Table des matières Introduction
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Secteurs
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Les instances décisionnelles et exécutives
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Composition des instances
P. 6
Les services et membres du personnel
P. 8
Les membres de la Centrale Générale
P. 11
Poids des secteurs principaux dans l’économie belge, wallonne et province de Liège
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Grandes lignes de notre travail depuis 4 ans
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Les grands rendez‐vous de 2008
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Introduction La Centrale Générale (CG) est une centrale ouvrière de la FGTB. Organisation syndicale socialiste et démocratique, La Centrale Générale se bat contre toutes les formes de discrimination. Aujourd'hui comme hier, La Centrale Générale entend défendre les intérêts de tous les travailleurs, en tout temps et en tout lieu. Elle agit pour que prévalent dans la société les idéaux de liberté, de solidarité, d'égalité et de justice sociale. Elle œuvre au rassemblement de tous les travailleurs dans leur diversité, à l'unité du mouvement syndical national, européen et international. En tant que centrale ouvrière, la Centrale Générale coordonne l’action syndicale dans les secteurs : Elle représente les travailleurs dans les commissions paritaires, Elle étudie les problèmes professionnels et conditions de travail et d’emploi dans les secteurs, Elle étudie la situation économique dans les entreprises, Elle gère les fonds de grève, appelle à la grève ou soutient les mouvements en concertation avec les délégations syndicales. Pour la région de Liège‐Huy‐Waremme, elle regroupe plus de 25.000 ouvrières et ouvriers issus de pas moins de 40 secteurs : construction, chimie, nettoyage, intérim, verre, gardiennage, fabriques de ciment… La centrale générale FGTB Liège‐Huy‐Waremme, ce sont également 300 mandataires dans 92 entreprises.
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Secteurs La Centrale Générale est active : Dans la construction. Dans les secteurs verts : L’agriculture, l’horticulture, les travaux techniques agricoles et horticoles, les parcs et jardins, le tabac, les entreprises forestières, les exploitations forestières, les forêts domaniales… Dans l’industrie : le commerce du bois, les scieries, l’imprégnation de bois pour compte de tiers, l’ameublement et l’industrie transformatrice du bois, la production, la transformation et la récupération du papier, les mineurs, les carrières, les cimenteries, l’industrie du béton, le fibrociment, la céramique, les briqueteries, les tuileries, la poterie, les fourrures et peaux en poil, les cuirs et peaux, les sacs en jute, les industries graphiques, l’industrie du cinéma , l’industrie du verre, le pétrole, la chimie ,… Dans les services : Le commerce du bois, les grossistes ‐ répartiteurs de médicaments, les entreprises de gardiennage, le travail intérimaire, les entreprises de nettoyage, les concierges d’immeuble à appartement, les entreprises de pompes funèbres, la coiffure et les soins de beauté, l’exploitation de salle de cinéma ; les Titres Services,… Dans le non marchand : Les aides familiales et aides seniors en Flandre et en Wallonie, l’enseignement privé, les hôpitaux privés, les maisons de repos et les maisons de repos et de soins, le socio ‐ culturel, les maisons d’éducation et d’hébergement, les entreprises de travail adaptés,…
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Les instances décisionnelles et exécutives : 1/ Le congrès Le congrès constitue l’instance suprême de la section régionale. Il rassemble l’ensemble des délégués et militants. Se réunissant approximativement tous les cinq ans, le congrès vote les statuts qui régissent la section régionale et élit ses représentants au comité régional, au comité exécutif et au secrétariat régional. Le congrès trace les lignes directrices de la politique et les priorités à mener par la section jusqu’au prochain congrès. 2/ Le comité régional Le comité régional rassemble une cinquantaine de militants et se réunit chaque deuxième mercredi du mois. Dans sa composition, il rassemble des représentants de chaque secteur et s’équilibre dans la représentativité des différentes catégories (hommes‐femmes, actifs‐inactifs, jeunes‐travailleurs âgés, …). Le comité régional a pour mission de diriger la Régionale entre deux congrès statutaires. Il analyse donc la situation politique générale et oriente la politique syndicale que doivent mener les instances exécutives. 3/ Le comité exécutif Le comité exécutif se compose d’une quinzaine de militants et des membres du secrétariat. Il se réunit chaque deuxième mercredi du mois. Le comité exécutif veille à l’application des décisions prises par le comité régional et prend toutes les mesures qui peuvent concourir au bon fonctionnement et au développement de l’organisation dans son ensemble. Il est chargé de la gestion générale de l’organisation et soumet au comité régional les orientations de la politique syndicale de la section. 4/ la commission de contrôle Composée de quatre militants, la commission de contrôle effectue le contrôle des écritures et des finances de la section. Elle se réunit tous les trois mois. 5/ Les commissions techniques Elles rassemblent les militants en fonction de leur secteur d’activité. Se réunissant à un rythme trimestriel, elles analysent la situation du secteur et donnent les lignes directrices de la politique sectorielle à mener. La section compte 6 commissions techniques : industrie, construction, nettoyage, gardiennage, entreprises de travail adapté, titres‐services. 6/ le secrétariat Le secrétariat s’occupe de la gestion quotidienne de la section. Il est chargé de l’application et de la mise en œuvre des décisions du congrès et du comité régional. Il se charge d’organiser et encadrer le développement et le suivi syndical des secteurs. Il est le relai de la section auprès des instances sectorielles fédérales et interprofessionnelles régionales et fédérales.
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Composition des instances Le comité régional Cde ALLERI Gandolfo (Chimac Agriphar) Cde ANDERSSON Stéfan (Mölnlycke) Cde ANTOINE André (TSE) Cde AUGUSTO VASQUEZ Carmen (Laurenty) Cde BOZZOLA Dominique (Holcim) Cde BULTHUIS Patrick (Galere) Cde CARAJIA Monique (pensionnée) Cde CASTILLO Antoine (pensionné) Cde CIRRINCIONE Joseph (At. Jean Delcour) Cde CURTO Mario (Val Saint‐Lambert) Cde DAMSIN Emile (pensionné mineur) Cde DEMARCO Thomas (prépensionné) Cde D’HONDT Rudy (transport de fonds) Cde DONY Roger (PB Clermont) Cde FERLISI Guiseppe (Revatech) Cde FRAITURE Raoul (Cop) Cde GAGLIARDI Carmela (Euroclean) Cde GAROFALO Jean (prépensionné) Cde GAZZO Pierrot (prépensionné) Cde GLINGANI Irma (prépensionnée) Cde GROEVEN Gaspard (pensionné) Cde GRUOSSO Victor (Sita Treatment) Cde HILAMI Brahim (Mono) Cde IACHINI Joseph (Duchêne) Cde KOCKS Joseph (Treofan) Cde KOPEC Jean‐Marie (prépensionné) Cde KROUZAKIS Evangelos (pensionné)
Cde LALLEMAND Alexandre (Ets Bernard) Cde LECLERE Dominique(TSE) Cde LECLERCQ Mathieu (pensionné) Cde LECLERCQ Roger (At. Dumonceau) Cde LIBERT Alain (PB Clermont) Cde MANIGLIA Francesco (Cabot plastics) Cde MARCON Arrigo (pensionné) Cde MARTINO Aldo (pensionné) Cde MELER FITE José (Knauf insulation) Cde MOSSIAT Victor (Seris security) Cde MOZAR Joseph (prépensionné) Cde NALE Eugène (pensionné mineur) Cde NOEL Roger (pensionné) Cde OLY Daniel (inter beton) Cde PERRINI Nicoletta (TSE) Cde PIRON Willy (TSE) Cde PONENTE Antonino (TSE) Cde PRETE Jeanine (pensionnée) Cde SALMON Alain (prépensionné) Cde SANTIN François (pensionné) Cde SCENNA Lino (construction) Cde SCHIFANO Jean (Prayon) Cde SOLITRO Lorenzo (RKW ACE) Cde SPRENGHETTI François (pensionné) Cde VAN HEE Henri (pensionné) Cde VANVINKENROYE Michel (prépensionné) Cde VAN LISSUM René (CBR)
Le comité exécutif Cde ALLERI Gandolfo Cde CARAJIA Monique Cde CASTILLO Antonio Cde CIRRINCIONE Joseph Cde FRAITURE Raoul Cde GAROFALO Giovanni Cde GAZZO Pierrot Cde GRUOSSO Victor
Cde HILAMI Brahim Cde MOSSIAT Victor Cde MOZAR Joseph Cde NOEL Roger Cde PRETE Jeanine Cde SALMON Alain Cde SCHIFANO Jean Cde SPRENGHETTI François
La commission de contrôle Cde CARAJIA Monique Cde FRAITURE Raoul Cde GAROFALO Giovanni Cde GLINGANI Irma
Le secrétariat
Nom : GobletPrénom : Marc Fonction : Président Secteurs : industrie de la chimie, industrie du ciment, industrie du verre, carrières Ligne directe :04/221.61.10 ‐ 2ième étage
Nom : London Prénom : Mathieu Fonction : Vice‐Président Secteurs : nettoyage, gardiennage, coiffure, cinéma, ETA, hôpitaux privés, ouvriers de l'enseignement libre Ligne directe : 04/221.61.15 ‐ 2ième étage
Nom : GobletPrénom : Geoffrey Fonction : Secrétaire Secteurs : titres‐services, commission paritaire 100, PME, Intérim Ligne directe :04/221.61.16 ‐ 3ième étage
Nom : VreulsPrénom : Marc Fonction : Secrétaire Secteurs : construction, industrie du bois, ameublement et transformation du bois, commerce du bois, industrie du béton Ligne directe :04/221.61.13 ‐ 2ième étage
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Les services et membres du personnel Permanente adjointe au secrétariat
Nom : Frenay Prénom : Murielle Ligne directe : 04/221.61.16 – 3ième étage
Un service d'étude
Nom : FlohimontPrénom : Olivier Ligne directe : 04/221.96.36 – 6ième étage (FAR)
Un service communication – centre de documentation
Nom : LetessonPrénom : Jean‐Michel Ligne directe : 04/221.61.16 ‐ 3ième étage
Un service de secrétariat
Nom : Boyne‐BrounsPrénom : Jocelyne Ligne directe : 04/221.61.11 ‐ 2ième étage
Nom : SciborPrénom : Jeanine Ligne directe : 04/221.61.14 ‐ 2ième étage
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Nom : MonseurPrénom : Benoît Ligne directe : 04/221.61.14 ‐ 2ième étage
Un service comptabilité
Nom : ColpinPrénom : Christine Ligne directe : 04/221.61.12 ‐ 2ième étage
Un service social
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Nom : VirnichPrénom : Marc Ligne directe : 04/221.61.17 ‐ 1er étage
Nom : SantinPrénom : Jeanine Ligne directe : 04/221.61.17 ‐ 1er étage
Nom : FinamorePrénom : Rosa Ligne directe : 04/221.61.17 ‐ 1er étage
Nom : DenoelPrénom : Josette Ligne directe : 04/221.61.17 – 1er étage
Un service Primes et Indemnités
Nom : DelargePrénom : Isabelle Ligne directe : 04/221.61.18 ‐ 1er étage
Un service cotisations
Nom : BernardPrénom : Suzy Ligne directe : 04/223.36.94 ‐ 1er étage
Centrale téléphonique
Nom : RousseauPrénom : Paulette Ligne directe : 04/223.36.94 ‐ 1er étage 04/222.08.10
Nom : ZavaPrénom : Bettina Ligne directe : 04/223.36.94 ‐ 1er étage 04/222.08.10
Service entretien
De gauche à droite : Nom : Hernandez Prénom : Patricia Nom : Rhyate Prénom : Fatima
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Les membres de la Centrale Générale Répartition des membres actifs sur base des primes payées en 2006 et 2007. Les travailleurs de la commission paritaire 100 n’apparaissent pas dans ce tableau car aucune prime ne leur est payée. SECTEUR %construction 46,96%nettoyage 13,16%intérim 9,26%chimie 6,8%titres services 5,3%gardiennage 3,16%ETA 3,12%verre 2,6%coiffure 2,2%ameublement 1,83%ciment 1,69%enseignement libre 0,77%carrières 0,62%transformation du papier 0,59%maisons de repos 0,56%béton 0,45%commerce bois 0,29%scieries 0,19%bodybuilding 0,13%cinéma 0,1%centrales à béton 0,08%récupération de papier 0,07%non marchand 0,06% Total 99,99% Répartition des affiliés par âge % moins de 25 ans 11,46%25 ans ‐ 35 ans 25,9%35 ans ‐ 45 ans 25,2%45 ans ‐ 55 ans 18,22%plus de 55 ans 19,21% Total 99,99% Pour l’anecdote, le membre le plus jeune aura 16 ans le 15 avril prochain et la plus âgée 98 ans le 06 mars prochain. Répartition des affiliés par sexe Hommes Femmes 60,95% 39,05%
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Poids des secteurs principaux dans l’économie belge, wallonne et province de Liège Au niveau belge, les secteurs de la centrale Générale rassemblent environ 472 000 travailleurs salariés dont 73% d’ouvriers. A l’échelle de la Wallonie, c’est près de 128 000 salariés qui sont occupés dans ces secteurs dont 74% d’ouvriers. Enfin, au niveau de la province de Liège, 36 000 salariés y travaillent avec une proportion d’ouvriers de 78%. Cela signifie que rien que sur la province de Liège, la Centrale générale défend et organise les travailleurs de secteurs divers regroupant plus de 28 000 ouvriers. A ces salariés, il faut cependant encore ajouter ceux travaillant dans le cadre des titres‐services. Au niveau de la province de Liège et selon notre expérience de terrain, on peut vraisemblablement compter sur 5 000 postes de travail supplémentaires. Le peu de données exploitables au niveau de la valeur ajoutée ne nous permet pas de présenter des données précises pour tous les secteurs. Dès lors, nous avons été obligés de passer par une méthode d’estimation pour les secteurs manquants sur base du nombre de postes de travail. Ainsi, la valeur dégagée par l’ensemble de ces secteurs évoluerait dans une fourchette allant de 14% de l’ensemble de valeur ajoutée produite au niveau liégeois à 16% de celle produite au niveau wallon. Selon nos estimations, ces secteurs créeraient environ 39,3 milliards de valeur ajoutée au niveau belge, pour 10,1 milliards au niveau wallon (soit 26,5%) dont 2,7 milliards au niveau liégeois. Notons cependant que comme pour le nombre de travailleurs, la valeur ajoutée des emplois titres‐services n’est pas reprise dans notre estimation. Les extrapolations réalisées jusqu’à présent ne nous donnent pas satisfaction.
Valeur ajoutée brute en 2005, à prix courants (millions d'euros) BEL RW LG Industries extractives 310 208 20 Industrie du tabac 219 9 0 Industrie du cuir et de la chaussure 84 8 0 Travail du bois et fabrication d'articles en bois et de meubles 1 695 283 105 Industrie du papier et du carton, édition et imprimerie 1 861 471 100
Industrie chimique, du caoutchouc et du plastique 10
773 2 744 369 Fabrication d'autres produits minéraux non métalliques 2 375 1 131 313 Récupération 300 75 19
Construction 12
911 3 285 1
125 Gardiennage 1 922 307 125 Nettoyage 6 083 1 424 473 Assainissement, voirie et gestion des déchets 767 185 59
Total 39
301 10
130 2
708
Carrières
Valeur ajoutée brute à prix courants pour l'industrie extractive (x 1 000 000 €)
0
50
100
150
200
250
300
350
400
1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005
BEL
RW
LG
Au long du 20ème siècle, se sont progressivement éteints les derniers sites d’extraction de charbon. Aussi, la Belgique n’a jamais regorgé ni de pétrole, ni de gaz, ni d’uranium… Dès lors, l’industrie extractive se concentre uniquement sur des matières non énergétiques et non métalliques, l’extraction de ces derniers s’étant achevée il y a déjà un siècle. Reste donc le secteur dit des « autres industries extractives » c'est‐à‐dire l’extraction de pierres pour la construction, de pierres à ciment, de pierres calcaires, de gypse, de craie, d'ardoise, de sable,
d'argile, de gravier, de kaolin ainsi que l’extraction de minéraux pour l'industrie chimique et d'engrais naturels.
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Nombre de
0
100
200
300
400
500
600
1995
1996
1997
salariés dans l'extraction en province de Liège
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
En Belgique, le secteur de l’extraction représentait fin 2005 quelques 310 millions de valeur ajoutée, soit 0,12% de l’ensemble de la valeur ajoutée produite en Belgique. Un peu plus de 2/3 de cette valeur ajoutée est produite en Wallonie, mais seulement 6% en province de Liège.
Ainsi, l’extraction en région liégeoise ne dégage qu’une valeur ajoutée de 19,5 millions fin 2005, soit 0,10% de l’ensemble de la valeur ajoutée produite dans la province. Fin 1995, l’extraction en province de Liège s’élevait encore à près de 33 millions, soit 0,22% de l’ensemble de la valeur ajoutée produite dans la province. Il s’agit donc d’un très petit secteur qui de surcroît est en nette perte de vitesse au niveau liégeois, moins au niveau wallon et fédéral. Au niveau de l’emploi, un constat identique s’impose. Fin 2005, il restait à peine plus de 3 100 travailleurs salariés en Belgique pour plus de 4 100 dix ans auparavant. Un peu moins de 2 500 salariés travaillent encore en Wallonie mais seulement 312 en province de Liège, ce dernier nombre s’amenuisant inexorablement chaque année. Au final, le secteur de l’extraction emploie seulement 0,09% des salariés belges et 0,10% des salariés liégeois mais tout de même 0,27% des salariés wallons.
Construction Le secteur de la construction est un pôle d’activité majeur de la Centrale Générale. Il comprend les travaux de préparation de sites (démolitions, terrassements, forages…), la construction de bâtiments de tous types et d'ouvrages de génie civil (chaussées, tunnels, ponts, voies ferrées, pistes d'aviation, canalisations, réseaux de télécommunication, lignes de transport d'énergie, charpentes, génie hydraulique, dragage…), les travaux d'installation (isolation, électricité, plomberie, chauffage…) ainsi que les travaux de finition (plâtrerie, menuiserie, revêtement des sols et des murs, peinture et vitrerie…).
En 2005, il a dégagé près de 13 milliards de valeur ajoutée à l’échelle de la Belgique, soit 4,86% de l’ensemble de la valeur ajoutée nationale. Entre 1996 et 2005, soit sur dix années, cette proportion reste relativement stable à quelques rares exceptions près. Son taux de croissance moyen annuel s’établit en effet à 3,8% tout comme celui de l’ensemble de la valeur ajoutée belge.
Valeur ajoutée brute à prix courants pour la construction (x 1 000 000 €)
0
2000
4000
6000
8000
10000
12000
14000
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
BEL
RW
LG
En Région wallonne, la construction a quant à elle créé près de 3,3 milliards d’euros de valeur ajoutée sur l’année 2005 soit, environ 25,4% de la valeur ajoutée du secteur au niveau national. Notons que, sur les 10 dernières années étudiées, la Région wallonne a produit en moyenne 23,6% de l’ensemble de la valeur ajoutée nationale. La construction semble donc être un des moteurs de la croissance wallonne et ce même si sa part dans la valeur ajoutée nationale dégringole de 0,8% entre 1996 et 2005, passant de 26,2% à 25,4%. En province de Liège, c’est 1 125 millions de valeur ajoutée qui ont été dégagés en 2005, soit 8,7% de la valeur ajoutée nationale. Cette proportion s’est lentement érodée jusqu’en 2003 pour repartir toujours aussi lentement à la hausse ces dernières années. Au final, le taux de croissance moyen annuel du secteur de la construction de la province s’établit à 3,4%, soit un taux identique à celui enregistré en Région wallonne mais toutefois un peu plus faible qu’au niveau national (3,8%). Cela pourrait‐il signifier qu’au Sud du pays, ce secteur n’a pas su profiter autant des opportunités des nouvelles activités qu’au Nord durant ces dix dernières années ? Toutefois, la construction reste un pôle majeur d’activité et ce, particulièrement en province de Liège. Les 1 125 millions de valeur ajoutée représentent en effet près de 5,8% de l’ensemble de la valeur ajoutée produite au niveau de la province. C’est un poids non négligeable dans l’économie liégeoise et qui, en outre, est en légère progression (+0,15% en dix ans). Aussi, rappelons que la construction à Liège pèse 8,7% de l’ensemble du secteur alors que la valeur ajoutée produite par l’ensemble des entreprises liégeoises ne représente que 7,5% de celle produite au niveau national. On peut résolument parler d’une spécialisation de la Province de Liège.
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Ceci est d’autant plus vrai lorsqu’on examine le nombre de travailleurs actifs dans ce domaine. En effet, la construction est un secteur qui dégage moins de valeur ajoutée par travailleur que la moyenne des autres secteurs de l’économie. Il en découle que la proportion de travailleurs salariés actifs dans la construction est supérieure aux chiffres avancés ci‐avant sur la valeur ajoutée. Ainsi, un peu plus de 191 000 résidents belges (soit 5,4% des salariés belges), près de 57 500 wallons (soit 6,2% des salariés wallons) et près de 19 500 liégeois (soit 6,5% des salariés liégeois) travaillent dans le secteur de la construction. Un peu plus de 30% des salariés de la construction sont wallons alors qu’en moyenne dans les autres secteurs, ils ne représentent que 26% du total. De même 10,2% des salariés de la construction sont liégeois alors qu’en moyenne dans les autres secteurs, ils ne représentent que 8,5% du total. Il s’agit donc bel et bien d’une spécialisation.
Nombre de salariés dans le secteur de la construction
0
10000
20000
30000
40000
50000
60000
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
RWLG
Enfin, remarquons qu’entre 1996 et 2005, au niveau national, le nombre d’emplois dans la construction a progressé (0,5% en moyenne par an) sous la moyenne interprofessionnelle. Il n’en va pas de même en Région wallonne et en province de Liège. Pour ces deux derniers, la croissance moyenne annuelle du nombre de salariés dans la construction s’est établie à 1,3% sur la même période. Pour la Wallonie, il s’agit d’une performance égale à la moyenne de son économie. Pour la province de Liège, par contre, cette croissance est nettement supérieure à celle qui prévaut pour l’ensemble de son économie (0,8% en moyenne par an). Il y a donc un paradoxe. C’est en Flandre que la valeur ajoutée a le plus progressé mais c’est en Wallonie que le nombre de travailleurs a le plus augmenté. Peut‐être que les entreprises utilisant de la main d’œuvre wallonne ont saisi de nombreuses opportunités d’activité mais vraisemblablement pas les plus rentables.
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Chimie Ce secteur est également un poids lourd de la Centrale Générale. Il regroupe la fabrication de produits chimiques divers organiques ou inorganiques tels des gaz industriels, des colorants, des pigments, des peintures, des vernis, des encres, des engrais, des produits azotés, des produits agrochimiques, des produits pharmaceutiques, des savons, des détergents, des produits d'entretien, des parfums, des cosmétiques, des huiles essentielles, des explosifs, des colles, des gélatines, des produits pour la photographie, des supports de données, des fibres artificielles ou synthétiques, du caoutchouc synthétique, des pneumatiques, des chambres à air, des plastiques (emballages, plaques, feuilles, tubes et profilés)…
Valeur ajoutée brute à prix courants pour l'industrie chimique (x 1 000 000 €)
0
500
1000
1500
2000
2500
3000
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
RW
LG
En 2005, il a dégagé près de 10,8 milliards de valeur ajoutée à l’échelle de la Belgique, soit 4,06% de l’ensemble de la valeur ajoutée nationale. De 1996 à 2003, cette proportion s’est lentement érodée passant de 4,52% en 1996 à 4,08% en 2003 pour ensuite se stabiliser jusqu’en 2005. Son taux de croissance moyen annuel s’établit à 2,6% soit bien en deçà de celui de l’ensemble de la valeur
ajoutée belge (3,8%). En Région wallonne, l’industrie chimique a permis de dégager plus de 2,7 milliards de valeur ajoutée sur l’année 2005 soit, environ 25,5% de la valeur ajoutée du secteur au niveau national. Notons que, sur les dix années étudiées, la Région wallonne a produit en moyenne 23,6% de la valeur ajoutée nationale tous secteurs confondus. L’industrie chimique semble donc être un des moteurs de la croissance wallonne et ce d’autant que sa part dans l’économie wallonne ne cesse de progresser. Entre 1996 et 2005, la valeur ajoutée de ce secteur a crû à un rythme moyen annuel de 5,1%, passant de 1,7 milliards à 2,7 milliards. Les niveaux atteints s’expliquent par le développement prodigieux de l’industrie pharmaceutique principalement localisée dans le brabant wallon. Le seul secteur industriel qui se déploie aussi rapidement est la fabrication de matériels de transports, autres que l’automobile. En 2005, la chimie wallonne représentait 4,4% de la valeur ajoutée de l’ensemble des secteurs wallons. En province de Liège, la tendance s’aligne sur celle observée au niveau national. La croissance moyenne annuelle du secteur chimique entre 1996 et 2005 est de 2,5%, soit bien moins que le rythme wallon (5,1%) et que le rythme de l’ensemble des secteurs liégeois (3,1%). En 2005, l’industrie chimique liégeoise a dégagé près de 370 millions de valeur ajoutée, soit moins de 3,5% de la valeur ajoutée de ce secteur mesurée au niveau national. Cette proportion s’est lentement érodée durant les dix années étudiées. Actuellement, l’industrie chimique représente 1,9% de l’ensemble de la valeur ajoutée produite au niveau
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de la province. On peut difficilement parler d’une spécialisation de la Province de Liège au contraire de la Région wallonne.
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Nombre de salariés dans l'industrie chim
0
5000
10000
15000
20000
25000
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
ique
2005
RW
LG
Cette tendance se confirme lorsqu’on examine le nombre de travailleurs actifs dans ce domaine et ce, même si l’industrie chimique est un secteur à haute valeur ajoutée c'est‐à‐dire qui dégage plus de valeur ajoutée par travailleur que la moyenne de tous les secteurs de l’économie belge. Il en découle que la proportion de travailleurs salariés actifs dans la chimie est inférieure aux chiffres avancés plus haut sur la valeur ajoutée. En 2005, près de 95 000 salariés ont travaillé dans ce secteur au niveau belge. Parmi ceux‐ci, 25,4% sont wallons (24 110) et 4,6% liégeois (4 325). Mais surtout, ces 95 000 salariés ne représentent que 2,7% des salariés belges. La proportion est quasi similaire lorsqu’on la déplace sur l’échiquier wallon alors que la valeur ajoutée de l’industrie chimique y était proportionnellement plus élevée que dans le reste du pays. Cela atteste vraisemblablement de marges plus importantes au Sud qu’au Nord du pays dû à la spécialisation pharmaceutique. En province de Liège, par contre, la part des salariés actifs dans le domaine chimique n’est que de 1,9%. A l’échelle provinciale, il s’agit bel et bien d’un petit secteur qui, en outre, connait un taux de croissance du nombre de salariés inférieur à celui de l’ensemble des secteurs employant des liégeois. Notons que dans le sous‐secteur des plastiques et caoutchoucs, l’évolution de l’emploi est clairement orientée à la baisse. En l’espace de deux ans, entre 2000 et 2002, il passe d’un peu plus de 2 600 salariés à 1 600. Les autres sous‐secteurs se portent quant à eux nettement mieux. Leur taux de croissance moyen annuel de l’emploi est de 3,2%, soit bien plus que celui de l’économie liégeoise prise dans son ensemble (0,8%). En résumé, entre 1996 et 2005, le nombre de salariés travaillant dans la chimie progresse d’une manière très faible au niveau national, en progression constante au niveau wallon (+ 3 000 postes en dix ans) et en régression en province de Liège (‐ 500 postes en dix ans)
Fabrication de matériels minéraux non‐métalliques C’est un peu un secteur fourre‐tout. On y retrouve notamment la fabrication, le façonnage et la transformation du verre (verre plat, verre creux, fibres de verre, articles en verre…), la fabrication de produits céramiques (carreaux, sanitaires, pièces isolantes, objets décoratifs…) de tuiles, de briques, de ciment, de chaux, de plâtre mais aussi d'ouvrages en béton, en ciment, en plâtre ou en fibre‐ciment, de béton prêt à l'emploi, de mortiers, de produits abrasifs et enfin le travail de la pierre.
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Valeur ajoutée brute à prix courants pour la fabrication de produits non métalliques (x 1 000 000 €)
2000
2500
BEL
0
500
1000
1500
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
RW
LG
En 2005, ce secteur a dégagé près de 2,4 milliards de valeur ajoutée à l’échelle de la Belgique, soit 0,9% de l’ensemble de la valeur ajoutée nationale. Il s’agit donc d’un secteur
de petite taille, du moins à l’échelle nationale, et qui, en outre, se développe moins rapidement que le reste de l’économie. Entre 1996 et 2005, son taux de croissance moyen annuel s’établit à 1,9% soit la moitié seulement de celui de la valeur ajoutée produite par l’ensemble des entreprises belges (3,8%). Hors de ces 2,4 milliards, 47,6%, soit près de la moitié, sont produits en Région
wallonne. C’est précisément 1 131 millions de valeur ajoutée qui ont ainsi été dégagés au Sud du pays. Toutefois cela ne fait pas de ce secteur un des pôles majeurs de l’économie wallonne. Au final, la valeur ajoutée qu’il dégage ne pèse que 1,9% de celle produite par l’ensemble des entreprises. En outre, tout comme au niveau fédéral, son taux de croissance moyen annuel sur les dix années étudiées s’établit à 2,2%, soit bien en deçà que celui du reste de l’économie wallonne (3,6%). En province de Liège, c’est 313 millions de valeur ajoutée qui ont été dégagés en 2005, soit 1,6% de la valeur ajoutée liégeoise. Cette proportion est restée relativement stable entre 1996 et 2005, à quelques exceptions près. Son taux de croissance moyen annuel sur les dix années étudiées s’établit à 2,9%, soit un rythme presque équivalent à celui du reste de l’économie liégeoise (3,1%). Il s’agit donc d’un petit secteur proportionnellement plus implanté en Wallonie et dont le poids dans l’économie a tendance à se resserrer avec le temps. On ne peut donc pas parler de moteur de croissance. Ceci a des conséquences néfastes en terme d’emplois. Vu les gains de productivité engrangés grâce aux progrès techniques et organisationnels, il parait évident qu’un secteur qui stagne en terme de valeur ajoutée voit son nombre d’emplois diminuer. Que ce soit, au niveau national, régional ou provincial, l’évolution du nombre de travailleurs est clairement négative entre 1996 et 2005. En Belgique, il restait moins de 30 500 salariés dans ce secteur en 2005 pour 34 500 en 1996. Hors de ces 4 000 pertes d’emplois, la Région wallonne en endosse un peu plus de 1500, soit 39%, ce qui reste proportionnel à son poids dans ce
secteur. En effet, avec 13 310 salariés, la Région wallonne pèse encore pour près de 44% de l’emploi dans ce secteur.
Nombre de salariés dans la fabrication de produits non métalliques
0
5000
10000
15000
20000
25000
30000
35000
40000
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
BEL
RW
LG
C’est au niveau liégeois que les pertes semblent les plus faibles. Entre 1996 et 2005, l’emploi salarié passe de 3 081 à 2 936, soit une perte d’environ 150 emplois. Ce secteur représentait à peine moins d’1% de l’emploi liégeois. Sur les 10 années étudiées, son taux de croissance moyen annuel est de ‐0,53%. C’est finalement un peu moins mauvais que celui de l’industrie en général au niveau liégeois (‐1,8%) mais nettement en deçà du déjà très faible taux de l’économie liégeoise prise dans son ensemble (0,8%).
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Bois Ce secteur comprend tout le travail du bois (sciage, rabotage, imprégnation…) ainsi que la fabrication d'articles en bois (panneaux, emballages, charpentes, menuiseries, meubles…) en liège, la vannerie et la sparterie. En Belgique ce secteur rassemble quelques 28 000 salariés, dont moins de 20% travaillent en Wallonie et à peine 6,6% en province de Liège. Curieusement, le bois et surtout la fabrication de meubles sont des histoires flamandes alors que la Wallonie regorge de forêts. Au niveau belge, ce secteur a perdu 5 000 emplois, soit près de 15% de ses travailleurs entre 1996 et 2005, concurrence extérieure oblige. Cette évolution est exclusivement à remettre sur le dos de la Flandre. En Wallonie, à l’inverse, l’emploi a progressé de 400 unités et si on
ne tenait compte que de la transformation du bois et la fabrication d’articles en bois à l’exception des meubles, ce serait même 800 emplois nets qui auraient été créés sur la période.
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En province de Liège, près de 1 900 salariés travaillent dans le secteur du bois dont une minorité dans l’industrie du meuble. Ce chiffre est
relativement stable entre 1996 et 2005. Il cache cependant une légère augmentation du nombre de travailleurs dans les premières phases de transformation du bois contrebalancée par une réduction dans la fabrication de meubles.
Nombre de salariés dans l'industrie du bois
05 000
10 00015 00020 00025 000
30 00035 000
1996 2005
BEL
RW
LG
Grandes lignes de notre travail depuis 4 ans
Depuis quatre années, tout ce que notre section a développé s’est concentré autour de quatre grandes idées majeures :
1/ argumentation auprès de nos membres sur l’importance pour le monde ouvrier de
défendre un projet de gauche basé sur les valeurs de solidarité, de justice et d’équité ;
2/ modernisation du travail des délégués sur le terrain incluant la coopération entre délégués d’entreprises sous traitantes et délégués d’entreprises donneuses d’ordre ;
3/ argumentation sur l’importance pour les travailleurs de s’organiser syndicalement ; 4/ modernisation des moyens de communication en tenant compte des réalités
rencontrées par nos membres et nos militants.
Amélioration de la communication vis‐à‐vis des travailleurs.
Dans un souci constant d’améliorer la communication vis‐à‐vis des membres, la Centrale Générale FGTB Liège‐Huy‐Waremme a créé de nouveaux outils permettant d’améliorer le contact et la diffusion d’informations à ses membres.
L’Unité syndicale L’Unité syndicale est un trimestriel créé en février 2006. Sous la forme d’un journal de 4 pages A3, le journal a pour ambition d’informer les membres sur l’actualité politique et syndicale, les nouveautés en termes de législation sociale et la vie de notre section régionale. Il a également pour vocation de sensibiliser les travailleurs à l’importance de s’organiser syndicalement et de défendre un projet de société collectif et de gauche. Le trimestriel est envoyé par courrier à l’ensemble des membres de notre section.
Le site Internet de la Centrale Générale Liège Notre section a profité de la réalisation du site Internet de la régionale FGTB (www.fgtb‐liege.be) pour développer un mini site de la centrale générale à l’intérieur de celui‐ci. Plutôt que de créer un site propre à notre section régionale, nous avons estimé judicieux d’intégrer nos pages web aux pages du site de la régionale. Au‐delà des rubriques traditionnelles comme l’actualité, l’agenda et les contacts, nous avons également intégré un page de vidéos et, suite aux débats sur le syndicalisme de réseau, les coordonnées de l’ensemble de nos délégués d’entreprises. Nos pages web sont également accessibles via une adresse propre : www.cgliege.be .
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Plus d’outils pour plus de délégués
Notre section a investi sur le déploiement syndical dans les petites et moyennes entreprises et dans les nouveaux secteurs. Elle a également développé de nouveaux outils pour les délégués syndicaux. Déploiement syndical dans les petites et moyennes entreprises et dans les nouveaux secteurs
En plus des nouveaux outils de communication développés ci‐dessus, la centrale générale a maintenu un travail de sensibilisation constante vers les travailleurs des petites et moyennes entreprises. Durant les négociations sectorielles 2007‐2008, notre section s’est employée à consulter les affiliés dépourvus de délégation syndicale dans leur entreprise sur le contenu des cahiers de revendications. Des processus de vote par correspondance sur la volonté des travailleurs de voir installer une délégation syndicale dans leur entreprise ont également vu le jour dans le secteur de la construction. Notre section s’est également fortement attachée au développement syndical du secteur des titres‐services qui s’est considérablement développé dans notre région ces deux dernières années pour atteindre un volume de plus ou moins 6000 emplois sur la région de Liège‐Huy‐Waremme.
Un centre de documentation et communication Notre section a inauguré un centre de documentation et communication pour les délégués en mars 2007. L’objectif est de fournir aux militants un accès à toute la documentation et le matériel dont nous disposons au sein de la section. Le centre permet également aux militants de venir y réaliser leur matériel de propagande tel des tracts, des affiches, etc. C’est un outil qui s’avère très utile, notamment pour les délégués de secteurs sur chantier ou sous‐traitants, qui n’ont pas toujours
la possibilité de contacter ou recevoir leurs collègues dans un local syndical.
Bimestriel d’information aux militants Fin 2007, notre section a lancé le bimestriel « info‐militants ». Il s’agit d’un recueil de notes sociales, sectorielles, d’articles de presse… L’objectif est d’améliorer la diffusion de l’information et de fournir aux délégués le matériel et l’information nécessaires à l’exercice de leurs fonctions.
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Les grands rendez‐vous de 2008 Mai 2008 : Les élections sociales Pour la Centrale Générale Liège‐Huy‐Waremme, les élections sociales représentent : Pour l’industrie : auxiliaire, chimie, verre, papier : 22 entreprises. Pour la construction, les carrières et le bois : 6 entreprises. Rappelons que dans la construction, les élections sociales ne sont pas organisées. Pour le nettoyage : 8 entreprises. Pour l’enseignement libre : 30 établissements. Pour les titres services : 9 entreprises dont 6 organisées au plan national. Dans le cadre de la campagne pour les élections sociales, notre section développera une page spéciale sur son site internet. Cette page permettra aux travailleurs de découvrir les candidats FGTB de leur entreprise via une petite vidéo. 18 octobre 2008 : congrès statutaire de notre section En octobre 2008, notre section tiendra son congrès statutaire. Nous voulons faire de ce congrès un congrès idéologique fort qui présentera à l’ensemble de nos membres des revendications concrètes et un véritable projet de société de gauche. Depuis octobre 2007, nous préparons ce congrès en organisant des débats thématiques avec nos militants. 4 débats ont ainsi déjà eu lieu et des pistes de résolution sont déjà sur la table.
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