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68me .afin e. Ni' 251' BUREAUX : Rue Saint-Rome, 44. Dimanche, 13 Octobre 1872> e FOI11.ODSE U. au, 413 1. 6 mois, 21 L 5 nos, 11 f. f DES [)L?,VTS El' DES AI[BJVItDS DES '31IAINS DDS CEOIMINS DE FER DU MIDI ET D'ORLEANS (Sarriso d'Sfd).. ne na, uaoxssx.' - Ddpana r Aerivam: uaaa n loa. à Arrt X 23 n 'o :dast-,tegan)a 4a 49 fou (Expr) l 16 b R7 BOr,. 10..411 soaa os 91746. DI6p/JRT$MEN'PS - 50 - 96 - 14 DApu CFTIMWeR L. frais aopplér samiras de poste en ana. N t ait O. raçala ara, a.AaaWWW1 Iurfl x U Ces a91W[AWmWn , ea, fltxpr TOULO42SE ; A.x, Biuuau. du fournil, e u, u; Agen, Q.1 M. Mavaq o 1 J. Roas4 n S; et 0 PAR 1 S . eh MM. LafOte Bulle et C. , phone de 1. Boume, 8; M. Fo.Hi o, sors' do P évxs, 33, Matin, Sonie Corroepeuda.l6 pour las a..onoua. 9 Mauot TOULOUSE, '13 Octobre. BOURSE DE PARIS du f2 octobre. Au C0omare. Talean die. Cous [il jour C.oora erre 3 0/0 55 20 53 10 41120/0 75 50 75 50 5 "0 emp. 1871 84 26 84 20 50/0 emp. 1'872 87 2U 87 1'i A 'Puons. 30/o Dém. 53 30 53 15 S 0"" d nue 3 27 53 /10 50,0 etop. 711 wuus 84 35 84 05 5 0/0 e np. 71 il" cours 84 47 84 40 5 0/0 top. 721,, cents 87 17 86 83 5 0/0 ema. 72 0 cours 87 17 07 20 6 ' 0Ital. f7 U5 67 95 Fol, 880 ^.: Mubilicr 453 75 4 ;', 75 Mob Lvp. 490 7b 49ne 216 Cnsn vis os Fos. 0rlemai 818 75 820 =, Nord 970 997 50 Lyon 850 8!0 Midi Autriohien, 707 10 705 , Lmnbards Banque 4,290 r, 4,255 ROUftSE DE POULOUSC do 12,nemnre. Au Couerasa. 30n P. Io 50, J I ml r 41o t 3570 94 1.45 5i/tl I 87 S1 Mobilier E p fil 496 23 II Omu01,10X5 Ihvlas,,. Midi 273 Ottomanes (1805) 560 TÉLÉGRAPHIE PRIVÉE Parie, 12 octobre, 5 h. matin. La Cour de cassation a rejeté le pour voi de Poitorio, cor, lumné à mort par le Conseil de Sise rn pour espinnnagdet tramson, l'oslh, 11 octobre. Ala délégation li , M. A d. s y répondant à ver t p Il l'on, d't 1 m lamonarchueétant pé )épar bas. 1 duPape et pu mc voyé 'r-, 1 cour d'paho, il n'y avait pas I il. 1, h ger ou qm existait ; d eer. I dispose i ne modification si lac partie compétente le demandait. aura Pari,, 12 p i la8 h malin. Lu outre 116 ter ht la ron- férenoe de La Ilo h ll q e M. L mis Rla t f e le 8 octobre. M La nia blanc, p i . nu il' cet ordre, a é1 du par le lélegranima suivant : Plain dire le gopsetnerb¢n[ Mmilrr,, nain- bien le loi rondos sous l'6'mpu, est mau- vais,, pin s, losqu à ce qu'elle soit chan. gée, loi obéir. r Le Gn99lois public Une prote.elatien du prince Napoléon centre l'ordre d ;epdt- aioli rendu malgré ou parses rt qui lui a été délivre le 15 octobre 1871. Le prince décl ire qu'il portera la question dcvont l'antoritt judic aire. Le P,guro dit que le prince serait parti hier soir. ocre re,Ëma Paria 12 oPlebrs, 10 h. do matin. Madeid, Il cote tire, au soir. D,ms ..e o'mmuniutioa faite aux Cornés par le gouvernement, il ,t dit qu'un soulèvement e eu lieu an Ferrnl, au. cria de vive la République féué- rale ? 1,L00 hommes appartenant à elque al, au. gardes de man ou at nvevlres habitants ont sont B,jas, ancien vcarbs. te, Montejo, ancie pl yé d manu.,. La forteresse et le unirent de guerre M.jorredo sort rc fidèles. Le capitaine géacral de la Galice mar. .lie sur le Ferrai avec des forces sulOsan- tes. Le gauecrnnmenl est certain de ré- 'mer le p A 1. suite de cette clumadmitaitimi, M. Zorille déclare que le gouvernement est décidé à r,oprcter les Bruita des ci- foyeois et la liberté, mais auras à répri- mer sévèrement et avec énergie tous les perturbateurs de l'ordre public. L'Opinion publique attribuo le matve,- ment aux al honsistc de re p s, mais J. dés parti mue que les dépoté rl.- - st ar, déclarant étrangers au Llme.L vemn ocras nt.... Paris 12 octobre, 7 h do soir. 6l. ].Ira lite al, 1 . a 40 Mni,n,(Caenl 8 65 6 00 Yaus Exil 10 30 Mstiv, LU 4Tf 9olr, i f6 Qdparta, En., (Eapr j 3 00 5nir, 6 51 4 , 4 10 luis, III 00 6atr,36 qa, 6 15 luU, 11 as 16x.11 aà umsma. Y ün, . 6 1b... Met, Moule( 9 30 Midi., 10 fb Soir, Pau, I 05 So Pau, 2 15 hoir, 3 50 Baie Mord et, e 30 Soir, 9 49 banques ottomane, franeo-holliodaise, pour la princesse dans l'ordre cnacer- leanco-italienne, M. sillet-Will, MM. aaetdé prince, M. 'Ili,,, pria M. Vimer- Mallet, Marcuued, Selliéres et untri;,s eati, qpi çonemptit, à titre affectueux, à banquiers, ont ubl nu la .cession du se charger de la mission. p51 pas Puise monopole de fubr cation et de vente des Mais M. Vimercaü os allnmetlre, moyrnant une reaeva5Ce reaeoir sur sa décision le prince qui ,pelle de 76 millions, laquelle sise- t 0e voulait céder qu'à l'emploi de la me sera aug,nentée de 5)'/' pour son force. mhtion dépassant 40 milliards par a. MarseiÎl1 12 octobre d'allumettes M Des avis relaies disent que te prince N,n 1 t. té à roi beé la I e aojn I l à m d d 3lai. L. , sen,ya tpu,,l .,ir lxeesb- 40wirm éc+ccl 1I' ,,-,r il eq do préfet PJ, de polkl , al, 'opagrc de deux agents, de le salure vars le fronliéro suisse, ou ils se dirigset :schrnllemrot. I.a pri anre-c Clotilde a voolu aceompa- e gu P L Ir 1 p '(t lf 1 ts .1 no's -Pis p nté sur I dfleculle à q lt l demis de M ll 't 12 t l l N il., ma lu 0 Cré pr test, coolie Ls v"olalron de pour lés louai nue. L dmisustr utu .o n dent quia été c, d t il 1 suit la réparabne t 1 t .. emupél. t r 1 ut au 1 d t d I t ublin et à la C.m- mrs d l'a litre , an d doue d ii G."", 1 t lad é 1 ni l p t Il dit qu'il L p part d n t e J a Car, L plu Il P 1 4rcn il tren. 1.. reçu a n l don. Il uépa.dd à7cet ed p f I! r e J. t A museaj 7 h i III la L néo u rasm 7r d P 1 , as L d ,,.darmos, .1 1'te' mc contraint ia 101010e de m nier dans nu 1 de f allant o la fco Wéce. Je prohin .r que io I { f rrmul e -luse pri+es6t i trbtrate a laltlle a et ma ne aulnepas de prétexte, Le r ce termine e:, disant: . d'en api ell p_ 'concle t 0J 1 à roi te I t a ge ua u a l et à la à rplo.té n le . r Lu Patrie dit qu'on commissaire d. ,obus àlet présnoté e manu II x M. ni'l Richard t g 'f a tordu i sols n. Lc pince dit. .le lcral .1, men t devant Il il tut d'a 71. Le r; d I l' retira. I.ee ,a,ioc,déoli, eu mille, ,e. 114 Richard, ll uhcrd et Abri L. c.ni I à la f. Il lélr et t 1' rrél orcipagné de deux g d Le pince, après n staté 1c plm le la force, monta eu v lu , rompagné do la p .m n t de foules leu autres p s prisenlee. lie Irai. epéoiai le _. à tlvbgnollre de là, M Mari1cc ltch., d ami arrun pagne le prince et la prmcessse Jn.,ga la frnnri: re. i e Bien poêlas. consLtte lochs gon vernmoz, ua donné aucun ordre com- cernant la princesse Clotilde. Le odes Jourml dément que 0t. Thiers ait ma, aux Iniix. Lo bruit qi e M Trma.chaff ont nappe lé n 11 sine et dasavoné par 1 ut, est délié de tout f_J. ment, Brnx'll 12 ..t bec. Le banque n itinnnl.: a cloué l'escomp. te a 5 pour cent. a nkracus. P r 12 octobre, 8 h. soir. 3i .t l' sted`Fun à B ut. nolles a p.oballerent et dés , il 7e,nps dit que la u 11 d cite dé un est dénote' de ttf dmat L liait p J ut q , pl l post N J? i L 1 qûlpou ttujo o J:r de- vu i s de dés t ee le e igences des fond d pl matiquei. Le motif de la démiss on n eniste donc pas plus que n'existe le fait de la dé- mission elle.même. anTAa ak tc.a Pn{s, 12 octobre, 9 h. Quelques cas de ,t soit 1.s dans la vile polonais, de Crajeno pros de 1. front ère de 1 I S dit que M Th g- t cor j i q 1 1 Flet ld eer; n L. a l ft fit I dén' F t Lé p r dut I te roi d i li i I u lLi, 1 ua. ,..e er arche alme. Arrivages n0i Veules 9400 hectolitres. Baillas 128281)2aà 7e fr. Il. Lka banal, 128/124à trisol 50, CHRONIQUE LOCALE Non ecevons la lettre suirnLLe qui t 1 lu'- dos lue Il s que .-sit être pl longtemps i.diffé,I.t. a 0 s ple -i Irg ttmes . Tonlnrse, le42 octobre 4872 Monsieur, Il tde presque impossible d 1 B tr lu t Il.tI, b de 1,., il 01I. d gel t pour 0(010' 01,tie d t. al oa, déelaretie. à laquelle t t sous peine dune forte eJ Vole à ce h sais e V 1; x, ans troc- a la P. 't', pl t p pas qui attendent des s I nais ys et lo it la pit p t sont dé j'a cou de x ou C ta a Par- venir à avoir leur top Ce .touvert d ouniera, des ouvrières pou, qui I t.. fs vst précieux et que loue travail rkbo'l. Vous entrez cependant u roui. à la fois, pais la porte se referme à clef. 1 1. or admis. Si,. mai -le d I. diction, vous vois I - sardes à pénétrer a trois ou quatre h le fais, ou voua déclare que vous êtes là sons longtemps, a-[ qû il ue passera bcurer C est un refus dé chaque domi- gmsé. Nerset l bue hue de 10 heures à 2 heures et yant à m, d"" PI ipi.ude la pri porrtirc ddrma on , j'ai dn hh et .r, moi so à l'autre ex- trémité de la ville, .ana ...ie P. ae- quilt 1 doits exigés. Que faire? Agrée, etd. r.v auouué. D m lid la p l d- P B'i t l 10, p I b pl 1 I h Les parrains t l' m s se, étaient . hl la I I Nid. I M. le e 01 I C p t les eaAt. de M. art, la1) 'L1 d têt pl. 1. de, C', t nt da roi. lu J d 1. tl t b é d libre t, ravisante étame de Saint t 1, ehes, -Père Je dc.t,llca et il' n..", ont été Dépites et consacrées par M.I' 1 p ét d Cal-Llllune délf8,é par Ms lA d . ' ie absaot du d qui ,prononcé , t 1 le .II nu.. L I i a .t l t't p 11 la exil Il,- L II I lIl vI-upi'. Lest nies t p J à l Ip.l de Ion, orc, vl l'abbé Bue r e et l'éâb t{I q p: I.ngl nt I hu tc luxe p r la rérc,acnie dont le sonvedir ovulera gravé dans tous l', c, n, 1 d. hdenfai- teurs de la parusses t burdé sur l'ai- rai., (Semaine Cnfko'igua.) M. labb-. Bernaaiot, erré de Sipnrr , près et, vient de ramai, à l'd,, de 79 as-. S- t niée 1 menants c. second les 1 0001v d'artillerie dont les noms Il I eut 9n régimnny MM. 1 s dit d taille, d 180; Slerzirnelé, du té'/ Dlampied, du 23e; Arrwnaux, du 25n. Noua av 1 g I 'I ni 1 tort 1 ( i l y lt 4 manse le smala, Jarl la é d t 1 1 lad be/3 t b i f de l a p s . d 1 I e SI E,ie 1 pe o e ga i i. Pas G de tmi t l t d'. lSoer le prés'. avis ,oui e t b"im L'a. Matis, 9 06 Maai t S rr, 3 10 four, Soir, 5 40 Soir, Lite, l'Oa.aae. avina-50m m""', 6 10 Mat 9111,15. 9 53 Sou, {1 55 se., 167 Sou, (Vllletra.) b 60 Soi, Terwn. S 52 Soir, 1t 95 Noua ayons te re mort gret d'apprendre 1, de Madame de Rayonna Cahusac né, de Guilherm,. Le cérémonie de l'emerremeot est fixée au mardi 15 octobre, à sept heures trois quarts do matin. I;a famille prie les personnes qui nSu- Soient pas reçu de commeicatidn de vouloir bien considérer le présent avis Comme eu tenant lien. Vendredi matin, la roue d'eue et ar perte çhargée de blé est ..rée sur le to yrteir de la rue do laubo.rg Cwlle- ery t . t rsér; le choral a eu, dansa chute, 1 Jambe gauche de de. out 10.00e. Cet apipal a été vendu a 1. boucherie. THUATRE La situation do théâtre, depuis quel- ques "te d'être étudiée. N rs pl s fois, esse,(, d m- diqum 1. a d la crise que trouer se le. tl t tue 1 décadence mgnalée t dé.oncée sur tous Ils 1 ds la Pr ,cet dans les h. a Notre prête.. le t n'allait Pas Jsq à b allié p: ,grue unique 1.ie geer rle mal in- vél é, omis nousdismnsaump em md'ote il eesait et e quel remède ou pourrait essayer pane le guérir. L'événe m pt est venu confirmer successivement (lus,pré de nos ob t ar la réalité t la .leur d q .11 nous s aujourd'hui le droit d ins st,, eu o sappuyant sur l'i.dtecumhle i du fat iapb. Ne faisons pas ici de lent pou 1 7t; ne amis payons pas de 'lots Sonores, soyons pratiques, et sayous de noir nettement le qui est. Le théâtre, qui était encore possible - ,biais dos wndrtiona normales it p a quinze vus, qui e végété depuis, m est.il pas devenu absolument impossible à l'bcure actuel[,? Les sept ai huit grande. villes de France avaient autrefois Ieur théâtre, aven, un ensemble d'artistes très présen tables, et dont le talent surpassail de beaucoup les prétentions pécuniaires ou autres. Avons nous besoin de rappeler le vieille réputation liés méritée du thé,Ira de Toulouse le out général du public, sa sévérité bien Saut e au tau, la terreur véritable dus artistes, q e tâtaient longtemps avant de se présen- te, ace parterre redomablet... 4ujour Ich il nuit prendre l'opposé os '*'Il ci ni I LL orne ville, chaque chef-lieu d ndissemeut .son lhélOe etseul ont di ,chanter la Joies ttes Nugusnele Al e e d lisstes eu ptoportr d Pet appétit gencrata -.116 .entratr, les pplris rare les I s)e tdevenus é,, rand- 1,1I p é t gligPes les clianl sont re 11 s a ode p lendne. t' es are nn saros roll fait, a . d .. otecette dutement colees tués hanl, et sur celle monte an ne les Pl.. arrêtés Avez o r w i; eh b . toper, la: voilà r gt t t ruas te le ( Ne vii t p f car, t les r l o :.q l a 1$ e.LAprès P e, la r1Io.teusa, le b: 1710 I bues-,i et tous les autres ont voulu n d au gateau appétissant Et quel e été le armt le plus clair? - La f,i1 ils du.... pafiasie,. Donc, la p eMtièee canes de 1a0riblis- sement de nos scènes le provnce est dans le grand ...bel de caltes qui se on[ improvisées à te fois, ch.q.a pelite vile voulant posséder an théà,re et nu nperz. 1111, est dans Ici diminutim t du b d,. I s _ nt ree.l'emrot fait 1 0quidr Paris, où leur talent t consacré, vont à t ' verts dor, en ove t pins x ge¢nls et mad,'dobles polir d'a ba de pus E. dehors de ces as t. Il yala f I. 1 t p il,, c} Il ch., t - parmi l;.q. 1 9 II perse t dégage. t ÿ f: 1 t n l ucces,i,,. , t r n bitess théâtres de prolinar. Las peilc'aion. de ces eh. a tells d'o 1 i Il f- disent aussi et lis 1.11" Pot i Anlronee.6, la ligne; Réclames, la ligne, Faits divers, la ligne, 0 1r. 30 e. p 00 1 00 T outensa.--Typographie Pl p',r,,,r>. ' ':' F Une seconde cause de démdence se trouve dans le création des casinos, ca fésconceru et autres établissements où la musique s'exécute devant un pa- blic qui consomma, garde sou chapeau sur la léte, fume et calotte des pipes, eegucnle ou tutoie le gargmt à volonté, met les pieds su, les tables et lev café.-cn.certs mains..... partout. Les rat presque ruiné les théâtres. H. oet ramassé tout ce qu'ils out trouvé de chanteurs médiocres et mauvais; ils dot joué le ea devlle, l'opérette, comme dans les théâtres ; ils ont eu des -rches tees eàtrainants et dominant le tumulte de la salle; bref, les recettes augmeataat font les joncs, ils dot en des arlisteu pl sbie fixlidl. Le dormant, tel malheureux cet tirait le diable par la queue, se dit : e Pourquoi me donnerai-je la peine d'étudier et d'apprendre le métier de chanteur ?... J'ai une "` 1 .11 a. C ester; les -c usi mal us m'y ap plaudirontf que nots uns oie notre théâtre em- prusire d p ne+.onnairea au calé con- cert. 0 dit bien que de 1, sont sort" des célébrités lytiques, mais 1 expér ce so s'est pas Parte encore chez nous. A er c générales de décadence lent J I e f l d a ses part cul q e d t pe .I m possible l'exploitation don thcatr.tdur province. Certains de ceux qui se préoc- eupent d q t de théâtre 010 d t que le l réLibliIsenulit des s.hlsnti municipale,, sauvera tout. D'après nous, qui avons toujours réclamé la stipule.- .m. de t Én n nous restons re, ire p in, d yd yant pas pré- n ue de silence cervé lethl ires s o.. go partent, les subeenlionn rém- bhee n f t pas naîtra de vrais artistes, et ne v ndratoat au contraire usager que de pitoyables exhibi. lions cela ne s'en que trop vn. La subvention mnniripale est d'ailleu rs faite on moyeu des dealers des contribuables, et certains d'entr'enx auraient bien le droit de . 1 e -aile semblable emploi. I [ i le ll ale lait être aivtru ud ona "ploitation privée etli- bee : celui qui se sent la nunc de l'en. [reprendre ne doit compter que sar son habilelé et sur le bar,,, de publie. Si le public d'eue vile .'est pas a ,,,x riche pour se payeruu théâtre, un opéra, eh bien 1 il s en pulsera; ses moyeu I i .rmeltont de n'stte.dst re qu e I osé cette, il apprendra à sa contentas de ce genre ma peu équivoque; si su esprit e s'éleva pas ou delà do tees à tore 1 "I me t L l f:. o P a lors tl Initia nos asscmbl'.- p m t r o f"t des dis..ourstre étau t et très I I), 10 et am tee subven sur t . -i, dl, i t pt l L l d "a d 1 Il é q d I, p t Ici T c O t j t 1 d taire des pl 'e d. 1 é o t. .t lev oppisdue D ailluu IOisa de l est une ou stèles qu" n'à en de am mun avec os de province, et le et te syxtomet 1, l'op ne sa t i . appltq aé antres la nompavmson c t de p Il'. Cher noas, 1 t , la ville et prap-iotuire d salle et d'un m,tériel rebique. Elle donna m nl t tout cela giat tellu' dir_ct.n., à a cor li Il, ,loi Il aura on opéra, en 1 C end seule co,ditiP. oses parsi oxorbitmte, vu Ira 0,lli0ul- tés signalées plus. Au mime t actuel, sa n capons Pas qu':'u d,eroteur, qu-1 qu'il soit, poisse remptir un pareil 6 e .ment' à mû ns Il, la Ville s t d'Une t2 d t. et le que 6 fi,rail It phe t fui p I et de l' 1 1- N péra à I I t 1. il y 01l- I Lt Wons lui rernan, de p és la lii 11051105 , noua t r ona p gré d J t de f- I N ors 10 . a t t b t p1010, tl ill mieux f v i , qui rait pour t iul ri go l ie Pondre de Per- linp op,n ou la ChdiM Blanche. Peudnat certains mois de la saison, le di zr r devrait d o libre de même pl aujouu d'1 nml I J Ur,r tel genre Uni se "t t. 11- p p ,or ou .I d t p t 6 t q- t t le conduirait la, sora 0 t 1 1 fit t s t 'sf t 1 1 d 1 D. ns c d'... rondo ur'it ,e oi Itue. g les I,us J,xms d. p'. ité,i, qu l arheslre cil-s ch t ti i' p 'e de q ui, a Toulouse, fan t pl -Is sa- :1. q f i t boas, b ['.tes connurent m Phasce d'être d.. L; e e Iii, r,m,r { i d a L ns g rosés, si la saison 00110.1 état{ i t r Pad et t nia tels e de ts vu, et milI'olr au tint d'être cuLaefe p U. es 'l q'il I h t s d 1 mois de se nid, P;é dr.n b 11 i t l'g is pri m s. t pa site rarsn. que le, chic sis IS s Uu e hic, rb r, qu'ils ror- 1t l'orchestre sont lias en Pusceau si sa teignit se cuvent. I lido , on les retrouvera toujours en pha- lange pressée et compléle, 5 is dispo- eitine du directeur qui les paier2. 'u fait de charge, celle-ci est lourde.' Messieurs des chmurs et de l'erehestre s'estiment caser haut : il, ne content paa ..!.a de nui ouzos francs par mois. sont enga- Cette n ée même ils 'ce le à la condition gés colloectivement grià la .presse d'être sapés chaque jour. Quel directeur aura les rems assez forts loir soutenir nu système pareil pendant ante mois ? Quel ont celui qpi sera à l'abri des mille petits emtrarras cfinanciers, naissant à chaque pas au 1hé6tre; qui pourra répondre de pouvoir ivre prêt à payer à la même minute chaque r. Or, entendes rossa le beau tapage, rs dos chcenrs ot del'orches- tee refis aient de jouer parce qu'ils n'au raient pas reçu Ivar esche[. Nssa regretter ona tenu-foit la désor- g.imatrn d I (hommes) et de c chef est d C p t le. Il y a la n chef hab 1 t 'qae, des profes- rs dtsttnguéa, appréciés, et gui m u- roat, pour une banne part, à ta Ils f t p sable des mor- d ll il y a Ors vorz soli- des, s e t n l' t b: ,, L'eiles ; mats u ya ces m Il- ers se n u t d p r blea, et que, s prétexte de soc étés ils ne se Pré- ISasrut t plu la difficulté des temps. No is a nc«,ul très Lien quo lev ohm- et I'drehest ¢ so rs4 payés ou - maliont soli meut it s deuuaat. ne aines qn I t o p s Se ma lents e po., se- rie da r p oie tin s que I usures tear donnera quand il voudra ou quand il pourra Les r pr t üdes e,pncées, voilà, pour .d tl i s, le sent avenir. Art heu des spectacles maussades ett détes- tables de 1 a q- qnt, peudlut huit as,font. t I J .e des dormeurs des stalles ou des désmvvr.'s use baignoires, es !assis quelynes rares représeul t- d'opéra, esc ellentes, aux a0emcpdees a I t p 1 l1 b ce c c 001101,00 1 1 d' l O ère, il comme certaine I, présenlatiou des lluguenols, Sui Mail v,arment ou écho des aceeot., de l'Acadenuo Ciovale de .nique dus sotte cait, du Capitole étonnée et transfigeiéu. Ceta veut dire que, aux troupes sc- des tarse. q d p stout et qu'il e. l peu pré p bl de recrutcl, il faut noirs Ir:.b tuer a voir succéder Ira tr ses b 1 t mposéea de hune i ,tes q pr a pro xélé t totel- li L f t l- Loin ot d'avance, 'I -II s Ill. 1 1 s et de 1 I gn No a d" I re- peisentahons par an, l place d es 11- nt 1 L ;. t Q it aux ii,terealles, I a t t 1 l remplis par le répertoire des th air-.s de genre ou par la Féerie. A la rareté des "a' a rlyriques, à la cherté des exéeulantr, if font ajouter de, cLargel considérables pour le direc- teur Le droit des pauvres subsiste. Les i o't, d r lut augmenté depuis qe q ue. é.. Et ion .'.volis p., c' à eau r Bars les 07101e aadminis- trat on et à énaméero certmnce dépen- s auxquelles nous ne sommes pas roi. Avons .nuls besoin de conclure : ce que nous a 1 t . t parfaitement court. Lorsque on homme .e présente pour entrep'cndne une campagne ihéstrate, avec 0e pareilles chueg ss, Il ont de taule justice rle l'accueillir avec faveur et de na tr se, banne, intentions, Ni. D 1 e P air, théâtre dans un esses état ; me Iras lourd passé à l,q s'est trouvé à sa charge; il l'a 1 richement acwpté, cnmpluul sur l'a- , et se faisant peut-être certaines illusions tré pardrscoàtes, et dont il serait en twl cash p .mare vintime. Le perso..Il lyrique de tts année 'est pas parfait, bien loin d, là. Il ne sauritit en être autrement; mais cepen- dant tout n'y est pas à mépriser, et goelques sost très duenea d'at- tention. Ilrjà deux 001001, monta saut restés mer lo champ de baLmlle, dés la première h Le silence b,lu sar leur tombo t l m 11 e rs ,o fneébre I no s b à p dre notre revanehc de { et i b s- s Per[inenoes, oom- es' par club; certain po iovali vede la àrist flL de I m l é quia aucoache d ur e is..... quel sort-il souvent? do vent. La Jlioo est an débat détestable. 11 y a là, à I fin du net., cette fa- meuse phrase à laquelle le public attend Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Page 1: Il'.images.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1872/B315556101...P e 1 p '(t lf 1 ts .1 no's -Pis p nté sur I dfleculle de M ll 't 12 t l l N à q lt l demis il., ma lu 0 Cré pr test, coolie

68me .afin e. Ni' 251' BUREAUX : Rue Saint-Rome, 44. Dimanche, 13 Octobre 1872>

e

FOI11.ODSE U. au, 413 1. 6 mois, 21 L 5 nos, 11 f.

f DES [)L?,VTS El' DES AI[BJVItDS DES '31IAINS DDS CEOIMINS DE FER DU MIDI ET D'ORLEANS (Sarriso d'Sfd)..

ne na, uaoxssx.' - Ddpana r Aerivam: uaaa n loa.

à Arrt

X 23n 'o :dast-,tegan)a 4a

49 fou (Expr) l 16

b R7 BOr,. 10..411

soaa os 91746.

DI6p/JRT$MEN'PS - 50 - 96 - 14 DApuCFTIMWeR L. frais aopplér samiras de poste en ana. N t

aitO. raçala ara, a.AaaWWW1 Iurfl x U Ces a91W[AWmWn , ea, fltxpr

TOULO42SE ; A.x, Biuuau. du fournil, e u, u; Agen,Q.1 M. Mavaq o 1 J. Roas4 n S; et

0 PAR 1 S . eh MM. LafOte Bulle et C. , phone de 1.Boume, 8; M. Fo.Hi o, sors' do P évxs, 33, Matin,Sonie Corroepeuda.l6 pour las a..onoua. 9 Mauot

TOULOUSE, '13 Octobre.

BOURSE DE PARISdu f2 octobre.Au

C0omare.

Talean die. Cous [il jour C.oora erre3 0/0 55 20 53 1041120/0 75 50 75 505

"0emp. 1871 84 26 84 20

50/0 emp. 1'872 87 2U 87 1'iA 'Puons.

30/o Dém. 53 30 53 15S

0""d nue 3 27 53 /10

50,0 etop. 711 wuus 84 35 84 055 0/0 e np. 71 il" cours 84 47 84 405 0/0 top. 721,, cents 87 17 86 835 0/0 ema. 72 0 cours 87 17 07 206 ' 0Ital. f7 U5 67 95Fol, 880 ^.:Mubilicr 453 75 4 ;', 75Mob Lvp. 490 7b 49ne 216

Cnsn vis os Fos.0rlemai 818 75 820 =,Nord 970 997 50

Lyon 850 8!0

MidiAutriohien, 707 10 705 ,

LmnbardsBanque 4,290 r, 4,255

ROUftSE DE POULOUSC

do12,nemnre.

Au Couerasa.30n P. Io50, J I ml r 41o t 3570 94 1.455i/tl I 87 S1Mobilier E p fil 496 23II

Omu01,10X5 Ihvlas,,.Midi 273Ottomanes (1805) 560

TÉLÉGRAPHIE PRIVÉE

Parie, 12 octobre, 5 h. matin.

La Cour de cassation a rejeté le pourvoi de Poitorio, cor, lumné à mort parle Conseil de Sise rn pour espinnnagdettramson,

l'oslh, 11 octobre.

Ala délégation li , M. A d. s yrépondant à ver t p Il l'on, d't 1 mlamonarchueétant pé )éparbas. 1 duPape et pu mcvoyé

'r-,1

courd'paho, il n'y avait

pas I il. 1, h ger ou qm existait ; deer. I dispose i ne modification si lacpartie compétente le demandait.

auraPari,, 12 p i la8 h malin.

Lu outre 116 ter ht la ron-férenoe de La Ilo h ll q e M. L misRla t f e le 8 octobre. M La niablanc, p i . nu il' cet ordre, a é1 dupar le lélegranima suivant : Plaindire le gopsetnerb¢n[ Mmilrr,, nain-bien le loi rondos sous l'6'mpu, est mau-vais,, pin s, losqu à ce qu'elle soit chan.gée, loi obéir. r

Le Gn99lois public Une prote.elatien duprince Napoléon centre l'ordre d ;epdt-aioli rendu malgré ou parses rt quilui a été délivre le 15 octobre 1871.

Le prince décl ire qu'il portera laquestion dcvont l'antoritt judic aire.

Le P,guro dit que le prince serait partihiersoir.

ocre re,ËmaParia 12 oPlebrs, 10 h. do matin.

Madeid,Il

cote tire, au soir.D,ms ..e o'mmuniutioa faite aux

Cornés par le gouvernement, il ,t ditqu'un soulèvement e eu lieu an Ferrnl,au. cria de vive la République féué-rale ?

1,L00 hommes appartenant à elqueal, au. gardes de man ou at nvevlres

habitants ontsont B,jas, ancien vcarbs.

te, Montejo, ancie pl yé d manu.,.La forteresse et le unirent de guerreM.jorredo sort rc fidèles.

Le capitaine géacral de la Galice mar..lie sur le Ferrai avec des forces sulOsan-tes. Le gauecrnnmenl est certain de ré-'mer lepA 1. suite de cette clumadmitaitimi,

M. Zorille déclare que le gouvernementest décidé à r,oprcter les Bruita des ci-foyeois et la liberté, mais auras à répri-mer sévèrement et avec énergie tous lesperturbateurs de l'ordre public.

L'Opinion publique attribuo le matve,-ment aux al honsistcde re

p s, mais J. désparti mue que les dépoté

rl.--

st ar, déclarant étrangers auLlme.Lvemn

ocras nt....Paris 12 octobre, 7 h do soir.

6l. ].Ira lite al,1

.

a 40 Mni,n,(Caenl 8 656 00 Yaus Exil 10 30

Mstiv, LU 4Tf 9olr, i f6 Qdparta,En., (Eapr j 3 00 5nir, 6 51

4 , 4 10 luis, III 00

6atr,36 qa, 6 15 luU, 11 as16x.11 aà umsma.

Y ün, . 6 1b... Met, Moule( 9 30Midi., 10 fb Soir, Pau, I 05

So Pau, 2 15 hoir, 3 50

Baie Mord et, e 30 Soir, 9 49

banques ottomane, franeo-holliodaise, pour la princesse dans l'ordre cnacer-leanco-italienne, M. sillet-Will, MM. aaetdé prince, M. 'Ili,,, pria M. Vimer-Mallet, Marcuued, Selliéres et untri;,s eati, qpi çonemptit, à titre affectueux, àbanquiers, ont ubl nu la .cession du se charger de la mission.

p51 pas Puisemonopole de fubr cation etde vente des Mais M. Vimercaüosallnmetlre, moyrnant une reaeva5Ce reaeoir sur sa décision le prince qui

,pelle de 76 millions, laquelle sise- t 0e voulait céder qu'à l'emploi de lame sera aug,nentée de 5)'/' pour son force.

mhtion dépassant 40 milliardspar a. MarseiÎl1 12 octobred'allumettes

M

Des avis relaies disent que te princeN,n 1 t. té à roi beé la I e

aojn I l à m d d 3lai.L. , sen,ya tpu,,l .,ir lxeesb-

40wirméc+ccl 1I' ,,-,r

[éileq do préfetPJ,de polkl , al, 'opagrc de deux agents,de le salure vars le fronliéro suisse, ouils se dirigset :schrnllemrot.

I.a pri anre-c Clotilde a voolu aceompa-

egu PL Ir 1 p '(t lf 1 ts .1 no's -Pis p nté sur I dfleculleà q lt l demisde M ll 't 12 t l l N

il.,ma lu

0Cré pr test, coolie Ls v"olalron de pour lés louai nue. L dmisustr utu .o n

dent quia été c, d t il 1

suit la réparabne t 1 t ..

emupél. t r 1 utau 1 d t d I t ublin et à la C.m-mrs d

l'a litre , an ddoue d ii G."", 1 tlad é 1 ni l p tIl dit qu'il L p part d n t

eJ a Car,L plu Il

P

1 4rcnil tren.

1.. reçuanl don.

Iluépa.dd à7cet ed p

fI!

re J. t A museaj 7 h i III la L

néo u rasm 7r d P 1 , as L d,,.darmos, .1 1'te' mc contraintia 101010e de m nier dans nu 1

de f allant o la fco Wéce. Je prohin .rque io I { f rrmul e

-lusepri+es6ti trbtrate a laltlle

a etma

ne aulnepas de prétexte,Le r ce termine e:, disant: . d'en

api ellp_

'concle t 0J 1 à roite

I

t a ge ua u a l

et à laà

rplo.té n le . r

Lu Patrie dit qu'on commissaire d.,obus àlet présnoté e manu II x M.

ni'l Richard t g 'f a tordu isols n. Lc pince dit. .le lcral

.1, men t devant Il il tut d'a 71.

Le r; d I l' retira. I.ee

,a,ioc,déoli, eumille, ,e. 114 Richard, ll uhcrd et AbriL. c.ni I à la f. Illélr ett 1' rrélorcipagné de deux g d

Le pince, après n staté 1cplm le la force, monta eu v lu ,

rompagné do la p .m n t defoules leu autres p s prisenlee.lie Irai. epéoiai le _. à tlvbgnollrede là, M Mari1cc ltch., d ami arrunpagne le prince et la prmcessse Jn.,gala frnnri: re.

i e Bien poêlas. consLtte lochs gonvernmoz, ua donné aucun ordre com-cernant la princesse Clotilde.

Le odes Jourml dément que 0t. Thiersait ma, aux Iniix.

Lo bruit qi e M Trma.chaff ont nappelé n 11 sine et dasavoné par 1 o

ut, est délié de tout f_J.ment,

Brnx'll 12 ..t bec.

Le banque n itinnnl.: a cloué l'escomp.te a 5 pour cent.

a nkracus.

P r 12 octobre, 8 h. soir.3i .t l' sted`Fun

à But.

nolles a p.oballerent etdés

,

il 7e,nps dit que lau 11 d cite dé un est dénote'de ttf dmatL liaitp J ut q , pl l

post N J? i L 1

qûlpou ttujo o J:r de-vui s de dés t ee le e igences des

fond d pl matiquei.Le motif de la démiss on n eniste donc

pas plus que n'existe le fait de la dé-mission elle.même.

anTAa ak tc.a

Pn{s, 12 octobre, 9 h.Quelques cas de ,t soit 1.s

dans la vile polonais, de Crajeno prosde 1. front ère de 1

I S dit que M Th g- tcor j i q 1 1 Flet ldeer; n L. a l ft fit I

dén' F t Lé p r dut I teroi d i li

iI u lLi, 1

ua. ,..e er

arche alme.Arrivages n0iVeules 9400 hectolitres.Baillas

128281)2aà 7efr.

Il.Lka banal, 128/124à trisol 50,

CHRONIQUE LOCALE

Non ecevons la lettre suirnLLe quit 1 lu'- dos lue Il

s

que

.-sit être pl longtemps i.diffé,I.t.a 0 s ple -i Irg ttmes .

Tonlnrse, le42 octobre 4872Monsieur,

Il tde presque impossible d1 B tr lu tIl.tI, b de

1,., il 01I. d gel t pour 0(010'01,tie d t. al oa, déelaretie. à laquelle

t t sous peine dune forteeJ Vole à ce h sais e

V 1; x, ans troc- a la P. 't', plt p pas qui attendent des s

I nais ys et lo it la pit p t sont déj'a

coude x ou C ta a Par-

venir à avoir leur top Ce .touvertd ouniera, des ouvrières pou, qui It.. fs vst précieux et que loue travailrkbo'l. Vous entrez cependant u roui.à la fois, pais la porte se referme àclef. 1 1. or admis. Si,. mai

-le d I. diction, vous vois I -

sardes à pénétrer a trois ou quatre hle fais, ou voua déclare que vous êteslà sons longtemps, a-[ qû il ue passera

bcurer C est un refus déchaque domi-

gmsé.Nerset l bue hue de 10 heures à 2

heures et yant à m, d""PI

ipi.ude la priporrtirc ddrma on , j'ai dnhh et .r, moi

soà l'autre ex-

trémité de la ville, .ana ...ie P. ae-quilt 1 doits exigés. Que faire?

Agrée, etd.r.v auouué.

D m lid la p l d- PB'i t l 10, p I b pl 1

I h Les parrains t l' m sse,étaient . hl la I I Nid. I M. le

e 01 I C p t les eaAt. de M.art,la1) 'L1 d têt pl. 1.de, C', t ntda roi. lu

J d 1. tl tb é d

libre t, ravisante étame deSaint t

1, ehes, -Père Je dc.t,llca et il'n..", ont été Dépites et consacrées parM.I' 1 p ét d Cal-Llllune délf8,épar Ms lA d . ' ie absaot du dqui ,prononcé , t 1 le .IInu.. L I i a .t l t't p 11 la

exil Il,- L II I lIl vI-upi'.Lest nies t p J à l Ip.l deIon, orc, vl l'abbé Bue r e etl'éâb t{I q p: I.ngl

nt I hu tc luxe p r la rérc,acnie

dont le sonvedir ovulera gravé dans tous

l', c, n, 1 d. hdenfai-teurs de la parusses t burdé sur l'ai-rai.,

(Semaine Cnfko'igua.)

M. labb-. Bernaaiot, erré de Sipnrr ,près et, vient de ramai, à l'd,, de79 as-.

S- t niée 1 menants c. secondles 1 0001v d'artillerie dont lesnoms

IlI eut

9n régimnnyMM. 1 s ditd

taille, d 180;Slerzirnelé, du té'/Dlampied, du 23e;Arrwnaux, du 25n.

Noua av 1 g I 'I ni 1

tort 1 ( i l y lt 4

manse le smala, Jarlla é d t 1

1 lad be/3 t b i f

de l a p s . d 1 I e SIE,ie 1 pe o e ga i i.Pas G de tmi t l t

d'. lSoer le prés'. avis ,oui e tb"im L'a.

Matis, 9 06 Maai tS rr, 3 10 four,Soir, 5 40 Soir,

Lite, l'Oa.aae. avina-50m

m""', 6 10 Mat 9111,15. 9 53Sou, {1 55 se., 167

Sou, (Vllletra.) b 60 Soi, Terwn. S 52Soir, 1t 95

Noua ayons te remort

gret d'apprendre 1,de Madame de Rayonna Cahusac

né, de Guilherm,.Le cérémonie de l'emerremeot est

fixée au mardi 15 octobre, à sept heurestrois quarts do matin.

I;a famille prie les personnes qui nSu-Soient pas reçu de commeicatidn devouloir bien considérer le présent avis

Comme eu tenant lien.

Vendredi matin, la roue d'eue et arperte çhargée de blé est ..rée sur leto yrteir de la rue do laubo.rg Cwlle-ery t . t rsér; le choral a eu,

dansa chute, 1 Jambe gauche de de.out 10.00e. Cet apipal a été vendu a 1.

boucherie.

THUATRELa situation do théâtre, depuis quel-

ques "te d'être étudiée.N rs pl s fois, esse,(, d m-diqum 1. a d la crise que trouerse le. tl t tue 1 décadence mgnalée

t dé.oncée sur tous Ils 1 ds laPr ,cet dans les h. a Notre

prête..

let n'allait Pas Jsq àb alliép: ,grue unique 1.ie geer rle mal in-

vél é, omis nousdismnsaump em md'oteil eesait et e quel remède oupourrait essayer pane le guérir. L'événem pt est venu confirmer successivement(lus,pré de nos ob t ar laréalité t la .leur d q .11 nous

saujourd'hui le droit d ins st,, eu

o sappuyant sur l'i.dtecumhle idu fat iapb. Ne faisons pas ici delent pou 1 7t; ne amis payons pas de'lots Sonores, soyons pratiques, et

sayous de noir nettement le qui est. Lethéâtre, qui était encore possible -,biais dos wndrtiona normales it p aquinze vus, qui e végété depuis, m est.ilpas devenu absolument impossible àl'bcure actuel[,?

Les sept ai huit grande. villes deFrance avaient autrefois Ieur théâtre,aven, un ensemble d'artistes très présentables, et dont le talent surpassail debeaucoup les prétentions pécuniaires ouautres. Avons nous besoin de rappelerle vieille réputation liés méritée duthé,Ira de Toulouse le out général dupublic, sa sévérité bien

Saute au tau,

la terreur véritable dus artistes, q etâtaient longtemps avant de se présen-te, ace parterre redomablet... 4ujourIch il nuit prendre l'opposé os

'*'Ilci ni

I LL orne ville, chaque chef-lieu dndissemeut .son lhélOe etseul ont

di ,chanter la Joies ttes Nugusnele Ale e d

lisstes

eu ptoportr dPet appétit gencrata -.116 .entratr, les

pplris rare lesI s)e tdevenusé,, rand-1,1I p é t légligPes

lesclianl sont re 11 s a ode plendne. t' es are nn saros rollfait, a . d .. otecette dutement coleestués hanl, et sur celle monte an ne les

Pl.. arrêtés Avez o r w i; ehb . toper, la: voilà r gt t t ruaste le ( Ne vii t p f car, tles r

l o:.q

l a 1$ e.LAprèsPe, la r1Io.teusa, le b: 1710 I

bues-,i et tous les autres ont voulu nd au gateau appétissant Et quel e étéle armt le plus clair? - La f,i1 ilsdu.... pafiasie,.

Donc, la p eMtièee canes de 1a0riblis-sement de nos scènes le provnce est

dans

le grand ...bel de caltes qui seon[ improvisées à te fois, ch.q.a pelite

vile voulant posséder an théà,re et nunperz. 1111, est dans Ici diminutim t

du b d,. I

s _ nt ree.l'emrot fait 1

0quidr Paris, où leur talent t

consacré, vont à t '

verts dor, en ove tpins

xge¢nls et mad,'dobles polir d'a bade pus E. dehors de ces as t.Il yala f I. 1 t p il,, c}Il ch., t - parmi l;.q. 1 9

II

perse t dégage. t ÿ f: 1 tn l ucces,i,,. , t r n bitess

théâtres de prolinar. Las peilc'aion.de ces eh. a tells d'o 1 i Il f-disent aussi et lis 1.11" Poti

Anlronee.6, la ligne;Réclames, la ligne,Faits divers, la ligne,

0 1r. 30 e.p 00

1 00

T outensa.--Typographie Pl p',r,,,r>. ' ':' F

Une seconde cause de démdence setrouve dans le création des casinos, cafésconceru et autres établissements oùla musique s'exécute devant un pa-blic qui consomma, garde sou chapeausur la léte, fume et calotte des pipes,eegucnle ou tutoie le gargmt à volonté,met les pieds su, les tables et lev

café.-cn.certsmains..... partout. Les

rat presque ruiné les théâtres. H. oetramassé tout ce qu'ils out trouvé dechanteurs médiocres et mauvais; ils dotjoué le ea devlle, l'opérette, commedans les théâtres ; ils ont eu des -rchestees eàtrainants et dominant le tumultede la salle; bref, les recettes augmeataatfont les joncs, ils dot en des arlisteupl

sbie

fixlidl.

Le dormant, telmalheureux cet tirait le diable par laqueue, se dit : e Pourquoi me donnerai-jela peine d'étudier et d'apprendre le

métier de chanteur ?... J'ai une"` 1.11 a.

C

ester; les-c usimal us m'y applaudirontf

quenots

uns oie notre théâtre em-prusire d p ne+.onnairea au calé con-cert. 0 dit bien que de 1, sont sort"des célébrités lytiques, mais 1 expérce so s'est pas Parte encore chez nous.A er c générales de décadence

lent J I e f l d a ses

part cul q e d t pe .I mpossible l'exploitation don thcatr.tdurprovince. Certains de ceux qui se préoc-eupent d q t de théâtre 010 d tque le lréLibliIsenulit des s.hlsntimunicipale,, sauvera tout. D'après nous,qui avons toujours réclamé la stipule.-.m. de t Én n nous restonsre,

ire p in, d yd yant pas pré-n ue de silencecervé lethl ires

s

o.. go partent, les subeenlionn rém-bhee n f t pas naîtra de vrais

artistes, et ne v ndratoatau

contraireusager que de pitoyables exhibi.

lions cela ne s'en que trop vn. Lasubvention mnniripale est d'ailleu rs faite

onmoyeu des dealers des contribuables,

et certains d'entr'enx auraient bien ledroit de . 1 e -aile semblableemploi. I [ i le ll ale lait être

aivtru ud ona "ploitation privée etli-bee : celui qui se sent la nunc de l'en.[reprendre ne doit compter que sar sonhabilelé et sur le bar,,, de publie. Sile public d'eue vile .'est pas a ,,,xriche pour se payeruu théâtre, un opéra,eh bien 1 il s en pulsera; ses moyeuI i .rmeltont de

n'stte.dst

re qu e I osécette, il apprendra à sa contentas de cegenre ma peu équivoque; si su esprite s'éleva pas ou delà do tees à tore

1 "I me tL l f:. o P a lorstlInitia nos asscmbl'.- p m t r

o f"t des dis..ourstre étau t et trèsI I), 10 et am tee subvensurt . -i, dl, i t pt l L ld "a d 1 Il é q d I, p tIciT c O t j t 1 dtaire des pl 'e d. 1 é o t. .tlev oppisdue D ailluu IOisa de lest une ou

stèlesqu" n'à en de

am

mun avec os de province,et leet te

syxtomet 1, l'op ne sa t i . appltq aéantres la nompavmson c t de

p Il'. Cher noas,1 t , la ville et prap-iotuire dsalle et d'un m,tériel rebique. Elledonna m nl t tout cela giattellu' dir_ct.n., à a cor liIl, ,loi Il aura on opéra, en

1 C end seule co,ditiP.oses parsi oxorbitmte, vu Ira 0,lli0ul-tés signalées plus. Au mime t actuel,sa n capons Pas qu':'u d,eroteur,

qu-1 qu'il soit, poisse remptir un pareil6

e.ment' à mû ns Il, la Ville s

t d'Une t2 d t. et leque 6 fi,rail It

phe t fui p I et del' 1 1- N péra à

I I t 1. il y 01l-I Lt Wons lui rernan, de p és lalii 11051105 , noua t r onap gré d

J tde f- I N ors

10 . a t t b t p1010,tl ill mieux f v i , qui

rait pour t iul ri go l ie Pondre de Per-linp op,n ou la ChdiM Blanche.

Peudnat certains mois de la saison,

le di zr r devrait d o libre de

même pl aujouu d'1 nml I J Ur,r tel genre Uni se "t t. 11-p p ,or ou

.Id t p t 6 t q- t t le conduirait

la, sora0 t 1 1 fit t s t'sf t1 1 d 1 D. ns c d'... rondo

ur'it ,e oi Itue. g les I,us J,xms d. p'. ité,i, qu l arheslre cil-s cht ti i' p 'e de q ui, a Toulouse, fan t pl

-Issa-

:1. q f i t boas, b ['.tes connurent m Phasce d'être d..L; e e Iii, r,m,r { i d a L ns g rosés, si la saison 00110.1 état{ i t rPad

et t nia tels e de ts vu, et milI'olr au tint d'être cuLaefe p U.es 'l q'il I h t s d 1 mois de se nid, P;é

dr.n b 11 i t l'g is pri m s. t pa site rarsn. que le, chic sisIS s Uu e hic, rb r, qu'ils ror- 1t l'orchestre sont lias en Pusceau si sa

teignit se cuvent. I lido , on les retrouvera toujours en pha-

lange pressée et compléle, 5 is dispo-eitine du directeur qui les paier2. 'ufait de charge, celle-ci est lourde.'Messieurs des chmurs et de l'erehestres'estiment caser haut : il, ne contentpaa ..!.a de nui ouzos francs par mois.

sont enga-Cette n ée même ils 'ce leà laconditiongés

colloectivement

grià la.presse d'être sapés chaque jour. Quel

directeur aura les rems assez forts loirsoutenir nu système pareil pendant antemois ? Quel ont celui qpi sera à l'abrides mille petits emtrarras cfinanciers,naissant à chaque pas au 1hé6tre;qui pourra répondre de pouvoir ivreprêt à payer à la même minute chaque

r. Or, entendes rossa le beau tapage,

rs dos chcenrs ot del'orches-tee refis aient de jouer parce qu'ils n'auraient pas reçu Ivar esche[.

Nssa regretter ona tenu-foit la désor-g.imatrn d I (hommes) et decchef

est d C p t le. Il y a la nchef hab 1 t 'qae, des profes-

rs dtsttnguéa, appréciés, et gui m u-roat, pour une banne part, à taIls f t p sable des mor-

d ll il y a Ors vorz soli-des, s e t n l' t b: ,, L'eiles ; mats

u

ya ces mIl-ers se n u t d p r blea, et que,

s prétexte de soc étés ils ne se Pré-ISasrut t plu la difficulté destemps. No is a nc«,ul très Lien quolev ohm- et I'drehest ¢ so rs4 payésou -

maliont soli meut it s deuuaat. neaines qn I t o p

sSe

ma lents e po., se-rie da r p oie tin s que I usurestear donnera quand il voudra ou quandil pourra

Les r pr t üdes e,pncées, voilà,pour .d tl i s, le sent avenir. Artheu des spectacles maussades ett détes-tables de 1 a q- qnt, peudlut huit

as,font. t I J .e des dormeurs desstalles ou des désmvvr.'s use baignoires,

es !assis quelynes raresrepréseul t- d'opéra, esc ellentes,auxa0emcpdees a I t p 1 l1 b cec c 001101,00 1 1 d' l O ère,il comme certaine I, présenlatiou deslluguenols, Sui Mail v,arment ou échodes aceeot., de l'Acadenuo Ciovale de

.nique dus sotte cait, du Capitoleétonnée et transfigeiéu.Ceta veut dire que, aux troupes sc-

des tarse. q d p stout et qu'il e. l

peu pré p bl de recrutcl, ilfaut noirs Ir:.b tuer a voir succéder Iratr ses b 1 t mposéea de hune

i ,tes q pr a pro xélé t totel-

li L f t l- Loin ot d'avance,'I -II s Ill. 1 1 s et de

1 I gn No a d" I re-

peisentahons par an, l place d es

11- nt1 L ;. t Q it aux ii,terealles,

I a t t 1 l remplis par lerépertoire des th air-.s de genre ou parla Féerie.

A la rareté des"a' a

rlyriques, à lacherté des exéeulantr, if font ajouterde, cLargel considérables pour le direc-teur Le droit des pauvres subsiste. Lesi o't, d r lut augmenté depuisqe q ue. é.. Et ion .'.volis p.,c'

à eau r Bars les 07101e aadminis-trat on et à énaméero certmnce dépen-s auxquelles nous ne sommes pas roi.

Avons .nuls besoin de conclure : ceque nous a 1 t . t parfaitement court.Lorsque on homme .e présente pourentrep'cndne une campagne ihéstrate,avec 0e pareilles chueg ss, Il ont de taulejustice rle l'accueillir avec faveur et de

na tr se, banne, intentions, Ni.D 1 e P air, théâtre dans un esses

état ; me Iras lourd passé àl,q s'est trouvé à sa charge; il l'a1 richement acwpté, cnmpluul sur l'a-

, et se faisant peut-être certainesillusions tré pardrscoàtes, et dont ilserait en twl cash p .mare vintime.

Le perso..Il lyrique de tts année'est pas parfait, bien loin d, là. Il ne

sauritit en être autrement; mais cepen-dant tout n'y est pas à mépriser, etgoelques sost très duenea d'at-tention.

Ilrjà deux 001001, monta saut restésmer lo champ de baLmlle, dés la premièreh Le silence b,lu sar leur tombo

t l m 11 e rs ,o fneébre I no sb à p dre notre revanehc

de { et i b s- s Per[inenoes, oom-es' par

club;certain po iovali

vede laàristflL

de I m l é quia aucoache dureis..... quel sort-il souvent? do

vent.La Jlioo est an débat détestable. 11 y

a là, à I fin du net., cette fa-meuse phrase à laquelle le public attend

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: Il'.images.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1872/B315556101...P e 1 p '(t lf 1 ts .1 no's -Pis p nté sur I dfleculle de M ll 't 12 t l l N à q lt l demis il., ma lu 0 Cré pr test, coolie

prix essaiees-a'sta, nous tout de novembre 1872 est fixée, pour Comme il fallait s'y attendre, et mus- Ire les faits qui se passent dons le pays. leu précautions

denn,ode, u ]I fallait donc, dés la premiérr Imm-Is drue artistes, homme et femme; et nattions mienz Mme Fusch e

ai 1 chance et le gis sr des deux pu- vins plus justes :pprÉC:ateure des foules les communes du département, me s'y attendait sans doute M. Thirinerce s M. Grévy: La pétition lieaurait

lients sont d'accord, tout va pour le qualités fi bila que nous ne au 3 dites. u, et la clôture au 12 tout le premier, l'expuision du p et la révocation de fomaioonat' fstation, révoquer le maire de ire-

l

enquêteNapoléon a cr e. divrrsioo dans les ers publics ; la commission i n pas Il mobl Le gonvrrnement. traitera-( IL t'a

mnca nl l''t uawa ,bol. m,:indiquer aujourda1a0-.. qumienz : ce sont alors des trépignementsoe doit MM. Ils maires c voguer nt todivi-Ida-MassMmôté d llA' u

yeecCrpen dent l murre marche il e,fautrit sien réellement, pa'Lar de toute pis être oubliée. C'est là nue artiste né' duellemenl et par écrit chacun des

a. pensa sue. L'habit nu fats pas le moi. rieuse qu'il faut raeger deus la catégorie membres du Conseil municipal cinq jours

e, mais il le rouvre, et ici heureuse. des bu.s sujets de province. Mme Massy avant l'ouverture de la session.

merr. pour Ini, ose le ténor mijotât, ra- chante aussi très correctement , lors' PmsdaoU. durée te cette session, qui

ot, triste quelle oe s'éloigne pas trop de la par. est deet

jours, les Conseils mnsicip.uz, funèbre mdme; la voix faiblit;

titioo; mafia dans Is ts d'or t t ts'occuper de tous les objets quielle ait par s'en aller tout à fait, et le

e rro

tr

énor de faire comme elle : il quitte la les traits de fantuisiePolauditeurgse se tûtéressen les communes et qui sont

scène.: scandale et cris. Notre métier terrain il pas quelquefois et se demande dans leurs attributions légales.à l'ai peunouI Obligeit d'attendre la fin de la ai la chanteuse ne va pus ra-

comédie ; nous .eu avons pas eu le coa. Tenture. C'est ce qui explique pourquoirage. Mme Ida-Massy l'a pas tout le succès

Or, écoutez tous, petits et grands, la qu'elle mériterait. La fie 'arrive pas

suite de cette histoire. P. la seconde da assez

"""»"et 1 public oublie

la fuir Il nous entrons an théâtre, juste les bornes clins. du .eurent.

an moment oie la premiers avait été iu pma'hi voix est un peu faible et le chaut

Leur ompne. Le ténor, toujours aussi tu- manges d'entrain. Néanmoins , Mme

nèbre, s'est avancé par ms mouvement Massy mérite d'être écoutée avec attcu-

automatigue vers 11, trou du ...ffene, etc lion, et elle sera souvent justement ap-die.cette lois, au lieu de parler au public, il plan

n bel et bien chanté son rôle de façon Le côté des dames a été, de toute fa-éçon, beaucoup mieux choisi que le côt

te

se faire es iprr avec enthousiasme. masculin de la troupe. Est-ce le hasardVoilà de coi oppositions inexplicables. l'a fait? Est-ce la L.L.fatalité. ??..uiUn homme qui, la veilla, est envoyé ait

QC,tpshm par un parterre humilié, et ai fendit accuser de cette biaarrerie

yui, le lendemain, est acclamé et rappeléhormis peut-étre le ténor léger Itubret,

P., os même parterre. Mettons-nous au-tout le rade dort ôter immole.

orae sou-

dessus de ces m.oifesmtions intestins'vient des catégories que quus établis

tiers, de ces mouvements d'humeur tué-sto.. eu cet

,aarticle : acds-

ridionale où la réflexion est abseate; ettes parisiens ou étranger hors de' fis,

disons sana passion que le ténor Cas- trop

sorte P.

noue; artistes à tel ent

telh est un vès-médiecee chanteur, quittonvêtI' spmrd ,at ni s i,'s d'en

phrase oral, et n'a pas la puissance de rime, abordables,usmin qui

avoue a

enture

voix nieeuai'a pour l'emploi. Il a, en assea rares trois11s, la

entre, contre lai, un physique déplore-quatre da

çafia nouvelle troupe. Eufil

lite es physioimmic ne n'anime pasé

plus avonrare,de

r c lie dont WLa

l

que les b ras ou les lies ; le dmrr-trop de représentants.

jam 0ieons, comme o et aswn, que nouechu rat mai assurée ; le duale ,.a, ab- 'avons mètre pas le droit de roua Plein.sent ; pas la moindre intelligence des drr car 'foulonse rat encore plus favo-

ssthms. Noua avons an C,slrlli sousoc Lyon moins mal partagéue Lym, ,qta

la robe du juif Eléazar. Eh bien ! "9""- Que Marseille, Marseille osant à peinev

osu. peu quel poétique Rdvard il envmr ISordeaaz, t,,.,deau, en étant

taisait dais Lucie N,nsi,lons p,a da réduit à jalnnaer (',aecansunne. Voilà, enuvaite: M. CxsV:l'i cnnipns quel trois.mets, la vraie situation des thraiers

devait se nuire justice àtlui-même en lé'. lyriques de province; voies lis réaumé trèsnt son engagemen t. intelligible de son histoire .rmelle.Nons

Sa accession est éclore tempos' t'avons een LObauchée;nouslacon-men, à M. Joli., notre coocitoyeu,

temporaire

floueronssimpl

pour l'édification il. lecteur.souvent applaudi .u Ça étole. Cel

Lares.a 'Liste, eauxavoir eu grand talent, pissde cependant des qualités assez. eshma-bles. La vois. est bonne, unissante, matselle faiblit ou disparate dans les pass-gel tendres ; elle n'a pas de demi-tein-tes.

Cles, par la parsie, M. Julie

d'auperspan de taille, de tournure, d'un

physique plus séduisant que, le sien, etvous le verrez fort recherché par tousles directeurs. biais Joli. reste à Tuu-tosae, où il a rang do chanteur utile eta: nscieerieuz. Quel ténor l'avenir non.eèserved-il 1 et combiee en Terrons'nousdéfiler et.... disparaître t

Après]; chute rapide et méritée dela basse, M. Coraux, ancien pensies-.aire de l'Opéra, a pris l'intérim. Il sttris regrettable que ce chanteur, qui3 pe pr s

fa ire muet q Yatenla

a. a

ne, puisse pIusSa rota se fatigue vite, sous la détestableinfluence de notre cuissot muloosain. Et,cependant, quel chanteur solide , ma-gistral, [aimé à bonne école , et qui atoujours ds moments de chaleur et depuissance qui entraînent le public !...Cazaux anime sou voisinage, trop sou-ent éteint et inerte; sa rois métallique

¢IclI'ate daoa les ensembles: à côté de lui,aut marcher. C'est ainsi que le final

du v ' acte de la .suive a été chaulé partout le monde , à la seconde représenta-tion, tandis que, à 1. Première, rit 'é.tait pas Canaux, nous n'avovs entenduque la voix de M. Daudouin : c'était en-core Quelque chose, niais lias as5la , envéril6. Nous souhaitons

quele séjour

de Canaux, à Tuuloase,se prolonge leplus longtemps possible. En ce temps-cl,lorsgn on tient un écie te véritable, ilrfaut le wnserver précieusement, et avectous les aaius qù on donne à une plantede l". chaude.

la seconde basse. la Ralliées, balleet le Baryton se fout remarquer par leuni me défaut, la lourdeur du chant. Cedernier a chanté sou rôle , duos Lucie ,de la manière la plus atigaate, grossis-saut les noas outre lusses pur on st, t

leme de pro.oariation du plusdéplorable

O'et.At'ecagératioa dans le chantloigneal'exagéealioe dans le geste, et auII il

la rate.. du peu de sucrés du buey-tom, dont le nom nous échappe, et quenous avons certainement trouv6 bien audessous de son malheureux camaradeCestelli.

Le ténor léger Ilobert 'il" conquisfis faveurs de L. plus grande partie dupublic par beaucoup d'aisaaae et parune voix, qui, tout en étant d'assez. mou.vaise qualité, a cependant de la chaleuret un volume très suffisant pour

,min.

plia. Disons d'ailleurs que Ni. Denis Ilo-bertestdebeaucnup meilleur dans leIront large que dune les ro lises. Très

faille par suite duos le Barbier, st s, aucontraire, chanté le duo de la Juive , tsurtout celui de Robert, avec Czzauu, defaçon à mériter d'être r appelé. En som-me, M. Robert est une des plus sérieu-ses acquisitions de M. Dauriai.

Puisque noue parlons d'acquisitionssérieuses, écrivons de suite In nom rieMme Fuacli-Madié, forte chanteuse Fat-

n, une débutante qui, en passant seu-lement, a inscrit e n nom à l'Opéra,mais qui y reviendra à coup sur pour ybriller avec éclat. Mme p'usch-Madoé pon-i:de ..e très jolie vota, d'un timbre sé-

duisant, et qui a tonte la puissance né.

ssaire pour aborder le répertoire cou-lemporuin. Cette jeune artiste a eu, dit os,des succès de Conservatoire : cela ne doitpas surprendre lorsqu'on a entendu cechant toutous correct, posé, sa.s apprêt,sagement mesuré, et d'où me sont pas e-pendant

exclus la psauion et le senti-entdnmattque. Les quelques difail-

1 nces que l'.. pourrait relever dans la

Roi de certains morceaux, dune le coupde fouet, si important pour assurer lesuccès du chanteur, sont le produit del'ineapérience de la scène chez cettecharmante artiste, qui parait surtout sepréoccuper de la phrase, qui est vrai-ment classique, A mesure que sens enn-

TIIEATRE DES VABIETÊS

mntms-lartsvss n oma are soctérü sousanou n u. vairon, aamtaz, cnar-

caro n fana'.

aire Année. - Saisan d'hiver 1872.75.

TABLEAU DE TROUPE

Admtnistr.lionMessieurs,

Victor, Iteillee Cea'petit, Ifeury, admt-ntuuestsnrs; Pascal, Albert père, régis-

e; Delpech, chef d'orchestre ; Del-

prat aisé, chef machiniste; Lacroiz,

so l'Bene ; Boiserie , contrôleur ; Dé-gué, id.

nnamss, c o trots, vaunevatus, oetazrras.Messieurs,

Bouyeq grand premier rôle; Frespeclo,jeune premier rôle; Raillez, grand leoi-léme rôle; Fabrègaea, jaune troisièmerôle; henry, premier rôle marqué, pèrenoble; Veuillot, amaurena; Victor, pre-mier comique; bleultetot, premier comi-que marqué; Bouland, premier comique,premier comique marqué; Montriel, aie,lard

premier rôle, liuancier, des grima;Pagés, jaune comique; Pascal denzlèmeomique; Boulines, troisième comique,des grime.; Bazerques, des amoureux;Albert fils, rôles de canvenauce; Alphun-

grande utilité ; Lasvignes, utilité;le,Ernest, utilité; Albert père, utilité; Louis,utilité.

Mesdames,

Criailler, grand premier rôle ; Vial,

jeune premier ôte; I'hiliberte, jeunePalière ; Léa Ilcmenthe, jeuse pre-mière, ingénuité première

r ; Hébert, grande coquetteRatel première soubrette, déjaaet, tra-vestis; lleuey, pramiére soubrette degenre, chanteuse d'opérettes ;'Sté-phes, première duègne, mère noble;Victor, coquette des vaudevilles ; AlineDouland, seconde dotées., Adrienne,deuxième amoureuse : Freapech, des se-condes soubrettes ; Veillera, ubreReAllia

coquette ; Marie, grande utilit é;.il, tilité ; Sarautte, utilité ; Jeanne,utiité; Zoé, utilité ; Théodorine, utilité;

Louise, utilité.

Celui.. de l'ab.nnemeut

L'abonnement d'hiver commencera le13 octobre 1872 et se terminera le 31mai 1873.

L'ob...emeat au mois sera payé d'a-vance.

Hommes, 20 fi. ; dames, 42 fr.pour MM, les étudiants, 12 fr.

L'administration assure 20 reprAsen-

tatines par mois ; au dessus de cenombre,

Pabonnement au mois peutêtre suspendu.

Messieurs les abonnés e pourrontexiger q. ;il leur soit réservé des placesdurs la as le, attendu qu'ils o.t, commele public, le droit de venir prendre leurplace à l'ouverture des parles. - Me.-sicurs les abonnés qui désirent avoir unestalle, sont prévenus que Ils prix en de-meure fixé à 15 francs.

8. eovoicvoa et 000nuncss A esnn.

Prosramme des morceaux qui seront ètuléeaojonrd'hui, 13 octobre, de 5 à 6 heuroe,aux Allées Lafayette.

1 Allegro mtliteiee (Haslinger).

2 Fantaisie sue m Travioea (Verdi .3 L'Jsnilatiun d la Valse (Webor .4 Amélina, polka (ttaslinger).5 Quadrille tapageur (Roussit).

Foix, 11 octobre.u l'or arrêté du

préfeten date du 10

tartes courant, l'ouverture de la sea-

184 déclarations d'option nul été re-çues à la Mairie de Pau jusqu'au 30 sep-Lemhre.

I;e total se décompose i nsi : 100civils et 78 militaires ont opté parc laFrance; 6 militaires seulement ont dé-

claré préférer ta rail ...lilé allemande.

htgr l'évêque de Pénigueuz 'lentd'ordomser. la suppression des deuxcharges de vicaire à Sarlat à qua le cou-setl municipal avait supprimé le traite.

ont. Celte décision s nausi ne rireémotion parmi la population. Quelquesefforts ont été l'ans auprès des coseilteesmunlpaux pour las déterminer à ce"",ur leurs in justes résolutions. 0e s'est

ensuite adressée M. le préfet 'fonjoursrepoussée, la population signe an cemoment une pétition à M. le ministredes finances.

VERSAILLES PARIS

es epréoecupatiuns politiques do moment, droit de prendre nne résol il,, . cathohgaes plus mal que

Pour les esprits sérieux et clairvoyants, pareils faits La Iecutre de la pelitinu' ns v il transpose chaque armée, snr

il s'e0'ace néanmoins devant la gennubé a pn P, re seulement faite ; mais il ne des bàtiments de l'ébat, nn grand noir-

des déclarations qui n'abonbissent à ri n rait illégal d'aametète la pétition et1

bru d'Arabes au pélerinage de le Meo-puans il... reu elle soes lmoins qu'a une rn"uns col" fi,! et nu

parti dont le eue lui avait pasété marchandé, depuis le mois de janvierde cette année.

Le sucaxsseur de M. Elle=1 picardn'est pas désigné, je n'ai pas besoin de

v le dire, d'aillant mieux que M. leprésident de la République tnsisle ton-jours auprès de ce diplomate pour qui ilretire sa démusnon. Mais je crois Ile-ci, pour beaucoup de raisons , défini-tive.

L'état vient cloaque jour en aide auxémigrons dAlsace Lorraine;

quiparle

d'unesomm'e

de 300,000 fr. qui seraitquotidiennement dépensée pour pour-

' à PHahlissement de nos malheu-reux compatriotes.

COMMISSION DE PERMANENCE

de l'Assemblé. Nationale.

qde délibérer snr les mesurIfcile

M. Base prétend que la pétition émitadressée à ta coma ssinu de perma-nence et non à l'Assemblée, il n'y a pas

lieu de la renvoyer à l'Assemblée, etqu'il faut l'accueillir seulement commecontenant la de..ndation de certainsfaits de nature à éclairer la commis'si...

M. Grévy persiste à soutenir que lepétition n'est pas arrivée à sa

véritable

ese et que lu commission ou peutque la

transmettre à I. représentationdu pays, que les petit! .... il.. net eumanifestement en vue.

M. Martial Delpil demande la parole.M. Cille, anooace à ce moment l'arri-

née de M. le président de la Républiqueau palais de l'Assemblée.

M. Thiers est introduit; il est accom-pagné de M. de Rémusat, ministre des

'paires étrangères, et de M. Victor Le-

franc, ministre de l'intérieur.

met ces musuueq

lent eu échange le fanatisme et le ciss-,

lém.M Thiers. - Il ne faut pue Tordoir

imposer air gouverventent une fiche

qu'il ne pourrait guère Platfoule i

a dans mn,a

isgle p

e pas faire qnepouvonsas ales pèlerinages de Lourdes et de la Sa-one 1 le

en

.elle soient respectés comme les

ce.

.

e

fies epopulationsansI Zabi

tués.Ces pèlerinages, quine sont pas dans

les peurs, nie us doélitent les 00 neions-

roipa dent punir s d nais on ne pm,tpas damaoder e, gouvernement des "I`

oe, éeat le de-ses et le tblesL.

rdrvoir et le but dn P eutene e (; mais

empécher desdans la rue il n Peut

manifestations qu'il regrette profondé-

ment.

M. d'Ahoville soutient que ce n'estpas la population de Nantes, mais nuepoignée de gamins des rues, qui ont in-sulté les pèlerins. Il ii admet pas que le......uement or puisse rien faire. Il fau-drait dore que chaque poterie eut un ve-

eoM1er dans sa poche. Il répète qu'il tal-lait, orant tout, punir le maire de Gre-

le.nobM. le duc de D'agile fait observer qu'Il

y a dans s la plainte soumise à ta commis-sion deux ordres de faits qui appellentdeus ordres d'engnéle : les voies de faitet les inj ores adressées an péleriva, les-quelles aont du ressort de la justice. blocenquête judtrluire est commencée à

égard, et nous devons en attendre le rota

soldat. Mais, de plus, on se plaint qules autorités préfectorale et municipalen'aient pas fait leur devoir. Ceci est exclusivemenl du ressort du gouvernement

Ce justice .,àetdo P`d`d'h`tà conafverdes""mintorts reprochés

des fancli.... ires administratifs. Le prin-cipe de la sépantiou des pouvoirs 'yoppose. C'est au gouvernement outil asavoir si les fonctionnaires qui dépendentde lui rat bien agi et est pris toutes lesmesures nécessaires pour s'opposerdésordre. Quelle est donc à cet égardam.opinion t Croit.il les autorités ireépen'chables ? D..no-t-il à leur conduite sonplein assentiment?

M. Thiers. - Neus avons dé recoveirà une appréciation : celle de l'intention..Le maire et le préfet ont-ils eu tort de me

pas prévoir les désordre du troisièmetrain t Cela rat difficile a affirmer ;maisje suis convaincu lue l'intention étaitbanne, car l'aulnriti mili taire .vair priedes précautions. Si, après de telles scènesle public n'avait pus compris que ceamêmes scènes déshoeorent notre temps,nous aurions eu postérieuremest debien plus graves désordres à déplorer.tau reste, je répète que l'évêque escon-aait que l'autorité n'a pas été aussi im-prévoy rte

q" d

l'avait primitivementsupposé.

M. le dur de Bisaccis. - En réponse àM. le président de la République, per-mettez-moi de vous lire quelques passa-ges d'une lettre que je reçois de Nartes,d'un de nos collègues :

. Vous a ez eu c unaiseunce par lapresse des faits scendaleun qui s sortpassés à Nantes à l'arrivée de, pèlerinsde Nove.Usais de Lourdes.

n Toutes les autorités dépatemenm-les ou municipales ont laissé faire et

nt convaincues ou d'une grande fai-blesse ou de complicité.

. L organisateurs du pèlerinage viea-renl d'adresser une protestation au pré-'dent de l'Assemblée et à la cammiasien

de pleermanence.vous demande avec instance, en

leur nom et au mien, de vouloir bienla défendre avec la concours de toue noscollègues. .

De cette lettre et des renseignementsquej'ai reçus, il résulte clairement pour

'ai

que les autorités de Nantes lentcoupables os de complicité ou de b ihlea-

et sans avos, le droit de demandersatisfacliom peur ces femmes, ces enfants,ces ieillards qui o

ni

été insultés parne bande composée du rebut de la cité.

Car je se veut pas taire retomber sor laville de Nantes le fait de misérables sou-doyés par des chefs qui fonjours se ca-chent lorsquele moment de an montrer

fui-arMs

e, Messieurs, quand je Pr""blesse de la part des autoritsots-je en trouver une preuve palus éclatanteque dans la lettre du préfet à Mgr lésé.que de Nasts?

Un scandale épounntab!e a lieu dansune grande cité. Des prêtres, des femmes,des enfanta, des vieillards, coupables d'a-

'r été prier, saut insultés pendant

Noie heures consécutives... Justice n'a

pas encore été faite... Vous penarz ares

mu' que le préfet doit être indigné.Nullement.. il écrit à l'évêque qu'il

y a . imprudente . à ...inter . a.-

"" élérinag. ; que . d'accord avecle

mtpsistee

.(qu'il compromet d'une ma-nière étrange ) . l'heure du départ de-vra fier cachée jusqu'à deux jours avantla départ.-

Qu'il . faut éviter de donner au pèleri-nage ce caractère de démonstration te.ligieuse . dangereuse . en le remettantà des heures où le public me peut diraenclin à faire maure de désmuvré. .

lit quand vous noyez, messieurs, u.apareille `a s'étonner

de cellepmmitrée pal],a autorités qui es dépendent?

I;h bien 1 je vous le dis ici, eusacceptons ni pour nous, et pour nos

femmes et no enfants l'obligation decher pour prier. Nous vantons lanous

liberté; nous voulues la liberté de laprière où et quand anus voudrons , etnous vous detnaDdona, monsieur le pr6-

Séance du 10 sel libre.

La Commission de permanence a tenu,la 10, sa sixième séance sous la prési-dencelde V. Crévy.

MM. Martel, Vite', vice présidents, le-Prèsenlaieut le bureau de la Chambre;

MM. pmsl de Rémusat, Desjardins et deMenus, secrétaires, ainsi que M. Itaze,étaient également présents.

BoSi,, les vingt quatre membres de lacommission dont les noms suivent alaient à cette réunion : MM. le généralI.haugarnier, de Mernay, de La Itoche-l'ouoauld, Marital Delpil, Mo-eau, Pagés Dupantd, Cornélis de Witt,

de Rainneville , 'Abovtfie, Boldeaa,peul Marin, Journault, Antonio Lefèvre-Ponlalis, Otheoin d'llaunsoscille, Bom-pard, Lacet, Robert de Massy, de Mahy,Noël Parfait, Ed. Laboulaye, ferret, Cal-let, de Eergorlay et le duc de prairie.Seul, le général Frébault était absent.Ou remarquait beaucoup la présence dugdniral Changarnier.

Le procès verbal, lu par M, Desjardins;est adopté sans réclamation.

On avait v nc' à l'avance que M.le Président de 1. Répu tliq'r e avait Pin-temple, de soulever, u incident a l'oc-

ion de ce procès verbal, mats M.Thiem, notait point encore présent lors

de la lecture.M. le président Grévy dit qu'il a reçu

rune pétition d'un certain nombre d'ha-bitantsde Nantes, relative ... événe-ments dont cette.eille a été le tbé:itre,le2G septembre, au r.Lourd. Pèlerins-Ils de Notre Dame de Lourdes. Il pro-pose à 1. commission d'agir comme elleP. précédemment fait, cet-à.dure de

rvoyer cette pétition à l'AssembléeNationale.

M. de La Rochefoucauld, duc de Bi-sccia, demande la lecture de cette péti-tion.

M. Crévy déclare ne voir aucun immet-énisatl ce qu'il soi11. uné sali, faction

à M. de La Itocluel'oucauld, à la condi-lion toutefois que Ita minimum depermanence ue Plomba auc...réaolu-lion sur le fond même de cette pétition.

lit. de Rémusat lit la pétition. Les si-gnataires prèlesdent que 2,000 pèlerinsenviron revenant de Lourdas, a usantde la plus inetfensive, de la plus saintedes libertés, celle de prier pour l'Egliseet pour la France ., ont été l'objet d'in-jures grossières, de lâches outragea etde gravi provocations.lie

ajoutent que plusieurs pèlerins matété frappés ou ont eu leurs vêlementsdécbieés. EnOo, ils setonuent qu'air anaprès la Commune il se soit trouvé à

Nantes des hommes capables de chanterdevant des prêtres : -Qu'on sang impurabreuve nos sillons !-

Eau enquête est demandée par lespétitionnaires pour savoir s'il a en desnatigatrum et des chefs. 'route la ville,

diseol.fils, était avertie que des scènesde désordre devaient se produire à Parrivée des pèlerins. Si le maire n'a prisaucune précaution , il doit être révo-qué:

L'enquête est indispensable au nomde 1. liberté de comc.ce, au nom dela joli lu. insultés,

a0u

m de I. fai-blesse me...en et frappés, an ioom del'armée outragée, enlin au nom de pa-triotisme si dignement eprésentê parle général de brigade Lallemand adres-sant ces mots aux émeutiers :.Ce n'estpas ainsi que vous préparerez la revan-che b

M. Cornélis de Witt demande ai lego osaient est dans l'intention de sefaire représenter au sein de la commis-sion ; il voudrait mi demander des ex-plications sur les manifestations anti-religieuses.

M. Grévy croit que M, le président defia République va se rendre au sein de lacommission. En attendant, il propose derenvoyer la pétition à l'Assemblée.M. Lacet appuie ce renvoi, e rap-

pelant que la commission de pumace a nu damas use de s s préce-doutes

séances qù elle n'avait pas mémole droit d'aceeplerla démission de M. FlyeSaisi e.Marte, député de la Marne.

M. d'Aboville m'lle. a contraire,pour qu'une résoluttou soit prise, allcn-du que les mômes toit, poorrmmt se re-produire. il est indispensable que legouvernement pronom des masures.

M. Grévy fait remarquer au préopi-nanljque M. .,.élis de Witt rient d'au-noncer son intention d'iuterrogerle gou.ement à es sujet ; eo cnnaéquencr,le renvoi de la Pétition peut dure pennon-et suas rien peéjngor pour cela.

M. de Le Rochefoucauld demande l'a-,joueurment de co vole.

M. Bottiearu parle datas le mdme sens.Il expose qu'a ses veux le public atoujours le droit de s'adresser à la com-mission de pu'manance, pour lui signa.

(d eerep n lance pdrticulièra,)

Parie, 11 octobre.

La compterendn de le séance de lecommission de permanence est amrelle-menl l'éeéoemeot du Jour. Les disposi-fi..s dans lesgselles M. Thiers s'étaitrendu à Versailles étaient assez connuesdepuis trente.six beurex pour qu'il m'eutété possible de vina fourmi des tndt-ratines précise sur c point. Cette ma-nière d'iateeprêter le discours de Crs-.oble et de le juger, date.belle de lorigise de l'incident, ou est.elle don iquelque circonstance ultérieure, encoremal expliquée. C'est cette dernière ver-aio. qui est la plus probable.

Je n'entrerai pas dur. le détail desexplications fournies par M. Thiers et

dont tous les ,j.uroa.. ont donné le ri-s mé fart exactement. ll n'y u plus qu'àglaner quelques traits dans le récit de

la séance d'hier. Eu voici qui n'est pas

aura tiérêt.

Un des avant midi, M. Thiers, eu ar-rivant 1 la gare avec Mme la poéstdsnteet Mlle lionne ; ncoutra le généralChangarnier et M. Oelpit. Il les fit moa-ter dans son wle.. et là, pendust. toutle trajet, le président ntendtt les do-léaaces do premier qui lui reprocha entermes amers de 13clier la bride au ra-dicalfsme.

M. 'l'hiers répandit à ces accusationsavec beoueeup de calme et de modéra-tion, et sous nue forme 'la, familièreesquissa vivement les principaux palaisdo discours qu'il allait prononcer. Poisil ansonrs à ses interlocuteurs l'arresla.il.. de prince Napoléou, qui se so..leva de leur part oucune eb,jeclfon.

0. débarqua sur ce, enlrefaits àVersailles. Là se place un autre incident.Vous savez que M. de La RochefoucauldBieaccia a lu une longue Dote réqrials contre le gouvernement de M.Thiers. Croyant que cette note remitautre ,buse «Lune lettre adressée à M.de La Rochefoucauld par un de ses .mispolitiques, le président l'interrompit parune exclamation assez. ries, dans laquelleil caractérisait aéeérememen[ le prétendu

I's. soleil,correspondant

et M.du

duc.U muplic il..

infnimenta a'Thies, av cde borna grâce, reconnut non erreur etretira le mat qui .rait pu blesser M. deLa Rochefoucauld.

Eo somme la droite et le centre droitsont pas mécontents de l'altitude du

Président de la République. Lis s 'ailes-diluait ledes déclarations beaucoup moins

précises, et M. de Broglie a pris note desParoles de M. Thiers comme d'une satie-factto. destinéeà renforcer le parti con-aeeealnur. Mais de leur côté, les jour-naux radicaux, comme eu vert. d'unmot d'aedle se bornent à reproduire lediscours de M. Thiers et a'y ajoutentaucune critique, ni môme aucuui..-

La gauchie radicale était.elleprévenue 1 I'avance de ce qui devait sepasser? A-t'elle des raisons de croire quece que M. Thiers a voulu avant tout. c'estparler pour l'étranger? Le fait est queces diverses questions se posent sur leslèvres de beaucoup de personnes.

Je ne sons dirai qu'on mot sur l'ex-pulsion Idu prince Napoléon; elle vertpas approuvée a.ns réserve, la Chambreayant veto.. formellement que les mem-

savaientbres de 1. famille B..aPactepas perd., par suite de la déchéance, ledroit de résider sur le territoire iras'gais. Il a été parlé d'une conspirationbonapartiste, maison n'y croit pas beau-coup, les circonstances actuelles ne fa-vurieast guère une pareille entreprise.

On ajuste toutefois nu détail assez cu-rieux, c'est qu'au moment où J'inspe-lear de police, délégué à cet effet, pournotifier au prince Napoléon l'ordre d'ea-pulston dort il était porteur, est rivécher M. Adelon, ancien chef do cabinetde 11. E. (Millier, selon l'a uns, citez M.liouher, selon Ies autre,; e'l n'aurait pastrouvé le prince.

Lianel'a

cercles bonapartistes on ratnaturellement fort ému de l'incident :on prétend que le voyage do cousin del'ez-empereur était toul à tait étranger

ità m Politique , et ïl se rapportait ea-clusivement au

futurqumariagede m

Rruher. Le prince n serait mène pas.116 à

soi

et Cralien voir sa sou, la prin-cesse Mathilde. Quant au bruit qu'il au-rait logé à la légation d'llalie, aucunedes Champs E1,sécs, chien M. Nigra, il seréfute de lui-manse.

M. le président de la Républiqueprend place à droite de M. Grévy.

M. Thiers: J'a viens répondre à toutesles questions qui me seront adressées.

M. Cornélis de Wit, demande à M.Thiers quelles mesures le gouvernementcompte prendra pour sauvegarder la fibercé esligieise des catholique. len'appartiens pas, dit il, à la mérou Ggli-se que les pèlerins de Lourdes; mafia jecroirais eom promettre le droit file j'en'poids revendiquer pour mes correltgmp-nairas si je ne demandais pas su gouivermenne de répudier et de réprimer lesactes odient commis à Nantes.

M. Thiers: Mons le gouverneroe.t setrouvent les plus chaleureux eéprnb.-leurs des désordres de Nantes. Nous eu..loue que la liberté de conscience soitrespectée dans tous les cultes, et sur-tort dans le culte catholique, qe i est,à vrai dire, le culte nation.. gon-

reement s fait tout ce qu'il pouvaitfaire. Il s'a pas attendu l'interpellationpour agir.

Cependant il faut voir les faits telsqu'ils sont et sans exagération. Les pas.

t sont mêlés, mais la junteestsaisie, et elle a grand'petne à démê-ler la vérité. Il est en tait ,ncootestablqc'est que les pèlerinages ne sont pas

captés et sons entrre dans les

habitudes des populations que les pro-s. Avons-noas admis le droit des

pencesstors? Dut. Nous avons établi

me principe le droit des processions.isa

Nous arias tenu l'ermemevt la main àl'exécution de ce principe. Partout ellesont eu lieu librement. Ce .,est pus no-tre faute si les pèlerinages ne

sent

pas

outrés dan. les habitudes des popula-tions. bous les villes protestantes du

Midi, comme dans celles où l'esprit é-

nuiolionnaire est le plus avancé, les

processions net eu lien entourée. do

respect général; quantau

pèleriuage

de Lourdes, bien qu'il y edcn peu

peut-Stred'a'pectatio., - je n'entends

faire de reproches à qui que ce soif, -

nous ne s attendions pas à ça quious'e t Passé.

Le premier train, arrivé à Nantes le 26septembre, se provoqué aucun désor-dre. L'mumrilé locale avait dose suppo-sé que l'entrée des autres trains rencon-trerait le môme calme, Le général Lut-bornant, qui commande à Nattes, nous aconfirmé verbalement cette opinion. Eneffet, le dradièmo train na provoquéaucun trouble sérieux. C'est ou troi,iè-me train seulement , et traitementans prévisions , que les scènes les plushlcheoses et les plus déplorables net eu

Comment les faits ae sont-ils passés ?Soixante-gaatoeaeL. justice informe.

témoins ont été entendue. J'ai là un ré-méqui ma été communiqué par le

garde des sceaux. La vérité est difficileà d'oouvrie, l,es ,journalistes qui osa leplus écrit déclarent qù ils ne savant riende précis. On leur demande alors pour-

i s'ils ont vu des mu-quoi ils oet parlé,s traitements ex rcés snr telles ou

miles persomts. Et quand il faut evenir à la précision des faits, ils ce Pue-dent négativement.

IL y a eu certainement des cris , deshaées, des sifflets, des désordres infini-menlregeettabls. Si l'os peut déccu-vrir ma corps de délit, des poursuitesseront exercées. Ls coupables serontpunis; il u'y aura de grdce pourpeson-

. films religieuses out do s réfugierchez on pharmacien; je demande pardondu terme dont je vais me servir: ons'est partout bousculé dans la foule ,.aie lue choses n'ont pas été aussi délie.tueuses qu'on l'imagine. Quinze centspersonnes débouchant au mitieu de boisou qu'estatre mille :mira, on s'est heurté,on s vm onotrmot coudoyé ; mais

un trouvons pas ove seoir person-

neréellement maltraitée.Si l'autorité nous avait paru dans so

tort, nous envions sévi. Mais il y a eudans cette oR'oire beaucoup plus de ha-sard quelle criminalité.

IIn échange de lettres a eu lieu entrele préfet et l'autorité ecclésiastique. Il

a ce d'abord un caractère regrettable,

a pris des informations de partetnid'autre, et on s'est calmé. L'éeéquereconnaît on pas avoir à se plaindre del'aotorité préfectorale. Depuis les dé.sordres de Nantes, les pèlerinages outcontinué sans antan incident. J'espèreque de tous rôtis o. comprendra deplus eu plus qu'il faut respecter ces ma.ifestations, chacun étant libre d'adorer

pins comme il le comprend.M. d'Abovtlle dit que

et

l'on prenait aupied de la lettre les paroles de M. Thtere,les pèlerins de Nantes n'auraient pres-que aucune plainte à fauteuil Si leguuv.rneme.t avait fait se. devoir lorsdes désordres de Grenoble, provoquéspar le pélerinage de m Saiette, le mousde liantes se serait tenu pour averti ; il

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Page 3: Il'.images.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1872/B315556101...P e 1 p '(t lf 1 ts .1 no's -Pis p nté sur I dfleculle de M ll 't 12 t l l N à q lt l demis il., ma lu 0 Cré pr test, coolie

Mmunemmawmm.. ... .

lad. de faireque justire

soilfaite, que plus difficile. ripais, M. le président del. RépubliquePafa Punis, et pie doré- j Que dirait-on si un grand propriétaire revendiquait le droit de nommer les

novant la sécurité soit assurée. lere ret' munissait,4dduos mi

de ses ple.mi. et 1ide

château, tramaires villes de drususeoce0,000

te de m'adresser à li. le président da 150, âmes eléep r ér poarla Népublique, j'aurais mieux aimé m'a- sait un discours sn, a es vaax légitimes? M. Thier s'est de jugée pour Irai adresser à ses ministres,

M. Thiers. - le suis responsable ; jerevendique ma responsabilité.

M. le duc de tisserin. - Ne me ditespas, monsieur le président de la Répu-blique, que vous ' ave entre lesmains les moyens de main traie l'ordre

vous se les avais a., nous vousIn donaerions ; et je r rappelleraique pour assurer lu lean,,ililé d,ns vo-tre erpnbligne sui.disant conservatrice,sous Son obligé de mainleuie la moitiéoe I. Francs en état de siège...

M. 'l'hiles proteste contre ortie ea-Preaaion soi-disant conserealeice.. Il

rappelle que son gonveruementa rép,i. que distinguo lotte ces classes pour oenié l'tseuirrclion de la Commune , et i attachersoutiet que son goevenment est oun-

qu'à sue seule devient fclieus et dangereux. Si la tribune avait

serviteur. été ouverte , J'aurais combattu le dis-M, le duc de Rissenis.- Voilà l'iueus-

.inientde ladres u président de laministres, puis-

yu lsmti ii' ci leu2 nea

Pendant que de pareils scandales affli.gent la ville de Nantes, que se passe-t-ildans le Miii ? Un homme , uo député,que M. le président de la République atraité. de ton l'nrieu:, et qe je mobs. lamer une dynastie quelconque. Si ootiendrai de grolife, , insulte

imp'uné-

' le peut, qù on le fasse. 11 ne peut pasment l'Assemblée. yareir ms gouvernement de parti. L'Eu-

De, municipalités, des personnages tope me rend justice et m'élève au-des-officuels qui font des avalions, et le gon- I aus des partis. Si ou ee le peut pas,

nement ne sait pas prévenir de pareils qu'on noua laisse continuer notre (ouvre.

M. de MI 1. - Il cal absent.M. de Buaccia. - Il est absent mais il

insulte l'assemblée.MM. Journault , Paul Morio, Noel

Parfait demandentqu'on

ve confonde pasdeux questions, celle des pèlerinages etcelle des discours de M. Gambclm.

Ni. de Eergorlay. - Qu'importe qu'on

l'on ldoit en parles duos unsinta.Ln[, ai

M. le duc de Rissaccia. - Et quel estdonc le passé de M. Gambette? Il s'estmis au dessus des lois eu décrétant lasnpressien des élections; il est csus. dela perte de l'Alsace et de la Lorraine etde 3 milliards. M. Thiers le sait mieuxque personve, car il l'a répété plusieursfois à

pariset à Bordeaux.

M. Gambette a désurganiaé la France;il nous u conduits aux désaalees que

z. Veillant que l'es afaillaient lac commune, lui, pour se mé-

fier, restait à l'étranger, et anjnur-d'hui il reléve la tête, se pore en suc-cesseur de M. Thiers et se permet d'in-suller le seul pouvoir légal qui subsisteeu Frnce,

Noire droit et outre devoir est de

vousdire que nous voulons être rue.

peclés, et qne sons demandons au gou-versrmrut de prendre des mesures en..séquence.

Il faut que tous sachent bien quel'Assemblée est décidée à se faire res-

pejetermine par ces deuxmols : Nousvoulons la justice et la liberté peur tous.

M.'Pàiers s'apprête à répondre.al. le général Changaeuier. - IL e

convient pas en ce moment, au sein dela commission de permanence, de quali.fer le collègue qui a làchamevtinsultés devant ses mbéciles admira-teurs,

Je meréae,,a de qualifier devant l'As-semblée ses doctrines, ses intentions etmôme son style, l'insniteur sera là.

M. de Mahy. - Vous oubliez que M.Gambada parlait devant des citoyensFrançais.

M. le comte de Mornay. - Ce ne seulpue des Français.

M. de Mata. - Je contiens que les Sa-voisien sent Français,

M. de Mornay. - Il ne a agit pas ici deSavoisiens; je m'adresse à tous ceux quiapplaudissent aux violences de M. 6am-belta.

M. de Mahy. - Vous attaques vas col-lègues.

M. de M.... y. - J'en suis fiché poureux, et je -accepte pas ces ebserr.tions.Je maintiens que ceux qui nul applaudi'A sembls de M. Gambetia, attaquantl'Assembllée et le gouvernement quiest issu, oe méritent pas le titre et leaom de Français.

M. de Mali3. -Le pays est plus agi-té par vous que par M. Gambetta.

M. de 8ergolay.- Citez un fait; vous.e pourrez en trouver aucun à notrecharge.

M. Thiers. - Je oe me plains pas desinjustices et des ingratitudes. Je de-mande tue les hommes indépendantsompreUsent

la difficnlté,de autre silna-tioo, ce que nous pouvons et ce que.nus ne pouvons pas. Nous tenons osengagements sis à-vis de l'Assemblée.

Lorsque l'Aseembléei est séparée, ..ecampagne conter elle était préparée augrand jour. J'ai dit que nous ferions res-pecter l'Assemblée, et .ou. l'avons fait.11 y a su un discours regrettable pennonsré à Grenoble, je le déplore profondé-meot, Ce discours, est regrettable , ( r-toutpeua ceux qui pensedt que la for-méaetuelm est le seul gouvernementpossible.

le ditequ'on ou

émbliese pralique-me.t un autre; mais ce discours a plusfait rétrograder la République qu'elle nepourrait rétrograder par

I.main de

tous ses ennemis. Mais remarquez quedan, l'espace de trois mois ce discoursest un mit isolé. San. a s précautionset nos il aurait pu yavoir bien autre hose.

J'ai dù taller quelquefois centre l'As-semblée et je Irais l'avoir amenée àdes votes plus utiles pour le pays, M.ial'Assemblée, je le cecon.aie, a été pro-fondément sage, malgré les partis ex-trémas. Je la remercie, je la respecte,je Il,...re douant le pays. Nous n'avonspermis astral réunion publioe, et ce-pendant nov., l'empire ou en permettaitquelques-uses.

Nous savon, pas autorisé les bansquets, notamment celui de Chambéry.A (,reeoble,

onétait chez un proprlé

taire, chez un particulier, le cas était

-Jr ne fais pas d'allusion politique; -corder ce droit. Ce dernier n a su méen nous blâmerait d'intervenir dose ce alors l'engagement moral de m intenircbdteau et l'un aurait raison. C'est pour l'ordre dans le pays, et il répond de lacela que nous ne sommes pas interne- coodo!te des maires qu'il a nommés. Cenus à Grenoble. Le discours qui a été n'est pas le discoure de Grenoble quiprononcé là, je le trouve mauvais, très est dangereux, maia bien l'adhésion quimauvais. semble lai

êtredonnée Par les msgis-

Je n'admets pas ls distisolian des clos. trola qui assistaient auses. Il n'y a dans la nation que la nation. banquet.Avec le Code civil et le Code pénal, il Ce discours, d'ailleurs , e contient

n lion c'estsociété. Distinguer dans la que des 1,, 1i1és et sue théorie to

provoquer guerre de clas- liste que SI. Thiers vient de réfuter sseà classe. Il n'y u que des Français, des merveilleusement.citoyens qui ne peuvent se distinguer

M 'l'hiles.-Je blûme sévèrement tonsque par lemérite

et lu sagesse. 1?t celuiles maires à de elqui perré s

cors de Greoutil . avec toute mon éser-

e.I .ai pas pu fermer la porte du Pro-grJ

priétaire de Grenoble ; mais eu ;prélen-dasi servir la République, rentamas hom-

es travaillent à la perdre. Je défie defaire autre chose aujourd'hui que le

gouvernement de mut le monde, de pro-

La France u est pas aussi isolée qu ou ledit.

L'Europe noua a rendu justice à Ber-lin. On a le droit d'être partisan d'daantre gouvernement, mais il tant arriverà la pratique. Or, la pratique e 'ut legouvernement actuel. Les étrangerssont frappés de notre calme. Notre créditest excellent ; cependant il a été atteintfortement par le discours de Grenoble.La partie de l'Assemblée à laquelle laRépublique est p.rlicnliérement chèrefera bien de se prononcer comme moi

ce discours.auLe pays se relève, grlce aux efforts de

l'Assemnlée et grtce arisai à nos propreselfort N'agitez pas le pays ; il réclameL"'...

Servons la France e. étouffantso saines querelles.

iermetler.moi d'entrer dans ce dé.rail le comptant est plus demandéqu'à aucune autre époque. Nous avonsreçu 1 milliard 400 millions depuis deux

ic. A. milieu de l'année prochaine,ersé deux milliards

au'le. derniers 3 milliards de l'indemnité,et alors le cinquième milliard arriverasans d,ftculté.

Je soufre plus que vous de ce qui'est passé à Grenoble, parce que cela

entrave notre libération. On uo re-proche ]es élections; il faudrait se lesreprocher à i-méme. Si vous aviez

'ras de prévention, vous jugeriezm eux le gouvernement et vous sertiriezmieux les intérêts a. pays.

M. le duc de Broglie rappelle à M. leprésident de la République que quandil a fait l'honneur à I. commission deprorogation de seoir da.s so sein, leprojet d'organiser des manifesationscontre l'ASSemblie était déjà connu. Le

'a demandé au gsaerrne-meot aucune meore de répression cou-tro les manifestations°projetées. Elle alaissé le gouvernement pleinement jugede ce que réclamerait eu permettraitl'intérét de l'ordre public.

Les lois répressives des réunion, pu-bliques et privées sont nombeemes, com-plexes, d'une application difficile et dé-licate. C'est nec soin qu'il faut laisser eupouvoir discrétionnaire do gouverne-ment, et la commission le lui a entiè-

ment laissé. Elle a ddemandé quoi ?Ce qu'elle vient d'entendre : Une ré-probation énergique et claire des doc-trines et des intentions qui inspirentces manifestations, une réprobation tellequ ancene

solidaritéesee pt être établisubsister,

entre le gouvernement etude telles doc-trines. Quand cette séparation existe

ras laisser l'ombre d'un doute commeaujourd'hui, le parti con.eroutrot n 'àries A demander de plus: il doit faire

s affaires lui-méme et traiter les injustes attaques dont il est l'objet avec ledédain qu elles méritent.

M. Thiers, -Je nal par voulu m'a-dresser d aucun de mes collègues. J'airoula dire seulement que par le mangued'union on agirait le pays. Ce que 1 onreproche à

certaine

partie de la Cham-bre, ce sent Ies querelles steriles. Aprèstant de malheurs, après uu empire aicoupable, qui a entrepris uu guerresesée

dont nous supportons les désas-tres par la perte de nos anciennes teon-tières et le payement de 5 milliards d'in-demnité, l'union est le seul moyen desalut. heureusement la fortune du paysest immuese; les capitaux anrteut departent, quoique sous puissions compterpar des chiffres énormes le 1 lue lediscours de Grenoble a mit à l'industrieet aux affaires.

Ceuyez-le bien, le gouvernement estdévoué à la Chambre, c'est-à-dire à unêtre imperso..el, composé tantôt d'unpeu plus de gauche , tantôt d'on peuplus de droite, la majorité se retrouvanttoujours pour le bien du pays.

M. Marliat Delpit remercie M. Thiersde l'énergique réprobation infligée parlui au discours de Gmnoble. 11 voudraitquo la France entière eût entendu lesparoles du président de

J.Iépublique.

filles auront, il l'espère, uu grand reten-tissement duos le pays. Il voudrait desscies à côté des paroles. Nous avons tausapplaudi à m mesure prise par M. Je mi-nistre de la guerre contre les officiersqui out pris part au banquet de Gris oo-ble. Le ministre a qualifié le banquet demanifestation politique. Si les offieierssont coupables, les magistrats munici-paux qui ont organisé le banquet ne lesont pas moles.

M. Dol pis demande que ces fonction-s (soient révoqués, oun tou mtnaine

rli sévèrement. Il rappelleque dana la discussion sur la loi muni-

asileatatiuns; ils sont en dehors dudroit et de la bonne politique.

Certains causeils mnnicipauz sont

composés de telle sorte que nous choi-s pour maire relui qui nous pa-

rait être le plus modéré dans 'intérê del'ordre. E. les destituant, noua as pour-minus avoir que pire.

M. Thiers. - N'y mettez pas de ma-lice. Si je pouvais choisir les maires endehors des conseils municipaux, j'enrépondrais.

Sans duale, on nous dit que nouspouvons dissoudre les conseil, munici-paux; mais les élections faites le leudamai. seront peut Pire plus mauvaises.Compteras sur le temps, sur la patience.Le temps, messieurs, voyez ce qû il afait déjà. Voyez combien nous sommes.levés. Sachons patienter et souffrir.

(Souriant.) Sachons Wons aimer un peutes uns les autres. Du reste j'ai suspen-de le maire de Chambéry. Nous norestons donc pas inactifs.

M. de Mornay appelle 1'attenlion dugouvernement sur un article de la le-p.5lique française , organe de M. Gam-helta, article deux lequel il est dit quela conduite du préfet de la Savoie etl'arrêté du ministre suspendant l'ad-joint su maire de Chambéry doivent êtreInrésà la risée et uu mépris publics.

Il demande ce que le ministre de l'in-térieur entend faire vis4i-vis d'une pa-reille publication, qui excite ouverte-ment à la baie et au mépris de l'auto.cité.

M. Thiers. - Si vous lisiez certains

journaux de province, vous seriez ré-

voltes ; on nous traite comme des mal-faiteurs.

M, de Mornay insiste.

M. Victor Lefrane, ministre de l'inté-- Les journaux de Paris regar-

dent ie gan.Ernenr de cette vite. Si nonattaquait l'Assemblée ou le religion,

us demanderions de sévir. Faut-il fai-ne des procès tous les jours, au ciel ued'aboutir à des acquittements P Cettequestion de la presse est bien épineuse.Nous nous servons de la loi à Paris,mais seulewml;quand,il s'agit de sau-vegarder les grands intérêts sociaux etnon de défendre nos personnes. Quant àmoi, je ne me sens nullement atteint oublessé par les paroles qu'à citées M. deMornay. Je les tiens à h...eur, et ellesonstateut la distance qui sépare le gou-

nemeut des doctrines du journal au.quel on a fait allusion.

M. Thiers.- Je demande à faire part àla commission d'ou fait très important.Le gouvernement a dû prendre une ré-e talon d'une grande gravité. Le princedérmne Napoléon s'est introduit sana au.torisatioo ourle territoire français. Il estchez un propriétaire à quelque distancede

paris.

Noua amas pensé que usas ne pou-ions souffrir sa présence, t que .nusdevions l'inviter à repasser la fronlii'ee.Eu ce mo nt l'acte s exécute. Nousavons envoyé un fonctionnaire apppuyésur une force dont il n aurament Pas à se servir.

Aucune loi formelle et précise ne nousautorise; mais il existe deux décisionsde l'Assemblée déclarant la dynastie in-péri.le déchu.. Cela signifie que laFranco reponaae de son sein une dynastiequi, ne régnant plus, anu..ce cependantl'intenliou de vouloir régner encore.NU.. avons fait acte de ceueloisie via-à-vis de membres de la famille Bouaparten'ayant aucune pensée hostile. Une prin-cesse est depuis dix-huit mois en France,admise sur sa parole, et nons n'avonspas à le regretter. L'a. dernier, leprince Napoléon voulut assister auConseil général de la Corse; il futautorisé à s'y rendre. Mais .aus lui dé-clardmes que nous lui refusions le droitde résider sur le territoire français.

Plus tard, il nous demanda de traver-ser la France pour gagner Calais, et delà se cendre en Angleterre. L'aut.risa-tio.lui fut également accordée, Si cettefois-ci il avait fait nue demande , .ousaurions peut-être

consenti.Mais il est

arseivé d'une façon suspecte. Col. Huasimposé le devoir de l'inviter à quit.

ter la Pessec. Sur ce poiut, le cou ildes ministres a été unanime. Je prends,quant à moi, la responsabilité tout n-tièredocettedécuion jusqu'à la réu-aio. de l'Assemblée nationale.

M. de Eergoelvy. - La commission depeemanen. de 1871 dual' g-

iné, à prepue du ut conseil 1 gé-

né néra? examde la Corse, iz

que"*"' ditséjour

notre territoire du prince Napoléon.11 l'or reconnu qti aucune loi existante

'i terdisait oe séjour; M. Thiers étaitprésent.

Je partage encore aujourd'hui l'opi-

de canuncieneE s. misai., etpendant on ne peut pas m'accuser d'a-voir la moindre affection pour la dynes.lie impériale.

M. Thiers. - Je ue demande pas àc llègues de partager autre respon-

sabilité. Nous avons appris tout smple-ment un fait, et n s avons pris desmesures en conséquence.

Nous voulons, dans ces matières,beaucoup de courloi. et de tolérance;

mais quoique le prince Napoléon ne soit

point nec personnage assez dangereuxpoar créer ne péef. nous voulons

pas quer

présence. puisse être unec'ie de trouble quelconque.

M. d'Aboville déclare qu'il ne peutêtre suspect de cumplaisnnre pour la fa-

ille impériale, mai, qu'il loi a parutbon de rappeler un précédent de l'an-née derrière. Il est bien dangereux delaisser le gouvernement sortir de la léga-lité, par pdréu'on pourra abuser d'un pu.re+M

PéUe.,juedinv demande quelles sontles intentiuva dut minislra de la guerresur

les volontaires d'un an? Quand pa-ra ilra le règlement.

M. de Mornay dit que la loi décidequ'au novembre doit paraiter le me'glemevL et que par c.msdqueui censqui sonl bacheliers en ce m ment peu-not contracter leur engagement au

janvier.M. Lrfri ne anus.. que les explica-

tions du ministre paraiteant prochaine-ment.

M Lacet dit que 100,0110 émigrantsd'usant (si l'on en croit les journaux)sons entrés eu France. Les besoins sont

grands, les fonds donnés par les 5505'

criptions particulières s'épuisent jour

parfaut penser au moment Prochain

où ces souscriptions s'épuiseront. L'Algé'ie a des terres et demande des bras; an

peuplant ce pays par de braves colon.n diminuerait l'armée d'Afrique, et ma

hâterait la colonisation d,a paya.M. Thiers annonceque ce matin ma-

me, il a signé un décret qui e. va ea-.yer au

conseild'Etal, afin de deman-lntaire po r lesder un crédit suppéme

Alsacien.-Lorrains qui vont e. Afrique.

On secourra ceux qui resteront en Fran-

ce et ceux qui ireot en Algérie. Il s'en-

gage à faire 15050e qui sera humaine-ment possible pou courra nos malheu-reux

compalri,tes.

tiM. le président de la République serere ; il est trois

heures

trois gaarm.Sur le proposition de M. Grévy, la

commission prononce le renvoi à l'As-semblée nationale de lu pétition relative

x événements qui se ont produits ànântes.

La séance est levée à trois heures cin-

quanl. minutes.

(Journal des Dilate).

- Voici quelques détails que .ousempruntons au Iii. S,ède sur une con-versation que M. Thiers aurait euemardi soir avec quelques conseillers mm-

réception donnée auLuaembaurg par M. le préfet de laSeine ?

Entouré il'o. petit groupe, M. Thierss'est entretenu tués familièrement, enparticulier a

Jacques.MM. Dindes, Martial-

es. Il a été question sur-et!oui

dedet la reconstractiov dut l'flatel-de-

Ville, dont M. Thiers a tout récemmeotencore visité les ruines.

Je crois, messieurs, 1-t il dit, queoun ferez bien de relever le plus tôtpossible votre pelai. municipal. Tropde souvenirs historiques s'y rattachentpour que les Parisiens ne tiennent pasà honneur de restituer cu témoin du

passé

, J'estime qu'il eût été prél'ésable,négligeant la soin toujours dangereusedu c anses, de .'adresse, directe.ment à un architecte expérimenté. Vousauriez certainement écimerai, de tempset d'argent. A m.. estimation, 10 ou 13millions pouvaient suffire, à la conditiond'utiliser les portions restées debout etintactes de l'ancien édifice.

. Je verrais également avec plaisirque l'.a censervft à l'hôtel-de.Ville so.ancien caractère. Délira.vous, messieurs;de l'emploi exagéré du fer, duel je vouaentends vanter les avantages. N'allez pas,je vous en prie, faire de outre vieillemaison de ville ... balle ou une gare dechemin de fer.

Conservez aussi vos solo.. de ré-ception, vos galeries de fêtes. Que vautaoyez en République au eu monarchie,Paris restera loulous la grande ville,Paris aura toujours à recevoir et à re-cevoir dignement, je ne dis pas seule-ment les illustrations da monde entier,mais aussi les .ouvergies de l'Europe. Etai c'est la République à qui échoit cethonneur, pourqum donc ne se mettre.rait-elle p.s jalouse de les accueillircomme il convient ? s

Les conseillers mnnicipauz; tout anse rangeant, dans une certaine mesure,à l'opinion de Ni. Thiers, 'en oet pa.moins soutenu leur avis sur le misceum,dent ils soi très partisans.

- Les troupes des divisions Lerassorv

Serval et Susbielle, appartenant au 2-orps (général Ralaille), campé depuis e

'1 octobre à Satory, ont exécuté hier degrandes masmmres à feu, aux mironsde Versailles.

- Selon le XIV. Sièate, os Prépare.rait au ministère de la marine un im-portant travail relatif à la ... dilutionde nos colonies. Il .'agirait d'élargir levbases de la constitution fondée sur leévatus-consulte de 1866, et de donntr

à chacune rle nos possessions d'outre-mer u.e .utouomie complète, pour mutce qui regarde Ira iutéréin qui leur se.tpropres. Les conseils - coloniaux sIeu

dernier ressort sur les gars'ions locales de douane, de navigation

cûtière .u intérieure, de poste, de ce.-tribution, d'enregistrement, etc., etc.,toutes choses sur lesquelles la'àmétropo-le a toujours en la main jusgn ce jour.

Varierai loti nsu ..rait dit à ce pro-pos, ohms M. Thiers :

. Les colonies nous adressera, les neufdi.iômes d. temps, des questions qu'alles peuvent casveaablement trnnoher, etdent sou. leur demandons à gifles-mê-mes, par le eoorriee suivant, la solutinu-Total, trois, quatre., sis mois de perdus

s profit pourP""

....... 11 est lemps,dans l'Iniércl ,lut commuas mari nedans I'iutérét de la bonne admirais irafion coloniale, dans l'ialérét des pselie..

tiers, de décentraliser ces seivicea. Il Aubia, 33.faut qu nos colonies deviennent comme I Plaint (AUguitin) 45 ana, quai de laau an ct 1 stil b bl ' l éu s e pu que, ret i es à lal' P.

cmétropol par Lh prelecliox que leursure le pavillon fmmçais; mais que

cette protection cesae d'être un joug fai-sant obstacle à tonte initiative col.-aille. .

- La Rèpubllque française dément lebruit que M. Lui,olié, président de eu..soit général des Douches-du-N hône, soitvenu à Paria dans le but de réclamerde M. Thiers la destitution de M. le pré.tel Limbourg.

M. Latinité rail demandé, d'aprèsle jeurmd précédemment cité, 1. levéede l'état de .siège lui pèse sur Marseilleet. comme corollaire... l'éloignement dugénéral commandant l'état de alégal.

-M. le général de Cissey, d'accordavec le peéside.l de la République, faitexaminer, dit-on, par quels mayens onpourrait élever de 46 à 50 centimes parjour la aom me deerinée à l'as66-mentationet à l'amélioration de l'onlisaire dusoldat.

Ces 4 ,estimes par homme et parjour représenteraient, en temps de paix,pour une armée de 500,000 hommes,environ 5 millions de fr. par an.

-Le Journal officiel publie la antesuivants ;

Nous sommes priés de déclarer queles paroles attribuées par divers jour-naux à M. le éral Billot, dbputd dela Carréze, uni

géténé

tréa-inexactement rap-portées, que ces paroles, p...... du àArgemm., lorsque le général y est ré-cemment passé, ne devaient pas sortirdu cercle d'us entretien tout à fait prisré; et qne, si 1'0m veulait les faim .a-mitre au public, il fallait au moite tesciter fidèlement, surtout en ce qui .-

ne ladurée(dea ser,icerd. l'haacrablegénéral..

Nous ne pouvou que féliciter le gé-nérnl Billot protesté ranime l'al-locution que les journaux de sa. déparstement lui avaient attribuée. Non-seule-meut elle renfermait des insactitudeamaté Telles qui auraient dû mettre

eu

garde le public contre l'authenticité dece document, mais elle révélait de lapart de a.. auteur ..a altitude et despréoocupalionscentee lesquelles l'armée,à tous les degrés, doit sec préserver. Lasituation présente est déjà par elle-mémesuez obscure et assez confuse pour queles généraux, qui ont d'autres devoirs,même quand il soit députés , on ami.-mal pas 1. compliquer encore par leurintervention inopportune dans les que-celles des partis. Nous croignious que legénéral billot ne se fût laissé eslealner

r cette peste qua descendue si rapi-dementM. le oelonel Desfert; il paraitqu'il n'en rat rien; l'incident est do.céclairci et nous eu somme fort satisfaits.Il reste à souhaiter que toua les dépotésqui ont à ne plaindre des mezactiludesdesjoureauz puissent trouver da.s lafeuille officielle la même complaisancepour les rectifier.

(Moaifeur.)

-0. lit dans le Courrier de la Choisi-poqua :

Nun. apprenons que, j111:1. un ou-velordre, la réorganisation d4e dtvi-

. militaire reste suspendue. Le géné-ral Verger ne doit pas quitter Pari. ; la

première brigade seulement de sa dtri-aien, seu. le général Daguerre, viendra

tenir garnison dan. la Moral.Celte brigade ae compose do 79 de

ligne, à Reims, du 57 et de 26 batail.tan de chasseurs au camp de Chàlons.

Le 4 hussards W. pas reça de con-trordre et partira, le 10 octobre, de Pa-ris pour Chàlons- Il arrivera tels au le20 i destimtioa. Ce régiment nempose.a provimiremeat toute la garnison de

Chàlons.Nous ne mienne pas encore lu

date de l'arrivée du 79 de ligne à Habite,mais elle cei.nidera probablement aveccelle du I. hussards à Chdloa..

L'évacuation définitive est officielles

ment .....rée pour le 15.

- Au moins voilà an duel qui nefera couler ai ruisseau de larmes dans

famille, ni flot d'encre dans uneétude d'avoué, ai fini de paroles devantun tribunal.

Avant-hier, deni gros ..,chaude duTemple, deui amie, l'un auvergnal,l'au-tre picard, ont eu une discussion auxh'eties-llhumatiques à propos de Mlle Ca-bochinetle. Des gros mors 'Te'e ouigrands gestes et, ea baisser rideau,

décide que le lendemain les épéesreluiront au soleil.

(tendez.voue est pris dans un petitcafé de I. rue du Temple. A huit heu-res, le fils du Cantal arrive avec deuxgrande sabres de cavalerie. Comme suaadversaire était en retard, il dépose lescolichemardes au comptoir et va faireune petite course d'affaires,

Pendant son absence survient le picardavec un confrère en ferraille.

- Les beaux sabres 1 fait le confrère.Sont-ils à vendre ?

- Oui, mais c'est da noua.. Combiença vaut-il pour loi?

- J'en d...erais bleu 20 francs.

- Tope 1 marché fait. Paye et em-porte.

Les balizardes emportées, survientl'anverg et :

- Et mes sabresCombien les asiu payée 1Dense francs à l'hôtel des ventes.

- le viens de Ies vendre 20 francs.- Ah 1 Eh bien t il y a huit franco à

manger. Allons déjeuner.

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Page 4: Il'.images.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1872/B315556101...P e 1 p '(t lf 1 ts .1 no's -Pis p nté sur I dfleculle de M ll 't 12 t l l N à q lt l demis il., ma lu 0 Cré pr test, coolie

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