$. g. mgr r.-m. rouleau, 0. p., archeveque ue ... - banq

"Le Soleil" est lu dans 100% des famille» canadiennes . françaises de Québec j LE SOLEIL

TIR AGIS CERTIFIE RA R L’A. B. C.36e ANNEE No 294 QUEBEC, LUND* 19 DECEMBRE 1927

en tait b

EDITION QUOTIDIENNE—PRI 3EUX CENTINS

$. G. Mgr R.-M. ROULEAU, 0. P., ARCHEVEQUE UE QUEBEC, A ETE CREE CARDINAL CE MATIN AU

CONSISTOIRE SECRET QUI A EU LIEU A ROMEAVERESCO

GRAVEMENTMALADE

Bucarest, 19.— «P. C.)- La presse de Bucarest annonce que l’ex-premier ministre général Averesco, est gravement malade. M. Titulesco, ministre c!es affaires étrangères, qui s'était à peu près remis de son attaque de grippe, a subi une rechute.

où Sa Sainteté Pie XI a nommé plusieurs évêques dont certains avaient eu déjà leur nomination

annoncée par des brefs pontificaux

-

1ii

L’INCENDIE DE VENDREDI1J

POUR EN FAIRE UNE SEULE VILLE

Vancouver, 19. P. C.) — La constitution d une seule ville, comprenant Vancouver, South Vancouver et Point Grey, avec une population de 215,000 âmes et une superficie de 41 milles carrés est désormais assurée par le vote qu'ont donné hier les habitants de Point Gray. Ceux-ci se sont prononcés pour l'annetion dans une proportion de 3 contre un. Il ne reste plus qu’une formalité à remplir i Faire ratifier l'annexion par la Législat ure.

NN. SS. LEPIC 1ER, SAENZ, BINET ET SERED1AU NOMBRE DES NOUVEAUX CARDINAUX

LOS MOLLES EST LE THEITIIE D’UN

L ROME

EDes individus enlèvent

une fillette et exigent une rarç>-i de $1,530 en or qui jeur est payée par le père, mais pour recevoir le cad-t/re affreusement mutilé de son enfa.it

UN SUSPECT

mi

Home. 19.- - (P. ( Sa Sainteté Pie XI. nu consistoire secret matin, a créé cinq cardinaux, qui sont j Vgr Alex-Henri Lépicier,

de ce de l<‘ 1

S. E. le cardinal R.-M. RouleauLo.p.)

du meurtrier d^ ker, fillette de douze hier soir la so:rirc

Parker, enlevée jeudi dernier, et dont

Lot Angeles. 19 IM'. i«a ré- compenses offert**, p *jr 1% ca^vare

la py.i .e Ma dan I*ar-i r s, ftUeiKvaier.t i une partie des restes furent envoyés] de î ÛO 000. La | à ton père samedi soir par son abduc j

souscription fut en « lai.do j prtie lo teur, **t assassin, qui demandait une résultat d’un appel ridiophoricue | rançon de ^ 1.500. a été retiouvée lancé du poste KFWB. l’n jouii'.al i hier par la poliee dans Elysian Park.; a souscrit Î5.000 ; le ville et le corn- Aucune trace v a été relevée d« ■té vont en pouseriie chu ut* antp^ t. , pin^jvidu qui <nleva et assassina cet-jFin réjHjnM* A l’appel radiopho uqie, te fillette de treize ans. en dépit des | plusieurs chèque» de £1,000 sont arri- ! recherches d«» centaines de policiers vés du sud de m (. pliion ie. Durant et de citoyens.un certain temps le. v ;v-..vi;*tion» ) Ce «ont des civils qui ont fait la

congrégation des Serait es et mai.itoiant archevêque de Tarse. Il est né Vauoouleurs, prés d»i Verdun, le 2H févri<‘r LS63. Envoyé à Londres au débu de sa carrière et y ayant passé plusieurs années, il parle et écrit l’angla' parfaitement. Sous ce rapport il remplacera !»• cardinal Bonzano. décédé tout récemment, et formera ave:* le cardinal Verry del Val et le cardin i Gasquet, Anglais d’orig n«'.

Le nouveau card nal Lépici» r habile <h i uis longumes H m**., où il n occupé des situations importantes et où il s’est fait remarquer récemment par so.* z>le à défendre l’attitude pontificale contre l’Action Française journal royaliste de Taris mis à l’index. H remplacera le cardinal Billot démUfiionn ire, comnv* me bre frn.'.çait de la C urie.

Mgr Ha\mond-Marie Rouleau, archevêque de Québec, est ré A Tlsle Verte, diocèse de Himouski, le Saenz est né à Carazo près d’Ctma Es page, le décomt>re 1SS0 II est maintenant archevêque de Burgos ayant été transféré à ce siège en décembre 1926, après avoir été évêque de Curiade puis juillet 1920. 11 devient ù présent archevêque de Tolède, ce qui lui confer * a dignité de primat d’Espagne.

-Vgr Henri-(.’ha rie s-Joseph Binet est né Juvigny près de Soissom le 8 avril 1869. il devint évêque tie ce diocèse le 16 juin 1920. Il a ét*

I transféré cette année au sièg»* archiépiscopal de 'Besançon.Le révérend Justinien Seredi. Bénédictin hongrois, s’est fait un grand

renom en collabotant avec le cardinal Gaspari à la codification du droit canon et aver* le cardinal Casauet à la rev ison de la Vulgate. Il devient archevêque d’Kszertgom et primat d - Hongrie à Tf.ge de 4*1 ans. ("est le plus jeune des cardinaux. Né ** ' 1S8J. il é*ait le huitème et dernier enfant d’une pauvre fa rille. il n’avait pas encore dix ans qu'il aidait d éjà à la subsistance de la famille en portant les télégramme» et autres messages pour le maître de poste dans son village natal. Ce village, qui appartenait à la Hongrie avant la guerre, fait maintenant partie de la Rép- bliquo tchécoslovaque.

Plus de vingt cardinaux assistaient au consistoire de ce matin, qui avaient eu dé à leur n >mination annoncée par des brefs pontificaux. Il a également prononcée une importance allocution.

TOUS DEUX SONT AVEUGLES

Kansas City, 19.'P. C Tn gar connet <le huit nus est à l’hôpital «!*• Kansas City aujourd'hui. Hv**ugle pour toujours, et sa petite soeur. Agée de six ans, moins grièvement blessée, y est soignée elle aussi, tandis que la police cherche les deux individus qui, au dire dos enfants, tirèrent sur eux hier.

1>otit gar',vm, Frank Cupp, et sa soeur •Innna, jouaient dans un champ, pri

de ch«'Z eux, lorsque, raconte la tillelt* deux individus passèrent mit la voif inter-urbaine avi*<* des fusils lx*- petits leur orièn*nt "Bonjour” Les deux hommes répondirent en fainai.t feu sur les enfants

SUR LES LACS

des ruines du pensionnat St-Jean-Berchmans, prise de bonne heure, samedi matin, n’est resté que des murs noircis et qui menacent de s'effondrer à tout instant.

On voit qu'il

(Cliché Le “Soleil”)

Fort William, Ont., 19.- P ( .♦ Du 14 avril dernier au 12 décembre courant -saison de navigation -ur les laws cette année- il --’est expédié de la tête des Lacs 280,488.714 boisseaux de tous grains contre 2$ô,o30,48() boisseaux durant lu saison do navigation l’an dernier.

LES EFFETS D’UNE POLITIQUES. EMINENCE EN AUDIENCE

I

HRome. 19. P. (V Radiodiffusé par lo 'Soleil’ Sa Sainloté

samedi en audience privée Sa Grandeur Monseigneur Rouleau, arel.ev Québec, qui sera créé cardinal comme successeur de feu lo cardinal Bégin au

a r<vi que < «

Cil <

Merveilleux développements au Lac-St-Jean et à Chicoutimi Déclaration de l’honorable M. L.-A. Taschereau à son retour de Dolbeau et d’Àrvida Ce que la politique du Gouvernement a assuré à la région du Saguenay

de $50 par minute. ! i rdi. >«* ap-< jambes et les deux avant-bras de la porta son fox terrier fr.v. ri. et se victime étaient enveloppés dans des tint auprès de lui 1er. lanr.es eux journaux, formant quatre paquets yeux comme on le mettai: à l’en- séparé.*.chère pou! le fonds de souscripîi •. | capitaine <les détectives. Hemia- L enchère rapporta $509. 1 ( [ire, a déclaré que d’après la de po-

j sitioD des funèbres colis, le long de Los Angeles. 1* . (P ( Le i la route conduisant au pare, le meur-

corps démembré de la petite Mar»<*i' (Suite à la page 15, 7e colonne)

LE PRESIDENT DES CH. DE FERAU MEXIQUE DEMISSIONNE

Mexico, 19. P. C. M. Bertr»nd-E. Hollowey, de Crende-Bre- tagne, président dc> l'exécutif des chemins de fer nationaux du Mexique, et directeur de plusieurs < utres f>sf« rres ferroviaires du Mexique, a donné sa démission. Le burer u de direction l'a acceptée, et elle prendra vigueur le 31 décembre.

Il a donné comme raisen son étrt de santé, ejouti nt qu'il irait en Europe faire un voyage de repos. Mrriano Ctbrera, vice-président et gérant génércl, prendra la succession de M. Hollcway en attendant la nomination d'un successeur permanent.

, . . —........—------- .............—- , Monseigneur Rouleau a remercié Sa Sainteté très sincèrement du grand'affluèrent au puate KF’WB, : : îao.i macabre découverte, hier matin.Deux I honneur quelle juge de lui décerner, déelnrnnt qu’il le considé rait surtout coin- j

me un honneur au < anada plutôt qu’à sa personne.lAi Poutife a répondu que c’était son désir de récompenser les mérites per

sonnels de l’Archevêque de Québec et, aussi de satisfaire le désir si souvent ex- irrirné; de ses enfants du Canada.

L’ENERGIE ELECTRIQUE

LINDBERGH SE FAIT FIDES PROTESTATIONS

Nous av ions une lionne idée du dé- veloj piment en la région du Lao-Saint-

{ Jean, mais ce que vous venons de voir ; dépasse tout ee que nous pouv ior.s i imaginer-a déclaré l'hon V. L.-A. | Taschereau à l'arrivée à Québec, sa- ' ni edi soir, «lu train «lu Canadien Na- i tional. "L'ess<*r pris par cotte région | montre combien le gouvernement a été j sage d’en venir à une entente sur la hausse «lu niveau «lu lac. Saint-Jean, sans cela nous aurions ni l’usine «le

f Dollxvau, ni la ville qu'elle a fait surgir. ni l’usine hydro-éloetrhuie de la

(Duke Price Power Co., oui fournit de tours de cowboys, de danse indifè-} 100,000 «\-v . h (Québec et alimente i été déployé sous les y«ux du visiteur | Tusine de TAngio-Ameriean, à Limoi-

i lou, ni

en«lu

Le colonel Lindbergh a vu hier, non pas taureaux, en dépit des protestations d’u- ou groupement américains» Tous ce que Mieux e i fait de taurochie. d'abileté

—------------------------------ — ...

rmmL

TABLEAU DETRUIT

I

Mexico, 19. P. C. un, mais deux combats de ne soixantaine d’individus le Mexique peut ofTrire de équestre, de coups de lasso, nés et de pxrades ouvrières américian .

Rodolfo Gaona, en qui les Mexicains voient le plus grand toréo- B« nd dor qui ait jamais existé,est entré dans l'arène après deux années «le la «bute h de retraite exprès pour se donner en spectacle à Lindbergh. Il a ef- l développement fectué un

lingots d'Aluminum, mais sera mesure d’«*xpé<lier sur les marchés monde «les produits ouvrés.

“J’ai été très agréablement flatté, ajoute le premier ministn tro les compliments que les grands industriels «le la région «iécernent aux Canadiens-Français. L’un deux «st même allé jusqu’à dire qu’ayant remplacé dans Tune de ses usines les «‘tu- j ployés américains par «les Canadiens- iranç»is ia production n aussitôt augmenté de 25 pour wnt.

la Périb< nka seront aménagés. Il se-i après Tinondation, et ajouta «;ue sa J rai* malheureux «nu* «h' telles sources compagnie s’était fait un devoir, en I «l’ém rgit* restent plus longtemps inac- «vette sirconstance, «le coopérer avec I lives”. ! les autorités provinciales. L'hofluM.1 L’ium M. Taschereau félicita cha-! Tasebernau «d ses compagnons dg voy- l«ur«-us« mm T Al. A -V. Davis, leprési- age sont partis \«ndr«>di soir de Dol-

. «l**nt «!•' TAluminum Company of Ca- beau par le Canadien-Nation&l, à des- nada, il«> T«euv n r« niar<iuabh' «pTil | tination «TArvida. où ils furent sarue- avait anco!n(>lie à Arvida. «*t il Tassu-| *li matin l««s hôt«<s «1«* Al. A.-V. Davis

Ira que 1«* Gouvernement serait tou- A ARVIDA1 jours prêt à eoopénT avec <I«»s hommes j ---------; <*omme lui, «l<'s hommes de v ision oui i .. /rx x. ,, . .1 s,, vont n voir oonfiamm en Taverir, de Chicoutimi,. 19-(I).N.C Après la Ironaca .lu gu.'l,,... y";'™1"' 1 •n»*re«ant« jeune ville

. , . . . . de Dolbeau et assisté à 1 inaugurationo capita, américain nsi ,e bien-; importantes usines à papier qui v

. n»i« '"n" ■ aJOU,,Jl iTunin-r-Alimstre, entitéconetmites, riionorable M.Taè- d'ent«‘ii-l ,lous n. ..ns Jcs r,.pourers naturelle*, ! ,.h if.8 nt crux

n.,s ...ism* ,lu *«.l ont I espnl .1 en- ^ rendaient, «ame-treprise «*t les eatutaux . ( ombinons1 - * -nos fore«'s et nos r«‘ss«>ureos, et nous accomplirons «le concert quelque oho-

! *««‘ «l»- grand.

di matin, à Arvida, la ville de l’Aluminium, située «lans le comté de Chicoutimi.

' L«* dévidoppenicnt dont nous sommes aujourd’hui témoins, a été. si je ? •' me tromjM*. app«dé une tragédie", «lit 1«* Trenii«T-Ministre. “En effet.“A Arvida. la compagnie a fait

construira 450 maisons qu’elle v«*n«T <ist une tragédie, mais cette tragé- aux ouvriers. Ceux-ci sont très hi«*n die repose en et* que co développement lt>gés. I>a cotupagnie a aussi souscrit , n-n pas «•«.mrncncé plut tôt”,

li la imlperie d«*s Trico, à Riv er la plus large part ]>our la construction Fin t« nuinant. Thon. Al. Taschereau, , ni Ar\i«la. ni le developp«»m< nt «h* la nouvelle et belle église cat holi«iue : d« inamla !«• c«mc«Mirs «le tous pour as-»pp«»m«

Caron, le plus grand d’Arvida hvdm-électrioue «lu

charro”, ou prise au las»o, et donné une exhibition é-| month matin, puis figuré au combat de taureau dans Taprès- |questre le

midi. Cette corrida s’est déroulée devant 20,000 spectateurs.Entre le spéctacle du matin et celui de T eprèe-midi eut lieu le

défilé de 100,000 ouvriers dans la partie centrale de Mexico en l’honneur de Lindbergh.

LE CAS ETRANGE I gravement blessée, il avait éridern- • ment roeouvré sa connaissance aupa- | ravant, avait allumé un feu, puis était j retombé dans le coma, épuisé par la porte de son sang.

EN ALASKA

('«>rd«wn. Alaska. 19 T <Après avoir passé près d ur. mois dans sa cabane, en Alaska, une jam la* dévorée jusqu'au genou par le feu et l’autre pied grièvement blessé/ \iek Rawortn, vétéran canadien. «*st à Thê- pital Kerreeott aujourd’hui On pr - *«>nd qu’il a «Je* chances d’en ré hap-j jier.

Iê 3 novembre Rnworth. «»ui «*st I trappeur, vi-itait ses pièges 150 nnll«*s nu r«>rd «le (’ordov a sur la riv iér«* Gu! kana. lorsqu’il fut attaqué par un ours. Son «'bien 1«* «léfemtit hra veinent, mais périt durs < «* couiliat inégal. B’ours { 'O jets ensuite sur Kaworth . qui f*»r-; dit connaissance

Ce qui se passa ensuite s’est effacé d«» sa mémoire. Touî «*«* qu’il se rap-i pelle, c’est qu’il se nCeilla ure jambe J presque dévorée |»ar !«* feu «»t rautre.

Souffrant atrocement de ses membres brûlés. Haworth se traîna sur une distance de plus de 15 milles jusqu’à Tune «!«' ses cahan«*s- l*à plusieurs semaines s’écoulèrent. Il avait à jietne la force de prendre les aliments inilis pensables nu soutien de sa vie. et un peu d’eau.Cn trappeur indien le trouva dans cet état, il l'embarqua sur sa traîne à chiens et le trans]v»rtn ainsi à Copper Centre. 30 milles plus loin. De là on ie porta à Chitina. où il fut mis à lx>rd d’un train pour T hôpital Kernecott.

“J’espère, dit M. Taschereau.''avoir l’occasion, au cours de la prochaine1 session de dire toutes les merveilles «nie nous avons vues et de parler «!«' l’avenir extraordinaire réservé à la région du Lac Saint-Jean.

“( ’e développement’ ’,continue Thon..V. Tas<*h«T«*au. représente une énergie éleetrifow double «le coil<» de Niagara.Il |h rn ettra à T “Aluminum Company ; of Canada” <!«' prod u in» huit fois nlua qu’à Theure actuelle al«»rs que pnxluc* lion est de HiO.IXX) li\r«*s d’aluminium.Ta oompagni«> r une flotte de vingt navires qui attendent Toxtonsion des usines pour transport» r la bauxite «le la Guyane anglaise au Sagnen&y. Fit1dès que les nouvelles usines s«*r«)nt. en y ,,exploitation. K).(MM) ouv ri«*rs tnmv e- i îr«>nç«m de ligne qui vient «I « tre cons-

j r«»nt de Touvnw»* à Arvida qui se pré- ! B*uit par le ( ana«licn-National. ; pan* à recevoir une population «le Au sujet dos terrains momiés «lu Dv- 50,000 Ames I St-Jean, le Premier Ministre dit que|

«léjà trois millions et demi «le piastre»!

sur» r une prot«vction efficace à la font. Source «h- tant «leîclmssc pour la Province.

Parlèrent à la suite de Al. Tasehe- reau l«%s honorable»! MAI. .Moreau, Mercier, 1 « rrault, Dillon et Turgeon, \i . A. Svlvestre <4 A.-V. Davis.

\t. Davis faücita le Gouvernement “Là-bas, on a été très heureux «1 ap- î.«l<'vou« m<*nt sincère qu’il avait té-

prendre que le chemin «le fer de cein-j nuugné aux habitants du l^vc St-Jean turc serait «‘«miplété. Cette iign«> «tffri- rM—————————————ra un bofi débouché aux produits agri- | _____________________coles. Déjà, les deux gramles paroiss«*s «l’Albanel et deNcmiandin bénéficient des avantages que leur procure 1«*

Arrivés à neuf heures du matin, les excursionnistes étaumt reçus à la gare par MM. .Parks et Wake, «leux des pnneipaux officiers de la compagnie et so rrmlaiont visiter la chûte à Caron et les grands travaux «le barrage qui s’y commencent. M. Taschereau et ses anus ont été vivement intéressés par les travaux en cours et la beauté de cet endroit unique, croyons-nous «lans la province «le Québec. C’est à la chftto à Caron qu’un barrage «pii per mettra le développement «le pri*s d un million «le chevaux vapeur sera «ons- tniit d’ici trois ans. Actuellement, on a commencé une immense tranchée qui, lorsqu’elle sera terminée, permettra de dériver le cours actuel tic la

(Suite à la pag«* 15, 8® col«»m^

L’INCENDIE DE VENDREDI:=n

l■Jj

Parlant «b* la nouvelle villo modèle «TArvida,1e pr«»mi«»r ministre dit nu’ou a tellenu'iit «oofiance «lans son «!é\*««- loppem«-nt futur <iu«* «léjà «maire gran- «l«*s Ikanques s’\ sont établi»*» et y construisent «l«>s é« li fie» «s oui f«<raient l'«jn- neur a n'importe quello ville

“('n nous laiss«' « ntendre. dit-il «nie «lans Tav « nir TAluniinum Company «»f Canada fabriru» ra non seulement d«'s

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1 ■IL •

LES VICTIMES

- -

UNE STATUE DE ST CHARLES BORROMEE. patron de T hospice St-Ch»rlex de O lébac, « été épargnée par flammes quiont ravagé cette inatitutinn. Mala un tableau du aaint, ci- deasus reproduit, a cepend *nt été détruit. Cette peinture re- préaente St Charle* admi.u trant la Sainte C>mmunion à St Aloyaiu*. C?tte photographie c*t communiquée per lea pèrea Jtauitea de Toronto. k

NAVIRES ENCOLLISION

St-Jean, N.-B., 19. P.C.i Deux cargoa ont auhi de*

avaries dans une rolliaion ici hier. Ce aont le “Magna” et l’”Estland”. On let examine aujourd'hui pour déterminer avec pré- ii ion le radoub dont ila ont he oin.

i <■

Vue montrant u vc r»artie cercueil» plecéaRoch, avant la cérémonie 4u libéra.

d i1** Téglise de St-v( uché Lo Soldi )

ont été payées aux propriétaires. Dans] la 8«*ul<* paroisse d«* Rolierv al. S310,000 k ont été* payées pour des travaux. Cet argent a été gagné par «les ouvriers j de cette panûsse. j

Nous avons donné, samedi. In list»' «l«*s pcrsï.nnc» qui ont fait «■«' r.Vent! voyage cri compagnie d«* Th«*norahl«'| M. L.-A. Taschereau, voyage «pii fut ofvasionné par T inaugura tn n <*fii(*i«‘ll« «le la nouvelle usine à pa|.i«*r <1«' D«J- heati.

Nous avons donné aussi le texte «lu , «liscour* qu«* pnmonçait à cette <><•(• «- sion M. E. A Walberg. le pr«^sid«*nt «1* la "lîke St. John raj er A Po»v« r Co.”. |>r«*priétaire do cette uriiic

M. Walberg, avait fait This?«»r que «le l’usine ««t «le la nouvelle \ ill«* L'n< - norable M Taschereau, répondant à ee discours, «léclara

A titre de Canad «»rs r« us sommes tous fiers du sp*'ctacl«- oui n<*us •. été offert, aujourd’hui. Tius eue ja mais, rv-us av« ns rav- n <l«' din «pv o«-tte l»clle régu n «!n l4<* St-.J» i n véritablement l’un des uvilUur' ic tifs «le la IV<\ ir.c«' de Quélw-

“Phisienrs «*nt jwr.sé qu«* !«' Uou- verm nu nt fai^sit faus«j« r« ut • l««rs qu’il a « ntr» prit d’activer le «lév. l» p}*** ment «le oei te ré^ i« r.

‘La pr« sj>éri*é rctu. Il»* «lu l-<' S‘- Jean «-si la meilleur»* réqcii'* u i« nous puissù ns f« urnir. N«ms n « n- tendons pas nous arrêter en si honiv

1 * «»i«*. p» us désir» ns pourquivre c «lé- vel*»pj»«'meivt Après avoir o< n*ribué à la ci nstnu't ion du chemin «le fer «i«

: Dolbeau. nous e. mplèter» n* pr. eh: .’ n**m« rt le chemin «1« eoinrure • u r 1 1 «lu lê S -J. n J’irri plus ’ in. « • ie v« us «ur: i u*» )’«sp. n «•T»\. ' ,

IU»n^’« mps l« s .« ru ■* h\«ir uili %u*- • j

Scene que matin,Jean Herchman».

présentait In rue St-\m«hl« après le dés.^ freux incendie

. de bonne heure samedi qui ravagea le pensionnat

^Cliché Le “Soleil”)

4966

2 Lb t>OLc.lLt QLic.t>^c, LUNDI 19 DECEMBRE 1927

U SEMAINE SOCIALE DE 1928

t * *»st h St-llyacinthe, >ur l'iavita- ti«»n «1* S. (î. N'kt qu’auralieu la prttehauie ‘ Semai ne soiale", du 27 a**ût au l«r hfpteirhre 102^- l.e- uveirhris de la C uiriniMion ^é- uArale de* Semaine* **> M<jnt r4uiu« r > « nuuelit et ont ehoiai le sujet <ie Cotte huitième Semaine le lYublfc- TiL6 économiqu,.. oonaidéré surtout au TH*int de vue agricole. Il* ont aus- m élu un nouveau membre H. la C oir- mifiFion générale : le H. P. l^*dur, <>.!*.. ngont dos études au cousent dos Dominicains d'Ottawa.

ST-BENOIT JM. et Mme Henri Thitrfjdeau ari-

noncent la naissance d'une till»* baptisée Marie- May-Marjolaine-Floret t«. parrain et marraine. M. et Mme Adélard Thibodeau.

M. et Mme Odilon Kancourt une fille baptisée Marie-Jea i.ie-Mane»*- Lùcille. Parrain et marraine M et Mme Orner Fortin. Porteuse, Mme Ladger Fortin

A M. et Mine Alexandre Koy un fils t.aptisé Joseph-Kphrem.-Donat ; parrain et marraine, M. et Mire Kphrem Poulin.Fête de I ’ I m mac ulée-Comcept io n

ambassadeur A paris li;J„d’une manière Holtninelle.

Tokio, 17 (P. C. Mincichiro Les Lnf'ants d* Mûrie se sont faitAdatchi. ambassadeur du .lapon h ______________Bruxelles, oui a re|»rés-nté son ]*ayH dans Ih S. j) \\. a été n'»mmé am- baa*adeur A Paris en rem^îac'cipent ; du vicomte Ishii.

DES DGULEURS ET ELANCEMENTS DANS TOUS LES MUSCLES

..

W jM, .

un devoir et ont été heureuse» de venir faire la Communion en l'honneur de leur mère an«‘-imniaciilée, afin dede- rrander à cett<* mère ai bonne et si pure toutes les grâces dont elles avaient • •«soin, car elle étaient certaines d'ol>- tenir les grâces qu’elles demandaient er ce grand jour de la fête de la Ste- \ierge.Va-et-vient

Mlle Oern aire Mathieu était u St-lieimlt. dirttcjiche

M Homéo tûmon est revenu de Waterville.

M. Thomas ftreton «*st dangereusement malanc Nous fai»ei.s tous les souhaits i*>ur qu’il re\ier.ne A la■M •*

M Edmond Hanoourt, M. Ailol- he et Gustave H inet, sont allés à

Paquettev die.M. et Mme Viateur Turgeon

sont wnu» à St-Benolt cher, leurs jm- rei.ts

Mme daeob Bnillargeon est allée h St-George* dernu renient.

M Éuchanste l»uhier. Mlles N'mdla \eilfrnix, Marie-Ange et IréiÆ, Dutil. «le St-Georg**s. sort venues à Nt-Henolt, dimanche.

Mariage<hi annonce j»our le d janvier

Hi'JS. le managt* de Mlle M.-Ai.ge Dnibior. fille de Charles I»ubier. de St-|ieno!t. avex* M. Joseph Bolduc, ne Thetford. Nos vœux de bonheur.

nBEAUCEVILLE

IL:VALLE Y-JONCTION

EMPECHE LES BANDAGES

DE COLLER

Bell e veillre

ROBERT PULLMANAffections de l'estomac, du foie, du

rein et de l’intestin, aussi bien que maux de tête, attaques d'étourdissement, affections catarrhales, constipation, indigestion, gaz et aigreur d’estomac, perte d’appétit, nervosité, .sommeil mal reposant et douleurs rhumatismales, tout cela le cède au Husky, et cette sensation de faiblesse, de fatigue et d’épuisement est remplacée par une sensation de santé et de force au fur e à mesure que le Husky ait son travail.

Toute ptrsonnc qui souffre de l'une ou l’autre des affections pour le soulagement desquels s m* recommande le Husky, devrait lire l’expérience «le M. Robert Pu Iman, 19 Oak Street. Toronto, La voici dans ses propres termes :

“J’avais ln santé fort délabrée d«- puis ces trois dernières années. Je souffrais d'n faction stomacale avec tout ce qu’elle comporte de misère. La constipation me faisait aussi grandement pâtir. J'avais aussi l’intestin dans un état de grande faiblesse et je ressentais des douleurs et «les élancements dans tous les muscles. J’étais en outre affecté d’u ne forte pression du sang. J’avais le corps tellement endolori et senaib’e que parfois lu pesanteur de mes habits m’incommodait.

“Jusqu’ici j'ai pris tr«>is bouteilles de Husky, et grftce à cette splendide médecine je me sens comme un homme nouveau. Je jouis d’une nouvelle «anté et j’éprouve la sensation d’un renouveau de santé. Les termes me manquent pour exprimer la différence remarquable qui s est fait sentir chez moi sous tous les rapporta.”

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1 remarquait MM. «>t Mmes Ernest jjftoob. Joseph Tunnel, Abraham Confier, Charles Couture, Donat

i Poulin, Mlles Clémence <*t Laurette ' Tunrel. Elisabeth et Atha'a Jacob, .L-annette et Oenraine Courier, Ber-

! naelette Cliche, Fernande Labbé,| Agathe Lachance Thérèse Grondin.I Albortine Poulin. MM. André Lnb- I bé. Jeffrey lâbbé, Henri Giroux,• Henri Labbé, Kmilien Bourque, Kay- J inond Cliche. Emile lâbbé, Gérard | l.ablté et très grand nombre d'au-! j tr«-s dont l«‘S noms nous échappent, j 111 y «9Ut parties «le «ârtes, «'hants, •| musique. r«*n s'amusa tant si bien.l ! <iu«* la veillée s'écoula comme un ré- I ve. et ce fut à une heure assez avan-

«•é«*, qu’on se sépara emportant un ' bon souvenir «le cette agréable réu- I nion.

} RéceptionDmanche M. et Mme Wilfrid Cli

che recevaient leur demeure, un bon membre «ie parents, et an’.is dont voici : YM. <‘t Mmes J«>- seph Cliche \’ital Boy, de Beaupré. J«>el Grégoire. Josapbat Labbé, An- tonio I abbé, Edouard Poulin. Aimé Boilv, Antoine Destie, ^"n e Oédéon Labl»é. Il y eut partie de cartes, chants, n usique suivi d'un succulent goûter, ce fut à une heure assez I avancée, «pie chacun se retira, non! !«aiis regret.

Va-et-vientM. Alplmnse K<-.y était de!

passage, dimanche, à Si-Anges, l’hôte de Mlle Rose-Alma Bisson. I

Mm«* l<arthélemy Lirette, de! St-Ravmon«l, était en visite ch«“Z • M. Alphonse Pouliu, la semaine) dernière.

Jeudi dernier, la paroisse de j l’Enfant-Jésus eut la visite du bon j vieux PAre Noel, grâce à la délicatesse de la Cie Paquet Ltée, Qué-; bec. Ix Père Noel arriva par le train du Çuélxc Central qui entre! en gar«- à 9 heures et se retirai au Manoir Bilodeau, où il fut le’ bienvenu. Dans l’après-midi, mis les petits enfants se rendirent à la salle du Club Sp >rtif, où le Père N ici les attendp.it avec t rntes sor-1 tes de jMicts.

Nous ténors à rfmcicicr le Bon1. Père N«>el d** sa visite, ainsi que la1. Compagnie Paquet.

NaissanceM. et Mme Léopold Carngnan {

annoncent la naissance d'une fille, baptisée le 11, Ma rie-Reine-Yolande. Parrain et marraine, M. et Mme D. Perrault. P »rteuse, Mme] Ernest Jacob. Nos félicitations, i

Cà «t DM. Michel Anto, «le Nt-Georges.

marchand, était à Beauté ville, lumii.Mu e Nérée Gagné, d» St-Jules.

« tait chez «es parent*, la semaine dernière.

M. Charles Poulin. Pi* m-t ainsi que son fils Gédéon, de St«vRoæ, sont ..liés récemment k St-Hyacinthe, visiter !*• Rév. E>« re ]Jk>n-André, élu z les RR. FE’ Marine*.

M. Irénée (JiItM-rt. de St-Joseph, éuLt dimanche, l’invité de Mlle Antoinette Mat hie i.

-Mlle Bermulette Nadeau « t Mme An ton u» N'allée, de St-I'eno!t, ainsi que l«*s d«ux lillettes de Mm*1 Vallée, Marthe et N«*ella, sont v* iia* s passer la j«>uniée <!«■ lundi chez M. Ab*«*loii Gilbert.

M. Georges Iêssard. 'i«* St-Pros- ]»er, « st venu k lieauoevill«\ ces jours d«*rni**rs. en voyag»* «i’afTaires.

M. le notaire L.-P. Turgeon, «!«• Bt-Victor, <-t Mm** Turgeon ont passé lu journée de samedi k ll;*auceville, les hôtes de M. et Mme Jos. Veilleux.

Mme Napoléon Veilleux est «b* r«tour «l’une promenade d’une quinzaine. k Montréal, Québiw et Sherbrooke.

M. l';.bbé V. Gennnir, dv St«- Mari**, r fait le s*nii' ii "i.nar.cli«*.M. G»rm:.in a parlé «le r«»*uvre de la crèche. La c< INcte au j roî t de oett«5 * eu vt* a n».pp< rté la j» liv • imn * d** $143.00.

M. Louida Gilb«rt. qui trave/lh* à' Sb«*rbr«*ok*-, depuis une quinzaine a passé le j* ur «<«* la fête <i«* l’Imma- culée-Cor «'ep'h n dans sa faunill*1.

M. J.-A. E’<^tin. a passé lu journée de mpj*di h Beauccville, pour affaires.M «t Mme L.-Ph. Poulin * nt

passé la soirée de l'Immaculée-C-.n- eepiion, à St-J*)M'ph, ch*z 1 *urs parents.

—Mlle Daria Dostie, de St-

Joxph. éiatt en visite à B« auc« ville, la iemair.'* dernière, chez ^f Mr- j* nque Gilbert.

Les membres de notre conseil d* ville ont siégé, samedi s«jir derri«i üt percM'ptlon des taxes et i'E.Ych* «1«- M«tnuiserie ont été les deux principales questions discutées U cr-’u- MH«-mblée.

Aux mess» s de jeudi dernier, i ur d** rimmaculée-C« nception, c'est Nf !*• xicpjr** Bélanger qui a pro- r.« ncé le sermon,

i lui I *.rdée de neige de mar li a.! enî.n, iR i de “Eieaux chemins”. Per-

s »nn* n.* s’tn jJaindra. Le char- royag* du b<;is peut maintenant s'* ff* ctu* r.Ir --Ï1

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Mlle M.-Berthe Morm « st revenue d»* Montréal, où elle était l’invité#* de sa cousine. Mme Eloi Hamefin.

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] M. E'reddy Guimond, de Rivière- «iu-Ixiup, jiasse quelque temps dans sa famille.

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Ses trois garçons ?nt des gros rhumes j

qui tiennent ferme]> rue St-Georges, j rit: “L’hiver i

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dernier me* trois garçons eurent de . terrible* rhume* « t une toux qui ] tinrent *i bmgtemp* «pie la chose; commença à m’inquiéter.

"J’allai trouver mon pharmacien, ! lequel me demanda si j’avais es- ! savé 1»*

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“Je lui répondis que non, mais que je l’essaycmis et je dois dire que. après «m avoir fini la troisième >k>u- teille, mes garçons furent entièrement délRirrassés «le la toux.

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La simplicité est comme un parfum. Elle i»eut avoir pris la o«»m- binaison de beaucoup «le choses mélangées pour être achevée. Si nous prenons aussi soin dans le détail de nos robes qu’ en faisant un de nos plais favoris, nous apprécierons d’ autant plus les «*ompliments, qui nous feront gunter dn vantage la soirée passée en compagnie de nos amis. Là dans **etfe charmante robe, on peut voir la nouvelle et 1* intelligente dia gonale des garnitures qui convergent vers les fleurs à gauche th» la hanche I,a ligne symétrique est faite par la «Irspene. sur un coté seulement: et «eln combinés avec 1’ enrolure en forme de 1 derant et derrière font généralement c* que I’ on appelle, une robe simple mais qui est, en réalité un chef d' oeuvre de dessin. On peut la faire en crêpe de chine, soie crêpée, crêpe Roms avec des rubans ou ties bandes de velours assortis ou des bandes de même étoffe d' une nuance plus claire ou plus foncée. L* emploi du satin de «leux côtés est aussi très chic. Les fleurs sont de georgette assorties. (Copt/rtçht, 1927, hj Huit crick )

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w* ----------------- 88Lst-ce la disparition d'un peuple? Dan* la Lubyanka mexicaine

Ce Que recèlent le* *ous-tol* de l’Inspection générale de la ' police Rober* Cru*, le Dzerjmsky mexicain Exécutions *o m - | maire* et torture* L’horrible bagne de Mxria Madré En proie aux généraux cruels et rapaces La galerie de* généraux massacreur* -L'ancien régime bâtissait de* écoles; le nouveau en fait des prisons Un régime agraire qui promet le pillage Trois millions de Mexicains, ouvriers et paysans, ont quitté leur malheureux pays Un peuple et un gouvernement sous le régime de la terreur

PAR FRANCIS McCU LAG H

14 o 3Ccrrrr.rnt Roberto Cruz

se crée des “recettes”

Izi itior rcligieus'» «‘st surtout un mover «u- rai ire. De lourocs i.nmni.e* ***rt in >s«*»*s (tout à fait illégal« rr«7 11 i ,i\ . •‘r*onr.»*x assistant à la me**«* ’ L«* gér érnl Ko’oorto C ’ruz *>r- orî*«*. sous <*« , rétexte, «io* t rr<**t« t im v qu<*‘iiti«-r.re* et le* mul- tiplie I«* «,imaneh<* «iar* le but d’on retirer 1h plus « l’argon t possible. Une l'arti“ d** «•« t prgort va au gonvor- i «• non* mexicain, «umt le Trés«»r est «jé*es',»éréinont “à soc”; une autr«) parti» ©«q argent taché «le sang sert è ,*ayer la «iette ««xtéri» ure <»u Alexique aux binquier* américains «pii semb’ent saisir toute* l«*s «>«*ou- n«»r.H «le fortifier r**tte clique mésestimée pour iyfr<*or l«*ur r«»m re*- Jiwtable” aux <ié •»*n* «i»** «'AcIrvi-s tnexioainz. Mai* la idus grar.«ie •omme \a garnir les p«K5n«*s ou s *i or Rob»*rto «pii *• fait ainsi «iit-«»r ÎÛ.fyK) «îoilar* [xir moi* «a)puis que la r«r»éeuti«>n a c,omm**n«'é

('’♦•*t o«* q u explique le mèlar.ge r«;g.ilier «ie »K»rsonnes pieuses et *,e Imrdits dans 1«* sillag*» «i«* Uruz. Il capitalis* l’an"ois*e naturelle *i«»s parents prescén *.’arracher l«*urs jeunes garçon* «*t filles a ix prisons ei.combrÂ‘s «*t à leurs mala««ies honteuses e» contagiejS(«* Ses «calculs s«*rt ordmrin-mcr t exacts, car il réussit en général, à obtenir une amer ■ «■ <i«- 5<X) pesos «*u 250 «i«»llar* I>our F élargi s "ement «i’ur seul pri- ■or.rier. Dans le cas ties prêtres «*t «i« * ri'îigieuses, il a fixé nomme tarif 1,000 i»csos. soit 500 dollars.

Dans b» b«*8u quartier «.es affaires «ie 1* «*apitalo, \ous i-ouvez sur\«*il- ler durant toute une journée les magasins *ar“ voir un seul clkrt «*r ff>ul«*r le seuil ; niais \ous n’aurez jâs â attendre longtemps «levant l’Inspection générale sars y v«#ir amer.«*r «le* prisfinn.i«*rs politiques

ré ter qu’elle on néglig»* l«‘s crimin«*ls de ^roit commun dont l’audace granoit chaque jour. IiO* voleur* k la tir»1 foisonnent. Moi-m«*m«* j’eus mon portefeuille dérobé pendant que j’achetais «les timbres au bureau g»'»- nérpj de la ]K>ste et quand je m’«*n plaignis, il me fut réjnmflu que la v ill»* était pleine <1«« pickqHïckets. et «m«' eeux-et s’en donnaient à ooeur joie, puisque la police était absor- bée j'ar la chasse aux prêtres, ce qui payait mieux.

!>** collir.es qui enserrent la ville sont infestées «le bamiits : il est «inn- ger»ux «i’aller au délà de 15 kilo- m«*tres dans certaines «lirontions, si bien que la jeunesse «les colonies bri- U nnique et américaine a «iû renoncer aux pique-nique dans les *•«*11 mes 11 y a deux mois, l’ambas- *a«.«*ur Sheffield dut abandonner s«n ’• rram. «ie golf k un club local dans la banlieue «le Mexico.

Des fenêtres de son bureau. Roberto Uruz peut apercevoir ces liau- teurs «iont les incursions des Immiits rcn«i«'nt les parages dangereux.

Je décrirai minutieusement le >*- n«*r inspect».r general Roberto Unix. 1«* D7.«Tjinsky mexienm.

Grand, lourd, avc«* un c«.u «le tau

Pour la plu* grand' m 11faiteur »

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l«a poiice est. si «««uj-ée à les ar.

r«*a i. c’est un h«»rnme «l’cnv iron Ul ans. ind«l«*nt, insolent, sensuel, h la m« ustaohe en bn*s8© k «lents qu’af- f«»ctent. «le p« rtcr au M«*xiqu.* !«•* généraux n’ayr.nt jsmeis c’r.nu la vt.-ie gu« rre, le m«*nt«,n bleu bi» n rasé. j> udré h plaisir. U« mmo s«.r maître Unlles, et le. plupart des g« r.« de la barde «talliste, Uruz «st un mé»i*; «t c’est pmit-étn là r«xpli- eiti« n de la brutalité av« «* lanuelle il traite les malhi'urcuM s femmes et j«ur.**s filles blanches 1 rainées devant lui.

Il p« rt«* un uniforme militaire e« 1- Innt; «n lui v«»ir invarir.hlem»nt un rev* lv* r à ln c irtur, «*t il «*n traîne t«.ujours un sur .‘■«•n bures i. à eôté »l«' >a en vache Bi. n qu’il s«* ^«rv« « rdin.,vr«i7i« ni d’une luxueuse nuto- mfibile cadoau d« . « n ami ('ailes.

il affecte «b* pi rt« r des iKittine* avec éperons. Uuri**ux mélange de virilité et de goûts féminins, il *«» parfume c«>mme un** feninn* «le mauvaise vm; simple p*»licier qui n.« «’«'st jamais rencontré face à face, «l’égal à égal, »>v«'c un homme armé, il a l’air plus UJliqu* \ix qu*- le Md-maréchal v« n Hiwlenburg dans toute sa gloir«\

f'ru»‘l par iiatur**. gardant presque è la surface «b *« n Ame une bonne d«*s** de la sauvagerie native, il a aussi peu «le rcsp« ot pour la légalité que nVn a un t.vir«*au furieux. Le général Uruz assassine « u «léporte l«*s susp«cts vans pr* e«'*s ni enquête qucl- eonqu* On en fusille dans l«»s *<>us- s«»l* <!• l’in*rscti«n générale, on .-n ♦ xile danps 1* bagne «lu Pacifique, connu ^ us 1 n« m d’Ile* Matin, on ♦■n fait disparaît r»1 sans traces « n chemin. Un jour 10 «xilét « nt quitté 1« p«»rt d« \Tr.« p^.rt d’ein-barqu« m« nt p«,ur - Iles Marin, et été «mmeré* «isn* un batt'au; <le- pui* cette é)* que plu* un m«it tou-] chant U * déportés ou 1«? bateau.

“Tué pour tentative de fuite”

l«a I >i F u g a « u loi «le la fuite <‘st un moyen s« uv*>nt employé p« tir s«* «lébarrasser «l« * susp«c - Ù«‘tt»‘ “|«.i”peut *«• résumer «t eino mots: “iué p« tir tentative de fuio*". Elle re- *r»'it un*1 fr«r«iucnt«‘ application et l»** j'.um&ux «I«* Nl»‘xic«» «'n «'* nr/T.t n« n- chalemm«'nt «les i x« nip!« s. En v.ici le cam*vas. Un t«*l «-st iveeusé d'un crime . Il l’avoue et * ffr** d’inoinner le lieu «lu crime te '••st t«»ujours un «•ndroit assez éb igné de li* «•»jiiti.ln Tr is p«lici«ra l'y e*,n«îui*nnt. m is il “tente «b» *’«'chopper” « t * n !«• tue 1* qu«*lqu«*s balks.

Ia vérité «st que l’homme m- fa.it «rdiimirement. aucun av«ui niêm*1 s* us la torlur*. car «»n « mpl ùe niaui- tennnt régulier* Tn« rt la t* rture *lrvn* !«•* prisons du Mextqu** . ' t «ju'au-eun« pnuve «1«* erim«* n’a été «1< • montré*- c* nire lui. u’» st p .r . . c».mir:« «k- stratagèm* qu«i plus <! irv

l«>nn«mi «!<• ('ailes a, malgré son inno-j [Cence, payé «le sa vie l’impunité def criminels pour leurs attentats contre les Américains et d'autres étr&n-j

j gew.Dan* tout le Mexique, on applique

[cette méthode aux «*nnemis |K>liti-., «pies «lu gouvernement. La presse «-n I rapporte «les cas, bien qu’une rigou-

| rouse cer.sure empêche la publicité de la i)lu] art «1«* ces crimes. El U-

i nivessl «lu 27 juin en «tonnait un j cas typique datant dr !r« vdlle “M.|I E«louard F«‘rnandez de Lara pro-, priétaire «i«* Tlaxeala, près d’Apizaco, ‘ fut arrêté, sans aucune garanti*', î»ar le gér.érpl Bartolo Hodriguez, chef «ie* «opérations militaires pour la s«»cti»»n <i«' Tlaxeala. 11 n’y «mt ni procès ni enquête «i’aucune sorte et le prison- nier qui était accusé «i’apparterir k la Ligue pour la «iéfense «le la liberté religi«*use ne fut autorisé ni à pré-j sert«r une déclaration ni k «'ommu- riquer avtH* aucun «ie s«*s amis. Di ««ernière nouvelle reçue à s«»n sujet d’est qu’il avait été “fusillé ]**n«iant, qu’il tentait de s’enfuiri’. D* général Bartolo Rodriguez fit paraitr»* l’information officielle «pie M. Fernande : «ie liara avait confessé son crim«‘ ot avoué tju’à Acocatla et en «i’autn-s lieux étaient cachés <i»»s dépôts «i’ar-, mes qu’il eût été heureux «i** livrer.! Il fut conduit sou* escorte a Acocatla pour «iéc*mvrir c«*s arm«*s, mais il tenta <i«* s’éehap]M*r «*a route et fut J tué”.

Voilà un cas typique «l’assassinat politique ordonné «k* sang-froid peut-être F. «i«* Dira avait-il r««fu*é ou avait-il été «ian* l’imiiossibilité «i«* T*ay«*r une rançon. En tout, cas, il ny eut jamais «le dépôts «Farm »* .

Une scène de lâcheté

(“«•st «b* R«/b«*rto UfUZ «pie je in’«»e- cupe s’irtout dans cet article A Dieu n«* plane «pie j«« veuilb* anticiper l«» beau p*rf'cè* qui l’attend un jour ; mais il «-st sûr «pi’on le eharg** n«*n «j’un me irtr *. mais «1«* centaines «lo

meurtres et k^ présomptions pour, une poursuite sont «l’une force «‘f-1 Croyable, écrasante. Je ne veux pas les reproduire ici; cela prendrait trop de place, mais elles sont prêt<*s «‘tj seront produites au mom«*nt opportun . qui n’«»st pas loin.

Je décrirai seulement une scène o> Roberto Uruz apparaît comme un charretier lâche, obscène et brutal, | frappant les fomni«*s «*t les jeunes fil-' !«•* a coups «le cravache, à la figure. ! Mon languag«> est dur? Le vôtre ocrait plus sévèr«), si veus avlas «jomme moi, vu ces femme* et si vous leur aviez parlé î

Elles étaient allér** en députation à l’inspection générale pour «leman- der au général Uruz l’autorisation «!«• rouvrir une église «l«»nt i) avait «ir- «lonné la fermeture, (“étaient «les servante*, des pauvres marchand»-*, des femmes d’éttalagistes. «1«** mères «k- famille, «les jeinu-s filles «le 10 ans et «l««s enfants «le 12 ans; c’étaient ««neore d«*s graduées «le rUniversité, qui connaissent une «lemi-douzaine «le langues et «les vull.,ig«-«»i*(>s in«]ienn<*s qui ne savent pas l’espagnol; en un mot, c’était une délagation t«»ut à fait représentative et. une républi- ouo qui professe (sur le papier), «les tnêonos aussi démocratiques que le Mexique, «-lie avait «Iroit d’«-n app«*- ler au chef «le la poli»-»*. A coup sûr.ni ni Trcpow ni Dz«*r jinsky ne l’auraient reçue avec plus d’insolence

Une dame qui îl Urur, quelques moments avant l«-s autre, me raconta les faits, et d’autres sources confirmèrent son récit. Uett© «lame «»st ir-ère de famille; elle parle eouram-1 ment trois langues «-t est diplômée d’une Université belg<-. Fille était allés* informer l’Inspecteur général

*«• la visite; mais, «|iiand elle eut dit «lue la délégation \enait parl«»r «le1 I églis«», il sonna s«»n ordonnance et, j lui cria

Mettez la délégation à la porte. | On la recevra à coups de mitrailleuse si ce sont «les hommes; a\«-«- la j*ompe i» inct-ndie si ce sont «!«•* i

femnu-s.Ses onlres furent ponctuel leii ent.

exécutés, «*t. quand la délégation franchit le seul, queknms instants plus tard, elle* fut ivçuc par une for- inidabb- av«*rs«* qui tren'.pa l«*s mal- h«-ur«*uses jus«ni’aux os. Le gr«»s «le la délégation fit halte, mais un certain nombre d’entre le* plus jeunes s’arrangèrent pour pénétr«-r jusqu au bureau «lu chef. Alors 1«* sauvage s»« réveilla «lans sa brutalité «*t, saisissant sa cravaelu* sur la table* il la lança à la face d’une b inme qui plus sieurs semam«-s après portait «-ncon- les traces du coup. La brute furieus»» frappa ensuite une autre femme la blessant aux épauk-s et à la pfutrin»-.

Une des plus hautes «lames de la colonie britannique, à Mexico, m’a raconté c«-s faits; «-lie a vu les hl«*s- sur«*s. Cependant, leurs maris n’en surent rmn. S’ils les avaient connus, ils «‘lissent tenté de défier le eh«‘f <1«* la police et pnJ-abhmo-nt l’un de s«-s sl*ir«-s les «*ût poignardés ou tués à coups de révolver.

Les jx»liciers de Uruz perdirent lu tô*t*5 eomtne lui. 1 tie vitre a\ait été brisés; on ent«*ndit une \oix d’hfmimo nui faisait des remontrances. une détonation, et un civil s’affaissa sur le sol. blessé à la têt«*.

à près quo Crus «ut frappé les deux femmes à coups de cravache, il v eut un moment «1«» tr«»ubh> ; aussi jes renseignements df-vk-mmnt-ih confus è partir «le ce moment; «• s«-ul fait fait «•♦•rtain est qu’un civil pr«*t«-sta contre ln comluite «le rinsp««cti-ur général «»t q’uil fut abattu, s«*it par Unix lui-même soit par l’un «m s«*s p«»lioiers.

Il «m Ml uni oue les \ abifant «l’une nation civilisée m«-ttent ««n doute «le pareilles scèn««s «b- sauvagerie se passant dans «l«*s bureaux publics. Niais quVm visite b* N’«xi- «pie que l’on |*arl«- au p«-uple «lans b-s «•onsulats et légations, «*n <l«-\ra r«- connattre «pie Kobero (’ruz «-st l«* type «lu foueti«»ni:air«* “««mstitutum- nalisîe”.

La police toute-puissante

J’ai «‘ompari1 Roberto Uruz à ! • lix Djeriinsky. U«*mm«* <•«• dernier, il «•st aussi habile que cniel. S’il n’avait pas été là. lui et le général Amaro. I«* gou\ «>nu nu-nt serait touillé depuis .longtemps. (Vs hommes sont les piliers «lu callisme

(♦omme Dzerjinsky, (’ruz | eut h l’cMcasion, passer par-fkssus tou*

! le» ministères «l’Etat. Quan«l un ! Anglais fut «‘nformé. il y quel- «pie tempn, «lans k' cache* de l’Ins-

] portion générale, par» »- <;uu sa femme avait en sa possessm:- qmJqueK pnispectus «k* propagan«1«- n-liguui- se. k- ministère nu'xieftin «les Affai- r«'* étrangères r.e put pas interv< -

1 nir jiendant un temps assez long.| «l’abord pour le faire transf 'rer («lan* une cellule habitable, <-nsur* pour k* faire relftclmr.

i Un récent Ilka*»' «le Calles a pla- ( eé le ministère «!«' la police sou son contrôle propre et «lir«-ct, <!«•

1 manière «qu’aucune intervint ion ne 1 puisse s’exercer sans sa pormisshm.

1 1/f* camctèn- pers«mnel <1«* Dzor-i jinska l’emporte encore en dignité sur celui de Uruz, le brutal métb

jà la face sensuelle que l’on vit s’élancer à cheval, un gros r«»volv«‘r

! à la main, av«H3 un lieuglemem ] «le taun-au et ffmeer sur une pror- i cession mligi«’use, comme aus-î frai>- 1 p«r «le sa cravache k- \isnge «le i femmes «lans les \ *-in«-s «1* suuelles 1 couk* k* sang «les eon«piista«lor* ^1 Ntai* avant de s«» livr»-r à «•«•* trans ' |H»rts «k* rag*-, il «•xamim» seigtu u (sement les foules «m il attaoin» p«m- 1 sa\«»ir si elles sont bi*n «lesammé- I *'t «MimTsfséf's de f«,mmes «>t «l’en fants.

Je von* lais*»'. Rols rt«» ('ru/. a\ «*• tout b- s«mlagem« nt nu’on éprouve «n «piittant un être «.di« u\. J* vous laisse contempler h-s up pliees «pu font vos délie«»s «buis

A sui vT«*

1 I

Le TIRAGE du “SoleU”r.l‘“campagne, celui de TOUS let autret journaux frmnçmit et anglai» du toir et du matin réunit. LE SOLEIL Le sentiment n’y fait rien

Si iouj annonçai dont le tournai qiu est lu. vot marcner.di- tes te vendron t.

A Quebec, tout le monde ht "Le SOLEIL", tl va de toi que vaut devei y a nnoncer ce que vout aces à cendre.

36e ANNEE No 294 QUEBEC, LUNDI 19 DECEMBRE 1927 EDITION QUOTIDIENNE PRIX: DEUX CENTINS

CINQUANTE MILLE PERSONNES ONT RENDU HIER LES DERNIERS HOMMAGES AUX PETITES VICTIMES

DE L’HECATOMDE DE L’HOSPICE SAINT-CHARLES

IL;LE SINISTRE DU 14 DE CE MOIS

i-1

F

-: «

La cérémonie qui fut des plus impressionnantes, s9est déroulée en Véglise de St-Roch oit Sa Grandeur Mgr Orner Plante, auxiliaire du diocèse, a présidé—Le gouverneur général du Canada représenté - L9hon. M. Taschereau, premier ministre de la province, était présent-Les autorités civiles, religieuses et militaires avaient tenu à prendre part à cette journée de deuil- Sermon par Vabbé Adolphe Laberge

VINGT-HUIT CORPS ONT ETE INHUMESST-CHARLES

'Par Irénée Masson)Vingt-huit des petites victimes de la tragique hécatombe de

l’Hospice St-Gharles ont été inhumées, hier après-midi, mais le souvenir de I'impressrionnante cérémonie qui se déroula à cette occasion, à Saint-Roch, survivra longtemps dans l’esprit de notre population.

Rarement on a vu une foule aussi nombreuse, et aussi émue, un si touchant témoignage de sympathie. Cinquante mille personnes, groupées dans le vaste temple de St-Roch, aux abords de l’église et sur la rue St-Joseph, ont assisté aux obsèques civiques des enfants uJorts dans l’institution éprouvée.

Les plus hautes autorités religieuses, civiles et militaires de cette ville, de nombreuses organisations nationales et sociale*, la population entière étaient venues porter, par leur présence., l’expression de leur vive sympathie ; et le deuil de l'Hospice St-Charles est devenu un deuil général. Québec pleure la moft de jeunes enfants, enlevés à la vie dans des circonstances tragiques. Québec prie pour l’âme de ces victimes innocentes dont la population a porté en terre, hier, les cadavres mutilée et carbonisés.

Québec conservera longtemps le souvenir de la cérémonie religieuse qui eut lieu à l’église St-Roch où S. G. Mgr Orner Plante, Auxiliaire et Administrateur du diocèse, présida au Libéra et où M. l’abbé Adolphe Laberge, aumônier des pompiers, prononça une allocution qui fit pleurer bien des a'uditeurs-

Plu* de cinq mille personnes s’écrasant dans le vaste temple et menaçant même de causer une panique ont été témoins de cette cérémonie touchante où le spectacle du vénérable abbé Denis Garon, aumônier de l’Hospice St-Charles et témoin des scène * poignantes du soir de la catastrophe, prononçant les paroles de la levée des corps sur les restes des petites victimes émouvait les coeurs.

Pendant que cete cérmonie religieuse se déroulait à ï’inté- rieur de l’église, une foule immense, venue de toutes les parties de la ville, se pressait sur la rue St-Joseph, depuis l’église jusqu’à la rue St-Vallier. Ces milliers de personnes attendirent, pendant j une heure et malgré le froid, le passage du cortège funè bre.

Celui-ci se mit en marche vers quatre heures et demie. Le défilé des militaires et des fanfares exécutant des marches funèbress des sept corbillards portant les petites tombes grises ou blanche, ; et défilent aux sons de glas, touchait profondément les témoins de cette scène. I

DANS LE CIMETIERE

M. EUGENE LECLERC OUVRIRA SON ENQUETE DEMAIN SUR LES

DEUX DERNIERS DESASTRES

Puis, au cimetière îSM’harl* en pleurant que de nombreux assistants furent les témoins de l’inhumation des victimes. La descente des

c'e.-f i ( Toutier, I • I Roy. P. A

Lava!.•uré de

■ils dans une

A.. (iMgr (’amillereprésentant TL Diversité*

Mgr C.-E. La fl anime, P. D. la Basilique, M. le chanoinec |

LE MAIRE DE QUEBEC A S. E. LE CARDINAL ROULEAUSon Honneur le maire de

Québec, M. Télesphore Simard, a adressé hier soir le télégramme suivant à Son Eminence Mgr Rouleau, O. P.,qui sera créé cardinal au consistoire secret tenu ce matin au Vatican :

"Cardinal Rouleau Collège Cànadien

117 via Quatro Fon- tani, Rome.

Maire de Québec, au nom votre ville épiscopale. vous transmet meilleurs voeux et félicitations.

Signé: T. SIMARD* Maire de Québec.

Les pavillons qui avaient été min en berne depuis hier au Palais du gouvernement, à l'hôtel de ville et au Palain de Justico en signe de deuil pour les funérailles des victimes du sinistre de l’hospice St-Charles, ont été hissés ce matin à onze heures au haut des mâts à l’occasion de l’élévation de Mgr Rouleau au cardinalat.

Les procédures commenceront à 10 heures du matin, dans la salle du comité des Finances hôtel de ville On essayera d*éclaircir le mystère qui entoure les circonstances de la destruction du pensionnat St-Jean-Berchmans Des recherches par le bureau des détectives municipaux- Des actes de dévouement

DES FOULES ENORMES VISITENT LES RUINES UN AUTRE INCENDIE QUI CAUSE DE L’EMOI

: BÉNÉDICTION

____ è'S*:-.'

Une partie de la foule sepreaaant à la porte de l’égliae St-Roch, hier après-midi après la cérémonie du libéra aur lea cadavres das

petites victimes de l’hécatombe de l’Hospice St-Cha-les.(Cliché ùc “Bolci *’)—

Aux AssisesDE 0 PEAUX ÉES SÏAAPATHIES . ,T,ut unurtHüA S|nN j ^

LE PRINCIPALLa cérémonie a eu lieu

hier soir en l’église St- Roch Deux drapeaux offerts aux “Cadets

\i. KiMçène Leclerc, prévôt des in I cendics. cornmonrora demain matin, h dix heures, à l’hôtel de-ville, l’enquête qu’il doit faire aflç de tenter d*

I découvrir les causes des désastres de ! l’hospice St-Charles et du pensionnat St-Jean-Berohman*.

1 Nous avons déjà annoncé que cette enquête sera poursuivie sérieusement rt que tout sera tenté afin d’ùclaireir le mystère qui entoure la destruction

i de deux couvents des Religieuses du , Bon-Pasteur.

Depuis vendredi soir, toute'- sortes de rumeurs ont circulé au sujet de

Il’origine de l'incendie au pensionnat St-.1 e*n-Berchman*. Les détectivesmunicipaux, sous la direction du chef

i Lauréat Laçasse, ont poursuivi plu- I sieurs enquêtes depuis la nuit de ven- ! dredi et feront connaître le résultat de leurs recherches au cours de l’enquête de M. i eclerc.

grandecercutmune, après que l'abbé A. Latorge eut récité les dernières prières, était un spectacle capable de tirer les larmes.

Vingt-huit victimes, dont quatorze n’avaient pas encore été identifiées ont, été inhumées, hier après-midi. La population de Québec a fail d’émouvantes funérailles civiques à ces enfants disparus du monde si tragiquement et s’apitoie à juste titre sur leur) Talbot triste sort.

Mais c’est l’insondable dessein de Dieu de placer à côté d’une grande douleur, une forte espérance et c’est peut-être pour aider notre faiblesse qu’il nous offre sans cesse une |»ensé nouvelle qui arrache notre esprit du malheur que nous aurions de la peine à surmonter. Aussi, au moment même où 1 on pleure encore sur la mort des innocentes petites victimes, le devoir incombe à notre population d'a.-suror le sort des survivantes.

Secondé par M. Grégoire Plamou- le fosse corn-♦ P.-B. Garneau, M. l’abbé J.-E. Oha-I don.

pleau, administrateur à St-Roch, MM. Que des féleitations soient adres- les abbés J. Maranda E. Rochelle. A. j séesau nouveau député de notre comté Dion, A. Rochette. Kerd. Côté, E.ilo Dr Pierre Gauthier à l’ocasion de Deschesnes, Alf. Côté, Henri Garant. 1 Kon élection, que ce conseil exprime le

s’apitoyaient sur la pénible situation où sc tiouvcnt placés les Religieuses du Bon Pasteur et les enfants confiés | à leurs soins.

A la morgue où on avait préparé une chambre mortuaire dans laquelle les petits cerceuils des malheureuses et innocentes victimes de l'hécatombe de l’hospice St-Charles avaient été placés, rc fut une suite ininterrompue de visiteurs durant toute la journée et la soirée de samedi.

La foule venait prier pour l’âme «les petits et porter aux parents affligés le témoignage de la sympathie unanime de toute la population.

Et dans ces foules nombreuses, on entendait des expressions de douleur, de tristesse. L«>s uns disc«vuraient sur la cause de l’origine d** ces incendies presque simultanés, les autres racontaient les scènes de dévouement dont ils avaient été témoins ou qu’f»n leur avait rapportées.

Lagueux” par la S.-Jean-Baptiste

S.

MGR ARSENAULTA PRESIDE

Hier soir. ;« 7 heures, en l’église de Saint-Roch. eut lieu une belle cérémonie à l’ooeasion d<* la bénédie-l lion de deux magnifiques drapeaux > offerts aux '‘Cadets Lagueux ’ par la! Société St-.Inan Hapli«-te. snction St- Roch. Cette s. réniome fut présidée par Mgr Clovis Arsenault. Le sermon de circonstance fut donné par M. l'abbé Adolphe.

Le soubassement de St.-Roch, où avait lieu la cérémonie, était rempli d'une l»elle assistance. La garde au

.complet «les Cadets Lagueux mon- ! taient une gard»- d'honneur aux deuxi nouveaux <lrap**aux qui s’étalaient dans toute leur beauté dans l«* sanc-

Dans toutes les églises, hier, on a demandé de prier pour l’iistitu- tion éprouvée par les flammes-De nouveaux messages

A ST-COEUR-DE-MARIE

Oscar Genest, du Séminaire de Québec, J. Iâchance, chapelain de !'H<*>tel- Dieu du Précieux-Sang. W. Ferland. Al*‘xandre Vachon, chapelain des ( ’hevaliers de Colomb. Art. Ferland, L.

MM. les abbés Henri Laberge J.-E. Ferland. FL Giguère, Jos. Iâ- croix, A. Déry. Aug. Cantin. C. Turcotte, M. Tessier. Ferd. Vandry. K.

lies pauvres fillettes dispersées depuis l’incendie «le l’Hospice St-Charles et, du Pensionnat St-.lean-Berchmans implorent secours. Elle* espèrent dans la charité «les citoyens qui ont déjà fait preuve de beaucoup «legéné- r«»sité. Et leurs soeurs disparues dont les âmes sont au Ciel prient pour le relèvement rapide «1«‘ l’institution éprouvée ;

A L’EGLISE ST-ROCH

Dès une h«Mire. !a foule arrivait à l’église St-Roch et cepep«iart le chant du Libéra avait été fixé à trois heures. A deux heures et «ternie, le vas- t«- tempi»' religieux était rempli. La foule se pressait «iar- les galeries, dans l«‘s nefs latérale^, «tans les al- lé»**. dans les bas-côtés du chœur.

L'intérieur «ni temple avait été revêtu »i«* tentures noires. Au een- d« l’nvant-ini«ii. «m avait transporté ;i l’église les cereueüs portant les «•adavres «les victim»1*, t’es cerceuil# avaient été plaeés <ians l’avant-nef.

Morissette, A. Fa lard eau, A. De-sjar-jet dins Lord et Chabot ; Les révérends Pères Eudistes LeDoré. aumônier du couvent du Bon Pasteur et Bellego. ■ chapelain du Pensionnat St-Jear-| Berchmans et de la Cotardière, les | RR. PP. Martin. O. P., Giroux, Coug-J han. Pintal et Bélanger, rédempto-1 rises, Magnan. O. M. I . Settler, du Patronage 8t-Vineent de Paul, S. Iê- may. jésuite. Thériault, O. P.. Baril- leo, O. P.

aux journaux.Adopté.

BOXA

Cette enquête portera aussi sur les moyens de prévention des incendies, sur la pression de l ’eau le soir du feu au pensionnat <1«‘ St-Jean-Berchmans.

Ijcs incendies presque simultanés de ta semaine dernière ont rendu plus prudent tout le monde. Déjà. or. parle «b» l’application de nombreuses réfor- nn>s dans toutes les institutions publiques de la ville.

I^s Religieuses du Bon-Pasteur qui «'.nt reçu du Château Frontenac une généreuse hospitalité le soir de l*in«‘en- die sont retournées à leurcouvent dans la journée d<‘ samedi.

On conçoit sans peine l’émotion très vive qui a saisi toute la population de notre ville à la suite des «leux désastres de la semaine dernière. Cet affo- lement nous rappelle celui «lont on fut témoin lors d<> l’épidémie d'influensa

ALFRED XACD. i qui fit tant de victimes à Québec. Secrétaire t ré«*ori» r

désir de voir la même coopération entre l«‘ c«>ns«iil de comté et le député lorsqu’il s'agirn de l'intérêt public,

j que par le passé avec son prédéoesreur et l’assure de son entier dévouement

j dans tout travail «m rapport avec le progrès de n»>tre comté,

j Que copie «le la pr sente résolution soit transmise nu Dr. Pierre Gauthier

j r , . j tuaire. La ganle était sous les ordresLes circonstances mystérieuses qui du rommandant. Arthur Perron.

,ont entouré 1 incendie du pensionnat r Kr- re Raphael F. K C . directeur des «‘ad*-!*, était présent II nous faut aussi mentionner le petit tambour

. On entendit des personnes nvajor représ« nté par lyiicien Robitaille émettre 1 opinion qu un maniaque fl|B Mme L Robitaill* et petit- pouvait être 1 auteur du désastre de ; ^ yj Honoré Bornas^», inaltre-

Dans le chœur parmi les mem

bres du clergé. Mgr C Arsenault

St-Jean-Berchmans. vendredi soir, faisaient naître toutes sortes de commentaires

être Fauteur «lu désastre d«l’hospice St-Charles et de l'incendie du ! chantre de St-Roch pensionnat St-.lean-Berchmans. D’au- mms avons remarqm • res croient encore : a version qu’un ! hr»*s du clergé. Mgr ( criminel peut avoir allumé l’incendie ‘ qUj présidait la cérémonie de l’institution de la rue St-Amable.

Dt’SSAl i/J.Préfet-

Durant h», journée de samedi, l'eff» - Icimrt fut tel que tout le monde croyait à d« nouveaux désastres. Au cours «le l'après-midi, la rumeur circula dan* la vil!»' que !«• couvent de Sillrry étrit en flp.mm»1*. puis on affirma que le c« !lèg«- «le L«*vis était la proie <ie Félénu rt destructeur. I ne couple d’alarmes qui firent sortirent

MM. les \ Morel aumfinmr général Société St-.Ienn-Baptiste de

Ernest Ch&pleau. aumônier »n St-Roeli, B Garon. nu-

\ raie copi*v Alfred Xaud.

Sf'crétaire-trésoricr.

Au c«Mirs de la journée de samedi I l«>s pompiers p< ur des cemmenc*»- et hier, des foules immenses visitèrent monts d’in.ocndù ««usèrent beaucoup les ruines de l’hospice St-Charles et d’émotion, survenant au moment où du pensionnat St-.îcan-Berchmans et ' (Suite à la page 14. 2e colonne)

qui pr« abbés de la üuébec, El «îe la sect i«rnônier «!«• l’Hospice St-Charb1» vée d«* l’Hospice St-Antoine. E «lu Refug«‘ <l«’ Donbo'Cv s. I’A. I«berg<‘. etc.

Dans le chœur av aiem pris pla«*e sur des fauteuils, l«*s «pièt«urs. ('< sont: M. «-i Mm.' .1ns. Emond, M. « t Mme Char!es-M. D'tarte, avocat. M. Al- ph« rse Déch» -m . acc« mpagné «!«' s»

(Suite à la î»ag<‘ l.r>. i»«' colonne)

Dans toutes les églises «le la ville, aux messes, hier, on a demandé aux fidèles d»1 pri«‘r pour les âmes de^ innocentes petite* victimes de la catastrophe d** l’Hospiee St-Charles et pour l’institution si dur<‘Tnciit éprouvé*» par les in.cendms «le la semaine dernière.

lies « urés des paioiases <»nt remercié. au nom des religieuses et des parents des <*nfants, tous les citoyens qui «»nt. porté leur généreux concours soit, au sauvetag»» «l*‘s enfants, soit aux seeours donnés après l’incendie, i

A St-(’oeur d«* Mari* , le curé, le j U. P. <1«* la ('otardière a «‘ommcntéC^"

Il n’a fait que répéter ses déclaration» anté-

Krieures, savoir, les prétendus aveux qui lui auraient été faits par Faccusée, la veuve Gallop, dans un moment de défaillance morale

LA FOULE

U alter Simpson a témoigné peudar 1 Jeux neures pour la Couronne, samedi

de la façon détruit le chmans

suivant * l’incendie «nn a Pensionnat î4i-.b*an-B«>r-

séan«*e et les déclarations du "star-witness" do la poursuite n*oi»t été guère différentes d© ce qu’elles furent, aux procès antérieurs.

“L’incendie qui a détruit le pen-! Simpson a mi* d© nouveau devant sionnat St-.lean-Berchmans nous tou-l le Jurv les prétendus aveux que lut ehe «le tri s pri's. puincpie c<'tt«‘ mai-1 aurfii^n,^s' *,^cu!'Ht,quand, déprimée, son était, «iirigée pur les religieusesdu Bon-Pasteur. n«-»s fvaroisstennes et qu’il abritait un nombre assez, ©onsulérable d'enfants «i<* notn* pa-

• roiss»». Nous nous faisons l’interj n^- t«» de v«»s sentiments, en adressant

» aux religieuses si «iuremtnt ©prou- I v*ies à d«'ux reprises dans la même

Lan-1 semamI )u bé

‘lehnt.

Aux premiers rarq^ u» la nef. on remarquait le lt-col G.-P. Vanier. J commandant du Royal 22e Régiment. et représentant officiel du G >u- verneur Général «lu Canada; l’honorable M. L.-A. Taschereau, premier ministre de la province, le lt- col. C. Fages, représentant officiel de Fhomirable M. X. Pérodeau. lieutenant-gouverneur de lo province de Québec; l’honorable M. Lucien Cannon. Solliciteur Général, représentant «iflficielleBient le Gouvernement èédérai; l’honorable M. A. Galipeault. l’honcrable jug«‘ C.-E.

I Dorion.Puis MM. Geo. I*arent, dépuré de

! Québec-Ouest. H.-E. liavigueur, dé- I puté de Québec-Centre. C.-G. P »wer. i «léputé de Québec-Sud; Ls Lét >ur- i neau, député de Québec-Est, H.. laferté, «léputé de Dnimm »nd#IJ >s. Santa m. député de iQuébec-Centre, E. Bédard. député

Québec-Comté l’h morable M.

AUX FUNERAILLES DES VICTIMES T

l'expression «1** notre respectueuse et profonde sympathie.*

Cet inœmiie a atteint aussi plusieurs «î«* nos familles do la ru*1 Scott et St-Amable et n«>tro école i M«#rissette. A nos familles et aux j chers Frères l’assurenoe «h* la part qu<» nous pronor' ^ leur épreuve

Les classes à Téci-le Morissett© | seront su pendues jusqu’à Noel. Pour1 «••tt«* hemafne. il n’y aura pas «h* elasses. I^s cliers Frère*» espèrerit J pouvoir reprendre les classes

Ions huit

sentant tout s’écrouler autour d’elle, elle aurait cédé à ur moment de dé- faillarco moral*' et déchiré* avoir empoisonné son mari qu’elle n’aimaitpas.

Me Taschereau ayant déclaré ne pas vouloir interrompre son contre- intfrrog»tnire «i«* «e t«m«>lr irnT>ortant la < our s’ajourna à lundi, viais Simpson reçut, l’ordre d© n© palier de sa dé}M»sitior i< qui que ce s«»it e*. pou» plus de sûreté, la Cour lui inMma de rester sous la garde d’un constable pr«»vin<ial durant l’ajoumemenl d<* fin «le semaine.

Amy Sprague, à maintes reprises, protesta « outre les déclarations «lo son ai'cicn amant, en ^c«»uant ér.ergimie- ment la tôt»' de façon négative. Elle r.e cessa «le le fixer du regard «lumnl

Miipÿ»., tout son témoignage et appeiia plu- ! sit'iir'j f**is M»s défenseurs afin «le I©leur

Celui u«* I ’ héroïque jeune fille. Rosa-1 / f r» i ■ * ^ . j fiA,ma .i.MMlnau. rouvert ,,'unr ton ( -h n'''"”- *'mn,"rd,,w ^ 1 lns-ture violette avait été » la«’ée au centre. !)«' chaque côté «ie cette tombe on avait ueposé oix cercueil* recouvert* «ie feutre gris et contenant les corps <!«'« victime* l«'s plus âges Puis, «‘’étaient l«>s tombes «tes tout « s | et it« s, les c« pencils blancs.

Des palmes, «ies eierges et «les eamiélabres, «les bnture* «ie deuil avaùuit été plaeés aupixs «ies t«,ni- Ihs «*t «Sans le ehour ne l’église.

Aux pn'.niers rangs «le la nef oen- rale. «m avait réservé «l«s hanes pour)

I»1' personnages laïques officils, lesj religieus«“« et |K»ur le- (Mirents «les vieil,m- i«lcntniées. Musieurs fillet-* tes «h- l’h«>api«*e St-Charl«*s assistiaent ' ainsi a «•«•s obsè«pn s. nus. l’i.n.nen-j s*' fouI*1 que l’on estime n plus de ô.OÜÜ |h rsonn« s»’écraisnit littéral» ment i (Mirtout. A ion tés sur I«>m bancs, près j des colonnes,«lans les allées, «Icm fidè- les s«' liaussaient |v»ur voir la cérémonie religieuse.

Au «dmeur. tinclergé trè* nombreux avait (iris plac»'. A .l’extérieur de l’é- glisle. inca(iables même d’approcher «ies |Mirt«‘s «lu t«‘mp|e débordant, «les J millios «I»1 (HTsonnes atten<lai«mt la j fin <1«“ lAifflf*»' funèbre

A trois heures. Ai. l’abbé Denis Garon, aumônier «le l’Hospice Ht-' t Uarles, r«'c tn l*>s prières de la levé»' «In corps, puis S. G Mgr Orner Plan-I te. Auxiliaire «*1 Administrateur du «Uocès* assisté «le \f\l. les abbés O ' Faucher. «Uiré «l«* J*c«|iies-C*rtier et f Ant. Huot, «lirecteur «le la "Seînaine KoligU'iise'’. prenait (»la.r«* au tr«>ne dans le ch«*eur

F. Delnge. surintendant de truction Publique; S. II. le maire T. Simard, de Québec et MM. les éohevins Bé«larnt Moody. Auger.

I Hunt. Godbout, Cantin, Coulomb©, [Tremblay, Dinan, Bouchera. Drolet; MM. Dr V. Ma«tin, ex-maire d©< lié bec, Ose. Hamel. N P Jos.

(Picard, président «la la Commission .Scolaire, Dr J. Reid, maire de Châ-

j lean d’Eau, Àlp. Dechêne, Jos. j Bédar.l. Jules Gamin. Jos. Emond, j

1 Orner Fleury, président du Conseil i Fédéré. Ed. Vermillt, Ad. Lénine, j président de la seeticn St Jean-Ban-'

i tisie de St-Roeh. Dr K. M«'ffet. Dr!J. Guérard, Dr Jules Dorien. \ap. ! Barbeau. Elz„ Carmichael, Ls. Lüv« ie. Adj. Lachance, aim C.-E Boivin,! A. Turcotte. C. Jobin et J.-J. Séguin. marguilliers «le StMean-Baptis-I te; MM A. Duval. V P.. Pierre j Beaulé. président 1«* In Confé«léra- tien «les Travailleurs (’ath« liquea;I Art. Parent. Dr P.-V. M arceau. Il-:col. Ose. Oilberl. le colonel P.-S. dont «le la ôèmeT. Vamt, Dr sRoyer.

(Suite à la pag«‘

Col F.-W. Po|e. Bemiit, coniman- divisi« n militaire, Oaudreault. J.-S

.*». Ire colonn*

I )ans l«* Mrr Plant

'/ASSISTA NC.

eluM'iir. aux c<*»tés «le S e. «»n remarquait Mgr C

FELICITATIONSBURE Al DU CONSEIL

MUNtCtPAi.DI COMTE DE POKTNF1 F

Deschambsult. Iff dée. 1927

Conn* d une résolution adoptes par le conseil municipal du «•< mté *|r Portneuf à sa séance gtbiérale tenu© ;i t'ap-Santé le 14 décembre 1027. l'reposé par M. J -h A. Réland

rieures «tans nuit jours. , ,Tous les garç«>ns de l’Ecole sont | donner d©s précisions qui leur servi

priés «b* s«* reluire dans la sali»» pa-jror^ roissiele à 2 heures dit. merenwii pro-J ,'liain O.', les K ri ms scr.ml i. In. „n. s,.vJ.rns samodi matin. .Ip sorloqueû ti-ndm pour les ,,r.-p«r. r A la <1- ''uHou. d«r» la mUo ,1 »u-ainn qui aur» lieu î, .! heure. | ilionre quand Walter Simpson entra

I^*s enfants du clunur «le chant (dans la bote aux témoins, et ceux «lu sanctuaire reeenrent l«'s

lans les t ran «questions.Cour avait donné «Jes ordres

instructions précises de leur Frère Directeur pour la messp «te minuit et les offlcea «le Noël"

A Saint-Roch, MM. les abbés Cha- ph>au vt Lor«l ont exprimé les sympathies de la popuJatmn de leur paroisse Ils ont aus'-i remercié Us «-itovens du beau travail «lu’ils ont fan le s<*ir du désastre «le l’Hoapieo St-Charles

L’honorable M. N. Pérodeau. lieutenant-gouv'orneur «le la prevince, a a«lre^>é aux Révénndfs Soeurs «lu B«»n Pasteur, après le feu de vendredi soir, le nu «sage suivant :

*Le nouveau mallieurqui vient d’atteindre votre communauté à peine 4H heures après l«* désaatre de l’Hospi- ce Saint-Charl<*s. a jeté «lans t«»ua Ifs erreurs un** trist«'<:c«' mêlée «IVffroi. Pour ma part, j’ai «'*té fnrl affligé «n apprenant la ruine de votre beau Pensionnat St-Jean-B'Tchmar.'v .«• ne puis assez «lirequelle large part je prends

la peine que vous cause la |»erto ira

lnt« rrogé par Ale Valmore Bienvenue. C. R , substitut du proï'ureifr général. Simpson tormina sa dépoétrf: h »r en jurant «(il il n’avait eu quoi nue «’e fût à faire avec la m«>rt d'Abra- ham Gallop.

Il raconta en premif r lieu les cir- coi’starees dans lesquelles il fit la connaissance d«' l’accusé» chez, sa sœur.C me Dotrney, qu'elle visitait. Puis»!

en vint à un voyage fait avec elle à Hébert vill«

Elle lui dit de s’enregistrer sous le nom de Will Gallop et «le dire qu'il était son frère. Le témoin preduit. un feuille «iu r«*gistre«iel'hétel d'Hébert- ■ ville sur laquelle ©e trouvent le» noms <!*• Mrn© Gallop «*t de \\ ill Gal-' lop. Le propriétaire de l’hétoi lu » dr>nnA l'ordre «le s<‘ ret irer et de pren- un© chambre pour lui-même.

( après incident que le té- moin fit des arrangements avec l’accusée pour prendre sa pension chez lui. Il connut Abraham Gallop pourà la peine que vous « «ust- »«»»,»« ««■• o- . , , _- .g,qui qu.. Cous .le faire .;e *»re un homme de forte oonMitutlon

-ire offrir des félicitations aux dévoi . » ^ °1 sssidu au travail, lamaia il na le religieuses â qui les rire» nstsnces « nt malade si ce n est deux ou trois

I érer un com()!et sauvetagepr

I permis «1jqui vous console et je vous ’transmettre aux religieuses j l’expression de ma sympathie. Le premier ministre «t tous les membres de son cabinet désirent partager cette oxpressum d«* sympathie’’

N. PERODEAULt-ffouverneur

De partout, les religi*‘us«»s reçoivent

ours av ant sa mort.Simptiwm travailla le jour qui préeé-

ûlfç.f, si f!a la mort de Gallop et prit H«m repas de midi à la boutique, il u© vit la victime qu’à six heures, après son travail. Il so coucha à environ H heures après avoir vu M. et Mme Gallop dans la cuiame. Il fut éveillé le len

(Suite à la page L". 4e colonn©)

de somPlables tém«»ignages de syniJn ntôt en <ie j,our la r -

eonsuniés par

Scène qui m’est déroulée, hier victime» de l’hécatombe d«

après-midi.à l’intérieur l’Hospice St-Charles.

de l'église de St-Roah, pendant la cérémonie di libéra sur les corps des petites(Chiclé Livernois )

pathie qui se trafluira gêné reuses aouscriptmfis constnK'tifin «l«'s é«iifle< s les flammes.

LA PAROISSEST-FIDELE

:Elle aura aa messe de i minuit à Noels ------—

Li* paroisse Saint-Fidèle aura un©' messe de minuit h Noël «lat*' la b'hape'.l* t«‘mp<vrairr. Fne cr.rt*' .l’.-c’- missi«m sera exigé* f V s earth s ««>r.t

I * n «iép«M chez. AL Jos« ph M».ru**aii, ton Je Avenu*. V.-E Bureau. 140 de la (’anardière, et à la Laite- ru- Laval. L* prix «le la cart« » st de 50 s,ms.Confessions

Les eonfession*» â l’recasien «le

la fête «le VH. auront lieu vendredi soir, è 7 heures JO. et samedi pprès-midi, p-insi que dans la s«>iré« jusqu à minuit. Il v aura trois «îon- fesseurs.Avis

A partir de N «'ni. trois messes seront payantes le dims n ehe s heurt*. *. heures et 10 heures.Vêpres

l>es vêpres surent lieu tous ies di- manches h 7 heures du soir, â l’cx- c«*ption du jour «1*‘ N«vel où elles au- : .r» beu a d h eûtes de l'après-midi. Euchre

« e soir, à la salle Sf-Françf>is- d"Assise. '‘♦tr d<»rré un euchre or- gsmsé j»sr M. Léo»’ Dubuc au profit de l église St-Fidèlc.

L’on pourra ^ procurer des cartes h rÀUiance, 1HN 5e venue, cher. M < iagnon. j de la t anardière, à la Pharmacie Rainville. <‘0*n de ls » arardièrr et 3e avenue, ainsi qu’à la porte «!*• la salle. Do beaux prix serent distribués aux gagnants.

A

LE SOLEIL, QUEBEC, LUNDI 19 DECEMBRE 1927

FAIS CE QUE DOIS“LE SOLElL”

ORGANS n'f PARTI LIBERAL

SOUVENIRSDE CASTAGNAVIZZA

QUEBEC. 19 DECEMBRE 192

APRES LE MALHEURLe jour même où se répandait, à travers la province,

l’écho sinistre de la catastrophe de l’hospice Saint-Charles, quelqu’un de notre entourage nous dit le vieux proverbe : “Un malheur en appelle un autre.” Et il ajoutait: “Je parie qu’il arrivera quelque chose encore d’ici Noel.” Il ne croyait pas si bien dire, le prophète de malheur. Vendredi soir, au milieu du vent furibond et des terribles rafales de neige, au moment où les nombreuses victimes de l’holocauste de l’avant-veille attendaient le dernier voyage au chsmp du grand repos, la lueur rouge de l’incendie montait dans le ciel lugubre, et le pensionnat Saint-Jean- Berchmans, dirigé, comme l’hospice Saint-Charles, par les religieuses du Bon-Pasteur, devenait la proie des flammes. La nouvelle se répandit dans toute la ville comme une trainee de poudre. Impossible de décrire ici la stupeur qui se peignait sur tous les visages à l’instant où l’alarme était donnée. Ainsi, une autre institution peuplée à ce moment de 145 enfants et d’un grand nombre de religieuses était dévoré par le feu. Le brasier, alimenté par un A vent formidable, devait gagner en peu de temps toutes les issues de l’immeuble en flammes. Allait-on de nouveau assister au sacrifice de vies humaines ? se demandait-on de toutes parts. Par bonheur, la rapidité d’action des directrices du pensionnat et du corps des pompiers, l’héroïsme de plusieurs et le concours de manits citoyens ont prévenu les mortalités. La prodigieuse vitesse de l’élément destructeur a été vaincue par un travail humain non moins prodigieux. Et si, à la venue du jour, samedi matin, la population de Québec a pu pousser un soupir de soulagement après l’oppressior de la nuit, il faut en savoir gré au dévouement de ces femmes héroïques et courageuses, dont quelques-unes ont risqué jusqu’à leur vie, et à l’activité admirable de tous ceux de nos concitoyens qui, tout en sauvant les personnes, ont su empêcher la destruction de s’étendre plus loin.

Nous ne saurions tarder davantage à exprimer notre plus profonde sympathie à la communauté qui, en moins de trois jours, a subi coup sur coup deux grandes épreuves. Elle mérite d’autant plus qu’on s’associe à la douleur de ses membres que son oeuvre, faite de sacrifice et d’abnégation, s’exerce en notre ville depuis bien des années. Les infortunes qu’elle a secourues ne se comptent plus; le bien qu’elle a fait aux individus et à la société n’a pas de prix. La cruelle coïncidence qui porte sur elle deux catastrophes successives ne peut qu’étreindre tous les cœurs de tristesse et de pitié. Sans doute, on peut se consoler aisément du dernier incendie, qui n’est qu’un désastre matériel ; mais on garde du premier une souffrance rrè’ée de larmes. De nombreux parents y ont connu le deuil de voir disparaître dans le brasier des tètes aimées; les religieuses y ont vu mourir des êtres auxquels elles avaient voué leur temps et leur zèle pour en faire de bons citoyens. En quelques heures, tout ce travail de patience et de sacrifice a été anéanti. Il faut donc que la population de cette ville s’unisse de cœur et d’âme avec les éprouvés pour déplorer la tragédie et pour réparer les pertes.

Il n’est pas temps encore de donner des conseils et de commenter les faits au point de vue des causes. Pour le moment, la douleur de tous est trop vive pour discuter dans une sérénité parfaite. Il n'y a pas de doute que les pouvoirs publics seront appelés à organiser sur une grande échelle, pour le bien de toute la population, la prévention des incendies dans tous les édifices publics, quels qu’ils soient. Personne n’est à blâmer dans le cas présent. Nous avons affaire à deux lamentables accidents ; mais ces accidents sont la rançon de l’expérience. Et si on peut dire qu*“à quelque chose malheur est bon’’, nous avons ici la sinistre occasion de tracer un programme d'action.

deux Ltat* baissait de 25 cents à 11 cents la livre. Ce fut un véntable crise. Le Pool avaient contre lui deux concurrents gigantesque* de gro« intérêts américains et britanniques.Ceu\-n, pour le désagréger, tinrent une foule de planteurs en dehors du Pool par des offres alléchantes et des achats a van ta-geux La réduction travailla un si grand nombre de producteurs U lü «iéoemlire, en grwiôe poini>**. la profusion et I ordonnance de

,i; .il i * seront ramenées à Gorizia les ccnurcs leur' jais et de leur* perle* seni-I1 ;i dimension se mit dan* les rangs de 1 association et qu on d*, trois Princes et de trois IînoeaBe* blaiert émerveiller candeur. Je

m leva, un bon matin, sur des ruines Aujourd’hui, ce sont les delà Maison de France, que la piété ni arrêtai ; il dut croire que '-'étaii planteurs de tabac nui sont les victimes, et parmi ceux qui I ^ 1 Impératrice Zita présena pen- par admiration. Ou oomprit-ilgémissent, se trouvent oeux-lu memes qui donnèrent tête baissée m (ia^lan Sanvoishx a mia sous les dans le piège tendu par le gros commerce. Les seuls gagnants, yeux des lecteurs du Gaulois, la ians cette triste affaire, sont nuelaues magnats américains et,............ i/a.r

Ny&r

— NOTAIRES —

rflSCHEREAü & TASCHEREAU

,nM‘- ülTu"-'’- ‘luelquc-s magnats américains et jqui. supérieur du couvent de f'asta- gnavisza. est fier de son titre de “gardien des tombes royale*”. On sait que. grâce à des subsides italiens. le monastère franciscain, cruellement éprouvé par les hostilités, «n

Ou comprit-il, lui oui avait renoncé tout, même â une f>airi*. o.u'il était troublant pour moi de trouver loin de mon pe;. s cee témoignages ces et des regrets ou

de- esj>éran- et des regrets nui ont soutenu attristé tant de FracvaE / Sur

ui e terr*> étrangère apnarah plus rottemert la grandeur des fidélités h un prince et à une idée. Je fus particulièrement touché de distinguer entre les couronnes mortuai-

FJltt, vient a’être relevé de ses ruines res une plaque de marbre noir oùet on sait qu a été préparée une ] était grave le nom du duc de Bla- crypte dans laquelle les Bourbons ■l e courtisan île 1 exil, après exilés recov font un asile digne do leur i (>ir v eillé au chevet de ( Parles gnndeur et ue leur infortune. A. donnait de P éternel sommeil près

Avant que les témoins de cet t (lu sépulcre do bon Roi.

I anglais du tabac.La leçon mérite d’être gravée dans toutes les mémoires. Ici

eoiiirne en Virginie et en Caroline, les homm?s qui combattent I la coopérative sont les instruments, conscients ou inconscients,«le quelque puissance invisible J.'* but est l’étranglement d*i fai

j blc, du cultivateur qui, une fois isolé, s î trouve sans défense, i Raison de plus pour tous les agriculteurs di la province de j Québec de serrer les rangs autour d * la Coopérative fédérée, j L’intérêt de ehacun le demande. II faut ici montrer le nièrn *♦•sprit d’association que dans l’Ouest canadien. A quoi doivent | émouvant retour ne nous décrivent 1© . ° .t '« Il effet leur succès les nmrluetenrs de blé du Manitoba de lu j monastère restauré et la nouvelle ( e sepulero : un é roi cft'eau <i»nî

i n , ' l,r M1Ct7 r o . crypte, je voudrai* noter ici le* «ou- 1, s mx monuments occupaient près-,>a>katcnewaii et de 1 Alberta, smon au fameux Wheat rool ou venir* que m’a laissé* un pèlerinage (luti entièrement la ‘uperlloie. A vrai

•coopérative du blé ? Cette association brasse chaque année des | solitaire accompli à Gorizia, en 1908.«eutaines de millions au profit des cultivateurs. Pourquoi les

VDouble Traitement

pour Un Enfant Enrhumé

Les enfants détestent être ‘drogués”, Lorsqu’on les frictionne avec du Vicks, il soulage les rhumes de depx ' façons, sans “droguage”.

(1) Ses vapeurs salutaires, dégagées par la chaleur du corps, Font inhalées tout droit dans les voies respiratoires;

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hypothèque et autres garanties. Administration de successions. Organisation de compagnies à fonds social.

notre* ne profiteraient-ils pas des mêmes procédés •>

L. MEDINA BARRONA ce caveau sans apparat, l'our que

l’était par origin-, v . •tomp«mment. * !'“ "‘«'■'“"-t <,„ > fusant gr»'-» cos lettres et ces chiffres évocateurs de |

(

l ne assemblée a eu lieu hier soir, dans notre ville, pour pro- 1 tester contre l’ingérence du consul mexicain de Toronto, dans i «les choses qui ne sont pas de son ressort, et suggérer au gouver- I nement canadien de demander son rappel. M. Barron ne Ta pas ! volé • ' il croit pouvoir jouer au Canada le rôle odieux du consul j mexicain de New-York, propagandiste de Galles d’abord et con- j'iil ensuite, le Canada se dispensera avantageusement de sa pré- j senro H n'ost pas de journaux, ni d’homme public en vue qui I n’ait depuis deux ans reçu une ou plusieurs missions émanant | de M. Elias. Il ne fallait pas être grand clerc pour découvrir ] qu elles étaient un tissu de calomnies et d’insinuations mensongères. Pour mener la.campagne en question, il a fallu à ce M Elias un personnel considérable et encourir des frais formidables Il va de soi que ces dépenses ne pouvaient être imputables au service consulaire proprement dit : nous savons aujourd’hui que pour le seul exercice en cours, M. Galles a fait faire en faveur de M. Elias un virement de fonds d’un million et quart, avec ordre de l’imputer au compte des fonds secrets . A bon entendeur, suffit.

L’intervention insolite de M. Barron prête à croire que son bureau est une réédition de l’officine Elias. En ce cas, on comprend pourquoi il s’est établi dans le chef-lieu national de l’oran- gisme, c’est-à-dire de Eanticatholieismo. Cela ne suffit pas toutefois pour que soit bienvenue de par le Canada la prose autoritaire qu’il lui plaira de publier.

M. Barron est consul : à l’inverse d’un ambassadeur d’un ministre, sa fonction n’a rien de diplomatique. Au fors

.Üro, le stylo do ces tombeaux n’avait __0 I pas grand caractère : lour forme |

A la Uori/.ia d'alors l'Autrich.'1 Bv."‘ d“ moins !?'avait imposa son administration ot ' mf'nU> <>« lR «m.plicité c« vonverait *oh mœurs: efforts superflus. Ita- , , .„ . - , ... .. .lionne, «ori/ia l'était r.ar oririno. ! I,'ur '“•* fr“PI,st le r<'‘-'ar<l » était-il par habitude, parMaigre le* élément* alovèr.e* et aile- ...manas. olle avait tlfuro latino. Il ".'.'j*. ^suffisait pour s’en convaincre ùe | A, ' „ . vsuivre Otielques heures ses petites, , A. e»u.-ho reposa t ( harlo, -X. l>rosrues au pavé peu clément, mais déli- A7',u'è'"«:

• 1 . . < et en fact», re iJuc de Bordeaux au-oiouses d animation et de v,« mén- „ , fure„t ,v,la a.nu.'ro peu-'d.onale, ses me, où de beaux enfants ^ t (,rrni()r ,,uis„r du , i(.,lx 'mo. désomonné, se querella eut -n riant. par(1|1(, (1„ , 'haml.ord onou <i un« fenêtre à I autre, dune j , Krari.(, tr,J,iti.,nna|iMp vit si nvo i l autre, s échangeaient de so-i n soin„n,ln l lw POU..noms uiaWuos. 11 sufhsait <1 entrer (,|;u, ,a tom!)0 ,i Hon-1oans te le domouro patricienne toute , ri v m,,,,'(.i(., r, n„ ,oulut m«. la ■en escalier, .«ans tel vieux petit ; m, ntn r ; il la prit dans ses maipres1hAtel paré «e fresques o un style majnli ( .. religieux oui ler.ail une'un pt*u ronflant. Il suffisait do mu- f.olirorno auprès dos roste* d’un Roi «aruer sur se* place* ou chanton- oui c'avait pas régné, clans ce caveau ' niicnt des fontaines mignardes dan*( faihlrmcDt «viîré où tout disait la le goût d© 1 école bolonaise uu : tristesse des résolutions, des ahdica-| huitième siècle. Et surtout il suffi-1 t.jons et de* chutes.. Je songeai sou-' sait <ie \oir jrasser à pas lents do (jajn de C'hateaubriand ' Quelle ; jeunes femmes, pied* et jambes nus. phrase pour l’auteur des Mémoire» qui sur leurs têtes brunes portaient d’Outre-Tombe ! D’un tel tableau' non sans majesté des vasques de bois j iuj stm| el-,t pU montrer les -.aisis- ! cerclées de cuivre. • sants contrastes et exprimer l’amère

—o- ; mélancolie.(“est un peu à l écart que le mo-1 „

nastère de CasUbgPAvizza dressait •de blanches murailles et une blanche1 Du caveau princier, une porte non* t0ur, parmi les verdures ©t les treilles donna accès uans le jardin du mo- d 'une petite montagne qui domina nastère : un beau jardin où les ceps j la claire cité et sa vallée féconde., montaient, entrecroisaient leurs raine grande avenue bordée de beaux moaux, suspendaient à l’arceau des! arbres y conduisait- Je la suivis, treilles leurs lourdes grappe*, et où par un bol après-midi do septembre, partout, jaillissaient, s’élanvaient, ex-; tandis que parvenaient jusqu’à moi, Dosaient des fleurs. On jnissait de (ies sons de cloche, un bourdonne- plam-pied de la mort a la v ie, de la | ment d’orgues, une rumeur de plain-* tombe «ies Rois dan* 1 enclos où mé-1

oil I chant. j ditaient de pieux solitaires. (Tétait làJe revois la petite porte timbrée 1 que, selon le souvenir a’un témoin, la

d’un écusson, où le* trois lys de Duchesse d Angoul«*mo avait cueilliintornational, le consul est un agent assermenté qualifié pour j FraPCft _ roppolaient à quels àugus-1 une “fleur <le la Passion une ae nxuire légaux certains actes et document*, concernant l’état! tes morts Castagnavizza prêtait son ' ce* fleurs où semble être demeuré un

_ | hospitalité. Deux jeunes filles, que ' p*u de sang <ti\ m sous la croix que j n’intimidaient pas de

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Montréal 1

civil des sujets du pays qu’il représente, ou mercuries du pays près duquel il est nomnu ment rcc. nt a rappelé à nos concitoyens—si tant est qu’ils sent oublié— qu'un consul ne

es transactions com- j u’intimidaient pas de si grands sou-1 forment les pétales. Il y a dix-neuf l n procès relative-! ^(,nirs. couraient sur la terrasse. : ans. à Oastngmiv izza. de semblables

l’eus- ' et pour 1*^ divertir, un joli officier, [ calices montraient eiioore l'étrang© et ,, . , ; bien sarclé dans l’azur de son uni-1 niys érieuse complication de leurs

jouit pas personnellement de l autrichien, piquait, do la |corolles. Et comme un symbole crée!par la terre, non loin «le ce* fleurs de ; la Passion se dressaient ae grands lis que dorait le soleil c nichant. Depuibl

nunité diplomatique, même si le consulat est réputé asile invio-j pointe de son épée nue. un papillon able pour les sujets ressortissants. Indépendamment du fond (Pi‘> lo 0<>loil a,va*t engourdi sur ln

rl, sortait donc de ses■j

k

attributions en

UN EXEMPLE A RETENIRIl n existe guère, dans tout le Canada, (i<“ groupe plus ditti-

cile à unir que le groupe des cultivateurs de la province de (Québec. Il a fallu de longs efforts pour y créer la coopération, et au moment où le succès souriait à tous, des hommes, animés d'un ♦ sprit, destructeur et poussés par leurs haines politiques, ont « herché par tous les moyens à démolir l’œuvre accomplie au prix de tant de travaux et de sacrifices. On se souvient de ce (pii '’est passé il y a quelques années. Des individus qui. de par leur fonction, devaient être des soutiens et des défenseurs de la coopérative ourdirent une véritable conspiration pour la tuer et y 'ubstituer une combinaison commerciale et financière qui n'inspirait aucune confiance Les circonstances (pii entourèrent alors la vente du “Bulletin des Agriculteurs”, organe de la Société

V-oopérative. démontrèrent que les cultivateurs de la province étaient bien près de devenir le jouet de certaines ambitions per- 'Onnelles et d’intérêts peu avouables. A l’action solidaire des hommes du sol, on voulait substituer un fanatisme politique qui, dans la suite, se développa de façon alarmante. Les derniers événements politiques et la manière d'agir de quelques agitateurs de bas étage fourvoyés dans l’Union de cultivateurs, furent la preuve vivante des intentions destructrices de plu-leurs fauteurs de discordes désireux de pêcher en eau trouble.

Par bonheur, nous avions à la tête du ministère de l'agriculture, à Québec, un homme éclairé, actif, courageux et prati- oue, l’honorable M. Caron, qui démasqua les intrigues et les hypocrisies des démagogues et des profiteurs, et qui. par un heureux coup de barre, orienta la Coopérative vers de meilleurs destins. Il sépara tout de suite les intérêts de la véritable ( oopérative de toute combinaison politico-financière, cloua au pilori de l’opinion les individus responsables de Sa division, encouragea la fondation d’un autre organe d»* coopération et parvint ainsi à sauver l’œuvre sous le nom de (’oopérative fédérée de la province (h* Québec. Cette association de vente et d'achat fonctionne aujourd’hui de façon encourageante. Elle se développe, s'agrandit, acquiert de nouveaux adept» < I il« ren- lerme à coup sûr I*- plus fort noyau de cultivateurs unis dans toute la provins

Mais ses ennemis vivent «néon Ils ehereheront encore à affaiblir, dans la mesure de huis moyens, l'esprit de coopération, pourtant bien nécessaire aux producteurs agricoles qui veulent vendre leurs produits sans courir le risque d’être exploités par certains commerces de profitag»* Que les ( ultiv afeui - soient sur leurs gardes, qu’ils tiennent bon, car un insuccès de la coopération serait pour eux un désastre snn> nom Là-df"U*. des planteurs de tabac des Ktats-Unis nous offrent un exemple ai- .'issant. Ils avaient dans la Virginie et l:i Caroline, eoti'tilué le Pool du tabac, coopérative qui donnait d’abord d excellent s résultats. Des commerçants avaient juré sa mort Ils parvinrent a la tuer. Qu’en résulte-t-il Peu après le prix du taba'* d< ce*<

pour les sujets (!e la question, M. Barron >’immisçant dans le auprès du Premier du Canada contre Thornton.

Monseigneur de London a erré tout comme M dans son interprétation de ce voyage. Le gouvernement du Ca-

I uada a nommé M. Thornton président et gérant des chemins de lier nationaux, et M. Thornton a accepté moyennant une rémunération de tant. L’administration du C \. IL étant formellement hors d.* la politique, la situation de M. Thornton est exactement identique à celle d’un homme d’affaires; le fait pour celui-ci d’être gérant d’une firme ne l’empêche pas, s’il le peut, d’être directeur d’une autre ou intéressé dans plusieurs corporations Il est donc inexact de dire, comme M. Bourassa l a écrit samedi, que M. Thornton est “fonctionnaire” (au sens propre du mot) “de l’Etat, engagé par le gouvernement canadien et rémunéré par h* parlement canadien pour consacrer TOUT son temps et TOUTES ses énergies à l’administration des chemins de fer de l’Etat’’; sir Henry est libre de ses actions et de ses mouve-

i ments lorsqu’il a fait ce qu’il croit devoir être fait par lui pour

mousso d’un») pierre.Un F ranci sc ain

1©accepta do me'la rafale d© projectiles qui, pendant I

débat ouvert par Mgr Fallen, protestant fair** visiter le sépulcre dont il] des mois, s est abattu»' sur la vallée v vio - de sir Hem v ava't gard©- Après avoir poussé j d© ITionzo, a bouleversé le jardin vov.igc o» mr nciii-y j une port<, descendu quelques mar-1 que soignaient avec tant de zèle les,

ches. traversé une pièce souterrai-> Francis, ains. Du sang, uu sang hu-1 Bourassa!110* 1° religieux qui me précédait J main a taché le* fleurs du monastère i

fir tourner une grille de for forgé, et | Mais bientôt les lys vont refleurir pénétra dans l'étroit couloir nui Je me rappelle qu'en 190H je très- conduisait h dos tombeaux do Rois. ] saillis lorsque j'entendis 1© religieux Sur le* murs blanchis à la chaux, qui était mon guide prononcer ft austères comme ceux d’una cellule [haute voix le nom dos Princes, des | d’ermite, il promena le médiocre Princes de chez nous, en langue aile- rayon d’une petite lampe : là étaient ; mande. Ah ! comme cette interpré- ' appendus un portrait du Comte» de'tation aggravait tout à coup l’exi Chambord, et des couronnes, do!posthume ! Demain. <iu moins, j larges et hautes couronnes appor-J c’est dans une langue amie qu’on tée*. un quart do siècle plus tôt, nommera au pMerin français les de*-' par les royalistes de nos provinces ] c»*ndant s do Henri IV et do Louis! sur le cercueil de Henri V. XIV.

l e moine m»* fit remarquer la ri- Raymond LECUYEKchesse de ces hommages funéraires. (Le Gaulois .

»* G. bon.

IL, oî Mgr Eallon n'a pas ou raison de s’en prendre à King parce que M. Thornton, exp*rt ferroviaire s’il en

M

que. il y a ouelqu© quinze ft v ingt ! celle tics tout-petits; ils devraient ans. Sarah Maxwell, l’insiitutrieo I maint«‘nir un service d'inspection qui fit le sacrifie.» de sa vie pour j des plus rigoureux et or.iidamTVT sauver le plus possible de si s élèves, j impitoyabUment tout édifice public

pro ((‘S- qui n*- présente pas la sécurité la ! plus absolu»'; que l'inspection «les

«‘11 n a appareils de chauffage le sv-noni - ..♦x 1

dans écolel'incendie d'un» tant»» à H mhelaga.

,. . . . . ,. w iwwi L’hér>I*m« de Surah Maxwjîût, a accepte de taire une expertise ail M-xiqu*. Mais le député jpi,s mbiié. S .n rom (St nsté'éU;trique '«.iem sujet* à d«»s ir.s- ido La belle, comme l’évèquc de London, ont des droits d’interpré-; vivant dans la mémoire d s M »ntréa-I priions |x*riodiques. qu’il soit in-

.........- tout Conodieu ÿ bum* .oi le* l«ur ‘^.‘7.^l v^r[reconnaîtra, de même qu il admettra généralement l:i bonne foinnnt à Fée* le qui a remplacé celle ! n* s*.nt do* mesures élém* maires j «Je ces deux personnages. [détruire par 1© t’eu. I mais nécessaires d© protection. Ccr-

, i * i- * . i m i» u • % . , Nous nous devons d’honorer au- t»îs, ♦lies n’cmp'cheront pas tou-Autr© chose est 1 intervention de M Barron. Premièrement, tftnt i* mémoire de Hose-Anna C.alien vertu même de sa fonction, il n’avait pas le droit de s’im- drauit.iniscer à un débat entre Canadiens au sujet des agissements de P*trie

i M Thornton ou de toute autre personne. Deuxièmement, il s’est j L’holocau»te de ! conduit de façon odieuse en accusant virtuellement de mensonge | un évêque eanadienet en vilipendant stupidement l’église catholique en général. Parler d’inquisition et alléguer d’obscu-1 Nous compatissons de tout cœur

I rantisme. c’est ressasser les lieux communs ties sectes et des « pem»’ atroce que ressentent fis loges à l’égard de l’église catholique : si de tels propos sentent i {'încVs^jnii q!!'r,a,Xuhuir'»E“rrii-1 La tragédie de

j pour nous le vieux cliché, ils ne perdent rien de leur inconvcnan-j gieus©* du B»>n-P*teur qui »lirî-| ee dans la bouche ou sous la plume d'un consul étranger ; park des privilèges de l’Eglise au Mexique, c’est .ajouter l'insulte à

l’hospice Saint-Charles

tesjours (fis catastrophes mais elles aideront, «flioacemem à en restreindre le nombre.

N’attendons pas qu’il soit trop tard pour agir enr t mis n- us sommes plus «n. moins rcsponsablts de ces lamentables holocaustes.

I.e Monde Ouvrier

Ce si la Saison des

TARTES!Elles sont si faciles à préparer quand on emploie les Garni

tures de Tartes “Meadow-Sweet”. Ces préparations simplifient l’ouvrage et assurent une garniture

de tartes que les meilleures cuisinières ne peuvent surpasser. N'oubliez

pas de les employer pour àÊ/ktvos tartes durant *

les fêtes.I* MODE d’EMPLOi est INDIQUE sur CHAQUE BOITE.

c

15* la boilo - sufrtc.int pour I Taries

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ov^Sweet.fh p es e Mfq.En Limirrd. Montreal.

il (La tragédie( onihicn «r,'n.J:fihitioti

Québec«pii renter-

Eironie, «piand on sait 1<‘ traitement ont généralement fait subir à l’Eglise dès le début que l'information de

que les factions mexicaines depuis un siècle ; alléguer

Mgr Fallon ou dos autres[évêques canadiens est mensongère parce quelle émane de “source f catholique”, c’est injurier gravement aux deux cinquièmes des citoyens du Canada. Le Pape n’a pas menti : Mgr Fallon, rap- pelant la persécution des r ’ *s au Mexique, n’a pas menti; mais M Barron a odious»'ruent menti. Il a de plus fait un affront à une portion considérable du public canadien, aux catholiques du pays et même à ceux qui ne l’étant pas, étudient

| h < faits de bonne foi. Lors même que les communiqués officiels j nous parlent de prêtres et d’évêques insurgés ou rebelles, les I honnêtes gens savent parfaitement à quoi s’en tenir sur leur ! ’ n bellion”. Aussi protestons-nous énergiquement contre

plgcpint c»*i etablissement ci quisacrent leur vi«i h faire le bien; tous meni aussi »I© nombreux pension- sont si durement éprouvés par e«u unir»»'- et parmi *"ix d« < enfants^ en affreux malheur qu’il ne viennra ft I bas ag«*. doivent so «lire aiijounl’hui person n • l’idé»- do leur adresser le i avec frémissement ; “Si <• eût ôté moin«lr3 reproche: 1© dév'oueinent i nduis l et bénir la Pn-videne»* de déployé par ce* braves religmuses | n’avoir pas subi un par. il malheur, pour arracher aux flamme* et à l’as-i Du»1 (•«•Ucs-lù et tou te .s sachent donc phvxio celles qui étaient sous leurs i profit*-r «le la leçon si tragique qui soins a été admirable; «lies ont fait ! dégag»» de la catastrophe d«» Qué- tout c© qu’il était humainement p »s-* !►♦•'• ! Lorsqu’il s’aî* d’un«* cons- sible d<» fair»» p«>ur Ds sauver t«»utcs, t ruction iiotivelb». par exemple, voil- mai* en vain. Nous les saluons Ions à la rondn- autant que possible

lie méritent

Illuminez... pour Noël

bien bas, car h-res- inattaquable .au feu. Dans |«pet o‘ i’admira? ion d • « ou -

font tr«*p souvent dan* la provin» d»» Québec, il est d'impérieuse nécessité do prendre nos m<«siiro* én« r-

pré- ! giu.ue* pour en ©mpèch«*r la rép'Hi- .. ii- i 4 „• , / .t it x i tion dans l'avenir D* nombre «t'I »-

nee au < anada <1 un propagandist«‘ ealhste, réputé consul du j r,,n(pcs dans nos institutions «IVd i-.Mexitjue”, qui vient empoisonner l'opinion fniblique au dét ri-I cat ion. dan% no* collège* «t c«»u vent*»

lu Mexique et .l'nilleur., Sus à|,,»t M,'vA' si ,m

casde* constructions ancienne* et en

i lw>is. protég«»ons-les par «l*-s coupe- Malheurmisemem. ces lanemta-! f ui, rie* porte* de sûreté ou autres

blés holocaustes d'enfants $♦* npV appareils destinés à empf*cher unn»tendie de se répamlr»». De t»»utes

, ?n«*nt rie nos eort • M Barron ’

igionnair»'

A TRAVERS LES JOURNAUXUne héroïne

il

Dr.u:* le tableau tragique d»* I m- condie de l’hospice St-Charles de Qiiéb»»- -♦> dégage, comme ♦ntourée d’un»- éclatante auréole, la figur». émouvant» *i« cette j«une fill»» «le 17 :n'. orplu lin© elle-m*‘?mc «J l’tlos- pic ' tait « n qlielqu» s s»»rte la maison i.amilial» File a d»»nr.é volontairc- rn» Tii sa vie p»»ur 1*» salut «l»** fM'tits enfants menacés par les flamme* dévu antes A nttatr»» reprises elle ♦ «.t • r»ont»-e *lan* le d >rtoir où le* petits

par** à ©eux qui arrivent dans nos , étn.blissoTnen».* industriels et autres 'édifice* publies, qu’il dut certainement v avoir qu. Hue chose «le pa* naturel. Prend-on t»i“n t«>utes !♦•*

,111 sures d»‘ p-ée.auli«»n nécessair*.* pour sauvegarder la sécurité et I». vie de* p*tits enfant* assembl*' e\

j si grand nombre «Ians dos é.|iflc *s 'plus ou moins modernes et ii l’é»

du feu ? Nous c«>inprenontétr.i» nt incapables l.v qua'rièmc fois, j nue les b«»«oin* sont grands d *i

II*» fut averti** *|u elle courait p •'•-1 les ressourc»»* son» d» * plu* limit**«'( virement à la mort. F-ntr • Htma.* eus (»xi*tenc«»s humain»»* U

lang* rinv.nin» ni d«i périr et la ch»ne* gimération de demam -.on. plus *1*' sauv»»r * n''»»r«' quelques-uns d© préci*Mi*es qu*» t»»ut«»s les consi«léra c«»* jM»fits. «h n’a pas hésité: ♦■Ile t ions flm»n©i»r>*s.

r»tris intrépidement le chemin «lu Q i«- l«- lamentable hohavuist •* de dortoir œtto fds sans parxenir àlrhofpiia fltiiit-CïhRrlos nou

ato-indr»». (1*? leçon; 'lu»» l«'s pHivoir* ^publicsR* ^* Anna Uaunault a ain^t i.ion-* soient intransigeants l«»rsqu il *'ag:t

t é le m«*«le suolim»» *lé\*ni''inent de la sécurité «lu public, surtout de

façons, maintenons un servi*»»» «l'inspection »»t de S’irveillatice des plus stricts, afin d«» n’avoir pas «'nsuit© à r»*gr*»tt«<r il’avoir négligé ces précautions. Files sont *l«» première i rnfM-rtnncc

(La Presse)

Apre s l’épreuveI n ' remarque

a i Hndornain d o’e*t ft propos *!»

étaient *n f*éTil pour «n r©\ nir en c*»n.ui i-ant «I *vu».nt 11» un gi*up<»*Ic ceux qui f* u ■. i ni marcher «t I*»s bras charge s «iV.titres «jui « ri i preuve

nue

unp<h*», e"p 'ii'lant e'*tt«» tragédi*». et

ta > ••urité qu*1 devrai »nt *»lTnr n«is maison^ d’ensej- grv ncnt »»t no- institutions «le charité où logent d'ordinaln- *1*» non - l»reux t» *nuourwair*<'«.s \astcs é*li- lio •■* <l*»v r.‘ii'»fit toui«»urs ctr«» construits h l'épreuve «lu f«u et gardés, j«»ur ot nuit par d«»s p »rs«»anes tia- bl«»s et resp in*Alil(»s. tin pr»‘tvl © »s pré(5atiti«>n* «lan I»' tHin» s, )«»s hô- t'ds. I«t> grande* maison* «l«» rapport, n plu* fort» raison «l»,vrait-«m r«'c«»u- rir a 'I" pareil* mov«,ns «iiiarid il s’agit d'institutioiL* qui abnt» nt des o'ntain©* «h* vc - liuri»mifs

L.i Tribune

$

Par s «s ampoules «h» couleur et s»»r lampes gar- nies «h» h* tix. h». Iumi*»r«» jette sur les fêtes sa r ««te «le gr.i» t*' Fclair* z-veus aux lampes Maz«la Kdison-—dépolie* à. l’intérieur en vue de la beauté ©t «iu e«mf«»rt.

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CINQUANTE MILLE PERSONNES ONT RENDU LES DERNIERS HOMMAGES

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1‘an: i It* ]tarent!» dt» ni't.ju f» ou remarquait .Ni »t vt.ne A;nédA*ItUuauic. j»aniits d’Alfrtda Tliu>ault AL.*! jj*rty\ rht *on fr^r**;Henri Kvxuiette, Al'N»rt < ioulet, tu h om-U* . l'.-K. Goulet. G.-II. Goulet.Ciih Lt >ré et ( léo .lias 1> ,aré, ne* eoukiiih , v». Aluert Hb.u*l. i*’*re «V >iad**l» i. « Hajul. \ \ . Jo* H a. ntl et («ulÜKTté, s»*

Si Clutrlts Auelair. j^rt de Georgette Auelair M.vi. l^ucien AucUir.>on fr»r« . Joeepb AucUir, Art. La- cliance, T. l'oit rat*. U. AucUir, Herreu-îrVe,:::. ^ a, • -,rhérèac Keuiltault, M. Gérard Veuil tault. son fri-re. «t V;no Jt>tu*pl.-Albert l/»*ss;ird. tarif.

’M. Delphi* Cla\tt. oncle de Jeanne Gagnon. *

M. l^éon Bédard, pi'rr de Si.nonne Bédard, M.v*. lAm Bédard. «on grand-père, et Arthur Bédard. son oncle.

M. et iii.da.ne Octa%e Drolet, oncle et tante de Klonncv Dr ht.

M \i. François l'ieard, J.-K. Heard ft Octa\e Dumontier, oncle» de Carmen 1 icard et v.lle A. Cantin, sa tante.

n'imer\ lend rail pu.-Oui. la Justice» dnine fteit pur • •*-

prendre ses droits et l’on \oit !a ni«»rt. ataugle faucheuse a i mT\iee de Dieu, frapper tantôt à droite, tantôt ù gau- eha.

Ici, c’est le coupai le qui tond e au milieu tie ses ch » t»rdeiuents; là ce sont des \ictimes innocentes frappé«-> au inatin de la \ ie alors que tout souriait à leur existence.

L'expiation a •• »'• de tout temps- A Fui i ers garé, à l'humanité uee u Dieu le I ère a d» T.t.« m n Fils ccu.i • exidateur.

L’hi-tcdre des |>euples nous fournit | <le nombreux exemples de t es expia

ces sacrifice»^ au veu r s

Dans ces être» purs, dans ces petites vDr„e». ces fièle» enfants, ces \i •times t<»inb«Vs tragiquement au champ «le la \ ie. jo \oi* une expia-

MVf.Alarcd liochette. Adrien Rochette. oncle d * Jaooueline Rochette; .vl. et N’mes Albert liochette et FM. F'aré ses o \clr» et tarîtes.

Aime I rnest A orency, mère d ■ Marie». • art la or et Na.»-. 14ou Ai oreney. si n orch*.

Plusieurs rdigiimses du Bon-Pasteur et un détachement cio la Brigade du feu avaient aussi \ ris ] lace dans la nef. Ijo chef Don.nelv, le chef- adjoint Jacob, le sou s-chef Bélanger dirigeiant ce détaehom* n.t.

Parmi les religicuises. il va 'ait la Supérieure générale ou Bor.-Pastour. la Ré v. Mère Saint-Eugène, la Su- i»érieur»‘ <ie le. maison -mère, la Rev Mère Saint-Romuald, la Supérieure du Pensionnat St-Jean Berchmans, la Révd Mère Mario-Ange, et ] lusieurs autres. I>*s religieuses ne i-u- rent retenir leur larmes penuar.* la cérémonie pas plus que les fillettes elles-mêmes.

l^s corps militaires de la ville^ montaient la garde d’honneur et ai daient au piquet de constables maintenir l’ordre dans l’égli>e.

lion pour nos péchés. (’es mort> ont été le salaire de nos péchés.

G’est un avertissement que Dieu nous a donné. Il veut nous faire comprend**» enfin que nous ne sommes pai sur la terr.* pour jouir, mais t*>ur l’aimer et le servir, lui seul.

Mois là-haut, dans le beau ciel du Bon Dieu, ce» petites v *nt prier main tenait, vont intercéder i mr nous et feront, descendre sur nous tous de consolantes bénédictions et I le |*ardon réconciliateur.

Vous, parents chrétiens, dont le c< eu est comme t ransnercé d’une gloire, écoutez au foui d.» votre ilrne la voix <le votre nfant chéri, devenu ange du ciel, vous murmurer \ leur bonheur et vous dire: ‘‘(’essez vos larmes amères. I,a \ ie est un. î court moment. Bier t At la famille si retrouvera entière aous les par\*ia|

mm

INCIDENT

Lu incident re produisit, au début de la cérénv rie, lorsque la foule qui se p/essait sur la balustrade brisa une partie de la table de communion. K Ile causa un dommage assez élevé car cette table de eommunmn est en beau marbre. Une dizaine de pieds furent cassés.

Lorsque l'accident p-it place, une jeune t lie jeta un cri et toute la foule i.ssisc se leva. On constata hueureusfmcrT que Fincidfn.t tout en étant sérh ux ne in* naçait \a vie de porsi une et le calme fut ’ maintenue.

LE SERMON

Après que S. O. Mgr Plante e U pris place à son trône et que les marguillicrs ne Kt-Roch eurent terminé une Ci liée te au p.*« b.t des fillettes survivantes. Aï. l’abbé Lu- berge monta eu chair et prononça l’allocu ion de ci; constance. Elle fut émouvante et bi.n des auditeurs versèrent des larmes.

Voici le texte do cet impressionnant sermon ’

Stipendium peccati mors.Le salaire du péché, c’est la mortMes frères.

(Juel flot de tristes pensées enva- hiss<nt notre Ame \ la Mie ne ces f petites tombe* exposées à nos yeux !| Ces tentures mortuaires aux sujets j •ieux, ces cierges portant nos em- lêmes funéraires, h* parement noir

dont on a revêtu le temple et l’autel |

phbU

célestes”.F»t vous. Religieuses du lk>n-

Pasteur, modèle* de charité, anges de prière et de dévouement, écoutez ces enfants qui vous ont été si ehèr * vous dire leur affectueux meiei. entendez le cantique de leur reconnaissance.

Femmes héroïques, fortes et vaillantes encore malgré h* poids do deux désastres en 4H heures, consolez-vous, vos petites sont au ciel, grâce à votre tendresc de mère, à votre esprit surnaturel, à votre dévouement in-

‘ lassable et aux éxemplea si mtraî- a 1 r.ants dont votre vie est remplie.

FR vous, citoyens de Québec, bienfaiteurs insignes, qui. par votre dis crête mais vertueuse générosité, avez subvenu aux besoins de cette (*om- munauté, n’entendez-vous i>as aujourd’hui la voix reconnaissante de vos petites protégées qui se souviennent que, si sur la terre leurs membres grelottants ont eu de la chaleur c’est vous qui donniez le combustible, que si leur cœur h répandue un sang riche dans leurs veines c’est vous encore qui leur apportiez h pair, do tous les jours et que si la douleur aigue a parfois quitté leurs membre» c’est que vous, docteurs, leur étiez secourabh s.

FR vous, hommes de lr- Brigade J du feu, et vous les pompiers v oîon- taires qui vous êtes dépensés sans

{compter pour diminuer le nombre ! de ces innocentes victimes, croye que, pendant que ces petite» Ames sen volaient elles vous remerciaient de la prodigieuse énergie que vous avez déployée, comme elles ont vu les larmes couler abondamment le long de vos joues glacée».

FR vous. Messieurs les Membres du <\>n* il de Ville, qui. de concert avec h* Gouvernement provincial. leur faites F honneur des obsèques civiques, croyez en leur entière reconnaissance.

Mais si toutes ces tombes s’ouvraient |>ar une permission de la divine Providence, une seule voix se ferait entendre :

“On ne meurt, qu’une fois î “On meurt vite î “On meurt comme» on a vécu î “Soyez prêts toujours î Méditons ces enseignements en jour afin de noue retrouver toush*a chants lugubres et grave», jjLY0** • ensemMe. un jour, auprès du trô

nes cloches uort les g.as ressemblent, np de Notrt, jVro cles <;ieux. Ainsi-ne»à des sanglots tout nous ralVele. en i ce moment, les seines 7 oilman tes de l'hécatombe ne mercredi soir.

Quel déchirement ne cœur ! lorsqu’en cette nuit fatale, le bruit courut qu’ure quarantaine de l'etites, filles, de 4 A rt ans. étaient restées captives sou» les décombres

LES VICTIMES

A la suite du sermon S. G. Mgr Plante présida au chant du Lib ra. La Choral de St-Roch chanta les

Us.s capi.ve» sims motets et les psaumes de ce office »Quel sî^ectacle navrant !( e« nom-'roH ieux M jos. Despatis chanta g:

lireux noro«'ilU W là qui •.y,1„ld Voux oon(emplrr»i,-,o". »,,«nt U Mn4 .ictiom dw 1 av»nt I K UnK-hclle ut 1 pL„ut<i., l.n .t, sirntrc m™hl'X1 clmut^mit lu Cn.,ifix du Fauru"blu T dan-, lu r.otr uu lu futsu Mante , N, rAuxiliaire b6l)it lp, C( ,ips

l>„ur„uoi nuttu .•ataRtrn hu 1 nur-1 i(>ti dp ,a ,ra!;ddio avant ' au''» uns mûris „ irnnuurtus viutmy* • (,Mi|A v,,r< lo uimu1i»ru su mit un\nai-

Myst- is's ms uidables du la J'ia-jp),,, noms dus viotimea indunti-tiuu divinu. \ ■ tldus ut d<mt l’inhumittion uut lieu

Mais il ust unn uhoa. quo la f''>| hiur sont lu» suivants nous ensuiRnn, oust quo pour lus, K((sa Oaudruau. 16 peuples comme j»iuir les iniliviclu» règne la grande et nécessaire loi de l’exi iation.

une expirtion eth *us une sou rce

un coup d'œille inonde. que

(’es morts sent son nt pour nous de l»énédict on.

Si nous jetons aujourd'hui sur vovons-nou» ?

tua l'g -reté, la folie du siècle qui emporte les Ames dans le grand tourbillon dos humaines fut.lités. Ici. c’est la cours*» f*»lle A F argent, là, aux honneirs et à la jouissance désordonnée.

lae saint jour du dimanche est profané. On n’entend plus la voix de la cloche qui. au matin de certains jour». »e fait plus pressante et semble cri<r: “Dimanche ! (’’est dimanche î Travai leur, o’est le re- ]h>» du Mahre î N i »ns à la prière dominicale. Ne laisse pas l’éiranger al»us*»r de tes fai. lr»s forces

FR la tunp'rance oui rappelle, qu'au fond du verre * n laisse sa mémoire et son Cipur. ce cirur que ,lé- , » >s aime tant. “Mr n fils donne-moi 1< n cirur'' a-f il demand*'. FR ce < e ir <»:t le laisse s’abritir dans d’in- nommahloM unies à la Imvette du f«»in ou au salon doré do nos somptueuses demeur» s

Au théâtre, les «’ nés les plus riR- quées s nt de | l s en ) lus l’objet de noml»ri*ux r. ci »*.res l»e vDe a a.»s n.î pte» dans une jeune se de plus en | lu* triv i le.

La luxure a s<*a auO'la sur lesquels les jeune; n»na «t les jeunes t.Ile», vire même «eux qui * nt juré (idi'lifé ,

ans; Thérèse F’ecteau. 48 nie Scott; Estelle Roy dont le père a sauvé les deux petites

• .vocurs; Simone Bédard, 10 St-IAm ; Jeannette Gagnon; Marie-Jeanne

J Binet. 21W Boisseau : Phédora Albert.' Alfreda Thibault, 11S nie ft te-A larguent e; Jeanne d’Are Racine chemin de la (’anardière; Marie-Ata-

j the Morency, 1B des Franciscains 1 Jeanne Simimneau. ‘J17 boulevard Langelier; Bernadette IsaheDe; (ieor-j get te Auelair.

Ces quatorze v ictimes arec qua-1 torze autres de leurs fictites soeurs < non indentifiées encore ont été inhumées dans une fosse commune.

Une autre victime. Corinne Picard, a été inhumé au côté du cercueil de son |*vto au cimetière Ht-Chailéa.

Deux autres victimes. Marie-Ange Beaudry et Germaine Letourneau

j ont aussi été inhumées, hiei. la pre- , mière à Jonquière et la seconde à St- Afichel- de-n«llechasse.

LE DEFILE

ls» défilé du cortège funèbre se mit

s dansants auront - • r centre toutes ! h die.*»*» de la

*. » n un mot.

dans |Ymt .iii du menâge. \f.ut sa- t rifii r leurs « u.es uars q’ir.b rnalie agapes.

I ,a dans»* et ’»•. »toujour* raison <!’* les ordonnant** s 11

c*»n?c ence I e j é t.rom n* r. i’ • s ra. rg ■ «lam» !o «*bomp des Ames »»i de pi s en plus nom* reuse.» feraient lr«* victn- *s qui devinr ent va pr«»ie „

FR Dieu Tou.ou » lairserait faire F,( quand 1* » j •i.i'* • c gr. nde mis* ri- c»r le sont | r» ». qi e >n r«»nf.e die |i i| ii i ‘ e t pb ? • ’?• .*u*tice divine j

en marche vers quatre heures et demie. Les constables municipaux.! smis la direction d*u sous-chef Bi-I gaouette, rsHuraiert le service d’or- iîre aux alsirus du* l’église oïl une foule immerse était i;rou, iV

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I41 tolice moutêe. sous le» ordres du lieut* Ti.t'.t T rue y ;

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• .a .* Poln point plua haut elora que laLes p.ecul.teur. a la hau..e Brompton fut coté, de fraction,

ont continue a pousser plus haut plu, hautcertaine, valeur» du groupe de. | A |.. -.'ption d. |. Brr ili.n

^>lr#" ; qui fut cotée à 222 pour pren-

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loi *4 JOO133‘a 134 170*. 170

cours r'ea trenaectigna suiventes, les r u t res vrleurs de la liste ont été cotées sens changement.

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spécialités, au cours de I'* -• ,niire heurr 'le.“ opération». Le. 3“.‘ un." "f r « t i o n" d .^'i n t ' TJ

^ J .^ 1 * avances ont ete faites en dépit ________ ______________2,*Tg :;ii J l’annonce de certaines mai

sons mettant en garde contre des cotes trop heu tes. Les ec-portations récentes d’or n’ont Abitibi 1V»w*j 1 ) * îi J 40pas eu deffet sur la liste. Les ^s:.s M.rp. • '*. .. . , . Itraxliian rra*Mic»n 22.. a 2.transactins ont ete volumineu- Hntisb Kmpir. 2nd 2 , il » ses et de fortes tranches de va- ■ Brompton i'ulp 12.-» kleurs pétrolifères ont été échan- ,M*SS7 ^ 3^° “ «

. 1 * L J O enn X 1 a'i fnd Alcohol 37.» ti 38.gees Une tranche de 8.500 Àna- c Stes.nshlj» MM 75 1 OU,conda Copper fut cotée à un Dominion Bridge ;425 A 74 nouveau record de hausse et Jllf Nb-kel 2..C» ,5_ % 50 k 76hAmerican Can, de fortes tranches \MmV.Vui <p.1^**r KH) ï MtfV,4 de Sinclair, de Maryland furent \a( Hrew 60 k 104

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| lioratio u «*tait sensilde aux séances • n no\»*mbr«* lî#27 pu Canada fut j j de fermeture. L*j v lume des échan-j de 187,7bb tonnes d’p.préa le News

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de 5 ponts à un nouveau record \Va\agamark ha s 111 k, i 7 S I de hausse et la Vanadium Steel a shawinlgai» u _

i ■ 4„. i - , « an lironxe f».r» à »»4. 37o a‘ * aussi touche un nouveau record ,j/-,j de hausse au cours de a première • ,7»sl heure. La Houston Oil fut l’ob- 'M M j*t d® forte* commandes d’a-

j 1 ! chats faisant un gain de 4 points to , ! La Baldwin, la General Railway

95, b.'» à b

ges a baissé cjnsidérablement ; à Print Servie** Bur**au. Lh pn duct ion i h fermotur© les p*rtcs ét ient lég-*- aux Pètats-Tnis lut de 117.22 tonnes. |

renient supérieures aux gains. Un! Ixj total de la production au (’enadr J » cjnstaté aucune preaiion aux di- et aux Ktats-l r.is fut de .‘W7,5l.r> ' ver» compartiments de la liste. A tonnes. Les expéditions furent de i ^••W-Yor sous la conduite des ve-1304,378 t* nnes. Fr. m vembre. la pro-I

Liiiprunt Forcé 1922 émission août > b>émission déc 4W

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Ifamtiourg 1919 33r'e* oiHigations uni c )té*w par 0 O.OtH) de marcs

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assez, forte.

luciion A 'l'erre-N cuve fut de 17.829 tonnes et le Mexique a i roduit . 1,029 tonnes de sorte que la pr-duc-j

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gularité qui suivit l’annonce d’une vwinmv a «ter ; distribution d’actions. O’Inter natio-

i bal Nickel a touc é de plus hautes (Cotes sous l'Avalanche des comiran-

Hudson Motor*, et plusieurs au- Montréal 10 }'” ( Arrivâmes ■ ,^K| v<?nês (’analin* Indus-tre*. ont fait de bonnes avance*, j,. llAtf.s ' f., rn(.s. Il JF,2. L’offre de ! ”riLA C°ho1 * ,R,t nM ntre d ,IT^6U-

Les cuivres ont continue a ga- J,èt<*s à ci mes fut relativement ni-: ?•» ' t.» *•gner de plus hauts palliers au ,,rix (,rt été n pou Très ' 7~ a^,ons 8^ pris part

cour* de* première* transac- 1 r<.u. .j,. |;i semaine derrière. Des aUX .îra^sacll©Bs. -•» ©ttr gagné du tions. Mais la Curtis Aero a fait l ,,<'[! is** - <]♦ ouelité rnoverre et de \* rr.p]p‘ ^ P*UR f(:r^© avance étant de un e perte de 2 point, et l’Ame- «• 3) 1-mts 29 action ont subi desrican Smeltiùg fut lourdement : ~t

Iî Brazilian fut encore au pre-jtion totale de l’Amériqe du Nord trier rang ; elle a fait montre de fut de .‘526.37*1 tonnes. La productkr. beauo«iup de fermeté après l’irré- du Canada au cours des 11 pnr.iirs

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3 .700 i 1 H*vv«, Theatre . .4 .900 Niack Truck*.s ,7*00 Magma <'onper

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200 NT. A s >'(* >i piiv •'(H) Missouri K AT

2.100 Nlssouri Pacific600 Do. prlv.................

17 .(i00 N.ontgoiuery War*!. . . . 100 Niullin H (si y 4(H) National Casn i,eg

9.600 New naven.300 N ) Air llrjke

9.100 New V oi k Central 2(H) Norfolk ,v Western. .

1 .300 North A ni* rha» Co.2oo Northern Pacific’... . .tou OMS KievÔO0 Ow**.i> Hottle’.HH) Pacific Oïl100 Pan Amer Peîrol. .

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9,000 Puillip* Pete 2(H) Pierce Arr-.w

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300 routhern hallway 100 Do. prlv *'00 standard (. ,v Kl 100 standard v.illing

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2(H) \v abash < 'oinmon . . . 300 Wabash \

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52 52 521 4D 1 j 14S 14s194 193 . 193 4244 2 42 2421 10 10s 4 10» 46-S 4 67 4 67 4574 .56 , .56 a

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Laidlaw and Co à L.-G. Beau- bien et Cie : Tout indiqil que1 e marché .sera très actif dura.* !©•> congés de fins d anirée à moins que (ju Iquc nouvel!» rc vienne r- ndre la li’-te *r é.ju iere. f.es eom- man.des d’achats rit été très fortes samedi et la -peculation fut intense. Parmi lus facteur- d' pti- misîiie rotons, l’aboedarcc de fond-, conditiors industrielles meilleures, i conditions du travail pormales et! inrsi ectiv ' d’une din o util n de-

! avait pnmélangés se sont vendus de 12.00 à

j 12.25. Des veaux nourris à l’herbe icnt fe.it 5.22 à 5.50. j Arrivages de mentons 17.52. Une ; ci nple de ventes de bons agneaux ! c.nt été faites à 12.00 ; d’autres de moins belle ounlité 11.50 à 11.75.

( Agneaux. 10.50 à 11. Moutons 3.00 j à 5.50.

Arrivavs d P res 3387. IVix ù la baisse. Prix : 8.ÎM) jx ur les meilleurs. , I r- de la réuni L# s metteurs en conserve « nt pavé •l' 1 ^ *L—8.75. Les p< rc* de ch* ix « nt fait une

pertes, le plus fr rt recul étant do 15 15 poinis alors que 18 actions sont restées à leurs cotes précédentes. La plus forte avance fut enregistrée par la Fraser priv ilégiée en mieux de 834 p< ir.Ts et le plus fort recul per la Lake of the Weeds qui a perdu 15 pc ints.

primersmois de 1927 fut de 180,679 tonnes supérieure à celle de la période correspondante de 1926. La production aux Etats-Unis fut de 11 pour cent inférieure. A Terre-Neuve, au Mexique elle fut de 9 et de 8 pour cent respectivement plus forte. 1/augmenia- ti« n totale pi ur l’Amérique du Nord | au cours de cette période fut de 1 | pour cent plus élevée. En novembre i les usines canadiennes ont travaillé à 86.1 pour cent de leur capacité ; les usines américaines à 78.7 pour cent de leur capacité. Ix*s stocks d»* papier à, journal en novembre étaient de 38.074 tonnes; aux Etats-Unis, de 28,543 lcnr.es.

Vienne 1910 100) 1250Vienne 1919 300 450Vienne 1923 HU 10'SjOouv * Hchien 22 9ÎÎ 11 1Ox ». llgs ion* «ont roC6e* i*ar 1.- 00 ) OOO ..couronner

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1894 5 p 1 ^ ]Oouvern Ruwies 1905 HH

Do 1906 «g «4Do

Oouvern Russe1D0S

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émis d »*ct .'Oouvern. Russe émis, française

Oouv Russe doîat-

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émis amérlr. 1 154 17 4Emp. l.ib«‘rtè 17 70 90<'*'« obligation* sont cotée* par 1000 roubles.

Ai a porteurs d’otdigatioiis-ur six pour cent première hypothèque et remooursement de la compagnie ei- dessus nommée, échéant le premier jour de janvier 1936. garanties par acte de fiducie en date du vingt-neuvième

Ijour d’octobre 1915. en faveur de lu j .Montreal Trust Company.

AVIS EST PAR LA PRESENTE ,DONNE que la compagnie ci-deaaiu

24>4 nommée rachètera, le 3e jour de janvier 1928, toutes ses oi»ligations-<>r six pour cent première hypothèque et remboursement qui peuvent être en cours en en payant le principal plus une

b4 prime de dix pour cent (10 p. c.) sur 1200 icelles et intérêt accru jusqu’audii

3e jour de janvier 1928, au bureau principal de la Banque Impériale du t’anada, eu la cité de Montréal, ( ana da, ou au bureau ou 1 l’agence de ladite banque, en la cité de New-York E.-U. d’A., au choix du porteur ou détenteur.

Les porteurs deodites obligation* sont, en coséquenoe, priés de présenter leur* obligations, en même temps que

partir de et après cette date lesdit*^ obligations cesseront de porter intérêt.

Daté à Montréal. Canada, ce 16c

LAURENTIAN POWER COMPANY LIMITED

Le secrétaire J.-J. O’BRIEN

SOUTHERN CANADA POWER DÈ FRET

pip.stre de plus. Truies *.’2 Luelques-ur*'* se sort

ouclques m r s plus haut.

;> a < .50. v^rdtms

Ottawa, 19—(P. (*.; Il s est 4 'Chargé dans la semaine expirée le 10ri.r das aotionnairrs d#nembre 11,:(I2 wagons de moins

, ^n_î.a. - j0r* i I que dans la semaine précédente. 1» grain entre dans cette diminution

CEREALES11 (>i* jicut > attendre à une certa-

t<* reaction parce rue certaines \a-!oé< U ur- ont été trop vivement poussées. | dé*

Lambert, de I ottinville et Ciei I dé( nous communiquent Rienn'a Iété publié en tin de semaine ou | ~ .-oit de nature à tendre les cours

('hicago. 19. (Ouverture-- .—Blé. c., 12612; mars, 128 7-8. Maïs, c.. 84 7-8; mars, 89 7-8. Aviné,

pas de ore mars. 45 5-8.

de !;• St uthernanr'.r.cé une augmentation des affai-Z: :! ; t:11;: z.mptsni? H 'lir?'cv,-nip«*»r s.*» wwon». i« Mte» *..» pma" ,’‘l 18 '••**”,• lo pluwwir»^tadu»- {m.IP 496,!• ïLrbon pour 1.85Ô la

bois de commerce pour 476. d’autres produits forestiers pour 467. les mar-| chandisses pour 763 et divers effets pour 1.994. Le coke, les pâtes et papiers. le minerai accusent une légère augmentation.

tri s dans h* territoire qu’elle dessert. L> rappi.rt annuel fut adopté et les direeti i rs fur» nt réélus.

GILLETTE RAZOR

1 13 i4 111Ils >-4 Ils

Les recettes de la Gillette Safety ; Razor pour l’année 1927 seront approximativement de $16,000.000. Fille

.......................... .................. seraient au ra port de $8.00 l’ac-I moins fermes h rien n’est prévoir lune excellente année pour F America i 1 'or 1 eâ P°r.te à croire que le divi- 1 Ti îi» diat« n» i1 .('an. en l(.è28. cette valeur gange de 1 i,AIuie pourrait bien êtrre porté ài NEW A ORK 2 88888 j plus hauts palliers. ,$5.00.

L’avac-e fut Rrte au groupe No’ivelbs: Rand Mines Ltd:-des su ivres pour laisser prévoir une i Den.ier dividende de 2s 6d.

I réaction. Nous croyons que seront! Réunii-ns: (’anada Dry Ginger Ale, ji armi bs vedettes l'Anaconda, FA-, Abraham and Strauss, Tabacoo Pro- rneri'-an Smelt mg. ♦■( la Kennecott. J vlucts Moyennes: 20 industrieelles:,

I ( >n envisage avee beaucoup d’opfi-! 199.95 avance de 1.02 Nouveau r»>-i j misme la situation dans l’industrie ; eord de hausse.! du cuivre; on prévoit une hausse del 20 ferroviaires: 141.16 recul d»* .30.1 .w, . . » .

f rix du métal. Parce qu’on -rév ' j :<) obligatii ns 99.21 recul de 0.08.1 «Vi- nL/wwV'H ft • i'0?n,e1 le Çl.i.u.085,882 soit approximative-

L’OR DETENU.Ottawa. 19. (P. C.>—L’or détenu

par le gouvernement du (’anada contre les billets en circulation à la date

iuch. MONTREALL.-a. BXMjflirN A eu

7? ru9 St-PI«c*r« QUEBEC

FONDS D’ETAT ETRANGERS

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EN COULISSLA MONTREAL

QREENiHICi. O % and ra* ft-FI*rr*

QUCAECCC.

EMPRUNTS FRANÇAIS SUR le MARCHE de N,Y.(Q*urtë*s obllgfcHlon» ♦raru*i,«»

é M*s -York, f-urnlt per L.-O. BEAUIIE*; A Ctr

71 ru* 5t-^ï*rr*QUEBEC

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107 106 106 inch 109 9540 37 3 k . 2 43 ‘ a 21 494 -92 4 -92 4 - W 66 4 SJ 417 16 l© 1 4 10 lk

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264 774

274 4 76

215 Là 57134 x130 \ 130 2 l4 144 101

ment de 6.'{ |>our cent de la circulation. L’or détenu contre les dépôts en

1 nrculaticn s’élevait à la même date ; 93.0^2,911.

DIVIDENDESMontrel Telegraph Co: Le di

vidende trimestriel sera v ersé le 16 janvier. 2 pour cent moins impôt sur

i le revenu.Imperia! Tobacco Co.t of Ca

nada: Le dernier dividende de 2 : p. c. est confirmé. Payable le 30

82 décembre aux actionnaires enregis- 2i très le 8 décembre.£7* , Internationa Utilities ('orpora-

tion. titre de la caisse “A”: 87 1-2 •2i 4 par action payable le 15 janvier 1928

]014 aux actionnaires enregistrés le 29 décembre 1927.

2.000 Argentine 6's 994 99 Va ^16 .(HH) Australie 5 s 98 4 DS n

2.5 .OOO Kelgi'jue 6 4'k 103 La 103 4 ,9 IHM) Belgitpie 6 s 99 99 1

20 (HH) Brésil 6 4 .« 93 '. 93 42 (HH) Bnrd»-aux 6s. gg 99(41 (HH) Cariada 5 l j s......... 102 102 47 .00* ('arvada 5’s 10H 1 Os 4

30,000 Francs B’s UOVi 1 10*47000 France 7 4- 1144 1 1 535 .OOO France 7 s 105*4 105*411 .OOO Italie 7 y................. 96 4 9711 .0(10 Ja(M»n 4 s.. 914 91 T|2 ooo Marseilles 6’s 99 99 V45 000 rarls Lyon â M 7 s 101 '4 01 41 (HH) ,*aris. Lxon & M 6,K 94 U 94 H47 .00») Ro ne 6 4’s.. 90 4 90 L47 .000 seine 7’s 103», 03 Là |

30 0(H) A ngl. 5 L j s 192 * 117»„ Us ,5 .OOO A ngl. 0 4’s 1937 106 L4 106 V*

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BOURSES DES MUES(MAURICK-J. BOkJL.1 ANNE

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130 132 nl2H x\2s101 «.j 102 101 4 1021.30 13**4 130 13-*4107»’j 100 107, : j 1(V.116 116 116 116

72 76 4 714 x76112 113 H 118 118190 1**0 I OS 17523 89 23 8 <

110 1 13 H 1IO xi 13i!l7 x 1 1 7 xl 1 7 x 11 7

37'j 37 >4 30 * 37» h109 109 109 100180 i -M 18080 90 s<* 4

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140 xl.37 v 1 3 7 2914 93 94 4 4-2'•*4 k») 89 a

1024 102 102 L)1 » * 73 74 4 4SO *4 7H 1 4-3

10 103 Lt 103 ‘ 4 «S6 k'2 L J H2 »» 2*

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Mardi, à 9 heurei M*n chanté N scnice anniver>uirt- «le l>ani«« Kruma Fafard. épmte de ('Lart*** I»**telli«r

Jeudi, à 9 heures. s«-ra chant A le service anni venais de feu Colin « 'ampbclle.

Offices du RosairesCette semaine, les «J ft ices du !{<►-

saire auront lieu mercredi, jeudi et vendredi, k 7 heures .10 du soir.

ConfessionsA l’occasion de la tcle de Noel,

les confessions auront lieu samedi matin de 10 h. 30 r 11 h 30 et dans l aprAs-midi, de 2 h. .Î0 à 0 heures ainsi que dans la soirée h portir de 7 h. 30 jusqu'à minuit

11 y aura un confesseur supplémentaire dans l'après-midi, à partir de 3 heures et «laus la soirée 11 entendra les conférâmes en la chapelle de Notre-Dame de l’itié.

| ST-COESB-Bc MARIE jj,J]

Nucl au Satnt-C *jeur-

grand’nie***»* à l’église, nlesse d'artit^rs de grft- l«iS phe*es disjHjniides sont prises. On |H*urn it A F arrière de 1 oqlise. >i. eut.

SAIM-SAIVEIR 8T-ROCH SACRE-COllüR

La jour de de-MarieA minuit,

suivie d'une ces. Toutes a ‘tueilemciit s • t«*nir «l« S< • mai s là S'- 1

fille «le feu Onési- e le 10 courant à F.Ile était Knfant

n « sscs «le 3 empé-

eu heu ce rua

de Si-'n Kminen- par- iss.ah*. r.u-

Vante des FanesLa rente des bancs est pav able

cette semait e. Le temps expirera samedi prochain à ô heures du soir.et mt vendus tous b s bai es qui

n auront pas et* payés à rette dante,dimarcha pnx hain h 4 heures des , _ , ,,/v , t#x .1 sprès-.ridi. à la sacristie du cété(tt J *l* *‘f 4 *’• îl “• ■>*'1 c«>n-

A. eu p**riuis-i «n ce. dans l v s • ’lu des sou B de r«'-tf!is««. critn ■e ru*1 Sc« tt. il y aura à minuit messe basse, dis- tributiin «le 1h comniui.it n. **t im >m* «l’actoiLs de prices lui nulle a «*te transfi»rrnée pour r«H*casi«*n en une j« lu* et vaste chapelle, ) « uvant «•«•n- tenir 300 pcrs«»nnes assisté. 1) s agennuil loirs, «les pru-Duu. un table de communion. «»nt été préparés. de manure à donner aux fidèles tout le confort possible. Les entants du Patronage Ste-<ieneviève, ru** Sc«»tt . sont ohargées «lu chant.

La salle sera ouverte au puhliro à 11 h. 30 p.m., personru* ru p« urra pénétrer siuis carte et personne ne sera autorise à rester «lebowt

Le 25 étant un dimanche, les annonces seront faites à l'église et dans la salle à la messe «le minuit. Le matin de Noel : messes basses à (> h. 30. 7 h. 30. 8 h. 30. 9 h. 30.

Grand'messe et sermon à 10 h. IX). Vêpres et salut à 4 h. 30.

Vendredi 23. à 7 h. 30 confessions à l’occasion de la fête. Samedi

Aux prière»Malvina Petit,

nu» Petit, déeédf l’i'-iro «le 7h aus.«ie Marie et «le» rance.

Le» funérailles ont i:n ii H heures 30Vente des bancs

Hur. après la messe eut lieu la vente desSain te-Fa mille

La r<-uni<>n «h j» Darnes de la Ste- Fai i le <( . dcaAll a* oir Ii»1'! hw h «'té n*nii»«* à jeudi pr*K»hain à 2 heure» ..«) «le l'après-midi- Le» Dames de 1» paroisse y s«»nt mvitées. Corn essions

M«T» r«*«h à 10 heures ei à 3 heu- 10 heures.

de 10 bancs.

res ainsi que vendredi à confession» «les enfants Propagation de la fois

Ds curies «i«*s c«»ntrihuti«»n» pour la Pri'p.'.R&îh n tu- h* F«û s«*r<»tit remis* s j« luh s«.ir à 7 heur» s 30 a la Hiblioth«'*jii«i paroissiale.Cuignolée

>«ur. l«*s Voyageurs <*.e <'« mmeree f* f* nt leur quete annuel 1« i1*1 le. (luigrudéi en faveur d -s pau-| qu ue»a.-*ireux vres de notre vill*1 | ututioa «4UiChemin de le Crois

après-, r de la rue Hua le.

Les btnos acquis ce jour-’à seront h l'usage des nouveaux propriétaires à l'office de la nuit du premier «le Pan.

La Cuignolée—M. les Vovageurs de Commer

ce feront samedi prochain leur tournée annuelle de la Guignol Ae au profit des pauvres de la ville. Pour faciliter leur travail, les paroissiens sont priés «le te .ir prêtes leurs ««ffrande». Cette an »éi» marque le 25e anniversaire de l'institution de cette corvéi de ch arité

fessions.Messieurs les voyageuri *l«* com

merce passeront par les maisons, pendant la veillée du 24. pour la quête de la Guignolée. On leur fera, comme d'habitude, un aimable et généreux accueil.

M« reredi s« ir. à 7 heures îO. aura lieu lYx« rcice <îu Chemin de la Croix h ou* 1 s* ru hiiiv i d’une séance de ooc- fessi* n**.Confessions

i L»s ci.nh'ssions «n vue «le la fête de N I îUir«-ni lieu venreui à 3

: heur* s et à à 5 heures heures 30.Av is

; Les portes de 1 «glle s*‘r«‘ni fermées samedi h ir à 11 heures et senvnt ré-

J«ûn«Samedi procoam, v igile de Noel,

est un j«»ur de jeûne d obligation.Confessions

l>»s confessions en vu»1 de la fêle de Noel Auront lieu jeudi vendred

* I et samedi.I Dsux messes de minuit j A Noël, il y auia «i« • x mesfe» de

heure», uiiimil Fui** «il haut de PegliM et J1 autre dai'» le soubas.M meiu.

PJu *.e de le GuignoléeL*1 24 décembre au soir, l«*s v«»va

leurs ce A oluiueree fer«»lit la qm te a doinielle, «iite quele üe la Gui- gUole* . A 't »t la ««m* quel*1 annuelle «lu g» lire M I'altbe K A itapl* au a exhorté l«»s tidéle» à aiveinliir ta- vorabiement ««*h amis «i«‘s pauvre*. Pr« mirre ccmm.inton

Aifrcredi pt«>, .am aura lieu la première coimuuuum «i*»s petit» eii- tanl».Remercie ment s

Au pr« uo d trier M. l abi é L- Cha./ieau, a«i » «le» RH. S?», de riio»pice M-Ciiarles. a r«*»m*r«ue t«*u» ceux qui leur ont porte &*»**ours de quei«iue mamere que ce soit lor»

incendie de leur lus- «•outo la vie à un

grand iiumoru «l'entants, ainsi que

7 heur» 30, et samedi, j l'auteur» 0 et «le 7 heure*» 30 à 9

pour le* liMmignagos de »>inpatnicj qui leur furent adressé».

.*1. l’aooo pruaia de l'occasion l*our insister auprt1» «ie ceux qui alliaient reçu des e.ifants do cette ins- j Ulution pour qu'il» en informent im- aiedialtiutnt les ivK. Soi*urs du Hon-

i« ur .liaison-more, rue «le

JeuneS.iîi.f.ii prochain. \ igilt « «• \«m .

est un j«*ur «le jeûne <i\»idigationoivf *»»ion»Les c«mfe*'i«m» auront lieu « ette se

maine, vemlrwli s««r après la «ien.i- ht'iire «i'a«i««ration et *a'.nedi après- midi A 3 heures ainsi «;u»* «lans la s«*iree à 7 lu lire* 30.Me»re r nvinuit

Pour 's con.muniiHi à la messe «!e minuit M !«• eur«. a exliorté s« » pa- r*»issieUs a pr.Mêder ave** le plus grand «»r«tr«- J*«*ur atteitulre ee r«*- sliltat. il l«<ur a suggéré de s«« pr«- m ut* r à la sainte Taule par les tr««i» allée* «lu ««ntrre «‘t «le retourm'r par U* alh-e* «!«•> couft^siitnaux ou par h*»« M-aii. r* «i** c« t«‘. Il leur a r«Hao,nmai - «it' de suivre exa*iem««nt ia «hrec- tnm «4111 leur >«tu «loinme par !«•» membre* «iu 1 '«unité Par«>issial «4111 ont «> 1 l’occurence toute autorité pour faut respecter leur» «mires.

M b* euré a a4out«« d utiles «‘ou** i pour le ca* eû un incendie m* d'X’la- rerait.Cloture de ‘retraite

l*a Hetra.te d » j«*ure« gins s'est d durée hier , idi, .. 2 1 n -M h- euré feli ité U ■ n Irai t pour leur assiduité aux exen-i** s « t p«»ur la ferveur avec laquelle ils h * ont suiv 1».Rente des ban« *

('«•tte semaine e»t la «leriüùre allouée js>ur s'actpiitter de la rente ' «i»1» banc» Hier aprôs-nûdi, au Secrétariat, l’on n cun.neneé A jm rcovoir ces rente».

Mme Fenlinand Fi*«*t. M. «t Mme Tlentphile Papilhm. \l Ant>*in«> L«>-

v . \! et Mme Ov .. i i. UniMm« l Inc NarcidU*. Mm« Gtner Marcott**. MM Armand et Frnest Fiw | Jaan-llaj tiste • t Li« ael l 1* cari. Oiner « i M t irio«» Fis«*t. Ov 'a «•f «i.nirl F.sct. Alfnsl Hicliare 1 Arthur Thernen, Lueion J«»bm. U - m«»» JiMn-Noel **1 Hrun«* Paj»iM«*n, \i:n« Geruian e Fi*et. Mll«*s Juliette «•t Annetti* Fisc! Mimmii*1 Picanl. G«rman.« Fi»«t. Jeanne **t Ith« Fi- * d. Y \ i. Planche « t D«’iia Fi»*^. A v* nne M irc« tt«' Agathe et Kmi'icn- ne Pai 1 l«in. Jitanne 1»*' I«tc. mst . Hermelt'tîe Hichard, Geflrette P« - «lard. Hita Fi«* t (V n'i-st «pi’au jour f«Mnhn4it que t«»us ►« s*‘pqr«'rent em- Im rtant av**** « ux un Imui s«»uvenir «1«* «•«■tt** agréa h U' s •ir««i

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la V iiovrotior* aim de mettre lin au Jour de l’an plus lot a l'angoisse de certains J»a-1 fé4. !«• «-uré a annoncé lùer qu’il rents qui vivent «tans une ine-erlitu- n’y aurait pas «!«• messe «le minuit de crutiit* depuis mercredi demur, lau jour «le Fan. >1 a rapp' lé que. «’. Képeiition ci» < nant I Jour-IA coin.ne A N«>»1. le» prêtnH

des pauvTcs. Il convient d»1 «'élé*- br«*r ce jubilé en nous montrant cette année plus généreux, si possible, que les ans passés.

Avis important et remer dementsLes RK. Soeurs «lu Bon l’as leur,

si gravement éprouvé*»» par d« ux in- «endlos ou cours de la semaine derni-Ve, prient les familles qui auraient recueilli quelru’un do burs Iêlits »>ensionjiair<s de vouloir lien les en prévenir au plus tftt. Flics r« - mercier t tous ceux qui, en ces jé niblcs circonstances, leur ont apporté quelque secmrs. Nous leur marquerons n«»tr«* sympathie en piixnt Dieu qu’il les south nne «lar s leur rude é/ir»u.e et qu’il les aide à ré arer a 1 j Fis t«Vt les désastres «le l’ii.eendie.

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MessesDemain A .

5 h. 40 GnuuFinessc jkiuf les Ames, reconmandée pur un particulier.

G h. 15 Grand’r.osse p**ur le repos do l’Ame «le feue Dame Blanche NYel. éj ouse de l’hon. ju«re Dorion.

7 h. Grand’mcssc pour b* roj)«>s de Fôn'.e de fou ('vrille Duquet «*t c«dlo de f« n éprtiFe rcc«irinnndée j«ar la

faison Cyrille Duouet, Liée.A Notre-Dame des \ ictr.ires6 h. G nmd’messe pour les Ames.7 F. Grand’messe jxjur le r<»n«>s de

l’ànn d * f«*u EtienneHirg**' in. re- etuninar.*!*»» par un groupe d’amis.

«.♦* la fête jeûne d’o-

Stand ncà ^ ÿhéatresIOOOCOO<X

AUDITORIUMAUJOURD'HUI, DEMAIN,

MERCREDI

5 NUMEROS 5de VAUDEVILLE

KEITHet comme feature

MAY McAVOY CONRAD NAGEL

«îans

“SLIGHTLYUSED”

Les Divers Numéros

LUCKY FOUR el ALICE TALBOT

Kich© quatuor et «lanseuse

STEEL TRIOTrois personne» «Ion» une re

présentation nouvelle

FERN & MARIEComiques (homme et femme)

LES NEWMANSHomme et femme, acrobates

d’un genre nouveau

BILLY HAAGAChanteuse attrayante

mat. le soir

1 h 10 Feature 7 h. 10 MAY McAVOY et CONRADN AG KL: “Slightly Used”

2 h 20 Comédie 8 h. 20(Dorothy Devore)

2 h. 40 International S h. 40News

*2 h 50 Vaudeville (5 numéros)

8 h. 50

3 h. 50 Feature 9 h. 50

ADMISSIONMatinée La soir

25 al 35 cants 40 at 00 cants

|EM PIRE]Au jourcF hui

BUSTER KEATONdan»

“COLLEGEf?

ST-SAl VECUCollecte de Noel

I A tous !«•» offices do sera fuite pour les clergé «ie St-Sauveur.

j Jeûne| Samedi prochain, vigile

«'.«» Noel sera un jour ue j bligution.Sympathies

Ili«*r. au prêne, le IL F«‘re Curé a annoncé qu il a envoyé aux Héve- rendfR Sœurs «lu Bon-Pasteur au nom de «n cririmmauté et de ses paroissb ns des témoignage» «.e sympathie jour le double malheur qui v ient «te les frnp]>er. 11 a en même temjvs fait j>art d’une demande des Religieuses pour inviter ceux qui auraient reçu chez eux un ou plusieurs des sinistrés «i’en informer immédiatement les RH. S«i urs à leur maison-mire, rue «le la Chevrotière, afin «b* fair<* cesser au phi» têt F&n- goisse «les jvannts qui vivent «lan» une cruelle anxiété au 8uj«'t «ie leurs enfants. C’est lù un acte de charité qu’il ne faut pas négliger d’accomplir.Messes de minuit

Il y aura deux messes «le minuit ii Lourdes, l’une en haut peur lr*s jeunes gens **t l’autre en bas pour |«*s Tertiaires. Il y aura également messe «le minuit au couvent et au collège.Messe du jour à Notre-Dame de 1

LourdesLe matin de Noel il y aura une

1 seule messe à la Chapelle Notre-j Daine de Lounles. Elle aura lieu à |

's h. 30.Bénédiction des enfants

' Le jour «h* Noel, à 3 heures de I ’après-midi, aura Imu la cérémonie 1 annuelle «le la bénédiction «les enfants. Cette cérémonie sera suivie la vénération de l’Enfant Jésus. T.<« chant sera fait» par les élèves du col-

I K ge.! Caisse Populairej Hier soir. A 8 heures, les sociétaires «le la caisse populaire «le St-Sauveur <»nt été convoqués en assemblée générale. à la salle St-Pierre pour pr«*n-

1 dre connaissance «lu rapport annuel 'sur les activités «b* cette caisse.' 5 h. 30. Grand’me»s<! «lo Requiem j

sont autorisés a célébn r trois messes l-a wille du jour «l«‘ Fan. il y aura

«M'jK'ndfciit un *>:lict* s4*éual à Fégli***. 11 c«m*Pu-ra «laus le chaut du “N 1- serert” jour demander pirdtm des

t fautes commis»-» durant l’année qui ;' lent «le s’écoiib r. et du " Fe Deinn"

Ce soir et mercredi soir, les membres du chœur de chant sont priés «ie se réunir j»our exercice de ciutnt-

injection d’un marguillierHier, lea marguilliers anebn et

nouveaux étaient «‘onvoqués pour clioisir un successeur à m. le Dr JosUué/ard, sortant «i«) charg»’. ,vA | pour rendre gr; ce» au Seigmuir d«*stji/.éur Carmichael fut élu. | laveurs dont *1 nous a comblés pen-Messes , «lant l'anné»- qui <lis]Tara‘it «ians

Demain à J lu goufi'r*. de Fr.ten ité. Cet tvffieeG h. Grand'.nos sc jxnir le rejios de aura li«u à 7 heures 30 du soir

l’aine «le feue Dame Edmond L --montagne, recommandée pur la 1 M. b» curé a averti bvs parentssuccession. I ne jus envoyer bnirs «infants aux

G h. 3J Grand'messe pour le repos I )IM,sses «le 8 heures 4.") «‘t «le 9 heuresd«i l'àmti de feue Dame Emile j le dimanche. Ix ur messe est yioffet, recommandée j>ar iv.me uelle de 7 heures 45 Arthur Dion.

/aine A Trois-Kivièr»*». chez saMme Fn .lv Godin | «î*’ N«*tr.-Dnm<-«b-GrAee.

M et Mme Ovila Hi dard sont , Qu*t« pour le* pauvre»«le r«*t«>ur «le Trois-Rivières, «ai ils i lli«*r apn s la grand m«‘**«‘ ont eu l'honn«‘ur d’être parrain et ; le» membres «le» cinqmarraine «-t «l'un bébé haptic sou» r< les pr« n«>m» «le ,l«»Heph-Léonce-R«»ger 1 «•nfan* «i • * «. ei ..m • Freddy G«»din

«nces «le la soci dé St- l'aul «mf t «‘m lu la main

par«»s- «•«mf«*-

Yimmnt -«i«‘- A domicib*

lAtlHJtTK/ I FS MARl.HANDLSRS | ANNONi 1 Y S| C'ompAi »-* et « h«)istssex.

r ST-JE AN-BAPTISTE

Aux prière»1. H«»ct.*r Giroux,

courant l'&ge «le2. Alphonse C

le 13 du courant an» «*t 7 mois.

3. El/Var GuavI courant à Fûge «le1 mois.• Vente de bancsI La vente généraitI fera cett«» année les

VT«»nt la f«'te «le N

«lé«*éd* i lo 12»•> an» «d G mois.

'iilombe. «bcé(i«‘à Fûge de 48

dé*cé<lé le 13p 81 an s et 0

le «les bancs SC«pu

GuignoléeS.metli soir les \ oyagour «le Corn-

mere** feront leur quête aiinu«'ll* «1*' la Guignolée ««a faveur <1«ts jvau- yn-s «le n«>tr«« ville. Ils porteront leur insignes.Cai»«e Populaire

Au prône, „\i. le curé a annoncé

7 h. Grand messe en l’honneur de Saint Joseph. recommandée j>ar >i. Adrien St-.Laur«nt.

7 li. ;U) Grand' messe jour le n'pos «le l’aine de feue Dame Emile 5 - effet, recommandée j»ar Ni. G.-«S 5 arc. au.

8 h. Grand’.n'*sse d’actions «l«‘ gr Aces j une assemblée générale de*» s«K-ié-n'co.nmandée par la famille Char-1 ,aires de la Caisse l'ojnilaire «l*1 St les-I*ierre Dionne. j Sauveur à la salle do l’Oeuvre d * la

------------------------ .Jeunesse. Fille s’est tenue hier s< iil.es bouton» viermrnt du ksuk Qui n «'«t 1 ÿ ^ heun*» nas en tré» bon ordre. Si vous voule*, r- ,------•- visage tuenre

1 Ce s«iir. à la salle j>rr«»Lssiale, aura lieu un euchre pour les "Petits Zouaves”. De beaux J rix Ffr«>nt distribués aux gagnants. Entrée, 25 sous. Comité paroissial

Jeudi, aura lieu une assemblée g«'- nérale «b s membres ou comité Parois-

: sial jx>ur organiser la fête «ie Noël. •_ . . , j Les Dame» Patronne»**»

Activités de la Ligue antituber-] j^,s palrom esse* du comit»'culeuae et de puériculture pour par<Mssjft| recevront «ians le «‘ours d«

'la se niai n*1, du directeur des Oeuvres.

\ ou» déI»arraR»rr ONHayer. le Sirop piianuaclrn»

«les macule* du Selgel. ('nez tou» le*

TSETFOBD-HINES

le mois de novembreTuberculose. Jours de consulta- des cartes les autorisant à recueillii

turns. 9. < «insultâti«*ns. 13*. j des prix ou des Kouscrijition» au j>i*olilveaux <*a» 3.). Radios coptes, 27. Ides euchixs que le comité paroi-sial s«

d«» 1 * uberculeux, 4. Sou» observation. « j>ropose «i*- (i«>n;ier les 30 et 31 janvier Non tuberculeux, 24. visites par 1©;j/roc}lajni,médecin. 8. \ isites jiar 1 intinniè- j f. gr^mi suce» » nuiijKirté l’an der- re, 205. nier pur ctjs dames e«institue un j>ré-

I uériculture. Jours ue consulta- cieux enc«>urng« nu-nt A faire «i»1 n«»u- \ions. 4. Consultâtiqr». 83. Bébé* voau ajipel à Umt générosité et à leut inscrit», 25. ^fere» inscrites, D- Bé 1 dévouement jniur s«*c«»n<ler leur»é]i*»ux «»és surveillé». G70. M« res surveillée» font tant pour l«‘s «>euvTes juin is- 14. \ isites par 1 infirma re, 430. 1 siales. Toutes l«i< recettes ser«d tAccident d’auto 'pour l’église. Aii»»it«')t que le» carte?

Samedi «lernier. vers 10 heur»-» leur seront remi»«*», les dames i»atrot- p.m., M. et Mme Liulger Genest ' nf.sg(,Ht jH,lirront comnif ncer iinmé«iiu

VICTORIA Aujourd'hui

ADOLPHE MENJ0U«lan»

“A Gentleman of Paris”(Un Gmtilhomms de Pari»)

auviNOUVELLES et COMEDIE

pour le repos de 1 1a verdi ère et les

famille

finie «le Lucienne m<mbres défunts

reeommandée par sade sa mère.

G h. 15. Grand’messe de requiem jKiur le repos «l*1 l’âme «l<* Lue Routier. recommandée jiar la. famille Evariste Godin.

7 h. Grand’messe «le Requiem pour les Ames, recommandée par M. le notaire J.-A. Pouliot.

7 h. 15 Service «le Ste Famille «le Dame Flavien Huot.A Notre-D:»mc de Lourde»

G h. 30 Grand’niewse de Requiem pour le rejKis «le 1 Ame <l<v Dame j>'«»n Na<leau. recommandée par sa fille Marguerite.

et leurs quatre enfants revenaient j tement leur travail jK>ur r« cueillir d* «•liez eux. «*n voiture, quand )>s jtrjx et «les souscriptions. Ces jri

‘furent frappés j>ar un automobile devront être ajqvorté s au jiresbytère.V'enant «m s<«r.s inverse. Tous les Aux prière»

{occupants furent projetés hors de| Zéphirin Turc.dte et dume Eugèm ila voiture Mme Genest se fit frac-1 Raymond, j turer un»» jambe et les autres oe->‘ cuj>ants «le la voiture s’en tirèrent |1 av'«»c «le légères contusions.

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AUJOURD'HUIIl F. Vf «*K»TK avec RONALD COLMAN

La Iruuga d'Arg+ra dansrj LES MALHECRKI’X

l>K MOKLAVEC

CAROLINE I» Raine desComédiennes

Service»Mardi, à G heures 30, *♦ ra chan

té F- « rvic*1 «le St<-Famill«* de feue ( ’«sarin*1 Houssin, vcuv«‘ «le Ansel- nu1 Gh'iix.

Vendredi, h G heur* s 30. sera chanté le service anniv«r.4iiiro deI u*1 Amanda C«5té, ép*)\im* «le J«>- »« j«h-A<hlin Dr» b»t.

Ia1 même jour. A 7 heures 30,, > s< ra clu.nt»* h* s« rv ice anniversaire | <!«• f« u Jér<‘>m«» Bélanrer. éjxmx <!e ' Fl rire Dcbre.Au» piière»

1. Anna Bl«*uin. v« uvc d’Eugène : Ri’.v n.«»nd, «•écéilé»* le 17 courant à l’Age de 79 : ns et 1 mois. S«»n1 HLTV'ic** « t »u sépulture aur«»nt li«u a St«-Ann«‘.

2. N.-.j»' l«'«»n Dumas, éjxMix «’e Dame Phiî* m*1?!»* Bh um. «Iéeé«lé A St-R.»ch, smuthU le 17, .Y FAg.1 «1#» G0 nr s « t G ni«»is. L« » funérailh s uurmit F< u demain h 9 lu un ».Sain te-Fa mille

Mercredi s«»ir. à 7 h. 30. il v aura a»8emb!«'«* «!«•» Dame» «ie la Sainte Famille.Jeûne

Samedi, v igile «b* N«h*I. est i n jour «b* jeûne «F*»bligati«»n.Me»»e de minuit

Iji messe «it* minuit sera j»récé«lée «l«» la r «'•citât ion «»«» l'«»ffic«‘ jar les

| inCmbr*»» «ie la C«mgr«*gatir>n. Cet 1 ollic*1 «iomm«,n«,era samedi s«*ir à

II Imurcs 15 et s«»ra suiv i «b* la mess©I «!«> minuit et «le e«»llo «i«» l'aurore.j Ia* jour «b* Noel lea mcKs«.s seront ! «lit**» à G heur»1», 7 heures, H heure»

15. 9 lienr**s 15 j*our les enfants,' et 10 h«‘3«'S. ,Quête de la Guignolée

Satiuv.i »«»ir. les Voyageurs «ie ComtiUTc»* f«T«*îit la quête annuelle de la Guign«)lé«*. C’est la 25e qu’ils) font. Il est b«>n <1«» souligner cette «•inconstance j«artieulièr«‘ par un re- «bmblement de générosité et «le sym- |*athique H«*eu«,il C olle*'te

Il 41 «’«*1 b'«it«i «jui »«• f«Ta i» la mesHe «i** minuit et aux nu*»»» s «mi j«»ur «i*- \<*< I x» r» au pr«» il «b* l’• glls«l

MariageT»AnklA* J» I ^ célébré récemment en n«»tr«F VCwS. • j «'giise le mariage «b» Mlle Marie-

-- - •- 'Jeanne Picard, fille de M. et Mm*1Maurice Picard, avec M. lioren/.*-

! Kiset. fils d<* M. et Mme Adjut«»r I Kiset.j l’n msgnifique souper fut servi

-------------------------------------------------------chez le père du marié, où l'on pas»»I une agréable soir«>e.

Confession» ] Etaient présents: M. rt Mme A<1-A l’occasion «le !n fête «le Noel. iut«»r Fiset. M. et Mme Maurie.

les c«»nfessior.s seront enteruiues \« n- Picard, M et Mme Maurice Fis«-t «lre«îi soir, apr* s l’henni d’a<loration. «le Trois-Riv i. res. M « t Mme F««rdi- Première communion ! ran«i Fiset. M. ««t Mme Adélard Fi-

D«*main matin, h 8 heures, aura s«*t. >î. «*t Mme Thé«>phile F’iset. M lieu la j'remière communion «l’un William Pirhé. M et Mme Alfr.^l groupe «le j»etits piryons et «ie jveti- Richard. M. « t Mme Arthur Paquet. t«*s filles. M. et Mme Eugène Fiset, M. et

LES LIQUEURS DOUCES

“FORTIER”Elles ont conquis la

préférence du public ’

( 'e>t donc les “Fortier" que vous «ie\ rez avoir pour reeev«»ir vos am P si vous voulez leur être agréable.

Son Goûf Préféré

Plus amples détails seront «tonnés au j>nV ne «h* dimanche jiroehain Propagation de la Foi

Cost la dernière s«*maine alhmé© pour nnmuveler son ab«uinein<*nt à la Propagation «le la Foi.Quête de la Guignolée

Le» Voyageurs «le Commerce f<«- ront ene«>re, cette année, la veille de N «ad, la c«»lle«»te de la Guignolée en faveur «les pauvres. L«*s paroissiens s«»nt invités à les receveur ave*1 bienveillance et générosité en «bmnant généreusement à l’occasion du jubilé «l’argent «le la Guignolée et en tenant leurs oftran- <ios prêtes pour éviter tout re-i tard Les voyageurs jHirteront un brassani sans inscrij ti«»n.Fabrique

Les e«»mptes «lus à la Fabrique doivent être acquittés avant la tin «iu présent moi», en vue «i«*s obligations «•<»!,» <1«'râbles auxque 1« s «nie doit fair*1 face.C onTesaions

L«»s c«»nfession» «-n vue de la fête «le Noel auront lieu mardi, à 2 heures ne l’après-midi j»our b» petits garv« r«fi qui n’ont j'as fait ia «•ommunion sc lennelb' : mercre-1 di matin, à 9 h ««lires 30. junir les 1 filles «pii < nt fi'it leur c«»nimuni«*n ! solennelie, et A 2 lieues «le l’après-f midi p«>ur b » j»* tit«*s filb ».

Vendredi matin, à 9 heim'S 30, pour les garçon» depuis In (ommunion solennelle ; «Ians l'après- midi. ainsi que sarn<*di apr s-midi, aux heures «.«rdinaires, jiour les adultes.

Samedi s-ùr. les eonfessu.n» s«* poursuivront jusqu’à 10 heur*» 30..

A ee m«»ment. l«*s |»irt«*s «b* l’é- glist-s seront fermées jx ur re s’<*u- vrir «le nouveau « u'à 11 heures 30. Mease de minuit de Noel

A la messe de minuit, la distribution «le la communion se fera

Nouvellespar Radio

Ce soir, à 6 h. 30, le poste CKCI “Le Soleil” émettra les dornière» nouvelle», cotation» de bourse, nou/ello» diverse».

RECEPTIONCeci n* •• r «ppart* qu'a I» r»c««ptlen

de» pe*te» en tfeher» d» la vill*

PASSABLE HIER SOIR MAIS MAUVAISE SAMEDI SOIR

Fourni par C. Rcbilaill© I n». Québec

Oui,Le Présent

Toujours Présentdont ils sc serviront

chaque jour!

«b* ra:»' romtiio lilé, un i-l'iiHir encore

d«‘s ann<;es / re far.i et prouvé. Douhlrm' "t néc«'»s iinserv ie** tluu! I rcriMTcnMiu’Ut

une e. r - jamais « •

- doui'l

I n S«^rvi«*e «!«• Bur«*:iu «le Porte-Plume Béservt'ir Duofobf Parker «iéhnrriiss*1 «f««» jilumes malpr«»i n**- « t d**» «*ncri«irs. L«*|)«.»r- te-plume nûituit l’eiuT»1 h» sii|»p«irt tii'nt la jdiiim*. Pas b**» in «b* tremj>er la plunit' «Ians IVikt*1 rien qu’à premire l;i j'iti- lu*1 et A h CRI R ’ L«-Mij'jHTt «le la | Finie à l’éj reiive «b- Fuir ti«nt le b «h* huu.ile et toujours prêt.

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LES INDIENS DE SPRINGFIELD CHAMPIONS DU CIRCUIT CLAPP NOUS VISITENT AUJOURD’HUILes Castors joueront ce soir à 1* Arena contre

l'équipe qu’on dit ître la plus solide de la ligue à l’heure présente Rude épreuve pour les joueurs aux chandails “bleu et blanc” Troisième semaine de hockey pour nos joueurs

LES EQUIPES AUX PRISES

FOUR LES CIRLERS fM. Arthur Duquel et M. J.-L.

^pedaile, président du Quebec B jnspiel viennent d’ofTrir un tro> phée chacun au> emateura du curling. La coupe Duquet sera l’emblème ciu chrmpionnat local cluba Québec, Jeccuea-C artier et

Victoria pour lea “granitea”, tandis que le trophée Apedrile aéra préaenté à l’équipe gagnante d'une aérie de championnat eux “gra-

UN CHEF HABILE 1

DEFAITE POUR LE

QUEDEC

Québec reçoit aujourd'hui lea champions de la ligue canadienne américaine et lea Cast or a auront ce soir à l’créna une autre dure «fit u -ve de la aaiaon du hockey. nitea" au club Jacquea-Cartiar.

Asacz chanceux de battre les Indiens, chez eux. Jeudi dernier, .«r [ _______joueurs du Québec savent tout de n erre que lea rclea p « u \ c r.t chi nier aujourd’hui, et que lea vainqueurs de ce ecir pcuwr.t Lien élie lea w ;r - i cua de la semaine dernière.

Les Castors nous arriveront ce matin, de Dcatcn, <ù ils ent été. défaits, samedi, au score de 4 à 2.

Les Indiens de Springfield seront ici au ccm men cément de l’i pref- | midi.

On s’attend à une joute très dure et très ccntcste'e . e jcir; les champions du circuit qui n’aveient jrrrris été fcittus ehez eux ptr le;Québec vont essayer de faire oublier cet éehec, en s’iduient i r e vie- i toire éclatante, ce soir.

Il faut dire que les Castors n’entendent pis s’en Ifirrcr n pc:cr| de cette façon. ! Bouton, 19 — Tijcors de la

Le Québec a fait une assez bonne semaine, gagne nt une pe rtie et en H L , ont sooré 4 à 2 aontr**annulant une autre. Ce résulut n’est pas si mauvais si l’cn ccnsidtie (’astors do Qu^b •« snmodi. Ia- que nos joueurs étaient à l’étranger, et avaient centre eux la fatigue roche a »*r.r*gistré les deux points d’un long voyage. du Quéhcvc. Lt*s arbitres Sinott et

Après tout les joueurs du Québec n’en sont qu’au commencement J-’nh y de Boston, ont imposé 18 de leur troisième semaine cle hockey régulier, et c’est l’avis général j punitions, soit 12 au Québec et six qu’ils sont déjà en très bonne forme. I au Boston.

On verra ce soir les progrès qu’ils ont faits depuis une se maire, et! ce qu’ils peuvent faire contre des équipiers stylés et redouta b le cc m me !Maracle. Whyte, Foster, Waite et Desmarais.

I! paraît que “Slim” Halderson, Bennett et Sorrell sont en forme pour tout de bon, capables de donner une grande perfor-) m a n c e. i

On ignore ce qu’ils feront contre les champions, ce soir, mais il est sûr que les hommes de Lalondc feront travailler comme il faut leurs adversaires, avant de laiiser la victoire leur échapper. j

11 est sûr que l’on verra encore une foule très considérable à l’aréna ce soir.

La vente des billets à l’avance rappelle celle de la joute d’ou-J verture de saison, à Québec. Tous les amateurs veulent voir les'Castors aux prises avec l’équipe qu’on dit être la plus formidable de la ligue à l’heure présente.

Voici quel sera l’alignement probable des équipes :

Deuxième période1 Boston. Mao Kay

.2.07 !

2 Boston. J. Contant... . .3.43 i3 Québec, Laroche. ...... . .9.50

1 Boston, E. ( ’ortant . .4.10 .Troisième période *

5—-Boston, Taylor 4.206—Québec, Laroche .9.08 1

TROPHEE |1i

Springfield CoxDes marais Fostsr

ha pman Vai I Whyte

Le lieutenant-colonel

but*défensesdéfensescentres

ailesailev

Oscar Gilbert, présidentdes Sports d’Hiver de Québec, mettra la rondelle

Québec : Lamontagne ,

V icar i I a ierson

Aurray! La roche|

Sorrell | de l’Association > au jeu, ce soir. !

CES PIRATES?Pittsburgh, 19.

Pi rates ont subis V n »* i soir, alorsH awks ont sroré 5D •s locaux n’ontd- ux parties depuinuent «1 • la saison.

(P. une que è 2

( . Ix*s 7o défaite,

pule

les Blackcontre eux. qu’annult r

c(-.i .nonce- AlcCaffrey, an-

eiennt ment du Toronto, et Burke' j autrefois du Canadien, ont fait leur début comme porie-eouleiir de Pittsburgh. Les Black II nu ks sont compté deux fois dai s b s première il 3e périodes et une fois dan la 2e. l«s TiraUs ont Fcué

clans la première et la 3e.Première période

1— Chicago, -\lackay (Irwin 3 h>2— Chicago, Irwin 7 443— Pittsburgh, Milks Darrngh».ô 04

Deuxième pério e4— Chicago, Arbour Keats

Troisième période5— Chicago, Denneny. b- Pittsburgh. Smith 7—Chicatro. Dennenv

* 1.

SON POSTE

Une première partie pour le trophée B «swell, a été jouée samedi & u V ictoria. L’équipe Carneau H. Justice. M. IVic- Greeve; , Ceo. Perent et F.d. Gr. r nea u a défait l’équi pe Boulton R. Vouet, Irurie, J. Laird et A.-R.-M. Boulton , par un score de 21 à 3.

A L’ACADEMIE

*?■ ' ■■y***’il ■*mm*^**£*jk(*fo ;> <’ *• itiSfai-

' t«

■

xi-m

erntm

UN POINT SEULEMENT

Ottawa 19.— P.é’. — l’ar un point seulement, los Sénateur ont défait les Maroons, samedi, soir. Le seul point de 1 s< iré<» a été enregistré a été enregistré par Ilte Kilri u. Les V.ar o ns ont luttai lié eux suissi et ont souvent menacé la défense locale. l.< rd Williigdon et le party vi- cj-royal :i-si tj lent à li joute.

Deux ème période L—Ottawa, K lira...................... 10 CO

POUR OTTAWAOttawa. 19. (P. C.)—Les Séna

teurs désirant se procurer un substitut joueur de centre, ont enrôlé Gene (’houinard, qui portait l’an dernier les couleurs du Stratford, de la ligue Canadienne, (’houinard est un joueur de la capitale fédérale et a joué autrefois pour le collège d’Ottawa. Plus tard, il brilla dans la ligue senior amateur locale.

Au Forum de Montréal

BABE SIEBERT, l’ailier de gauche des Maroons de Montréal

C. COOPER A COMPTE SEUL

A NEW-HAVEN

FR. CARROLL le “coach” des Indiens de Sprinfield qui jouent ici ce soir contre les Castors

Le club de hockey de Boischatel Citadel Brick" est venu renc» r.trcr

j l'équipe ('es Académiciens hier sur') le terrain de l’Académie. *| Cet autre équipe de la Ligue de la î Côte de Beauport. ne fut p\s plus heu- ; reuse que le Sic-Anne Paper; elle fut • o( mplèienient défaite par un score de

! 8- !.

La p"**mière pér'ode, v i? enregis-1 i trer le p(dnt de l’équipe de Boisohfttelj puis «sh, m< ni cnn» l. s . t ■ Francf>-AmériVaine, qui Munira mor-

r. priKi s Huanl. R. ehelto Çh.- ! cwdi. lu '28 décumbre. au Klrndu- |V ali* r. Ib cheUe, assurèrent ;• 1 Aca- | island Auditorium. 1111 rue North-

UN GRAND GALA A PROVIDENCE, R. L, LE

MERCREDI LE 28 DEC.Providenc

G.) — I^?s rapidement

. b’.-l . H. D. \ billets s’enlèvent déjà

pour la grande soirée

z.t2.s

UNE SURPRISEBerlin. Allemagne. 19 (P.(\ l'ne.

surprise a été enregistrée, samedi,1 au Sport Palace, où a eu lieu l'ou-1 verture du tournoi international de' hockey de Berlin, quand l'équipe; de l'université d’Oxford, composée; de joueurs canadiens et américains. | a été battue, au score do 7 à I. par* le Berlin Skating Club. Le club Yien- 1 ne a défait l'université de Cambrid-J ge, x»ar 3 à 1.

LES ANNEAUXLa ligue d'anneaux d'intérieur de

Québec aura un ■ assemblée spéciale j mardi soir le 20 a 7 h. ••t demie au • ocal du club St-Paul. 363 St-Vallier.

ZIG-ZAG-Papier à cigerettes

HOOLEY SMITH, le fa meux centre du club Ottawa l’an dernier, qui vient de prendre sa place au centre sur l’équipe des Maroons. Smith avait été suspendu pour un mois à partir de la première joute de la saison

CHICOUTIMI

valûr. II» ch et te, assurèrent ù ri Aca- Jdémie ur.e brillante victoire.! Voici l'Iigmnunt: Académies Sé- {nior; Buts déf. Chevalier;i I >éf Hoeliette; ('etre Langlois; Aile 1 G. Huard Aile DK. Huord

1 ACADEMICIENS (Juniors

; l.i 8te-Anr.e de Bennpré venu repiendre lanartie nulh* de dimanche

j le 11. e» ntre les Académiciens s’< st fait . battre par un score de û-0 Fontaine. (du club de l’Académie s’est lait i remarquer par un jeu rapide et brillant .

Align-m r’ de l'équilM de l'Acadé- I mie: Acrdémicii rs (Junh r).I Buts; Duchair.» ; centres: Fomaino;.' Déf cm.s : Demers A Défenses K < lagnon Ailes G. Merck r. L. Aih s Droite

j Dtifrur A. Subs. Letellier.

de M. Dub.ic d'être maintenant meinlir*1 régulier des batteries d(*s “Tigres” de Detroit. L'Université Brown, de Providence, a reconnu le talent de M. Dubuc en le nommant à la direction de scs clubs de baseball et de hockey.

LES RAQUETTEURS

i Main, les délégations d’une centaine de clubs de langue française à l'occasion d ‘ la partie initiale à Providence entre les “Castor/" de

; Québec et les "Coqs Rhode-Island” i de Jean Du bue.

Ces deux foi midables équipes de j hockey en sont venues aux prises 1 le neuf de ce mois, à l'Aréra de . Québec, dan» l’une des joutes lesi plus enlevantes de la ligue profes- oo-Américaino du 28. ; sion relie C acadienne-Américaine et j l’homme qui donna à • le score après 70 minutes de ’jeu I acharné fut de 1 à 1.

TOURNOIS AMERICAINS

Ving et u i des hommes publics franco-américains de ia Nouvelle- Angleterre ont prêté* le concours de : leur haut, patronage à la “Soirée ! Franco-Américaine" et cette manifes-j tation sportive de nos compatriote? du Massachusetts, du New- H&mpshire, du (Connecticut et des centres du Bhode-Is.and promet d’être un événement do gala qui fera époque dans les annales du sport professionnel.

Or-irui üvr* ilouhli» I/O feuille*Le* plu* tu »n

pui*sn xrheterr it«r '*îs imitati* B

Chicoutimi. Q.. 19. (D N. ('.» Plus de s( pt cents nersonn* s ont assisté. hier après-midi. :i l’ouverture fie la saison du hockey à l’Aréna de Chicoutimi. Les clubs Chicoutimi et Arvida mesuraient leurs force.» j>our la première fois.

La partie a été chaudement contestée comme l'indique le ccore et ce n’est qu’apri s une période Mipj lé- mentaire de dix minutes que le Chicoutimi réussit a affirmer sa supériorité rn comptant son quatrième point. Di gl; <-'• était rugueuse et lo caoutchouc difficile ;j conduin*, la /•ate a été ccependant assez rapide et un peu rude ;i oiTtains moments.’ mais l’arbite Walsh ne laissa rien passer de sorte que les joueurs qui ' aiment à jouer rudement en eurent pour leur compte à chaque offense en étant mis au repos. Le club Arvida est composé de bons joueurs, rapides et pleins de feu. Le club Chicoutimi a aussi une bonne équij*e, plus lourde que l'autre, co qui lui donne un avantage. H était évident que l’on-

Le tournoi de golf pour le championnat ouvert de» Etats-Unis aura lieu les 21. 22 et 23 juin, h l’Olyrr- nia Fields Country Club, de Chicago, l^e tournoi ouvert anglais commencera le 7 mai. au club Royal M-J A cette occasion les sportsmen Georg*'. Le concours féminin anglais • franco-américains ont eu l'heureuse débutera le 14 mai, à Hunstanton, et I initiative de rendre hommage public le tournoi i mat eu r le 21 mai, à [ \ troi« des figures dominantes de la Prestvick. j Canadian American League, a sa-

Outre le concours ouvert, voici la • voir le gérant Jean Dubuc, du Pro-

DUBUC, LALONDE, MILOTA cetie occasion les

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nant ouvert au public.

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Man i >. ■ ». ( ' klifomie. 10 (P.C. îjéo Diegd, profosiionncl du E**ni- more Country Club, d** Now-York, :i gagné !*• tournoi professionnel do $2,ôU0du *San Diego Country Clu b hier.

tiainemunt faisait défaut éan» h*» deux c?i.np . mais eu défaut ne pa- rai'ra plus à la prochaine joute.

Les équipes étaiont coinjiosées comme suit ;

Chicoutimi : J. Beaulieu. V. Bergeron, P. Dcsniens. A. Gagnon, R. Savard, J. Gagnon, aubatituts H. Bergeron, P. (faudreault;

Arvida : (i.-A. Thomson. M.-H. fTineen, J. Johans(*n. O. Roy, W. Quirk. P Lamirande, Su. stituts, !.. Roy, A. Grimson, T. McCormick.

Arbitre J.-J*. W alsh.Première période

1 Arvida, l^irnirande 1-2 mDeuxième période

2 Arvida. < >. Roy .............. 14 (K)1.3 ( hicoutimi, V. Bergeron. 17 (K)| l Chicoutimi. P. Goudreault. 19 00

Troinième période , .> ( hicoutimi, H. Bergeron . .

Période supplémentaire 7 Chieoutirni. I!. Bergeron.. 4 00

Nos voisins ont aussi ouvert la sai- '«>n du hoekey a l’Aréiia de Kênogami par un** joute entre 1* s clul s Kénoga- rni et .ionquifre Plusieurs centain* » d*- ixrsonncs ont » -1 s t é à ce tournoi. La joui** a été tr* s vivement eontes- tée et s’est terminé*- phf un score de in a zero «-n faveur do h( iioifxrni

vidence. le gérant Hubert Mi lot du Québec et le célèbre "Newsy” La- londo, le coach des (’astors. (’es trois straté*gistes du spc.rt national d’hiver ont fait plus que leur part depuis la fondation de la C. A. L.. pour jeter de l’éclat sur le prestige sportif de notre rare. AT. Milot, pour

.sa part, fut l’instigateur du hockey professionnel à Providence et ses

! milliers d’anns du Rhode Island lui J préparent une enthousiaste récep- i tien.

Jean Dubuc. l ’ancien lanceur "étoi île" des Detroit Tigers, qui dirige j depuis d**ux ans les destinées de l’é- J quipe de hoekey Providence, les i Rhode Island Reds, est peut-être le i sportsman qui fait b* plus pour dé- i velopper ies jeunes dans le sport.I On (’a vu préparer pour les grandes i ligue» de baseball des jeueurs du calibre de McCurdy. Jim Bottrrn-

j ly. Erank House. Billing* et Rufus i Smith, deux étoiles de l'université j Br*.wn, Lester Bell et toute une pléiade «b jeunes athlètes, tant dans le monde du hockey que du ba.se-

j bah Owen Carroll, l’ns du collège Holy Cress, doit la perspicacité

Avant d’aller à Providence, M. Dubuc lit un stage de deux ans à Manchester, la ville-reine du New- Hampshire. ou il s’est fait des centaines de bons amis. Ceux-ci ont décidé de se rendre à la Soirée Eran-

pour honorer leur ville les

j championnats de hockey et de hase- bjt 1 de la Nouvelle-Angleterre. La d( legation de Manchester offrira un

| coup d’oeil des plus pittoresque.; Les membres des quatre clubs de raquetteurs. dans leurs brillants uni-

[ formes. s« us la direction du maire Arthur E. Moreau et de M. Benja- mm C. Lambert, vice-président de l’I n ion Américaine de Raquetteurs, viendront h Providence accompagnés du célébré quatuor “Los Troubadours de Manoehster” dirigés par le prof. Thomas Dupont. Qui dit ra- quetteur. dit gai luron et gai chanteur. et les personnes qui assisteront lo 28 à la joute Québec-Providence ne trouveront pas le temps long. Les lurons offriront des fleurs aux héros de la soirée, MM. Dubuc, Milot et Lalonde.

Nashua, N ew-Ham shire, la ville natale de Jean Dubuc, n’aim** pas a se laisser surpasser par Manchester. Les clubs Eordinand Gagnon, Nation nal *‘t l’Amicale ainsi que les autres sociétés canadiennes de Nashua organisent une belle excursion en autobus

Springfield, Mass., Î9. P. C. L.es Indians,

de Springfield, ont défait les Eagles, de New- Haven, par 2 à 0, samedi. Waite et Vail ont score.

Montréal, 19 (P.C.) Erank Shaug-I nessey a démissionné comme entraîneur de l’équipe do rugby de Mc-1 Gill.

Les Anglais et les Allemands ont fait match nul. au score de 2 2.lors de leur première joute depuis la guerre, samedi «à Folkestone, Angleterre.

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Toronto, 19 (P.C.)—Un lancer direct de Carson Cooper, qui enait d’accepter une p-asse de Walker, a mis tin à une partie rapide et brillante entre les Cougars et les Leafs, samedi soir. La joute a duré 66 minutes et 45 secondes.

Quatrième période

7—Détroit, Cooper Walker(... (i 45

Le Jeune-Verdun a défait lo Canadien, de St-Grégoire, par ô à 1 hier.

New-Haven, Conn., 19.—(P. C.)— L e New-Haven a défait le Philadel- P hie, par 3 a 1, hier soir, dans la

■ igné Canado-Améri aine. La partie a été rapide et dure. Chaque équipe a en asjsé neuf punitions. Stark, le gardien des buts du PhM^delphie, joué une grande prrie.

POUR L’AN PROCHAINAtlanta. Ga.. 19 (P.C.)—“ Bobby”

Jones a déclaré samedi qu’il espère défendre son titre de champion "open” anglais l’an prochain ou de jouer dans le tournoi amateur h St. Andrews

L’OUVERTURE HIER A LEVIS

Les Chev aliers de Coo b ont dé- | fait les Taxis par 3 à U, en inau tirant la série de la nouvelle li ue de Lé vis, hier après-midi.

Son honneur le maire Blouin a mis la rondelle au jeu.

La partie n’a pas étérude. Le joueur Gérard Gu&y a été l’étoile de la joute et il a s roré deux points.

Les équipes s’ali m h nt cenune sui : Chevalier de Colomb: Bourget, Labnéque, P. Bélanger. H. Le- bel, J. Blanhet, (Tard Guay, Odilon Guay et G. Ramsay: Taxis: Po- liquin, C. Carrier, O. Laflamme, H. Aioreau, Alphonse Guay, E. Vien, P. Samson, R. Lemieux, M. Boissinot, et Kliéaume.

Sommaire: 2e période Chevaliers Blanchet : G. Guay; 3e période: Chc- valiers, G. Guay,

LIGUE DE BEAUPRED* St-Grégoire et le Beauport ont

gagné les deux premières parties de la série de la ligue de hockey de la Côte de Beaupré, hier après-midi. Le St-Grégoire a défait h* Régiment de Québec, par 4 à 1. à Saint-Grégoire, et le Beau]>ort a blanchi le Citadel

! Brick, par 1 à 0, à Beauport.Le joueur Simard, du St-Grégoire.

a compté deux points. Voici h* som- ! maire Ire j*ériode • St-Grégoire, Simard, 5.00 ; Odesse, 4.CO, Simard, 1.00. Bergen n, 2.00; 3e période- Régiment de Québec, Wellman. 1.00.

Le seul jnnnt de la joute Citadel R rick-Beau port a été enregistré par Vachon.

AU PATRONAGE LAVALLe Laval a défait lo Canadien pa»

un score de 4 à 3.Le Boston a défait le Chicago par

un score dd 4 à 2.

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Çuvet. 100 139 137- 182ouæ* i35 lôi 14b— 4>-

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385 410 401 —1194 .erres et Forêts 1 gagne pur défaut

contre Folice Provinciale.

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h* championnat amatour tl»* BLMJ a été accordé au club Behblo Hea^h, do Del Monte. Californie. 11 aura liou on soptombre à uno date qui ■era choisie plut tard.

On dit que les associations an- hrlais«« et américaine u«* se sont pas consultées avant dt* publier leurs programmes. mais il apport qu’ellos ont arrangé les choses do façon à- pormettro aux champions <lo parti oipor à tous les tournois l>os amateurs espèrent maintenant que les associations canadienne et amérioai- ne s'entenderont sur le même sujet.

LE COFFROTHDeux bons chevaux européens se

ront inscrits au handicap Ooffroth, qui sera disputé à Tia .Juana le printemps prochain. Jack Atkin- g rant du Jtokey Club, annonce que Masked Marvel et Sun frod II, deux vainqueurs de classiques anglaises et françaises sont en rou- • pour le littoral du Pacifique où ils seront immédiatement mis l’entraînement.

Le ‘('offroth” rapportera plus de S 100,000 au vainqueur, de sorte qu’il n’est pas surprenant do voir les propriétaires de tous les coins du globe s’y intéresser.

JOUEURS DE LALIGUE DE BEAUPRE

Voici la list*» officielle des joueurs de la ligue de hockey do la Côte de Beaupré.

Beau port ïnd.: Léopold Oiroux. Paul Bélanger. Charles I/«mieux. Wilfrid Cramache. Willie Bélanger, (leorges .Dupuis, Alph. Vaohon. .L- L. l/>rti«*, Eug-ne Ixâsseur, J.-O. Auclair, Irér.ée Bédard. Maxime Bélanger.

St-Grégoire : lU*n. M«*reier. Nap. Iêbel, Alf. Otîess, Wilfrid Simard, .J**an-Bte Hurens; Occur Demers. Emile Giroux, Paul Gergeron, Ja>s Difrance, Roméo 14i\a»k-

Ste Anne Paper A.A.A.: Lucien lia voie. Gaston Ramsay. Fred-J. Mills, E. Sévigny, Gérard C»>oper. Kiclmrd-J. Owen. Wilfrid Haney. A. Lapointe, M. Pouliot.Régiment de Québec : Art. Fleury, Antoine Garant, I Ai u rent Wolmnn. Jean Trudel. B*n. l/*page; Laurent Giroux, L.-S. Dupéré, W Brown, Unirent Barb**au.Brique Frontenac, A. A. A.: Armand Cloutier. Arthur Simard. H. Mathieu, Georges Bisonnetto, Lud- g<»r C'asault, Frs Gauthier, Raoul De Blois, Edouard Iîforest, Chs.- Ed. Allard.

Citadel Brick A. A. A.: A. Magnan. Lucien Poliquin, Maurice Huo J.-M. Guillot. Arthur Greni»»r. Bel noit Uipiern* Benoît. André Vé/.ina- Aurélien Hél»ert, Jean-Bte Gagné. Jules Huot, Paul Nolets, Paul Vézina.

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bitants”. rapides, forts, habiles et excellents manieur» de hocke; ■ ont défait les Bruins, par f> à 1, * n présence de 11.000 amateurs, samedi soit. Morenz, .loliat et Gagné parcouraient la glace en tous sens une allure extraordinaire et ne perdant aucune occasion de traverser la ligue de défense des visiteurs. Joliat fut ic hô/os de la loirée, seornrt htiv points et aidant à en enregistrer un autre. Herb Oliver sauva les Bruins du blanchissage à la suite d’une course avec Frederickson.

Première period.1— Boston. Oliver. . . 2 282— Canadien, Joliat. . 10.30

Deuxième période3— Canadien, Gardiner.4— Canadien, Gagné.5— Canadien, Joliat. .

TroRième période(V Canadien, Joliat.

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j chacun eu 70 aunuU s tic jeu hier soi. Lt * C »;ig.irs sont en preuiiôn po'tlkm dans leur section George H.i . do Cougars, a été l'étoile de Ta parie. Il a compté deux points *t aui ù faire enregistrer l'autre

i ittsburg: Wortcrs, Burkc. Smith, Miiki, Darragh .\icCiirr.v. Cottot , Dr ry. NFC’alTrry. White .McKinnon; Déiroit H >l.n<‘8, Traub, Noble, Walker. Auric, Hay. (.\K»per, Browi . l»'ighlm Fruscr Arbitre*: Ritchie *t tto.ueril.

Première priode

Détroit, Brown . Ha> .

Deuxième période

Pittsburg. McCurry.Détroit, HayDétroit, Ha .l*ittdburg. Burkc, Darragh.7» 30 l*ittsburg. Nulks.................. U 03

OU»

0 4Ô 2 1.» |

♦ OJ

AU CLUB J.-CARTIERDes partit1** amicales ont été jouées

hier sur deux d s glaces du club Jac pies-Cartier. La plupart îles jtu\ 4er« nt prêts à la tin de la semaine et il est jnsdblc qu’un premier concours ait lieu samedi prochain. Les ttmrnois régulû rs re et n.mencerort pa> avant jan\it r

AMERICANS EN 3e POSITION

New-York, 11 iP.C.) l/‘s Amer.-1 cans ont pris la 3o position tlar.s la section internationale de la N U L en sqorant 2 à U contre les Black Hawks, hier hoir. Ils ont reçu huit punitions sur 11. Simpson et Himes ont été blessés, mais ils sont ensuite retournés sur la glace.

C hicago : (ïardir.t r, Wmtwort h, Trapp, MaeKay, Inin. Me\ . igh. (’ Deuneny, Kent s, Arbour, W asn.ie. Tab*r, Graham: Americans : Miller. Reiso, Siirp-'»n. Hin t s. R. Green Mc K innor. Cortaeher. Bouehartl. W. Boucher. Boueht r. Arbitre'. Mike Poodtr. et Dr Eddie O'Leary.

Deuxième période

1.- Ame- Bouchard (Simpson 13.21 | Troisième période

2—Ameiicans. Himes 10.42

PHILADELPHIE BAT LES REDS

Philadelphie, 10. P C Pars une partie marquée par des latadbs et du jeu très rude, le* Amw», de i'Lllladclphie, ont dcli^l le» K. o» >h lYovidence |xir 4 à 0. * i.ncdi s-’ir. dans la ligne Caravtb'-Améneamc. Frt>d Lowery a enregistré tn is-xnnt*. K >)iinson a seoré l'autp lH»int l tic mêlet générale - t st protluit» au c mrs d'une batailh tpmnd le* spiv- tat-ur» ont t»nvahi la place et une a itr batailh a commencé aor« s lu art it . mais la police a réussi à ré

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»•'« 24 8 55La vente »*• fera en bloc 5 tant dans

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îi tant «iaii* la pla*tre et au i»lu» liAUl vnehériMkeur

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AVISCCMANCE A IA LEGISLATURE

Avis est par le présent donné que le bureau de «•ommlssaire» «Féeoles «'athnll- «ines romain* «le la cité «le guébee » h- rîr* sscra h la législature «le la province «le guébe«\ a sa prochaine *«>sh1 r»n, pour lui faire adopter tin hill lui conférant (vrtalns pouvoirs d emprunt et p«*ur d’autre» fins guéliee, 2S novembre 1927

ANTOINE-C. TASCHEREAU Socratalre-trèooriar du bureau da

Commissaire» d'Ecolo Catholique» Romains de la cité do Québoc.21 nov -5 -12-1 Sd

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L* major tfénérs! J.-H. Ma-llrien est ret(*urné à Ottawa aor •* av. .r passé quelque temps à Québe,-. l’in-

Ml!»r». ut s . -Vj et .att<lame J - Art t*ur• H •1ère ar.ier. ber .'aient le thé et ! -j assuraiit le lU.e »: e »‘ia u* » J -Tfiéiq/hd e A a-î, le s m v i * s ru-r. Al »tionse-i *. 1 >e(-hèii«' 1. F

li^w IV r©n t '(Jr >a lin. d lé. s d«- .m-sdi .u JH lit sau bal lus le i ,nid j J »di-œur, ( i« rtrud» .buyot.

1 urg refit e 1 a u t»i« u . S i. ai.t * A.UNot

19 DECEMBRE

1475. Louii XI, roi de Fran- t #. tait exécuter, p iur crime do trahison le connétablw Saint-Fol.

lâtid. Bataille da Dreux. Victoire de* catholique.*. Mort du Maréchal St- André.

o1793. Frire de Toulon par

le» troupe» de la Con vention, commandée» par Dugommier.

I8é4«*t ar.uirit* Doel éi

vite .lu lieu tenant-ip'm'r^ ehard Turner

1 sir Ki-

Madanie Auuusle Blason a d'nné hier um» magnifique r'.ueptiou, à résidence rue Lo/kvtel eu I tiotmeur de’ sa till»*, madeini is die Gabrieli1 Itisftim, débutante de 1 : »ü;i/u La labh du thé et les srvions ♦ r -.ient d»- e(#r s de plantes « t de r s. s-thé. !,.• thé. h* cafe et les places «daient servis par madarn«^ Ldâr Vezma. mai:.aie F most Larue madamediiles fiélànipT. madame Jules /ma et madame Alexarxlre liante

Les invités de madame Biss< n, étaient au nombr» de plus de deux cents.

■ a*lu u“ J. A Di mne a revu ; un s e#,v r‘ (ialu.iiiniu i sa.mai » .r< s-

•uidi è l'ature «tu thé eu l'hoimur de aIa l. .u i,üUe Honn-tte Di ume dont le .uinac..' a\c<* b* ik.’ n.Ko.', s r.i ei'lébré ,i ardi h LU,' é. e« .nbn

i.** thé, l«- e:ifé «t l«s fluets etani.t s,rvis par madame Lunett Drouin.• ••ad i:e ,t.-A. Duclie-r» . mad; .i > K Saint- i rn et Auid» moi-> lie .\ nria Dionne.

FEU GILLES OUGAL

M. le Dr Gustave Lemieux, depute* de Gai* !>•- a la Législature pro v.nciale, cei*. ore uujû.* d’hui son tiJerne anniversaire

1912.

1914.

Obsèq ues Luitpold, Bavière.

du Prince regent de

< hrist-lL i r» gi e j/ai*• iiehatl^’u .*e i la hoCKêé. sur le- familles « t. >ur les aiiie- en partieulh r N < !> «l> rot s • i-aphs ur ré i:mé d* ce insp' ificuesermon.

Sermon donné à h*. Ib ique par le K F. Jean-Joseph. tt.M.l. !** Ih déc«*inl re 1927.Mar., mes frères.

1920.

fait

On annonce iHKir le 28 décem'in prochain !•> mariage de inadeuu■.selle <Gin^ras. tille adoptive do monsieur Arthur Leclerc, de Kaino.- raska. avec immsieur Alphée Otiel- lüt. Ills de monsieur Zobédée Uuol- JeJ de Saint-Bruno.

sametit. de bel h Gilles Dupai, (.»

mbro à l?i «.. nieutv c,11. i • : I 10 i

L;: cérén ( r ie eu (»•* Motn-D:n e du

1 n u ( 'f.e-

( î,.,-tiérailles ;ile 1 1 uéei) re. M ues Bra\ e> en l’église m ir.

Le ué>tlé h. 4Ô. Le

,1e i' re ue------- p.J. MM.

Mr.danie Edouard Boileau, de Ia!l)u*r5il. de Tuque, accompagnée do ses enfants, re tV. Ci*•loan. Aimée et Massue, est arrivée a parer.ts * «• F. rf;rt Dr Fubiei Québec peur passer le toinps des Gaifron. M En ile Morit.. eM.cj.t ; Eétes avec ses parents. M. et mada- MM. Clric Dugul. I -i* Dugal. i me J.-W Lebel. (C'yrille Dugal. Dival Cloutier. Mar-

i e« l Dueal. Dr J.-T. Dusse.ult. «.«*1

1921.mt en mareiie a 2

deuil éteit cordait jer; l’ir.faiit. M Hern Du-, U oonunan i« ur J.-F.-S la Maison F.-(i. Bussi -

et Geo. Cloutier, grands-j

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■due i TurcoUe, assisté de d»'U\ «n*cié iasti- om , du Séminaire comme diacre ot |

oré' x/us-diacre o . apres le l>r«'»n«* de -v.gr | j N> curé, h* IC Père Jean-Jos«»ph. Cus-i

1 de | L >de de la l'rovinci* Franciscaine au j imroisso ( 'anada. donna le sernu/i\ sur l’Euena - j

M J -A.'ri>lie. le célèbre prédicateur dév'e-1 «un.

prédicateur dév p«»nsêes: lo l/Eucha- .(•icment royal ; 2o Le

Mme F Gagnou. M. *‘t Mme Dugal. M Kayn on t Dugal. M Mn • J.-C. Lapointe. M. et Mme L- Brun 11 •. M. et Mme Emile Morin. M et Aime p pelletier, Dr et Mu J.-A. Tou ignanC Mlles IMol* .

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Ad j. j brookt t

Dr et Mn - J.-T Du- Mine J - A. Turcot, t ljutier. M. et Mne F M. et M \\ -i-;M n'' Tl > ( ’hrétien

sault. M. c, M d Mne -< ’ < lout ( r Bilodeau, M

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L'est de J« s ;> !»• \ «‘r!»c im ariié. (pie nous recevons lu grâce ,cr.r le Cour «le J« sus ( st le réservoir inépui- scJ* e de toiites Us grâces. Cette vie siirnr.turelh* noua est communiquée pr.' Marie Immu'iilée. trc«orière et distributrii(* des grâces, par la sainte l-g ise. par c P:*.fM*, par les évêques, par !es prêtres mmi.strcs des sacrement}*..

Ma,s entre tous les sacrements, le T. S. Sacrement nous apporte non seulement la gnV-e. mais l’Auteur même de la grâce. VnÜâ pourquoi on i>eut Fî.ppe.cr le s: ( rement royal.

Nous venons de dire que la Sainte Eucharistie est le sacrement royal, parce que. en elle-même, elle est le don du S. Cœur et qu’elle nous donne 'e S. Cœur et Jésus tout entier, c-t que dans sa fin «die fait régner N. S. dans i-* société.dans l<*s familles et dans les âmes en particulier.

I

L Eucharistie est un sacremen royal, parce que c'est le don du St Cœur.

Le S. Cœur nous donne F Eucharistie. et l’Eucharistie nous donne le S. Cœur et Jésus tout entier.

Le S. Cœur nous donne l'Eucharistie. Nous en trouvons la preuve dans la promesse et dans l’institution de la sainte Eucharistie. En premier lieu, mes f.. Jésus montre dans la promesse qu’il fit de l’Eucharistie, que c'est bien à son Cœur que nous devons le S. Sacrement.

Q tand N. S. eut multiple les pains, c< inrne ce miracle figurait admirablement 1«' Sacrement, de nos autels. Jésus en pr.t occasion pour promettre la s - nte Eucharistie. Mais ce don est «i sublime et l’esprit des auditeur- si grossier ,que pour les ménager, Jésus les prépare graduellement. Nous reconnaissons bien là. mes f., la Bonté du Cœur de Jésus. Oui. dans cette promesse de l’Eucharistie, nous sentons vibrer 1«* Cœur de Jésus, nous toii- chor du doigt que c’est bien son Cœur «pu nous a fait ce don de Dieu.

Mais les paroles de l'institution indiquent plus clairement encore l’amour du Cœur de Jésus. N. S. j>rit du pain, et ayant rendu gr.i c. il Je bénit Je rompit et le donna à ses dis- n-'es. en disant: " Prenez et mangez, ceci est mon corps, livre pour vous’ . "Buvez-en tous, car ceci est le calice de mon sang, le sang de la nouvelle allia nce. qui sera répandu pour vous et pour un grand nombre, en rémission d< s péchés. Faites ceci «-u mémoire de m» i.”

N'csî-il pas vrai, mes f.. qu'en entendant ces paroles de l'institution, on sent qu’ei’es tombent du Cour de Jésus, et que l’Eucharistie est un présent d( son di vm ( 'u ur '.,

i. I

J Mi * si ie S. < œu.- non ' donne l'Lu- ( h.-.r.Ktie. l’Eurhanati*- noua donne le S. Co ur et Jési.k tout entier. Ene(J«-t, mes fr< r- s, que noua dit la toi ? La foi

! nous d.f que nous le voile de l’Hostie consacrée, bat d'ntnour pour nous le Sacn Co »r de Jésus. Oui, mes fr«-ns

i ( ur Jésus est vivant semper vixens il est présenté à crus « i •> 1« s i j j a-

' rentes d»* mort, il est vivant son Co u r uni in»' son I S. Corps. Et parce que son f 'orps ne serait pas vivent, xi son Ame très sainte ne lui communi- «juejt la vie. l’Ame de Jésus est là et parce oue le sang est au moins «• vénicule de in vie. le Sang de Jésus ( st !à. et puisque d( s le premier instant de l’Incarnation la Personne du Verbe.sVst emparée de cette Humanité o .'«•!!«• s'est tu n- dans une union hype statique intiissoiul»!©, en recevant la soute H n. ie. nies frvr s, nous recevons donc le Corps, le >iihg. 1«* f œu r. ; Ame. la Dix irutc <lc l’IIornrnc- Dieu. en un mot. .J-M istout entier: j Christum mtegrarn, comme s'exprime : le S. Concii«; de Trente.

Le (Jiiiist-Hoi. N.-S. .p-gne j#ar FEik ha.'istie sur Ip société, sut les Jamiiles, ur l«-s ,-iip -s en jmrdcu- • ier. Quelqius réfiexions suffiront j»our nous en convainc r« .

I Prsor Euchari^tn, N .-n. r« gi c Mtr le- t a tons, •■■r 1«" > eic'é . V«m »*/ r.d'-nu'.s lo Chri-it-Boi,régi ai>i -tabes rat.i(-r s.

! V<-us a x « - / us i t't si/ j u i t. mes f.. au\ pro-«>s ions du T. s. Sac renier t pr«ces ic n «le la Fêi - i«*u approoxt par l© S. Concile' de d /c r b . j r, "e -

i sion d(*s c«»ngrès euclvrisl iepie . on*' courages pur’e • S. For .1-. <>u iroii-

xt*r un plus l*oau spo-tielo nu» c« lui d'ur.o oarois-e. «l’ut.e 'i’h'.dela curé tienué tout ©ptuéie.accli .nur.t Jésus- it( stie cenuno r, i «l,- l’ur ivcrs?

| Pc^rté triomphale met J dans l\ 'ter- •soir u or. Jéjus-Iiost.io s’avar.ee au mil

; leu dol’or.eons. des fleurs, d**s charts, 'des prières, oos lumièri*h;c’est i’hoin- niagv au Divin R i d«- tous les règnes de la cré ition, l’a]>othéose fin ciel ot de

j la terre.L'Eucharistie élan* l'incarnation

cor.'.ir née. il est juste, mes f., o ue la s(**iét.ô rende à Jésus-Hostie le riilte e té ieur «-t pub ie, «-t le n'coMu.isî-o ainsi comme H «i le l’un i ve/s.

J Niais Jésus-Hostie veut régner sur chanue famille, ee.'lule xixante de la

[société. Ainsi, si nous évoquons Us so’ixevirs <je notre prime . t fance. quel

! criai me r«* trouxons-nou t»as à revoir groupées près do l'auU*1 l«‘s familles

(di* notre porei o* i.atai«‘? \ oxez le 1 jh re. la mère. Um enfants of.rart à Jé-us Hosiic l'iic-mnmge de buirs prières et do leurs ad -rations.s.<it au sacn-

! lice du malin à la saint»- messe, .'«.i* à la bénédiction du T. S. Sacrement

1 qu’on a appelée le sacri.lce au soir.A la sait'le mesx*. (*r tre les mains

du prêtre, Jésus s’éb' v»- poiiratbi ulr« h-s 1 tir s du saint sacrifice: il n’oftre à s*-n 1 ère pour adorer, p »ur r«‘tnoreicr tH>ur «‘’.pi«-r. pourobtei ir de i.oux’idles faxi'itrs. II nous ap]»ar !tt comme notre

; adoration, noue action de grâces, retro réparation, notre supplication

■ \ i vantes et infinie’ .Et h* s( ir. surson trône éî.inc«-lai.t

Jé us sc» mc -nt re à nous e-.uni ■ le K- i de ces familles dont, »« s mc'tnbresw-nnent lui présenterl’a.nourde leui re »arati«»r et l’»*ncens «p* leurs }»rières

C est. enfui, dans chaque âme ci particulier que Jésus, par son Fuel a- rist’e. veut régn«'r. En effet, mos f.. si . *-'Us. le Verbe Incarné, re -le axe»- r-»us par le T. S. Sacrement (h* l’autel ce n’est pas seul* ment pour s’immoh r à !a gh-ire de son pC re. ]>our nous bénir d* s- n tré.ne ôtircclunt de lumu re, r«-r.. la fin pour ainsi dire t aturelh» de l’Hostie c. /.-rerée e’»'-t b« c«‘iir hu-

I main. Oui c’est dans ce cœur que •lésus-IIos'i© veut des(*«»r.dr«* jxmr y dépos«r cet être sacramentel qu’il a pris pour notre : nu i r.

Et pourou i Jouis vout-il venir »-t r/'its ? c'esi pour régner dans notre esprii. dans notre cœur, dans r.<*tr«

: v« lonté, dan s toute r.‘*tre «» .istonc» . Ces pour nous faire vivre de la xi» sutna' urelle.

\ ( m /. «huic à l'aub I homn’ng au i ivir R -i. r ir g' à la t »ble »ai: • ib-tfi'é.m- t*r- longt*« . *•: l est la croche e:, nermut et

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Propres et BrillantesToute femme attachée à ?on ”home,* aime ses verreries et sa vaisselle propres et brillantes. L? meilleur aide à cela est Gillex. Une cuillerée à thé dans un bol d’eau—pas de savon—laisse la surface polie tout-à-iait sans crasse et aussi propre qu?il est possible de les rendre. Laissez-les tremper dans le Gillex, une minute ou deux et lavez avec un linge à vaisselle. Le résultat est un plaisir à voir. Chaque plat est propre, baillant et stérilisé.

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in-', vo- jM'n.Ké-M et vos affection* mi r .»ésus-Ho "ie. Plus encore, recevez-le Meuvent dans votre c«piir Katb-s- ninsi réqr.i r i ans votre âme et dans votre vie tout er.ti* r<*.

Oui, venez, adorons le C'hrisl-R>i répart -ur les nations. Lirant ce temps de F A vent, nue vos communions soient fréquentes «»t ferventes, vous y puiser©/, ia ph in© \rigueur «!»• ib'spnt. La béné<lic'.i(»r. «lu f’hri-t >ur vous, sur vos familles,et sur i o .r. *o*iét«. Amen!”

êU REFUGE DON BOS 0

L’abbé Ernest Dubé, missionnaire du Refuge Don Bosco, désirant remercier encore cette année les bienfaiteurs de son oeuvre, nous prie de reproduire la lettre suivante :

Chers bienfaiteurs,1! i-st vrc.i que depuis hiontôt un an

les Frères «les Ecoles C'hré ien.res, a la demande d© Mgr. l’Archevêque, m’ont succédé au Fefuge Don Bosco, mais il me .« ste encore, comm© d’ailleurs aux autres membres du Const il d’admiid - ’ra-ion. la lourde chgrge de pourvoir ■ur b(*s« i»’.s te m non ls d© cette insti- t i t t . Durant • uni é» qi i va bientôt

, irdeuouveau .bi<*r.faib*ursn.ou.sont a*c(»rdés leur pain nage, d’an/let s d >t'aU‘urs nous ont renouvelés leurs

- VOY/XGES : |LE CHEMIN DE FER

QUEBEC CENTRALEst la seule LIGNE ayant tous

les jours des chars dortoirs et des chars «le première casse .nets en tre Québec, Manchester et Boston. Partant de la Gare du Palais, ;{ h. 15 p.m. tous les jours, arrivant n Manchester 5 h. 29 a rn., Boston 7 h. a.m. Pour le retour partant de Boston 9 h. p.m.. de Manchester 10 h. 28 p.m. arrivant à Québec 1 h. 15 p.m . tous les jours. Il y a un char à dîner sur tous les trains. Pour réservations, informa- ttous, et©., adi '*r au Bunau d© Ville. ..O ru« S* .1* an. tél : 2-0093; où à la Gare du Palais, tél: 2-060-î.

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pour

gerén- ité-, < *>-i pourqm i j-» n-ssciiK h* bcs«»ir ,lr* redire nu.\ m e c«»mmc aux autres un cordial merci. Sans le concours de « « s ()»>rs«)i\r.es géréœuse d»* la ville comme d© er.virors qui ont contribué jx-ur une si grande part à pay(ir nos inié.êts sur délxmttires, à. fouri it la nourriture «*t le vêtement :i nos chers protégés, le Refuge i/oii Uoœo }(' serrait vu ahar.donr.é encore à Ft» n des mis«*ies. (\miment me soustraire donc à cette douce obligation d*’ rc- a ercp'r ceux qui on «.nous ainsi appuyé d»* leurs auméœ.es ou de leur» sympa- j>afl ies.

*iet ci donc à tous ces braves curés et a leurs excellents parois?iens «l’a-1 y< ir chaudement aceu< illi celuntui, | il y aura bientôt «leux and, pours©! Coi former aux dé irs de s«»n Kvèque j r( mi/it dans 1«« diocèse la mission de. Quètciix du Don Bosco”.

vierci encore à nos hommes d’état

VOITURES DE PREMIERE

QUEBEC-BOSTONMANCHESTER ET LOWELL

Quotidieni Dép. Québec (g. du PaUra) 3.15 p.m.

Arr. Sherbrooke..................... 8.40 p.m.Arr. Manchester .... .5.29 a.mArr. Ix)well................. 0.21 a.mArr. Boston . . 7.00 a.m

Avec raccordement à Sherbrooke pour Springfield et New-York et à Tring Jet., pour Mégantic, tous l«s jours excepté le dimanche, wagons- lits de Sherbrooke à Springfield.SHERBROOKE ET

LAC-FRONTIEREExcepté le dimanche

Dép. Québec (g. du Palais) 7.55 a.m.Arr. Sherbrooke................... 1.20 p.m.Arr. Lac-Foontière................ 3.15 p.m.

Service de wagons-restaurant sur tous les trains.

Pour location des places et informations. s’adresser Canadian Pacific. Québec Central, bureau de ville 30 rue St-Jean. Tél: 2-0093, au Château- Frontenac. Tél.: 2-1840; ou à la gare du Palais, Tél: 2-0663.

FEU Mlle MARIE-rn i ont à administrer les deniers pu-! ANNE BEAULIEUbiles d avoir bmn voulu nous fuvon-MtT d’un octn i en nous mettant pour ' ('la sur le même pied oue les orphelinats ©t autres (©livres similaires à la nôtre.

-Mardi matin, le d en l’hrtpital St-

Merci aux Chers Frères des Ecoles C hrétiennes d’avoir si bien travaillé à promouvoir les intérêts de la maison, grâce à leurs activités ils ont pu, aidés «le tous les enfants, améliorer sensiblement la ferme.

Merci aux Dames de l’()u vroir Saint- Joseph qui, depuis plus d’une année rivalisent de z«\e et de dévouement â qui mieux réparerait les hal itr do nos enfants à qui tirerait meilleui parti du vieux linge que nous recevons de l’extérieur.

nous avons

de formation, elle a enfin fini par céder ^ ,le f|V Lorce e: à nos requêtes. Comment maintenant ,, t d ardeur; ri r~\ ! viirrww) -i Im

Photographie» prise» âpre, le «Jé»a»tre (Je mercredi soir dernier A gauche, en haut, ou voit le» ruine» de l’aile ancienne où trente victime» ont été retirée» A droite, en haut, on voit «me photographie prise à bonne h-ure, jeudi matin, alors que le» ruine» fumaient encore. A .auche. en b»», c’est U foule a» ♦negeant la morgue où le» petit» cadavres «ls» victime» ont été déposés. A droite, en ba». au troisième ét»ee. c’est l’endroit

#n cruint que d’autre» enfinti aie «t péri

\otit fa mont i^tecialité de mont** tou» ie» goût»

Notre ra>ut»4on de 2>) enneee vois e© une j.a- i antle.

ADEIARDLANGLOIS

BIJOUTIER238 ne ST-JEAN

TL. : 2-1140

I Sainte-Luce, Ifi.1 décembre 1927i François-d’Assis© succombait mail© moisell© Marie-Ann© Beaulieu. Elle laisse jamr pleurer sa ]>ertr, sa mère Mme Beaulieu ses frères les abbés C.-B. Beaulieu, curé de Ste-Luee;

’ J.-A. Beaulieu, curé de Ste-Angèle; Orner jh reejiteur des douanes, Ri-

i mouski. Manî-Aurèle. marchand Mont- Louis; Philippe, télégraphiste, Mont-

> real ; TancnNIe, *Ste-Luce; Adhémar. caissier à la banque du Commerce. Trois-Rivières, une soeur Agnès. Ses

1 neveux David Beaulieu E. E. M. Qué- | bec, Camille étudiant au Sém. de Ri- ' mouski.. Son servie© et sa sépulture eureni,

Depuis plusieurs années nous avons , 'j!’,11 Bte-Luce-sur-mer le 9 de co mois essavé d’intéresser la Commission ! que 43 ans elle a fait son sa-Seofaire à notre (Etivrc d’éducation et ‘‘«t donc partie. . pler-

encoro, d© générosité mais complètement ré-

n en pas remercier les Commissaires | ^ l;l volonté d© Dieupour toutes leurs démarches faites dans 1 Depuis plusieurs mois déjà elle s© ie but de nous venir en aide. ‘ i s‘‘nJta,t1 atteint© d une manière cruelle

et douloureuse Malgré le mieux ap- Puissent-ils maintenant ne pas être i parent qui pouvait laisser émir© à un©

gênés dans les mesures qu’ils vont fOiérison complète, elle savait co qui tenter de faire adopter. Une grange 11’attendait son sacrifice était déjà neuve, à une extrémité de laquelle se Tait et tout en essayant de cacher trouve une Innitique de menuiserie, aux siens, dans la douceur du sourire, s'élève maintenant sur la ferme du ' sîl mort prochaine, elle se préparait Don Bosco: cette nouvelle construe-M;ins souffrance avec une fermeté tion remplacera pour un temps nos ! Police à paraître devant Dieu... ateliers qui ont été détruits par I'rtieen-1 Ql,o voir© volonté soit faite” dre du mors de mars dernier. Ce sont * ‘m m© ©lie l à répété© souvent cetto les montants que nous avons reçus des ! Paroleassurances sur les bâtisses incendiés i * ©pendant les ravages du mal, so qui nous ont permis de nous relever si i prts*isatit do plus ©u plus, firent s af- tôt de nos ruines. ‘ faiblir dans 1© coeur d© ceux qui l'ai

maient, l’espérance d© la conserver Une darne chantable de Québec a encor© longtemps sur cotte terre,

bien voulu nous laisser en mourant} Parti© pour l’hêpital vers la fin le beau legs d© $-’000. deux mille dol- d'octobre, ©11© mourut quelques jours la*». Ce généreux cadeau nous est j après.a'rivé juste à temps pour nous per- I Ses fumirai 11 ©s ©ur©nt lieu le 9 démettre de boucler le budget dr 1927 | ‘’einbr©. Un grand nombr© d© parents «ans avoir à nous endetter davantage, ©t d’amis : malgré la mauvaise tem- Que retto personne charitable trouve * I*'rat ur©. vinrent donner un dernier donc des imitateurs» Que de nouveaux! témoignage d’estime aux restes de bienfaiteurs (pie le Bon Dieu r favori-1 regretté© défunt©, scs de la fortune nous aident à payer* l-a h‘\é© du corps fut fait© par M la debenture de $1000. qui se trouve'** Renuliett, curé de Ste-Angèle échue au 1er mài prochain. Ou encore ' Trèr© de la défunte. L© service chat» que d’autres personnes fortunées qm ( O’ l,ar NI. l’abbé C.-B. Beaulieu n’ont pas d'enfants à sustenter, et qui i p,,r*' de la paroisse, frèr© d© la défun- auront, quelques biens à léguer sur leur j P*- i,J*sisté comme diacre ©t sous- testament en rendent bénéficiaires les 'hm’r»* «fi» MM. les nbbé.s G.-David abonnés «lu Refuge Don Bosco. 1 Jean cure de Podouo et Adolphe

L( Refuge continue donc d’être j ^remblfty professeur du Séminaire do m < e les années l’objet d’ur.»* j>ar*ti- Bimouski; NTM. l©s abbés J.-A ©uliér© sollicitude r’ela part de la iVo- Beaulieu. fi<-rn de la défunte ot M. v idene» ('eux qui j>ré|«''V,-nt r-.in-ii , (’ ehanoin»* ('harron disaient des mes, ehr.eu© ;,nné© quelque chose sur leurs ifc,,x petits autels. Assistaient au revenus fs.ur les pauvre» on recovn.nt ‘‘tr -fir : N», le ('hanoin© E. Roy, curé d*'*» ici-bus un commencement de ré- ‘b* la Cathédrale, Kirnouski, NI. I© compcn-c. je n’en doute pas. J Chanoine Charron, Supérieur du Sé-

Continuez d«.no. chers Bienfaiteurs, * teinair©, Kirnouski. N7M. les curé» à (b ntvT chaque anné«< au Refuge J- Perron. N iraire Forain, St©-Flavie; Don Bosco la part de Dieu, si jict.ite J P Lebel. St-I)onat P. Berger, H.ii-4-lle elle -« ra reçu avec la meil-J ^ t-I)onat; I Noël, St-.)(»seph de leur© rro»*nnaissance. Pour le mo-J Lepage Rév. Père Morin,Eud. ment, nos remereiem» nts j»our servie»'s Pointe-au-Pèro, J.-A. April, St-IIo- rendus dan» 1(> p: s^é «t puPcuo c’» st noré. (»oo. ( înuvin, St-Louis du Ha' l'het:ro de» •ouhaits. dnigr»'/, r.cc''t»f«‘r 1 H»- Théo De»rosÎ0rs, St-Anclrt ; ave© nos meilleurs \«pux p«-nr PCS h s G -D Jean de Padotie; MM. les al. prières que nos « tf .nts adre.ss» font > hé» P.-C. Saindon, A.-A. Descham

in'* Ti-] plain. Alp. Pelletier professeur» du S«>minaire de Rimouski; J.-Alp. Ber-

| nier, ©lire de St-Vianney; C.-A. I.a i voie. procureur d© l’évèrhé. l’ab » bé Alp. Fortin, organiste de la < n- J h élirai© ilirigeait le cl© ©ur de chnn‘J ll^*s solistes étaient Dr Peloquin, i M. Ciievron, Ni Fréchette, M. A

I .arrivéeConduisaient le «leuil- M

P'-iuIm' i. Mare \ur- h* B(*auli('i, Phr b l\in©r.* i* Vdhémar Bi«aulteu,

, v u» » lu j ;«ge lô, 2© eoloune

y .urs à \ » s plu s ehtous h ti»;ns.

Bi nn© * ' Heum use ; nn»'«' ’ L'abbé ERNEST IM B1

( iietM c, |f> décunbn* l'.t27j- r»'

I I SR Z LESFnttre

ANNONCES<1olW.

^70934^0670861

S).' ll.X-.: '.JNDliq D^CFMBRE 1927

utile

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mmmmFER A FRISER HOTPOINT

Toute f> .t' iio appréciera cette a«ldi»ià h

Le résultat des quetes de la Gui* gnolée, à Lévis, Lauzon at Ville- mayLa quête de laUuqplolêe faiu same

di d« rnier daub L» \is par les Vo> ajft*ur> de (.\»mmerce de L<*\i«, eu faveur des pauvres de 1^ vis, rapj)orté la jolie somme de $t*ôO. soit $(Kr>() en arêiit et un* valeur d't'nvtroo ?.'UX)en effets et provisions.

La quête de la (juîudtV faite saine- ; di aprè>-midi dans la desserte «lu I ('hrist-Hoi. à Villemay, en faveur d«'s (pauvres de cette paroisse, a rapporté ! plun d’une centaine de piastres, -oit *♦•1.20 en argent et une valeur d’environ $4n. en effets et provisions.

La quête de la Guignolre faô hier | après-midi dans lauzon pu’- U*a mem- •1 res de la < ’onférenoe St-\'incc*nt de J Laul de Lauzon. en faveur des pauNTes , de cette paroisse, h rapporté environ $300,soit $2.00 en arge nt et une valeur i

• de $50 en effets et provisions.Iês organisateurs de ces quêtes nous

' î>ri**nt de remercier tous leurs collano- ; râleurs ainsi que toutes les p<*rsonnes : jqui ont donné si généreusement.Ln appel des pompiers de Lévis

Ije- pompiers de Lévis ont été i appelés vers 3 heures, samedi après- midi dernier, pour un commonee-

; inert d’ircendie & la résidence de \L Albert Morin. ?* Uadlow. Heu-

i rçusement qu’il ne s'agissait que ! d’un feu de cheminée.

Gagné>preivira eiiargc <n >a nouvelle positi«»ti le h-r janvier proctmin et demeurera à Sorel avec sa famille. Nos félicitâti«»i s à .i Ga;né.Mort de M.ns Arthur Marcotte,

à l'Hôtel-DieuNous avons u.*pn> uw- regret la

mort «i«* dame Mari*—Louise Marcotte. épouse tie M. Arthur Marcotte.

| tanneur, «e- Portmûf. arrivée hier, ù rHote!-l>ieu de Lévis lî défunte, figée de 57 an> et 7 moi*, était la mère de M. Labln* Charles Marcotte, •iiu C’ollége de Lé\i-. M. Laval For-

, tier a expé*lié,hi«*r soir l«*s resU*s mortels. h Fort neuf. où auront lieu les

‘funérailles mercred matin, à H h«*u- , res 45. Nous présentons à la famille

<«•* la regretté*© défunte nos plus vives [ s> m pat hies.

L'ouverture de la saison du hockey hier à Lé vie.Hi«r après-midi. A 2 heures, a été

ùtitc l'oiiveriur*» <»fficiello ti«* la pati- n«dr* Fri'.scr, à Lévis, en même temps que l’ouve rture de ht suioii du hockey et du carnaval sur la rive sud. La température était i îéale «*t la glace de la patinoire était comme un miroir.

On remarquait à cette fêle, M.<-lé* phas HL iiin, maire de Lévis, M. b* Dr Alfred Hoy. député du comté, tie Levi*. M. Philéas Ntdin, pre-

soiit priée» d at c-ompaga«-r leurs enfants à la Sainte Tanle et leur faire faire leurs actions de grâces, l.a grand’mes»*, tii manche pnadtain. à iAivis, sera à 10 heures

lês examens seront faite» aux ©voies de liévis cette semaine.

( )n »*st prié de -e rappeler que l'on ne peut communier aux tues>e> nasst'S du jour de N\k*1. si l’on a communié à la messe tie Minuit

M. l a «bé Eugène l'amer, curt' de Lévis h demandé, hier à ®o- juirins- siens. que le soir de la meê de Minuit il reste dans chaque maison, une personne liable, afin d’éviter tout danger d’incendie.

M. l’abbé Eugène l amer, curé de Lévis, au prone tie la grand tue sue. hier, a demandé : ses paroissiens de ru* pa> offrir de boisson dans le temps des Fêtes.

A 1auzou : On entendra mercredi le* confessions des enfanta des écoles et de la j*a:*oisse et samedi après-midi ainsi que le soir eu confessera les grand-s personae*

A Bienville: Vendredi matin, ù S heures 30. on entendra les confessions des petits gardons de la partisse 11 dans l’après-midi, â 2 heures 110 ainsi que le soir on coiifesseia les grandes personnes.

Samedi matin, à S heures MO, dans la sacristie de Burn ville, ou confessera les i»etites tilles de la pa- rotsae et dans raprèa-midi ainsi qua le soir t>n entendra les confessions 1 es grandes personne*.Mort de Mme Vve John Russell-

Nous av'ons appris a\v*c regret la mort de Arme v va John Hussi ll,

Beptemes St-HyecintheMarie-Th« rcs» -la»uisi. hll* vit Lo.u» S -Ong«- et i* Lillv McKcnty, Ihir- r . u arra m J*an-Bapt ist Oiig** et B* rth« Mailhot.

Marte-Dt-mst-Liiliane-LouiM . -n- fant de Lojis St-Onge et «h McKcnty Parrain t t marrain*. Lu** cicri Pian oiuim • Ikrthe 1 tit.ux

.)t>s**ph-Leo-Jt an - la>uis. enfant tl’A tir: en Girouard et tic Rosa-Antia Oendrt»n lorrain et marraint- Louis- Gédéon Saurette «*t Blanche Girouard

Jean - Louis - Plnllii j e. «-nfani »1 Alexandre l'amnht‘11 <*t d»* A

ta raiiU s de Aidé subitement,ù emeu lx-

Le défui t la', se dans le deuil » *n epouso. née Octaxif Beaur**garvi et ept enfants.

a'* porteurs étaient M Alexan* tire Brodeur. Ardry lalAfontainc., Augustin Picard, Polydore Bazinet, Dleudoiü'.é Fer .in • \ Belle humeur.

l'onduisait U* u«*uil M Atiélnr.l l4*tM‘rle. hi Ctdieote fui faite par MM Xavier Bcllehun.eur et Dieudonné Fontaine. .

ampbell et de A'ano-JHeine Demers Parrain et marraine! Dvle\é<*u,i r,*' tu fur. par M.Adrien ( ampladl *t l)nla HéDrt. ! 1 abbé Messier, curt* et h ' rvict*

Marie - Thérèse - Denis - Jb „aMit n»t char ’é î«ar M l’abla i !.»\ is Beau- ! enfant d’iN< ar iH*nelîe « t Bertse rt*ganl. mi^sitirr’i trc-colonisatcur?* et

Dion. Parrain et marraun* (its>rg»‘s ’fv* ; du défun . assisté tie M Pab- tiVnelle et Marie-B*.*nhe i'enelle. f be llugi-- l-uf«*t’aine, euré tie >•I Josenh - Jean - Jat‘que<( - Gerald •L).-.* j Ii «j \amaska t t de M l’tibbe 'enfant de Gaétan Giroiiaurd et do Pierre Dnselle, vnniire Pendant h Theri‘sc lu*\ertlièrc. Parrain et mar-| t*'*** '•,*s messes fvmmt < itt*s auxraitu Dmis Gédéon Saurette t‘ | autels latémtix j :»r M le curt Mt*1 -

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, à Lé- sephG. Frc,n<*t'eur, M. Arthur (’lian- lêu, de i4vis La défunte, âgé*'jdes Or- d^riiet, surintendant de 1h Cio des de t>l> ans était la sœur du -apt ,

(Tramways Electriques de Lévis, IL Hearney de tjuébec, autrepisjgens de ai Kud're, Lasnitr présiaent du de lâuzon. Al. Cnarles Aioisan a

M l’abbé (1(1 }1( 4.k,-v *n ; l ’hevaliers do | transporté les restes mortels è lade Lévis. i ( ohimb tic Lévis, M. Roméo Rhé- résidence de son tils, rue Bourassa, jà Lévis, | p.mne, président du club d** hockey ! î’ Lauzon, où ils sont **: jHjsés 1^**8]

hier après-midi, pour faire appel à ; Taxis. M J.-Iv Alfretl Samst n, pré-j funérailles auront lieu dt main ma-'Lévis sider.t du club d*« raqu«*ttes “Le \'ol-J tin, 5 9 heures, :» l’église de l’Hos- ti^vur”. MM. La\al Fortier. Percy j/on et l’inhumation sera faite

afin de pouvoir acheter des <.y Atkjti'on. V(\-H. Paré et J.-À. b* cimetière St-Joseph. Nous présiii-bonbons et des jouets à 1 occasion ; G.‘«yntn. «lu môme club. Al. Laimrr*» i tons è la famille de la regrettée dé-

On a recueilli vie, pour les phelins

t în groupe de jeunes Jjévi», sous ta direction de

r Gérard Emond, vicaire i sont passés è domicile

la générosité des citoyens de en faveur des Orphelins de

i pice. afin de pouvoir jouets

i tie Noel ^ fortune.! avoir donné) i nier pour la

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Marsan, chef dt police Kosaire Bernier, etc.

de Lé\ is, M. funte nos plus cor*lialeH s.xTnpathies.

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L'ouverture se lit pui l’entrée aes personnes men t ion nées plus haut sur la glace. M. le maire Blouin mit la rondelle au jeu et adressa quel-

mota de félicitations aux ofti-ainsi que

Assemblée des Ingénieurs d rine, ce soir, à Bienville-Une assemblée des Ingénieurs de

Marine de la rixe sud sera tenu* de soir, à S heures, dans leur salle, ru*. St-Herre. à Bienville. Tous xou* dront bien être présents. \u que

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à ces petits déshérités de la Iês citoyens de Lévis. après

largement samedi der- Guignolée, ont été) très

donné la som- par les années

passées, lo Père Noel se rendra dimanche prochain, faire lui-même | quesla distribution des bonbons etjCiers et joueurs de hockeyjouets aux Orphelins de l'Hospice M- Dr Alfred Kov. l.a première j plusieurs questions qui attendent toujours sa visite ! J ou U* do la saison fut joué** «ntro seront discutées, avec plaisir et anxiété. Les citoyens i b‘R éouip^s "CheN-a'it rs d** Colomb” _ .de Ivévis méritent des félicitations i l’t “Taxis do Lévis”. Le résultat | La quête de la Guignolee et des remerciements pour lour|û^ ‘Ie •* “ 0 faveur «lu club; ville demain »oir

I traditionnelle générowité. • ‘Chevaliers de Colomb”. Un joli! Mariage Poulin-Fortin | programme musical fut exécuté parI Jeudi matin, dans la chapelle des ' une fai fare et plusieurs centaines de I Congréganistes, à Léx is. a ^êté célé-1 Pônn^ s assistèrent cette inaugu- ! bré le mariage do Xt. Théodore i ration de la saison du hockey à P mlin, do Beauoeville, avec Mme j Lévis. M. Arthur Hoy. photographe,Nelson Fortin, du même endroit. J de Lévis, prit une pose des clubs et

La bénédiction nuptiale fut don- invités de la fête, i née par M. l'abbé Eugène Carrier.1 Après la joute un goûter fut servicuré de Lévis. I dans la salle des Chevaliers de Co-

; M Hemiénégilde Poulin, rentier, j loin b d** Lévis auquel assistèrent ! do Boauceville, servait de témoin à ! les personnes mentionnées plus haut son fils et M. Napoléon Pouliot. de I et qui fut présidé par M. Philéas Lévis. aceompfismr.it sa fille. j Nolin. Il y eut plusieurs discours et

Après la cérémonie nuptiale, le ' tous so plurent h souligner l’esprit déjeuner fut pris à la résidence de : sportif de la Oie des Tramways Elec- M. et Mme Napoléon Pjuliot, rue | triques de iiévis et do son dévoué j P"l,r leur pt.ux rt-v

IOuenetto. à Léxis. puis les nou- gérant. M. II.-FL Weyman. . ...x eaux * poux sort pari is on vyage La seconde joute <le la saison aura ; A,*.ernl3lee ,ni1.Portt,ntc . de noces h Montréal. i lieu jeudi si ir, sur la patinoire Fraser tier* Canadien* ce soir

i enfants. Edmond. Joseph. Tfiéode,Enu'stire, B«*so. All»». Alic*'. Annet- ♦ e. Mme F.lie Raymond. S.HMir de M l4tnoi\, . s» > beaux-frères, M J«‘an-Bh]*tist*« Beauregard. M «t Mm** FrniiV'is B«*aur*gar*l, Dr Wilfrid Beauregard. »*t Mm*- B«*t*ur* - uard. M le député Phuuouf, M le ri*»t:iir*‘ Parent. M et Mm** Oliveirj ljtnu>ur**ux. M i»t Mm** N Jat'cpu's. !F -U Btdduc, Arthur Raymond,\liuo Diduc** Giiuifon, M et Mm**Kdélaru Mh'>*-. M »*i Mm«* Adé-i lard Raymond. De-iré Lanoix, Almn i Dupuis. M. • t Min*- Ali hon.se Brault |

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Anna Lague. ép*M^** uo Jos»'i*h 1 Mm** Edmond B*niur«*gard. Thérèse Dupt'ré. décédée à l’fig** de b.5 ans. P»eaur**gur*i. V\«mne B**aim'garu,

André, enfant *io Nliohel <'nrla*u- \rthur Beauregard, M 1«* notaire r.eau **t de Claire Forget, «lécéué à Gélm»*-. M «*t Mm* Dulmc. M »'t l’fig** de 4 mois j Mm** Pa>ctial Tétraul». AL hérie L«*-

Fxa Pnrent**ttu. « ,M»u>e *1** W il- febxr**. Mme Lu*ig**r ('l*»un«*r. Mme >axiau. décédé** à l’âge *1»* 28

ans.Joseph l4*liberlé. **j>ou.v *1»' Par-

mélie Simard, décédé n l’âge «b* 70 ans.

rr* . Mm** Philias Morin, M. «*t n»»* Paul Li, «»rt*'. M *'t Mme G»»>r-

g* s S111 **n**uu. M- Milot Picard, Al- i*h<*i'-« Pn/ii'ct. \iiréli**i> Lapt*rl«‘. 1 l«.«^ri*- Pnrmiis, Maximilien Fau- t«*u.x > <•’ Mm**.L-B (l*n»*nm.M

t I *-t Mm Péilias Morn . J* s *ph (hier-

LE SERVICE DU FRE

ET LA CONFERENCE

l'ntSJMTsi*-r. M.

M \N M. Kirkpatrick, gérant d ; Trah du Fret Etranger au PacifiqueCanadien vint de faire la déclara •ion suivante à la suite des remarques «lu Commissaire Plummer, du U.S Shipping Board, relativement aux m* sures que les intérêts maritimes amé- ricaina m propoMttl de pr**ndrc pour

Mnu* ,.ontrr |,ai;inrrr tout ehangeinent ap- b* m t>,,rté «Ijins les taux *!*• fret océaniqueporte (inn** les taux

Bibiano Roidiefort. enfant <FA.>-j fard II Lef«*l*vr*>. Louis P«*lb‘ti**r. j Pré*8**! tati**n «lu Mario et leurs éP tril Rochefort et «b* Corinn** Moris-' A*iélaru Du; r,*. Plnllib«'rt IjifUiinm**, | 'es. « t d’autri s. nette, décédé** à l’âg** «ie 3 uns. ; M « t Mm«> Eugène Diflnmme, H !

Gertrim**. enfant ne Maxime Dn - S\l'* -ire. I L ie H***»n. Sylvestre B«gênais et «ie Marie-Dmiso P**lletier. décédée a 1 âg«* «i*' 1 un.A St-Hugue*-de-Bagot

Dernièrement eurent lieu l* *- fu-

oit. M. *'t Mm* Eugèn** Dix allé*. M. «*t Mm*- Adélani Raxmond. M j

• ‘ Mm** Antoni** Deslauriers. M M (>m«*r \’« Icourt. AL Wilfri*i Iji-i

AGHKTKZ LSJ MARGRANDISU ANNONCSUI

Ceai la Mal

par le Pacifiqtie Canadien:11 v a éxidemment malentendu,

dit-il. Le service du Fret Etranger est une organisation tout â fait différente du Hcrviee dea passagers, et en autant

R t du fret. le Pacifique Canadien ne songe aucunement A pu retirer «le la Conférence”.

u Rien»

Un groupe de citoyen#» «léx’ouéa de de Bienville for mt demain soir, à

jdomicile, à Bienxill*'. h* quêt<* de la Guigmdée en faxeur des famille.»

1 pauvres de cetto paroisse, Tous ceux jqui désirent prendre ]>ajt à ce beau j mouvement. *i«* charité xoudront bien se réunir, * e soir, à fi heures 30, â la

irésidence de M. Charles Moiaan. rue Commerciale, à la correspondance d*s chars. Le départ j>*.ur la. quête s*' fera demain soir de chez chez M. Moisan. puis chacun des groupes fera 1*' territoire ui aura été désigné. On demande aux paroissiens de se n * ntrer généreux c* mine d’habitude

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nocesNos meilleurs souhaits *.•.■ bon

heur â l’heureux couple.Election de marguilliers à Lévis,

Lauzon et BienvilleHier matin, dans la sacristie de

Lauzon. après l’office «le la grami’- messe, a été tenue une ass» niblée de la paroisse pour Uélectbm d’un marguillier. <-n remplacen»er.t uo j M. Joseph-E. Bégin, sortant «ie char- g«*. M. Alphonse Lagueux a été élu.

A liéxis, dimanche prochain, «ians la sacristie, après l’office d»* I5 grand’mesae, aura lieu une assemblée de paroisse, pour faire l’élef-l tion d’un marguillier, en rem pi a-1 cement u*‘ M. Eugène Carrier, sork; tant <i«* «‘Imrg*'.

A Bienville, diirmnche prochain, à 3 heures «le l’après-midi, dans la sacristie, il y aura assemblée de paroisse, afin de faire l’élection «ie deux marguilliers, d’abord un en r«*mi/lacement «ie M. Jules Lepage, sortant *ie charge et un autre «>n rem;*lH<*ement de M. Philippe Du- clos, démissionnain*.Il «Ft r ommé gérant de district

M. F.-X. Gagné, gérant de la Cio D'garé Auto, succursale de Lévis, xient d’êtr** nommé gérant <i«* district pour la même compagnie. M

des clubs *’Atkin-

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rale de Leu .onLes membrt s de la chorale «le

Lauzon ^*.nt priés «le se réunir ce s«.ir, mercredi et x'endredi soirs, à 8 heures, dans la sacristie do Lauz >n. afin de préparer le programme «le chant qui sera exécuté 1«* jour d«* Noel, dans F église* de cette paroisse. On compte sur la présence «le tous à «*es trois pratiques imp*«riantes c«*tt«* semaine. Assemblée de la Fanfare de Lau-

:;on, demain soir Un«* assemblée des officurs et

m« mbr*-s de la Frnfare de Iâuzoïi sera tenue «1«m.'xin s*«ir. «à H heures dans la ^sll** <1«* Fh«A»tel «1** x ill** de Lauzon. Tous xoudr< nt bien être prés*nts, xu (i.uc plusieurs questions importantes et surtout très inté- n-ssar.t* s ]K>ur t* us les membres d«* co <•« rps musical seront discuté» s à cetic ass« mblée.Mort de Mme Vve Pierre Blais

1 Nous avons appris avw regret la m«*rt de daim* Sarah Vallée, épouse de feu M. Pierre Blais, arrivée samedi <J«*rni«'r. à sa résidence, rue Samsèn, à Lévis, La défunte était âgée «le ôfi ans. Los funérailles auront lieu «b-main matin, à 9 heures, à

l’églis* Notn-Dame et l’inhuma-1 tion sora faite «lans le cimetière i M«-m-Nf;tri*'. N ou s présentons ;* la j

! famille «1«* la regrettée défunte nos plus sine* res c«>n<l«-finances.Le congé du Jour de l’An pour les

entants des écoles de Lévis Les enfants de Lévis qui fréquen-

t.'itt les écf l«*H sous !«' «*«*ntrêb* d«* la C*unniissi« n Scolaire «le Lévis auront l«*urs xacano«*s «lu Jou «1«* l’An du 29 <lée«>mbr«'jusqu'au 9 janx ier prochain. A l’occasion de In grande fête de

Noel, dimanche prochain Dimanche pro»*! am. ù l’occasion

do la grand** fête «1* Noël, s«-ra un jour «1** joi<> <*t «le r*'‘jouissane«-s p*»ur tous l«*s fidèles «l«*s différentes paroisses de la rive sud.

A Léxis. on entendra les confessions 1 des enfants mercredi aux heures or- ! dinain s « t jeudi matin, à 7 heures 30,| ces enfants communieront. Vendredi soir, on entendra les confessions de 7 heures 30 à 9 heures et samedi après- midi, «I** 2 à ô heures 30 «>t b* soir de 7 heures 30 â 11 heures, pour les gran-

I <i«*s personnes.La communion des petits enfants

à I/*vis s<*ra fait** 1«* jour d** Noël, aux j messes Fasses «lu matin «pii auront lieu | «b* fi à 9 heures, ax e© communion â j t«»ut«*s l«*s demi-heures. I>s mères |

1 Une asK« mblé*’ très imjx.rtanîe des | cflicnrs « t m« nibr*s de la Gour Notre-Dame. N«> 841. d«* l’Ordre Canadien des F«.r« stiers, Reratenuece s< ir.

J au beu et à l’heur»* « rdinr.ir*‘S d* s [réunions. Il s'agira de la i * minati» n j ?t. «le l'éleeii«m «les « fficiers de cette ('our pour la ncuxelh* année. Al. J.

! Eugène G auxin, organisateur do l'Ordre dans le district sera présent. Tous ceux qui ser« r.t prés« nts co s« r recevront un joli cadeau. On c«-mpu« sur une assistance iv mbreuse xn les

i questb ns intéressant» » o.ui seront

I discuté* s à cette assemblée.Collecte mensuelle en laveur de

l'église de Bienville , Diinanch«’ prochain, dans l’église I do Bienville. s«*ra faite la culbute mensuelle « n faveur cette églis«*. A l’occasion «le la fête «le Noel ou compte sur la générosité «le tous les citoyens de Bienville pour leur église Samedi sera jour de jeûne

Same<ii pmehain, veille de la grande fête de Noël, sera un j«*ur de jeûne et «l’abstinene*». L«*s inénagèr<*s sont priées d’en prendre not«>.Mort d’une ancienne Lévisienne

M. l’abbé Eugène Carrier, curé de I/éxis. a r**oommandé. hi«*r. au pr<*n«* de la grand’messo, au prières de ses paroissiens, dame HéKm» Thompson, épouse d*1 feu M. Joseph Houde, dé-1 cédée â la résidence «b* M. Ernest !

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rue Ste-Julie. à Québec, à! l'Age de 81 ans. Les funérailles au-j r<»nt lieu demainmatin, à l'église du St-Uo*'ur de Marie, h Ûuébee et l’inhumation sera faite dans le eime- tière Mont-Marie, ù Lévis. La défunte était une ancienne Lévisienne. N< s sympathy's à la famille en deuil

! Pas d’office des Congréganistes à Noel et au Jour de l’An

| D» jour «le Noel et le jour de l’An j il n’y aura pas de récitation do l’office 1 de la Nt»*-Vieig«*. dans leur chapeJlo,1 pour les Congréganistes de D'xis.1 La rente des bancs à Bienville

La rente des bancs h Bienville, est payai le demain, de 9 heures «lu matin À 5 heures de l’après-midi. L«*s Fanes qui auront été remis il la Fabrique seront mis »*n v«*nte. jlimanche prochain, dans la sacristie, après l'office de la graml’messe.Funérailles de Mme Vve Louis

GagnéUe matin, a 9 heures, au milieu d’un

nombreux concours de parents et d’amis. ont eu lieu, «lans la chapelle de l’Hospice St-Joseph «le la DélixTancr, à I/xis, les funéraill»*s de dame Kmélie Bégin, épouse de feu M. Louis Gagné, décédée jeudi dernier, â cette communauté, à F Age de 72 ans et ô mois. Après la cérémonie funèbre les r«'M«»s mortels furent conduits «à l’église <1** Ste-lïélène-<le-Breakeyxille. où un li-

’• éra a été chanté cet après-midi, à 2 heures 30. puis l’inhumation a été) faite au cimetière «1«* c«*tte paroisse dans le O'rrain «i«» la famille.

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1 ’i* à l’hôpital et une religieuse nous Zouaves de Québee, .-'ou» bs d A-lara it, hier, que tout le personnel, ou commandant Alp. Lefai- fatigué pju* qu&tm jours d’un travail

continuel, était fon inqui t et énwnré 1 p détachement des pompiers, avee Toutes les précautions sont prises pour

M l'abbé liaVierge. et les chefs Don- éviter toute oomm<»ti« n aux malades.I pelly et .Jacob ; Au couvent de St-Koch, samedi soir,1 Puis venaient les cprbillars por> Ides constables municipaux faisaient 4a ! tant les fa-tits cercueils et fournis garde à l'extérieur et la prés4-nne de ci«h 1 , ar les entrepreneurs de pomp<kR fu-j constables qui se promenaient auteur J nM>reh ûe la ville. du couvent suscitademnivoaul’inqui^*j D-s trois premiers étaient tirés tude des citoyen* qui passaient sur la

l-nr trois chevaux. Dans le premier.

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par un touchant symbole, on. avait placé h> n-rcueil tic Mlle Rosa (îau-

! orcau «t rieux petit»*-; tombes blar-- choH à tes côté*. L’éhroïquo jeu-

; ro filllo qui a peruu la vie on voulant sauver les petites victimes sem-

| blait encore v eiller sur les t auv r**s i enfants.i D*s autres cercueils avaient été i placés, par groupe tie trois ou qua- •tre. tiar* les autres corbillards. 1^« ! défilé ties convois funèbres portant de I nombreux tributs floraux, était im- ! pressionuant et nous avons vu bien t des gc-r* s’essuyer les yeux oû les | larmes étaient prftes A couler.I Le cortège funèbre se rendit dans j cet ordre jusqu'au boulevard lainge- | lier ofi des voitures, des automobiles I et des Taxis Québec et Ked Diamond i avaient été mis gratuit**nient à la ! disposition, des parents des victimes 1 et ues citoyens.

Après les corbillards venait, l’im- I men.se foule des citoyens, dirigés par ) les personnages officiels précités.

Du boulevard 141 ngelier, le cortège ! ♦* r» nuit directement au eimet ère j St -< harles où avait lieu l'inhumation, i \\ant X}uo les petites tombent fus- 1 s»*rt descendues dans la fosse de 14

. n us par S pieds de profondeur. M. l’ablïé Ii»bergt« récita les dernières

i prières, puis, en pleurant, les assis- tarts \ iront les cerceuils «iisjâruître

! dans "le noir «ie la f»»sse t>éante".La cérémonie était terminée; les

j petit» * victimes étaient inhumées, i mais b* souvenir de la tragédie qui la causé leur mort vivra longtemps

l'ect rit dé notre populat ran.

M. EUGENE LECLERC(Suite de la page d)

les rumeurs mentionnées circulaient j partout.

Il n’y avait rien de vrai, cependant, dan* ces rumeurs. Mais la population aff< lée semblait prête st accepter billies b-s déclcrati' n.«. Ce fut au point pue plusieurs famiPns r**tirèrent <les institutions les enfants qu'elles y avaient placés. On vit même des familles aller chercher leurs enfants au couvent de ( 'hnrlesbourg et ailleurs.

On alla jusqu'il prédire l'incendie prochain de n» uwiles institutions. Ces rumeurs ne pouvaient pas n*1 pas parvenir aux oreilles du per s» nnei de ces institute ns et dans plusieurs couvent s les religieuses eurent beaucoup de difficultés à calmer leurs élèves surexcitées et énervés par oius ces bruits.

On s’explique facilement la situation. A l’IlAtel-Dieu du Préoi* ux-Sang par exe mple, où les salles »-t les chambres étaier* déjà rempli s de malades, on reçut, jeudi et samedi, vin^t-cinq religiets *s ou B< n-Pasteur. mt*l des ou Me*s5es, tnize feunos blhs «b- la Maison Sti -Mr.d» b-in-* et plusieurs »-n-

ru». Tous les couvent* reçurent la visite dos policiers.

La police et b-s pompiers furent assiégés durant toute la journé par les demandes d'information venant toutes parts.

François**, huit ans, * t Marie Paul*-.1 >ept ans, qui sauvées avec p me tb- ; l’inoendi»- »b l'hospic»* St-Charb-». durent enc»>r*- ôtr<* fran«p»iriA-s von- dr**di du refug** qu’< n leur avait ] donné à la maison mère des . SSdu lion-Pasleur. C«-s malheuresues j ------- -* nfants tomltérent »lans l» s bras de*. D* lux**, chancre du snobisme sin- im-mbn s du < O. T. ( ' . qm r*«v'«—j geur,enchaîne notre essor économique; riaient de b-ur «‘x*rcicc et furent on-j a issi, est-ce pourquoi, sans r* lâ*-he. duiteichez leur *»ncb , Mor>i -ur Lau- » d*-;» li-, plu* d'un an et demi, dan* tou- réat Picard, a St-Pascal - lia>lon. 1 te la presse de langue française du D-ur mère qui d* ni*-ur«- aussi chez | Québec, la Caiasé-Nationale J'Econo-i son heau-frèr»*, «ut une eriffe m-rveufte mie prêche l’épargne; cette intelli-• ■n voyant scs enfants r**v'enus et «»n ! gento avarice des surplus si nécessaire apprenant quMb s venaii-nt d’échap-1 à notre progrès général. l»er A un nouveau danger. Dans Pan-| L’n congres justificatif et significa

tif vient d’avoir lieu A Samte-Anne-de-

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BOURSE DU TRAVAIL — AU SECRETARIAT AU CLUB DES MARCHANDS- REUNION DU SOUS -COMITE DE LA SECURI TE INDUSTRIELLE DU BUREAU INTERNATIONAL DU TRA VAIL

INCKND1K

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geiss#- OÙ elle vit depuis la première eastmphe, elle ne veut plus s«- séparer des chèr*-** p-t ites. craignant qu’un nouveau malheur n • s’abatte Kiir elles.

1 ne autre malheureuse s’est adres- de j sée à nous samedi matin, nous d<*man-

! dant de l’aider A retrouv*-r son « nfant j qui est disparu*- depuis l’incendie île ’I h os pic*- Si-(’harles. Fill»* m- nomme Afa*lame Soocutier, «*t d* mand<i qu«- tout r»-ns*-ignem*-nt que l’on pourrait n-eueillir sur le sort *le sa fill»* soit transmis à Mme De Laurent is, ÜH'.j. rueSt-Vallmr, téléphone- 2-6224j

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N» el auront lieu aux jours et aux heures qui suivent : Vendredi, dans la soirée, à partir d»r S heures ; samedi, de à ô heures et de S A

p»»rsonn»*s bien do se pré-

toifs les matins. entre les messes de 6 et de 7 heures.

Il y aura meases de minuit en haut et en bas. (’eux qui ne sont pas propriét;iir<»s des lianes dans la grand** église doivent se munir de cartes ; elles se vendent à la sacristie tù au presbytère. Les demoiselles Enfant de ario se chargent de la partie musicale dans le Sanctuaire.

autre incendie qui détiuit une propriété de valeur samedi matin sui les confins de la ville a fait croire que b* feu s’était aussi attqué au Couvent de Si lier y et lo* appel téléphonique» n ont pas cessé de la journée A notre bureau de personnes.qui s’informaient de l'étendu des dommage». I>e couvent de Sillery est heu 1 eu semen t intact, mais la propriété détruite n’en est pas moins une lourde perte pour Mme Khodos, la propriétaire. Nous tenons de monsieur Herman C’our- ehesne. de la maison Gauvin et Cour- chesne. qui habita la maison pendant sept ans. les détails suivants. La maison incendiée, située tout prè« de de Spem-er Wood, était autrefoif la demeure, sous le regime de bunion.d -s aide-d«—camp des gouverneurs colo-j 11 heure». Les niaiix. Elle portait le nom de cottage1 peuvent feraient "Bagatelle" et était construite sur le j sen ter, cette semaine plan des anciens chate&ux renaissance itaûne. Cette maison n aussi pmsé dan* l’histoire de notre ville, et nous pouvons dire de tout le pays, comme ayantét été la demeurede Sir .laines Lemoine, l’auteur dont la réputation a passé par-dessus les frontières Mme Uhodes, qui est la fille de feu Sir .laines l/»Moine, venait «le faire subir «les réparation» très considérables, pour au delà de quinze mille dollars, A ce cottage dont IVmplace- m.ent «-si un des plus beaux et des plus fameux des environs de Quérx •("est pour elle une perte sèche, car on nous dit que sa propriété n’était pas assurée.

DEVOUEMENT

Il est impossible de rapporter ici tous les beaux exemples de générosité et de dévouement dont notre population a fait preuve au cours de la semaine dernière. La liste de ces exemples serait trop longue. D’ailleurs, que «le dévouements inconnus ont été accomplis en ces jours d’épreuve! Les Religieuses du Bon-Pasteur nous déclaraient, hier, «pi**, dans leur cruel malheur, elles reçoivent de vives eon- solations. La sympathie sincère et active que leur ont marquée les autorités provinciales et municipales. !en 1 secours généreux et multiples qu’elles reçoivent de tous côtés, l’empressement que les citoyens ont mis à les secourir. sont autant de consolations qui tempèrent leur vive douleur.

Cependant, il nous fait plaisir de rapporter quelques exemples qui nous ont été cités ou dont nous avons eu connaissance. On sait que fort nombreuses sont les familles qui ont accueilli les enfants chassés par les flammes des deux institutions détruites. Non seulement, on accueillait les enfant», mai» on allait les chercher. A l’incendie de l’Hospice St-Charles et au feu du Pensionnat St-Jean-Berch- mans, on vit les citoyens accourir avec empressement et amener daps les familles les malheureuses victimes de ces deux sinistres.

On compte par centaines ces généreuses familles qui méritent non seulement la reconnaissante des Religieuses du Bon-Pasteur et des parents éprouvés, mais la gratitude de toute la population.

Il faut remercier aussi le Château- Frontenac, l'Hôtel St-Roch, l’Hôtel Victoria. M. Bériau, propriétaire du Beau manoir, le Château St-Louis. les Appartements Grande-Allée, l'Hôtel

i Montmorency et l’Hôtel Montcalm, et d’autres dont les noms nous échap-

j pont pour l’hospitalité qu’ils ont don- i nés. le soir des deux incendies, aux religieuses et aux enfants sans refuge. ly*** Associations de taxis de la ville, les

; Chevaliers de Colomb, la police muni- , cipale. les militaires, les nombreux i automobilistes qui ont aidé au sauve-

! tage des enfants ou au service d’ordre 1 , et de secours méritent aussi la grati- ! tude de tous.

('"est grâce à leur travail si nous n'avons pas h enregistrer un désastre plus grand. En « net, vendredi s< ir, sans leur travail effectif, le vent aurait communiqué facilement Fincen-

' die A toutes les maisons des Sœurs du Bon Pasteur et A tout le quartier en-

I vironnant. les résidants sur les ru* s ! 8t-Amable, Scott et Bert helot eurent des crainu-s très vives A certains moments et plusieurs «-rûrent plus

j pmrbnt de déménager.lies flammes s'étaient communi

quées A l’Ecol** Morissetîe et au Noviciat du Bon-Pasteur «*t les pompiers durent faire un travail de géant pour

1 maîtriser l'élément destructeur dont a viol ence était extrême.

Parmi les autres exemples de dé- I vouement, on nous cite celui de la maison Jules Gauvin dont le propriétaire h acceuilli de nombreux «‘n- fants et oui envoya des vêtements aux religious* s et A leurs enfants pour une grande valeur. I*a maison Ijofebvre, marchand de chaussures, envoya aussi à l’institution éprouvée plusieurs cen- taires de paires de chaussures. Le» Religieux * ont reçu de plusieurs mm- »«on»; d'affaires et «I** nombreux citoyen» de» provisions, des vét««mnnt».«1 l’argent qui leur permettra de recourir les plu» affligés.

Le sert des enfants de I Hospie»- St-( 'lu .rie» e*t 1# plus pénible. ( '«••* malheureuses fillette», après l'incendie de leur institution, avaient été retracée*, un** b* mi«* parti*- du m* ins. et ai ai nt, été recueilli*» au couvent du Bon- Pasteur. K* alors que les reli.i*us«*> e* mmencçicnt A |*-inc A retrouver e«s enfant s y.ioi oue le second incendie les a dispersss «b* nouveau.

Aussi non* insistons sur ce point il ♦•*! «iu devoir de tous les citoyens do rapj erter aussitôt que pnst-jhh>, irnmé- liftL ne nt. ions les « plants qu'ils ont rcceuilli». (y* religieuses inquiète» sur !«• s* rt de c*-s en fact s, ]«•» parent\en larui* » qui r« chèreh«-nt * rcore leurs enfants d« mandent A toux «•« secours. Tout rapport jM-ut être fniî aux autorité- munioip-les ou aux Sœurs du B< r» Pasteur. ('V»t un devoir «h* charité do faire ce rapport tout «1«- suit*-. LEGLKC 11

( AS PENIBLES

Ntfw-Huvitm. ( oun., 17. Spécial**) >: l «»n **11 cr»it U- ;^.fH*»eur Ir

ving Fisiier. *-oonomisW de Val#, qui » publié A ce sujet un article avec droits d'auteur réservé*, le rapport

(du --e ré ta ire Hoover sur le.» gain» réali s*'- par l'économie américaine depuis Ht'21 gnifie. rou pas que le gros de la population américaine joint de la pr-.-périté. mais «jue la pauvreté général**, qui a régné ch**/, tous 1**> peuples dan-- tous le» ten p- ex* p'*ut-êtr«- «j la veille «le disparaître *les Etttts-l'ni».

la-Pocatiere. 41 y avait là, entourant S. (L Mgr Hante, plus de vingt curé, venu» de l'Islet, de Térniscouata et de ( Kamouraska. Notre clergé a voulu I reprendre, incessamment, l’étude du 1 problème de la désertion des cam-; pagnt‘6 et d** l’exode des l n itres aux Etats-Unis. On se de-j mande Mais quelle est donc l’une [ des principales causes de ce navrant j état de chose.» ? l>*s congressistes répondent ; Le luxe, le luxe dans le vête-j ment, le luxe dans la mode de vivre, 1*31 luxe partout !

I)»*.-. avertissement tombent pourtant de haut, qui devraient également f aire réfléchir. Iâ voix du ministre fédéral des finances s’est fait entendre lors de la dernière conférence inter- provinciale à Ottawa.” L’économie, a-t-il dit, doit être pratiquée, si l’on veut que le ( 'anada soutienne sa répu-1 talion. "L’A. (’. J. <\, qui étudie toujours et voit, a consacré son congrès

(fédéral de 1927 à l'épargne; elle vient même de demander à tous las citoyens du pays de faire du mois de février 192K le mois df

Bourse du Travail 1 jarticulièremer.t être mis*- **r reliefCE SOIR : Union Nationale dos ’ par les travaux du août-comité. D* »

cordonniers machinistes. i chiffres impressionnants ont été cité.»Union secoursble des cordonniers Ainsi, aux Etats-Uni», 25,000 ouvrier»

Int.

ont été tués en un an dans d< » accidents du travail- Or, l'expérience prouve que. par l’application «l» certaines méthodes de protection, on peu réduire l’étendue de ees déxas-

| très. Dan» des industries partu-u* des [ lié rement dangereuses, on est arrivé

A diminuer de 60. 70 et même

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Sécurité industrielle du Bu- C'est une question d'organisation reau internai du Travail. préventive. Puisque cette organisa-

l n** réunion a eu lieu du au 5.tion préventive est possible. T* s *-x- novembre A Genève du Koua-Gomité perts sont unanimes à demander d'experts en matière de sécurité indus- qU»eiie soit rendue obligatoire dam trielle du Bureau internationla du tous les pays jâr voie législative.' I ravai*. Ix*s experts devaient don-1 (Vest le principe qui doit êtr** nu ner leur avis sur un avant-projet do ; à la base do la réglementation interrapport préparé par le Bureau pour ! nfttionale envisagée, servir de base aux délibérations del point de vu»* pratique, lésonsa p rochaine Conférence internationale COmité de Sécurité s’est trouvé d’ac" ^llt,Travail cord avec le rapport du Bureau in"^ c^Tîeur a bienvenue I ternational du Travail pour r<*eom”M. Albert rhomas. directeur du Bu-'mander internationalement : l’obli"reau International du Travail.a sou-1 ^fttion, pour les chefs ti’«*ntreprises"igné 1 importance du problème deino soumettre les plans de leurs ins. la prévention des accidents, A ia *

qui Ici l>,4Î? T ne l'épargne.Croisade opportune - urgente !

Croisade de vie ! Pas «le milieu : ou prêcher, partout, l’avarice des surplus ou périr par 1«- luxe ruineux et dam- n ur.—Rog r du VE KNAY.

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solution duquel doivent s’attacher tous les hommes soucieux de solidarité humaine et de protection ouvrière. “Le massacre de vies humaines sur Je champ du travail, dit M. Albert Thomas, est aussi cru-

j el que les massacres du t«*nii.s de guerre. Pour empêcher les héca-

; tombes des batailles, la Société des Nations construit la paix. Nous a- vona le devoir, les uns et les autres, de travailler d»' toute notre énergie, de toute notre intelligence, A réaliser

: aussi la paix et b* bonheur sur lo 8 champ du travail

La gravité ou problème devait

tallations à l’inspection du travai- avant d’être autorisés à exploit r 1 la collaboration étroite de* représen: t pis quafies des gouvemem»*nts- avec les employeurs, les ouvriers, les eompagni » . ’assurances et*;., pour développer l’éducation générale en matière ae prévention d«s accidents et pour favoriser les études sur la sélection professionnelle et la statistique d**s accidents, etc.

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Grand'mesEe anniversaire

MARTEL l'ne grand'mesee anniversaire s*ra chantée mardi le 20 courant en l'égllsti de .\*)tre-I»ajne du (’hemin pour le repot d«' F . n« «i»* feu LdJutor Martel Hecoiiimandée par sa mère Mme

‘ Vve J.-B Marte.PICHETTE.- Mardi le 20 décembre

| en 1 église S t-Jean-Baptiste sera chantée j A 7 heures une messe anniversaire pour le

re|M>s de 1 Tune de M A -(’ Pichet te «'poux de dame Aurélie Tété 17déc-2fs

DECESaiert* et amis sont priés d'y

fan*- sutre Invltatle**-A Lévis, le 17 «lécembre 1027

flfl ans 1 mois est décédée Vallée, épouse de sieur Pierre

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i>éj»art de la maison mortuaire. N'o 2fl rue sa. n son ft h h 45 pour l'égiisa de

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Le* funérailles auront lieu mercredi ft 9 heures.

Départ de la maison mortuaire \n 29 rue vnillerl*^ ft 8 h 4fl pour l'église de .■*t-Patrlcc rue MrMah*m> et *|o Ift au cimetière St-Patrice

Mlo était K s eur des Rév érendes Sœurs st-Patri«-e **t M-Jean-llaptiste de la communauté du Bon-Pasteur et de Mme J -A. Allard, d'Ottawa, de Mme Fred > oliau et Thomas Burke de Toronto, «le Mlles Kli- saheth. N élfVne et Alice B.vrne du Gros- Pin, ( harleslxjurg. 19déc2fs

CHATEAUVERT A l'héptal Ste- Marle. b* 1s «lécembre 1927 ft I bge d** 67 ans est décédée Mme Adèle R*x'hon. éjxm-

«• «le M. K.-\ Chateauvert Les funérai le* auront lieu mercredi ft

8 heures.Départ de la mais m mortuaire. No 216

ru** Marir-d«-l Incarnation ft 7 h. 4fl pour l'église *!e St-Malo et de Ift au cimetière St-CharlM 10iéc-2fs

COIILOMBE \ Baiatvllle. le li décembre 1927 ft l'ftg»* «ie 78 a is es! décédé M Ktienne ('oulom »e. rentier, «le la l>ar.tisse «1«' St-(»éléon. comté l,a«*-st-J.!an. époux «le f«*u Anna Laplamc

Funérailles ont eu lieu & st-Cîôdéon. le Ifl dernier ft 10 heures a.ni.

11 était le pèr.* de Auiélén. Ktienne et ! Kugène (’oul«jinbe do la paroles * de Ht-

Déiléon. Armand CouUv.nba. Bagot ville, j « t «i«* «lames J.-Bte (iaumont, ville de I st-J *s«'ph-«rÀl;ua, Léon Kicliaril. M n*- Joli. Joseph Richard. Hébertvillc

DUMA* A St-Koch, le 17 «lécembre 1927 à l f.ge «le *10 ans et fl mots, est décédé sieur Napléon Dumas, marchand sellier épou* «le dame Phihxmène Blouin

Les funérailles auront lieu mardi ma- ‘ nu a 9 heures

Départ «i** la maison mortuair«*. 92 rue i du R«'i. ft 8 h. 4fl pour l'église de st- ! R«H'h «*t de Ift au cimetière saint-* 'h&rles ' Il était congréganiste de St-K«xh. Il | était l«- père adoptif de Paul-Kmile Bé-

«lanl. 11 était !*• frère «1«- lu Révérende s.i-ur St-Bruno. «le I,hôpital Général de la Révérend** su-ur salnt-Ovldc. des SS «!«• la Charité. *1«‘ MM. Kmile. Ovide. Arthur Bruno. Ishiore Dumas d** dam** T'élesplutre Pouliot, dame Louis Binet et «lu i *• \r<-adlus Blais <l«* Th third-Mines.«i«' da ne Adélard La‘man*h«*. «le Montréal, «•t 1«' beau-frère de M «Mina Lefebvre

GAGNE. \ l’hospice «h* saint-Joeeph «le In Délivrance. i4evis, le Ifl «lécembre 1**2.'. ft l':.ge «le 72 ans et fl mois, est «t«'‘- cé«|éo «lame Kmélie Bégin, épous«* de feu si«*ur Louis ( iagn*

i «» service wr.i chant*' lundi à 9 h.

i Laurent, Dr. An iré. A. D.^rosi» rs. > nrèsi*! nt trénérîil î«* la s« ciétè, M. 1« Al]> Burton. Paru** Dr*.'-au. Flo-j Dr «lui* > D«*riop.. présiT* nt-alj* in

; nan Ixanslois. Portai *rt l« s coins au , M. « t Mme lYeh* \ in Ogcr.r Auger. M «irai Mlles Marthe Burton. M.-jet Mm«- Adélard Lénir*-. présilent «i«

. Luc*' Vaillanoourt. Euç*‘nie F«*urnier. • la se«*ii«.n St-R* «*h. NI (L-E. Sauviat (•Julia lân^lois. Ma«Uiin«* Beaulieu J *î*>yend** la «. ciété, M. O.-A. (ï«.ss«‘lin Jet sa famille ofrent leurs plus sm- ' ' :jicèr**s remerci**m*>nts à i«>us ceux qui leur ont manifest*'* quelques sympa- îhies «inns leyr grande «niuleyr, i*ar l’assirtstar.ce aux funérailles iK*r l’**n-

oi «i«* c«mdolcare«*s. par l offrandes «i*' messes ou «i«* prières dont voici la

i iste:ORiandcv de «rand'motces M et

Mme Dm«-r Ib-aulieu. Kimouski; M et Mme I hi lippe Beaulieu. Montréal la fa mille Di<lai«* Bouchanl. 8te-A nne-des Mftnts M *-t M.ne J -D Charret M« nt- J«»li M Kowario Fournier Mont-Joli Mli»* Dînérin«* Jouvin. Ste-Luce. M et M. me .1 -H l'roulx. Lévis M .viiné Beau-

j llet». M«mt-J »li. Tancrèdo Beaulieu. A«lhé- mar Beaulieu. Mlle Agnès Beaulieu, ste-

i Luc«- lu société «les Knfants «le Marie j Ste-\n««-le la stxùété des Dames de Ste- I Anne. Me-Angèle. M l'abbé S Roy, St-

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Pours;îvart son témoigniiEc. Walter Sin.ps«*n dé« lj«rc «juo raccuaéc «1«*- mar.da d’abord à fa F«rur de l'invitér à aller avec elle aux funérailles «i** non ptflfi au Nouveau-Brunswick, pu in à Im-mém*. la* gnu inc arriva h Qtiébe** vendre*! soir et alla à l’hAtel Mon- calm. • ri partit ensuite pour le N«>u- veau-Bnnihwiek «1** t<»ug aller* nt «l'abord à i hAtel A Eré«lériet«*n. puis chez la mèr« «le Ta censée :\ Napadogan.

, ! bv t«Tnoin avait prété fJOO.OO àLa cérémonie e« '.nnn-nçj' pr.r un il’acciiM • pour faire ce vovage. Après

«maRnift iue chant p.T.tri« tique «'xéeutéljes funérailles il r vi.it * exprimé à par la eh«*ralc de* enjar.ts sens la dir*v-, M nu, ('lftilop le dé'sir «le a en revenu ti.mduH.f-reivTNieh* 1ns h K ( lui avait demandé son argent. D* re-j. s' hurg<'« n «'tait au eli;\ ier «t** j fu8 ^ raccuKée l’oldigea à retarder «on I orgue. , (départ et il demeura ehex Madame

suivit la béné«licti« n rituelle 1Irs - Sprague trois ou quatre jours, j deux drapeaux par Mgr ( Arsenault. | rVst à Cf, momoilt qllc l'accusée lu. I cérémonie courte mais impressi* n- pi.opn8a do le garder tout Thiver à

it' * i * « ii . n*n faire s’il voulait consentir neM. I abbé Adelphe Laberg*' monté,a!*;rs à l'autel et prononça un** belle all« eution.

Il commença par faire ressertir l'idée <1«* discipline que «*« mp« ne 1«« drapeeu qui symbolise lr. patrie toutentière et devant leouel chaoue ci- Tx / i n i* yt,,y«n doit s ir.olir.or rospvci. ■ 0',rEn' ",n sO,,,,r à 1

I*ui*, s’adn'ssant aux f Tulets: “Vous êtes de jeunes soldats, dit-il, et c’est pourquoi l’on vous donne un «ira- „îx'au” I sujet de ses assurances

Le prédicateur avec éloquence s’ap-

IE EM

DES DADAVDES

Les chiffres o T.ciels de la morgue fixent à trente les corps qui avaient été retirés des rui.ies de l'hospice St-Charles jusqu'à ce matin

pas aller dans le bois, i 11 avait 20 ans j\ ce moment et • Mm** (îallop avait croit-il une quarantaine «Tannées. Il décida «le reve-.u1J SUj(ll a„ nir à Québec et Madame f»a!|oP ' l'hécRt* mb*

LES FOUILLES

Les dîbû* M Hubert c« «maître 1«* au sujet «b*

rs «b* la M«»rgu«*. «• -isan, \i«*nn.«»ni «le l'r

«l«*rnier raj>p«>rt «»tTn la lis««* «l«‘s \ielim«s

revint également sur le mémo tram.

'alla che.* «les courticri» afin de changer une «iéhenture de $500.00 Elle »«* remlit aussi chez M. Gignac au

Il lui «iéclara alors ses projets «l'aller passer Thixer «lans le bois et elle lui ! h parla «le mariage, lui «lisant qui s’il la mariait, il n’aurait plus besoin d’y aller. Mais *1 se trouvait trop jeune et refusa. Elle lui en reparla à plusieurs reprises et il fit toujours la) même réponse. Il partit pour St-J«>-j fit *eph <1 Alma après avoir été remboursé <i«> s«»s $200.00. Mme Gallop l’y suivit chez Mme Doney, sœur

^ . .. _____ w_.__ du témoin. Il alla ensuite ii Pointe-par l’étude qui vous don- ^}e.\ie « i.ez sa mère et y fut encore sui-

’ - 1 vi par l’accusée qui connaissait samère et voulait aller la voir.

Pende,ni qu’il était h cet endndt, l’accusé.

plioua ensuite a mettre en relief les sublimes leçons que l’on peut tirer du drapeau.

« “Le chrétien, <l»t-il encore est à sa faç«»r un soldat du Christ. Pour lui le drapeau de la patrie r«*présente le drapeau de la vérité, du bien et de l'honneur.

Souvenez-vous que v«>us devez marcher à la suite du «Iraâu de la vérité, ar l’exercice de votre intelligence, c’est -à-dircnera les lumières dont vous avez besoin. Vous verrez alors Dieu dan*1 tous les événement* car Dieu est dans chaque être de la création.

Vous aimerez aussi le drapeau «lu bien par le développement de noire volon té.

(’«•s vœtimes m i nu iv inbr« «'•* trente, (“est p.ir «*iT«'iir «*ue h* chiffre trente six a été m«*r«.i«-nné. Or. conç<*it faeil m**i*.t qu«* «Ir.ns un surcroît «le travail, le transp» rt «les victimes, l'installa’,i« n «ie la m« rgu«*. lu récepiioii d«*s par«*nts «*n pl«urs,

prépflj*ati«.n «l«-s «*bs.«*ques, « n. i»,i ir ]»as eu le temps, «lés les débuts «le compter les petit* corps qu. «l«*s feurgun* apportaient sans co*a sur les dalles «te le. ip« rgu*-

Samedi matin. e«'pen«lant, l«>rs«iu*«ai P installation <»«• la elu.irbn m«»r-

tuaire où l**s j-etits e«*r«*m ils fun rt exjxjHés, ont fut « n mesure «.«• <iorin«*r un rapport oftici<*l.

Il y «ut trente victimes «ian.s l’hécatombe «i«* PHospie** St-t’iiarhs. Sur

{ce nombre, seize victimes «>nt été identifiée*, û«'*s jeu«ii. Hi«*r, <*n u in-

I humé quatorze petites \ieiim«*s qui I»u êtr** identifiées.

I -_______I

Gardez-vous de suivre tous les courants d’opinions. Que votre volonté maaaTn«‘Simps«>nroçutun«*lettree*»n- en soit une d’obéissance qui est comn.e b nant un** i«'iiill<* sur laquelle étaient le monde dans lequel on façonne l«*s écrits ces mots: Pour remettr«. «à hommes. Vous saurez commander madam*- Gallop. A la ieuille était atta- si vous avez su obéir, c’est là. la le- chée un*- coupure *t«* journal relatant çons. de tous les êtres animés et ira- que les autorité* provinciales avaient nimés qui vivent tous leurs dest.inéfc .Jésus-Christ à voulu se faire obéissant

lui montra un j«*no de ma-( n’avaient riag<* en lui «b-mandant de le lui mettre jau doigt « t de promettre de n*» jamais , 'y,'ïJ recherches «mus les ruines <i« épouser un** a«itr«i femm-1. II le lui j institution «letruit» s«* cHmtinu* r«*i.t remit dans la main sans rien promet-] Jusqu au J«»ur «m l**s fouilles s« r«»nt

Au même mom<*nt également, ,l,8St'z avai.cé«*s i>our doimer l assurance qu il r. y a plus ue* v ictimes

les ûébns.

tr*

pour nous en montrer liante PimjX/r- taree. (“est par elle qu’on se forme, qu’on «liscipline sa vrol«»nté et qu’on marelie «à la conquête du bien en vrais oldats du Christ. Vous combattrez

décidé d«- faire exhumer le o< rps «l’Abraham Gallop p«^«ir autopsie. L’accusée ]>arût être très énervée **t «Iéclara eu Vile irait voir le coroner Constantin, à Hoberval, aûn d’av.dr

sous

( Les c*mp:o.,és <i«* lu Mordue **t «i. la maison Abusau mériteni des féh-

J ciiatioia. Non se ilement, h* soir <i« (la eatastropn*!. ils ont trau.q/orté , dans leurs amoulances ou leurs fourgons biojséa ou morts, mais nous avons «léjà raconte eonuient plu-

i sieurs d’entre *-ux j*articip. r« nt auinformatior.R. Le docteur C«*ns- û.V uta^H in avait lui-même «b nné le corti-' barles

l’esprit d’indépendance et une liberté fv*at *1*' «léoès. PMI** r«-v int chezAngèle, la famille C’jnrien Plante. Ste , ,Angèle, la famille O Tanguay. ste-Luce1 mal entendue; vous lutterez eontn Ml « s Kose-AiiHée et Julian* St-Laur.*nt>. Porguoil qui V'Cllt tout écra er; VOUSst«*-Luce, Mlles paralyserez en vous cette tendance àrosiers, Ste-Luce. Mlle Burton et nos élè- / • ... ,v«-> Mlle Tanguav et sas élèves. Ste-Luce, la paresse, esprit de langueur qui la famille i'h Beaulieu. st-Godefroi«l. les engourdit 1 intelligence et toutes les ss Missionnaires «le l'ImmaculéeConcep- roble8 facultés de l’à me.i.a«‘titia Bugeokl st-(iohell la famille J.-H . îais vous suivrez aussi le drapeau Massé. st-Hubert. la famille Arthjr de l’honneur, par »e formation d*' Dumas. Riyière-«lu-Loup. votre cœur. Vous réserverez vos éner„„!!S.W,r,,,?Nrt,,Æ' N?' I1: ctr Kies ixmr le s grandes o. noh.es causes : noine charron Supèriet r eu séminaire «le ne »es gaspille/, pas dans «les soirées ip Kimouski. «*ère .losapl at Jean, i* ^ , sipides et dans les follies du monde. Ce

H. Vilkinf'oîieîwcf M Taune drapeau mérite que vous conserviez F -H Fillon. Québec. M l'abbé A. Ga- v**s coeurs purs pour le servir, gnon. Kimoiu.ski, sir François et la«ly L**-j Los j«)i«»s du ci«»i er.mjW'P.Reront les mieux. Q’ié!*»<•, Dr J -Kmile Fortier. Qué-' f vous nnr**/ fni^s ot les s*l-b«*«’. Ué\ Srs hApital St-François-d Assise. 1 <1,H 'ous aun z 1H1 ' e“.,es S'1o,iébe«*. Ré\-, Mère Marie-BercLr.ans st-!‘•rinces que vous aurez consentis pour Krançoin-d’Assise, Dr «*t Mme Lacroix. île défendre'. Soyez toujours de vrais Trois-iMstolew Dr et Mme J-A D**sr«>-1 SOi(jatl. ( hrist, sans peur et sans

mère après sa visite ch*/. 1«* c*»r« n«'r Pt ch* z le procureur-général ft. Québec.

Elle paraissait "occupée” et décida de s’en retourr* r chez elle dans le . Nouveau-Brunswick.

La veille Te s» n départ, pondant ; qu’elle était à préparer ses v alite s. se i

: même perdre :a i travail.

‘niants a Lhospice G. Moisan faillit v i** dans «•* i«< mb.o

La Mais* n ài«»isaji qui avait la «li- reetion des lun*raiil«s civiques, hier, n’a rien épargne pour donner à ees funérai lie tout l’éciat qu’elles devaient avoir Elle a reçu le pré-

Iê témoin «mira

sieurs. B le, Dr André-J. Desrosie rs. Lan- v * ^ ,z«*n. faniir«*s Pierr** et i,!iili|)|*e Bouchard reproche* autant que VOUS êtes <1* Luceville. H. II.l'ion st«*-Angèi**. Alp bons cadets”.Langoller. Ste-Angèle. fair 111 es Willie Bur o:i. Ste-Luce. Kmile D’Anjou. LucexilleA Boucher. ste-Luce. Jos Bélanger. Luce-

| ville. VV. Langlois. Ste-Flavie. J.»s Rochefort. LwevilU*. J Lebel. 1 vicevllh-. Ad. Drap«*au. Luc«*ville. Ai use me (Y.té, Luce-

i\iil«-. M et M ne K Lebel. Rhn«»lu.skl.M et Mme H Pelletier. Mont-Joli. M

1 Patrice Drapeau, Ste-l-uce. M et Mme j rhs-Kug Rivard. Luceville. Mlles Lucienne I-illion. Bernadette Parent. Québec.

} m«-s hmioisellcK B«'lzüe. Qiiéi e*'-. NT Gcr- ; n ain « '"(«'. Rr.nouHki. Mlle Marla Bernier.st-Kpiphane Mil** V! -Luce I>esr<»siers.

f*»»s v-' " - ; %?

1“ " , , , V, MM I... rurthi J -I* -M Mlrhaud. , Bril-GUERARO A Queb«*e. l«* 10 «iécem-, |unt , Har\«-\. Hte-Jeanne-d Arc. J

Suivit le salut du S. Sacrement présidé par M. l’abbé Ernest ( hapl«*au, vicaire à St-Uocn.

LTr. hoau programme de chant fut exvuté pa ’ la eh »ra'e : “O Sa’utaris” b 2 voix de Fkrcîès ‘ ("auiate Domino’’ h 3 voix.

Magnificat on farp-bourdon, 1 ra- tum Ergo de Min&rd, *à 4 yoi>.

La cérémonie se termina pa” le salut aux drapeaux.

AUX ASSISESbro 192, ft 1 re «te 70 ans 10 mois. • «t | « ;a.i’ia« iie

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d«*. é«lé sieur lônis Gm rard, ancien maître I i.), M,„ in|.oulang«-r. époux de Fl«*rc Lessard

i ,«*« funérailles auront lieu marditin ft 9 heures I jtcaulieu. New-Carlisle. Mme Josué Lee

I)é|M«rt «le la mnis«m m««n.lain*. \«» 1st ; a N1 et Mil„. r.ieas-m Belzile. Mm. ru* Napoléon ft 8 h 4fl p«,ur l église «le ,, Murs Hostarul. famille Mme F «V»té st-Mal«» et de Ift au cimetière de la P®' I Runouski. Mme J -P T'aquei BeauiM'rt.- rolsse vt ,>t Mme Adz Gagnon. Beauport. M. .

HOUDE A Qué»»e«-. |e 17 décembre «t Mm«* J Mailloux. st-Hubert. M «'t 1P27 ft l’ftte «le 8l ans est «lécé«lée dam e | Mme J -L Dupuis. Montréal. M H«*«*tor Hélène Thompson, épou e «le feu Joseph | Lemieux. QuéU« . Mlle Ja«*<iueline d«* Mar-| lioude. autrefois «le Lévis I tign.v M«»ntréal. M J«*an-P Dupui

Le*, funérai lie auront lieu le 20 courant Nlontréal. M.m (lis Beaulieu lsle-V en«*. 1 de ( îallop et lui dit qu’il ('tait à 9 heures Mme J K Beltlle, Rt-Fabien. M et Mme - * - *

Départ de la maison mortuair«*. de la A KiniUah. St«*-Angèle. M et Mme résifl«-i «c d« v«n g« mire M .1 -Krncst «. Pelletier. >a>ab«*«'. Nt et Mme Z De- l,t r> . No 4 Ls rue ste Julie ft 8 h 4fl i*«>nr champlain. Luceville

de st < «* ur «i«- Marie et «h- Ift au Metsaye* «•« sympathies M l’abbé metière Mont Marie de l.évls J.-B Itesroslers Sulpl« i«,n. M*»ntréal DrMARCOTTE V I Hotel-Dieu «le L.’-,Mme J-K «Vrreault. M-Ans.*lm,* le

notaire et Mme J «J-, I ara«l^. st-Hub«*rt.

légli

la famille J -H Massé st-Hubert. M J H Murrav « hlcoutnni Mlles Chambcrlatvl.. \i«mtréal. la famille D Botiehard. ste- 1 \nn«*-«les-M**tvts M.ne «*t Mlle Sasss«»ville.

IM«' \nne-il«s M«»nts M *'i Mon- K Beau lieu, Mont Louis, «le p« rsonnel de la Ban- <ju«' «lu « 'o.ittiH re«- Trois-Riv .f r« h

Fleurs naturelles In* fleurs «.ff. rt«* par M J -H coutimi

(Suite de la ptvge ..) demain matin par la \ «>ix dç madam*'

Ij. Gallop qui lui dit qu’elle essayait d’éveiller McNeil pour l'envoyer chercher un médecin pour son mari. Celui-ci lui avait semblé malade la veille, çl se leva et alla chercher le docteur Kobillard, vers 4 heures et demie, mais revint sans l'avoir ren-

I contré, il entra alors dans la chambr»*allé

cherché le médecin, ('elui-ci lui demanda ciui lui avait dit d’aller cher- chvr 1«* médecin et quand il lui eut ré- rondu que <•’était sa fem.ne, il répli-

: qua de n • pas s’occuper «b lui, eu’il i en ferait demander un s’il en avait besoin. Il semblait être assez bien à ce moment. L’accusée le pria une seconde fois d'aller chez le docteur et il vit Celui-ci à qui il demanda de venir] chez Gallop qui souffrait de crampe*

à ;«•onronno de | d’estomac. Le docteur ne jugea pas Murraj Chi- i propos de venir.

A s«*n retour au camp, il vit Mm

EPICERIE: POULIOT

I.'vrrison à d- par toute la

■ur oui* noil* .'tv «e s s l’annowo «i«* l’E

i oin> dt i,’Kg'ise nuTn ro «l**

BENEDICTIONDE DRAPEAUX

Suite de la page 3 Plie Mlle ,M-rguerite Déch* sr.«*.

Aux pr« n i rs rar.vs «h* l'assistftr.ee f’gurr.ier.t !«•> «iigniu.ires St-.Tep.r.-Bfvptiste d«* (>uélHe**t c«*ux «h In 8«e<i«m St-H*.ch. ranni eux tv us

v i*. I" 1 s «lé.'fMubn* 1927 ft 1 Age «b* fl? ans 7 imtis ov «lécédée «la ne Marlc-Lo«ilae ManMU**. «‘|h»uk«* «l«* M Arthur Marcotte. tanne«ir «le Kortneuf.

i 11 * éialt IS mère «le M I al*>»«'* « harh***Mire «tic pr.»f« hN« ur nu c«»!',«'g«> «l*‘ Lévis

i„ , funt'raill*s auront Heu mer«*r**«li 21 «lé'-'-mbre 192*» ft 8 heures 4fl «lans l'é gliae «le I • rtneuf 19«léc-2fs

MARTEL V î.orettP-villc. le 19 «lé- c«mlre 1927 ft 1'f.ge «le 83 ans 8 mois «st «ié«*é«lé sb ur I ranç«>la Martel, époux «1«' «lam«' Déüua Gagné

l.«> fimérallh s auront lieu -.nercre*!! matin apres l’arrivée «lu train ft 9 h Ifl

19«lé«- 2NRICHARD \ N otre-Daine-de-Grf.rea.

le 1/ «lAeevnbr,* 1927 ft l’Me de 4s ana et t* ,n«»l.s «*at décédé Orner Rirhar.l. mai- tr*'-( 1 arrêt 1« r. époux de da,nn Kugénle l'olrlrr

|,«-a f«mérailles auront lieu mardi le 20 «lé«-«- nbre ft t» heurt a

Départ «le la maison mortuaire. \o 31rue Jolie* le ft 8 1 4fl pour I égba * «le m >" >«..« . n, ou x.e mm | (Iallop était moH ù CC moment à,N«»tr«' Da oe-de-Grè«*es et «le la au cime-* a\ * !(*« remarque M. I «‘U'sptp're V «-rr**t I tit re st-C har'« a | i

Montréal son* priés

•O

d< s gén*

. r «i li« it*’ *l*»Pc !**s s . * Ile t s *'t «lu pu-

il l«*s nssurant «le la I i vrai son pir toute la ville d«'s . «ju’il • nir«*nt enr mamlés ,.t

«i'un t i l i' r • pr unpt*' et « I heure demande-

l.ea Journaux «le de le reproduire

VICTIMES Mardi 20 déremi re «lans In «T a fiel le «lu rouvi-nt «lu Bon t'nsieiir ft 7 t; 30 m ra clanté un service |H»nr le i«j«s «.e i ..n e d* s petlt«-n virti.ius «1«* I 1 « spire Hf-< |»ar 1rs

FEU Mlle M.-A.(Suite «le la page 10)

lr« r* > «1** la défunte, David et Camil- l«* Beaulieu, ses neveux. Ainsi que j lusieurs autres parents «*t anus dont («•s roms r.ou* inanmi«*nt. D's |»nr- t« urs «•taier.t MM. ,1. Bto. F’ournu r In èr»u\, Lnu'st Oeullet, Ernest St-

jÆgÆ < tK«'G\>T\N« F.s FV m” g V«»VKZ DKS fl

# FI.F. IT RS /

Gallop à la porte qui lui dit que si ie , docteur no voulait ras venir il fallait prévenir Fred Gallop qui son frère

| voulait le voir.Il fit une troisième visit*' chez le

docteur à qui il dit, que Gallop "sau- ( tait à pie” dans son lit. Il donna «les

i1 z I Bdules, puis, quelques minutes plus* '• a M ' tard. *e*lé«*ida à venir h la demande de

Frod < îallop.(îallop était mort à

son avis et ne pour prendre les pilules j du docteur A sa connaissance. *•** dernier n’u't besoin de lui donner

passa un ir.oident. dans la salle et vit pleurer. Elle lui dit que c’était elle qui avait causé lr, mort d** son mari en lui | donnant «le la strychir.c qu ’elle avait eue chez le docteur B«.nillé. Elle njou- •

! ta qu’elle l'avait empois» r.r.é parce qu’elle ne l’aimait pas et quelle l’ai-; mr.it lui Simps* n, qu’elle avait marié son mari seulement pour se taire un chez-soi. Elle lui demanda de no rien «lire de cela et, effeciivement. il n’en parla pas avant l’arrestation de l'accusée *«t c’était la première fins qu’il entendait parler «le strvehine r«*lativ«*- ment à cette affaire,

j M fut détenu par la suite c*>mma témoin essentiel l<\rs aes premiers «*1 deuxième procès et il rr.pî»« rta au dé- t« e ive Houssin c«'s décl; j*a’i« r.s.

ix» idm« ir affirme av«-ir toujours 1 «lit la vérité à chacun do ses témoigra- j go s ot n’avoir subi l’iptluer.ce de per- : sonne. L** détectiv'e Houssit ne lui «lit [jamais autre chose que *!«' «lire la vé- ! rité., «Simpson ajoute ou il a perdu ‘-a ' saison de chasse d’hiver ayant étéom- ! péché par le pré ont procès. 1.1 gagnait .d’habitude $2000 par saison.

Ave’-vous eu ouoi que ce s«»it à fair*' avec la mort *1** \1. Gallop/

, demande Aie Bienvenu.Non, monsieur.

I Me Alleyn Taschereau se déclare , pi*'t à commercer son r< ntrc-int*Tr«»- gatoir*' pourvu que la Cour décidât «le siéger toute l’après-midi, autrement il préf«‘rait attendre à lundi ma- I n'

"Je crois que nous avers fait uro borne semaine en siégeant de 10heures à ô heures, déclare Sir François L*- mieu>, *^t il «*st «lans l’intérêt de tout le mord*' de se reposer cet après-midi. Je 1 comprend» que la défense lierre à ne pas couper ses trarsqueslions et nom niions ajourner à lundi.

lie président du tribunal, s'adressant nu témoin Simpson, lui intime i l'ordre de ne parler «h* son tém« -ignagv 1 avec j>rr!*or.nn d’ici lundi et, sur la re-: quête «te Me Taschereau, demand»' au 1 shérif de le garder à vue jusqu’à lal prochaine séinre.

Or s'occupa ensuite du programm** «le d»stracti*»ns pour les juré- durant! l’aj* umemert do fin de semaine.

‘‘Nous avons voulu aller au feu, <•«> matin, déclare l’un d’eux, et or nous! a refusé. Nous voudrions, eet après | midi, aller au théâtre.

"Je veux bien vous U* permettre; si re n'est pas illégal. ré]»oT\d 8ir François; mais il faut être prudent et je vous «lirai tout, à l’heure si vous pou vi'/. 1*' faire.”

La < Voir s'ajourne à lundi matin

oieux concours de autres enirepreduuImb* «an,>p •-«<-r 1 ville qui n entent au^si des •‘«•u «t-

ciements.

LE C. 0. T. C.LAVAL

Il a été passé en revue vendredi soir par le colonel Benoît

C. ’’Laval” a été à neuf heures, ven-

Manège Militaire. I\-S Benoit, com-

EN FAVEUR DE L’HOSPICE

ST-CHARLESL'Association Sportive «tes

Employés Civils a décidé que les recettes provenant de la l'atinoire Grànde-Allae. pour I i journée ce mardi pr - « bain, seront données à l'Hospice M -Charles.

Le billets de MAISON n'auront aucune valeur. Il est à espérer pue tout le monde souscrira généreusement.

UN PROBLEME FESOLUDe*, instituteurs et «les institutrices

conseicntH «i«* leurs responsabilités ont *«»nstat«; depuis longtemps une lacune dans renseignement «l«»nt ils ont la charge, iis doivent «humer eux enfants non seulement l'instruction tImorhiu*1. ina’s enc«»rc ils doiv«‘nt aider, suppléer au Itenoin l«*s parents «lans réduentmn. Aux princip*-** «i*1 l'édue 11 nui se ratts- eh«*nt i«*8 soins «•«»rp«»r«*!s, la propret»’*, !«*>a te- otiotid eus «i»* la \ i« matérielle. « m un ni»f l'hygii'ne.

Mais p«Mir a «-otnplir « «-ti«- partie «h* leur tâ-lie, ils « taient justpi'ici livr« s «juclquc p«*u îi leur propre initiative. La plupart eherehaient un «miv uig«' «pu pût t«*ut eu moins l«*s gui«l«*r. Is*s v «n -vi sut isfaits.

Le iH»uvel abr«'g«- «ITIvku-n* a l u a ge «l«*s é«*oles, «lu I>r Ib'etor Balarily. JMUit (pit'stionimire ou. si l’on veut. "oHtéclnsme «rhygiènc", pn'pnré sur !e plan (|«*s (’.•vis«*ri**s sur iTlvgièn»-”du inétnc HUt«*ur, lesquclUs peuvent aussi servir de livre «lu maître, nuxuul à leurs v«ru\. S'ion toute vii is**m- blance, un** tncsur** «les autorités eoin- pétcnt«s généralisera proclic.incnu'iit 1 enseignement «!«' l’hygiène «lans 1«'- écoles primaires «le la proviiu-c, mais dès à prt sent. les maltr«'s «pii ont sp«ui- tanéinent devaner «-ette mes’.irc rd- mii.istrativc sont outill -s p«»ur acc«un- piir h'ur «ruvre bienfaisant»*.

Nous nous n'jouissons de les en informer.

LE VOYAGE OE

UNE RECEPTION

vniuircai, IP ("est c *. ap.vs-nu à tr«».*« h<>.ax'S et «l * ni • lunti' qu’a. nv« ra a In gare WTu Isor. i« ira. >. « al «jlle le I tuuhque Oauaicn a n a la «imposition des u’.e.unre» «h* i >ur.iv.inp' rrau.'aiso qui vicmi*'i,

nouveau u.*tt« nous H.Il Tl2 près su's «le toutes i«'s j , a «luilte \Vnnui

aine

"U.

an

d(’«• train, qu» l.»0 excursion! ties de i’Ou.è. samedi * h m u «l ut s’arreu e<* matin a Dttuxa, «>*i les \o . agoni seront thibjot «i’un - bciu» r* «•

I* r.iu c*iiv «pu font l«* v .> h* tram sjïéciai du k'aciiiqui «lu n, «»i> reipartpn* tout j*«nieuli« r«' iic'nt .viAl. A. itoth'&u, ]».*esi«l«*Qt «i.

« association (’ani lieniie-h rany i * «h- i Alberta lva>u «»nl |)*'m>. J*r« sul 'u' «lo l’Ass iciat ion ('a hoiiqu h ranc <»-(’» tia« lie nue de la haskutc* « wan; Henri La«*ert«- i»r*'*sulenl <! i’.\ss«K*iati«>n d’Education d«s ( an diejis-Franv s «lu Manitoba. Ni. .* Buj Id, d umontqn ot tous U im*mbres «1«* sa fa.iuiit', M. ( Tiare** .Mar«*uau 1, le f(»lklorist«' bien «Mnmu M .1 . i\l. De.pont et A Ui\ar<t. ■:« L. th'oh*-. **t«* L«- tram »*st s«»us la « .rectum «h* M. P-K. (îiugras, r«*pr. soiitanl s *ial du i>a«'iii«]U'* ('air; «lion «lui M •ro<,m«M ’!«• L’<1 i*

UNE PRISON A VILLE-MARIE

Le Gouvememe.it construira cet édifice le printemps prochain Line prison temporaire

UN INDICE

7 LOS ANGELES H*MW L«»s Angt'U'S, P.) (P.C. La p lier

croit avoir ««ntre l**s ip.ains un bor n; lic-j dans la d *c«*uv* rte fade pai un* femm*’ <l’un-‘ valiso contonaul «l t journaux et autres art ici** s souih

,«b s*itig quollo oroit j ch« r a l’assassinat d ' nan l'arkcr.

14i valu** a et*I bouche d'égout. *I «lonce «l«‘ la i'**tun' t 1 Mac»' «I • l'eu Iroit 1 mit la rauyon de ; t«*iir *1** sa lilb'tt** ion a aussi trouvé i ]>a;*ier a l•*ttr♦‘ «•«( mi sur 1ch«ju(*11cs

ii«»t*is aclressces a I sasrtin **t par sa

jHUiv ir rat tala jeune Ma

trouvée «byis unt il fac«» «h* la

à un*' f iblc* *li . où Al Parker r« -

i* il Pabdue-*. Dans «•♦•tto vali'

«* d«‘ux tablettes d< orrcsj>oii«lant à *•*' fur« nt « entes le< M. Parker j*ar Pas-

tillelt**.

L*- Gouvernement provincial a d* - «•i«lé, depuis «un*lqu«' temps déjà, «b **«»nstruir«* une prifl» «t à \ dh-Mari*-. pris(ut qui « r iia pour 1«* distri**!. «b* Pontia**. ( ette pn;« , sera construit h* prinh-mi s proehair

En attendant en vertu d’une pro- «•lamali*)!! du lieut«-nant gouv«'ru«iir « u ( « '-«‘il, b* Palais de Justi«*o «1** \ ill*-Mari* s* rvira «h1 pris*>n t«m-

Ml

Los Angeles, EJ (P.(\ -Lu exa- ni'ri i,liirurgi«*al ]*.-at i ju.- ln«*r soir sui

! 1»* corp> «1«* la ti'Jette Maria n Park* t a révélé toute l'b rreur *lu crime ae. coinpli par I«* ravisseur de la victime. La mort fut a;* >in-nmv nt «‘ans*-

|K»*air«-.Les plans

prêts, nous vaux comme

du nouvel édit’:. : ffinn«-t-on. **t

.' ront au print*1

par le clilorofoni'«- «»u «le sang pro\<siué«* \ r ti«»n terrible. l/*> bras

ont j aux coudes et les jambe: I cuiss**s.

a I‘ LOS ANGELES s i I/* tors»* a été (»c*mpl

par la p* rt u ri" liage] la- son coupés

; « n haut <1* f

cm nt

LOS ANGLLESh» i»nge 11• r par Fly

(Suit** «1 tiier avait dû paru cours de la mit. et jeter 1«*«- pa- «iijcts un par un, sur une certain* distance.

En reoevan* l* s renîgnement «li- sr.nt (;ue «1* s part ies du c* rps b* la l*llctt«‘ avaient été retr» uvé«*xs, I** ca- jdtp.in* Gin** dépfeha des hommés sur la seèn', nvt c .instru cti*»n de s«- pr« cur« rr i* uh les indictes poss;J>l« > avant *l’« r«b-ver les paquets, l’ne at- tenti* n t< uto spêeiftl** fut «1< nnée aux Irnees fr.it* s pr.r une aut«'.m«'hile, pro- lip.bb'iner.t e**!!*'* du meurtrier.

Un • étroite surveillance a été exercée, hier, s ir t« us les mooyns d«* transis r. eonnuisArt lu rs d«* la ville «*l la js lice « st p:'r>uftdée que Passas-| détail

é-t«' r .ii*»!i.' av«*«* «1 du c«*ri»-i port** «1«h* fouet. Les déte«

iv'es o'.'.t déclaré qu’i '• n’avaient mais \u *1*- tout* 1* ur « arri« r** m mu tilntion moi horriMe.

t la cavité a u pis. L« rest raeos *!•• coup

Ji* C. O. T. passé en revue dreui soir, au

, par le Colonel maraant «lu fième district mill': PI

Les ‘‘Idival’* ont fait tr«*s Ixmne ftgur*'. Us s»* sont surtout fait remarquer par leur allure martiale. leur bonne tenu*-, et la précision «ie burs mouvements. Leur maniement «i’urn.es nous donnait* l'impression d’un rég nu nt *i« trou- pes régulières.

| D* It-col. Vannier avait gracieu- ! sèment mis la musique du Kov a 1 22ème à la disjïosition des 'liaval'’, ce qui a l»eauooup contribué à r**-

' hausser l’éclat de la rev ue apr« s laquelle le colonel Benoît adressa s* s félicitations h ce distingué corp- militaire.

lie contingent "liaval” était sou i le commandement du major Ernest i Legaré, avec en sous-ordr**. le capi- I tame A. Lapitire. et I» s lieutenants'1 L.-L. Hudou et Al Baitiehaud.! D« c«donel Benoit « t.tit accompli-• gné de s*m chef d’état-nuvjor. I**' neut.-col. Power.

sir st encor** ders b*, ville, et qui# redoute d’en s« rtir.

I>* «•■ rps de la fillette, horriblement mutilé, fut jet*' '.Lune automobile sur ur«* p< 1« us** près <1«* la résidenc* «1«* s« r. j>-'*re. M. P«*rry, M. Parker, assistant eai si* r «1«* la Eirst Nati* ph) Trust an«l Savings Bank, «le L* s Angeles..

p. m.. samedi s«»ir. M. un app: I téléph*-pique s* rendre au «‘« in «h In. Mar.liattan Plac«*. av«*<* et que sa fillette lui s«*-

fOUS ARRET

I/*»*- Angeles. 1( P t l.a p«*- liee a arrêté tnr«l hi« r oir un su j* <1 «hint. «-H** n’a pa* «iévoilé h- rom, «'i rapp«irt avec bmeurir** <1<* NT-ria i Park* r. Les ofl-eiers *>vt toutefois d« - claré qu’il s’agissait «l’un jeune homme «1** iîô an.’, lils d’un inéd«*cin I»s Angeles, connu dans 1*' pass j pour s’être livré à «le- ofTens**s à Ij pudeur sur «les jeunes !/ll«*s.

La police n ajout** < ue l’imlivnli était en position «le ««*nnaitr<- I» •

times «1< la v i«> «h- la famillPark«*r

LES EFFETS\ ; h. 17

P,°.rk< r reçu lui «lisant *le Tm rue « t d**SL.'VOO * n « r. rail rendu**.

eu •!♦ W«mps après. I** père arriva à l'endroit indiqué. I n«- petite automobile se rangea contre «•«Ile *l«' M Parker. Sur le si g* à l'arrière’ du conducteur, le banquier vit son erfa"* L* bducteur lui dé la’a qu’ 11** donnait. “Voici votr en-î tant”, dit-il. “Donnez moi rarg«*i».t.

t s .ivez mes instructions. Eli** cft”. |

D* p r«* remit l* s ÿ 1,500 «‘T» pièces d’«»r «1«* vingt ollars. t«*l «pi*' eonve-i nu. Après avoir r«*cu rarg**nt. Eh ni-, m j>*nis!Hi sa machine jusqu’à un «lis*ar.ee «1** «leux centA pieds, où

Rivière, raphie «!««•nt (inarant*'

Suite *1** In page 1 ) ce qui assurera l’tun premier barrage

mille chevaux Le

xécutmn où deu* vapeur»

scr«>nt développés. IiC «leuxième barrage. à cet endroit, et I** plus important. se fera à l'embouchure «le la Ri- vière Sbipshaw qui vient tomber «lans la Rivière Saguenay. Ce travail ne s«* fera que plus tanl.

Au retour «le eet endroit, les visiteurs si' rendirent aux usines où l’on manufai-tun* l’aluminum.Hiep <!«' plus intéressant que cette tournée dans d’imincnsos « t nombreuses bàtiss« « où tout»* une jHipulation ouvriér** trs- v aille \ la préparâthfn et ,T in fonte «le I’aluminum. L’usine netuellcm«*nt «'ii opération comprend quatre grand* s l'Atisses où dans chacune «Pelles v, trouvent «*ent fourneaux, chauffés û

t l’électricité, où se fait la cuisson «lu p ' matériel qui sort en liquide d<* r«'s

Pan êta. P« nfant v iss**ur » ark* r dans '«•

**t alla déposer sur h* gazon. Dmt filé «lans ou ur à son bras, et cor.

peur qu * lie était mo «•le è fair** d rester le: frit alors à la vue du jftmb s *1** la tillette

cor « de que le ra-

«m auto, M.•nfant. la prit tata ave** tu- e. Un p *<*ta-i vof)s sur

étaient Mlp

Parmi os quions vlgr ahtx's NN -E. clum et A.

assistants, nous r* u.i.r- F. Pelletier. Ai?vl. |*«s

Ganmm, Aloxandr** \ ;t- B«'rg.<r.ni, «1** PI uiv**r-

PR(»MI IV K AI so \

aucun traitement.Le matin même de la mort de son

; mari, Paeeusée lui dit qui si on s’in- | formait de son mari qu’il devait répondre qu’il était malade depuis

I deux ans.L’accusée comme à plusieurs autres

l repri.%** , fait un sigî e négatif d*' le i tête «levant, cette déclaration, i V «'«» moment, le. travaux *v\ cours au Palais font un bruit f«>rt onnuy-

! eux et Sir François D mieux par iTnt«'rmé«liair*' «le M le Shérif Blouin

• fait «l«»nii*‘r «»r«lr*’ aux ouvriers de j «m*sh«t tout travail bruyant jusqu’à la I fin *lu procès.

LA LIGUE JUNIORI.h ligue Junior de hockey vient

d’être réorganisée av«*c quatre «'qui- ]*«*s. lies Sénators et l’Aiglon remplacent les Young Sons «»f Inland et l«* Québee-Amet«»ur lies Young Sons ont prêté leur franchise aux

Mté Laval, h* lient.-col. F.-K. \ii.r- quis, b* majt'F G.-K. Boucbard. 1« major Lacroix I* capitane !vli- gneault. b* major J.-P.-U. Areliam-! i»ai.lt. le major P D*gui'«. «t l« «*h-j pitaine Guimomi. du k «2è;ne.

Gott© inspocthm tormin.it l**s »v\er- cie*\i* de l’anms*. qui r»*pr«>n«Iront en septembn*. l’an pr«K*hain.

li<*8 c«*nfén*th'*- s pour Uw eandwlats 1 aux certificats “A et "B" «'omii eri- c*'r«»nt le 21 janvier pr«>chr m, |N»ur sa oontinUer les lun«li *'t vendredi soir «le chaque semanu

li«^» examens auront lieu l«s 13 etj 1-t n«ars.

Pomlant que nous «u avons Pop-' I»<>rtunité, il s* ruit ju^t*' à I • gard du GO.T.G “l.avrtl”. «le mentionner qu’au retour «le Ih r« vue, e« s jeunes

Sénateurs pour un*' année. Les au-[gens se sont portés sur le t'iAtre de ir«'8 clubs sont les Hovers et les1 i incendie de St-.J*'ati-B«'r« bn ans,pour Tammanv Tig«'rs. ta*® officiers élus ! aider au sauvetage, et prêt* r main s«>nt MM Henri Myrand. prési- f< rt*' au piquet du U«»yal 22ètr*.«i*'nt. Gerald Mulron.ey, vtee-prési-J Nous b s en félicitons « t leur oer.t; A Hawey, «ecrétain» ot J.-O. J «offrons nos m*'il leurs v«rux «le suc- l4*flamme, tésoru r

*» ot J.-O |«»ffr«« I cè.«.

tout près du corps, et les avant-bra v ai* i t été tranchés aux coudes Un

til avait été serré te l* nient violemment Autour du cou. qu’il avait tait u •• prof r.«le entaille. D* fil faisait *nsui «• U* tour de la tête et était ra. m«n«* mu la figure l>vs deux extré-s ini «- du 1.1 aàaient été onf**nc e «lans 1* paupières. oei fut .ait pro- baPlcinent p*mr tenir les yeux «ni verts *t faire croire que la i.lletto v;v ait;

.-«t. *1«* la Press** Canadienne L»s Angeles. El M. H«nnau (Ti-

U* . «• «*f *i«*s d«*rectiv«'s «1** l>»s .Vîge- i«‘s, a fait appel, p:»r Pmtcnréoiaire d«* la l’resse* \sso**!***', a tous les *• efs «i«* p>lic*‘ «les Etats-l nis *>t «lu (’ana- «;a. i**.-. priant «le lui télégraphier l«*s «i «Tip'i >us «»t records criminels «1«> tout homme jamais soupe mué «P - vo ir commis un «.ah'vomv*àt. D* chef ( Tin- qui «ling** l«'s «*tf«»rts tentés pour retraçer l«* ravisseur *'t Pas» - sin *«* la j*etit«' Marian Parker, a déclaré «pic j .’mais u crime aussi atroce aval «té coin ns dans le sud «le In Gahf«cm« M croit que ««'t asaasin a jirt'bat lement c«»mmis ailleurs «les crime' identiques, et que «l«-s chefs «le police «Pailleurs |**'uvept av ir sa deMnptioii « t son «l*'**««r«l ••nîre leurs mains ‘N«»us ne «'*‘s-*er«ms pas nos etT*irts tant qu»* nous n » l'aurons pas oaptur* a-t-il affirm*

fourneuax après trois jours, pour êtr*. roulé* «lans des moules qui lui donne la forme de lingots ensuite expé<liés aux usines où on fabrique les multiples articles en aluminum que nous tr.,u«

le marché.eheveix s’of-j Pour chauffer ces fourneaux comme:

p- r*-. L‘ s deux *1 e«»nvient cela née**«site quatr«'-v ingt mil!** chevaux vapeur pour l’ensemble.

; D’autres immenses bâtiss«*s font parti** «le l’ensembi** et '.«*rv«*nt à la préparation du matériel avant qu’il s«»it déposé dans l«*s foiiQ|eaux. ('«' tout «léià considérabl**, tfest e«*p«*n- «lant qirun*' partie «le c«* «pii «1« it étr ■ fait h Arvida. M. Davis, président «h PAIuminum Go. « f Gana«la. qui ae- e«»inpagnait les visiteurs, prédisoil que d’iri quelques anné«*s une «li/.auie d«- mi Me ouvriers :rouv«*rai«*nt <i*'Peinpl«»i «lans les usines d’Arv ida. ( *»* qui veut «lire qu’alors une p<’pulati««n «Pau moins «'inquante mille Ames vivra oan s les limites «lo cett*' importât* ville dont les débuts, déjà, sont :«i prosp* r«is.

Après la visit** des usines. l«*s «*\cur- sionnistes firent b* tour de la ville «*n passant «levant l’église catholiqtm, actuelbmient en construction, et «levant les principaux é«litie«s qui son déjà assez nombreux.

Tout ce que l’on p«';it voir aetuolle- i ment, à Arv ida a été créé «lans un peu | moins de «leux ans, c'est presque incroyable. A midi moins quart, h'» excursionniste' repn*nai<*nt leurconv<«l spécial pour retourn* r à Québec. Avant son départ. M. Tasch«'re:vu et. ses nombr«*ux amis s«' sont déclarés «>n- chantés <1“ leur voyage au Dm St-J« ;ir)i et «lans la région «le Chicoutimi « ù ib <»nt constaté un immense d«*vcl« peinent et «l«'s perspe *tgk «-s brillatntei

! pour Pav « nir. ce «l<»nt t<> De la province * <1* Québec .saura pr< liter.

4

5044

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8962

16 LE SOLEIL. Ol'FBEC. LU^Dl It DECEMBRE 1927

L’ACTRICE DORIS PALMER ET SON MARI SONT CONDAMNES

A ETRE PENDUS LE 23 MARSUNE VISITE A

L’HOSPICE DE LA DELIVRANCE

La charité ne perd jama » «on charme et «on mérite dan» le coeur des Messieurs de la St-Vincent de Paul da Qu«. ht f« aussi, le public serait-il plus étonné d’tpprendre que cette année, rompant avec leur tradition, ils ne se sont pas rendus à l'Hospice, que d’annoncer que les petits orphelins ont de nouveau joui de leurs être n antici péex.

Din.anche donc, le froissement des sacs de honhons et le bruit cadencé ces pommes sur les oranges formaient le plus goûté des concerts. Mais, pour exécuter un chant, il faut observer I a mesure ; ici, c’était tout le contraire, plus on donnait sans mesure plus le concert était intéressant et beau.

Au nom de l’oeuvre magnifique pour laquelle vous travailles messieurs eu nom des orphelins et de leurs mr (tresses, nous vous remercions de toute notre âme; nous vous applaudissons encore plus du coeur que de lx main, t mdis que le ciel lui-même vous applaudit sous la forme de ses meilleures bénédictions.

LIGUE DES CITOYENSDE SAINT-ROCH

La sentence a été prononcée samedi soir, à Valley- field par le juge Walsh qui a présidé le procès, l’iin des plus retentissants Us étaient accusés du meurtre d’Adélard Bouchard, propriétaire de ta>i, à Montréal Coris a eu une crise de faiblesse

LES ACCUSES RONT EN APPEL

LA NEIGE DANS NOS RUESL’hiver sera probablement neigeux. La der

nière tempête de neiê, qui a désorganisé la circulation dans nos rues, nous avertit que décem- cembre pe jt reprendre sa place panri les mois rigoureux, à côté de janvier et de février. Ce mois a été clément et doux pendant plusieurs années. On s'imaginait peut-être qu'il en serait ainsi en

la

III MIIET inMUE SIMM

La fête a eu lieu chez Kerhulu, hier soir Les convives observent une minute de silence par respect pour la mémoire des victimes de l'Hospice St-Charles

LES DISCOURS

SERVICE SOLENNEL

A ST-ROCHM. l'abbé Caron,

chapelai i de l'Hospice St-Charles, a chanté le serw:e — S. H. le mai e et les échevins présents

ValW l'J.fimim* Dori-

son mari < nt été r- soir ti * r*» perdus.

IV < LaMacDi na! 1 «-t

rdmnr.és si.rrodi

mars, r.pr«*.s mi un jury « ut n p< u i t v« rdirt d«- culpabilité, b la <•< relus <.n «a- lour pr« t om p< ur l«- meurtre d’Adélard Louchard, chauffeur «!« taxi de Lac* h me, assassiné h* 17 juillet dernier.

Les jurés nt- délibérèrent qu'ur* viufc'iaine «le minutes. I«a e< t;r s’ajourna pour une demi-heure, après quoi 1«- jiiK'o pro n/ nça la tvrrihle sePteT'e»1.

I>*s traits tirés, la hûre pâh* «t les larmes aux y«*ux. I>«ris s«- r««ula dans !«* f« p.d du br.nc «I« s aceuséft « r. enUr.di.rt eett** s» nu r«*«. On dut pr« s«iu«- la transpx rt« r jusqu’;- sa 1- «ule, tellement «die était laihh Klle était à h< ut d«- f« rces. et ivw.it p.*r« u ti.ute s« n én« raie au cours «le c s «leux s» main» s U«' procès.

Dans sa chart:»-, le juge Walsh *lé- ehira qu’il e« neé«l*-rnit que les ae«-u- sés n’avaient i-as l’int«*nti«-n d«- tuer, m is que la pr«*uv« établissait qu’il y avait un plan d’ass* nimer M< uehnrd j « t «te lui v- !«*r s«*n automobile.

Il parla du rrtle joué par la fem-1 me D«-ris dans <*etle affaire. 'V'c-us p <’i\ «'zla f rendre coiomevous le vou-i dn«iit-.l. ‘ Tiiftis elle a certaine-j ni«-nt tiré ft\ «*«* s«-n rev«*lver dans cet- t«- au t« nubile, «t sa toilette fut n>-1 eou'.«*rte de sang”. Ia‘ juge fit ensuite pllusi» n aux vftements des iw*-' eijs* > tr« uvés tachés de sang près de' IVridn it du crime, b leur allure lors-; fi’ils arrivèrent à la fnntifre près «!<• M:’l« r •• N -V.June heure flustani ;i 1’argcnt s mi'l ' de sang oui fut dé- p -r s i . r eux el retr'T'é «lans la suite'

1927. C’est pourquoi le service municipal de Voirie a été surpris et débordé. Nous assistons, depuis trois jours, au spectacle d’une cité qui aurait passé sous une avalanche durant toute la journée de samedi, il était impossible aux automobiles de circuler dans la plupart de nos rues.Le, compagnie, de taxi, devaient refa.er de .erendre à l’appel de presque tous leurs clients. En Jf ',n* Hon Honneur j. le \ aire outre, les trottoirs «ont resté, impraticable, par- id'IiïèTou.■ tmnt.lûu"»'um,u!^' tout jusqu’à ce matin, et aujourd’hui même le Ih,Y ,loir* cho* K<*rhuiu. deblayage ^.ie sera que partiel. ^ ^ i ment touchés «t heureux «lu grand

La cité de Québec n’était donc pas prête à honn«ur °.ui rejaillit sur la famille faire face à la tempête de décembre. Noua a. la “ ^^««^blameroa, pas outre mesure, mai, nous demaa-, r‘”t,’,ra “î1 livr” ; Roch ont céU.hré U »Ux auwlsderoa, aux autorité, de profiter de l'expérience,

* ------1— 1-2— - ---------1- Service' *pj**ndide souper ouvrit cettefête, mais un pénible souvenir pesait

i .»• service so'err.el p«tur le reptM de l’Ame des \ ic«.imes de l’ir.eend»e Ira ginue «!«• l’Hospice S -Charles a é é «•éiéoré. ce matin, à neuf heures, àS-RoA'h. ( "e»t \a. l'abbé !.. Oarer.aumAi i« r «le l'instit i.i r épn»uvé«- qui a célél»ré l’oftiee r«'ii ,i««ux. Il é’ait asî-^té «!«• MM. les abbé» C. Fourrier et.j. IM chat, vicaires A 8t-ltoch.

FEEICIÏENT E'iiien. mincii

De l’attitude qu’il a prise au sujet du consul mexicain à Toronto l’assurent de leur so tien

On nous communique la note " •vante :

Lors d'une réunion générale «l»*- membres «le la paroism- St-Pafrn-k Quéhe»’. tenue le 18 décembre 1927. • - rés«>hitions suivantes ont été adopt à l’unanimité:

Attendu «ûe nous avons appris j la Presse que L. Medina Barron. < « suI «lu Mexique à Tor«»nto. a publié r

' cemment un «iocuinent «lans lequel lit:

ajtorités de profiter de l’expérience, afin qu’c i sache bien, à l’avenir, que le d’enlèvemnt de la neige doit être aussi bien organisé en décembre qu’en janvier. Ici, c’est remarquable, on manque un peu de prévoyance da's les petites choses comme dans les gra ides:à

dVl. chaque éve itualité, on n’est ; a-nais prit. Nous croyons qje la machine municipale manque de

a| r«l«ur hAt© «U* quitter I© ('anada, . . -• i

jlVi ir f.-n. ' «i*s cii»qu«*s «ian^;certains rouages essentielsun

1 a I igu© «l«»s citoyens <1«* St-ll«»ch, ♦ t de Jacques-Cartier tiemlra ce s*>ir. «à 7 heur»-», dans h- soubrasserrnT* «1« la sacristie ui «* importante réunion j’ inquell»* tous les citoyens «lu ouar- t ier sont inv ités.

A LA MEMOIRE DU

Durant la tendu lo jug- en anglais, sa charge «-t « verdi<*t «h* «

d<

journ*‘«Walsh

elle avait «n- parlant d’ah< r

puis en fran;ai», f. i uéeiarer aux jur« s qu'un L'ulpabilité ou <1«- non

h« tel «le ' Peu inif

cher I”. «iitaf-ccjrm li ;i|

P.» u- de Québec en couffiê.

:'c«*us«'-k fut alors)

culpabilité «1«- u «*urtr«- pouvait être ren«lu, *-t pas uu autre, 'lout le ten os. Doris s«‘ tint aupn s <1«* son n-a^L, si-rrant scs> irai ns «•ntr»’ le» siennes dans un gesi«- fébiile. Disparue la morgue avec laquell**. au cours «l«i la pre.nre seirune «lu proc‘S. la jeun»' femme aux veux éclatants, affectait «le suivre d’un a*r plutôt indifférent i«-s | roc» dures.

I/-s MacDonald furent arrêtés àffiMTF DF I FS^FPS I iîutt‘*- N1,rit?na *rr' ,inrCVIUILa Lf Li LiLi\JüLji ü **nquêt«* |'U.r La p »licc canadienne «*t

les détectives ainéricain'.George MacDonald aecej 'a 1«* v« r-

«lict et la sentence avec calme, mais une fois «lans sa cellule, il s’affaissa sans c mn issance. Dans la soirée, les deux c mdan nés furent conduits h Montréal où ils seront

t gard« s à la prison «}•• Bordeaux.

Montréal»rt«* «‘elui oui a tir»1«* j-q «*. ” L«- crime t été j

... writ «n e.\|é-1seroît toujours w. 1Ct | , *j I * • L* it I • < - * » « — •» li « * . .•« > a I es —s nt r«*sp« usai I I i”.

Le s<«rt des «jeuxn-rns entre les muins du jury. Vingt cinq minutes t lus tard, 1« s jurés re- vihr-nt à leurs sièges. Doris était tr. s |.Me. s«-s lèvres tn-mi laient A‘t lesi dents lui claquaient.

Sur l'invitation «lu tribunal, le chef I des jurés se leva et «lit “Nous J trouvons M. McDonald coupable «le!meurtre, et mus trouvons Mme. ■ ,* • «i c ■ ^ •D«»ris McDimaid. coupable «le meur-jcn vue de I avenir, ot*. u faudra nécessairementtr*». avec recomniandati(<n à la clé- mencc d»» la cour”. La femme laissa

Il parait que les fortes chutes de ,___________ _____ _____ perturbation de

t t sr c« rséouent ils . m** *! •len.eiit«levant la tion. Mais il est des moyens de diminuer sensi

blement le mal. Il existe des machines puissantes et perfectionnées par lesquelles on pratique l’enlèvement de la neige avec une prodigieuse rapidité. La ville d’Cutrerrn: nt, qui en est pourvue, nous dit-cn, s’en trouve fort bien. Pourquoi Québec n'aurait-il pas un outillage aussi perfectionné ? Nous posons la question sans y répondre, portant

L'Kglis»» cetholi«|Uc Romaine fait, beaucoup de propagande

. . . „, , le gouvernement mexicain, mais tonibu chorale parois* uu© a char té la |p sait «pie eett.- égiis»- est

.es&e d««s ior .>. . . puis «l«‘s siècles un obstacle au dév**-sur l’assistare»*'. «*t ce fut av«s* rwueil-l yfA p^nîer p'A* vi lT^les a^bé»*V j°PI>ement et 8,1 Pr,,Rr^s ,,,,s P8 lemert eue tous observèremt la mi-;,, , irV.«-h«*< curé ,1. sf Pascal ' H,,ns HAmérujuc. enseignant I •limite de silence demandée par le prési- , '* ; ’ tH . ... Sacro»( i,.„r T ’ curantisme plutôt que l«*s purs pmi«lent, v . (Rvorge Brown, eu rnémoir.* Vrt \i,. Ja« uu«--Cartier J-K ' <le reliKinn P,,,ir <’'>nserv«*rdes petites victimes de l’Hospice St- | (‘desservant A St -U.oeh et ,©s P^pl«*H dans l’esclavage et les nu.( hari(*s. | • * ' i • .exploiter. Le gouvernement mexnam

Cette fête rev «*tait exclusivement 'l< ,*1 < 8 ^ ° * j s'efforce de libérer les masses de c«-tuun caractère familial, et eût été remise.1 S. H. le maire Simard et b* s é»h«* vins | condition et de renvers«-r l«-s ohsta. .

Ç». . . i _ _ _ | j8* elle r'avait été organisée depuis 1 la ville assistaient «lars h» nef ainsi de c. tte sort»* au dével<q»pement.-.C toute IA population assez hmgtemps. Gpie qe» Rtriitieuses «lu Bon I asieur

j les convives firent honneur à la ; et le pers«*npel du couvert o«* St-ltoch. l»onne cuisine française, j>emint eue l>es parents des victimes étaient aussi

j résents h cet office religieux.

retomber sjl tête sur l’épaule de mari, «‘t éclata «-n sanglots.

son

lue grande'mess • s«-ra «‘hantée à b église au Saint-C<i*ur-Ic-A-aru- v «*n- dredi prochain, : 7 h«iur**s 45 pour le repos d«! l'âme «le f«'ii !«• Comte Jacques de L « :ss«*pt s. Cette messe «*st recommandée nar un groupe de compatriotes «lu <1 éfunt.

EN APPELValley field. 19. (P. C.) M. J.-A

Legaidt. (’. R., avocat de la «iéfnse, a dé-laré hier soir qu’il en appellera «lu verdict proimneé «'ontre ses «•li«*nt» (^«•<»^^«* McDonahl «*t sa fem- nn* Dons trouvés coupables «lu mei.r- tr«i d’Adélard Bouchard, de Laehm»*.

LES $HNESCOTE DU MIDI

Fournie par Maurice-J. Boulienne 111 côtedeiaMontagne

nu s.-i:oEUfiActions

Argo C... ..........Area...Barry HollingerBedford..........Coronas.. ......Dome .Duprat ............. ..Hollinger Kir U! Lake Lake Shce I «val Quebec.Nip «sing Potter Do a I Ribago St *d.cons deck Hughes Wright Hargrave*

13

Depuis hier, les syndics n’existent plus Le premier corps de mar- guillierr» a été élu, par décret de Mgr Tarche- vcque

LE BANC D’OEUVRE

OE GRACES

perfection/:er nos méthodes.En attendant, nos concitoyens subisseoit tous

les inconvénients d’une organisation restée imparfaite en dépit de trois siècles d’expérience dans les tempêtes de neige.

_ ___ l____ , (tCaU- |*s “Verroaiilt's ÉntertHiners” ré-

la circula- ! fondaient des myriade» de rotes \«- loutées et cristalline», oui s'égrenaient au caprice de leur fantaisie.

On fut à la santé du l a , ♦* < t à celle du Roi, puis v. (Jeo. Brown porta le toast des héros «le la fève.

“C’est \«»tr«» élévation au po»to «le premier magistrat «le la \ille. dit-il, qui a fait g»-rn:or ce désir «le v«ms rencontrer dans une fête intime pour vous exprimer le plaisir que nous ressentons d»* vous voir occuper un poste aussi important. l ers«}nn.e autre «*u«» vos parent» n'a ressenti autant de fierté, lorsque le (in ffi« r de la ( ité remis sur vos épaules la t de gloire et d autorité.'

Jamais le faut««uil «le Vain» n’a j

A partir d’hier les pouvoirs Syndics sont « xpirés. A 1 heure.* hier après-midi, tous les paroissien naî t f* u et lieu, mêtm*ceux qui ne

Un Te Deum sera chanté din anche le 25 courant ! en la Basilique, à l’oc-| casicn de la remise du| chapeau cardinalice à S. G. Mgr l’Archevêque de Québec

UN IPPEL EN EAVEUR DES

La Société St-Vmcent- de-Paul fait un appel auGublic- Une souscription pour venir enaide aux fillette aux Religieuses

LES PARENTS

et

iLA MESSE DU JOUR

HORS LISTE

Amulet................i oranHa I owa £ r»a- Jackson Ma mon.

I ,

Hu r au i r »n«*. M^r K.-C. Iâ-1 flamrm*. cur* «!«• Ir Basilique «lisait «*»* qui si.it au suj«*t «le son Kminen- «*«' !«• ( ’ardinM R(»iil«*au.

D«'mrin 1<* 19 «lé«*embrc*, au con-

NEW-YORKCeàir, d’«uv*rture «I ^ midi, d»% prln- c)aeU« valeur*. Fourni» pmr LAM-

d» LOTTIN VILLE u* toult-au-Mat«lct .

CIL. It

2 I pas pronriétain s. ont été conv oou» .■>.* | à la saile paroissiale p«»ur procé«l«*r à j

l’élection du premier corps «h* mar- j guilders suivant l<* <lé<*r«-t «le .\ gr j

ll’Archevêï ue ni « n chaire «limanch»* |H v a huit jours. S»*pt marguillier» «

{ont été élus. Trois «jccupiront 1«*| banc d’œuvre pour la première f«>is ! à la mess«> «le minuit.

Le pr«*mi«r «‘orps «1«* marguilliers de !^•'CTet qui est tenu j\ R «me, la paroisse «lu Sacré-Vd’ur est corn tî. M r K» il <»u si-ra crée car«linal p«»s«» commesuit: -i •“ • < Eglise Romaine. Jeudi

À . TéU-sphor** \’erret. niarguiliier j ■ sistan« «- public. I«* Sfiuverain en cl arge. ' 1«* <'oinmaïuU ur Adju-| I^îib* lui r«*Tu«*ttra Holennellenientt«»r aran.«la. .M. Edmorul Tréj>ani«»r j bi p«-urpe cardinalice, oui constituent le banc d’«euvr« I «s .... . . .am-icn» m«rK»iUi.T.H sont s..M. Klz.'..r| , rwhjin. npr.-sDior. Arthur Drolet. .Vhrwn. Arthur s"n‘1 tl,»nté »nDrohu , t Estât Thit i.Tirc 1 <* •«•"'*n|, «*'•

'v v1. T. Verret. Adj. \karanda. Kd Di< n »«>nt

I

l>* ( on.seil Supéri«*ui «le la H«x*iété j St-\ in<en.t-de-Paul, A un<» nuir.ion spéciale tei u«* s«»us la pié idenco «le Ai. )«■ ( omirandeur ( -J. Magnan, j*iésident général, au salon «le l'Ar-

, i hevê«*hé. a dé’idé d’organ er uneDE L’AN souscrÛ>Ittn <,n fa-pur «lu Bon Pas-

! leur.

L'ETIT DES RELIGIEUSES

La Rév. Mère Ste-Victoire a passé une bonne nuit

La Rév. Mère St- Matthieu est encore très souffra ite- Autres religieuses malades

LE SAUVETAGE

peuple». L’ég!i»e cutholu|iic a ♦ ssik «le renverser le gouvernement !• Mexico par «les intrigues polifi«|ues matérielle»,mais elle a échoué da: cette entreprise.”

Attendu «pie la présente réuni"' estime que le <focum«mt « i-<lcs8u» «v' faux et malicieux et constitue urn

I insulte gratuite aux Vatholiqucs rsur mon foyer, mais qu’il me soit per mi» «le vous dir« avec toute la sincéri té «le mon cœur, combien j’admire en j mains en général, elle, comme au premier jour, cette f«»i de» temps anciens, ce courage à toute ! L Pour «•©» motifs, le.- membre- «I* épreuve, cette intelligence sans cease en I Ia Par is**© St-Pa. trick r<« irb«'u .. éveil qui firent d’elle, non seulement la blé«* protestent £m*rgï«ni«‘n:<»nt. contr< «•oinpagne idéale, mais toujours et j P|S allégation» d© L- Aie«iin.a B.urr : partout la bonne c<inseillôre. la mère!^* demardent que l«* g« >u ver r» uni tendre et forte, le vivant symbole de 1 canadien, léclame «les autorité - m«

cair»»» le rapp**! immédiat dudit B for.

ils invitent leurs «mreligûmn.Hire- ù* c«*tte ville à s»» jidn't'"'•î i»’«• • 1«* \fairo et le Conseil «le NT le <l«* c v«.quer une rA inior g n r«iU‘ .

la femme canadienne, ce qui veut dire, >ge, symbole Ien résumé, la perle des épouses et l’âme

I de la maison_______ ^ S. H. le \ air»» remercia tous «est

été occupé par un homme plus' hono-! P'bn r.ts de leur amitié^, et du sup|K>rt rable, meileur p/*ro de famille et amides pauvres que vous : app.

“Cette ascension rapide. Madame la Mairesse, vous en n.vez largement le mérite. Vous l’avez assisté d’une man- mère régulière; vous avez prodigué votre affection, votre «lév<»uement et vos «oins â votre gre.nde famille, et c est aver droit que nous reconnaissons en vous la mère canadienne i tvfaitet”

Après avoir fait allusion h V n«im- breusc famille de M. le Maire. M. Brown, dit, s adressant & ceux qui voudraient 1 égaler. “Ne perdez pas votre temps;”

M. J.-Bte Forgues et M. Arthur Boucher sec«>n«lèrent ce t«iaHî, et rendirent hommage à l’esprit d’initiative au dévouement et à la cordialité de M. le Maire.

“Vous êtes pour vos parents dit Fqrgu«*s, une cause de légitime

ou’ils lui ont d«»nné, surtout s»»n fils, i - , ^ .. , . .s- Rosario Simard oui le seconde à. tutoyons d© Québec |H,urd< l«r»;rl-

établisEeir.er.t, et sa jeune fti|e, vu©h sur-ce^te questur . -Ts «iécid«- l.ucienro Simard qui a été un I une copu* d© la pr» « nl«* tu*;'

maman durant son v'euvage.1,8o1'. u. 1 "'i”: ''En<M»re une fois, «lit-il eu t«'rmi- M«»ckenzie-Ki premier inn i- • •

nant. â tous, merci du f«>r«l du cœur * anadi.au Soc daired Etat, au u<‘j> merci au nom de ma chère femme merci pour tons mes bon» »'nfants. et

son .Vil© peu la

M.

I «• «VuMe ni lhcur «ni \i«rt «le -abattre m.i deux autres des reli-1 giem.es <iu Bor. Past»ur provoque la hSirpatMe gén«'raV et il «si sur que cott*1 la i-' f'v’jiGon donnera ••ér.émih» ment |Vi * pour aider r la re «■i'stniction • « u>: m.s'itu u ns détruit*»!» par t n n ©s.

A l’H^tet-Dieu «lu Précieux-Sang • ù vingt-cinq re’igieuscs du Bon- Pnstcur et seize jeunes flll«*« de la Mais n Ste-Madeleine avaient été transja rtées anrès les incendies do l'Hospice St-Cnarles et du Pensionnat St-Jean-Berchmans, on nous atq rend, ce midi, que l'état des blessées et «les malades est plus rassurant.

La RévéremV Mèr© Ste-Victoire, brave reli ;ieuse qui risqua sa

«*n sauvant le jeune Rémond «les flam nés qui ru i nu lent le Pension! at <1»« li rue St-Amable, ven- <ir«*«li s ir. fut dans un état très cn-

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* 1 * • » <1*2^ lliv.14*'; 148 h

-V . <*uré. apr« s u \ «»ir annoncé <iin< les p»juvoirs «les S\ n<li«*s étai«‘iit «*xpi- rés. paya un b«*au tribu d'hommage et «le r«»c4tmmaiKsan«‘e à «•«•» lumimes qui depuis le «lébut «1© la paroiss** ont mi-

MONTREAL h

tout leur salent « f l«*ur «lé\ouem«*nt | jHuir pr*>inouv«nr lev intérêts «1«> la pa- r«»iss«*. Il leura«lressaun «*ordia) merci « n s«»n n«»m «-t au nom «V tous l«*s pa- roissn ns. Il annonva ou i» a\ai« nt si bien man«i‘u\ré ou© la «l*'tl«- paroi ,-m- !«• a\ait été- réduit»* à $lt)7.(J(iO.(X). Il fit. une Tn« nti«m spécial*- «!*• la générosité des S>ndics l«»r> de la souscription faite en jan\ i«‘r. jwmr fins de r* staura- tio n de 1 églin»*.

\ous vous annonçons dè» main- «!es an- l,‘tiHnt «pie. |»ar un© permission «n*

• s. (i. Mgr Roul«*au. a©c<>r».é© à tou- j t«w l«*s églises «i«* la \ille, selon la

î«,n«-ur «i’un imiult «*n date «lu .*» juillet 1927. un»* mes»© sera célé- bré»* «n eett»* «**glis»* «ians la nuit

j <iu *11 décombr»* au 1er janvier j prochain.

< omme nous l’avons a la v.. ^ » . « s u duv.er.

La S«k iété St-\ ir<*ent «t Paul a «lonn© immédiat#ment une M-mrre de s 100 pour l’œuvre «lu Bon Pasteur, à laquelle elle a exprimé s»*» plus vives sympathies.

| tiqi.e M. 1 abbé Jules Iâchance. le mu «*«', «ié.ià. ' chapelain de l'hôpital, pensait hier Quebec l*o- après-midi. étr«* obligé d’adminis-

• tn*r les derniers sacrements A cette !religi«use. Ce midi, on nous affirme

|qu«* la Rév. Sœur St€*-Vict«>ire a passé une bonne nuit et que imn état <*ne«»re très grave, inspire cependant plus d’»*npoir.

Cour* d’otaverture et à n idl de* principale* valeur*. Fournie par L.-C. Beaublan ék Cia 70, St-Plarre, Ouibac

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DES ENFANTS QUI N’ONT PAS

ETE RETRACES

•Suivant l**^ «•« «imitions <ie <*«*tinduit, «•«■tte m©»»© n«* devra pas comm«*ncer avant minuit et «lemi ♦*t «lev ra être précédée u’une heu- r«* «i’atiorat i««n r«T>ara trice ; t«,ut r«>fti<*«» devra «lur«r environ tr«»i» heures.

Voici «ionc «••omment sera «*on»- titué»* «*« t « ff’,« «•

D** Il h. à II h. T0vées.

I nèn s pri

Dn « st prié d’adresser les s« ascriptions A A.gr Arsenault, aunuVni«T <1«* la Société d«* Saint-Vincent «1«* Paul, Archevêché, Quel «*©, ou A M. le Chevali«*r ('.-A. Langlois, trés«»- ri«*r général d«* la mf m«* sociét»', 52, ru© «l’Artigny. Quéi «s*.

Pour .•■in plifier la corr*spon«lanc«'. la liste «le souscription paraîtra «le tombs à autr»* «lans les journaux de Québec.

La première liste sera publiée jeudi pr« «chain.

f’n autr»* Hpp«'l «st fait au public. Après l'inof'ndie «le PHospic»* Saint- C'iiarle», d«»s centaine» «l»* tlllett»»» ont été «lih|>ersé«*s On avait réu»»i A en retra«*«*r un bon nombre qui furent «l»

l>is eitoyen.* «'e <■ auraient cl;©/. • u\ «!••- giés après rir«*eT>di«'

sont pri« ur.iquer *

t«* ville «pi i «■nfant.s i cf u - <1«* l,h«»»|*iceinstamm -n t .i«/m« aux

s «lu Bon-Pad eu r lais-er k*s f>a“erts

in»» rt itu«l«- «in’il j ront è «l'«*rtreter.ir par

A 11 h 40. exposition ou r« ment pour l’heure d'iuioration*

I A minuit et «M ini» , r» p<»siti<m du ! >s Sacnmint. nuis oiatribution «ie la,Isaii t»* Commurion. aj-rè» quoi com-1 P* ,,R€h I m r c« r:i la. mess»* l»aHs«*. t*ités munieij ah s de la, \ i i, . . i dans le» famillr» «U* cesI \ I IiVil** «m* «*«*Tt • im*ss«*. i \ _ ,I p*r*or.nes oui « nt

' «•«*» fille t«*s ont fait un b«»l

I nouveau disp» rs«'»*s par I incendie du J égratignure >.-Sa-' Pensionnat St-.»ean-Bercl:n an».

: f ’ »t un devoir de charité et Ijustue pour ce» pauvres j « ’a «t ii immédinterner’t les Reü-

du Bon-Pa«t«*ur «»u l» > auto

I41 revérende S<i‘ur St-Matthieu. blessée â l’iitcer.die «ie l'Hospice St- Charl**», «n se j«>tant du t roi si? me étage, après avoir sauvé plusieurs er.fb n t s et avoir vu l«»R flammes la m« nne*'r de mort, est encor»» très souffrante, mais son «Hat est plus rassurent.

Lu Rév. Mère Ht-('œur-tie-Marie qui subit un choc nerveux très vio, lent, n’est pas encore eomplètermm- n rnis»* de cette secousse. 1>»h autres nuitées ou bl«»»sés sont dans un état satisfaisant.

I 11 fait à noter chez les religieuses, «■st celui «l'un»* \it»illo S«pur de 97 ans qui s’«*n est tirée sans une seule

fierté! (Appl.). “Vous avez corn-' mande le respect et l’estime «le tous, c est ce qui vous a amené â un IM»»te aussi élevé.

M. A. Boucher qui est à la fois le beau-frère et l'ami d’enfance de M. le Maire, rappela les beaux jours passée sous le toit du nère de M. le Maire. M. Louis Himanl, était plein «le charité et de familiarité!” (Appl.).

Il raconta *©« luttes qu’il a dû engager depuis son départ de la maison paternelle.

Tl a toujours été ferme au devoir”, dit-il; a toujours été et il est toujours sympathique. Nous espérons, M. le Maire, que la vi«* vous réservera encore d'heureux jours, et que nous vous verrons encore h la tête de la ville, non pas trois mois, mais pendant deux autres années”. (Appl.)

MM. Forgues et Boucher.offrirent leurs félicitations A Madame la Maires» et M. Lé«» Brown fit en nuct«|ues mots bien sentis l’histoire «le c«*ttc grande et belle famille, depuis ses humbles début».

A l’adresse d»* v*. le v'aire. il «*ita c© que les journaux disaient au l«*rde- d© sa nomination, ou© les éehevirs

pour tous mes bons ««nfants soyez assurés «nie nous garderons tous d»* notr»* «ïhèr»» famille l’excellent s«»> • v* r:r ou’eile mérite par s» n dévouement et sa fi«lélité.”

\ . James Brown porta la santé «les dr.mofi.

•J'aurai les mêmes «piaiité» ou© leur vêtement, dit-il. juste ass «7, considérable p«mr couvrir tout le sujet, et assez court, pour être intéressant ! rires). 1

Il rapp»'la lis mères canadiennes d’aurtefois. "Nos femmes ont heureu-i seir.ent cor«»‘r\é le secret de celles j d’hier, celui de la famille, et «ians tout l’univers, je mets qui que ce soit au * défi de trouver «i»»s maires oui ont ! en autant de v itnlité que ceux «le Qué- ( bec.

Apri-s quelques courtes allusions «le l fort bon goût, il termina en offrant ses j meilleurs vœux à son cousin, AY. le! y air«> ««t à vadanie la Atairesse.

On but aussi A la santé de la presse, 1 «les organisateurs et du président, pnis la fêt»» s«* termina par une .agréa- hiê soirée «lu l»on vi«»ux temps.

A la table d’honneur, nous remar-j «puons S. II. M. le Maire et Madame 1 la Mairesse. A leur droit , M. et Mm** ' Geo. Brown. Mlle Lucienne Simard, j M. Rosario Simard, Mme L. Fillion, M. Nap. Filbon. et M. L.-O. Simard, à leur gauche. M. et Mme J.-B. Forgues. M. et Mme J.-Bte-E. Forgues, M et Mme Onésime Caron, M. et, Mme Hubert Simard, et M. et Mme ( .lames Brown

té d© Québec-Sud. bec »»t è la Presse.

au main* «1»* Qu*

P ’ roi.* Charh

T. Les m«*mbres de «•« .te , f© ici ter t c« rdb.h met t l’iu i* jAiarcil d«' la i»« itior. qu’il a pri -«‘ a : 1 sujet «pi (/orseil m«*\i«*ain h T«-r«u ’•• et I'bbbutbiiÎ «l*- iBiir soutien i copie d«* 'a pré-ente lui sera adr«-ss« •

.H. ia*s membres de cette paroi- . {expriment leur» ser timerts «h* sym-

I patine profond© aux Rév’éier«!«*s sa*i du Bon-Pasteur à l’« ccn ion <1«* leurré» entes éprouv'es **t. présentent leur-

1 condoléance»s auxfainill**s «!<*s victim»

D^MANOF.Z

Il v avait en outre, parmi les

«le 1 Dn r.« us rapp» rte que le soir de p« tit« - l'in©* rdie au IVn.si» nrat St-Jern-Ber-

chmans, MM. A. Paré, constable au

pre-enceenfarts.

TEMPERAT U rTI

Probabilités

Vent» croissa.it d’i.i- tensî © et variant cToues t a j nord’ouest. Gété alc- »iie»it beau et froid aj- joird’hui et mardi. Un peu de »eis:e e.i divers lieux.

St-f harle». d’en eomir Révérendes afin «!e n»* pa» dans une cruelle 1 'ent pa-. charitnbl n é ,iigepc«*.

I n monKicur Kduu nd D v is*»«*ur,«ie 1 h «•outimi. qui avait t. «»i*« p - lit«s fi les «*ti pensi«>n b l’hospi st-( I arl« rYn a retrouvé qm* «1« ux. bien qu’il *«»it certain qu» les tioi-.SOI* T t -fiUV • |

f « tt«- «i«-mère s'ap|H»lle Lioir»*!»»» Lev »H«'ur. «»t «-st âgé»* «le 5 ans el 3 mois

Si «pi« l« u’un «'onnatt 1© Im ii d« son reloge, il «-t prié «!«* corn muni „ «pier i ve M l^>vanseur, ; 1 numé- ‘ r«» 2-M079.

aura on»* c«»urt«* allocution.Apr* s }v\«,ir t récisé les c«»r«iitionM

«i«- «'««t in«iolt. Mon «eigneur l'Arche- vêqu«* «ior n«* h's motifs «i«* cette cé- r*-niorte «iar.» la nuit «ni | r«*mi« r «ie l’an.

N. B. A c«*t offic»* 1«*k bai'.»*» >»•- l’usage «les proj riétaires

généio-ité. Elle jiisiu'au bout

MARGUILLIER EN CHARGE A LA

BASILIQUE1 . , 1I Dans oc« «se mble»» «te MiRrgudlier>' I ancien» et n m*ao «j«» la paroiNM ' 1 Noir»-.); in» -.i« -Québ«*e tenu© nier, j

_ I ywnir « h* iHjr on r« rnpla< Mî t A Al. le Di iOBu«|r*«-ai M. margnilih rM«/rtant «)«

f «tu rg«\ A». '« Dr 1 -J.-\ Fi-*4, a »« • ,

acte <l«, «loiver» |MMirsuivT«* cette g.réi o»ité, en

avertissant «inn* le plus bref délai les R«»ligieu .es du B«»n-Pa-leur D*s 1 naren ^ alarmés d«* «es ertaî.ts, l»' R«'lu i us s inquiètes sur 1»» sort j d*- l«oi 1 -mtégees d«ma>'dent «pi»*

‘on o èdent I»' plus tapid me.;t |M>»Slblt .

POE R LES VICTIMESDemain ni.tin, à »ept heu

re* «t trente, » I* ch pell» et** la mai»or.-mè *• du B n-Par- tcur, un ser.ic* raconim. §•%• B# par la communauté rara chanté pour les victime* de l’hécatombe d » l’hoRpica St -1 harlc*.

poste N*« . 2, A Saillant résident, d© la rue ?rntt »*t Alb. Th«»massin. «*m- p’» vé : u Bon-Pasteur, s«» sont d:#-

r»'cuei!li 1 rngiu's en »auyant plusieurs religieu- ...... .t.. ski* «rJants par le tunnel aqui com

mon i©- ait d«* la Mais» n-Afère au V«t- v icir.l et de c«*tte inaist.r au P« nsien- nat.

il. ot nisi citer U* travail «les cons- tahl» s K. Beauli(u. K. Desjardins, du

sic No l. Ouillemette, du p«ste et A. R« chette du poste No 7

qui se h. nt dévoués généreusement au lauvetage «les religieures et de leurs «•r.farts I© soir «lu src«.nd diV- astie, f,v« e le serge nt Bih-deau. «lu p« *te No 2.

n«>ti»On ment «pi«>

■ t IOU! n’a p

• prie tontes jeune

«a ‘ O1depuis !e fru «lel»*s. seront reçue sancc mi \o :U7 ou par téléphone

«l’.inimncer égale- ifif«»rmatiOrts r«*n-Rr«* h« l I. IléràtilY

r* trouvé#, M-Chi*r-

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A1 «s bien chers parents."H ©st dans la vie des hommes c«r-,

tains jour» inoubliables. Orftoo â cette rorgues, jnr., I -e «nie ^*©orge» Paquet

I ( «uudiiiH I Simard,1 goes, sr.

mftTiifestation vraiment touehante' < >ni« r B«*rtnui«l.| léon Paré, Clri«vous voulez bi«»n m’offrir, ce soir, à

l’occasion du grand honneur auuqel je viens d'être appelé, comme maire «le i E.-L. Bélanger Québec, je suis sûr que c© jour comp-j tera les meilleurs de ma carrière. |

"Lorsoue le six décembre, le greffier) de la Cité, parlant au nom «i»; la loi, » m© proclama, â l'unanimité d© m«s collègues du Conseil, élti Maire «le Quél»!©, en reniplacejpent d© mon cher ami. le Docteur Valmont v artin. c’est A ma famille «pi© j© pensai tout d’alTord Et ce n’était que justice.”

Il rappela ensuite qu'il doit sa jm*»,-1 t4«>n actuelle à son père ,â sa mère, et â l’influence salutaire «h* sa famille.

“(Irâcc à mes bons parents, «lit-il, je suis fier «le sentir en mes veines re qu’il y a «le plus pur parmi le sang français des Simard, ces filu «fes pionniers «le notre sol, et celui non moins noble des anciens Ecossais, les Brown, dont mamère vénérée fut la «ligue d«>s- cendante. Autour de moi, je vois tant, de représentants de ces deux familles, â qui je «lois la vu\ «pic j© n<* sais vraiment plusNCommen? leur dire le bien qu© je pense de chacun."

Après avoir raconté plusieurs épisode» de sa vie, depuis son départ «lu toit paternel, alors qu’il n’était âgé «pic «le 14 ans.

S«| grande modestie lui fit passer sous silence ses succès dans l’arène municipale, et il rendit hommage â In memoir» «le sa première épouse (pij “enrérhit son foyer de 14 enfants", et puis, s’adressant A Madam lu Mi i- r*,*»c, sa digne ©t eharmrnt© épotis«>,iî ajoutai»

Plus tard, après dos deuils cruels, ne pouvant plus supporter seul le fardeau d*1 la vie, je frappai à une f«»rte amitié, celle de Monsieur et Madame!Jean-Baptiste Forgues. qui me fut « largement ouverte. |

“Je ne voudrais pas blesser la mo- I destie «le celle qui règne aujourd'hui I

Albert (iiguère.Napo- Brown, Henri Lessard» etc.

GRAND EUCHRELundi. I<‘ 19 décembre, n S h., u

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