danse avec les robots

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Superficie du bâtiment : 2000 m² Superficie du dance-floor : 1265 m² Caractéristiques des 10 robots : ils mesurent 7 mètres de haut, tournent autour de six axes, composent d’innombrables combinaisons de mouvements, sont capables d’accélérations de 3G, proches de celles d’une Formule 1, peuvent soulever 500 kilos de charge. Durée des hits de la playlist choisis par Martin Solveig : de 60 secondes à 90 secondes chacun. La projection des animations vidéo et graphiques sur la passerelle provient de six vidéo projecteurs disposés sur une rampe au-dessus d’elle. Capacité d’accueil : Danse avec les Robots peut accueillir 500 visiteurs par heure sur les robots et autant de spectateurs sur la mezzanine. Intensité des “danses“ sur les robots : 3 niveaux d’intensité au choix, du plus faible pour les jeunes visiteurs au plus fort. Les visiteurs (exceptés les enfants mesurant entre 1,20 m et 1,40 m qui se verront attribuer le niveau le plus faible) décident de l’intensité à laquelle ils souhaitent danser au moment où ils montent dans les bras des robots. Ils le signalent alors à l’opérateur de l’attraction. Les consignes de sécurité sont communiquées aux visiteurs par la projection d’un film basé sur une technologie d’animation intégrant des personnages filaires : Danse avec les Robots est accessible aux personnes de 1,20 m à 1,95 m. Elle n’est pas recommandée aux personnes souffrant de problèmes cardiaques ou vertébraux, aux femmes enceintes ainsi qu’aux personnes très sensibles ou ayant le mal des transports. Les cheveux longs doivent être attachés, les écharpes nouées, les chaussures doivent tenir aux pieds, les poches doivent être vidées. Participer ou regarder ? Le choix de participer à la « robot-party » ou de se diriger vers la mezzanine pour contempler le spectacle est proposé aux visiteurs dès leur entrée dans l’attraction. Si les visiteurs choisissent de danser à bord d’un robot, ils participent à un jeu musical collectif et interactif (dès le printemps) avant de prendre place à bord des robots. Dans le cas contraire, ils se rendent directement sur la mezzanine surplombant le dancefloor. Une scénographie signée BcBg BcBg, l’agence parisienne qui s’est chargée de la scénographie est composée de Bruno Contensou, designer et scénographe et de Bernard Giry, producteur spécialisé dans les loisirs numériques. L’Agence BcBg réalise des créations scénographiques ambitieuses et grand public. Elle intervient sur les aménagements scéniques, les décorations évènementielles. Elle est experte en communication évènementielle à Paris et en France, ainsi que dans la conception d’animations pour des parcs d’attractions (cinéma dynamique…) en France. couverture : Fotolia (J. IVANOVIC-Y. ARCURS-N. SUNDIKOVA-Y. MARUSHIN)/Studio Ludo/S LAVAL/Robothespian - © Engineered Arts Limited 2012 Photographe : Jean-Luc Audy, Manuel Vimenet, © skala - © aerogondo Fotolia.com, . Architecte : Denis Laming . Scénographie : BCBG. Textes : Charline Berthelot. Mise en Page : Frédéric juille. © Futuroscope 2013 Jérôme NEVEUX 0549492042 / 0682836320 [email protected] https://twitter.com/JeromeNeveux &)#(% 4%#(.)15% $% ,Ã!442!#4)/. #NMS@BS 0QDRRD &TSTQNRBNOD CNRRHDQ CD OQDRRD C@MRD @UDB KDR QNANSR O@Q L@QSHM RNKUDHF

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presentation de l attraction du futuroscope

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Page 1: Danse avec les robots

Superficie du bâtiment : 2000 m!

Superficie du dance-floor : 1265 m!

Caractéristiques des 10 robots : ils mesurent 7 mètres de haut, tournent autour de six axes, composent d’innombrables combinaisons de mouvements, sont capables d’accélérations de 3G, proches de celles d’une Formule 1, peuvent soulever 500 kilos de charge.

Durée des hits de la playlist choisis par Martin Solveig : de 60 secondes à 90 secondes chacun.

La projection des animations vidéo et graphiques sur la passerelle provient de six vidéo projecteurs disposés sur une rampe au-dessus d’elle.

Capacité d’accueil : Danse avec les Robots peut accueillir 500 visiteurs par heure sur les robots et autant de spectateurs sur la mezzanine.

Intensité des “danses“ sur les robots : 3 niveaux d’intensité au choix, du plus faible pour les jeunes visiteurs au plus fort. Les visiteurs (exceptés les enfants mesurant entre 1,20 m et 1,40 m qui se verront attribuer le niveau le plus faible) décident de l’intensité à laquelle ils souhaitent danser au moment où ils montent dans les bras des robots. Ils le signalent alors à l’opérateur de l’attraction.

Les consignes de sécurité sont communiquées aux visiteurs par la projection d’un film basé sur une technologie d’animation intégrant des personnages filaires : Danse avec les Robots est accessible aux personnes de 1,20 m à 1,95 m. Elle n’est pas recommandée aux personnes souffrant de problèmes cardiaques ou vertébraux, aux femmes enceintes ainsi qu’aux personnes très sensibles ou ayant le mal des transports. Les cheveux longs doivent être attachés, les écharpes nouées, les chaussures doivent tenir aux pieds, les poches doivent être vidées.

Participer ou regarder ? Le choix de participer à la « robot-party » ou de se diriger vers la mezzanine pour contempler le spectacle est proposé aux visiteurs dès leur entrée dans l’attraction. Si les visiteurs choisissent de danser à bord d’un robot, ils participent à un jeu musical collectif et interactif (dès le printemps) avant de prendre place à bord des robots. Dans le cas contraire, ils se rendent directement sur la mezzanine surplombant le dancefloor.

Une scénographie signée BcBg

BcBg, l’agence parisienne qui s’est chargée de la scénographie est composée de Bruno Contensou, designer et scénographe et de Bernard Giry, producteur spécialisé dans les loisirs numériques. L’Agence BcBg réalise des créations scénographiques ambitieuses et grand public. Elle intervient sur les aménagements scéniques, les décorations évènementielles. Elle est experte en communication évènementielle à Paris et en France, ainsi que dans la conception d’animations pour des parcs d’attractions (cinéma dynamique…) en France.

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Jérôme NEVEUX 0549492042 / 0682836320 • [email protected] • https://twitter.com/JeromeNeveux

Page 2: Danse avec les robots

Evénement ! Dès le 22 décembre 2012, Danse avec les Robots, l’une des attractions préférées des visiteurs du Futuroscope et l’une des plus riches en sensations fortes, ouvre dans une toute nouvelle version 100 % clubbing. A cette occasion, le Futuroscope a donné carte blanche au DJ et producteur de musique électronique Martin Solveig pour renouveler sa mise en scène et établir une programmation musicale électro-pop. Cette attraction, pour la première fois en version club, a pour but d’offrir une expérience encore plus « fun » et encore plus « punchy » aux visiteurs du parc. Accessible aux plus jeunes dès 1m20, Danse avec les Robots est une attraction familiale, l’occasion de partager une première « robot-party » entre petits et grands.

Martin Solveig explore sans cesse de nouvelles dimensions scéniques et artistiques en s’attachant à développer un univers singulier. Reconnu pour son audace et son goût du challenge, le maestro des nuits électro, exporte pour la première fois son talent et son univers hors de ses terres d’expression usuelles pour signer une attraction unique au monde.

Danser avec un robot ou contempler le spectacle : un choix offert dès l’entrée dans l’attraction.

Un pavillon vitré qui joue avec les reflets de l’environnement, semblant danser dans le paysage.

Page 3: Danse avec les robots

Danse avec les Robots met en scène dix robots de sept mètres de haut, capables d’accélérations de 3G et pouvant soupeser 500 kilos de charge. Tournant autour de six axes, chaque robot peut composer une multitude de mouvements dont la vitesse est choisie par les visiteurs avant de monter dans leur robot : niveau enfant pour les jeunes visiteurs de 1.20m à 1.40, niveau moyen et niveau intense pour les autres.

Accessible aux plus jeunes dès 1m20, Danse avec les Robots est une attraction dédiée à toute la famille, l’occasion de partager une première « robot-party » entre petits et grands. Avec Danse avec les Robots, l’ambiance clubbing n’est plus réservée aux adultes. Les enfants peuvent eux aussi s’amuser sur le dancefloor de ce club du futur.

Danse avec les Robots par Martin Solveig, met en scène, dix robots de métal de sept mètres de haut sur un immense dancefloor branché. Ces dix bras robotiques, s’articulant autour de six axes, sont capables d’innombrables combinaisons de mouvements. C’est à leur bord que les visiteurs du parc sont invités à prendre place deux par deux au son de « Hello », le single à succès de Martin Solveig.

La passerelle d’accès aux robots se dérobe…Dans une ambiance clubbing survoltée, les dix robots danseurs s’élancent dans une chorégraphie dynamique et aérienne et s’animent avec énergie au rythme de l’un des cinq hits de la playlist établie par Martin Solveig. Harnais bouclés, renversés, balancés en tous sens, les visiteurs clubbers font corps avec leur robot danseur pour entrer dans un tourbillon de sensations originales et vertigineuses. Ici et maintenant, hommes et robots dansent ensemble.

Et du haut de la mezzanine, le spectacle est aussi grandiose que varié pour les spectateurs qui découvrent, à chaque hit, une nouvelle chorégraphie et une mise en scène différente.

Détournés de l’industrie automobile pour devenir danseurs au Futuroscope, tous les robots sont habillés d’une jupe de 6 mètres de diamètre couverte d’un matériau réfléchissant.

Un réseau lenticulaire difracte et amplifie les sources lumineuses placées sous les jupes. Suivant l’angle de

vision, ce matériau cinétique change de couleur. Les robots quant à eux, sont couverts d’une peinture à pigments,

lesquels sont utilisés dans les peintures métallisées des voitures et chacune de leurs arêtes est soulignée par de la

peinture noire.

Le spectacle est varié : à chaque hit correspondent une chorégraphie et

des jeux de lumières différents.

Page 4: Danse avec les robots

Sur une idée de Martin Solveig scénographiée par l’agence BcBg, la nouvelle attraction Danse avec les Robots reprend les codes esthétiques des plus grands clubs associés à l’esprit novateur du Futuroscope en matière de technologie.

La passerelle d’accès aux robots sert de support à la projection d’un mapping visuel impressionnant, représentant la table de mixage de Martin Solveig, ses platines et les mains du célèbre DJ mixant pendant la robot-party. Ce mapping, visible en totalité depuis la mezzanine, offre une expérience visuelle surréaliste, d’autant que les visiteurs semblent embarquer sur les deux platines du DJ. Un court mapping sur la passerelle d’accès aux robots participe de cet effet visuel en donnant l’illusion qu’elle se déstructure sous les pas des visiteurs. Un ensemble de quarante-huit cubes de toile suspendus, mis en lumière par des leds à variation de couleurs et de différentes tailles, flotte dans l’espace au-dessus du dancefloor et lui donne de la profondeur. Figurant une œuvre de pixel art, les cubes isolés ou assemblés, diffusent des mappings vidéo de l’univers graphique et visuel de Martin Solveig et des films d’animation en 3D dans lesquels apparaît pour la première fois l’avatar du célèbre DJ. Associés à ce dispositif original, des jeux de lumières balaient le dancefloor

et le plongent dans un cocktail de couleurs. Des effets stroboscopiques, subtilement dosés, ralentissent et figent par instants les mouvements des robots danseurs. Des jets de lumière noire les rendent luminescents, soulignant la ligne et la grâce de ces colosses métalliques.

Au-dessus des danseurs, une projection de fumée lourde nappe d’un nuage vaporeux la mezzanine surplombant la salle, donnant aux danseurs l’illusion que la structure flotte pour un effet club garanti.

Sélectionnés par Martin Solveig et d’une durée de 60 à 90 secondes, les extraits musicaux qui rythment la chorégraphie des robots composent une playlist aux influences électro-pop dans laquelle figurent les hits « Everybody » et « Hello » de Martin Solveig.

Page 5: Danse avec les robots

Dans quelles aventures inédites Martin Solveig pourrait il encore entraîner son public ? DJ, producteur de musique électronique, acteur et réalisateur de clips à l’esthétique proche du cinéma, chanteur sur certains de ses titres, il semble échapper à toute catégorisation hâtive. Son imagination débordante assure sa singularité dans un paysage musical en perpétuelle évolution. Ses prestations ont su conquérir le public exigeant des plus grands clubs et festivals du monde. Son parcours et ses projets artistiques n’ont de cesse de surprendre et de rappeler qu’avant d’être DJ, Martin Solveig est surtout une formidable force créative.

Adolescent, il arpentait déjà les allées des disquaires de son quartier, se nourrissant d’influences éclectiques parmi lesquelles figuraient en bonne place Prince, Stevie Wonder, Serge Gainsbourg ou encore les Beatles. Quatre albums et quelques tours du monde plus tard, il a conservé intacte cette soif immodérée de découverte et d’expérimentation. Ses trois premiers opus (« Sur la Terre », en 2002 ; « Hedonist », en 2005 ; « C’est la vie », en 2008, récompensé par une Victoire de la Musique) ont livré des tubes devenus des classiques du genre, de Heart Of Africa à I Want You en passant par Rocking Music, Everybody, Rejection ou encore Jealousy.Mais c’est son quatrième album, « SMASH », sorti en 2011, qui a propulsé sa carrière dans une toute autre dimension. Le premier single, Hello, s’est vendu à plus de 2 millions d’exemplaires dans le monde et a été sacré disque d’or en France et en Belgique, disque de platine aux Etats Unis, en Suisse, en Italie, en Allemagne et en Autriche, décrochant même un double disque de platine au Canada et en Australie. Cette consécration récompense aussi un projet qui tisse étroitement les dimensions musicale et visuelle et a valu à Martin Solveig une nomination dans la catégorie « Meilleur clip de musique électronique » des MTV Video Music Awards 2012.

En effet, SMASH n’est pas seulement un album. C’est aussi une véritable web série qui, d’épisode en épisode, dévoile des titres inédits au gré des péripéties vécues par Martin Solveig et les personnages attachants qui l’accompagnent : Lafaille, son fantasque « managueur » qui ne manque pas d’idées saugrenues pour combler le déficit de popularité de son protégé mais aussi la séduisante She, que Martin s’efforce de conquérir. Vues près de 120 millions de fois sur YouTube, les vidéos ont été tournées dans des lieux aussi mythiques que le Court Central de Roland Garros – clin d’oeil à Wes Anderson, l’une des sources d’inspiration majeures de SMASH – le Stade de France, le toit d’un hôtel mythique dominant Singapour ou encore les décors enchanteurs du Paris qui s’éveille. La sensibilité et la subtilité avec lesquelles Martin Solveig trace son chemin artistique expliquent sans doute l’intérêt que lui a porté la Reine de la Pop, Madonna, lorsqu’elle l’a sollicité pour produire une partie de son dernier album, M.D.N.A. Ensemble, ils ont signé

six titres dont les deux singles Give Me All Your Luvin’ et Turn Up The Radio, qui ont fermement assis la réputation de Martin Solveig en tant que producteur. Une expérience hors norme, prolongée sur scène puisqu’il assure cette année la première partie de sa tournée mondiale dans de nombreuses villes, tant en Europe qu’en Amérique du Nord.

Les mois qui viennent ouvrent un nouveau champ de possibles pour l’infatigable artiste. La collaboration engagée avec le Futuroscope donne à Martin Solveig l’opportunité de partager avec le public son univers visuel et une sélection musicale variée, hors des cadres habituels où il évolue. Un défi de plus à relever, voilà qui n’est pas pour lui déplaire…

Qu’est-ce qui vous a séduit dans le projet du Futuroscope ?

Ce qui m’a particulièrement plu dans la proposition du Parc, c’était son originalité. Le Futuroscope est un parc d’attractions très atypique, et la proposition l’était tout autant.

J’ai déjà participé à de nombreuses réalisations liées à la musique, liées à l’image, mais c’est la première fois qu’on me donnait carte blanche pour proposer une nouvelle expérience et créer une ambiance, qui plus est à partir de robots.

Avec la musique électronique, je connais déjà, d’une certaine façon, le rapport avec les machines. Cela avait vraiment pour moi du sens de participer à cette nouvelle aventure artistique, différente de ce que j’ai pu faire jusqu’ici. La visite du Parc m’a conforté dans mon choix. J’ai « plongé » sans hésiter. Participer à une expérience comme celle-ci est unique. Le résultat sera donc complètement exclusif.

Est-ce que l’on retrouvera votre univers et votre humour dans l’attraction ?

Il faut plus voir ça comme une expérience globale. De la file d’attente jusqu’à la sortie, la thématisation de l’attraction est intégrale jusqu’au grand moment où les visiteurs vont pouvoir être propulsés à quelques dizaines de km/h aux bras des robots, dans une salle reconvertie en club. Ils seront vraiment immergés dans mon univers. Un univers un peu décalé, un peu amusant, qui colle bien avec les robots, avec la musique, avec le décor. Les visiteurs se retrouveront plongés dans une ambiance futuriste avec un mélange d’humains et de robots qui font la fête ensemble. Ça, c’est unique ! Martin Solveig derrière ses platines, pour le tournage des

images de l’attraction dans un studio parisien.

Page 6: Danse avec les robots

Robothespian s’établit cette année pour la première fois en France au Futuroscope pour offrir aux visiteurs du parc une expérience aussi enrichissante que récréative et l’opportunité de rencontrer pour la première fois ce bijou technologique à l’entrée de Danse avec les Robots.

Conçu par la firme britannique Engineered Arts dirigée par Will Jackson, Robothespian est un triomphe des dernières avancées robotiques. Son succès lui vaut d’être implanté dans de nombreux pays. Il est notamment utilisé par la NASA pour interagir avec les visiteurs au Centre Spatial Kennedy, par les musées scientifiques d’Espagne, d’Australie et de Macau.

Communicant et expressif, le robot humanoïde Robothespian accueille les visiteurs du Futuroscope à l’entrée de l’attraction Danse Avec les Robots avec la même courtoisie que C-3PO de Star Wars dans un décor déclinant les couleurs de l’univers de Martin Solveig.

Créé dans les Cornouailles par la firme britannique Engineered Arts, ce robot de taille humaine fonctionne à l’air comprimé et est fabriqué presque entièrement d’aluminium. La créature robotique est blanche et dotée d’yeux animés. Ses trois processeurs et la caméra vidéo placée dans sa tête permettent au manipulateur de voir en direct ce que le robot voit et d’adapter ses mouvements. L’autre solution est d’animer le robot humanoïde via une interface à écran tactile. Cela permet à son utilisateur de programmer une série de mouvements, de discours et d’expressions ainsi que d’enregistrer des séquences.

Bilingue au Futuroscope, Robothespian est à l’origine capable de parler 15 langues dont le chinois mandarin ou encore l’hébreu, de prendre différents timbres de voix et diverses intonations. Il présente un sens de l’humour développé, sait reconnaître et imiter les gestes humains. Artiste comédien et chanteur, il communique avec les visiteurs du Futuroscope en interagissant avec eux par les paroles et aussi par des expressions faciales.

• 6 servomoteurs pour contrôler les mouvements du torse et de la tête.

• 10 muscles mécaniques avec retour de force pour les bras.

• 1 servomoteur ultra-rapide pour bouger les lèvres.

• 8 mini pistons pour contrôler les doigts.

• 5 processeurs multicoeurs pour la gestion de l’animation et le contrôle des différentes vannes à air comprimé. Tous les capteurs de positions sont à effet hall et disposent d’une précision de 0.1 degré.

• Un processeur Arm 9 à 2,8 Ghz pour la gestion des écrans dans les yeux et pilotage de la figure RGB.

• Des écrans LCD pour les yeux, un son audio 20W haute qualité.

• Une caméra embarquée, montée sur le front pour diffuser un flux vidéo.

• Une carte mère à base d’un processeur Atom 1.6 GHz avec 32 Gb de SSD

• Robothespian a un châssis en aluminium et il est pilotable via une console déportée et constitué d’un PC avec écran tactile.

Page 7: Danse avec les robots

En 2013, le Département Education du Futuroscope met en place des ateliers permettant aux classes du cycle 3 à la Terminale de monter un robot au moyen de tournevis, capteurs, moteurs et autres pièces mécaniques. Sur les conseils d’un animateur et en fonction de leur niveau scolaire, les élèves sont amenés à reconstituer d’après un modèle et en se référant à une fiche technique associée, un robot-pince, un robot acteur ou encore un robot porte-drapeau. Pour aider les enseignants à préparer leur projet sur le thème des robots, des ressources pédagogiques sont disponibles en téléchargement gratuit sur www.scolaires.futuroscope.com Durée : 1h par groupe de 45 personnes maximum

Tarif par personne : 4.50 ! (sur réservation uniquement)

En partenariat avec www.robot-education.fr/

Dans le pré-show de l’attraction Chocs Cosmiques, les visiteurs du Futuroscope peuvent observer de près la maquette à taille réelle du valeureux robot Spirit, explorateur de la NASA, l’occasion de contempler le doyen des robots martiens, abandonné par la NASA sur la planète rouge.

A partir de cet été, période à laquelle la Cité du Numérique va rouvrir ses portes, les visiteurs du Futuroscope vont pouvoir retrouver le robot peintre en pleine création. Quasiment aussi doué qu’un vrai artiste, ce robot a été développé par Saïd Zeghloul, Jean-Pierre Gazeau et Gabriel Ramirez, du Laboratoire de mécanique des solides de Poitiers (LMS), établissement installé sur le site de la Technopole du Futuroscope.

Le robot peintre est équipé d’une panoplie d’outils lui permettant de peindre un portrait : un système de flashs pour gérer l’éclairage, un stylo pour dessiner sur un tableau blanc ou une feuille de papier, une brosse pour effacer le dessin du support, et deux logiciels spécialement conçus pour gérer l’ensemble. Empruntant la gestuelle d’un vrai peintre, il travaille à partir d’une liste de portraits de stars préenregistrés dans l’un de ses logiciels. Tel un artiste humain, il commence par les traits les plus longs pour finir par les points de détails comme les rides. Autre talent : il est capable de réaliser de nombreux vrais arrondis, ce qui donne un rendu très réaliste.

A propos du Laboratoire de Mécanique des Solides de l’Université de PoitiersCe Laboratoire est une unité mixte de recherche du Centre National de Recherche Scientifique (CNRS) implantée sur la Technopole du Futuroscope.

Les travaux de recherche de l’équipe Mécanismes et Robotique s’articulent autour de 6 thématiques de recherche à travers lesquelles le LMS a développé de solides compétences théoriques en robotique (comme par exemple en dynamique des systèmes polyarticulés et en commande optimale), mais également un véritable savoir-faire en matière de conception de dispositifs expérimentaux.

Le développement d’un robot bipède et d’une main mécanique articulée, exposés au Pavillon de la France à l’exposition universelle de Hanovre, en sont l’illustration. L’équipe Mécanismes et Robotique dispose également d’une compétence forte en matière de développement de logiciels dédiés à la robotique, tel que le logiciel de CAO robotique SMAR ou encore le générateur d’équations de la dynamique et de conditions d’optimalité HESMINA.

Page 8: Danse avec les robots

A l’heure où notre société est à la recherche d’une meilleure qualité de vie passant par une diminution des tâches pénibles et l’augmentation de la part accordée aux loisirs, les robots domestiques et de compagnie franchissent enfin les portes de nos foyers. Ces machines intelligentes vont changer nos vies.

Premier succès de la révolution domestique qui s’amorce, le robot aspirateur Rooba. Autonome, il est capable d’aspirer les sols en l’absence de ses propriétaires en naviguant et en contournant les obstacles grâce à un détecteur de chocs et des capteurs infrarouges. Des robots majordomes et de divertissement familial entrent aussi dans nos foyers à l’image de Papero, un robot et capable de contrôler tous les appareils de la maison, de reconnaître ses « maîtres » et de les situer. Les robots de télé-présence comme le robot français Jazz connaissent de plus un véritable essor. Contrôlables à distance et connectés à Internet, ces robots nous servent d’avatars et nos maisons deviennent intelligentes.

L’école est également pénétrée par les robots pour assister les professeurs en faisant la lecture, en donnant des cours d’anglais et en proposant des exercices interactifs. D’ici deux ans, quatre cents écoles primaires de Corée devraient être dotées de ces robots. Une étude menée par le laboratoire Latitude en Australie, démontre que les enfants sont extrêmement ouverts aux robots et aux technologies comme pouvant être une part intégrante de leur vie.

Pour le présent, notre société se trouve confrontée au vieillissement de la population. Générant isolement et dépendance, il devrait accélérer l’introduction des robots de service auprès des personnes âgées ou dépendantes. Parmi eux, le robot japonais, humanoïde et autonome Nao, capable de détecter les chutes et d’envoyer des messages d’alerte, pourrait devenir une aide efficace. Par ailleurs, le projet français Roméo a pour objectif de développer un robot humanoïde de grande taille (1.30m) pour assister les personnes en perte d’autonomie.

Le vieillissement de la population impose aussi d’optimiser la qualité des services médicaux et l’entrée des robots d’assistance chirurgicale est une aide véritable pour notre santé. Dans les blocs opératoires, les robots d’assistance au chirurgien aident le spécialiste pendant son intervention. Opérateurs dépendants, pilotés par le médecin, ils servent à lui fournir des outils performants au cours de l’opération. D’autres robots miniaturisés sont capables d’explorer veines et artères pour aider le chirurgien à poser son diagnostic.

Dans le domaine de la santé, de nouveaux horizons s’ouvrent aux personnes handicapées voire aux blessés en phase de rééducation. Pour exemple, l’exosquelette robot HAL, capable de décupler les capacités musculaires des personnes qui ne peuvent mouvoir leurs corps normalement. On voit apparaitre des exosquelettes qui permettraient à des personnes privées de l’usage de leurs jambes, de recouvrer la marche. Bras bioniques, prothèses de mains ou de bras, implants… Les robots nous réparent, augmentent nos capacités physiques mais pas seulement…

Ils explorent sondent les profondeurs marines, explorent la planète Mars, ou déminent les champs de bataille. Les robots se substituent à nous, nous prolongent là où il nous est difficile d’aller, où notre survie serait très limitée, dans des milieux hostiles ou lointains, nous aidant à conquérir de nouveaux territoires et à élargir notre connaissance du monde.

IdefX, Aster X ou encore le Victor 6000 capable de plonger pendant de longues périodes à plus de 6000 mètres comptent parmi les robots explorateurs de l’océan développés par l’IFREMER. Ces engins, robotisés et téléguidés depuis la surface grâce à un câble, peuvent effectuer des recherches sous-marines et des prélèvements pendant de longues périodes. Les progrès de l’automatisation ont permis la création d’engins sous-marins robotisés autonomes. L’un de ces robots, équipé de la technologie sonar a permis de dessiner une carte en 3D de la glace de l’Antarctique pour estimer son volume et mieux comprendre les impacts du réchauffement climatique.

Les robots d’aujourd’hui explorent les fonds sous-marins et aussi les confins de l’espace. Le robot Curiosity, s’est posé en août 2012 sur la planète rouge. A ce jour, Curiosity a apporté des clichés qui confortent l’hypothèse du passé humide de la planète. Envoyer des robots aux quatre coins du système solaire nous permet de mieux comprendre le monde dans lequel nous évoluons.

Aujourd’hui, l’engouement pour les robots, surtout pour les robots d’assistance se traduit à la fois par le succès des salons de robotique et par des prévisions d’un développement rapide de ce marché, avec des perspectives de revenus fortes pour les entreprises de ce secteur. Un constat observé par l’industriel Louis Gallois qui, dans son rapport remis au gouvernement en 2012 appelle à la robotisation des usines françaises pour regagner en compétitivité. La France est dotée de 35 000 robots tandis que l’Italie en compte 62 000 et l’Allemagne 157 000.

Les robots vont donc rapidement nous côtoyer dans notre quotidien. Beaucoup de robots comme les robots de loisirs sont perçus avec amusement. Néanmoins, un rapport édité par la Commission européenne en septembre 2012 sur la perception des robots traduit l’inquiétude des citoyens européens à être supplantés par des robots tandis qu’une minorité pense au contraire qu’ils pourraient augmenter les possibilités d’emploi qualifiés dans l’Union européenne. L’étude démontre aussi que l’intervention des robots pour des tâches trop difficiles ou trop dangereuses pour l’homme est à l’unanimité appréciée. En revanche, l’idée de laisser un robot s’occuper de ses enfants ou de ses parents âgés, ou encore l’envoyer promener le chien provoque de la crainte. A contrario, l’idée d’un robot les aidant dans leurs tâches professionnelles est généralement bien acceptée. Quelle place l’homme est-il prêt à attribuer au robot en Occident ? Les robots sont au cœur d’une grande mutation sociétale.

Ancré dans le présent et résolument tourné vers l’avenir, le Futuroscope est l’écrin idéal pour mettre en scène de manière festive une révolution joyeuse, incarnée par l’attraction Danse avec les robots : la « robolution » ou l’essor de la robotique et de ses applications dans la vie quotidienne et dans les loisirs.Les robots, longtemps cantonnés à l’industrie, aux laboratoires de recherche, à la science-fiction et bien souvent encore consacrés par le cinéma, sont en train de conquérir notre quotidien.