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2 Archipel N° 70
444 Affiche Qui contacter ?
555 Sommaire
666 Le courrier des lecteurs
777 Éditorial G. Barnagaud
LE DOSSIER
999 Vaut-il mieux oublier… ? S. Thomas
101010 Souvenirs engloutis Marie-Claude
111111 Interview… JPV N. Maltère
171717 Les souvenirs de Line N. Saber
202020 Mémoire et souvenirs J. Auffray
222222 Souvenirs … CN
242424 Interview d’une adhérente… M. Rodway-Philippe
303030 Histoire et mémoire D. Desmichelle
343434 Quand un souvenir en rappelle un autre… M.A
353535 Histoire d’un ours… M-F Houguenague
383838 De si bons souvenirs M. Letard
JALMALV AU QUOTIDIEN
393939 Formation autour de la loi de la fin de vie
414141 Temps de mémoire N. Saber
434343 Extraits des discours … E. Peyroux
444444 Les nouveautés de la bibliothèque
LE RENDEZ-VOUS DES BENEVOLES EN FORMATION
454545 Les CRUQPC, efficaces pour dénouer les crises
464646 Info…
TEMOIGNAGES ET FLORILEGES
474747 Le temps, ami ou ennemi ? B. Boucherie
484848 Arch’citations Souvenirs et mémoire
494949 Archi’perles La mémoire est-elle utile ?
505050 Archi’poétique Drouot de Barbara
OUVERTURE SUR LE MONDE
515151 Devoir de mémoire J. Schwerdroffer
545454 Chartres et sa mémoire… Extraits d’archéo n° 21
575757 Remerciements
585858 Bulletin d’adhésion
595959 CSA : les rendez-vous de Jalmalv Eure et Loir
606060 Le clin d’oeil du photographe…
SOMMAIRE N° 70
LE DOSSIER
JALMALV AU QUOTIDIEN
TEMOIGNAGES ET FLORILEGES
LE RENDEZ-VOUS DES BENEVOLES
45
47
39
9
OUVERTURE SUR LE MONDE
51
3 Archipel N° 70
L’ED
IT
OR
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L
L’éditorial
S i l’on considère que la mémoire, les souvenirs constituent une culture à la fois collective et
individuelle, une sorte de patrimoine immatériel, quelle place tient ce patrimoine dans nos
sociétés où l’on vit dans l’immédiateté ? Quelle est la valeur de la mémoire collective dans un
monde où l’individualisme d’un côté, le collectif dépersonnalisé de l’autre s’érigent et
s’affrontent en valeurs plus fortes que « l’être ensemble »?
Dans la succession et le tourbillon des événements quotidiens, en ne s’accordant pas de
temps pour la réflexion et pour le silence, ne sommes-nous pas en situation d’être soumis aux
influences dictatoriales de notre passé parce qu’il est resté dans l’ombre et la confusion ?
Lors des événements tragiques récents, des discours, des images ont défilé sur les différents
médias par réaction. Tout en considérant la gravité des faits, il me semble qu’une démesure sur
le registre émotionnel a dominé. Quel temps a-t-on accordé face à de tels événements, au
silence et à la réflexion d’où pouvait émerger une parole juste, une parole apaisante, une parole
capable de s’inscrire dans notre mémoire en toute lucidité et en toute sérénité ?
Est-ce une manière de valoriser les actions immédiates, les réactions spontanées, une pensée
instinctive que de vouloir vivre dans « l’ici et maintenant » ? Le moment présent est-il
totalement coupé du passé ? Ce passé peut-il encore agir en nous ? J’ai envie de dire que notre
passé, en se révélant par notre mémoire et nos souvenirs, joue comme une basse continue.
Toujours là, elle est tantôt dominante, tantôt imperceptible, tantôt assourdissante. Elle résonne
en musique de fond par la couleur, par le timbre, par l’harmonie ou la dissonance dans notre
présent.
Présent à cette musique, nous sommes en lien avec nos souvenirs, notre mémoire. Nous
portons attention à ce qui émerge spontanément un petit signe-souvenir : une odeur, un mot, une
image, une rencontre. Nous le considérons comme passé immuable dans lequel nous pouvons
nous enfermer ou dont nous pouvons aussi nous libérer, que nous pouvons transcender grâce à
la conscience et au discernement. « Être dans l’ici et maintenant » c’est être attentif : attentif à
notre espace intérieur, conscient de notre présent antérieur. C’est être centré sur ce que nous
sommes et faisons afin d’être ouvert au monde.
Cette présence, cette attention authentique à ce qui est peuvent-elles exister si nous sommes
coupés de notre passé, sans lien intime à ce qui nous a
construit, à notre mémoire individuelle et collective ?
Chaque article de ce nouveau numéro d’Archipel
nous permettra de découvrir des points de vue, des
regards différents, peut-être des réponses et plus
sûrement de nouveaux questionnements. Je remercie
chacun pour ce partage.
Geneviève Barnagaud
Présidente de Jalmalv Eure-et-Loir
« Quelle est la valeur de la
mémoire collective dans un
monde où l’individualisme d’un
côté, le collectif dépersonnalisé de
l’autre, s’érigent et s’affrontent en
valeurs plus fortes que « l’être
ensemble »? »
Le souvenir se remet à vivre quand on lui rend sa liberté.
Didier Van Cauwerlaert
4 Archipel N° 70
LE DOSSIER
Correspondante en Eure-et-loir pour Jonathan
Pierres Vivantes (JPV), Nicole Maltère nous présente
cette association de parents et de frères et sœurs
endeuillés. Elle témoigne avec une grande sincérité de la
richesse de son engagement.
Archipel : Vous êtes engagée dans
l’association Jonathan Pierres vivantes. Pouvez-
vous présenter, pour nos lecteurs, cette
association ?
Nicole Maltère : - JPV est une association
d’accueil, d’écoute et de partage pour les parents
endeuillés, quel que soit le deuil vécu. Nous
accueillons des parents qui ont perdu un enfant
par accident, par suicide, par maladie ou par
assassinat. Nous accueillons les parents et aussi
les frères et sœurs. Cet accueil se fait en général
en deux temps. Au premier rendez-vous, on reçoit
les parents et s’il y a une demande de leur part, on
rencontre ensuite les frères ou les sœurs majeurs
de l’enfant décédé. Depuis peu, une personne
ayant perdu une soeur s’est formée à l’écoute. Elle
est vraiment très motivée pour aider d’autres
sœurs, d’autres frères endeuillés. Ses coordonnées
sont sur le dépliant.
Et quand vous dites qu’elle s’est formée,
comment se déroule cette formation ?
- La jeune femme a déjà suivi la formation
de premier niveau et elle peut répondre
directement aux frères et sœurs par téléphone ou
par mèl. Elle est en lien avec la personne
responsable du groupe frères et sœurs Jonathan
Pierres Vivantes national.
Vous pouvez nous en dire plus sur ces
formations ?
- Les formations à l’écoute se font sur
plusieurs années. Il y a des formations de niveau
1, 2 et 3 qui se déroulent le week-end un week-
end par an pendant trois ans. Une formation
continue permet d’approfondir le travail
d’écoute. L’Institut Français de Psychosynthèse
dont le siège est à Paris organise ces formations.
Il envoie des psychologues dans les antennes
JPV. La Chronique Sociale qui a publié
d’ailleurs ce livre-là - Vivre sans toi…¹ - est le
deuxième organisme de formation avec qui nous
travaillons. La Chronique Sociale nous propose
des formations à l’écoute et d’autres formations
plus techniques, par exemple « comment créer
une association ? »...
Retrouvez l’intégralité de cette
interview dans le numéro d’Archipel
disponible au 06 73 74 29 70
5 Archipel N° 70
Archipel : Longtemps responsable de la
médiathèque Jalmalv, tu es en quelque sorte
dépositaire d’une mémoire collective. Quel souvenir
gardes-tu de cet engagement ?
Maureen Rodway-Philippe : J’aimais le
cadre de la bibliothèque JALMALV, qui, à mon
époque, était à l’intérieur du bâtiment principal de
l’Hôtel-Dieu à Chartres. Chaque mercredi, je
passais par un jardin bien fleuri en été, tout
cristallisé en hiver et j’entrais, par la porte voûtée,
dans un bâtiment de briques roses. Le bureau et la
bibliothèque étaient mêlés à la vie de l’hôpital, à
côté du cabinet d’un médecin et des bureaux du
personnel. En passant par le couloir qui va vers la
bibliothèque, je rencontrais les patients, les
visiteurs et le personnel. Les aides-soignantes, les
étudiants infirmiers, les personnes de l’extérieure
et même un couple de SDF venaient
me parler, ou chercher un livre ou une
copie d’Archipel dans lequel il y avait
les dossiers qui les intéressaient.
J’avais l’impression de faire partie
d’une communauté consacrée à la
santé et d’y participer par les livres.
Tu étais aussi membre du Comité
de Rédaction d’Archipel. Si nous
faisions un petit test autour de la
mémoire, saurais-tu nous dire où et
quand s’est tenu ton premier « CRA » ?
- Ah, là, pour les dates, j’ai la mémoire qui
flanche. Mais, je me rappelle bien où j’étais,
quand j’ai été invitée à rejoindre l’équipe du
CRA. C’était en été, lors d’une soirée pique-
nique dans le jardin de Maïté. A sa mort, Maïté
m’a bien manquée et me manque toujours pour
son amitié et son dévouement à Jalmalv. C’est
elle, entre autres, qui m’a montré la voie du
bénévolat. J’étais heureuse d’être sollicitée pour
faire partie du CRA, mais j’avais peur que mon
mauvais français soit un handicap. Ma réticence
a été vite dissipée par la gentillesse de l’équipe.
Ma première réunion s’est passée dans l’ancien
bureau de JALMALV mais après quelques
temps, j’étais heureuse d’accueillir l’équipe chez
moi.
LE DOSSIER
Longtemps bénévole et membre du
Comité de Rédaction d’Archipel, Maureen se
souvient non seulement de son engagement
associatif, mais encore de son Angleterre
natale et d’une petite enfance bouleversée
par la guerre.
Retrouvez l’intégralité de
cette interview dans le
numéro d’Archipel
disponible au :
06 73 74 29 70
6 Archipel N° 70
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Formation de l’ARESPEL
C ’est à un public de médecins, d’infirmières,
de psys, d’éducateurs et d’aides soignants
que s’adressaient ces journées de formation.
Après divers échanges, les membres présents
proposent les axes suivants à développer lors de
ces trois heures.
3 groupes se forment, animés par un médecin,
une infirmière ou une bénévole, afin de
recueillir les connaissances autour de la loi des
droits des malades de 2002.
Ce qui ressort de chaque groupe
les directives anticipées,
La personne de confiance,
L’interdiction de l’acharnement
thérapeutique,
Droit de refuser le traitement,
Le refus de l’euthanasie
Double effet de l’antalgie,
L’intention de faire mourir est illégale.
On parle des procédures collégiales des
établissements et du patient au centre des soins.
Les nouvelles perspectives de la loi :
En 2005, elle répondait à deux peurs.
- Peur de mal mourir, du côté des malades.
- Peur de la judiciarisation, du côté des
médecins.
4 points marquants :
1. Le droit à l’information,
2. Le droit à l’arrêt des traitements,
3. Le refus d’une obstination
déraisonnable,
4. Le droit aux soins palliatifs.
Des avancées sont soulignées :
- La possibilité de rédiger des directives
anticipées dont le médecin doit tenir compte,
- La possibilité de nommer une personne de
confiance,
- La ventilation assistée…
Le rapport Sicard a démontré l’application
insuffisante de la loi.
Les propositions de la SFAP un constat
accablant
Le non respect de l’accès aux soins palliatifs
(-20% des malades)
Des fins de vie inacceptables (+ 70%)
Une frilosité des soignants à mettre en place
des sédations.
Un rapport de l’IGAS sur la mort aux
urgences.
Une demande partagée de deux droits :
Des directives anticipées contraignantes,
obligation pour les médecins de
respecter les directives anticipées,
Une sédation profonde et continue
jusqu’au décès.
Anne-Marie Bruneau, Valérie Kallenbach et Nadia Saber,
bénévoles de l’association Jalmalv, ont participé aux formations
proposées par l’ARESPEL aux soignants, autour de la nouvelle loi sur
la fin de vie.
« Les médecins n’assument pas
leur responsabilité. »
7 Archipel N° 70
JALMALV AU QUOTIDIEN
Revue
Jusqu’à la mort accompagner la vie
Accompagnement en soins palliatifs
Revue internationale francophone depuis 1985
Éditée par les PUG
Presses Universitaires de Grenoble
Quatrième de couverture du N° 122
Quelle est la spécificité de
l’accompagnement en fin de vie ? Quels sont les
enjeux et les nouveaux contours du bénévolat
d’accompagnement ? Comment accueillir et
renouveler la motivation ? Dans notre société en
mutation, il s’agirait d’être fidèle à des principes
et en même temps sensibles, pertinents et
innovants.
Pour s’abonner à la Revue Jalmalv
Écrire aux Presses universitaires de Grenoble
5, place Robert-Schuman
BP 1549 - 38025 Grenoble cedex 1
Tel : 04 76 29 51 75
Ce journal spirituel intimiste a été écrit « à la mémoire de celle qui
n’avait plus de mémoire ». L’écrivain-poète Jean Biès dut affronter sept
ans durant la « maladie-sans-nom » qui frappa Rolande, son épouse,
psychothérapeute jungienne réputée. Au fil de ces « feuilles de déroute »,
teintées d’humour et de tendresse, Le Deuil blanc se révèle le formidable
chant d’amour d’un homme désespéré par le lent déclin de celle qu’il aime.
Le Deuil blanc Journal d’un accompagnant
AU-DELÀ D’ALZHEIMER, L’AMOUR
Jean BIES Éditions HOZHONI
8 Archipel N° 70
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Les CRUQPC,
efficaces pour dénouer
les crises
P ublic comme privé, tout établissement de
santé possède sa CRUQPC¹ rassemblant des
soignants, des administratifs et des usagers.
« Nous sommes une quinzaine de personnes,
précise Christelle Collec, présidente de la
CRUQPC et directrice adjointe du CHRU de
Brest. Nos deux grandes missions sont de traiter
les plaintes et de veiller au respect des droits des
usagers. »
Une réponse au cas par cas
En pratique, la Commission analyse et
apporte une réponse à chacune des réclamations
reçues par l’établissement, via des supports
variés(mails, appels téléphoniques, courriers).
« Tous les niveaux de gravité sont représentés,
du petit dysfonctionnement signalé par mail à la
plainte transmise par courrier officiel, indique
Christelle Collec. Nous avons constaté que plus
de 80 % des réclamations relèvent d’un
problème d’information ou de compréhension
de l’information médicale. Nous proposons
alors une médiation au patient ou à sa famille.
Dans ce cadre, ils rencontrent un
médecin qui a étudié le dossier et leur
réexplique les choses dans un lieu
neutre, détaché de la temporalité de la
prise en charge. L’enjeu n’est pas
d’apporter une réponse technique,
mais d’humaniser et de personnaliser
la relation. Une médiation s’avère bien
plus efficace pour retisser le lien de
confiance, qu’une réponse administrative par
courrier ! »
Des actions de fond
Analyser l’ensemble des demandes
individuelles permet aussi à la Commission de
proposer des améliorations collectives,
préventives et très concrètes. « Nous avons
par exemple travaillé avec l’équipe des
urgences à la conception de leur nouveau
service, qui ouvre en octobre, rappelle
Christelle Collec. A partir des témoignages et
des plaintes des usagers, nous avons construit
une offre adaptée à leurs attentes :
informations sur le temps d’attente en temps
réel, collations, places de stationnement
réservées, accès wifi, borne de recueil de
satisfaction… »
Au cœur des établissements de santé,
les Commissions des relations avec les
usagers et de la qualité de la prise en charge
(CRUQPC) s’attachent à apaiser les tensions
et à éviter les ruptures entre les patients et
leurs soignants.
A noter
13%
seulement des
français ont
entendu parler
des CRUQPC².
« Plus de 80 % des réclamations relèvent
d’un problème d’information ou de
compréhension de l’information médicale. »
+ d’infos
Consultez la fiche pratique sur les
CRUQPC éditée par le Ciss :
www.leciss.org/sites/default/files/19-
CRUQPC-fiche-CISS.pdf
¹ Instaurée par la loi du 4 mars 2002 et le
décret n° 2005-213 du 2 mars 2005
² Le baromètre des droits des malades 2005,
LH2 pour le Collectif interassociatif sur la
santé (Ciss)
9 Archipel N° 70
OUVERTURE SUR LE MONDE
P our la troisième fois, Cunda et Arcadius
voient mourir un de leurs enfants. Celui-ci
venait de naître. Il n’avait pas encore de dents.
Selon la loi romaine, il doit être enterré et non
brûlé. Dans le sud de la ville, à l’emplacement
d’une ancienne carrière de craie, un terrain est
réservé pour accueillir ces tout-petits morts.
Arcadius découpe soigneusement une amphore.
Cunda, accompagnée de son fils de trois ans, le
seul qui a survécu, y dépose le bébé. Arcadius
enterre l’amphore qu’il recouvre avec la partie
supérieure détachée. Ils se recueillent quelques
instants et retournent chez eux. La vie continue.
« Pour insérer le bébé dans le
vase, il a fallu le présenter soit
par la tête, soit par les pieds, en lui
repliant les jambes contre les cuisses
et les avant-bras contre les bras. La
position recroquevillée résulte donc
des manipulations nécessaires pour ce
mode de dépôt et non d’une volonté
de retrouver la position fœtale. »
Découpe d’une
amphore avant
l’inhumation d’un
nouveau né.
Illustration Thierry
Duchesne.
Amphore découpée par une lame sur la partie supérieure
pour y déposer le cadavre d’un bébé. Reverdy. 2008.
Sources : archéo n° 21 ; p. 5
10 ans d’archéologie urbaine
Une publication du service Archéologie de la Ville de Chartres
Avec le soutien de
« Au moment où j’écris, les attentats de Paris ont eu lieu,
plongeant d’autres familles dans la douleur. »
Retrouvez page 17, « Les souvenirs de Line ».
Photos Guy HOUGUENAGUE
Paris, Place de la République. Après les attentats du 13 novembre 2015
Château de Fleury-la-Forêt. Normandie
Photos G. H. Château de Langeais
Histoire et mémoire tiennent une
grande place dans ce numéro.
Regard sur archéo n° 21 : La mort
des tout-petits à Chartres, p. 55.