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B''H N° 57 BEIT MIDRACH TORAT HESSED MALEY RAHAMIM 11 KIKAR HATSMAOUT NETANYA Rav Acher Fitoussi Chelita 28/01/2012 site:www.torat - hessed.com 4 chevat 5772 CHABBAT : BO ENTRÉE : 16H49 SORTIE : 17H49 HAFTARA : HADAVAR ACHER DIBER BIOGRAPHIE : Rabbi Moché Idan, de Djerba Né à Djerba en 1842, Rabbi Moché Idan fut, sans conteste, l’un des plus grands Kabbalistes de son temps, doublé d’un poète et d’un grammairien hors -pair. Son père, Rabbi Kalifa Idan, avait eu comme disciples la plupart de ceux qui allaient devenir les leaders spirituels de Djerba. Pour avoir une idée de sa sagesse, il suffit de citer l’éloge qu’en fit Rabbi Massoud Cohen Elhaddad, de la Yéchiva Beth-El de Jérusalem,à l’occasion de sa visite à Djerba. A l’issue de ses rencontres avec Rabbi Moché Idan,ses hôtes lui demandèrent ses impressions. Rabbi Massoud leur répondit : « Rares sont ceux qui, dans le monde, ont atteint son niveau en Kabbale, et même en Erets Israël ». Dans la préface de ses ouvrages, Rabbi Moché Idan apposa en guise de signature les mots suivants : « Celui qui se contente de très peu, le serviteur de l’E-ternel, Moché Idan ». En effet, malgré ses immenses connaissances en Torah révélée et cachée, Rabbi Moché manifestait une humilité proverbiale et, ne voulant pas être certain de la perfection de sa piété, jugeait bon de s’imposer quantité de jeûnes. Comme nous l’avons dit plus haut, Rabbi Moché Idan était l’auteur de nombreux ouvrages. Parmi eux, « Torat Moché», « Tiféréte Moché » et « Cha’choua’ Mitsva », contenant des commentaires sur la Torah, la Kabbale et les Mitsvot. Ces dernières, dans « Cha’choua’ Mitsva », sont énumérées et expliquées sous la forme d’un long poème. Voici quelques récits concernant ce Tsadik. Un jour qu’il enseignait à la Yéchiva de Gabès, une femme vint lui demander de lui écrire une lettre. Rabbi Moché lui répondit qu’il ne pouvait, ce jour-là, lui rendre service, étant occupé et « salarié ». La femme ne comprit rien à ses explications. Pire encore : elle crut qu’il l’avait injuriée et alla se plaindre de lui auprès du Gabaï, l’administrateur de la synagogue. Celui-ci lui demanda : - Peut-être vous souvenez-vous exactement des paroles du Rav ? - Oui, répondit la femme. Il m’a traité de « salariée »! Le Gabaï s’empressa de lui expliquer qu’il n’y avait là, à D. ne plaise, aucune injure. En fait, Rabbi Moché lui avait dit qu’étant lui-même « salarié », il était donc redevable de son temps, voire de la moindre minute, à la Yéchiva. Une fois libéré de ses obligations, il se ferait sans doute un devoir de lui rédiger sa lettre. Le Gabaï ajouta : - Allez donc chez lui, ce soir, à la maison, et je suis certain qu’il vous aidera de bon cœur. Rassurée, la femme se rendit compte qu’il s’agissait là d’un simple malentendu de sa part, alla chez Rabbi Moché le soir même et ressortit avec la lettre tant désirée. La scène suivante se passa dans un café de Gabès. L’un des consommateurs, un non-juif, lança à la cantonade : « Il n’y en a pas deux au monde comme Rabbi Moché Idan ! » Et comme on lui demandait la raison de ce compliment, il raconta ceci : - Ce matin, à l’aube, nous avons entendu des cris provenant de la plage. Nous nous rendîmes aussitôt sur les lieux, pour voir un homme qui, enfoncé à mi- corps dans le sable, n’arrivait pas à bouger, et encore moins à se libérer.

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Bo 2011 paracha

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B''H N° 57

BEIT MIDRACH TORAT HESSED MALEY RAHAMIM

11 KIKAR HATSMAOUT NETANYA

Rav Acher Fitoussi Chelita

28/01/2012 site:www.torat - hessed.com 4 chevat 5772

CHABBAT : BO ENTRÉE : 16H49 SORTIE : 17H49 HAFTARA : HADAVAR ACHER DIBER BIOGRAPHIE : Rabbi Moché Idan, de Djerba Né à Djerba en 1842, Rabbi Moché Idan fut, sans conteste, l’un des plus grands Kabbalistes de son temps, doublé d’un poète et d’un grammairien hors -pair. Son père, Rabbi Kalifa Idan, avait eu comme disciples la plupart de ceux qui allaient devenir les leaders spirituels de Djerba. Pour avoir une idée de sa sagesse, il suffit de citer l’éloge qu’en fit Rabbi Massoud Cohen Elhaddad, de la Yéchiva Beth-El de Jérusalem,à l’occasion de sa visite à Djerba. A l’issue de ses rencontres avec Rabbi Moché Idan,ses hôtes lui demandèrent ses impressions. Rabbi Massoud leur répondit : « Rares sont ceux qui, dans le monde, ont atteint son niveau en Kabbale, et même en Erets Israël ». Dans la préface de ses ouvrages, Rabbi Moché Idan apposa en guise de signature les mots suivants : « Celui qui se contente de très peu, le serviteur de l’E-ternel, Moché Idan ». En effet, malgré ses immenses connaissances en Torah révélée et cachée, Rabbi Moché manifestait une humilité proverbiale et, ne voulant pas être certain de la perfection de sa piété, jugeait bon de s’imposer quantité de jeûnes. Comme nous l’avons dit plus haut, Rabbi Moché Idan était l’auteur de nombreux ouvrages. Parmi eux, « Torat Moché», « Tiféréte Moché » et « Cha’choua’ Mitsva », contenant des commentaires sur la Torah, la Kabbale et les Mitsvot. Ces dernières, dans « Cha’choua’ Mitsva », sont énumérées et expliquées sous la forme d’un long poème. Voici quelques récits concernant ce Tsadik. Un jour qu’il enseignait à la Yéchiva de Gabès, une femme vint lui demander de lui écrire une lettre. Rabbi Moché lui répondit qu’il ne pouvait, ce jour-là, lui rendre service, étant occupé et « salarié ». La femme ne comprit rien à ses explications. Pire encore : elle crut qu’il l’avait injuriée et alla se plaindre de lui auprès du Gabaï, l’administrateur de la synagogue. Celui-ci lui demanda : - Peut-être vous souvenez-vous exactement des paroles du Rav ? - Oui, répondit la femme. Il m’a traité de « salariée »! Le Gabaï s’empressa de lui expliquer qu’il n’y avait là, à D. ne plaise, aucune injure. En fait, Rabbi Moché lui avait dit qu’étant lui-même « salarié », il était donc redevable de son temps, voire de la moindre minute, à la Yéchiva. Une fois libéré de ses obligations, il se ferait sans doute un devoir de lui rédiger sa lettre. Le Gabaï ajouta : - Allez donc chez lui, ce soir, à la maison, et je suis certain qu’il vous aidera de bon cœur. Rassurée, la femme se rendit compte qu’il s’agissait là d’un simple malentendu de sa part, alla chez Rabbi Moché le soir même et ressortit avec la lettre tant désirée. La scène suivante se passa dans un café de Gabès. L’un des consommateurs, un non-juif, lança à la cantonade : « Il n’y en a pas deux au monde comme Rabbi Moché Idan ! » Et comme on lui demandait la raison de ce compliment, il raconta ceci : - Ce matin, à l’aube, nous avons entendu des cris provenant de la plage. Nous nous rendîmes aussitôt sur les lieux, pour voir un homme qui, enfoncé à mi- corps dans le sable, n’arrivait pas à bouger, et encore moins à se libérer.

Nous lui demandâmes : « Que t’est-il arrivé ? » Il nous répondit en indiquant du doigt Rabbi Moché Idan qui, comme à son habitude, était venu s’immerger dans la mer, et ajouta : « Cet homme-là nous dérange tous les matins, en venant se plonger dans la mer. J’ai eu alors l’idée, pour le dissuader de revenir, de lui prendre ses vêtements qu’il laisse au bord de l’eau. Mais voilà qu’après m’en être emparé, je me suis retrouvé figé au sol et, comme vous le voyez, incapable de bouger. Je vous en supplie, faites moi une faveur. Essayez de me détacher de là ! » Pendant ce temps, le Rabbin continuait à se baigner tranquillement, et l’on voyait bien que, ce faisant, il était en pleine ferveur et ne se rendait compte de rien. Nous nous approchâmes alors de lui pour lui expliquer la mésaventure de cet individu. Le Rabbin nous répondit : « Il n’a qu’à reposer les vêtements à leur place, et il pourra s’en aller ». L’homme s’exécuta et sa paralysie disparut comme par enchantement. Il prit aussitôt ses jambes à son cou et, malgré tous nos appels, il préféra ne pas se retourner. Voici, à présent, un extrait de son ouvrage : « Tiféréte Moché » : - Il existe deux vertus auxquelles chacun doit s’attacher. Tout d’abord, le respect d’autrui, dont nos Sages ont dit « L’arrogant est voué à l’Enfer, mais le respect d’autrui mène au Jardin d’Eden».Celui qui possède cette vertu vit parmi les Justes, dont on dit qu’ils sont vivants même après leur mort. Celui-là ne sera pas prompt à commettre des fautes. Nos Sages ont cité le mot du Prophète « Chouvou ! » (Revenez !) dont les lettres inversées donnent « Bochou » (Ayez honte de ne pas respecter autrui !). Ayez honte, disent-ils, des mauvaises voies que vous avez pu emprunter, vous mériterez ainsi le Gan Eden et vous vivrez éternellement, comme il est dit dans la Prophétie : « Pourquoi donc devriez vous mourir,Enfants d’Israël ? » La seconde vertu à laquelle il convient de s’attacher est l’humilité, dont tant de Sages ont déjà fait l’éloge, en donnant pour modèle Moïse lui- même. Bien qu’il eût mille qualités, celle que retient la Torah à son crédit est précisément l’humilité : « Or l’homme Moïse était fort humble, plus que tous les humains de la terre ». Nos Sages ont écrit aussi que, dans l’histoire d’Israël, trois justes ont vu leur humilité reconnue : Avraham, David et Moïse. Or, les initiales de leurs prénoms donnent le mot Adam (Homme). J’ai moi-même cité cette maxime sacrée : « L’orgueil de l’Homme finira par l’humilier ». Nul ne doute donc qu’il suffit de se remémorer l’humilité de ces trois Justes pour réduire son cœur à la raison et échapper ainsi à l’orgueil. Rabbi Moché Idan rendit son âme au Créateur le 4 Eloul 1894, à l’âge de 52 ans. Que son souvenir soit une bénédiction HALAKHOT : Nétilatt Yadaïm du matin pour des enfants en bas âge L’auteur du Péri Megadim à déjà fait cette remarque dans son livre Michbétsot Zahav (sur Orah’ H’aïm chap. 4 note 7), et il écrit : « Je ne sais pas pourquoi on ne fait pas attention à cela. Il est convenable de laver les mains des enfants chaque matin, car le danger est plus grave que l’interdit (H’amira Sakanta Mé-Issoura)… » Ainsi écrit également notre maître le H’YDA dans son livre Moré Béétsba’, ainsi que d’autres Poskim (décisionnaires). Le Gaon Ya’abets (Rabbi Ya’akov Ben Tsevi EMDEIN) fait remarquer lui aussi dans son Siddour, que les gens n’ont pas l’usage de s’imposer cette H’oumra, mais selon la Halah’a, il faut veiller à laver les mains des enfants, chaque matin. L’auteur du H’essed Laalafim écrit : combien il est admirable de laver les mains des enfants qui sont encore dans le berceau, afin qu’ils grandissent dans la pureté et la sainteté. Ses propos n’indiquent pas une totale obligation du point de vue du DIN, mais seulement une mesure de propreté et de pureté.

D’autres Poskims partagent cet avis, et pensent qu’il n’y a pas d’obligation de laver les mains des enfants, puisqu’en réalité, l’esprit d’impureté ne réside pas sur leurs mains, même au réveil. En effet, le Gaon Rabbi Zalmann écrit dans son Choulh’an ‘Arouh’, que la Kédoucha (la sainteté) n’entre essentiellement en l’homme que lorsqu’il atteint l’âge des Mitsvot (13 ans pour un garçon, 12 ans pour une fille), et en parallèle, l’impureté n’est significative que selon le taux de Kédoucha contenue dans la personne. Un enfant en bas âge n’est pas encore réellement imprégné de Kédoucha, donc pas encore réellement exposé à l’impureté.Cependant, l’explication du H’essed Laalafim citée plus haut, reste encore dans toute sa force, puisque grâce à cette Nétilatt Yadaïm, les enfants grandiront avec d’avantage de pureté, et cela, même dans l’hypothèse que les enfants en dessous de l’âge des Mitsvot, ne sont pas réellement soumis à l’impureté. Conclusion : Il est certain qu’il est convenable et juste de prendre en considération l’opinion des Poskim selon lesquels, il faut faire procéder à la Nétilatt Yadaïm aux enfants, même en bas âge, chaque matin. Au moins, lorsqu’il s’agit d’enfants qui peuvent probablement entrer en contact direct avec de la nourriture ou des boissons. Grâce à cela, les enfants grandiront dans la sainteté et la pureté, et représenteront une descendance qui porte sur elle la Bénédiction Divine Tel est l’usage aujourd’hui chez de nombreuses familles religieuses. HISTOIRE : Rabbi Ya'acov Abou'hatséra Rabbi Ya'acov, descendant de la célèbre famille Abou'hatséra, était un homme de D., saint et redoutable, qui faisait des miracles, un Talmid 'Hakham prodigieux dont le génie et la sainteté planent sur les nombreux ouvrages qu’il a écrits en kabbala : on raconte qu’il a demandé à son fils de ne pas publier ses livres avant sa mort, pour qu’il voie s’ils étaient agréables à Hachem. Et effectivement, après sa mort, Rabbi Ya'acov apparut à son fils Rabbi Aharon en rêve et lui dit qu’il pouvait publier ses livres. Cela signifiait qu’ils étaient agréables à Hachem. Depuis sa naissance, il était extrêmement assidu, et il émerveillait tout le monde par sa sagesse et son intelligence. Il s’enfermait à la maison de Chabbat en Chabbat pour étudier la Torah, et multipliait les prières et les mortifications pour arriver à de hauts niveaux de sainteté et de pureté. Une des choses que Rabbi Ya'acov aimait, était d’aider les talmidei 'hakhamim, les orphelins et les veuves, au point qu’il allait de ville en ville et de village en village pour ramasser des contributions pour ceux qui en avaient besoin. Son hospitalité était magnifique, et jusqu’à aujourd’hui, on sait que la famille Abou'hatséra excelle particulièrement dans l’hospitalité. On raconte qu’une fois, Rabbi Ya'acov allait ramasser de l’argent pour des talmidei hakhamim, des orphelins et des veuves. Sur le chemin du retour, il prit un non-juif pour l’accompagner et l’aider. Il avait deux chemins devant lui. Le Rav dit au goy :« Nous allons prendre ce chemin », et le goy lui demanda : « Mais ici il y a des brigands, personne n’ose prendre ce chemin ! » Rabbi Ya'acov répondit : « Ne crains rien. Je suis responsable de toi, tu es avec moi. » Et voici qu’alors qu’ils étaient en chemin, ils virent devant eux un groupe de quarante brigands armés. Le non-juif se mit à trembler,et Rabbi Ya'acov continua son chemin comme si de rien n’était. Les brigands se rapprochèrent d’eux et dirent à Rabbi Ya'acov : « Donne-nous ton argent ! » Il leur tendit le sac qu’il avait à la main, mais ils lui dirent de nouveau : « Pour prendre l’argent, nous devons avant tout te tuer. » Rabbi Ya'acov leur dit : « Allez -y, tuez-moi. » Tous les brigands étaient encore en train de se disputer les armes pour tuer Rabbi Ya'acov Abou'hatséra quand ils se pétrifièrent et devinrent incapables de bouger aucun membre de leur corps. De plus, la moitié de leur corps s’enfonça dans la terre. Quand celui qui accompagnait Rabbi Ya'acov s’en aperçut, il était stupéfait comme quelqu’un qui n’en croyait pas ses yeux, car il n’avait pas l’habitude de

voir les merveilles des saints et purs Tsadikim. Ensuite, Rabbi Ya'acov lui dit : « Laisse-les comme cela, qu’ils restent ici, pour que d’autres voleurs voient et craignent. » Et effectivement, ils les laissèrent comme cela et continuèrent leur chemin vers la ville. Les familles des brigands savaient que leurs proches étaient partis pour voler Rabbi Ya'acov. Ils virent celui-ci revenir de son voyage, mais les brigands ne revenaient pas. Ils attendirent un jour de plus, et ils ne revenaient toujours pas. Voyant cela, ils allèrent trouver Rabbi Ya'acov Abou'hatséra pour lui demander « innocemment » s’il n’avait pas vu des brigands en chemin. Rabbi Ya'acov ne leur répondit pas. Ils se tournèrent vers le goy qui l’avait accompagné, et il leur raconta tout ce qui s’était passé. A la fin,il leur donna le bon conseil d’aller demander pardon au Rav. Ils suivirent ce conseil, et avec de grands pleurs, ils s’approchèrent de Rabbi Ya'acov pour lui demander pardon. Rabbi Ya'acov Abou'hatséra dit : « Pour que les juifs n’aient pas d’ennuis, je leur pardonnerai. Allez-les trouver et dites-leur qu’ils promettent, à partir d’aujourd’hui, d’arrêter de se conduire ainsi, sinon malheur à eux. » Les familles allèrent les trouver, parlèrent avec eux et leur demandèrent : « Est-ce que vous prenez sur vous de ne plus voler, et de ne plus persécuter les gens ? » Ils dirent : « Nous prenons sur nous »,et se levèrent immédiatement de l’endroit où ils étaient. Ils en sortirent indemnes. Rabbi Ya'acov Abou'hatséra sortit de sa ville du Tafilalet au Maroc pour aller en Erets Israël, en passant par l’Algérie et l’Egypte. Alors qu’il était à Damanhour près d’Alexandrie, il tomba malade, et le 20 Tévet 5640, il rendit son âme à D. à l’âge de 72 ans. Que le souvenir du Tsadik soit une bénédiction pour tout le peuple juif ! VIE SAINE : Les propriétés du soja Toutes les préparations à base de soja sont très riches en protéines et en acides gras polyinsaturés (éléments indispensables à la construction des tissus de l’organisme). Sans cholestérol. Elles conviennent aux personnes intolérantes au lactose. Le soja est Antiasthénique, anti cholestérol, reminéralisant. Riche en vitamine C, le soja contient des glucides. La lécithine que l'on extrait de sa graine est une substance qui permet de lutter contre le cholestérol et de prévenir les risques d'artériosclérose. Elle pourrait contribuer à protéger la femme du cancer du sein. Le soja est utilisé pour la fabrication des laits maternisés et des substituts de repas pour les régimes amaigrissants.

CHABBAT CHALOM !!!