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ts BÂTIMENTS ET BÂTIMENTS ET
EQUIPEMENTSEQUIPEMENTS
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SommaireSommaire
Evaluer les besoins .............................................................1 Les bâtiments ..................................................................2
La salle de traite et la laiterie ...............................................5 Les autres équipements ........................................................9
La gestion des effluents ..................................................... 10
Pour en savoir plus ........................................................... 11
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EVALUER LES BESOINSEVALUER LES BESOINS
Bâtiments et équipementsBâtiments et équipements -- 1 1 --
Le nombre d’animaux en chèvrerie regroupe les chèvres laitières et assez souvent les chevrettes gestantes. C’est un effectif qui évolue en fonction des entrées et des sorties d’animaux du troupeau. Il ne doit en aucun cas être confondu avec l’effectif moyen des chèvres présentes sur une campagne, qui lui est un critère d’intérêt technico-économique. Généralement, l’effectif à loger passe par un maximum pouvant atteindre 110 à 125 % de l’effectif moyen. Il est à noter que l’importance croissante accordée, à juste titre, aux chevrettes conduit à leur accorder, à partir de 6-7 mois, les mêmes conditions de logement qu’aux adultes.
Couloir de distribution (largeur) 4 m minimum pour passage tracteur, 5 m conseillé
dont 2 x 0,50 m sont utilisés en auges
Niveau couloir de distribution 0,55 à 0,70 m Hauteur par rapport au sol des
Largeur des auges en bois ou métalliques 0,50 m
Hauteur abreuvoirs 1 à 1,10 m Avec marchepieds
Nombre de chèvres par abreu-voir 25 Consommation d’eau par chèvre
et par jour : 5 à 10 litres
Hauteur de la paroi pleine 1,50 m au dessus du sol
Chèvres Chevrettes à 7
mois Chevreaux à 1
mois Boucs
Surface paillée par chèvre
1,50 - 1,60 à 2 m²
suivant le gabarit des chèvres
1 m² 0,25 à 0,30 m²
Certains AOC peuvent avoir intégré des normes spécifiques dans leurs conditions de production, se renseigner auprès des syndicats d’AOC.
Longueur d’auge 0,35 à 0,40 m 0,35 m 0,20 m
Largeur des parcs Entre 4,5 et 5 m 3 à 5 m
Volume d’air Minimal 4 à 5 m3
Optimal 8 à 10 m3
Minimal 3 à 4 m3
Optimal 5 à 6 m3
Minimal 2,5 à 3 m3
Optimal 4 à 5 m3 Minimal 8 à 10 m3
Optimal 12 à 15 m3
Recommandations minimales
Prévoir correctement les effectifs logés
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Le logement des chèvres
LES BÂTIMENTSLES BÂTIMENTS
Choisir son type de chèvrerie Les types de bâtiments ci-dessous représentent ce qui existe majoritairement. Chaque type convient à une situation donnée, et possède des avantages et des inconvénients. Sont présentés ici des schémas indicatifs, avec un exemple de positionnement de la salle de traite (ce qui permet notamment d’avoir une idée de la surface au sol).
Le tunnel C’est une formule simple, rapide et économique. Le principe des armatures métalliques et des bâches plastiques prenant en sandwich une isolation permet un montage rapide. Une protection de la bâche contre les animaux à l’intérieur comme à l’extérieur est nécessaire. Le confort des animaux est convenable à condition de respecter les normes de densité des animaux. Il existe différentes largeurs de tunnel.
Il existe aussi des tunnels semi durs avec une partie basse en maçonnerie, qui sont forcément plus coûteux
La chèvrerie de conception longitudinale
-- 2 2 -- Bâtiments et équipementsBâtiments et équipements
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Bâtiments et équipementsBâtiments et équipements -- 3 3 --
La chèvrerie de conception transversale
Très souvent, dans un projet de création ou d’agrandissement de troupeau, la préoccupation majeure et légitime de l’éleveur est de loger les chèvres pour produire le lait. Le logement des jeunes intervient en aval alors qu’il est le point de départ du projet : pas de bonnes chèvres laitières sans de bonnes chevrettes en gabarit et en poids. Parallèlement, l’augmentation de la taille des troupeaux nécessite une vigilance accrue sur les aspects sanitaires et la prise en compte des conditions de travail de l’éleveur. L’évolution de la taille des élevages et les problè-mes sanitaires qui en découlent nécessitent la mise en place de 2 unités distinctes : la nurserie et le post-sevrage, de façon à gérer 2 générations de chevrettes (1 et 12 mois) n’ayant pas les mêmes besoins. Le bâtiment neuf Durant la phase d'élevage de la chevrette, on observe 2 étapes importantes : la phase lactée (ou d’allaitement) puis le post sevrage. Les conditions optimales de logement nécessitent 2 locaux distincts avec des équipements différents : une nurserie et un bâtiment post sevrage.
Une nurserie pour la phase lactée : ⇒ La nurserie, c'est :
- Un local à l'écart, séparé de celui des chèvres afin de mieux maîtriser les conditions d'am-biance et de limiter les contaminations micro-biennes et parasitaires.
- Un local bien ventilé. - Une bonne isolation . - Un bâtiment clair.
Un bâtiment pour la phase d'élevage La conception du bâtiment post sevrage pour les chevrettes est très proche d'une chèvrerie pour les adultes. Un bâtiment post sevrage c'est : - Un local où l'enlèvement du fumier est facile-
ment mécanisable. - Un local bien ventilé avec une surface paillée suf-
fisante. - La possibilité d'y installer des cornadis. - La possibilité de constituer des petits lots d'ani-
maux. - Un local bénéficiant d'un éclairement naturel par
les parois latérales. - Un abreuvoir pour 25 à 30 chevrettes. - Un couloir auge bétonné. - La présence de l'indispensable râtelier à paille.
Le logement des jeunes, des chevrettes
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Les vieux bâtiments La grange ou le hangar Ce bâtiment n’est pas adapté à la phase d’allaitement mais peut conve-nir à la phase d’élevage avec les limites liées à sa ventilation. L’appentis de bâtiment existant Il est plutôt adapté à la phase d’allaitement car il a peu de volume. L’élevage des jeunes dans la chèvrerie Cette solution est inadap-tée pour la phase d’allai-tement au regard de l’im-possibilité de maîtriser l’ambiance. Elle peut être utilisée pour la phase d‘élevage mais elle n’est pas conseillée pour des rai-sons sanitaires (séparation jeunes / adul-tes).
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Le logement des boucs
− Veiller à ce que chaque animal ait bien sa place, − Ne pas minimiser le volume d’air dans le bâtiment, − Bien veiller au renouvellement d’air, − Éviter les courants d’air, − Orienter le mieux possible l’unité pour favoriser une ventilation transversale.
Une bonne ventilation, sans courant d’air, doit permettre d’améliorer les conditions de vie des animaux, leur assurer un certain bien-être pour une meilleure santé et une production améliorée.
Ambiance
Le logement des boucs doit assurer un bon confort aux animaux avec une alimentation aisée, un abreuvement régulier et une surveillance facile. D’une manière générale, il est préférable d’avoir un animal en liberté afin qu’il puisse garder une bonne forme physique et surtout des aplombs de qualité. L’écornage systématique du jeune bouc vers 4 – 5 jours facilite son logement à l’âge adulte.
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LA SALLE DE TRAITE ET LA LAITERIELA SALLE DE TRAITE ET LA LAITERIE
Bâtiments et équipementsBâtiments et équipements -- 5 5 --
Types de salle de traite
Le temps de traite pèse lourd dans les exploitations caprines. Deux à quatre heures de traite par jour re-présentent une présence de 700 à 1 000 heures par an. Le choix du système est essentiel. En élevage spé-cialisé, mieux vaut investir dans cet équipement utilisé bi quotidiennement plutôt que dans un tracteur, non seulement pour la qualité du lait mais aussi et surtout pour les trayeurs.
SALLESALLE DE TRAITE DE TRAITE COTE A COTE OU PAR L’ARRIERECOTE A COTE OU PAR L’ARRIERE Cette salle de traite se caractérise par une position des chèvres perpendiculaire à la bordure du quai. En règle générale, ces instal-lations disposent de cornadis et d’auges. Caractéristiques
+ + + - - -
. Bon accès aux mamelles
. Bonne visibilité des mamelles
. Bonne contention des animaux
. Nombre de places fixe si cornadis (pas de souplesse dans la taille des lots)
. Entrée et sortie des chèvres lentes si présence de cornadis. Privilégier les corna-dis en cascades qui facilitent la mise en place des animaux
. En cas de distribution manuelle du concentré, il y a interruption de la traite entre chaque lot, ce qui augmente le temps consacré à la traite
Dimensions
Longueur des quais : 30 à 35 cm/chèvre si l’installation est équi-pée de cornadis sinon 20 à 30 cm Largeur des quais entre la contention avant et arrière : 75-90 cm (suivant le gabarit) Largeur totale : 120 à 130 cm
SALLESALLE DE TRAITE EN EPI DE TRAITE EN EPI OU HERRINGBONE OU HERRINGBONE Dans cette salle de traite, les animaux sont disposés de façon oblique sur le quai de traite. Caractéristiques
+ + + - - -
. Installation simple et facile à utiliser
. Bonne contention des animaux
. Bonne visibilité des mamelles
. Le nombre de places n’est pas fixe (souplesse dans la taille des lots)
. L’entrée et sortie des chèvres assez aisées. La sortie par l’avant réduit encore le temps de sortie de la salle de traite
. Meilleure efficacité/coût
. Le positionnement oblique n’est pas adapté pour certai-nes déposes automatiques des faisceaux trayeurs
. Système avec deux barres, il peut être un frein pour les mouvements des animaux
. Effet « couloir » générant une moins bonne vision des animaux en traite
. En l’absence de cornadis, prévoir un système de contention en chèvrerie
SALLESALLE DE TRAITE ROTATIVE DE TRAITE ROTATIVE Dans un salle de traite rotative, les chèvres montent sur une plateforme tournante. Il existe deux types de salle de traite rotatives pour les caprins : celles où le trayeur se situe à l’intérieur de la plate-forme et celles où le trayeur se situe à l’extérieur de celle-ci. Caractéristiques
Dimensions
Une plate-forme de moyenne importance (10-12 places par exemple) avec le trayeur à l’extérieur possède un diamètre extérieur de 2,5 m environ, alors qu’une autre plus importante (24 postes) avec accès par l’intérieur aura un diamètre d’au moins 9 m.
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-- 6 6 -- Bâtiments et équipementsBâtiments et équipements
Dimensions
Longueur des quais : 25 à 30 cm/chèvre, prévoir 50 cm pour la 1ère chèvre et 1 m supplémentaire pour permettre l’ouverture du portillon avant Largeur des quais entre la contention avant et arrière : 60 à 65 cm Largeur totale : 0,90 à 1 m
+ + + - - -
. Système performant et confortable (à condition qu’il y ait un minimum de 24 postes).
. Bonne visibilité et bon accès des mamelles pour les plate-forme avec accès par l’intérieur.
. Bonne contention des chèvres.
. Pas d’évolution possible (nombre de places).
. Prix d’achat élevé et entretien coûteux.
. Besoin impératif de bien étudier la liaison aire d’at-tente—plate-forme.
. Absence de visibilité des animaux et des mamelles en cas de trayeur à l’extérieur.
+ + + - - -
. Entrées et sorties des chèvres rapides.
. Bonne visibilité des mamelles.
. Faible encombrement, elle peut être aménagée dans un Bâtiment ancien de faible largeur.
. Faible coût à l’achat et maintenance peu importante.
. Entrées et sorties nombreuses augmentant le temps improductif.
. Nécessiter d’une griffe par chèvre (sauf en cas de lac-toduc en ligne haute).
. Contention moyenne des animaux.
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Bâtiments et équipementsBâtiments et équipements -- 7 7 --
SALLESALLE DE TRAITE EN TUNNEL DE TRAITE EN TUNNEL Cette salle de traite se caractérise par le positionnement des animaux les uns derrière les autre sur un quai de faible largeur, sans séparation entre les animaux. Caractéristiques
Dimensions
Longueur des quais : 80 cm à 1 m/chèvre Largeur totale : 30 à 40 cm
Avantages et inconvénients des différentes salles de traite
Cadences moyennes possibles en salles de traite (nombre de chèvres par heure*)
Une salle de traite bien dimensionnée Largeur de la salle de traite
en quai, sortie par l’avant, prévoir au moins 6 m,
pour un roto intérieur 24 postes, prévoir au moins 9 m,
pour un roto extérieur 30 postes, prévoir au moins 7 m.
Largeur de la fosse : 1,80 à 2 m. Longueur de la fosse : 7,5 à 8 m. Privilégier les salles de traite de plain-pied. Viser des pentes inférieures à 10 %. Privilégier une contention modulable et réglable.
Une salle de traite bien éclairée
Les aménagements de la salle de traite
Taille du trayeur (cm) Hauteur du quai (cm) < 150 – 165 90 166 – 175 95 176 – 185 100
> 185 105
Taille du trayeur et hauteur des quais :
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La laiterie abrite le tank à lait et les installa-tions de nettoyage du matériel de traite. Elle ne doit contenir que ce qui est nécessaire aux opérations de traite et de nettoyage (pas d’aliments, de pesticides ou de matériel). Construite en matériaux durs, couverte, la laite-rie est indépendante des locaux de stabulation et séparée de la salle de traite. La surface du local de stockage du lait doit être de 20 à 30 m². Une hauteur sous plafond de 2,50 m au minimum.
Deux ouvertures opposées et protégées assu-rant une ventilation efficace.
Les accès au local de stockage du lait doivent être dégagés pour permettre les manœuvres des camions de collecte de lait. La piste d’accès doit être solide et toujours propre. Lorsque cela est possible, il est intéressant de construire tout près de la laiterie, une salle des machines dans laquelle toute les sources de pol-lution potentielles et/ou de chaleur seront re-groupées
Le local de stockage du lait
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Bâtiments et équipementsBâtiments et équipements -- 9 9 --
LES AUTRES EQUIPEMENTSLES AUTRES EQUIPEMENTS Les systèmes de mécanisation de l’alimentation des caprins
Mécanisation del’alimentation en chèvrerie
Fractionnement des aliments etoptimisation du rendement dela ration individuellement ou
par lots d’animaux
Gain de temps de travail
Confort de travail
ELEVEURCoût d’investissement
ECONOMIE
CHEVREImage des produits
FILIERE
Schéma 1 : intérêts et inconvénients de la mécanisation de l’alimentation
Tableau récapitulatif des différents équipements avec leurs caractéristiques d’utilisation
Selon Claude BROQUA. Institut de l’Elevage
Distribution Ration Aliment ou mélange uni-que par repas
Contrôle individuel du non
consommé Automatisation Présence humaine
obligatoire Individualisée Par lot
Tapis d’alimentation * * * Chaîne à palettes * * * DAC * * * Trémis sur rail * * Trémis mobile * *
Cornadis vue de l’aire paillé
Quelques repères stockage
Concentrés Fourrages
Céréales 650-750 kg/m3 Foin (botte ronde, 1,2 x 1,2) 190 kg Granulés, soja 600 kg/m3 Enrubannage (50 % MS (botte ronde, 1,2 x 1,2) 400 kg
Luzerne déshydratées 550 kg/m3 Paille (botte ronde, 1,2 x 1,2) 120 kg
Kg à stocker par chèvre suitée par an
Foin pour les ration à dominante foin 700 à 1 000 kg
Foin pour les autres rations 400 à 500 kg
Paille litière 300 kg
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Gestion des fumiers de la chèvrerie
LA GESTION DES EFFLUENTSLA GESTION DES EFFLUENTS
Gestion des effluents liquides
En pratique, si la litière est accumulée au moins deux mois sous les animaux, le stockage peut se faire au champ en respectant les distances minimales vis-à-vis des tiers, des cours d’eau, puits, forages et fossés, prévus dans chaque Règlement Sanitaires Départemental (RSD).
Si l’éleveur souhaite stocker son fumier sur une plate-forme, il faut prévoir, pour 4 mois de stockage 0,30 m2 par chèvre et 0,08 m3 par chèvre de fosse pour les lixiviats si la fumière n’est pas couverte (+ 0,01 m3 par place pour la pluviométrie sur la fosse).
Les eaux blanches sont les eaux souillées issues du lavage des installations de traite (machine et tank). Ne rentrent pas dans cette catégorie les laits non commercialisables. De même, les quantités d’eaux utilisées pour le lavage des locaux (laiterie, fosse et quais de traite…) doivent être stockées ou traitées (attention à ne pas sous-estimer ces volumes qui peuvent être importants).
Ces effluents ne doivent pas être rejetés dans le milieu naturel. Le RSD exige un stockage en fosse puis un épandage sur prairies (la durée de stockage varie selon les RSD entre 45 jours et 4 mois) ou la mise en place d’un système de traitement.
Les quantités produites varient suivant le type de machine à traire, et selon la quantité d’eau utilisée pour le lavage des installations et de la laiterie. Quantités d’eaux blanches produites par mois :
En général, les volumes d’eaux blanches produits se situent entre 10 et 20 m3 par mois.
Le « tout » stockage
Il permet de stocker tous les effluents (eaux blanches, eaux de lavage des quais, laits non commercialisables…).
Plusieurs types de fosses :
− Fosse en géomembrane non couverte assez économique (6 à 8 000 €) mais doit être éloignée des bâtiments et des maisons à cause des odeurs.
− Fosse béton couverte, la plus grande sécurité mais coût élevé (10 à 15 000 €).
− Citerne souple hors sol. Évite de creuser, posée à même le sol. Déplaçable en cas d’agrandissement de bâtiment. Nécessite une pompe de remplissage (8 à 10 000 €).
− Citerne acier reconditionnée enterrée ou hors sol. Prix variables.
Ces équipements de stockage doivent bénéficier d’une garantie décennale du fournisseur et/ou de l’entreprise réalisant les travaux pour bénéficier d’une aide de l’État.
Le traitement des effluents (une alternative au «tout stockage»).
L’intérêt de ces systèmes réside dans le fait qu’il n’y a pas à épandre ces eaux blanches qui ne possèdent pas de valeur fertilisante.
Aujourd’hui, il existe plusieurs procédés ou filières de traitement pour les eaux blanches :
− Décanteurs + épandage avec tuyau perforé ou asperseurs sur prairie.
− Filtres plantés de roseaux. − Fossés lagunants.
L’implantation de ces ouvrages doit se raisonner au même titre que le bâtiment (accès, quantités à traiter, nature du sol, distances réglementaires, etc…). Le coût est souvent proche de celui d’une fosse.
Il est nécessaire de vérifier dans son département quels sont les systèmes validés par l’administration.
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⇒ Installations de traite pour les chèvres Institut de l’Elevage - Editions France Agricole - 2006
⇒ Le logement des troupeaux caprins du Centre Ouest Institut de l’Elevage - SICA du Poitou - Chambres d’Agriculture - Contrôles Laitiers - octobre 2006
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POUR EN SAVOIR PLUS POUR EN SAVOIR PLUS
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