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1
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TRAITEDE
SOCIOLOGIE GNRALE
7
VILFREDO PARETO
TRAITDE
SOCIOLOGIE GNRALEEDITION FRANAISE PAR
PIERRE BOVENREVUE PAR l'auteur"
Volume
I
LIBRAIRIE FAYOT & O'LAUSANNE1,'Rne de Boarg,1,
PARISBonlev. St-Germain, 106
I
1917Tous droitsrservs.
.-
Il
V
.
Tous droits de reproduction, de traduction
et d'adaptation rservs
pour tous pays.
Copyright 1917, by Payot
&
C.
-7//
A Madame JANE REGISHommagedeVilfredo Pareto.
>
/V
TABLE ANALYTIQUE DES MATIRESCONTENUES DANS LES DEUX VOLUMES
Les
chiffres arabes indiquent les paragraphes.
Ceax qui sont munis d'un *
se rapportent
aux paragraphes
les plus importuits.
GENERALITES(I-a)
Les rgles suivies
dans un ouvrage
n'ont rien d'absolu (II-O ; elles sont tablies suivant le but de l'ouvTage. Expos de ces rgles et de ce but fChap. I, 4*, 5*, 6*, 70*, 71 voir Sociologie logicoexprimentale. Etude laquelle nous pro;
cdons].
a-b)
Pourfaits
faciliter l'tude,
observs dans
les socits
en deux catgories : tions, par actes ou paroles, des instincts, des sentiments, des tendances, des apptits, etc., des intrts, et les consquences logiqxies ou pseudo-logiques tires de ces
nous divisons les humaines (M) Les manifesta-
clusivement exprimentale. Les deux ca{M) et (X) ne correspondent nullement au monde interne et au monde externe des mtaphysiciens (95* ; voir Concepts] ; ce sont de simples catgories de faits. Chez les animaux, la partie (c) fait dfaut il ne reste que la partie (d) [voir Actions non-logiques] chez les hommes, on nglige, on ne prend pas garde, on ignore que de nombreux groupes constituant (c) sont uniquement des manifestations d'instincts, de tendances, etc. [voir Actions non-logiques. Drivations]. L'un des buts du prsent ouvrage est d'ter ces voiles de la ralit [Ch. II,tgories; : ; :
III, IV, V].
(I-c)
manifestations. Cette catgorie comprend donc les actions non-logiques et les actions logiques |Ch. II]. On peut di\iser en deux autres catgories la partie qui concerne les actions non-logiques, soit L'ne partie (d). qui ne donne naissance aucune manifestation verbale une autre partie, (c), qui donne naissance des manifestations verbales [851* 854, 1690*, 2083]. (A) Tous les autres faits du milieu dans lequel se trouvent les socits humaines. Cette division des faits est ex::
La partie (c) prdomine chez les hommes, puisqu'ils ont l'habitude d'exprimer verbalement instincts, sentiments, etc., et qu'ils se complaisent y ajouter des dveloppements logiques ou pseudo-logiques.Elle se spare facilement et
spontanment
des faits dont elle n'est qu'une manifestation, et parat alors avoir une existence La propre [1690 ; voir III. Langage].:
partie partie
(c) se
di\ise en
deux autres;
peu variable
[rsidus]
(6)
(a) une une par:
tie trs
841
;
variable [drivations] 798* Ch. V, VII, VIII, IX, X].
TABLE ANALYTIQUE DES MATIRES(l-d)
tudier les rapports suivants entre les catgories (M) et (A^) de faits () Les rapports mutuels entre (M) et (A') j^es rapports de (M) et de (N):
Nous avons
correspondent entirement un monde dit surnaturel ou mtahpysique, en somme
un monde non-exprimental; et aussi ceux dans lesquels cette correspondance n'est que partielle. Les sciences logicoexprimentales ne s'occupent pas de ces rapports [voir (Il-gr), (Il-h), (II-/)].:
avec avec
les thories, les doctrines, les;
sitions
(y)
propoLes rapports de (M) et de (iV)
la constitution des socits
humai(1-9)
nes. Dans une premire approximation, on peut, en de trs nombreux cas, rduire la partie (M) la partie (c), spcialement
dans l'tude des thories [Ch.V].(I-e)
II, III,
IV,
(p) Rapports de (M) et de (N) avec les thories. lieu de (M) nous pouvons,
Au
pour une premire approximation, considrer (c). Au point de vue indiqu, la catgorie (c) peut tre divise en deux souset
(a)Il
Rapports mutuels entre (M)
(N)
existe
une(A'^)
certain rapport, qui n'est pas correspondance parfaite, entre (M) et;
un
entre les diverses parties en gnral, entre diverses catgories de faits [voir Mutuelle dpendance]. Tout tre vivant
de
mme
de (M) et de
(A^), soit,
(cl) celle qui rside en l'auteur de la thorie (c2) celle qui rside en d'autres hommes, avec lesquels il est en relations (cl) et (c2) ont des parties communes. Toute thorie dpend videm:
catgories
;
;
:
est adapt en une certaine mesure, au milieu o il vit, et aussi bien au point de vue des formes matrielles qu' celles de l'instinct, des sentiments, etc., il se trouve dans une certaine dpendance avec ce
ment de (cl). Les diffrences entre les diverses thories proviennent des varits de cette dpendance et des divers modessuivant lesquels on tient compte de (c2) Objectif et Subjectif, Drivations, Rsidus Ch. I, III, IV, V].et de A' [voir:
;
Par exemple, l'instinct des aniqui vivent de proie est en corrlation avec l'existence de cette proie [1768 1770]. Plus brivement, on peut diremilieu.
maux
(I-/I)Il existe une partie commune la souscatgorie (cl) et la sous-catgorie (c2), chez les individus de la collectivit
peut y avoir certaines corrlations entre ces groupes de faits de (M) et les groupes de faits de (N). Nous avons surtout nous occuper des corrlations entre (c) et (A'^). On peut comparer les groupes de (c) des nbuleuses ayant chacune un noyau entour d'un amas. Dans quelquesunes de ces nbuleuses, il y a, tant bien que mal, une certaine correspondance entre le noyau et les faits (A') mais avec l'amas cette correspondance fait dfaut.qu'il;
laquelle appartient l'auteur.
Ce
fait expli-
personnes qui, dans leurs raisonnements, partant de (cl), croient partir d'une entit impersonnelle, et atteindre l'absolu en s'levant au-dessus du contingent [voir Drivations, Esprit humain, Consentement].l'illusion des:
que
Dansdance
d'autres nbuleuses, la corresponfait
(i-O(y)
dfaut avec
le
nojau
et avec:
d'autres termes cersont semblables une mauvaise photographie de (N) [1778*, (III-/)] ; certains autres n'ont que peu detains groupes de(c)
l'amas [1767].
En
Rapports de (M)
et
de (iV) avec la
humaines. A ce point de vue, on peut diviser (M) en deux parties (Ms) Instincts, sentiments, etc.constitution des socits:
chose ou rien de XI, XII].
commun
avec
(A') [Ch.
(I-/)
Parmide
les
commun
groupes de (c) qui n'ont rien avec (A') se trouvent ceux qui
(Mr) Raisonnements Thoriquement, l'un des extrmes, on a des socits dtermines par (Ms) et par (A') telles sont probablement les socits animales. A l'autre extrme, on aurait des socits dtermines par (Mr) et par (A). Mais ces[voir [voir:
Rsidus]
;
:
Drivations].
:
TABLE ANALYTIQUE DES MATIERESsocits n'existent pas
\I
dans
le
monde con-
cret (2143]. Croire qu'elles peuvent exister, est l'un des dogmes qui divinisent la
Il faut considrer ces classes ou non seulement l'tat statique, mais aussi l'tat dynamique. De l les
critres.
castes,
Raison ou la Science (voir Religion et mtaphysique de la Raison, Idem de la Science]. Les socits humaines occupent des degrs intermdiaires [2146]. Pour autant que nous pouvons le savoir, l'ensemble de (M) et de (X) parat dterminer la constitution de ces socits (Ch. XII].:
des lites, sur la des classes de rentiers, de spculateurs, et d'autres encore. Enfin, il faut tenir compte des caractres diffrents de ces classes, pour tudier la forme et l'volution de l'ensemble socialla circulation
tudes sur
circulation
(I-O
(I-r) (voir : Classes sociales ou castes. Dmocratie, Evolution, Proportion des rsidus, etc.. Rsidus, Rpartition et change-
ment dans l'ensemble d'unedes doctrines. Spculateurs,
socit. Utilit
rapports de (M) et de (X) avec la constitution des socits, une place trs importante appartient aux rapn ports avec les diverses utilits des indi\idus, des collectivits, des socits, de la race humaine, etc. (voir Utilit]. La science logico-exprimentale ne peut en avoir connaissance que par l'examen des faits (Il-ft) ; les sciences non-logico-exprimentales fixent habituellement a priori tous ces rapports ou une partie d'entre eux. Elles les rduisent trs souvent une identit entre certaines utilits et une de leurs entits laquelle elles dormentles:
Parmi
Vrit],
La
socit
humaine
est
considre
le
nom:
voiret
de vrit (Ch. XI, XII, XIII Mtaphysique et Thologie, Vrit;
Utilit].
(I-/n)
est htrogne. La thologie de l'galit nie cette htrognit, comme autrefois la thologie chrtienne nia les antipodes. La science logicosocit
La
humaine
exprimentale ne peut se soucier ni de l'une ni de l'autre, lorsqu'elle rechercheuniformits des faits ainsi travestis. Elle s'en occupe, au contraire, pour connatre comment ces thologies se sont constitues, et quels sentiments, tendances, etc., elles correspondent (voir : Drivations, Rsidus.] En une premireles
de molcules [2066*] qui ont certaines proprits, dans l'espace et dans le temps, sont soumises certaines liaisons, prsentent certains rapports. Les raisonnements (drivations], les thories, les croyances qui ont cours dans cet agrgat, sont considrs comme des manifestations de l'tat de cet agrgat, et sont tudis comme des faits, l'gal de tous les autres faits sociaux (Il-e). Nous en recherchons les uniformits, et nous nous efforons de remonter d'autres faits dont ceux-ci procdent. Nous n'entendons nullement opposer une drivation une autre drivation, une croyance une autre croyance. Il nous importe seulement de savoir en quel rapport se trouvent les drivations et les croyances entre elles et avec les autres faits, dans Apostolat, le temps et dans l'espace (voir:
comme un systme
Applications pratiques. Actions, Ensemble social. Economie, Phnomne conomique. Elments qui dterminent l'quilibre conomique et l'quilibre social. Equilibre social et quilibre conomique. Exprience, Formes sociales. Lois exprimentales. Utilit,
approximation, certains phnomnes peuvent tre considrs en moyenne, pour
Maximum
d'utilit.
Mthode
historique.
une socit donne ; mais il est presque toujours indispensable de procder une seconde approximation qui tienne comptedel'htrognit. Nous devons ds l'abord considrer certains autres phnomnes en rapport avec l'htrognit sociale, afin
Morale, Objectif et Subjectif, Systme social. Rsidus, Drivations, Sentiment, Socit,
Sociologie logico-exprimentale. EtudeThories].
laquelle nous procdons. Histoire, Spculateurs,
de ne pas nous loigner trop de
(I-o)
la ralit.nit,
Pour tudier cette htrogla socit
on peut di\iser
en
diff-
rentes classes ou castes, suivant divers
Les phnomnes sociaux prsentent habituellement une forme ondule, oscillatoire. Les ondes sont de divers genres
XIIet
TABLE ANALYTIQUE DES MATIERESils concluent qu'il faut rejeter cette science, tandis qu'au contraire il faut seulement la complter en y ajoutant d'autres tudes (II-s). Ou bien ils font pis, et usent d'une drivation verbale qui rvle leur grande
de diverses intensits. Elles peuvent, par consquent, tre divises en diffrentes catgories, qui indiquent certaines priodes des phnomnes [voirdes conomiqueset:
apparemment compris dans A,
sociales
;
Ondes, PrioCh. XIII].
(I-P)
Mutuelle dpendance. Les molcules du systme social sont mutuellement dpendantes dans l'espace et dans le temps. La mutuelle dpendance dans l'espace apparat dans les rappqrts des phnomnes sociaux. Soient A, B, C..., les diverses parties en lesquelles, pour faciliter notre tude, nous estimons utile de diviserl'ensemble du phnomne social. La science logico-exprimentale qui tudie A [par exemple l'conomie] tient compte directement de la mutuelle dpendance des molcules de A. Les sciences logicoexprimentales qui tudient B, C..., procdent de mme [voir Mutuelle dpendance]. Ensuite, la science logico-exprimentale qui tudie l'ensemble A, B, ou A, B, C, ou A, B, C, )..., etc., doit tenir compte de la mutuelle dpendance de A et de B, ou de A, de B, de C, etc. On exprime ce fait en disant que la science logico-exprimentale spare l'analyse de la sj'nthse, et fait succder celle-ci celle-l (II-) ; et aussi en observant que la science qui tudie A ne peut donner une thorie complte des phnomnes concrets dont se compose apparemment A (Il-r). En ralit, A se compose uniquement d'abstractions de ces phnomnes, dont on a prcisment limin toutes les parties qui dpendent de B, C, D,... La synthse, qui fait suite l'analyse, a pour but de rendre ces parties leur place. Les personnes qui, en sciences sociales, suivent les mthodes des sciences non logico-exprimentales, ne peuvent comprendre cela, parce qu'elles raisonnensur des concepts [94, 95*] plus que sur des et les concepts sont non seulement faits beaucoup plus simples que les faits, mais apparaissent en outre beaucoup plus ind: ;
ignorance de la ralit exprimentale; ils affirment que les lois conomiques et sociales souffrent des excetions, et ils ne s'aperoivent pas du ridicule qu'il y a affirmer l'existence d'uniformits nonuniformes [109*, 16893*, 1792*].
(H)Mutuelle dpendance. Si l'on considre les phnomnes dans le temps, aux observations prcdentes il faut en ajouter d'autres. La forme des phnomnes sociaux est essentiellement oscillatoire (I-o).
Pour un phnomne A, nous avons une de mme pour les phnomnes B, C, D,... Il faut considrer 1 la mutuelle dpendance des oscillasuite d'oscillations;
:
tions de A, et de
mmela
celle des
oscilla-
tions de B, C, D,... sparment pour cha-
que phnomne
;
mutuelle dpendance
des oscillations des diffrents phnomnes [2552*]. Cette dernire tude se rapproche beaucoup plus que la premire de l'tude de la mutuelle dpendance dans l'espace (I-p). L'action des oscillations prcdentes sur les suivantes pourrait apparatre dans l'tude de l'volution, si l'on accomplissait cette tude en tenant compte de la forme oscillatoire des ph-
nomnes [2585]. Beaucoup de personnes sont empches de le faire, parce qu'ellesrecherchent, afin de la faire disparatre, la cause des maux de la socit [2541] ; ou bien parce qu'au lieu d'tudier comment sont les faits, elles prchent en vue de les modifier ou parce qu' l'histoire logico-exprimentales, elles substituent des histoires thiques, thologiques, etc. Histoire]. En ralit, la succession [voir des oscillations peut, pour un grand nom;:
Juste, Injuste, Moral, pendants [voir Immoral, Pratique et Thorie, Prescrip:
tions].
De
l'incapacit de
ces auteurs
comprendre la ralit exprimentale, il rsulte que lorsqu'on observe que la thorie
peut
logico-exprimentale qui tudie A ne expliquer un phnomne concret
bre de phnomnes, se produire d'une manire grossirement analogue la succession des divers ges de la vie humaine [2541]. De mme que la naissance est pour l'homme l'origine de la jeunesse, et qu'avec la jeunesse elle est l'origine de l'ge mr, et enfin de la vieillesse et de la mort, de mme les priodes prcdentes des phnomnes sociaux peuvent, dans
TABLl-:
ANALYTigLE DES MATlhULSclasses sociales.Si,
MUparmiles
une
ii.iiciiin.1'
iiii^ac,
comme
origine
considres tre des priodes suivantes,
innombra-
peuvent favoriser d'abord la prosprit, ensuite la dcadence (2541, 2585*1. Tout cela est contraire aux rsulet certains faits
tats des thories
et des histoires non logico-exprimentales, qui, de l'thique, de la mtaphysique ou de quelque thologie,
se flattent
de
tirer
un jugement:
absolu (Il-zn) surlogie].
des faits [voir Thories, Religions, Mtaphysique, Sociola valeur
(I-r)
Proportions des rsidus dans
les diverses
avec les formes sociales et leurs volutions, on recherche les faits principaux, on y trouvera la proportion des rsidus dans les diverses classes sociales, et surtout la proportion des rsidus de la l" et de la II classes, dans la partie gouvernante et dans la partie gouverne. L'histoire confirme qu'on obtient une premire et grossire image des phnomnes, en portant son attention principalement sur ces proportions, et d'une manire subordonne d'autres circonstances importantes [Ch. XII, XIII].bles lments qui sont en rapport
II
THORIES LOGICO-EXPRIMENTALES ET THORIES NON LOGICO-EXPRIMENTALESSauf indication contraire,par exprience il
fant entendre exprience et observation .
(II-)
(ll-b)
Pour trancher un diffrend, il faut un juge [17*, 27, 28, 961]. Dans les sciences logico-exprimentales, ce juge est exclusivel'exprience objective, dont on tire preuves [16, 17, 42, 69*-", 475]. Dans les sciences non logico-exprimentales, on peut avoir divers autres juges. Tels seraient les li^Tes sacrs pour les croyants de certaines religions, la conscience pour certains mtaphysiciens, l'autoobservation pour d'autres, les principes ncessaires pour d'autres encore, etc. [voir Vrit, Auto-observation, No-chrtiens, Droit naturel. Droite raison. Sature, Bien, Mtaphysique, etc.]. Trs souvent les sciences non logico-exprimentales ont pour juge l'accord avec les sentiments [42, voir Logique des sentiments, Per 49, 581 suader.] On fait en outre intervenir la considration de l'utilit une doctrine passant pour vraie parce qu'elle est utile [voir : Vrit] [423, 473, 474, 475, 581, 593. 594. 961 : voir Etude laquelle nous procdons. Sociologie].
ment
les
Les thories logico-exprimentales se uniquement par les faits ; elles sont constitues par des propositions descriptives qui affirment des uniformits exprimentales, et par des consquences logiques de ces propositions [voir : Thories]. Les thories non-logico-exprimentales visent dominer les faits, et renferment des propositions qui ajoutent quelque chose aux uniformits exprimentales [55, 56, 521, 524 ; voir Lois (uniformits). Principes, Mtaphysique].laissent guider:
:
ll-c)
;
:
Les sciences logico-exprimentales dduisent les principes des faits [2078 '], auxquels les principes sont toujours subordonns. Les sciences non-logico-exprimentales posent a priori certains principes dont les faits dpendent [10, 11, 22, 23*, 24, 54* 56, 57*, 63*. 90 93, 343, 514, 521, 638*, 642*, 643*, 665, 976
:
1532, 2397, 2398J.
XIV
TABLE ANALYTIQUE DES MATIRES(U-d)dient
comme
de simples
faits
sociaux
Les thories logico-exprimentales raisonnent sur les faits, c'est--dire sur les catgories (c2) et (iV) de (I-g); elles tiennent compte des lments (cl) uniquement comme de simples faits, jamais comme de sentiments qui s'imposent ; elles s'occupent exclusivement de mettre en rapport certains faits avec d'autres faits [voir Explications] ; tout ce qui dpasse l'exprience leur est tranger [Ch. IV, V] les abstractions sont des parties communes certains faits. Les: ;
(I-n) les thories, les doctrines, les propositions, etc., qui
mmesontelles
si
ont cours dans la socit, ces thories, doctrines, etc., ne
pas logico-exprimentales, ou si sont fantaisistes, absurdes, etc. [7, 12, 69*-6'', 81, 145, 466, 5142, 338, 843, 845]. Analogies avec l'tude de la philologie [346, 468, 469, 659, 879* 883;
voir
:
Drivations],
(ll-f)
thories
non
logico-exprimentales(cl)
rai-
Chronologiquement,logico-exprimentales
sonnent au moyen de sentiments
de
l'auteur (l-g), et surtout grce l'impression que produisent sur lui certains mots
tude[57].
les
sciences
les sciences nonprcdent d'habilogico-exprimentales
Langage] [voir elles s'occupent non seulement des faits, mais aussi de certaines entits qui dpassent l'exprience [Ch. IV, V], et avec lesquelles elles mettent en rapport les faits. Pour de telles thories les abstractions ne sont pas seulement des rsums de certaines parties des faits elles ont une existence propre et indpendante.: ;:
(u-g)
Le domaine desdesthories
thories logico-expri-
mentales est nettement distinct de celui
non logico-exprimentales, aucun point de contact avec lui. L'tude du monde exprimental n'a rien de commun avec l'tude du monde nonet n'a
La diffrence entre les thories logico-exprimentales et celles qui ne le sont pas consiste avant tout en ce que les premires ont pour but de rduire zro la partie contenant exclusivement (cl) [2411*; Ch. I] les secondes attribuent, souvent implicitement, parfois explicitement, un rle plus ou moins prpondrant et dominant (cl) [voir Classification, Thories], A l'un des extrmes se trouvent les thories qui s'efforcent de combattre la pr;:
exprimental [16, 43, 69+-20, 70, 97, 474, 477, 481, 973]. Chaque tude est souveraine dans son domaine, et l'on ne saurait
admettre qu'elle envahisse celui de l'autre [16, 43, 69*-3o, 70*, 477].
(II-/Z)
dominance du groupe
tacher qu' (c2) autant que possible, car il est bien difficile d'viter entirement (cl). A l'autre extrme se trouvent les thories qui attri;
pour ne s'atet (N) du moins(cl),
Les dieux, les tres diviniss sont en dehors de la ralit exprimentale l'gal des abstractions mtaphysiques [voir Mtaphysique et thologie], ou des abstractions pseudo-exprimentales [voir Tho: :
ries, No-chrtiens],
Pour la science logicoexprimentale, autant vaut une simple abstraction mtaphysique qu'une abs-
buent un rle prdominant aux sentiments exprims par (cl); du moins autantqu'elles le peuvent, caril
est de[9, 10,
mme69, 75,
traction divinise [1667 ; voir Gnose], Au point de vue de l'approximation de la ralit exprimentale, autant valent lesentitsetles
bien
difficile
d'ignorer entirement (c2)
principes
mtaphysiques
et (iV) [142*, 143, 170]
-
que
les entits et les
principes thologi-
76*, 108, 170, 5142, 521, 803, 804, 977* Ch. I, III, IV, V voir ; Objectif et subjectif. Hypothses exprimentales et hypothses non-exprimentales. Economie en partie non logico-exprimen-
979, 2411
;
:
iale,
Sociologie en partie
non logico-exp-
rimentale].(Il-e)
ques, et en gnral les entits et les principes non-exprimentaux [67, 616, 928, 1667, 1767 ; voir Entits, Religion, Mtaphysique], Il n'y a pas de religion plus ou moins scientifique qu'une autre [16^, 43, 309, 377, 569, 570, 616, 630*, 765, 928, No-chrtiens, Moder1533, 1767 ; voir:
Les sciences logico-exprimentales tu-
n'est pas plus plus prs de la ralit que la thologie [67, 378*, 928, 1533, 1538nistes],
La mtaphysique,
scientifique
;
TABLE ANALYTIQUE DES MATIERESvoir
XV
Impratif caligorique. Droite Raison, Sature, etc.\:
(Il-n)
(II-O
La science logico-exprinientale ne peut accepter de thormes tablissant des rapports entre des clioses qui, toutes ou en partie, sont en deiiors du monde exprimental (479, 1667). De mme elle ne peut accepter, si la vrification exprimentale fait dfaut, des thormes qui tablissent des rapports uniquement entre des choses du monde exprimental, mais qui sont obtenus grce l'limination d'entits non-exprimentales [479, 480* 482, 1540, 1607*, 1608]. Enfin, elle repousse aussi la conclusion qu'on voudrait tirer du fait que ces thormes sont ou ne sont pas vrifis par l'exprience, pour dmontrer l'existence ou la non-existence hors du monde exprimental, de l'entit limine voir [481*, 487, 516 Religions, Prophties, Miracles, Entits, etc.). Toutes ces propositions sont des consquences de {U-g).; :
Les sciences logico-exprimentales n'ont pas de principes certains . Les sciences non-logico-exprimentales ont de tels principes, auxquels elles donnent le nom de principes naturels ou ncessaires , de lois considres comme diffrentes des uniformits exprimentales, d'axiomes thologiques ou mtaphysiques, Lois etc. [55, 56, 90, 91, 642, 1068 : voir Mtaphysique, Religion, (uniformits).:
etc.].
(II-o)
Les personnes qui cultivent les sciences ne saisissent habituellement pas le caractre contingent des sciences logico-exprimentales, et raisonnent comme si ces sciences avaient aussi en vue un absolu quelconque, simplement diffrent de celui des
non logico-exprimentales
non logico-exprimentales [973]. Par consquent elles s'imaginent que lessciences
(ll-O
logico-exprimentales ont des le \Tai ne dogmes, tels que celui-ci peut tre connu que par l'exprience [16]; ou bien le vrai exprimental est supsciences::
Etant donn qu'on ne peut comparer d'une manire absolue l'tude logicoexprimentale avec des tudes non logico-exprimentales, on ne peut dire laquelle est la meilleure , la moins
rieur d'autres
\Tais
[26, 46*, 69]
;
bonne
,
la pire.
On
pourrait
le
dire
d'une manire contingente, en indiquant le but que l'on veut atteindre [70*, 71 ; voir Casuistique, Fin, Vrit, etc.].:
(Il-m)
Les sciences logico-exprimentales sont entirement contingentes ; les sciences non logico-exprimentales visent l'absolu [voir Absolu et contingent]. Les premires n'ont pas de conclusions certaines, ncessaires [1531], absolues , mais seulement probables, trs probables [voir: Probabilit]. Ces conclusions sont toujours nonces avec la restriction dans les limites du temps, de l'espace et de: :
thormes des sciences logico-exprimentales donnent la cernous font connatre des ils titude lois et non de simples uniformits tout peut s'expliquer exprimentales par r exprience [dterminisme]. On ne parvient pas leur faire comprendre qu'un tel nonc suffit pour montrer qu'il ne peut tre celui d'un thorme logicoexprimental, dans lequel il n'y a jamais aucune place pour l'absolu que renferme le terme tout [88, 528* 532, 976, 1531* ; voir Lois (uniformits). Vrit, Drioaiions, Dterminisme, etc.].
ou encore;
:
les
;
:
(II-p)
l'exprience nous connus [69-5]. Les secondes ont des conclusions certaines , ncessaires , absolues , sans conditions restrictives [47, 69*-5'>, 97, 408,529, 976, 1068, 1531*, 1532, (I-r)].
Les thories logico-exprimentales sont dans un continuel Devenir elles procdent par approximations successives. Les thories non-logico-exprimentales atteignent habituellement du premier coup un tat qui parat leurs fidles devoir tre immuable, bien qu'en fait il change avec les auteurs et les fidles;
1531*. l69*-9, 91, 92, 106, 107, 144, 826,
XVI2410;
TABLE ANALYTIQUE DES MATIRESvoir:
Approximalions successives.
Faits. Concret, Ondulations, etc.].
ni la thermodynamique une thorie des machines vapeur concrtes, etc. [35, 36, 38, 2022* 2024, 2219*].
(11-9)
Les sciences logico-exprimentales sparent l'analj'se de la synthse (I-p). Cliacune d'entre elles est essentiellement anaIji;ique elle dtache les diffrentes parties d'un phnomne concret, et les tudie sparment. On procde la synthse en unissant les conclusions de plusieurs de ces parties (I-p). Les mouvements rels sont toujours considrs sparment des mouvements virtuels, l'tude de ce qui est, de l'tude de ce qui doit tre [pour atteindre un but dtermin]. Les sciences non logico-exprimentales tendent unir l'analyse et la synthse, les confondre, sans mme que les auteurs de ces sciences se rendent compte qu'il y a lieu de considrer part l'analyse et la synthse. Ils ne distinguent pas ou distinguent mal:
(Il-*)
les
mouvements[voir:
rels
des
mouvements
Mouvements]. Chacune de ces sciences prtend connatre entirement, d'un seul coup, certains phnovirtuels tre
mnes et lorsque l'exprience dmonque cette prtention est vaine, cette;
non logico-exprimenconnaissance du phnomne concret, la synthse doit suivre l'analyse. C'est pourquoi, lorsqu'il arrive que l'une des sciences logico-exprimentales n'explique pas entirement un phnomne, il est ncessaire de la complter l'aide d'autres thories, et non de la rejeter ni de tenter de la complter au moyen d'une synthse arbitraire en changeant le sens des termes employs, ou en divaguant dans le domaine non-exprimental. Au contraire, cette voie est habituellement suivie par les personnes qui ne sont pas accoutumes raisonner suivant les mthodes des sciences logico-exprimentales, et parfois aussi par les personnes auxquelles ces mthodes sont familires dans les sciences naturelles, mais qui se laissent entraner par le sentiment et par les intrts, dans les sciences conomiques ou sociales [33* 39, 2017* 2024 ; voir :les
Dans
sciencesla
tales,
pour
Drivations].
science recourt des subterfuges souvent purils, tels que changer le sens des mots
(II-O
Valeur] ou bien admettre, au moins implicitement, que ce qui n'est pas devrait tre ou encore chercher dlibrment ce qui doit tre. L'lment nonexprimental rside dans le terme doit,[voir:
;
;
employ d'une manire absolue, sans indication d'un but exprimental [10, 28"' 32, 33 40, 69*, 253, 265, 277, 279, 297 299, 346, 483, 518, 605, 613, 701, 711, 804, 817*, 818, 845, 966* 975, 1459, 1687, 1689. 2016, 2017, 2147, 2214, 2411, 2219 ; Devoir, Empirisme, Pratique et voir thorie. Applications pratiques, Absolu et:
Les thories logico-exprimentales visent au perfectionnement de la mthode quantitative thories non logicoles exprimentales sont habituellement qualitatives [108, 144*, 2091* 2104, 2107, 2122*, 2155*, 2175, 2467 et sv. voir;; :
Quantitatif
et qualitatif].
(ll-u)
exprimentale et l'utilit sociale sont deux choses entirement distinctes, parfois opposes. Dans les thoralit
La
contingent, etc.].
(Il-r)
l'conomie ne peut donner une thorie de la valeur, du capital, de l'intrt, de la protection, etc., si par ces termes on entend des phnomnes concrets. Il est ncessaire d'ajouter les conelle seule,
A
rmes des sciences logico-exprimentales, on trouve la premire, et l'on peut ne pas trouver la seconde. Dans les thormes des sciences non logico-exprimentales, habituellement on ne trouve pas la premire, mais on y peut trouver la seconde. En somme, une thorie peut tre d'accordavec l'exprience et nuisible la socit, ou bien en dsaccord avec l'exprience et Vrit, Religion et utile la socit [voir mtaphysique de la Raison, Morale, Reli:
clusions d'autres sciences (I-p).la
De mme,elle
comptabilit
ne peut,
seule,
donner une thorie du commerce concret.
gion,
Fins
idales].
TABLE ANALYTIQUE DES MATIERES
XVII
ni
LANGAGE ET DFINITIONSLANGAGE(Ill-a)
Langage scientifique et langage vulgaire 1108*, 109, 113* 118, 245, 266, 331, 366, 396, 408, 815, 960, 1545, 22401.(Ill-fr)
non-exprimental aux choses qu'ils doivent dsigner. Cette adjonction consiste trs souvent en sentiments de l'auteur ou d'autres personnes (ll-(f)- Les controverses des sciences non logico-exprimentales tendent donc devenir des logomachies. Elles perdent leur valeur et leur sens, si l'on substitue des lettres de l'alphabet ou des nombres aux noms usuels des choses,car ces lettres ou ces nombres n'agissent pas sur les sentiments comme le font les noms usuels [16, 21*, 113 116*, 119, 124, 128,380, 514, 580, 642*, 2002*].
Dansoncis
les sciences logico-exprinientales,les ternies
s'efforce de rendre le langage aussi pr-
que possible
;
sont d'autant
meilleurs qu'ils sont mieux dtermins. Dans les sciences non logico-exprimcntales, on s'efforce de laisser le langage indtermin, pour tirer avantage de ce les termes sont d'autant meilcaractre leurs qu'ils sont plus indtermins [9, 18, 21. 26, 69*-9o, 108, 171, 408, 499 506, '.07*, 508, 515*, 586, 595, 596*, 640, 965, Drivai.'>46*, 1522 1554, 1686 ; voir tions, Contradictoires, Persuader, Logique].:
(Ill-f)
Dansles, le
les
sciences logico-exprimenta-
:
(III-c)
point de vue logico-exprimental, toute discussion est vaine, o l'on use de termes tels qu'on ne sait pas avec prcision quoi ils correspondent rellement |27*, 69, 108, 119, 380, 442, 490, 965;
Au
voir (11-/)^(Ill-rf)
Les sciences logico-exprimentales ne discutent jamais sur les noms elles discutent sur les choses dsignes par les noms. Un raisonnement logico-exprimental conserve entirement sa valeur, si l'on substitue des lettres de l'alphabet ou des nombres, aux noms usuels des choses. Pourvu que les choses soient dsiiines sans aucun doute ni quivoque, il importe peu ou point comment elles le sont. Les sciences non logico-exprimentales discutent sur les noms. 11 convient fiu'elles suivent cette voie, car, en ces sciences, lorsque les noms ne dsignent pas des choses entirement fantaisistes, ils ajoutent pourrie moins quelque chose de;
langage, tant arbitraire (Ill-r). n'exerce aucune influence sur les choses. Dans les sciences non logico-exprimentales, le langage, ayant une existence indpendante des choses, peut paratre exercer sur elles une influence plus ou moins grande, et en exerce certainement une sur les thories que l'on fait au sujet de ces choses. L'une et l'autre influences peuvent tre lgres, puis, graduellement, atteindre un extrme o les mots paraissent exercer un pouvoir occulte sur les choses (magie), ou bien o ils servent difier des thories entirement en dehors de la ralit (mtaphysique, thologie) Concepts et faits. Drivations, Reli[voir gions, etc. ; 182*, 183, 227, 514, 958 9651- Mois transforms en clinses [658, 660, 691, 698, 1548, 16861.:
(III-/)
Le langage reflte les faits extrieurs, dans la meilleure hypothse, comme une photographie mal faite, voire trs mal faite, et qui, dans les cas dfavorables, peut mme devenir entirement imaginaire.
Quiconque raisonne sur
les
noms
agit
celui qui, de ces photographies, croirait tirer la connaissance prcise des choses qu'elles reprsentent mal [108',
comme
SOCIOLOGIE
XVIII118, 690, 691, 1772].
TABLE ANALYTIQUE DES MATIRES694, 695,
1767,
1769,
Danson peut
les
tirer
conditions les plus favorables, quelque chose du langage
trs souvent avec celles que l'auteur entendait faire son expos. Par consquent, l'interprtation qui n'est pas rigoureuse se rapproche souvent de l'ide de l'auteur plus que l'interpr-
ment concordent
vulgaire pour constituer une thorie, de mme que, dans les conditions les plus favorables, on peut tirer quelque chose des photographies pour connatre les choses qu'elles reprsentent mal. Comme le langage vulgaire est habituellement syn-
rigoureuse. [41*, 74*, 75*, 171, Pratique et tho311, 1678 et sv. ; voir
tationrie.]
:
DEFINITIONS(Ill-n)
lorsqu'on en use, on tient compte, bien que rarement et mal il est vrai, de la mutuelle dpendance des phnomnes. Ce peut tre utile si, pour cela, on ne dispose d'aucun autre moyen quithtique,soit meilleur [108, 109, 117, 118*, 1767].
Dans
les sciences logico-exprimentales,
Dans la vie pratique, pour constituer des thories, on peut tirer bien davantage du langage vulgaire, prcisment parce que l'adjonction de sentiments (Ill-d), est un lment important des dcisions pratiques [113*, 815, 817 ; voir Empi:
tant donne la chose, on dtermine arbitrairement (Ill-r) le nom. Dans les sciences non logico-exprimentales, tant donn le nom, on cherche souvent la chose laquelle il devrait correspondre, ou bien la chose laquelle correspondent les sentiments suscits par le nom ; et si on ne la trouve pas parmi les choses relles, on recourt aux choses imaginaires [26, 109, 118*, 119, 150, 371, 578, 638, 639, 686 691, 960 963, 965].(III-O)Il
risme, Pratique
et thorie,
Drivations].rsulte de ce qui prcde que, sauf le
(III-O
cas d'erreurs involontaires, les sciences logico-exprimentales ont des termes qui
Consquences de l'indtermination du langage vulgaire [266, 267, 365, 366, 376, 1545, 1546*, 1552, 1556, 1797, 1857, 1904 1912, 1937, 2240].(III-O
correspondent ausciences
rel.
Au
contraire, les
non logico-exprimentales ont des termes qui, ou par la volont de l'auteur, ou cause des rgles suiviesen use, ne correspondent pas au rel, et souvent ne correspondent qu' des choses entirement imaginaires [108, 109, 171, 371, 408, 442*, 509 511, 515, 579,640].(III-p)
Le langage comme manifestationtions non-logiques [158*;
d'ac-
voir
:
(III-/j)].
(Ill-m)
Etant donn quetif et prcis,
les
sciences logico-
exprimentales usent d'un langage objecil ne faut jamais rien entendre au del de ce qu'il exprime il faut repousser toute adjonction que le sentiment serait port faire. Etant donn que sciences non logico-exprimentales les usent d'un langage en partie subjectif et dpourvu de prcision, on peut souvent entendre ce qui va au del de ce qu'il exprime, ou ce qui diffre du sens rigoureux. Les adjonctions ou les modifications faites de cette manire par le senti;
logico-exprimentales, sont des simples tiquettes qui ne servent qu' dsigner certaines choses. Dans les sciences non logico-exprimentales, les dfinitions renferment un lment non-exprimental, trs souvent en rapport avec le sentiment [119*, 150, 236, 245, 577, 578, 638, 642*, 798*, 868*,les sciences
Dans
les dfinitions
960, 965
;
voir
:
Dfinitions].
(II
H);
Dans
les sciences logico-exprimentales,
les dfinitions
sont arbitraires
c'est
pour-
TABLE ANALYTIQUE DES MATIRES:\ part quelques considrations de convenance (Ill-r), on ne peut rien y faire entrer de ce qui doit faire l'objet d'un thorme [381, 382 388, 442, 9631-
XIX
quoi,
(IlI-r)
Conditions pour les dfinitions logicoexprimentales [387, 388*).
IV
TABLE DE SUJETS PARTICULIERSL ordrealphabtique est double:
! celui des sujets
;
2* celui
des parties de ces sujets.
Absolu
et contingent 6, 9 11, 16, 19, 28, 69*-5, 97*, 108*, 408, 447, 488,et
528, 540, 1531, 2144, 2155. Abstrait et concret. Voir Concret:
153* 162, 249, 280, 288, 698, 980, 1148, 1273*, 1322, 1729, 2119. Actions non-logiques. Elles ne sont nulleillogiques au contraire, elles peuvent tre parfaitement appropries certains buts. Elles proviennent de ten;
abs-
ment
trait.
Actions concrtes. Leurs lments 148,798*.
Actions dpendant d'un tat psychique, supposes l'effet de certaines doctrines (drivations), tandis qu'au contraire doctrines et actions sont des manifestations de l'tat psychique (rsidus). Croyances et actions sont dpendantes, non pas directement, mais indirectement, parce qu'elles forment deux branches du mme tronc 162* 164, 166, 176 178, 184, 211, 217, 261, 267*, 268*, 284, 16902*. Actions thories et tat psychique (Actions, drivations, rsidus) 165 172, 267*, 268*, 269 279, 283 296.VoirRsidus, Drivations, Religion.
d'tats psychiques, etc., qui donnent naissance aux rsidus et aux
dances,
par
drivations, lorsqu'ils sont manifests le langage 146, 154*. 160 162*,
Actions
:
217, 260, 282, 1127, 1761 1763. non-logiques. En gnral, les hommes ont la tendance de leur donne r l'apparence d'actions logiques 212, 218, 220, 223, 249*-2, 253, 255, 256*, 261, 281*, 282, 289, 290, 292, 295, 296. 306*, 694, 696, 698 711, 793, 794, 1057 1064, 1121, 1122, 1123* 1125, 1142, 1146, 1274 1276, 1425, 1690, 1744, 1894, 2232, 2271. Actions non-logiques. Pour leur donner
Actions
logiques
et
actions
non-
LOGiQUEs. Rle qu'elles jouent dans humains. Ch. II, III, 283* 290, 698, 707 711, 1127, 1242, 2141 *les actes
une apparence logique, on les suppose institues en vue d'atteindre artificieusementun but 211, 217-6, 312* 318,1990, 1997. Actions non-logiques. Pour produire leurs thories, les thoriciens ont intrt les supposer logiques 262*, 264, 291,710.
2146, 2271. Actions logiques 150, 152*, 157*, 160, 161, 1478, 1498. Actions logiques, ou supposes telles, chez les animaux 156, 706. Actions logiques. Forme logique ou juridique donne aux rapports avec les dieux 220, 221, 1320. Actions logiques. Erreur de les considrer exclusivement 183, 212, 261, 706 711, 793, 794, 1491, 1847, 2552, 2566. Actions logiques en conomie politique263.
Actions non-logiques. Les hommes pratiques en tiennent compte implicitement ou les voilent en partie 308, 358 366. Voir Empirisme, Pratique et thorie. Actions non logiques. Considres comme absurdes 265, 309, 310, 1679. Actions non-logiques chez les animaux 155 157, 160, 162, 705, 1148, 2119. Actions non-logiques. Dans les arts en:
Actions non-logiques Ch.
I,
II,
150, 151,
gnral 159. Actions non-logiques. Dans la magie 149,
XX
TABLK ANALYTIQUE DES MATIRESCapitalistes 2231* et sv.
IGO, 175, 179, 182 185, 194 199, 202 206, 208 215, 913 917, 953 956.
Actions non-logiques. Dans la politique 159, 160, 200, 201, 254, 270* 275, 278,279.
Actions
non-logiques.
Dans
la
religion
149, 150, 160, 167, 174, 176, 195 199,
202 206, 208 215, 221 225, 254,304. Albigeois 2382, 2514* 2525*. Parfaits Albigeois 1186. Allgories et mtaphores 351, 352, 764* 785*, 1614* 1685. Anarchistes 1156. Animisme 693 711. Annona 996, 997, 1085. Anti-alcoolisme 1102, 1166, 1441', 1442, 1715, 1818, 1819, 1994. Anti-militarisme et anti-patriotisme 1129, 1302, 1781, 1818. Antipodes 67, 70, 485* 489. Apostolat spar de la recherche des uniformits (lois) logico-exprimentales 76, 77, 86, 87*, 141, 287. Apothose des empereurs romains 999. Apparition de morts 1054, 1055. Applications pratiques. La recherche d'applications pratiques prmatures nuit l'investigation scientifique. 275-, 277, 287, 288, 641. Appropriation des biens d'autrui 1716*.
Casuistique 226, 816, 1268, 1799, 1919 1929. Castes hindoues 1044. Christian Science 184, 1503, 1695* 1697, 1909, 2050, 2154 K Chronologies fabuleuses 652, 653. Classes sociales ou castes. Elites et leur circulation 278, 279, 1143, 1152, 2025 2046, 2205, 2209, 2213 2219, 2221 2230, 2233 2236, 2300 et sv. 2309 2319, 2324, 2477et sv.
Classe gouvernante 2033, 2034, 2047 2059, 2175, 2177, 2178, 2180 2202, 2209, 2211, 2215 2236, 2239 2278,
2306, 2326 2328, Ch. XIII. Classe gouverne 2034, 2047 2049, 2055 2059, 2175, 2179, 2180, 2202, 2209, 2215 2236, 2239 2278, Ch.
XIII.Classe suprieureet
classe
infrieure
2047 2059, Ch. XIII. Classification. Dans les classifications, nous nous efforons de suivre lesprincipes des classifications dites naturelles des roches, des plantes, des animaux, etc. 12, 147*, 149, 186.'
Classifications diverses. Actions logiques et actions non-logiques 151*.Drivations 1419.
Approximations
successives
69-9,
91,
105 107, 144, 2092*. Asctisme 1163 1206, 1799, 1858, 2520,2522. Assimilation des 2246 2248.
Buts idaux 1876. Ondulations ou oscillations 2552. Moyens pour liminer les actions nonlogiques- 306. qui ajoutent quelque Propositions chose l'uniformit exprimentale, ou qui la ngligent 575. Rapport entre le fait d'observer les rgles de la religion et de la morale, et le fait de raliser son bonheur 1902. Rsidus 888. Thories 13. Utilit 2115. Clientle 1026, 1027, 1037 1040. Composition des rsidus et des drivations 2087 2104. Composition des utilits, des rsidus et des drivations 2148 2155. Concepts abstraits, trangers aux peuples peu civiliss, 469, 695, 702*. Concepts et faits 94, 95*, 469, 488, 499,514-'*, 1798, 1909*, 1910, 2206. Conclusions opposes tires du principe 587*, 873.
peuples
sujets
1843,
Automobile 1463.Auto-observation 69, 109, 111*, 431,434, 488, 493*, 581, 599*, 600 602, 604, 997. Auteur. Il peut arriver qu'il n'y ait pas unit d'ides chez un auteur 541, 1739*,1972. Autorit 583 590, 652*, 984, 1159, 1434 1463.
1156
Bacchanales 1108, 1109, 1110. Bibliographies compltes 538. Bien du plus grand nombre 1489. Bien et souverain bien 478, 479, 1513, 1546, 1584* 1606, 1906,. 1913, 1976. 2067 \
Cantique des Cantiques 1452, 1627*.Capital 118, 2022. Capitahsme 1890, 1884 \ 2559.
mme
TABLK ANALYTIQUE DKS MATIKKKS(.oiicrel
X\l
et
abstrait. Les
hommes
procl'abs-
dent, en )4nra1, trait, 177, ISl.
du concret
Impossible 134. Liaisons 126.
Concret.tails
On ne peut
nomne
connatre aucun phconcret dans ses moindres d-
lOG.
Consentement 591 612, 1471. 1473, 1476. Consentement d'un grand nombre ou de tous il n'est pas une preuve de la ra:
Mutuelle dpendance du premier genre, et mutuelle dpendance du second genre 2088. Maximum d'utilit D'une collectivit 2121 2127.
Maximum
d'utilit
pour une
collecti-
vit 2131 2139.
lit
exprimentale 593, 651 .
Consentement universel 402 406, 462,574, 1470. Contradictoires.
Mouvements Mouvements MouvementsPossible 134.
129.rels 129.
virtuels 130.'.
Propositions contradictoires tires d'un mme principe 587*, 873, 1416*, 1800 et sv. Voir Drivations non concordantes et drivations con:
Qualitatif 144
Quantitatif 144 Rsidus 868.Sociologie1, 2.
'.
tradictoires.
Contrat social1507.
6, 270,
463, 1029, 1504*
(.ontrition et attrition 1459.
Corruption politique 2265 2267. Croisades d'enfants 1106. Curiosit. Faible chez les sauvages 702. Cycles de mutuelle dpendance 2203 2230, 2299 2328.
Darwinisme et darwinisme1770,2005.1
social
828,
)rinitions.
Dans les sciences logico-exprimentales, elles sont de simples tiquettes pour dsigner les choses 119*, 958, 959. Voir Index III.:
Spculateurs et rentiers 2235. Systme social 2066. Thories logico-exprimen taies 13. UtUit 2111. Difications 994 et suiv., 1082 1085. Dlit priv et dlit politique 2177. Dmocratie 2240, 2253, 2259, 2260, 2261. Dmocratie. Gouvernements de la dmocratie moderne 2228, 2236. Dmons et dieux paens 213, 610, 1612*, 1613*. Dmonstration et invention 50, 977* 2397* 2407. Dpenses des gouvernements Ch. XII,
XIH.Dpenses pour l'entretien des gouvernements 2256 ', 2257 ; 2258, 2306 2319.
1
)FIXIT10NS LOGICO-EXPRIMEXTALES DIVERSES. Actions logiques et actions non-logiques 150. Capitalistes. Catgories de capitaUstes. Rentiers et spculateurs 2231, 2233 2235. Cycles de mutueUe dpendance 2206. Circulation des lites 2042. Conditions 131. Drives 868. Drivations 868. Effet direct et effet indirect d'un lment de l'quilibre social 2204. Effets immdiats et effets mdiats dans les cycles de mutuelle dpendance 2207. Elments de l'quilibre social 2060. Elite 2026 2031. Elite de gouvernement 2032. Equilibre statistique 2074. Equilibre. Etat d'quilibre 2068 2070. Forces 121.Histoire scientifique 21.58.
Dpenses de l'Etat 2269 2278.Science des finances 2273.
Drives et drivations. En gnral. Sous un autre nom
119,
162 (C dsigne rsidus et drivations, ou drives) : 165 (la thorie C est une drivation) ; 167, 169, 180 (adjonction de dveloppements logiques) ; 186, 189 (ramifications) ; 210, 216 (partie variable) ; 217 (interprtations) ; 218, 304, 305, 357, 408, 409 515, 574 796. Drivations indiques par () 798 867,1722. Drivations. En gnral. Sous leur nom Ch. IX, X, 868*, 1401 1403, 1688 1690, 1716, 1722, 2410. Drivations proprement dites et drivations-manifestations 1688, 1826. Influence des drivations. Les drivations ont
peu d'influence sur
les faits
XXII
TABLE ANALYTIQUE DES MATIERESsociaux, mais cette influence peut ne pas tre nuUe 167, 168*, 239, 356, 359, 360, 801*, 802, 1453, 1706
1710, 1755, 1843 1849, 2201, 2206, 2211, 2239, 2514 2520, 2553 et sv. Influence. Consquences de drivations 162, 168*, 171*, 826, 833. Influence. Les drivations ont de l'importance, moins par les consquences qu'on en tire que par les rsidus dont elles sont l'indice 177, 184, 218, 259, 800, 801, 1703, 1706 1710, 1800, 1859, 1867, 2081, 2520. Influence. Souvent nous nous imaginons que les drivations se sont transformes en rsidus, tandis qu'il est arriv le contraire 1747, 1751 1763. Influence. Composition des rsidus et des drivations 2087 2104. Influence. Souvent, au lieu d'tre la cause des actes, les drivations en sont la consquence ou bien elles sont, avec les actes, une consquence commune des rsidus 200, 298, 1414, 1416, 1507, 1590, 1619, 1628, 1689, 1761, 1844, 2085, 2086. Influence. Faible effet produit en modi;
non-logiques prennent la forme d'actions logiques 176, 180, 218*, 223, 304 367, 514, 694, 1233, 1297, 1415, 2206 et sv.actions
Influence des drivations sur les drivations 1766,1767. Voir Rfutations. Influence des drivations sur les rsidus 1746 1765, 2206 et sv.:
Nature des drives et des drivations. Presque tous les raisonnements dont on use en matire sociale sont desdrivations 367, 476, 486, 1397, 1403, 1499, 2147, 2199 et sv. Nature. Trs souvent, les drivations sont acceptes par accord de senti-
fiant les drivations,
pour changer
les
actions qui en sont apparemment la consquence 168*, 299, 356, 1415, 1416, 1843, 1844, 2086-2.Influence. -Pour agir sur les
ments, et parce qu'elles expriment d'une faon claire des conceptions qui taient l'tat confus dans l'esprit de qui les accepte ou bien parce qu'elles donnent une forme prcise, en apparence, aux sentiments manifests par les rsidus 437, 445, 491, 1747*, 2192 et sv. Nature. Plusieurs drivations peuvent appartenir un mme individu sans qu'il se rende compte des contradictions en lesquelles elles peuvent se trouver 184, 217, 1901, 1941 et sv. Nature. Comment les drivations s'ampUfient 196, 217, 649, 676 680,;
1398, 1639.
hommes,
il
faut que les raisonnements se transforment en sentiments 168, 877, 1449, 1463, 1746*, 2082. Influence. Un seul rsidu peut avoir un grand nombre de drivations. Si ce rsidu demeure, le fait de dtruire une drivation n'a d'autre effet que d'en faire surgir une autre, laquelle remplit la mme fonction que la premire 184, 195, 1416, 1843, 1844, 1851, 2004 2007, 2086*. Influence. Drivations multiples qui runissent un point de dpart (souvent des rsidus ou des intrts) un but 184, 195 197, 217, 1300, 1414*, 1416, 1504, 1507, 1590, 1619, 1628, 1705, 1716, 2004, 2086. Influence. Les drivations permettent de dmontrer tout ce qu'on veut 237, 491, 512, 587*, 670, 799, 873, 1416, 1450, 1474, 1504, 1542, 1573, 1590, 1619, 1628, 1716, 1816 1824, 2193, 2194, 2262, 2571. Influence. Grce, aux drivations, les
Nature. Propagation des drivations 2004 2008. Nature. L'homme a la tendance d'ajouter des
dveloppements logiques ou
pseudo-logiques des actions nonlogiques 180, 218, 223, 307, 514, Influence. 1690 2, 2086-4. Voir Grce aux drivations, les actions nonlogiques prennent la forme d'actions:
logiques.
Nature. Drivations non-concordanteset drivations contradictoires.les
Avec
drivations on peut prouver le pour et le contre 184, 587*, 873, 1416*, 1474, 1556, 1573, 1677, 1706 1710, 1716, 1737* 1739, 1800, 1819, 1941 et sv., 2086-4. Voir Influence. Les drivations permettent de dmontrer tout ce qu'on veut. Nature. Les drivations dpassent souvent la raUt 1772. Nature. Les drivations ne correspon dent pas prcisment aux rsidus:
dont elles proviennent 1767 et 1780 et sv., 2083.
sv.,
TABLE ANALYTIQUE DES MATIERKSNature. Priodes des drivations 1683 Ch. XI IL Voir: Priodes conomiqueset
XXIII
sociales.
851, 861, 1690, 2060* 2066, 2099* 2101. Elments. Action et raction des troistat psychique (rsidus) doctrines (drivations), actions 165*, 168, 217, 261, 267*, 293 295, 1218. 1322, 1690*. Voir: Privations, Rsi-
Nature. Les faits apparaissent comme voils par les drivations. Pour lesconnatre, il faut ter ces voiles 169, 253, 256, 259, 369, 466, 541, 545, 635 640, 1141, 1403*, 1498, 1522* 1529, 1555, 1684, 1713*, 1716, 1733, 1734, 1859, 1901, 2081, 2147 , 2174, 2181* 2189, 2192 2194, 2199 et sv., 2357 et sv., 2476, 2514, 2516, 2517, 2539 2541, 2560. Le
lments
:
dus, Actions.
Elimination d'une entit non-exprimentale ou indtermine 479, 480*, 1540, 1607*, 1608. Empirisme 1776* 1789, 2176, 2256,2397.
prsent ouvrage est principalement une recherche de la ralit cache sous les drivations que nous font connatre les documents. Dterminisme 132 134. Additions 132. Df-voir. Dans les propositions mtaphjsiques e* thologiques 299, 324, 336,' 338, 483, 518, 1580, 1589, 2147, 2411. Dans les propositions scientifiques 326*, 338. Divination 224, 225, 1457. Domestication des animaux 897 904.
EnsembleEntit.
social
2396 2411.1409.
Enthymme 1405
Entits juridiques 1501 1509. Entits non-exprimentales et entits exprimentales 470, 472 476. Entits surnaturelles 1533 1542.
Droit.Droit-fait et droit thorie 256, 466*.
Entrepreneurs 2231 et sv. Epargneurs 2228, 2232, 2234, 2312* Rentiers. 2318. Voir Equilibre soci.\l et quilibre conomique Ch. XII, 121 125, 1208 1219. Etat d'quilibre 2067 2078. Esclavage naturel 274, 1050. Esprit humain ou esprit d'une personne:
Droit naturel ou des gens 241, 401* 446, 453 463, 576, 965, 1689, 1778. Droit et morale 398 400. Droit sans sanction 1318 *. Thories juridiques 838 841, 2572. Droite raison 402 406, 409 417, 422*, 423 444, 457, 1513, 1540, 1546, 1563, 1605, 1606, 1630.Echelle des pnalits. Elle est rduite, de nos jours 1127.
abstraite 434, 493, 592, 594*, 595, 1798. Etrognit sociale et circulation entre les diffrentes parties 2025 2059, 2172. Voir Classes sociales ou castes (I-/n). EtvTnologie. Comment du nom d'une chose on croit pouvoir acqurir la connaissance de la chose 686, 687* 691, 1548. Voir : Langage, Origine et tymo:
logie.
Eucharistie 940 943. Evhmrisme ancien 347, 682* 684.
Economie. Economie applique 263, 1731, 1732,2014, 2207.
Evolution
No-vhmrisme 708* 711. 93, 276, 278, 343 345.
Elrreur de la considrer a priori
comme
Economistes classiques 2016.
unique 217*, 343*, 344*, 345, 346513, 576, 730, 737, 1018, 1534.
Economie logico-exprimentale 35* 37, 39, 76*, 99, 104, 110, 144, 159,
Explications.
Economie en
263, 824, 825, 1732, 2129, 2408, 2409. partie logico-exprimentale 35* 37, 50, 77*, 110, 117*, 118*, 144, 514% 1415, 1592, 1731, 1732, 1786, 2207 \ 2208, 2214. Economie nationale 2015.
Non
Logico-exprimentales 19, 533*, 534*. logico-exprimentales 19, 1398, 1400, 1430, 1641. Voir : Logique dessentiments.
Faits et leur usage ex sociologie 80,81*, 82.
Economie pure
35, 61, 263, 824, 825,
1690, 1731, 1732, 2107, 2207, 2208. Phnomne conomique 2010. Elments qui dterminent l'quilibre conomique et l'quilibre social Ch. XII,
Faits approchs.
Ils
servent obtenir
une moyenne 540, 2401*. Faits. Compositions littraires 544, 545. Faits. Au point de vue logico-expri-
XXIVmental,il
TAHLK ANALYTIQUE DES MATIHKESn'est pas question de les dis-
Gens et yvo 1023 1030.
tins^ucr en plus
ou moins en rapportla
avecFaits.
la
dignit deils
science 80*.li-
Comment
influent sur l'tatDrivations,
Gnose 1644 1650. Gouvernement. Types de gouvernements 2274 2278. L'art de gouvernerconsiste se servir des rsidus existants, plutt qu' vouloir les modifier 1832, 1843, 2247* 2249, 2255, 2435 et sv.,
d'esprit 108. Voir:sidiix.
Faits.
Il;
fautils
.aller
du connu
l'inle
connu
convient d'interprter:
2455
et sv.
pass au moyen du prsent, et viceversa. Voir Inlcrpriations. Faits ex sociologie. Interprtations 546 573. Nombre 537. Poids 538 545. Etudes qui excluent explicitement les faits 700*, 701.
Hglianisme 51, 111, 486, 1906, 2340. Histoire 2156 2169. Logico-exprimentale 139, 644* 649,1580, 2158, 2161*. Non-logico-exprimentale 649* 691, 776, 1570 1583, 1765, 2156, 2157, 2190 S 2539 2544, 2558 et sv.,
Etant donns certains faits, le problme ayant pour but d'en trouver la thorie n'a pas une solution unique 53, 67, 106, 107. Famille 254, 256, 1015 1031, 1037, 1146,1262.
2569.Histoires thologiques, mtaphysiques, thiques 257, 776, 1765, 2160, 2162, 2163, 2165 2167, 2355, 2.356, 2539, 2558, 2569, 2571, 2573, 2576, 2582.
Histoire
Fministes 1169. Fodalit ancienne et fodalit moderne 1153, 1154, 1714*. Fictions 229, 834 836. Fin 478, 972, 974, 1513, 2111 . La fin justifie les moyens 1823, 1824. Casuistique. Voir Les lins idales et leurs rapports avec les autres faits sociaux 1869 1896. Flagellation 1190 1204. Force et son emploi dans la socit 2170 2202. Force et consentement 2251, 2252, 2259. Gouvernants et l'emploi de la force 2147 ', 2178, 2185 2189, 2192. Gouverns et l'emploi de la force 2147'*, 2179, 2182 2189, 2193. L'action anarchique des gouverns supple l'emploi insuffisant de la force paries gouvernants 2180, 2609. Uniformits existant dans une socit, en rapport avec l'emploi de la force 2175. Forces. Ce qu'on entend par ce terme en conomie politique et en sociologie 121,:
Comment
vivante 663. on doit crire l'histoire:
1580. Interprtation des faits 258, 259. VoirInterprtations.
On ne peut140.
refaire l'histoire 137, ,139*,
Prodiges, dans l'histoire 258. Historique. Ecole historique 1790* 1792. Humanitarisme 6, 49, 52, 212, 1136 1141, 1638, 1716. Hypothse 59* 63. Hypothses exprimentales et hypothses non-exprimentales 52, 55, 56, 59*, 60* 63, 69*-4o.
P' 1793. Imitation 349, 733 763, 1117 1125, 1150, 2005. Impratif catgorique 615, 1463, 1514* 1521, 1998.Idologie de NapolonImplicites (parties). Les parties implicites des raisonnements non logico-exprimentaux en sont souvent la part la plus
importante 337, 595, 819* 822*, 1876,2083, 2147*, 2155, 2162, 2208, 2239.Indiffrence. C'est le contraire de la pitiet de la cruaut 1133.
124,
128,les
131.
Formespar par
Elles sont dtermines actions non-logiques plus que les drivations 360*, 770, 994, 1066, Drivations, 1684, 1761 1765. Voirsociales.:
Infrieurs et suprieurs 1221 1228. Instinct des combinaisons 157, 221. Voir
:
Rsidus.Intellectuels 970, 1779, 2229.
Socit.
Intrts 2009,
2146, 2205 2236, 2254,et sv.
Gnrations divines 926 928.
2299
et sv.
2420
TABLE ANALYTIQUE DES MATIKRESiNTF.nPnTATIONS.Diflicult d'interprter les
conceptions de peuples peu connus 469, Sl, 552, 694, 695. 907, 1641 , 1956 1971.faut aller
H
du connu
l'inconnule
:
il
1471, 1492, 1555, 1673, 171N' a 17h... 1772, 1782, 1996, 2022, 2086, 2147. 2188, 22*29. Loi naturelle 406*, 410, 428 444, 455 463.
pass an moyen du prsent, et vice- versa 548, 571, 57-2, 887, 1656, 2449 2454. Comment, de l'exprience, on peut tire r un critre pour estimer la probabilit des conclusions d'une mthode donne d'interprtations 544, 547*, 649, 665, 666* 670, 716, 717, 787 789. 1064, 110. 1641 -, 1660, 1662. Intuition 108 '.
convient
d'interprter
Lois (uniformits) exprimentales. Ce sont de simples uniformits contingentes elles ne sont pas ncessaires 52,;
69*-4", 69*-5, 96, 97*, 528, 976, 1068. 14*24, 1.531, 15.32, 1792. Par l'exprience (ici diffrente del'observation), on peut sparer les effets de certaines lois on ne peut le faire pour d'autres 100*. Les uniformits (lois) de la sociologie et de l'conomie, et celles de la chimie, de la physique, de l'astronomie, etc. sont semblables. La distinction que;
Jalousie des dieux 1986.
Journaux 1755 1760.Juste, injuste, moral, inmioral, etc. 69-60, 335, 965, 1210* 1219, 1486, 1513, 1551, 1616, 1645, 1995, 2190'. Justice immanente des choses 1953. Justice soumise la politique 466, 1716
^.
tablir est du mme genre, bien que moins raisonnable, que celle qu'on voulait faire entre les lois de la mcanique terrestre et celles de la mcanique cleste 97*, 1792.
certains veulent
Latifundia 2355, '2557. 2559.
Lgendes. Commentse
elles se forment et dveloppent 675 680, 915, 928, 1656* 1660, 1666 1677. Voir .4//^-
gories,
Drivalions.
Lgendes. Comment elles deviennent acceptables 657 et sv. Lgendes. Comment sparer la partie relle de la partie Imaginaire 672 674.
exceptions . Cedsigne seulement la superposition d'effets d'autres lois ceux de la loi que l'on considre 101*, 1689 **, 1792*. Voir [l-q). Lois (uniformits) non-logico-cxprimentales. Comment elles sont cres
Elles n'ont pas d'
nom
:
1429..
Lutte de classes
830, 1045.
Marxistes 309, 1045, 1416, 1859. 2006,2021.
Lgislation. Obstacles qu'on rencontre en voulant l'instituer 1863 1866. Sentiments qui la font accepter 1864,1867. Libre arbitre 97. Libert 298, '299, 1553, 1554, 1565. Libert de fait et libert de droit 2609. Libert de pense 2196. Liens non-logiques des thories 13, 328,337. 477, 479 et sv. Limite. Hypothse d'une limite des phnomnes sociaux 720 732, 831.
Matrialisme historique et matrialisme conomique 829, 830. 1727, '2238. Maximum d'utilit. D'un individu ou D'une collectivit 2121 21-27, 2131. Pour une collectivit 2131 2139. Maximum d'ophlimit pour une collectivit 2128 2130. Mesures pour atteindre un but 18*25 1875.
Mtaphore. Voir
:
Allgories, mtaphores.
Logique. Logique usuelle 29*, 42, 76*, 97*, 98,477, 514, 1782.
Mtaphysique.Entits mtaphysiques 103, 104, *257, 282, 332, 335', 336, 355, 471*, 477, 478, 497, 508, 510, 511, 579, 597, 598, 616, 928, 1510 1532, 1550, 1551, 1645.
1399,
1410,
1411,
1748,
Logique des sentiments 42, 45, 69-6,76*, 78, 80, 84, 109, 113, 118, 337, 338, 407, 408, 427, 437, 442, 471, 480, 490, 491, 513 516, 581, 586, 598, 636, 640, 802, 965, 972, 978 990, 1300 1302, 1315, 1316, 1397, 1416,
Essences mtaphysiques 19, 23. 24, 69, 97, 399, 400, 471*. Mtaphysique et thologie 19* 28, 49,111*," 435, 461, 477, 478, 490. .582.
XXVI
TABLE ANALYTIQUE DES MATIhESOphlimit 61, 119, 144 S 1690 \ 2409. Ondulations ou oscillations. Les phnomnes sociaux ont une forme ondule 724 726, 1680* 1683, 1694, 1702, 1715, 1718*, 1909, 2050, 2053 2059, 2221*, 2224 2229, 2291* 2294, 2552 (I-o). Voir Priodes conomiques et:
593, 594, 613, 776, 928, 974. 1066, 1299, 1429, 1469, 1673, 1674, 1798. Mthode historique 619, 857*, 858, 859.Il
ne faut pas
la
confondre avec;
la
'*
mthode exprimentale elle peut seu lement y conduire 619, 2018* 2020. Mthode mathmatique de Taine 1794,
1795. Miracles 49, 98, 610, 620 623, 952, 1438. Modernistes 309, 611, 773, 774, 1086, 1630, 1859. Voir Nochrliens. Morale 303-', 354 356, 365, 1893, 1932*, 1897 2001. Morale utiUtaire 1893, 1935. Rapport entre observer les rgles de la religion et de la morale, et obtenir le bonheur de l'individu 1897 2001. Mouvements rels 129, 483, 484 516, 1827, 1829, 1830, 1838 1862, 1975, 2262.:
sociales.
Oracles 1105. Organisation 2610 et sv.
Origine des phnomnes sociaux,
23, 93, 345, 540, 619, 661, 693, 885* 887,
1028, 1063, 1192, 1690 2*. Les recherches sur l'origine ont souvent t, sans que leurs auteurs s'en aperussent, des recherches sur les rsidus 885.
Mouvements
virtuels 130, 134, 135*, 136, 137, 483, 517, 1825 1875, 1975, 2262.arbitrai-
Origine de la religion, suivant Spencer 292, 704 711. Suivant Reinach 345. Suivant Tylor 694 699, 703.
Dans
le
totmisme 714.
Moyennes. EUes sont en partie
Origine et tymologie 346, 659, 686,779.
res. Phnomnes moyens 102* 104. Mutuelle dpendance 96, 99, 138, 254*, 255, 267, 1731, 1732*, 1767, 1861, 2023*, 2061, 2080, 2088* 2104, 2161, 2202, 2203, 2207, 2336 2338, 2397 2410, 2547, 2552, 2557. Voir Cycles de mutuelle dpendance. Mythes 650 660, 1868* 1875. Pour connatre l'quilibre social, il importe de savoir ce que les contemporains pensrent d'un mythe, plus que de connatre le rapport du mythe avec la raUt exprimentale 541*, 545. Mythes solaires 786 791, 793 796.:
Paix par le droit 1508, 1559, 1560. Palaephate 347, 661*. Pangermanistes 1297. Partis 1713, 2262 2264, 2268.Patriotisme 1041, 1042, 1146. Peine de mort 1637.
Pnates 1034. Priodes.
Des drivations 2324avec
et 2325. Oscillations des drivations, en rapportles oscillations sociales
2329
Nature 271 274, 282, 333, 336, 403 404, 410 417, 419, 428, 429, 431, 434, 435,443, 447, 448, 451, 456, 459, 1513, 1521, 1546, 1600, 1602*, 1606. Nazirat 1205. Nfastes. Jours nfastes 908, 909.
2395. Priodes conomiques et priodes soOndulaciales 2279 2328. Voir:
tions.
No-chrtiens 43, 69-2, 309, 336, 431, 570, 581, 592, 602, 626 630, 777, 925, 1859, 1917. Voir Auto-observation. Nombres parfaits 960* 964, 1645. Nominalisme et ralisme 64*, 65, 1651*, 1652, 2368*, 2373.:
Perscutions, rfutations 1749 1753, 1835 1853. Perscutions religieuses 1297* 1319. Persistance des agrgats. Sous un autre nom 157, 172 (l'tat dsign par A) 220, 221, 226, 227, 241. Sous son nom. Voir:
Objectif et subjectif
23, 94, 95*, 149 151, 368, 494, 777, 778, 994, 1467, 1577, 1581, 1586, 1689*, 1765, 1913 1918, 1930 et sv., 2168 2169. Existence objective 1689.
Rsidus. Personnification 995 999, 1468. Persuader 516, 598, 600, 603, 614, 765, 802, 1397, 1425, 1689, 1716, 1749 1760, 1772, 1800, 2159, 2438. Motifs intrieurs de persuasion 581. Persuader, dans les sciences logico-exprimentales 42, 78*, 108. Persuader, dans les sciences non logicoexprimentales 42, 67, 76, 78*, 108,
TABLE ANALYTIQUE DES MATIERES12, 513, 586. Voir Logique des sentiments.
XXVII
Peuple.Peuples conservateurs 173 178, 226,1721,1722.
Proprit du systme social 2105 2110. Prosprit 2106 2110. ProtecUon 2208 2226, 2236. Purifications 1229 1295.Quantitatif et qualitatif 108, 144*, 163, 2155, 2279 et sv., 2467 et sv. (II-O-
Peuples fonnaUstes 173 178, 220, 223, 224, 226* 247, 1721, 1722, 2089. Peuples qui changent la forme et le fond 172, 173, 221, 224, 226*. 230, 232, 236, 239, 240, 241*, 243, 1721,1722.
Races infrieures et races suprieures 1049* 1051. Rapport entre le fait d'observer les rglesdela religion et
Peuples qui conservent forme 22G. Volont populaire 1695 ^. Physiocrates 447*, 448.
le
fond et
la
de
la
pour un indi\idu, de:
morale, et le fait, raliser son bon-
Ploutocratie 1152. 1755, 1760, Ch. XIII. Politique 242, 1786, 1787, 2238, 2239. Pratique et thorie 469, 604, 1783 1790, 2008. Prcepte 321* 333, 1480 1497, 1913 1919. Prsages 924, 925. Prescriptions. Les prescriptions morales
heur. Voir Morale. Ralisme. Voir Nominalisme et ralisme. Rfutations 1748 1752, 1834, 1835. Rgime poUtique 2237 2278. Renaissance 2384, 2529 et sv. Religion 69, 374 396, 464, 465, 697*, 1799, 1854*, 1857, 1932*, 2001, 2532:
et sv.
ReUgion
oula
religieuseslettre
ne peuvent tre suivies 1797 1824. Voir Casuis:
tique.
Principe goste concili avec le principe altruiste 1487 1493. Principes dans les sciences logico-exprimentales et dans les sciences non logico-exprimentales 4, 54* 56, 58*, 63, 64, 67, 90, 642*. Probabilit 97, 540, 554* 573. Voir :Interprtations.
et thologie 49, 165*, 166, 167, 974, 1066*, 1767, 2337. ReUgion, Morale, Droit 368, 369, 371, 373, 374, 464, 1883, 2001, 2571, 2572. Religion et culte 165* 167, 174, 288, 361, 365, 1128, 1747, 1832, 1854, 1855. Religion. Sa valeur sociale dpend peu ou point de sa thologie 309, 365, 765, 1767, 1850 1855. Voir Dri:
vations.
Prodiges 924 926, 1285 1287. Production des mtaux prcieux 2284 2292, 2295 2297. Propagation des drivations 2004 2008. Prophties et prophtes 620 623, 652, 1101 1103, 1579. Proportion des rsidus de la I' classe et de ceux de la II , chez les gouvernants et chez les gouverns 2048 2050, 2057, 2209, 2221, 2227 2229, 2232, 2254, 2268, 2274, 2300, 2311, 2324, 2326, 2351, 2354, 2359 2367, 2375, Ch. XIII,
Religions, morales, droits, etc. pratiques religions, morales, droits, etc. thoriques 373 376, 464, 465. Religions sans tres surnaturels 377 ;
379, 394, 395, 611, 1510, 1702, 1917. Religio (Persistance des agrgats) 236
238, 243. Religion des cits grecques et des romaines 1031 1036. Ch. I, III,
Religions et mtaphysiques diverses. Dmocratiques 212, 304, 585, 928,935*, 936, 1077, 1426, 1511, 1513, 1695 S 1712, 1713, 1715, 1859, 1891, 2187, 2326, 2473. De l'hygine, de la Mdecine. Phobie du 'microbe 1156, 1440*, 1695, 1697*, 1974, 2154 . Nationalistes 45, 1702 1704, 2255. Pacifistes 45, 1078, 1079, 1704* 1711, 1818, 1891, 2193, 2324, 2470. Positivistes 6, 45, 112, 288, 616, 1536, 1537, 1702, 2005. Du Progrs 301, 611, 933*, 1077, 1102, 1156, 1426, 1463, 1511, 1708, 1712,
2457* et sv. Propositions.Propositions contradictoires. Dans la logique des sentiments, elles peuvent subsister ensemble 1416, 2086. Voir :Drivations, Logique des sentiments. Propositions descriptives 523, 525. Propositions qui affirment une unifor-
mit exprimentale 523, 526 535. Voir Lois {uniformits).:
XXVIII
TABLK ANALYTIQUK DKS MATIRESsocit 1723, 1724, 1733, 1734, 1853, 2199, 2300 et sv., 2364, 2365, 2418 et sv., 2521* et sv., Ch. XIII. Voir :
1890*, 1891, 1896, 1935, 2001, 2072 \ 2147, 2213, 2394, 2470. De la Raison 45, 265, 300* 304, 1540, 1783, 1889, 1935, 2001, 2016, 2143, 2393. De la Science 45, 353, 354 356, 452 x 454, 973, 1127, 1217, 1513, 1695, 1697. 1698, 1881, 1891, 1935, 1974, 2016, 2143, 2473. Sexuelle 207 210, 366, 607, 608, 618, 911, 1010, 1011*, 1012, 1047, 1048, 1102, 1127, 1178, 1297, 1326*, 1330 1396, 1715, 1717, 1757, 1818, 1819, 1844, 1861 S 1862, 1994,2050, 2522. Socialiste 1073, 1081, 1701, 1711, 1712. 1858. De la Solidarit 418, 449* 451, 479, 611, 1511, 1513. Humanitaire 45, 302, 303, 353, 379, 585, 609, 611, 1047, 1080, 1087, 1102, 1156, 1301, 1426, 1511, 1513, 1701, 1711, 1712, 1716, 1847, 1848, 1859*, 1890, 1891, 2186, 2213, 2324, 2473.
Classes sociales ou castes. Rsidus et drivations en rapport avec l'utilit 2140 2147. Voir Driva:
tions.
Vrit
et
utilit.
Rsidus non-concordants et leurs drivations 1132, 1737 1739, 1937, 1943, 1944. Voir Drivations.:
Rsidus, sous un autre nom 119, 151, 160*, 162, 169, 189 (un tronc), 210 ' (partie constante), 217 (noyau), 218, 307, 308, 407, 409 et sv., 574 et sv., 798 et sv. (sous le nom de (a). Rsidus sous leur nom. Ch. VI, VII, VIII, 868*, 869 1396, 1401, 1402, 1690, 1691, 2080, 2410. Rveil au Pays de Galles 1098, 1102, 1107, 1112. Ruse et force 2190, 2191, 2274 2278, 2320.
Voir
:
Humanitarisme.2235,
Sanction 329 331, 1478 1497.
De
la Vrit 304, 1890, 1891.
Schamanisme 1095, 1096, 1100.2315 Science mtaphysique 19* 21. Science logico-cxprimentale 16, 20, 21. Voir Thories, Mtaphysique. Index II: Thories logico-exprimentales et tho:
Rentiers 2317.
2313*,
2314,
Rsidus. Voir Drivations, Priodes conomiques et sociales. Gouvernement,:
Classes sociales ou castes. Composition des rsidus et des drivations 2087 2104. Ils changent lentement 1701, 1702, 1712 1718*, 1719, 1720. Ils ne sont pas seulement les effets ou les causes des faits 1014. Influence des rsidus correspondant un mme ensemble de sentiments 1240 1745.
ries
non logico-exprimentales.
Sectes 1047*, 1048.Sociabilit et subordination 1713. Socit. Voir Systme social. Cristallisation de la socit 2607 et sv. Elments 2060 2066, 2146*. Etats ftichiste, thologique, mtaphysique de A. Comte 1536. Mobilit de la socit 2235, 2236. Stabilit de la socit 2176, 2194 2196,
Influence des rsidus sur les rsidus 1736. Intensit 1691, 1703, 1711. Rapports des rsidus et des drivations avec les autres faits sociaux 1690 2, 1768 1772, 1787, 1841, 1843, 1916, 2191, 2221 et sv., 2339* et Drivations. sv. Voir Rapports entre les rsidus et les condi lions de la vie 1725 1734, 2339 et sv., 2390. Rpartition et changements des rsidus dans l'ensemble d'une socit 1695 1772, 2191, 2229, 2390 et sv., 2415:
2235, 2236.
Sociologie
1,
2.
Sociologie logico-exprimentale 50, 68*, 69*, 79, 80 83, 85 89, 99, 110, 144, 263, 277, 396, 2161, 2201, 2410.
L'tude de la sociologie laquelle nous procdons ici est exclusivement logico-exprimentale. Voir Index II:
Thories logico-exprimentales, et thories non logico-exprimentales 5, 17, 20, 21, 27, 28, 29*, 32, 65, 68*, 69*, 71, 79* 89, 110, 114, 119*, 144, 370,388, 396, 486, 496, 642, 723, 2410. Sociologie en partie au moins non logico-exprimentale 6, 50, 75*, 76*,80, 84, 93, 110, 277, 291*, 292, 476,
et sv.
Rpartition et changements des rsidus dans les diffrentes couches d'une
486, 522, 642, 849, 2229, 2411.
TAH1.1-;^oli(l:irit
ANALVligUt DhS MAiihHh.^
XXIX
49, 854, 905, 1497, 1503. 1557*. 1562, 1563, 1631, 1988. Voir:
Keligioh.
Sophisme de rpartition 1495*, 1496.Sorile 1550, 1551. Spcification 805 814.
Spculateurs Ch. XII, XI il, 1498, 2187, 2254, 2262, 2313. 2480. 2548 2.550. 2561. 2565. 2593 2596. Stylites 1187 1199. Superstition 265, 301, 1127, 1242, 1890. 1987. Voir Religion, Actions non:
Entits exprimentales 13, 327, 47o. 475. Elments. Entits non-exprimenlales 13, 307 311, 319 352, 4.V2. 470*, 474, 476,478,485,486. 1645. pseudo-expriEntits Elments. mentales 13, 471*.Thories. Aspect objectif 13, 304, 541,
iogiques.
Drivations.
Survivances 174, 1001* 1009.
T.\Bou 321* 323, 581, 712, 1122, 1125,1241, 1280, 1326*. 1427. 1481 1484, 1558.
Du
tabac chez
les
Wahabites 1123*,
1124.
Taurobole 1292. Tautologies et raisonnements en cercles 592, 593, 605*, 1471, 1556, 1562, 1563, 1904 1912. Temptes. Rsidus et drivations dans la croyance suivant laquelle on peut, par certains artifices, provoquer ou loigner les temptes 186 et sv. Thologies 334, 336, 974. Voir Reli:
855, 994. Thories. Aspect subjectif 13, 304, 541, 855, 994. Thories acceptes pour des motifs autres que leur valeur logico-exprimentale 516, 581, 586, 597, Logique des 598, 815, 1747. Voir sentiments. Vrit et utilit. Priodes conomiques et sociales. Thories des peuples sauvages imagines avec nos conceptions 698. 699. Thories et raisonnements non lo:
gico-exprimentaux. Voir Index II, Ch. IV. Thories pseudo-scientifiques 479*, 485, 486, 489 511, 521, 581, 599, 643, 821 823, 1276*, 1278, 1279. 1481 1497, 2271 2273, 2337. Ch. V. Vrit exprimentale des thories 568,:
gion.
16452.
Entits thologiques 332 334. Thologies en regard de l'emploi de la force 2147 exemple II, 2173.
Thrapeutes 1185. Totmisme 712*, 713 719, 793, 794, 903 907, 937, 939, 940, 1191 1195, 1277.Transgressionsdes rgles d'uniformit matrielle et de celles d'uniformits in-
Thories. Voir
:
Inde.x II.
Commentcas,
il
arrive qu'en deles les
nombreuxles
dans
matires sociales,
tellectuelles 2176.
raisonnements non logico-exprimentaux conduisent peu prs aux mmes rsultats que les raisonnements logico-exprimentaux 1768* 1796. Voir Pratique et thorie. Empirisme.thories et:
Utilit. Diffrentes espces d'utilits 439, 2111 2119, 2271. Utilit complexe 2120. Utilit des doctrines. Elle varie suivantles
diffrentes
classes
sociales
246,
Comment
logico-exprimentales se substituent aux sciences non logico-exprimentales, et vice-versa 58*, 64*. 68, 109, 615* 618. Voir Ondulations, Priodes conomiques etles sciences:
247, 299-4*.Utilit et Vrit. Voir:
Mrit et Utilit.
Utopies 2145.
priodes sociales. Drivations.
Dcomposition des thoriesl'ne thorie (c) se
6, 35,
636*.
dcompose en deux
Valeur 38*, 62, 118, 1592, 2022*. Vbit. Voir Index II. Vrit exprimentale et vrit nonexprimentale. Leurs critres 14, 16,:
parties (a) et (b) 798*. 799 867. \'oir : Drivations.
18, 26*,
28, 69, 380, 570, 1567,
1578.Vrit. Sens divers
479, 519. 524, 803. 824. 826, 841, 2274 2278. Elments et liens des thories. Elments. Entits non-exprimentales
Thories scientifiques
de ce mot
9, 10,
1
4,
16, 69, 376, 433, 435, 440, 441, 541,
570, 721, 1242, 1451, 1561*. 1564* 1568, 1570 1572, 1575, 1578*, 1579,
XXX1852, 1890,
TABLE ANALYTIQUE DES MATIERES1891,2340.
Additions
69
.
1932*, 2435.Vrit.vrit,
2002*,laisse
2339 2341, 2395,la* 1'
Le \Tal 1513, 1601. Vrit exprimentale confondue l'utilit 49, 72*, 73*, 440, 441.
On
libert
de
la
avec
non
celle
de
erreur
570,
Vrit exprimentale spare de l'utilit 14, 78, 86*, 167, 171, 219, 249-3, 308, 311, 312, 354, 445, 568, 579, 598, 615 618, 843, 965, 1226, 1645 2, 1679* 1683, 1896, 1897 et sv..
Vrit.
1564*, 1566. Pour estimer vraie exprimentalement une thorie, i- est presque ncessaire qu'on puisse la discuter librement 568.
TABLK DES AUTEURS ET DES OUVRAGES CITS
Les chiffres arabes dsignent les paragraphes. Pour les livres modernes, on a indiqu, lorsque cela a t possible, les traductions franaises ou italiennes. Dans (Divus). les citations, les noms des saints sont uniformment prcds de la lettre Les chiffres italiques entre parenthses indiquent l'anne de l'dition >.
D
Abl.\rd. Ou\Tages indits d'AnLARD pour servir l'histoire de la philosophie scolastique en France, publis par M. Victor Covsix. Paris, Imprimerieroyale {1836)
Di\i
Anselmi opra
1366,
1803*,
2368.
Epigrammatum AnthologiaDidot.Parisiis
Palatina...239*,
1651'.ct
587*, 927*, 1184*, 1339*, 1343, 1367, 1594.
{1864)
AcTA PoxTiFiciACongregationum.
Dccrcta SS. RR. Romana mensualis
Anthologia veterum latinorum epigram-
ephemeris. Romae, October {1907)
matummanni
et
1630^
-
Secundi... 1292*.
pomatum... cura Ptri BurAmstelaedami {1759)la
AcTUs Apostolorum
952.
Antoine. Syntaxe de
langue
latine.
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sive
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.Vfin de ne pas allonger outr>' mesure, on n'a pas indiqu les ditions lorsqu'il s'agissait d'anteurs trs connus, ou bien lorsqu'on en a utilis plusieurs. Pour faciliter le lecteur et pour qu'en de nombreux cas il puisse utiliser l'dition qu'il a sous la main, on a indiqu, dans les citations, les chapitres et les paragraphes, qui sont les mmes dans les diffrentes ditions, et souvent aussi les pages de plusieurs ditions.
XXXII572, 919, 2348.
TABLE DES AUTEURS ET DES OUVRAGES CITES124G\1266,1927>,
2345'.
tici
Aristotelis opra omnia. Barthlmy Saint-Hilaire
cardinalis Baronius,
ab anno MCXCVIII, ubi desinit auctore Odorico
Traduction
270, 271. 272, 274, 275, 276, 278, 313', 410, 411,
-
198', 1187, 1200, 1201, 1810', 2381. Barras. Mmoires. Paris (1895) 2169.
Raynaldo, Lucae
-
431, 469, 474, 475, 490, 491, 492, 497, .501, 507, 509, 522, 648S 960, 1408, 1552, 1604, 1645=, 1690^ 2110', 2330%
Barthlmy Saint-Hilaire. PhysiqueBartolommico.d'Aristote. Paris (1862) 1604^ Gli ammaestramenti degli antichi, raccolti e volgarizzati da
-
2330S 2345, 2494, 2497', 2509, 251 IS2512-, 2562'.
Arnobii
Afri
disputationum
adversus
223', gentes. Orellius. Lipsiae (1816) 684', 926', 927S 942', 1339% 1343'.
-
Arriani quae exstant omnia1323, 1645% 2440'.
1255^,
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Basilii
Caesareae
Artemidori
oneirocritica. Lipsiae {1805)
ra.
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Penses diverses
un docteur de Sorbonne l'occasion de la Comte qui parut au mois de dcembre 1680. Quatrime dition (1704) Commentaire philocrites
928% 963, 1004', 1184% 1246', 1289', 1289% 1325% 1339% 1343', 1367', 1368, 1374, 1382% 1438, 1470% 1521% 1541, 1564, 1575 1577, 1600, 1602% 1623, 1624, 1627% 1662, 1664% 1803, 1995% AuLARD. Histoire politique de la Rvolution franaise (1901). Taine historien de la Rvolution franaise (1907) - 538% 723, 1749% 2180% Sexti Aurelii Victoris historia romana.
sophique
sur
ces
paroles
Christ: Contrain-les d'entrer,
de Jsusou Trait
de la Tolrance universelle. Rotterdam (1713) - 358 362, 365, 366, 679, 716%939,
1356% 1393, 1415, 1471% 1564% 1575% 1639, 1737, 1821, 1944% 1948%
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1280, 1327, 1382, 1426, 1457, 1482, 1501, 1502, 1650, 1926, 1943, 1070, 1629, 2330. 1980, 1995,1277,
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Paris Essai d'une philosophie de la solidarit. Confrences et discussions prsides par M. M