etude pédologique de la région inter logone, dépression de...

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  • c

  • "I

  • -1-

    - C E 11 E R A L I T 3 S

    IQ) Le cours du Lagone sur la bordure &-Eat a conduit la. fontation SUT sa temasse alluviale de sols part icul iers , a;3@ks sals .&rgilo-limorieux L'on verra par la sui te qu'ils sont analogues B ceux de la d&mssion du Lac de Fiaw- (et Tikern) dont avaient parlé DL PIA3 e t LEiWJF.

    20) La relative homogdn4itb de la s8ctbr"aBion a bris6e p a r l e passage r&ccen.t; e t actuel de dem nappes íl'wu issues du Logana e t dirLgQos vem l'ouest ; La p r e d b r e a cldblayd les sols beiges liydrumaqhes B hauteur de H ~ u l d a y w pour st &couler d m des pohBs bas qui sont devcrius paz* l a su i te dea cuvette8 argileuses, Ce phtjnombne s'est produit d'une anib1-e analo;qo, nais k une &o- que plus reculGe, dm8 la vallee d e l u Loka c t 1.a Kabbias pow permettre en- suite l e dép8L des Argiles B &dules Cdcaires. La rioconde s ' e s t réganhe b la l i n k t e das seb1t.s beiges e t des Argiles h llod'id.cs SLW l e parallple de i % q p m a b

    Cae ;hénom&nos ont conduit h, l'appa~ition de sol2 ìlouveaux qui ont c ruSliqu8 l e paysage .bdologiqcia.

  • -2-

    inond6s : ceux-oi se r8smmau Argilas h nodules, aus; cuvettes ar&- leuses e t B la temas;e du Logone ; daus ce cas, l eo caraat8ristiques restent les mhss.

    paraissent dans las mgas et lea sols beiges : ~;ha.ya 58&galensis, Poupartia bittea, P w ~ . ~ R biglobom, Guiem Sdri&alensis, Acacia Seyal, Lamea humilis, AZbizziia chevalieri etc., . ,

    L’an refaowe las espèces, c&a des ewèces nouvelles zap-

    voici un inventaire fie la vbg6ts;t;ion répmtie aur les difftkenta %_ipee de 801 t

    V&$Cation dense de savane arborde -

    20) Sols beiges exondbs aux ddfriohe ou jwhbre o

    Guiem a6n6;alonsis Yermird3.a (albida

    Parlda Biglobosa Taaaríndus indica xfaul.linia reticulata

    (avicmnioidés

    .

  • - P E D o L o G r E -

    -4-

    P/ Sola beiges exorXabs sableux ; 2Q/ 801s beigos hydromorphes ; 3 9 1 Sols sableux de bourrelet; 4Q/ Sols sableux L"dds f

    691 Sola hgiloraableiue de bourrelat ; 7 ~ / SOIS ax-+-limm.eux es terrases al luviaes ; 8Q/ Sols ar#leux des ousrettes ; 9.f Sola argileux h nodulas calcaires,

    5 9 1 N e m l i

    que l'on peut simplifier pour adopter La claosificakion génkale :

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    1 i l l

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    , I

    La limite entre les sols boit:es e t 108 arL5les e s t marquSe par deux dt?i)8tn alluviomairsa : l es so l s sableux de 'bourrelet qui SB ,)Ljursuivent sur la bordure du lac de l'i-a e t les rugas . Ces s o l s sableux de boumelet au bord du lac sont trks 6pai.s au auci (Hahaydé), mais leur 6paiaueur d' dcroit vera 10 PÏord. L"n dessous appa rd t a lo rp un alluvioiuiement qui semblerait ana- lobwe aux sols Argila-sableux de &",

    Ceux-ci dominent au llord des argil.@ß et imquent la limite Nord des sols cxond$s ayan% la confluence Logone- Dépression de Fianga,

    Lee s o l s [email protected] nont placés SUT l a terrasno alluviale du Logone e t (tans l a d6pmssion du lac de Lii"ianga.

    Ils se caract6risen.t; par un certain .lossimgc d e L'argile mais surtout par l'absence de tachen d'liydromor~drie.

    Pour les profils Mos 12 @t 13, l e l e s s i v w fait doubler l e t a u d'argile sur 80 om environ, tandis que l es l i n m i s , les sablee fim e t l e s sables grosaiers restent senrsib)ment constants, 11 est diff ic i le de leur a t t r ibuer dea cwmt4ris t iques t;r.arrulorn&riqueues sur deux profils w l y - BQS, car ceux-ci prdsentent entra eux une diffTSrenoe ap,.jr&iable.

    Le ph est voisin de 6, s m variation w-c let profondeur, sauf pour IC nQ 131 oÙ Il s't51bve h. l a neutrali té, chose 8s:'jez difPici le ?i inte- pr&ter.

    Iles taux Be matihre arga.-aiq~~s matrent un d&ail int4ressant : LC p r o f i l n~ 12 en contient ir,^ $ e t l a p o f i l nu 15, î ,~ , s o i t ewiron 10 fois lus, Le preidor m trouve sous une vdgdtatioa de re,ousses p " t jnchbre avec ,OUiom indiquant un 4p~sement important CILI solr Le seaand est situ8 som LW bel le forat r6g6n4rbce

    des deux profils sant &e 1/10 pour l e carbone a t 1/4 pour Z'a~ote.

    taux du carbone, - i d s c 'es t celui-ci qui baisae l e plus, montrant la plus grande uti l ioat ion da la matibre org@cps par lus plwtos.

    IjI} est d'ailleura a.mez mm dm8 lcs s o l s sablom exorid& ; now avans not4 prdcédemment qua e l l a aorrespondait bien dense,

    Las rapports entre les taux de carbone s t l e s tam d'azotes

    Lei culture fait donc baisser h l a f o i u l e tam d'artote t+t le

    Une ausui grande q w t i t d de matihre organique (I,S, horizon

    mie v&g&ation particulibmment

    Voici la description du p r o f i l n2 13 O - 30 horizon sableux h sable grossier, gris, hwllifbro

    (hwnide par pluie) , particulairs peu c o ~ q m t ,

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    l

    i i 1

    r

    3\1 - 80 horison beim sableux, eraore u13 peu lmmifbre parbiculaim, - peu com$act

    80 - 90 ~ O ~ ~ E D I I a n a l o m EWIS hwua, if0 - 100,. . . horinon beige, devisnt coqac t k la sonde,

    pas de trace d'hydmmorphie ;

    de meme pour le profil, ~ 118 I2 : O - 160. : pas de taches d'hydromorphie, SOTS 3IjIWS m D i S i 3 r $ *-

    Cette d6nominatíon n'a pas &O employ6e lorn dea pmmibrea ,jmsp@ctíona de la commission ; a Eturtout mis l 'aacent sur les sols exondés e t inand&. Naia elle n'est plus valable quand on se trouve B une w::ez m&a distance de l ' imndatian, car tow les sols aorìt exondds.

    Ils se distinguent assez mal des précddenta, sur le temain, car ?ortent une vdg6tation analogue.

    Ils se caract&risent par un certain lessivage de l ' a r S e e t par la présence en profondeur de taches OCTUS ou rouilles dtilydromor$hie ou par des corlcretians ferntginewes.

    NOUS n'avons pae de rgaultats amlytfques, mais voici une des- cription de profil situ6 entre tiouldayna c t Dom Z'ya & 6 k a de IdonZdqma mus chcunp de cultwe de m?tl mugo récertliaent de"bois8 avec repousess de Temh&lia albida e t de baubinia reticulata,

    O - 30 horizon humSfkre, sableux, 'a sable grossier, peu compact, tendance garticulaim ,

    3C - 80 horieon beige sableux, tendance particulaire, 130- 220 horiaan sableux, beige muge a v s ~ nombrauses taches ocres e t

    rouilles ; un -pm plus argileux dbs 530 GEI.

    D m uiz p a t a h 3 h avant 13om .?ya, la r3a.p:43 p k b a t i q w e a t h I6 m de profonclew, On note des taches vagues, d s nombreuses e t 6es concr6- t i o w ferruginewes noims vers 80 cmr

    A Bjelmd, la nappe est h. I2 m,50*

    La grande pr0l"ondsur de la nappe su:Ipose soit son action anCieilne, so i t une évolution vers 1'hydromorphie p & c e B la. pr6sence en profondeur d'un horizon plua argileux,

    "mt do nombreuses taches ocrus e t des conerbtioW f erri ineuses ocres ten- dis que P"alyse B U0 - 90 cm montre que l'horizon devient [email protected].

    C'est le c m POW le prof i l nQ 7, oh, B partir de 60 cm agpa-

    Si l e profil est t rop sableux, avec z l a :le profonde, on n ' a p e r pit aucw~e trace d'hyrlromorphie en groforidem ; c'est l e cas .?t 270 cm sur la route D o w ~ y a - Djelmd à 2 kn $3 D3ol.r.d.

    9 .A

  • r- - I -

    $1, rJes sols se rqp-ochent des 801s beiges préctSdents pm leur 6vol.ution &?dologique, ils ont B t B distimu8a c m ils proviemient d'w. allu- vlorinencnt de ma;yos issu du Logone poet6riour h: l a serie des saLles beiges, On cornprend alors pourquoi ia granulom8trio ca t aussi IrdtQro&no car elle a &té fcmction de la vitesee das courants ou de la posit ion g6ographiquo.

    Au point de w e oSigLnc de formation, i ls SB rap:irocfieraient donc des buttes sableuses oxondc$ss dans "los ;jlainoa au Nord de Bo'Lu~~o" 9 m a i s ioi les d6p8ts se sont comGitu6s p~nr l'action de nappes d'eau boaucou~9 moins importantes,

    47 Ti de sablc?s grossiers s t 37 7; do sables f ins , I c i Tes chiffres sont beaucoup plus vwiables, inais il y a p l w de fiables f i n s du c8tQ dcs lacs q w du c8tQ Lagone -( comgamr les : chif f m~ des horieons 101

    On B e souvient que l'alluviomcmfint de butte &tail d'environ

    162, I U j , 12 1 avec plwf il nQ 2).

    Les pro f i l s Nos 2 et IO, peuvent etre sclithatisks de la maniere suivante = S/SA, IC sablo-argiletu; sous-jacent ne rstxwuveul't saus certains autres bourrelets : il corres,jond pw&t$tre B I n n?m rsdrie des "plaines &u f~ord de BOUI&O", série 9'110 l'on retrouvwxit en profondeur au p r o f i l nQ 7.

    Lo ph est voisin cie 6 ,2 mais plus acide pour le profil 112 2.

    . J..

  • -8.

    Voici la denwiption du p r o f i l 119 2, sous clump de cu3twre de coton, aracbib, d l rouge avec restes de v&g&at%n arbustive, Faidherbia, Ncus, hyphaene th&aTca a t repousses i

    O - 60 horiaon sableta & sable gsossier. e t graviers, Ql&ment;s de pote- r ies - beige brun (un peu mir car huaide par pluie) partieulai.pe peu cornsact -

    Ces gals portcant les aultwes e t lcs v i l l eva , cor 2x9 sont plus hauts e t dom plus pratiqwbles que Leu mgw, argilas h nodules, s o l s allu- piaux, pendant; la seSson des pluies,

    On ne remarque aucune &volution pbdologique d m le psofil seblous.

    Voici une deaoripfiou daru m e z8ne basse, sans arbres % 5 loh Et l'ouest de Nouldayna :

    O - 20 Izori5~a sableux B sable f i n - noir ( hwaide par plu ie ) peu compi&, pwtfculaire .I-

    particulaire .- yas compact,

    ocres - oompact - polyédrique moyen, Le m6me p r o f i l sa retrowe dans touts la d6_nression,

    20 - 65. horiaon sableux c?o sable blanc & sable gronsisr, huttzicle - 65 - 80 -Lariaon sablo-argileux $i m@lo-saGleux - gris - beige h taches

    7-

  • e , . . . ~ , . , - . -

    i

    L E S H A G A S * - - c 8

    La VQdta t ion n'est pas partout z bsente : elle se concentre p m taehes a t va jusqat& 8tre arbor& moyemiemcnt danse come au p"i.1 ng I clont voici la description ;

    0 - 10 hariaon safjleux SE saljle f in , boigo, structure partículaire à polyQdri4uc faible 2e t i te (mouil16 p a r p lu ie )

    IO - 60 horizon agilo-sableux b e i ~ w ocre ( liorizsn ìion mouil'!8) pseudo uycélium blanc peu net.

    60 - 80 horison argileux, compact nittusir ?i polyddriquo moyen, beige - ocre.

    J.. a

  • I I

    - 1 !

    I -IO-

    I

    XLa quantit6 de matihro arganique est faible, a d s plus importante que pour lea wold de bourrelet,

    &es mgaa no sont ~sratiqumsnt pas utilisees pour la cukture car ce Bont des eols trop compacts, difficiles b travailler e t la stagnation de l'eau pendmt la aaîeon das pluies empdchs d'y pén6trer.

    I bablemeiit.'le partie supQrieum des Argilas ?\ Nodules calcaires.

    fleuve, A Go% on retrouve lsalluviomment uxgilo-sableux, dessous le bourrelet sableux superficiel

    LS long du Logone, ils constituent pxr &&e le bourrelet du

    C'est 'un allu~iorzi~e~len~t issu directenent du Logone par &%orde- ment des eaux dans Pes p h i e s les plus basses e t les plus proches Bu fleuve. Il comßs_nond au mode dê dQpbt de bourrsltst de Z J ~ ~ O observe au Cariemm au niveau de Jhrt-lang, avec la succession suAvante : bcrurmlo$ de mayo [email protected] sableux, naga, argile I tropicale.

    Il est pour le I;ogoiie, ce que sont les bourrelets sableux ?our les pet i ts ma;yos.

  • -XI-

    Cette terrasse constihe l e lit majaw du fleuve, tandi6 que

    Ce lit majeur fome un@ bande la 101% du Logmie qui n'est

    E'allwiomeiuont nc porwsuit donc encore tmtuallement par d8-&3

    les plaines noy6es pmdaut. la C P U ~ , sont l e lit. d'inondation.

    inond8e que pendant la crue.

    d t i i ~ L g i l e , limons, sables fins, mis peu ds sables grossii?rs. Mals l e s d4p8ts sont mim a r g i ~ o u x qu'autrefois { 57 $ d ~ a x - ~ l o h 50 cm).

    I,@ ph s'abaisse en dessous de 'j corm6 d m 8 t o w les sols inond6a; il 58 mainticnt en profondsur, car le cofi1~1t.xe absorbant n 'est pas sat& par lo caloim de nodules calcaires inoxisOmts.

  • -

    -12-

    Elles occupcsxt des points bas eut milieu des so l s beiges hydro- morpheo. Ils ont 4% m g l i s par dea nappes d'eau venant du &gone qui ont ddposb me sbdinen+a%ion variable, G&T il nly a pas g"de homo&?it& gr=- lamétrique dane les profils,

    d&j& ddcsito) sauf cells qui correspond au p r o f i l nQ 7 ayant subi B la fois une " r t a t i o n aralo-sableuse e t une dvolution hydmmorphe ; car de t,î3 B 90 CBI, dans l'horizon argllo-sableux, il y a da nombreuses comr4tions femi- ginewes ocrea s t des twhes OCES.

    COS cuvettes sont argileuses (saris parler de la auvette sablewe

  • - ,- . _- .. ..

    L'inondation confbro donc aux so l s , indépendamment de l a gra- nulom6trie deux caractères comwi~3 de 1 'horizon supérieur t

    une g r t d e quaYttitd de matibre orGdque,

    Un ph aoide.

    Ces plaines qont d&udées de vdg8tation arbustive, sauf pour l e s cuvettea de s6dimentation nrgilo-sableuses qui retrouvent l e s caractkres des sols beiges hydromorphea,

    Voici la description du p r o f i l nQ 3 dana une d6pression sans v6g8tation arborée, entowde de s o l s buiges hydrornorphes e t de s o l s de bourrc l e t w e c effondrements. Lfon observe 4gulernent des effondrements dans la cuvette au gord de %xLrou Cependant il n'y a pas de nodules calcaires en supface e t pas de bombeae&a ; pm de nodules en profondeur bien qu' i l y ai t c c y " t une lQgBre tendance à 80 ern.

    ' 1 s. ' - ~ - _.. i

    1 O - IO horizon sablo m&laux - noir avec limona e t sablefil f in s - (mouil16 pm la pluie) - particulaire -

    I O - 20 horizon argileux, aves limona - gris h taches oures - Deu coapact - collant car mouil le par pluies.

    20 - 50 Horizon argileux g r i s et ocre, caz* nombreuses tachos ocres et une ooncr6tion ferrugineuse de 2 cc. mgpor t& - peu. compact ( movlilld p m pluis).

    polyédrique moyen - légbre tendame .?i la Tomation des nodules -

    i

    50 - 80 horizun argileux - gfiu ocre - comgact - ¡ln peu hwnide - S u r un c8t6 du prof i l , pocha de sable blanc b~osoierc qui descend jusqu'k 60 cm B la faveur des fentes de re t ra i t ,

    Les Argiles & nodules calcaires du ;ud-!:ST de I4ioulclay-m sont sdparcées de cel les au Nord de F a r g m par une nappe de so l s beiges. a l les rem~lissent une dernière fois au Sud, les vallQea de la L o h e t de la Gbbia . plaines au Nord de oum mo".

    effondrements nonbreux et profonds ; l a circulation automobile y est presque impossible,

    Elles sont amlogues aux ârgiles k nodules décrites dam "les

    El les ne sont peut être [JnS amai moutonides, m a i s plut8t tt

    Aprbs leurs dOp8ts, certaines argiles se sont vues recouvrir p a r des sédiments plus rcjcents, car c'6tsiont lh des points bas et oh las vites:;es de courant n'&aient pas t rop rapides.

    .. ./. .

  • . .. .

    - .

    -3

    Au ,omfilpQ 5, on trouve en surface de petites concr8tions fermglneusss Be 2/2 om3 environ, bien glades e t bken mondies. )illes ont et4 tre.nspar%Qec31 yar l a suite, par des cowxmts de vitesse de 70 - 80 um/s oomspmxhi$a h la vitesse de tramport üe parhicules de cette dimension.

    11a.r les cou~antis, n'ont pas pu se ddposer h cet endroit, w i e sont all& s'arr8ter plus Lain,

    On .t;rowe aussi, en amface, das nodules oalcairea arrorrdis, soit qu'ils aient subi un certain transport originaire d'une Argile b nodules, soit q w leur forme wit dfie 2-i une action dissolvante des eaux,

    Tous les 81&entp3 de dimensions infbrieures & ceux-ci, amen&

    SrZr pletce*

    La staface du sol au profil ng 5 est t r b s loument4e : les effon- drements sont distants de I m environ, larges de 1 m au moins, et profonda

    Les fentes de retrait descendent dans l e profi l ;jusqu'h 80 cm. Le sol eat tres compact, beige-bm, poly&ique moyen aveu

    De O b 20 om, les racines des g"inbss ont imprimé des taclies

    &e 40 Cm8B

    une cohdsion forte* II est homagbne jwqu'h 80 cmrr.

    rouilles sur le gol, le long de leurpsaage,

    I1 est reroarQuable que la texture so i t p l w Forte en argile que dam les plaines au gord d 8 Bou". &,us avons drS $i parle de CO a~adian de g"lom8trio, e t elles sont comparables aux Argiles du Casier A Nord- Bo%or (47 %)*

    Le pB en surfaas est asa95 bas ( 6 ) , car elles sont inanddes, mais il remonte en pmfovldew h 7,s par suite de la s a k a t i o n du complexe en oalcsiuzu.

    myo&iwn contenant des sels de sodiwn en faible quantiti, Ce ph est d'ailleurs analokue 21 un horizon de naga avec peudo-

    . Le taux de matiem organique est de I,3 $ amlogue aux Argiles de &"o e% le rapport C/N de €3,7.

    11 amble, d'ap%a l a valeur élev& du,ph dana l'hopfaon sui;j8rieur, que ces sola conviendraient; moins bien 8. w e &entuelle culture du r i e que les SOIS de BOUmO, C W IS gh est SUPdSi@Ur B 5.

    . ' . . I

  • - S T B A T I Q R A P H T E -

    La aerie dee sols beiges sableux exondés et des sols beiges hy- dromorphes est la #&rie $a plus ancienne - c 'es t probablement l a mame que la s6rie des sables beiges do &$lo.

    I

    ~ !

    Cette s6xd.e es t coupdo du sud par dem d6pressiolw t la ddpres-

    La preinibre est la plus imi~ortaite et elle est ta9iasde par d e s sion de la &ob st Kabbia et la d&mssio;a dcs cuvettes,

    Argiles h !iodulss de m8me mture que les Argiles du Sud-Est e t du Nord, On peut trouver des diff6wncea de niveau de plus de 10 in entm l e aomwt des h g i l e s B nodules calcaires B Patalao d a m l a vallQe de la Kábbia et le somat des sables beiges exor&& h Dom :ya (cf carte IGN Fianga), %ri ConSi- d é r a t que la sddimentation argileuse e s t &paisse de plusieurs mhtres, nous avons une di f f4rence de niveau entre l e sommet des sables B Guirou e t l e somet dos sables au fond de la Ubbia, mettons d'au moins 13 m, Celk laisne penser, en sup:osant rd laouirement 111 effondrement du sacle, que lo plateau sableux a 6té profond6nent eutaiPl6 pa r les eaux qui veìqient de l'Est car la pento srabaisne vws l '&est. Cette pdri.ode d'drosion a prdcdd6 la phase de Gédirnentation argileuse,

    donné naiasame ultkr iewmant ?i des points bas clima l a z8ne des cuvettes, ob ne sont accumuldes des argiles.

    C'est un ph6nombne analogue, m a i s beaucou? p lus rddibit, qui a

    Cette s6rie est probablement trEs &paisse e t nous avons vu des

    Nous pouvons considdrer qu'e1I.e @ n t la phase la p l w ancienne puits oÙ la nappe phrkt ique e s t h IC2 ou I6 m.

    da cette rdgion et que tous l es autres dQ~18ts cartographids sur l a car te pédologique sont postGrieLws b

    Au niveau de Farganza, c&t@ a e r i e ne a ' m 8 t e sans doute pm brusquernerit, mais plange au desaau8 des Argiles jusqu'h une distance ind& t e d n Q o .

    . . . / .o .

  • -16-

    En* &tandant la saisormemon% de h X (altitude 35% m) 2t (altitude 295 m) c&i supposerait h Fort-- une hwteur d'eau de plus de 63 m.

    Celh n'a ríen de comparable avec les fonds actuels du. lac (en moyenne ; fond m a x i m a 7 m>*

    D'autre part, dl'aprhs le schdma prbcddent, si l'on supppose un lac s'dt@~dant d'me manikre con tin^ da Lafs h Fort-Lawyl ~'&w.&s@~Q des Argiles d e m i t 8tm plw p w d e du c8kB &e Fort-- que du cat6 de M, Or en comparant les observationa de Ronsieur PIA3 au nivewu de 3 í o g " (envi- ron 3 in) e t Flesaieura LEPOUTRE e t BCJUTEYRJ~ au casier A (glus de 4 m), on voit qu'elles ne sont prxs plus t!ip&wes h. mesum que l'on desceiid vem le Hosd.

    I1 eat plus facile d'expliquer cet alluvloííeaent continu sur 400 lan par dea dtQi3ls m " i f s le long de la pente du fleuve paxallbleuent aux courbes de niveau,

    .

  • i ..l- ,. .

    .

    -17-

    3EUE ARGIL0 - dABLdUSE: .- Les sols hgilo-sableux ont 12118 gm.~ide diff6reric.e de niveau

    avec l es Aygiles h nodules. Dam la partic la plus basse, au Nord d e B a 7 m on peut i ? l c " n * une diffdreiiea ds plus de 5 m avoc les Arg3lee.

    ét6 rwotrvertes pas eux. ",Is atteignorm avec Lew limite iqord une e8ne de points bas qui "que la coarflmncc dil. Lugme avsc la d&pression de Fisga,

    par dtjbordement les ddinents wgLlei~~-s&lew:.

    I1 faut penser qublles existent en profondsur, mis qu'elles ont

    Les eaux did Lodone ont rccouvert ces points bm, en y d4gosant

    La pmulornQtrie de ces ddpdts est malogus k celle des nagas, Nous now a2puyons pour les classer aLtssi SUP la tl.16oxrio de la Bio e t rh&it3-. tasia en 8bett-t qu'argiles e t ne.gatt font prfi ie 5x1 râ E.mme cgcls rhhxistasique.

    On ne la retrouve pas en surface. Aux p r o f i l s HOS 2 e t IO, 11 y a en pxofondeur un horizon sablo&,rgileu;n, sous Bourrelet de berge de myo, 11 est; possible que ce so i t la s6ri.e cle B o w , recouverte par des s6diaents plus rQcenta,

    h carte pédologique rnontre qu'ils se sont d6:Joeés d'me IJmt h la limite des sables beiges e t des argiles, d' t~12;r~ park SUT les Argiles (par& ZEle de F a r g w ) . Dans les deux cas, il dovait prdexister ?i cet @ildroit w e lizae de plus grande pente.

    A 1' ouest, les argiles disparaissent presque entibroaent sous los

    L61 panto augaente d t h t en Ouest do safte que 'la a6dimegltation sablen de bourrelet e t les nagas.

    s 'est fa i te h p d r t i r du Logone, ~a effet , qu.an¿i l'on considEre le des sables de l@hozizaa NS 21 e l ZII, OE s' tq i3erpi t quo l e preder contient noinv d'argile, de limons do sables fins, m d s plug de sables g.rossSsrs : ce qui indique que 13s Bléments les plus T i n s sont ai,i& le g l u s loin,

    rmir1orn~tri.e

    C w i est un exemple de Ia l o i &&rale de l a s8dimentation Tlwie- tile ; pour un couro d.'eau donn-6, a'bcoufmt toujours avec le meme débit s o l i d e e t liquide e t tramportant; sables grossiers, sablc.8 f ims limoas, argile, les ddpbta p m mite de la diminution de la vites&e de t r w a p o r t se feront de te l le manibre que les sables grossiers x'arr8tent l e s premiers, guis le8 sables fins, les limons et les arg3.10~. iin en déduit une relation entre les d&p$ts et Zew poaition géographique.

    ont 6t6 d&pos&s h la m8me pErrSode pax le m8me c o w s citaau, pour savoir s'ils tqp-tartiemient

    St cm petit amsi comparar entro eux r l e ~ ~ pruf i l s , sachant qu'ils

    la mbme sdrie ; de ruhe ].ea horizons Z t - m phfil qLd m se sont

    . J.. a

  • -E-

    pas dgposds il la mhe p&ode pour Ravoir la vitesse du courant ou le d&i t solide etc ,

    A $ 37 L $ 6 Sf P 23 sg $ 29

    47 TI 20

    15

    57 21

    IS,5 x,3

    En admettant ces terrains allt~violuids par le Logone, c o W t tw- jours dans le &me Bens) an voit; que BOuma et bongor peuvent appartenir iz la ntbe sbrie, la diffBrence de texture entre eux Qtavit fonction du gradian pa- nulom6triquo.

    car il y a plus d'argile h G O E U e t moins de sables Srossiem, pourtant plus pres de la source du fleuve. Celb montre aussi que BOkJGOR e t G O F U n'qq?artien- nent pas BU mEme type de Sols.

    Rais BONGOR et GOFIlB ne peuvent pas appax+mir B la m&me s&e

    L'on varra une autre a2plieation pour les sols Argil-limoneux,

    Les sables, au niveau des lacs prennent l'allure d'un cbno de

    Lew alt i tude au-dessus des argiles est faible : actuellement, 1 m

    %aus avons par26 dans les pl&nes au 3ord de %mo de lm mode

    dti jection,

    environ.

    de formation : 5 J .LA, t u 4J (%-.

    ,.A' r-

    Lees mgas se sont fomnQes en mgme teinps que Iss bourrelets sableux de maps p ~ t r ii&ordement Zat8ral dos eaux au-dessus de l e m s bourrelets, Elles correspcrn6ont au m8nc mode de formation que fcn sables beiges inond.k gour l o s buttes sableuses exonddea de k m o .

    Lora de la formation des bourrelets de mayos, la vitesse du cou- rant

  • -19-

    On peut remarqusr, e t nous 1'avom observd d'me fal.,mn net teptr exemplo au Nord-Cameroun, au niveau de .??ort-La?w, que l e s nagas aont paralleles au cours de8 mayos = cette disposition appuie l'idda qu'el.tes derivent des mayos p a r ddbordement des eaux au-dessus de leur bourrelet.

    Puísqu'elles reposent sur les Asi lea , ellee ne ponahdent ea défi- n i t ive que deux horizons, Le duuxiène hopizon compict, ar&la-sabfeux, contieat WE for te proportion de limons e t ;)eu dc sables grossiBrsr Cotte gz"lom&rie, variable suivant l e s mgas es t stme doute, 1'Qlljrtlcnt indispensable pour l a fw- nat ion du pseudo-roycQliwn,

    qu ' i l est important quo cet horizon soit rich@ en sable fin, plutbt qu'en sable zrosoier. &%i, FIM o t Mifi;W doïilient dea azaalyses de nag& h I'IOTIIGU e t HargafJr où I+ on retrouve l e s m8inea caractdristiqucs e

    L'horizon supdrieur ost sableux avec aablos fins i now pensons

    d ~ i aable blanc Gel& nous fa i t rappeler ce que ¡?IAS 2, LiiWJF ont sppc 5

    Ilsables blanosl' dans la sdrie des aables de K';Qlo. ì{ais c e t t e sér ie est sEpar6o des sables beiges par %out un cycle de sddimntation. I1 faut penser que les sables blancs sont la f i n du cyclo des Argiles h :o¿hles e t ils ont ét6 déyo~,&s aprh une reprise d'drosion qui a armich6 ces sables aux massifs aur cions c t &od6 les sables bei8t.a daio lu. rbgAon de Lloi?.ldayna.

  • ! -

    -20-

    Ap&a les sables bla" , le cycle de rli&iatasie se temine, La Biostasie l u i auccbde. his la premihre p&riode de la rhdxistasit suivante va &tre marqude par le d&8t des sols Ar@lo-límoneux,

    C'est la phase argileuse x&enter Ello s'est ddposde sur fa terrasse alluviale du Logonee On ne s a i t

    pas si cette terrasse a d t 6 creustSe l o r s de l'kroaion qui a prdcddd le d6pbt des sables blancs ou s'il y a eu une nouvelle h e i o n aprh la biostWiee

    La z8ne des cuvettes argileuses est wie z8ne de points bas = on peut noter me diffdrence de niveau de 2 b 3 m entre l o fond de la cuvette et le haut des sables beiges voisins*

    Argiles B nodules calcaires que l'on ne trauve ni en surface n i en profondeur, I)@ plus l e p ro f i l est trop he't&m&ne,

    limoneux de la terrasse alluvials, p m de%ordement des eaux du Logone au desaus du bourrelet de berge ; les points bas n'existaient pas au monent de la sddimentation dee Argilos k nadules calcaires e t les sables beiges n'avaient pas emore 6tQ &od&,

    Tl ne seuble pas que cotte sddjlmentation corresiande & cello des

    11 faut penser B u118 a&imentation post4rieiXre au d6pdtiargi.b-

    I

    ,c o z i c L U S I O N ) *

    &I définitive, on peut schématiser les cauches successives de la minibre suivante, en intercalant entre ~ h t ~ p e cycle nouveau, une période d' érosion :

    .../.e.

  • cuvettes argileuses

    une ligne passmlt par

    ...i...

  • L E S H A G A S I -

    L'eau du kgone m i v e dans le lit du mayo au somet du bourre- Ist, Vuela pnulamdtria du bourrelet, il y a relation entre l'eau supa5Xcielle e t l a wpge B l ' in tdr ieur du bourrelet, Cet te na~jpe est plus ou moins as;.r.?Me par le niveau d'Ar&le h nodules calcaires sous-jacent : ello, cimule: ' donc B SR surface et imprègne l'horirron Argi.lo-aableux relativement perméable.

    s'6vapare B sa awface,

    nais il8 redescendent b i s Ifhoriaan Argilo-sableux penclant la saison des pluies ; 2t cbque nouvelle inondation la quantité de sel augaente puisque le sel ne s f &vacue nulle part.

    de sel solubls dans les solutions du SOT. Agrh deosicatian il se fome une cristallisation blanche dans les couloirs emprunt& pm les aolutioml c'est B dire dans le r&seau d'anciennes racines.

    L ' A s i l e du comglexe devient fortoment dispersbe par suite de l'existence du sodium = Le sol est mouvant en sa son des pluies et compact pendant 3.a saison sbohe.

    ait possibilite de circulation capillaire, I1 contient &galanent un certain tam de sel, maia moins que l'horizon infdriew.

    en nurface 1'horirr;on infkrieur oongact i ou si l'6msion est moins forto, une partie seulment de l'horieon eugérieur contyactd.

    Par capi l lar i t8 exle renionte B travam l 'hhrimn sugérieur e t

    Lee Sels contenus dans oet te nappe suivent l e &me trajet ;

    Ce sel s a h t r ~ l e comuglexe absorbant an sodium puis li 1'Bta.L;

    L'horiEon supdrimr doit &re riche en sablos fins, pow. qu'il y

    Il arrive que cet horimn soft &&zap$ par 1'6roaion e t $3, rmte

    fi Y D R O M O R P B T z4 q-

    Ifous avons observ6 d" les dsscsigtiom &e profils , d'une part des taches e t des concrétions dans las niveaux les plua argileux de sols diffQ- rents de sols beiges, e t des taches e t des comsbtiom fem&.neuses dans la8

    .

  • -23-

    s o l s beiges b un certain niveau.

    Dans le,&uxibm@ cas, deux processus peuvent avoir jozle : s o i t ces coilcr6tions e t ces taches se sont fom& par les variations de la mpyo daris CG n i v ~ a ~ . E'our les prof i ls où la nap:ie est h 12 e t 16 ra, eelti est peu probable, car il feudrait suppaser alors une nagpe ancieme qui se serait trouvlee A un niveau beaucoup plun 81evQ.

    Ou bien c'est l 'act ion des eaux superi'iciefles qui sont arr8tées en profondeur par lui niveau plus argilmx : il y a dea phd;nornbnes d'oxy-do- rQduction dans les horiaons intdressds gar l a n a i 2 p entro la saison sèche e t la Gaison des pluies et formation des tilohes.

    C'est; sfirment; CQ proveasus qui pr4vau.l; dei-a l e yemier cas, car now remarquons lea taches rouilles la 1 . 0 ~ ~ des racines SUT O - 20 CM dans l'horizon supíirieur des Argilos h ìi~dules Calcaires,

  • -24-

    Cette r@m OS% habitde par den populations de la ram Danana,

    Ules sont sbdentaims, vivent au bord du fleuve, posskdent up1

    Le ris n'est pesque plus oultiv8 wajowdíhui. I1 l'&tait autre-

    Lea Argiles 3, nodules calcaires et lee cuvettes axgileuses de

    te coton est sem6 sur les cols mgilo-sableux de Bangana, sur

    sous-~~0upe de la ram hlaSsa,

    oheptel bovin, p€bhen.t; le p ~ i a s o n e t prakiqtzent la cul$ure.

    f o i s , prbs de Miogoye sur la terrame a11uvi.de du Logône.

    Nouldaylla ne aont pas utilisdes, mame pow lo mil blanc ou "berb4r8ft.

    les sols sableux de bourrelets ou sur les sols bei6os exondes, Les plan- tations comencent p3.&8.t; au ddbut des pluies dans les sols les plus lourds qui retiennent i*dt l'eau de pluie.

    e t les grendBres le $ont en plua grande quaatit;& vere IJouldqym pour revente aux Socidtds de Px6voyanccf.

    e t si dzm8 cette région elles sont pesrf'ois utilisées sw leur borduu.6, plus au fiord elleo seront totdwaent abandonnées.

    Les Arachides e t le mil mug@ sont :sem& dans les mhes sole

    Le$ W S W?lt S'k&&33, C U l€?W COmlJRCitb e s t t rop &Tande,

    .

    0 . ./. . .

  • i

    i

    t

    Les rdthodes d'analyses ut i l isQen sont celles eaploy9es h Bordy

    Les11 a btc? retenu aprh mdlm-&;.e tie l'eau e t du 801 jusqu'5 ce qu

    L'analyse m6canlaue est fa i te selon La inQthode Robinson avec dis-

    au laboratoire de l'IBXRTe

    la valeur mesuxQe demeure constante.

    $ersion au ppophospha'te (36 sodium EUXIS destructirion de calcaire ni de la matibre organique.

    pas ndcessaire quand elle n'excédc pas 3 $. Ce n'est pas tou jours le cas e t il est certain qu'uns erreur appréciable s'introduit lorsque nous en avons 5 ,!% (A&.lo-limoneu). Cette question sera reprise pow les sols du fond du Lac e

    ll'autm par t , il eut dit dais le Brunel que d. l'on veut obtenir lo pourcent- dos fractions par rapport h l a terre skch6e B LOSQ, il faut reporter l'humidftd bgalement sur chaque fraction (AeL,Sf ,Sg,II,Uos) Ceci ne aembls pas exact etl 'analyse montre que l e s sols qui contienneat l e p l u s c?'hmiZzi1;6 sont les s o l s les p lus argileux. Donc l ' i i d d i t k devrait &re m- portde uniquement sur l'Argile(à la yigurur une faible partie sur Ratière orgmique et limons).

    Ceci pour dire qil'en ne dQtr risant pas la matibe organique, l e chiffre d'argile trauv& { pawla terre s6che'e & 105-0) est troL) fort;, mais s i j 'y ajoute l t h d d i t B , dans certains cas, j e rlimirme ou am.&? l ' e r iwr sux I.'A&le*

    dane l"ronir, BOUS ce a l . h t , que par l'emploi die perozyde d ' U r & dam deu flacons de verra de 250 grse

    11 est entendu que la destruction de la matière organique

    La destruction de la natibre orgmiqiae ne $o~ura.it se faira

  • Contributions h la c o n r J & f s s ~ c ~ de la Stratigraphie e t climatologie du quatemirs dana le Bassin Tchadien - A.E.P.

    J, P;abDIE - U, ¡WE (UUl?l?)

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