bilan d'activité 2011

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Bilan ¥ 2011 AFDAS BILAN D’ACTIVITÉ 2011 Fonds d’assurance formation des secteurs de la culture, de la communication et des loisirs Afdas branches Adhérents Chiffres clés, temps forts territoires Taux d’accès Région par région, initiatives marquantes… activité Opca et Opacif Ressources, partenariats, financements + 10 % d’activité Une forme olympique bilan global

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Bilan d'activité Afdas 2011

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Page 1: Bilan d'activité 2011

Bilan ¥ 2011

A F D A S B I L A N D ’ A C T I V I T É 2 0 1 1Fonds d’assurance formation des secteurs de la culture, de la communication et des loisirs

Afdas branches

AdhérentsChiffres clés, temps forts

territoires

Taux d’accèsRégion par région, initiatives marquantes…

activité

Opca et OpacifRessources,partenariats, financements

+ 10 % d’activité

Une formeolympique

bilan global

Page 2: Bilan d'activité 2011

2 • bilan# 2011

SommaireAvant-propos 3 À vos marques

L’année 2011 en cinq 4points gagnants

Chiffres clés 6

Branches professionnelles 6

Répartition régionale 8des entreprises cotisantes

Dispositifs de formation 10

Branches : temps forts 12et chiffres clés

Audiovisuel 12

Exploitation cinéma 14& distribution de films

Distribution directe 16

Loisirs 18

Publicité 20

Spectacle vivant 22

Intermittents du spectacle 24

Services et conseils 26

Information, conseil 26 et accompagnement

Bilan et compte de résultat 28

Contacts 31

bilan¥2011

Directrice de la publication

Christiane Bruère-Dawson

Conception et rédaction Atelier Large Design

www.atelier-large.com

Réalisation graphique Christophe Sivadier

Illustrations Clément Charbonnier

Impression Néo-Typo

Dépôt légal septembre 2012

Afdas 66 rue Stendhal

CS 32016 - 75990 Paris Cedex 20

tél. : 01 44 78 39 39 – www.afdas.com

lo is irs p.18

. audiovisuel

. p.12

. intermittents

. du spectacle

. p.24

. distribution

. directe

. p.16

. public ité

. p.20

spectacle vivant p.22

exploitation c inéma & distribution de films p.14

Page 3: Bilan d'activité 2011

À vos marques… Le secteur de la formation professionnelle continue, et particulièrement celui des Opca, a été soumis à de nombreux changements ces derniers mois, qu’ils soient politiques ou structurels. L’année 2011 a vu la concrétisa-tion de plusieurs d’entre eux, l’Afdas ayant travaillé d’arrache-pied pour s’adapter.

Deux évènements majeurs sont intervenus : l’intégration des secteurs de la presse écrite, des agences de presse et de l’édition dans le champ de l’Afdas et le réagrément Opca et Opacif par le ministère. De nouvelles bases pour continuer d’assurer nos missions de financement et d’accompagnement auprès, désormais, des quelque 43 000 entreprises adhérentes et de leurs 335 000 salariés, sans oublier bien sûr leurs artistes et techniciens intermittents.

Pendant cette évolution structurelle et avant même la prise en compte de cet élargissement, l’Afdas a intensifié son activité, avec une augmentation de 10 %, tous dispositifs et secteurs réunis. De nouveaux accords de partenariat ont été signés, permettant d’augmenter sensiblement les cofinancements et les actions de formation qui en bénéficient. L’alternance est la grande gagnante de l’année, avec + 18 % de contrats de professionnalisa-tion. Vous trouverez dans les pages qui suivent tous les chiffres clés branche par branche, illustrations à l’appui.

Jean Voirin, président de l’Afdas, secrétaire général de la Fédération nationale des syndicats du spectacle de l’audiovisuel et de l’action culturelle - CGT.

Sophie Huberson, vice-présidente de l’Afdas, déléguée générale du Syndicatnational des espaces de loisirs, d’attractions et culturels.

bilan# 2011 • 3

avant-propos

« En 2011, l’Afdas a enregistré une hausse d’activité de 10 %, tous dispositifs et secteurs réunis. »

Page 4: Bilan d'activité 2011

4 • bilan# 2011

Faits marquants 2011

l’agrément de l’Opca (et Opacif) dans sa nouvelle composition.Avec les secteurs de la presse écrite, des agences de presse et de l’édition, le champ d’activité de l’Afdas rassemble près de 43 000 entreprises cotisantes et 325 000 salariés.Si toutes les parties concernées se réjouissent d’avoir pu mener

à bien les négociations dans les délais impartis par l’État, il faut souligner l’incontestable cohé-rence de champ, qui rassemble sous le même toit des professions très proches. “Culture, communi-cation et loisirs”, dénominateurs communs de l’Afdas, peuvent do-rénavant y être entendus au sens le plus large.

Des partenariats fructueux

L’élargissement du champ

Hausse d’activité, développement de l’alternance, multiples parte-nariats, nouveaux secteurs, début de la préparation opérationnelle à l’emploi... L’essentiel de l’année 2011 en cinq points gagnants.

L’année 2011 en 5 points gagnants

Les négociations auront duré quelques mois, mais c’est à l’été 2011 que les secteurs de la presse écrite et des agences de presse, ainsi que celui de l’édition, ont officiellement décidé de rejoindre l’Afdas, dans le cadre du mouve-ment national de regroupement des Opca. Une démarche validée par le ministère, qui a renouvelé

2

1 3

Tout au long de l’année, l’Afdas a bénéficié de nombreux soutiens émanant de différents partenaires. Au total, 55 accords de partenariat ont été conclus avec les Conseils régionaux, les Direccte, l’Agefiph, le FPSPP, le FSE… Ces cofinance-ments ont permis la poursuite de plusieurs opérations notables. Citons par exemple la plate-forme conseil pour les entreprises et les salariés des industries techniques audiovisuelles. Objectif : les ac-compagner dans leurs besoins de formation et/ou de reconversion

face au passage au numérique. Ou encore les déclinaisons régio-nales de l’Adec (accord-cadre de développement de l’emploi et des compétences) qui concernent les professionnels du spectacle vi-vant, du cinéma et de l’audiovi-suel (salariés permanents et inter-mittents) en Aquitaine, Bour-gogne, Bretagne, Languedoc-Roussillon, Lorraine, Nord-Pas de Calais, Pays de la Loire ou Poitou-Charentes. L’offre de stages afférente est détaillée sur le site dédié : www.stages.afdas.com

Page 5: Bilan d'activité 2011

bilan# 2011 • 5

2011 marque les premiers pas de la préparation opérationnelle à l’emploi (POE). Ce dispositif permet aux demandeurs d’em-ploi de suivre une formation pour acquérir les compétences indispensables à l’embauche dans une entreprise identifiée. L’Afdas a conclu une convention avec Pôle emploi pour promou-voir la POE individuelle dans ses secteurs.Côté financement, la prise en charge conjointe de Pôle emploi

et de l’Afdas peut atteindre 15 euros par heure, jusqu’à une durée maximale de 400 heures.Le dispositif reste encore peu connu des entreprises. L’Afdas communique auprès d’elles afin de développer sa notoriété, dans l’objectif notamment de former des demandeurs d’emploi et plus particulièrement les jeunes. La POE permet en effet de compenser via la formation le delta constaté entre les compétences et les be-soins du poste.

Des partenariats fructueux

Priorité aux publics en difficulté

L’année 2011 est celle de toutes les augmentations : développe-ment de l’alternance (l’embauche sous contrat de professionnali-sation a progressé de 17 %), re-cours à la formation en hausse pour les intermittents du spec-tacle, leurs demandes de finan-cement ont progressé de près de 9 %. Tous dispositifs et sec-teurs réunis, l’Afdas a enregistré, en 2011, une hausse d’activité de 10 %.

Augmentations tous azimuts

Premiers pas pour la POE 4

5

3Autre fait marquant en 2011 : l’accord de partena-riat conclu avec le Fonds

paritaire de sécurisation des par-cours professionnels (FPSPP) por-tant sur l’acquisition d’un socle de compétences clés (pour des salariés ayant un niveau de qua-lification V ou inférieur). Grâce à l’aide du FPSPP et du Fonds social européen, l’Afdas propose des for-mations sur-mesure, financées à 100 %, visant à développer les compétences clés et à sécuriser les parcours professionnels. Les domaines couverts sont l’ac-quisition de savoirs de base (com-munication orale et écrite, calcul, espace/temps), maîtrise des outils bureautiques (Word, Excel...) et des nouvelles technologies, ap-prentissage d’une langue étran-gère dans un contexte profession-nel, aptitude à tra vailler en équipe. En 2011 : 98 % des actions prévues ont été réalisées, au bé-néfice de 418 salariés sur un ob-jectif de 536. Une réussite pour ce projet, reconduit en 2012.

Page 6: Bilan d'activité 2011

Chiffres clés

chiffres clés 201 1

collecte des contributions

170,3 M€ +2,8 %

dépenses de formation

173,9 M€ +3,6 %(dont 15,2 millions d’euros de versement FPSPP)

subventions (dont 18,8 millions provenant du FPSPP)

21,2 M€ +80 %

nombre d’entreprises cotisantes (hors Guso)

39 105 +1,7 %

frais de gestion

7,30 % des ressources (collecte et subventions), soit 14 M€ (contre un plafond légal de 16,4 M€)

cofinancements

55 accords

L’Afdas a bénéficié de nombreux soutiens éma-nant de ses partenaires (Conseils régionaux,Direccte, Agefiph, FPSPP, FSE…)

entreprises rencontrées

3 700 pour 4 425 rendez-vous

Tous dispositifs et secteurs réunis, l’Afdas a enregistré, en 2011, une hausse globale de son activité de 10 %.

6 • bilan# 2011

actions de formation

128 596 + 10,3 %

formationHeures financées

7,4 M + 9 %

Les branches professionnelles

38% Artistes etagents de maîtrise

20% Employéset techniciens

5% Ouvriers

40% Cadres

@é‘‘

légende

ContributionNombre

d’entreprisescotisantes

Taux d’accès à la formation par CSP«

25 % du total des contributions 7 480 entreprises

public ité

Page 7: Bilan d'activité 2011

40 % du total des contributions 7 973 entreprises

audiovisuel

3 % du total des contributions 34 entreprises

1 % du total des contributions 219 entreprises

divers

lo is irs

7 % du total des contributions 4 196 entreprises

bilan# 2011 • 7

21 % du total des contributions 18 261 entreprises

spectacle vivant

24% Artistes etagents de maîtrise

19% Employéset techniciens

15% Ouvriers

31% Cadres

aéz«

39% Artistes etagents de maîtrise

21% Employéset techniciens

8% Ouvriers

36% Cadres

@é‘e

45% Artistes etagents de maîtrise

19% Employéset techniciens

7% Ouvriers

43% Cadres

&érr

44% Artistes etagents de maîtrise

23% Employéset techniciens

12% Ouvriers

44% Cadres

&érr

57% Artistes etagents de maîtrise

9% Employéset techniciens

1% Ouvriers

59% Cadres

@&§§

distribution directe

3 % du total des contributions 942 entreprises

c inéma

45% Artistes etagents de maîtrise

32% Employéset techniciens

14% Ouvriers

42% Cadres

a«r‘170,3 M€

(hors subventions), pour 39 105 entreprises cotisantes (hors Guso)

total des contributions.

25 % du total des contributions 7 480 entreprises

Page 8: Bilan d'activité 2011

Chiffres clés

60 % des entreprises

sont situées hors Île-de-France. Elles représentent 24 % des contributions et 37 % des effectifs.

L’Afdas développe des partenariats (Conseil régional, Direccte, Drac, FSE, associations locales…), dans de nombreuses régions pour la formation de publics ciblés. La liste de ces stages régionaux est disponible sur www.stages.afdas.com.

La mutualisation de formations entre entreprises de régions différentes est en plein développement : elle permet d’organiser une action commune, dans un lieu pratique, à destination de salariés ayant des besoins similaires mais éloignés géographiquement.

Sud-Est5 147 entreprises

13 %

Centre-Est5 103 entreprises

13 %

Sud-Ouest4 553 entreprises

12 %

Ouest3 524 entreprises

9 %

Nord-Ouest2 389 entreprises

6 %

Est1 394 entreprises

4 %

Répartition régionale des entreprisescotisantes

Siège 16 995 entreprises

43 %

8 • bilan# 2011

Afin de répondre aux besoins de proximité, l’Afdas est organisé en sept délégations régionales (Paris, Marseille, Lyon, Bordeaux, Rennes, Lille, Strasbourg), couvrant chacune plusieurs régions.

Page 9: Bilan d'activité 2011

z24% «31% (49%

e z‘

«33%

é21%‘38%

«30%z26%

«31%‘ 1 781 487 113 6 671 485 10

37% é19%z25%

«27% «32%a14%

29%« aquitaine

bretagne

alsace

midi-pyrénées

pays de la loire

lorraine

poitou-charentes limousin

basse-normandie

haute-normandie picardie

rhône-alpes franche-comté auvergne bourgogne

paca languedoc- roussillon

corse

« î le-de-france

a16%é20%

champagne- ardenne

centre

988 197 320 259 233 3

481 91 65 5 138 1350

162 32 100 43 370

1 311

1 120

1 083

501

807 211 541 256 3112

254 64 260 85 1110

2 017

1 836

478

752 187 540 213 2401

1 951

541 164 240 329 177 5

283 73 231 143 1231

382 93 141 147 1091

326 54 151 95 780

632

307 50 170 93 1130

783

235 44 101 43 750

4 446

331

286 54 170 67 1090

406

372 69 201 70 770

415

1 139 173 261 244 2841

73 36 40 27 300

3 060

1 242

133

1 640 372 75 7 556 454 5

S A C D P L -

S A C D P L -

S A C D P L -

S A C D P L -

S A C D P L -

S A C D P L -

S A C D P L -

S A C D P L -

S A C D P L -

S A C D P L -

S A C D P L -

S A C D P L -

S A C D P L -

S A C D P L -

S A C D P L -

S A C D P L -

S A C D P L -

S A C D P L -

S A C D P L -

1 248

516

801 171 44 2 281 234 4

S A C D P L -

5 894 5 215 256 5 3 488 567 186

49 555

S A C D P L -

S A C D P L -

222 37 121 73 720

331

585

535 99 311 159 1420

bilan# 2011 • 9

40%

Taux d’accès à la formation

é

légende

S Spectacle vivant A Audiovisuel C Cinéma D Distribution directe P Publicité L Loisirs- Divers

Entreprises par branches

Nombre desalariés ayant bénéficié d’au moins une formation

331

30%

nord-pas de calais

32%

26%34%

Page 10: Bilan d'activité 2011

Chiffres clés

10 • bilan# 2011

L’Afdas

128 596 actions Total des actions de formation (plan de formation, DIF, périodes de pro., etc.) en 2011.

S+10,3 %73 980 stagiaires

Soit 29,8 % des effectifs estimés en 2011.

Lesdispositifsde formation

Période deprofession-nalisation

2 224 périodes de pro.

S+1,55 %

544 entreprises

S+22,8 %

En 2011, les périodes de profes-sionnalisation ont une durée moyenne de 180 heures pour les permanents (contre 151 heures en 2010). 20,7 % d’entre elles concernent des formations diplô-mantes de 120h et plus (permanents).

Contrat depro fession-nalisation

4 472 contrats s ignés

S+16,7 %

943 tuteurs formés

s-3,97 %

1 936 entreprises d’au moins un sa la rié permanent ont conclu un contrat de professionnalisation en 2011, soit 7 % des entreprises cotisantes. Parmi elles, ce sont les entreprises de 50 salariés et plus qui fournissent le gros du bataillon en re pré sentant 50 % des entreprises ayant conclu un contrat de pro.

Page 11: Bilan d'activité 2011

bilan# 2011 • 11

Plan de formation

92 040 actions de formation

S+7,39 %

Parmi les actions financées, 71 202 l’ont été sur le plan de formation des entreprises et 8 900 sur le plan de formation des branches.

Validation des acquis de l’expé-rience

157 validations des acquis de l ’expérience

S+1,29 %

48 % des VAE visent un niveau supérieur à Bac +2.

Bilan de compé-tences

1 346 bilans de compétences

s-6,79 %

Les congés pour bilan de compé-tences concernent en premier lieu les personnes en CDI (1333). Et les femmes représentent 70 % de l’effectif bénéfi-ciant d’un bilan de compétences.

Congé indi-viduel de formation

577 c if cdi

s-3,67 %

666 c if cdd et c if intermittents

S+4,22 %

59 % des bénéfi-ciaires d’un CIF disposent d’un diplôme inférieur ou égal au Bac. 49 % d’entre eux sont des femmes.

Droit indi-viduel à la formation

26 166 actions dif

S+24,34 %

16 861 salariés concernés

Parmi ces actions, pour les CDI, 15 478 concernent des DIF prioritaires, 3 910 des DIF non prio ritaires. L’année 2011 voit également le démarrage des DIF portés, un nouveau dispositif.

ào

96 %467 entreprisessur 488

50 salariés et plus

75 %1 972 entreprisessur 2 634

10 à 49 salariés

27 %6 314 entreprisessur 23 378

moins de 10 salariés

L’implication des entreprisesPourcentage d’entreprises cotisantes ayant conclu au moins une action plan de formation, période de pro. et/ou DIF, par taille.

Page 12: Bilan d'activité 2011

12 • bilan# 2011

Répertoire des métiersL’Observatoire de la branche a rendu public début 2011 le répertoire des métiers de l’audiovisuel sur son site. 80 métiers – radio et télédiffu-sion, production cinématogra-phique et audiovisuelle, journalisme audiovisuel et industries techniques – sont passés à la loupe : description, activités, compétences, évolution, formation. www.audiovisuel-metiers.fr/

01 44 78 34 09… Au bout de la ligne : des conseils, une orienta-tion, un accompagnement, avec à la clé, une formation. Après deux ans de fonctionnement, la plate-forme conseil pour accompagner la mobilité professionnelle des salariés des industries techniques de l’audiovisuel – dont l’Afdas assure le fonctionnement – porte ses fruits. En 2010 et 2011, 578 salariés ont bénéficié de formations. L’action a été recentrée sur les activités les plus affectées par les muta-tions : laboratoires photochi-miques, postproduction et activi-tés de doublage. Fin 2011, une nouvelle prestation

a été proposée aux personnes ayant bénéficié des services de la plate-forme : un accompagnement à la mobilité pour sécuriser son projet et trouver un emploi durable.

Un suivi post-formationLa démarche, individualisée, s’étend sur six mois, avec douze rencontres entre le consultant et le bénéficiaire. Le consultant s’en-gage à proposer quatre offres d’emploi par candidat, à l’entraî-ner aux entretiens, etc. Le but est de replacer au moins 80 % des can-didats de façon durable. En 2012 à ce jour, 22 personnes ont béné-ficié de cet accompagnement. www.plateforme-itac.fr/

î le-de-france

Près de 600 salariés changent de cap

Comment faire face à une impor-tante commande (52 épisodes de la série Garfield), sur un logiciel que peu de personnes maîtrisent ? Une question récurrente pour Jérôme Bétrancourt, directeur de produc-tion de la société lilloise Studio Red-frog : « Difficile de trouver suffisam-ment d’animateurs 3D formés au bon logiciel. Nous avons recouru au contrat de pro. pour former aux outils et aux méthodes de production. »Vingt-et-une personnes, recrutées sur toute la France, ont suivi une

formation initiale financée par Pôle emploi et le Conseil régional avant le contrat de pro. L’orga-nisme Rhinocéros Formation a accueilli les stagiaires en deux groupes. Embauchés en CDD de neuf mois par Redfrog, ils ont peaufiné la lumière sur les per-sonnages animés de Garfield. Deux personnes ont ensuite été intégrées par la société en CDI et Jérôme Bétrancourt sait qu’il peut faire appel aux autres selon ses besoins.

nord-pas de calais

Contrats de pro pour la 3D

nouvel accord de branche

L’accord du 22 juin 2010 relatif aux modalités d’accès à la formation professionnelle tout au long de la vie et à son financement dans l’audiovisuel (hors intermittents) a été étendu le 8 juin 2011.Par ailleurs, la branche a défini des stages prioritaires pouvant être financés par les fonds mutualisés.

Entre la branche de l’audiovisuel et les nouvelles technologies, la course est serrée. Entraîne-ment, remise à niveau, stratégie ou technique… La formation aide les professionnels à tenir la barre.

Audiovisuel

Temps forts et chiffres clés

Page 13: Bilan d'activité 2011

Entreprisescotisantes

bilan# 2011 • 13

l ’afdas opacif

Nombre de dossiers Taux

recevables traités d’acceptation

CIFCDI* 302(281) r44 %CIFCDD 66(81) !79 %VAE 41(24) à100 %CBC 379(360) à100 %DIFCDD 7(27) à100 %DIFDE 130(9) à100 %Entre parenthèses, les données de 2010.

96 %des CIF-CDI effectués ont eu pour objet une reconversion professionnelle et 69,5 % d’entre eux ont débouché sur un diplôme inscrit au RNCP (dont diplôme d’État).

Afdas Opacif

l ’alternance

Évolution

Nombre 2010/2011

Contrat de pro.* 925 S +21 %Tuteurs 118 S +12 %Fonction tutorale 53 S +83 %

l ’ implication des entreprises

Entreprises ayant Pourcentage

mis en place une action des entreprises

1 à 9 salariés 1 140 z24 %10 à 49 salariés 420 !77 %50 salariés et + 118 à99 %

Total 1 678 «31 %

95 %des contrats de professionnalisa-tion effectués ont visé un niveau supérieur ou égal à Bac + 2.

Afdas Opca

chiffres clés 201 1

7 97359 56468,434 253 1,4

de 10 à 49 salariés

542

de 50 salariés et plus

119

entreprises cotisantes dont 2 624 cotisant uniquement pour les IDS

salariés permanents

millions d’eurosde collecte

salariés ayant bénéficié d’une formation

millions d’heures de formation

de moins de 10 salariés

7 312

S+2,4 %

s-13 %

S+0,8 %

S+6 %

S+11 %

formation des salariés

Nombre Évolution

d’actions 2010/2011

Plan de formation 27 096* S +8 %Période de pro. 242* s -13,9%DIF 5 330 S -4,2 %

Total 32 668 S +5,7 %

2 666actions de formations ont été financées sur les fonds mutualisés du plan de formation de la branche professionnelle.

15 %des périodes de professionnalisation étaient diplômantes ; la durée moyenne des formations s’est élevée à 601 h pour les périodes de pro. diplômantes et à 212 h pour les non diplômantes.

Page 14: Bilan d'activité 2011

14 • bilan# 2011

Qu’il s’agisse de l’exploitation cinématographique ou de la distribution de films, le numé-rique impose sa marque sur les métiers. Il devient ainsi l’un des thèmes de formation les plus recherchés par les entreprises.

Directeur d’exploitation du ciné-ma indépendant Jean-Eustache à Pessac, Nicolas Milési a suivi la formation concernant « l’arri-vée du cinéma numérique dans les salles indépendantes et de proximité du Sud-Ouest » en 2011. Une découverte qui ouvre de nouvelles questions.

Comment cette formation a-t-elle vu le jour ?Cette action a été pensée par des exploitants de salles de proximité qui ont des besoins spécifiques, différents de ceux des multiplexes, où les métiers sont davantage sec-torisés. Les besoins des exploitants ont été recueillis, les organismes de formation ont donc travaillé avec eux pour élaborer la forma-tion, de trois jours. Conçue comme une sensibilisation à l’outil numé-rique, avec ses aspects techniques, mais aussi ses modes de finance-ment spécifiques, ses éventuelles problématiques liées aux droits de diffusion, elle a concerné dans un premier temps trois opérateurs de notre cinéma, puis assez vite une partie plus large du personnel.

Pourquoi l’ensembledu personnel ?Le passage au numérique, plutôt que de menacer stricto sensu le métier de projectionniste, trans-forme le métier. Il faut désormais

une technicité liée à l’informa-tique, pour gérer les fichiers sécu-risés, les clés d’ouverture des films… Tout cela demande beau-coup de rigueur tandis que dans le même temps, la charge de tra-vail s’est déplacée vers les métiers d’accueil pour lesquels il n’existe pas encore de formation spécifi-quement dédiée au monde de l’exploitation. Au départ, on pen-sait être noyé dans la technique, mais de manière paradoxale, le numérique implique plus de tra-vail en équipe, de communication entre les gens. Le film dématéria-lisé peut être réceptionné long-temps avant sa première diffu-sion, par quiconque présent au cinéma : plus les personnes sont en capacité de s’en emparer, mieux c’est.

Quels autres besoins ont émergé ?Les salles de proximité réflé-chissent à étoffer les avant-pro-grammes pour aussi diffuser autre chose que des publicités, pour promouvoir les événements lo-caux, voire les animations pro-grammées par les cinémas eux-mêmes, proposer une approche plus cinéphile, etc. Des formations supplémentaires peuvent être en-visagées à cet effet. Et l’outil évo-luant sans cesse, les formations devront s’adapter.

aquitaine

Numérique, le grand saut

Exploitation cinéma & distribution de films

Temps forts et chiffres clés

tous les métiers concernés

Selon une étude commanditée par la CPNEF de la branche, les métiers de la distribution de films sont également boulever-sés par le numérique. Marché très concurrentiel, il fragilise les petits distributeurs positionnés sur les films de jeunes auteurs. Quant à l’activité liée à la gestion des stocks, elle est menacée à court terme. Le recours à la formation s’avère nécessaire.

Page 15: Bilan d'activité 2011

Entreprisescotisantes

bilan# 2011 • 15

Afdas Opacif

l ’ implication des entreprises

Entreprises ayant Pourcentage

mis en place une action des entreprises

1 à 9 salariés 216 «31 %10 à 49 salariés 179 !80 %50 salariés et + 19 à100 %

Total 414 r44 %

Afdas Opca

chiffres clés 201 1

9429 7614,74 831 188

de 10 à 49 salariés

224

de 50 salariés et plus

19

salariés permanents

millions d’eurosde collecte

salariés ayant bénéficié d’une formation

milliers

d’heures deformation

de moins de 10 salariés

699

s- 1 %

s- 5 %

S+ 4,2 %

S+33 %

S+23,5 %

73 %des contrats de professionnali-sation effectués ont visé un niveau supérieur ou égal à Bac + 2.

l ’alternance

Évolution

Nombre 2010/2011

Contrat de pro.* 56 S +30 %Tuteurs 18 S x 3,6Fonction tutorale 3 t =

35 %des salariés des deux branches ont bénéficié d’une action de formation en 2011 : plan de formation, périodes de profession-nalisation, DIF.

33 %des PP étaient diplômantes ; la durée moyenne des formations s’est élevée à 389 h pour les PP diplômantes et à 159 h pour les non diplômantes.

501actions de formations ont été effectuées via un DIF, dans 134 entreprises.

formation des salariés

Nombre Évolution

d’actions 2010/2011

Plan de formation 3 982 S +36 %Période de pro. 143* S +23,3 %DIF 501* S +20,4 %

Total* 4 626 S +34 %

entreprises cotisantes(825 exploit. et 117 distrib.)

100%des CIF-CDI effectués ont eu pour objet une reconversion professionnelle et 82 % d’entre eux concernaient des formations diplômantes.

l ’afdas opacif

Nombre de dossiers Taux

recevables traités d’acceptation

CIFCDI* 132(104) r43 %CIFCDD 20(6) o95 %VAE 4(3) à100 %CBC 77(77) à100 %DIFCDD 0(1) à100 %DIFDE 26(6) à100 %Entre parenthèses, les données de 2010.

Page 16: Bilan d'activité 2011

16 • bilan# 2011

Distri bution directe

Risques caninsLes agressions canines constituent la deuxième cause d’accidents de travail des distributeurs de Media-post. Pour résoudre cette fâcheuse difficulté, un dispositif de formation a été monté : 610 personnes ont suivi une demi-journée de formation avec Shadow Conseil, spécialiste du comportement canin. Résultat : près de 50 % d’accidents du travail en moins sur deux ans.

Jacqui Stoll (CFTC), président de la CPNE (Commision paritaire natio-nale de l’emploi) de la branche distribution directe, relate la créa-tion du CQP d’adjoint au respon-sable technique de centre ou de chef d’équipe distribution, qui a occupé la commission pendant neuf mois. Pourquoi avoir créé ce CQP ?De nombreux salariés de la branche n’ont pas choisi ce métier, c’est pour eux un retour à l’emploi après une période d’inactivité. Certains sont diplômés Bac + 3 ou 4 et se retrouvent distributeurs de publicité. Il fallait leur permettre d’acquérir un niveau de rémunération com-patible avec leur niveau de di-plôme et leur permettre une évo-lution professionnelle pour favo-riser la promotion interne vers le poste d’adjoint au responsable technique ou de chef d’équipe distribution.

Comment se sont déroulées les négociations pour aboutir à ce projet ?Pendant neuf mois, nous avons organisé des réunions dans le cadre de la CPNE avec la participa-tion de Mediapost, l’une des entre-prises de la branche – où deux gros employeurs détiennent 95 % du marché – les représentants de cinq organisations syndicales (CFTC,

CGT-FO, CGC, CFDT et CGT) signa-taires de la convention collective, et le cabinet Co&Sens. Nous avons inventorié les besoins, établi des référentiels d’activités et de com-pétences, déterminé le réseau de délivrance du CQP, la démarche, la formation des jurys, l’évalua-tion, etc. Nous avons lancé un appel d’offres pour les organismes de for mation prestataires, deux ont ré pon du et ont donc été sélectionnés : l’AFT-IFTIM et CESI.Toutes les négociations se sont déroulées dans un bon esprit, seules quelques réticences ont été exprimées, autour de la crainte que ce CQP, plutôt que de donner plus de responsabilité aux sala-riés, ait l’effet inverse d’en déclas-sifier d’autres. Mais les obstacles ont été surmontés et je pense que nous avons là un beau projet.

Qu’espérez-vous de ce CQP ?La branche a négocié dix ans pour aboutir à la signature de la convention collective en 2004, nous n’avons eu besoin que d’une année pour créer ce CQP… C’est une réussite pour nous. J’espère que nous compterons de nom-breuses promotions dans les pro-chaines années et que toutes les entreprises, les TPE comme les grandes, joueront le jeu et s’en saisiront. Il s’agit de trouver la meilleure solution pour que tout le monde avance.

entre t i en

Un CQP pour sortir du peloton

E-learning Mediapost, leader de la branche distribution directe, a eu recours à l’e-learning pour perfectionner les techniques de vente de ses commerciaux. La théorie est fournie par l’e-learning, la pratique par des ateliers en présentiel. 105 personnes ont été formées, avec un tutorat des managers, pour que les techniques de vente deviennent des automatismes.

La branche, dominée par deux grandes entreprises leader, permet plus que d’autres le retour à l’emploi d’un certain nombre de salariés. Qu’il s’agit de professionnaliser au mieux.

Temps forts et chiffres clés

Page 17: Bilan d'activité 2011

Entreprisescotisantes

bilan# 2011 • 17

Afdas Opacif

l ’alternance

Évolution

Nombre 2010/2011

Contrat de pro.* 9 s -60 %Tuteurs 1 s -80%Fonction tutorale 1 t =

l ’ implication des entreprises

Entreprises ayant Pourcentage

mis en place une action des entreprises

1 à 9 salariés 6 e35 %10 à 49 salariés 7 y64 %50 salariés et + 4 è67 %

Total 17 (50 %

Afdas Opca

chiffres clés 201 1

3423 5074,3 5 153 108

de 10 à 49 salariés

11 de 50 salariés et plus

6

entreprises cotisantes

salariés permanents

millions d’eurosde collecte

salariés ayant bénéficié d’une formation

milliers

d’heures deformation

de moins de 10 salariés

17

s-21 %

S+4 %

S+3 %

S+59 %

S+14 %

En 2011, 67% des entreprises cotisantes de plus de 50 salariés ont mis en place une action de plan de formation, une période de professionnalisation ou un DIF. 92 %

des DIF suivissont des DIF prioritaires, dont les thèmes sont décidés chaque année par la branche.

51 hc’est la durée moyenne des périodes de pro-fessionnalisation

formation des salariés

Nombre Évolution

d’actions 2010/2011

Plan de formation 3 814 S +41 %Période de pro. 164* s -30 %DIF 1 082* S x 4,8

Total 5 060 S +60 %

Le taux d’accep-tation des dossiers de DIF deman-deurs d’emploi atteint les 100% et frôle les 82% pour les CIF CDI.

l ’afdas opacif

Nombre de dossiers Taux

recevables traités d’acceptation

CIFCDI 57(50)* !82 %CIFCDD 0(0) VAE 3(1) à100 %CBC 34(26) à100 %DIFCDD 0(0) DIFDE 28(2)* à 100 %Entre parenthèses, les données de 2010.

100 %des contrats de professionnali-sation effectués ont visé un niveau supérieur ou égal à Bac + 2.

Page 18: Bilan d'activité 2011

18 • bilan# 2011

Consacré meilleur parc de loisirs du monde par le Thea Classic Awards en 2012, le Puy du Fou est reconnu pour la qualité et l’origi-nalité de son offre. Le Parc ven-déen, qui compte 103 salariés per-manents, recrute chaque année des saisonniers fauconniers ou meneurs de chars, une discipline olympique dans l’antiquité.

Des contrats de professionna-lisation personnalisésEn 2011, la procédure de formation interne a été formalisée avec l’aide de l’Afdas. Le Puy du Fou a élaboré des fiches de poste, et défini des parcours de formation adaptables à chaque candidat. Ainsi, un fau-connier débutant pourra gagner des galons, grâce au contrat de pro. dispensé en interne à l’Acadé-mie de fauconnerie du parc.

Dans le même temps : la formation des tuteurs qui encadrent les nou-veaux arrivants, les accompagnent et les évaluent pendant toute la durée du contrat de pro. est mise en place.En 2011, 22 personnes ont été inté-grées et formées, certaines en amont de l’ouverture du parc, avec des modules de formation d’une moyenne de 200 h. Fauconniers, cavaliers-cascadeurs et vendeurs sont les trois métiers concernés. « Le contrat de pro. est vraiment per-tinent dans les secteurs où il n’existe pas de formation », souligne Arnould Bethery, le DRH du parc. Les 22 nouveaux collaborateurs ont suivi un total de 4 500 heures de formation, et chacun des 22 tuteurs ont été formés à cette fonction. Peu de contrats ont été rompus et certains ont été conclus en CDI.

pays de la Loire

Tous en selle avec la formation !

Le Parc Astérix emploie 200 per-manents et 1 600 saisonniers, dont près d’un tiers revient d’une année sur l’autre. L’objectif de l’entreprise est de sécuriser les parcours professionnels pour qu’une saison au Parc Astérix soit un véritable tremplin professionnel.C’est pourquoi l’entreprise a déve-loppé la politique d’insertion de ses salariés, parachevée en 2011 par un dispositif de préqualifica-tion financé par la région Picardie, en proposant des contrats de professionnalisation. Certains demandeurs d’emploi

sous-qualifiés sont en effet orien-tés vers le Parcours vers l’emploi mis en place par la région, afin d’être formés aux compétences de base. Ils bénéficient ensuite des contrats de pro. financés par l’Afdas, au nombre de 88 en 2011.

Une pré-qualificationC’est JMSA qui assure une partie des formations dispensées, no-tamment celles d’agents de res-tauration, d’agents d’accueil tou-ristique, voire de managers d’uni-vers marchands capables de gérer une boutique. En règle générale, ces formations débutent un mois

avant l’ouverture du parc, et se poursuivent après la saison en alternance au parc et au centre JMSA de Creil, qui dispose d’une boutique et d’un restaurant d’ap-plication. Jean-Michel Malot, qui a développé pour le parc Astérix ce dispositif de professionnalisa-tion, insiste sur la philosophie du projet : « On a toujours fonctionné comme ça au Parc Astérix. Les sai-sonniers sont formés sur des titres reconnus par le ministère du Travail, ce qui leur permet d’envisager un futur autre que le parc de loisirs. C’est un tremplin pour une carrière ».

picardie

Engagez-vous, qu’ils disaient !

Pour satisfaire un public avide de sensations fortes, la branche doit redoubler d’inventivité et former ses équipes en conséquence. Profes-sionnaliser, fidéliser, pour assurer des prestations de qualité.

Loisirs

Temps forts et chiffres clés

Page 19: Bilan d'activité 2011

Entreprisescotisantes

bilan# 2011 • 19

l ’alternance

Évolution

Nombre 2010/2011

Contrat de pro. 765 S +5 %Tuteurs 306 s -18 %Fonction tutorale 123 S +11 %

l ’ implication des entreprises

Entreprises ayant Pourcentage

mis en place une action des entreprises

1 à 9 salariés 918 z25 %10 à 49 salariés 220 y67 %50 salariés et + 42 i84 %

Total 1 180 «29 %

En 2011, 10 893 actions de formation ont concerné 8 239 salariés, soit 21% des effectifs de la branche.

Afdas Opca

de 10 à 49 salariés

330 de 50 salariés et plus

50

entreprises cotisantes

salariés permanents

millions d’eurosde collecte

salariés ayant bénéficié d’une formation

milliers

d’heures deformation

de moins de 10 salariés

3 816

s-2,5 %

s-3 %

s-1,9 %

S+3%

S+2,8 %

chiffres clés 201 1

4 19639 41811,6 12 287 842

266entreprises ont recouru au contrat de pro. (6 % des entre-prises cotisantes du secteur).

Afdas Opacif l ’afdas opacif

Nombre de dossiers Taux

recevables traités d’acceptation

CIFCDI* 333(322) e36 %CIFCDD 83(63) o98 %VAE 38(55) à100 %CBC 189(217) à100 %DIFCDD 0(9) à100 %DIFDE 62(4) à100 %Entre parenthèses, les données de 2010.

96 %des CIF-CDI effectués ont eu pour objet une reconversion professionnelle et 86 % d’entre eux concernaient des formations diplômantes.

8 239salariés ont été concernés par les 10 893 actions de formation.

33 %des périodes de pro. étaient diplô-mantes, avec une durée moyennede 459 h.

2 704DIF étaient des DIF prioritaires, dont les thèmes sont décidés chaque année par la branche.

formation des salariés

Nombre Évolution

d’actions 2010/2011

Plan de formation 7 351 s -6,7 %Période de pro. 253* S +21,6 %DIF 3 289* S +42,7 %

Total* 10 893 S +4,8 %

Page 20: Bilan d'activité 2011

20 • bilan# 2011

L’Observatoire des métiers de la publicité s’interroge sur l’impact des nouvelles technologies. Sur la base d’une étude « Prospective des métiers du numérique » menée en 2011, un colloque réunissant cher-cheurs et praticiens s’est tenu à l’Essec autour des questions : « Quels métiers ? Quelles compé-tences ? Quels managements ? Quelles organisations du travail et quelles formations ? ». Cette étude est essentielle pour donner de la visibilité sur le futur des mé-tiers, un enjeu de premier plan pour les équipes RH et les mana-gers. En effet, l’instabilité des tech-nologies est un facteur d’incerti-

tude pour identifier ce qu’est un nouveau métier (par exemple, les community managers nés avec le développement des réseaux so-ciaux), et s’il est destiné à perdurer. C’est pourquoi l’étude préconise de regrouper les métiers selon leur devenir, de développer des com-pétences RH pour intégrer la géné-ration des « natifs numériques » et d’avoir à la fois des compé-tences expertes mais aussi poly-valentes. Un défi à relever, dont les pistes seront présentées dans un livre à paraître en 2012, dans la collection “Management et Pros-pective” des éditions EMS. www.metiers-publicite.fr/synthese

étude prospective

Les métiers du numérique

qualification

Ajouter une corde à son arc

PublicitéDiversifier ses compé-tences vers les nou-velles technologies représente un choix porteur sur le marché de la publicité.

Essor de la téléphonie mobile, ap-plications interactives, 3D, réalité augmentée, les technologies pé-nètrent les métiers de la publicité. La demande des clients pour un conseil adapté et des produits multisupports étant croissante, le nombre de personnes rompues à ces technologies encore faible, le projet est né de mettre en place une formation spécifique et innovante.Développé en partenariat avec l’Association des agences-conseils en communication, le Certificat

de qualification professionnelle “Manager de projets graphiques multi-canal” a accueilli en 2011, 15 stagiaires, déjà diplômés en marketing, vente, commerce et/ou gestion. Avant le contrat de professionnalisation en entre-prises, ils ont bénéficié à l’école des Gobelins d’une formation théorique orientée cross-média*. Pour connaître le calendrier des prochaines sessions, rendez-vous sur : www.gobelins.fr/fi/graphique/Manager-de-projets-graphiques-multi-canal.

Temps forts et chiffres clés

Le cross-médiaest la mise en réseau des médias, à ne pas confondre avec le multimédia, qui concentre sons, textes et vidéos sur un seul support. Dans le domaine de la presse et de la publicité, une stratégie cross-média vise à optimiser l’impact d’une campagne en utilisant tous les médias disponibles, les différents supports pouvant interagir entre eux.

Page 21: Bilan d'activité 2011

Entreprisescotisantes

bilan# 2011 • 21

l ’ implication des entreprises

Entreprises ayant Pourcentage

mis en place une action des entreprises

1 à 9 salariés 1 872 «30 %10 à 49 salariés 699 u74 %50 salariés et + 199 o97 %

Total 2 770 ‘37 %

Afdas Opca

chiffres clés 201 1

7 48074 23843 34 354 1 928

de 10 à 49 salariés

947 de 50 salariés et plus

205

entreprises cotisantes

salariés permanents

millionsd’eurosde collecte

salariés ayant bénéficié d’une formation

milliers

d’heures deformation

de moins de 10 salariés

6 328

p-0,6 %

S+4 %

S+7,3 %

S+6 %

S+8 %

Publicité

La publicité a été la première branche à recourir au nouveau dispositif de la préparation opérationnelle à l’emploi, avec une POE individuelle mise en place en 2011.

l ’alternance

Évolution

Nombre 2010/2011

Contrat de pro.* 2 147 S +25 %Tuteurs 381 S +5 %Fonction tutorale 147 S +101%

92 %des contrats de professionnali-sation effectués ont visé un niveau supérieur ou égal à Bac + 2.

Afdas Opacif l ’afdas opacif

Nombre de dossiers Taux

recevables traités d’acceptation

CIFCDI* 300(334) §57 %CIFCDD 27(44) o96 %VAE 39(27) à100 %CBC 459(574) à100 %DIFCDD 0(3) DIFDE 290(40) à100 %Entre parenthèses, les données de 2010.

300demandes de CIF-CDI ont été comptabilisées en 2011, soit un peu moins que l’année dernière, avec un taux d’acceptation à 57%.

22 hc’est la durée moyennne des DIF dans la branche en 2011.

56 % entreprises ont des stagiaires formés en 2011 relevaient du statut cadre.

formation des salariés

Nombre Évolution

d’actions 2010/2011

Plan de formation 23 526 S +1,5 %Période de pro. 479 s -10 %DIF* 7 170 S +19,7 %

Total 31 175* S +5 %

Page 22: Bilan d'activité 2011

22 • bilan# 2011

Un premier bilan de l’accord cadre de développement de l’emploi et des compétences (Adec) de la branche du spectacle vivant a été réalisé par l’Afdas. Entre 2009 et 2011, des parcours de formation modulaires qualifiants ont été mis en place dans une douzaine de régions pour 4 000 bénéficiaires. Une prestation inédite de bilan de compétences du spectacle vi-vant a permis à 208 profession-nels de mieux se positionner dans leurs métiers. Sur les trois ans de l’Adec, le nombre d’entreprises de

la branche ayant accès à la for-mation a augmenté de 29 %, le nombre d’intermittents de 23 % et celui des salariés permanents de 8 %. Enfin, un accent particu-lier a été mis sur l’alternance, avec la création d’un site internet dédié (www.alternance-spectacle.fr). Ré-sultat : le nombre de contrats de professionnalisation pris en charge par l’Afdas a augmenté de 19 % dans la branche, qui rattrape ainsi le niveau de la progression nationale, toutes branches confondues.

Faire du contrat d’insertion unique (CUI) un véritable outil d’insertion pour les bénéficiaires du RSA socle, c’est le pari pris par le département de l’Ille-et-Vilaine et ses partenaires Pôle emploi et Afdas. Dès qu’un bénéficiaire du RSA est embauché par une struc-ture adhérente, Pôle emploi com-munique l’information à l’Afdas qui étudie l’opportunité d’une action de formation.

13 parcours sécurisésBilan de l’année 2011 : 13 parcours de formation ont été mis en place,

dont 9 périodes de professionna-lisation – les autres, inférieurs à 80 heures de formation étant comptabilisés sur le plan de for-mation. Ce sont essentiellement des salariés du spectacle vivant qui en ont bénéficié, la plupart pour des formations qualifiantes portant sur l’administration du spectacle, les aspects juridiques, la communication et la diffusion. Une première étape pour un par-tenariat inédit, qui fait l’objet d’une négociation entre les par-tenaires, afin d’être aménagé en 2012.

i lle-et-vilaine

Un partenariat inédit

Spectacle vivantL’Adec porte le flambeau dans le spectacle vivant : trois ans de développement de l’emploi et des compétences au niveau national, puis décliné en régions. L’occa sion de faire le point.

La région Haute-Normandie recense peu d’inter-mittents du spectacle. Difficile de mettre en place des formations ciblées pour ce public, faute de participants. C’est la raison pour laquelle l’Afdas et le Centre national de la fonction publique territoriale (CNFPT) ont élaboré des formations collectives avec l’appui de l’atelier 231 et l’Odia Normandie. Ce parcours modulaire est accessible aux salariés du privé et du public. Résultat : plus de 60 personnes formées en 2011.

Temps forts et chiffres clés

accord de branche

Le nouvel accord de branche sur la formation des salariés du spectacle vivant signé en mai 2011 entérine l’augmentation de 5 % de la rémunération des jeunes engagés en contrat de pro. Autre nouveauté : les heures de DIF passent à 21h acquises par an.

haute-normandie

Public-privé, un partenariat pour les techniciens du spectacle

france entière

Adec, résultat des courses

Page 23: Bilan d'activité 2011

Entreprisescotisantes

bilan# 2011 • 23

l ’ implication des entreprises

Entreprises ayant Pourcentage

mis en place une action des entreprises

1 à 9 salariés 2 116 «27 %10 à 49 salariés 429 !78 %50 salariés et + 76 o95 %

Total 2 621 «31 %

Afdas Opca

chiffres clés 201 1

18 26137 66135,315 409 712

de 10 à 49 salariés

552 de 50 salariés et plus

80

salariés permanents

millionsd’eurosde collecte

salariés ayant bénéficié d’une formation

milliers

d’heures deformation

de moins de 10 salariés

17 629

s-2,3 %

S+2 %

S+1,2 %

S+13 %

S+3,2 %

95% des entreprises cotisantes de + de 50 salariés ont mis en place des actions de formation en 2011 (plan de formation, périodes de pro. et DIF)

l ’alternance

Évolution

Nombre 2010/2011

Contrat de pro.* 542 S +2 %Tuteurs 112 s -10 %Fonction tutorale 39 s -9 %

66 %des contrats de professionnali-sation conclus en 2011 visaient un niveau supérieur ou égal à Bac +2.

82 %des CIF CDI ont pour objectif une reconversion professionnelle et 70 % d’entre eux concernaient des formations diplômantes.

Afdas Opacif l ’afdas opacif

Nombre de dossiers Taux

recevables traités d’acceptation

CIFCDI* 190(201) (49 %CIFCDD 44(52) !82 %VAE 24(27) à100 %CBC 183(174) à100 %DIFCDD 21(32) à100 %DIFDE 150(11) à100 %Entre parenthèses, les données de 2010.

entreprises cotisantes dont 9 784 cotisant uniquement pour les IDS

+ 1/3environ d’entre-prises ont eu recours au plan de formation de branche en 2011.

28 % des périodes de professionnalisa-tion effectuées en 2011 concernaient des formations diplômantes, d’une durée moyenne de 586 h.

formation des salariés

Nombre Évolution

d’actions 2010/2011

Plan de formation 12 286* S +11,5 %Période de pro. 186* S +13,5 %DIF 2 003 S +30,5 %

Total 14 475 S +14 %

Page 24: Bilan d'activité 2011

24 • bilan# 2011

Intermittents du spectacle

Comme les sportifs de haut niveau, les danseurs et artistes de cirque doivent envisager assez tôt leur reconversion profession nelle. En 2007, un accord entre le Fonds d e p ro f e s s i o n n a l i s a t i o n – financé par le ministère de la Culture et de la Communication – et l’Afdas a permis d’élaborer une solution pour faciliter leur reconversion, en assouplissant les conditions de recevabilité et de financement des formations. Si l’artiste n’est pas recevable au regard des conditions Afdas, il est mis en relation avec un conseiller spécialisé du Groupe Audiens, pour préparer un entretien professionnel avec un prestataire agréé et parvenir à la validation de son projet. Cette étape franchie, l’Afdas pourra prendre en charge sa demande

de financement. Un bilan a été dressé de ce dispositif, qui a concerné 87 stagiaires de 2007 à 2011, pour un coût total de 2 160 000 euros.

Le CIF très populaireTous ont choisi le CIF, un dispositif adapté aux formations longues, avec une prise en charge des coûts pédagogiques, une ouverture aux droits sociaux et une rémunéra-tion pendant la formation par le Fonds de professionnalisation. Plus de la moitié des stagiaires (58 %) ont choisi une reconversion vers des métiers hors secteur culturel, qu’il s’agisse de devenir charpentier, conseiller naturo-pathe, cuisinier, manager de spa… Les autres s’orientent volontiers vers les métiers du multimédia ou de la gestion des entreprises culturelles.

danseurs et c ircassiens

Un CIF pour mieux rebondir

L’accord cadre signé entre les quatre Conseils régionaux des régions Aquitaine, Limousin, Midi-Pyrénées et Poitou-Charentes a permis la mise en place d’actions de forma-tions collectives inter-régionales dans le champ culturel. Grâce au cofinancement des partenaires, ces stages conventionnés Afdas sont gratuits pour les comédiens pro fessionnels. Ceux-ci se sont formés en 2011 au « jeu d’acteurs face à la caméra », avec l’organisme La Maison du Film court, qui s’est déplacé en région Limousin pendant deux semaines. Le cadre de la Ferme de Villefavard avait déjà plu à la première promotion de 2010, celle de 2011 (12 stagiaires) a été également séduite. Outre les inter - mittents, ces formations collectives interrégionales ont en 2011 concerné des administrateurs de compagnie, à Toulouse et Bordeaux. Soit 40 stagiaires en 2011.

Conseil aux intermittents En 2011, 17 708 intermittents ont été rencontrés (chiffre stable par rapport à 2010) dont 16 083 en rendez-vous individuels avec les conseillers Afdas. 143 permanences ont été organisées avec l’aide du réseau Pôle emploi sur toute la France. 76 % des intermittents ont été reçus en région parisienne, les 24 % restants en régions.

Intervenant dans plusieurs branches de l’Afdas, les inter-mittents du spectacle relèvent de dispositifs particuliers. Ils s’adressent directement à l’Afdas pour connaître leurs droits et accéder aux formations.

Spectacle vivant

15 980

Temps forts et chiffres clés

formation inter-régions

Jeu d’acteurs et caméra

Page 25: Bilan d'activité 2011

bilan# 2011 • 25

chiffres clés 201 1

22 14499 3004819 200 1 ,9

ayant-droits

entreprises cotisantes+65 389 structures versant au Guso

millionsd’eurosde collecte

actions de formations dont ont bénéficié des intermittents

millions

d’heures deformation

S+2,2 %

S+3,7 %

S+8,7 %

S+8 %

s-1,6 %

Entreprises cotisantespar branche

Publicité

194

Loisirs

279

Audiovisuel et prod. cinéma

5 590 Spectacle vivant

15 980 Cinéma

47 Divers

54

Techniciens cinéma / audiovisuel 29 951 119 0,40 % 3 805 13 %Artistes 32 909 143 0,43 % 6 000 18 %Musiciens 18 959 37 0,20 % 1 548 8 %Techniciens spectacle vivant 17 225 177 1,03 % 3 906 23 %Non déterminé 299 - - - -

Total 2011 99 343 476 0,48 % 15 259 15 %

L’accès à la formation l ’accès à la

formation selon les

différents dispositifs Accès

CIF

% d’accès

au CIF%

Tous dispositifs

PF | CIF | PP | DIF

nombre de personnes ayant suivi au moins une formation

ayants-droitafdas* (hors dif )

Artistes et musiciens : au moins 48 cachets ; Techniciens : au moins 88 cachets; Techniciens cinéma et audiovisuel : au moins 88 cachets

en deux mots

Le nombre d’heures de DIF utilisées a fait un bond remarquable entre 2010 et 2011 : + 65 %*

148 131intermittents ont acquis un droit à DIF depuis 2005 pour 8,5 millions d’heures (au 31 décembre 2011).

Page 26: Bilan d'activité 2011

26 • bilan# 2011

Information conseil et accompagnement

Rencontrer les adhérents, diffuser l’information, tisser du lien avec les divers interlocuteurs, autant de moyens pour inciter le plus grand nombre de personnes à se former.

Des conseils pour les entreprises…Dans le cadre de sa mission, l’Afdas apporte à ses interlocuteurs un ser-vice adapté à leurs besoins, en pro-diguant information sur le disposi-tif légal, conseil dans la recherche d’une formation spécifique, sans oublier le suivi administratif des dossiers. Les chargés de mission Afdas, au siège ou dans les déléga-tions régionales, ont à cœur d’ac-compagner les entreprises adhé-rentes dans l’élaboration et la mise en œuvre de leur plan de formation, dans l’initiation d’une démarche de GPEC, ou d’aider à recruter des salariés en contrat de pro. En 2011, les chargés de mission Afdas ont

rencontré plus de 3 700 entreprises, soit +4 % par rapport à 2010.

…et les salariésEn ce qui concerne les bénéfi-ciaires des formations, salariés, intermittents du spectacle et de-mandeurs d’emploi, les chargés d’accueil Afdas remplissent le même rôle d’information sur les droits à la formation profession-nelle, d’orientation en faveur du dispositif adapté (DIF, contrat et périodes de pro., CIF, etc.) en pre-nant en compte les attentes et les besoins de chacun. Enfin, les divers financements ouverts n’ont évidemment pas de secrets pour les chargés d’accueil…

Des rendez-vous à la carte

L’Afdas, coach au quotidien

10 janvier

Rencontres professionnelles des techniciens du spectacle vivant en Lorraine :participation à une table ronde sur la formation.

27 janvier

Réunion auprès des entreprises sur la « démarche compétences », en partenariat avec la Drac, la Direccte et l’Aract à Bordeaux.

3 février

Mondial des métiers : promotion du contrat de professionnalisation dans les secteurs de l’audiovisuel et du spectacle vivant, Lyon.

10 au 12 février

Salon des Métiers, Lille.

29 mars

5es rencontres du spectacle vivant en Aquitaine à Agen.

Du 13 au 15 mars

Discom - Salon des professionnels de la nuit : stand Afdas, Paris.

8 avril

Salon des Arts du spectacle, Théâtre du Quai, Angers : participation à une table ronde sur la formation.

10, 23 et 30 mai

« 5 à 7 de la formation », Nîmes, Perpignan, Montpellier.

16 mai

Festival de Cannes :participation à la journée « spéciale professions du spectacle ».

27 mai

Participation aux rencontres professionnelles, festival Théâtre en mai à Dijon.

11, 13, 15 et 20 juillet

Permanences info, conseil emploi, formation, Festival d’Avignon.

10 octobre

1 semaine pour 1 emploi : journée tournée vers les métiers de l’audiovisuel, de la production cinématographique, des jeux vidéo et de la création graphique, Lyon.

conseils employeurs

3 712 entreprises rencontrées

4 424 rendez-vous

+ 4 % par rapport à 2010

68 % des entretiens réalisés en délégations régionale

32 % des entretiens réalisés au siège

conseils intermittents du spectacle

17 708 personnes rencontrées

16 083 rendez-vous individuels

24 % des entretiens réalisés en délégation régionales

76 % des entretiens réalisés au siège

L’Afdas chausse les crampons…

Le journal de l’Afdas

Trimestriel, le journal de l’Afdas compile en vingt pages l’essentiel de l’actualité sur la formation pro-fessionnelle dans les secteurs de la culture, de la communication et des loisirs. Dans chaque numé-ro, un dossier de huit pages appro-fondit un nouveau dispositif ou fait le point sur une thématique émergente, vous donne les clés pour accompagner vos salariés et développer leurs compétences.

Disponible également en version PDF sur notre site : https://www.afdas.com/employeur/journal-afdas

Page 27: Bilan d'activité 2011

bilan# 2011 • 27

Une refonte totale du site Inter -net a été lancée dès octobre 2011, après la confirmation par les secteurs de la presse et de l’édition de leur adhésion à l’Afdas.Outre les modifications de design et d’interface, les objectifs étaient nombreux. Citons, en particulier :≥ un changement profond de l’ar-borescence des contenus pour prendre en compte les nou-veaux publics (employeurs et sala-riés de toutes branches, journa-listes pigistes, auteurs),

≥ l’intégration d’un outil amélioré de gestion de contenus Inter-net pour développer la dimen-sion éditoriale du site : actualités, fils d’information par public, dossiers…≥ des modifications du système d’identification Internet des em-ployeurs pour offrir un futur ser-vice très attendu : les situations de compte et historiques des dépenses (services en phase de test à la date de publication de ce bilan).Cette mise à jour majeure du site a nécessité en parallèle la réécri-ture de toutes les applications du site (demandes de financement et déclarations de salaires pour les employeurs, recherche d’orga-nismes…) en un temps très court : la nouvelle version a pu être mise en ligne avant le 1er janvier 2012, date officielle d’intégration des sec-teurs de la presse et de l’édition. www.afdas.com

Nouveau site web, à toute vitesse

21 octobre

Festival du cinéma méditerranéen (Cinémed) de Montpellier :journée des métiers du cinéma et de l’audiovisuel.

Du 8 au 10 novembre

Satis - salon des professionnels des technologies de l’image et du son : stand Afdas, Paris.

17 novembre

Journée « Job Dating IT », Euratechnologies, Lille.

22 novembre

Lancement de l’offre de formation en région Bourgogne pour le spectacle vivant (Adec SV), Dijon.

23 novembre, & 12 décembre

Rendez-vous professionnels du spectacle, Gap, Avignon.

1er décembre

Forum des associations en Basse-Normandie, Maison des associations, Caen.

2 décembre

Festival Transmusicales, Rennes : participation à une table ronde sur la GPEC.

8 & 9 décembre

Réunion d’information auprès des entreprises sur l’Accord-cadre Poitou-Charentes (une réunion par département).

13 décembre

Séminaire régional sur la radiodiffusion associative en Pays de la Loire : participation à plusieurs tables rondes sur l’emploi et la formation, Nantes.

Page 28: Bilan d'activité 2011

28 • bilan# 2011

bilan et compte de résultat

Du 1er janvier au 31 décembre 2011libellés pf +10 pf intermittents pf -10 cdi cdd prof. total n

produits de formation

Collecte FPC année en cours 48 160 040,23 26 056 776,59 8 616 441,43 15 530 296,47 17 604 971,74 40 371 611,57 156 340 138,03

Collecte FPC / années antérieures 5 072 838,87 1 863 301,22 1 974 858,68 1 069 940,43 1 591 106,68 2 394 502,65 13 966 548,53

total collecte 53 232 879,10 27 920 077,81 10 591 300,11 16 600 236,90 19 196 078,42 42 766 114,22 170 306 686,56

Subventions FSE, régions, appels à projets 396 320,96 1 066 756,73 262 443,79 1 608 289,01 1 308 948,17 1 348 478,65 5 991 237,31

Péréquation - Fonds réservés 1 539 631,00 13 683 991,00 15 223 622,00

total i - produits de formation 53 629 200,06 28 986 834,54 10 853 743,90 19 748 156,91 20 505 026,59 57 798 583,87 191 521 545,87

charges de formation

Actions de formation 45 083 920,93 24 244 333,92 10 128 375,76 16 907 521,62 16 152 933,17 46 154 134,41 158 671 219,81

Collecte, Information, Proximité, Conseil 1 634 721,36 1 454 577,17 325 246,82 774 214,52 895 281,36 2 437 377,52 7 521 418,75

Études et recherches 136 195,00 233 478,00 19 457,00 0,00 0,00 0,00 389 130,00

Observatoire des métiers 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 497 120,75 497 120,75

Contribution FPSPP 4 734 501,00 1 330 035,00 655 530,00 1 211 930,00 1 913 335,00 5 361 089,00 15 206 420,00

Charges diverses de gestion courante 0,00 0,00 0,00 0,00 40 543,36 0,00 40 543,36

total ii - charges de formation 51 589 338,29 27 262 424,09 11 128 609,58 18 893 666,14 19 002 092,89 54 449 721,68 182 325 852,67

résultat de formation (i - ii) 2 039 861,77 1 724 410,45 -274 865,68 854 490,77 1 502 933,70 3 348 862,19 9 195 693,20

produits de fonctionnement (iii) 24 736,97 13 302,56 5 557,31 9 276,94 8 862,91 25 324,18 87 060,87

charges de gestion adm (iv) 1 916 520,88 1 011 871,18 507 224,62 569 367,64 656 000,72 1 821 291,00 6 482 276,04

résultat de fonctionnement (iii-iv) -1 891 783,91 -998 568,62 -501 667,31 -560 090,70 -647 137,81 -1 795 966,82 -6 395 215,17

résultat d’activité (i+iii-ii-iv) 148 077,86 725 841,83 -776 532,99 294 400,07 855 795,89 1 552 895,37 2 800 478,03

produits financiers (v) 400 616,14 107 801,68 84 883,59 90 278,94 93 362,79 258 665,52 1 035 608,66

charges financières (vi) 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00

résultat financier (v-vi) 400 616,14 107 801,68 84 883,59 90 278,94 93 362,79 258 665,52 1 035 608,66

produits exceptionnels (vii) 143 340,59 72 238,41 54 402,43 8 543,22 40 925,37 103 199,99 422 650,01

charges exceptionnelles (viii) 79 185,79 39 460,45 29 240,45 5 654,78 22 525,92 57 184,32 233 251,71

résultat exceptionnel (vii-viii) 64 154,80 32 777,96 25 161,98 2 888,44 18 399,45 46 015,67 189 398,30

impôts sur les produits financiers 15 222,00 0,00 4 240,00 5 575,00 5 788,00 30 410,00 61 235,00

résultat comptable de l’exercice 597 626,80 866 421,47 -670 727,42 381 992,45 961 770,13 1 827 166,56 3 964 249,99

Les contributions 2011D’un montant total de 170 306 686 €, contre 165 612 202 € en 2010, elles affichent une progression de 2,83 %.Cette progression est de 4,19 % pour les contributions versées au titre de l’année en cours (donc ver-sée avant la date limite du 1er mars). En revanche, les contributions de « régularisation » (versées avec re-tard), sont en baisse.La progression sur les contributions versées sur les salaires 2011 est due pour la quasi-totalité à une évolu-tion de la masse salariale, de 4,5 % pour les permanents, de 3,6 % pour les intermittents.

Les dépenses en action de formation 2011D’un montant total de 158 671 220 €, contre 153 599 752 € en 2010, elles affichent une progression de 3,3 %,supérieure à celle de la collecte.Par régime, les évolutions sont contrastées : une augmentation de près de 16 % en professionnalisa-tion (46 154 K€ contre 39 938 K€ en 2010) a été possible grâce à la péréquation. En revanche, les dé-penses de formation du plan de for-mation des intermittents du spec-tacle, d’une part, des CIF CDI et CIF CDD d’autre part, sont en baisse

(respectivement de 2,70 % , 1,46 % et 7,91 %), par décision des conseils concernés dans un souhait de « réé-quilibrage » des budgets.

Équilibre ressources / dépensesAux dépenses relatives aux actions de formation s’ajoutent : les études et recherche (389 130 €), les dépenses de fonctionnement des observatoires (497 121 €) et le financement du FPSPP (15 206 420 €), soit un montant to-tal de dépenses de formation de 174 763 891 € (supérieur au mon-tant des contributions).

Les subventions, qui s’élèvent à 21,215 millions d’euros en 2011, (contre 11,820 millions d’euros en 2010), permettent de couvrir l’excé-dent de dépenses de formation, et pour la majorité des comptes, les frais de gestion. Elles relèvent, pour la plus grande part, du FPSPP qui, entre les appels à projet et la péré-quation (qui a également financé les DIF portés dont une partie de ceux des intermittents du spec-tacle), représentent 18,883 millions contre 15,206 millions versés.L’Afdas peut ainsi s’enorgueillir d’un taux de retour de 124 %.

La radiographie comptable de l’Afdas, pour tout savoir sur son fonctionnement.

Compte de résultat global

Page 29: Bilan d'activité 2011

bilan# 2011 • 29

Du 1er janvier au 31 décembre 2011libellés pf +10 pf intermittents pf -10 cdi cdd prof. total n

produits de formation

Collecte FPC année en cours 48 160 040,23 26 056 776,59 8 616 441,43 15 530 296,47 17 604 971,74 40 371 611,57 156 340 138,03

Collecte FPC / années antérieures 5 072 838,87 1 863 301,22 1 974 858,68 1 069 940,43 1 591 106,68 2 394 502,65 13 966 548,53

total collecte 53 232 879,10 27 920 077,81 10 591 300,11 16 600 236,90 19 196 078,42 42 766 114,22 170 306 686,56

Subventions FSE, régions, appels à projets 396 320,96 1 066 756,73 262 443,79 1 608 289,01 1 308 948,17 1 348 478,65 5 991 237,31

Péréquation - Fonds réservés 1 539 631,00 13 683 991,00 15 223 622,00

total i - produits de formation 53 629 200,06 28 986 834,54 10 853 743,90 19 748 156,91 20 505 026,59 57 798 583,87 191 521 545,87

charges de formation

Actions de formation 45 083 920,93 24 244 333,92 10 128 375,76 16 907 521,62 16 152 933,17 46 154 134,41 158 671 219,81

Collecte, Information, Proximité, Conseil 1 634 721,36 1 454 577,17 325 246,82 774 214,52 895 281,36 2 437 377,52 7 521 418,75

Études et recherches 136 195,00 233 478,00 19 457,00 0,00 0,00 0,00 389 130,00

Observatoire des métiers 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 497 120,75 497 120,75

Contribution FPSPP 4 734 501,00 1 330 035,00 655 530,00 1 211 930,00 1 913 335,00 5 361 089,00 15 206 420,00

Charges diverses de gestion courante 0,00 0,00 0,00 0,00 40 543,36 0,00 40 543,36

total ii - charges de formation 51 589 338,29 27 262 424,09 11 128 609,58 18 893 666,14 19 002 092,89 54 449 721,68 182 325 852,67

résultat de formation (i - ii) 2 039 861,77 1 724 410,45 -274 865,68 854 490,77 1 502 933,70 3 348 862,19 9 195 693,20

produits de fonctionnement (iii) 24 736,97 13 302,56 5 557,31 9 276,94 8 862,91 25 324,18 87 060,87

charges de gestion adm (iv) 1 916 520,88 1 011 871,18 507 224,62 569 367,64 656 000,72 1 821 291,00 6 482 276,04

résultat de fonctionnement (iii-iv) -1 891 783,91 -998 568,62 -501 667,31 -560 090,70 -647 137,81 -1 795 966,82 -6 395 215,17

résultat d’activité (i+iii-ii-iv) 148 077,86 725 841,83 -776 532,99 294 400,07 855 795,89 1 552 895,37 2 800 478,03

produits financiers (v) 400 616,14 107 801,68 84 883,59 90 278,94 93 362,79 258 665,52 1 035 608,66

charges financières (vi) 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00

résultat financier (v-vi) 400 616,14 107 801,68 84 883,59 90 278,94 93 362,79 258 665,52 1 035 608,66

produits exceptionnels (vii) 143 340,59 72 238,41 54 402,43 8 543,22 40 925,37 103 199,99 422 650,01

charges exceptionnelles (viii) 79 185,79 39 460,45 29 240,45 5 654,78 22 525,92 57 184,32 233 251,71

résultat exceptionnel (vii-viii) 64 154,80 32 777,96 25 161,98 2 888,44 18 399,45 46 015,67 189 398,30

impôts sur les produits financiers 15 222,00 0,00 4 240,00 5 575,00 5 788,00 30 410,00 61 235,00

résultat comptable de l’exercice 597 626,80 866 421,47 -670 727,42 381 992,45 961 770,13 1 827 166,56 3 964 249,99

Compte de résultat global

Page 30: Bilan d'activité 2011

30 • bilan# 2011

bilan et compte de résultat

brutamortissements

et provisions net

actif immobilisé

immobilisations incorporelles

logiciels et études informatiques 805 928,86 545 164,15 260 764,71

immobilisations corporelles

terrains 2 887 000,00 0 2 887 000,00

constructions 12 110 118,33 758 452,68 11 351 665,65

aménagement installations générales 4 099 491,63 1 069 273,64 3 030 217,99

matériel de bureau et informatique 263 503,94 229 791,30 33 712,64

mobilier 1 402 443,76 338 851,94 1 063 591,82

immobilisations en cours

avances et acomptes versés 6 900,00 6 900,00

immobilisations financières

dépôts et cautionnements versés 101 654,64 101 654,64

total i 21 677 041,16 2 941 533,71 18 735 507,45

actif circulant

créances d’exploitation

contributions à recevoir 115 179 459,95 115 179 459,95

autres créances 26 256 365,86 26 256 365,86

valeurs mobilières de placement 63 607 962,39 63 607 962,39

disponibilités 62 405,82 62 405,82

caisse 2 709,90 2 709,90

total ii 205 108 903,92 205 108 903,92

comptes de régularisation 201 470,86 201 470,86

total iii 201 470,86 201 470,86

total général 226 987 415,94 2 941 533,71 224 045 882,23

fonds propres

réserves affectées aux engagements à financer la formation 43 998 043,33

report à nouveau

réserves mobilisables 33 065 840,00

réserves affectées aux immobilisations 18 000 000,00

total report à nouveau 51 065 840,00

résultat de l'exercice 3 964 249,99

provisions pour risques et charges 105 500,00

total i 99 133 633,32

dettes

dettes d’exploitation

fournisseurs 62 157 697,35

dettes fiscales et sociales 22 333 312,15

autres dettes d’exploitation 26 630 730,87

total des dettes d’exploitation 111 121 740,37

dettes financières 13 790 508,54

total ii 124 912 248,91

total général 224 045 882,23

Bilan global 2011 avant affectationactif

passif

Page 31: Bilan d'activité 2011

siège social

Île-de-France, Centre, Champagne-Ardenne 66, rue StendhalCS 32016 - 75990 Paris Cedex 20Tél. : 01 44 78 39 39Fax : 01 44 78 39 40

Département entrepriseschargés de missionTél. : 01 44 78 36 [email protected]

Département salariés(BC, CIF, VAE)Tél. : 01 44 78 38 45Fax : 01 44 78 39 61 [email protected]

Département intermittents du spectacleTél. : 01 44 78 38 [email protected]

Unité collecteTél. : 01 44 78 38 38 [email protected]

est

Alsace, Lorraine 42, rue Jean-Frédéric Oberlin67000 StrasbourgTél. : 03 88 23 94 70Fax : 03 88 23 05 [email protected]

centre-est

Rhône-Alpes, Auvergne, Bourgogne, Franche-ComtéEspace Confluence3, cours Charlemagne69002 LyonTél. : 04 72 00 23 00Fax : 04 72 00 22 [email protected]

sud-est

PACA, Languedoc-Roussillon, Corse40, boulevard de Dunkerque – BP 7166313566 Marseille Cedex 02Tél. : 04 91 99 41 98Fax : 04 91 91 23 [email protected]

Bureau MontpellierImmeuble Le GenesisParc Eureka – 97, rue de Freyr 34000 MontpellierTél. : 04 91 99 44 83 [email protected]

ouest

Bretagne, Pays de la Loire, Basse-Normandie227, rue de Châteaugiron 35000 RennesTél. : 02 23 21 12 60Fax : 02 23 21 12 [email protected]

nord-ouest

Nord-Pas de Calais,Haute-Normandie, Picardie87, rue Nationale 59000 LilleTél. : 03 20 17 16 80Fax : 03 20 17 16 [email protected]

sud-ouest

Aquitaine, Midi-Pyrénées, Poitou-Charentes, Limousin74, rue Georges-BonnacLes Jardins de Gambetta Tour 2 – 33000 BordeauxTél. : 05 56 48 91 80Fax : 05 56 48 91 [email protected]

Les organismes ci-dessous assurent par délégation l’information et la gestion des dossiers Afdas. Les ressortissants des départements et territoires d’Outre-Mer non cités doivent s’adresser au siège social de l’Afdas.

réunion

OPCALIA RéunionCentre d’Affaires de la Mare5, rue André-Lardy Bât C La Turbine97438 Sainte-MarieTél. : 02 62 90 41 37Fax : 02 62 41 35 [email protected]

guadeloupe

OPCALIA GuadeloupeImmeuble BravoBP 2393 – Jarry97188 Guadeloupe CedexTél. : 05 90 60 18 25Fax : 05 90 60 18 [email protected]

martinique

OPCALIA MartiniqueBâtiment les Palmiers CaryotaZA de Bois Quarré97232 le LamentinTél. : 05 96 50 79 31 Fax : 05 96 50 54 [email protected]

Sites des observatoires

prospectifs des métiers

et des qualifications

Observatoire des métiers du spectacle vivantwww.cpnefsv.orgwww.alternance-spectacle.fr

Observatoire des métiers de l’audiovisuelwww.observatoire-av.fr

Observatoire des métiers de la pressewww.metiers-presse.org

Observatoire des métiers de la publicitéwww.metiers-publicite.fr

APDS Organisme collecteur

et répartiteur de la taxe

d’apprentissage

www.apds.frTél. : 01 44 78 38 [email protected]

Plate-forme conseilIndustries techniques de l’audiovisuelInformations pour lessalariés et les employeurs Tél. : 01 44 78 34 09

Délégations Afdas Observatoires

bilan# 2011 • 31

contacts et adresses

Page 32: Bilan d'activité 2011

www.afdas.com