bonella hollowayun micro est branché sur une pédale loop dans un espace qui réverbère. une...
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Bonella Holloway www.bonellaholloway.com
Je focalise sur les boucles internes de la vie quotidienne en creusant dans sa musicalité et son humour. Divers protocoles, processus et dipositifs émanent d’une recherche autour de différents rythmes: de transport, de repas, de parole, de schémas émotionnels, du montage dans le cinéma, de la sexualité... Ces éléments apparaissent comme des fragments, bribes ou captations à détourner. Le bégaiement et la répétition sont des axes de recherche récurrents, ainsi que l’invisible, l’inaperçu et un questionnement du non-dit. Je travaille la vidéo, l’écriture et la performance en exploitant et explorant les points de rencontre entre ces trois médiums.
performances sonores actions en direct construites sur une recherche sonore
Club Sandwich George Michael Jackson Pollock
Club sandwich 2015grille pain amplifié, pédale loop, platines à vinyles, disques, pain, poulet, bacon, tomates, salade, mayonnaise, mixette, cure dents, temps variable
Dans ce dispositif sonorisé, je prépare des sandwiches tout en passant des disques.
Deux séries d’actions simples sont entrecroisées.Le grille pain amplifié est bouclé, et crée une base sonore régulière sur laquelle je viens construire mes club sandwiches. Sandwich à trois étages, je les empile à même une sélection de disques en lecture. Quand la tête de lecture vient toucher le coin de la tartine, elle crée une boucle courte, le temps que je finisse la préparation, enlève et distribue le mets au public.
La bande sonore et les triangles de pain se construisent simultanément, disparaissent puis se reconstruisent à nouveau.
vue de la performance, IPN, Toulouse, 2015
Un micro est branché sur une pédale loop dans un espace qui réverbère. Une enceinte est placée d’un côté d’une murette, face au mur. Le performeur, le micro, la pédale à effet et une partition sont de l’autre côté.
George Michael Jackson Pollock 2014installation sonore progressive, partition, enceinte, microphone, mur carrelé, pédale loop
La partition est une liste de mots: Des traductions de l’anglais au français, des faux amis, des homophones, des analogies, des rimes.
Je trace les dimension de la surface du mur devant moi au micro, enregistrant une première couche qui sera bouclée à la pédale. Je disa chaque mot au micro, en passant par la pédale loop, puis l’écris au mur. Graduellement, l’espace visuel se remplit d’écritures, alors que l’espace sonore se met à grouiller de paroles qui se superposent. La performance s’arrête quand le son de l’enceinte revient au micro créant un larsen qui fait imploser l’espace sonore.
plan de l’installation
Repeat - répétition - rehearsal - hearsay - he-
recy - hérétique - hairy - Harry - Prince - The
Artist Formally Known As - AKA - Alias - liaison
- liasse - Scarface - fesse - fesser - smacked
bottom - fond - fondement - fondre - s’effon-
-
tah - guépard - jeopardize - danger - dagger
- knife - kanif - couteau - cou - cul - arse - ask
- demander - question - quest - journey - jour-
née - quotidien - quote - citer - cité - suburbs
- outskirts - jupe - dupe - dope - drop - it like it’s
hot - snoop - Dog eat dog - chien - chier - shit
- ship - sail - sell - seal - selle - saddle - sad -
triste - s’attrister - sat down - syndrome - sin -
pêcher - Peaches - Fuck the Pain away - nique
le pain au loin - loin - cloth - clothes - habits
- habit - chasuble - cat - Power - Rangers - tidy
- tide - Marais - bobo - bruise - Bruce - Willis
- willies - kékette - quête - seek - seat - chair
- the chair is not my son - sun - briller - brillig -
Brille - lunettes - spectacles - spectacle - show
- show - chaud - hot - hôte - The Host - horror
- whore - pute - Pepe le pue - skunk - Anansie
- Sinatra - Frank - Anne - Donkey - et donc - so -
sow - coudre - coude - elbow - bow - Bow Down
Bitches - Béyoncé - Fierce - Féroce - Ross -
Geller - Keller - cellar - cave - Nick - Bat Caves
- Batman - Batmobile - Robin - Hood - wink -
cligner - inclined - clean - Klein - Yves - Saint
Laurent - rentier - Thierry Henry - Miller - mill
- mille - thousand - sand - sable - shortbread -
pain - pain - douleur - dollar - in my pocket - Pol-
ly Pocket - poche - poach - chasser - échasses
- stilts - crystal - meth - method - man - homme
- home - maison - mason - Manson - Charles -
Hell - Boy - George - Michael - Jackson - Pollock
extrait de la partition
vue du mur après la performance, au Salon du Sang Neuf aux Ateliers Claus,
Bruxelles
installations vidéosinstallations intégrant vidéos-projecteurs à l’espace d’exposition
Dancing with myself Cowboys and Indians
Dancing with myself 2014 dispositif performé, temps variable
vues de la performance à Blauverschiebung 7, Galerie KUB, Leipzig
Dans cette installation performée, un ou plusieurs danseurs improvisent en direct devant un public.
A échelle 1 sur leur corps est projetée une vidéo de leur propre corps, en train de danser. Bloquant la continuité de la vidéo, une série de pas de danse sont bouclés, donnant un effet de bug ou de vinyle rayé. Le danseur live imite ces modifications numériques au cours de son improvisation.
Alors que la boucle (vidéo) tourne de façon constante, le mouvement du danseur (en direct) fatigue et se dégrade. Le corps cesse d’être performeur pour devenir sculpture. Dans une prochaine édition un performeur danserait deux heures puis la vidéo serait changée, le danseur remplacé. La performance deviendrait ainsi une pièce durationnelle et pas seulement un évènement début-fin.
détail de la superposition, Museum Lytke, Leipzig
Cowboys and Indians 2013 installation vidéo et bande sonore, boucle
Deux vidéos en boucle projetées en vis à vis, deux bandes sonores en boucle superposées. Les vidéos-projecteurs posés au sol intègrent la silhouette du spectateur au dispositif.
Cette silhouette, ombre découpée dans l’image projetée, renvoie à un cliché cinématographique de John Ford. Deux personnes déguisées comme des enfants déguisés en cowboys s’avancent vers la caméra sur un mur. Sur le mur d’en face deux personnes déguisés en indiens courent vers la caméra. Une série de boucles dans le montage des deux vidéos empêche les protagonistes d’arriver jusqu’à la caméra. La bande son, deux musiques phares d’Ennio Morricone se superposent, leur structure interne est phasée dans un chaos sonore. Le drame de ces deux musiques s’oppose à la naïveté des costumes et à l’amateurisme de la qualité des images.
captures des vidéos projetées
vue de l’installation
bouclesun ensemble de vidéos en boucle où se répétent des actions simples, diffusées sur écrans de télévisions
The Groucho MaskTacita, tacita, tacitam
Yes I can have my cake (and eat it) Fish Slaps (remix)
Un visage sous un visage, masque sous un masque. En empruntant les codes comiques des Frères Marx, un geste simple lague, est bouclé et dessine une musicalité rythmée sur la voix et le mouvement répétés du modèle.
The Groucho Mask 2014vidéo et son, boucle
Mes trois soeurs sont alignées le long d’un mur dans un jardin anglais. Elles crient d’un ton monotone et irritant. Je m’efforce de leur fermer la bouche de mes deux mains. Il y en a toujours une qui crie.
Tacita, tacita, tacitam 2012 performance filmée, couleur, boucle
Slaps (remix) 2012 vidéo, couleur, 2min09
Je m’enferme avec une série de personnes dans un placard à balai avec une caméra. Je les frappe un à un avec un maquereau puis un objet de leur choix. Le poisson et autres objets deviennent instruments à percussion dans un montage rapide et rythmé de violence gratuite.
L’expression «You can’t have your cake and eat it» signifie qu’une fois le gateau mangé, on ne le possède plus. Je fixe la caméra sans bouger. Grâce au montage je régurgite et remange un gateau à l’infini dans la précipitation, sans lâcher la caméra du regard.
Yes I can have my cake (and eat it) 2013
performance filmée (sans son), couleur, boucle
un ensemble de dispositifs performés à partir de cassettes mini DV
Histoire de la performance Journal 1 Journal 2
journal !lmé
un ensemble de dispositifs performés à partir de cassettes mini DV
Histoire de la performance Journal 1 Journal 2
Ce dispositif met en dialogue l’art et le quotidien. Les gestes du banal et les actes de la performance sont mis à niveau : Un texte lu par le performeur résume et retrace l’histoire de la performance, souligne ses répétitions et ses ruptures en négligeant les détails et la chronologie des événements. Une série d’actions montrées en images, empruntées à mon journal filmé sont éclairées comme gestes artistiques ou performances volés au banal.
Histoire de la performance 2014 dispositif performé, double projection, bande sonore, partition, temps variable
vue de la performance à Lieu Commun
A partir d’une base de données filmique, cassettes de mon journal filmé, j’alterne entre un fil narratif, projeté depuis une source en continu (DVD), et des fragments qui viennent interrompre et s’intercaler de façon aléatoire et impromptue. Les images personnelles viennent trouver leur sens dans un caractère de déjà vu pictural et sensible, et de lieux communs filmiques.
Journal 2 2014 dispositif performé, double projection, bande sonore, 20min
Journal 1 2012 dispositif performé, deux écrans, deux enceintes, deux vidéos projecteurs, deux
lecteurs à cassettes mini-DV, cassettes, partition, temps variable
De 2009 à 2014 je filme en continue. Les couleurs, les passants, les amis, la famille, le paysage par la vitre de la voiture, les inconnus qui mangent, le barman qui râle, la pluie.
Je stocke ces ensembles de fragments afin de les monter de diverses façons dans des dispositifs différents. Les cassettes mini DV sur lesquelles je filme sont des montages en soi, une série croissante de vidéos tournées-montées d’une heure.
Je contourne le montage numérique, créant des partitions afin de trouver des rencontres inattendues en entreposant des images de façon achronique.
No Standing Anytime46 chatons
12 hour Aquarium
invisible
No Standing Anytime46 chatons
12 hour Aquarium
No standing anytime 2012 performance, 30 minutes, New York
Des passants sont invités à se tenir groupés sous le panneau «NO STANDING ANYTIME», qui interdit aux voitures de se garer.
46 objets jumeaux collectés sur un parcours cartographiant la ville de Leipzig ont été distribué à 46 personnes ayant signé le protocole de l’exposition.
Durant une semaine ces individus exposeront leur objet dans leur poche. L’exposition est médiatisée à l’avance mais le geste restera inaperçu, et sans public.
chatons n°22
contrat n°6
46 Chatons 2014 exposition invisible, une semaine, avec Alison Jouani et 44 volontaires
Toulouse, Paris, Leipzig
12 hour Aquarium 2014 performance, douze heures, Museum Lytke, Leipzig,
avec Rémi Blanes, Anna George Lopez et Chloé Gonçalves Deal
Quatre personnes s’enferment dans une galerie pendant douze heures. La vitrine de la salle devient l’écran d’une télévision muette dans laquelle les acteurs s’ennuient. Le temps passe, on n’attend rien, les passants s’arrêtent parfois, on se met à communiquer avec l’extérieur, jusqu’à ce que la fenêtre soit saturée de papiers écrits. Une série de messages muets au spectateur exclu. Le regardeur devient regardé.
performeurs dans la vitrine
spectateurs communiquent à travers la vitrine
lectures performéeslectures à partir de partitions de textes écrits autour d’une fragmentation du quotidien
Blansen Bones NON
La Pizza au KebabLe journal de David Holzman
« Blansen Bones est un duo batterie/voix dans lequel Rémi Blanes tape sur sa batterie et Bonella Holloway lit ses textes en français mais aussi un peu en anglais (sauf la batterie) la plupart du temps le volume sonore est en crescendo c’est à dire de plus en plus fort mais aussi de plus en plus vite mais pas toujours et parfois c’est plus monotone et moins énervé et il y a des moments où c’est drôle mais pas que et pas toujours. »
Blansen Bones lectures performées, batterie, micro, partitions, avec Rémi Blanes
lecture de «Body Manche» à IPN 2014
up into really little pieces.
Sleeping
Coming
Pissing
Kissing
Drawing
Swimming
Liquidizing
Cutting
Shitting
Sitting
Eating
Laughing
Pretending
Pointing
Putting
art.
art.
art.
art.
art.
art.
art.
art
art.
art.
art.
art.
art
art.
art
with
on
on
on other people’s
with
on
on
at
at bad
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is a dog and taking it to the park on a leash.
on your head.
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NON
NON
NON
NON
NON
NON
NON
NON
NON
NON
NON
NON
NON
NON
NON
En - - - - - - ce qui - - - - - - - - - con - cerne - - - - - - - - les - pizzas - - - - - - - - au kébab - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Les - - - - - - - - - - - - pizzas - - - - - - - - - - - - au - - - - - - - - - - kébab - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - les pizzas au kébab - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - En - ce - qui - concerne - les - pizzas - au - kébab - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
- - - - - - - - - - - - les - gens - - - - - - - - - - - veulent - - manger - - une - - pizza - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
- les gens - - - - - - - - - - - - veulent manger - - - - - - - - - - - - - - - - - -une pizza - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
qu’ils mangent - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - une pizza - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
- - - - - - - - - - - Et - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - ils - veulent - manger - un - kébab - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -- - - -
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qu’ils mangent - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - un putain de kébab
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- - - Y - a - t - il - - - - - - - - - - - - tant - de - personnes - - - - - - - - - - qui - ne - savent - à - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
ce - qu’elles - veulent pour qu’on aie à leur inventer un espèce de plat à la limite du mangeable se trouvant à mi chemin entre les deux fast food les plus gras des rues de ? - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
- - - - - - - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
- - - - - - - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
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Peu être qu’il s’agit de gens qui ne mangent au fast food qu’une seule fois dans le mois comme par principe ou prescription ou qu’est ce - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - et - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
pour cette raison ils ne peuvent pas choisir entre les deux un énergumène insatiable ne trouve rien de mieux à faire qu’affabuler la pizza au kébab. Ben ils devraient simplement apprendre à choisir ce gens là ! - -
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - tu manges une pizza - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
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S i
si
si
v r a i m e n t p o i n t
p a sToulouse
quetlà et bim
Soit soit
tu mangesun
ce
S i
Ob jects // ob jets
peo ple // les gens
seem to // sem blent
speak to-me // me parler
seem to // sem blent
carry some mea ning // por ter un sens
that - quei - je
can’t - peux pasquite - vraiment
get - saisir
My life (ma vie) my life (ma vie) my LIFE // ma VIE
though - bien que ordinary enough - assez ordinaire
seems to // sem blehaunt me // me han terin uncommon ways ///////////////////////////////////////////////////////////////////// d’une drôle de façon
seems to // sem blecome to me // me par ve nir
from somewhere else + d’ailleurs
And I’ve been trying to understand it but it seems that I can’t quite get it.
If - si I - je
put - metsit all - tout
down on - sur
And I run it back and forth // Et que je l’avance et le reculeAnd I run it back and forth // Et que je l’avance et le reculeAnd I run it back-and-forth // Et que je l’avance et le recule
And-I-run-it-back-and-forth // Et-que-je-l’avance-et-le-recule
And-I-stop-it-when-I-want-to // Et-je-l’arrête-que-je-le-veux
The I got ev erything // Alors j’ai tout(I got it all)
I should get it all, I could get the mea ning, i could understand.
performances collectives // collaborations
Give and take Comédie musicale Subasta de palabrasCommission d’Artagnan
Give and take (avec Hugo Lemaire) 2012performance, temps variable
Un couple entre dans un espace, l’un habillé, l’autre nu. Assis en face, et sans se quitter les pieds ni les mains, l’un ôte ses habits un à un, l’autre les met.Les deux corps se retrouvent en tension, l’un se découvrant, l’autre se cache. Le couple dialogue devant le spectateur. L’un donne, l’autre prend, jusqu’à ce que le premier n’ait rien et le deuxième ait tout. Les corps dansent le passage chorégraphié ensemble mais comme un conflit.Les habits se trouvent à l’envers et empilés dans le mauvais ordre sur un corps trop petit, avec maladresse et sans élégance.
vue de la performance, Lieu Commun, Toulouse, 2012
Tout comme dans une comédie musicale, un groupe de personnes d’habits bariolés se met à chanter et danser lors d’un événement public, par surprise.
Comédie musicale 2012 performance faussement spontanée Subasta de palabras 2012
group performance, Galeria Aleph, Toluca de Lerdo, Mexico
Je «vends» une sélection de mes affaires personnelles aux visiteurs de la galerie. Dans cette vente aux enchères dont la monnaie est le mot, l’acheteur est celui qui propose d’écrire le texte le plus long sur l’objet. Ainsi je remplace une vingtaine d’objets par un livre de descriptions de ces derniers.
La Commission d’Artagnan 2012 - 2015 comité d’experts, conférences - avec onze autres experts
«La commission d’Artagnan, formée en 2012 au sein de l’institut supérieur des arts de Toulouse, est un groupe d’experts auto-proclamés, spécialistes de leurs propres initiatives : « […] des experts qui se forment en même temps que le projet s’énonce », peut-on lire dans l’un des documents de présentation de cet organisme, dont le modèle (dés)avoué est la commission européenne. C’est un texte réglementaire de cette dernière qui fournit ses principes de fonctionnement et ses objectifs à son double parodique, non sans avoir été détourné par la suppression de quelques informations. Ainsi peut-on apprendre que la commission d’Artagnan « analyse systématiquement l’impact éventuel des nouvelles initiatives ; consulte les parties prenantes et les parties intéressées ; met en œuvre un programme destiné à simplifier ; s’attache à mesurer et à réduire. » C’est d’abord par son fonctionnement même et à travers sa communication que se définit ce groupe de travail. Il est un travestissement critique du réel, une fiction tournant en dérision une société trop souvent régie par les décisions ou les injonctions de soi-disant experts dont la légitimité est souvent contestable, mais dont l’impact et la présence médiatique sont considérables.»
experts lors d’une conférence, 2013
Bonella Holloway
DNAP, Institut Supérieure Des Arts de Toulouse, 2012
www.bonellaholloway.com
Londres, 27.04.1991
Lectures performées de Blansen Bones (avec Rémi Blanes), Bibi Konspire + Lespinasse/BoubakerIPN, Toulouse
Collaboration pour le projet «K K KKK» de Seulgi LeeAssistante sur «Le Mauge», commande publique de Seulgi Lee Prix de La Dinée La Collective, RennesPerformance Club SandwichIPN, ToulouseLectures, Hôtel Paradoxe, Radio Libertaire, Paris Résidence, Salon du Sang Neuf, avec Antoine Boute et Madely SchottAteliers Claus, BruxellesLectures performées de Blansen Bones, (avec Rémi Blanes), Sorties d’AtelierIPN, ToulousePerformance 46 ChatonsPerformance Dancing with MyselfBlauverschiebung 7, Leipzig International Performance Festival, Galerie KUB, LeipzigWorkshop Armée Noire avec Charles Pennequin et performance Mani!esta, rencontres FRASQGénérateur, GentillyPerformances Dancing with Myself #1 (Alison), Dancing with Myself #2 (Jana) et 12 hour AquariumMuseum Lytke, Leipzig Commissariat de l’exposition collective «1, 2, 3 there’s no place like home»1 Place Riquet, ToulouseWorkshop à Dresden avec Milos TomicRésidence FUGITIF à LeipzigLecture performée et installation vidéo, Histoire de la Performance Lieu Commun, Toulouse Workshop de lectures performées, Anne Kawala, ISDATProjection Blonds in Manhattan Centre Culturel Bellegarde, ToulouseInvitée à la résidence «L’inconnu me dévore» (Morgane Tschiember, Zaacheel) Croix Baragnon, ToulouseEvénement collectif, Transistor, performance Yes I can (have my cake and eat it) Connexion café, ToulouseExposition et performance Shrove Wednesday Galeria Aleph, Toluca de Lerdo, MexiqueProjections Spaghetti et Slaps, soirées Flares Centre Rabelais, MontpellierPerformances Give and Take avec Hugo Lemaire et Comédie Musicale, Meeting #2 Lieu Commun, Toulouse
Co-Fondation de La Commission D’artagnanPerformance de Jochen Dehn, Total Osmosis, Entremet Les Abattoirs, ToulouseCommande d’ARTE pour Code Barre ( http://codebarre.tv/fr/#/fr/!lm/94 ), vidéo Milk
DNSEP, avec mention pour la recherche, Institut Supérieure Des Arts de Toulouse, 2014
2014
2013
2012
2011
2015