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TOP 15… et des moins chères. En 30 ans,leur répartition a beaucoup évolué.
pp. 4 et 5
JEAN
-LUC
FLEM
AL
PortraitP.3Alain De Coster gère lesprojets d’AG Real Estate auBenelux et à l’international.
D.R.
Rendez-vous surWWW.LOGIC-IMMO.BE
VillégiatureP.6Le marché provençalreprend des couleurs,grâce à des prix réajustés.
En vueP.3Liège : le lauréat de l’appelà projets pour l’écoquartieraux Guillemins est connu.
ZoomPP.8-9
Cette semaine, la communede Saint-Gilles sous la loupe.
AnnoncesPP.10-2011 pages pour trouverle bien de votre choix.
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des communesles plus chères…
Supplément à La Libre Belgique - N°00 - Semaine du 23 au 29 avril 2015
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2 EN VUE SEMAINE DU 23 AU 29 AVRIL 2015 LIBRE IMMO
AgendaConférencesL’association Pierres et Marbres deWallonieœuvre depuis 25 ans à lapromotion des matériaux pierreux wallonsdans toutes leurs gammes d’applications et,plus généralement, à une perpétuation de la“culture pierre”, qui participe fortement àl’identité belge et wallonne. Elle publie etdiffuse un nombre important de livres et debrochures destinées tant au grand publicqu’aux professionnels. Cette année, elleorganise à Bruxelles, au Civa, un cycle detrois conférences consacrées aux principauxdomaines d’usage du matériau :l’architecture, l’aménagement urbain etle paysage. C’est ce dernier volet qui a ouvertla série, le mardi 3 mars 2015, tandis que ledeuxième sera consacré à l’architecture,le mardi 19 mai à 20h. Deux interventionscomplémentaires s’enchaîneront : celles del’architecte lyonnais Gilles Perraudin, bienconnu pour ses constructions en pierresmassives, sur lesquelles il s’étendra, et ducollectif Rotor, qui abordera la question de laseconde vie de la pierre, argument essentielpour une analyse de cycle de vie raisonnée dumatériau. L’aspect déconstruction sélectivesera également développé. La troisièmeséance aura lieu en octobre. En premièrepartie sera présenté un projet d’urbanismenovateur impliquant le matériau pierreux. Enseconde partie, les questions d’insertion declauses sociales, éthiques etenvironnementales dans les marchés publicsd’aménagement, pour aller au-delà dessimples considérations budgétaires.ULe 19mai à 20h. Auditorium CIVA, n°55rue de l’Ermitage à 1050 Bruxelles.www.civa.be; www.pierresetmarbres.be. Uneinscription est souhaitée à l’[email protected].
Les trentenairesquittent Londres
Logements hors de prix, transportssaturés… Ils sont nombreux à fuirLondres pour d’autres villes.
ALORS QUE LA CRISE DU LOGEMENT est un desthèmes majeurs de la campagne électorale en vuedes législatives du 7 mai prochain, selon des chiffres de l’Office national des statistiques (ONS),près de 60 000 personnes âgées de 30 à 39 ans ontquitté Londres entre juin 2012 et juin 2013; unrecord. Avec ceci que, contrairement aux derniersmouvements de population, leur destination n’estpas la périphérie de la capitale britannique mais…carrément d’autres villes. En effet, nombreux sontceux qui, parmi eux, ont choisi de s’établir à Birmingham, Bristol ou Manchester.
“Les prix à la location sontmoitiémoins élevés qu’àLondres, où la vie est devenue extraordinairementhors de prix”, constate, à propos de Birmingham,Kelly Convey, voyageuseblogueuse pour le siteExpedia. Quant à l’achat, il en coûte en moyenne500 000 livres (près de 700 000 euros) pour acquérir un logement à Londres, contre environ...120 000 livres (167 000 euros) à Birmingham.
Une comparaison avantageuse qui n’a pas nonplus échappé au journaliste Tom Cullen. Après 12années passées à Londres, il a préféré s’installer àBirmingham, en 2013, où il a créé le site Ichoosebirmingham.com, qui recense lieux de sortie, restaurants et boutiques de mode. “Birmingham m’afait la meilleure offre”, résumetil prosaïquementdans un billet pour le quotidien “The Independent”, énumérant “le prix de l’immobilier, la culture,les restaurants, les écoles, l’espace et les coûts bas pourlancer une startup”.
Chris Pyatt, 29 ans, a lui aussi préféré élire domicile à Birmingham pour lancer son entreprise dedesign web. “Vous y avez tous les avantages : de bonnes universités, une maind’œuvre moins chère, etc’est au centre du pays”, expliquetil depuis ses bureaux situés au dernier étage d’un immeuble néo
géorgien, à cinq minutes à pied de la gare centrale.Longtemps réputée triste et grisâtre, la ville de
1,2 million d’habitants a entamé une mue spectaculaire qui contribue à son nouveau charme. “Cen’est pas exactement la ville la plus glamour du pays,mais elle est en train de se transformer, de devenirplus attrayante”, constate Kelly Convey. Le centreville, presque entièrement détruit par les bombardements nazis, a été reconstruit au lendemain dela guerre à grand renfort de béton et quadrilléd’autoroutes qu’il était impossible de franchirautrement qu’en empruntant des passages souterrains glauques. Aujourd’hui, la capitale desWest Midlands est engagée dans un vaste chantierde rénovation : des autoroutes sont supprimées,de nouveaux bâtiments à l’architecture dernier criconstruits (dont la nouvelle bibliothèque, le centre commercial du Bullring ou la galerie The Mailbox), la gare transformée. Et les complexes de bureaux sont en plein boom. “L’an dernier, nous avonsattiré 6 000 emplois, 77 projets, des investissementsdans l’immobilier”, souligne Neil Rami, directeurgénéral de Marketing Birmingham, le bras commercial de la ville.
Bon marché, bien desservie et animéeMais pourquoi choisir Birmingham ou d’autres
villes moyennes quand la mode, il y a quelquesannées encore, était de s’installer dans les environs de la capitale ? “On constate aujourd’hui qu’il ya une génération qui aime les villes, veut avoir toutesles infrastructures à sa porte et non pas vivre à lacampagne”, pointe Neil Rami. Autre avantage : laproximité. “Il me faut 12minutes lematin pour allerde chez moi au centreville”, témoignetil. À Londres, “il faut tabler sur une heure pour se rendre aumoindre endroit”, se plaint Kelly Convey, ajoutantque “c’est bien moins stressant ici”. “Les transportsen commun londoniens sont saturés alors que la population explose”, dénonce également le directeurgénéral de la Chambre de commerce et d’industrie de la capitale britannique, Colin Stanbridge,dans le quotidien économique gratuit “City A.M”.
(AFP)
Au rang des villes qui récupèrent ce flot de Londoniens désabusés :Birmingham (en photo), mais aussi Bristol ou Manchester.
AFP
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2 EN VUE SEMAINE DU 23 AU 29 AVRIL 2015 LIBRE IMMO 3EN VUEPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE
L’homme aux mille projetsAlain De Coster a travaillé pour de grands promoteurs – Codic, Bernheim –avant d’être le visage du développement de projets au sein d’AG Real Estate,bras immobilier autonome de l’assureur belge. Une carrière rondement menée.
EN ÉCOUTANT ALAIN DE COSTERretracer son parcours professionnel,on est impressionné par la trajectoire en ligne droite… ascendantequi le caractérise. On l’imaginepoussé dans le dos par une sacréevolonté, un peu de chance évidemment, mais, surtout, une passionpour l’immobilier qui remonte àson enfance. “Mon père était architecte et, très tôt, j’ai développé un intérêt pour l’urbanisme, l’architecture, lesuivi des chantiers”, confietil.
C’est naturellement la voie qu’ilchoisit de suivre, puisqu’il s’engagedans des études d’ingénieur civildes constructions à l’UCL, suiviesd’un master complémentaire en urbanisme. “J’ai réalisé mon mémoiresur la stabilité des édifices gothiques,
précisetil. Je pensais travailler pourl’Unesco à l’époque.”
Il n’en sera rien. Après deux années passées dans la coopération auMaroc – “j’étais prof de maths; j’aitoujours été fort enmaths”, souritil –,à 25 ans, il fait ses débuts chez l’entrepreneur Maurice Delens (actuelValens), puis au sein d’une sociétéspécialisée dans le clésurporte destanding. Sa carrière prend de lahauteur en 1989, quand, à 30 ans, ilest engagé par le promoteur Codic,en quête d’un responsable de projets. “Pendant ma période d’essai, j’aidéniché un grand terrain à Liège, raconte Alain De Coster. Cinq ans plustard, le centre commercial BelleÎle yétait élevé.” Et de souligner la chancequi lui a été donnée de développerpareil complexe à un aussi jeuneâge. Mais aussi d’autres, tels le parcd’affaires liégeois Zénobe Gramme
et des projets mixtes comme l’ÎlotSaintMichel, à Liège toujours, et leLouise Village, à Bruxelles.
En 1995, âgé de 35 ans, il entrechez Bernheim et devient “assezvite” directeur général de la brancheDéveloppement du groupe. “Je passede responsable de projet à responsabled’une équipe”, soulignetil. Il enprofite pour élargir la gamme d’activités de Bernheim, surtout actifdans le bureau à Bruxelles. Sous sonimpulsion, les projets intègrentaussi le résidentiel et essaiment enpériphérie bruxelloise, dans le Brabant wallon, à Anvers, au Luxembourg, à Paris… Huit ans plus tard, legroupe est vendu à Fortis AG (actuelAG Insurance), qui crée une filialeimmobilière autonome : AG RealEstate. Alain De Coster y occupe lesmêmes fonctions, “mais au seind’une plus grande entreprise, en étant
doté de budgets plus importants”.Jusqu’à ce que l’organisation d’AG
Real Estate soit complètement revue. “Depuis janvier 2015, notre organigramme est ordonné de manièregéographique (Benelux, France et International), par produit (commerce,bureau, résidentiel) et par branche(investissement et développement).”D’où son nouveau titre, à rallonge :Group Chief Investment Officer. “Jem’occupe de la stratégie d’investissement et de développement du résidentiel et du retail au Benelux et à l’international, détailletil. Soit des produits plus émergents au sein dugroupe, avec quelque 240 000 m² àl’étude rien que pour le résidentiel toutde même. Je garde toutefois une visionglobale sur l’ensemble des projets d’investissement et de développement et lagestion des risques immobiliers.”
Frédérique Masquelier
L’EX-PATRON DE BPOST, ADMINISTRATEUR CHEZ GHELAMCOJohnny Thijs, l’ancien CEO de bpost, est devenu administrateur indépendant du
promoteur immobilier Ghelamco Invest NV. Philip Neyt, ex-directeur de lacommunication de Belgacom, devient pour sa part administrateur, mais aussi président
du conseil de la famille Gheysens, les propriétaires de Ghelamco, annonce la sociétédans un communiqué. Par ailleurs, Ghelamco indique avoir conclu un important contrat
en Pologne. L’entreprise développeraen effet le projet “Warsaw Spire”,
des tours de bureaux hautes de 220mètres, dans la capitale polonaise. Ànoter, concernant ses activités sur le
sol belge, que le promoteur, enconsortium avec le néerlandais Bam,
a remporté le marché de laconstruction et de l’exploitation du
stade national de football àBruxelles. Ce dernier, pouvant
accueillir 60 000 personnes, doitêtre érigé à l’arrière du plateau duHeysel (sur le parking C) en vue de
l’Euro2020 de football, dontquelques matchs seront joués dans
la capitale de l’Europe. (Belga)
BELG
A
177 445LOGEMENTS INDIGNES EN ILE-DE-FRANCE
En 2010, près de 177 445 logements du parc privé en Ile-de-France étaient considéréscomme potentiellement indignes, indique l’Agence régionale de santé française. Enjanvier 2013, le gouvernement avait assuré réfléchir à sanctionner d’emblée, sans
attendre des procédures judiciaires, les propriétaires indélicats louant des logements àla superficie illégale. Un chiffre et une volonté politique qui reviennent sur le devant dela scène médiatique avec l’annonce d’une peine alourdie pour un propriétaire qui louaitune pièce de… 1,56 m² dans la capitale française. La cour d’appel de Paris vient en effetde le condamner, de même que l’agence immobilière, qui avait fait appel, à rembourser
près de 18 300 euros à un locataire qui y a vécu 15 ans. Lesdommages et intérêts alloués ont été quasiment doublés
par rapport à la décision de première instance.
LE PROJET D’ÉCOQUARTIER SURL’ESPLANADE DES GUILLEMINS EST DÉSIGNÉ
En concertation avec la Ville de Liège et la Région wallonne, Fedimmo, filialede l’investisseur belge Befimmo, a lancé, fin 2013, une procédure d’appel àprojets portant sur la réalisation d’un complexe immobilier mixte d’environ
35 000 m² sur la parcelle dont elle est propriétaire au cœur de la Citéardente, attenante à la nouvelle Tour des Finances et située le long de la
future esplanade, en face de la gare des Guillemins. Quatre équipesd’architectes, de bureaux d’étude et d’entrepreneurs généraux sélectionnéesparmi les candidats intéressés ont remis un dossier. À l’issue de son analyse,le jury, composé de représentants des diverses parties impliquées, a désignéà l’unanimité le projet “Paradise Express” comme lauréat du concours. Porté
par les architectes A2M, Bureau Greish et Jaspers&Eyers, il consiste en unécoquartier composé de bureaux, logements et commerces de proximité.Ouvert sur son environnement, Paradise Express offre une perméabilité
visuelle, une accessibilité et une continuité forte avec l’espace public. Desvagues vertes ondulantes et arborées évoquent d’ailleurs le relief liégeois, sasuccession de collines et vallées composant la base de l’aménagement des
abords. Tous les bâtiments conçus suivent le standard passif et s’approchentdu Near-Zero Energy Building, le projet offrant au final la certification
environnementale reconnue Breeam. Paradise Express doit encore fairel’objet d’une étude d’incidence et de demandes de permis unique.
D.R./©
A2M,G
REISHET
JASP
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D.R.
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4 DOSSIER SEMAINE DU 23 AU 29 AVRIL 2015 LIBRE IMMO
Le tandem Bruxelles-Brabantinabordable depuis 30 ansAmusant de se pencher sur lesclassements des communes belgesdont le parc immobilier est parmiles plus chers ou les moins chersdu pays. Quelques surprisesinstructives à la clé.
Analyse Charlotte Mikolajczak
LES HITPARADES ONT TOUJOURS eu leur petitsuccès. En immobilier, comme dans d’autres domaines d’ailleurs. La direction générale Statistiques du SPF Economie se prête traditionnellement au jeu, réalisant, chaque année, un classement des communes les plus chères et les moinschères sur le marché des ventes de maisons d’habitation et sur celui des ventes d’appartements(sur base des prix moyens).
Pourquoi ne pas y jeter un regard rétrospectif ?Les derniers chiffres disponibles datant du 1er semestre 2014 (ceux de l’année complète sortent…ce vendredi 24 avril), la comparaison se fera, àcoup de grandes marches arrières, avec les classements de 2004, 1994 et 1984. On y décèle pas malde petites choses sur l’évolution de l’immobilierrésidentiel belge.
1 Des contextes variés. Les années prises encompte l’ont été parce qu’elles sont séparées
chaque fois de 10 ans, mais le choix reste finalement très arbitraire. Pour quantité de raisons,1984, 1994, 2004 et 2014 ne sont pas comparables entre elles. Ainsi en estil, par exemple, sur lefront des taux d’intérêt hypothécaires. La première est en plein dans une période de baisse destaux. En 1982, le 20 ans fixe dépassait les 15 % ! Il acommencé à chuter pour flirter avec les 14 % en1983 et les 1212,5 % en 1984. Dix ans plus tard,après quelques soubresauts à la hausse ou à labaisse (8 % en 1986), il tournait autour des 10 %. LaBelgique est dans un creux immobilier. En 2004,les choses vont mieux. Les taux sont bas. On les ditmême historiquement bas : 5,5 %. 2014 démontrera qu’ils ne l’étaient pas, passant largementsous le cap des 4 %, voire des 3 %.Dans le monde – politique, économique, financier–, les événements se suivent sans se ressembler :1983, lancement du programme “guerre des étoiles” par Reagan; 19901991, guerre du Golfe;1993, entrée en vigueur du Grand marché uniqueeuropéen; 2000, éclatement de la bulle Internet;2003, guerre d’Irak; 2014, chute vertigineuse desprix du pétrole; etc. Des événements qui, de prèsou de loin, ont modifié le comportement desacheteurs.
2 Maisons d’habitation, les communes lesmoins chères. En 1984, la liste des commu
nes les moins chères comportait encore quelqueslocalités flamandes : 4 sur 15 ! La meilleur marchéest d’ailleurs flamande : Messines (province deFlandre occidentale, région du Westhoek). Maison trouve aussi, dans le lot, Niel (2e, province d’Anvers), Wervik (10e, Flandre occidentale) et Boom(15e, Anvers). Dix ans plus tard, il n’y en a plusaucune dans le top 10, et 1 seulement dans le top15 : Renaix (14e, Flandre orientale). En 2004
comme en 2014, elles ont toutes disparu.Au profit, essentiellement, de communes hennuyères. Alors qu’en 1984, le panel des communes où les maisons d’habitation sont les moinschères brassait plusieurs provinces (Anvers, lesdeux Flandre, Hainaut, Namur, Liège, Luxembourg), dès 1994, le choix s’amenuise. Le Hainautmonte au créneau et rafle 9 places sur 15 en 1994,11 en 2004 et 12 en 2014 !Sans pour autant que ce soit toujours les mêmesentités qui ‘squattent’ le bas du tableau depuis 30ans. Colfontraine et Farciennes sont d’ailleurs lesseules à se retrouver dans les ‘top 15’ de chacunedes années choisies. Dour, comme Frameries, yapparaissent dès 1994, Charleroi à partir de 2004.
3 Maisons d’habitation, les communes lesplus chères. Déjà en 1984, Bruxelles et les
deux Brabant font figure de régions onéreuses. Pasmoins de 12 des 15 entités du classement y sontlocalisées. Et cela ne fait… qu’empirer : 14 sur 15en 1994 (seule Schilde, en province d’Anvers, faitpartie du top), 15 sur 15 en 2004 comme en 2014.Avec, au fil des ans, une montée en gamme des entités bruxelloises, qui passent de 4 places dans letop 15 il y a 30 ans pour se retrouver à 10 en 2014.Parmi lesquelles, assez étonnamment, SaintGillesen 6e position. Ce qui tient, sans doute, à quelquestransactions particulièrement haut de gamme.De 10 en 10 ans, le top 3 est très variable. WoluweSaintPierre, par exemple, la commune laplus chère en maisons d’habitation en 1984et 1994, se retrouve en 10e position en 2004, et en2e en 2014. Sa comparse WoluweSaintLambertest plus régulière, tantôt en 2e position, tantôt en3e ou 4e.Lasne, qui se trouvait parmi les plus chères il y a30 ans, dégringole au fil des ans : 2e en 1984, 6e en1994, 12e en 2004 et hors concours en 2014.Quant à OttigniesLouvainlaNeuve, elle apparaîtfugitivement en 2004 à la 7e place. Preuve en estque la cité universitaire, fondée au début des années 70 (la première rentrée académique date de1972), perd son qualificatif ‘estudiantine’ et attire de plus en plus de familles. Quant aux villesdu Brabant flamand, seules WezembeekOppemet Kraainem se retrouvent quasiment dans tousles ‘top 15’.Côté prix, on observe qu’en 1984, le différentielentre la 1re commune la plus chère et la 15e tourneà quelque 14 000 euros (un écart de 26,5 %), alorsque 30 ans plus tard, il se monte à 205 000 euros(65 %). A noter encore qu’en 1984, l’écart entrel’entité la plus chère (WoluweSaintPierre, prèsde 67 000 euros) et la moins chère (Messines,12 000 euros) se situe dans un rapport de 1 à 5,5.En 2014, il s’est élargi puisqu’une maison à Ixelles(quelque 523 000 euros) est 6,4 fois plus chèrequ’une maison à Bièvre (un peu plus de81 000 euros).
4 Appartements, les communes les moinschères. L’exercice est plus difficile sur le mar
ché des appartements car, il y a 30 ans, ce moded’habitation était relativement peu usité, hormisdans les grandes villes et les communes côtières.Dans sa classification, la direction générale Statistique du SPF Economie n’évacue toutefois pas lescommunes qui ne peuvent présenter un nombresuffisant de transactions. Le classement est doncplus aléatoire, certainement pour 1984 et 1994.
Qu’y repèreton ? Avant tout, qu’aucune provincene peut se targuer de présenter les prix les plusbas. Certes, en 1984, le choix était plus vaste (7provinces représentées) mais leur nombre nechute pas drastiquement, comme dans le cas desmaisons d’habitation. Et si les communes flamandes se font plus rares au fil du temps (9 sur 15 en1984, 4 en 1994, 2 en 2004, 0 en 2014), le Hainautne monopolise pas les classements.En 1984, comme dans les années suivantes, apparaissent assez nettement l’une ou l’autre entitésplus touristiques de l’Ardenne, qu’elles soientluxembourgeoises, namuroises ou liégeoises, probablement en rapport avec les unités qu’ellesconstruisent. Comme Tellin, VressesurSemois etNassogne, rejointes 10 ans plus tard par Houyet,Profondeville, ComblainauPont, Hastière, Durbuy et Rochefort. Et, en 2004, par Neufchâteau, LaRocheenArdenne, Virton, Bouillon… Par contre,pas de communes côtières bon marché, pas plusque d’entités bruxelloises, hormis SaintJossetenNoode, 7e au classement de 1984.En 2014, l’appartement s’est généralisé. On entrouve quasiment dans toutes les communes, cequi modifie nettement le classement avec l’apparition de Péruwelz, BraineleComte, Huy, Binche.
5 Appartements, les communes les plus chères. C’est sans doute les hitparades les plus
surprenants : il y a des appartements chers partout ! Pas seulement à Bruxelles et dans les deuxBrabant, mais aussi dans les autres provinces. Ici,ce sont les villes emblématiques qui tirent les prix.En 1984, Spa, Uccle, Waterloo et Ath tiennent lehaut du pavé côté wallon et bruxellois. Mais c’estla Flandre qui occupe la place (11 sur 15) avecKnokkeHeist, bien entendu, mais aussi SintMartensLatem, Braaschaat, RhodeSaintGenèse…Dix ans plus tard, mais encore en 2004 et 2014, laFlandre reste la grande prêtresse des appartements chers (11 places sur 15 chaque fois). Alorsque Bruxelles fait pâle figure, avec 2 communesseulement, voire une seule dans le top 15 (WoluweSaintPierre et Uccle). Pareil pour le Brabantwallon, qui n’aligne que la Hulpe en 1994, Waterloo et GrezDoiceau en 2004, Waterloo et Rixensart en 2014.La plus régulière des communes est certainementKnokkeHeist, qui balance entre la 3e place il y a30 ans et la 8e en 1994, pour se hisser à la 1re en2004 et 2014. SintMartensLatem est bien présente aussi, dans les premiers rangs des trois premiers classements.Sur le plan des prix, l’écart entre les prix moyensdes 15 communes les plus chères est plus marquéque sur le plan des maisons : près de 20 500 euros.
15 sur 15CHÈRES COMMUNES BRUXELLOISESET BRABANÇONNESTant en 2004 qu’en 2014, le top 15 descommunes où les maisons d’habitation sontles plus chères en moyenne est uniquementbruxellois et brabançon.En 2014, la capitale occupe même 10 des 15places, dont les 6 premières.
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6 VILLÉGIATURE SEMAINE DU 23 AU 29 AVRIL 2015 LIBRE IMMO
La Provence à prix de saison
Boudé il y a deux ans, le marchéprovençal retrouve son activité,poussé par des prix réajustés.
LE MARCHÉ DE L’IMMOBILIER de très haut degamme était plutôt maussade ces dernières années. Voire carrément ténébreux en 2012 et en2013. Il semble toutefois que le temps soit denouveau à l’optimisme, sur l’une des régions lesplus prisées de l’Hexagone à tout le moins : laProvence. C’est là, en effet, que se situe le cœurhistorique des activités du réseau d’agences enpropre fondé par Émile Garcin en 1963 à SaintRémydeProvence. “On sent que l’on revient aumarché d’avant la crise, acquiesce Philippe Boulet, directeur commercial au sein de l’antennemère de SaintRémy. C’était déjà un peu le cas en2014, où tant le nombre de transactions concluesque le chiffre d’affaires de l’agence dans la régionont fait un bond de quelque… 30 % par rapport àceux de 2013. Sur les quatre premiers mois de2015, l’évolution est tout aussi positive : +25 %.”
Comment expliquer ces soudains bons résultats ? “Nous remarquons de plus en plus d’Anglaiset d’Américains parmi nos clients, attirés par destaux de change en leur faveur”, souligne le courtier, qui avance des réductions, en livres et endollars, allant jusqu’à 20 % sur les prix de venteen euros. “On les avaitmoins vus par le passé, et ce,d’autant plus que la politique fiscale et immobilièrefrançaise a beaucoup changé, créant une incertitude sur le marché”, ajoutetil. Soit le retour detraditionnels bons clients, qui participent à larelance de la brique provençale de grand luxe.De même, Philippe Boulet observe aussi un re
gain d’intérêt de la part de Français résidant àl’étranger. Les Belges, fidèles aficionados de ladouce France, répondent eux aussi à l’appel.
Autre facteur positif – si l’on se place du côté del’acquéreur, toutefois : le “sérieux ajustement”des prix. “Les propriétés surévaluées ne se vendentplus, met en garde le directeur commercial. Parexemple, j’ai des biens en portefeuille qui étaientannoncés à 5 millions d’euros il y a trois ans et quipartent aujourd’hui à 3,5 millions d’euros.” Soitune sérieuse baisse de valeur, à moins que lasomme de départ ne soit… utopique. “Ce qui estsûr, c’est que les propriétaires sont moins gourmands qu’avant”, glisse Philippe Boulet. Et queleurs appétits moindres titillent ceux des candidats à l’acquisition, plus actifs. Mais aussi plusdéterminés. “On sent qu’ils ne sont pas là pour sebalader et pour rêver, assure le courtier. Ils ont arrêté leur choix sur une région bien précise, savent cequ’ils veulent en termes de type de biens, parcourent lemarché avec assiduité et sérieux,multipliantles visites.” La plupart sont des habitués de la région, ayant longtemps loué dans le coin avant dese décider à franchir le pas de la propriété. “Ilsont souvent des amis, locaux ou seconds résidents,et ont pris leurs marques et leurs habitudes.”
Quid des fourchettes de prix ? D’après PhilippeBoulet, elles démarrent autour du milliond’euros, parfois moins – “j’ai dernièrement vu uneoffre être acceptée à 900 000 euros à SaintTropez”–, pour dépasser les dix millions d’euros. “Pourautant que le prix reflète la valeur vénale du bien,les négociations peuvent concerner des budgets trèsimportants”, ponctuetil. Outre la brique, sonenvironnement justifie aussi l’intérêt des acquéreurs. “Ils recherchent une belle vue, un jardin et unaccès facile au village, à pied de préférence.”
Frédérique Masquelier
D.R./EMILEGA
RCIN
D.R./EMILEGA
RCIN
D.R./EMILEGA
RCIN
D.R./EMILEGA
RCIN
Une propriété entouréede 15 ha de vignes,dans le Luberon.
Une bastide au cœur d’un domaine de 56 ha au suddes Alpilles, cédée pour 10 millions d’euros.
De nouveaux bureauxbruxelloisUne antenne de l’agence Émile Garcin estouverte depuis 4 ans à Bruxelles, dirigée parHélène Van de Velde. “Nous vendons principalement à des Français bien au fait de la réputation de l’agence, expliquetelle. Leurs prospections portent sur les maisons de maître, hôtelsparticuliers et beaux appartements du Sud deBruxelles : Ixelles, Uccle…” Mais pas audelà. “Ils’agit de clients plus ‘urbains’, moins attirés parla verte périphérie que par un joli quartier de lacapitale, au sein duquel ils se déplacent facilement à pied.” Leur budget ? 1 à 1,5 milliond’euros en moyenne, pour grimper jusqu’à10 millions selon les biens. Comme la Provence, l’année 2015 sourit à la capitale. “On aconnu un grand vent d’optimisme il y a unmois,avant que les choses ne se calment pendant lesvacances de Pâques.Mais c’est une période généralement creuse”, nuance la courtière.
L’agence Émile Garcin a décidé d’asseoir sesintérêts à Bruxelles en s’ancrant dans de nouveaux bureaux rue Alfonse Renard n°1 à Ixelles, en plein ‘quartier français’. “Avant, je travaillais de chez moi, rejointe, voici moins d’unan, par une collaboratrice. Puisqu’il reste destravaux à faire, nous inaugurerons officiellement nos bureaux ixellois après les grandes vacances, en septembre”, conclut Hélène Van deVelde. Soit une antenne à bureaux fermés,“mais identifiable depuis la rue”, précise cellequi, d’ici la rentrée, sera peutêtre à la têted’une petite équipe de trois collaborateurs.
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6 VILLÉGIATURE SEMAINE DU 23 AU 29 AVRIL 2015 LIBRE IMMO 7MARCHÉPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE
Bien industriel| ZaventemLe 26 mars dernier, un bien industriel sis KleineKloosterstraat n°17 à Zaventem (Sint-Stevens-Woluwe), en province de Brabant flamand, a étéadjugé à 1,058 million d’euros après avoiratteint la somme de 750 000 euros lors d’uneprécédente séance de vente avec faculté desurenchère. Le bien se compose d’un vestiaire,un espace de stockage, un garage et un localtechnique à la cave; un hall d’entrée, un espacede bureau, 4 W.-C. et un garage au rez-de-chaussée; et une salle de réunion, 5 bureaux, unW.-C., un local technique et une cuisine-salle àmanger au 1er étage. Superficie au sol : 35 a71 ca. Revenu cadastral : 12 345 euros.UVente réalisée par M. Robberechts et C. VanCauwelaert, notaires associés à Zaventem.
1 058 000 euros
NVN-FEDN
OT
Maison |Molenbeek-Saint-JeanLe 26 mars dernier, le marteau est tombé à486 200 euros pour une maison d’habitationsituée rue de Lessines n°s 37-39 à Molenbeek-Saint-Jean (Bruxelles). Soit un résultat identiqueà la somme atteinte lors d’une précédenteséance de vente publique avec faculté desurenchère. Le bien est assorti d’un atelierindustriel et d’un jardin. L’annonce notariale nedonne pas plus de renseignements sur sacomposition. Il était libre d’occupation aumoment de la vente. Superficie au sol del’ensemble : 23 a 24 ca. PEB : G. CO2 : 124 kg/m².Revenu cadastral : 4 020 euros.UVente réalisée par JeanMartroye de Joly,notaire à Bruxelles (1190).
486 200 euros
NVN-FEDN
OT
Maison |KraainemLe 25 mars dernier, une maison d’habitation detype bel étage située Koningin Astridlaan n°299à Kraainem, en province de Brabant flamand, achangé de mains pour la somme de322 000 euros. C’est plus que celle obtenue lorsd’une précédente séance de vente avec facultéde surenchère : 300 000 euros. Construit en1962, le bien se compose d’un garage, un jardinet une véranda au rez-de-chaussée; un salon etune cuisine au 1er étage; trois chambres, unesalle de bain et un W.-C. au 2e étage. Il était libred’occupation au moment de la vente. Superficieau sol de l’ensemble : 2 a 17 ca. PEB :441 kWh/m²/an. Revenu cadastral : 1 559 euros.UVente réalisée par Quentin Vanhalewyn,notaire à Kraainem.
322 000 euros
NVN-FEDN
OT
Libre Immo - Supplément hebdomadaire à La Libre Belgique. Coordination rédactionnelle: FrédériqueMasquelier. - 02/211.28.28 - [email protected] Illustrations: Etienne Scholasse.Réalisation: IPM Press Print. Administrateur délégué - éditeur responsable: François le Hodey. Directeur général: Denis Pierrard. Rédacteur en chef: Francis Van deWoestyne. Rédacteurs en chef adjoints:Xavier Ducarme et Gilles Milecan. Conception graphique: Jean-Pierre Lambert (responsable graphique). Publicité: Véronique Le Clercq - +322/211.27.64 - [email protected]
En bref
ProspectionCourtage. Une enquête de l’agenceimmobilière anversoise Janssen enJanssen jette un pavé dans la marre,indique l’Institut professionnel desagents immobiliers (IPI), dans sanewsletter. Les résultats de cetteétude réalisée en Flandre révèlentque 76 % des prospects flamandssouhaitent visiter les biens mis surle marché également le dimanche. Al’heure actuelle, seules les agencesde la Côte profitent d’une exceptionet peuvent offrir ce service à leursclients. De leur côté, les particuliersqui vendent ou louent leur(s) bien(s)sans passer par les services d’unprofessionnel font bien souventpreuve de flexibilité et organisentdes visites les dimanches et joursfériés.
Capital en hausseQuares. Grâce à une nouvelleémission d’actions faisant appel àl’épargne publique, Quares StudentHousing a renforcé son capital de2 058 500 euros. De quoi lui
permettre de réaliser de nouvellesacquisitions, son objectif étant deconstituer un portefeuilleimmobilier d’environ 500 chambresd’étudiants. Pour rappel, depuis sonlancement, en 2013, 12,24 millionsde fonds ont été levés, dont10,75 millions via l’émissiond’actions et 1,49 million d’euros vial’émission d’obligations. Cesmontants ont été investis dans troisbâtiments comptant en tout 237chambres pour étudiants. La valeurglobale de ces investissementss’établit à 21,5 millions d’euros.
Record de ventesPVCP. Le groupe de résidences detourisme et d’immobilier Pierre etVacances/Center Parcs (PVCP) apublié un chiffre d’affaires enhausse de 15,8 % au premiersemestre de son exercice décalé, à650,7 millions d’euros,essentiellement grâce à sesprogrammes immobiliers. En effet,alors que d’octobre à mars, lesventes touristiques ont progressé de2,4 % à 476,2 millions d’euros,
toujours tirées par les Center Parcs,l’immobilier a, lui, bondit de 79,9 %à 174,5 millions d’euros, indique legroupe dans un communiqué.L’envolée de ce dernier chiffred’affaires s’explique principalementpar la contribution du Center Parcsde la Vienne (96 millions d’euros),du Pierre&Vacances Premium deFlaine (11 millions d’euros) et duCenter Parcs de Bostalsee(12 millions d’euros), ainsi que desSenioriales (25 millions d’euros).Le groupe indique par ailleurs qu’ils’attend à une baisse des ventesd’immobilier pour le troisièmetrimestre. Sur la même période, lesréservations touristiques sont enprogression par rapport au mêmetrimestre de l’exercice précédent.(AFP)
KotsA Louvain-la-Neuve, lescandidatures pour obtenir l’un des49 premiers kots publics deWallonie sont ouvertes. En 2012,une étude commandée par la Régionwallonne à l’ULg déplorait une
pénurie de logements dans la citéuniversitaire (qui tend à se résorberdepuis, lire à ce sujet le dossier de“La Libre Immo” du 16/4 dernier). LeGouvernement wallon, dans le cadred’un plan d’ancrage local, a doncdécidé de subsidier des kots. Et c’estNotre Maison, société de service delogement public, qui a été désignéepar la ville d’Ottignies-Louvain-la-Neuve et l’UCL pour mener l’objectifà terme. Ces logements, disponiblesà la rentrée académique de 2015 enfonction de conditions bien définies(revenus précaires ou modestes),seront situés Place des Paniers, nonloin du centre-ville. Chaquecommunautaire comptera entre 5 et8 kots. Le loyer mensuel est fixé à250 euros et 80 euros de charges.“Par ailleurs, nous continuons àétoffer notre offre car 150 nouveauxlogements étudiants de l’UCL verrontle jour lors de la rentrée académique2017, dans le quartier des Bruyères”,indique Vincent Bomal, directeur duservice logement de l’UCL. Quidd’éventuels futurs projets de kotspublics ? Ce n’est pas encore àl’ordre du jour. (Belga)
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8 ZOOM SUR SEMAINE DU DU 23 AU 29 AVRIL 2015 LIBRE IMMO
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8 ZOOM SUR SEMAINE DU DU 23 AU 29 AVRIL 2015 LIBRE IMMO 9SAINT-GILLESPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE
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10 SÉLECTION DELA SEMAINE
SEMAINE DU 23 AU 29 AVRIL 2015 LIBRE IMMO
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12 ANNONCES SEMAINE DU 23 AU 29 AVRIL 2015 LIBRE IMMO
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14 ANNONCES SEMAINE DU 23 AU 29 AVRIL 2015 LIBRE IMMO
à vendre
MAISONS250.000à500.000€
21-102121902-02
21-110812002-02
21-110812005-05
21-110812606-06
21-110812001-01
à vendre
MAISONS>500.000€
21-110808503-03
21-110812007-07
21-110812603-03
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16 ANNONCES SEMAINE DU 23 AU 29 AVRIL 2015 LIBRE IMMO
21-110808509-09
21-110807906-06
21-110762401-01
21-110808508-08
21-110808208-08
21-110807901-01
21-110807902-02
21-110808207-07
21-110807910-10
à vendre
MAISONSnonprécisé
21-110807404-04
21-110807401-01
21-110807403-03
21-110807402-02
à vendre
APPARTEMENTS<250.000€
21-110808102-02
21-110812607-07
21-110812004-04
à vendre
APPARTEMENTS250.000à500.000€
21-110478201-01
21-102121901-01
21-106137902-02
21-110807908-08
21-110807909-09
21-110808505-05
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21-110808204-04
21-110807907-07
21-110808203-03
21-110812006-06
21-110807905-05
21-110812610-10
21-110812608-08
21-110808504-04
21-110812609-09
à vendre
APPARTEMENTS>500.000€
21-110812601-01
21-110808501-01
21-110807904-04
21-110812604-04
21-110808205-05 21-110808206-06 21-110808201-01
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18 ANNONCES SEMAINE DU 23 AU 29 AVRIL 2015 LIBRE IMMO
21-110808202-02
21-110807903-03
21-110812605-05
21-110808510-10
21-110812003-03
21-110808502-02
21-110808507-07
à vendre
APPARTEMENTSnonprécisé
21-110808506-06
VIAGER
21-109768901-01
21-102311601-01
21-110812302-02
21-102311602-02
21-110812301-01
21-110812305-05
21-110812303-03
21-110812304-04
à louer
APPARTEMENTS
21-110762404-04
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salle de ventes
BRUXELLES
21-110647201-01
ventes par notaires
ARRONDISSEMENT DE BRUXELLES
21-110711101-01
ventes par notaires
BRABANT
21-110754401-01
21-110812801-01
21-110647301-01
à louer
FLATS / STUDIOS
21-110762403-03
à vendre
TERRAINS
21-110762402-02
IMMEUBLESDE RAPPORT
21-110812602-02
à louer
LITTORAL
21-110163701-01
21-110008701-01
à vendre
COMMERCES
21-110808101-01
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