JOURNÉE ANNUELLE DE LA RECHERCHE
CLINIQUE ET DE L’ÉVALUATON DE LA QUALITÉ DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
DÉPARTEMENT DE MÉDECINE DE FAMILLE ET DE MÉDECINE D’URGENCE FACULTÉ DE MÉDECINE ET DES SCIENCES DE LA SANTÉ
UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE
AMPHITHÉÂTRE FM-6214
UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE
30 MAI 2014
REMERCIEMENTS
LE DÉPARTEMENT DE MÉDECINE DE FAMILLE ET DE MÉDECINE
D’URGENCE TIENT À REMERCIER LES MEMBRES DU JURY POUR LEUR
PARTICIPATION :
Pre Catherine Hudon, UMF Chicoutimi
Pr Alain Vanasse, UMF Estrie
Guy Bertin Tcheumi, R2, UMF Chicoutimi
Marjolaine Talbot-Lemaire, R2 UMF Moncton
JOURNÉE ANNUELLE DE LA RECHERCHE CLINIQUE
ÉVALUATION DES PRÉSENTATIONS
PROJET DE RECHERCHE
PRÉSENTATION NO :
TITRE :
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1. Qualité du résumé 1 … 3 … 5 /5
2. Question de recherche ou objectifs bien définis 1 … 3 … 5 /5
3. Justification pertinente pour la médecine familiale
1 … 3 … 5 /5
4.
Méthodologie appropriée
4.1 Dispositif de recherche approprié 4.2 Échantillon adéquat (taille de l’échantillon, recrutement, représentativité, saturation…) 4.3 Collecte des données appropriée (qualité des mesures, source d’information, complet…) 4.4 Plan d’analyses adéquat
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5.
6.
Présentation des résultats
Éthiques (approbation s’il y a lieu, respects des principes d’éthique de la recherche)
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7. Discussion 2 … 6 … 10 /10
8. Conclusion qui répond à la question et qui est congruente avec la méthode
1 … 3 … 5 /5
9. Qualité de la présentation (compréhensibilité, utilité du support visuel, respect du temps)
1 … 3 … 5 /5
10. Qualité des réponses aux questions 1 … 3 … 5 /5
11. Originalité 1 … 3 … 5 /5
12. Implication des résidents (contribution relative des résidents, reconnaissance de contributions antérieures, degré de difficulté, autonomie, apprentissage, etc.)
2 … 6 … 10 /10
TOTAL :
/85
Commentaires :
Initiales :
JOURNÉE ANNUELLE DE LA RECHERCHE CLINIQUE
ÉVALUATION DES PRÉSENTATIONS
ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
PRÉSENTATION NO : TITRE :
Faib
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gé)
1. Qualité du résumé 1 … 3 … 5 /5
2. Question de recherche ou objectifs bien définis 1 … 3 … 5 /5
3.
4.
Méthodologie appropriée
Échantillon adéquat (recrutement, taille de
l’échantillon, représentativité, etc.)
1
1
…
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3
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…
5
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5. Pertinence des critères
(ex : inclusion/exclusion, conformité/non-conformité)
1 … 3 … 5 /5
6. Présentation des résultats 1 … 3 … 5 /5
7. Discussion 1 … 3 … 5 /5
8. Retombées du projet : (recommandations vs
évaluation des changements de pratique)
2 … 6 … 10 /10
9. Qualité de la présentation (compréhensibilité,
utilité du support visuel, respect du temps)
1 … 3 … 5 /5
10. Qualité des réponses aux questions 1 … 3 … 5 /5
11. Originalité 1 … 3 … 5 /5
12. Implication des résidents (contribution relative des
résidents, reconnaissance de contributions
antérieures, degré de difficulté, autonomie,
apprentissage, etc.)
2 … 6 … 10 /10
TOTAL :
/70
Commentaires :
Initiales :
JOURNÉE ANNUELLE DE LA RECHERCHE CLINIQUE
ÉVALUATION DES PRÉSENTATIONS
AFFICHES
PRÉSENTATION NO : TITRE :
Faib
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Dan
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Exce
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nel
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sult
ats
(usa
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déc
imal
es
enco
ura
gé)
1. Qualité du résumé 1 … 3 … 5 /5
2. Question de recherche ou objectifs bien définis 1 … 3 … 5 /5
3.
4.
Méthodologie appropriée
Échantillon adéquat (recrutement, taille de l’échantillon,
représentativité, etc.)
1
1
…
…
3
3
…
…
5
5
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5. Pertinence des critères
(ex : inclusion/exclusion, conformité/non-conformité)
1 … 3 … 5 /5
6. Présentation des résultats 1 … 3 … 5 /5
7. Discussion 1 … 3 … 5 /5
8. Retombées du projet : (recommandations vs évaluation
des changements de pratique)
2 … 6 … 10 /10
9. Qualité de la présentation (compréhensibilité,
utilité du support visuel, respect du temps)
1 … 3 … 5 /5
Qualité des réponses aux questions
Originalité
1 … 3 … 5 /5
1 … 3 … 5 /5
10. Implication des résidents (degré de difficulté,
autonomie, apprentissage, etc.)
2 … 6 … 10 /10
TOTAL : /70
Commentaires :
Initiales :
JOURNÉE ANNUELLE DE LA
RECHERCHE CLINIQUE
VENDREDI 30 MAI 2014
RÉSUMÉ
DES
PRÉSENTATIONS
TI TRE 1 Le désintérêt des résidents en médecine de famille pour le suivi à domicile
PRÉSEN TATEU RS Rébecca Arseneau et Charles-Olivier Audet
AU TEURS Rébecca Arseneau et Charles-Olivier Audet
SU PERVI SEU RS Pre Isabelle Gaboury et Pr François Aubry
UMF Estrie
Objectifs
Notre étude vise à identifier les causes relatives à la formation et à la pratique des résidents en médecine de famille qui
peuvent expliquer le désintérêt pour le soin à domicile.
Méthode
Nous avons réalisé des entrevues avec 10 résidents en médecine de famille d’une UMF du Québec. Nous avons suivi un
devis qualitatif. La structure thématique de l’entrevue se déployait autour de trois objets centraux : 1) la perception du
suivi à domicile et l’intérêt des résidents pour cette pratique, 2) les causes formatives et 3) les causes relatives à la
pratique médicale et l’organisation du travail expliquant l’intérêt ou le désintérêt pour le suivi.
Résultats
Nos résultats montrent une perte brutale de l’intérêt pour le suivi à domicile chez les résidents consécutivement à la
première expérience du suivi. Le désintérêt provient de deux causes majeures. La première est la difficulté pour les
résidents de respecter le principe de soins centrés sur le patient. La seconde est le fait de devoir gérer trop de tâches
jugées de gestion ou propres au rôle de l’infirmière, conduisant à un sentiment d’inefficacité à réaliser des actes
médicaux utiles pour les patients.
Conclusion
Nos résultats suggèrent qu’une piste à explorer pour accroitre l’intérêt des résidents pour le suivi à domicile est le
développement d’une collaboration interprofessionnelle entre les différents professionnels dans le contexte domiciliaire
de la personne, soit le médecin, l’infirmière, le gestionnaire de cas, etc. pour permettre une meilleure centration des
pratiques médicales.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 2 L’application du score de WATUR pour évaluer l’indication des uroscans à
l’urgence de l’hôpital Charles-LeMoyne : une étude rétrospective
PRÉSEN TATEU RS Dre Lysanne Bellefeuille et Dre Isabelle Casgrain
AU TEURS Dr David Bacon, Dre Lysanne Bellefeuille, Dre Isabelle Casgrain, Dre Jodiane
Lapointe-Girard
SU PERVI SEU RS Pr Laurent Vanier
Urgence Charles-LeMoyne
Objectifs
Comme la plupart des urolithiases sont excrétées spontanément et que le nombre de diagnostics alternatifs urgents découverts à l’uroscan est faible, nous nous sommes questionnés sur la pertinence d’effectuer cet examen chez tous les patients avec symptômes compatibles avec un diagnostic d’urolithiase. Dans un souci d’ordre économique, de meilleure gestion des ressources ainsi que de diminution des doses d’irradiation, nous avons voulu évaluer l’applicabilité du score de WATUR (White count, Abdominal pain Temperature, Urine Red cells). Celui-ci permettrait de réduire le nombre d’uroscans chez les patients avec des signes fortement suggestifs de colique néphrétique.
Méthode
Nous avons mené une étude rétrospective sur des patients qui avaient consulté à l’urgence de l’Hôpital Charles LeMoyne en 2012 et qui avaient subi une TDM abdominale sans injection de produit de contraste pour évaluer la possibilité d’urolithias. Leur score de WATUR a été déterminé et nous avons tenté d’établir un lien entre celui-ci et la possibilité de diagnostic urgent.
Résultats
Sur les 200 patients (hommes : 55 %; âge moyen 49 ans), 44 (22 %) ont obtenu un diagnostic urgent. La sensibilité et la spécificité du score de WATUR étaient respectivement de 34.1 % et84.0 % pour un score de supérieur ou égale à 2. Des analyses par sous-groupes selon l’âge, les antécédents de lithiases des résultats similaires non contributifs.
Conclusion
Le score de WATUR ne permettait pas d’identifier de façon efficace les patients ayant un risque plus élevé de diagnostic urgent à l’Hôpital Charles LeMoyne.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 3 L’intubation endotrachéale digitale avec bougie
PRÉSEN TATEU RS Anne-Marie Aubin & Simon Gaudreault
AU TEURS Anne-Marie Aubin, Simon Gaudreault, Laurence Perreault, Joey Veilleux
SU PERVI SEU RS Pr Sébastien Lefebvre, Pr Julien Bouchard, Pr Tarek Bouhali
UMF Chicoutimi
Objectifs
Évaluer le taux et le temps de succès de la technique de l’intubation digitale avec bougie
Déterminer si une courte formation est suffisante pour l’apprentissage de celle-ci
Encourager l’utilisation future de cette technique dans les situations où les techniques standard ont échoué
Méthode Revue littérature structurée : PubMed, DynaMed & livres référence
Devis : étude observationnelle
Population visée : médecins, résidents et externes travaillant à l’urgence au CSSS de Chicoutimi
Période : 6 septembre 2013 – 8 octobre 2013
Expérimentation en 3 parties : o Visionnement d’un vidéo de formation standardisé o Pratique de la technique sur mannequins puis évaluation de la réussite/échec
3 mannequins différents/participant ; 1 essai/mannequin ; 45 s/essai o Gradation de l’appréciation de la formation par les participants
Données compilées sur grille préalablement validée
o Compilation avec logiciel SPSS ; analyse descriptive
Résultats 51 participants (taux participation : 37,5 %)
Taux de succès : 68,3 % (99 intubations endotrachéales/145 essais) o 89 % de succès sur au moins 1/3 essai
Temps moyen de succès : 28,5 s (20,4-36,6 s)
Satisfaction globale de la formation : 88,5 % o 8,8/10 pour la durée et 8,9/10 pour le contenu
Utilisation ultérieure considérée chez 80,4 % des participants et (93,3 % des médecins d’urgence)
Conclusion Taux de succès intéressant pour technique alternative d’intubation
Réalisée dans délais acceptables (28,9 s)
Devrait faire partie de l’arsenal de tout médecin d’urgence
Courte formation standardisée suffisante pour l’apprentissage
Impact réel sur formation médicale au CSSS de Chicoutimi
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 4 Efficacité d'une ordonnance collective pour le traitement de l'asthme
PRÉSEN TATEU RS Nicole Desforges
AU TEURS Nicole Desforges R2, Chantal Ferré R3, Christine Robin R3
SU PERVI SEU RS Pr Jean-François Deshaies
Urgence Sherbrooke
Objectifs
Évaluer si la mise en place d’une ordonnance collective pour le traitement de l’asthme diminue les durées de séjour à l’urgence chez les patients non admis. Secondairement, nous évaluerons le temps avant l’amélioration, le besoin d’hospitalisation et les revisites à l’urgence.
Méthode
Une étude des dossiers pré et post mise en place de l’ordonnance collective sera faite avec 50 % de part et d’autre. À noter que l’ordonnance collective est en processus d’approbation et celle-ci est indépendante au projet de recherche.
Résultats
Nous anticipons démontrer une diminution de la durée de séjour et du temps avant amélioration.
Conclusion
Le temps passé dans la salle d’attente ou sur civière en attente de voir un médecin est de plus en plus long et il est pour l’instant difficile d’y voir une solution à court terme. Sachant que le délai pour recevoir un corticostéroïde plus court peut influencer sur l’évolution de la crise et diminuer les taux d’hospitalisation, il apparaît important d’essayer de raccourcir ce temps. La période d’attente avant de voir le médecin est la variable la plus longue et donc si nous pouvons intervenir dans cette fenêtre, les gains seraient encore plus appréciables. Comme ce sont les gens les moins malades qui attendent le plus longtemps, c’est probablement dans cette clientèle que l’ordonnance collective pourrait faire une différence.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 5 La « SUPER » pilule : prescrire ou ne pas prescrire l’exercice ?
PRÉSEN TATEU RS Edith Couturier, Natacha Dion, Vanessa Girouard, Jessy Phillips
AU TEURS Edith Couturier, Natacha Dion Vanessa Girouard, Jessy Phillips
SU PERVI SEU RS Pr André Barrieau, Pr Mathieu Bélanger, Mme Cécile Howard
UMF du Grand Moncton
Objectifs
Des études démontrent que même si la plupart des médecins reconnaissent que l’exercice physique (EP) est associé à plusieurs bienfaits thérapeutiques, peu de médecins en prescrivent. Le but était donc d’identifier des moyens d’inclure la prescription régulière de l’exercice physique dans la pratique en médecine de famille.
Méthode
Cette étude à devis mixte a permis de contraster les expériences et perceptions de médecins qui utilisent couramment la prescription écrite de l’EP comme option thérapeutique à celles de médecins qui ne l’utilisent pas. Tous les médecins francophones du Nouveau-Brunswick ont été invités à remplir un questionnaire en ligne pour mesurer leurs habitudes de prescriptions d’EP. De ces questionnaires, des médecins en phase pré-contemplation et d’autres en phase action, ont été identifiés et invités à passer une entrevue semi-dirigée. Une analyse thématique des verbatim a permis d’identifier des facteurs associés à chaque groupe ainsi que des solutions pour favoriser l’utilisation de la prescription d’EP.
Résultats
Les principaux thèmes associés à la prescription d’EP dans les groupes action et pré-contemplation ont été les suivants : barrières, solutions, avantages, population visée et comportement des médecins. Dans les deux groupes, le facteur temps ne semblait pas être une barrière significative. Certains médecins du groupe action ont adopté des méthodes qui facilitent la prescription écrite d’EP. Tous les médecins du groupe action et la majorité de ceux en pré-contemplation, perçoivent les avantages que pourrait avoir cette pratique.
Conclusion
Des facteurs tels que l’utilisation d’une prescription standardisée, pouvant être rapidement remplie de façon personnalisée selon le patient, affiche et promotion auprès des médecins pourraient faciliter l’adoption d’une pratique incluant régulièrement la prescription écrite d’EP.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 6 Don de cornée : qu’est-il arrivé depuis 2010?
PRÉSEN TATEU RS Charlie Benoit, Élise Royer-Perron et Catherine Tétreault
AU TEURS Charlie Benoit, Élise Royer-Perron et Catherine Tétreault
SU PERVI SEU RS Pre Diane Poirier
UMF Richelieu-Yamaska
Objectifs
Évaluer l'impact de l'implantation du Formulaire d'identification de donneurs potentiels de cornée sur le nombre de dons de cornée au CSSS RY en 2012 par rapport au nombre de donneurs potentiels. Secondairement, évaluer les obstacles au don de cornée.
Méthode
Étude des dossiers des patients décédés à l’Hôpital Honoré-Mercier entre le 1er janvier 2012 et le 31 décembre 2012.
Résultats
Le Formulaire d'identification de donneurs potentiels de cornée n’a pas permis d’accroître significativement le nombre de don de cornée au CSSS RY.
Conclusion
Signez don!
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 7 La grossesse et la vaccination contre influenza
PRÉSEN TATEU RS Roxanne Gosselin, Karen Keryakes, Émilie Trahan
AU TEURS Roxanne Gosselin, Karen Keryakes, Émilie Trahan
SU PERVI SEU RS Pre Stéphanie Allard, Pre Mélanie Béliveau
UMF Estrie
Objectifs
C’est un projet qualité de l’acte dans le CSSS IUSG CLSC des Deux-Rives, nous évaluons si les médecins, les résidents et les infirmières offrent la vaccination de l’influenza aux femmes enceintes à leur 2e et 3e trimestre de grossesse.
Méthode
Nous analysons 200 dossiers du CLSC de King Est et de Lennoxville, 100 dossiers 2011-2012 et 100 dossiers 2012-2013.
Nous incluons les femmes enceintes au 2e et 3e trimestre dans la période grippale du 15 novembre au 1er avril.
Ensuite, nous analysons les dossiers en fonction d’une grille d’analyse pour permettre d’évaluer si ses femmes ont été vaccinées.
Résultats
On a seulement des résultats préliminaires.
Conclusion
Nous réalisons que les femmes enceintes sont peu vaccinées malgré que les recommandations l’exigent.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 8 Le traitement de l’ostéoporose fracturaire au Centre hospitalier de Rouyn-
Noranda
PRÉSEN TATEU RS Michelle Garant, Marie-Line Lemieux, Andréa Lemire
AU TEURS Michelle Garant, Marie-Line Lemieux, Andréa Lemire
SU PERVI SEU RS Dre Alexandra Cayer
UMF Rouyn-Noranda
Objectifs
Cette étude s’inscrit dans un cadre d’évaluation de la qualité de l’acte. Elle vise à vérifier si les recommandations
actuelles concernant le traitement de l’ostéoporose fracturaire avec les bisphosphonates sont respectées au Centre
hospitalier de Rouyn-Noranda (CHRN).
Méthode
Quatre-vingt-quatre (84) dossiers de patients hospitalisés en courte durée au CHRN entre novembre 2010 et septembre 2013 ont été analysés. Les patients devaient être âgés d’au moins 18 ans et devaient présenter une fracture ostéoporotique active inscrite sur la feuille sommaire. Les critères d’exception étaient la présence d’une contre-indication aux bisphosphonates, le refus du patient et la recommandation au médecin de famille d’évaluer le traitement en externe. De l’étude étaient exclus les patients en soins palliatifs ou en soins de confort (NIT E), ceux avec suspicion de fracture pathologique, ceux dont le traumatisme ayant causé la fracture étaient considérés comme « non-mineur » ainsi que les cas de décès per hospitalisation.
Résultats
Sur un total de 50 patients inclus dans l’analyse, six (6) ont été considérés des cas d’exception et ont été exclus du calcul
du taux de conformité. Ainsi, 19 patients sur 44 (43,2 %) ont bénéficié d’une conduite clinique
conforme aux lignes directrices d’Ostéoporose Canada de 2010.
Conclusion
Au CHRN, le taux de prescription de bisphosphonates pour les patients atteints d’ostéoporose fracturaire est sous
optimal, mais similaire à celui décrit dans la littérature. Des mesures d’incitation permettant de reconnaître cette
pathologie et de la traiter dans les cas opportuns afin de prévenir de nouvelles fractures sont fortement recommandées.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 9 Quand les pieds te craquent, vite une radio!
PRÉSEN TATEU RS Élyse Allard et Karine Deslandes
AU TEURS Élyse Allard et Karine Deslandes
SU PERVI SEU RS Pr Jean-François Deshaies
Urgence Sherbrooke
Objectifs
Évaluer l’application de l’ordonnance collective
Évaluer son efficacité
Émettre des recommandations pour l’amélioration de son exécution
Méthode
Étude rétrospective des dossiers avant et après la mise en place de l’ordonnance collective
Grille d’analyse
Étude pilote
Évaluation au triage de l’ordonnance collective
Résultats
À venir
Conclusion
À venir
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 10 Évaluation de l’acte médical sur les indications et l’utilisation des IECA ou ARA
chez les diabétiques
PRÉSEN TATEU RS Karyne Arsenault, Harry Duroseau, Jia Zheng
AU TEURS Karyne Arsenault, Harry Duroseau, Jia Zheng
SU PERVI SEU RS Pre Geneviève Turcotte et Pre Mariline Lupien St-Pierre
UMF Estrie
Objectifs
Évaluer l’utilisation des IECA ou ARA chez les diabétiques selon les lignes directrices canadiennes.
Méthode
Étude rétrospective des dossiers médicaux d’un échantillon de la population diabétique adulte inscrite au GMF des
Deux-Rives.
Résultats
43 % de conformité aux lignes directrices canadienne.
Conclusion
Nous recommandons de porter davantage attention aux facteurs jugés à haut risque d’évènement cardiovasculaire,
surtout en ce qui concerne l’âge.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 11 Êtes-vous tombés sur la tête?
PRÉSEN TATEU RS Jean-Michel Baucicot, Myriam Berry, Benoît Bhérer-Simard, Marie-Michèle
Duplain-Otis, Philippe Guevremont
AU TEURS Jean-Michel Baucicot, Myriam Berry, Benoît Bhérer-Simard, Marie-Michèle
Duplain-Otis, Philippe Guevremont
SU PERVI SEU RS Pre Andrea Lessard et Mme Mylène Levesque
UMF Chicoutimi
Objectifs
Évaluer si la prescription d’imagerie cérébrale par tomodensitométrie cérébrale (TDM), chez les patients de 16 et plus
subissant un traumatisme cranio-cérébral léger (TCCL) et évalué par les médecins de l’urgence du CSSS de Chicoutimi,
répond aux normes énoncées par l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS).
Méthode
L’évaluation de la qualité de l’acte a été faite grâce à une analyse rétrospective d’environ 200 dossiers récents
présentant un diagnostic de TCCL (ou diagnostic connexe) chez les patients de 16 ans et plus s’étant présentés à
l’urgence du CSSS de Chicoutimi entre octobre 2013 et janvier 2014. L’objectif était d’inclure 100 dossiers de patients
ayant subi un TCCL selon les critères de l’INESSS. Les patients sous anticoagulant, ceux ayant consommé de
l’alcool/drogues et les patients ayant un dossier illisible étaient exclus.
Résultats
Environ 90 dossiers ont été inclus sur 164 analysés. Les résultats préliminaires sont les suivants : sur les 56 TDM faits, 28
ont été faits de façon non conforme (50 %). Alors que parmi les 34 dossiers où un TDM n’a pas été fait, tous sont
conformes aux critères de l’INESSS.
Conclusion
Comme attendu, si la tendance se maintient, les urgentistes ont tendance à prescrire davantage de TDM que le suggère
l’INESSS. Il semble qu’il y aurait lieu de procéder à une application plus rigoureuse des critères de l’INESS afin de réduire
l’irradiation indue chez certains patients.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 12 Délai d’administration des antibiotiques chez les patients avec méningite qui se
présentent à l’urgence de l’Hôpital Charles-Lemoyne
PRÉSEN TATEU RS Sophie Carrière, Mélina Desbois, Kim Lambert-Gauthier, Marylène Quesnel,
Maxim Régimbal-Éthier
AU TEURS Sophie Carrière, Mélina Desbois, Kim Lambert-Gauthier, Marylène Quesnel,
Maxim Régimbal-Éthier
SU PERVI SEU RS Pr Mathieu Turcotte-Lagacé, Pr Laurent Vanier
UMF Charles-LeMoyne
Objectifs PRIMAIRE :
Déterminer le temps écoulé entre l'arrivée du patient à l'urgence (heure du triage) et le début de l’administration de la première dose d’antibiotique à l’urgence chez les patients avec diagnostic de méningite bactérienne ou virale.
SECONDAIRE :
1) Établir la séquence d’investigation et de traitement (ponction lombaire, l’imagerie cérébrale et la prescription
d’antibiotiques)
2) Déterminer le délai entre la première visite médicale d’un patient avec méningite (heure à laquelle le patient a été
évalué par l’urgentologue) et le début de l’administration de la première dose d’antibiotique à l’urgence.
Méthode Notre projet de l’évaluation de la qualité de l’acte se veut une évaluation rétrospective par revue de dossiers basée sur
le diagnostic d’admission de méningite selon des critères implicites chez des patients de plus d’un mois du 1er juillet
2002 au 30 juin 2012.
Résultats Le temps écoulé entre l’arrivée du patient à l’urgence (heure du triage) et le début d’administration de la première dose
d’antibiotique à l’urgence correspond à une moyenne de 4 h 07 avec une médiane de 3 h 28.
Quant au temps écoulé entre la première visite médicale d’un patient avec diagnostic de méningite ou d’encéphalite
(heure à laquelle le patient a été évalué par l’urgentologue) et le début d’administration de la première dose
d’antibiotique correspond à une moyenne de 3 h 02 avec une médiane de 1 h 28.
Également, on remarque que l’investigation a retardé la prescription d’antibiotiques chez 61 % des patients.
Conclusion Plus de la moitié des patients ont eu un traitement antibiotique débuté en moins de 4 heures. Il n’en demeure pas
moins que la séquence n’est pas respectée dans la majorité des cas; l’optimisation de cette dernière pourrait
définitivement améliorer l’issu des patients.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 13 Rôle du médecin de famille dans le suivi des patients avec antécédent récent
d'une infection à Chlamydia Trachomatis
PRÉSEN TATE U RS Jocelyn Cormier
AU TEURS Evelyn Alarcon Chinchilla, Jocelyn Cormier, Chantal Gallant, Diana Garcia
SU PERVI SEU RS
Pre Jalila Jbilou
En collaboration avec André Barrieau, Mathieu Bélanger et Cécile Howard
UMF du Grand Moncton
Objectifs
Évaluer la pratique médicale à l’UMF-Dieppe de la recommandation niveau A établie par Santé Canada traitant du re-
dépistage de la chlamydiose génitale (CT) 6 mois après un épisode confirmé.
Méthode
Deux questionnaires furent administrés aux médecins de l’UMF-Dieppe. Dans le premier, les pratiques courantes et les
connaissances de la recommandation ont été explorées. Le deuxième questionnaire sollicitait les médecins à suggérer
des pistes et des stratégies de support d’information, sensibilisation et adhésion à la recommandation.
Résultats
Un taux de réponse de 73,33 % au premier questionnaire stipulait que 9 % des médecins répondants connaissaient cette
recommandation. Ils estiment que 12,7 % de leur clientèle a été re-dépistée pour l’infection à CT. Selon eux, il serait
justifié de re-dépister jusqu’à 58,2 % des patients atteints. En deuxième temps, 36 % des répondants confondaient « Re-
dépistage » avec « Test of cure ». Parmi les réponses obtenues : l’obligation du médecin d’informer adéquatement et de
responsabiliser leurs patients, l’application d’un système de rappel via diverses méthodes et par fixation d’un rendez-
vous pour le re-dépistage lors de la première rencontre.
Conclusion
La majorité des médecins de famille ne connaissent pas la recommandation. Il semble exister une certaine confusion
avec le « Test of cure ». Deux éléments importants sont revenus sur nos sondages : l’éducation et la responsabilisation
du patient et la création d’un système de rappel. L’intégration des infirmières dans le suivi de patients atteints d’une
infection à CT pourrait s’avérer également très utile à l’UMF. Des méthodes d’auto-prélèvement à domicile seraient des
possibilités à explorer dans un futur.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 14 La santé psychologique des résidents en médecine familiale à l’Université de
Sherbrooke : une exploration du niveau de bien-être et des facteurs de stress.
PRÉSEN TATEU RS Maria Dellerba, Vanessa Purcell Lévesque, Catherine Veillette
AU TEURS Maria Dellerba, Vanessa Purcell Lévesque, Catherine Veillette
SU PERVI SEU RS Pre Louise Champagne, Pre Yanouchka Labrousse, Pre Christine Loignon
UMF Charles-LeMoyne
Objectifs
1. Explorer la santé psychologique soit le bien-être et le stress, des résidents en médecine familiale de l’Université de Sherbrooke.
2. Explorer les facteurs de stress perçus par les résidents.
Méthode
Les résidents ont été invités à participer par courriel à un questionnaire électronique de type ‘Survey Monkey’. Ensuite, une analyse statistique des résultats a été effectuée.
Résultats
83 % des résidents ont obtenu un score correspondant à un état de bien-être. Les cinq facteurs de stress les plus importants sont : la nécessité de négocier les PREMS, l’incertitude par rapport au futur professionnel, la charge de travail, le manque de sommeil et le maintien des connaissances à jour.
Conclusion
Les résultats concordent avec la littérature consultée. Ce projet pourrait mener à une étude qualitative de type ‘focus group’. Les résultats seront partagés avec la FMRQ et la faculté de médecine de l’Université de Sherbrooke, afin de les sensibiliser à la réalité de la résidence en médecine familiale. Cela pourra donner lieu à l’organisation d’ateliers de formation sur la gestion du stress et de la pratique future.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 15 Prévention de l'alloimmunisation foeto-maternelle Rh à l'urgence.
PRÉSEN TATEU RS Joey Cloutier, Mathieu Maltais, Dominik Melhem et Ana Cecilia Farfan Ruiz
AU TEURS Joey Cloutier, Mathieu Maltais, Dominik Melhem, Roxanne Thibodeau et Ana
Cecilia Farfan Ruiz
SU PERVI SEU RS Pr Mario Brisson et Pr Philippe Villemure
UMF Alma
Objectifs
1. Vérifier si le traitement prophylactique anti-D a été donné lorsqu’indiqué à l’urgence.
2. Déterminer si la recherche du groupe sanguin a été effectuée lorsqu’une patiente se présente la première fois à
l’urgence pour menace d’avortement, avortement spontané, grossesse extra-utérine ou saignement utérin avec b-
HCG positif.
3. Vérifier si le médecin a inscrit le groupe sanguin de la patiente dans sa note médicale
4. Évaluer si l'administration d'anti-D chez les sujets rhésus négatif a été effectuée à l’urgence selon les doses
recommandées.
Méthode
La population étudiée représentait toutes les patientes ayant consulté à l’urgence de l’Hôpital d’Alma pour menace
d’avortement, avortement spontané, grossesse extra-utérine ou saignement utérin avec un b-HCG positif entre le 1er
janvier 2010 et le 30 avril 2013 inclusivement, selon la banque de données STAT-URG. La collecte de données s’est
divisée en plusieurs étapes : la recension des écrits utiles au sujet, l’identification d’une question clinique et des
objectifs, l’élaboration d’une grille de collecte de données, l’étude des dossiers sélectionnés via STAT-URG puis la saisie
des données avec le logiciel SPSS. Au total, 346 consultations à l’urgence répondant aux critères d’inclusion ont été
révisées et analysées. De celles-ci, 47 ont été exclues pour plusieurs raisons. Au terme du processus, l’échantillon final
comprenait 299 consultations à l’urgence.
Résultats
Les résultats seront présentés lors de la Journée annuelle de la recherche clinique et de l’évaluation de l’exercice
professionnel qui se tiendra le vendredi 30 mai 2014.
Conclusion
À venir
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ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 16
L'évaluation du délai entre l'arrivée d'un patient avec une altération de l'état de
conscience et la prise de la première glycémie à l'urgence de l'Hôpital Charles-
Lemoyne
PRÉSEN TATEU RS Sarah Emmanuelle Daoust, Audrey Rochon, Vicky St-Jacques
AU TEURS Sarah Emmanuelle Daoust, Audrey Rochon, Vicky St-Jacques
SU PERV I SEU RS Pr Frédéric Lemaire et Pr Laurent Vanier
UMF Charles-LeMoyne
Objectifs L’objectif principal du projet est d’évaluer le délai entre l’arrivée des patients se présentant avec une altération de l’état
de conscience à la salle de réanimation de l’Hôpital Charles-LeMoyne et la prise de la première glycémie capillaire.
Comme objectif secondaire, nous avons divisé les patients en différentes catégories selon leur mode de présentation
afin d’évaluer s’il y a des lacunes dans certains groupes de patients.
Méthode La sélection des patients s’est faite via une recherche dans le logiciel MedUrge en sélectionnant aléatoirement 15
patients dans les 7 catégories de plaintes suivantes : « inconscient ou altération de l’état de conscience ou confusion
aiguë avec altération de l’état de conscience », « céphalée et inconscient », « convulsions actives », « symptômes d’AVC
possibles/faiblesse des membres », « trauma crânien et inconscient ou trauma crânien et altération de l’état de
conscience », « surdosage et choc ou surdosage et inconscient » et « hypoglycémie et inconscient ». Une moyenne du
délai entre l’arrivée du patient et la prise de la glycémie a été faite et divisée en quatre catégories : glycémie < 5
minutes, entre 5 à 10 minutes, > 10 minutes et glycémie capillaire non faite.
Résultats Un total de 94 dossiers ont été retenus. 49 patients (55,1 %) ont eu une glycémie faite à la salle de réanimation. De ces
49 patients, la glycémie capillaire a été mesurée dans un délai de moins de 5 minutes chez 69,3 % des patients, de 5 à 10
minutes chez 16,3 % des patients et de plus de 10 minutes chez 14,2 % des patients. Au total, 16 patients (17,9 %) n’ont
eu aucune glycémie faite ni à la salle de réanimation, ni en pré-hospitalier. De ces 16 patients, 50 % faisait partie de la
catégorie trauma et altération de l’état de conscience.
Conclusion
Lorsque la glycémie est contrôlée chez les patients avec une altération de l’état de conscience, elle est faite rapidement
dans un délai moyen de 6,1 minutes avec 69,3 % des cas fait dans un délai de moins de 5 minutes. Toutefois, la valeur
obtenue par le préhospitalier n’est pas recontrôlée de façon systématique et il s’agit d’un test souvent omis dans les cas
de traumatisme.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 17 L’index de choc, une association avec certains indicateurs de sévérité en milieu
hospitalier et ses applications potentielles.
PRÉSEN TATEU RS Anne-Isabelle Dionne, Gabriel Gosselin, Renée-Anne Patenaude-Blais, Marie-Ève
Pelletier
AU TEURS Anne-Isabelle Dionne, Gabriel Gosselin, Renée-Anne Patenaude-Blais, Marie-Ève
Pelletier
SU PERVI SEU RS Pre Diane Poirier
UMF Richelieu-Yamaska
Objectifs
Établir une association entre l’index de choc (rapport entre la fréquence cardiaque et la tension artérielle systolique) à
l’urgence et la mortalité pendant le séjour hospitalier. Des indicateurs de performance ainsi que de sévérité sont aussi
analysés en fonction de ce paramètre.
Méthode
Il s’agit d`une étude rétrospective réalisée sur la période 2011 – 2012 à l`hôpital Honoré-Mercier. Les adultes admis via
l`urgence représentent la population à l’étude. Ont été exclus : les grossesses, les porteurs de stimulateurs cardiaques
implantables et les patients sous bêtabloquants ou bloquants des canaux calciques non-dihydropyridines. Un échantillon
aléatoire comptant 543 dossiers a été étudié. Les résultats ont été analysés à l’aide de tests non-paramétriques.
Résultats
Il existe une différence statistiquement significative entre la mortalité per-hospitalière des patients avec un index de
choc < 0,9 par rapport à ≥ 0,9 (p = 0,003). Il en va de même pour la durée de séjour totale à l’hôpital (10 jours par
rapport à 15 jours, p < 0,0001), l`admission aux soins intensifs (5,5 % par rapport à 21,9 %, p < 0,0001), l`administration
de vasopresseurs (0 % par rapport à 13,3 %, p < 0,0001), et l`utilisation de ventilation mécanique (0,68 % par rapport à
7,62 %, p = 0,00015).
Conclusion
Les résultats supportent un lien entre un index de choc ≥ 0,9 à l’urgence et certaines issues défavorables, dont la
mortalité. Il serait pertinent d`effectuer une étude prospective sur le sujet afin de valider l`utilisation de l`index de choc
au triage, dans divers contextes cliniques.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 18 Les attentes des médecins d’une UMF envers le dossier médical électronique
PRÉSEN TATEU RS Jean-Sébastien Henry-Lebel, Marie-Agnès Chan
AU TEURS Jean-Sébastien Henry-Lebel, Marie-Agnès Chan
SU PERVI SEU RS Pre Christine Loignon, Pre Élise Crête, Pre Yanouchka Labrousse
UMF Charles-LeMoyne
Objectifs
L’objectif primaire de notre étude est de décrire les attentes des médecins de famille d’un GMF envers l’utilisation du
DME qui sera implanté prochainement. L’objectif secondaire est de comparer l’écart, s’il existe, entre ces attentes et les
avantages ou inconvénients potentiellement réalisable tels que décrits dans la littérature.
Méthode
Cette étude repose sur un devis de recherche qualitative. Une revue de la littérature est d’abord réalisée afin de préciser
les impacts démontrés dans les études. Un groupe de discussion constitué de 6 médecins de famille faisant partie de la
phase de pré-implantation du DME est ensuite mené et transcrit intégralement. L’analyse thématique et systématisée
de cette transcription est effectuée afin de mettre en évidence les principales attentes des médecins et ensuite les
comparer aux impacts démontrés dans la littérature.
Résultats
Plusieurs attentes correspondent aux résultats documentés dans la littérature. En effet, les médecins et les études
s’entendent en général sur une prescription plus sécuritaire des médicaments, une perte initiale de productivité et sur
un gain d’efficacité à moyen terme. De plus, plusieurs médecins demeurent ambivalents envers la confidentialité du
DME, l’impact sur la relation patient-médecin, la communication et la surmédicalisation. Cette ambivalence est
également retrouvée dans la littérature où il existe peu de données ou encore ces dernières sont contradictoires. Par
contre, plusieurs médecins sous-estiment le niveau d’implication personnelle requise lors de l’implantation d’un DME et
plusieurs médecins s’attendent à avoir des outils d’aide à la décision clinique, qui ne sont pas encore intégrés aux DME
disponibles au Québec.
Conclusion
Plusieurs attentes des médecins concordent avec la littérature et semblent donc globalement réalistes. Les attentes qui
divergent de la littérature semblent influencées par un manque d’information sur le DME.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 19 Dépistage de l’anévrisme de l’aorte abdominale chez les hommes de 65 à 75 ans
PRÉSEN TATEU RS Svetlana Gromova, Martin Lafrance, Ming Kun Sun, Caroline Thibodeau
AU TEURS Svetlana Gromova, Martin Lafrance, Ming Kun Sun, Caroline Thibodeau
SU PERVI SEU RS Pr Karen Gallagher, Pre Annie Roberge
UMF Estrie
Objectifs
En 2009, l’Examen Médical Périodique (EMP) de la médecine de famille suggère au moins un dépistage par échographie
de l’anévrisme de l’aorte abdominale chez les hommes de 65 à 75 ans, ainsi que chez les hommes de moins de 65 ans
avec une histoire familiale positive. Par contre, quel est le pourcentage d’application de cette recommandation dans la
pratique médicale? Notre évaluation a pour but de déterminer ce pourcentage et de formuler ensuite des
recommandations pour améliorer l’adhérence au dépistage.
Méthode
Il s’agit d’une étude rétrospective par analyse de dossiers. Notre population est tout patient homme de 65 à 75 ans
ayant eu plusieurs visites médicales au GMF des Deux Rives. Un échantillon de 150 dossiers a été ensuite sélectionné au
hasard. Nous avons ensuite exclu les dossiers où l’anévrisme de l’aorte abdominale est déjà diagnostiqué avant 2010, les
dossiers où les imageries abdominales sont faites pour autres raisons que le dépistage, ainsi que ceux qui ont déjà un
diagnostic avant 65 ans. Au total, nous avons 121 dossiers conformes.
Résultats
Seulement 11 % de nos dossiers analysés sont conformes à la recommandation de l’EMP.
Conclusion
Suite à notre évaluation, nous pouvons conclure que très peu de médecins à notre GMF suivent la recommandation de
l’EMP concernant le dépistage de l’anévrisme de l’aorte abdominale. Les principales raisons soulevées sont : la
sursaturation du système de santé ne permettant pas un tel dépistage et le manque de conviction quant au coût-
efficacité du dépistage.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 20 Dépistage de l’embonpoint et de l’obésité
PRÉSEN TATEU RS Stéphane Bastarache, Julien Dupuis, Tania Harquail, Mark Wait, Stéphanie Ward
AU TEURS Stéphane Bastarache, Julien Dupuis, Tania Harquail, Mark Wait, Stéphanie Ward
SU PERVI SEU RS
Pre Jalila Jbilou
En collaboration avec Pr André Barrieau, Pr Mathieu Bélanger et Mme Cécile Howard
UMF du Grand Moncton
Objectifs
Évaluer la prévalence du dépistage de l’embonpoint et l’obésité (Em/Ob) à l’UMF de Dieppe, NB.
Introduction
Au NB, 63 % des adultes sont obèses (1/4 au Canada). La mesure de l’IMC et le tour de taille chez tous les adultes est
une recommandation Grade A de niveau 3 au Canada (Panel d’expert - Obésité Canada 2006). Afin de déterminer
l’adhérence à ces recommandations, une revue de la qualité de l’acte a été effectuée précisant la proportion de patients
adultes dépistés pour Em/Ob ainsi que l’étendue des pratiques de dépistage, d’éducation et de suivi des médecins de
l’UMF.
Méthode
Un questionnaire a été administré aux médecins afin d’évaluer leurs opinions et pratiques actuelles. Des données
cliniques ont été colligées parmi un échantillon randomisé de 362 patients de 25-54ans de l’UMF ayant eu au moins
deux rendez-vous entre le 30 juin 2010 et 2013.
Résultats
Recommandation acceptée par 9/10 des médecins, qui disent dépister moins de 60 % des patients et jugent nécessaire
une intervention si 41-60 % sont dépistés. Parmi les 362 dossiers, 7,5 % rapportait un IMC, 1,4 % un tour de taille et 52 %
permettait le calcul de l’IMC (65 % de Em/Ob). Parmi les barrières au dépistage identifiées, on retrouve le manque de
temps, l’inaccessibilité aux pesées, les mesures omises et le manque de ressources.
Conclusion
Des mécanismes organisationnels supportant les pratiques exemplaires (ex: mesures anthropométriques
systématiquement prises et documentées par l’infirmière avant de rencontrer médecin) devront être mis en place ainsi
qu’une plus grande sensibilisation des médecins au dépistage de l’Em/Ob.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 21
La gestion de la douleur dans les fractures pédiatriques déplacées ou
chirurgicales des os longs au département de médecine d’urgence de l’Hôpital de
Chicoutimi
PRÉSEN TATEU RS Caroline Dupont-Dorais, Danny Maltais
AU TEURS Caroline Dupont-Dorais, Andrée-Anne Corneau Tousignant, Danny Maltais
SU PERVI SEU RS Pr Bruno Hamel
Urgence Chicoutimi
Objectifs
Le but de cette étude est de vérifier si les enfants se présentant au département de médecine d’urgence de l’hôpital de
Chicoutimi avec une fracture déplacée ou chirurgicale des os longs bénéficient d’une analgésie adéquate pendant leur
séjour et au congé, ainsi que d’évaluer la documentation de l’intensité de la douleur au dossier.
Méthode
Il s’agit d’une étude rétrospective pour la période du 1er janvier 2010 au 30 décembre 2013. L’échantillon est composé
de patients âgés entre 3 et 12 ans ayant subi une fracture des os longs déplacée ou chirurgicale et ayant consulté un
médecin d’urgence à Chicoutimi. La collecte de données a été faite à l’aide d’une grille standardisée. Lors de la révision
des dossiers, l’analgésie prescrite à l’urgence, les prescriptions remises au congé et la documentation de l’intensité de la
douleur ont été évaluées.
Résultats
Lors de cette évaluation, des 272 dossiers révisés et de ceux-ci, 98 ont été retenus pour l’analyse. Pendant leur séjour à
l’urgence, 54 % des patients ont reçu une analgésie adéquate. Dans 44 % des cas, l’intensité de la douleur a été notée au
dossier. Chez les patients retournant à domicile, 44 % des patients ont reçu une prescription ou des conseils en lien avec
l’analgésie.
Conclusion
La gestion de la douleur à l’urgence chez la population pédiatrique est sous-optimale. Une analyse plus approfondie est
en cours afin de déterminer si le sexe ou l’âge peut avoir une influence sur le phénomène.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 22 L’évaluation de l’investigation et de la prise en charge initiale de l’hypertension
de novo
PRÉSEN TATEU RS Gabrielle Maher-Laporte, Yves-Stéphane Noah, Renée Thériault
AU TEURS Gabrielle Maher-Laporte, Yves-Stéphane Noah, Renée Thériault
SU PERVI SEU RS Pre Carolle Bernier, Pre Claude Castonguay
UMF Estrie
Objectifs
L’objectif de l’étude est de vérifier si le bilan initial suggéré par la donnée la Société québécoise d’hypertension (SQHA),
au moment du diagnostic de l’hypertension artérielle (HTA) et la prise en charge des habitudes de vie, est
systématiquement fait par les médecins de famille dans notre milieu de pratique.
Méthode
Étude rétrospective auprès de la clientèle du GMF des Deux-Rives, aux points de service de Sherbrooke et Lennoxville.
Population âgée entre 45 et 75 ans qui ont eu un nouveau diagnostic d’HTA à partir de l’année 2009.
Résultats
Nous avons vu que les médecins de famille du GMF des deux-rives (Sherbrooke et Lennoxville) sont conformes (à un
taux de plus de 75 %) pour ce qui des bilans paracliniques: électrolytes, créatinine, glycémie à jeun, bilan lipidique. Par
contre, moins d’un tiers des médecins effectuaient soit l’ECG soit l’analyse d’urine, ce qui nous donne le résultat de dix
(16 %) dossiers conformes selon les lignes directrices SQHA.
Conclusion
Nous recommandons donc aux médecins de famille d’être attentifs lors d’une prise en charge d’une hypertension de
novo, surtout pour ce qui est de demander l’ECG ainsi que l’analyse d’urine. Pour faciliter leur tâche, nous avons conçu
une fiche de rappel contenant les recommandations de la prise en charge d’une HTA de novo, tel que suggéré par la
SQHA.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
TI TRE 23 La douleur pédiatrique à l’urgence: un défi à relever
PRÉSEN TATEU RS Marie-Ève Guévin, Aizhen Jade Lefebvre, Judith Lafrance et Joannie Sanche
AU TEURS Marie-Ève Guévin, Aizhen Jade Lefebvre, Judith Lafrance et Joannie Sanche
SU PERVI SEU RS Pre Anne Rouleau et Pre Alexandra de Pokomandy
UMF Cowansville
Objectifs
Évaluer si la douleur pédiatrique à l’urgence de l’hôpital BMP est bien évaluée et bien soulagée pour émettre des
recommandations pour mieux soulager les enfants à l’urgence.
Méthode
Les dossiers des enfants de 3 à 10 ans se présentant avec un diagnostic douloureux (entorse, fracture, luxation, brûlure,
morsure, appendicite et traumatisme) à l’urgence de l’hôpital BMP d’avril 2012 à mars 2013 inclusivement ont été
analysés. Une grille caractérisant l’évaluation de la douleur, son suivi et son traitement au cours de l’épisode de soins a
été utilisée. L’analyse statistique des grilles a ensuite été faite grâce au logiciel STATA.
Résultats
Un total de 194 dossiers ont été analysés. Une évaluation inadéquate de la douleur a été faite chez 79 % des enfants au
triage et chez 98 % des enfants évalués par un médecin. Bien que le traitement non pharmacologique de la douleur ait
été assez utilisé (74 %), seuls 40 % des enfants ont reçu des analgésiques et seulement 3,6 % ont reçu un traitement
approprié pour leur niveau de douleur. La moyenne de temps avant de recevoir une analgésie est de 112 minutes.
Conclusion
La douleur pédiatrique est mal évaluée et mal soulagée à l’urgence de l’hôpital BMP. Une meilleure utilisation des outils
d’évaluation de la douleur ainsi que l’utilisation de protocoles clairs pour le soulagement de la douleur pédiatrique,
entre autres avec le fentanyl intra-nasal, seraient souhaitables.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT
AFFICHE
NOTES
REMERCIEMENTS
NOUS TENONS À REMERCIER LES CMDP SUIVANTS POUR LEUR
SUPPORT FINANCIER À CETTE JOURNÉE :
CMDP du CSSS Chicoutimi
CMDP du CSSS-IUGS
CMDP du CSSS Lac-Saint-Jean-Est
CMDP du CSSS La Pommeraie
CMDP du CSSS Richelieu-Yamaska
CMDP du CSSS Rouyn-Noranda