere et ma gYnnd megravere ont l f ha bi t _ude de coucher nus Lautjourgrand-pegravere en colegravere A mordu ma grand-megravere au cul
Si mon pegravere couche avec ma megravere Ce nest point par amusement Cest pour me faire un petit fregravere Qui meacutenera la vache aux champs
Jaime bien mon pegraverejaime bien ma meacutere
Mais jaime aussi mon bourricot MonbourricotyJe peux monter ~
dessus Mais sur ma mecircrecest deacutefendu
Ils eacutetaient quatre pauvre diables ~ui navaient pas de quoi se
Chauffer Ils ont tous chieacute sur la table Et se sont chauffeacutes agrave la fumeacutee
En Afrique les dromadaires ont la peau quest si tendue Que pou~ fermer les paupiegraveres y doivent ouvrir leur trou du cul
icircte middot agrave gauchette agrave droite Disait un sous-officier Ferme ta geule reacutepondit lautre Tu commences agrave nous fairs chier
Cochon dT un i tel (1)
Bois donc ton verre (Bis
Et surtout ne le renverse pas De frontibu8 ( Bis
A la martiale (Bis
Et glou glou glou glougrave glou (2)
Il est des notres ( Bis )
Car il a bu son verre comme les autres
(1) Nom dq buveur que lon fait boire (2) Jusquagrave ce que le verre soit videacute
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1 1
middot REERAIN
Kyrie Christe DQminum l10Jstrum Kyl~ie E le i son
l III Kyrie kyrie Dans les chambres de nos abbeacutes (his) De ns abbeacutes On nt y ~ange(bis) Que des m~t5 fort bien preacutepareacutes (bis) Mais nous autres Pauvres apocirctres Igtauvres moines Tripaillons de rooines Sacreacute nom de Dieu de religieux Nous ne bouffons que des mets frelateacutes E -E-E -E -le ison
II
Kyrie Kyrie Dans les (hambres de nos abbeacutes (bis)On ny boit Que des vins fort bien cacheteacutes (bis) Bien cacheteacutes Mais nous autres Pallvresmoines Tripaillons de moines Sacreacute nom de niell de religieux Nous ne buvons qlle de s vins fre JLat eacutes~ E -E -E -E -le ison
Kyrie kyrieDans les chambres de nos abbeacutes(bis) OJt1l- se couche Sllr des matelas bien douillet middots( bis) Las bien d~uilletsQMais nous autre s ) Pauvre s moine s TripaillonR de moines Sacreacute n pm de Dieu de religieux Nous couchons sur la paillede ~leacute E] 03 CE ~~ -le ison
IV Kyrie) kyrie Dans les ~ha mbres de nos abbeacutes(bis) ])e nos a tbeacutes j
On ny ~aise(bis) Que des fe ~mes de qualiteacute(his) ~e qucircali t eacute q
Mais nous autre s Pa u vre 8 ~ middot f)gt~~ J FalJvre s moinegrave s ) Tripaillons de moi~es Sacreacute n~m de Dieu de religieux Nous ne hais~s ~e des culs v6roleacutes E middotmiddotE middotE -E lei s oD
Kyrie~ kyrie Dans les chamtreH dG no s ab b Eacute3 (bis) pe J1iOS a~6h ~middot On 1lli r encule ( bj8 ) tugravee de s jeune s gens fort bi en t o tLrn es (his) Fort bien t ourneacutesc
Mais nous a utre s Pa ~Lvres a pocirc t r e s Pa uvre s moines Tripailffion~ ~e moines Sacreacute nom ~1e ic1 ~1 8 xreligj_ e ux
Bous ne pouvons que nous entreculer L E -E -E middot le ison o
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REFRAIN
l
Q~I Dieu recircva dans sa ~hilosophie Dtunir toujours les petits et les grands Oui Dieu recircvq agraveans sa philosopnegravee Dunir toujou~s les petits-et les grandso
l
Sur les d~~ris dune motte princiegravere Que la yeacuterole emportai t par lambeaux Un vieux morpion plu3ieurs fois0entenaire 9
A ses enfants disait ces derniers mts Suivez enfants~ le chemtn de ma vie 9
De tous les ccns soyez les conqueacuterants
II Jai vu le jour chez des peuples sauvages Qui du soleil se disaient rejetons 9
Jai traverseacute lAtlantique agrave la nage Sur les roustons du grand Christophe Colomb C~mme il donnait un monde agrave sa patrie~
Je le peuplai de nombreux habitants
III
Depuis pregraves de trois cent anneacutees Jai freacutequenteacute les plus hauts potentats~
Jtai poursuivi des pines couronneacutees Jai vu descoons engendrer des preacutelats Plus dun Saint Pegravere sur ses couilles fleacutetries Sentit grouiller mes arpions triomphants
IV De Louis Quatorze j ai SU0~ les cuisses~ Et jai veacutecu six mois p~us son b~ton Freacutedeacuteric II avait la ~haude-pissey Marie-Theacuteregravese avait un chaccre au ron Jai vu briller le scleil nItalie Au-dessus du trocircne des papes branlantso
V
Depugraveis jai eu des heures nalheureusefJ Bien peu de cons me furent hospitaliers Et le vagin dune religieuse Puait si fort que je faillis crever Dans les bidets j 1allais de compagnie Avec les spermatos agonisants
(agrave suivre)
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LES MEMOIRES DUN middot DIORPION ( suite)
Jai vu baiser la reine dAngleter~e
Par les sous-offs de toute la garnison Jai burineacute les couilles du Saint-Pegravere Quand tous 19s soirs il allait au boxonQ Suivez nfants le chemin de nos fregraveres De tous les cons soyez les conqueacuterants
A Austerlitz agrave Friedlandagrave R0me Partout o~ le pousse le sort Jai pursuivi la pine du grand homme Mci s il est mort et moi je vis encore Jhabite le con dlla princesse Eugeacutenie Et j eacute le livre agrave va u s ~ ID es che r s enfant s ~ Il
Le vieux middotCC -- ~ C) Gi voulut parler encore Mais dans Sa Jauche sa langue se gl a ccedila Un froit mortel envahit tOQt son copps Et l ent ement l e Ild0 rp ion exp i rI)
Du bout d ILJn pc~ ~l ql1 ~agi tait lagonie Il se raidit et dit agrave ses enfantpo
Au refrain
IV Entrant dans une eacuteglise Je te fr a i voir de lherbe Je ne vis dabord rien Qui pousse dans ma main Quun vieux cochon de moine V Qui se branlait dans un coin Qui fait grossir le ventre
Et arrondir les seinsREFRAIN VISi je tencule 9 cule~ cule
Et nous ferons ensembleSi je tencule best pour ton bien Un petit capucin
Si je te Baise~ baise 9 baise VIISi je te baise cestppur le mien Aux couilles tricolores
II Au poil du cul chatain Qun vieux cochon de moine VIII Qui se branla i t dans un coin Il aura la veacuter81e Et confessait les filles Sa megravere lavait bien Du soir jusquau matin IX
II I I l ira a~ bordel middot Il dit agrave la ~us jeune Son pegravere y allait bien
Tu reviendras dem8in JC-Encul er les maqueDelles Fa ire œinette aux putains
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LA DIGUE DU CUL ----------shy~-----~
La digue du cul en revenant de La digue du cu1 1 non re nest pas Nantes ( Bis ) le diable ( Bis
De Nantes agrave Montaigtl la Digue ~ Mais un gros dard pointuooooo la digue
La digue du culqui bande et quiDe Nantes agrave lVIo nta igu la digue du
deacutecharge ( Bis )OuI Et qui a beaucoup de jus La digue du cul je rencontre une
Belle ( Bis ) La digue du cu1 9 si ce nest pas le Qui dormait le cul nu le diable ( Bis )0middot bullbull 000
La digue dQ cul je bande mon Il est bien dans mon culoooo 0
arbalete ( Bis ) La digue du c~19sil y est quilLa fous droit au but 060~0
y reste ( Bis) La digue du cu1 1 la belle se reacuteshy Et qufil nen sorte plus 00
veille ( His ) Et dit J ta i l c diah l eau cul 0 bull 0
JEANNETON ===-===-==
Jeanneton prend sa faucille Le second un peu moins sage LaliretteLalirette LaliretteLalirette
Jeanneton prend sa fallcille Le second un peu moins sage Pour aller couper des joncs (bis) La coucha sur le gaz1n (bis)
En chemin elle rencontre Le troisieacuteme un intreacutepide Lalirette 9 Lalirette Lalirette lalirette
En chemin elle rencontre Le troisiegraveme un intr~pide
4 jeunes et beaux garcon3 (bis) Releva son blanc jupon (bis)
Le premier un peu timide CB que fit le quatriegraveme LaliretteLalirette Lalirette 9 Laltette
Le premier un peQ timide c~ rJue fit le quatriegraveme Lrembrassa sur le menton (bis) Nest p~s dit dans la ohansen (bis)
Si vous le saviez Mesdames LaliretteLalirette
Si vous le saviez Mesdames Vous iriez couper des joncs (bis)
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LE BORDEL A FE RlŒE SES VOLETS Air~ L-n guin~glicirceumltt euml--rermeacute-s8s-volets
IJ e b 0 rd e el a f e rm eacute ses vo let s
Elles sont toutes veacuteroleacutees y a plus moyen qUon boise Le dernier qui y est alleacute Pour se faire faire un pompier Est r1venu avec la pine enfl~e jheacutet
Le toubid qui les a visiteacutees A tout de su~te deacuteclareacute y faut plus quon les baise l La mnreacutechausseacutees les n toutes boucl~es
Et le bordei 3 fermeacute ses volets
Totor quest un habitu~ A voulu y aller Disnnt Cest dla foutaise Ir
Mais trois jours apr~s il npouv9it plus marcher
Tant sa pine eacutetait deacute13breacutee Oheacute
A 1 hosto 9 on lt 3 transporteacute Lui laissarlt Suumlpp0ser Que ce leacuteeer malaise Ne lempecircchersit pas drevenir baiser QU82 J_bordel rocvrirGit ses volets
Le toubid lui ayant conseilleacute De ne ~us coiumlter Sans une capote angl Ai$e 9
Arssitocirct smi t sur pied 9 il en [) comm3ndeacute
Douze douzaines avec bout renforceacute
Au premier coup qUil a tireacute Cest ~es couilies qUontlacheacute Pas ln capte anglaise On les n r tro uveacutees aux qu~at coins
du quartier Et lbordel a fermeacute ses volets
Air Marc he fun~bre n
TottOr nest plus Les putains lont descendu Un franccedilais de plus Que les Anglais auront foutu Et sa pine Quav~it belle mine Ne bander8 plus Ainsi triomphe la vertu
Air La guinguette bull
Le bnrdel a rouvert ses volets Par un bequ matin de mai Au temps des premi~res frsises Lpersonnel ~tait enti~rement
reno uveleacute Et la tocircli~re -eacutetai t toute en c -A
be3uteacuteOheacutel
La ~oule se pressait etvriait Elle avait oubli~ quldanger Quand on ba i se Etait dse confier au machins
anglais Et lbordel sest payeacute des
bidets
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shy J_Eshymiddotr (Chanson des Be~ux Arts)J REFRAIN
bulli---- Le casque est une coiffure1 r Qui sied agravela figure
i r-
J Un casqu~ de pompier
Jbull---- Ca fait presque guer~ierj C8middot lui donne un air vainqueur Qui sied ~as mol agrave sa valeur
icirc-]--- Sous son casque luisant t
Il a lair vr3iment eacutepatantT J Zim l a boum zim l a y la
--- - On peut lfblsguer t3nt quon voudraImiddotmiddot~-
-_shy Le pomp1egraveer est bien ou-dessus dccedilagrave--T--1shy
l On dit quelquefois au village Qun casque ccedila sert agrave rien du toutl
- rien du tout Ca sert agrave donner du courage
A ceux qui nen ont pas du tout shypas du toutl
De loin ccedila prend Jes airs fan~asques Et chacun dit en les voyant - en les
voyant Quils sont donc beaux avec leurs
c8sques Ca leur donne un p~tit 8ir ~patnnt
II
On nous raconte dans lh~stoire
Que les Romains et les Gaulois les Gaulois
Ces fils oneacuteris de la victoire Portaient des casques autrefois shy
autrefois Le cnsque cest donc l heacuteritage De tous ces guerriers valeureux shy
riers valeureux ~
Et si nous lsvons eh partage Cest gufnous sommes guerriers comme
eux
III
On sait que chacun sur la terre A son faible ou sa passion shy
sa pa ssion l Le pompier quest un militaire Est fier de S3 ~osition - sa
po si ti(l)n Le sapeur datsa barbe noire Est orgueilleux de son bonnetshy
de son bonnet Le pompier met toute S3 gloire Dans son casque et dans son
]lumet
V Les jours ousquil y Q fecircte Il endosse ses plus benuE hsbits
- 1) e el ux habi + rjJ Il met 80n casque sur sa tecircte Puis agrave lombre de sa visiegravere Pour aller flaner dans le pays
- dans le pRyS
Quand il rencontre un jeune teri i dron - jeune tendron
Il lance une oeillnde incendiaplusmnp~
Le yompier est tellement polisson _
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LES CENT LOUIS DOR (Air des Louis dOr)
Un soir dans une diligenoe Sur une route entre deux bois 9
Je branlaisavec assurance Une fillette pu frais minois Javais retrouss~ S3 chemise Et mis la ~3in sur son bouton Et je branlais malgregrave la bise A d~chirer mon pantalon Pour un quart dheure entre ses
cuisses Un prinoe sut dann~ ses tr~sors
Et moi j 3urais Dieu me beacutenisse Jaurais donneacutec oent Louis dtOr
Las de branler eacuteans r~sistance
La tecircte en feu~ la pine aussi Je pris 8a ~ain quelle ind~cence
Et la mis en forme dteacutetuis Je jouissais ~ perdre haleine Sa main sa robe en eacutetaient pleines Et cel~ne suffisait pas Sentant rallumer ma fournaise Je lui di slltiens f3i s pl us encor Sortons dici que je te boise ~
Je te egravecnne cent Louis dOr
La belle alors~toute confuse Me reacuteponctit ingeacutenument
Pardon Monsieur je refuse Ce que vous moffrez galamment M8is j 8i jureacute de rester sage Pour mon fiunQ6 mon mari De conserver mon puoelage ~-
Il ne s egraver r l j ama i s (~llJ tih~lUfL l 2 Ji Tu naura spa s le ri di c ul e Dis-je darrecircter ton essor Permets aU moins que je tencule J e te prGtmets nent Louis d Or ll
0
Au premier relais sur ln route Nous descendimes promptement~ Au CQl~ il faut que je te foute Nepouvant te foutre autrement Dans une auberge nous entraIDes Tout st Y trouvsit bon feu bon lit Brucirclants dqmour nous nous couchacircmes Je lenculai toute 13 nuit bull NU i s PQ ur changer de joui ssanc e s Je lui dis tiens fais plus encore Livre ton con et lttout d f av3nce Jete p bo ID et s 0 ent L 0 lAgravei s d ~ 0 r bull
ttJe veux bien~ sans plus de harange Dit-elle en me succedilant le gland~ Livrer mon con agrave votre langue Pour ne pas tr8hir mon serment Aussi~6t plac~s tecircte b~che Comme deux amants dans le lit Avec ardeur je la legraveche Pendant quelle me suce le vit Mais la voyant bi~ntocirct pam~G Je ps lui ravir son treacutesor Et je lui dis la pine entr~e~ Je ga gne mes c ent Louis d ~ 0 r n bull
Huit jours apregraves cette aventure Jeacutet8~S de retour ~ Paris Ne pren8nt llUs de nourri ture Restant pensif au logis o
A la gorge ainsi quIa la pine Javais ceacutetait inqugraveieacutetant Chancre poulain on 18 devine Une ch3ude pisse en rlecircmecirc temps Prenant le parti le plus sage Je me transporte che~ Rocord Qui me di t ~ nUn tel puoe18ge Vous co ucirctera cent Loui s d JOrn
Ir 1 Ir Il Il Il 1 P Il lt Il It H
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1 61-__-
l 5 Lautrjour ~ la consultation Pour ceux- yen 3 d 1 si deacutegoatants- Ltoubib 9 un vieux ~ lnir antique Qui deacutesirent to ut fa ire psr derriegravere Apr~s mavoir ~arfouilleacute lco~ Jorois qucest encore plus ~pnt8nt Ma dit qUjeacutetais syphilitique 0 y 8 vraiment dqu~i se egraveatisfaire Les meacutedecinsegraveest oomme les cureacutes Mon 9nus cest comm une vraie fletr Il faut bien lescroire sur parol t Une rose ~ triple corolle t Mais vrai ccedilui l~ ma sideacutereacutee On leffeuillerait avec bonheur Jpeux pas croire qucest ccedila la ~ ~Jpeux pas croire qucest ccedilagrave la
veacuterole veacuterole
2 6 Ca commenceacute par un bouton L autr t jour vl~-1 quen bntifolant Qu6tait situeacute tout nupregraves dlautre Jai vu q~mon typ le m6m Eug~ne Un peu plUS dur uL peu middotplus rond Il 3 queacuteqLl chose aussi maintenant Vrai grain d chnIl let pour mes Fout x7Tsiment qu on ait pns d veJne
p8tnocirctres Cest comme une pastille SLlr son Comme y mchatouillait dtemps en gland
temps On grille r9 ln sucer ma parole Je mgratouillaisccedila fsait tout drocircle Cest rondcest rose et cest y mIn fait mouiller ~~en souvent charmant ~
J p eux p 3 S C ro ire qu c est Ccedil8 la J p eux po s c ro ire qu c est ccedilagrave la veacuterole veacuterole
3 Puis sur le corl s il mest venu A lhopi tal ougrave j 1 ~ui s alleacutee Toutes une floppeacutee de ptites taches On ma montr~ ~ msieur lInterne
roses Un grgrtd gars agrave lair d~lur~ Qui contrastaient sur mon corps nu Qui mo ploteacutee dun nir p1terne Avec 18 blancheur des middot8ut choses Apregraves ru nvqir liien reluqueacutee Jcrois mecircme qUceacutetait plus joli -Pourtant ~ poi1 9 je nsuis pas y en a bien qui se foutsur la fiole gn61eshyDu cold-cream et dla poudre de riz Il ne sest mecircme pas fRit br8nler Jpeux pas croire qucest ccedil~ 18 veacuterole Ah oui j vois bien qujai
11 veacuterole
4 Comme ccedilagrave spassait j Qi constateacute Que par en ba sc eacuteit21i t PD s- 02 illme Quand dans ln glace je msuis rg~rdeacutee9
On aurait dit un vrai diadegraveme N en nva~t des ronds des pointus Cest velouteacute quand on les frocircle Oa fait trentsix ptits mamlons dplusa
J peux pas croire qLl egrave est ccedil~ la veacuterole ~
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Pegravere Dupanloup dans luteacuterus (bis) Etait deacuteja si plein dastuce (bis) Que dans le vagin de sa megravere Il succedilait la pine de son pegravere
RE~RAIN Ah ah ah oui vraiment
~ Pegravers Dupanloup (bis) Ah ah ah oui vraiment
pegravere Dupanloup est deacutegoutGnt
pegravere Dupanloup dans son berceaubis) Bandait deacutejagrave comme un toreau (bis) Et sur le sein de sa nourrice lIa ttrapa 18 chaude -pisse
pegravere Dupanloup monte en Mais il avai t le systeacuteme Quagrave trois cents megravetres
Ses couilles trainaient
ballon (bis) si long (B)
dans lathmosphegravere e~core par terrecirc
pegravere Dupanloup monte en bateau (bis) La pine en lairles couilles sous
Quand survint Qui lui mordit
pegravere Dupanloup Mais il avait Quen peacutedalant La peau de ses
pegravere Dupanloup
leau une grosae grenouille la peau des 80uilles
monte en le syst egraveme
agrave perdre couilleo
dans
en chemin
veacutelo (bis) si gros
haleine se sa
de Deacutesir mettre ses couilles agrave
prit chaine
fer(bis) lair
Passant sa pine par la portieacutere 11ere va l 0eil d II gar de barr i egravere
p egravere TIupanloup agrave lOdeacuteon Se conduisit comme un cochon Avec la peau de ses roupettes Il boucha le trou des cla1inettes e
Peacutere Dupanloup agrave lOpeacutera Se conduisit comme un goujat Au troisiegraveme acte dans la coulisse Il encula le pompier de service
pegravere Dupanloup agrave Saint-Malo Confesse les feGlmes dans Lill ~
tonneau Fassant sa pine par le trou de la
bonde Il seacutecrieuVla le s8uveur du
monde
pegravere Dupanloup le 14 Juillet Alla se promener agrave dos de mulet Pour que la fecircte soit complte Il encula la pauvre becircte
Fegravere Dupanloup fait cuire des oeuf Il les remue avec sa queue Sa femme qui passe dans la cuisine Lui di t ttcochon tu brucircles ta pine
Fegravere Du~anlou~ devenu vieux Ne bandait plus quune fois sur ~ Sarrachant la pine avec rage Il sen fit une canne de voyage
pegravere Dupanloup dans son cerceuil Bandait encore comme un chevreuil Avec sa pine en arc de cercle Il essaya de soulever le couvercle
pegravere Dupanloup au paradis Voulait enculer Jeacutesus Christ Non de Dieu dit le pegraveregrave eacuteternel Prends-tu le cie l pour un borde l
pegravere Dllpanloup Icircuttout confus De ne pouvoir lui foutre au cul Branlant sa pine de part et dautr Il aspergea les dOQze apocirctres
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~ r -middotmiddot
-0--
~-~
shy _ 1_-_
Du Dieu Vulcain quand leacutepouse fri- De Jupiterf3con vraiment divine ponne Le Jon lui pueil aime le goudron shy
Va boxonner loin de son vieux sournoisDfun trou agrave merdeil fait un trou Le noir jaloux que lamour aiguillonne Tranquillement se polit le chinbis Et bat le beurre Va-t-en di t-il ~ agrave ss fo utue femelle Cette facon e st Je me fous bien de ton con chassieux Pour terminer un De mes cinq doigts je fais une pucelleApr~3 ldessert Masturbons nouscest le plaisir des
Dieuxe
2 Bah Laissons lui oe p18isir ridicule Chacun dnilleurs sailluse agrave sa focon
Moi je preacutefegrave~e la maniegravere dHer6ule Jamais sa mainne l~i servit de con Le plus seacute11e trou la plus vieille
conn s se Rien nechappait a son vit glorieux
Nous serons fiers de marchermiddot sur ses
Traces Baisonsbaisons 9 cest le plaisir d~s
Dteux
3 Du Dieu Bacchus 9 quand 20cableacute dishy
vresse Le vit mollit etsur le co~ sendort 69 et le vit se renresse 69 ferai tbanderun mort a clitoristop parfun de fromage Fait regimlier nos engins victojeux A S8 vertu nous rendons tous hommage Gamahuchons 9 cest le plaisir des
Dieux )
l
Fo u tre
Foutons
agrave pine aQ milieu de leacutetron
di vinement bonne geuleton joyeux
on senc~le en couronne
Enculons nous cest le plaisir des
5 Quant agrave Plutonle Le moinllre effort AQssi veut-il sans
r Faire sucer son peUlS arrognnDt l + lJ nOJ8revan aux 8XTf~~S8S passees Tout 18nguj sS8n~s reacutejcissons nos
yeux Et laiss3nt faire une amante emshy
preacute)SS8J Lcissons sucerc1est ~e ~10isir des
Diel1x
r o rs st e Q insi_ quI 0 11 f 8 S 8 e agrave sa
_~Iampts
MnincoTI 9 cU1 9 bouche8U plaisir t 0 D tes t bon
SUT q1elque 2u~ el q~ or ceacutelegravebre fecircte
~o u jour 2 lagrave haut uuml~ est sur du
Foutre
Di evlX
Die~ agrave large pense lu~ semble fatigant craindre la deacuteshy
p9D set
fi arc~() n et joutr -IO~-U~_ J untque
middot1 - =~gt FI ire et j oU_ir vo il8 qlu~l s sont
amis qu liI~~or-t- la woniegravereacute Foutonsfoutonscest le plaisir
des DieLc
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AIR Mal bo ro ugh sten va-t-en guerre e
Lagrave haut sur la colline Un coup able de lenfer Les 2 piedsles 2 mains dans la Les de ux piedsles deux mains dans Lagrave-haut sur la colline merde Un coup able de lenfer la merde Il y avait un gros cu (bis) Qui ava it fait un gros peacute
Un gros cureacute de campagne Un gros p~cheacute mortel Les deux pieds Les deux pieds tooe ooeo 0000
Un gro s cureacute de campagne Un gros peacutecheacute mortel Quastiquait son gros bou (bis) Et nvait trop eacuteteacute (bis)
Son gros bouquin de prieacuteres Trop eacuteteacute 8U bordel Les deux pieds 0 Les deux piEds0 0 0 bullbull 11000 bullbull 00
Son gros bouquin de prleres Trop eacuteteacute au bordel Pour entrer dans un Con (bis) Ougrave il alloit quecircter (bis)
-Dans un confessionnal Quecircter laumone des pauvres Les deux pie d s bull 0 0 0 bull 0 0 0 Les deux pied~ 00 bullbullbull
Dans un confessionn31 Quecircter l Qum~ne des psuvres Pour y tirer un cou (bis) Qui en SV3iegravent besoin (bis)
CHA R LOT T E ~ ---I_middot middot--middot-I_(~-~~-
~ REFRAIN Branle (ter) Charlotte Branle (bis) ca fait du bien Branle (ter) ma chegravere Branle (bis) jusquagrave demain
1 LI
Dans son boudoir9~a petite Charlotte Ma is 6 mnlheur 5 6 fatale disgrace Chaude du con f3ute dAvoir un vit LQ jouiS8311Ce lui fi tfaire un Se masturbni t avec une carotte brlJ ~~qhes~ut
Et jouissait eacutetendue sur un lit Du contre l)oUP la c9rotte 88 ossee L Et dans le con il en reste un
Ah disai t-elle~ dnns le siegraveole oUgrave morceau nous sommes
Il faut savoir se passer des garcons Un meacutedecin praticien fort habile Moipour ma partje me fous bien Fut appeleacutequilui fit bieq du mal
des hommes Ma is par malheur la carotte indo- shyAvec ardeurje me branle le cont cile
3 Ne put sortir du conduit vaginal Alors 83 main neacutetant plus paresseuse Alla it vena it c omme un p e ti t re s So rt Mesdemoisellesque le sort de Et faisait jouir la petite vicieuse Charlotte Aussi ce jeu lui plaisait-il bien Puisse longtemps Vous servir de
fort lecon Ah croyez-moil a iss~z lagrave 18
(gt nro tte Preacutefeacuter8z lui le vit dun beau
gs rcon
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L A PO M P 0 NET T E
LE COlVUVLANDEUR DU CUL-SEC LE CHOEUR middot
Aimes tu mieux boire et deacutegueuler Quon verse agrave boire agrave ce cochon lagrave Queds npas oire 8t tJemmerder On verra bien sil d~gueulera bullbullbullbullbullbull eoOOOCJO bullbullbullbull O Pendant qUil deacutegueulera
Que son ~oisin sappr~teLE BUVSUR DESIGNE Pendant quil s3ppr~tera
Oui j oime mieux boire et deacutegueuler Ch3ntons ln pomponette Que denpas boire et memmerder L3 pomponette bullbull 0 bullbull 0080 bullbull 0 bullbullbullbullbullbull La pomponette
Il fil Lera (1) 00 O bull bull 0 bullbullbullbull
Ce cochon lagrave 8 bien fileacute A son voisin de rcommencer
LES MOINES DE SAINT-BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis) Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis) Si lprieur nous engueuleon chante des chansons
REFRAIN Vo ila c qui est bon et bon~ et bon Et voilk 13 viela viela viela vie cherie ah~ oh (bis) Et voilagrave la vie que tous les moines font
Pour notre souper de bons petits oiseaux (bis) Que lon nomme oaille ortolans ou perdrenux(lis) Et la fine nndouillette et la tranche de jambon
Pour notre coucherun lit aux draps bien blancs (bis) Avec une lone de 15 agrave 107 ans (bis) A la taille bien faite et aUx nichons bien ronds
Si cest ca la vie que tous les moines font (bis) Je me ferni moine avec ma Jeanneton (bis) Le soir dans ma chsmbrette je lui chatouillerai le bouton
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DLJ 1 VI
A la porte dtun couvent(bis) 1 l Y avait un moine Ah 1 djt- la soeur da couvent QlJ as-tu moine QU1ssctfLu mmine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine agrave gueuler tant
II Ma soeur je voudraisrentrer(bis)Maisma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Entre moine entre moine Ahr dit la so e ur du couvent Entre) moine e1 ngueule pas ~n~t
0 -
III Quand le ~oine fut entr~ (bi~) Il gueulait enoore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quas-tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu~ moine agrave gueuler tant
IV Ma sbeur je voudrai manger (bis) Ma i s ma s oe ur je n 0 s e Ah dit la soeur du couvent
M8nge ma ine mange mo ine Ah dit la soeur du couvent Mange mo ine J et lffie ~-gl-1~ ule pa e tant
v Quand le moine eut mElngeacute (is)
Il guelllait encore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quasftulmoine Ah dit la soeur du couvent qUas tu moine agrave geuler tant
Ma soeur je voudrai mcoucher -(BiS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Couche toi moinecouche toi moine Ah dit la soeur du couvet Couche tbi moine et gueule pas tant
VI-I Ccedilu~nd le moine fut cou~heacute (Bis) Il geulait encore Ah dit la soeur du couvent quas tu moine quas tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas tu moine agrave geuler tant
IX Ma soeur je voudrai vous baiser (bis) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine baise moi moine Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine et ne geule pas tant
IX Quand le moime eut baiseacutee (biS)Il geulait encore Ahl dit la soeur du couvent quas tu mOinequastu moine Ah dit la soeur du couvent Qutas tu moine ~ geuler tant
X
Ma soeur jvoudrai rcommencer (biS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Va au claque va au claque Ah dit la soeur du couvent Va au claque et fous-moi le camp
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((()ltrimiddot1
Samedi dernierceacutetait jour de la paye Et le soleil brillait agrave lhorizon Javais deacuteja bu cinq agrave six bouteilles l (bis) Jcrois bien qujamais jnavais eacuteteacute aussi rond)
Vlagrave ma bourgeoise qui sramegravene sur le zinc Et mdit Cochont ta quitteacute ton turbin
Ouiqujy reacutepond je men vais au meacutetinge) (bis) A u grand meacutet inge du Meacutetropo li tain J Les proleacutetaires dun eacutelan unanime y sont venus guideacutes par la raison _ En apportant chacQD cinquante centimes l
- ) (b2s)Pour soutenir les greacutevistes de Vierzon
avait Basile le mineur indompta ble cr lme linatr qu e st l honneur du part i (1)
sont monteacutes tous deux sur une table ( bis)Pour exposer la question sur le tapis Quand tout agrave coup on entend du bastringue C middotest un quidam qui veut faire son malin Il est venu pour saboter lMeacutetinge Le grand Megravetinge du Meacutetropolitain (bis)
Jy bondis dSBUS et avant quil rouspegravete Jy enfoncais jusquaux yeux son chapeau Il est parti sans demander son reste )
( bis)En faisant signe aux gardes municipaux (
Qui profitant ~e c que j1 eacutetais brinde zingue Mont emmeneacute au poste-le plus voisin Etc e st ainsi qu c e st termineacute le Meacutetinge ( ( bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetro~olitain
Couplet patriotique Peuple Francais la Bastille est deacutetruite Mais II y a encore des prisons pour tes fils Souviens toi bieuron des geacuteants dquarants-huit l (bis) Queacutetaient plus grands que les ceusses daujourdhui)
Couplet socia 1 Car cest toujours lpauvre ouvrier quicirc trinque
Cest lui quon met en prison pour des riens C eacutetait quand megraveme un bien joli Meacutetinge ) (bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetropolitain J
-(l)-Ces deux vers sont quelques fois remplaceacutes par les suivants
y avait Maurice le mineur indomptable Le gros Jacquot quest l honneur du parti
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PalU notre coucher dans de beaux draps bien blancs (hie) Avec une pucelle de seize ~ cent sept ans (bis)A la taille bien faite Et uxnichons bien ronds Cest ccedila qUest b0n et bon et bon I(au refrain)
Si cest lagrave la vie de les beacutecistes font (biS) Je mferais beacuteciste avec ma Janeton (biS) Et l soir dbns ma chaiTILbrette Jlui chatouillerai le bouton Cest ccedila quest ~on et bon et bon t (au refrain)
ff ff tf tr tl t Air nIl eacutetait un petitLE ~mSEE DATHENES
na vire
Visitez le Ruseacutee dAthegravenes (his) Vous y verrez reacutereacute bien conserveacutes (biS) Oheacute
Trois poils du cul de ~eacutemosthegravene (bis) Et les roustons ton ion du pegravere Caton(bis) Oheacute Oh6 1
~ 1
V(Uuml)~6 Y v9lZxe z la CM et e DiLne middot Le Et
egraveoh boumiddotlheacute pqrQJle les roustons tOl1ll~
banar~e ton du pegravere
~ -Oaton (bi~) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fils dHercule Photographieacutes quand ils senculent Etle s roust ons ton ton dQ pegravere Ca ton (bis) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fills dUlysse Photographieacutees ~endant quTelles pissent Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) ~heacute Oheacute l
Vous y verrez la megraveEgravee Egeacutee Caramboleacutee par le Pireacutee Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) Oheacute Oheacute 1
Vous y verre3 le cul dDiogegravene Deacuteveacuteroleacute agrave lThydrogegravene Et les roustons ton ton du pegravere Caton (biS) Oheacute Qheacute 1
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REFRAIN Et If on ST en fout dattraper la veacuterole Et l t on sen fOLlt pourvu qu 1 on tire un coup Avec 7 avec bullbull une femme bull sous les r C8~~ses
( Tous le c9uplet S 80)1 ~ ~ur le typ~ ~ d~ premier J Vivent les eacutetudiantegravema megravere Vivent les eacutetudiants t Ils ont des femmes e t pas dt enfants $$$~~$$~$~~~~$ $$~~$$$$$$ $ $ ~~$~ Vivent les eacutetudiants l $
~ ViTent les eacutetudiantes E 11 f S aiment a voir la pine au -v-entre bull ~ RE FRAIN
$AhI les fraises et les framboisesVivent les avocats bullbull Ah le bon vin ~ue nous avons buIls ont des couilles en chocolat bull iAh les belles villageoises ViTent les sor~onnards $Nous ne les reverrons plus Ils ont des couilles en peau dTleacutez~rdr bullbull ~
3 Suy la rout e de Montmartre Vi vent le S cOlonia ux De Mont oartre agrave Faris Ils ont des couilles en peau de chameau fiJ ai rencontreacute trois filles
~Trois filles de mon paysVi -ent le 3 cara bins bull $ Ils ont des femmes qui baisent bien $ f
~Jai rencontreacute trois il1e3 $iumlrois filles de mon paysVivent les carahines
E Iles adorent vous SLlcer la pine bullbullbull nJ embra sse la plLlS jeLUle lEt la plus belle aLlssi
Vivent les artilleursbullbull Ils tirent un coup tous les quarts i Je dansITemmegraven e ma chambre
d f he ure Et je la fous sur le lit
Vivent les pharmaciensbull Ils ont l permangaha te pour rienbullbull middotEJ8t regarde entre ses jambes
1 j y vois le paradis Vivent les pharmaciennesbullbull Elles sont putains OD bien Lesbiennes Je rgarde entre les miennesl
Et j ty vois Jeacutesus ChristVivent les PCE bullbull Ils ont les couumlt~~es galvaniseacutees Jeacutesus levant la tecircte Vivent les aviateurs ~Entra d3ns le Paradis Ils legravevent la qLleue tOLlS les i dheLil8 bullbull 1 Vivent les aviatrices $11 sy brisa le cracircne Elles ont le manche e~ vle ie~ ~uisses bull i La cervelle en jaillit
rVivent les arts deacuteco bullbull ~ Pleur z pleLlre Z1 me sdame sIls ont les couilles preacutes du pinceau hLa mort de Jeacutesus Christ
Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
$11 est encore en vie
11 Ji 1l- ~ igt tt Ji Lj ~ H plusmn i ~ ~ ft 4 Ltmiddot + ~i H ~ ~~ Ji y igt4 + t~ -- Li f-- ~ ~ -t u J 1 i -+ ~ q ~ gt~ ~ c ~ H + bull -c i ~ h t H li ~ middottt 4f H if lf H- if tf rt tI if tf ri +t l I tf iftf 11 r If l i of Il i1 ri i l ~( rf rf 11 Il ~ n r( Tl ~ i+r 1 ( rf Tl ri Ii II Ir rI li II If li middot( 11 1 lmiddot Il 11 rr n 1( tf if
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MAEGO~L
Air les 80 Cha s seur s
l Entendez VOQS dans le silence les accen~s de ces crisgQerri~rs ~ ~~ Gos cris guerriers Wue hurlent agrave gorge deacuteployeacutee Des bataillons pleins de vaillance Ils sont gr9upeacutes 8troitement
-Autour dune rouge bannieacutere
RE BIRAIN
NOQs-BOnwCa les universitair-es De ~ordeaux j6yeux eacutetudiants
( Bis ) C est le J E bull C eTe s t le B E bull C Chic anx eacutetudiants
( Bis )
2
Il faut pOUT faire un hon beacuteciste Savoir chanter avec ardeur
a ve cardeur Bien boir T et entonner en oh lnu Les chansons les plus fantaisistes Aussi parmi le s rouge 8 sang Il nest que de rudes compeacuteres
REFRAIN
3
Loregraveque nous partons en campagne Ce ~est je middotmais sens boire un coup
Oui boir un coup Ni chanter lePILOU-PILOU
Avec nos gra6ieQses compagnes ~ous ameutons tous les passants Par nos S8U vage s cris dB guexTe
REFRAIN
4 Si les circonstances le permetterit
Le BE C a gagneacute de s victoire s Le mail~ot roug a triompheacute
Oui trinmpheacute Nos adversaires sont deacutefaits Et le EEC sest couvert de Gloire Amie regt~ns toujoQrs c6nfiants 1 Car le BEC est bati sur pierres
Lagrave haut sur la barri eacutere Margot Margot ~ortillait son derrieacutere Bien haut Bien haut
Doucement je map~roche Et puis et puis Les deux mains dans les poches Je lui dis Je lui dis
Veux tu 8 ma divine Veux tu Veux tu
que je te foute ma pine dans le cu dans le cu
Oh me T8pondit - elle Je ne veux pas Je ne veux pas Je suis e~core pucelle Je ne peux pas je ne peux pas
Mais sil faut que je commonce Et bien et bien
A toi la preacutefeacuterence ~ - POUT rien pour rien
Je la crus sur parole Jy fus ~ jy fus
Elle a vai t la veacuterole Je leus je leus
Et ma pine encore vierge Coul~ ooula
l~ i plus )ni moins qu t un oierge Voila voila
Depuis cette aventure Damour d T amour Je me soigne au Mercure La nuit ~ le jour
Que ceci vous apprenne Mes freacuteres mes freacuteres
~ue la vsrole sans g eacutene prospeacutereprospeacutere
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MARCHE DE S NA VALAIS
- =====
l II Et sil y en a qui prennent middotla coloniale Quand nous serons dans
17Afrique infernaleDevant ceux-lagrave foetus inclinez-vous (bis) Loin de Bordeaux et loinCar ils iront dans lAfrique infernale
du Cours Saint-Jean Porter la science au pays des ~amb0QS~ Les ~etits foetus consoshy
leront nos femmes REFRAIN Et serviront de ~egravere agrave
Quel que soit le cadre nos enfant a LAfriqJe ou lescadre
Dans les reacutegiments IIIOu bien agrave bard des lacirctiments rn fera la noce Et s t il yeri a qui prennent la marine
On roulera sa bosse Ils partiront vers le tlen horizolicirc1( bis) Mais quon foute le camp l ls quitteront Bordeaux citeacute chagrine De cet ignoble b~t~ment Pour le ciel bleu clala racle de Toulon
IV Au vieux Dagens vieillard syphilitique _ Vieux fil de fer que la r-ouille a tordu Nous quitterons tous ta sacreacutee boutique En te foutant un grand coup de ~ied dans le cul~
MARCHE DES FOETUS =-===
Cest nous les foetus les- pet~ts foetus Les petits avortons cui~n conserve ~ans leau middot1e vie Cest nous les foetus les petits foetus Tous ratatineacutes de ~La tecircte agrave lanuse
VI VE LE CHAMPP GNE =========
~
REFRAIN Vive le Champagne pagne pagne pagnes pagne (bis)
l l eacutetait un scu l te ur qui eacutetai t en cha le ur QQatr~ religieQses sont Il navait pas de femme et ne lai sait Qas lasseacutees Qar lagrave
At 1 Ah Ah Ahl )~fJ bullbull ()e
Il navait Ilas de femme et ne 11aisait pas Ahl dit la plus jeune qu e st --ce que ete st donc
Avec une mi~ette il se la coupa bull 0 ~ bull u 0 ft
Ah 1 Ah Ah Ah Cest la pine dun homme Puis au pied (iUltl arbre il lfabandonna qu 1 0n a planteacute l~L - - o o bullbull 0 bullbull e
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VIVE IE CHAMPAGNE ( Suite) =========
Prenez lagrave ma soeur elle nous servira Le soir au dortoir on sen eervira bullbullbullbull 1 t bull
Y a que Soeur Theacutereacutese qui nen anra pas oooo
1e cureacute du village lui en fournira
Rouge DOmme une cerise et gro~se ~omme le bras
LA BRABANCONNE TIUNE PUTAIN
lA ir La Bra banccedil onne
Je me souviensrlorsque jeacutetais jeune fille Quun jeune gagraverccedilon qui passait par bonheur Me trouva si mignonne et si gentille Quil me fit voir sa grosse pine en chaleur Et- t out -agrave-coup sous me s jupons s T eacutelance Leacutenorme q~eue quil ~enait agrave lagrave main Il deacutechira mon voile dinnocence Voilagrave pourquoi je me suis fait ~utain 1 (bis) Le Roi la Loi la LiberteacuteJ
Je ne sais pas si jeacutetais Qn peu coquinegrave jaimais deacutejagrave qUon me ohatouillacirct le bouton 7
Javais go 1teacute de ce bon jus de pine Jtav~s reccedilu du foutre dans le con Javais baiseacute je neacutetais plus pucelle Je cheacuterissais le meacutetier de putain Plus je baisais plus je deurovenais belle Voilagrave pourquoi je me suis fait putain 1 (biS) Le Roi la Loi la Li he Tt eacute l
Quoique je sois une fille publique J 8i l Tamour de l t humaniteacute Tout citoyen dans notre libre Belgique Doit- baiser et jouir en Li~erteacute Pour de largent le riche a ma fente Le pauv~elui peut en jouir pour rien kour soulager lhumaniteacute souffrante Voilagrave pourquoij e me SQis fait putain l (brus) Le Roi la Loi la Liberteacute 1
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LE CURE de SAINT SAUVEUR ===============
(
Jill FRAIN
Trou la tYou Trou la trou
Monsi~ur le cureacute dSaint-~uveur Quand il est mort il sest pendu Les oiseaux nont pas eu pe~r De feire leur nid dens le trou dson
cul
~~utjour en passant place verte Jentendis un chien peacuteter Ca prouvions que ctte pauvrbampte Na ~oint le trou du cul boucheacute
Le cureacute de Saint-Martin ~ui sait toutmiddot et qui nsait rien A coupeacute la queue de son 3ne Pour la mettre agrave son petit chien
Monsieur le cureacutecest un bon zouille Il aime tout il laisse rien y sest coupeacute la peau des couilles our faire une niche agrave son chien Jeacutesus Christ a une queacutequette pas plus grosse quune allumette Il sen sert pour faire pipi Vive la queacutequette agrave Jeacutesus Christ
A Paris les vielles bigottes Marchent toujours les yeux baisseacutes cest pour voir d3ns notculotte Si lchinois nes~t pas releveacute
A chanter avec laccent du ch N ord )
la trou la la la trou la la Mon grand pegravere et ma gYnnd megravere ont l f ha bi t _ude de coucher nus Lautjourgrand-pegravere en colegravere A mordu ma grand-megravere au cul
Si mon pegravere couche avec ma megravere Ce nest point par amusement Cest pour me faire un petit fregravere Qui meacutenera la vache aux champs
Jaime bien mon pegraverejaime bien ma meacutere
Mais jaime aussi mon bourricot MonbourricotyJe peux monter ~
dessus Mais sur ma mecircrecest deacutefendu
Ils eacutetaient quatre pauvre diables ~ui navaient pas de quoi se
Chauffer Ils ont tous chieacute sur la table Et se sont chauffeacutes agrave la fumeacutee
En Afrique les dromadaires ont la peau quest si tendue Que pou~ fermer les paupiegraveres y doivent ouvrir leur trou du cul
icircte middot agrave gauchette agrave droite Disait un sous-officier Ferme ta geule reacutepondit lautre Tu commences agrave nous fairs chier
Cochon dT un i tel (1)
Bois donc ton verre (Bis
Et surtout ne le renverse pas De frontibu8 ( Bis
A la martiale (Bis
Et glou glou glou glougrave glou (2)
Il est des notres ( Bis )
Car il a bu son verre comme les autres
(1) Nom dq buveur que lon fait boire (2) Jusquagrave ce que le verre soit videacute
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1 1
middot REERAIN
Kyrie Christe DQminum l10Jstrum Kyl~ie E le i son
l III Kyrie kyrie Dans les chambres de nos abbeacutes (his) De ns abbeacutes On nt y ~ange(bis) Que des m~t5 fort bien preacutepareacutes (bis) Mais nous autres Pauvres apocirctres Igtauvres moines Tripaillons de rooines Sacreacute nom de Dieu de religieux Nous ne bouffons que des mets frelateacutes E -E-E -E -le ison
II
Kyrie Kyrie Dans les (hambres de nos abbeacutes (bis)On ny boit Que des vins fort bien cacheteacutes (bis) Bien cacheteacutes Mais nous autres Pallvresmoines Tripaillons de moines Sacreacute nom de niell de religieux Nous ne buvons qlle de s vins fre JLat eacutes~ E -E -E -E -le ison
Kyrie kyrieDans les chambres de nos abbeacutes(bis) OJt1l- se couche Sllr des matelas bien douillet middots( bis) Las bien d~uilletsQMais nous autre s ) Pauvre s moine s TripaillonR de moines Sacreacute n pm de Dieu de religieux Nous couchons sur la paillede ~leacute E] 03 CE ~~ -le ison
IV Kyrie) kyrie Dans les ~ha mbres de nos abbeacutes(bis) ])e nos a tbeacutes j
On ny ~aise(bis) Que des fe ~mes de qualiteacute(his) ~e qucircali t eacute q
Mais nous autre s Pa u vre 8 ~ middot f)gt~~ J FalJvre s moinegrave s ) Tripaillons de moi~es Sacreacute n~m de Dieu de religieux Nous ne hais~s ~e des culs v6roleacutes E middotmiddotE middotE -E lei s oD
Kyrie~ kyrie Dans les chamtreH dG no s ab b Eacute3 (bis) pe J1iOS a~6h ~middot On 1lli r encule ( bj8 ) tugravee de s jeune s gens fort bi en t o tLrn es (his) Fort bien t ourneacutesc
Mais nous a utre s Pa ~Lvres a pocirc t r e s Pa uvre s moines Tripailffion~ ~e moines Sacreacute nom ~1e ic1 ~1 8 xreligj_ e ux
Bous ne pouvons que nous entreculer L E -E -E middot le ison o
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REFRAIN
l
Q~I Dieu recircva dans sa ~hilosophie Dtunir toujours les petits et les grands Oui Dieu recircvq agraveans sa philosopnegravee Dunir toujou~s les petits-et les grandso
l
Sur les d~~ris dune motte princiegravere Que la yeacuterole emportai t par lambeaux Un vieux morpion plu3ieurs fois0entenaire 9
A ses enfants disait ces derniers mts Suivez enfants~ le chemtn de ma vie 9
De tous les ccns soyez les conqueacuterants
II Jai vu le jour chez des peuples sauvages Qui du soleil se disaient rejetons 9
Jai traverseacute lAtlantique agrave la nage Sur les roustons du grand Christophe Colomb C~mme il donnait un monde agrave sa patrie~
Je le peuplai de nombreux habitants
III
Depuis pregraves de trois cent anneacutees Jai freacutequenteacute les plus hauts potentats~
Jtai poursuivi des pines couronneacutees Jai vu descoons engendrer des preacutelats Plus dun Saint Pegravere sur ses couilles fleacutetries Sentit grouiller mes arpions triomphants
IV De Louis Quatorze j ai SU0~ les cuisses~ Et jai veacutecu six mois p~us son b~ton Freacutedeacuteric II avait la ~haude-pissey Marie-Theacuteregravese avait un chaccre au ron Jai vu briller le scleil nItalie Au-dessus du trocircne des papes branlantso
V
Depugraveis jai eu des heures nalheureusefJ Bien peu de cons me furent hospitaliers Et le vagin dune religieuse Puait si fort que je faillis crever Dans les bidets j 1allais de compagnie Avec les spermatos agonisants
(agrave suivre)
bull
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LES MEMOIRES DUN middot DIORPION ( suite)
Jai vu baiser la reine dAngleter~e
Par les sous-offs de toute la garnison Jai burineacute les couilles du Saint-Pegravere Quand tous 19s soirs il allait au boxonQ Suivez nfants le chemin de nos fregraveres De tous les cons soyez les conqueacuterants
A Austerlitz agrave Friedlandagrave R0me Partout o~ le pousse le sort Jai pursuivi la pine du grand homme Mci s il est mort et moi je vis encore Jhabite le con dlla princesse Eugeacutenie Et j eacute le livre agrave va u s ~ ID es che r s enfant s ~ Il
Le vieux middotCC -- ~ C) Gi voulut parler encore Mais dans Sa Jauche sa langue se gl a ccedila Un froit mortel envahit tOQt son copps Et l ent ement l e Ild0 rp ion exp i rI)
Du bout d ILJn pc~ ~l ql1 ~agi tait lagonie Il se raidit et dit agrave ses enfantpo
Au refrain
IV Entrant dans une eacuteglise Je te fr a i voir de lherbe Je ne vis dabord rien Qui pousse dans ma main Quun vieux cochon de moine V Qui se branlait dans un coin Qui fait grossir le ventre
Et arrondir les seinsREFRAIN VISi je tencule 9 cule~ cule
Et nous ferons ensembleSi je tencule best pour ton bien Un petit capucin
Si je te Baise~ baise 9 baise VIISi je te baise cestppur le mien Aux couilles tricolores
II Au poil du cul chatain Qun vieux cochon de moine VIII Qui se branla i t dans un coin Il aura la veacuter81e Et confessait les filles Sa megravere lavait bien Du soir jusquau matin IX
II I I l ira a~ bordel middot Il dit agrave la ~us jeune Son pegravere y allait bien
Tu reviendras dem8in JC-Encul er les maqueDelles Fa ire œinette aux putains
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LA DIGUE DU CUL ----------shy~-----~
La digue du cul en revenant de La digue du cu1 1 non re nest pas Nantes ( Bis ) le diable ( Bis
De Nantes agrave Montaigtl la Digue ~ Mais un gros dard pointuooooo la digue
La digue du culqui bande et quiDe Nantes agrave lVIo nta igu la digue du
deacutecharge ( Bis )OuI Et qui a beaucoup de jus La digue du cul je rencontre une
Belle ( Bis ) La digue du cu1 9 si ce nest pas le Qui dormait le cul nu le diable ( Bis )0middot bullbull 000
La digue dQ cul je bande mon Il est bien dans mon culoooo 0
arbalete ( Bis ) La digue du c~19sil y est quilLa fous droit au but 060~0
y reste ( Bis) La digue du cu1 1 la belle se reacuteshy Et qufil nen sorte plus 00
veille ( His ) Et dit J ta i l c diah l eau cul 0 bull 0
JEANNETON ===-===-==
Jeanneton prend sa faucille Le second un peu moins sage LaliretteLalirette LaliretteLalirette
Jeanneton prend sa fallcille Le second un peu moins sage Pour aller couper des joncs (bis) La coucha sur le gaz1n (bis)
En chemin elle rencontre Le troisieacuteme un intreacutepide Lalirette 9 Lalirette Lalirette lalirette
En chemin elle rencontre Le troisiegraveme un intr~pide
4 jeunes et beaux garcon3 (bis) Releva son blanc jupon (bis)
Le premier un peu timide CB que fit le quatriegraveme LaliretteLalirette Lalirette 9 Laltette
Le premier un peQ timide c~ rJue fit le quatriegraveme Lrembrassa sur le menton (bis) Nest p~s dit dans la ohansen (bis)
Si vous le saviez Mesdames LaliretteLalirette
Si vous le saviez Mesdames Vous iriez couper des joncs (bis)
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LE BORDEL A FE RlŒE SES VOLETS Air~ L-n guin~glicirceumltt euml--rermeacute-s8s-volets
IJ e b 0 rd e el a f e rm eacute ses vo let s
Elles sont toutes veacuteroleacutees y a plus moyen qUon boise Le dernier qui y est alleacute Pour se faire faire un pompier Est r1venu avec la pine enfl~e jheacutet
Le toubid qui les a visiteacutees A tout de su~te deacuteclareacute y faut plus quon les baise l La mnreacutechausseacutees les n toutes boucl~es
Et le bordei 3 fermeacute ses volets
Totor quest un habitu~ A voulu y aller Disnnt Cest dla foutaise Ir
Mais trois jours apr~s il npouv9it plus marcher
Tant sa pine eacutetait deacute13breacutee Oheacute
A 1 hosto 9 on lt 3 transporteacute Lui laissarlt Suumlpp0ser Que ce leacuteeer malaise Ne lempecircchersit pas drevenir baiser QU82 J_bordel rocvrirGit ses volets
Le toubid lui ayant conseilleacute De ne ~us coiumlter Sans une capote angl Ai$e 9
Arssitocirct smi t sur pied 9 il en [) comm3ndeacute
Douze douzaines avec bout renforceacute
Au premier coup qUil a tireacute Cest ~es couilies qUontlacheacute Pas ln capte anglaise On les n r tro uveacutees aux qu~at coins
du quartier Et lbordel a fermeacute ses volets
Air Marc he fun~bre n
TottOr nest plus Les putains lont descendu Un franccedilais de plus Que les Anglais auront foutu Et sa pine Quav~it belle mine Ne bander8 plus Ainsi triomphe la vertu
Air La guinguette bull
Le bnrdel a rouvert ses volets Par un bequ matin de mai Au temps des premi~res frsises Lpersonnel ~tait enti~rement
reno uveleacute Et la tocircli~re -eacutetai t toute en c -A
be3uteacuteOheacutel
La ~oule se pressait etvriait Elle avait oubli~ quldanger Quand on ba i se Etait dse confier au machins
anglais Et lbordel sest payeacute des
bidets
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shy J_Eshymiddotr (Chanson des Be~ux Arts)J REFRAIN
bulli---- Le casque est une coiffure1 r Qui sied agravela figure
i r-
J Un casqu~ de pompier
Jbull---- Ca fait presque guer~ierj C8middot lui donne un air vainqueur Qui sied ~as mol agrave sa valeur
icirc-]--- Sous son casque luisant t
Il a lair vr3iment eacutepatantT J Zim l a boum zim l a y la
--- - On peut lfblsguer t3nt quon voudraImiddotmiddot~-
-_shy Le pomp1egraveer est bien ou-dessus dccedilagrave--T--1shy
l On dit quelquefois au village Qun casque ccedila sert agrave rien du toutl
- rien du tout Ca sert agrave donner du courage
A ceux qui nen ont pas du tout shypas du toutl
De loin ccedila prend Jes airs fan~asques Et chacun dit en les voyant - en les
voyant Quils sont donc beaux avec leurs
c8sques Ca leur donne un p~tit 8ir ~patnnt
II
On nous raconte dans lh~stoire
Que les Romains et les Gaulois les Gaulois
Ces fils oneacuteris de la victoire Portaient des casques autrefois shy
autrefois Le cnsque cest donc l heacuteritage De tous ces guerriers valeureux shy
riers valeureux ~
Et si nous lsvons eh partage Cest gufnous sommes guerriers comme
eux
III
On sait que chacun sur la terre A son faible ou sa passion shy
sa pa ssion l Le pompier quest un militaire Est fier de S3 ~osition - sa
po si ti(l)n Le sapeur datsa barbe noire Est orgueilleux de son bonnetshy
de son bonnet Le pompier met toute S3 gloire Dans son casque et dans son
]lumet
V Les jours ousquil y Q fecircte Il endosse ses plus benuE hsbits
- 1) e el ux habi + rjJ Il met 80n casque sur sa tecircte Puis agrave lombre de sa visiegravere Pour aller flaner dans le pays
- dans le pRyS
Quand il rencontre un jeune teri i dron - jeune tendron
Il lance une oeillnde incendiaplusmnp~
Le yompier est tellement polisson _
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LES CENT LOUIS DOR (Air des Louis dOr)
Un soir dans une diligenoe Sur une route entre deux bois 9
Je branlaisavec assurance Une fillette pu frais minois Javais retrouss~ S3 chemise Et mis la ~3in sur son bouton Et je branlais malgregrave la bise A d~chirer mon pantalon Pour un quart dheure entre ses
cuisses Un prinoe sut dann~ ses tr~sors
Et moi j 3urais Dieu me beacutenisse Jaurais donneacutec oent Louis dtOr
Las de branler eacuteans r~sistance
La tecircte en feu~ la pine aussi Je pris 8a ~ain quelle ind~cence
Et la mis en forme dteacutetuis Je jouissais ~ perdre haleine Sa main sa robe en eacutetaient pleines Et cel~ne suffisait pas Sentant rallumer ma fournaise Je lui di slltiens f3i s pl us encor Sortons dici que je te boise ~
Je te egravecnne cent Louis dOr
La belle alors~toute confuse Me reacuteponctit ingeacutenument
Pardon Monsieur je refuse Ce que vous moffrez galamment M8is j 8i jureacute de rester sage Pour mon fiunQ6 mon mari De conserver mon puoelage ~-
Il ne s egraver r l j ama i s (~llJ tih~lUfL l 2 Ji Tu naura spa s le ri di c ul e Dis-je darrecircter ton essor Permets aU moins que je tencule J e te prGtmets nent Louis d Or ll
0
Au premier relais sur ln route Nous descendimes promptement~ Au CQl~ il faut que je te foute Nepouvant te foutre autrement Dans une auberge nous entraIDes Tout st Y trouvsit bon feu bon lit Brucirclants dqmour nous nous couchacircmes Je lenculai toute 13 nuit bull NU i s PQ ur changer de joui ssanc e s Je lui dis tiens fais plus encore Livre ton con et lttout d f av3nce Jete p bo ID et s 0 ent L 0 lAgravei s d ~ 0 r bull
ttJe veux bien~ sans plus de harange Dit-elle en me succedilant le gland~ Livrer mon con agrave votre langue Pour ne pas tr8hir mon serment Aussi~6t plac~s tecircte b~che Comme deux amants dans le lit Avec ardeur je la legraveche Pendant quelle me suce le vit Mais la voyant bi~ntocirct pam~G Je ps lui ravir son treacutesor Et je lui dis la pine entr~e~ Je ga gne mes c ent Louis d ~ 0 r n bull
Huit jours apregraves cette aventure Jeacutet8~S de retour ~ Paris Ne pren8nt llUs de nourri ture Restant pensif au logis o
A la gorge ainsi quIa la pine Javais ceacutetait inqugraveieacutetant Chancre poulain on 18 devine Une ch3ude pisse en rlecircmecirc temps Prenant le parti le plus sage Je me transporte che~ Rocord Qui me di t ~ nUn tel puoe18ge Vous co ucirctera cent Loui s d JOrn
Ir 1 Ir Il Il Il 1 P Il lt Il It H
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1 61-__-
l 5 Lautrjour ~ la consultation Pour ceux- yen 3 d 1 si deacutegoatants- Ltoubib 9 un vieux ~ lnir antique Qui deacutesirent to ut fa ire psr derriegravere Apr~s mavoir ~arfouilleacute lco~ Jorois qucest encore plus ~pnt8nt Ma dit qUjeacutetais syphilitique 0 y 8 vraiment dqu~i se egraveatisfaire Les meacutedecinsegraveest oomme les cureacutes Mon 9nus cest comm une vraie fletr Il faut bien lescroire sur parol t Une rose ~ triple corolle t Mais vrai ccedilui l~ ma sideacutereacutee On leffeuillerait avec bonheur Jpeux pas croire qucest ccedila la ~ ~Jpeux pas croire qucest ccedilagrave la
veacuterole veacuterole
2 6 Ca commenceacute par un bouton L autr t jour vl~-1 quen bntifolant Qu6tait situeacute tout nupregraves dlautre Jai vu q~mon typ le m6m Eug~ne Un peu plUS dur uL peu middotplus rond Il 3 queacuteqLl chose aussi maintenant Vrai grain d chnIl let pour mes Fout x7Tsiment qu on ait pns d veJne
p8tnocirctres Cest comme une pastille SLlr son Comme y mchatouillait dtemps en gland
temps On grille r9 ln sucer ma parole Je mgratouillaisccedila fsait tout drocircle Cest rondcest rose et cest y mIn fait mouiller ~~en souvent charmant ~
J p eux p 3 S C ro ire qu c est Ccedil8 la J p eux po s c ro ire qu c est ccedilagrave la veacuterole veacuterole
3 Puis sur le corl s il mest venu A lhopi tal ougrave j 1 ~ui s alleacutee Toutes une floppeacutee de ptites taches On ma montr~ ~ msieur lInterne
roses Un grgrtd gars agrave lair d~lur~ Qui contrastaient sur mon corps nu Qui mo ploteacutee dun nir p1terne Avec 18 blancheur des middot8ut choses Apregraves ru nvqir liien reluqueacutee Jcrois mecircme qUceacutetait plus joli -Pourtant ~ poi1 9 je nsuis pas y en a bien qui se foutsur la fiole gn61eshyDu cold-cream et dla poudre de riz Il ne sest mecircme pas fRit br8nler Jpeux pas croire qucest ccedil~ 18 veacuterole Ah oui j vois bien qujai
11 veacuterole
4 Comme ccedilagrave spassait j Qi constateacute Que par en ba sc eacuteit21i t PD s- 02 illme Quand dans ln glace je msuis rg~rdeacutee9
On aurait dit un vrai diadegraveme N en nva~t des ronds des pointus Cest velouteacute quand on les frocircle Oa fait trentsix ptits mamlons dplusa
J peux pas croire qLl egrave est ccedil~ la veacuterole ~
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Pegravere Dupanloup dans luteacuterus (bis) Etait deacuteja si plein dastuce (bis) Que dans le vagin de sa megravere Il succedilait la pine de son pegravere
RE~RAIN Ah ah ah oui vraiment
~ Pegravers Dupanloup (bis) Ah ah ah oui vraiment
pegravere Dupanloup est deacutegoutGnt
pegravere Dupanloup dans son berceaubis) Bandait deacutejagrave comme un toreau (bis) Et sur le sein de sa nourrice lIa ttrapa 18 chaude -pisse
pegravere Dupanloup monte en Mais il avai t le systeacuteme Quagrave trois cents megravetres
Ses couilles trainaient
ballon (bis) si long (B)
dans lathmosphegravere e~core par terrecirc
pegravere Dupanloup monte en bateau (bis) La pine en lairles couilles sous
Quand survint Qui lui mordit
pegravere Dupanloup Mais il avait Quen peacutedalant La peau de ses
pegravere Dupanloup
leau une grosae grenouille la peau des 80uilles
monte en le syst egraveme
agrave perdre couilleo
dans
en chemin
veacutelo (bis) si gros
haleine se sa
de Deacutesir mettre ses couilles agrave
prit chaine
fer(bis) lair
Passant sa pine par la portieacutere 11ere va l 0eil d II gar de barr i egravere
p egravere TIupanloup agrave lOdeacuteon Se conduisit comme un cochon Avec la peau de ses roupettes Il boucha le trou des cla1inettes e
Peacutere Dupanloup agrave lOpeacutera Se conduisit comme un goujat Au troisiegraveme acte dans la coulisse Il encula le pompier de service
pegravere Dupanloup agrave Saint-Malo Confesse les feGlmes dans Lill ~
tonneau Fassant sa pine par le trou de la
bonde Il seacutecrieuVla le s8uveur du
monde
pegravere Dupanloup le 14 Juillet Alla se promener agrave dos de mulet Pour que la fecircte soit complte Il encula la pauvre becircte
Fegravere Dupanloup fait cuire des oeuf Il les remue avec sa queue Sa femme qui passe dans la cuisine Lui di t ttcochon tu brucircles ta pine
Fegravere Du~anlou~ devenu vieux Ne bandait plus quune fois sur ~ Sarrachant la pine avec rage Il sen fit une canne de voyage
pegravere Dupanloup dans son cerceuil Bandait encore comme un chevreuil Avec sa pine en arc de cercle Il essaya de soulever le couvercle
pegravere Dupanloup au paradis Voulait enculer Jeacutesus Christ Non de Dieu dit le pegraveregrave eacuteternel Prends-tu le cie l pour un borde l
pegravere Dllpanloup Icircuttout confus De ne pouvoir lui foutre au cul Branlant sa pine de part et dautr Il aspergea les dOQze apocirctres
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~ r -middotmiddot
-0--
~-~
shy _ 1_-_
Du Dieu Vulcain quand leacutepouse fri- De Jupiterf3con vraiment divine ponne Le Jon lui pueil aime le goudron shy
Va boxonner loin de son vieux sournoisDfun trou agrave merdeil fait un trou Le noir jaloux que lamour aiguillonne Tranquillement se polit le chinbis Et bat le beurre Va-t-en di t-il ~ agrave ss fo utue femelle Cette facon e st Je me fous bien de ton con chassieux Pour terminer un De mes cinq doigts je fais une pucelleApr~3 ldessert Masturbons nouscest le plaisir des
Dieuxe
2 Bah Laissons lui oe p18isir ridicule Chacun dnilleurs sailluse agrave sa focon
Moi je preacutefegrave~e la maniegravere dHer6ule Jamais sa mainne l~i servit de con Le plus seacute11e trou la plus vieille
conn s se Rien nechappait a son vit glorieux
Nous serons fiers de marchermiddot sur ses
Traces Baisonsbaisons 9 cest le plaisir d~s
Dteux
3 Du Dieu Bacchus 9 quand 20cableacute dishy
vresse Le vit mollit etsur le co~ sendort 69 et le vit se renresse 69 ferai tbanderun mort a clitoristop parfun de fromage Fait regimlier nos engins victojeux A S8 vertu nous rendons tous hommage Gamahuchons 9 cest le plaisir des
Dieux )
l
Fo u tre
Foutons
agrave pine aQ milieu de leacutetron
di vinement bonne geuleton joyeux
on senc~le en couronne
Enculons nous cest le plaisir des
5 Quant agrave Plutonle Le moinllre effort AQssi veut-il sans
r Faire sucer son peUlS arrognnDt l + lJ nOJ8revan aux 8XTf~~S8S passees Tout 18nguj sS8n~s reacutejcissons nos
yeux Et laiss3nt faire une amante emshy
preacute)SS8J Lcissons sucerc1est ~e ~10isir des
Diel1x
r o rs st e Q insi_ quI 0 11 f 8 S 8 e agrave sa
_~Iampts
MnincoTI 9 cU1 9 bouche8U plaisir t 0 D tes t bon
SUT q1elque 2u~ el q~ or ceacutelegravebre fecircte
~o u jour 2 lagrave haut uuml~ est sur du
Foutre
Di evlX
Die~ agrave large pense lu~ semble fatigant craindre la deacuteshy
p9D set
fi arc~() n et joutr -IO~-U~_ J untque
middot1 - =~gt FI ire et j oU_ir vo il8 qlu~l s sont
amis qu liI~~or-t- la woniegravereacute Foutonsfoutonscest le plaisir
des DieLc
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AIR Mal bo ro ugh sten va-t-en guerre e
Lagrave haut sur la colline Un coup able de lenfer Les 2 piedsles 2 mains dans la Les de ux piedsles deux mains dans Lagrave-haut sur la colline merde Un coup able de lenfer la merde Il y avait un gros cu (bis) Qui ava it fait un gros peacute
Un gros cureacute de campagne Un gros p~cheacute mortel Les deux pieds Les deux pieds tooe ooeo 0000
Un gro s cureacute de campagne Un gros peacutecheacute mortel Quastiquait son gros bou (bis) Et nvait trop eacuteteacute (bis)
Son gros bouquin de prieacuteres Trop eacuteteacute 8U bordel Les deux pieds 0 Les deux piEds0 0 0 bullbull 11000 bullbull 00
Son gros bouquin de prleres Trop eacuteteacute au bordel Pour entrer dans un Con (bis) Ougrave il alloit quecircter (bis)
-Dans un confessionnal Quecircter laumone des pauvres Les deux pie d s bull 0 0 0 bull 0 0 0 Les deux pied~ 00 bullbullbull
Dans un confessionn31 Quecircter l Qum~ne des psuvres Pour y tirer un cou (bis) Qui en SV3iegravent besoin (bis)
CHA R LOT T E ~ ---I_middot middot--middot-I_(~-~~-
~ REFRAIN Branle (ter) Charlotte Branle (bis) ca fait du bien Branle (ter) ma chegravere Branle (bis) jusquagrave demain
1 LI
Dans son boudoir9~a petite Charlotte Ma is 6 mnlheur 5 6 fatale disgrace Chaude du con f3ute dAvoir un vit LQ jouiS8311Ce lui fi tfaire un Se masturbni t avec une carotte brlJ ~~qhes~ut
Et jouissait eacutetendue sur un lit Du contre l)oUP la c9rotte 88 ossee L Et dans le con il en reste un
Ah disai t-elle~ dnns le siegraveole oUgrave morceau nous sommes
Il faut savoir se passer des garcons Un meacutedecin praticien fort habile Moipour ma partje me fous bien Fut appeleacutequilui fit bieq du mal
des hommes Ma is par malheur la carotte indo- shyAvec ardeurje me branle le cont cile
3 Ne put sortir du conduit vaginal Alors 83 main neacutetant plus paresseuse Alla it vena it c omme un p e ti t re s So rt Mesdemoisellesque le sort de Et faisait jouir la petite vicieuse Charlotte Aussi ce jeu lui plaisait-il bien Puisse longtemps Vous servir de
fort lecon Ah croyez-moil a iss~z lagrave 18
(gt nro tte Preacutefeacuter8z lui le vit dun beau
gs rcon
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L A PO M P 0 NET T E
LE COlVUVLANDEUR DU CUL-SEC LE CHOEUR middot
Aimes tu mieux boire et deacutegueuler Quon verse agrave boire agrave ce cochon lagrave Queds npas oire 8t tJemmerder On verra bien sil d~gueulera bullbullbullbullbullbull eoOOOCJO bullbullbullbull O Pendant qUil deacutegueulera
Que son ~oisin sappr~teLE BUVSUR DESIGNE Pendant quil s3ppr~tera
Oui j oime mieux boire et deacutegueuler Ch3ntons ln pomponette Que denpas boire et memmerder L3 pomponette bullbull 0 bullbull 0080 bullbull 0 bullbullbullbullbullbull La pomponette
Il fil Lera (1) 00 O bull bull 0 bullbullbullbull
Ce cochon lagrave 8 bien fileacute A son voisin de rcommencer
LES MOINES DE SAINT-BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis) Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis) Si lprieur nous engueuleon chante des chansons
REFRAIN Vo ila c qui est bon et bon~ et bon Et voilk 13 viela viela viela vie cherie ah~ oh (bis) Et voilagrave la vie que tous les moines font
Pour notre souper de bons petits oiseaux (bis) Que lon nomme oaille ortolans ou perdrenux(lis) Et la fine nndouillette et la tranche de jambon
Pour notre coucherun lit aux draps bien blancs (bis) Avec une lone de 15 agrave 107 ans (bis) A la taille bien faite et aUx nichons bien ronds
Si cest ca la vie que tous les moines font (bis) Je me ferni moine avec ma Jeanneton (bis) Le soir dans ma chsmbrette je lui chatouillerai le bouton
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DLJ 1 VI
A la porte dtun couvent(bis) 1 l Y avait un moine Ah 1 djt- la soeur da couvent QlJ as-tu moine QU1ssctfLu mmine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine agrave gueuler tant
II Ma soeur je voudraisrentrer(bis)Maisma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Entre moine entre moine Ahr dit la so e ur du couvent Entre) moine e1 ngueule pas ~n~t
0 -
III Quand le ~oine fut entr~ (bi~) Il gueulait enoore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quas-tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu~ moine agrave gueuler tant
IV Ma sbeur je voudrai manger (bis) Ma i s ma s oe ur je n 0 s e Ah dit la soeur du couvent
M8nge ma ine mange mo ine Ah dit la soeur du couvent Mange mo ine J et lffie ~-gl-1~ ule pa e tant
v Quand le moine eut mElngeacute (is)
Il guelllait encore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quasftulmoine Ah dit la soeur du couvent qUas tu moine agrave geuler tant
Ma soeur je voudrai mcoucher -(BiS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Couche toi moinecouche toi moine Ah dit la soeur du couvet Couche tbi moine et gueule pas tant
VI-I Ccedilu~nd le moine fut cou~heacute (Bis) Il geulait encore Ah dit la soeur du couvent quas tu moine quas tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas tu moine agrave geuler tant
IX Ma soeur je voudrai vous baiser (bis) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine baise moi moine Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine et ne geule pas tant
IX Quand le moime eut baiseacutee (biS)Il geulait encore Ahl dit la soeur du couvent quas tu mOinequastu moine Ah dit la soeur du couvent Qutas tu moine ~ geuler tant
X
Ma soeur jvoudrai rcommencer (biS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Va au claque va au claque Ah dit la soeur du couvent Va au claque et fous-moi le camp
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((()ltrimiddot1
Samedi dernierceacutetait jour de la paye Et le soleil brillait agrave lhorizon Javais deacuteja bu cinq agrave six bouteilles l (bis) Jcrois bien qujamais jnavais eacuteteacute aussi rond)
Vlagrave ma bourgeoise qui sramegravene sur le zinc Et mdit Cochont ta quitteacute ton turbin
Ouiqujy reacutepond je men vais au meacutetinge) (bis) A u grand meacutet inge du Meacutetropo li tain J Les proleacutetaires dun eacutelan unanime y sont venus guideacutes par la raison _ En apportant chacQD cinquante centimes l
- ) (b2s)Pour soutenir les greacutevistes de Vierzon
avait Basile le mineur indompta ble cr lme linatr qu e st l honneur du part i (1)
sont monteacutes tous deux sur une table ( bis)Pour exposer la question sur le tapis Quand tout agrave coup on entend du bastringue C middotest un quidam qui veut faire son malin Il est venu pour saboter lMeacutetinge Le grand Megravetinge du Meacutetropolitain (bis)
Jy bondis dSBUS et avant quil rouspegravete Jy enfoncais jusquaux yeux son chapeau Il est parti sans demander son reste )
( bis)En faisant signe aux gardes municipaux (
Qui profitant ~e c que j1 eacutetais brinde zingue Mont emmeneacute au poste-le plus voisin Etc e st ainsi qu c e st termineacute le Meacutetinge ( ( bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetro~olitain
Couplet patriotique Peuple Francais la Bastille est deacutetruite Mais II y a encore des prisons pour tes fils Souviens toi bieuron des geacuteants dquarants-huit l (bis) Queacutetaient plus grands que les ceusses daujourdhui)
Couplet socia 1 Car cest toujours lpauvre ouvrier quicirc trinque
Cest lui quon met en prison pour des riens C eacutetait quand megraveme un bien joli Meacutetinge ) (bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetropolitain J
-(l)-Ces deux vers sont quelques fois remplaceacutes par les suivants
y avait Maurice le mineur indomptable Le gros Jacquot quest l honneur du parti
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PalU notre coucher dans de beaux draps bien blancs (hie) Avec une pucelle de seize ~ cent sept ans (bis)A la taille bien faite Et uxnichons bien ronds Cest ccedila qUest b0n et bon et bon I(au refrain)
Si cest lagrave la vie de les beacutecistes font (biS) Je mferais beacuteciste avec ma Janeton (biS) Et l soir dbns ma chaiTILbrette Jlui chatouillerai le bouton Cest ccedila quest ~on et bon et bon t (au refrain)
ff ff tf tr tl t Air nIl eacutetait un petitLE ~mSEE DATHENES
na vire
Visitez le Ruseacutee dAthegravenes (his) Vous y verrez reacutereacute bien conserveacutes (biS) Oheacute
Trois poils du cul de ~eacutemosthegravene (bis) Et les roustons ton ion du pegravere Caton(bis) Oheacute Oh6 1
~ 1
V(Uuml)~6 Y v9lZxe z la CM et e DiLne middot Le Et
egraveoh boumiddotlheacute pqrQJle les roustons tOl1ll~
banar~e ton du pegravere
~ -Oaton (bi~) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fils dHercule Photographieacutes quand ils senculent Etle s roust ons ton ton dQ pegravere Ca ton (bis) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fills dUlysse Photographieacutees ~endant quTelles pissent Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) ~heacute Oheacute l
Vous y verrez la megraveEgravee Egeacutee Caramboleacutee par le Pireacutee Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) Oheacute Oheacute 1
Vous y verre3 le cul dDiogegravene Deacuteveacuteroleacute agrave lThydrogegravene Et les roustons ton ton du pegravere Caton (biS) Oheacute Qheacute 1
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REFRAIN Et If on ST en fout dattraper la veacuterole Et l t on sen fOLlt pourvu qu 1 on tire un coup Avec 7 avec bullbull une femme bull sous les r C8~~ses
( Tous le c9uplet S 80)1 ~ ~ur le typ~ ~ d~ premier J Vivent les eacutetudiantegravema megravere Vivent les eacutetudiants t Ils ont des femmes e t pas dt enfants $$$~~$$~$~~~~$ $$~~$$$$$$ $ $ ~~$~ Vivent les eacutetudiants l $
~ ViTent les eacutetudiantes E 11 f S aiment a voir la pine au -v-entre bull ~ RE FRAIN
$AhI les fraises et les framboisesVivent les avocats bullbull Ah le bon vin ~ue nous avons buIls ont des couilles en chocolat bull iAh les belles villageoises ViTent les sor~onnards $Nous ne les reverrons plus Ils ont des couilles en peau dTleacutez~rdr bullbull ~
3 Suy la rout e de Montmartre Vi vent le S cOlonia ux De Mont oartre agrave Faris Ils ont des couilles en peau de chameau fiJ ai rencontreacute trois filles
~Trois filles de mon paysVi -ent le 3 cara bins bull $ Ils ont des femmes qui baisent bien $ f
~Jai rencontreacute trois il1e3 $iumlrois filles de mon paysVivent les carahines
E Iles adorent vous SLlcer la pine bullbullbull nJ embra sse la plLlS jeLUle lEt la plus belle aLlssi
Vivent les artilleursbullbull Ils tirent un coup tous les quarts i Je dansITemmegraven e ma chambre
d f he ure Et je la fous sur le lit
Vivent les pharmaciensbull Ils ont l permangaha te pour rienbullbull middotEJ8t regarde entre ses jambes
1 j y vois le paradis Vivent les pharmaciennesbullbull Elles sont putains OD bien Lesbiennes Je rgarde entre les miennesl
Et j ty vois Jeacutesus ChristVivent les PCE bullbull Ils ont les couumlt~~es galvaniseacutees Jeacutesus levant la tecircte Vivent les aviateurs ~Entra d3ns le Paradis Ils legravevent la qLleue tOLlS les i dheLil8 bullbull 1 Vivent les aviatrices $11 sy brisa le cracircne Elles ont le manche e~ vle ie~ ~uisses bull i La cervelle en jaillit
rVivent les arts deacuteco bullbull ~ Pleur z pleLlre Z1 me sdame sIls ont les couilles preacutes du pinceau hLa mort de Jeacutesus Christ
Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
$11 est encore en vie
11 Ji 1l- ~ igt tt Ji Lj ~ H plusmn i ~ ~ ft 4 Ltmiddot + ~i H ~ ~~ Ji y igt4 + t~ -- Li f-- ~ ~ -t u J 1 i -+ ~ q ~ gt~ ~ c ~ H + bull -c i ~ h t H li ~ middottt 4f H if lf H- if tf rt tI if tf ri +t l I tf iftf 11 r If l i of Il i1 ri i l ~( rf rf 11 Il ~ n r( Tl ~ i+r 1 ( rf Tl ri Ii II Ir rI li II If li middot( 11 1 lmiddot Il 11 rr n 1( tf if
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MARCHE DE S NA VALAIS
- =====
l II Et sil y en a qui prennent middotla coloniale Quand nous serons dans
17Afrique infernaleDevant ceux-lagrave foetus inclinez-vous (bis) Loin de Bordeaux et loinCar ils iront dans lAfrique infernale
du Cours Saint-Jean Porter la science au pays des ~amb0QS~ Les ~etits foetus consoshy
leront nos femmes REFRAIN Et serviront de ~egravere agrave
Quel que soit le cadre nos enfant a LAfriqJe ou lescadre
Dans les reacutegiments IIIOu bien agrave bard des lacirctiments rn fera la noce Et s t il yeri a qui prennent la marine
On roulera sa bosse Ils partiront vers le tlen horizolicirc1( bis) Mais quon foute le camp l ls quitteront Bordeaux citeacute chagrine De cet ignoble b~t~ment Pour le ciel bleu clala racle de Toulon
IV Au vieux Dagens vieillard syphilitique _ Vieux fil de fer que la r-ouille a tordu Nous quitterons tous ta sacreacutee boutique En te foutant un grand coup de ~ied dans le cul~
MARCHE DES FOETUS =-===
Cest nous les foetus les- pet~ts foetus Les petits avortons cui~n conserve ~ans leau middot1e vie Cest nous les foetus les petits foetus Tous ratatineacutes de ~La tecircte agrave lanuse
VI VE LE CHAMPP GNE =========
~
REFRAIN Vive le Champagne pagne pagne pagnes pagne (bis)
l l eacutetait un scu l te ur qui eacutetai t en cha le ur QQatr~ religieQses sont Il navait pas de femme et ne lai sait Qas lasseacutees Qar lagrave
At 1 Ah Ah Ahl )~fJ bullbull ()e
Il navait Ilas de femme et ne 11aisait pas Ahl dit la plus jeune qu e st --ce que ete st donc
Avec une mi~ette il se la coupa bull 0 ~ bull u 0 ft
Ah 1 Ah Ah Ah Cest la pine dun homme Puis au pied (iUltl arbre il lfabandonna qu 1 0n a planteacute l~L - - o o bullbull 0 bullbull e
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VIVE IE CHAMPAGNE ( Suite) =========
Prenez lagrave ma soeur elle nous servira Le soir au dortoir on sen eervira bullbullbullbull 1 t bull
Y a que Soeur Theacutereacutese qui nen anra pas oooo
1e cureacute du village lui en fournira
Rouge DOmme une cerise et gro~se ~omme le bras
LA BRABANCONNE TIUNE PUTAIN
lA ir La Bra banccedil onne
Je me souviensrlorsque jeacutetais jeune fille Quun jeune gagraverccedilon qui passait par bonheur Me trouva si mignonne et si gentille Quil me fit voir sa grosse pine en chaleur Et- t out -agrave-coup sous me s jupons s T eacutelance Leacutenorme q~eue quil ~enait agrave lagrave main Il deacutechira mon voile dinnocence Voilagrave pourquoi je me suis fait ~utain 1 (bis) Le Roi la Loi la LiberteacuteJ
Je ne sais pas si jeacutetais Qn peu coquinegrave jaimais deacutejagrave qUon me ohatouillacirct le bouton 7
Javais go 1teacute de ce bon jus de pine Jtav~s reccedilu du foutre dans le con Javais baiseacute je neacutetais plus pucelle Je cheacuterissais le meacutetier de putain Plus je baisais plus je deurovenais belle Voilagrave pourquoi je me suis fait putain 1 (biS) Le Roi la Loi la Li he Tt eacute l
Quoique je sois une fille publique J 8i l Tamour de l t humaniteacute Tout citoyen dans notre libre Belgique Doit- baiser et jouir en Li~erteacute Pour de largent le riche a ma fente Le pauv~elui peut en jouir pour rien kour soulager lhumaniteacute souffrante Voilagrave pourquoij e me SQis fait putain l (brus) Le Roi la Loi la Liberteacute 1
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LE CURE de SAINT SAUVEUR ===============
(
Jill FRAIN
Trou la tYou Trou la trou
Monsi~ur le cureacute dSaint-~uveur Quand il est mort il sest pendu Les oiseaux nont pas eu pe~r De feire leur nid dens le trou dson
cul
~~utjour en passant place verte Jentendis un chien peacuteter Ca prouvions que ctte pauvrbampte Na ~oint le trou du cul boucheacute
Le cureacute de Saint-Martin ~ui sait toutmiddot et qui nsait rien A coupeacute la queue de son 3ne Pour la mettre agrave son petit chien
Monsieur le cureacutecest un bon zouille Il aime tout il laisse rien y sest coupeacute la peau des couilles our faire une niche agrave son chien Jeacutesus Christ a une queacutequette pas plus grosse quune allumette Il sen sert pour faire pipi Vive la queacutequette agrave Jeacutesus Christ
A Paris les vielles bigottes Marchent toujours les yeux baisseacutes cest pour voir d3ns notculotte Si lchinois nes~t pas releveacute
A chanter avec laccent du ch N ord )
la trou la la la trou la la Mon grand pegravere et ma gYnnd megravere ont l f ha bi t _ude de coucher nus Lautjourgrand-pegravere en colegravere A mordu ma grand-megravere au cul
Si mon pegravere couche avec ma megravere Ce nest point par amusement Cest pour me faire un petit fregravere Qui meacutenera la vache aux champs
Jaime bien mon pegraverejaime bien ma meacutere
Mais jaime aussi mon bourricot MonbourricotyJe peux monter ~
dessus Mais sur ma mecircrecest deacutefendu
Ils eacutetaient quatre pauvre diables ~ui navaient pas de quoi se
Chauffer Ils ont tous chieacute sur la table Et se sont chauffeacutes agrave la fumeacutee
En Afrique les dromadaires ont la peau quest si tendue Que pou~ fermer les paupiegraveres y doivent ouvrir leur trou du cul
icircte middot agrave gauchette agrave droite Disait un sous-officier Ferme ta geule reacutepondit lautre Tu commences agrave nous fairs chier
Cochon dT un i tel (1)
Bois donc ton verre (Bis
Et surtout ne le renverse pas De frontibu8 ( Bis
A la martiale (Bis
Et glou glou glou glougrave glou (2)
Il est des notres ( Bis )
Car il a bu son verre comme les autres
(1) Nom dq buveur que lon fait boire (2) Jusquagrave ce que le verre soit videacute
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1 1
middot REERAIN
Kyrie Christe DQminum l10Jstrum Kyl~ie E le i son
l III Kyrie kyrie Dans les chambres de nos abbeacutes (his) De ns abbeacutes On nt y ~ange(bis) Que des m~t5 fort bien preacutepareacutes (bis) Mais nous autres Pauvres apocirctres Igtauvres moines Tripaillons de rooines Sacreacute nom de Dieu de religieux Nous ne bouffons que des mets frelateacutes E -E-E -E -le ison
II
Kyrie Kyrie Dans les (hambres de nos abbeacutes (bis)On ny boit Que des vins fort bien cacheteacutes (bis) Bien cacheteacutes Mais nous autres Pallvresmoines Tripaillons de moines Sacreacute nom de niell de religieux Nous ne buvons qlle de s vins fre JLat eacutes~ E -E -E -E -le ison
Kyrie kyrieDans les chambres de nos abbeacutes(bis) OJt1l- se couche Sllr des matelas bien douillet middots( bis) Las bien d~uilletsQMais nous autre s ) Pauvre s moine s TripaillonR de moines Sacreacute n pm de Dieu de religieux Nous couchons sur la paillede ~leacute E] 03 CE ~~ -le ison
IV Kyrie) kyrie Dans les ~ha mbres de nos abbeacutes(bis) ])e nos a tbeacutes j
On ny ~aise(bis) Que des fe ~mes de qualiteacute(his) ~e qucircali t eacute q
Mais nous autre s Pa u vre 8 ~ middot f)gt~~ J FalJvre s moinegrave s ) Tripaillons de moi~es Sacreacute n~m de Dieu de religieux Nous ne hais~s ~e des culs v6roleacutes E middotmiddotE middotE -E lei s oD
Kyrie~ kyrie Dans les chamtreH dG no s ab b Eacute3 (bis) pe J1iOS a~6h ~middot On 1lli r encule ( bj8 ) tugravee de s jeune s gens fort bi en t o tLrn es (his) Fort bien t ourneacutesc
Mais nous a utre s Pa ~Lvres a pocirc t r e s Pa uvre s moines Tripailffion~ ~e moines Sacreacute nom ~1e ic1 ~1 8 xreligj_ e ux
Bous ne pouvons que nous entreculer L E -E -E middot le ison o
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REFRAIN
l
Q~I Dieu recircva dans sa ~hilosophie Dtunir toujours les petits et les grands Oui Dieu recircvq agraveans sa philosopnegravee Dunir toujou~s les petits-et les grandso
l
Sur les d~~ris dune motte princiegravere Que la yeacuterole emportai t par lambeaux Un vieux morpion plu3ieurs fois0entenaire 9
A ses enfants disait ces derniers mts Suivez enfants~ le chemtn de ma vie 9
De tous les ccns soyez les conqueacuterants
II Jai vu le jour chez des peuples sauvages Qui du soleil se disaient rejetons 9
Jai traverseacute lAtlantique agrave la nage Sur les roustons du grand Christophe Colomb C~mme il donnait un monde agrave sa patrie~
Je le peuplai de nombreux habitants
III
Depuis pregraves de trois cent anneacutees Jai freacutequenteacute les plus hauts potentats~
Jtai poursuivi des pines couronneacutees Jai vu descoons engendrer des preacutelats Plus dun Saint Pegravere sur ses couilles fleacutetries Sentit grouiller mes arpions triomphants
IV De Louis Quatorze j ai SU0~ les cuisses~ Et jai veacutecu six mois p~us son b~ton Freacutedeacuteric II avait la ~haude-pissey Marie-Theacuteregravese avait un chaccre au ron Jai vu briller le scleil nItalie Au-dessus du trocircne des papes branlantso
V
Depugraveis jai eu des heures nalheureusefJ Bien peu de cons me furent hospitaliers Et le vagin dune religieuse Puait si fort que je faillis crever Dans les bidets j 1allais de compagnie Avec les spermatos agonisants
(agrave suivre)
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LES MEMOIRES DUN middot DIORPION ( suite)
Jai vu baiser la reine dAngleter~e
Par les sous-offs de toute la garnison Jai burineacute les couilles du Saint-Pegravere Quand tous 19s soirs il allait au boxonQ Suivez nfants le chemin de nos fregraveres De tous les cons soyez les conqueacuterants
A Austerlitz agrave Friedlandagrave R0me Partout o~ le pousse le sort Jai pursuivi la pine du grand homme Mci s il est mort et moi je vis encore Jhabite le con dlla princesse Eugeacutenie Et j eacute le livre agrave va u s ~ ID es che r s enfant s ~ Il
Le vieux middotCC -- ~ C) Gi voulut parler encore Mais dans Sa Jauche sa langue se gl a ccedila Un froit mortel envahit tOQt son copps Et l ent ement l e Ild0 rp ion exp i rI)
Du bout d ILJn pc~ ~l ql1 ~agi tait lagonie Il se raidit et dit agrave ses enfantpo
Au refrain
IV Entrant dans une eacuteglise Je te fr a i voir de lherbe Je ne vis dabord rien Qui pousse dans ma main Quun vieux cochon de moine V Qui se branlait dans un coin Qui fait grossir le ventre
Et arrondir les seinsREFRAIN VISi je tencule 9 cule~ cule
Et nous ferons ensembleSi je tencule best pour ton bien Un petit capucin
Si je te Baise~ baise 9 baise VIISi je te baise cestppur le mien Aux couilles tricolores
II Au poil du cul chatain Qun vieux cochon de moine VIII Qui se branla i t dans un coin Il aura la veacuter81e Et confessait les filles Sa megravere lavait bien Du soir jusquau matin IX
II I I l ira a~ bordel middot Il dit agrave la ~us jeune Son pegravere y allait bien
Tu reviendras dem8in JC-Encul er les maqueDelles Fa ire œinette aux putains
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LA DIGUE DU CUL ----------shy~-----~
La digue du cul en revenant de La digue du cu1 1 non re nest pas Nantes ( Bis ) le diable ( Bis
De Nantes agrave Montaigtl la Digue ~ Mais un gros dard pointuooooo la digue
La digue du culqui bande et quiDe Nantes agrave lVIo nta igu la digue du
deacutecharge ( Bis )OuI Et qui a beaucoup de jus La digue du cul je rencontre une
Belle ( Bis ) La digue du cu1 9 si ce nest pas le Qui dormait le cul nu le diable ( Bis )0middot bullbull 000
La digue dQ cul je bande mon Il est bien dans mon culoooo 0
arbalete ( Bis ) La digue du c~19sil y est quilLa fous droit au but 060~0
y reste ( Bis) La digue du cu1 1 la belle se reacuteshy Et qufil nen sorte plus 00
veille ( His ) Et dit J ta i l c diah l eau cul 0 bull 0
JEANNETON ===-===-==
Jeanneton prend sa faucille Le second un peu moins sage LaliretteLalirette LaliretteLalirette
Jeanneton prend sa fallcille Le second un peu moins sage Pour aller couper des joncs (bis) La coucha sur le gaz1n (bis)
En chemin elle rencontre Le troisieacuteme un intreacutepide Lalirette 9 Lalirette Lalirette lalirette
En chemin elle rencontre Le troisiegraveme un intr~pide
4 jeunes et beaux garcon3 (bis) Releva son blanc jupon (bis)
Le premier un peu timide CB que fit le quatriegraveme LaliretteLalirette Lalirette 9 Laltette
Le premier un peQ timide c~ rJue fit le quatriegraveme Lrembrassa sur le menton (bis) Nest p~s dit dans la ohansen (bis)
Si vous le saviez Mesdames LaliretteLalirette
Si vous le saviez Mesdames Vous iriez couper des joncs (bis)
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LE BORDEL A FE RlŒE SES VOLETS Air~ L-n guin~glicirceumltt euml--rermeacute-s8s-volets
IJ e b 0 rd e el a f e rm eacute ses vo let s
Elles sont toutes veacuteroleacutees y a plus moyen qUon boise Le dernier qui y est alleacute Pour se faire faire un pompier Est r1venu avec la pine enfl~e jheacutet
Le toubid qui les a visiteacutees A tout de su~te deacuteclareacute y faut plus quon les baise l La mnreacutechausseacutees les n toutes boucl~es
Et le bordei 3 fermeacute ses volets
Totor quest un habitu~ A voulu y aller Disnnt Cest dla foutaise Ir
Mais trois jours apr~s il npouv9it plus marcher
Tant sa pine eacutetait deacute13breacutee Oheacute
A 1 hosto 9 on lt 3 transporteacute Lui laissarlt Suumlpp0ser Que ce leacuteeer malaise Ne lempecircchersit pas drevenir baiser QU82 J_bordel rocvrirGit ses volets
Le toubid lui ayant conseilleacute De ne ~us coiumlter Sans une capote angl Ai$e 9
Arssitocirct smi t sur pied 9 il en [) comm3ndeacute
Douze douzaines avec bout renforceacute
Au premier coup qUil a tireacute Cest ~es couilies qUontlacheacute Pas ln capte anglaise On les n r tro uveacutees aux qu~at coins
du quartier Et lbordel a fermeacute ses volets
Air Marc he fun~bre n
TottOr nest plus Les putains lont descendu Un franccedilais de plus Que les Anglais auront foutu Et sa pine Quav~it belle mine Ne bander8 plus Ainsi triomphe la vertu
Air La guinguette bull
Le bnrdel a rouvert ses volets Par un bequ matin de mai Au temps des premi~res frsises Lpersonnel ~tait enti~rement
reno uveleacute Et la tocircli~re -eacutetai t toute en c -A
be3uteacuteOheacutel
La ~oule se pressait etvriait Elle avait oubli~ quldanger Quand on ba i se Etait dse confier au machins
anglais Et lbordel sest payeacute des
bidets
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shy J_Eshymiddotr (Chanson des Be~ux Arts)J REFRAIN
bulli---- Le casque est une coiffure1 r Qui sied agravela figure
i r-
J Un casqu~ de pompier
Jbull---- Ca fait presque guer~ierj C8middot lui donne un air vainqueur Qui sied ~as mol agrave sa valeur
icirc-]--- Sous son casque luisant t
Il a lair vr3iment eacutepatantT J Zim l a boum zim l a y la
--- - On peut lfblsguer t3nt quon voudraImiddotmiddot~-
-_shy Le pomp1egraveer est bien ou-dessus dccedilagrave--T--1shy
l On dit quelquefois au village Qun casque ccedila sert agrave rien du toutl
- rien du tout Ca sert agrave donner du courage
A ceux qui nen ont pas du tout shypas du toutl
De loin ccedila prend Jes airs fan~asques Et chacun dit en les voyant - en les
voyant Quils sont donc beaux avec leurs
c8sques Ca leur donne un p~tit 8ir ~patnnt
II
On nous raconte dans lh~stoire
Que les Romains et les Gaulois les Gaulois
Ces fils oneacuteris de la victoire Portaient des casques autrefois shy
autrefois Le cnsque cest donc l heacuteritage De tous ces guerriers valeureux shy
riers valeureux ~
Et si nous lsvons eh partage Cest gufnous sommes guerriers comme
eux
III
On sait que chacun sur la terre A son faible ou sa passion shy
sa pa ssion l Le pompier quest un militaire Est fier de S3 ~osition - sa
po si ti(l)n Le sapeur datsa barbe noire Est orgueilleux de son bonnetshy
de son bonnet Le pompier met toute S3 gloire Dans son casque et dans son
]lumet
V Les jours ousquil y Q fecircte Il endosse ses plus benuE hsbits
- 1) e el ux habi + rjJ Il met 80n casque sur sa tecircte Puis agrave lombre de sa visiegravere Pour aller flaner dans le pays
- dans le pRyS
Quand il rencontre un jeune teri i dron - jeune tendron
Il lance une oeillnde incendiaplusmnp~
Le yompier est tellement polisson _
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LES CENT LOUIS DOR (Air des Louis dOr)
Un soir dans une diligenoe Sur une route entre deux bois 9
Je branlaisavec assurance Une fillette pu frais minois Javais retrouss~ S3 chemise Et mis la ~3in sur son bouton Et je branlais malgregrave la bise A d~chirer mon pantalon Pour un quart dheure entre ses
cuisses Un prinoe sut dann~ ses tr~sors
Et moi j 3urais Dieu me beacutenisse Jaurais donneacutec oent Louis dtOr
Las de branler eacuteans r~sistance
La tecircte en feu~ la pine aussi Je pris 8a ~ain quelle ind~cence
Et la mis en forme dteacutetuis Je jouissais ~ perdre haleine Sa main sa robe en eacutetaient pleines Et cel~ne suffisait pas Sentant rallumer ma fournaise Je lui di slltiens f3i s pl us encor Sortons dici que je te boise ~
Je te egravecnne cent Louis dOr
La belle alors~toute confuse Me reacuteponctit ingeacutenument
Pardon Monsieur je refuse Ce que vous moffrez galamment M8is j 8i jureacute de rester sage Pour mon fiunQ6 mon mari De conserver mon puoelage ~-
Il ne s egraver r l j ama i s (~llJ tih~lUfL l 2 Ji Tu naura spa s le ri di c ul e Dis-je darrecircter ton essor Permets aU moins que je tencule J e te prGtmets nent Louis d Or ll
0
Au premier relais sur ln route Nous descendimes promptement~ Au CQl~ il faut que je te foute Nepouvant te foutre autrement Dans une auberge nous entraIDes Tout st Y trouvsit bon feu bon lit Brucirclants dqmour nous nous couchacircmes Je lenculai toute 13 nuit bull NU i s PQ ur changer de joui ssanc e s Je lui dis tiens fais plus encore Livre ton con et lttout d f av3nce Jete p bo ID et s 0 ent L 0 lAgravei s d ~ 0 r bull
ttJe veux bien~ sans plus de harange Dit-elle en me succedilant le gland~ Livrer mon con agrave votre langue Pour ne pas tr8hir mon serment Aussi~6t plac~s tecircte b~che Comme deux amants dans le lit Avec ardeur je la legraveche Pendant quelle me suce le vit Mais la voyant bi~ntocirct pam~G Je ps lui ravir son treacutesor Et je lui dis la pine entr~e~ Je ga gne mes c ent Louis d ~ 0 r n bull
Huit jours apregraves cette aventure Jeacutet8~S de retour ~ Paris Ne pren8nt llUs de nourri ture Restant pensif au logis o
A la gorge ainsi quIa la pine Javais ceacutetait inqugraveieacutetant Chancre poulain on 18 devine Une ch3ude pisse en rlecircmecirc temps Prenant le parti le plus sage Je me transporte che~ Rocord Qui me di t ~ nUn tel puoe18ge Vous co ucirctera cent Loui s d JOrn
Ir 1 Ir Il Il Il 1 P Il lt Il It H
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1 61-__-
l 5 Lautrjour ~ la consultation Pour ceux- yen 3 d 1 si deacutegoatants- Ltoubib 9 un vieux ~ lnir antique Qui deacutesirent to ut fa ire psr derriegravere Apr~s mavoir ~arfouilleacute lco~ Jorois qucest encore plus ~pnt8nt Ma dit qUjeacutetais syphilitique 0 y 8 vraiment dqu~i se egraveatisfaire Les meacutedecinsegraveest oomme les cureacutes Mon 9nus cest comm une vraie fletr Il faut bien lescroire sur parol t Une rose ~ triple corolle t Mais vrai ccedilui l~ ma sideacutereacutee On leffeuillerait avec bonheur Jpeux pas croire qucest ccedila la ~ ~Jpeux pas croire qucest ccedilagrave la
veacuterole veacuterole
2 6 Ca commenceacute par un bouton L autr t jour vl~-1 quen bntifolant Qu6tait situeacute tout nupregraves dlautre Jai vu q~mon typ le m6m Eug~ne Un peu plUS dur uL peu middotplus rond Il 3 queacuteqLl chose aussi maintenant Vrai grain d chnIl let pour mes Fout x7Tsiment qu on ait pns d veJne
p8tnocirctres Cest comme une pastille SLlr son Comme y mchatouillait dtemps en gland
temps On grille r9 ln sucer ma parole Je mgratouillaisccedila fsait tout drocircle Cest rondcest rose et cest y mIn fait mouiller ~~en souvent charmant ~
J p eux p 3 S C ro ire qu c est Ccedil8 la J p eux po s c ro ire qu c est ccedilagrave la veacuterole veacuterole
3 Puis sur le corl s il mest venu A lhopi tal ougrave j 1 ~ui s alleacutee Toutes une floppeacutee de ptites taches On ma montr~ ~ msieur lInterne
roses Un grgrtd gars agrave lair d~lur~ Qui contrastaient sur mon corps nu Qui mo ploteacutee dun nir p1terne Avec 18 blancheur des middot8ut choses Apregraves ru nvqir liien reluqueacutee Jcrois mecircme qUceacutetait plus joli -Pourtant ~ poi1 9 je nsuis pas y en a bien qui se foutsur la fiole gn61eshyDu cold-cream et dla poudre de riz Il ne sest mecircme pas fRit br8nler Jpeux pas croire qucest ccedil~ 18 veacuterole Ah oui j vois bien qujai
11 veacuterole
4 Comme ccedilagrave spassait j Qi constateacute Que par en ba sc eacuteit21i t PD s- 02 illme Quand dans ln glace je msuis rg~rdeacutee9
On aurait dit un vrai diadegraveme N en nva~t des ronds des pointus Cest velouteacute quand on les frocircle Oa fait trentsix ptits mamlons dplusa
J peux pas croire qLl egrave est ccedil~ la veacuterole ~
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Pegravere Dupanloup dans luteacuterus (bis) Etait deacuteja si plein dastuce (bis) Que dans le vagin de sa megravere Il succedilait la pine de son pegravere
RE~RAIN Ah ah ah oui vraiment
~ Pegravers Dupanloup (bis) Ah ah ah oui vraiment
pegravere Dupanloup est deacutegoutGnt
pegravere Dupanloup dans son berceaubis) Bandait deacutejagrave comme un toreau (bis) Et sur le sein de sa nourrice lIa ttrapa 18 chaude -pisse
pegravere Dupanloup monte en Mais il avai t le systeacuteme Quagrave trois cents megravetres
Ses couilles trainaient
ballon (bis) si long (B)
dans lathmosphegravere e~core par terrecirc
pegravere Dupanloup monte en bateau (bis) La pine en lairles couilles sous
Quand survint Qui lui mordit
pegravere Dupanloup Mais il avait Quen peacutedalant La peau de ses
pegravere Dupanloup
leau une grosae grenouille la peau des 80uilles
monte en le syst egraveme
agrave perdre couilleo
dans
en chemin
veacutelo (bis) si gros
haleine se sa
de Deacutesir mettre ses couilles agrave
prit chaine
fer(bis) lair
Passant sa pine par la portieacutere 11ere va l 0eil d II gar de barr i egravere
p egravere TIupanloup agrave lOdeacuteon Se conduisit comme un cochon Avec la peau de ses roupettes Il boucha le trou des cla1inettes e
Peacutere Dupanloup agrave lOpeacutera Se conduisit comme un goujat Au troisiegraveme acte dans la coulisse Il encula le pompier de service
pegravere Dupanloup agrave Saint-Malo Confesse les feGlmes dans Lill ~
tonneau Fassant sa pine par le trou de la
bonde Il seacutecrieuVla le s8uveur du
monde
pegravere Dupanloup le 14 Juillet Alla se promener agrave dos de mulet Pour que la fecircte soit complte Il encula la pauvre becircte
Fegravere Dupanloup fait cuire des oeuf Il les remue avec sa queue Sa femme qui passe dans la cuisine Lui di t ttcochon tu brucircles ta pine
Fegravere Du~anlou~ devenu vieux Ne bandait plus quune fois sur ~ Sarrachant la pine avec rage Il sen fit une canne de voyage
pegravere Dupanloup dans son cerceuil Bandait encore comme un chevreuil Avec sa pine en arc de cercle Il essaya de soulever le couvercle
pegravere Dupanloup au paradis Voulait enculer Jeacutesus Christ Non de Dieu dit le pegraveregrave eacuteternel Prends-tu le cie l pour un borde l
pegravere Dllpanloup Icircuttout confus De ne pouvoir lui foutre au cul Branlant sa pine de part et dautr Il aspergea les dOQze apocirctres
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~ r -middotmiddot
-0--
~-~
shy _ 1_-_
Du Dieu Vulcain quand leacutepouse fri- De Jupiterf3con vraiment divine ponne Le Jon lui pueil aime le goudron shy
Va boxonner loin de son vieux sournoisDfun trou agrave merdeil fait un trou Le noir jaloux que lamour aiguillonne Tranquillement se polit le chinbis Et bat le beurre Va-t-en di t-il ~ agrave ss fo utue femelle Cette facon e st Je me fous bien de ton con chassieux Pour terminer un De mes cinq doigts je fais une pucelleApr~3 ldessert Masturbons nouscest le plaisir des
Dieuxe
2 Bah Laissons lui oe p18isir ridicule Chacun dnilleurs sailluse agrave sa focon
Moi je preacutefegrave~e la maniegravere dHer6ule Jamais sa mainne l~i servit de con Le plus seacute11e trou la plus vieille
conn s se Rien nechappait a son vit glorieux
Nous serons fiers de marchermiddot sur ses
Traces Baisonsbaisons 9 cest le plaisir d~s
Dteux
3 Du Dieu Bacchus 9 quand 20cableacute dishy
vresse Le vit mollit etsur le co~ sendort 69 et le vit se renresse 69 ferai tbanderun mort a clitoristop parfun de fromage Fait regimlier nos engins victojeux A S8 vertu nous rendons tous hommage Gamahuchons 9 cest le plaisir des
Dieux )
l
Fo u tre
Foutons
agrave pine aQ milieu de leacutetron
di vinement bonne geuleton joyeux
on senc~le en couronne
Enculons nous cest le plaisir des
5 Quant agrave Plutonle Le moinllre effort AQssi veut-il sans
r Faire sucer son peUlS arrognnDt l + lJ nOJ8revan aux 8XTf~~S8S passees Tout 18nguj sS8n~s reacutejcissons nos
yeux Et laiss3nt faire une amante emshy
preacute)SS8J Lcissons sucerc1est ~e ~10isir des
Diel1x
r o rs st e Q insi_ quI 0 11 f 8 S 8 e agrave sa
_~Iampts
MnincoTI 9 cU1 9 bouche8U plaisir t 0 D tes t bon
SUT q1elque 2u~ el q~ or ceacutelegravebre fecircte
~o u jour 2 lagrave haut uuml~ est sur du
Foutre
Di evlX
Die~ agrave large pense lu~ semble fatigant craindre la deacuteshy
p9D set
fi arc~() n et joutr -IO~-U~_ J untque
middot1 - =~gt FI ire et j oU_ir vo il8 qlu~l s sont
amis qu liI~~or-t- la woniegravereacute Foutonsfoutonscest le plaisir
des DieLc
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AIR Mal bo ro ugh sten va-t-en guerre e
Lagrave haut sur la colline Un coup able de lenfer Les 2 piedsles 2 mains dans la Les de ux piedsles deux mains dans Lagrave-haut sur la colline merde Un coup able de lenfer la merde Il y avait un gros cu (bis) Qui ava it fait un gros peacute
Un gros cureacute de campagne Un gros p~cheacute mortel Les deux pieds Les deux pieds tooe ooeo 0000
Un gro s cureacute de campagne Un gros peacutecheacute mortel Quastiquait son gros bou (bis) Et nvait trop eacuteteacute (bis)
Son gros bouquin de prieacuteres Trop eacuteteacute 8U bordel Les deux pieds 0 Les deux piEds0 0 0 bullbull 11000 bullbull 00
Son gros bouquin de prleres Trop eacuteteacute au bordel Pour entrer dans un Con (bis) Ougrave il alloit quecircter (bis)
-Dans un confessionnal Quecircter laumone des pauvres Les deux pie d s bull 0 0 0 bull 0 0 0 Les deux pied~ 00 bullbullbull
Dans un confessionn31 Quecircter l Qum~ne des psuvres Pour y tirer un cou (bis) Qui en SV3iegravent besoin (bis)
CHA R LOT T E ~ ---I_middot middot--middot-I_(~-~~-
~ REFRAIN Branle (ter) Charlotte Branle (bis) ca fait du bien Branle (ter) ma chegravere Branle (bis) jusquagrave demain
1 LI
Dans son boudoir9~a petite Charlotte Ma is 6 mnlheur 5 6 fatale disgrace Chaude du con f3ute dAvoir un vit LQ jouiS8311Ce lui fi tfaire un Se masturbni t avec une carotte brlJ ~~qhes~ut
Et jouissait eacutetendue sur un lit Du contre l)oUP la c9rotte 88 ossee L Et dans le con il en reste un
Ah disai t-elle~ dnns le siegraveole oUgrave morceau nous sommes
Il faut savoir se passer des garcons Un meacutedecin praticien fort habile Moipour ma partje me fous bien Fut appeleacutequilui fit bieq du mal
des hommes Ma is par malheur la carotte indo- shyAvec ardeurje me branle le cont cile
3 Ne put sortir du conduit vaginal Alors 83 main neacutetant plus paresseuse Alla it vena it c omme un p e ti t re s So rt Mesdemoisellesque le sort de Et faisait jouir la petite vicieuse Charlotte Aussi ce jeu lui plaisait-il bien Puisse longtemps Vous servir de
fort lecon Ah croyez-moil a iss~z lagrave 18
(gt nro tte Preacutefeacuter8z lui le vit dun beau
gs rcon
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L A PO M P 0 NET T E
LE COlVUVLANDEUR DU CUL-SEC LE CHOEUR middot
Aimes tu mieux boire et deacutegueuler Quon verse agrave boire agrave ce cochon lagrave Queds npas oire 8t tJemmerder On verra bien sil d~gueulera bullbullbullbullbullbull eoOOOCJO bullbullbullbull O Pendant qUil deacutegueulera
Que son ~oisin sappr~teLE BUVSUR DESIGNE Pendant quil s3ppr~tera
Oui j oime mieux boire et deacutegueuler Ch3ntons ln pomponette Que denpas boire et memmerder L3 pomponette bullbull 0 bullbull 0080 bullbull 0 bullbullbullbullbullbull La pomponette
Il fil Lera (1) 00 O bull bull 0 bullbullbullbull
Ce cochon lagrave 8 bien fileacute A son voisin de rcommencer
LES MOINES DE SAINT-BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis) Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis) Si lprieur nous engueuleon chante des chansons
REFRAIN Vo ila c qui est bon et bon~ et bon Et voilk 13 viela viela viela vie cherie ah~ oh (bis) Et voilagrave la vie que tous les moines font
Pour notre souper de bons petits oiseaux (bis) Que lon nomme oaille ortolans ou perdrenux(lis) Et la fine nndouillette et la tranche de jambon
Pour notre coucherun lit aux draps bien blancs (bis) Avec une lone de 15 agrave 107 ans (bis) A la taille bien faite et aUx nichons bien ronds
Si cest ca la vie que tous les moines font (bis) Je me ferni moine avec ma Jeanneton (bis) Le soir dans ma chsmbrette je lui chatouillerai le bouton
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DLJ 1 VI
A la porte dtun couvent(bis) 1 l Y avait un moine Ah 1 djt- la soeur da couvent QlJ as-tu moine QU1ssctfLu mmine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine agrave gueuler tant
II Ma soeur je voudraisrentrer(bis)Maisma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Entre moine entre moine Ahr dit la so e ur du couvent Entre) moine e1 ngueule pas ~n~t
0 -
III Quand le ~oine fut entr~ (bi~) Il gueulait enoore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quas-tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu~ moine agrave gueuler tant
IV Ma sbeur je voudrai manger (bis) Ma i s ma s oe ur je n 0 s e Ah dit la soeur du couvent
M8nge ma ine mange mo ine Ah dit la soeur du couvent Mange mo ine J et lffie ~-gl-1~ ule pa e tant
v Quand le moine eut mElngeacute (is)
Il guelllait encore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quasftulmoine Ah dit la soeur du couvent qUas tu moine agrave geuler tant
Ma soeur je voudrai mcoucher -(BiS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Couche toi moinecouche toi moine Ah dit la soeur du couvet Couche tbi moine et gueule pas tant
VI-I Ccedilu~nd le moine fut cou~heacute (Bis) Il geulait encore Ah dit la soeur du couvent quas tu moine quas tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas tu moine agrave geuler tant
IX Ma soeur je voudrai vous baiser (bis) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine baise moi moine Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine et ne geule pas tant
IX Quand le moime eut baiseacutee (biS)Il geulait encore Ahl dit la soeur du couvent quas tu mOinequastu moine Ah dit la soeur du couvent Qutas tu moine ~ geuler tant
X
Ma soeur jvoudrai rcommencer (biS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Va au claque va au claque Ah dit la soeur du couvent Va au claque et fous-moi le camp
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((()ltrimiddot1
Samedi dernierceacutetait jour de la paye Et le soleil brillait agrave lhorizon Javais deacuteja bu cinq agrave six bouteilles l (bis) Jcrois bien qujamais jnavais eacuteteacute aussi rond)
Vlagrave ma bourgeoise qui sramegravene sur le zinc Et mdit Cochont ta quitteacute ton turbin
Ouiqujy reacutepond je men vais au meacutetinge) (bis) A u grand meacutet inge du Meacutetropo li tain J Les proleacutetaires dun eacutelan unanime y sont venus guideacutes par la raison _ En apportant chacQD cinquante centimes l
- ) (b2s)Pour soutenir les greacutevistes de Vierzon
avait Basile le mineur indompta ble cr lme linatr qu e st l honneur du part i (1)
sont monteacutes tous deux sur une table ( bis)Pour exposer la question sur le tapis Quand tout agrave coup on entend du bastringue C middotest un quidam qui veut faire son malin Il est venu pour saboter lMeacutetinge Le grand Megravetinge du Meacutetropolitain (bis)
Jy bondis dSBUS et avant quil rouspegravete Jy enfoncais jusquaux yeux son chapeau Il est parti sans demander son reste )
( bis)En faisant signe aux gardes municipaux (
Qui profitant ~e c que j1 eacutetais brinde zingue Mont emmeneacute au poste-le plus voisin Etc e st ainsi qu c e st termineacute le Meacutetinge ( ( bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetro~olitain
Couplet patriotique Peuple Francais la Bastille est deacutetruite Mais II y a encore des prisons pour tes fils Souviens toi bieuron des geacuteants dquarants-huit l (bis) Queacutetaient plus grands que les ceusses daujourdhui)
Couplet socia 1 Car cest toujours lpauvre ouvrier quicirc trinque
Cest lui quon met en prison pour des riens C eacutetait quand megraveme un bien joli Meacutetinge ) (bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetropolitain J
-(l)-Ces deux vers sont quelques fois remplaceacutes par les suivants
y avait Maurice le mineur indomptable Le gros Jacquot quest l honneur du parti
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PalU notre coucher dans de beaux draps bien blancs (hie) Avec une pucelle de seize ~ cent sept ans (bis)A la taille bien faite Et uxnichons bien ronds Cest ccedila qUest b0n et bon et bon I(au refrain)
Si cest lagrave la vie de les beacutecistes font (biS) Je mferais beacuteciste avec ma Janeton (biS) Et l soir dbns ma chaiTILbrette Jlui chatouillerai le bouton Cest ccedila quest ~on et bon et bon t (au refrain)
ff ff tf tr tl t Air nIl eacutetait un petitLE ~mSEE DATHENES
na vire
Visitez le Ruseacutee dAthegravenes (his) Vous y verrez reacutereacute bien conserveacutes (biS) Oheacute
Trois poils du cul de ~eacutemosthegravene (bis) Et les roustons ton ion du pegravere Caton(bis) Oheacute Oh6 1
~ 1
V(Uuml)~6 Y v9lZxe z la CM et e DiLne middot Le Et
egraveoh boumiddotlheacute pqrQJle les roustons tOl1ll~
banar~e ton du pegravere
~ -Oaton (bi~) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fils dHercule Photographieacutes quand ils senculent Etle s roust ons ton ton dQ pegravere Ca ton (bis) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fills dUlysse Photographieacutees ~endant quTelles pissent Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) ~heacute Oheacute l
Vous y verrez la megraveEgravee Egeacutee Caramboleacutee par le Pireacutee Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) Oheacute Oheacute 1
Vous y verre3 le cul dDiogegravene Deacuteveacuteroleacute agrave lThydrogegravene Et les roustons ton ton du pegravere Caton (biS) Oheacute Qheacute 1
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REFRAIN Et If on ST en fout dattraper la veacuterole Et l t on sen fOLlt pourvu qu 1 on tire un coup Avec 7 avec bullbull une femme bull sous les r C8~~ses
( Tous le c9uplet S 80)1 ~ ~ur le typ~ ~ d~ premier J Vivent les eacutetudiantegravema megravere Vivent les eacutetudiants t Ils ont des femmes e t pas dt enfants $$$~~$$~$~~~~$ $$~~$$$$$$ $ $ ~~$~ Vivent les eacutetudiants l $
~ ViTent les eacutetudiantes E 11 f S aiment a voir la pine au -v-entre bull ~ RE FRAIN
$AhI les fraises et les framboisesVivent les avocats bullbull Ah le bon vin ~ue nous avons buIls ont des couilles en chocolat bull iAh les belles villageoises ViTent les sor~onnards $Nous ne les reverrons plus Ils ont des couilles en peau dTleacutez~rdr bullbull ~
3 Suy la rout e de Montmartre Vi vent le S cOlonia ux De Mont oartre agrave Faris Ils ont des couilles en peau de chameau fiJ ai rencontreacute trois filles
~Trois filles de mon paysVi -ent le 3 cara bins bull $ Ils ont des femmes qui baisent bien $ f
~Jai rencontreacute trois il1e3 $iumlrois filles de mon paysVivent les carahines
E Iles adorent vous SLlcer la pine bullbullbull nJ embra sse la plLlS jeLUle lEt la plus belle aLlssi
Vivent les artilleursbullbull Ils tirent un coup tous les quarts i Je dansITemmegraven e ma chambre
d f he ure Et je la fous sur le lit
Vivent les pharmaciensbull Ils ont l permangaha te pour rienbullbull middotEJ8t regarde entre ses jambes
1 j y vois le paradis Vivent les pharmaciennesbullbull Elles sont putains OD bien Lesbiennes Je rgarde entre les miennesl
Et j ty vois Jeacutesus ChristVivent les PCE bullbull Ils ont les couumlt~~es galvaniseacutees Jeacutesus levant la tecircte Vivent les aviateurs ~Entra d3ns le Paradis Ils legravevent la qLleue tOLlS les i dheLil8 bullbull 1 Vivent les aviatrices $11 sy brisa le cracircne Elles ont le manche e~ vle ie~ ~uisses bull i La cervelle en jaillit
rVivent les arts deacuteco bullbull ~ Pleur z pleLlre Z1 me sdame sIls ont les couilles preacutes du pinceau hLa mort de Jeacutesus Christ
Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
$11 est encore en vie
11 Ji 1l- ~ igt tt Ji Lj ~ H plusmn i ~ ~ ft 4 Ltmiddot + ~i H ~ ~~ Ji y igt4 + t~ -- Li f-- ~ ~ -t u J 1 i -+ ~ q ~ gt~ ~ c ~ H + bull -c i ~ h t H li ~ middottt 4f H if lf H- if tf rt tI if tf ri +t l I tf iftf 11 r If l i of Il i1 ri i l ~( rf rf 11 Il ~ n r( Tl ~ i+r 1 ( rf Tl ri Ii II Ir rI li II If li middot( 11 1 lmiddot Il 11 rr n 1( tf if
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VIVE IE CHAMPAGNE ( Suite) =========
Prenez lagrave ma soeur elle nous servira Le soir au dortoir on sen eervira bullbullbullbull 1 t bull
Y a que Soeur Theacutereacutese qui nen anra pas oooo
1e cureacute du village lui en fournira
Rouge DOmme une cerise et gro~se ~omme le bras
LA BRABANCONNE TIUNE PUTAIN
lA ir La Bra banccedil onne
Je me souviensrlorsque jeacutetais jeune fille Quun jeune gagraverccedilon qui passait par bonheur Me trouva si mignonne et si gentille Quil me fit voir sa grosse pine en chaleur Et- t out -agrave-coup sous me s jupons s T eacutelance Leacutenorme q~eue quil ~enait agrave lagrave main Il deacutechira mon voile dinnocence Voilagrave pourquoi je me suis fait ~utain 1 (bis) Le Roi la Loi la LiberteacuteJ
Je ne sais pas si jeacutetais Qn peu coquinegrave jaimais deacutejagrave qUon me ohatouillacirct le bouton 7
Javais go 1teacute de ce bon jus de pine Jtav~s reccedilu du foutre dans le con Javais baiseacute je neacutetais plus pucelle Je cheacuterissais le meacutetier de putain Plus je baisais plus je deurovenais belle Voilagrave pourquoi je me suis fait putain 1 (biS) Le Roi la Loi la Li he Tt eacute l
Quoique je sois une fille publique J 8i l Tamour de l t humaniteacute Tout citoyen dans notre libre Belgique Doit- baiser et jouir en Li~erteacute Pour de largent le riche a ma fente Le pauv~elui peut en jouir pour rien kour soulager lhumaniteacute souffrante Voilagrave pourquoij e me SQis fait putain l (brus) Le Roi la Loi la Liberteacute 1
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LE CURE de SAINT SAUVEUR ===============
(
Jill FRAIN
Trou la tYou Trou la trou
Monsi~ur le cureacute dSaint-~uveur Quand il est mort il sest pendu Les oiseaux nont pas eu pe~r De feire leur nid dens le trou dson
cul
~~utjour en passant place verte Jentendis un chien peacuteter Ca prouvions que ctte pauvrbampte Na ~oint le trou du cul boucheacute
Le cureacute de Saint-Martin ~ui sait toutmiddot et qui nsait rien A coupeacute la queue de son 3ne Pour la mettre agrave son petit chien
Monsieur le cureacutecest un bon zouille Il aime tout il laisse rien y sest coupeacute la peau des couilles our faire une niche agrave son chien Jeacutesus Christ a une queacutequette pas plus grosse quune allumette Il sen sert pour faire pipi Vive la queacutequette agrave Jeacutesus Christ
A Paris les vielles bigottes Marchent toujours les yeux baisseacutes cest pour voir d3ns notculotte Si lchinois nes~t pas releveacute
A chanter avec laccent du ch N ord )
la trou la la la trou la la Mon grand pegravere et ma gYnnd megravere ont l f ha bi t _ude de coucher nus Lautjourgrand-pegravere en colegravere A mordu ma grand-megravere au cul
Si mon pegravere couche avec ma megravere Ce nest point par amusement Cest pour me faire un petit fregravere Qui meacutenera la vache aux champs
Jaime bien mon pegraverejaime bien ma meacutere
Mais jaime aussi mon bourricot MonbourricotyJe peux monter ~
dessus Mais sur ma mecircrecest deacutefendu
Ils eacutetaient quatre pauvre diables ~ui navaient pas de quoi se
Chauffer Ils ont tous chieacute sur la table Et se sont chauffeacutes agrave la fumeacutee
En Afrique les dromadaires ont la peau quest si tendue Que pou~ fermer les paupiegraveres y doivent ouvrir leur trou du cul
icircte middot agrave gauchette agrave droite Disait un sous-officier Ferme ta geule reacutepondit lautre Tu commences agrave nous fairs chier
Cochon dT un i tel (1)
Bois donc ton verre (Bis
Et surtout ne le renverse pas De frontibu8 ( Bis
A la martiale (Bis
Et glou glou glou glougrave glou (2)
Il est des notres ( Bis )
Car il a bu son verre comme les autres
(1) Nom dq buveur que lon fait boire (2) Jusquagrave ce que le verre soit videacute
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1 1
middot REERAIN
Kyrie Christe DQminum l10Jstrum Kyl~ie E le i son
l III Kyrie kyrie Dans les chambres de nos abbeacutes (his) De ns abbeacutes On nt y ~ange(bis) Que des m~t5 fort bien preacutepareacutes (bis) Mais nous autres Pauvres apocirctres Igtauvres moines Tripaillons de rooines Sacreacute nom de Dieu de religieux Nous ne bouffons que des mets frelateacutes E -E-E -E -le ison
II
Kyrie Kyrie Dans les (hambres de nos abbeacutes (bis)On ny boit Que des vins fort bien cacheteacutes (bis) Bien cacheteacutes Mais nous autres Pallvresmoines Tripaillons de moines Sacreacute nom de niell de religieux Nous ne buvons qlle de s vins fre JLat eacutes~ E -E -E -E -le ison
Kyrie kyrieDans les chambres de nos abbeacutes(bis) OJt1l- se couche Sllr des matelas bien douillet middots( bis) Las bien d~uilletsQMais nous autre s ) Pauvre s moine s TripaillonR de moines Sacreacute n pm de Dieu de religieux Nous couchons sur la paillede ~leacute E] 03 CE ~~ -le ison
IV Kyrie) kyrie Dans les ~ha mbres de nos abbeacutes(bis) ])e nos a tbeacutes j
On ny ~aise(bis) Que des fe ~mes de qualiteacute(his) ~e qucircali t eacute q
Mais nous autre s Pa u vre 8 ~ middot f)gt~~ J FalJvre s moinegrave s ) Tripaillons de moi~es Sacreacute n~m de Dieu de religieux Nous ne hais~s ~e des culs v6roleacutes E middotmiddotE middotE -E lei s oD
Kyrie~ kyrie Dans les chamtreH dG no s ab b Eacute3 (bis) pe J1iOS a~6h ~middot On 1lli r encule ( bj8 ) tugravee de s jeune s gens fort bi en t o tLrn es (his) Fort bien t ourneacutesc
Mais nous a utre s Pa ~Lvres a pocirc t r e s Pa uvre s moines Tripailffion~ ~e moines Sacreacute nom ~1e ic1 ~1 8 xreligj_ e ux
Bous ne pouvons que nous entreculer L E -E -E middot le ison o
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REFRAIN
l
Q~I Dieu recircva dans sa ~hilosophie Dtunir toujours les petits et les grands Oui Dieu recircvq agraveans sa philosopnegravee Dunir toujou~s les petits-et les grandso
l
Sur les d~~ris dune motte princiegravere Que la yeacuterole emportai t par lambeaux Un vieux morpion plu3ieurs fois0entenaire 9
A ses enfants disait ces derniers mts Suivez enfants~ le chemtn de ma vie 9
De tous les ccns soyez les conqueacuterants
II Jai vu le jour chez des peuples sauvages Qui du soleil se disaient rejetons 9
Jai traverseacute lAtlantique agrave la nage Sur les roustons du grand Christophe Colomb C~mme il donnait un monde agrave sa patrie~
Je le peuplai de nombreux habitants
III
Depuis pregraves de trois cent anneacutees Jai freacutequenteacute les plus hauts potentats~
Jtai poursuivi des pines couronneacutees Jai vu descoons engendrer des preacutelats Plus dun Saint Pegravere sur ses couilles fleacutetries Sentit grouiller mes arpions triomphants
IV De Louis Quatorze j ai SU0~ les cuisses~ Et jai veacutecu six mois p~us son b~ton Freacutedeacuteric II avait la ~haude-pissey Marie-Theacuteregravese avait un chaccre au ron Jai vu briller le scleil nItalie Au-dessus du trocircne des papes branlantso
V
Depugraveis jai eu des heures nalheureusefJ Bien peu de cons me furent hospitaliers Et le vagin dune religieuse Puait si fort que je faillis crever Dans les bidets j 1allais de compagnie Avec les spermatos agonisants
(agrave suivre)
bull
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LES MEMOIRES DUN middot DIORPION ( suite)
Jai vu baiser la reine dAngleter~e
Par les sous-offs de toute la garnison Jai burineacute les couilles du Saint-Pegravere Quand tous 19s soirs il allait au boxonQ Suivez nfants le chemin de nos fregraveres De tous les cons soyez les conqueacuterants
A Austerlitz agrave Friedlandagrave R0me Partout o~ le pousse le sort Jai pursuivi la pine du grand homme Mci s il est mort et moi je vis encore Jhabite le con dlla princesse Eugeacutenie Et j eacute le livre agrave va u s ~ ID es che r s enfant s ~ Il
Le vieux middotCC -- ~ C) Gi voulut parler encore Mais dans Sa Jauche sa langue se gl a ccedila Un froit mortel envahit tOQt son copps Et l ent ement l e Ild0 rp ion exp i rI)
Du bout d ILJn pc~ ~l ql1 ~agi tait lagonie Il se raidit et dit agrave ses enfantpo
Au refrain
IV Entrant dans une eacuteglise Je te fr a i voir de lherbe Je ne vis dabord rien Qui pousse dans ma main Quun vieux cochon de moine V Qui se branlait dans un coin Qui fait grossir le ventre
Et arrondir les seinsREFRAIN VISi je tencule 9 cule~ cule
Et nous ferons ensembleSi je tencule best pour ton bien Un petit capucin
Si je te Baise~ baise 9 baise VIISi je te baise cestppur le mien Aux couilles tricolores
II Au poil du cul chatain Qun vieux cochon de moine VIII Qui se branla i t dans un coin Il aura la veacuter81e Et confessait les filles Sa megravere lavait bien Du soir jusquau matin IX
II I I l ira a~ bordel middot Il dit agrave la ~us jeune Son pegravere y allait bien
Tu reviendras dem8in JC-Encul er les maqueDelles Fa ire œinette aux putains
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LA DIGUE DU CUL ----------shy~-----~
La digue du cul en revenant de La digue du cu1 1 non re nest pas Nantes ( Bis ) le diable ( Bis
De Nantes agrave Montaigtl la Digue ~ Mais un gros dard pointuooooo la digue
La digue du culqui bande et quiDe Nantes agrave lVIo nta igu la digue du
deacutecharge ( Bis )OuI Et qui a beaucoup de jus La digue du cul je rencontre une
Belle ( Bis ) La digue du cu1 9 si ce nest pas le Qui dormait le cul nu le diable ( Bis )0middot bullbull 000
La digue dQ cul je bande mon Il est bien dans mon culoooo 0
arbalete ( Bis ) La digue du c~19sil y est quilLa fous droit au but 060~0
y reste ( Bis) La digue du cu1 1 la belle se reacuteshy Et qufil nen sorte plus 00
veille ( His ) Et dit J ta i l c diah l eau cul 0 bull 0
JEANNETON ===-===-==
Jeanneton prend sa faucille Le second un peu moins sage LaliretteLalirette LaliretteLalirette
Jeanneton prend sa fallcille Le second un peu moins sage Pour aller couper des joncs (bis) La coucha sur le gaz1n (bis)
En chemin elle rencontre Le troisieacuteme un intreacutepide Lalirette 9 Lalirette Lalirette lalirette
En chemin elle rencontre Le troisiegraveme un intr~pide
4 jeunes et beaux garcon3 (bis) Releva son blanc jupon (bis)
Le premier un peu timide CB que fit le quatriegraveme LaliretteLalirette Lalirette 9 Laltette
Le premier un peQ timide c~ rJue fit le quatriegraveme Lrembrassa sur le menton (bis) Nest p~s dit dans la ohansen (bis)
Si vous le saviez Mesdames LaliretteLalirette
Si vous le saviez Mesdames Vous iriez couper des joncs (bis)
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LE BORDEL A FE RlŒE SES VOLETS Air~ L-n guin~glicirceumltt euml--rermeacute-s8s-volets
IJ e b 0 rd e el a f e rm eacute ses vo let s
Elles sont toutes veacuteroleacutees y a plus moyen qUon boise Le dernier qui y est alleacute Pour se faire faire un pompier Est r1venu avec la pine enfl~e jheacutet
Le toubid qui les a visiteacutees A tout de su~te deacuteclareacute y faut plus quon les baise l La mnreacutechausseacutees les n toutes boucl~es
Et le bordei 3 fermeacute ses volets
Totor quest un habitu~ A voulu y aller Disnnt Cest dla foutaise Ir
Mais trois jours apr~s il npouv9it plus marcher
Tant sa pine eacutetait deacute13breacutee Oheacute
A 1 hosto 9 on lt 3 transporteacute Lui laissarlt Suumlpp0ser Que ce leacuteeer malaise Ne lempecircchersit pas drevenir baiser QU82 J_bordel rocvrirGit ses volets
Le toubid lui ayant conseilleacute De ne ~us coiumlter Sans une capote angl Ai$e 9
Arssitocirct smi t sur pied 9 il en [) comm3ndeacute
Douze douzaines avec bout renforceacute
Au premier coup qUil a tireacute Cest ~es couilies qUontlacheacute Pas ln capte anglaise On les n r tro uveacutees aux qu~at coins
du quartier Et lbordel a fermeacute ses volets
Air Marc he fun~bre n
TottOr nest plus Les putains lont descendu Un franccedilais de plus Que les Anglais auront foutu Et sa pine Quav~it belle mine Ne bander8 plus Ainsi triomphe la vertu
Air La guinguette bull
Le bnrdel a rouvert ses volets Par un bequ matin de mai Au temps des premi~res frsises Lpersonnel ~tait enti~rement
reno uveleacute Et la tocircli~re -eacutetai t toute en c -A
be3uteacuteOheacutel
La ~oule se pressait etvriait Elle avait oubli~ quldanger Quand on ba i se Etait dse confier au machins
anglais Et lbordel sest payeacute des
bidets
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shy J_Eshymiddotr (Chanson des Be~ux Arts)J REFRAIN
bulli---- Le casque est une coiffure1 r Qui sied agravela figure
i r-
J Un casqu~ de pompier
Jbull---- Ca fait presque guer~ierj C8middot lui donne un air vainqueur Qui sied ~as mol agrave sa valeur
icirc-]--- Sous son casque luisant t
Il a lair vr3iment eacutepatantT J Zim l a boum zim l a y la
--- - On peut lfblsguer t3nt quon voudraImiddotmiddot~-
-_shy Le pomp1egraveer est bien ou-dessus dccedilagrave--T--1shy
l On dit quelquefois au village Qun casque ccedila sert agrave rien du toutl
- rien du tout Ca sert agrave donner du courage
A ceux qui nen ont pas du tout shypas du toutl
De loin ccedila prend Jes airs fan~asques Et chacun dit en les voyant - en les
voyant Quils sont donc beaux avec leurs
c8sques Ca leur donne un p~tit 8ir ~patnnt
II
On nous raconte dans lh~stoire
Que les Romains et les Gaulois les Gaulois
Ces fils oneacuteris de la victoire Portaient des casques autrefois shy
autrefois Le cnsque cest donc l heacuteritage De tous ces guerriers valeureux shy
riers valeureux ~
Et si nous lsvons eh partage Cest gufnous sommes guerriers comme
eux
III
On sait que chacun sur la terre A son faible ou sa passion shy
sa pa ssion l Le pompier quest un militaire Est fier de S3 ~osition - sa
po si ti(l)n Le sapeur datsa barbe noire Est orgueilleux de son bonnetshy
de son bonnet Le pompier met toute S3 gloire Dans son casque et dans son
]lumet
V Les jours ousquil y Q fecircte Il endosse ses plus benuE hsbits
- 1) e el ux habi + rjJ Il met 80n casque sur sa tecircte Puis agrave lombre de sa visiegravere Pour aller flaner dans le pays
- dans le pRyS
Quand il rencontre un jeune teri i dron - jeune tendron
Il lance une oeillnde incendiaplusmnp~
Le yompier est tellement polisson _
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LES CENT LOUIS DOR (Air des Louis dOr)
Un soir dans une diligenoe Sur une route entre deux bois 9
Je branlaisavec assurance Une fillette pu frais minois Javais retrouss~ S3 chemise Et mis la ~3in sur son bouton Et je branlais malgregrave la bise A d~chirer mon pantalon Pour un quart dheure entre ses
cuisses Un prinoe sut dann~ ses tr~sors
Et moi j 3urais Dieu me beacutenisse Jaurais donneacutec oent Louis dtOr
Las de branler eacuteans r~sistance
La tecircte en feu~ la pine aussi Je pris 8a ~ain quelle ind~cence
Et la mis en forme dteacutetuis Je jouissais ~ perdre haleine Sa main sa robe en eacutetaient pleines Et cel~ne suffisait pas Sentant rallumer ma fournaise Je lui di slltiens f3i s pl us encor Sortons dici que je te boise ~
Je te egravecnne cent Louis dOr
La belle alors~toute confuse Me reacuteponctit ingeacutenument
Pardon Monsieur je refuse Ce que vous moffrez galamment M8is j 8i jureacute de rester sage Pour mon fiunQ6 mon mari De conserver mon puoelage ~-
Il ne s egraver r l j ama i s (~llJ tih~lUfL l 2 Ji Tu naura spa s le ri di c ul e Dis-je darrecircter ton essor Permets aU moins que je tencule J e te prGtmets nent Louis d Or ll
0
Au premier relais sur ln route Nous descendimes promptement~ Au CQl~ il faut que je te foute Nepouvant te foutre autrement Dans une auberge nous entraIDes Tout st Y trouvsit bon feu bon lit Brucirclants dqmour nous nous couchacircmes Je lenculai toute 13 nuit bull NU i s PQ ur changer de joui ssanc e s Je lui dis tiens fais plus encore Livre ton con et lttout d f av3nce Jete p bo ID et s 0 ent L 0 lAgravei s d ~ 0 r bull
ttJe veux bien~ sans plus de harange Dit-elle en me succedilant le gland~ Livrer mon con agrave votre langue Pour ne pas tr8hir mon serment Aussi~6t plac~s tecircte b~che Comme deux amants dans le lit Avec ardeur je la legraveche Pendant quelle me suce le vit Mais la voyant bi~ntocirct pam~G Je ps lui ravir son treacutesor Et je lui dis la pine entr~e~ Je ga gne mes c ent Louis d ~ 0 r n bull
Huit jours apregraves cette aventure Jeacutet8~S de retour ~ Paris Ne pren8nt llUs de nourri ture Restant pensif au logis o
A la gorge ainsi quIa la pine Javais ceacutetait inqugraveieacutetant Chancre poulain on 18 devine Une ch3ude pisse en rlecircmecirc temps Prenant le parti le plus sage Je me transporte che~ Rocord Qui me di t ~ nUn tel puoe18ge Vous co ucirctera cent Loui s d JOrn
Ir 1 Ir Il Il Il 1 P Il lt Il It H
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)
1 61-__-
l 5 Lautrjour ~ la consultation Pour ceux- yen 3 d 1 si deacutegoatants- Ltoubib 9 un vieux ~ lnir antique Qui deacutesirent to ut fa ire psr derriegravere Apr~s mavoir ~arfouilleacute lco~ Jorois qucest encore plus ~pnt8nt Ma dit qUjeacutetais syphilitique 0 y 8 vraiment dqu~i se egraveatisfaire Les meacutedecinsegraveest oomme les cureacutes Mon 9nus cest comm une vraie fletr Il faut bien lescroire sur parol t Une rose ~ triple corolle t Mais vrai ccedilui l~ ma sideacutereacutee On leffeuillerait avec bonheur Jpeux pas croire qucest ccedila la ~ ~Jpeux pas croire qucest ccedilagrave la
veacuterole veacuterole
2 6 Ca commenceacute par un bouton L autr t jour vl~-1 quen bntifolant Qu6tait situeacute tout nupregraves dlautre Jai vu q~mon typ le m6m Eug~ne Un peu plUS dur uL peu middotplus rond Il 3 queacuteqLl chose aussi maintenant Vrai grain d chnIl let pour mes Fout x7Tsiment qu on ait pns d veJne
p8tnocirctres Cest comme une pastille SLlr son Comme y mchatouillait dtemps en gland
temps On grille r9 ln sucer ma parole Je mgratouillaisccedila fsait tout drocircle Cest rondcest rose et cest y mIn fait mouiller ~~en souvent charmant ~
J p eux p 3 S C ro ire qu c est Ccedil8 la J p eux po s c ro ire qu c est ccedilagrave la veacuterole veacuterole
3 Puis sur le corl s il mest venu A lhopi tal ougrave j 1 ~ui s alleacutee Toutes une floppeacutee de ptites taches On ma montr~ ~ msieur lInterne
roses Un grgrtd gars agrave lair d~lur~ Qui contrastaient sur mon corps nu Qui mo ploteacutee dun nir p1terne Avec 18 blancheur des middot8ut choses Apregraves ru nvqir liien reluqueacutee Jcrois mecircme qUceacutetait plus joli -Pourtant ~ poi1 9 je nsuis pas y en a bien qui se foutsur la fiole gn61eshyDu cold-cream et dla poudre de riz Il ne sest mecircme pas fRit br8nler Jpeux pas croire qucest ccedil~ 18 veacuterole Ah oui j vois bien qujai
11 veacuterole
4 Comme ccedilagrave spassait j Qi constateacute Que par en ba sc eacuteit21i t PD s- 02 illme Quand dans ln glace je msuis rg~rdeacutee9
On aurait dit un vrai diadegraveme N en nva~t des ronds des pointus Cest velouteacute quand on les frocircle Oa fait trentsix ptits mamlons dplusa
J peux pas croire qLl egrave est ccedil~ la veacuterole ~
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Pegravere Dupanloup dans luteacuterus (bis) Etait deacuteja si plein dastuce (bis) Que dans le vagin de sa megravere Il succedilait la pine de son pegravere
RE~RAIN Ah ah ah oui vraiment
~ Pegravers Dupanloup (bis) Ah ah ah oui vraiment
pegravere Dupanloup est deacutegoutGnt
pegravere Dupanloup dans son berceaubis) Bandait deacutejagrave comme un toreau (bis) Et sur le sein de sa nourrice lIa ttrapa 18 chaude -pisse
pegravere Dupanloup monte en Mais il avai t le systeacuteme Quagrave trois cents megravetres
Ses couilles trainaient
ballon (bis) si long (B)
dans lathmosphegravere e~core par terrecirc
pegravere Dupanloup monte en bateau (bis) La pine en lairles couilles sous
Quand survint Qui lui mordit
pegravere Dupanloup Mais il avait Quen peacutedalant La peau de ses
pegravere Dupanloup
leau une grosae grenouille la peau des 80uilles
monte en le syst egraveme
agrave perdre couilleo
dans
en chemin
veacutelo (bis) si gros
haleine se sa
de Deacutesir mettre ses couilles agrave
prit chaine
fer(bis) lair
Passant sa pine par la portieacutere 11ere va l 0eil d II gar de barr i egravere
p egravere TIupanloup agrave lOdeacuteon Se conduisit comme un cochon Avec la peau de ses roupettes Il boucha le trou des cla1inettes e
Peacutere Dupanloup agrave lOpeacutera Se conduisit comme un goujat Au troisiegraveme acte dans la coulisse Il encula le pompier de service
pegravere Dupanloup agrave Saint-Malo Confesse les feGlmes dans Lill ~
tonneau Fassant sa pine par le trou de la
bonde Il seacutecrieuVla le s8uveur du
monde
pegravere Dupanloup le 14 Juillet Alla se promener agrave dos de mulet Pour que la fecircte soit complte Il encula la pauvre becircte
Fegravere Dupanloup fait cuire des oeuf Il les remue avec sa queue Sa femme qui passe dans la cuisine Lui di t ttcochon tu brucircles ta pine
Fegravere Du~anlou~ devenu vieux Ne bandait plus quune fois sur ~ Sarrachant la pine avec rage Il sen fit une canne de voyage
pegravere Dupanloup dans son cerceuil Bandait encore comme un chevreuil Avec sa pine en arc de cercle Il essaya de soulever le couvercle
pegravere Dupanloup au paradis Voulait enculer Jeacutesus Christ Non de Dieu dit le pegraveregrave eacuteternel Prends-tu le cie l pour un borde l
pegravere Dllpanloup Icircuttout confus De ne pouvoir lui foutre au cul Branlant sa pine de part et dautr Il aspergea les dOQze apocirctres
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~ r -middotmiddot
-0--
~-~
shy _ 1_-_
Du Dieu Vulcain quand leacutepouse fri- De Jupiterf3con vraiment divine ponne Le Jon lui pueil aime le goudron shy
Va boxonner loin de son vieux sournoisDfun trou agrave merdeil fait un trou Le noir jaloux que lamour aiguillonne Tranquillement se polit le chinbis Et bat le beurre Va-t-en di t-il ~ agrave ss fo utue femelle Cette facon e st Je me fous bien de ton con chassieux Pour terminer un De mes cinq doigts je fais une pucelleApr~3 ldessert Masturbons nouscest le plaisir des
Dieuxe
2 Bah Laissons lui oe p18isir ridicule Chacun dnilleurs sailluse agrave sa focon
Moi je preacutefegrave~e la maniegravere dHer6ule Jamais sa mainne l~i servit de con Le plus seacute11e trou la plus vieille
conn s se Rien nechappait a son vit glorieux
Nous serons fiers de marchermiddot sur ses
Traces Baisonsbaisons 9 cest le plaisir d~s
Dteux
3 Du Dieu Bacchus 9 quand 20cableacute dishy
vresse Le vit mollit etsur le co~ sendort 69 et le vit se renresse 69 ferai tbanderun mort a clitoristop parfun de fromage Fait regimlier nos engins victojeux A S8 vertu nous rendons tous hommage Gamahuchons 9 cest le plaisir des
Dieux )
l
Fo u tre
Foutons
agrave pine aQ milieu de leacutetron
di vinement bonne geuleton joyeux
on senc~le en couronne
Enculons nous cest le plaisir des
5 Quant agrave Plutonle Le moinllre effort AQssi veut-il sans
r Faire sucer son peUlS arrognnDt l + lJ nOJ8revan aux 8XTf~~S8S passees Tout 18nguj sS8n~s reacutejcissons nos
yeux Et laiss3nt faire une amante emshy
preacute)SS8J Lcissons sucerc1est ~e ~10isir des
Diel1x
r o rs st e Q insi_ quI 0 11 f 8 S 8 e agrave sa
_~Iampts
MnincoTI 9 cU1 9 bouche8U plaisir t 0 D tes t bon
SUT q1elque 2u~ el q~ or ceacutelegravebre fecircte
~o u jour 2 lagrave haut uuml~ est sur du
Foutre
Di evlX
Die~ agrave large pense lu~ semble fatigant craindre la deacuteshy
p9D set
fi arc~() n et joutr -IO~-U~_ J untque
middot1 - =~gt FI ire et j oU_ir vo il8 qlu~l s sont
amis qu liI~~or-t- la woniegravereacute Foutonsfoutonscest le plaisir
des DieLc
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AIR Mal bo ro ugh sten va-t-en guerre e
Lagrave haut sur la colline Un coup able de lenfer Les 2 piedsles 2 mains dans la Les de ux piedsles deux mains dans Lagrave-haut sur la colline merde Un coup able de lenfer la merde Il y avait un gros cu (bis) Qui ava it fait un gros peacute
Un gros cureacute de campagne Un gros p~cheacute mortel Les deux pieds Les deux pieds tooe ooeo 0000
Un gro s cureacute de campagne Un gros peacutecheacute mortel Quastiquait son gros bou (bis) Et nvait trop eacuteteacute (bis)
Son gros bouquin de prieacuteres Trop eacuteteacute 8U bordel Les deux pieds 0 Les deux piEds0 0 0 bullbull 11000 bullbull 00
Son gros bouquin de prleres Trop eacuteteacute au bordel Pour entrer dans un Con (bis) Ougrave il alloit quecircter (bis)
-Dans un confessionnal Quecircter laumone des pauvres Les deux pie d s bull 0 0 0 bull 0 0 0 Les deux pied~ 00 bullbullbull
Dans un confessionn31 Quecircter l Qum~ne des psuvres Pour y tirer un cou (bis) Qui en SV3iegravent besoin (bis)
CHA R LOT T E ~ ---I_middot middot--middot-I_(~-~~-
~ REFRAIN Branle (ter) Charlotte Branle (bis) ca fait du bien Branle (ter) ma chegravere Branle (bis) jusquagrave demain
1 LI
Dans son boudoir9~a petite Charlotte Ma is 6 mnlheur 5 6 fatale disgrace Chaude du con f3ute dAvoir un vit LQ jouiS8311Ce lui fi tfaire un Se masturbni t avec une carotte brlJ ~~qhes~ut
Et jouissait eacutetendue sur un lit Du contre l)oUP la c9rotte 88 ossee L Et dans le con il en reste un
Ah disai t-elle~ dnns le siegraveole oUgrave morceau nous sommes
Il faut savoir se passer des garcons Un meacutedecin praticien fort habile Moipour ma partje me fous bien Fut appeleacutequilui fit bieq du mal
des hommes Ma is par malheur la carotte indo- shyAvec ardeurje me branle le cont cile
3 Ne put sortir du conduit vaginal Alors 83 main neacutetant plus paresseuse Alla it vena it c omme un p e ti t re s So rt Mesdemoisellesque le sort de Et faisait jouir la petite vicieuse Charlotte Aussi ce jeu lui plaisait-il bien Puisse longtemps Vous servir de
fort lecon Ah croyez-moil a iss~z lagrave 18
(gt nro tte Preacutefeacuter8z lui le vit dun beau
gs rcon
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L A PO M P 0 NET T E
LE COlVUVLANDEUR DU CUL-SEC LE CHOEUR middot
Aimes tu mieux boire et deacutegueuler Quon verse agrave boire agrave ce cochon lagrave Queds npas oire 8t tJemmerder On verra bien sil d~gueulera bullbullbullbullbullbull eoOOOCJO bullbullbullbull O Pendant qUil deacutegueulera
Que son ~oisin sappr~teLE BUVSUR DESIGNE Pendant quil s3ppr~tera
Oui j oime mieux boire et deacutegueuler Ch3ntons ln pomponette Que denpas boire et memmerder L3 pomponette bullbull 0 bullbull 0080 bullbull 0 bullbullbullbullbullbull La pomponette
Il fil Lera (1) 00 O bull bull 0 bullbullbullbull
Ce cochon lagrave 8 bien fileacute A son voisin de rcommencer
LES MOINES DE SAINT-BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis) Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis) Si lprieur nous engueuleon chante des chansons
REFRAIN Vo ila c qui est bon et bon~ et bon Et voilk 13 viela viela viela vie cherie ah~ oh (bis) Et voilagrave la vie que tous les moines font
Pour notre souper de bons petits oiseaux (bis) Que lon nomme oaille ortolans ou perdrenux(lis) Et la fine nndouillette et la tranche de jambon
Pour notre coucherun lit aux draps bien blancs (bis) Avec une lone de 15 agrave 107 ans (bis) A la taille bien faite et aUx nichons bien ronds
Si cest ca la vie que tous les moines font (bis) Je me ferni moine avec ma Jeanneton (bis) Le soir dans ma chsmbrette je lui chatouillerai le bouton
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DLJ 1 VI
A la porte dtun couvent(bis) 1 l Y avait un moine Ah 1 djt- la soeur da couvent QlJ as-tu moine QU1ssctfLu mmine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine agrave gueuler tant
II Ma soeur je voudraisrentrer(bis)Maisma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Entre moine entre moine Ahr dit la so e ur du couvent Entre) moine e1 ngueule pas ~n~t
0 -
III Quand le ~oine fut entr~ (bi~) Il gueulait enoore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quas-tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu~ moine agrave gueuler tant
IV Ma sbeur je voudrai manger (bis) Ma i s ma s oe ur je n 0 s e Ah dit la soeur du couvent
M8nge ma ine mange mo ine Ah dit la soeur du couvent Mange mo ine J et lffie ~-gl-1~ ule pa e tant
v Quand le moine eut mElngeacute (is)
Il guelllait encore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quasftulmoine Ah dit la soeur du couvent qUas tu moine agrave geuler tant
Ma soeur je voudrai mcoucher -(BiS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Couche toi moinecouche toi moine Ah dit la soeur du couvet Couche tbi moine et gueule pas tant
VI-I Ccedilu~nd le moine fut cou~heacute (Bis) Il geulait encore Ah dit la soeur du couvent quas tu moine quas tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas tu moine agrave geuler tant
IX Ma soeur je voudrai vous baiser (bis) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine baise moi moine Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine et ne geule pas tant
IX Quand le moime eut baiseacutee (biS)Il geulait encore Ahl dit la soeur du couvent quas tu mOinequastu moine Ah dit la soeur du couvent Qutas tu moine ~ geuler tant
X
Ma soeur jvoudrai rcommencer (biS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Va au claque va au claque Ah dit la soeur du couvent Va au claque et fous-moi le camp
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((()ltrimiddot1
Samedi dernierceacutetait jour de la paye Et le soleil brillait agrave lhorizon Javais deacuteja bu cinq agrave six bouteilles l (bis) Jcrois bien qujamais jnavais eacuteteacute aussi rond)
Vlagrave ma bourgeoise qui sramegravene sur le zinc Et mdit Cochont ta quitteacute ton turbin
Ouiqujy reacutepond je men vais au meacutetinge) (bis) A u grand meacutet inge du Meacutetropo li tain J Les proleacutetaires dun eacutelan unanime y sont venus guideacutes par la raison _ En apportant chacQD cinquante centimes l
- ) (b2s)Pour soutenir les greacutevistes de Vierzon
avait Basile le mineur indompta ble cr lme linatr qu e st l honneur du part i (1)
sont monteacutes tous deux sur une table ( bis)Pour exposer la question sur le tapis Quand tout agrave coup on entend du bastringue C middotest un quidam qui veut faire son malin Il est venu pour saboter lMeacutetinge Le grand Megravetinge du Meacutetropolitain (bis)
Jy bondis dSBUS et avant quil rouspegravete Jy enfoncais jusquaux yeux son chapeau Il est parti sans demander son reste )
( bis)En faisant signe aux gardes municipaux (
Qui profitant ~e c que j1 eacutetais brinde zingue Mont emmeneacute au poste-le plus voisin Etc e st ainsi qu c e st termineacute le Meacutetinge ( ( bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetro~olitain
Couplet patriotique Peuple Francais la Bastille est deacutetruite Mais II y a encore des prisons pour tes fils Souviens toi bieuron des geacuteants dquarants-huit l (bis) Queacutetaient plus grands que les ceusses daujourdhui)
Couplet socia 1 Car cest toujours lpauvre ouvrier quicirc trinque
Cest lui quon met en prison pour des riens C eacutetait quand megraveme un bien joli Meacutetinge ) (bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetropolitain J
-(l)-Ces deux vers sont quelques fois remplaceacutes par les suivants
y avait Maurice le mineur indomptable Le gros Jacquot quest l honneur du parti
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PalU notre coucher dans de beaux draps bien blancs (hie) Avec une pucelle de seize ~ cent sept ans (bis)A la taille bien faite Et uxnichons bien ronds Cest ccedila qUest b0n et bon et bon I(au refrain)
Si cest lagrave la vie de les beacutecistes font (biS) Je mferais beacuteciste avec ma Janeton (biS) Et l soir dbns ma chaiTILbrette Jlui chatouillerai le bouton Cest ccedila quest ~on et bon et bon t (au refrain)
ff ff tf tr tl t Air nIl eacutetait un petitLE ~mSEE DATHENES
na vire
Visitez le Ruseacutee dAthegravenes (his) Vous y verrez reacutereacute bien conserveacutes (biS) Oheacute
Trois poils du cul de ~eacutemosthegravene (bis) Et les roustons ton ion du pegravere Caton(bis) Oheacute Oh6 1
~ 1
V(Uuml)~6 Y v9lZxe z la CM et e DiLne middot Le Et
egraveoh boumiddotlheacute pqrQJle les roustons tOl1ll~
banar~e ton du pegravere
~ -Oaton (bi~) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fils dHercule Photographieacutes quand ils senculent Etle s roust ons ton ton dQ pegravere Ca ton (bis) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fills dUlysse Photographieacutees ~endant quTelles pissent Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) ~heacute Oheacute l
Vous y verrez la megraveEgravee Egeacutee Caramboleacutee par le Pireacutee Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) Oheacute Oheacute 1
Vous y verre3 le cul dDiogegravene Deacuteveacuteroleacute agrave lThydrogegravene Et les roustons ton ton du pegravere Caton (biS) Oheacute Qheacute 1
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REFRAIN Et If on ST en fout dattraper la veacuterole Et l t on sen fOLlt pourvu qu 1 on tire un coup Avec 7 avec bullbull une femme bull sous les r C8~~ses
( Tous le c9uplet S 80)1 ~ ~ur le typ~ ~ d~ premier J Vivent les eacutetudiantegravema megravere Vivent les eacutetudiants t Ils ont des femmes e t pas dt enfants $$$~~$$~$~~~~$ $$~~$$$$$$ $ $ ~~$~ Vivent les eacutetudiants l $
~ ViTent les eacutetudiantes E 11 f S aiment a voir la pine au -v-entre bull ~ RE FRAIN
$AhI les fraises et les framboisesVivent les avocats bullbull Ah le bon vin ~ue nous avons buIls ont des couilles en chocolat bull iAh les belles villageoises ViTent les sor~onnards $Nous ne les reverrons plus Ils ont des couilles en peau dTleacutez~rdr bullbull ~
3 Suy la rout e de Montmartre Vi vent le S cOlonia ux De Mont oartre agrave Faris Ils ont des couilles en peau de chameau fiJ ai rencontreacute trois filles
~Trois filles de mon paysVi -ent le 3 cara bins bull $ Ils ont des femmes qui baisent bien $ f
~Jai rencontreacute trois il1e3 $iumlrois filles de mon paysVivent les carahines
E Iles adorent vous SLlcer la pine bullbullbull nJ embra sse la plLlS jeLUle lEt la plus belle aLlssi
Vivent les artilleursbullbull Ils tirent un coup tous les quarts i Je dansITemmegraven e ma chambre
d f he ure Et je la fous sur le lit
Vivent les pharmaciensbull Ils ont l permangaha te pour rienbullbull middotEJ8t regarde entre ses jambes
1 j y vois le paradis Vivent les pharmaciennesbullbull Elles sont putains OD bien Lesbiennes Je rgarde entre les miennesl
Et j ty vois Jeacutesus ChristVivent les PCE bullbull Ils ont les couumlt~~es galvaniseacutees Jeacutesus levant la tecircte Vivent les aviateurs ~Entra d3ns le Paradis Ils legravevent la qLleue tOLlS les i dheLil8 bullbull 1 Vivent les aviatrices $11 sy brisa le cracircne Elles ont le manche e~ vle ie~ ~uisses bull i La cervelle en jaillit
rVivent les arts deacuteco bullbull ~ Pleur z pleLlre Z1 me sdame sIls ont les couilles preacutes du pinceau hLa mort de Jeacutesus Christ
Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
$11 est encore en vie
11 Ji 1l- ~ igt tt Ji Lj ~ H plusmn i ~ ~ ft 4 Ltmiddot + ~i H ~ ~~ Ji y igt4 + t~ -- Li f-- ~ ~ -t u J 1 i -+ ~ q ~ gt~ ~ c ~ H + bull -c i ~ h t H li ~ middottt 4f H if lf H- if tf rt tI if tf ri +t l I tf iftf 11 r If l i of Il i1 ri i l ~( rf rf 11 Il ~ n r( Tl ~ i+r 1 ( rf Tl ri Ii II Ir rI li II If li middot( 11 1 lmiddot Il 11 rr n 1( tf if
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LE CURE de SAINT SAUVEUR ===============
(
Jill FRAIN
Trou la tYou Trou la trou
Monsi~ur le cureacute dSaint-~uveur Quand il est mort il sest pendu Les oiseaux nont pas eu pe~r De feire leur nid dens le trou dson
cul
~~utjour en passant place verte Jentendis un chien peacuteter Ca prouvions que ctte pauvrbampte Na ~oint le trou du cul boucheacute
Le cureacute de Saint-Martin ~ui sait toutmiddot et qui nsait rien A coupeacute la queue de son 3ne Pour la mettre agrave son petit chien
Monsieur le cureacutecest un bon zouille Il aime tout il laisse rien y sest coupeacute la peau des couilles our faire une niche agrave son chien Jeacutesus Christ a une queacutequette pas plus grosse quune allumette Il sen sert pour faire pipi Vive la queacutequette agrave Jeacutesus Christ
A Paris les vielles bigottes Marchent toujours les yeux baisseacutes cest pour voir d3ns notculotte Si lchinois nes~t pas releveacute
A chanter avec laccent du ch N ord )
la trou la la la trou la la Mon grand pegravere et ma gYnnd megravere ont l f ha bi t _ude de coucher nus Lautjourgrand-pegravere en colegravere A mordu ma grand-megravere au cul
Si mon pegravere couche avec ma megravere Ce nest point par amusement Cest pour me faire un petit fregravere Qui meacutenera la vache aux champs
Jaime bien mon pegraverejaime bien ma meacutere
Mais jaime aussi mon bourricot MonbourricotyJe peux monter ~
dessus Mais sur ma mecircrecest deacutefendu
Ils eacutetaient quatre pauvre diables ~ui navaient pas de quoi se
Chauffer Ils ont tous chieacute sur la table Et se sont chauffeacutes agrave la fumeacutee
En Afrique les dromadaires ont la peau quest si tendue Que pou~ fermer les paupiegraveres y doivent ouvrir leur trou du cul
icircte middot agrave gauchette agrave droite Disait un sous-officier Ferme ta geule reacutepondit lautre Tu commences agrave nous fairs chier
Cochon dT un i tel (1)
Bois donc ton verre (Bis
Et surtout ne le renverse pas De frontibu8 ( Bis
A la martiale (Bis
Et glou glou glou glougrave glou (2)
Il est des notres ( Bis )
Car il a bu son verre comme les autres
(1) Nom dq buveur que lon fait boire (2) Jusquagrave ce que le verre soit videacute
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1 1
middot REERAIN
Kyrie Christe DQminum l10Jstrum Kyl~ie E le i son
l III Kyrie kyrie Dans les chambres de nos abbeacutes (his) De ns abbeacutes On nt y ~ange(bis) Que des m~t5 fort bien preacutepareacutes (bis) Mais nous autres Pauvres apocirctres Igtauvres moines Tripaillons de rooines Sacreacute nom de Dieu de religieux Nous ne bouffons que des mets frelateacutes E -E-E -E -le ison
II
Kyrie Kyrie Dans les (hambres de nos abbeacutes (bis)On ny boit Que des vins fort bien cacheteacutes (bis) Bien cacheteacutes Mais nous autres Pallvresmoines Tripaillons de moines Sacreacute nom de niell de religieux Nous ne buvons qlle de s vins fre JLat eacutes~ E -E -E -E -le ison
Kyrie kyrieDans les chambres de nos abbeacutes(bis) OJt1l- se couche Sllr des matelas bien douillet middots( bis) Las bien d~uilletsQMais nous autre s ) Pauvre s moine s TripaillonR de moines Sacreacute n pm de Dieu de religieux Nous couchons sur la paillede ~leacute E] 03 CE ~~ -le ison
IV Kyrie) kyrie Dans les ~ha mbres de nos abbeacutes(bis) ])e nos a tbeacutes j
On ny ~aise(bis) Que des fe ~mes de qualiteacute(his) ~e qucircali t eacute q
Mais nous autre s Pa u vre 8 ~ middot f)gt~~ J FalJvre s moinegrave s ) Tripaillons de moi~es Sacreacute n~m de Dieu de religieux Nous ne hais~s ~e des culs v6roleacutes E middotmiddotE middotE -E lei s oD
Kyrie~ kyrie Dans les chamtreH dG no s ab b Eacute3 (bis) pe J1iOS a~6h ~middot On 1lli r encule ( bj8 ) tugravee de s jeune s gens fort bi en t o tLrn es (his) Fort bien t ourneacutesc
Mais nous a utre s Pa ~Lvres a pocirc t r e s Pa uvre s moines Tripailffion~ ~e moines Sacreacute nom ~1e ic1 ~1 8 xreligj_ e ux
Bous ne pouvons que nous entreculer L E -E -E middot le ison o
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REFRAIN
l
Q~I Dieu recircva dans sa ~hilosophie Dtunir toujours les petits et les grands Oui Dieu recircvq agraveans sa philosopnegravee Dunir toujou~s les petits-et les grandso
l
Sur les d~~ris dune motte princiegravere Que la yeacuterole emportai t par lambeaux Un vieux morpion plu3ieurs fois0entenaire 9
A ses enfants disait ces derniers mts Suivez enfants~ le chemtn de ma vie 9
De tous les ccns soyez les conqueacuterants
II Jai vu le jour chez des peuples sauvages Qui du soleil se disaient rejetons 9
Jai traverseacute lAtlantique agrave la nage Sur les roustons du grand Christophe Colomb C~mme il donnait un monde agrave sa patrie~
Je le peuplai de nombreux habitants
III
Depuis pregraves de trois cent anneacutees Jai freacutequenteacute les plus hauts potentats~
Jtai poursuivi des pines couronneacutees Jai vu descoons engendrer des preacutelats Plus dun Saint Pegravere sur ses couilles fleacutetries Sentit grouiller mes arpions triomphants
IV De Louis Quatorze j ai SU0~ les cuisses~ Et jai veacutecu six mois p~us son b~ton Freacutedeacuteric II avait la ~haude-pissey Marie-Theacuteregravese avait un chaccre au ron Jai vu briller le scleil nItalie Au-dessus du trocircne des papes branlantso
V
Depugraveis jai eu des heures nalheureusefJ Bien peu de cons me furent hospitaliers Et le vagin dune religieuse Puait si fort que je faillis crever Dans les bidets j 1allais de compagnie Avec les spermatos agonisants
(agrave suivre)
bull
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LES MEMOIRES DUN middot DIORPION ( suite)
Jai vu baiser la reine dAngleter~e
Par les sous-offs de toute la garnison Jai burineacute les couilles du Saint-Pegravere Quand tous 19s soirs il allait au boxonQ Suivez nfants le chemin de nos fregraveres De tous les cons soyez les conqueacuterants
A Austerlitz agrave Friedlandagrave R0me Partout o~ le pousse le sort Jai pursuivi la pine du grand homme Mci s il est mort et moi je vis encore Jhabite le con dlla princesse Eugeacutenie Et j eacute le livre agrave va u s ~ ID es che r s enfant s ~ Il
Le vieux middotCC -- ~ C) Gi voulut parler encore Mais dans Sa Jauche sa langue se gl a ccedila Un froit mortel envahit tOQt son copps Et l ent ement l e Ild0 rp ion exp i rI)
Du bout d ILJn pc~ ~l ql1 ~agi tait lagonie Il se raidit et dit agrave ses enfantpo
Au refrain
IV Entrant dans une eacuteglise Je te fr a i voir de lherbe Je ne vis dabord rien Qui pousse dans ma main Quun vieux cochon de moine V Qui se branlait dans un coin Qui fait grossir le ventre
Et arrondir les seinsREFRAIN VISi je tencule 9 cule~ cule
Et nous ferons ensembleSi je tencule best pour ton bien Un petit capucin
Si je te Baise~ baise 9 baise VIISi je te baise cestppur le mien Aux couilles tricolores
II Au poil du cul chatain Qun vieux cochon de moine VIII Qui se branla i t dans un coin Il aura la veacuter81e Et confessait les filles Sa megravere lavait bien Du soir jusquau matin IX
II I I l ira a~ bordel middot Il dit agrave la ~us jeune Son pegravere y allait bien
Tu reviendras dem8in JC-Encul er les maqueDelles Fa ire œinette aux putains
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LA DIGUE DU CUL ----------shy~-----~
La digue du cul en revenant de La digue du cu1 1 non re nest pas Nantes ( Bis ) le diable ( Bis
De Nantes agrave Montaigtl la Digue ~ Mais un gros dard pointuooooo la digue
La digue du culqui bande et quiDe Nantes agrave lVIo nta igu la digue du
deacutecharge ( Bis )OuI Et qui a beaucoup de jus La digue du cul je rencontre une
Belle ( Bis ) La digue du cu1 9 si ce nest pas le Qui dormait le cul nu le diable ( Bis )0middot bullbull 000
La digue dQ cul je bande mon Il est bien dans mon culoooo 0
arbalete ( Bis ) La digue du c~19sil y est quilLa fous droit au but 060~0
y reste ( Bis) La digue du cu1 1 la belle se reacuteshy Et qufil nen sorte plus 00
veille ( His ) Et dit J ta i l c diah l eau cul 0 bull 0
JEANNETON ===-===-==
Jeanneton prend sa faucille Le second un peu moins sage LaliretteLalirette LaliretteLalirette
Jeanneton prend sa fallcille Le second un peu moins sage Pour aller couper des joncs (bis) La coucha sur le gaz1n (bis)
En chemin elle rencontre Le troisieacuteme un intreacutepide Lalirette 9 Lalirette Lalirette lalirette
En chemin elle rencontre Le troisiegraveme un intr~pide
4 jeunes et beaux garcon3 (bis) Releva son blanc jupon (bis)
Le premier un peu timide CB que fit le quatriegraveme LaliretteLalirette Lalirette 9 Laltette
Le premier un peQ timide c~ rJue fit le quatriegraveme Lrembrassa sur le menton (bis) Nest p~s dit dans la ohansen (bis)
Si vous le saviez Mesdames LaliretteLalirette
Si vous le saviez Mesdames Vous iriez couper des joncs (bis)
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et
LE BORDEL A FE RlŒE SES VOLETS Air~ L-n guin~glicirceumltt euml--rermeacute-s8s-volets
IJ e b 0 rd e el a f e rm eacute ses vo let s
Elles sont toutes veacuteroleacutees y a plus moyen qUon boise Le dernier qui y est alleacute Pour se faire faire un pompier Est r1venu avec la pine enfl~e jheacutet
Le toubid qui les a visiteacutees A tout de su~te deacuteclareacute y faut plus quon les baise l La mnreacutechausseacutees les n toutes boucl~es
Et le bordei 3 fermeacute ses volets
Totor quest un habitu~ A voulu y aller Disnnt Cest dla foutaise Ir
Mais trois jours apr~s il npouv9it plus marcher
Tant sa pine eacutetait deacute13breacutee Oheacute
A 1 hosto 9 on lt 3 transporteacute Lui laissarlt Suumlpp0ser Que ce leacuteeer malaise Ne lempecircchersit pas drevenir baiser QU82 J_bordel rocvrirGit ses volets
Le toubid lui ayant conseilleacute De ne ~us coiumlter Sans une capote angl Ai$e 9
Arssitocirct smi t sur pied 9 il en [) comm3ndeacute
Douze douzaines avec bout renforceacute
Au premier coup qUil a tireacute Cest ~es couilies qUontlacheacute Pas ln capte anglaise On les n r tro uveacutees aux qu~at coins
du quartier Et lbordel a fermeacute ses volets
Air Marc he fun~bre n
TottOr nest plus Les putains lont descendu Un franccedilais de plus Que les Anglais auront foutu Et sa pine Quav~it belle mine Ne bander8 plus Ainsi triomphe la vertu
Air La guinguette bull
Le bnrdel a rouvert ses volets Par un bequ matin de mai Au temps des premi~res frsises Lpersonnel ~tait enti~rement
reno uveleacute Et la tocircli~re -eacutetai t toute en c -A
be3uteacuteOheacutel
La ~oule se pressait etvriait Elle avait oubli~ quldanger Quand on ba i se Etait dse confier au machins
anglais Et lbordel sest payeacute des
bidets
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shy J_Eshymiddotr (Chanson des Be~ux Arts)J REFRAIN
bulli---- Le casque est une coiffure1 r Qui sied agravela figure
i r-
J Un casqu~ de pompier
Jbull---- Ca fait presque guer~ierj C8middot lui donne un air vainqueur Qui sied ~as mol agrave sa valeur
icirc-]--- Sous son casque luisant t
Il a lair vr3iment eacutepatantT J Zim l a boum zim l a y la
--- - On peut lfblsguer t3nt quon voudraImiddotmiddot~-
-_shy Le pomp1egraveer est bien ou-dessus dccedilagrave--T--1shy
l On dit quelquefois au village Qun casque ccedila sert agrave rien du toutl
- rien du tout Ca sert agrave donner du courage
A ceux qui nen ont pas du tout shypas du toutl
De loin ccedila prend Jes airs fan~asques Et chacun dit en les voyant - en les
voyant Quils sont donc beaux avec leurs
c8sques Ca leur donne un p~tit 8ir ~patnnt
II
On nous raconte dans lh~stoire
Que les Romains et les Gaulois les Gaulois
Ces fils oneacuteris de la victoire Portaient des casques autrefois shy
autrefois Le cnsque cest donc l heacuteritage De tous ces guerriers valeureux shy
riers valeureux ~
Et si nous lsvons eh partage Cest gufnous sommes guerriers comme
eux
III
On sait que chacun sur la terre A son faible ou sa passion shy
sa pa ssion l Le pompier quest un militaire Est fier de S3 ~osition - sa
po si ti(l)n Le sapeur datsa barbe noire Est orgueilleux de son bonnetshy
de son bonnet Le pompier met toute S3 gloire Dans son casque et dans son
]lumet
V Les jours ousquil y Q fecircte Il endosse ses plus benuE hsbits
- 1) e el ux habi + rjJ Il met 80n casque sur sa tecircte Puis agrave lombre de sa visiegravere Pour aller flaner dans le pays
- dans le pRyS
Quand il rencontre un jeune teri i dron - jeune tendron
Il lance une oeillnde incendiaplusmnp~
Le yompier est tellement polisson _
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LES CENT LOUIS DOR (Air des Louis dOr)
Un soir dans une diligenoe Sur une route entre deux bois 9
Je branlaisavec assurance Une fillette pu frais minois Javais retrouss~ S3 chemise Et mis la ~3in sur son bouton Et je branlais malgregrave la bise A d~chirer mon pantalon Pour un quart dheure entre ses
cuisses Un prinoe sut dann~ ses tr~sors
Et moi j 3urais Dieu me beacutenisse Jaurais donneacutec oent Louis dtOr
Las de branler eacuteans r~sistance
La tecircte en feu~ la pine aussi Je pris 8a ~ain quelle ind~cence
Et la mis en forme dteacutetuis Je jouissais ~ perdre haleine Sa main sa robe en eacutetaient pleines Et cel~ne suffisait pas Sentant rallumer ma fournaise Je lui di slltiens f3i s pl us encor Sortons dici que je te boise ~
Je te egravecnne cent Louis dOr
La belle alors~toute confuse Me reacuteponctit ingeacutenument
Pardon Monsieur je refuse Ce que vous moffrez galamment M8is j 8i jureacute de rester sage Pour mon fiunQ6 mon mari De conserver mon puoelage ~-
Il ne s egraver r l j ama i s (~llJ tih~lUfL l 2 Ji Tu naura spa s le ri di c ul e Dis-je darrecircter ton essor Permets aU moins que je tencule J e te prGtmets nent Louis d Or ll
0
Au premier relais sur ln route Nous descendimes promptement~ Au CQl~ il faut que je te foute Nepouvant te foutre autrement Dans une auberge nous entraIDes Tout st Y trouvsit bon feu bon lit Brucirclants dqmour nous nous couchacircmes Je lenculai toute 13 nuit bull NU i s PQ ur changer de joui ssanc e s Je lui dis tiens fais plus encore Livre ton con et lttout d f av3nce Jete p bo ID et s 0 ent L 0 lAgravei s d ~ 0 r bull
ttJe veux bien~ sans plus de harange Dit-elle en me succedilant le gland~ Livrer mon con agrave votre langue Pour ne pas tr8hir mon serment Aussi~6t plac~s tecircte b~che Comme deux amants dans le lit Avec ardeur je la legraveche Pendant quelle me suce le vit Mais la voyant bi~ntocirct pam~G Je ps lui ravir son treacutesor Et je lui dis la pine entr~e~ Je ga gne mes c ent Louis d ~ 0 r n bull
Huit jours apregraves cette aventure Jeacutet8~S de retour ~ Paris Ne pren8nt llUs de nourri ture Restant pensif au logis o
A la gorge ainsi quIa la pine Javais ceacutetait inqugraveieacutetant Chancre poulain on 18 devine Une ch3ude pisse en rlecircmecirc temps Prenant le parti le plus sage Je me transporte che~ Rocord Qui me di t ~ nUn tel puoe18ge Vous co ucirctera cent Loui s d JOrn
Ir 1 Ir Il Il Il 1 P Il lt Il It H
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1 61-__-
l 5 Lautrjour ~ la consultation Pour ceux- yen 3 d 1 si deacutegoatants- Ltoubib 9 un vieux ~ lnir antique Qui deacutesirent to ut fa ire psr derriegravere Apr~s mavoir ~arfouilleacute lco~ Jorois qucest encore plus ~pnt8nt Ma dit qUjeacutetais syphilitique 0 y 8 vraiment dqu~i se egraveatisfaire Les meacutedecinsegraveest oomme les cureacutes Mon 9nus cest comm une vraie fletr Il faut bien lescroire sur parol t Une rose ~ triple corolle t Mais vrai ccedilui l~ ma sideacutereacutee On leffeuillerait avec bonheur Jpeux pas croire qucest ccedila la ~ ~Jpeux pas croire qucest ccedilagrave la
veacuterole veacuterole
2 6 Ca commenceacute par un bouton L autr t jour vl~-1 quen bntifolant Qu6tait situeacute tout nupregraves dlautre Jai vu q~mon typ le m6m Eug~ne Un peu plUS dur uL peu middotplus rond Il 3 queacuteqLl chose aussi maintenant Vrai grain d chnIl let pour mes Fout x7Tsiment qu on ait pns d veJne
p8tnocirctres Cest comme une pastille SLlr son Comme y mchatouillait dtemps en gland
temps On grille r9 ln sucer ma parole Je mgratouillaisccedila fsait tout drocircle Cest rondcest rose et cest y mIn fait mouiller ~~en souvent charmant ~
J p eux p 3 S C ro ire qu c est Ccedil8 la J p eux po s c ro ire qu c est ccedilagrave la veacuterole veacuterole
3 Puis sur le corl s il mest venu A lhopi tal ougrave j 1 ~ui s alleacutee Toutes une floppeacutee de ptites taches On ma montr~ ~ msieur lInterne
roses Un grgrtd gars agrave lair d~lur~ Qui contrastaient sur mon corps nu Qui mo ploteacutee dun nir p1terne Avec 18 blancheur des middot8ut choses Apregraves ru nvqir liien reluqueacutee Jcrois mecircme qUceacutetait plus joli -Pourtant ~ poi1 9 je nsuis pas y en a bien qui se foutsur la fiole gn61eshyDu cold-cream et dla poudre de riz Il ne sest mecircme pas fRit br8nler Jpeux pas croire qucest ccedil~ 18 veacuterole Ah oui j vois bien qujai
11 veacuterole
4 Comme ccedilagrave spassait j Qi constateacute Que par en ba sc eacuteit21i t PD s- 02 illme Quand dans ln glace je msuis rg~rdeacutee9
On aurait dit un vrai diadegraveme N en nva~t des ronds des pointus Cest velouteacute quand on les frocircle Oa fait trentsix ptits mamlons dplusa
J peux pas croire qLl egrave est ccedil~ la veacuterole ~
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Pegravere Dupanloup dans luteacuterus (bis) Etait deacuteja si plein dastuce (bis) Que dans le vagin de sa megravere Il succedilait la pine de son pegravere
RE~RAIN Ah ah ah oui vraiment
~ Pegravers Dupanloup (bis) Ah ah ah oui vraiment
pegravere Dupanloup est deacutegoutGnt
pegravere Dupanloup dans son berceaubis) Bandait deacutejagrave comme un toreau (bis) Et sur le sein de sa nourrice lIa ttrapa 18 chaude -pisse
pegravere Dupanloup monte en Mais il avai t le systeacuteme Quagrave trois cents megravetres
Ses couilles trainaient
ballon (bis) si long (B)
dans lathmosphegravere e~core par terrecirc
pegravere Dupanloup monte en bateau (bis) La pine en lairles couilles sous
Quand survint Qui lui mordit
pegravere Dupanloup Mais il avait Quen peacutedalant La peau de ses
pegravere Dupanloup
leau une grosae grenouille la peau des 80uilles
monte en le syst egraveme
agrave perdre couilleo
dans
en chemin
veacutelo (bis) si gros
haleine se sa
de Deacutesir mettre ses couilles agrave
prit chaine
fer(bis) lair
Passant sa pine par la portieacutere 11ere va l 0eil d II gar de barr i egravere
p egravere TIupanloup agrave lOdeacuteon Se conduisit comme un cochon Avec la peau de ses roupettes Il boucha le trou des cla1inettes e
Peacutere Dupanloup agrave lOpeacutera Se conduisit comme un goujat Au troisiegraveme acte dans la coulisse Il encula le pompier de service
pegravere Dupanloup agrave Saint-Malo Confesse les feGlmes dans Lill ~
tonneau Fassant sa pine par le trou de la
bonde Il seacutecrieuVla le s8uveur du
monde
pegravere Dupanloup le 14 Juillet Alla se promener agrave dos de mulet Pour que la fecircte soit complte Il encula la pauvre becircte
Fegravere Dupanloup fait cuire des oeuf Il les remue avec sa queue Sa femme qui passe dans la cuisine Lui di t ttcochon tu brucircles ta pine
Fegravere Du~anlou~ devenu vieux Ne bandait plus quune fois sur ~ Sarrachant la pine avec rage Il sen fit une canne de voyage
pegravere Dupanloup dans son cerceuil Bandait encore comme un chevreuil Avec sa pine en arc de cercle Il essaya de soulever le couvercle
pegravere Dupanloup au paradis Voulait enculer Jeacutesus Christ Non de Dieu dit le pegraveregrave eacuteternel Prends-tu le cie l pour un borde l
pegravere Dllpanloup Icircuttout confus De ne pouvoir lui foutre au cul Branlant sa pine de part et dautr Il aspergea les dOQze apocirctres
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~ r -middotmiddot
-0--
~-~
shy _ 1_-_
Du Dieu Vulcain quand leacutepouse fri- De Jupiterf3con vraiment divine ponne Le Jon lui pueil aime le goudron shy
Va boxonner loin de son vieux sournoisDfun trou agrave merdeil fait un trou Le noir jaloux que lamour aiguillonne Tranquillement se polit le chinbis Et bat le beurre Va-t-en di t-il ~ agrave ss fo utue femelle Cette facon e st Je me fous bien de ton con chassieux Pour terminer un De mes cinq doigts je fais une pucelleApr~3 ldessert Masturbons nouscest le plaisir des
Dieuxe
2 Bah Laissons lui oe p18isir ridicule Chacun dnilleurs sailluse agrave sa focon
Moi je preacutefegrave~e la maniegravere dHer6ule Jamais sa mainne l~i servit de con Le plus seacute11e trou la plus vieille
conn s se Rien nechappait a son vit glorieux
Nous serons fiers de marchermiddot sur ses
Traces Baisonsbaisons 9 cest le plaisir d~s
Dteux
3 Du Dieu Bacchus 9 quand 20cableacute dishy
vresse Le vit mollit etsur le co~ sendort 69 et le vit se renresse 69 ferai tbanderun mort a clitoristop parfun de fromage Fait regimlier nos engins victojeux A S8 vertu nous rendons tous hommage Gamahuchons 9 cest le plaisir des
Dieux )
l
Fo u tre
Foutons
agrave pine aQ milieu de leacutetron
di vinement bonne geuleton joyeux
on senc~le en couronne
Enculons nous cest le plaisir des
5 Quant agrave Plutonle Le moinllre effort AQssi veut-il sans
r Faire sucer son peUlS arrognnDt l + lJ nOJ8revan aux 8XTf~~S8S passees Tout 18nguj sS8n~s reacutejcissons nos
yeux Et laiss3nt faire une amante emshy
preacute)SS8J Lcissons sucerc1est ~e ~10isir des
Diel1x
r o rs st e Q insi_ quI 0 11 f 8 S 8 e agrave sa
_~Iampts
MnincoTI 9 cU1 9 bouche8U plaisir t 0 D tes t bon
SUT q1elque 2u~ el q~ or ceacutelegravebre fecircte
~o u jour 2 lagrave haut uuml~ est sur du
Foutre
Di evlX
Die~ agrave large pense lu~ semble fatigant craindre la deacuteshy
p9D set
fi arc~() n et joutr -IO~-U~_ J untque
middot1 - =~gt FI ire et j oU_ir vo il8 qlu~l s sont
amis qu liI~~or-t- la woniegravereacute Foutonsfoutonscest le plaisir
des DieLc
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AIR Mal bo ro ugh sten va-t-en guerre e
Lagrave haut sur la colline Un coup able de lenfer Les 2 piedsles 2 mains dans la Les de ux piedsles deux mains dans Lagrave-haut sur la colline merde Un coup able de lenfer la merde Il y avait un gros cu (bis) Qui ava it fait un gros peacute
Un gros cureacute de campagne Un gros p~cheacute mortel Les deux pieds Les deux pieds tooe ooeo 0000
Un gro s cureacute de campagne Un gros peacutecheacute mortel Quastiquait son gros bou (bis) Et nvait trop eacuteteacute (bis)
Son gros bouquin de prieacuteres Trop eacuteteacute 8U bordel Les deux pieds 0 Les deux piEds0 0 0 bullbull 11000 bullbull 00
Son gros bouquin de prleres Trop eacuteteacute au bordel Pour entrer dans un Con (bis) Ougrave il alloit quecircter (bis)
-Dans un confessionnal Quecircter laumone des pauvres Les deux pie d s bull 0 0 0 bull 0 0 0 Les deux pied~ 00 bullbullbull
Dans un confessionn31 Quecircter l Qum~ne des psuvres Pour y tirer un cou (bis) Qui en SV3iegravent besoin (bis)
CHA R LOT T E ~ ---I_middot middot--middot-I_(~-~~-
~ REFRAIN Branle (ter) Charlotte Branle (bis) ca fait du bien Branle (ter) ma chegravere Branle (bis) jusquagrave demain
1 LI
Dans son boudoir9~a petite Charlotte Ma is 6 mnlheur 5 6 fatale disgrace Chaude du con f3ute dAvoir un vit LQ jouiS8311Ce lui fi tfaire un Se masturbni t avec une carotte brlJ ~~qhes~ut
Et jouissait eacutetendue sur un lit Du contre l)oUP la c9rotte 88 ossee L Et dans le con il en reste un
Ah disai t-elle~ dnns le siegraveole oUgrave morceau nous sommes
Il faut savoir se passer des garcons Un meacutedecin praticien fort habile Moipour ma partje me fous bien Fut appeleacutequilui fit bieq du mal
des hommes Ma is par malheur la carotte indo- shyAvec ardeurje me branle le cont cile
3 Ne put sortir du conduit vaginal Alors 83 main neacutetant plus paresseuse Alla it vena it c omme un p e ti t re s So rt Mesdemoisellesque le sort de Et faisait jouir la petite vicieuse Charlotte Aussi ce jeu lui plaisait-il bien Puisse longtemps Vous servir de
fort lecon Ah croyez-moil a iss~z lagrave 18
(gt nro tte Preacutefeacuter8z lui le vit dun beau
gs rcon
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L A PO M P 0 NET T E
LE COlVUVLANDEUR DU CUL-SEC LE CHOEUR middot
Aimes tu mieux boire et deacutegueuler Quon verse agrave boire agrave ce cochon lagrave Queds npas oire 8t tJemmerder On verra bien sil d~gueulera bullbullbullbullbullbull eoOOOCJO bullbullbullbull O Pendant qUil deacutegueulera
Que son ~oisin sappr~teLE BUVSUR DESIGNE Pendant quil s3ppr~tera
Oui j oime mieux boire et deacutegueuler Ch3ntons ln pomponette Que denpas boire et memmerder L3 pomponette bullbull 0 bullbull 0080 bullbull 0 bullbullbullbullbullbull La pomponette
Il fil Lera (1) 00 O bull bull 0 bullbullbullbull
Ce cochon lagrave 8 bien fileacute A son voisin de rcommencer
LES MOINES DE SAINT-BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis) Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis) Si lprieur nous engueuleon chante des chansons
REFRAIN Vo ila c qui est bon et bon~ et bon Et voilk 13 viela viela viela vie cherie ah~ oh (bis) Et voilagrave la vie que tous les moines font
Pour notre souper de bons petits oiseaux (bis) Que lon nomme oaille ortolans ou perdrenux(lis) Et la fine nndouillette et la tranche de jambon
Pour notre coucherun lit aux draps bien blancs (bis) Avec une lone de 15 agrave 107 ans (bis) A la taille bien faite et aUx nichons bien ronds
Si cest ca la vie que tous les moines font (bis) Je me ferni moine avec ma Jeanneton (bis) Le soir dans ma chsmbrette je lui chatouillerai le bouton
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DLJ 1 VI
A la porte dtun couvent(bis) 1 l Y avait un moine Ah 1 djt- la soeur da couvent QlJ as-tu moine QU1ssctfLu mmine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine agrave gueuler tant
II Ma soeur je voudraisrentrer(bis)Maisma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Entre moine entre moine Ahr dit la so e ur du couvent Entre) moine e1 ngueule pas ~n~t
0 -
III Quand le ~oine fut entr~ (bi~) Il gueulait enoore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quas-tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu~ moine agrave gueuler tant
IV Ma sbeur je voudrai manger (bis) Ma i s ma s oe ur je n 0 s e Ah dit la soeur du couvent
M8nge ma ine mange mo ine Ah dit la soeur du couvent Mange mo ine J et lffie ~-gl-1~ ule pa e tant
v Quand le moine eut mElngeacute (is)
Il guelllait encore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quasftulmoine Ah dit la soeur du couvent qUas tu moine agrave geuler tant
Ma soeur je voudrai mcoucher -(BiS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Couche toi moinecouche toi moine Ah dit la soeur du couvet Couche tbi moine et gueule pas tant
VI-I Ccedilu~nd le moine fut cou~heacute (Bis) Il geulait encore Ah dit la soeur du couvent quas tu moine quas tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas tu moine agrave geuler tant
IX Ma soeur je voudrai vous baiser (bis) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine baise moi moine Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine et ne geule pas tant
IX Quand le moime eut baiseacutee (biS)Il geulait encore Ahl dit la soeur du couvent quas tu mOinequastu moine Ah dit la soeur du couvent Qutas tu moine ~ geuler tant
X
Ma soeur jvoudrai rcommencer (biS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Va au claque va au claque Ah dit la soeur du couvent Va au claque et fous-moi le camp
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((()ltrimiddot1
Samedi dernierceacutetait jour de la paye Et le soleil brillait agrave lhorizon Javais deacuteja bu cinq agrave six bouteilles l (bis) Jcrois bien qujamais jnavais eacuteteacute aussi rond)
Vlagrave ma bourgeoise qui sramegravene sur le zinc Et mdit Cochont ta quitteacute ton turbin
Ouiqujy reacutepond je men vais au meacutetinge) (bis) A u grand meacutet inge du Meacutetropo li tain J Les proleacutetaires dun eacutelan unanime y sont venus guideacutes par la raison _ En apportant chacQD cinquante centimes l
- ) (b2s)Pour soutenir les greacutevistes de Vierzon
avait Basile le mineur indompta ble cr lme linatr qu e st l honneur du part i (1)
sont monteacutes tous deux sur une table ( bis)Pour exposer la question sur le tapis Quand tout agrave coup on entend du bastringue C middotest un quidam qui veut faire son malin Il est venu pour saboter lMeacutetinge Le grand Megravetinge du Meacutetropolitain (bis)
Jy bondis dSBUS et avant quil rouspegravete Jy enfoncais jusquaux yeux son chapeau Il est parti sans demander son reste )
( bis)En faisant signe aux gardes municipaux (
Qui profitant ~e c que j1 eacutetais brinde zingue Mont emmeneacute au poste-le plus voisin Etc e st ainsi qu c e st termineacute le Meacutetinge ( ( bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetro~olitain
Couplet patriotique Peuple Francais la Bastille est deacutetruite Mais II y a encore des prisons pour tes fils Souviens toi bieuron des geacuteants dquarants-huit l (bis) Queacutetaient plus grands que les ceusses daujourdhui)
Couplet socia 1 Car cest toujours lpauvre ouvrier quicirc trinque
Cest lui quon met en prison pour des riens C eacutetait quand megraveme un bien joli Meacutetinge ) (bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetropolitain J
-(l)-Ces deux vers sont quelques fois remplaceacutes par les suivants
y avait Maurice le mineur indomptable Le gros Jacquot quest l honneur du parti
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PalU notre coucher dans de beaux draps bien blancs (hie) Avec une pucelle de seize ~ cent sept ans (bis)A la taille bien faite Et uxnichons bien ronds Cest ccedila qUest b0n et bon et bon I(au refrain)
Si cest lagrave la vie de les beacutecistes font (biS) Je mferais beacuteciste avec ma Janeton (biS) Et l soir dbns ma chaiTILbrette Jlui chatouillerai le bouton Cest ccedila quest ~on et bon et bon t (au refrain)
ff ff tf tr tl t Air nIl eacutetait un petitLE ~mSEE DATHENES
na vire
Visitez le Ruseacutee dAthegravenes (his) Vous y verrez reacutereacute bien conserveacutes (biS) Oheacute
Trois poils du cul de ~eacutemosthegravene (bis) Et les roustons ton ion du pegravere Caton(bis) Oheacute Oh6 1
~ 1
V(Uuml)~6 Y v9lZxe z la CM et e DiLne middot Le Et
egraveoh boumiddotlheacute pqrQJle les roustons tOl1ll~
banar~e ton du pegravere
~ -Oaton (bi~) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fils dHercule Photographieacutes quand ils senculent Etle s roust ons ton ton dQ pegravere Ca ton (bis) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fills dUlysse Photographieacutees ~endant quTelles pissent Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) ~heacute Oheacute l
Vous y verrez la megraveEgravee Egeacutee Caramboleacutee par le Pireacutee Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) Oheacute Oheacute 1
Vous y verre3 le cul dDiogegravene Deacuteveacuteroleacute agrave lThydrogegravene Et les roustons ton ton du pegravere Caton (biS) Oheacute Qheacute 1
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REFRAIN Et If on ST en fout dattraper la veacuterole Et l t on sen fOLlt pourvu qu 1 on tire un coup Avec 7 avec bullbull une femme bull sous les r C8~~ses
( Tous le c9uplet S 80)1 ~ ~ur le typ~ ~ d~ premier J Vivent les eacutetudiantegravema megravere Vivent les eacutetudiants t Ils ont des femmes e t pas dt enfants $$$~~$$~$~~~~$ $$~~$$$$$$ $ $ ~~$~ Vivent les eacutetudiants l $
~ ViTent les eacutetudiantes E 11 f S aiment a voir la pine au -v-entre bull ~ RE FRAIN
$AhI les fraises et les framboisesVivent les avocats bullbull Ah le bon vin ~ue nous avons buIls ont des couilles en chocolat bull iAh les belles villageoises ViTent les sor~onnards $Nous ne les reverrons plus Ils ont des couilles en peau dTleacutez~rdr bullbull ~
3 Suy la rout e de Montmartre Vi vent le S cOlonia ux De Mont oartre agrave Faris Ils ont des couilles en peau de chameau fiJ ai rencontreacute trois filles
~Trois filles de mon paysVi -ent le 3 cara bins bull $ Ils ont des femmes qui baisent bien $ f
~Jai rencontreacute trois il1e3 $iumlrois filles de mon paysVivent les carahines
E Iles adorent vous SLlcer la pine bullbullbull nJ embra sse la plLlS jeLUle lEt la plus belle aLlssi
Vivent les artilleursbullbull Ils tirent un coup tous les quarts i Je dansITemmegraven e ma chambre
d f he ure Et je la fous sur le lit
Vivent les pharmaciensbull Ils ont l permangaha te pour rienbullbull middotEJ8t regarde entre ses jambes
1 j y vois le paradis Vivent les pharmaciennesbullbull Elles sont putains OD bien Lesbiennes Je rgarde entre les miennesl
Et j ty vois Jeacutesus ChristVivent les PCE bullbull Ils ont les couumlt~~es galvaniseacutees Jeacutesus levant la tecircte Vivent les aviateurs ~Entra d3ns le Paradis Ils legravevent la qLleue tOLlS les i dheLil8 bullbull 1 Vivent les aviatrices $11 sy brisa le cracircne Elles ont le manche e~ vle ie~ ~uisses bull i La cervelle en jaillit
rVivent les arts deacuteco bullbull ~ Pleur z pleLlre Z1 me sdame sIls ont les couilles preacutes du pinceau hLa mort de Jeacutesus Christ
Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
$11 est encore en vie
11 Ji 1l- ~ igt tt Ji Lj ~ H plusmn i ~ ~ ft 4 Ltmiddot + ~i H ~ ~~ Ji y igt4 + t~ -- Li f-- ~ ~ -t u J 1 i -+ ~ q ~ gt~ ~ c ~ H + bull -c i ~ h t H li ~ middottt 4f H if lf H- if tf rt tI if tf ri +t l I tf iftf 11 r If l i of Il i1 ri i l ~( rf rf 11 Il ~ n r( Tl ~ i+r 1 ( rf Tl ri Ii II Ir rI li II If li middot( 11 1 lmiddot Il 11 rr n 1( tf if
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1 1
middot REERAIN
Kyrie Christe DQminum l10Jstrum Kyl~ie E le i son
l III Kyrie kyrie Dans les chambres de nos abbeacutes (his) De ns abbeacutes On nt y ~ange(bis) Que des m~t5 fort bien preacutepareacutes (bis) Mais nous autres Pauvres apocirctres Igtauvres moines Tripaillons de rooines Sacreacute nom de Dieu de religieux Nous ne bouffons que des mets frelateacutes E -E-E -E -le ison
II
Kyrie Kyrie Dans les (hambres de nos abbeacutes (bis)On ny boit Que des vins fort bien cacheteacutes (bis) Bien cacheteacutes Mais nous autres Pallvresmoines Tripaillons de moines Sacreacute nom de niell de religieux Nous ne buvons qlle de s vins fre JLat eacutes~ E -E -E -E -le ison
Kyrie kyrieDans les chambres de nos abbeacutes(bis) OJt1l- se couche Sllr des matelas bien douillet middots( bis) Las bien d~uilletsQMais nous autre s ) Pauvre s moine s TripaillonR de moines Sacreacute n pm de Dieu de religieux Nous couchons sur la paillede ~leacute E] 03 CE ~~ -le ison
IV Kyrie) kyrie Dans les ~ha mbres de nos abbeacutes(bis) ])e nos a tbeacutes j
On ny ~aise(bis) Que des fe ~mes de qualiteacute(his) ~e qucircali t eacute q
Mais nous autre s Pa u vre 8 ~ middot f)gt~~ J FalJvre s moinegrave s ) Tripaillons de moi~es Sacreacute n~m de Dieu de religieux Nous ne hais~s ~e des culs v6roleacutes E middotmiddotE middotE -E lei s oD
Kyrie~ kyrie Dans les chamtreH dG no s ab b Eacute3 (bis) pe J1iOS a~6h ~middot On 1lli r encule ( bj8 ) tugravee de s jeune s gens fort bi en t o tLrn es (his) Fort bien t ourneacutesc
Mais nous a utre s Pa ~Lvres a pocirc t r e s Pa uvre s moines Tripailffion~ ~e moines Sacreacute nom ~1e ic1 ~1 8 xreligj_ e ux
Bous ne pouvons que nous entreculer L E -E -E middot le ison o
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REFRAIN
l
Q~I Dieu recircva dans sa ~hilosophie Dtunir toujours les petits et les grands Oui Dieu recircvq agraveans sa philosopnegravee Dunir toujou~s les petits-et les grandso
l
Sur les d~~ris dune motte princiegravere Que la yeacuterole emportai t par lambeaux Un vieux morpion plu3ieurs fois0entenaire 9
A ses enfants disait ces derniers mts Suivez enfants~ le chemtn de ma vie 9
De tous les ccns soyez les conqueacuterants
II Jai vu le jour chez des peuples sauvages Qui du soleil se disaient rejetons 9
Jai traverseacute lAtlantique agrave la nage Sur les roustons du grand Christophe Colomb C~mme il donnait un monde agrave sa patrie~
Je le peuplai de nombreux habitants
III
Depuis pregraves de trois cent anneacutees Jai freacutequenteacute les plus hauts potentats~
Jtai poursuivi des pines couronneacutees Jai vu descoons engendrer des preacutelats Plus dun Saint Pegravere sur ses couilles fleacutetries Sentit grouiller mes arpions triomphants
IV De Louis Quatorze j ai SU0~ les cuisses~ Et jai veacutecu six mois p~us son b~ton Freacutedeacuteric II avait la ~haude-pissey Marie-Theacuteregravese avait un chaccre au ron Jai vu briller le scleil nItalie Au-dessus du trocircne des papes branlantso
V
Depugraveis jai eu des heures nalheureusefJ Bien peu de cons me furent hospitaliers Et le vagin dune religieuse Puait si fort que je faillis crever Dans les bidets j 1allais de compagnie Avec les spermatos agonisants
(agrave suivre)
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LES MEMOIRES DUN middot DIORPION ( suite)
Jai vu baiser la reine dAngleter~e
Par les sous-offs de toute la garnison Jai burineacute les couilles du Saint-Pegravere Quand tous 19s soirs il allait au boxonQ Suivez nfants le chemin de nos fregraveres De tous les cons soyez les conqueacuterants
A Austerlitz agrave Friedlandagrave R0me Partout o~ le pousse le sort Jai pursuivi la pine du grand homme Mci s il est mort et moi je vis encore Jhabite le con dlla princesse Eugeacutenie Et j eacute le livre agrave va u s ~ ID es che r s enfant s ~ Il
Le vieux middotCC -- ~ C) Gi voulut parler encore Mais dans Sa Jauche sa langue se gl a ccedila Un froit mortel envahit tOQt son copps Et l ent ement l e Ild0 rp ion exp i rI)
Du bout d ILJn pc~ ~l ql1 ~agi tait lagonie Il se raidit et dit agrave ses enfantpo
Au refrain
IV Entrant dans une eacuteglise Je te fr a i voir de lherbe Je ne vis dabord rien Qui pousse dans ma main Quun vieux cochon de moine V Qui se branlait dans un coin Qui fait grossir le ventre
Et arrondir les seinsREFRAIN VISi je tencule 9 cule~ cule
Et nous ferons ensembleSi je tencule best pour ton bien Un petit capucin
Si je te Baise~ baise 9 baise VIISi je te baise cestppur le mien Aux couilles tricolores
II Au poil du cul chatain Qun vieux cochon de moine VIII Qui se branla i t dans un coin Il aura la veacuter81e Et confessait les filles Sa megravere lavait bien Du soir jusquau matin IX
II I I l ira a~ bordel middot Il dit agrave la ~us jeune Son pegravere y allait bien
Tu reviendras dem8in JC-Encul er les maqueDelles Fa ire œinette aux putains
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LA DIGUE DU CUL ----------shy~-----~
La digue du cul en revenant de La digue du cu1 1 non re nest pas Nantes ( Bis ) le diable ( Bis
De Nantes agrave Montaigtl la Digue ~ Mais un gros dard pointuooooo la digue
La digue du culqui bande et quiDe Nantes agrave lVIo nta igu la digue du
deacutecharge ( Bis )OuI Et qui a beaucoup de jus La digue du cul je rencontre une
Belle ( Bis ) La digue du cu1 9 si ce nest pas le Qui dormait le cul nu le diable ( Bis )0middot bullbull 000
La digue dQ cul je bande mon Il est bien dans mon culoooo 0
arbalete ( Bis ) La digue du c~19sil y est quilLa fous droit au but 060~0
y reste ( Bis) La digue du cu1 1 la belle se reacuteshy Et qufil nen sorte plus 00
veille ( His ) Et dit J ta i l c diah l eau cul 0 bull 0
JEANNETON ===-===-==
Jeanneton prend sa faucille Le second un peu moins sage LaliretteLalirette LaliretteLalirette
Jeanneton prend sa fallcille Le second un peu moins sage Pour aller couper des joncs (bis) La coucha sur le gaz1n (bis)
En chemin elle rencontre Le troisieacuteme un intreacutepide Lalirette 9 Lalirette Lalirette lalirette
En chemin elle rencontre Le troisiegraveme un intr~pide
4 jeunes et beaux garcon3 (bis) Releva son blanc jupon (bis)
Le premier un peu timide CB que fit le quatriegraveme LaliretteLalirette Lalirette 9 Laltette
Le premier un peQ timide c~ rJue fit le quatriegraveme Lrembrassa sur le menton (bis) Nest p~s dit dans la ohansen (bis)
Si vous le saviez Mesdames LaliretteLalirette
Si vous le saviez Mesdames Vous iriez couper des joncs (bis)
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LE BORDEL A FE RlŒE SES VOLETS Air~ L-n guin~glicirceumltt euml--rermeacute-s8s-volets
IJ e b 0 rd e el a f e rm eacute ses vo let s
Elles sont toutes veacuteroleacutees y a plus moyen qUon boise Le dernier qui y est alleacute Pour se faire faire un pompier Est r1venu avec la pine enfl~e jheacutet
Le toubid qui les a visiteacutees A tout de su~te deacuteclareacute y faut plus quon les baise l La mnreacutechausseacutees les n toutes boucl~es
Et le bordei 3 fermeacute ses volets
Totor quest un habitu~ A voulu y aller Disnnt Cest dla foutaise Ir
Mais trois jours apr~s il npouv9it plus marcher
Tant sa pine eacutetait deacute13breacutee Oheacute
A 1 hosto 9 on lt 3 transporteacute Lui laissarlt Suumlpp0ser Que ce leacuteeer malaise Ne lempecircchersit pas drevenir baiser QU82 J_bordel rocvrirGit ses volets
Le toubid lui ayant conseilleacute De ne ~us coiumlter Sans une capote angl Ai$e 9
Arssitocirct smi t sur pied 9 il en [) comm3ndeacute
Douze douzaines avec bout renforceacute
Au premier coup qUil a tireacute Cest ~es couilies qUontlacheacute Pas ln capte anglaise On les n r tro uveacutees aux qu~at coins
du quartier Et lbordel a fermeacute ses volets
Air Marc he fun~bre n
TottOr nest plus Les putains lont descendu Un franccedilais de plus Que les Anglais auront foutu Et sa pine Quav~it belle mine Ne bander8 plus Ainsi triomphe la vertu
Air La guinguette bull
Le bnrdel a rouvert ses volets Par un bequ matin de mai Au temps des premi~res frsises Lpersonnel ~tait enti~rement
reno uveleacute Et la tocircli~re -eacutetai t toute en c -A
be3uteacuteOheacutel
La ~oule se pressait etvriait Elle avait oubli~ quldanger Quand on ba i se Etait dse confier au machins
anglais Et lbordel sest payeacute des
bidets
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shy J_Eshymiddotr (Chanson des Be~ux Arts)J REFRAIN
bulli---- Le casque est une coiffure1 r Qui sied agravela figure
i r-
J Un casqu~ de pompier
Jbull---- Ca fait presque guer~ierj C8middot lui donne un air vainqueur Qui sied ~as mol agrave sa valeur
icirc-]--- Sous son casque luisant t
Il a lair vr3iment eacutepatantT J Zim l a boum zim l a y la
--- - On peut lfblsguer t3nt quon voudraImiddotmiddot~-
-_shy Le pomp1egraveer est bien ou-dessus dccedilagrave--T--1shy
l On dit quelquefois au village Qun casque ccedila sert agrave rien du toutl
- rien du tout Ca sert agrave donner du courage
A ceux qui nen ont pas du tout shypas du toutl
De loin ccedila prend Jes airs fan~asques Et chacun dit en les voyant - en les
voyant Quils sont donc beaux avec leurs
c8sques Ca leur donne un p~tit 8ir ~patnnt
II
On nous raconte dans lh~stoire
Que les Romains et les Gaulois les Gaulois
Ces fils oneacuteris de la victoire Portaient des casques autrefois shy
autrefois Le cnsque cest donc l heacuteritage De tous ces guerriers valeureux shy
riers valeureux ~
Et si nous lsvons eh partage Cest gufnous sommes guerriers comme
eux
III
On sait que chacun sur la terre A son faible ou sa passion shy
sa pa ssion l Le pompier quest un militaire Est fier de S3 ~osition - sa
po si ti(l)n Le sapeur datsa barbe noire Est orgueilleux de son bonnetshy
de son bonnet Le pompier met toute S3 gloire Dans son casque et dans son
]lumet
V Les jours ousquil y Q fecircte Il endosse ses plus benuE hsbits
- 1) e el ux habi + rjJ Il met 80n casque sur sa tecircte Puis agrave lombre de sa visiegravere Pour aller flaner dans le pays
- dans le pRyS
Quand il rencontre un jeune teri i dron - jeune tendron
Il lance une oeillnde incendiaplusmnp~
Le yompier est tellement polisson _
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LES CENT LOUIS DOR (Air des Louis dOr)
Un soir dans une diligenoe Sur une route entre deux bois 9
Je branlaisavec assurance Une fillette pu frais minois Javais retrouss~ S3 chemise Et mis la ~3in sur son bouton Et je branlais malgregrave la bise A d~chirer mon pantalon Pour un quart dheure entre ses
cuisses Un prinoe sut dann~ ses tr~sors
Et moi j 3urais Dieu me beacutenisse Jaurais donneacutec oent Louis dtOr
Las de branler eacuteans r~sistance
La tecircte en feu~ la pine aussi Je pris 8a ~ain quelle ind~cence
Et la mis en forme dteacutetuis Je jouissais ~ perdre haleine Sa main sa robe en eacutetaient pleines Et cel~ne suffisait pas Sentant rallumer ma fournaise Je lui di slltiens f3i s pl us encor Sortons dici que je te boise ~
Je te egravecnne cent Louis dOr
La belle alors~toute confuse Me reacuteponctit ingeacutenument
Pardon Monsieur je refuse Ce que vous moffrez galamment M8is j 8i jureacute de rester sage Pour mon fiunQ6 mon mari De conserver mon puoelage ~-
Il ne s egraver r l j ama i s (~llJ tih~lUfL l 2 Ji Tu naura spa s le ri di c ul e Dis-je darrecircter ton essor Permets aU moins que je tencule J e te prGtmets nent Louis d Or ll
0
Au premier relais sur ln route Nous descendimes promptement~ Au CQl~ il faut que je te foute Nepouvant te foutre autrement Dans une auberge nous entraIDes Tout st Y trouvsit bon feu bon lit Brucirclants dqmour nous nous couchacircmes Je lenculai toute 13 nuit bull NU i s PQ ur changer de joui ssanc e s Je lui dis tiens fais plus encore Livre ton con et lttout d f av3nce Jete p bo ID et s 0 ent L 0 lAgravei s d ~ 0 r bull
ttJe veux bien~ sans plus de harange Dit-elle en me succedilant le gland~ Livrer mon con agrave votre langue Pour ne pas tr8hir mon serment Aussi~6t plac~s tecircte b~che Comme deux amants dans le lit Avec ardeur je la legraveche Pendant quelle me suce le vit Mais la voyant bi~ntocirct pam~G Je ps lui ravir son treacutesor Et je lui dis la pine entr~e~ Je ga gne mes c ent Louis d ~ 0 r n bull
Huit jours apregraves cette aventure Jeacutet8~S de retour ~ Paris Ne pren8nt llUs de nourri ture Restant pensif au logis o
A la gorge ainsi quIa la pine Javais ceacutetait inqugraveieacutetant Chancre poulain on 18 devine Une ch3ude pisse en rlecircmecirc temps Prenant le parti le plus sage Je me transporte che~ Rocord Qui me di t ~ nUn tel puoe18ge Vous co ucirctera cent Loui s d JOrn
Ir 1 Ir Il Il Il 1 P Il lt Il It H
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1 61-__-
l 5 Lautrjour ~ la consultation Pour ceux- yen 3 d 1 si deacutegoatants- Ltoubib 9 un vieux ~ lnir antique Qui deacutesirent to ut fa ire psr derriegravere Apr~s mavoir ~arfouilleacute lco~ Jorois qucest encore plus ~pnt8nt Ma dit qUjeacutetais syphilitique 0 y 8 vraiment dqu~i se egraveatisfaire Les meacutedecinsegraveest oomme les cureacutes Mon 9nus cest comm une vraie fletr Il faut bien lescroire sur parol t Une rose ~ triple corolle t Mais vrai ccedilui l~ ma sideacutereacutee On leffeuillerait avec bonheur Jpeux pas croire qucest ccedila la ~ ~Jpeux pas croire qucest ccedilagrave la
veacuterole veacuterole
2 6 Ca commenceacute par un bouton L autr t jour vl~-1 quen bntifolant Qu6tait situeacute tout nupregraves dlautre Jai vu q~mon typ le m6m Eug~ne Un peu plUS dur uL peu middotplus rond Il 3 queacuteqLl chose aussi maintenant Vrai grain d chnIl let pour mes Fout x7Tsiment qu on ait pns d veJne
p8tnocirctres Cest comme une pastille SLlr son Comme y mchatouillait dtemps en gland
temps On grille r9 ln sucer ma parole Je mgratouillaisccedila fsait tout drocircle Cest rondcest rose et cest y mIn fait mouiller ~~en souvent charmant ~
J p eux p 3 S C ro ire qu c est Ccedil8 la J p eux po s c ro ire qu c est ccedilagrave la veacuterole veacuterole
3 Puis sur le corl s il mest venu A lhopi tal ougrave j 1 ~ui s alleacutee Toutes une floppeacutee de ptites taches On ma montr~ ~ msieur lInterne
roses Un grgrtd gars agrave lair d~lur~ Qui contrastaient sur mon corps nu Qui mo ploteacutee dun nir p1terne Avec 18 blancheur des middot8ut choses Apregraves ru nvqir liien reluqueacutee Jcrois mecircme qUceacutetait plus joli -Pourtant ~ poi1 9 je nsuis pas y en a bien qui se foutsur la fiole gn61eshyDu cold-cream et dla poudre de riz Il ne sest mecircme pas fRit br8nler Jpeux pas croire qucest ccedil~ 18 veacuterole Ah oui j vois bien qujai
11 veacuterole
4 Comme ccedilagrave spassait j Qi constateacute Que par en ba sc eacuteit21i t PD s- 02 illme Quand dans ln glace je msuis rg~rdeacutee9
On aurait dit un vrai diadegraveme N en nva~t des ronds des pointus Cest velouteacute quand on les frocircle Oa fait trentsix ptits mamlons dplusa
J peux pas croire qLl egrave est ccedil~ la veacuterole ~
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Pegravere Dupanloup dans luteacuterus (bis) Etait deacuteja si plein dastuce (bis) Que dans le vagin de sa megravere Il succedilait la pine de son pegravere
RE~RAIN Ah ah ah oui vraiment
~ Pegravers Dupanloup (bis) Ah ah ah oui vraiment
pegravere Dupanloup est deacutegoutGnt
pegravere Dupanloup dans son berceaubis) Bandait deacutejagrave comme un toreau (bis) Et sur le sein de sa nourrice lIa ttrapa 18 chaude -pisse
pegravere Dupanloup monte en Mais il avai t le systeacuteme Quagrave trois cents megravetres
Ses couilles trainaient
ballon (bis) si long (B)
dans lathmosphegravere e~core par terrecirc
pegravere Dupanloup monte en bateau (bis) La pine en lairles couilles sous
Quand survint Qui lui mordit
pegravere Dupanloup Mais il avait Quen peacutedalant La peau de ses
pegravere Dupanloup
leau une grosae grenouille la peau des 80uilles
monte en le syst egraveme
agrave perdre couilleo
dans
en chemin
veacutelo (bis) si gros
haleine se sa
de Deacutesir mettre ses couilles agrave
prit chaine
fer(bis) lair
Passant sa pine par la portieacutere 11ere va l 0eil d II gar de barr i egravere
p egravere TIupanloup agrave lOdeacuteon Se conduisit comme un cochon Avec la peau de ses roupettes Il boucha le trou des cla1inettes e
Peacutere Dupanloup agrave lOpeacutera Se conduisit comme un goujat Au troisiegraveme acte dans la coulisse Il encula le pompier de service
pegravere Dupanloup agrave Saint-Malo Confesse les feGlmes dans Lill ~
tonneau Fassant sa pine par le trou de la
bonde Il seacutecrieuVla le s8uveur du
monde
pegravere Dupanloup le 14 Juillet Alla se promener agrave dos de mulet Pour que la fecircte soit complte Il encula la pauvre becircte
Fegravere Dupanloup fait cuire des oeuf Il les remue avec sa queue Sa femme qui passe dans la cuisine Lui di t ttcochon tu brucircles ta pine
Fegravere Du~anlou~ devenu vieux Ne bandait plus quune fois sur ~ Sarrachant la pine avec rage Il sen fit une canne de voyage
pegravere Dupanloup dans son cerceuil Bandait encore comme un chevreuil Avec sa pine en arc de cercle Il essaya de soulever le couvercle
pegravere Dupanloup au paradis Voulait enculer Jeacutesus Christ Non de Dieu dit le pegraveregrave eacuteternel Prends-tu le cie l pour un borde l
pegravere Dllpanloup Icircuttout confus De ne pouvoir lui foutre au cul Branlant sa pine de part et dautr Il aspergea les dOQze apocirctres
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~ r -middotmiddot
-0--
~-~
shy _ 1_-_
Du Dieu Vulcain quand leacutepouse fri- De Jupiterf3con vraiment divine ponne Le Jon lui pueil aime le goudron shy
Va boxonner loin de son vieux sournoisDfun trou agrave merdeil fait un trou Le noir jaloux que lamour aiguillonne Tranquillement se polit le chinbis Et bat le beurre Va-t-en di t-il ~ agrave ss fo utue femelle Cette facon e st Je me fous bien de ton con chassieux Pour terminer un De mes cinq doigts je fais une pucelleApr~3 ldessert Masturbons nouscest le plaisir des
Dieuxe
2 Bah Laissons lui oe p18isir ridicule Chacun dnilleurs sailluse agrave sa focon
Moi je preacutefegrave~e la maniegravere dHer6ule Jamais sa mainne l~i servit de con Le plus seacute11e trou la plus vieille
conn s se Rien nechappait a son vit glorieux
Nous serons fiers de marchermiddot sur ses
Traces Baisonsbaisons 9 cest le plaisir d~s
Dteux
3 Du Dieu Bacchus 9 quand 20cableacute dishy
vresse Le vit mollit etsur le co~ sendort 69 et le vit se renresse 69 ferai tbanderun mort a clitoristop parfun de fromage Fait regimlier nos engins victojeux A S8 vertu nous rendons tous hommage Gamahuchons 9 cest le plaisir des
Dieux )
l
Fo u tre
Foutons
agrave pine aQ milieu de leacutetron
di vinement bonne geuleton joyeux
on senc~le en couronne
Enculons nous cest le plaisir des
5 Quant agrave Plutonle Le moinllre effort AQssi veut-il sans
r Faire sucer son peUlS arrognnDt l + lJ nOJ8revan aux 8XTf~~S8S passees Tout 18nguj sS8n~s reacutejcissons nos
yeux Et laiss3nt faire une amante emshy
preacute)SS8J Lcissons sucerc1est ~e ~10isir des
Diel1x
r o rs st e Q insi_ quI 0 11 f 8 S 8 e agrave sa
_~Iampts
MnincoTI 9 cU1 9 bouche8U plaisir t 0 D tes t bon
SUT q1elque 2u~ el q~ or ceacutelegravebre fecircte
~o u jour 2 lagrave haut uuml~ est sur du
Foutre
Di evlX
Die~ agrave large pense lu~ semble fatigant craindre la deacuteshy
p9D set
fi arc~() n et joutr -IO~-U~_ J untque
middot1 - =~gt FI ire et j oU_ir vo il8 qlu~l s sont
amis qu liI~~or-t- la woniegravereacute Foutonsfoutonscest le plaisir
des DieLc
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AIR Mal bo ro ugh sten va-t-en guerre e
Lagrave haut sur la colline Un coup able de lenfer Les 2 piedsles 2 mains dans la Les de ux piedsles deux mains dans Lagrave-haut sur la colline merde Un coup able de lenfer la merde Il y avait un gros cu (bis) Qui ava it fait un gros peacute
Un gros cureacute de campagne Un gros p~cheacute mortel Les deux pieds Les deux pieds tooe ooeo 0000
Un gro s cureacute de campagne Un gros peacutecheacute mortel Quastiquait son gros bou (bis) Et nvait trop eacuteteacute (bis)
Son gros bouquin de prieacuteres Trop eacuteteacute 8U bordel Les deux pieds 0 Les deux piEds0 0 0 bullbull 11000 bullbull 00
Son gros bouquin de prleres Trop eacuteteacute au bordel Pour entrer dans un Con (bis) Ougrave il alloit quecircter (bis)
-Dans un confessionnal Quecircter laumone des pauvres Les deux pie d s bull 0 0 0 bull 0 0 0 Les deux pied~ 00 bullbullbull
Dans un confessionn31 Quecircter l Qum~ne des psuvres Pour y tirer un cou (bis) Qui en SV3iegravent besoin (bis)
CHA R LOT T E ~ ---I_middot middot--middot-I_(~-~~-
~ REFRAIN Branle (ter) Charlotte Branle (bis) ca fait du bien Branle (ter) ma chegravere Branle (bis) jusquagrave demain
1 LI
Dans son boudoir9~a petite Charlotte Ma is 6 mnlheur 5 6 fatale disgrace Chaude du con f3ute dAvoir un vit LQ jouiS8311Ce lui fi tfaire un Se masturbni t avec une carotte brlJ ~~qhes~ut
Et jouissait eacutetendue sur un lit Du contre l)oUP la c9rotte 88 ossee L Et dans le con il en reste un
Ah disai t-elle~ dnns le siegraveole oUgrave morceau nous sommes
Il faut savoir se passer des garcons Un meacutedecin praticien fort habile Moipour ma partje me fous bien Fut appeleacutequilui fit bieq du mal
des hommes Ma is par malheur la carotte indo- shyAvec ardeurje me branle le cont cile
3 Ne put sortir du conduit vaginal Alors 83 main neacutetant plus paresseuse Alla it vena it c omme un p e ti t re s So rt Mesdemoisellesque le sort de Et faisait jouir la petite vicieuse Charlotte Aussi ce jeu lui plaisait-il bien Puisse longtemps Vous servir de
fort lecon Ah croyez-moil a iss~z lagrave 18
(gt nro tte Preacutefeacuter8z lui le vit dun beau
gs rcon
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L A PO M P 0 NET T E
LE COlVUVLANDEUR DU CUL-SEC LE CHOEUR middot
Aimes tu mieux boire et deacutegueuler Quon verse agrave boire agrave ce cochon lagrave Queds npas oire 8t tJemmerder On verra bien sil d~gueulera bullbullbullbullbullbull eoOOOCJO bullbullbullbull O Pendant qUil deacutegueulera
Que son ~oisin sappr~teLE BUVSUR DESIGNE Pendant quil s3ppr~tera
Oui j oime mieux boire et deacutegueuler Ch3ntons ln pomponette Que denpas boire et memmerder L3 pomponette bullbull 0 bullbull 0080 bullbull 0 bullbullbullbullbullbull La pomponette
Il fil Lera (1) 00 O bull bull 0 bullbullbullbull
Ce cochon lagrave 8 bien fileacute A son voisin de rcommencer
LES MOINES DE SAINT-BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis) Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis) Si lprieur nous engueuleon chante des chansons
REFRAIN Vo ila c qui est bon et bon~ et bon Et voilk 13 viela viela viela vie cherie ah~ oh (bis) Et voilagrave la vie que tous les moines font
Pour notre souper de bons petits oiseaux (bis) Que lon nomme oaille ortolans ou perdrenux(lis) Et la fine nndouillette et la tranche de jambon
Pour notre coucherun lit aux draps bien blancs (bis) Avec une lone de 15 agrave 107 ans (bis) A la taille bien faite et aUx nichons bien ronds
Si cest ca la vie que tous les moines font (bis) Je me ferni moine avec ma Jeanneton (bis) Le soir dans ma chsmbrette je lui chatouillerai le bouton
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DLJ 1 VI
A la porte dtun couvent(bis) 1 l Y avait un moine Ah 1 djt- la soeur da couvent QlJ as-tu moine QU1ssctfLu mmine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine agrave gueuler tant
II Ma soeur je voudraisrentrer(bis)Maisma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Entre moine entre moine Ahr dit la so e ur du couvent Entre) moine e1 ngueule pas ~n~t
0 -
III Quand le ~oine fut entr~ (bi~) Il gueulait enoore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quas-tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu~ moine agrave gueuler tant
IV Ma sbeur je voudrai manger (bis) Ma i s ma s oe ur je n 0 s e Ah dit la soeur du couvent
M8nge ma ine mange mo ine Ah dit la soeur du couvent Mange mo ine J et lffie ~-gl-1~ ule pa e tant
v Quand le moine eut mElngeacute (is)
Il guelllait encore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quasftulmoine Ah dit la soeur du couvent qUas tu moine agrave geuler tant
Ma soeur je voudrai mcoucher -(BiS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Couche toi moinecouche toi moine Ah dit la soeur du couvet Couche tbi moine et gueule pas tant
VI-I Ccedilu~nd le moine fut cou~heacute (Bis) Il geulait encore Ah dit la soeur du couvent quas tu moine quas tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas tu moine agrave geuler tant
IX Ma soeur je voudrai vous baiser (bis) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine baise moi moine Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine et ne geule pas tant
IX Quand le moime eut baiseacutee (biS)Il geulait encore Ahl dit la soeur du couvent quas tu mOinequastu moine Ah dit la soeur du couvent Qutas tu moine ~ geuler tant
X
Ma soeur jvoudrai rcommencer (biS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Va au claque va au claque Ah dit la soeur du couvent Va au claque et fous-moi le camp
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((()ltrimiddot1
Samedi dernierceacutetait jour de la paye Et le soleil brillait agrave lhorizon Javais deacuteja bu cinq agrave six bouteilles l (bis) Jcrois bien qujamais jnavais eacuteteacute aussi rond)
Vlagrave ma bourgeoise qui sramegravene sur le zinc Et mdit Cochont ta quitteacute ton turbin
Ouiqujy reacutepond je men vais au meacutetinge) (bis) A u grand meacutet inge du Meacutetropo li tain J Les proleacutetaires dun eacutelan unanime y sont venus guideacutes par la raison _ En apportant chacQD cinquante centimes l
- ) (b2s)Pour soutenir les greacutevistes de Vierzon
avait Basile le mineur indompta ble cr lme linatr qu e st l honneur du part i (1)
sont monteacutes tous deux sur une table ( bis)Pour exposer la question sur le tapis Quand tout agrave coup on entend du bastringue C middotest un quidam qui veut faire son malin Il est venu pour saboter lMeacutetinge Le grand Megravetinge du Meacutetropolitain (bis)
Jy bondis dSBUS et avant quil rouspegravete Jy enfoncais jusquaux yeux son chapeau Il est parti sans demander son reste )
( bis)En faisant signe aux gardes municipaux (
Qui profitant ~e c que j1 eacutetais brinde zingue Mont emmeneacute au poste-le plus voisin Etc e st ainsi qu c e st termineacute le Meacutetinge ( ( bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetro~olitain
Couplet patriotique Peuple Francais la Bastille est deacutetruite Mais II y a encore des prisons pour tes fils Souviens toi bieuron des geacuteants dquarants-huit l (bis) Queacutetaient plus grands que les ceusses daujourdhui)
Couplet socia 1 Car cest toujours lpauvre ouvrier quicirc trinque
Cest lui quon met en prison pour des riens C eacutetait quand megraveme un bien joli Meacutetinge ) (bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetropolitain J
-(l)-Ces deux vers sont quelques fois remplaceacutes par les suivants
y avait Maurice le mineur indomptable Le gros Jacquot quest l honneur du parti
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PalU notre coucher dans de beaux draps bien blancs (hie) Avec une pucelle de seize ~ cent sept ans (bis)A la taille bien faite Et uxnichons bien ronds Cest ccedila qUest b0n et bon et bon I(au refrain)
Si cest lagrave la vie de les beacutecistes font (biS) Je mferais beacuteciste avec ma Janeton (biS) Et l soir dbns ma chaiTILbrette Jlui chatouillerai le bouton Cest ccedila quest ~on et bon et bon t (au refrain)
ff ff tf tr tl t Air nIl eacutetait un petitLE ~mSEE DATHENES
na vire
Visitez le Ruseacutee dAthegravenes (his) Vous y verrez reacutereacute bien conserveacutes (biS) Oheacute
Trois poils du cul de ~eacutemosthegravene (bis) Et les roustons ton ion du pegravere Caton(bis) Oheacute Oh6 1
~ 1
V(Uuml)~6 Y v9lZxe z la CM et e DiLne middot Le Et
egraveoh boumiddotlheacute pqrQJle les roustons tOl1ll~
banar~e ton du pegravere
~ -Oaton (bi~) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fils dHercule Photographieacutes quand ils senculent Etle s roust ons ton ton dQ pegravere Ca ton (bis) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fills dUlysse Photographieacutees ~endant quTelles pissent Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) ~heacute Oheacute l
Vous y verrez la megraveEgravee Egeacutee Caramboleacutee par le Pireacutee Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) Oheacute Oheacute 1
Vous y verre3 le cul dDiogegravene Deacuteveacuteroleacute agrave lThydrogegravene Et les roustons ton ton du pegravere Caton (biS) Oheacute Qheacute 1
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REFRAIN Et If on ST en fout dattraper la veacuterole Et l t on sen fOLlt pourvu qu 1 on tire un coup Avec 7 avec bullbull une femme bull sous les r C8~~ses
( Tous le c9uplet S 80)1 ~ ~ur le typ~ ~ d~ premier J Vivent les eacutetudiantegravema megravere Vivent les eacutetudiants t Ils ont des femmes e t pas dt enfants $$$~~$$~$~~~~$ $$~~$$$$$$ $ $ ~~$~ Vivent les eacutetudiants l $
~ ViTent les eacutetudiantes E 11 f S aiment a voir la pine au -v-entre bull ~ RE FRAIN
$AhI les fraises et les framboisesVivent les avocats bullbull Ah le bon vin ~ue nous avons buIls ont des couilles en chocolat bull iAh les belles villageoises ViTent les sor~onnards $Nous ne les reverrons plus Ils ont des couilles en peau dTleacutez~rdr bullbull ~
3 Suy la rout e de Montmartre Vi vent le S cOlonia ux De Mont oartre agrave Faris Ils ont des couilles en peau de chameau fiJ ai rencontreacute trois filles
~Trois filles de mon paysVi -ent le 3 cara bins bull $ Ils ont des femmes qui baisent bien $ f
~Jai rencontreacute trois il1e3 $iumlrois filles de mon paysVivent les carahines
E Iles adorent vous SLlcer la pine bullbullbull nJ embra sse la plLlS jeLUle lEt la plus belle aLlssi
Vivent les artilleursbullbull Ils tirent un coup tous les quarts i Je dansITemmegraven e ma chambre
d f he ure Et je la fous sur le lit
Vivent les pharmaciensbull Ils ont l permangaha te pour rienbullbull middotEJ8t regarde entre ses jambes
1 j y vois le paradis Vivent les pharmaciennesbullbull Elles sont putains OD bien Lesbiennes Je rgarde entre les miennesl
Et j ty vois Jeacutesus ChristVivent les PCE bullbull Ils ont les couumlt~~es galvaniseacutees Jeacutesus levant la tecircte Vivent les aviateurs ~Entra d3ns le Paradis Ils legravevent la qLleue tOLlS les i dheLil8 bullbull 1 Vivent les aviatrices $11 sy brisa le cracircne Elles ont le manche e~ vle ie~ ~uisses bull i La cervelle en jaillit
rVivent les arts deacuteco bullbull ~ Pleur z pleLlre Z1 me sdame sIls ont les couilles preacutes du pinceau hLa mort de Jeacutesus Christ
Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
$11 est encore en vie
11 Ji 1l- ~ igt tt Ji Lj ~ H plusmn i ~ ~ ft 4 Ltmiddot + ~i H ~ ~~ Ji y igt4 + t~ -- Li f-- ~ ~ -t u J 1 i -+ ~ q ~ gt~ ~ c ~ H + bull -c i ~ h t H li ~ middottt 4f H if lf H- if tf rt tI if tf ri +t l I tf iftf 11 r If l i of Il i1 ri i l ~( rf rf 11 Il ~ n r( Tl ~ i+r 1 ( rf Tl ri Ii II Ir rI li II If li middot( 11 1 lmiddot Il 11 rr n 1( tf if
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REFRAIN
l
Q~I Dieu recircva dans sa ~hilosophie Dtunir toujours les petits et les grands Oui Dieu recircvq agraveans sa philosopnegravee Dunir toujou~s les petits-et les grandso
l
Sur les d~~ris dune motte princiegravere Que la yeacuterole emportai t par lambeaux Un vieux morpion plu3ieurs fois0entenaire 9
A ses enfants disait ces derniers mts Suivez enfants~ le chemtn de ma vie 9
De tous les ccns soyez les conqueacuterants
II Jai vu le jour chez des peuples sauvages Qui du soleil se disaient rejetons 9
Jai traverseacute lAtlantique agrave la nage Sur les roustons du grand Christophe Colomb C~mme il donnait un monde agrave sa patrie~
Je le peuplai de nombreux habitants
III
Depuis pregraves de trois cent anneacutees Jai freacutequenteacute les plus hauts potentats~
Jtai poursuivi des pines couronneacutees Jai vu descoons engendrer des preacutelats Plus dun Saint Pegravere sur ses couilles fleacutetries Sentit grouiller mes arpions triomphants
IV De Louis Quatorze j ai SU0~ les cuisses~ Et jai veacutecu six mois p~us son b~ton Freacutedeacuteric II avait la ~haude-pissey Marie-Theacuteregravese avait un chaccre au ron Jai vu briller le scleil nItalie Au-dessus du trocircne des papes branlantso
V
Depugraveis jai eu des heures nalheureusefJ Bien peu de cons me furent hospitaliers Et le vagin dune religieuse Puait si fort que je faillis crever Dans les bidets j 1allais de compagnie Avec les spermatos agonisants
(agrave suivre)
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LES MEMOIRES DUN middot DIORPION ( suite)
Jai vu baiser la reine dAngleter~e
Par les sous-offs de toute la garnison Jai burineacute les couilles du Saint-Pegravere Quand tous 19s soirs il allait au boxonQ Suivez nfants le chemin de nos fregraveres De tous les cons soyez les conqueacuterants
A Austerlitz agrave Friedlandagrave R0me Partout o~ le pousse le sort Jai pursuivi la pine du grand homme Mci s il est mort et moi je vis encore Jhabite le con dlla princesse Eugeacutenie Et j eacute le livre agrave va u s ~ ID es che r s enfant s ~ Il
Le vieux middotCC -- ~ C) Gi voulut parler encore Mais dans Sa Jauche sa langue se gl a ccedila Un froit mortel envahit tOQt son copps Et l ent ement l e Ild0 rp ion exp i rI)
Du bout d ILJn pc~ ~l ql1 ~agi tait lagonie Il se raidit et dit agrave ses enfantpo
Au refrain
IV Entrant dans une eacuteglise Je te fr a i voir de lherbe Je ne vis dabord rien Qui pousse dans ma main Quun vieux cochon de moine V Qui se branlait dans un coin Qui fait grossir le ventre
Et arrondir les seinsREFRAIN VISi je tencule 9 cule~ cule
Et nous ferons ensembleSi je tencule best pour ton bien Un petit capucin
Si je te Baise~ baise 9 baise VIISi je te baise cestppur le mien Aux couilles tricolores
II Au poil du cul chatain Qun vieux cochon de moine VIII Qui se branla i t dans un coin Il aura la veacuter81e Et confessait les filles Sa megravere lavait bien Du soir jusquau matin IX
II I I l ira a~ bordel middot Il dit agrave la ~us jeune Son pegravere y allait bien
Tu reviendras dem8in JC-Encul er les maqueDelles Fa ire œinette aux putains
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LA DIGUE DU CUL ----------shy~-----~
La digue du cul en revenant de La digue du cu1 1 non re nest pas Nantes ( Bis ) le diable ( Bis
De Nantes agrave Montaigtl la Digue ~ Mais un gros dard pointuooooo la digue
La digue du culqui bande et quiDe Nantes agrave lVIo nta igu la digue du
deacutecharge ( Bis )OuI Et qui a beaucoup de jus La digue du cul je rencontre une
Belle ( Bis ) La digue du cu1 9 si ce nest pas le Qui dormait le cul nu le diable ( Bis )0middot bullbull 000
La digue dQ cul je bande mon Il est bien dans mon culoooo 0
arbalete ( Bis ) La digue du c~19sil y est quilLa fous droit au but 060~0
y reste ( Bis) La digue du cu1 1 la belle se reacuteshy Et qufil nen sorte plus 00
veille ( His ) Et dit J ta i l c diah l eau cul 0 bull 0
JEANNETON ===-===-==
Jeanneton prend sa faucille Le second un peu moins sage LaliretteLalirette LaliretteLalirette
Jeanneton prend sa fallcille Le second un peu moins sage Pour aller couper des joncs (bis) La coucha sur le gaz1n (bis)
En chemin elle rencontre Le troisieacuteme un intreacutepide Lalirette 9 Lalirette Lalirette lalirette
En chemin elle rencontre Le troisiegraveme un intr~pide
4 jeunes et beaux garcon3 (bis) Releva son blanc jupon (bis)
Le premier un peu timide CB que fit le quatriegraveme LaliretteLalirette Lalirette 9 Laltette
Le premier un peQ timide c~ rJue fit le quatriegraveme Lrembrassa sur le menton (bis) Nest p~s dit dans la ohansen (bis)
Si vous le saviez Mesdames LaliretteLalirette
Si vous le saviez Mesdames Vous iriez couper des joncs (bis)
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LE BORDEL A FE RlŒE SES VOLETS Air~ L-n guin~glicirceumltt euml--rermeacute-s8s-volets
IJ e b 0 rd e el a f e rm eacute ses vo let s
Elles sont toutes veacuteroleacutees y a plus moyen qUon boise Le dernier qui y est alleacute Pour se faire faire un pompier Est r1venu avec la pine enfl~e jheacutet
Le toubid qui les a visiteacutees A tout de su~te deacuteclareacute y faut plus quon les baise l La mnreacutechausseacutees les n toutes boucl~es
Et le bordei 3 fermeacute ses volets
Totor quest un habitu~ A voulu y aller Disnnt Cest dla foutaise Ir
Mais trois jours apr~s il npouv9it plus marcher
Tant sa pine eacutetait deacute13breacutee Oheacute
A 1 hosto 9 on lt 3 transporteacute Lui laissarlt Suumlpp0ser Que ce leacuteeer malaise Ne lempecircchersit pas drevenir baiser QU82 J_bordel rocvrirGit ses volets
Le toubid lui ayant conseilleacute De ne ~us coiumlter Sans une capote angl Ai$e 9
Arssitocirct smi t sur pied 9 il en [) comm3ndeacute
Douze douzaines avec bout renforceacute
Au premier coup qUil a tireacute Cest ~es couilies qUontlacheacute Pas ln capte anglaise On les n r tro uveacutees aux qu~at coins
du quartier Et lbordel a fermeacute ses volets
Air Marc he fun~bre n
TottOr nest plus Les putains lont descendu Un franccedilais de plus Que les Anglais auront foutu Et sa pine Quav~it belle mine Ne bander8 plus Ainsi triomphe la vertu
Air La guinguette bull
Le bnrdel a rouvert ses volets Par un bequ matin de mai Au temps des premi~res frsises Lpersonnel ~tait enti~rement
reno uveleacute Et la tocircli~re -eacutetai t toute en c -A
be3uteacuteOheacutel
La ~oule se pressait etvriait Elle avait oubli~ quldanger Quand on ba i se Etait dse confier au machins
anglais Et lbordel sest payeacute des
bidets
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shy J_Eshymiddotr (Chanson des Be~ux Arts)J REFRAIN
bulli---- Le casque est une coiffure1 r Qui sied agravela figure
i r-
J Un casqu~ de pompier
Jbull---- Ca fait presque guer~ierj C8middot lui donne un air vainqueur Qui sied ~as mol agrave sa valeur
icirc-]--- Sous son casque luisant t
Il a lair vr3iment eacutepatantT J Zim l a boum zim l a y la
--- - On peut lfblsguer t3nt quon voudraImiddotmiddot~-
-_shy Le pomp1egraveer est bien ou-dessus dccedilagrave--T--1shy
l On dit quelquefois au village Qun casque ccedila sert agrave rien du toutl
- rien du tout Ca sert agrave donner du courage
A ceux qui nen ont pas du tout shypas du toutl
De loin ccedila prend Jes airs fan~asques Et chacun dit en les voyant - en les
voyant Quils sont donc beaux avec leurs
c8sques Ca leur donne un p~tit 8ir ~patnnt
II
On nous raconte dans lh~stoire
Que les Romains et les Gaulois les Gaulois
Ces fils oneacuteris de la victoire Portaient des casques autrefois shy
autrefois Le cnsque cest donc l heacuteritage De tous ces guerriers valeureux shy
riers valeureux ~
Et si nous lsvons eh partage Cest gufnous sommes guerriers comme
eux
III
On sait que chacun sur la terre A son faible ou sa passion shy
sa pa ssion l Le pompier quest un militaire Est fier de S3 ~osition - sa
po si ti(l)n Le sapeur datsa barbe noire Est orgueilleux de son bonnetshy
de son bonnet Le pompier met toute S3 gloire Dans son casque et dans son
]lumet
V Les jours ousquil y Q fecircte Il endosse ses plus benuE hsbits
- 1) e el ux habi + rjJ Il met 80n casque sur sa tecircte Puis agrave lombre de sa visiegravere Pour aller flaner dans le pays
- dans le pRyS
Quand il rencontre un jeune teri i dron - jeune tendron
Il lance une oeillnde incendiaplusmnp~
Le yompier est tellement polisson _
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LES CENT LOUIS DOR (Air des Louis dOr)
Un soir dans une diligenoe Sur une route entre deux bois 9
Je branlaisavec assurance Une fillette pu frais minois Javais retrouss~ S3 chemise Et mis la ~3in sur son bouton Et je branlais malgregrave la bise A d~chirer mon pantalon Pour un quart dheure entre ses
cuisses Un prinoe sut dann~ ses tr~sors
Et moi j 3urais Dieu me beacutenisse Jaurais donneacutec oent Louis dtOr
Las de branler eacuteans r~sistance
La tecircte en feu~ la pine aussi Je pris 8a ~ain quelle ind~cence
Et la mis en forme dteacutetuis Je jouissais ~ perdre haleine Sa main sa robe en eacutetaient pleines Et cel~ne suffisait pas Sentant rallumer ma fournaise Je lui di slltiens f3i s pl us encor Sortons dici que je te boise ~
Je te egravecnne cent Louis dOr
La belle alors~toute confuse Me reacuteponctit ingeacutenument
Pardon Monsieur je refuse Ce que vous moffrez galamment M8is j 8i jureacute de rester sage Pour mon fiunQ6 mon mari De conserver mon puoelage ~-
Il ne s egraver r l j ama i s (~llJ tih~lUfL l 2 Ji Tu naura spa s le ri di c ul e Dis-je darrecircter ton essor Permets aU moins que je tencule J e te prGtmets nent Louis d Or ll
0
Au premier relais sur ln route Nous descendimes promptement~ Au CQl~ il faut que je te foute Nepouvant te foutre autrement Dans une auberge nous entraIDes Tout st Y trouvsit bon feu bon lit Brucirclants dqmour nous nous couchacircmes Je lenculai toute 13 nuit bull NU i s PQ ur changer de joui ssanc e s Je lui dis tiens fais plus encore Livre ton con et lttout d f av3nce Jete p bo ID et s 0 ent L 0 lAgravei s d ~ 0 r bull
ttJe veux bien~ sans plus de harange Dit-elle en me succedilant le gland~ Livrer mon con agrave votre langue Pour ne pas tr8hir mon serment Aussi~6t plac~s tecircte b~che Comme deux amants dans le lit Avec ardeur je la legraveche Pendant quelle me suce le vit Mais la voyant bi~ntocirct pam~G Je ps lui ravir son treacutesor Et je lui dis la pine entr~e~ Je ga gne mes c ent Louis d ~ 0 r n bull
Huit jours apregraves cette aventure Jeacutet8~S de retour ~ Paris Ne pren8nt llUs de nourri ture Restant pensif au logis o
A la gorge ainsi quIa la pine Javais ceacutetait inqugraveieacutetant Chancre poulain on 18 devine Une ch3ude pisse en rlecircmecirc temps Prenant le parti le plus sage Je me transporte che~ Rocord Qui me di t ~ nUn tel puoe18ge Vous co ucirctera cent Loui s d JOrn
Ir 1 Ir Il Il Il 1 P Il lt Il It H
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1 61-__-
l 5 Lautrjour ~ la consultation Pour ceux- yen 3 d 1 si deacutegoatants- Ltoubib 9 un vieux ~ lnir antique Qui deacutesirent to ut fa ire psr derriegravere Apr~s mavoir ~arfouilleacute lco~ Jorois qucest encore plus ~pnt8nt Ma dit qUjeacutetais syphilitique 0 y 8 vraiment dqu~i se egraveatisfaire Les meacutedecinsegraveest oomme les cureacutes Mon 9nus cest comm une vraie fletr Il faut bien lescroire sur parol t Une rose ~ triple corolle t Mais vrai ccedilui l~ ma sideacutereacutee On leffeuillerait avec bonheur Jpeux pas croire qucest ccedila la ~ ~Jpeux pas croire qucest ccedilagrave la
veacuterole veacuterole
2 6 Ca commenceacute par un bouton L autr t jour vl~-1 quen bntifolant Qu6tait situeacute tout nupregraves dlautre Jai vu q~mon typ le m6m Eug~ne Un peu plUS dur uL peu middotplus rond Il 3 queacuteqLl chose aussi maintenant Vrai grain d chnIl let pour mes Fout x7Tsiment qu on ait pns d veJne
p8tnocirctres Cest comme une pastille SLlr son Comme y mchatouillait dtemps en gland
temps On grille r9 ln sucer ma parole Je mgratouillaisccedila fsait tout drocircle Cest rondcest rose et cest y mIn fait mouiller ~~en souvent charmant ~
J p eux p 3 S C ro ire qu c est Ccedil8 la J p eux po s c ro ire qu c est ccedilagrave la veacuterole veacuterole
3 Puis sur le corl s il mest venu A lhopi tal ougrave j 1 ~ui s alleacutee Toutes une floppeacutee de ptites taches On ma montr~ ~ msieur lInterne
roses Un grgrtd gars agrave lair d~lur~ Qui contrastaient sur mon corps nu Qui mo ploteacutee dun nir p1terne Avec 18 blancheur des middot8ut choses Apregraves ru nvqir liien reluqueacutee Jcrois mecircme qUceacutetait plus joli -Pourtant ~ poi1 9 je nsuis pas y en a bien qui se foutsur la fiole gn61eshyDu cold-cream et dla poudre de riz Il ne sest mecircme pas fRit br8nler Jpeux pas croire qucest ccedil~ 18 veacuterole Ah oui j vois bien qujai
11 veacuterole
4 Comme ccedilagrave spassait j Qi constateacute Que par en ba sc eacuteit21i t PD s- 02 illme Quand dans ln glace je msuis rg~rdeacutee9
On aurait dit un vrai diadegraveme N en nva~t des ronds des pointus Cest velouteacute quand on les frocircle Oa fait trentsix ptits mamlons dplusa
J peux pas croire qLl egrave est ccedil~ la veacuterole ~
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Pegravere Dupanloup dans luteacuterus (bis) Etait deacuteja si plein dastuce (bis) Que dans le vagin de sa megravere Il succedilait la pine de son pegravere
RE~RAIN Ah ah ah oui vraiment
~ Pegravers Dupanloup (bis) Ah ah ah oui vraiment
pegravere Dupanloup est deacutegoutGnt
pegravere Dupanloup dans son berceaubis) Bandait deacutejagrave comme un toreau (bis) Et sur le sein de sa nourrice lIa ttrapa 18 chaude -pisse
pegravere Dupanloup monte en Mais il avai t le systeacuteme Quagrave trois cents megravetres
Ses couilles trainaient
ballon (bis) si long (B)
dans lathmosphegravere e~core par terrecirc
pegravere Dupanloup monte en bateau (bis) La pine en lairles couilles sous
Quand survint Qui lui mordit
pegravere Dupanloup Mais il avait Quen peacutedalant La peau de ses
pegravere Dupanloup
leau une grosae grenouille la peau des 80uilles
monte en le syst egraveme
agrave perdre couilleo
dans
en chemin
veacutelo (bis) si gros
haleine se sa
de Deacutesir mettre ses couilles agrave
prit chaine
fer(bis) lair
Passant sa pine par la portieacutere 11ere va l 0eil d II gar de barr i egravere
p egravere TIupanloup agrave lOdeacuteon Se conduisit comme un cochon Avec la peau de ses roupettes Il boucha le trou des cla1inettes e
Peacutere Dupanloup agrave lOpeacutera Se conduisit comme un goujat Au troisiegraveme acte dans la coulisse Il encula le pompier de service
pegravere Dupanloup agrave Saint-Malo Confesse les feGlmes dans Lill ~
tonneau Fassant sa pine par le trou de la
bonde Il seacutecrieuVla le s8uveur du
monde
pegravere Dupanloup le 14 Juillet Alla se promener agrave dos de mulet Pour que la fecircte soit complte Il encula la pauvre becircte
Fegravere Dupanloup fait cuire des oeuf Il les remue avec sa queue Sa femme qui passe dans la cuisine Lui di t ttcochon tu brucircles ta pine
Fegravere Du~anlou~ devenu vieux Ne bandait plus quune fois sur ~ Sarrachant la pine avec rage Il sen fit une canne de voyage
pegravere Dupanloup dans son cerceuil Bandait encore comme un chevreuil Avec sa pine en arc de cercle Il essaya de soulever le couvercle
pegravere Dupanloup au paradis Voulait enculer Jeacutesus Christ Non de Dieu dit le pegraveregrave eacuteternel Prends-tu le cie l pour un borde l
pegravere Dllpanloup Icircuttout confus De ne pouvoir lui foutre au cul Branlant sa pine de part et dautr Il aspergea les dOQze apocirctres
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~ r -middotmiddot
-0--
~-~
shy _ 1_-_
Du Dieu Vulcain quand leacutepouse fri- De Jupiterf3con vraiment divine ponne Le Jon lui pueil aime le goudron shy
Va boxonner loin de son vieux sournoisDfun trou agrave merdeil fait un trou Le noir jaloux que lamour aiguillonne Tranquillement se polit le chinbis Et bat le beurre Va-t-en di t-il ~ agrave ss fo utue femelle Cette facon e st Je me fous bien de ton con chassieux Pour terminer un De mes cinq doigts je fais une pucelleApr~3 ldessert Masturbons nouscest le plaisir des
Dieuxe
2 Bah Laissons lui oe p18isir ridicule Chacun dnilleurs sailluse agrave sa focon
Moi je preacutefegrave~e la maniegravere dHer6ule Jamais sa mainne l~i servit de con Le plus seacute11e trou la plus vieille
conn s se Rien nechappait a son vit glorieux
Nous serons fiers de marchermiddot sur ses
Traces Baisonsbaisons 9 cest le plaisir d~s
Dteux
3 Du Dieu Bacchus 9 quand 20cableacute dishy
vresse Le vit mollit etsur le co~ sendort 69 et le vit se renresse 69 ferai tbanderun mort a clitoristop parfun de fromage Fait regimlier nos engins victojeux A S8 vertu nous rendons tous hommage Gamahuchons 9 cest le plaisir des
Dieux )
l
Fo u tre
Foutons
agrave pine aQ milieu de leacutetron
di vinement bonne geuleton joyeux
on senc~le en couronne
Enculons nous cest le plaisir des
5 Quant agrave Plutonle Le moinllre effort AQssi veut-il sans
r Faire sucer son peUlS arrognnDt l + lJ nOJ8revan aux 8XTf~~S8S passees Tout 18nguj sS8n~s reacutejcissons nos
yeux Et laiss3nt faire une amante emshy
preacute)SS8J Lcissons sucerc1est ~e ~10isir des
Diel1x
r o rs st e Q insi_ quI 0 11 f 8 S 8 e agrave sa
_~Iampts
MnincoTI 9 cU1 9 bouche8U plaisir t 0 D tes t bon
SUT q1elque 2u~ el q~ or ceacutelegravebre fecircte
~o u jour 2 lagrave haut uuml~ est sur du
Foutre
Di evlX
Die~ agrave large pense lu~ semble fatigant craindre la deacuteshy
p9D set
fi arc~() n et joutr -IO~-U~_ J untque
middot1 - =~gt FI ire et j oU_ir vo il8 qlu~l s sont
amis qu liI~~or-t- la woniegravereacute Foutonsfoutonscest le plaisir
des DieLc
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AIR Mal bo ro ugh sten va-t-en guerre e
Lagrave haut sur la colline Un coup able de lenfer Les 2 piedsles 2 mains dans la Les de ux piedsles deux mains dans Lagrave-haut sur la colline merde Un coup able de lenfer la merde Il y avait un gros cu (bis) Qui ava it fait un gros peacute
Un gros cureacute de campagne Un gros p~cheacute mortel Les deux pieds Les deux pieds tooe ooeo 0000
Un gro s cureacute de campagne Un gros peacutecheacute mortel Quastiquait son gros bou (bis) Et nvait trop eacuteteacute (bis)
Son gros bouquin de prieacuteres Trop eacuteteacute 8U bordel Les deux pieds 0 Les deux piEds0 0 0 bullbull 11000 bullbull 00
Son gros bouquin de prleres Trop eacuteteacute au bordel Pour entrer dans un Con (bis) Ougrave il alloit quecircter (bis)
-Dans un confessionnal Quecircter laumone des pauvres Les deux pie d s bull 0 0 0 bull 0 0 0 Les deux pied~ 00 bullbullbull
Dans un confessionn31 Quecircter l Qum~ne des psuvres Pour y tirer un cou (bis) Qui en SV3iegravent besoin (bis)
CHA R LOT T E ~ ---I_middot middot--middot-I_(~-~~-
~ REFRAIN Branle (ter) Charlotte Branle (bis) ca fait du bien Branle (ter) ma chegravere Branle (bis) jusquagrave demain
1 LI
Dans son boudoir9~a petite Charlotte Ma is 6 mnlheur 5 6 fatale disgrace Chaude du con f3ute dAvoir un vit LQ jouiS8311Ce lui fi tfaire un Se masturbni t avec une carotte brlJ ~~qhes~ut
Et jouissait eacutetendue sur un lit Du contre l)oUP la c9rotte 88 ossee L Et dans le con il en reste un
Ah disai t-elle~ dnns le siegraveole oUgrave morceau nous sommes
Il faut savoir se passer des garcons Un meacutedecin praticien fort habile Moipour ma partje me fous bien Fut appeleacutequilui fit bieq du mal
des hommes Ma is par malheur la carotte indo- shyAvec ardeurje me branle le cont cile
3 Ne put sortir du conduit vaginal Alors 83 main neacutetant plus paresseuse Alla it vena it c omme un p e ti t re s So rt Mesdemoisellesque le sort de Et faisait jouir la petite vicieuse Charlotte Aussi ce jeu lui plaisait-il bien Puisse longtemps Vous servir de
fort lecon Ah croyez-moil a iss~z lagrave 18
(gt nro tte Preacutefeacuter8z lui le vit dun beau
gs rcon
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L A PO M P 0 NET T E
LE COlVUVLANDEUR DU CUL-SEC LE CHOEUR middot
Aimes tu mieux boire et deacutegueuler Quon verse agrave boire agrave ce cochon lagrave Queds npas oire 8t tJemmerder On verra bien sil d~gueulera bullbullbullbullbullbull eoOOOCJO bullbullbullbull O Pendant qUil deacutegueulera
Que son ~oisin sappr~teLE BUVSUR DESIGNE Pendant quil s3ppr~tera
Oui j oime mieux boire et deacutegueuler Ch3ntons ln pomponette Que denpas boire et memmerder L3 pomponette bullbull 0 bullbull 0080 bullbull 0 bullbullbullbullbullbull La pomponette
Il fil Lera (1) 00 O bull bull 0 bullbullbullbull
Ce cochon lagrave 8 bien fileacute A son voisin de rcommencer
LES MOINES DE SAINT-BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis) Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis) Si lprieur nous engueuleon chante des chansons
REFRAIN Vo ila c qui est bon et bon~ et bon Et voilk 13 viela viela viela vie cherie ah~ oh (bis) Et voilagrave la vie que tous les moines font
Pour notre souper de bons petits oiseaux (bis) Que lon nomme oaille ortolans ou perdrenux(lis) Et la fine nndouillette et la tranche de jambon
Pour notre coucherun lit aux draps bien blancs (bis) Avec une lone de 15 agrave 107 ans (bis) A la taille bien faite et aUx nichons bien ronds
Si cest ca la vie que tous les moines font (bis) Je me ferni moine avec ma Jeanneton (bis) Le soir dans ma chsmbrette je lui chatouillerai le bouton
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DLJ 1 VI
A la porte dtun couvent(bis) 1 l Y avait un moine Ah 1 djt- la soeur da couvent QlJ as-tu moine QU1ssctfLu mmine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine agrave gueuler tant
II Ma soeur je voudraisrentrer(bis)Maisma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Entre moine entre moine Ahr dit la so e ur du couvent Entre) moine e1 ngueule pas ~n~t
0 -
III Quand le ~oine fut entr~ (bi~) Il gueulait enoore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quas-tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu~ moine agrave gueuler tant
IV Ma sbeur je voudrai manger (bis) Ma i s ma s oe ur je n 0 s e Ah dit la soeur du couvent
M8nge ma ine mange mo ine Ah dit la soeur du couvent Mange mo ine J et lffie ~-gl-1~ ule pa e tant
v Quand le moine eut mElngeacute (is)
Il guelllait encore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quasftulmoine Ah dit la soeur du couvent qUas tu moine agrave geuler tant
Ma soeur je voudrai mcoucher -(BiS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Couche toi moinecouche toi moine Ah dit la soeur du couvet Couche tbi moine et gueule pas tant
VI-I Ccedilu~nd le moine fut cou~heacute (Bis) Il geulait encore Ah dit la soeur du couvent quas tu moine quas tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas tu moine agrave geuler tant
IX Ma soeur je voudrai vous baiser (bis) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine baise moi moine Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine et ne geule pas tant
IX Quand le moime eut baiseacutee (biS)Il geulait encore Ahl dit la soeur du couvent quas tu mOinequastu moine Ah dit la soeur du couvent Qutas tu moine ~ geuler tant
X
Ma soeur jvoudrai rcommencer (biS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Va au claque va au claque Ah dit la soeur du couvent Va au claque et fous-moi le camp
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((()ltrimiddot1
Samedi dernierceacutetait jour de la paye Et le soleil brillait agrave lhorizon Javais deacuteja bu cinq agrave six bouteilles l (bis) Jcrois bien qujamais jnavais eacuteteacute aussi rond)
Vlagrave ma bourgeoise qui sramegravene sur le zinc Et mdit Cochont ta quitteacute ton turbin
Ouiqujy reacutepond je men vais au meacutetinge) (bis) A u grand meacutet inge du Meacutetropo li tain J Les proleacutetaires dun eacutelan unanime y sont venus guideacutes par la raison _ En apportant chacQD cinquante centimes l
- ) (b2s)Pour soutenir les greacutevistes de Vierzon
avait Basile le mineur indompta ble cr lme linatr qu e st l honneur du part i (1)
sont monteacutes tous deux sur une table ( bis)Pour exposer la question sur le tapis Quand tout agrave coup on entend du bastringue C middotest un quidam qui veut faire son malin Il est venu pour saboter lMeacutetinge Le grand Megravetinge du Meacutetropolitain (bis)
Jy bondis dSBUS et avant quil rouspegravete Jy enfoncais jusquaux yeux son chapeau Il est parti sans demander son reste )
( bis)En faisant signe aux gardes municipaux (
Qui profitant ~e c que j1 eacutetais brinde zingue Mont emmeneacute au poste-le plus voisin Etc e st ainsi qu c e st termineacute le Meacutetinge ( ( bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetro~olitain
Couplet patriotique Peuple Francais la Bastille est deacutetruite Mais II y a encore des prisons pour tes fils Souviens toi bieuron des geacuteants dquarants-huit l (bis) Queacutetaient plus grands que les ceusses daujourdhui)
Couplet socia 1 Car cest toujours lpauvre ouvrier quicirc trinque
Cest lui quon met en prison pour des riens C eacutetait quand megraveme un bien joli Meacutetinge ) (bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetropolitain J
-(l)-Ces deux vers sont quelques fois remplaceacutes par les suivants
y avait Maurice le mineur indomptable Le gros Jacquot quest l honneur du parti
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PalU notre coucher dans de beaux draps bien blancs (hie) Avec une pucelle de seize ~ cent sept ans (bis)A la taille bien faite Et uxnichons bien ronds Cest ccedila qUest b0n et bon et bon I(au refrain)
Si cest lagrave la vie de les beacutecistes font (biS) Je mferais beacuteciste avec ma Janeton (biS) Et l soir dbns ma chaiTILbrette Jlui chatouillerai le bouton Cest ccedila quest ~on et bon et bon t (au refrain)
ff ff tf tr tl t Air nIl eacutetait un petitLE ~mSEE DATHENES
na vire
Visitez le Ruseacutee dAthegravenes (his) Vous y verrez reacutereacute bien conserveacutes (biS) Oheacute
Trois poils du cul de ~eacutemosthegravene (bis) Et les roustons ton ion du pegravere Caton(bis) Oheacute Oh6 1
~ 1
V(Uuml)~6 Y v9lZxe z la CM et e DiLne middot Le Et
egraveoh boumiddotlheacute pqrQJle les roustons tOl1ll~
banar~e ton du pegravere
~ -Oaton (bi~) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fils dHercule Photographieacutes quand ils senculent Etle s roust ons ton ton dQ pegravere Ca ton (bis) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fills dUlysse Photographieacutees ~endant quTelles pissent Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) ~heacute Oheacute l
Vous y verrez la megraveEgravee Egeacutee Caramboleacutee par le Pireacutee Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) Oheacute Oheacute 1
Vous y verre3 le cul dDiogegravene Deacuteveacuteroleacute agrave lThydrogegravene Et les roustons ton ton du pegravere Caton (biS) Oheacute Qheacute 1
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REFRAIN Et If on ST en fout dattraper la veacuterole Et l t on sen fOLlt pourvu qu 1 on tire un coup Avec 7 avec bullbull une femme bull sous les r C8~~ses
( Tous le c9uplet S 80)1 ~ ~ur le typ~ ~ d~ premier J Vivent les eacutetudiantegravema megravere Vivent les eacutetudiants t Ils ont des femmes e t pas dt enfants $$$~~$$~$~~~~$ $$~~$$$$$$ $ $ ~~$~ Vivent les eacutetudiants l $
~ ViTent les eacutetudiantes E 11 f S aiment a voir la pine au -v-entre bull ~ RE FRAIN
$AhI les fraises et les framboisesVivent les avocats bullbull Ah le bon vin ~ue nous avons buIls ont des couilles en chocolat bull iAh les belles villageoises ViTent les sor~onnards $Nous ne les reverrons plus Ils ont des couilles en peau dTleacutez~rdr bullbull ~
3 Suy la rout e de Montmartre Vi vent le S cOlonia ux De Mont oartre agrave Faris Ils ont des couilles en peau de chameau fiJ ai rencontreacute trois filles
~Trois filles de mon paysVi -ent le 3 cara bins bull $ Ils ont des femmes qui baisent bien $ f
~Jai rencontreacute trois il1e3 $iumlrois filles de mon paysVivent les carahines
E Iles adorent vous SLlcer la pine bullbullbull nJ embra sse la plLlS jeLUle lEt la plus belle aLlssi
Vivent les artilleursbullbull Ils tirent un coup tous les quarts i Je dansITemmegraven e ma chambre
d f he ure Et je la fous sur le lit
Vivent les pharmaciensbull Ils ont l permangaha te pour rienbullbull middotEJ8t regarde entre ses jambes
1 j y vois le paradis Vivent les pharmaciennesbullbull Elles sont putains OD bien Lesbiennes Je rgarde entre les miennesl
Et j ty vois Jeacutesus ChristVivent les PCE bullbull Ils ont les couumlt~~es galvaniseacutees Jeacutesus levant la tecircte Vivent les aviateurs ~Entra d3ns le Paradis Ils legravevent la qLleue tOLlS les i dheLil8 bullbull 1 Vivent les aviatrices $11 sy brisa le cracircne Elles ont le manche e~ vle ie~ ~uisses bull i La cervelle en jaillit
rVivent les arts deacuteco bullbull ~ Pleur z pleLlre Z1 me sdame sIls ont les couilles preacutes du pinceau hLa mort de Jeacutesus Christ
Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
$11 est encore en vie
11 Ji 1l- ~ igt tt Ji Lj ~ H plusmn i ~ ~ ft 4 Ltmiddot + ~i H ~ ~~ Ji y igt4 + t~ -- Li f-- ~ ~ -t u J 1 i -+ ~ q ~ gt~ ~ c ~ H + bull -c i ~ h t H li ~ middottt 4f H if lf H- if tf rt tI if tf ri +t l I tf iftf 11 r If l i of Il i1 ri i l ~( rf rf 11 Il ~ n r( Tl ~ i+r 1 ( rf Tl ri Ii II Ir rI li II If li middot( 11 1 lmiddot Il 11 rr n 1( tf if
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LES MEMOIRES DUN middot DIORPION ( suite)
Jai vu baiser la reine dAngleter~e
Par les sous-offs de toute la garnison Jai burineacute les couilles du Saint-Pegravere Quand tous 19s soirs il allait au boxonQ Suivez nfants le chemin de nos fregraveres De tous les cons soyez les conqueacuterants
A Austerlitz agrave Friedlandagrave R0me Partout o~ le pousse le sort Jai pursuivi la pine du grand homme Mci s il est mort et moi je vis encore Jhabite le con dlla princesse Eugeacutenie Et j eacute le livre agrave va u s ~ ID es che r s enfant s ~ Il
Le vieux middotCC -- ~ C) Gi voulut parler encore Mais dans Sa Jauche sa langue se gl a ccedila Un froit mortel envahit tOQt son copps Et l ent ement l e Ild0 rp ion exp i rI)
Du bout d ILJn pc~ ~l ql1 ~agi tait lagonie Il se raidit et dit agrave ses enfantpo
Au refrain
IV Entrant dans une eacuteglise Je te fr a i voir de lherbe Je ne vis dabord rien Qui pousse dans ma main Quun vieux cochon de moine V Qui se branlait dans un coin Qui fait grossir le ventre
Et arrondir les seinsREFRAIN VISi je tencule 9 cule~ cule
Et nous ferons ensembleSi je tencule best pour ton bien Un petit capucin
Si je te Baise~ baise 9 baise VIISi je te baise cestppur le mien Aux couilles tricolores
II Au poil du cul chatain Qun vieux cochon de moine VIII Qui se branla i t dans un coin Il aura la veacuter81e Et confessait les filles Sa megravere lavait bien Du soir jusquau matin IX
II I I l ira a~ bordel middot Il dit agrave la ~us jeune Son pegravere y allait bien
Tu reviendras dem8in JC-Encul er les maqueDelles Fa ire œinette aux putains
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LA DIGUE DU CUL ----------shy~-----~
La digue du cul en revenant de La digue du cu1 1 non re nest pas Nantes ( Bis ) le diable ( Bis
De Nantes agrave Montaigtl la Digue ~ Mais un gros dard pointuooooo la digue
La digue du culqui bande et quiDe Nantes agrave lVIo nta igu la digue du
deacutecharge ( Bis )OuI Et qui a beaucoup de jus La digue du cul je rencontre une
Belle ( Bis ) La digue du cu1 9 si ce nest pas le Qui dormait le cul nu le diable ( Bis )0middot bullbull 000
La digue dQ cul je bande mon Il est bien dans mon culoooo 0
arbalete ( Bis ) La digue du c~19sil y est quilLa fous droit au but 060~0
y reste ( Bis) La digue du cu1 1 la belle se reacuteshy Et qufil nen sorte plus 00
veille ( His ) Et dit J ta i l c diah l eau cul 0 bull 0
JEANNETON ===-===-==
Jeanneton prend sa faucille Le second un peu moins sage LaliretteLalirette LaliretteLalirette
Jeanneton prend sa fallcille Le second un peu moins sage Pour aller couper des joncs (bis) La coucha sur le gaz1n (bis)
En chemin elle rencontre Le troisieacuteme un intreacutepide Lalirette 9 Lalirette Lalirette lalirette
En chemin elle rencontre Le troisiegraveme un intr~pide
4 jeunes et beaux garcon3 (bis) Releva son blanc jupon (bis)
Le premier un peu timide CB que fit le quatriegraveme LaliretteLalirette Lalirette 9 Laltette
Le premier un peQ timide c~ rJue fit le quatriegraveme Lrembrassa sur le menton (bis) Nest p~s dit dans la ohansen (bis)
Si vous le saviez Mesdames LaliretteLalirette
Si vous le saviez Mesdames Vous iriez couper des joncs (bis)
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LE BORDEL A FE RlŒE SES VOLETS Air~ L-n guin~glicirceumltt euml--rermeacute-s8s-volets
IJ e b 0 rd e el a f e rm eacute ses vo let s
Elles sont toutes veacuteroleacutees y a plus moyen qUon boise Le dernier qui y est alleacute Pour se faire faire un pompier Est r1venu avec la pine enfl~e jheacutet
Le toubid qui les a visiteacutees A tout de su~te deacuteclareacute y faut plus quon les baise l La mnreacutechausseacutees les n toutes boucl~es
Et le bordei 3 fermeacute ses volets
Totor quest un habitu~ A voulu y aller Disnnt Cest dla foutaise Ir
Mais trois jours apr~s il npouv9it plus marcher
Tant sa pine eacutetait deacute13breacutee Oheacute
A 1 hosto 9 on lt 3 transporteacute Lui laissarlt Suumlpp0ser Que ce leacuteeer malaise Ne lempecircchersit pas drevenir baiser QU82 J_bordel rocvrirGit ses volets
Le toubid lui ayant conseilleacute De ne ~us coiumlter Sans une capote angl Ai$e 9
Arssitocirct smi t sur pied 9 il en [) comm3ndeacute
Douze douzaines avec bout renforceacute
Au premier coup qUil a tireacute Cest ~es couilies qUontlacheacute Pas ln capte anglaise On les n r tro uveacutees aux qu~at coins
du quartier Et lbordel a fermeacute ses volets
Air Marc he fun~bre n
TottOr nest plus Les putains lont descendu Un franccedilais de plus Que les Anglais auront foutu Et sa pine Quav~it belle mine Ne bander8 plus Ainsi triomphe la vertu
Air La guinguette bull
Le bnrdel a rouvert ses volets Par un bequ matin de mai Au temps des premi~res frsises Lpersonnel ~tait enti~rement
reno uveleacute Et la tocircli~re -eacutetai t toute en c -A
be3uteacuteOheacutel
La ~oule se pressait etvriait Elle avait oubli~ quldanger Quand on ba i se Etait dse confier au machins
anglais Et lbordel sest payeacute des
bidets
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shy J_Eshymiddotr (Chanson des Be~ux Arts)J REFRAIN
bulli---- Le casque est une coiffure1 r Qui sied agravela figure
i r-
J Un casqu~ de pompier
Jbull---- Ca fait presque guer~ierj C8middot lui donne un air vainqueur Qui sied ~as mol agrave sa valeur
icirc-]--- Sous son casque luisant t
Il a lair vr3iment eacutepatantT J Zim l a boum zim l a y la
--- - On peut lfblsguer t3nt quon voudraImiddotmiddot~-
-_shy Le pomp1egraveer est bien ou-dessus dccedilagrave--T--1shy
l On dit quelquefois au village Qun casque ccedila sert agrave rien du toutl
- rien du tout Ca sert agrave donner du courage
A ceux qui nen ont pas du tout shypas du toutl
De loin ccedila prend Jes airs fan~asques Et chacun dit en les voyant - en les
voyant Quils sont donc beaux avec leurs
c8sques Ca leur donne un p~tit 8ir ~patnnt
II
On nous raconte dans lh~stoire
Que les Romains et les Gaulois les Gaulois
Ces fils oneacuteris de la victoire Portaient des casques autrefois shy
autrefois Le cnsque cest donc l heacuteritage De tous ces guerriers valeureux shy
riers valeureux ~
Et si nous lsvons eh partage Cest gufnous sommes guerriers comme
eux
III
On sait que chacun sur la terre A son faible ou sa passion shy
sa pa ssion l Le pompier quest un militaire Est fier de S3 ~osition - sa
po si ti(l)n Le sapeur datsa barbe noire Est orgueilleux de son bonnetshy
de son bonnet Le pompier met toute S3 gloire Dans son casque et dans son
]lumet
V Les jours ousquil y Q fecircte Il endosse ses plus benuE hsbits
- 1) e el ux habi + rjJ Il met 80n casque sur sa tecircte Puis agrave lombre de sa visiegravere Pour aller flaner dans le pays
- dans le pRyS
Quand il rencontre un jeune teri i dron - jeune tendron
Il lance une oeillnde incendiaplusmnp~
Le yompier est tellement polisson _
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LES CENT LOUIS DOR (Air des Louis dOr)
Un soir dans une diligenoe Sur une route entre deux bois 9
Je branlaisavec assurance Une fillette pu frais minois Javais retrouss~ S3 chemise Et mis la ~3in sur son bouton Et je branlais malgregrave la bise A d~chirer mon pantalon Pour un quart dheure entre ses
cuisses Un prinoe sut dann~ ses tr~sors
Et moi j 3urais Dieu me beacutenisse Jaurais donneacutec oent Louis dtOr
Las de branler eacuteans r~sistance
La tecircte en feu~ la pine aussi Je pris 8a ~ain quelle ind~cence
Et la mis en forme dteacutetuis Je jouissais ~ perdre haleine Sa main sa robe en eacutetaient pleines Et cel~ne suffisait pas Sentant rallumer ma fournaise Je lui di slltiens f3i s pl us encor Sortons dici que je te boise ~
Je te egravecnne cent Louis dOr
La belle alors~toute confuse Me reacuteponctit ingeacutenument
Pardon Monsieur je refuse Ce que vous moffrez galamment M8is j 8i jureacute de rester sage Pour mon fiunQ6 mon mari De conserver mon puoelage ~-
Il ne s egraver r l j ama i s (~llJ tih~lUfL l 2 Ji Tu naura spa s le ri di c ul e Dis-je darrecircter ton essor Permets aU moins que je tencule J e te prGtmets nent Louis d Or ll
0
Au premier relais sur ln route Nous descendimes promptement~ Au CQl~ il faut que je te foute Nepouvant te foutre autrement Dans une auberge nous entraIDes Tout st Y trouvsit bon feu bon lit Brucirclants dqmour nous nous couchacircmes Je lenculai toute 13 nuit bull NU i s PQ ur changer de joui ssanc e s Je lui dis tiens fais plus encore Livre ton con et lttout d f av3nce Jete p bo ID et s 0 ent L 0 lAgravei s d ~ 0 r bull
ttJe veux bien~ sans plus de harange Dit-elle en me succedilant le gland~ Livrer mon con agrave votre langue Pour ne pas tr8hir mon serment Aussi~6t plac~s tecircte b~che Comme deux amants dans le lit Avec ardeur je la legraveche Pendant quelle me suce le vit Mais la voyant bi~ntocirct pam~G Je ps lui ravir son treacutesor Et je lui dis la pine entr~e~ Je ga gne mes c ent Louis d ~ 0 r n bull
Huit jours apregraves cette aventure Jeacutet8~S de retour ~ Paris Ne pren8nt llUs de nourri ture Restant pensif au logis o
A la gorge ainsi quIa la pine Javais ceacutetait inqugraveieacutetant Chancre poulain on 18 devine Une ch3ude pisse en rlecircmecirc temps Prenant le parti le plus sage Je me transporte che~ Rocord Qui me di t ~ nUn tel puoe18ge Vous co ucirctera cent Loui s d JOrn
Ir 1 Ir Il Il Il 1 P Il lt Il It H
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1 61-__-
l 5 Lautrjour ~ la consultation Pour ceux- yen 3 d 1 si deacutegoatants- Ltoubib 9 un vieux ~ lnir antique Qui deacutesirent to ut fa ire psr derriegravere Apr~s mavoir ~arfouilleacute lco~ Jorois qucest encore plus ~pnt8nt Ma dit qUjeacutetais syphilitique 0 y 8 vraiment dqu~i se egraveatisfaire Les meacutedecinsegraveest oomme les cureacutes Mon 9nus cest comm une vraie fletr Il faut bien lescroire sur parol t Une rose ~ triple corolle t Mais vrai ccedilui l~ ma sideacutereacutee On leffeuillerait avec bonheur Jpeux pas croire qucest ccedila la ~ ~Jpeux pas croire qucest ccedilagrave la
veacuterole veacuterole
2 6 Ca commenceacute par un bouton L autr t jour vl~-1 quen bntifolant Qu6tait situeacute tout nupregraves dlautre Jai vu q~mon typ le m6m Eug~ne Un peu plUS dur uL peu middotplus rond Il 3 queacuteqLl chose aussi maintenant Vrai grain d chnIl let pour mes Fout x7Tsiment qu on ait pns d veJne
p8tnocirctres Cest comme une pastille SLlr son Comme y mchatouillait dtemps en gland
temps On grille r9 ln sucer ma parole Je mgratouillaisccedila fsait tout drocircle Cest rondcest rose et cest y mIn fait mouiller ~~en souvent charmant ~
J p eux p 3 S C ro ire qu c est Ccedil8 la J p eux po s c ro ire qu c est ccedilagrave la veacuterole veacuterole
3 Puis sur le corl s il mest venu A lhopi tal ougrave j 1 ~ui s alleacutee Toutes une floppeacutee de ptites taches On ma montr~ ~ msieur lInterne
roses Un grgrtd gars agrave lair d~lur~ Qui contrastaient sur mon corps nu Qui mo ploteacutee dun nir p1terne Avec 18 blancheur des middot8ut choses Apregraves ru nvqir liien reluqueacutee Jcrois mecircme qUceacutetait plus joli -Pourtant ~ poi1 9 je nsuis pas y en a bien qui se foutsur la fiole gn61eshyDu cold-cream et dla poudre de riz Il ne sest mecircme pas fRit br8nler Jpeux pas croire qucest ccedil~ 18 veacuterole Ah oui j vois bien qujai
11 veacuterole
4 Comme ccedilagrave spassait j Qi constateacute Que par en ba sc eacuteit21i t PD s- 02 illme Quand dans ln glace je msuis rg~rdeacutee9
On aurait dit un vrai diadegraveme N en nva~t des ronds des pointus Cest velouteacute quand on les frocircle Oa fait trentsix ptits mamlons dplusa
J peux pas croire qLl egrave est ccedil~ la veacuterole ~
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Pegravere Dupanloup dans luteacuterus (bis) Etait deacuteja si plein dastuce (bis) Que dans le vagin de sa megravere Il succedilait la pine de son pegravere
RE~RAIN Ah ah ah oui vraiment
~ Pegravers Dupanloup (bis) Ah ah ah oui vraiment
pegravere Dupanloup est deacutegoutGnt
pegravere Dupanloup dans son berceaubis) Bandait deacutejagrave comme un toreau (bis) Et sur le sein de sa nourrice lIa ttrapa 18 chaude -pisse
pegravere Dupanloup monte en Mais il avai t le systeacuteme Quagrave trois cents megravetres
Ses couilles trainaient
ballon (bis) si long (B)
dans lathmosphegravere e~core par terrecirc
pegravere Dupanloup monte en bateau (bis) La pine en lairles couilles sous
Quand survint Qui lui mordit
pegravere Dupanloup Mais il avait Quen peacutedalant La peau de ses
pegravere Dupanloup
leau une grosae grenouille la peau des 80uilles
monte en le syst egraveme
agrave perdre couilleo
dans
en chemin
veacutelo (bis) si gros
haleine se sa
de Deacutesir mettre ses couilles agrave
prit chaine
fer(bis) lair
Passant sa pine par la portieacutere 11ere va l 0eil d II gar de barr i egravere
p egravere TIupanloup agrave lOdeacuteon Se conduisit comme un cochon Avec la peau de ses roupettes Il boucha le trou des cla1inettes e
Peacutere Dupanloup agrave lOpeacutera Se conduisit comme un goujat Au troisiegraveme acte dans la coulisse Il encula le pompier de service
pegravere Dupanloup agrave Saint-Malo Confesse les feGlmes dans Lill ~
tonneau Fassant sa pine par le trou de la
bonde Il seacutecrieuVla le s8uveur du
monde
pegravere Dupanloup le 14 Juillet Alla se promener agrave dos de mulet Pour que la fecircte soit complte Il encula la pauvre becircte
Fegravere Dupanloup fait cuire des oeuf Il les remue avec sa queue Sa femme qui passe dans la cuisine Lui di t ttcochon tu brucircles ta pine
Fegravere Du~anlou~ devenu vieux Ne bandait plus quune fois sur ~ Sarrachant la pine avec rage Il sen fit une canne de voyage
pegravere Dupanloup dans son cerceuil Bandait encore comme un chevreuil Avec sa pine en arc de cercle Il essaya de soulever le couvercle
pegravere Dupanloup au paradis Voulait enculer Jeacutesus Christ Non de Dieu dit le pegraveregrave eacuteternel Prends-tu le cie l pour un borde l
pegravere Dllpanloup Icircuttout confus De ne pouvoir lui foutre au cul Branlant sa pine de part et dautr Il aspergea les dOQze apocirctres
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~ r -middotmiddot
-0--
~-~
shy _ 1_-_
Du Dieu Vulcain quand leacutepouse fri- De Jupiterf3con vraiment divine ponne Le Jon lui pueil aime le goudron shy
Va boxonner loin de son vieux sournoisDfun trou agrave merdeil fait un trou Le noir jaloux que lamour aiguillonne Tranquillement se polit le chinbis Et bat le beurre Va-t-en di t-il ~ agrave ss fo utue femelle Cette facon e st Je me fous bien de ton con chassieux Pour terminer un De mes cinq doigts je fais une pucelleApr~3 ldessert Masturbons nouscest le plaisir des
Dieuxe
2 Bah Laissons lui oe p18isir ridicule Chacun dnilleurs sailluse agrave sa focon
Moi je preacutefegrave~e la maniegravere dHer6ule Jamais sa mainne l~i servit de con Le plus seacute11e trou la plus vieille
conn s se Rien nechappait a son vit glorieux
Nous serons fiers de marchermiddot sur ses
Traces Baisonsbaisons 9 cest le plaisir d~s
Dteux
3 Du Dieu Bacchus 9 quand 20cableacute dishy
vresse Le vit mollit etsur le co~ sendort 69 et le vit se renresse 69 ferai tbanderun mort a clitoristop parfun de fromage Fait regimlier nos engins victojeux A S8 vertu nous rendons tous hommage Gamahuchons 9 cest le plaisir des
Dieux )
l
Fo u tre
Foutons
agrave pine aQ milieu de leacutetron
di vinement bonne geuleton joyeux
on senc~le en couronne
Enculons nous cest le plaisir des
5 Quant agrave Plutonle Le moinllre effort AQssi veut-il sans
r Faire sucer son peUlS arrognnDt l + lJ nOJ8revan aux 8XTf~~S8S passees Tout 18nguj sS8n~s reacutejcissons nos
yeux Et laiss3nt faire une amante emshy
preacute)SS8J Lcissons sucerc1est ~e ~10isir des
Diel1x
r o rs st e Q insi_ quI 0 11 f 8 S 8 e agrave sa
_~Iampts
MnincoTI 9 cU1 9 bouche8U plaisir t 0 D tes t bon
SUT q1elque 2u~ el q~ or ceacutelegravebre fecircte
~o u jour 2 lagrave haut uuml~ est sur du
Foutre
Di evlX
Die~ agrave large pense lu~ semble fatigant craindre la deacuteshy
p9D set
fi arc~() n et joutr -IO~-U~_ J untque
middot1 - =~gt FI ire et j oU_ir vo il8 qlu~l s sont
amis qu liI~~or-t- la woniegravereacute Foutonsfoutonscest le plaisir
des DieLc
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AIR Mal bo ro ugh sten va-t-en guerre e
Lagrave haut sur la colline Un coup able de lenfer Les 2 piedsles 2 mains dans la Les de ux piedsles deux mains dans Lagrave-haut sur la colline merde Un coup able de lenfer la merde Il y avait un gros cu (bis) Qui ava it fait un gros peacute
Un gros cureacute de campagne Un gros p~cheacute mortel Les deux pieds Les deux pieds tooe ooeo 0000
Un gro s cureacute de campagne Un gros peacutecheacute mortel Quastiquait son gros bou (bis) Et nvait trop eacuteteacute (bis)
Son gros bouquin de prieacuteres Trop eacuteteacute 8U bordel Les deux pieds 0 Les deux piEds0 0 0 bullbull 11000 bullbull 00
Son gros bouquin de prleres Trop eacuteteacute au bordel Pour entrer dans un Con (bis) Ougrave il alloit quecircter (bis)
-Dans un confessionnal Quecircter laumone des pauvres Les deux pie d s bull 0 0 0 bull 0 0 0 Les deux pied~ 00 bullbullbull
Dans un confessionn31 Quecircter l Qum~ne des psuvres Pour y tirer un cou (bis) Qui en SV3iegravent besoin (bis)
CHA R LOT T E ~ ---I_middot middot--middot-I_(~-~~-
~ REFRAIN Branle (ter) Charlotte Branle (bis) ca fait du bien Branle (ter) ma chegravere Branle (bis) jusquagrave demain
1 LI
Dans son boudoir9~a petite Charlotte Ma is 6 mnlheur 5 6 fatale disgrace Chaude du con f3ute dAvoir un vit LQ jouiS8311Ce lui fi tfaire un Se masturbni t avec une carotte brlJ ~~qhes~ut
Et jouissait eacutetendue sur un lit Du contre l)oUP la c9rotte 88 ossee L Et dans le con il en reste un
Ah disai t-elle~ dnns le siegraveole oUgrave morceau nous sommes
Il faut savoir se passer des garcons Un meacutedecin praticien fort habile Moipour ma partje me fous bien Fut appeleacutequilui fit bieq du mal
des hommes Ma is par malheur la carotte indo- shyAvec ardeurje me branle le cont cile
3 Ne put sortir du conduit vaginal Alors 83 main neacutetant plus paresseuse Alla it vena it c omme un p e ti t re s So rt Mesdemoisellesque le sort de Et faisait jouir la petite vicieuse Charlotte Aussi ce jeu lui plaisait-il bien Puisse longtemps Vous servir de
fort lecon Ah croyez-moil a iss~z lagrave 18
(gt nro tte Preacutefeacuter8z lui le vit dun beau
gs rcon
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L A PO M P 0 NET T E
LE COlVUVLANDEUR DU CUL-SEC LE CHOEUR middot
Aimes tu mieux boire et deacutegueuler Quon verse agrave boire agrave ce cochon lagrave Queds npas oire 8t tJemmerder On verra bien sil d~gueulera bullbullbullbullbullbull eoOOOCJO bullbullbullbull O Pendant qUil deacutegueulera
Que son ~oisin sappr~teLE BUVSUR DESIGNE Pendant quil s3ppr~tera
Oui j oime mieux boire et deacutegueuler Ch3ntons ln pomponette Que denpas boire et memmerder L3 pomponette bullbull 0 bullbull 0080 bullbull 0 bullbullbullbullbullbull La pomponette
Il fil Lera (1) 00 O bull bull 0 bullbullbullbull
Ce cochon lagrave 8 bien fileacute A son voisin de rcommencer
LES MOINES DE SAINT-BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis) Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis) Si lprieur nous engueuleon chante des chansons
REFRAIN Vo ila c qui est bon et bon~ et bon Et voilk 13 viela viela viela vie cherie ah~ oh (bis) Et voilagrave la vie que tous les moines font
Pour notre souper de bons petits oiseaux (bis) Que lon nomme oaille ortolans ou perdrenux(lis) Et la fine nndouillette et la tranche de jambon
Pour notre coucherun lit aux draps bien blancs (bis) Avec une lone de 15 agrave 107 ans (bis) A la taille bien faite et aUx nichons bien ronds
Si cest ca la vie que tous les moines font (bis) Je me ferni moine avec ma Jeanneton (bis) Le soir dans ma chsmbrette je lui chatouillerai le bouton
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DLJ 1 VI
A la porte dtun couvent(bis) 1 l Y avait un moine Ah 1 djt- la soeur da couvent QlJ as-tu moine QU1ssctfLu mmine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine agrave gueuler tant
II Ma soeur je voudraisrentrer(bis)Maisma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Entre moine entre moine Ahr dit la so e ur du couvent Entre) moine e1 ngueule pas ~n~t
0 -
III Quand le ~oine fut entr~ (bi~) Il gueulait enoore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quas-tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu~ moine agrave gueuler tant
IV Ma sbeur je voudrai manger (bis) Ma i s ma s oe ur je n 0 s e Ah dit la soeur du couvent
M8nge ma ine mange mo ine Ah dit la soeur du couvent Mange mo ine J et lffie ~-gl-1~ ule pa e tant
v Quand le moine eut mElngeacute (is)
Il guelllait encore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quasftulmoine Ah dit la soeur du couvent qUas tu moine agrave geuler tant
Ma soeur je voudrai mcoucher -(BiS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Couche toi moinecouche toi moine Ah dit la soeur du couvet Couche tbi moine et gueule pas tant
VI-I Ccedilu~nd le moine fut cou~heacute (Bis) Il geulait encore Ah dit la soeur du couvent quas tu moine quas tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas tu moine agrave geuler tant
IX Ma soeur je voudrai vous baiser (bis) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine baise moi moine Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine et ne geule pas tant
IX Quand le moime eut baiseacutee (biS)Il geulait encore Ahl dit la soeur du couvent quas tu mOinequastu moine Ah dit la soeur du couvent Qutas tu moine ~ geuler tant
X
Ma soeur jvoudrai rcommencer (biS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Va au claque va au claque Ah dit la soeur du couvent Va au claque et fous-moi le camp
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((()ltrimiddot1
Samedi dernierceacutetait jour de la paye Et le soleil brillait agrave lhorizon Javais deacuteja bu cinq agrave six bouteilles l (bis) Jcrois bien qujamais jnavais eacuteteacute aussi rond)
Vlagrave ma bourgeoise qui sramegravene sur le zinc Et mdit Cochont ta quitteacute ton turbin
Ouiqujy reacutepond je men vais au meacutetinge) (bis) A u grand meacutet inge du Meacutetropo li tain J Les proleacutetaires dun eacutelan unanime y sont venus guideacutes par la raison _ En apportant chacQD cinquante centimes l
- ) (b2s)Pour soutenir les greacutevistes de Vierzon
avait Basile le mineur indompta ble cr lme linatr qu e st l honneur du part i (1)
sont monteacutes tous deux sur une table ( bis)Pour exposer la question sur le tapis Quand tout agrave coup on entend du bastringue C middotest un quidam qui veut faire son malin Il est venu pour saboter lMeacutetinge Le grand Megravetinge du Meacutetropolitain (bis)
Jy bondis dSBUS et avant quil rouspegravete Jy enfoncais jusquaux yeux son chapeau Il est parti sans demander son reste )
( bis)En faisant signe aux gardes municipaux (
Qui profitant ~e c que j1 eacutetais brinde zingue Mont emmeneacute au poste-le plus voisin Etc e st ainsi qu c e st termineacute le Meacutetinge ( ( bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetro~olitain
Couplet patriotique Peuple Francais la Bastille est deacutetruite Mais II y a encore des prisons pour tes fils Souviens toi bieuron des geacuteants dquarants-huit l (bis) Queacutetaient plus grands que les ceusses daujourdhui)
Couplet socia 1 Car cest toujours lpauvre ouvrier quicirc trinque
Cest lui quon met en prison pour des riens C eacutetait quand megraveme un bien joli Meacutetinge ) (bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetropolitain J
-(l)-Ces deux vers sont quelques fois remplaceacutes par les suivants
y avait Maurice le mineur indomptable Le gros Jacquot quest l honneur du parti
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PalU notre coucher dans de beaux draps bien blancs (hie) Avec une pucelle de seize ~ cent sept ans (bis)A la taille bien faite Et uxnichons bien ronds Cest ccedila qUest b0n et bon et bon I(au refrain)
Si cest lagrave la vie de les beacutecistes font (biS) Je mferais beacuteciste avec ma Janeton (biS) Et l soir dbns ma chaiTILbrette Jlui chatouillerai le bouton Cest ccedila quest ~on et bon et bon t (au refrain)
ff ff tf tr tl t Air nIl eacutetait un petitLE ~mSEE DATHENES
na vire
Visitez le Ruseacutee dAthegravenes (his) Vous y verrez reacutereacute bien conserveacutes (biS) Oheacute
Trois poils du cul de ~eacutemosthegravene (bis) Et les roustons ton ion du pegravere Caton(bis) Oheacute Oh6 1
~ 1
V(Uuml)~6 Y v9lZxe z la CM et e DiLne middot Le Et
egraveoh boumiddotlheacute pqrQJle les roustons tOl1ll~
banar~e ton du pegravere
~ -Oaton (bi~) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fils dHercule Photographieacutes quand ils senculent Etle s roust ons ton ton dQ pegravere Ca ton (bis) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fills dUlysse Photographieacutees ~endant quTelles pissent Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) ~heacute Oheacute l
Vous y verrez la megraveEgravee Egeacutee Caramboleacutee par le Pireacutee Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) Oheacute Oheacute 1
Vous y verre3 le cul dDiogegravene Deacuteveacuteroleacute agrave lThydrogegravene Et les roustons ton ton du pegravere Caton (biS) Oheacute Qheacute 1
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REFRAIN Et If on ST en fout dattraper la veacuterole Et l t on sen fOLlt pourvu qu 1 on tire un coup Avec 7 avec bullbull une femme bull sous les r C8~~ses
( Tous le c9uplet S 80)1 ~ ~ur le typ~ ~ d~ premier J Vivent les eacutetudiantegravema megravere Vivent les eacutetudiants t Ils ont des femmes e t pas dt enfants $$$~~$$~$~~~~$ $$~~$$$$$$ $ $ ~~$~ Vivent les eacutetudiants l $
~ ViTent les eacutetudiantes E 11 f S aiment a voir la pine au -v-entre bull ~ RE FRAIN
$AhI les fraises et les framboisesVivent les avocats bullbull Ah le bon vin ~ue nous avons buIls ont des couilles en chocolat bull iAh les belles villageoises ViTent les sor~onnards $Nous ne les reverrons plus Ils ont des couilles en peau dTleacutez~rdr bullbull ~
3 Suy la rout e de Montmartre Vi vent le S cOlonia ux De Mont oartre agrave Faris Ils ont des couilles en peau de chameau fiJ ai rencontreacute trois filles
~Trois filles de mon paysVi -ent le 3 cara bins bull $ Ils ont des femmes qui baisent bien $ f
~Jai rencontreacute trois il1e3 $iumlrois filles de mon paysVivent les carahines
E Iles adorent vous SLlcer la pine bullbullbull nJ embra sse la plLlS jeLUle lEt la plus belle aLlssi
Vivent les artilleursbullbull Ils tirent un coup tous les quarts i Je dansITemmegraven e ma chambre
d f he ure Et je la fous sur le lit
Vivent les pharmaciensbull Ils ont l permangaha te pour rienbullbull middotEJ8t regarde entre ses jambes
1 j y vois le paradis Vivent les pharmaciennesbullbull Elles sont putains OD bien Lesbiennes Je rgarde entre les miennesl
Et j ty vois Jeacutesus ChristVivent les PCE bullbull Ils ont les couumlt~~es galvaniseacutees Jeacutesus levant la tecircte Vivent les aviateurs ~Entra d3ns le Paradis Ils legravevent la qLleue tOLlS les i dheLil8 bullbull 1 Vivent les aviatrices $11 sy brisa le cracircne Elles ont le manche e~ vle ie~ ~uisses bull i La cervelle en jaillit
rVivent les arts deacuteco bullbull ~ Pleur z pleLlre Z1 me sdame sIls ont les couilles preacutes du pinceau hLa mort de Jeacutesus Christ
Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
$11 est encore en vie
11 Ji 1l- ~ igt tt Ji Lj ~ H plusmn i ~ ~ ft 4 Ltmiddot + ~i H ~ ~~ Ji y igt4 + t~ -- Li f-- ~ ~ -t u J 1 i -+ ~ q ~ gt~ ~ c ~ H + bull -c i ~ h t H li ~ middottt 4f H if lf H- if tf rt tI if tf ri +t l I tf iftf 11 r If l i of Il i1 ri i l ~( rf rf 11 Il ~ n r( Tl ~ i+r 1 ( rf Tl ri Ii II Ir rI li II If li middot( 11 1 lmiddot Il 11 rr n 1( tf if
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LA DIGUE DU CUL ----------shy~-----~
La digue du cul en revenant de La digue du cu1 1 non re nest pas Nantes ( Bis ) le diable ( Bis
De Nantes agrave Montaigtl la Digue ~ Mais un gros dard pointuooooo la digue
La digue du culqui bande et quiDe Nantes agrave lVIo nta igu la digue du
deacutecharge ( Bis )OuI Et qui a beaucoup de jus La digue du cul je rencontre une
Belle ( Bis ) La digue du cu1 9 si ce nest pas le Qui dormait le cul nu le diable ( Bis )0middot bullbull 000
La digue dQ cul je bande mon Il est bien dans mon culoooo 0
arbalete ( Bis ) La digue du c~19sil y est quilLa fous droit au but 060~0
y reste ( Bis) La digue du cu1 1 la belle se reacuteshy Et qufil nen sorte plus 00
veille ( His ) Et dit J ta i l c diah l eau cul 0 bull 0
JEANNETON ===-===-==
Jeanneton prend sa faucille Le second un peu moins sage LaliretteLalirette LaliretteLalirette
Jeanneton prend sa fallcille Le second un peu moins sage Pour aller couper des joncs (bis) La coucha sur le gaz1n (bis)
En chemin elle rencontre Le troisieacuteme un intreacutepide Lalirette 9 Lalirette Lalirette lalirette
En chemin elle rencontre Le troisiegraveme un intr~pide
4 jeunes et beaux garcon3 (bis) Releva son blanc jupon (bis)
Le premier un peu timide CB que fit le quatriegraveme LaliretteLalirette Lalirette 9 Laltette
Le premier un peQ timide c~ rJue fit le quatriegraveme Lrembrassa sur le menton (bis) Nest p~s dit dans la ohansen (bis)
Si vous le saviez Mesdames LaliretteLalirette
Si vous le saviez Mesdames Vous iriez couper des joncs (bis)
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LE BORDEL A FE RlŒE SES VOLETS Air~ L-n guin~glicirceumltt euml--rermeacute-s8s-volets
IJ e b 0 rd e el a f e rm eacute ses vo let s
Elles sont toutes veacuteroleacutees y a plus moyen qUon boise Le dernier qui y est alleacute Pour se faire faire un pompier Est r1venu avec la pine enfl~e jheacutet
Le toubid qui les a visiteacutees A tout de su~te deacuteclareacute y faut plus quon les baise l La mnreacutechausseacutees les n toutes boucl~es
Et le bordei 3 fermeacute ses volets
Totor quest un habitu~ A voulu y aller Disnnt Cest dla foutaise Ir
Mais trois jours apr~s il npouv9it plus marcher
Tant sa pine eacutetait deacute13breacutee Oheacute
A 1 hosto 9 on lt 3 transporteacute Lui laissarlt Suumlpp0ser Que ce leacuteeer malaise Ne lempecircchersit pas drevenir baiser QU82 J_bordel rocvrirGit ses volets
Le toubid lui ayant conseilleacute De ne ~us coiumlter Sans une capote angl Ai$e 9
Arssitocirct smi t sur pied 9 il en [) comm3ndeacute
Douze douzaines avec bout renforceacute
Au premier coup qUil a tireacute Cest ~es couilies qUontlacheacute Pas ln capte anglaise On les n r tro uveacutees aux qu~at coins
du quartier Et lbordel a fermeacute ses volets
Air Marc he fun~bre n
TottOr nest plus Les putains lont descendu Un franccedilais de plus Que les Anglais auront foutu Et sa pine Quav~it belle mine Ne bander8 plus Ainsi triomphe la vertu
Air La guinguette bull
Le bnrdel a rouvert ses volets Par un bequ matin de mai Au temps des premi~res frsises Lpersonnel ~tait enti~rement
reno uveleacute Et la tocircli~re -eacutetai t toute en c -A
be3uteacuteOheacutel
La ~oule se pressait etvriait Elle avait oubli~ quldanger Quand on ba i se Etait dse confier au machins
anglais Et lbordel sest payeacute des
bidets
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shy J_Eshymiddotr (Chanson des Be~ux Arts)J REFRAIN
bulli---- Le casque est une coiffure1 r Qui sied agravela figure
i r-
J Un casqu~ de pompier
Jbull---- Ca fait presque guer~ierj C8middot lui donne un air vainqueur Qui sied ~as mol agrave sa valeur
icirc-]--- Sous son casque luisant t
Il a lair vr3iment eacutepatantT J Zim l a boum zim l a y la
--- - On peut lfblsguer t3nt quon voudraImiddotmiddot~-
-_shy Le pomp1egraveer est bien ou-dessus dccedilagrave--T--1shy
l On dit quelquefois au village Qun casque ccedila sert agrave rien du toutl
- rien du tout Ca sert agrave donner du courage
A ceux qui nen ont pas du tout shypas du toutl
De loin ccedila prend Jes airs fan~asques Et chacun dit en les voyant - en les
voyant Quils sont donc beaux avec leurs
c8sques Ca leur donne un p~tit 8ir ~patnnt
II
On nous raconte dans lh~stoire
Que les Romains et les Gaulois les Gaulois
Ces fils oneacuteris de la victoire Portaient des casques autrefois shy
autrefois Le cnsque cest donc l heacuteritage De tous ces guerriers valeureux shy
riers valeureux ~
Et si nous lsvons eh partage Cest gufnous sommes guerriers comme
eux
III
On sait que chacun sur la terre A son faible ou sa passion shy
sa pa ssion l Le pompier quest un militaire Est fier de S3 ~osition - sa
po si ti(l)n Le sapeur datsa barbe noire Est orgueilleux de son bonnetshy
de son bonnet Le pompier met toute S3 gloire Dans son casque et dans son
]lumet
V Les jours ousquil y Q fecircte Il endosse ses plus benuE hsbits
- 1) e el ux habi + rjJ Il met 80n casque sur sa tecircte Puis agrave lombre de sa visiegravere Pour aller flaner dans le pays
- dans le pRyS
Quand il rencontre un jeune teri i dron - jeune tendron
Il lance une oeillnde incendiaplusmnp~
Le yompier est tellement polisson _
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LES CENT LOUIS DOR (Air des Louis dOr)
Un soir dans une diligenoe Sur une route entre deux bois 9
Je branlaisavec assurance Une fillette pu frais minois Javais retrouss~ S3 chemise Et mis la ~3in sur son bouton Et je branlais malgregrave la bise A d~chirer mon pantalon Pour un quart dheure entre ses
cuisses Un prinoe sut dann~ ses tr~sors
Et moi j 3urais Dieu me beacutenisse Jaurais donneacutec oent Louis dtOr
Las de branler eacuteans r~sistance
La tecircte en feu~ la pine aussi Je pris 8a ~ain quelle ind~cence
Et la mis en forme dteacutetuis Je jouissais ~ perdre haleine Sa main sa robe en eacutetaient pleines Et cel~ne suffisait pas Sentant rallumer ma fournaise Je lui di slltiens f3i s pl us encor Sortons dici que je te boise ~
Je te egravecnne cent Louis dOr
La belle alors~toute confuse Me reacuteponctit ingeacutenument
Pardon Monsieur je refuse Ce que vous moffrez galamment M8is j 8i jureacute de rester sage Pour mon fiunQ6 mon mari De conserver mon puoelage ~-
Il ne s egraver r l j ama i s (~llJ tih~lUfL l 2 Ji Tu naura spa s le ri di c ul e Dis-je darrecircter ton essor Permets aU moins que je tencule J e te prGtmets nent Louis d Or ll
0
Au premier relais sur ln route Nous descendimes promptement~ Au CQl~ il faut que je te foute Nepouvant te foutre autrement Dans une auberge nous entraIDes Tout st Y trouvsit bon feu bon lit Brucirclants dqmour nous nous couchacircmes Je lenculai toute 13 nuit bull NU i s PQ ur changer de joui ssanc e s Je lui dis tiens fais plus encore Livre ton con et lttout d f av3nce Jete p bo ID et s 0 ent L 0 lAgravei s d ~ 0 r bull
ttJe veux bien~ sans plus de harange Dit-elle en me succedilant le gland~ Livrer mon con agrave votre langue Pour ne pas tr8hir mon serment Aussi~6t plac~s tecircte b~che Comme deux amants dans le lit Avec ardeur je la legraveche Pendant quelle me suce le vit Mais la voyant bi~ntocirct pam~G Je ps lui ravir son treacutesor Et je lui dis la pine entr~e~ Je ga gne mes c ent Louis d ~ 0 r n bull
Huit jours apregraves cette aventure Jeacutet8~S de retour ~ Paris Ne pren8nt llUs de nourri ture Restant pensif au logis o
A la gorge ainsi quIa la pine Javais ceacutetait inqugraveieacutetant Chancre poulain on 18 devine Une ch3ude pisse en rlecircmecirc temps Prenant le parti le plus sage Je me transporte che~ Rocord Qui me di t ~ nUn tel puoe18ge Vous co ucirctera cent Loui s d JOrn
Ir 1 Ir Il Il Il 1 P Il lt Il It H
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)
1 61-__-
l 5 Lautrjour ~ la consultation Pour ceux- yen 3 d 1 si deacutegoatants- Ltoubib 9 un vieux ~ lnir antique Qui deacutesirent to ut fa ire psr derriegravere Apr~s mavoir ~arfouilleacute lco~ Jorois qucest encore plus ~pnt8nt Ma dit qUjeacutetais syphilitique 0 y 8 vraiment dqu~i se egraveatisfaire Les meacutedecinsegraveest oomme les cureacutes Mon 9nus cest comm une vraie fletr Il faut bien lescroire sur parol t Une rose ~ triple corolle t Mais vrai ccedilui l~ ma sideacutereacutee On leffeuillerait avec bonheur Jpeux pas croire qucest ccedila la ~ ~Jpeux pas croire qucest ccedilagrave la
veacuterole veacuterole
2 6 Ca commenceacute par un bouton L autr t jour vl~-1 quen bntifolant Qu6tait situeacute tout nupregraves dlautre Jai vu q~mon typ le m6m Eug~ne Un peu plUS dur uL peu middotplus rond Il 3 queacuteqLl chose aussi maintenant Vrai grain d chnIl let pour mes Fout x7Tsiment qu on ait pns d veJne
p8tnocirctres Cest comme une pastille SLlr son Comme y mchatouillait dtemps en gland
temps On grille r9 ln sucer ma parole Je mgratouillaisccedila fsait tout drocircle Cest rondcest rose et cest y mIn fait mouiller ~~en souvent charmant ~
J p eux p 3 S C ro ire qu c est Ccedil8 la J p eux po s c ro ire qu c est ccedilagrave la veacuterole veacuterole
3 Puis sur le corl s il mest venu A lhopi tal ougrave j 1 ~ui s alleacutee Toutes une floppeacutee de ptites taches On ma montr~ ~ msieur lInterne
roses Un grgrtd gars agrave lair d~lur~ Qui contrastaient sur mon corps nu Qui mo ploteacutee dun nir p1terne Avec 18 blancheur des middot8ut choses Apregraves ru nvqir liien reluqueacutee Jcrois mecircme qUceacutetait plus joli -Pourtant ~ poi1 9 je nsuis pas y en a bien qui se foutsur la fiole gn61eshyDu cold-cream et dla poudre de riz Il ne sest mecircme pas fRit br8nler Jpeux pas croire qucest ccedil~ 18 veacuterole Ah oui j vois bien qujai
11 veacuterole
4 Comme ccedilagrave spassait j Qi constateacute Que par en ba sc eacuteit21i t PD s- 02 illme Quand dans ln glace je msuis rg~rdeacutee9
On aurait dit un vrai diadegraveme N en nva~t des ronds des pointus Cest velouteacute quand on les frocircle Oa fait trentsix ptits mamlons dplusa
J peux pas croire qLl egrave est ccedil~ la veacuterole ~
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aillardesn
et
Pegravere Dupanloup dans luteacuterus (bis) Etait deacuteja si plein dastuce (bis) Que dans le vagin de sa megravere Il succedilait la pine de son pegravere
RE~RAIN Ah ah ah oui vraiment
~ Pegravers Dupanloup (bis) Ah ah ah oui vraiment
pegravere Dupanloup est deacutegoutGnt
pegravere Dupanloup dans son berceaubis) Bandait deacutejagrave comme un toreau (bis) Et sur le sein de sa nourrice lIa ttrapa 18 chaude -pisse
pegravere Dupanloup monte en Mais il avai t le systeacuteme Quagrave trois cents megravetres
Ses couilles trainaient
ballon (bis) si long (B)
dans lathmosphegravere e~core par terrecirc
pegravere Dupanloup monte en bateau (bis) La pine en lairles couilles sous
Quand survint Qui lui mordit
pegravere Dupanloup Mais il avait Quen peacutedalant La peau de ses
pegravere Dupanloup
leau une grosae grenouille la peau des 80uilles
monte en le syst egraveme
agrave perdre couilleo
dans
en chemin
veacutelo (bis) si gros
haleine se sa
de Deacutesir mettre ses couilles agrave
prit chaine
fer(bis) lair
Passant sa pine par la portieacutere 11ere va l 0eil d II gar de barr i egravere
p egravere TIupanloup agrave lOdeacuteon Se conduisit comme un cochon Avec la peau de ses roupettes Il boucha le trou des cla1inettes e
Peacutere Dupanloup agrave lOpeacutera Se conduisit comme un goujat Au troisiegraveme acte dans la coulisse Il encula le pompier de service
pegravere Dupanloup agrave Saint-Malo Confesse les feGlmes dans Lill ~
tonneau Fassant sa pine par le trou de la
bonde Il seacutecrieuVla le s8uveur du
monde
pegravere Dupanloup le 14 Juillet Alla se promener agrave dos de mulet Pour que la fecircte soit complte Il encula la pauvre becircte
Fegravere Dupanloup fait cuire des oeuf Il les remue avec sa queue Sa femme qui passe dans la cuisine Lui di t ttcochon tu brucircles ta pine
Fegravere Du~anlou~ devenu vieux Ne bandait plus quune fois sur ~ Sarrachant la pine avec rage Il sen fit une canne de voyage
pegravere Dupanloup dans son cerceuil Bandait encore comme un chevreuil Avec sa pine en arc de cercle Il essaya de soulever le couvercle
pegravere Dupanloup au paradis Voulait enculer Jeacutesus Christ Non de Dieu dit le pegraveregrave eacuteternel Prends-tu le cie l pour un borde l
pegravere Dllpanloup Icircuttout confus De ne pouvoir lui foutre au cul Branlant sa pine de part et dautr Il aspergea les dOQze apocirctres
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~ r -middotmiddot
-0--
~-~
shy _ 1_-_
Du Dieu Vulcain quand leacutepouse fri- De Jupiterf3con vraiment divine ponne Le Jon lui pueil aime le goudron shy
Va boxonner loin de son vieux sournoisDfun trou agrave merdeil fait un trou Le noir jaloux que lamour aiguillonne Tranquillement se polit le chinbis Et bat le beurre Va-t-en di t-il ~ agrave ss fo utue femelle Cette facon e st Je me fous bien de ton con chassieux Pour terminer un De mes cinq doigts je fais une pucelleApr~3 ldessert Masturbons nouscest le plaisir des
Dieuxe
2 Bah Laissons lui oe p18isir ridicule Chacun dnilleurs sailluse agrave sa focon
Moi je preacutefegrave~e la maniegravere dHer6ule Jamais sa mainne l~i servit de con Le plus seacute11e trou la plus vieille
conn s se Rien nechappait a son vit glorieux
Nous serons fiers de marchermiddot sur ses
Traces Baisonsbaisons 9 cest le plaisir d~s
Dteux
3 Du Dieu Bacchus 9 quand 20cableacute dishy
vresse Le vit mollit etsur le co~ sendort 69 et le vit se renresse 69 ferai tbanderun mort a clitoristop parfun de fromage Fait regimlier nos engins victojeux A S8 vertu nous rendons tous hommage Gamahuchons 9 cest le plaisir des
Dieux )
l
Fo u tre
Foutons
agrave pine aQ milieu de leacutetron
di vinement bonne geuleton joyeux
on senc~le en couronne
Enculons nous cest le plaisir des
5 Quant agrave Plutonle Le moinllre effort AQssi veut-il sans
r Faire sucer son peUlS arrognnDt l + lJ nOJ8revan aux 8XTf~~S8S passees Tout 18nguj sS8n~s reacutejcissons nos
yeux Et laiss3nt faire une amante emshy
preacute)SS8J Lcissons sucerc1est ~e ~10isir des
Diel1x
r o rs st e Q insi_ quI 0 11 f 8 S 8 e agrave sa
_~Iampts
MnincoTI 9 cU1 9 bouche8U plaisir t 0 D tes t bon
SUT q1elque 2u~ el q~ or ceacutelegravebre fecircte
~o u jour 2 lagrave haut uuml~ est sur du
Foutre
Di evlX
Die~ agrave large pense lu~ semble fatigant craindre la deacuteshy
p9D set
fi arc~() n et joutr -IO~-U~_ J untque
middot1 - =~gt FI ire et j oU_ir vo il8 qlu~l s sont
amis qu liI~~or-t- la woniegravereacute Foutonsfoutonscest le plaisir
des DieLc
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AIR Mal bo ro ugh sten va-t-en guerre e
Lagrave haut sur la colline Un coup able de lenfer Les 2 piedsles 2 mains dans la Les de ux piedsles deux mains dans Lagrave-haut sur la colline merde Un coup able de lenfer la merde Il y avait un gros cu (bis) Qui ava it fait un gros peacute
Un gros cureacute de campagne Un gros p~cheacute mortel Les deux pieds Les deux pieds tooe ooeo 0000
Un gro s cureacute de campagne Un gros peacutecheacute mortel Quastiquait son gros bou (bis) Et nvait trop eacuteteacute (bis)
Son gros bouquin de prieacuteres Trop eacuteteacute 8U bordel Les deux pieds 0 Les deux piEds0 0 0 bullbull 11000 bullbull 00
Son gros bouquin de prleres Trop eacuteteacute au bordel Pour entrer dans un Con (bis) Ougrave il alloit quecircter (bis)
-Dans un confessionnal Quecircter laumone des pauvres Les deux pie d s bull 0 0 0 bull 0 0 0 Les deux pied~ 00 bullbullbull
Dans un confessionn31 Quecircter l Qum~ne des psuvres Pour y tirer un cou (bis) Qui en SV3iegravent besoin (bis)
CHA R LOT T E ~ ---I_middot middot--middot-I_(~-~~-
~ REFRAIN Branle (ter) Charlotte Branle (bis) ca fait du bien Branle (ter) ma chegravere Branle (bis) jusquagrave demain
1 LI
Dans son boudoir9~a petite Charlotte Ma is 6 mnlheur 5 6 fatale disgrace Chaude du con f3ute dAvoir un vit LQ jouiS8311Ce lui fi tfaire un Se masturbni t avec une carotte brlJ ~~qhes~ut
Et jouissait eacutetendue sur un lit Du contre l)oUP la c9rotte 88 ossee L Et dans le con il en reste un
Ah disai t-elle~ dnns le siegraveole oUgrave morceau nous sommes
Il faut savoir se passer des garcons Un meacutedecin praticien fort habile Moipour ma partje me fous bien Fut appeleacutequilui fit bieq du mal
des hommes Ma is par malheur la carotte indo- shyAvec ardeurje me branle le cont cile
3 Ne put sortir du conduit vaginal Alors 83 main neacutetant plus paresseuse Alla it vena it c omme un p e ti t re s So rt Mesdemoisellesque le sort de Et faisait jouir la petite vicieuse Charlotte Aussi ce jeu lui plaisait-il bien Puisse longtemps Vous servir de
fort lecon Ah croyez-moil a iss~z lagrave 18
(gt nro tte Preacutefeacuter8z lui le vit dun beau
gs rcon
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L A PO M P 0 NET T E
LE COlVUVLANDEUR DU CUL-SEC LE CHOEUR middot
Aimes tu mieux boire et deacutegueuler Quon verse agrave boire agrave ce cochon lagrave Queds npas oire 8t tJemmerder On verra bien sil d~gueulera bullbullbullbullbullbull eoOOOCJO bullbullbullbull O Pendant qUil deacutegueulera
Que son ~oisin sappr~teLE BUVSUR DESIGNE Pendant quil s3ppr~tera
Oui j oime mieux boire et deacutegueuler Ch3ntons ln pomponette Que denpas boire et memmerder L3 pomponette bullbull 0 bullbull 0080 bullbull 0 bullbullbullbullbullbull La pomponette
Il fil Lera (1) 00 O bull bull 0 bullbullbullbull
Ce cochon lagrave 8 bien fileacute A son voisin de rcommencer
LES MOINES DE SAINT-BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis) Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis) Si lprieur nous engueuleon chante des chansons
REFRAIN Vo ila c qui est bon et bon~ et bon Et voilk 13 viela viela viela vie cherie ah~ oh (bis) Et voilagrave la vie que tous les moines font
Pour notre souper de bons petits oiseaux (bis) Que lon nomme oaille ortolans ou perdrenux(lis) Et la fine nndouillette et la tranche de jambon
Pour notre coucherun lit aux draps bien blancs (bis) Avec une lone de 15 agrave 107 ans (bis) A la taille bien faite et aUx nichons bien ronds
Si cest ca la vie que tous les moines font (bis) Je me ferni moine avec ma Jeanneton (bis) Le soir dans ma chsmbrette je lui chatouillerai le bouton
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DLJ 1 VI
A la porte dtun couvent(bis) 1 l Y avait un moine Ah 1 djt- la soeur da couvent QlJ as-tu moine QU1ssctfLu mmine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine agrave gueuler tant
II Ma soeur je voudraisrentrer(bis)Maisma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Entre moine entre moine Ahr dit la so e ur du couvent Entre) moine e1 ngueule pas ~n~t
0 -
III Quand le ~oine fut entr~ (bi~) Il gueulait enoore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quas-tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu~ moine agrave gueuler tant
IV Ma sbeur je voudrai manger (bis) Ma i s ma s oe ur je n 0 s e Ah dit la soeur du couvent
M8nge ma ine mange mo ine Ah dit la soeur du couvent Mange mo ine J et lffie ~-gl-1~ ule pa e tant
v Quand le moine eut mElngeacute (is)
Il guelllait encore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quasftulmoine Ah dit la soeur du couvent qUas tu moine agrave geuler tant
Ma soeur je voudrai mcoucher -(BiS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Couche toi moinecouche toi moine Ah dit la soeur du couvet Couche tbi moine et gueule pas tant
VI-I Ccedilu~nd le moine fut cou~heacute (Bis) Il geulait encore Ah dit la soeur du couvent quas tu moine quas tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas tu moine agrave geuler tant
IX Ma soeur je voudrai vous baiser (bis) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine baise moi moine Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine et ne geule pas tant
IX Quand le moime eut baiseacutee (biS)Il geulait encore Ahl dit la soeur du couvent quas tu mOinequastu moine Ah dit la soeur du couvent Qutas tu moine ~ geuler tant
X
Ma soeur jvoudrai rcommencer (biS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Va au claque va au claque Ah dit la soeur du couvent Va au claque et fous-moi le camp
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((()ltrimiddot1
Samedi dernierceacutetait jour de la paye Et le soleil brillait agrave lhorizon Javais deacuteja bu cinq agrave six bouteilles l (bis) Jcrois bien qujamais jnavais eacuteteacute aussi rond)
Vlagrave ma bourgeoise qui sramegravene sur le zinc Et mdit Cochont ta quitteacute ton turbin
Ouiqujy reacutepond je men vais au meacutetinge) (bis) A u grand meacutet inge du Meacutetropo li tain J Les proleacutetaires dun eacutelan unanime y sont venus guideacutes par la raison _ En apportant chacQD cinquante centimes l
- ) (b2s)Pour soutenir les greacutevistes de Vierzon
avait Basile le mineur indompta ble cr lme linatr qu e st l honneur du part i (1)
sont monteacutes tous deux sur une table ( bis)Pour exposer la question sur le tapis Quand tout agrave coup on entend du bastringue C middotest un quidam qui veut faire son malin Il est venu pour saboter lMeacutetinge Le grand Megravetinge du Meacutetropolitain (bis)
Jy bondis dSBUS et avant quil rouspegravete Jy enfoncais jusquaux yeux son chapeau Il est parti sans demander son reste )
( bis)En faisant signe aux gardes municipaux (
Qui profitant ~e c que j1 eacutetais brinde zingue Mont emmeneacute au poste-le plus voisin Etc e st ainsi qu c e st termineacute le Meacutetinge ( ( bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetro~olitain
Couplet patriotique Peuple Francais la Bastille est deacutetruite Mais II y a encore des prisons pour tes fils Souviens toi bieuron des geacuteants dquarants-huit l (bis) Queacutetaient plus grands que les ceusses daujourdhui)
Couplet socia 1 Car cest toujours lpauvre ouvrier quicirc trinque
Cest lui quon met en prison pour des riens C eacutetait quand megraveme un bien joli Meacutetinge ) (bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetropolitain J
-(l)-Ces deux vers sont quelques fois remplaceacutes par les suivants
y avait Maurice le mineur indomptable Le gros Jacquot quest l honneur du parti
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PalU notre coucher dans de beaux draps bien blancs (hie) Avec une pucelle de seize ~ cent sept ans (bis)A la taille bien faite Et uxnichons bien ronds Cest ccedila qUest b0n et bon et bon I(au refrain)
Si cest lagrave la vie de les beacutecistes font (biS) Je mferais beacuteciste avec ma Janeton (biS) Et l soir dbns ma chaiTILbrette Jlui chatouillerai le bouton Cest ccedila quest ~on et bon et bon t (au refrain)
ff ff tf tr tl t Air nIl eacutetait un petitLE ~mSEE DATHENES
na vire
Visitez le Ruseacutee dAthegravenes (his) Vous y verrez reacutereacute bien conserveacutes (biS) Oheacute
Trois poils du cul de ~eacutemosthegravene (bis) Et les roustons ton ion du pegravere Caton(bis) Oheacute Oh6 1
~ 1
V(Uuml)~6 Y v9lZxe z la CM et e DiLne middot Le Et
egraveoh boumiddotlheacute pqrQJle les roustons tOl1ll~
banar~e ton du pegravere
~ -Oaton (bi~) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fils dHercule Photographieacutes quand ils senculent Etle s roust ons ton ton dQ pegravere Ca ton (bis) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fills dUlysse Photographieacutees ~endant quTelles pissent Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) ~heacute Oheacute l
Vous y verrez la megraveEgravee Egeacutee Caramboleacutee par le Pireacutee Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) Oheacute Oheacute 1
Vous y verre3 le cul dDiogegravene Deacuteveacuteroleacute agrave lThydrogegravene Et les roustons ton ton du pegravere Caton (biS) Oheacute Qheacute 1
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REFRAIN Et If on ST en fout dattraper la veacuterole Et l t on sen fOLlt pourvu qu 1 on tire un coup Avec 7 avec bullbull une femme bull sous les r C8~~ses
( Tous le c9uplet S 80)1 ~ ~ur le typ~ ~ d~ premier J Vivent les eacutetudiantegravema megravere Vivent les eacutetudiants t Ils ont des femmes e t pas dt enfants $$$~~$$~$~~~~$ $$~~$$$$$$ $ $ ~~$~ Vivent les eacutetudiants l $
~ ViTent les eacutetudiantes E 11 f S aiment a voir la pine au -v-entre bull ~ RE FRAIN
$AhI les fraises et les framboisesVivent les avocats bullbull Ah le bon vin ~ue nous avons buIls ont des couilles en chocolat bull iAh les belles villageoises ViTent les sor~onnards $Nous ne les reverrons plus Ils ont des couilles en peau dTleacutez~rdr bullbull ~
3 Suy la rout e de Montmartre Vi vent le S cOlonia ux De Mont oartre agrave Faris Ils ont des couilles en peau de chameau fiJ ai rencontreacute trois filles
~Trois filles de mon paysVi -ent le 3 cara bins bull $ Ils ont des femmes qui baisent bien $ f
~Jai rencontreacute trois il1e3 $iumlrois filles de mon paysVivent les carahines
E Iles adorent vous SLlcer la pine bullbullbull nJ embra sse la plLlS jeLUle lEt la plus belle aLlssi
Vivent les artilleursbullbull Ils tirent un coup tous les quarts i Je dansITemmegraven e ma chambre
d f he ure Et je la fous sur le lit
Vivent les pharmaciensbull Ils ont l permangaha te pour rienbullbull middotEJ8t regarde entre ses jambes
1 j y vois le paradis Vivent les pharmaciennesbullbull Elles sont putains OD bien Lesbiennes Je rgarde entre les miennesl
Et j ty vois Jeacutesus ChristVivent les PCE bullbull Ils ont les couumlt~~es galvaniseacutees Jeacutesus levant la tecircte Vivent les aviateurs ~Entra d3ns le Paradis Ils legravevent la qLleue tOLlS les i dheLil8 bullbull 1 Vivent les aviatrices $11 sy brisa le cracircne Elles ont le manche e~ vle ie~ ~uisses bull i La cervelle en jaillit
rVivent les arts deacuteco bullbull ~ Pleur z pleLlre Z1 me sdame sIls ont les couilles preacutes du pinceau hLa mort de Jeacutesus Christ
Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
$11 est encore en vie
11 Ji 1l- ~ igt tt Ji Lj ~ H plusmn i ~ ~ ft 4 Ltmiddot + ~i H ~ ~~ Ji y igt4 + t~ -- Li f-- ~ ~ -t u J 1 i -+ ~ q ~ gt~ ~ c ~ H + bull -c i ~ h t H li ~ middottt 4f H if lf H- if tf rt tI if tf ri +t l I tf iftf 11 r If l i of Il i1 ri i l ~( rf rf 11 Il ~ n r( Tl ~ i+r 1 ( rf Tl ri Ii II Ir rI li II If li middot( 11 1 lmiddot Il 11 rr n 1( tf if
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LE BORDEL A FE RlŒE SES VOLETS Air~ L-n guin~glicirceumltt euml--rermeacute-s8s-volets
IJ e b 0 rd e el a f e rm eacute ses vo let s
Elles sont toutes veacuteroleacutees y a plus moyen qUon boise Le dernier qui y est alleacute Pour se faire faire un pompier Est r1venu avec la pine enfl~e jheacutet
Le toubid qui les a visiteacutees A tout de su~te deacuteclareacute y faut plus quon les baise l La mnreacutechausseacutees les n toutes boucl~es
Et le bordei 3 fermeacute ses volets
Totor quest un habitu~ A voulu y aller Disnnt Cest dla foutaise Ir
Mais trois jours apr~s il npouv9it plus marcher
Tant sa pine eacutetait deacute13breacutee Oheacute
A 1 hosto 9 on lt 3 transporteacute Lui laissarlt Suumlpp0ser Que ce leacuteeer malaise Ne lempecircchersit pas drevenir baiser QU82 J_bordel rocvrirGit ses volets
Le toubid lui ayant conseilleacute De ne ~us coiumlter Sans une capote angl Ai$e 9
Arssitocirct smi t sur pied 9 il en [) comm3ndeacute
Douze douzaines avec bout renforceacute
Au premier coup qUil a tireacute Cest ~es couilies qUontlacheacute Pas ln capte anglaise On les n r tro uveacutees aux qu~at coins
du quartier Et lbordel a fermeacute ses volets
Air Marc he fun~bre n
TottOr nest plus Les putains lont descendu Un franccedilais de plus Que les Anglais auront foutu Et sa pine Quav~it belle mine Ne bander8 plus Ainsi triomphe la vertu
Air La guinguette bull
Le bnrdel a rouvert ses volets Par un bequ matin de mai Au temps des premi~res frsises Lpersonnel ~tait enti~rement
reno uveleacute Et la tocircli~re -eacutetai t toute en c -A
be3uteacuteOheacutel
La ~oule se pressait etvriait Elle avait oubli~ quldanger Quand on ba i se Etait dse confier au machins
anglais Et lbordel sest payeacute des
bidets
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shy J_Eshymiddotr (Chanson des Be~ux Arts)J REFRAIN
bulli---- Le casque est une coiffure1 r Qui sied agravela figure
i r-
J Un casqu~ de pompier
Jbull---- Ca fait presque guer~ierj C8middot lui donne un air vainqueur Qui sied ~as mol agrave sa valeur
icirc-]--- Sous son casque luisant t
Il a lair vr3iment eacutepatantT J Zim l a boum zim l a y la
--- - On peut lfblsguer t3nt quon voudraImiddotmiddot~-
-_shy Le pomp1egraveer est bien ou-dessus dccedilagrave--T--1shy
l On dit quelquefois au village Qun casque ccedila sert agrave rien du toutl
- rien du tout Ca sert agrave donner du courage
A ceux qui nen ont pas du tout shypas du toutl
De loin ccedila prend Jes airs fan~asques Et chacun dit en les voyant - en les
voyant Quils sont donc beaux avec leurs
c8sques Ca leur donne un p~tit 8ir ~patnnt
II
On nous raconte dans lh~stoire
Que les Romains et les Gaulois les Gaulois
Ces fils oneacuteris de la victoire Portaient des casques autrefois shy
autrefois Le cnsque cest donc l heacuteritage De tous ces guerriers valeureux shy
riers valeureux ~
Et si nous lsvons eh partage Cest gufnous sommes guerriers comme
eux
III
On sait que chacun sur la terre A son faible ou sa passion shy
sa pa ssion l Le pompier quest un militaire Est fier de S3 ~osition - sa
po si ti(l)n Le sapeur datsa barbe noire Est orgueilleux de son bonnetshy
de son bonnet Le pompier met toute S3 gloire Dans son casque et dans son
]lumet
V Les jours ousquil y Q fecircte Il endosse ses plus benuE hsbits
- 1) e el ux habi + rjJ Il met 80n casque sur sa tecircte Puis agrave lombre de sa visiegravere Pour aller flaner dans le pays
- dans le pRyS
Quand il rencontre un jeune teri i dron - jeune tendron
Il lance une oeillnde incendiaplusmnp~
Le yompier est tellement polisson _
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LES CENT LOUIS DOR (Air des Louis dOr)
Un soir dans une diligenoe Sur une route entre deux bois 9
Je branlaisavec assurance Une fillette pu frais minois Javais retrouss~ S3 chemise Et mis la ~3in sur son bouton Et je branlais malgregrave la bise A d~chirer mon pantalon Pour un quart dheure entre ses
cuisses Un prinoe sut dann~ ses tr~sors
Et moi j 3urais Dieu me beacutenisse Jaurais donneacutec oent Louis dtOr
Las de branler eacuteans r~sistance
La tecircte en feu~ la pine aussi Je pris 8a ~ain quelle ind~cence
Et la mis en forme dteacutetuis Je jouissais ~ perdre haleine Sa main sa robe en eacutetaient pleines Et cel~ne suffisait pas Sentant rallumer ma fournaise Je lui di slltiens f3i s pl us encor Sortons dici que je te boise ~
Je te egravecnne cent Louis dOr
La belle alors~toute confuse Me reacuteponctit ingeacutenument
Pardon Monsieur je refuse Ce que vous moffrez galamment M8is j 8i jureacute de rester sage Pour mon fiunQ6 mon mari De conserver mon puoelage ~-
Il ne s egraver r l j ama i s (~llJ tih~lUfL l 2 Ji Tu naura spa s le ri di c ul e Dis-je darrecircter ton essor Permets aU moins que je tencule J e te prGtmets nent Louis d Or ll
0
Au premier relais sur ln route Nous descendimes promptement~ Au CQl~ il faut que je te foute Nepouvant te foutre autrement Dans une auberge nous entraIDes Tout st Y trouvsit bon feu bon lit Brucirclants dqmour nous nous couchacircmes Je lenculai toute 13 nuit bull NU i s PQ ur changer de joui ssanc e s Je lui dis tiens fais plus encore Livre ton con et lttout d f av3nce Jete p bo ID et s 0 ent L 0 lAgravei s d ~ 0 r bull
ttJe veux bien~ sans plus de harange Dit-elle en me succedilant le gland~ Livrer mon con agrave votre langue Pour ne pas tr8hir mon serment Aussi~6t plac~s tecircte b~che Comme deux amants dans le lit Avec ardeur je la legraveche Pendant quelle me suce le vit Mais la voyant bi~ntocirct pam~G Je ps lui ravir son treacutesor Et je lui dis la pine entr~e~ Je ga gne mes c ent Louis d ~ 0 r n bull
Huit jours apregraves cette aventure Jeacutet8~S de retour ~ Paris Ne pren8nt llUs de nourri ture Restant pensif au logis o
A la gorge ainsi quIa la pine Javais ceacutetait inqugraveieacutetant Chancre poulain on 18 devine Une ch3ude pisse en rlecircmecirc temps Prenant le parti le plus sage Je me transporte che~ Rocord Qui me di t ~ nUn tel puoe18ge Vous co ucirctera cent Loui s d JOrn
Ir 1 Ir Il Il Il 1 P Il lt Il It H
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1 61-__-
l 5 Lautrjour ~ la consultation Pour ceux- yen 3 d 1 si deacutegoatants- Ltoubib 9 un vieux ~ lnir antique Qui deacutesirent to ut fa ire psr derriegravere Apr~s mavoir ~arfouilleacute lco~ Jorois qucest encore plus ~pnt8nt Ma dit qUjeacutetais syphilitique 0 y 8 vraiment dqu~i se egraveatisfaire Les meacutedecinsegraveest oomme les cureacutes Mon 9nus cest comm une vraie fletr Il faut bien lescroire sur parol t Une rose ~ triple corolle t Mais vrai ccedilui l~ ma sideacutereacutee On leffeuillerait avec bonheur Jpeux pas croire qucest ccedila la ~ ~Jpeux pas croire qucest ccedilagrave la
veacuterole veacuterole
2 6 Ca commenceacute par un bouton L autr t jour vl~-1 quen bntifolant Qu6tait situeacute tout nupregraves dlautre Jai vu q~mon typ le m6m Eug~ne Un peu plUS dur uL peu middotplus rond Il 3 queacuteqLl chose aussi maintenant Vrai grain d chnIl let pour mes Fout x7Tsiment qu on ait pns d veJne
p8tnocirctres Cest comme une pastille SLlr son Comme y mchatouillait dtemps en gland
temps On grille r9 ln sucer ma parole Je mgratouillaisccedila fsait tout drocircle Cest rondcest rose et cest y mIn fait mouiller ~~en souvent charmant ~
J p eux p 3 S C ro ire qu c est Ccedil8 la J p eux po s c ro ire qu c est ccedilagrave la veacuterole veacuterole
3 Puis sur le corl s il mest venu A lhopi tal ougrave j 1 ~ui s alleacutee Toutes une floppeacutee de ptites taches On ma montr~ ~ msieur lInterne
roses Un grgrtd gars agrave lair d~lur~ Qui contrastaient sur mon corps nu Qui mo ploteacutee dun nir p1terne Avec 18 blancheur des middot8ut choses Apregraves ru nvqir liien reluqueacutee Jcrois mecircme qUceacutetait plus joli -Pourtant ~ poi1 9 je nsuis pas y en a bien qui se foutsur la fiole gn61eshyDu cold-cream et dla poudre de riz Il ne sest mecircme pas fRit br8nler Jpeux pas croire qucest ccedil~ 18 veacuterole Ah oui j vois bien qujai
11 veacuterole
4 Comme ccedilagrave spassait j Qi constateacute Que par en ba sc eacuteit21i t PD s- 02 illme Quand dans ln glace je msuis rg~rdeacutee9
On aurait dit un vrai diadegraveme N en nva~t des ronds des pointus Cest velouteacute quand on les frocircle Oa fait trentsix ptits mamlons dplusa
J peux pas croire qLl egrave est ccedil~ la veacuterole ~
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aillardesn
et
Pegravere Dupanloup dans luteacuterus (bis) Etait deacuteja si plein dastuce (bis) Que dans le vagin de sa megravere Il succedilait la pine de son pegravere
RE~RAIN Ah ah ah oui vraiment
~ Pegravers Dupanloup (bis) Ah ah ah oui vraiment
pegravere Dupanloup est deacutegoutGnt
pegravere Dupanloup dans son berceaubis) Bandait deacutejagrave comme un toreau (bis) Et sur le sein de sa nourrice lIa ttrapa 18 chaude -pisse
pegravere Dupanloup monte en Mais il avai t le systeacuteme Quagrave trois cents megravetres
Ses couilles trainaient
ballon (bis) si long (B)
dans lathmosphegravere e~core par terrecirc
pegravere Dupanloup monte en bateau (bis) La pine en lairles couilles sous
Quand survint Qui lui mordit
pegravere Dupanloup Mais il avait Quen peacutedalant La peau de ses
pegravere Dupanloup
leau une grosae grenouille la peau des 80uilles
monte en le syst egraveme
agrave perdre couilleo
dans
en chemin
veacutelo (bis) si gros
haleine se sa
de Deacutesir mettre ses couilles agrave
prit chaine
fer(bis) lair
Passant sa pine par la portieacutere 11ere va l 0eil d II gar de barr i egravere
p egravere TIupanloup agrave lOdeacuteon Se conduisit comme un cochon Avec la peau de ses roupettes Il boucha le trou des cla1inettes e
Peacutere Dupanloup agrave lOpeacutera Se conduisit comme un goujat Au troisiegraveme acte dans la coulisse Il encula le pompier de service
pegravere Dupanloup agrave Saint-Malo Confesse les feGlmes dans Lill ~
tonneau Fassant sa pine par le trou de la
bonde Il seacutecrieuVla le s8uveur du
monde
pegravere Dupanloup le 14 Juillet Alla se promener agrave dos de mulet Pour que la fecircte soit complte Il encula la pauvre becircte
Fegravere Dupanloup fait cuire des oeuf Il les remue avec sa queue Sa femme qui passe dans la cuisine Lui di t ttcochon tu brucircles ta pine
Fegravere Du~anlou~ devenu vieux Ne bandait plus quune fois sur ~ Sarrachant la pine avec rage Il sen fit une canne de voyage
pegravere Dupanloup dans son cerceuil Bandait encore comme un chevreuil Avec sa pine en arc de cercle Il essaya de soulever le couvercle
pegravere Dupanloup au paradis Voulait enculer Jeacutesus Christ Non de Dieu dit le pegraveregrave eacuteternel Prends-tu le cie l pour un borde l
pegravere Dllpanloup Icircuttout confus De ne pouvoir lui foutre au cul Branlant sa pine de part et dautr Il aspergea les dOQze apocirctres
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~ r -middotmiddot
-0--
~-~
shy _ 1_-_
Du Dieu Vulcain quand leacutepouse fri- De Jupiterf3con vraiment divine ponne Le Jon lui pueil aime le goudron shy
Va boxonner loin de son vieux sournoisDfun trou agrave merdeil fait un trou Le noir jaloux que lamour aiguillonne Tranquillement se polit le chinbis Et bat le beurre Va-t-en di t-il ~ agrave ss fo utue femelle Cette facon e st Je me fous bien de ton con chassieux Pour terminer un De mes cinq doigts je fais une pucelleApr~3 ldessert Masturbons nouscest le plaisir des
Dieuxe
2 Bah Laissons lui oe p18isir ridicule Chacun dnilleurs sailluse agrave sa focon
Moi je preacutefegrave~e la maniegravere dHer6ule Jamais sa mainne l~i servit de con Le plus seacute11e trou la plus vieille
conn s se Rien nechappait a son vit glorieux
Nous serons fiers de marchermiddot sur ses
Traces Baisonsbaisons 9 cest le plaisir d~s
Dteux
3 Du Dieu Bacchus 9 quand 20cableacute dishy
vresse Le vit mollit etsur le co~ sendort 69 et le vit se renresse 69 ferai tbanderun mort a clitoristop parfun de fromage Fait regimlier nos engins victojeux A S8 vertu nous rendons tous hommage Gamahuchons 9 cest le plaisir des
Dieux )
l
Fo u tre
Foutons
agrave pine aQ milieu de leacutetron
di vinement bonne geuleton joyeux
on senc~le en couronne
Enculons nous cest le plaisir des
5 Quant agrave Plutonle Le moinllre effort AQssi veut-il sans
r Faire sucer son peUlS arrognnDt l + lJ nOJ8revan aux 8XTf~~S8S passees Tout 18nguj sS8n~s reacutejcissons nos
yeux Et laiss3nt faire une amante emshy
preacute)SS8J Lcissons sucerc1est ~e ~10isir des
Diel1x
r o rs st e Q insi_ quI 0 11 f 8 S 8 e agrave sa
_~Iampts
MnincoTI 9 cU1 9 bouche8U plaisir t 0 D tes t bon
SUT q1elque 2u~ el q~ or ceacutelegravebre fecircte
~o u jour 2 lagrave haut uuml~ est sur du
Foutre
Di evlX
Die~ agrave large pense lu~ semble fatigant craindre la deacuteshy
p9D set
fi arc~() n et joutr -IO~-U~_ J untque
middot1 - =~gt FI ire et j oU_ir vo il8 qlu~l s sont
amis qu liI~~or-t- la woniegravereacute Foutonsfoutonscest le plaisir
des DieLc
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AIR Mal bo ro ugh sten va-t-en guerre e
Lagrave haut sur la colline Un coup able de lenfer Les 2 piedsles 2 mains dans la Les de ux piedsles deux mains dans Lagrave-haut sur la colline merde Un coup able de lenfer la merde Il y avait un gros cu (bis) Qui ava it fait un gros peacute
Un gros cureacute de campagne Un gros p~cheacute mortel Les deux pieds Les deux pieds tooe ooeo 0000
Un gro s cureacute de campagne Un gros peacutecheacute mortel Quastiquait son gros bou (bis) Et nvait trop eacuteteacute (bis)
Son gros bouquin de prieacuteres Trop eacuteteacute 8U bordel Les deux pieds 0 Les deux piEds0 0 0 bullbull 11000 bullbull 00
Son gros bouquin de prleres Trop eacuteteacute au bordel Pour entrer dans un Con (bis) Ougrave il alloit quecircter (bis)
-Dans un confessionnal Quecircter laumone des pauvres Les deux pie d s bull 0 0 0 bull 0 0 0 Les deux pied~ 00 bullbullbull
Dans un confessionn31 Quecircter l Qum~ne des psuvres Pour y tirer un cou (bis) Qui en SV3iegravent besoin (bis)
CHA R LOT T E ~ ---I_middot middot--middot-I_(~-~~-
~ REFRAIN Branle (ter) Charlotte Branle (bis) ca fait du bien Branle (ter) ma chegravere Branle (bis) jusquagrave demain
1 LI
Dans son boudoir9~a petite Charlotte Ma is 6 mnlheur 5 6 fatale disgrace Chaude du con f3ute dAvoir un vit LQ jouiS8311Ce lui fi tfaire un Se masturbni t avec une carotte brlJ ~~qhes~ut
Et jouissait eacutetendue sur un lit Du contre l)oUP la c9rotte 88 ossee L Et dans le con il en reste un
Ah disai t-elle~ dnns le siegraveole oUgrave morceau nous sommes
Il faut savoir se passer des garcons Un meacutedecin praticien fort habile Moipour ma partje me fous bien Fut appeleacutequilui fit bieq du mal
des hommes Ma is par malheur la carotte indo- shyAvec ardeurje me branle le cont cile
3 Ne put sortir du conduit vaginal Alors 83 main neacutetant plus paresseuse Alla it vena it c omme un p e ti t re s So rt Mesdemoisellesque le sort de Et faisait jouir la petite vicieuse Charlotte Aussi ce jeu lui plaisait-il bien Puisse longtemps Vous servir de
fort lecon Ah croyez-moil a iss~z lagrave 18
(gt nro tte Preacutefeacuter8z lui le vit dun beau
gs rcon
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L A PO M P 0 NET T E
LE COlVUVLANDEUR DU CUL-SEC LE CHOEUR middot
Aimes tu mieux boire et deacutegueuler Quon verse agrave boire agrave ce cochon lagrave Queds npas oire 8t tJemmerder On verra bien sil d~gueulera bullbullbullbullbullbull eoOOOCJO bullbullbullbull O Pendant qUil deacutegueulera
Que son ~oisin sappr~teLE BUVSUR DESIGNE Pendant quil s3ppr~tera
Oui j oime mieux boire et deacutegueuler Ch3ntons ln pomponette Que denpas boire et memmerder L3 pomponette bullbull 0 bullbull 0080 bullbull 0 bullbullbullbullbullbull La pomponette
Il fil Lera (1) 00 O bull bull 0 bullbullbullbull
Ce cochon lagrave 8 bien fileacute A son voisin de rcommencer
LES MOINES DE SAINT-BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis) Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis) Si lprieur nous engueuleon chante des chansons
REFRAIN Vo ila c qui est bon et bon~ et bon Et voilk 13 viela viela viela vie cherie ah~ oh (bis) Et voilagrave la vie que tous les moines font
Pour notre souper de bons petits oiseaux (bis) Que lon nomme oaille ortolans ou perdrenux(lis) Et la fine nndouillette et la tranche de jambon
Pour notre coucherun lit aux draps bien blancs (bis) Avec une lone de 15 agrave 107 ans (bis) A la taille bien faite et aUx nichons bien ronds
Si cest ca la vie que tous les moines font (bis) Je me ferni moine avec ma Jeanneton (bis) Le soir dans ma chsmbrette je lui chatouillerai le bouton
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DLJ 1 VI
A la porte dtun couvent(bis) 1 l Y avait un moine Ah 1 djt- la soeur da couvent QlJ as-tu moine QU1ssctfLu mmine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine agrave gueuler tant
II Ma soeur je voudraisrentrer(bis)Maisma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Entre moine entre moine Ahr dit la so e ur du couvent Entre) moine e1 ngueule pas ~n~t
0 -
III Quand le ~oine fut entr~ (bi~) Il gueulait enoore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quas-tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu~ moine agrave gueuler tant
IV Ma sbeur je voudrai manger (bis) Ma i s ma s oe ur je n 0 s e Ah dit la soeur du couvent
M8nge ma ine mange mo ine Ah dit la soeur du couvent Mange mo ine J et lffie ~-gl-1~ ule pa e tant
v Quand le moine eut mElngeacute (is)
Il guelllait encore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quasftulmoine Ah dit la soeur du couvent qUas tu moine agrave geuler tant
Ma soeur je voudrai mcoucher -(BiS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Couche toi moinecouche toi moine Ah dit la soeur du couvet Couche tbi moine et gueule pas tant
VI-I Ccedilu~nd le moine fut cou~heacute (Bis) Il geulait encore Ah dit la soeur du couvent quas tu moine quas tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas tu moine agrave geuler tant
IX Ma soeur je voudrai vous baiser (bis) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine baise moi moine Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine et ne geule pas tant
IX Quand le moime eut baiseacutee (biS)Il geulait encore Ahl dit la soeur du couvent quas tu mOinequastu moine Ah dit la soeur du couvent Qutas tu moine ~ geuler tant
X
Ma soeur jvoudrai rcommencer (biS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Va au claque va au claque Ah dit la soeur du couvent Va au claque et fous-moi le camp
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((()ltrimiddot1
Samedi dernierceacutetait jour de la paye Et le soleil brillait agrave lhorizon Javais deacuteja bu cinq agrave six bouteilles l (bis) Jcrois bien qujamais jnavais eacuteteacute aussi rond)
Vlagrave ma bourgeoise qui sramegravene sur le zinc Et mdit Cochont ta quitteacute ton turbin
Ouiqujy reacutepond je men vais au meacutetinge) (bis) A u grand meacutet inge du Meacutetropo li tain J Les proleacutetaires dun eacutelan unanime y sont venus guideacutes par la raison _ En apportant chacQD cinquante centimes l
- ) (b2s)Pour soutenir les greacutevistes de Vierzon
avait Basile le mineur indompta ble cr lme linatr qu e st l honneur du part i (1)
sont monteacutes tous deux sur une table ( bis)Pour exposer la question sur le tapis Quand tout agrave coup on entend du bastringue C middotest un quidam qui veut faire son malin Il est venu pour saboter lMeacutetinge Le grand Megravetinge du Meacutetropolitain (bis)
Jy bondis dSBUS et avant quil rouspegravete Jy enfoncais jusquaux yeux son chapeau Il est parti sans demander son reste )
( bis)En faisant signe aux gardes municipaux (
Qui profitant ~e c que j1 eacutetais brinde zingue Mont emmeneacute au poste-le plus voisin Etc e st ainsi qu c e st termineacute le Meacutetinge ( ( bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetro~olitain
Couplet patriotique Peuple Francais la Bastille est deacutetruite Mais II y a encore des prisons pour tes fils Souviens toi bieuron des geacuteants dquarants-huit l (bis) Queacutetaient plus grands que les ceusses daujourdhui)
Couplet socia 1 Car cest toujours lpauvre ouvrier quicirc trinque
Cest lui quon met en prison pour des riens C eacutetait quand megraveme un bien joli Meacutetinge ) (bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetropolitain J
-(l)-Ces deux vers sont quelques fois remplaceacutes par les suivants
y avait Maurice le mineur indomptable Le gros Jacquot quest l honneur du parti
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PalU notre coucher dans de beaux draps bien blancs (hie) Avec une pucelle de seize ~ cent sept ans (bis)A la taille bien faite Et uxnichons bien ronds Cest ccedila qUest b0n et bon et bon I(au refrain)
Si cest lagrave la vie de les beacutecistes font (biS) Je mferais beacuteciste avec ma Janeton (biS) Et l soir dbns ma chaiTILbrette Jlui chatouillerai le bouton Cest ccedila quest ~on et bon et bon t (au refrain)
ff ff tf tr tl t Air nIl eacutetait un petitLE ~mSEE DATHENES
na vire
Visitez le Ruseacutee dAthegravenes (his) Vous y verrez reacutereacute bien conserveacutes (biS) Oheacute
Trois poils du cul de ~eacutemosthegravene (bis) Et les roustons ton ion du pegravere Caton(bis) Oheacute Oh6 1
~ 1
V(Uuml)~6 Y v9lZxe z la CM et e DiLne middot Le Et
egraveoh boumiddotlheacute pqrQJle les roustons tOl1ll~
banar~e ton du pegravere
~ -Oaton (bi~) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fils dHercule Photographieacutes quand ils senculent Etle s roust ons ton ton dQ pegravere Ca ton (bis) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fills dUlysse Photographieacutees ~endant quTelles pissent Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) ~heacute Oheacute l
Vous y verrez la megraveEgravee Egeacutee Caramboleacutee par le Pireacutee Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) Oheacute Oheacute 1
Vous y verre3 le cul dDiogegravene Deacuteveacuteroleacute agrave lThydrogegravene Et les roustons ton ton du pegravere Caton (biS) Oheacute Qheacute 1
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REFRAIN Et If on ST en fout dattraper la veacuterole Et l t on sen fOLlt pourvu qu 1 on tire un coup Avec 7 avec bullbull une femme bull sous les r C8~~ses
( Tous le c9uplet S 80)1 ~ ~ur le typ~ ~ d~ premier J Vivent les eacutetudiantegravema megravere Vivent les eacutetudiants t Ils ont des femmes e t pas dt enfants $$$~~$$~$~~~~$ $$~~$$$$$$ $ $ ~~$~ Vivent les eacutetudiants l $
~ ViTent les eacutetudiantes E 11 f S aiment a voir la pine au -v-entre bull ~ RE FRAIN
$AhI les fraises et les framboisesVivent les avocats bullbull Ah le bon vin ~ue nous avons buIls ont des couilles en chocolat bull iAh les belles villageoises ViTent les sor~onnards $Nous ne les reverrons plus Ils ont des couilles en peau dTleacutez~rdr bullbull ~
3 Suy la rout e de Montmartre Vi vent le S cOlonia ux De Mont oartre agrave Faris Ils ont des couilles en peau de chameau fiJ ai rencontreacute trois filles
~Trois filles de mon paysVi -ent le 3 cara bins bull $ Ils ont des femmes qui baisent bien $ f
~Jai rencontreacute trois il1e3 $iumlrois filles de mon paysVivent les carahines
E Iles adorent vous SLlcer la pine bullbullbull nJ embra sse la plLlS jeLUle lEt la plus belle aLlssi
Vivent les artilleursbullbull Ils tirent un coup tous les quarts i Je dansITemmegraven e ma chambre
d f he ure Et je la fous sur le lit
Vivent les pharmaciensbull Ils ont l permangaha te pour rienbullbull middotEJ8t regarde entre ses jambes
1 j y vois le paradis Vivent les pharmaciennesbullbull Elles sont putains OD bien Lesbiennes Je rgarde entre les miennesl
Et j ty vois Jeacutesus ChristVivent les PCE bullbull Ils ont les couumlt~~es galvaniseacutees Jeacutesus levant la tecircte Vivent les aviateurs ~Entra d3ns le Paradis Ils legravevent la qLleue tOLlS les i dheLil8 bullbull 1 Vivent les aviatrices $11 sy brisa le cracircne Elles ont le manche e~ vle ie~ ~uisses bull i La cervelle en jaillit
rVivent les arts deacuteco bullbull ~ Pleur z pleLlre Z1 me sdame sIls ont les couilles preacutes du pinceau hLa mort de Jeacutesus Christ
Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
$11 est encore en vie
11 Ji 1l- ~ igt tt Ji Lj ~ H plusmn i ~ ~ ft 4 Ltmiddot + ~i H ~ ~~ Ji y igt4 + t~ -- Li f-- ~ ~ -t u J 1 i -+ ~ q ~ gt~ ~ c ~ H + bull -c i ~ h t H li ~ middottt 4f H if lf H- if tf rt tI if tf ri +t l I tf iftf 11 r If l i of Il i1 ri i l ~( rf rf 11 Il ~ n r( Tl ~ i+r 1 ( rf Tl ri Ii II Ir rI li II If li middot( 11 1 lmiddot Il 11 rr n 1( tf if
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shy J_Eshymiddotr (Chanson des Be~ux Arts)J REFRAIN
bulli---- Le casque est une coiffure1 r Qui sied agravela figure
i r-
J Un casqu~ de pompier
Jbull---- Ca fait presque guer~ierj C8middot lui donne un air vainqueur Qui sied ~as mol agrave sa valeur
icirc-]--- Sous son casque luisant t
Il a lair vr3iment eacutepatantT J Zim l a boum zim l a y la
--- - On peut lfblsguer t3nt quon voudraImiddotmiddot~-
-_shy Le pomp1egraveer est bien ou-dessus dccedilagrave--T--1shy
l On dit quelquefois au village Qun casque ccedila sert agrave rien du toutl
- rien du tout Ca sert agrave donner du courage
A ceux qui nen ont pas du tout shypas du toutl
De loin ccedila prend Jes airs fan~asques Et chacun dit en les voyant - en les
voyant Quils sont donc beaux avec leurs
c8sques Ca leur donne un p~tit 8ir ~patnnt
II
On nous raconte dans lh~stoire
Que les Romains et les Gaulois les Gaulois
Ces fils oneacuteris de la victoire Portaient des casques autrefois shy
autrefois Le cnsque cest donc l heacuteritage De tous ces guerriers valeureux shy
riers valeureux ~
Et si nous lsvons eh partage Cest gufnous sommes guerriers comme
eux
III
On sait que chacun sur la terre A son faible ou sa passion shy
sa pa ssion l Le pompier quest un militaire Est fier de S3 ~osition - sa
po si ti(l)n Le sapeur datsa barbe noire Est orgueilleux de son bonnetshy
de son bonnet Le pompier met toute S3 gloire Dans son casque et dans son
]lumet
V Les jours ousquil y Q fecircte Il endosse ses plus benuE hsbits
- 1) e el ux habi + rjJ Il met 80n casque sur sa tecircte Puis agrave lombre de sa visiegravere Pour aller flaner dans le pays
- dans le pRyS
Quand il rencontre un jeune teri i dron - jeune tendron
Il lance une oeillnde incendiaplusmnp~
Le yompier est tellement polisson _
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LES CENT LOUIS DOR (Air des Louis dOr)
Un soir dans une diligenoe Sur une route entre deux bois 9
Je branlaisavec assurance Une fillette pu frais minois Javais retrouss~ S3 chemise Et mis la ~3in sur son bouton Et je branlais malgregrave la bise A d~chirer mon pantalon Pour un quart dheure entre ses
cuisses Un prinoe sut dann~ ses tr~sors
Et moi j 3urais Dieu me beacutenisse Jaurais donneacutec oent Louis dtOr
Las de branler eacuteans r~sistance
La tecircte en feu~ la pine aussi Je pris 8a ~ain quelle ind~cence
Et la mis en forme dteacutetuis Je jouissais ~ perdre haleine Sa main sa robe en eacutetaient pleines Et cel~ne suffisait pas Sentant rallumer ma fournaise Je lui di slltiens f3i s pl us encor Sortons dici que je te boise ~
Je te egravecnne cent Louis dOr
La belle alors~toute confuse Me reacuteponctit ingeacutenument
Pardon Monsieur je refuse Ce que vous moffrez galamment M8is j 8i jureacute de rester sage Pour mon fiunQ6 mon mari De conserver mon puoelage ~-
Il ne s egraver r l j ama i s (~llJ tih~lUfL l 2 Ji Tu naura spa s le ri di c ul e Dis-je darrecircter ton essor Permets aU moins que je tencule J e te prGtmets nent Louis d Or ll
0
Au premier relais sur ln route Nous descendimes promptement~ Au CQl~ il faut que je te foute Nepouvant te foutre autrement Dans une auberge nous entraIDes Tout st Y trouvsit bon feu bon lit Brucirclants dqmour nous nous couchacircmes Je lenculai toute 13 nuit bull NU i s PQ ur changer de joui ssanc e s Je lui dis tiens fais plus encore Livre ton con et lttout d f av3nce Jete p bo ID et s 0 ent L 0 lAgravei s d ~ 0 r bull
ttJe veux bien~ sans plus de harange Dit-elle en me succedilant le gland~ Livrer mon con agrave votre langue Pour ne pas tr8hir mon serment Aussi~6t plac~s tecircte b~che Comme deux amants dans le lit Avec ardeur je la legraveche Pendant quelle me suce le vit Mais la voyant bi~ntocirct pam~G Je ps lui ravir son treacutesor Et je lui dis la pine entr~e~ Je ga gne mes c ent Louis d ~ 0 r n bull
Huit jours apregraves cette aventure Jeacutet8~S de retour ~ Paris Ne pren8nt llUs de nourri ture Restant pensif au logis o
A la gorge ainsi quIa la pine Javais ceacutetait inqugraveieacutetant Chancre poulain on 18 devine Une ch3ude pisse en rlecircmecirc temps Prenant le parti le plus sage Je me transporte che~ Rocord Qui me di t ~ nUn tel puoe18ge Vous co ucirctera cent Loui s d JOrn
Ir 1 Ir Il Il Il 1 P Il lt Il It H
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1 61-__-
l 5 Lautrjour ~ la consultation Pour ceux- yen 3 d 1 si deacutegoatants- Ltoubib 9 un vieux ~ lnir antique Qui deacutesirent to ut fa ire psr derriegravere Apr~s mavoir ~arfouilleacute lco~ Jorois qucest encore plus ~pnt8nt Ma dit qUjeacutetais syphilitique 0 y 8 vraiment dqu~i se egraveatisfaire Les meacutedecinsegraveest oomme les cureacutes Mon 9nus cest comm une vraie fletr Il faut bien lescroire sur parol t Une rose ~ triple corolle t Mais vrai ccedilui l~ ma sideacutereacutee On leffeuillerait avec bonheur Jpeux pas croire qucest ccedila la ~ ~Jpeux pas croire qucest ccedilagrave la
veacuterole veacuterole
2 6 Ca commenceacute par un bouton L autr t jour vl~-1 quen bntifolant Qu6tait situeacute tout nupregraves dlautre Jai vu q~mon typ le m6m Eug~ne Un peu plUS dur uL peu middotplus rond Il 3 queacuteqLl chose aussi maintenant Vrai grain d chnIl let pour mes Fout x7Tsiment qu on ait pns d veJne
p8tnocirctres Cest comme une pastille SLlr son Comme y mchatouillait dtemps en gland
temps On grille r9 ln sucer ma parole Je mgratouillaisccedila fsait tout drocircle Cest rondcest rose et cest y mIn fait mouiller ~~en souvent charmant ~
J p eux p 3 S C ro ire qu c est Ccedil8 la J p eux po s c ro ire qu c est ccedilagrave la veacuterole veacuterole
3 Puis sur le corl s il mest venu A lhopi tal ougrave j 1 ~ui s alleacutee Toutes une floppeacutee de ptites taches On ma montr~ ~ msieur lInterne
roses Un grgrtd gars agrave lair d~lur~ Qui contrastaient sur mon corps nu Qui mo ploteacutee dun nir p1terne Avec 18 blancheur des middot8ut choses Apregraves ru nvqir liien reluqueacutee Jcrois mecircme qUceacutetait plus joli -Pourtant ~ poi1 9 je nsuis pas y en a bien qui se foutsur la fiole gn61eshyDu cold-cream et dla poudre de riz Il ne sest mecircme pas fRit br8nler Jpeux pas croire qucest ccedil~ 18 veacuterole Ah oui j vois bien qujai
11 veacuterole
4 Comme ccedilagrave spassait j Qi constateacute Que par en ba sc eacuteit21i t PD s- 02 illme Quand dans ln glace je msuis rg~rdeacutee9
On aurait dit un vrai diadegraveme N en nva~t des ronds des pointus Cest velouteacute quand on les frocircle Oa fait trentsix ptits mamlons dplusa
J peux pas croire qLl egrave est ccedil~ la veacuterole ~
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Pegravere Dupanloup dans luteacuterus (bis) Etait deacuteja si plein dastuce (bis) Que dans le vagin de sa megravere Il succedilait la pine de son pegravere
RE~RAIN Ah ah ah oui vraiment
~ Pegravers Dupanloup (bis) Ah ah ah oui vraiment
pegravere Dupanloup est deacutegoutGnt
pegravere Dupanloup dans son berceaubis) Bandait deacutejagrave comme un toreau (bis) Et sur le sein de sa nourrice lIa ttrapa 18 chaude -pisse
pegravere Dupanloup monte en Mais il avai t le systeacuteme Quagrave trois cents megravetres
Ses couilles trainaient
ballon (bis) si long (B)
dans lathmosphegravere e~core par terrecirc
pegravere Dupanloup monte en bateau (bis) La pine en lairles couilles sous
Quand survint Qui lui mordit
pegravere Dupanloup Mais il avait Quen peacutedalant La peau de ses
pegravere Dupanloup
leau une grosae grenouille la peau des 80uilles
monte en le syst egraveme
agrave perdre couilleo
dans
en chemin
veacutelo (bis) si gros
haleine se sa
de Deacutesir mettre ses couilles agrave
prit chaine
fer(bis) lair
Passant sa pine par la portieacutere 11ere va l 0eil d II gar de barr i egravere
p egravere TIupanloup agrave lOdeacuteon Se conduisit comme un cochon Avec la peau de ses roupettes Il boucha le trou des cla1inettes e
Peacutere Dupanloup agrave lOpeacutera Se conduisit comme un goujat Au troisiegraveme acte dans la coulisse Il encula le pompier de service
pegravere Dupanloup agrave Saint-Malo Confesse les feGlmes dans Lill ~
tonneau Fassant sa pine par le trou de la
bonde Il seacutecrieuVla le s8uveur du
monde
pegravere Dupanloup le 14 Juillet Alla se promener agrave dos de mulet Pour que la fecircte soit complte Il encula la pauvre becircte
Fegravere Dupanloup fait cuire des oeuf Il les remue avec sa queue Sa femme qui passe dans la cuisine Lui di t ttcochon tu brucircles ta pine
Fegravere Du~anlou~ devenu vieux Ne bandait plus quune fois sur ~ Sarrachant la pine avec rage Il sen fit une canne de voyage
pegravere Dupanloup dans son cerceuil Bandait encore comme un chevreuil Avec sa pine en arc de cercle Il essaya de soulever le couvercle
pegravere Dupanloup au paradis Voulait enculer Jeacutesus Christ Non de Dieu dit le pegraveregrave eacuteternel Prends-tu le cie l pour un borde l
pegravere Dllpanloup Icircuttout confus De ne pouvoir lui foutre au cul Branlant sa pine de part et dautr Il aspergea les dOQze apocirctres
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~ r -middotmiddot
-0--
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shy _ 1_-_
Du Dieu Vulcain quand leacutepouse fri- De Jupiterf3con vraiment divine ponne Le Jon lui pueil aime le goudron shy
Va boxonner loin de son vieux sournoisDfun trou agrave merdeil fait un trou Le noir jaloux que lamour aiguillonne Tranquillement se polit le chinbis Et bat le beurre Va-t-en di t-il ~ agrave ss fo utue femelle Cette facon e st Je me fous bien de ton con chassieux Pour terminer un De mes cinq doigts je fais une pucelleApr~3 ldessert Masturbons nouscest le plaisir des
Dieuxe
2 Bah Laissons lui oe p18isir ridicule Chacun dnilleurs sailluse agrave sa focon
Moi je preacutefegrave~e la maniegravere dHer6ule Jamais sa mainne l~i servit de con Le plus seacute11e trou la plus vieille
conn s se Rien nechappait a son vit glorieux
Nous serons fiers de marchermiddot sur ses
Traces Baisonsbaisons 9 cest le plaisir d~s
Dteux
3 Du Dieu Bacchus 9 quand 20cableacute dishy
vresse Le vit mollit etsur le co~ sendort 69 et le vit se renresse 69 ferai tbanderun mort a clitoristop parfun de fromage Fait regimlier nos engins victojeux A S8 vertu nous rendons tous hommage Gamahuchons 9 cest le plaisir des
Dieux )
l
Fo u tre
Foutons
agrave pine aQ milieu de leacutetron
di vinement bonne geuleton joyeux
on senc~le en couronne
Enculons nous cest le plaisir des
5 Quant agrave Plutonle Le moinllre effort AQssi veut-il sans
r Faire sucer son peUlS arrognnDt l + lJ nOJ8revan aux 8XTf~~S8S passees Tout 18nguj sS8n~s reacutejcissons nos
yeux Et laiss3nt faire une amante emshy
preacute)SS8J Lcissons sucerc1est ~e ~10isir des
Diel1x
r o rs st e Q insi_ quI 0 11 f 8 S 8 e agrave sa
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MnincoTI 9 cU1 9 bouche8U plaisir t 0 D tes t bon
SUT q1elque 2u~ el q~ or ceacutelegravebre fecircte
~o u jour 2 lagrave haut uuml~ est sur du
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Die~ agrave large pense lu~ semble fatigant craindre la deacuteshy
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AIR Mal bo ro ugh sten va-t-en guerre e
Lagrave haut sur la colline Un coup able de lenfer Les 2 piedsles 2 mains dans la Les de ux piedsles deux mains dans Lagrave-haut sur la colline merde Un coup able de lenfer la merde Il y avait un gros cu (bis) Qui ava it fait un gros peacute
Un gros cureacute de campagne Un gros p~cheacute mortel Les deux pieds Les deux pieds tooe ooeo 0000
Un gro s cureacute de campagne Un gros peacutecheacute mortel Quastiquait son gros bou (bis) Et nvait trop eacuteteacute (bis)
Son gros bouquin de prieacuteres Trop eacuteteacute 8U bordel Les deux pieds 0 Les deux piEds0 0 0 bullbull 11000 bullbull 00
Son gros bouquin de prleres Trop eacuteteacute au bordel Pour entrer dans un Con (bis) Ougrave il alloit quecircter (bis)
-Dans un confessionnal Quecircter laumone des pauvres Les deux pie d s bull 0 0 0 bull 0 0 0 Les deux pied~ 00 bullbullbull
Dans un confessionn31 Quecircter l Qum~ne des psuvres Pour y tirer un cou (bis) Qui en SV3iegravent besoin (bis)
CHA R LOT T E ~ ---I_middot middot--middot-I_(~-~~-
~ REFRAIN Branle (ter) Charlotte Branle (bis) ca fait du bien Branle (ter) ma chegravere Branle (bis) jusquagrave demain
1 LI
Dans son boudoir9~a petite Charlotte Ma is 6 mnlheur 5 6 fatale disgrace Chaude du con f3ute dAvoir un vit LQ jouiS8311Ce lui fi tfaire un Se masturbni t avec une carotte brlJ ~~qhes~ut
Et jouissait eacutetendue sur un lit Du contre l)oUP la c9rotte 88 ossee L Et dans le con il en reste un
Ah disai t-elle~ dnns le siegraveole oUgrave morceau nous sommes
Il faut savoir se passer des garcons Un meacutedecin praticien fort habile Moipour ma partje me fous bien Fut appeleacutequilui fit bieq du mal
des hommes Ma is par malheur la carotte indo- shyAvec ardeurje me branle le cont cile
3 Ne put sortir du conduit vaginal Alors 83 main neacutetant plus paresseuse Alla it vena it c omme un p e ti t re s So rt Mesdemoisellesque le sort de Et faisait jouir la petite vicieuse Charlotte Aussi ce jeu lui plaisait-il bien Puisse longtemps Vous servir de
fort lecon Ah croyez-moil a iss~z lagrave 18
(gt nro tte Preacutefeacuter8z lui le vit dun beau
gs rcon
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L A PO M P 0 NET T E
LE COlVUVLANDEUR DU CUL-SEC LE CHOEUR middot
Aimes tu mieux boire et deacutegueuler Quon verse agrave boire agrave ce cochon lagrave Queds npas oire 8t tJemmerder On verra bien sil d~gueulera bullbullbullbullbullbull eoOOOCJO bullbullbullbull O Pendant qUil deacutegueulera
Que son ~oisin sappr~teLE BUVSUR DESIGNE Pendant quil s3ppr~tera
Oui j oime mieux boire et deacutegueuler Ch3ntons ln pomponette Que denpas boire et memmerder L3 pomponette bullbull 0 bullbull 0080 bullbull 0 bullbullbullbullbullbull La pomponette
Il fil Lera (1) 00 O bull bull 0 bullbullbullbull
Ce cochon lagrave 8 bien fileacute A son voisin de rcommencer
LES MOINES DE SAINT-BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis) Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis) Si lprieur nous engueuleon chante des chansons
REFRAIN Vo ila c qui est bon et bon~ et bon Et voilk 13 viela viela viela vie cherie ah~ oh (bis) Et voilagrave la vie que tous les moines font
Pour notre souper de bons petits oiseaux (bis) Que lon nomme oaille ortolans ou perdrenux(lis) Et la fine nndouillette et la tranche de jambon
Pour notre coucherun lit aux draps bien blancs (bis) Avec une lone de 15 agrave 107 ans (bis) A la taille bien faite et aUx nichons bien ronds
Si cest ca la vie que tous les moines font (bis) Je me ferni moine avec ma Jeanneton (bis) Le soir dans ma chsmbrette je lui chatouillerai le bouton
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DLJ 1 VI
A la porte dtun couvent(bis) 1 l Y avait un moine Ah 1 djt- la soeur da couvent QlJ as-tu moine QU1ssctfLu mmine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine agrave gueuler tant
II Ma soeur je voudraisrentrer(bis)Maisma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Entre moine entre moine Ahr dit la so e ur du couvent Entre) moine e1 ngueule pas ~n~t
0 -
III Quand le ~oine fut entr~ (bi~) Il gueulait enoore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quas-tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu~ moine agrave gueuler tant
IV Ma sbeur je voudrai manger (bis) Ma i s ma s oe ur je n 0 s e Ah dit la soeur du couvent
M8nge ma ine mange mo ine Ah dit la soeur du couvent Mange mo ine J et lffie ~-gl-1~ ule pa e tant
v Quand le moine eut mElngeacute (is)
Il guelllait encore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quasftulmoine Ah dit la soeur du couvent qUas tu moine agrave geuler tant
Ma soeur je voudrai mcoucher -(BiS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Couche toi moinecouche toi moine Ah dit la soeur du couvet Couche tbi moine et gueule pas tant
VI-I Ccedilu~nd le moine fut cou~heacute (Bis) Il geulait encore Ah dit la soeur du couvent quas tu moine quas tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas tu moine agrave geuler tant
IX Ma soeur je voudrai vous baiser (bis) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine baise moi moine Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine et ne geule pas tant
IX Quand le moime eut baiseacutee (biS)Il geulait encore Ahl dit la soeur du couvent quas tu mOinequastu moine Ah dit la soeur du couvent Qutas tu moine ~ geuler tant
X
Ma soeur jvoudrai rcommencer (biS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Va au claque va au claque Ah dit la soeur du couvent Va au claque et fous-moi le camp
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((()ltrimiddot1
Samedi dernierceacutetait jour de la paye Et le soleil brillait agrave lhorizon Javais deacuteja bu cinq agrave six bouteilles l (bis) Jcrois bien qujamais jnavais eacuteteacute aussi rond)
Vlagrave ma bourgeoise qui sramegravene sur le zinc Et mdit Cochont ta quitteacute ton turbin
Ouiqujy reacutepond je men vais au meacutetinge) (bis) A u grand meacutet inge du Meacutetropo li tain J Les proleacutetaires dun eacutelan unanime y sont venus guideacutes par la raison _ En apportant chacQD cinquante centimes l
- ) (b2s)Pour soutenir les greacutevistes de Vierzon
avait Basile le mineur indompta ble cr lme linatr qu e st l honneur du part i (1)
sont monteacutes tous deux sur une table ( bis)Pour exposer la question sur le tapis Quand tout agrave coup on entend du bastringue C middotest un quidam qui veut faire son malin Il est venu pour saboter lMeacutetinge Le grand Megravetinge du Meacutetropolitain (bis)
Jy bondis dSBUS et avant quil rouspegravete Jy enfoncais jusquaux yeux son chapeau Il est parti sans demander son reste )
( bis)En faisant signe aux gardes municipaux (
Qui profitant ~e c que j1 eacutetais brinde zingue Mont emmeneacute au poste-le plus voisin Etc e st ainsi qu c e st termineacute le Meacutetinge ( ( bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetro~olitain
Couplet patriotique Peuple Francais la Bastille est deacutetruite Mais II y a encore des prisons pour tes fils Souviens toi bieuron des geacuteants dquarants-huit l (bis) Queacutetaient plus grands que les ceusses daujourdhui)
Couplet socia 1 Car cest toujours lpauvre ouvrier quicirc trinque
Cest lui quon met en prison pour des riens C eacutetait quand megraveme un bien joli Meacutetinge ) (bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetropolitain J
-(l)-Ces deux vers sont quelques fois remplaceacutes par les suivants
y avait Maurice le mineur indomptable Le gros Jacquot quest l honneur du parti
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PalU notre coucher dans de beaux draps bien blancs (hie) Avec une pucelle de seize ~ cent sept ans (bis)A la taille bien faite Et uxnichons bien ronds Cest ccedila qUest b0n et bon et bon I(au refrain)
Si cest lagrave la vie de les beacutecistes font (biS) Je mferais beacuteciste avec ma Janeton (biS) Et l soir dbns ma chaiTILbrette Jlui chatouillerai le bouton Cest ccedila quest ~on et bon et bon t (au refrain)
ff ff tf tr tl t Air nIl eacutetait un petitLE ~mSEE DATHENES
na vire
Visitez le Ruseacutee dAthegravenes (his) Vous y verrez reacutereacute bien conserveacutes (biS) Oheacute
Trois poils du cul de ~eacutemosthegravene (bis) Et les roustons ton ion du pegravere Caton(bis) Oheacute Oh6 1
~ 1
V(Uuml)~6 Y v9lZxe z la CM et e DiLne middot Le Et
egraveoh boumiddotlheacute pqrQJle les roustons tOl1ll~
banar~e ton du pegravere
~ -Oaton (bi~) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fils dHercule Photographieacutes quand ils senculent Etle s roust ons ton ton dQ pegravere Ca ton (bis) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fills dUlysse Photographieacutees ~endant quTelles pissent Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) ~heacute Oheacute l
Vous y verrez la megraveEgravee Egeacutee Caramboleacutee par le Pireacutee Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) Oheacute Oheacute 1
Vous y verre3 le cul dDiogegravene Deacuteveacuteroleacute agrave lThydrogegravene Et les roustons ton ton du pegravere Caton (biS) Oheacute Qheacute 1
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REFRAIN Et If on ST en fout dattraper la veacuterole Et l t on sen fOLlt pourvu qu 1 on tire un coup Avec 7 avec bullbull une femme bull sous les r C8~~ses
( Tous le c9uplet S 80)1 ~ ~ur le typ~ ~ d~ premier J Vivent les eacutetudiantegravema megravere Vivent les eacutetudiants t Ils ont des femmes e t pas dt enfants $$$~~$$~$~~~~$ $$~~$$$$$$ $ $ ~~$~ Vivent les eacutetudiants l $
~ ViTent les eacutetudiantes E 11 f S aiment a voir la pine au -v-entre bull ~ RE FRAIN
$AhI les fraises et les framboisesVivent les avocats bullbull Ah le bon vin ~ue nous avons buIls ont des couilles en chocolat bull iAh les belles villageoises ViTent les sor~onnards $Nous ne les reverrons plus Ils ont des couilles en peau dTleacutez~rdr bullbull ~
3 Suy la rout e de Montmartre Vi vent le S cOlonia ux De Mont oartre agrave Faris Ils ont des couilles en peau de chameau fiJ ai rencontreacute trois filles
~Trois filles de mon paysVi -ent le 3 cara bins bull $ Ils ont des femmes qui baisent bien $ f
~Jai rencontreacute trois il1e3 $iumlrois filles de mon paysVivent les carahines
E Iles adorent vous SLlcer la pine bullbullbull nJ embra sse la plLlS jeLUle lEt la plus belle aLlssi
Vivent les artilleursbullbull Ils tirent un coup tous les quarts i Je dansITemmegraven e ma chambre
d f he ure Et je la fous sur le lit
Vivent les pharmaciensbull Ils ont l permangaha te pour rienbullbull middotEJ8t regarde entre ses jambes
1 j y vois le paradis Vivent les pharmaciennesbullbull Elles sont putains OD bien Lesbiennes Je rgarde entre les miennesl
Et j ty vois Jeacutesus ChristVivent les PCE bullbull Ils ont les couumlt~~es galvaniseacutees Jeacutesus levant la tecircte Vivent les aviateurs ~Entra d3ns le Paradis Ils legravevent la qLleue tOLlS les i dheLil8 bullbull 1 Vivent les aviatrices $11 sy brisa le cracircne Elles ont le manche e~ vle ie~ ~uisses bull i La cervelle en jaillit
rVivent les arts deacuteco bullbull ~ Pleur z pleLlre Z1 me sdame sIls ont les couilles preacutes du pinceau hLa mort de Jeacutesus Christ
Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
$11 est encore en vie
11 Ji 1l- ~ igt tt Ji Lj ~ H plusmn i ~ ~ ft 4 Ltmiddot + ~i H ~ ~~ Ji y igt4 + t~ -- Li f-- ~ ~ -t u J 1 i -+ ~ q ~ gt~ ~ c ~ H + bull -c i ~ h t H li ~ middottt 4f H if lf H- if tf rt tI if tf ri +t l I tf iftf 11 r If l i of Il i1 ri i l ~( rf rf 11 Il ~ n r( Tl ~ i+r 1 ( rf Tl ri Ii II Ir rI li II If li middot( 11 1 lmiddot Il 11 rr n 1( tf if
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LES CENT LOUIS DOR (Air des Louis dOr)
Un soir dans une diligenoe Sur une route entre deux bois 9
Je branlaisavec assurance Une fillette pu frais minois Javais retrouss~ S3 chemise Et mis la ~3in sur son bouton Et je branlais malgregrave la bise A d~chirer mon pantalon Pour un quart dheure entre ses
cuisses Un prinoe sut dann~ ses tr~sors
Et moi j 3urais Dieu me beacutenisse Jaurais donneacutec oent Louis dtOr
Las de branler eacuteans r~sistance
La tecircte en feu~ la pine aussi Je pris 8a ~ain quelle ind~cence
Et la mis en forme dteacutetuis Je jouissais ~ perdre haleine Sa main sa robe en eacutetaient pleines Et cel~ne suffisait pas Sentant rallumer ma fournaise Je lui di slltiens f3i s pl us encor Sortons dici que je te boise ~
Je te egravecnne cent Louis dOr
La belle alors~toute confuse Me reacuteponctit ingeacutenument
Pardon Monsieur je refuse Ce que vous moffrez galamment M8is j 8i jureacute de rester sage Pour mon fiunQ6 mon mari De conserver mon puoelage ~-
Il ne s egraver r l j ama i s (~llJ tih~lUfL l 2 Ji Tu naura spa s le ri di c ul e Dis-je darrecircter ton essor Permets aU moins que je tencule J e te prGtmets nent Louis d Or ll
0
Au premier relais sur ln route Nous descendimes promptement~ Au CQl~ il faut que je te foute Nepouvant te foutre autrement Dans une auberge nous entraIDes Tout st Y trouvsit bon feu bon lit Brucirclants dqmour nous nous couchacircmes Je lenculai toute 13 nuit bull NU i s PQ ur changer de joui ssanc e s Je lui dis tiens fais plus encore Livre ton con et lttout d f av3nce Jete p bo ID et s 0 ent L 0 lAgravei s d ~ 0 r bull
ttJe veux bien~ sans plus de harange Dit-elle en me succedilant le gland~ Livrer mon con agrave votre langue Pour ne pas tr8hir mon serment Aussi~6t plac~s tecircte b~che Comme deux amants dans le lit Avec ardeur je la legraveche Pendant quelle me suce le vit Mais la voyant bi~ntocirct pam~G Je ps lui ravir son treacutesor Et je lui dis la pine entr~e~ Je ga gne mes c ent Louis d ~ 0 r n bull
Huit jours apregraves cette aventure Jeacutet8~S de retour ~ Paris Ne pren8nt llUs de nourri ture Restant pensif au logis o
A la gorge ainsi quIa la pine Javais ceacutetait inqugraveieacutetant Chancre poulain on 18 devine Une ch3ude pisse en rlecircmecirc temps Prenant le parti le plus sage Je me transporte che~ Rocord Qui me di t ~ nUn tel puoe18ge Vous co ucirctera cent Loui s d JOrn
Ir 1 Ir Il Il Il 1 P Il lt Il It H
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1 61-__-
l 5 Lautrjour ~ la consultation Pour ceux- yen 3 d 1 si deacutegoatants- Ltoubib 9 un vieux ~ lnir antique Qui deacutesirent to ut fa ire psr derriegravere Apr~s mavoir ~arfouilleacute lco~ Jorois qucest encore plus ~pnt8nt Ma dit qUjeacutetais syphilitique 0 y 8 vraiment dqu~i se egraveatisfaire Les meacutedecinsegraveest oomme les cureacutes Mon 9nus cest comm une vraie fletr Il faut bien lescroire sur parol t Une rose ~ triple corolle t Mais vrai ccedilui l~ ma sideacutereacutee On leffeuillerait avec bonheur Jpeux pas croire qucest ccedila la ~ ~Jpeux pas croire qucest ccedilagrave la
veacuterole veacuterole
2 6 Ca commenceacute par un bouton L autr t jour vl~-1 quen bntifolant Qu6tait situeacute tout nupregraves dlautre Jai vu q~mon typ le m6m Eug~ne Un peu plUS dur uL peu middotplus rond Il 3 queacuteqLl chose aussi maintenant Vrai grain d chnIl let pour mes Fout x7Tsiment qu on ait pns d veJne
p8tnocirctres Cest comme une pastille SLlr son Comme y mchatouillait dtemps en gland
temps On grille r9 ln sucer ma parole Je mgratouillaisccedila fsait tout drocircle Cest rondcest rose et cest y mIn fait mouiller ~~en souvent charmant ~
J p eux p 3 S C ro ire qu c est Ccedil8 la J p eux po s c ro ire qu c est ccedilagrave la veacuterole veacuterole
3 Puis sur le corl s il mest venu A lhopi tal ougrave j 1 ~ui s alleacutee Toutes une floppeacutee de ptites taches On ma montr~ ~ msieur lInterne
roses Un grgrtd gars agrave lair d~lur~ Qui contrastaient sur mon corps nu Qui mo ploteacutee dun nir p1terne Avec 18 blancheur des middot8ut choses Apregraves ru nvqir liien reluqueacutee Jcrois mecircme qUceacutetait plus joli -Pourtant ~ poi1 9 je nsuis pas y en a bien qui se foutsur la fiole gn61eshyDu cold-cream et dla poudre de riz Il ne sest mecircme pas fRit br8nler Jpeux pas croire qucest ccedil~ 18 veacuterole Ah oui j vois bien qujai
11 veacuterole
4 Comme ccedilagrave spassait j Qi constateacute Que par en ba sc eacuteit21i t PD s- 02 illme Quand dans ln glace je msuis rg~rdeacutee9
On aurait dit un vrai diadegraveme N en nva~t des ronds des pointus Cest velouteacute quand on les frocircle Oa fait trentsix ptits mamlons dplusa
J peux pas croire qLl egrave est ccedil~ la veacuterole ~
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Pegravere Dupanloup dans luteacuterus (bis) Etait deacuteja si plein dastuce (bis) Que dans le vagin de sa megravere Il succedilait la pine de son pegravere
RE~RAIN Ah ah ah oui vraiment
~ Pegravers Dupanloup (bis) Ah ah ah oui vraiment
pegravere Dupanloup est deacutegoutGnt
pegravere Dupanloup dans son berceaubis) Bandait deacutejagrave comme un toreau (bis) Et sur le sein de sa nourrice lIa ttrapa 18 chaude -pisse
pegravere Dupanloup monte en Mais il avai t le systeacuteme Quagrave trois cents megravetres
Ses couilles trainaient
ballon (bis) si long (B)
dans lathmosphegravere e~core par terrecirc
pegravere Dupanloup monte en bateau (bis) La pine en lairles couilles sous
Quand survint Qui lui mordit
pegravere Dupanloup Mais il avait Quen peacutedalant La peau de ses
pegravere Dupanloup
leau une grosae grenouille la peau des 80uilles
monte en le syst egraveme
agrave perdre couilleo
dans
en chemin
veacutelo (bis) si gros
haleine se sa
de Deacutesir mettre ses couilles agrave
prit chaine
fer(bis) lair
Passant sa pine par la portieacutere 11ere va l 0eil d II gar de barr i egravere
p egravere TIupanloup agrave lOdeacuteon Se conduisit comme un cochon Avec la peau de ses roupettes Il boucha le trou des cla1inettes e
Peacutere Dupanloup agrave lOpeacutera Se conduisit comme un goujat Au troisiegraveme acte dans la coulisse Il encula le pompier de service
pegravere Dupanloup agrave Saint-Malo Confesse les feGlmes dans Lill ~
tonneau Fassant sa pine par le trou de la
bonde Il seacutecrieuVla le s8uveur du
monde
pegravere Dupanloup le 14 Juillet Alla se promener agrave dos de mulet Pour que la fecircte soit complte Il encula la pauvre becircte
Fegravere Dupanloup fait cuire des oeuf Il les remue avec sa queue Sa femme qui passe dans la cuisine Lui di t ttcochon tu brucircles ta pine
Fegravere Du~anlou~ devenu vieux Ne bandait plus quune fois sur ~ Sarrachant la pine avec rage Il sen fit une canne de voyage
pegravere Dupanloup dans son cerceuil Bandait encore comme un chevreuil Avec sa pine en arc de cercle Il essaya de soulever le couvercle
pegravere Dupanloup au paradis Voulait enculer Jeacutesus Christ Non de Dieu dit le pegraveregrave eacuteternel Prends-tu le cie l pour un borde l
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Va boxonner loin de son vieux sournoisDfun trou agrave merdeil fait un trou Le noir jaloux que lamour aiguillonne Tranquillement se polit le chinbis Et bat le beurre Va-t-en di t-il ~ agrave ss fo utue femelle Cette facon e st Je me fous bien de ton con chassieux Pour terminer un De mes cinq doigts je fais une pucelleApr~3 ldessert Masturbons nouscest le plaisir des
Dieuxe
2 Bah Laissons lui oe p18isir ridicule Chacun dnilleurs sailluse agrave sa focon
Moi je preacutefegrave~e la maniegravere dHer6ule Jamais sa mainne l~i servit de con Le plus seacute11e trou la plus vieille
conn s se Rien nechappait a son vit glorieux
Nous serons fiers de marchermiddot sur ses
Traces Baisonsbaisons 9 cest le plaisir d~s
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3 Du Dieu Bacchus 9 quand 20cableacute dishy
vresse Le vit mollit etsur le co~ sendort 69 et le vit se renresse 69 ferai tbanderun mort a clitoristop parfun de fromage Fait regimlier nos engins victojeux A S8 vertu nous rendons tous hommage Gamahuchons 9 cest le plaisir des
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~o u jour 2 lagrave haut uuml~ est sur du
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Die~ agrave large pense lu~ semble fatigant craindre la deacuteshy
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Lagrave haut sur la colline Un coup able de lenfer Les 2 piedsles 2 mains dans la Les de ux piedsles deux mains dans Lagrave-haut sur la colline merde Un coup able de lenfer la merde Il y avait un gros cu (bis) Qui ava it fait un gros peacute
Un gros cureacute de campagne Un gros p~cheacute mortel Les deux pieds Les deux pieds tooe ooeo 0000
Un gro s cureacute de campagne Un gros peacutecheacute mortel Quastiquait son gros bou (bis) Et nvait trop eacuteteacute (bis)
Son gros bouquin de prieacuteres Trop eacuteteacute 8U bordel Les deux pieds 0 Les deux piEds0 0 0 bullbull 11000 bullbull 00
Son gros bouquin de prleres Trop eacuteteacute au bordel Pour entrer dans un Con (bis) Ougrave il alloit quecircter (bis)
-Dans un confessionnal Quecircter laumone des pauvres Les deux pie d s bull 0 0 0 bull 0 0 0 Les deux pied~ 00 bullbullbull
Dans un confessionn31 Quecircter l Qum~ne des psuvres Pour y tirer un cou (bis) Qui en SV3iegravent besoin (bis)
CHA R LOT T E ~ ---I_middot middot--middot-I_(~-~~-
~ REFRAIN Branle (ter) Charlotte Branle (bis) ca fait du bien Branle (ter) ma chegravere Branle (bis) jusquagrave demain
1 LI
Dans son boudoir9~a petite Charlotte Ma is 6 mnlheur 5 6 fatale disgrace Chaude du con f3ute dAvoir un vit LQ jouiS8311Ce lui fi tfaire un Se masturbni t avec une carotte brlJ ~~qhes~ut
Et jouissait eacutetendue sur un lit Du contre l)oUP la c9rotte 88 ossee L Et dans le con il en reste un
Ah disai t-elle~ dnns le siegraveole oUgrave morceau nous sommes
Il faut savoir se passer des garcons Un meacutedecin praticien fort habile Moipour ma partje me fous bien Fut appeleacutequilui fit bieq du mal
des hommes Ma is par malheur la carotte indo- shyAvec ardeurje me branle le cont cile
3 Ne put sortir du conduit vaginal Alors 83 main neacutetant plus paresseuse Alla it vena it c omme un p e ti t re s So rt Mesdemoisellesque le sort de Et faisait jouir la petite vicieuse Charlotte Aussi ce jeu lui plaisait-il bien Puisse longtemps Vous servir de
fort lecon Ah croyez-moil a iss~z lagrave 18
(gt nro tte Preacutefeacuter8z lui le vit dun beau
gs rcon
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L A PO M P 0 NET T E
LE COlVUVLANDEUR DU CUL-SEC LE CHOEUR middot
Aimes tu mieux boire et deacutegueuler Quon verse agrave boire agrave ce cochon lagrave Queds npas oire 8t tJemmerder On verra bien sil d~gueulera bullbullbullbullbullbull eoOOOCJO bullbullbullbull O Pendant qUil deacutegueulera
Que son ~oisin sappr~teLE BUVSUR DESIGNE Pendant quil s3ppr~tera
Oui j oime mieux boire et deacutegueuler Ch3ntons ln pomponette Que denpas boire et memmerder L3 pomponette bullbull 0 bullbull 0080 bullbull 0 bullbullbullbullbullbull La pomponette
Il fil Lera (1) 00 O bull bull 0 bullbullbullbull
Ce cochon lagrave 8 bien fileacute A son voisin de rcommencer
LES MOINES DE SAINT-BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis) Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis) Si lprieur nous engueuleon chante des chansons
REFRAIN Vo ila c qui est bon et bon~ et bon Et voilk 13 viela viela viela vie cherie ah~ oh (bis) Et voilagrave la vie que tous les moines font
Pour notre souper de bons petits oiseaux (bis) Que lon nomme oaille ortolans ou perdrenux(lis) Et la fine nndouillette et la tranche de jambon
Pour notre coucherun lit aux draps bien blancs (bis) Avec une lone de 15 agrave 107 ans (bis) A la taille bien faite et aUx nichons bien ronds
Si cest ca la vie que tous les moines font (bis) Je me ferni moine avec ma Jeanneton (bis) Le soir dans ma chsmbrette je lui chatouillerai le bouton
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DLJ 1 VI
A la porte dtun couvent(bis) 1 l Y avait un moine Ah 1 djt- la soeur da couvent QlJ as-tu moine QU1ssctfLu mmine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine agrave gueuler tant
II Ma soeur je voudraisrentrer(bis)Maisma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Entre moine entre moine Ahr dit la so e ur du couvent Entre) moine e1 ngueule pas ~n~t
0 -
III Quand le ~oine fut entr~ (bi~) Il gueulait enoore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quas-tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu~ moine agrave gueuler tant
IV Ma sbeur je voudrai manger (bis) Ma i s ma s oe ur je n 0 s e Ah dit la soeur du couvent
M8nge ma ine mange mo ine Ah dit la soeur du couvent Mange mo ine J et lffie ~-gl-1~ ule pa e tant
v Quand le moine eut mElngeacute (is)
Il guelllait encore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quasftulmoine Ah dit la soeur du couvent qUas tu moine agrave geuler tant
Ma soeur je voudrai mcoucher -(BiS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Couche toi moinecouche toi moine Ah dit la soeur du couvet Couche tbi moine et gueule pas tant
VI-I Ccedilu~nd le moine fut cou~heacute (Bis) Il geulait encore Ah dit la soeur du couvent quas tu moine quas tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas tu moine agrave geuler tant
IX Ma soeur je voudrai vous baiser (bis) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine baise moi moine Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine et ne geule pas tant
IX Quand le moime eut baiseacutee (biS)Il geulait encore Ahl dit la soeur du couvent quas tu mOinequastu moine Ah dit la soeur du couvent Qutas tu moine ~ geuler tant
X
Ma soeur jvoudrai rcommencer (biS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Va au claque va au claque Ah dit la soeur du couvent Va au claque et fous-moi le camp
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((()ltrimiddot1
Samedi dernierceacutetait jour de la paye Et le soleil brillait agrave lhorizon Javais deacuteja bu cinq agrave six bouteilles l (bis) Jcrois bien qujamais jnavais eacuteteacute aussi rond)
Vlagrave ma bourgeoise qui sramegravene sur le zinc Et mdit Cochont ta quitteacute ton turbin
Ouiqujy reacutepond je men vais au meacutetinge) (bis) A u grand meacutet inge du Meacutetropo li tain J Les proleacutetaires dun eacutelan unanime y sont venus guideacutes par la raison _ En apportant chacQD cinquante centimes l
- ) (b2s)Pour soutenir les greacutevistes de Vierzon
avait Basile le mineur indompta ble cr lme linatr qu e st l honneur du part i (1)
sont monteacutes tous deux sur une table ( bis)Pour exposer la question sur le tapis Quand tout agrave coup on entend du bastringue C middotest un quidam qui veut faire son malin Il est venu pour saboter lMeacutetinge Le grand Megravetinge du Meacutetropolitain (bis)
Jy bondis dSBUS et avant quil rouspegravete Jy enfoncais jusquaux yeux son chapeau Il est parti sans demander son reste )
( bis)En faisant signe aux gardes municipaux (
Qui profitant ~e c que j1 eacutetais brinde zingue Mont emmeneacute au poste-le plus voisin Etc e st ainsi qu c e st termineacute le Meacutetinge ( ( bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetro~olitain
Couplet patriotique Peuple Francais la Bastille est deacutetruite Mais II y a encore des prisons pour tes fils Souviens toi bieuron des geacuteants dquarants-huit l (bis) Queacutetaient plus grands que les ceusses daujourdhui)
Couplet socia 1 Car cest toujours lpauvre ouvrier quicirc trinque
Cest lui quon met en prison pour des riens C eacutetait quand megraveme un bien joli Meacutetinge ) (bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetropolitain J
-(l)-Ces deux vers sont quelques fois remplaceacutes par les suivants
y avait Maurice le mineur indomptable Le gros Jacquot quest l honneur du parti
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PalU notre coucher dans de beaux draps bien blancs (hie) Avec une pucelle de seize ~ cent sept ans (bis)A la taille bien faite Et uxnichons bien ronds Cest ccedila qUest b0n et bon et bon I(au refrain)
Si cest lagrave la vie de les beacutecistes font (biS) Je mferais beacuteciste avec ma Janeton (biS) Et l soir dbns ma chaiTILbrette Jlui chatouillerai le bouton Cest ccedila quest ~on et bon et bon t (au refrain)
ff ff tf tr tl t Air nIl eacutetait un petitLE ~mSEE DATHENES
na vire
Visitez le Ruseacutee dAthegravenes (his) Vous y verrez reacutereacute bien conserveacutes (biS) Oheacute
Trois poils du cul de ~eacutemosthegravene (bis) Et les roustons ton ion du pegravere Caton(bis) Oheacute Oh6 1
~ 1
V(Uuml)~6 Y v9lZxe z la CM et e DiLne middot Le Et
egraveoh boumiddotlheacute pqrQJle les roustons tOl1ll~
banar~e ton du pegravere
~ -Oaton (bi~) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fils dHercule Photographieacutes quand ils senculent Etle s roust ons ton ton dQ pegravere Ca ton (bis) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fills dUlysse Photographieacutees ~endant quTelles pissent Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) ~heacute Oheacute l
Vous y verrez la megraveEgravee Egeacutee Caramboleacutee par le Pireacutee Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) Oheacute Oheacute 1
Vous y verre3 le cul dDiogegravene Deacuteveacuteroleacute agrave lThydrogegravene Et les roustons ton ton du pegravere Caton (biS) Oheacute Qheacute 1
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REFRAIN Et If on ST en fout dattraper la veacuterole Et l t on sen fOLlt pourvu qu 1 on tire un coup Avec 7 avec bullbull une femme bull sous les r C8~~ses
( Tous le c9uplet S 80)1 ~ ~ur le typ~ ~ d~ premier J Vivent les eacutetudiantegravema megravere Vivent les eacutetudiants t Ils ont des femmes e t pas dt enfants $$$~~$$~$~~~~$ $$~~$$$$$$ $ $ ~~$~ Vivent les eacutetudiants l $
~ ViTent les eacutetudiantes E 11 f S aiment a voir la pine au -v-entre bull ~ RE FRAIN
$AhI les fraises et les framboisesVivent les avocats bullbull Ah le bon vin ~ue nous avons buIls ont des couilles en chocolat bull iAh les belles villageoises ViTent les sor~onnards $Nous ne les reverrons plus Ils ont des couilles en peau dTleacutez~rdr bullbull ~
3 Suy la rout e de Montmartre Vi vent le S cOlonia ux De Mont oartre agrave Faris Ils ont des couilles en peau de chameau fiJ ai rencontreacute trois filles
~Trois filles de mon paysVi -ent le 3 cara bins bull $ Ils ont des femmes qui baisent bien $ f
~Jai rencontreacute trois il1e3 $iumlrois filles de mon paysVivent les carahines
E Iles adorent vous SLlcer la pine bullbullbull nJ embra sse la plLlS jeLUle lEt la plus belle aLlssi
Vivent les artilleursbullbull Ils tirent un coup tous les quarts i Je dansITemmegraven e ma chambre
d f he ure Et je la fous sur le lit
Vivent les pharmaciensbull Ils ont l permangaha te pour rienbullbull middotEJ8t regarde entre ses jambes
1 j y vois le paradis Vivent les pharmaciennesbullbull Elles sont putains OD bien Lesbiennes Je rgarde entre les miennesl
Et j ty vois Jeacutesus ChristVivent les PCE bullbull Ils ont les couumlt~~es galvaniseacutees Jeacutesus levant la tecircte Vivent les aviateurs ~Entra d3ns le Paradis Ils legravevent la qLleue tOLlS les i dheLil8 bullbull 1 Vivent les aviatrices $11 sy brisa le cracircne Elles ont le manche e~ vle ie~ ~uisses bull i La cervelle en jaillit
rVivent les arts deacuteco bullbull ~ Pleur z pleLlre Z1 me sdame sIls ont les couilles preacutes du pinceau hLa mort de Jeacutesus Christ
Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
$11 est encore en vie
11 Ji 1l- ~ igt tt Ji Lj ~ H plusmn i ~ ~ ft 4 Ltmiddot + ~i H ~ ~~ Ji y igt4 + t~ -- Li f-- ~ ~ -t u J 1 i -+ ~ q ~ gt~ ~ c ~ H + bull -c i ~ h t H li ~ middottt 4f H if lf H- if tf rt tI if tf ri +t l I tf iftf 11 r If l i of Il i1 ri i l ~( rf rf 11 Il ~ n r( Tl ~ i+r 1 ( rf Tl ri Ii II Ir rI li II If li middot( 11 1 lmiddot Il 11 rr n 1( tf if
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1 61-__-
l 5 Lautrjour ~ la consultation Pour ceux- yen 3 d 1 si deacutegoatants- Ltoubib 9 un vieux ~ lnir antique Qui deacutesirent to ut fa ire psr derriegravere Apr~s mavoir ~arfouilleacute lco~ Jorois qucest encore plus ~pnt8nt Ma dit qUjeacutetais syphilitique 0 y 8 vraiment dqu~i se egraveatisfaire Les meacutedecinsegraveest oomme les cureacutes Mon 9nus cest comm une vraie fletr Il faut bien lescroire sur parol t Une rose ~ triple corolle t Mais vrai ccedilui l~ ma sideacutereacutee On leffeuillerait avec bonheur Jpeux pas croire qucest ccedila la ~ ~Jpeux pas croire qucest ccedilagrave la
veacuterole veacuterole
2 6 Ca commenceacute par un bouton L autr t jour vl~-1 quen bntifolant Qu6tait situeacute tout nupregraves dlautre Jai vu q~mon typ le m6m Eug~ne Un peu plUS dur uL peu middotplus rond Il 3 queacuteqLl chose aussi maintenant Vrai grain d chnIl let pour mes Fout x7Tsiment qu on ait pns d veJne
p8tnocirctres Cest comme une pastille SLlr son Comme y mchatouillait dtemps en gland
temps On grille r9 ln sucer ma parole Je mgratouillaisccedila fsait tout drocircle Cest rondcest rose et cest y mIn fait mouiller ~~en souvent charmant ~
J p eux p 3 S C ro ire qu c est Ccedil8 la J p eux po s c ro ire qu c est ccedilagrave la veacuterole veacuterole
3 Puis sur le corl s il mest venu A lhopi tal ougrave j 1 ~ui s alleacutee Toutes une floppeacutee de ptites taches On ma montr~ ~ msieur lInterne
roses Un grgrtd gars agrave lair d~lur~ Qui contrastaient sur mon corps nu Qui mo ploteacutee dun nir p1terne Avec 18 blancheur des middot8ut choses Apregraves ru nvqir liien reluqueacutee Jcrois mecircme qUceacutetait plus joli -Pourtant ~ poi1 9 je nsuis pas y en a bien qui se foutsur la fiole gn61eshyDu cold-cream et dla poudre de riz Il ne sest mecircme pas fRit br8nler Jpeux pas croire qucest ccedil~ 18 veacuterole Ah oui j vois bien qujai
11 veacuterole
4 Comme ccedilagrave spassait j Qi constateacute Que par en ba sc eacuteit21i t PD s- 02 illme Quand dans ln glace je msuis rg~rdeacutee9
On aurait dit un vrai diadegraveme N en nva~t des ronds des pointus Cest velouteacute quand on les frocircle Oa fait trentsix ptits mamlons dplusa
J peux pas croire qLl egrave est ccedil~ la veacuterole ~
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Pegravere Dupanloup dans luteacuterus (bis) Etait deacuteja si plein dastuce (bis) Que dans le vagin de sa megravere Il succedilait la pine de son pegravere
RE~RAIN Ah ah ah oui vraiment
~ Pegravers Dupanloup (bis) Ah ah ah oui vraiment
pegravere Dupanloup est deacutegoutGnt
pegravere Dupanloup dans son berceaubis) Bandait deacutejagrave comme un toreau (bis) Et sur le sein de sa nourrice lIa ttrapa 18 chaude -pisse
pegravere Dupanloup monte en Mais il avai t le systeacuteme Quagrave trois cents megravetres
Ses couilles trainaient
ballon (bis) si long (B)
dans lathmosphegravere e~core par terrecirc
pegravere Dupanloup monte en bateau (bis) La pine en lairles couilles sous
Quand survint Qui lui mordit
pegravere Dupanloup Mais il avait Quen peacutedalant La peau de ses
pegravere Dupanloup
leau une grosae grenouille la peau des 80uilles
monte en le syst egraveme
agrave perdre couilleo
dans
en chemin
veacutelo (bis) si gros
haleine se sa
de Deacutesir mettre ses couilles agrave
prit chaine
fer(bis) lair
Passant sa pine par la portieacutere 11ere va l 0eil d II gar de barr i egravere
p egravere TIupanloup agrave lOdeacuteon Se conduisit comme un cochon Avec la peau de ses roupettes Il boucha le trou des cla1inettes e
Peacutere Dupanloup agrave lOpeacutera Se conduisit comme un goujat Au troisiegraveme acte dans la coulisse Il encula le pompier de service
pegravere Dupanloup agrave Saint-Malo Confesse les feGlmes dans Lill ~
tonneau Fassant sa pine par le trou de la
bonde Il seacutecrieuVla le s8uveur du
monde
pegravere Dupanloup le 14 Juillet Alla se promener agrave dos de mulet Pour que la fecircte soit complte Il encula la pauvre becircte
Fegravere Dupanloup fait cuire des oeuf Il les remue avec sa queue Sa femme qui passe dans la cuisine Lui di t ttcochon tu brucircles ta pine
Fegravere Du~anlou~ devenu vieux Ne bandait plus quune fois sur ~ Sarrachant la pine avec rage Il sen fit une canne de voyage
pegravere Dupanloup dans son cerceuil Bandait encore comme un chevreuil Avec sa pine en arc de cercle Il essaya de soulever le couvercle
pegravere Dupanloup au paradis Voulait enculer Jeacutesus Christ Non de Dieu dit le pegraveregrave eacuteternel Prends-tu le cie l pour un borde l
pegravere Dllpanloup Icircuttout confus De ne pouvoir lui foutre au cul Branlant sa pine de part et dautr Il aspergea les dOQze apocirctres
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~ r -middotmiddot
-0--
~-~
shy _ 1_-_
Du Dieu Vulcain quand leacutepouse fri- De Jupiterf3con vraiment divine ponne Le Jon lui pueil aime le goudron shy
Va boxonner loin de son vieux sournoisDfun trou agrave merdeil fait un trou Le noir jaloux que lamour aiguillonne Tranquillement se polit le chinbis Et bat le beurre Va-t-en di t-il ~ agrave ss fo utue femelle Cette facon e st Je me fous bien de ton con chassieux Pour terminer un De mes cinq doigts je fais une pucelleApr~3 ldessert Masturbons nouscest le plaisir des
Dieuxe
2 Bah Laissons lui oe p18isir ridicule Chacun dnilleurs sailluse agrave sa focon
Moi je preacutefegrave~e la maniegravere dHer6ule Jamais sa mainne l~i servit de con Le plus seacute11e trou la plus vieille
conn s se Rien nechappait a son vit glorieux
Nous serons fiers de marchermiddot sur ses
Traces Baisonsbaisons 9 cest le plaisir d~s
Dteux
3 Du Dieu Bacchus 9 quand 20cableacute dishy
vresse Le vit mollit etsur le co~ sendort 69 et le vit se renresse 69 ferai tbanderun mort a clitoristop parfun de fromage Fait regimlier nos engins victojeux A S8 vertu nous rendons tous hommage Gamahuchons 9 cest le plaisir des
Dieux )
l
Fo u tre
Foutons
agrave pine aQ milieu de leacutetron
di vinement bonne geuleton joyeux
on senc~le en couronne
Enculons nous cest le plaisir des
5 Quant agrave Plutonle Le moinllre effort AQssi veut-il sans
r Faire sucer son peUlS arrognnDt l + lJ nOJ8revan aux 8XTf~~S8S passees Tout 18nguj sS8n~s reacutejcissons nos
yeux Et laiss3nt faire une amante emshy
preacute)SS8J Lcissons sucerc1est ~e ~10isir des
Diel1x
r o rs st e Q insi_ quI 0 11 f 8 S 8 e agrave sa
_~Iampts
MnincoTI 9 cU1 9 bouche8U plaisir t 0 D tes t bon
SUT q1elque 2u~ el q~ or ceacutelegravebre fecircte
~o u jour 2 lagrave haut uuml~ est sur du
Foutre
Di evlX
Die~ agrave large pense lu~ semble fatigant craindre la deacuteshy
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amis qu liI~~or-t- la woniegravereacute Foutonsfoutonscest le plaisir
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AIR Mal bo ro ugh sten va-t-en guerre e
Lagrave haut sur la colline Un coup able de lenfer Les 2 piedsles 2 mains dans la Les de ux piedsles deux mains dans Lagrave-haut sur la colline merde Un coup able de lenfer la merde Il y avait un gros cu (bis) Qui ava it fait un gros peacute
Un gros cureacute de campagne Un gros p~cheacute mortel Les deux pieds Les deux pieds tooe ooeo 0000
Un gro s cureacute de campagne Un gros peacutecheacute mortel Quastiquait son gros bou (bis) Et nvait trop eacuteteacute (bis)
Son gros bouquin de prieacuteres Trop eacuteteacute 8U bordel Les deux pieds 0 Les deux piEds0 0 0 bullbull 11000 bullbull 00
Son gros bouquin de prleres Trop eacuteteacute au bordel Pour entrer dans un Con (bis) Ougrave il alloit quecircter (bis)
-Dans un confessionnal Quecircter laumone des pauvres Les deux pie d s bull 0 0 0 bull 0 0 0 Les deux pied~ 00 bullbullbull
Dans un confessionn31 Quecircter l Qum~ne des psuvres Pour y tirer un cou (bis) Qui en SV3iegravent besoin (bis)
CHA R LOT T E ~ ---I_middot middot--middot-I_(~-~~-
~ REFRAIN Branle (ter) Charlotte Branle (bis) ca fait du bien Branle (ter) ma chegravere Branle (bis) jusquagrave demain
1 LI
Dans son boudoir9~a petite Charlotte Ma is 6 mnlheur 5 6 fatale disgrace Chaude du con f3ute dAvoir un vit LQ jouiS8311Ce lui fi tfaire un Se masturbni t avec une carotte brlJ ~~qhes~ut
Et jouissait eacutetendue sur un lit Du contre l)oUP la c9rotte 88 ossee L Et dans le con il en reste un
Ah disai t-elle~ dnns le siegraveole oUgrave morceau nous sommes
Il faut savoir se passer des garcons Un meacutedecin praticien fort habile Moipour ma partje me fous bien Fut appeleacutequilui fit bieq du mal
des hommes Ma is par malheur la carotte indo- shyAvec ardeurje me branle le cont cile
3 Ne put sortir du conduit vaginal Alors 83 main neacutetant plus paresseuse Alla it vena it c omme un p e ti t re s So rt Mesdemoisellesque le sort de Et faisait jouir la petite vicieuse Charlotte Aussi ce jeu lui plaisait-il bien Puisse longtemps Vous servir de
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Aimes tu mieux boire et deacutegueuler Quon verse agrave boire agrave ce cochon lagrave Queds npas oire 8t tJemmerder On verra bien sil d~gueulera bullbullbullbullbullbull eoOOOCJO bullbullbullbull O Pendant qUil deacutegueulera
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Ce cochon lagrave 8 bien fileacute A son voisin de rcommencer
LES MOINES DE SAINT-BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis) Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis) Si lprieur nous engueuleon chante des chansons
REFRAIN Vo ila c qui est bon et bon~ et bon Et voilk 13 viela viela viela vie cherie ah~ oh (bis) Et voilagrave la vie que tous les moines font
Pour notre souper de bons petits oiseaux (bis) Que lon nomme oaille ortolans ou perdrenux(lis) Et la fine nndouillette et la tranche de jambon
Pour notre coucherun lit aux draps bien blancs (bis) Avec une lone de 15 agrave 107 ans (bis) A la taille bien faite et aUx nichons bien ronds
Si cest ca la vie que tous les moines font (bis) Je me ferni moine avec ma Jeanneton (bis) Le soir dans ma chsmbrette je lui chatouillerai le bouton
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III Quand le ~oine fut entr~ (bi~) Il gueulait enoore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quas-tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu~ moine agrave gueuler tant
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M8nge ma ine mange mo ine Ah dit la soeur du couvent Mange mo ine J et lffie ~-gl-1~ ule pa e tant
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Ma soeur je voudrai mcoucher -(BiS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Couche toi moinecouche toi moine Ah dit la soeur du couvet Couche tbi moine et gueule pas tant
VI-I Ccedilu~nd le moine fut cou~heacute (Bis) Il geulait encore Ah dit la soeur du couvent quas tu moine quas tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas tu moine agrave geuler tant
IX Ma soeur je voudrai vous baiser (bis) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine baise moi moine Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine et ne geule pas tant
IX Quand le moime eut baiseacutee (biS)Il geulait encore Ahl dit la soeur du couvent quas tu mOinequastu moine Ah dit la soeur du couvent Qutas tu moine ~ geuler tant
X
Ma soeur jvoudrai rcommencer (biS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Va au claque va au claque Ah dit la soeur du couvent Va au claque et fous-moi le camp
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Samedi dernierceacutetait jour de la paye Et le soleil brillait agrave lhorizon Javais deacuteja bu cinq agrave six bouteilles l (bis) Jcrois bien qujamais jnavais eacuteteacute aussi rond)
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avait Basile le mineur indompta ble cr lme linatr qu e st l honneur du part i (1)
sont monteacutes tous deux sur une table ( bis)Pour exposer la question sur le tapis Quand tout agrave coup on entend du bastringue C middotest un quidam qui veut faire son malin Il est venu pour saboter lMeacutetinge Le grand Megravetinge du Meacutetropolitain (bis)
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( bis)En faisant signe aux gardes municipaux (
Qui profitant ~e c que j1 eacutetais brinde zingue Mont emmeneacute au poste-le plus voisin Etc e st ainsi qu c e st termineacute le Meacutetinge ( ( bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetro~olitain
Couplet patriotique Peuple Francais la Bastille est deacutetruite Mais II y a encore des prisons pour tes fils Souviens toi bieuron des geacuteants dquarants-huit l (bis) Queacutetaient plus grands que les ceusses daujourdhui)
Couplet socia 1 Car cest toujours lpauvre ouvrier quicirc trinque
Cest lui quon met en prison pour des riens C eacutetait quand megraveme un bien joli Meacutetinge ) (bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetropolitain J
-(l)-Ces deux vers sont quelques fois remplaceacutes par les suivants
y avait Maurice le mineur indomptable Le gros Jacquot quest l honneur du parti
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et
PalU notre coucher dans de beaux draps bien blancs (hie) Avec une pucelle de seize ~ cent sept ans (bis)A la taille bien faite Et uxnichons bien ronds Cest ccedila qUest b0n et bon et bon I(au refrain)
Si cest lagrave la vie de les beacutecistes font (biS) Je mferais beacuteciste avec ma Janeton (biS) Et l soir dbns ma chaiTILbrette Jlui chatouillerai le bouton Cest ccedila quest ~on et bon et bon t (au refrain)
ff ff tf tr tl t Air nIl eacutetait un petitLE ~mSEE DATHENES
na vire
Visitez le Ruseacutee dAthegravenes (his) Vous y verrez reacutereacute bien conserveacutes (biS) Oheacute
Trois poils du cul de ~eacutemosthegravene (bis) Et les roustons ton ion du pegravere Caton(bis) Oheacute Oh6 1
~ 1
V(Uuml)~6 Y v9lZxe z la CM et e DiLne middot Le Et
egraveoh boumiddotlheacute pqrQJle les roustons tOl1ll~
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~ -Oaton (bi~) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fils dHercule Photographieacutes quand ils senculent Etle s roust ons ton ton dQ pegravere Ca ton (bis) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fills dUlysse Photographieacutees ~endant quTelles pissent Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) ~heacute Oheacute l
Vous y verrez la megraveEgravee Egeacutee Caramboleacutee par le Pireacutee Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) Oheacute Oheacute 1
Vous y verre3 le cul dDiogegravene Deacuteveacuteroleacute agrave lThydrogegravene Et les roustons ton ton du pegravere Caton (biS) Oheacute Qheacute 1
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REFRAIN Et If on ST en fout dattraper la veacuterole Et l t on sen fOLlt pourvu qu 1 on tire un coup Avec 7 avec bullbull une femme bull sous les r C8~~ses
( Tous le c9uplet S 80)1 ~ ~ur le typ~ ~ d~ premier J Vivent les eacutetudiantegravema megravere Vivent les eacutetudiants t Ils ont des femmes e t pas dt enfants $$$~~$$~$~~~~$ $$~~$$$$$$ $ $ ~~$~ Vivent les eacutetudiants l $
~ ViTent les eacutetudiantes E 11 f S aiment a voir la pine au -v-entre bull ~ RE FRAIN
$AhI les fraises et les framboisesVivent les avocats bullbull Ah le bon vin ~ue nous avons buIls ont des couilles en chocolat bull iAh les belles villageoises ViTent les sor~onnards $Nous ne les reverrons plus Ils ont des couilles en peau dTleacutez~rdr bullbull ~
3 Suy la rout e de Montmartre Vi vent le S cOlonia ux De Mont oartre agrave Faris Ils ont des couilles en peau de chameau fiJ ai rencontreacute trois filles
~Trois filles de mon paysVi -ent le 3 cara bins bull $ Ils ont des femmes qui baisent bien $ f
~Jai rencontreacute trois il1e3 $iumlrois filles de mon paysVivent les carahines
E Iles adorent vous SLlcer la pine bullbullbull nJ embra sse la plLlS jeLUle lEt la plus belle aLlssi
Vivent les artilleursbullbull Ils tirent un coup tous les quarts i Je dansITemmegraven e ma chambre
d f he ure Et je la fous sur le lit
Vivent les pharmaciensbull Ils ont l permangaha te pour rienbullbull middotEJ8t regarde entre ses jambes
1 j y vois le paradis Vivent les pharmaciennesbullbull Elles sont putains OD bien Lesbiennes Je rgarde entre les miennesl
Et j ty vois Jeacutesus ChristVivent les PCE bullbull Ils ont les couumlt~~es galvaniseacutees Jeacutesus levant la tecircte Vivent les aviateurs ~Entra d3ns le Paradis Ils legravevent la qLleue tOLlS les i dheLil8 bullbull 1 Vivent les aviatrices $11 sy brisa le cracircne Elles ont le manche e~ vle ie~ ~uisses bull i La cervelle en jaillit
rVivent les arts deacuteco bullbull ~ Pleur z pleLlre Z1 me sdame sIls ont les couilles preacutes du pinceau hLa mort de Jeacutesus Christ
Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
$11 est encore en vie
11 Ji 1l- ~ igt tt Ji Lj ~ H plusmn i ~ ~ ft 4 Ltmiddot + ~i H ~ ~~ Ji y igt4 + t~ -- Li f-- ~ ~ -t u J 1 i -+ ~ q ~ gt~ ~ c ~ H + bull -c i ~ h t H li ~ middottt 4f H if lf H- if tf rt tI if tf ri +t l I tf iftf 11 r If l i of Il i1 ri i l ~( rf rf 11 Il ~ n r( Tl ~ i+r 1 ( rf Tl ri Ii II Ir rI li II If li middot( 11 1 lmiddot Il 11 rr n 1( tf if
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Pegravere Dupanloup dans luteacuterus (bis) Etait deacuteja si plein dastuce (bis) Que dans le vagin de sa megravere Il succedilait la pine de son pegravere
RE~RAIN Ah ah ah oui vraiment
~ Pegravers Dupanloup (bis) Ah ah ah oui vraiment
pegravere Dupanloup est deacutegoutGnt
pegravere Dupanloup dans son berceaubis) Bandait deacutejagrave comme un toreau (bis) Et sur le sein de sa nourrice lIa ttrapa 18 chaude -pisse
pegravere Dupanloup monte en Mais il avai t le systeacuteme Quagrave trois cents megravetres
Ses couilles trainaient
ballon (bis) si long (B)
dans lathmosphegravere e~core par terrecirc
pegravere Dupanloup monte en bateau (bis) La pine en lairles couilles sous
Quand survint Qui lui mordit
pegravere Dupanloup Mais il avait Quen peacutedalant La peau de ses
pegravere Dupanloup
leau une grosae grenouille la peau des 80uilles
monte en le syst egraveme
agrave perdre couilleo
dans
en chemin
veacutelo (bis) si gros
haleine se sa
de Deacutesir mettre ses couilles agrave
prit chaine
fer(bis) lair
Passant sa pine par la portieacutere 11ere va l 0eil d II gar de barr i egravere
p egravere TIupanloup agrave lOdeacuteon Se conduisit comme un cochon Avec la peau de ses roupettes Il boucha le trou des cla1inettes e
Peacutere Dupanloup agrave lOpeacutera Se conduisit comme un goujat Au troisiegraveme acte dans la coulisse Il encula le pompier de service
pegravere Dupanloup agrave Saint-Malo Confesse les feGlmes dans Lill ~
tonneau Fassant sa pine par le trou de la
bonde Il seacutecrieuVla le s8uveur du
monde
pegravere Dupanloup le 14 Juillet Alla se promener agrave dos de mulet Pour que la fecircte soit complte Il encula la pauvre becircte
Fegravere Dupanloup fait cuire des oeuf Il les remue avec sa queue Sa femme qui passe dans la cuisine Lui di t ttcochon tu brucircles ta pine
Fegravere Du~anlou~ devenu vieux Ne bandait plus quune fois sur ~ Sarrachant la pine avec rage Il sen fit une canne de voyage
pegravere Dupanloup dans son cerceuil Bandait encore comme un chevreuil Avec sa pine en arc de cercle Il essaya de soulever le couvercle
pegravere Dupanloup au paradis Voulait enculer Jeacutesus Christ Non de Dieu dit le pegraveregrave eacuteternel Prends-tu le cie l pour un borde l
pegravere Dllpanloup Icircuttout confus De ne pouvoir lui foutre au cul Branlant sa pine de part et dautr Il aspergea les dOQze apocirctres
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shy _ 1_-_
Du Dieu Vulcain quand leacutepouse fri- De Jupiterf3con vraiment divine ponne Le Jon lui pueil aime le goudron shy
Va boxonner loin de son vieux sournoisDfun trou agrave merdeil fait un trou Le noir jaloux que lamour aiguillonne Tranquillement se polit le chinbis Et bat le beurre Va-t-en di t-il ~ agrave ss fo utue femelle Cette facon e st Je me fous bien de ton con chassieux Pour terminer un De mes cinq doigts je fais une pucelleApr~3 ldessert Masturbons nouscest le plaisir des
Dieuxe
2 Bah Laissons lui oe p18isir ridicule Chacun dnilleurs sailluse agrave sa focon
Moi je preacutefegrave~e la maniegravere dHer6ule Jamais sa mainne l~i servit de con Le plus seacute11e trou la plus vieille
conn s se Rien nechappait a son vit glorieux
Nous serons fiers de marchermiddot sur ses
Traces Baisonsbaisons 9 cest le plaisir d~s
Dteux
3 Du Dieu Bacchus 9 quand 20cableacute dishy
vresse Le vit mollit etsur le co~ sendort 69 et le vit se renresse 69 ferai tbanderun mort a clitoristop parfun de fromage Fait regimlier nos engins victojeux A S8 vertu nous rendons tous hommage Gamahuchons 9 cest le plaisir des
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Foutons
agrave pine aQ milieu de leacutetron
di vinement bonne geuleton joyeux
on senc~le en couronne
Enculons nous cest le plaisir des
5 Quant agrave Plutonle Le moinllre effort AQssi veut-il sans
r Faire sucer son peUlS arrognnDt l + lJ nOJ8revan aux 8XTf~~S8S passees Tout 18nguj sS8n~s reacutejcissons nos
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Die~ agrave large pense lu~ semble fatigant craindre la deacuteshy
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AIR Mal bo ro ugh sten va-t-en guerre e
Lagrave haut sur la colline Un coup able de lenfer Les 2 piedsles 2 mains dans la Les de ux piedsles deux mains dans Lagrave-haut sur la colline merde Un coup able de lenfer la merde Il y avait un gros cu (bis) Qui ava it fait un gros peacute
Un gros cureacute de campagne Un gros p~cheacute mortel Les deux pieds Les deux pieds tooe ooeo 0000
Un gro s cureacute de campagne Un gros peacutecheacute mortel Quastiquait son gros bou (bis) Et nvait trop eacuteteacute (bis)
Son gros bouquin de prieacuteres Trop eacuteteacute 8U bordel Les deux pieds 0 Les deux piEds0 0 0 bullbull 11000 bullbull 00
Son gros bouquin de prleres Trop eacuteteacute au bordel Pour entrer dans un Con (bis) Ougrave il alloit quecircter (bis)
-Dans un confessionnal Quecircter laumone des pauvres Les deux pie d s bull 0 0 0 bull 0 0 0 Les deux pied~ 00 bullbullbull
Dans un confessionn31 Quecircter l Qum~ne des psuvres Pour y tirer un cou (bis) Qui en SV3iegravent besoin (bis)
CHA R LOT T E ~ ---I_middot middot--middot-I_(~-~~-
~ REFRAIN Branle (ter) Charlotte Branle (bis) ca fait du bien Branle (ter) ma chegravere Branle (bis) jusquagrave demain
1 LI
Dans son boudoir9~a petite Charlotte Ma is 6 mnlheur 5 6 fatale disgrace Chaude du con f3ute dAvoir un vit LQ jouiS8311Ce lui fi tfaire un Se masturbni t avec une carotte brlJ ~~qhes~ut
Et jouissait eacutetendue sur un lit Du contre l)oUP la c9rotte 88 ossee L Et dans le con il en reste un
Ah disai t-elle~ dnns le siegraveole oUgrave morceau nous sommes
Il faut savoir se passer des garcons Un meacutedecin praticien fort habile Moipour ma partje me fous bien Fut appeleacutequilui fit bieq du mal
des hommes Ma is par malheur la carotte indo- shyAvec ardeurje me branle le cont cile
3 Ne put sortir du conduit vaginal Alors 83 main neacutetant plus paresseuse Alla it vena it c omme un p e ti t re s So rt Mesdemoisellesque le sort de Et faisait jouir la petite vicieuse Charlotte Aussi ce jeu lui plaisait-il bien Puisse longtemps Vous servir de
fort lecon Ah croyez-moil a iss~z lagrave 18
(gt nro tte Preacutefeacuter8z lui le vit dun beau
gs rcon
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L A PO M P 0 NET T E
LE COlVUVLANDEUR DU CUL-SEC LE CHOEUR middot
Aimes tu mieux boire et deacutegueuler Quon verse agrave boire agrave ce cochon lagrave Queds npas oire 8t tJemmerder On verra bien sil d~gueulera bullbullbullbullbullbull eoOOOCJO bullbullbullbull O Pendant qUil deacutegueulera
Que son ~oisin sappr~teLE BUVSUR DESIGNE Pendant quil s3ppr~tera
Oui j oime mieux boire et deacutegueuler Ch3ntons ln pomponette Que denpas boire et memmerder L3 pomponette bullbull 0 bullbull 0080 bullbull 0 bullbullbullbullbullbull La pomponette
Il fil Lera (1) 00 O bull bull 0 bullbullbullbull
Ce cochon lagrave 8 bien fileacute A son voisin de rcommencer
LES MOINES DE SAINT-BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis) Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis) Si lprieur nous engueuleon chante des chansons
REFRAIN Vo ila c qui est bon et bon~ et bon Et voilk 13 viela viela viela vie cherie ah~ oh (bis) Et voilagrave la vie que tous les moines font
Pour notre souper de bons petits oiseaux (bis) Que lon nomme oaille ortolans ou perdrenux(lis) Et la fine nndouillette et la tranche de jambon
Pour notre coucherun lit aux draps bien blancs (bis) Avec une lone de 15 agrave 107 ans (bis) A la taille bien faite et aUx nichons bien ronds
Si cest ca la vie que tous les moines font (bis) Je me ferni moine avec ma Jeanneton (bis) Le soir dans ma chsmbrette je lui chatouillerai le bouton
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DLJ 1 VI
A la porte dtun couvent(bis) 1 l Y avait un moine Ah 1 djt- la soeur da couvent QlJ as-tu moine QU1ssctfLu mmine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine agrave gueuler tant
II Ma soeur je voudraisrentrer(bis)Maisma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Entre moine entre moine Ahr dit la so e ur du couvent Entre) moine e1 ngueule pas ~n~t
0 -
III Quand le ~oine fut entr~ (bi~) Il gueulait enoore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quas-tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu~ moine agrave gueuler tant
IV Ma sbeur je voudrai manger (bis) Ma i s ma s oe ur je n 0 s e Ah dit la soeur du couvent
M8nge ma ine mange mo ine Ah dit la soeur du couvent Mange mo ine J et lffie ~-gl-1~ ule pa e tant
v Quand le moine eut mElngeacute (is)
Il guelllait encore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quasftulmoine Ah dit la soeur du couvent qUas tu moine agrave geuler tant
Ma soeur je voudrai mcoucher -(BiS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Couche toi moinecouche toi moine Ah dit la soeur du couvet Couche tbi moine et gueule pas tant
VI-I Ccedilu~nd le moine fut cou~heacute (Bis) Il geulait encore Ah dit la soeur du couvent quas tu moine quas tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas tu moine agrave geuler tant
IX Ma soeur je voudrai vous baiser (bis) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine baise moi moine Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine et ne geule pas tant
IX Quand le moime eut baiseacutee (biS)Il geulait encore Ahl dit la soeur du couvent quas tu mOinequastu moine Ah dit la soeur du couvent Qutas tu moine ~ geuler tant
X
Ma soeur jvoudrai rcommencer (biS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Va au claque va au claque Ah dit la soeur du couvent Va au claque et fous-moi le camp
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((()ltrimiddot1
Samedi dernierceacutetait jour de la paye Et le soleil brillait agrave lhorizon Javais deacuteja bu cinq agrave six bouteilles l (bis) Jcrois bien qujamais jnavais eacuteteacute aussi rond)
Vlagrave ma bourgeoise qui sramegravene sur le zinc Et mdit Cochont ta quitteacute ton turbin
Ouiqujy reacutepond je men vais au meacutetinge) (bis) A u grand meacutet inge du Meacutetropo li tain J Les proleacutetaires dun eacutelan unanime y sont venus guideacutes par la raison _ En apportant chacQD cinquante centimes l
- ) (b2s)Pour soutenir les greacutevistes de Vierzon
avait Basile le mineur indompta ble cr lme linatr qu e st l honneur du part i (1)
sont monteacutes tous deux sur une table ( bis)Pour exposer la question sur le tapis Quand tout agrave coup on entend du bastringue C middotest un quidam qui veut faire son malin Il est venu pour saboter lMeacutetinge Le grand Megravetinge du Meacutetropolitain (bis)
Jy bondis dSBUS et avant quil rouspegravete Jy enfoncais jusquaux yeux son chapeau Il est parti sans demander son reste )
( bis)En faisant signe aux gardes municipaux (
Qui profitant ~e c que j1 eacutetais brinde zingue Mont emmeneacute au poste-le plus voisin Etc e st ainsi qu c e st termineacute le Meacutetinge ( ( bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetro~olitain
Couplet patriotique Peuple Francais la Bastille est deacutetruite Mais II y a encore des prisons pour tes fils Souviens toi bieuron des geacuteants dquarants-huit l (bis) Queacutetaient plus grands que les ceusses daujourdhui)
Couplet socia 1 Car cest toujours lpauvre ouvrier quicirc trinque
Cest lui quon met en prison pour des riens C eacutetait quand megraveme un bien joli Meacutetinge ) (bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetropolitain J
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Si cest lagrave la vie de les beacutecistes font (biS) Je mferais beacuteciste avec ma Janeton (biS) Et l soir dbns ma chaiTILbrette Jlui chatouillerai le bouton Cest ccedila quest ~on et bon et bon t (au refrain)
ff ff tf tr tl t Air nIl eacutetait un petitLE ~mSEE DATHENES
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Visitez le Ruseacutee dAthegravenes (his) Vous y verrez reacutereacute bien conserveacutes (biS) Oheacute
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Un gros cureacute de campagne Un gros p~cheacute mortel Les deux pieds Les deux pieds tooe ooeo 0000
Un gro s cureacute de campagne Un gros peacutecheacute mortel Quastiquait son gros bou (bis) Et nvait trop eacuteteacute (bis)
Son gros bouquin de prieacuteres Trop eacuteteacute 8U bordel Les deux pieds 0 Les deux piEds0 0 0 bullbull 11000 bullbull 00
Son gros bouquin de prleres Trop eacuteteacute au bordel Pour entrer dans un Con (bis) Ougrave il alloit quecircter (bis)
-Dans un confessionnal Quecircter laumone des pauvres Les deux pie d s bull 0 0 0 bull 0 0 0 Les deux pied~ 00 bullbullbull
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~ REFRAIN Branle (ter) Charlotte Branle (bis) ca fait du bien Branle (ter) ma chegravere Branle (bis) jusquagrave demain
1 LI
Dans son boudoir9~a petite Charlotte Ma is 6 mnlheur 5 6 fatale disgrace Chaude du con f3ute dAvoir un vit LQ jouiS8311Ce lui fi tfaire un Se masturbni t avec une carotte brlJ ~~qhes~ut
Et jouissait eacutetendue sur un lit Du contre l)oUP la c9rotte 88 ossee L Et dans le con il en reste un
Ah disai t-elle~ dnns le siegraveole oUgrave morceau nous sommes
Il faut savoir se passer des garcons Un meacutedecin praticien fort habile Moipour ma partje me fous bien Fut appeleacutequilui fit bieq du mal
des hommes Ma is par malheur la carotte indo- shyAvec ardeurje me branle le cont cile
3 Ne put sortir du conduit vaginal Alors 83 main neacutetant plus paresseuse Alla it vena it c omme un p e ti t re s So rt Mesdemoisellesque le sort de Et faisait jouir la petite vicieuse Charlotte Aussi ce jeu lui plaisait-il bien Puisse longtemps Vous servir de
fort lecon Ah croyez-moil a iss~z lagrave 18
(gt nro tte Preacutefeacuter8z lui le vit dun beau
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et
L A PO M P 0 NET T E
LE COlVUVLANDEUR DU CUL-SEC LE CHOEUR middot
Aimes tu mieux boire et deacutegueuler Quon verse agrave boire agrave ce cochon lagrave Queds npas oire 8t tJemmerder On verra bien sil d~gueulera bullbullbullbullbullbull eoOOOCJO bullbullbullbull O Pendant qUil deacutegueulera
Que son ~oisin sappr~teLE BUVSUR DESIGNE Pendant quil s3ppr~tera
Oui j oime mieux boire et deacutegueuler Ch3ntons ln pomponette Que denpas boire et memmerder L3 pomponette bullbull 0 bullbull 0080 bullbull 0 bullbullbullbullbullbull La pomponette
Il fil Lera (1) 00 O bull bull 0 bullbullbullbull
Ce cochon lagrave 8 bien fileacute A son voisin de rcommencer
LES MOINES DE SAINT-BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis) Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis) Si lprieur nous engueuleon chante des chansons
REFRAIN Vo ila c qui est bon et bon~ et bon Et voilk 13 viela viela viela vie cherie ah~ oh (bis) Et voilagrave la vie que tous les moines font
Pour notre souper de bons petits oiseaux (bis) Que lon nomme oaille ortolans ou perdrenux(lis) Et la fine nndouillette et la tranche de jambon
Pour notre coucherun lit aux draps bien blancs (bis) Avec une lone de 15 agrave 107 ans (bis) A la taille bien faite et aUx nichons bien ronds
Si cest ca la vie que tous les moines font (bis) Je me ferni moine avec ma Jeanneton (bis) Le soir dans ma chsmbrette je lui chatouillerai le bouton
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DLJ 1 VI
A la porte dtun couvent(bis) 1 l Y avait un moine Ah 1 djt- la soeur da couvent QlJ as-tu moine QU1ssctfLu mmine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine agrave gueuler tant
II Ma soeur je voudraisrentrer(bis)Maisma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Entre moine entre moine Ahr dit la so e ur du couvent Entre) moine e1 ngueule pas ~n~t
0 -
III Quand le ~oine fut entr~ (bi~) Il gueulait enoore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quas-tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu~ moine agrave gueuler tant
IV Ma sbeur je voudrai manger (bis) Ma i s ma s oe ur je n 0 s e Ah dit la soeur du couvent
M8nge ma ine mange mo ine Ah dit la soeur du couvent Mange mo ine J et lffie ~-gl-1~ ule pa e tant
v Quand le moine eut mElngeacute (is)
Il guelllait encore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quasftulmoine Ah dit la soeur du couvent qUas tu moine agrave geuler tant
Ma soeur je voudrai mcoucher -(BiS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Couche toi moinecouche toi moine Ah dit la soeur du couvet Couche tbi moine et gueule pas tant
VI-I Ccedilu~nd le moine fut cou~heacute (Bis) Il geulait encore Ah dit la soeur du couvent quas tu moine quas tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas tu moine agrave geuler tant
IX Ma soeur je voudrai vous baiser (bis) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine baise moi moine Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine et ne geule pas tant
IX Quand le moime eut baiseacutee (biS)Il geulait encore Ahl dit la soeur du couvent quas tu mOinequastu moine Ah dit la soeur du couvent Qutas tu moine ~ geuler tant
X
Ma soeur jvoudrai rcommencer (biS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Va au claque va au claque Ah dit la soeur du couvent Va au claque et fous-moi le camp
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((()ltrimiddot1
Samedi dernierceacutetait jour de la paye Et le soleil brillait agrave lhorizon Javais deacuteja bu cinq agrave six bouteilles l (bis) Jcrois bien qujamais jnavais eacuteteacute aussi rond)
Vlagrave ma bourgeoise qui sramegravene sur le zinc Et mdit Cochont ta quitteacute ton turbin
Ouiqujy reacutepond je men vais au meacutetinge) (bis) A u grand meacutet inge du Meacutetropo li tain J Les proleacutetaires dun eacutelan unanime y sont venus guideacutes par la raison _ En apportant chacQD cinquante centimes l
- ) (b2s)Pour soutenir les greacutevistes de Vierzon
avait Basile le mineur indompta ble cr lme linatr qu e st l honneur du part i (1)
sont monteacutes tous deux sur une table ( bis)Pour exposer la question sur le tapis Quand tout agrave coup on entend du bastringue C middotest un quidam qui veut faire son malin Il est venu pour saboter lMeacutetinge Le grand Megravetinge du Meacutetropolitain (bis)
Jy bondis dSBUS et avant quil rouspegravete Jy enfoncais jusquaux yeux son chapeau Il est parti sans demander son reste )
( bis)En faisant signe aux gardes municipaux (
Qui profitant ~e c que j1 eacutetais brinde zingue Mont emmeneacute au poste-le plus voisin Etc e st ainsi qu c e st termineacute le Meacutetinge ( ( bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetro~olitain
Couplet patriotique Peuple Francais la Bastille est deacutetruite Mais II y a encore des prisons pour tes fils Souviens toi bieuron des geacuteants dquarants-huit l (bis) Queacutetaient plus grands que les ceusses daujourdhui)
Couplet socia 1 Car cest toujours lpauvre ouvrier quicirc trinque
Cest lui quon met en prison pour des riens C eacutetait quand megraveme un bien joli Meacutetinge ) (bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetropolitain J
-(l)-Ces deux vers sont quelques fois remplaceacutes par les suivants
y avait Maurice le mineur indomptable Le gros Jacquot quest l honneur du parti
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PalU notre coucher dans de beaux draps bien blancs (hie) Avec une pucelle de seize ~ cent sept ans (bis)A la taille bien faite Et uxnichons bien ronds Cest ccedila qUest b0n et bon et bon I(au refrain)
Si cest lagrave la vie de les beacutecistes font (biS) Je mferais beacuteciste avec ma Janeton (biS) Et l soir dbns ma chaiTILbrette Jlui chatouillerai le bouton Cest ccedila quest ~on et bon et bon t (au refrain)
ff ff tf tr tl t Air nIl eacutetait un petitLE ~mSEE DATHENES
na vire
Visitez le Ruseacutee dAthegravenes (his) Vous y verrez reacutereacute bien conserveacutes (biS) Oheacute
Trois poils du cul de ~eacutemosthegravene (bis) Et les roustons ton ion du pegravere Caton(bis) Oheacute Oh6 1
~ 1
V(Uuml)~6 Y v9lZxe z la CM et e DiLne middot Le Et
egraveoh boumiddotlheacute pqrQJle les roustons tOl1ll~
banar~e ton du pegravere
~ -Oaton (bi~) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fils dHercule Photographieacutes quand ils senculent Etle s roust ons ton ton dQ pegravere Ca ton (bis) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fills dUlysse Photographieacutees ~endant quTelles pissent Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) ~heacute Oheacute l
Vous y verrez la megraveEgravee Egeacutee Caramboleacutee par le Pireacutee Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) Oheacute Oheacute 1
Vous y verre3 le cul dDiogegravene Deacuteveacuteroleacute agrave lThydrogegravene Et les roustons ton ton du pegravere Caton (biS) Oheacute Qheacute 1
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REFRAIN Et If on ST en fout dattraper la veacuterole Et l t on sen fOLlt pourvu qu 1 on tire un coup Avec 7 avec bullbull une femme bull sous les r C8~~ses
( Tous le c9uplet S 80)1 ~ ~ur le typ~ ~ d~ premier J Vivent les eacutetudiantegravema megravere Vivent les eacutetudiants t Ils ont des femmes e t pas dt enfants $$$~~$$~$~~~~$ $$~~$$$$$$ $ $ ~~$~ Vivent les eacutetudiants l $
~ ViTent les eacutetudiantes E 11 f S aiment a voir la pine au -v-entre bull ~ RE FRAIN
$AhI les fraises et les framboisesVivent les avocats bullbull Ah le bon vin ~ue nous avons buIls ont des couilles en chocolat bull iAh les belles villageoises ViTent les sor~onnards $Nous ne les reverrons plus Ils ont des couilles en peau dTleacutez~rdr bullbull ~
3 Suy la rout e de Montmartre Vi vent le S cOlonia ux De Mont oartre agrave Faris Ils ont des couilles en peau de chameau fiJ ai rencontreacute trois filles
~Trois filles de mon paysVi -ent le 3 cara bins bull $ Ils ont des femmes qui baisent bien $ f
~Jai rencontreacute trois il1e3 $iumlrois filles de mon paysVivent les carahines
E Iles adorent vous SLlcer la pine bullbullbull nJ embra sse la plLlS jeLUle lEt la plus belle aLlssi
Vivent les artilleursbullbull Ils tirent un coup tous les quarts i Je dansITemmegraven e ma chambre
d f he ure Et je la fous sur le lit
Vivent les pharmaciensbull Ils ont l permangaha te pour rienbullbull middotEJ8t regarde entre ses jambes
1 j y vois le paradis Vivent les pharmaciennesbullbull Elles sont putains OD bien Lesbiennes Je rgarde entre les miennesl
Et j ty vois Jeacutesus ChristVivent les PCE bullbull Ils ont les couumlt~~es galvaniseacutees Jeacutesus levant la tecircte Vivent les aviateurs ~Entra d3ns le Paradis Ils legravevent la qLleue tOLlS les i dheLil8 bullbull 1 Vivent les aviatrices $11 sy brisa le cracircne Elles ont le manche e~ vle ie~ ~uisses bull i La cervelle en jaillit
rVivent les arts deacuteco bullbull ~ Pleur z pleLlre Z1 me sdame sIls ont les couilles preacutes du pinceau hLa mort de Jeacutesus Christ
Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
$11 est encore en vie
11 Ji 1l- ~ igt tt Ji Lj ~ H plusmn i ~ ~ ft 4 Ltmiddot + ~i H ~ ~~ Ji y igt4 + t~ -- Li f-- ~ ~ -t u J 1 i -+ ~ q ~ gt~ ~ c ~ H + bull -c i ~ h t H li ~ middottt 4f H if lf H- if tf rt tI if tf ri +t l I tf iftf 11 r If l i of Il i1 ri i l ~( rf rf 11 Il ~ n r( Tl ~ i+r 1 ( rf Tl ri Ii II Ir rI li II If li middot( 11 1 lmiddot Il 11 rr n 1( tf if
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AIR Mal bo ro ugh sten va-t-en guerre e
Lagrave haut sur la colline Un coup able de lenfer Les 2 piedsles 2 mains dans la Les de ux piedsles deux mains dans Lagrave-haut sur la colline merde Un coup able de lenfer la merde Il y avait un gros cu (bis) Qui ava it fait un gros peacute
Un gros cureacute de campagne Un gros p~cheacute mortel Les deux pieds Les deux pieds tooe ooeo 0000
Un gro s cureacute de campagne Un gros peacutecheacute mortel Quastiquait son gros bou (bis) Et nvait trop eacuteteacute (bis)
Son gros bouquin de prieacuteres Trop eacuteteacute 8U bordel Les deux pieds 0 Les deux piEds0 0 0 bullbull 11000 bullbull 00
Son gros bouquin de prleres Trop eacuteteacute au bordel Pour entrer dans un Con (bis) Ougrave il alloit quecircter (bis)
-Dans un confessionnal Quecircter laumone des pauvres Les deux pie d s bull 0 0 0 bull 0 0 0 Les deux pied~ 00 bullbullbull
Dans un confessionn31 Quecircter l Qum~ne des psuvres Pour y tirer un cou (bis) Qui en SV3iegravent besoin (bis)
CHA R LOT T E ~ ---I_middot middot--middot-I_(~-~~-
~ REFRAIN Branle (ter) Charlotte Branle (bis) ca fait du bien Branle (ter) ma chegravere Branle (bis) jusquagrave demain
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des hommes Ma is par malheur la carotte indo- shyAvec ardeurje me branle le cont cile
3 Ne put sortir du conduit vaginal Alors 83 main neacutetant plus paresseuse Alla it vena it c omme un p e ti t re s So rt Mesdemoisellesque le sort de Et faisait jouir la petite vicieuse Charlotte Aussi ce jeu lui plaisait-il bien Puisse longtemps Vous servir de
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LE COlVUVLANDEUR DU CUL-SEC LE CHOEUR middot
Aimes tu mieux boire et deacutegueuler Quon verse agrave boire agrave ce cochon lagrave Queds npas oire 8t tJemmerder On verra bien sil d~gueulera bullbullbullbullbullbull eoOOOCJO bullbullbullbull O Pendant qUil deacutegueulera
Que son ~oisin sappr~teLE BUVSUR DESIGNE Pendant quil s3ppr~tera
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Il fil Lera (1) 00 O bull bull 0 bullbullbullbull
Ce cochon lagrave 8 bien fileacute A son voisin de rcommencer
LES MOINES DE SAINT-BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis) Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis) Si lprieur nous engueuleon chante des chansons
REFRAIN Vo ila c qui est bon et bon~ et bon Et voilk 13 viela viela viela vie cherie ah~ oh (bis) Et voilagrave la vie que tous les moines font
Pour notre souper de bons petits oiseaux (bis) Que lon nomme oaille ortolans ou perdrenux(lis) Et la fine nndouillette et la tranche de jambon
Pour notre coucherun lit aux draps bien blancs (bis) Avec une lone de 15 agrave 107 ans (bis) A la taille bien faite et aUx nichons bien ronds
Si cest ca la vie que tous les moines font (bis) Je me ferni moine avec ma Jeanneton (bis) Le soir dans ma chsmbrette je lui chatouillerai le bouton
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II Ma soeur je voudraisrentrer(bis)Maisma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Entre moine entre moine Ahr dit la so e ur du couvent Entre) moine e1 ngueule pas ~n~t
0 -
III Quand le ~oine fut entr~ (bi~) Il gueulait enoore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quas-tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu~ moine agrave gueuler tant
IV Ma sbeur je voudrai manger (bis) Ma i s ma s oe ur je n 0 s e Ah dit la soeur du couvent
M8nge ma ine mange mo ine Ah dit la soeur du couvent Mange mo ine J et lffie ~-gl-1~ ule pa e tant
v Quand le moine eut mElngeacute (is)
Il guelllait encore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quasftulmoine Ah dit la soeur du couvent qUas tu moine agrave geuler tant
Ma soeur je voudrai mcoucher -(BiS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Couche toi moinecouche toi moine Ah dit la soeur du couvet Couche tbi moine et gueule pas tant
VI-I Ccedilu~nd le moine fut cou~heacute (Bis) Il geulait encore Ah dit la soeur du couvent quas tu moine quas tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas tu moine agrave geuler tant
IX Ma soeur je voudrai vous baiser (bis) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine baise moi moine Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine et ne geule pas tant
IX Quand le moime eut baiseacutee (biS)Il geulait encore Ahl dit la soeur du couvent quas tu mOinequastu moine Ah dit la soeur du couvent Qutas tu moine ~ geuler tant
X
Ma soeur jvoudrai rcommencer (biS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Va au claque va au claque Ah dit la soeur du couvent Va au claque et fous-moi le camp
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~ ViTent les eacutetudiantes E 11 f S aiment a voir la pine au -v-entre bull ~ RE FRAIN
$AhI les fraises et les framboisesVivent les avocats bullbull Ah le bon vin ~ue nous avons buIls ont des couilles en chocolat bull iAh les belles villageoises ViTent les sor~onnards $Nous ne les reverrons plus Ils ont des couilles en peau dTleacutez~rdr bullbull ~
3 Suy la rout e de Montmartre Vi vent le S cOlonia ux De Mont oartre agrave Faris Ils ont des couilles en peau de chameau fiJ ai rencontreacute trois filles
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Et j ty vois Jeacutesus ChristVivent les PCE bullbull Ils ont les couumlt~~es galvaniseacutees Jeacutesus levant la tecircte Vivent les aviateurs ~Entra d3ns le Paradis Ils legravevent la qLleue tOLlS les i dheLil8 bullbull 1 Vivent les aviatrices $11 sy brisa le cracircne Elles ont le manche e~ vle ie~ ~uisses bull i La cervelle en jaillit
rVivent les arts deacuteco bullbull ~ Pleur z pleLlre Z1 me sdame sIls ont les couilles preacutes du pinceau hLa mort de Jeacutesus Christ
Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
$11 est encore en vie
11 Ji 1l- ~ igt tt Ji Lj ~ H plusmn i ~ ~ ft 4 Ltmiddot + ~i H ~ ~~ Ji y igt4 + t~ -- Li f-- ~ ~ -t u J 1 i -+ ~ q ~ gt~ ~ c ~ H + bull -c i ~ h t H li ~ middottt 4f H if lf H- if tf rt tI if tf ri +t l I tf iftf 11 r If l i of Il i1 ri i l ~( rf rf 11 Il ~ n r( Tl ~ i+r 1 ( rf Tl ri Ii II Ir rI li II If li middot( 11 1 lmiddot Il 11 rr n 1( tf if
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LES MOINES DE SAINT-BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis) Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis) Si lprieur nous engueuleon chante des chansons
REFRAIN Vo ila c qui est bon et bon~ et bon Et voilk 13 viela viela viela vie cherie ah~ oh (bis) Et voilagrave la vie que tous les moines font
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0 -
III Quand le ~oine fut entr~ (bi~) Il gueulait enoore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quas-tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu~ moine agrave gueuler tant
IV Ma sbeur je voudrai manger (bis) Ma i s ma s oe ur je n 0 s e Ah dit la soeur du couvent
M8nge ma ine mange mo ine Ah dit la soeur du couvent Mange mo ine J et lffie ~-gl-1~ ule pa e tant
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Il guelllait encore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quasftulmoine Ah dit la soeur du couvent qUas tu moine agrave geuler tant
Ma soeur je voudrai mcoucher -(BiS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Couche toi moinecouche toi moine Ah dit la soeur du couvet Couche tbi moine et gueule pas tant
VI-I Ccedilu~nd le moine fut cou~heacute (Bis) Il geulait encore Ah dit la soeur du couvent quas tu moine quas tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas tu moine agrave geuler tant
IX Ma soeur je voudrai vous baiser (bis) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine baise moi moine Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine et ne geule pas tant
IX Quand le moime eut baiseacutee (biS)Il geulait encore Ahl dit la soeur du couvent quas tu mOinequastu moine Ah dit la soeur du couvent Qutas tu moine ~ geuler tant
X
Ma soeur jvoudrai rcommencer (biS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Va au claque va au claque Ah dit la soeur du couvent Va au claque et fous-moi le camp
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et
((()ltrimiddot1
Samedi dernierceacutetait jour de la paye Et le soleil brillait agrave lhorizon Javais deacuteja bu cinq agrave six bouteilles l (bis) Jcrois bien qujamais jnavais eacuteteacute aussi rond)
Vlagrave ma bourgeoise qui sramegravene sur le zinc Et mdit Cochont ta quitteacute ton turbin
Ouiqujy reacutepond je men vais au meacutetinge) (bis) A u grand meacutet inge du Meacutetropo li tain J Les proleacutetaires dun eacutelan unanime y sont venus guideacutes par la raison _ En apportant chacQD cinquante centimes l
- ) (b2s)Pour soutenir les greacutevistes de Vierzon
avait Basile le mineur indompta ble cr lme linatr qu e st l honneur du part i (1)
sont monteacutes tous deux sur une table ( bis)Pour exposer la question sur le tapis Quand tout agrave coup on entend du bastringue C middotest un quidam qui veut faire son malin Il est venu pour saboter lMeacutetinge Le grand Megravetinge du Meacutetropolitain (bis)
Jy bondis dSBUS et avant quil rouspegravete Jy enfoncais jusquaux yeux son chapeau Il est parti sans demander son reste )
( bis)En faisant signe aux gardes municipaux (
Qui profitant ~e c que j1 eacutetais brinde zingue Mont emmeneacute au poste-le plus voisin Etc e st ainsi qu c e st termineacute le Meacutetinge ( ( bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetro~olitain
Couplet patriotique Peuple Francais la Bastille est deacutetruite Mais II y a encore des prisons pour tes fils Souviens toi bieuron des geacuteants dquarants-huit l (bis) Queacutetaient plus grands que les ceusses daujourdhui)
Couplet socia 1 Car cest toujours lpauvre ouvrier quicirc trinque
Cest lui quon met en prison pour des riens C eacutetait quand megraveme un bien joli Meacutetinge ) (bis) Le grand Meacutetinge du Meacutetropolitain J
-(l)-Ces deux vers sont quelques fois remplaceacutes par les suivants
y avait Maurice le mineur indomptable Le gros Jacquot quest l honneur du parti
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PalU notre coucher dans de beaux draps bien blancs (hie) Avec une pucelle de seize ~ cent sept ans (bis)A la taille bien faite Et uxnichons bien ronds Cest ccedila qUest b0n et bon et bon I(au refrain)
Si cest lagrave la vie de les beacutecistes font (biS) Je mferais beacuteciste avec ma Janeton (biS) Et l soir dbns ma chaiTILbrette Jlui chatouillerai le bouton Cest ccedila quest ~on et bon et bon t (au refrain)
ff ff tf tr tl t Air nIl eacutetait un petitLE ~mSEE DATHENES
na vire
Visitez le Ruseacutee dAthegravenes (his) Vous y verrez reacutereacute bien conserveacutes (biS) Oheacute
Trois poils du cul de ~eacutemosthegravene (bis) Et les roustons ton ion du pegravere Caton(bis) Oheacute Oh6 1
~ 1
V(Uuml)~6 Y v9lZxe z la CM et e DiLne middot Le Et
egraveoh boumiddotlheacute pqrQJle les roustons tOl1ll~
banar~e ton du pegravere
~ -Oaton (bi~) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fils dHercule Photographieacutes quand ils senculent Etle s roust ons ton ton dQ pegravere Ca ton (bis) Oheacute Oheacute l
Vous y verrez les fills dUlysse Photographieacutees ~endant quTelles pissent Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) ~heacute Oheacute l
Vous y verrez la megraveEgravee Egeacutee Caramboleacutee par le Pireacutee Et les roustons ton ton du pegravere Caton (bis) Oheacute Oheacute 1
Vous y verre3 le cul dDiogegravene Deacuteveacuteroleacute agrave lThydrogegravene Et les roustons ton ton du pegravere Caton (biS) Oheacute Qheacute 1
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REFRAIN Et If on ST en fout dattraper la veacuterole Et l t on sen fOLlt pourvu qu 1 on tire un coup Avec 7 avec bullbull une femme bull sous les r C8~~ses
( Tous le c9uplet S 80)1 ~ ~ur le typ~ ~ d~ premier J Vivent les eacutetudiantegravema megravere Vivent les eacutetudiants t Ils ont des femmes e t pas dt enfants $$$~~$$~$~~~~$ $$~~$$$$$$ $ $ ~~$~ Vivent les eacutetudiants l $
~ ViTent les eacutetudiantes E 11 f S aiment a voir la pine au -v-entre bull ~ RE FRAIN
$AhI les fraises et les framboisesVivent les avocats bullbull Ah le bon vin ~ue nous avons buIls ont des couilles en chocolat bull iAh les belles villageoises ViTent les sor~onnards $Nous ne les reverrons plus Ils ont des couilles en peau dTleacutez~rdr bullbull ~
3 Suy la rout e de Montmartre Vi vent le S cOlonia ux De Mont oartre agrave Faris Ils ont des couilles en peau de chameau fiJ ai rencontreacute trois filles
~Trois filles de mon paysVi -ent le 3 cara bins bull $ Ils ont des femmes qui baisent bien $ f
~Jai rencontreacute trois il1e3 $iumlrois filles de mon paysVivent les carahines
E Iles adorent vous SLlcer la pine bullbullbull nJ embra sse la plLlS jeLUle lEt la plus belle aLlssi
Vivent les artilleursbullbull Ils tirent un coup tous les quarts i Je dansITemmegraven e ma chambre
d f he ure Et je la fous sur le lit
Vivent les pharmaciensbull Ils ont l permangaha te pour rienbullbull middotEJ8t regarde entre ses jambes
1 j y vois le paradis Vivent les pharmaciennesbullbull Elles sont putains OD bien Lesbiennes Je rgarde entre les miennesl
Et j ty vois Jeacutesus ChristVivent les PCE bullbull Ils ont les couumlt~~es galvaniseacutees Jeacutesus levant la tecircte Vivent les aviateurs ~Entra d3ns le Paradis Ils legravevent la qLleue tOLlS les i dheLil8 bullbull 1 Vivent les aviatrices $11 sy brisa le cracircne Elles ont le manche e~ vle ie~ ~uisses bull i La cervelle en jaillit
rVivent les arts deacuteco bullbull ~ Pleur z pleLlre Z1 me sdame sIls ont les couilles preacutes du pinceau hLa mort de Jeacutesus Christ
Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
$11 est encore en vie
11 Ji 1l- ~ igt tt Ji Lj ~ H plusmn i ~ ~ ft 4 Ltmiddot + ~i H ~ ~~ Ji y igt4 + t~ -- Li f-- ~ ~ -t u J 1 i -+ ~ q ~ gt~ ~ c ~ H + bull -c i ~ h t H li ~ middottt 4f H if lf H- if tf rt tI if tf ri +t l I tf iftf 11 r If l i of Il i1 ri i l ~( rf rf 11 Il ~ n r( Tl ~ i+r 1 ( rf Tl ri Ii II Ir rI li II If li middot( 11 1 lmiddot Il 11 rr n 1( tf if
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A la porte dtun couvent(bis) 1 l Y avait un moine Ah 1 djt- la soeur da couvent QlJ as-tu moine QU1ssctfLu mmine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine agrave gueuler tant
II Ma soeur je voudraisrentrer(bis)Maisma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Entre moine entre moine Ahr dit la so e ur du couvent Entre) moine e1 ngueule pas ~n~t
0 -
III Quand le ~oine fut entr~ (bi~) Il gueulait enoore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quas-tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas-tu~ moine agrave gueuler tant
IV Ma sbeur je voudrai manger (bis) Ma i s ma s oe ur je n 0 s e Ah dit la soeur du couvent
M8nge ma ine mange mo ine Ah dit la soeur du couvent Mange mo ine J et lffie ~-gl-1~ ule pa e tant
v Quand le moine eut mElngeacute (is)
Il guelllait encore Ah dit la soeur du couvent Quas-tu moine quasftulmoine Ah dit la soeur du couvent qUas tu moine agrave geuler tant
Ma soeur je voudrai mcoucher -(BiS) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Couche toi moinecouche toi moine Ah dit la soeur du couvet Couche tbi moine et gueule pas tant
VI-I Ccedilu~nd le moine fut cou~heacute (Bis) Il geulait encore Ah dit la soeur du couvent quas tu moine quas tu moine Ah dit la soeur du couvent Quas tu moine agrave geuler tant
IX Ma soeur je voudrai vous baiser (bis) Mais ma soeur je nose Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine baise moi moine Ah dit la soeur du couvent Baise moi moine et ne geule pas tant
IX Quand le moime eut baiseacutee (biS)Il geulait encore Ahl dit la soeur du couvent quas tu mOinequastu moine Ah dit la soeur du couvent Qutas tu moine ~ geuler tant
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rVivent les arts deacuteco bullbull ~ Pleur z pleLlre Z1 me sdame sIls ont les couilles preacutes du pinceau hLa mort de Jeacutesus Christ
Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
$11 est encore en vie
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Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
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REFRAIN Et If on ST en fout dattraper la veacuterole Et l t on sen fOLlt pourvu qu 1 on tire un coup Avec 7 avec bullbull une femme bull sous les r C8~~ses
( Tous le c9uplet S 80)1 ~ ~ur le typ~ ~ d~ premier J Vivent les eacutetudiantegravema megravere Vivent les eacutetudiants t Ils ont des femmes e t pas dt enfants $$$~~$$~$~~~~$ $$~~$$$$$$ $ $ ~~$~ Vivent les eacutetudiants l $
~ ViTent les eacutetudiantes E 11 f S aiment a voir la pine au -v-entre bull ~ RE FRAIN
$AhI les fraises et les framboisesVivent les avocats bullbull Ah le bon vin ~ue nous avons buIls ont des couilles en chocolat bull iAh les belles villageoises ViTent les sor~onnards $Nous ne les reverrons plus Ils ont des couilles en peau dTleacutez~rdr bullbull ~
3 Suy la rout e de Montmartre Vi vent le S cOlonia ux De Mont oartre agrave Faris Ils ont des couilles en peau de chameau fiJ ai rencontreacute trois filles
~Trois filles de mon paysVi -ent le 3 cara bins bull $ Ils ont des femmes qui baisent bien $ f
~Jai rencontreacute trois il1e3 $iumlrois filles de mon paysVivent les carahines
E Iles adorent vous SLlcer la pine bullbullbull nJ embra sse la plLlS jeLUle lEt la plus belle aLlssi
Vivent les artilleursbullbull Ils tirent un coup tous les quarts i Je dansITemmegraven e ma chambre
d f he ure Et je la fous sur le lit
Vivent les pharmaciensbull Ils ont l permangaha te pour rienbullbull middotEJ8t regarde entre ses jambes
1 j y vois le paradis Vivent les pharmaciennesbullbull Elles sont putains OD bien Lesbiennes Je rgarde entre les miennesl
Et j ty vois Jeacutesus ChristVivent les PCE bullbull Ils ont les couumlt~~es galvaniseacutees Jeacutesus levant la tecircte Vivent les aviateurs ~Entra d3ns le Paradis Ils legravevent la qLleue tOLlS les i dheLil8 bullbull 1 Vivent les aviatrices $11 sy brisa le cracircne Elles ont le manche e~ vle ie~ ~uisses bull i La cervelle en jaillit
rVivent les arts deacuteco bullbull ~ Pleur z pleLlre Z1 me sdame sIls ont les couilles preacutes du pinceau hLa mort de Jeacutesus Christ
Viv le quartier latinbull ~ Tutes les filles y soht putains bull UNe pleLlr~z pas si fort
$11 est encore en vie
11 Ji 1l- ~ igt tt Ji Lj ~ H plusmn i ~ ~ ft 4 Ltmiddot + ~i H ~ ~~ Ji y igt4 + t~ -- Li f-- ~ ~ -t u J 1 i -+ ~ q ~ gt~ ~ c ~ H + bull -c i ~ h t H li ~ middottt 4f H if lf H- if tf rt tI if tf ri +t l I tf iftf 11 r If l i of Il i1 ri i l ~( rf rf 11 Il ~ n r( Tl ~ i+r 1 ( rf Tl ri Ii II Ir rI li II If li middot( 11 1 lmiddot Il 11 rr n 1( tf if
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