avis au ministre responsable de l'enseignement postsecondaire … · 2018. 3. 12. · r,...
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J ‘j’ L/
CONSEIL DES UNIVERSITES
AVIS AU MINISTRE
RESPONSABLE DE L’ENSEIGNEMENT POSTSECONBAIRE
SUR
LES SUBVENTIONS GENERALES ET D’EQUIPES
(Progrannue F.C.A.C.)
12A’IR.2O6
Par LA 1 ,
Québec, le 6 mai 1976.
Le Ministre responsable de l’enseignement postsecondaire a
transmis au Conseil des universités pour avis, le 26 avril dernier, le
rapport qui indique les subventions devant trc accordées aux équipes,
aux services la recherche et pour les séminaires, ainsi que les sub
ventions générales que le Ministère se propose d’allouer en 1976—7?
dans le cadre du programme dc formation de chercheurs et d’action con
certée (F.C.A.C.).
Considérant l’importance d’informer le plus tt possible les
chercheurs des subventions accordées ou refusées et tenant compte du
fait que la Commission de la recherche universitaire du Conseil procé
dera au cours de l’étê une analyse plus détaillée du rapport et qu’el—
le présentera au Conseil des recommandations visant améliorer ces deux
volets du programme F.C.A.C., le Conseil a adopté, sa séance du 6 mai
1976, l’avis suivant:
ATTENDU le rapport de la Commission de la recherche universi—-w
taire;
ATTENDU l’examen final qu’il a pu en faire;
Le Conseil des universités recommande:
( QUE soient acceptées les propositions présentées
( par le ministère de l’Education dans le cadre du
( programme F.C.A.C. et portant sur les subventions
( générales et d’équipes, ainsi que sur les subven—
( tions aux services à la recherche.
uDI
uDD
_______
Le FINANCEMENT des ORGANISMES de SERVICES
D la RECHERCHE
dans le CADRE du PROGRAMME FCAC
DUDDuI.
2
CONSIDERANT le rapport du comité d’évaluation et les explica
tions données par son secrétaire—rapporteur;
CONSTDERANT l’importance d’informer l.e plus tt possible les
organismes concernés des subventions accordées ou refusées;
CONSIDERANT que la Commission de la recherche universitaire
procédera au cours de l’été une analyse plus détaillée de
ce rapport et qu’elle rédigera l’intention du Conseil les
recommandations qu’elle luge nécessaires l’amélioration de
ce volet;
La Commission de la recherche universitaire recommande:
1. ( QUE le rapport du comité d’évaluation soit accepté et
( que la distribution des sommes réservées ? ce volet
( se fasse selon les dispositions prévues dans ce
( rannort;
2. ( QU’en acheminant les subventions aux organismes con—
( cernés, le ministère de l’Education demande aux res—
( ponsahies de voir à ce que l’information relative aux
( services qu’ils offrent soit distribuée aux vice—
( recteurs à la recherche de chacune des irniversités du
( Québec.
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CONSIDERANT le rapport du comité—conseil et les explications
fournies par son prsident;
CONSTDERANT l’importance d’informer le plus tut possible les
chercheurs des subventions accordées ou refusfes;
CONSIDERANT que la Comission de 1.a recherche universitaire
procdern au cours de l’itf une analyse plus dtaille de
ce rapport et qu’elle rc]igcra l’intention du Conseil les
recommandations qu’elle juge nécessaires ?i l’anilioration
de ce volet;
La Commission de la recherche universitaire recommande:
( flUE le rapport du comit—conseil soit accept et que l’attri—
( bution des ressources se fasse selon les disposiUons pr&’—
vues dans ce rapport.
Ministère de l’éducation
D.G.E.S.
/RAPPORT DU COMITE DES REVUES SCIENTIFIQUES
/AU SUJET DES DEMANDES FORMULEES POUR
L’EXERCICE 1975—]976
FévrIer 1976
-
______________
1
JNTRODUCTION
1. Mandat du Comité
Le Comité des revues scientifiques avait pour mandat d’évaluer les re
vues scientifiques postulant des subventions dans 7e cadre du programme d’ai
de aux revues scientifiques et de recommander 1 ‘allocation de crédits pour
celles-ci en fonction des orientations, des critères et des exigences expo
sés dans la brochure explicative (DGES - ARS - 75 - 01). Les deux premières
parties de ce rapport correspondent à ce double mandat: la première porte sur
1’évaluation de la qualité des revues, la seconde sur le financement des revues.
Le Comité a considéré que son mandat comportait implicitement la formu
lation de recommandations à caractère général en vue d’aider la Direction gé
nérale de l’ènseignement supérieur et le Conseil des universités à préciser
leur politique d’aide aux revues scientifiques; il ne s’est donc pas limité à
des recommandations particulières concernant chacune des revues ayant postulé
une subvention. L’ensemble de ces recommandations forme la troisième partie du
rapport.
2. Membres du Comité
Yvan Cliche
Jean-Marc Gagnon
Mirosiav Grandtner
Yves Rousseau
Louis Trotier
Georges-•André Vachon
Direction générale de l’enseignement supérieur
Université du Québec
Université Lavai
Conseil des universités
Université Lavai
Université de Montréal
M. Louis Trotier est le président du Comité et M. Yvan Cliche en est le
secrétaire.
3. Fonctionnement du Comité
Depuis septembre 7974, date du dépt de son dernier rapport, le Comité
___
r
2
des revues scientifiques a dfl interrompre son travail plusieurs fois à cause
de l’insuffisance du support technique fourni par la Commission de la recher
che scientifique de la DGES, à court de personnel et de moyens. Sans entrer
dans les détails, on peut dire que le Comité a travaillé dans des conditions
assez défavorables qui l’ont amené à changer ses plans à plus d’une reprise.
Entre décembre 1974 et décembre 1975, 7e Comité a tenu treize réunions d’une
journée entière, dont huit ont été consacrées à interviewer les directeurs de
toutes les revues qui avaient adressé des demandes de subventions à la DGES
pour l’année 1975-1976. En outre, le président et le secrétaire du Comité ont
rencontré 7es directeurs des Presses universitaires des universités Lavai , de
Montréal et du Québec. Enfin, au cours du mois de janvier 1976, le Comité a
rencontré chacun des.vice—recteurs (ou vice-président) à la recherche des uni
versités du Québec ayant adressé des demandes de subventions dans le cadre du
•programme des revues scientifiques.
3
I. L’EVALUATION QUALITATIVE DES REVUES
Une bonne partie des efforts du Comité, et l’essentiel de son temps,ont été consacrés à l’évaluation de la qualité des revues qui avaient fait desdemandesde subventions. Avant d’exposer les méthodes utilisées et les résultats obtenus, il est toutefois nécessaire de poser le problème de la nature même des publications concernées.
1. La classification des revues
Dès sa première réunion, le Comité avait perçu la très grande diversité dans les publications postulant des subventions et il avait mis en doutel’admissibilité au programme d’un bon nombre d’entre elles. Il n’avait toutefois éliminé que cinq demandes (Bulletin RCHTQ, Séminaire d’analyse moderne,Quêbec Sc4ence sur bande magnétique. Québec etA) , préférant soumettre toutesles autres à l’évaluation et recueillir ainsi plus d’informations. Actuellement, le comité des revues est en mesure de caractériser chacune d’elles etd’en établir l’admissibilité, grâce aux dossiers qu’il a accumulés.
a) La typologie des publications scientifiquesLa grille de classification utilisée a été élaborée à partir de la
typologie proposée par le Conseil des universités (Avis du 6 mars 1974). Ellecomprend cinq catégories, qui peuvent elles-mêmes être subdivisées en sous-catégori es.
- Les revues de recherche (R). Elles contiennent surtout les résultats inéditsde recherches terminées et/ou des réflexions critiques sur des questions fondamentales. Parmi leurs caractéristiques principales, on peut noter une diversité d’articles dans chaque parution et une périodicité normalede plus d’un numéro par an. Le Comité a cru bon de distinguer, parmi ces revues de recherche,celles qui ne présentent que les résultats de recherches effectuées dans l’instruction oD la revue est éditée (km),. ainsi que les revues nouvelles que le Comité n’a pas pu faire évaluer fRn).
4
- Les revues d’éducation permanente (E). Ces revues se distinguent des revues
de recherche par leur contenu et pat leurs lecteurs. Les résultats de recher
che qu’on y présente ne sont pas inédits, et 7es synthèses qu’on peut y lire
demeurent superficielles; elles sont en effet destinées â un public beaucoup
plus large que celui des seuls spécialistes.
— Les revues professionnelles (P). Elles ressemblent à beaucoup d’égards aux
revues d’éducation permanente; toutefois, les revues professionnelles sont des
tinées aux membres d’une profession ou à des spécialistes dans un domaine pré
cis. Les textes qu’on y trout’e présentent le plus souvent des résultats de re
cherche appliquée utilisables par des praticiens.
— Les bulletins d’information (I). Ces bulletins ne peuvent pas toujours être
très clairement distingués des revues professionnelles, bien qu’ils mettent
l’accent sur la communication d’informations aux membres d’une profession. Ces
informations ont un caractère pratique et concernent souvent la vie du groupe.
— Les rapports et mémoires de recherche (W). Cette catégorie comprend plusieurs
types de publications scientifiques. Les deux principaux sont les “discussion
papers”, servant à la diffusion de résultats de recherche inédite mais habituel
lement non termi née, et les monographi es, thèses ou autres travaux dont la cli en
tèle est trop limitée pour justifier de les publier sous forme de livres.
b) L’admissibilité des revues ayant postulé des subventions
A l’aide de cette typologie, le Comité a pu identifier, parmi les re
vues demandant des subventions, celles qui ne sont pas admissibles suivant les
règles énoncées dans la brochure de la DGES. C’est ainsi que, à la condition de
n’avoir pas reçu de subvention de la part du Ministère de l’éducation l’an der
nier, les publications classées W, P et I ont été jugées non—admissibles; il en
a été de même des revues Pjn et Rn. Par contre, celles qui avaient déjà reçu
une subyenton de la DES (parce que 1 ‘na7yse des demandes était restée super—
ftcel7e) ont été conservées dans la liste des revues recommandées pour une
t 5
subvention cette année, mais dans la perspective d’une élimination progressi
ve (“phasing out”); en pratique, la subvention recommandée pour ces revues a
été coupée de moitie par rapport à la subvention de l’année dernière et la re
commandation pour l’année prochaine est de ne plus les subventionner. Le ta
bleau I présente les résultats de la caractérisation de toutes les publications
postulant dessubventions pour 1975-1976.
C, L’opportunité
Le Comité a aussi examiné longuement l’épineuse question de 1 ‘opportu
nité, en particulier pour ce qui est des domaines où plus d’une revue est pu
bliée au Québec. Le sujet avait d’ailleurs été abordé au cours des entrevues
avec 7es intéressés eux-mêmes. Il faut reconnaître que 7es membres du Comité
n’ont pu faire 1 ‘unanimité, sauf pour demander (ou redemander) des études sé
rieuses sur la publication des travaux scientifiques dans 7es domaines du droit,
de la géographie, de la littérature et de l’histoire de l’art. Les vice-rec
teurs à la recherche de chacune des universités impliquées se sont d’ailleurs
engagés, lors des rencontres avec 7e Comité, à ce que ces études soient produi
tes au cours des mois qui viennent.
Faute de tels mémoires, qui devraient être préparés en collaboration
par les principaux intéressés, le Comité pourrait faire appel à des experts
choisis en-dehors du milieu pour le conseiller sur une ligne de conduite. Com
me on le verra au tableau 5 (pages 32-33—34),les recommandations financières
pour 1976—1977 sont liées à la remise de ces rapports conjoints.
L’admissibilité des revues nouvelles constitue un aspect particulierde ce que le Comité appelle 1 ‘opportunit Pour l’avenir, le Comité exigera
qu’un mémoire sur l’opportunité de créer une nouvelle revue accompagne toute de—
viande de ce type. Cette année, le Comité a classé non—admissibles deux de cesdemandes, qu’il est disposé à étudier de nouveau après remise des mémoires ap—
propriés, il a accepté la troisième, parce qu’elle résultait d’une concerta
tion de plusieurs universités et aussi parce qu’elle correspondait à une priorité du Ministère de l’éducation. V
6
TABLEAU I
)oniciine scientifique
3iogie et sciences naturelles
4I Le Naturaliste canadien
?. Revue canadienne de biologie
ri nologi e
3. Acta criminologica
)rf .t
).
î.n
Ec mie
3. L’actualité économique
.URevue canadienne d’économiepublique et coopérative
EdU;ati n
10. McGill Journal of Education
11 Revue des sciences deU l’éducation
R
Cette nouvelle revue, classéeRn>remarques de l page -•
Eo’graphi e
Cahiers de géographie deQuébec
16. Revue de géographie de•ontréal
CARACTERISTIQUES ET ADMISSIBILITE DES REVUES
AYANT POSTULE DES SUBVENTIONS POUR 1975-76
Type Subventionen 1974—75
Non-admissible AdmissibleAucun Subventionsubvention terminaleen 1975-76 en 1975-76
Cahiers dé droit
Revue de droit
NcGill Law Journal
Annals of Air and Space Law
R
R
w
R
Rn
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Rn
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Et Jes anciennes
12. Cahiers.des études anciennes
e et architecture
Industrial ization forum
L’ ingénieur
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missible cette année - Vira
7
Hioire de l’art
77 Investigart
18 Journal of Canadian ArtHistory
9jRACAR.
Linguistique
20 Travaux de recherche linguistique à Montréal
Li térattre
21. Etudes littéraires
22 Présence francophone
23 Etudes françaises
24. Livres et auteurs québécois
2EJoix et images du pays
.Scences humaines
:2E Protée
Rcations industrielles
Relations industrielles
Rations internationales
2L Etudes internationales
S vice Social
2S Service social
Sc :iologie
30. Recherches sociographiques
3 Sociologie et sociétés
Théologie et philosophie
3 Laval théologique et philosophique
33” ;ahiers de pastorale scolai—
kjre
Traduction
Meta
Do aine scientifique
Type SubventioniF747 Aucune
subventionen 1975—76
Non-admissibi eSubventi ontermi nal een ï 975—76
‘Admissible
I oui
R oui
Rn non
w non
R oui
E ouf
R oui
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R oui
R j non
R oui
R oui
R oui
R oui
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R oui
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O1REC11ON DEs COMMUNICATIONSMinictère de I’ducaflon1035,delaChevrotière,11G /tjecj1RA5
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V
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2. Les méthodes d’évaluation de la qualité
Deux méthodes ont été employées successivement: l’expertise et
l’entrevue. Elles ont permis au Comité d’acquérir une connaissance assez ap
profondie de chacune des revues et d’établir certaines comparaisons.
a) Les expertises
Dans le but d’obtenir une évaluation dont on ne puisse contes
ter la qualité, l’objectivité et l’uniformité, le Comité a décidé de faire exa
miner chacune des revues par trois experts spécialisés dans 7e domaine couvert
par la revue. Dans les domaines où plusieurs revues sont publiées) les mêmes
experts ont été invités à se prononcer sur chacune des revues. Le choix des
experts a été effectué en tenant compte de deux critères: leur compétence
reconnue dans le domaine concerné et l’absence de conflit d’intérêt; pour sa
tisfaire au second critère, un expert ne devait pas appartenir au bureau de di
rection ou d’orientation d’une revue. Deux experts ont systématiquement été
choisis parmi les universitaires québécois, alors que le troisième devait obli—
gatoirement.appartenir a une institution en dehors du Québec. Quelques rares
manquements â ces règles ont été découverts par la suite, Qrâce aux experts
conc&-nês qui nous ont fait savoir, par exemple, qu’ils siégeaient au bureau de
direction d’une association publiant une revue. Rétrospectivement, on constate
que les experts avaient été bien choisis, car leurs rapports se sont révélés pour
la plupart de bonne qualité.
Afin de s’assurer d’une évaluation relativement uniforme, le Corni•
té a mis au point une fiche d’évaluation permettant aux experts d’exprimer
leur opinion d’une manière standardisée (voir l’annexe 1). Chaque expert devait
en outre soumettre un rapport d’évaluation portant sur les auteurs et sur le
contenu de la revue et incluant des suggestions en vue d’en améliorer la quali
té (voir l’annexe 2). Ces rapports, qui seront d’ailleurs communiqués aux direc—
tours de revues tout en préservant l’anonymat de leurs auteurs, ont été beaucoup
plus utiles pour le Comité que les fiches, en particulier lors des entrevues avec
les directeurs des revues.
9
b) Les rencontres
Bien qu’en possession d’un dossier important sur la plupart des
revues, 7es membres du Comité ont tenu en effet à rencontrer chacun des direc
teurs de revue; la durée moyenne de ces entrevues a été de près d’une heure.
Les principaux sujets discutés étaient les objectifs de la revue (surtout si la
revue n’était pas la seule dans son domaine de spécialisation), le fonctionne
ment de la revue, notamment la procédure du choix des manuscrits, et enfin les
aspects administratifs et financiers. Ces rencontres ont permis aux membres du
Comité de mieux comprendre les problèmes de chaque revue et de se familiariser
avec la situation particulière de chaque discipline et de chaque université.
c) La synthèse de l’évaluation
A la suite de ces analyses, le Comité a pu tirer deux conclusions
générales sur la qualité des revues scientifiques. La première, c’est que
toutes les revues classées R (revues de recherche) et E (revues d’éducation per
rianente), en d’autres termes les revues reconnues admissibles au programme de
la D.G.E.S., sont d’une qualité acceptable. La seconde conclusion est qu’il
n’est pas possible pour un Comité, à cause de l’hétérogénéité des domaines et
des experts, d’établir une classification détaill1e des revues selon leur quali
té. Le Comité s’est donc limité à identifier les revues dont la qualité est
remarquable puisqu’elle a été reconnue, au moyen d’un scrutin, par tous ses mem
bres sans exception ou avec une seule exception (voit tableau 2).
TABLEAU 2
CLASSIFICATION DES REVUES ADMISSIBLES EN 1975-1976 SELON LEUR QUALITE
Revues nettement au-dessus de Revues nettement au-dessous dela moyenne la moyenne
Etudes internationales Journal of Canadian Art HistoryMeta McGill Journal of EducationMcGill Law Journal Revue canadienne d’économie coopérativ
Présence francophone
10
3. Les résultats de l’évaluation
a) La biologie et les sciences naturelles
Le Naturaliste canadien
Fondée il y a plus de cent ans dans l’intention de diffuser des no-
tians d’histoire naturelle appuyées sur des observations et des études effectuées
au Québec, le Naturaliste est surtout orienté, comme son sous-titre l’indique,
vers l’écologie et la systématique animales et végétales. (On doit noter que les
articles concernant la biologie expérimentale acceptés occasionnellement par la
revue seraient plus à leur place dans la Revue canadienne de biologie.) Les au
teurs qui publient leurs travaux dans le Naturaliste canadien se recrutent Drin
cipalement au Québec, mais la revue est également ouverte aux chercheurs des au
tres provinces et autres pays.
t.es experts consultés signalent que ce périodique a acquis , depuis
qûelques années, une réputation enviable et qu’il est devenu une revue scienti
fique d’excellente qualité. Il convient aussi de signaler que l’orientation du
Naturaliste canadién s’inscrit dans le cadre des priorités de recherche du Minis
tère de l’éducation (actions thématiques sur les ressources naturelles et 1 ‘envi
ronnement).
La Revue canadienne de biologie
Cette revue, fondée en 1942, est axée sur la physiologie et les
sciences bio-médicales et diffuse surtout les résultats de la recherche effec
tuée au Québec Elle est accessible aux jeunes chercheurs qui peuvent, à l’oc—
casion, y publier des articles faits à partir de thèses soutenues dans les uni
versités. Les articles ayant trait à la systématique et à l’écologie auraient
une meilleure diffusion dans le Naturaliste canadien, sauf lorsqu’ils se rat
tachent directement aux préoccupations des chercheurs des sciences bio-rnédica
les. Dans cette perspective, une collaboration plus étroite et plus systéma
tique devrait s’établir entre les responsables de ces deux publications complé
mentai res.
71
Les difficultés qu’éprouve la Revue canadienne de biologie depuisquelque temps sont sérieuses et doivent préoccuper l’Université de Montréal.Un “plan de sauvetage” solidement étayé serait sarement accueilli avec beaucoupde sympathie par le Comité.
b) Le droit
C’est le domaine o1 il semble y avoir le plus de revues auQuébec. Des demandes de subventions ont été faites pour les périodiques suivants: les Cahiers de droit (Lavai), la Revue de droit (Sherbrooke), leMcGili Law Journal et The annals of Air and Space Law fMcGill).
Le comité des revues, tout en reconnaissant 1 ‘importance desécrits dans l’évolution de la science juridique et dans son enseignement, estime qu’il y aurait lieu de mieux coordonner les efforts en vue d’accroître 7eniveau d’excellence des publications dans le domaine du droit.
Les Cahiers de droit
Cette revue a pour premier objectif de présenter “une image destravaux de recherche menés la faculté de droit de Lavai”, mais elle accepteégalement des travaux provenant de professeurs dans d’autres facultés de droitou de praticiens. La revue a publié quelques extraits de thèses de doctoratet les meilleurs travaux des étudiants à la maîtrise de la faculté. Les numéros thématiques sur la famille, le droit du travail, le divorce, la responsabilité hospitalière, l’habitat et son milieu, ont permis aussi la collaboration dechercheurs U ‘autres disciplines.
Outre des articles de fond qui constituent la plus grande partiede chaque numéro, la revue contient également des notes, qui sont parfois fortimportantes, des décisions inédites des tribunaux, une chronique de jurisprudence, une chronique bibliographique de même que des recensions d’ouvrages.
12
In ce qui concerne la qualité, on peut souhaiter plus de constance.
A coté de travaux sérieux constituant des contributions importantes à la sciencejuridique, on trouve parfois des articles plus faibles, moins bien documentés,que le Comité de rédaction aurait mieux fait de refuser.
La Revue de droit
La raison d’être de cette revue serait surtout de stimuler la reçherche au sein de la faculté de droit de l’Université de Sherbrooke. Pourtant
la plupart des textes publiés ont été rédigés pour des fins autres que leur publication dans la revue: extraits de thèse de doctorat, travaux faits dans lecadre d’un cours de maîtrise, rapports soumis l’Office de revision du code civil. Le contenu de la revue se limite uniquement à. des articles de fond qui serapportent d’abord aux divers aspects de la réalité juridique québécoise; on n’ytrouve ni notes, ni chroniques ni recensions bibliographiques. Les articles, généralement substantiels, présentent des analyses approfondies des sujets traitéset les questions abordées la pollution des mers, le droit nucléaire, le transsexualisme - sont souvent très neuves.
NcGill Law Journal
Le McGill Law Journal, publié par les étudiants depuis 1952, s’estimposé comme une des meilleures revues juridiques canadiennes. Grace à une politique très exigeante dans le choix des textes par le Comité de rédaction, la publication dans cette revue est devenue une espèce de garantie de haute valeur
scientifique et de bonne tenue littéraire.
Les articles de fond présentent les résultats de recherches ou descommentaires sur l’état du droit. Plus que dans les autres publications juridiques, on y trouve des études sur les fondements théoriques du droit. Les articles de doctrine constituent la plus grande proportion de chaque fascicule, maisil y a aussi des notes et des recensions de livres. Il faut souligner que laproportion des textes rédigés par des professeurs de la faculté de droit de McGillest très réduite. La revue ne semble pas, contrairement aux autres revues juridiques québécoises vouloir être l’organe de diffusion de la recherche juridique
13
menée à McGI11 par les professeurs. Bien qu’elle ait été,cette année, considérée par 7e Comité comme complémentaire plutêt que concurrente des autres revues de droit, il est essentiel que l’université McGill collabore à la préparation du mémoire conjoint sur les revues de droit.
De façon à satisfaire aux exigences de la politique québécoiseen matière d’aide aux revues scientifiques, il est essentiel de donner auplus têt à la revue un titre français faisant le pendant du titre actuel, etd’accroître, de façon générale, la part du français, en publiant notamment dansbette langue de substantiels résumés des articles écrits en anglais.
c) L’économieL’actualité économique
L’actualité économique est essentiellement une revue d’économieappliquée, qui diffuse depuis une cinquantaine d’années les travaux de recherche des économistes du Québec.
Depuis quatre ou cinq ans, la revue a connu un nouvel essor et soncontenu scientifique s’est nettement amélioré, parallèlement au développementdans notre milieu des sciences économiques; la variété et la qualité des travaux de recherche qui sont poursuivis au Québec et au Canada se reflètent évidemment dans les contributions la revue.
La Revue canadienne d’économie publique et coopérative
Cette revue, tout en ayant des objectifs scientifiques, est surtout un organe de sensibilisation au coopératisme et de diffusion de l’information spécialisée sut le sujet. En somme, la fonction principale de la revueest l’éducation permanente des coopérateurs.
La qualité de la revue pourrait être améliorée en élargissant lebassin ctes collaborateurs et en instaurant des règles d’édition plus riqoureuses. On doit regretter tout particulièrement l’absence d’amélioration significative dans la correction du français depuis l’an dernier, alors que le rapportdu Comité avait insisté sur cette question.
14
Il est pat ailleurs essentiel que l’Université Concordia pose au
plus tt les questions fondamentales de la mission et de l’avenir de cette re
vue, dont la faible diffusion laisse croire qu’elle ne joue peut-être pas le
rôle qu’on veut lui faire jouer.
d) L’éducation
NcGill Journal of Education
Cette revue n’est pas à proprement parler une revue de recherche
car pas plus de 10 à 15% des articles publiés sont de véritables résultats iné
dits de recherche. Elle e surtout une fonction d’éducation permanente grâce à
la publication de nombreuses synthèses et mises au point sur toutes sortes de
questions intéressant les enseignants, ainsi que des recensions d’ouvrages.
VUniversité doit viser l’amélioration è brève échéance du contenu
de la revue, qui est très inégal. On peut toutefois se demander dans qoelle me
sure elle sera justifiée de maintenir cette publication alors que les autres uni
versités ont décidé d’unir leurs efforts pour lancer une revue de recherche dans
le nième domaine.
La Revue des sciences de l’éducation
La Revue des sciences de l’éducation est une publication nouvelle
visant la diffusion des travaux de recherche universitaire; elle comble ainsi
une lacune puisqu’il n’y avait jusqu’à maintenant aucune revue pédagogique à
caractère scientifique au Québec. Les subventions de recherche s’étant accrues
de façon importante dans les facultés et départements de sciences de l’éducation,
et les études supérieures y occupant une place grandissante, les professeurs et
les chercheurs du secteur se sont concertés pour lancer cette revue interuniver—
sitaire.
Il importe de siqnaier que la Revue des sciences de 1 ‘éducaUon,s’jnscrj
dans le cadre de l’une des priorités du Ministère de l’éducation, soit le dé
veloppement de la recherche en sciences de 1 ‘éducation. La mise sur pied d’un V
comité d’orientation représentatif des diverses universités francophones dc! Qué—
bec et du Canada, ainsi que la parution de deux premiers numéros semblent êtredes garanties suffisantes d’avenir. La responsabilité juridique de l’Université de Montréal vis—à--vis cette publication devra toutefois être précisée parles autorités concernées.
e) Les études internationales
Etudes internationales
Par cette revue, le Centre québécois de relations internationales comble une lacune évidente, car aucune autre revue québécoise n’est consacrée au domaine des études internationales. La revue a pour but de contribuerau développement des études internationales, y compris les études régionales etl’étude de la politique des états. Multidisciplinaire, elle s’adresse au publicuniversitaire et scientifique en général, mais elle est aussi accessible à deslecteurs moins spécialisés.
De toute évidence, il s’agit d’une revue très appréciée pour saqualité aussi bien que pour son utilité.
f) La géographieV
La géographie est l’un des domaines dans lesquels il n’est pasVévident qu’il y a place au Québec pour plus d’une revue de recherche. Même si
les deux revues existantes ont cherché, depuis quelques années, à être complémentaires plutôt que concurrentes, il faut souhaiter une remise en question dela situation par les intéressés, en vue d’atteindre une meilleure qualité.
Les Cahiers de géographie
V Les Cahiers se caractérisent par leur ouverture à tous les do—niaines de la géographie, puisque la revue veut “jouer le rme de stimulant etde guide de la recherche géographique au Canada français”. L’accent est cependant mis sur la géographie humaine et ses applications à l’aménagement duterritoire, notamment au Quéhec. Dans l’ensemble, la qualité de la revue estsatisfaisante, bien qu’on puisse noter une diversité insuffisante des collaborateurs.
V
La Revue de géographie de Montréal
Elle s’est donné, depuis quelques années, une double spécialisation: la géographie physique des pays froids et la géographie urbaine.Cette décision est sans doute à l’origine des difficultés qu’éprouve actuel—lement cette revue, car une telle spécialisation exige une qualité très grande,et donc une alimentation à partir d’un bassin très important de collaborateurs.Or, l’excellence de la présentation de la revue ne suffit pas à masquer unefaiblesse évidente du contenu dans trop de parutions.
g) L’histoire de l’art
Deux des trois publications en histoire de l’art qui ont demandédes subventions peuvent être considérées comme des revues scientifiques: Racaret Journal of Canadian Art History. La nécessité d’avoir deux revues distinctesen histoire de l’art n’étant pas du tout évidente, il est essentiel quon analyse la situation dans son ensemble avant de subventionner une nouvelle revuecomme Racar. Le cas du Journal of Canadian Art Hist est un peu différent,puisqu’il a déjà fait l’objet d’une subvention.
Journal of Canadian Art History
Le contenu de cette revue qui se veut scientifique est assezhétérogène et témoigne de l’imprécision des objectifs poursuivis. Certains destextes pubÏiés dans les numéros parus jusqu’à maintenant auraient été plus àleur place dans une revue de vuiga’isation.
Il faut que l’Université Concordia précise au plus têt sapolitique en ce qui concerne cette revue, et en particulier qu’elle envisage lesmodalités d’une coflaboration éventuelle avec l’Université Laval
h) La littérature
Cinq publications périodiques dans le domaine de la littérature
17
ont adressé des demandes de subventions la OGES cette année; deux d’entre
elles ont été classées non-admissibles (Livres et auteurs québécois et Voix etimages du Pays). La coexistence plus ou moins confortable des trois autres ne
constituant peut-être pas la meilleure solution pour la collectivité, les uni
versités impliquées (Laval, Montréal et Sherbrooke) se doivent d’examiner ensemble d’autres hypothèses.
Etudes littéraires
“Ouverte à toutes les conceptions de la littérature, sans exclu
sive, et attentive aux recherches nouvelles dans le domaine de la critique”
(no. 1, 1968, p. 9), la revue Etudes littéraires est destinée aux spécialis
tes mais est accessible à un public assez vaste, qui varie d’ailleurs selon
lés thèmes des parutions.
Il s’agit assurément d’une excellente revue, tant par la qualité
des collaborateurs canadiens et étrangers que par la diversité et l’actualité
des recherches dont elle présente les résultats.
Etudes françaises
On peut se demander ce qui distingue en réalité cette revue de la
précédente. Elle a un double objectif: rejoindre un public qui dépasse le mi
lieu universitaire, tout en remplissant une fonction de premier plan dans ladiffusion de la recherche. La revue ne publie désormais que des numéros théma
tiques, oD la réflexion critique a une large place.
Sa diffusion témoigne du succès de cette revue dont l’excellence nepeut être mise en doute.
Présence francophone
Contrairement aux deux autres revues de littérature, celle-ci est
plut6t une revue d’éducation permanente et un bulletin de liaison qu’une revue
de recherche et de réflexion critique.
18
La qualité de la revue n’est pas non plus comparable, en dépit d’efforts récentsde renouvellement.
Parmi les hypothèses que l’Université de Sherbrooke doit envisager pour l’avenir de Présence francophone, la plus plausible est peut-être latransformation de ce périodique en un bulletin de liaison, en collaboration avecd’autres organismes intéressés à la francophonie. En tous cas, la formule actuelle ne peut pas être conservée, les résultats obtenus jusqu’à maintenant ledémontrent clairement.
j) Les relations industrielles
Relations industrielles
La seule du genre au Canada, et l’une des deux seules de ]anguefrançaise dans le monde, la revue Relations industrielles semble fort appréciée par une clientèle assez diversifiée.
j) Le service social
Service social
Fortement axée sur les besoins du milieu, cette revue est trèspolyvalente car elle est à la fois une revue de recherche et une revue d’éducation permanente, et en même temps presque une revue professionnelle. Il fautsouhaiter qu’elle devienne davantage un organe de diffusion de la recherche effectuée dans le milieu québécois, car il est difficile de bien jouer plusieursrôles simultanément.
k) La sociologie
Les revues québécoises •de sociologie, loin de se concurrencer, sontcomplémentaires et toutes deux excellentes.
Recherches socioqrajjqs
Les trois caractéristiques principales de la revue de Laval sont
79
sans doute la pluridisciplinarité, la très forte proportion d’études empiriqueset l’orientation vers 7es problèmes québécois.
Sociologie et société
Par opposition l’autre, on peut dire que la revue de Montréalest essentiellement préoccupée de théorie et de méthodologie, et qu’elle estplus exclusivement sociologique.
1) La théologie et la philosophie
Lavai théologique et philosophiQue
Unique en son genre au Québec, cette revue doit être redéfinie,après une consultation très large. Ce type de revue, pour être lue, doit eneffet atteindre une très haute qualité. La faible diffusion actuelle permetde douter de l’impact réel qu’elie a dans le milieu et l’étranger.
m) La traduction
Meta
En dépit de certaines caractéristiques qui rappellent les revuesprofessionnelles, Meta reste d’abord une revue de recherche dont la qualitétrès grande est évidente. Aussi son marché est—il très vaste, non seulementau Québec mais aussi à l’extérieur. Il faut dire qu’il n’y a pas vraiment d’autre revue dans le monde qui puisse lui être comparée.
20
II. LE FINANCEMENT DES REVUES
Avant de proposer les montants des subventions à accorder à chaque revueclassée admissible à la suite de l’évaluation qualitative, le Comité a procédéà une analyse des demandes de crédits faites par les éditeurs et les directeursdes revues. Il a par la suite cherché une formule de financement à la fois équitable et réaliste, et il s’est enfin posé le problème du développement duprogranïme de subventions aux publications scientifiques.
1. L’analyse des demandes de crédits
L’analyse des demandes de crédits s’est révélée, comme l’an dernier,un exercice pénible, surtout à cause de la difficu]té de comparer les donnéesfinancières et autres qui apparaissent dans les formulaires remplis par lesresponsables des revues. Le Comité a consacré beaucoup d’énergie à rendre cesdonnées comparables et il en a fait la critique en interrogeant les directeursdes Presses et les directeurs de revues; il estime avoir réussi en définitiveà se faite une idée assez juste de ce que coatent les revues et de leurs problèmes financiers.
a) Les coats
L’examen du tableau 3 permet d’analyser ce qu’ont coaté en 1974—75,les revues admissibles au programme cette année. Toutes Ïes données quiapparaissent dans ce tableau ont été tirées des formulaires de demandes remplis par les responsables des revues.
La colonne 1 présente les données concernant le tirage de chacune des revues. Ces chiffres qui ne sont pas sujets à interprétation ne sontpas utilisés dans la suite de l’analyse; ils apparaissent dans ce tableau parceque, d’une part, ils permettent des comparaisons intéressantes, et d’autre partsils peuvent suggérer des explications à certains écarts dans les coats. Dansla colonne 2, on trouve 7e nombre de pages publiées l’an dernier, pour chacunedes revues; ces chiffres sont quelquefois des approximations car l’année de parution n’était pas toujours terminée au moment de la préparation de la demande
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de subvention pour l’année suivante. Les troisième et quatrième colonnes pré
sentent les coOts d’impression totaux et les coêts d’impression par page. Ces
informations semblent exactes et comparables; bien entendu, les données calcu
lées à la page sont affectées par les imprécisions concernant le nombre de pa
ges. Les colonnes 5 et 6 présentent respectivement les coOts totaux et les
coêts totaux par page, données qui nous paraissent elles aussi exactes et com
parables dans l’ensemble, puisque les responsables avaient été invités à comp
tabiliser la totalité des coats, aussi bien les coêts indirects, c’est-à-dire
imputés, que les coOts monétaires directs. Enfin, la colonne 7 présente la pro
portion, en pourcentage, que constituent les coOts d’impression par rapport aux
coOts totaux.
Ce tableau permet de nombreuses observations et suggère diverses hypothè
ses concernant les variations dans les coOts de publication des revues. Il
faut souhaiter que les universités elles—mêmes tirent des conclusions de l’ana
lyse de ce tableau; les responsables de l’édition scientifique dans chacune des
universités auraient avantage à effectuer quelques études en vue de mieux com
prendre les écarts les plus marqués, et éventuellement de les réduire.
Il reste toutefois très difficiÏe, même après l’analyse de ces tableaux,
de déterminer ce que devrait coflter la publication d’une revue scientifique au
Québec. Outre le tirage et le nombre de pages, en effet, plusieurs facteurs
interviennent pour faire varier le coOt total de publication des revues. On
peut évidemment observer les effets de ces divers facteurs dans les tableaux
détaillés présentés par chacune des revues bien mieux que dans le tableau-syn
thèse présenté ici.
b) L’équilibre budgétaire des revues
Comme le tableau précédent, le tableau 4 a été confectionné à
partir des données soumises par les responsables des revues, mais contient cer
taines estimations. Les colonnes 1 , 2 4 et 6, montrant respectivement le nom
bre d’abonnements payants, le montant des subventions d’autres sources que la
00ES et celui de la subvention de la DOES, présentent des chiffres peu sujets
à discussion. Par contre, les données des colonnes 3 (les revenus estimés),
23
5(Jes “déficits” estimés) et 7 (le % de couverture du déficit) sont à manier avec
prudence. Quoique les comparaisons permises par ce tableau soient fort instruc
tives, (il faut espérer que les universités en tireront des conclusions), le
Comité n’a pas voulu s’attarder à les commenter, ayant décidé de ne pas fonder
ses recommandations financières sur les notions de déficit et d’équilibre bud
gétaire des revues.
Après consultation des autorités universitaires compétentes, le Comité
des revues scientifiques propose en effet de modifier, dès cette année, la rè
gle énoncée dans la brochure relative au programme qui affirme que “1 ‘aide fi
nancière prend la forme dunesubvention d’équilibre visant à combler les dé
ficits de fonctionnement éva]ués sur la base des coQts de production” (p. 6).
Cette mesuré, qu’on pourrait qualifier de rétroactive, semble en effet bien pré
férable à l’arbitraire qui de toute évidence caractérisait le mode de distri
bution des subventions utilisé jusqu’à maintenant.
V Cet arbitraire était sans doute inévitable, car si la définition du défi
cit d’une revue paraTt assez simple, soit la différence entre les dépenses tota
les et les, revenus totaux, l’analyse de ce déficit est au contraire extrêmement
compliquée. Il faut pour l’interpréter répondre à deux questions: qui paie?
qui devrait payer? Ces questions sont très difficiles, car elles mettent en
cause la dualité Presses—Facultés à l’intérieur des universités qui se sont do
tées de Presses universitaires, ainsi que la distinction pas toujours claire en
tre dépenses directes et dépenses indirectes. La notion d’équilibre budgétaire
des revues, qui rie peut étre utilisée sans traiter aussi du déficit des Presses
universitaires et de l’utilisation des subventions gouvernementales pour combler
ce déficit, n’est donc pas une base vraiment acceptable pour subventionner les revues.
En outre, il faut admettre que la promesse d’une aide financière fondée sur le réta—
blissement de l’équilibre budgétaire n’est pas une incitation à réduire les coats.
Il a semblé au Comité pour toutes ces raisons qu’il devrait proposer une formule
nouvelle fondée sur une base plus solide.
2. La formule de financement
•a) Les fondements de la formule
La brochure explicative du programme de subventions d’aide aux revues
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scientifiques affirme que le premier objectif de ce programme est la diffusion
“d’une partie des résultats de la recherche effectuée dans nos universités” et
que cet ofjectif” se rattache à ceux des programmes d’aide à la recherche puis
qu’il s’agit de compléter des travaux de recherche par la publication de leurs
résultats”. En conséquence, le Comité des revues en est venu à la conclusion
que le premier fondement d’une formule de financement des revues devrait être
l’aide aux chercheurs. En second lieu, la formule devrait permettre de rendre
Je programme de financement des revues de la DGES aussi autonome que possible par
rapport aux programmes fédéraux de fi nancement des revues, tout en tenant compte
de l’existence de ces programmes et en ne pénalisant pas ceux qui en bénéficient.
Le Comité a donc décidé de choisir des paramètres relevant de la rédaction, de
l’édition et de la distribution., plutêt que de partir des coûts d’impression dé
jà partieliérnent financés par ces programmes parallèles. En d’autres ternies, les
chercheurs et les départements devraient pouvoir bénéficier de l’aide aux revues
en provenance de la DGES, alors qu’actuellement ils subventionnent souvent indi
rectement 7es revues. Dans la mesure o ils participent à la rédaction et à l’é
dition en plus d’assurer la distribution, les services spécialisés (Presses ou
autres) recevront une partie plus ou moins importante de la subvention accordée
aux revues, comme on le verra plus loin.
b) La base de la formule
Lanalyse des données financières de revues, d’une part, et les
résul tats des entrevues, d’autre part, on fai t découvri r au Comi té certaines
constantes dans l’input qui est nécessaire pour préparer une revue scientifi
que périodique dans nos universités. Sauf exceptions, d’ailleurs assez nom
breuses, il semble que la préparation d’une revue scientifique valable exige
environ 25% du temps du professeur qui agit comme directeur ou rédacteur de la
revue et 25% du temps d’une secrétaire. On peut estimer que l’édition (revi—
sion et correction des textes et des épreuves) représente une dépense moyenne
d’environ $2,000; dans certains cas,ce travail est assuré par des services
d’édition (Presses ou autres), dans d’autres cas le professeur lui—même doit le
faire ou le confier à une autre personne. Bien entendu, il faut ajouter quel
ques frais de voyage et de téléphone pour assurer 1 ‘efficacité de la préparation
de la revue et la participation de membres extérieurs au Comité de rédaction.
26
Pour ce qui est de la distribution, enfin, une somme de $2,000 représente une
moyenne approximative, donts’écartent d’ailleurs bien des revues.
Ainsi, on peut établir la formule suivantes sur la base de ces
input:
l) 1 professeur x 25%+l secrétaire x 25%+ édition-f-frais divers-j- distribution
Convertie en termes monétaires, la formule peut se lire:
(2) $3,000.00-f-$1 ,5004-$2,000-+- $500—j- $2,000 : $9,000
Le montant de $3,000 (plutôt que $5,000, par exemple) correspond
à la dépense nécessaire à 1 ‘engaqement de chargés de cours ou d’assistants pour
permettre 1a libération partielle du directeur de la revue.
c) Les facteurs d’ajustement
A cette base, quatre facteurs peuvent s’ajouter, s’il y a lieu:
un facteur technique (9 un facteur de quantité (F2), un facteur de qualité (F3)
et un facteur de priorité (F4).
Le premier pourrait se justifier par des frais particulièrement
importants découlant soit de la nature même des recherches, soit de circonstances
particulières, comme la préparation d’un index ou la publication d’un supplément,
cartographique ou photographique. Le second facteur jouera pour des revues dont
la périodicité ,dépasse quatre parutions par an, et/ou dans certains cas pour cel
les dont le volume est particulièrement considérable.
L ‘éval uati on quai i teti ‘e, en dépi t du soi n avec 1 aquel le el 1 e
a été faite, ne permet pas d’établir une hiérarchie détaillée des revues exper
tisées. Seules les revues dont la qUalité est exceptionnelle, selon la procédu
re décrite plus haut, seront donc affectées par ce facteur.
Enfin, la priorité jouera positivement dans le cas des revues
publiées dans les domaines jugés prioritaires par le Ministère de l’éducation.
2?
TChacun de ces facteurs pourra signifier un ajustement ne dépassant
] pas $2,000. Ainsi, une revue pour laquelle joueraient chacun des facteurs d’a
justement pourrait recevoir presque le double de la subvention de base.
La formule peut donc s’écrire ainsi:
(3) $9,000 ±F1*2+F3+F4, où seul F3 peut être négatif.
d) Les modalités d’application
Une assez grande souplesse est sou.tmitable au niveau de l’appli
cation de la formule proposée, pour tenir compte des situations particulières àchaque université et à chaque revue. Ainsi, certaines universités ont des Pressesuniversitàires, d’autres non; ces Presses ne rendent pas les mêmes services d’une université à l’autre. De la même façon, certaines facultés ou certains départements peuvent facilement libérer du personnel pour participer à la préparationdes revues, alors que d’autres doivent compter sur la bonne volonté de plusieurspersonnes.
Aussi semble—t—il souhaitable que les vice-recteurs à la re
cherche soient laissés libres d’utiliser le montant accordé pour chaque revuede la manière qu’ils jugent la plus appropriée, à la seule condition que la subvention soit utilisée exclusivement pour cette revue. Ils sont en effet lesmieux placés pour distribuer ces sommes avec la plus grande équité et le plus
grand souci d’efficacité.
Pour l’année en cours, déjà très avancée, une modal i té parti -
culière s’impose, après consultation des vice-recteurs concernés. Il est préférable de ne pas faire jouer négativement le facteur d’opportunité, mais d’at
tendre les résultats des mémoires conjoints que les universités se sont engagées
à préparer pour le droit, la géographie, la littérature et l’histoire de l’art.
3. L’avenir du programme
Le Comité des revues souhaite vivement que le programme d’aide aux revues
28
scientifiques connaisse un développement important au cours des prochaines
années. Ce développement devrait impliquer une croissance notable de l’enve
loppe budgétaire qui y serait affectée, mais aussi un élargissement des nor
mes de reconnaissance de l’admissibilité des revues, en incluant notamment 7es
publications scientifiques non périodiques du type “working papers et celles du
type “monographies et rapports de recherche”.
a) L’enveloppe budgétaire
Pour tenir compte de la croissance extraordinaire des coOts
de publication ainsi que des nouvelles demandes, il semble qu’une somme d’au
moins $280,000 soit nécessaire l’an prochain pour les seules revues de recher
che. Si l’on ajoute environ $20,000 pour les revues d’éducation permanente,
on doit proposer un total de $300,000 pour les revues scientifiques en 1976-7?.
Or, le Comité estime important pour le développement de la recherche, et très
avantageux financièrement, de favoriser la multiplication des rapports et mé
moires de recherche dans les universités. Pour une première année, on pourrait
limiter $50,000 cette “sous—enveloppe”, mais on doit prévoir doubler cette
somme à très courte échéance. Il va sans dire que le Comité insiste pour que
les montants supplémentaires soient dégagés ailleurs que dans l’ensemble de la
rechercha universitaire; il ne croit pas en effet que le développement de la re
cherche soit servi par un pur transfert interne, c’est-à-dire en prenant des
fonds dans une poche pour en mettre dans l’autre.
b) Les rapports et mémoires de recherche
Parmi ces publications, certaines se distinguent des revues de
recherche en ce qu’elles publient des résultats de recherches qui sont inédites
mais non terminées; elles ont alors pour fonction de provoquer la discussion,
et ainsi de permettre une éventuelle ré-orientation de la recherche, une modifi
cation des méthodes ou des hypothèses. Ces textes deviennent souvent par la sui
te des articles que l’on retrouve dans les revues scientifiques proprement dites.
Cette forme de publication est particulièrement importante pour le développement
de la rechercha; elle intéresse les jeunes chercheurs, notamment ceux qui peuvent
éprouver des difficultés publier dans les revues.
LZ29
Quant aux mémoires et monographies, ils présentent les résul
tats de recherches qui sont terminées mais qui portent sur un sujet très res
treint ou très spécialisé, et dont l’intérêt, par conséquent, est relativement
limité; c’est souvent le cas des thèses. Toutes ces études se caractérisant
par la clientèle réduite à laquelle elles s’adressent, il y a avantage à en li
miter 7e tirage et à les publier sous une forme modeste et peu coUteuse.
L’importance de ces publications peut également se mesurer
d’une manière négative, si on peut dire. En effet, elles permettent de limiter
Ie nombre et le volume des revues scientifiques de recherche, qui sont beaucoup
plus coêteuses à produire. En d’autres termes, à partir du moment oti il existe
d’autres véhicules mieux appropriés que les revues pour diffuser les résultats
de certaines recherches, le nombre de pages de revues scientifiques dans un do
J maine donné peut diminuer sans conséquences néfastes. Dans les sciences humai
nes surtout, les chercheurs devraient prendre conscience que le livre et la re
] vue scientifique ne sont pas les seuls modes de publication des résultats de re
cherches et favoriser le développement d’autres types de publication.
Le Comité estime, en conclusion, qu’un volet devrait être ou-
vert dans le cadre du programme d’aide aux revues scientifiques pour aider ces
J publications et qu’une sous—enveloppe devrait s’ajouter à l’enveloppe déjà pré
vue pour les revues. Le fi nancement de ces publications devrai t comporter un
certain automatisme et être éventuellement ajusté à un pourcentage déterminé des
subventions de recherche versées aux universités. Le Comité n ‘ignore pas que,
dans le cadre du programme ECAC, 7es chercheurs peuvent demander et obtenir des
sommes en vue de 1a publication des résultats de leurs recherches. Toutefois,
• 1 ‘expérience semble montrer que ces sommes sont les premières à être coupées
dans l’examen des demandes par les jurys; il vaudrait donc mieux prévoir une
enveloppe particulière, dont on serait certain que les sommes qui y sont prévues
seraient affectées exclusivement au financement de ce type de publication. Ces
sommes seraient remises au vice—recteur à la recherche en vue de les verser soit
aux chercheurs eux-mêmes soit au service approprié d’édition qui assurerait la
• publication, sous forme modeste, de ces travaux.
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30
III — LES RECOMMANDATIONS
1. Les recommandations générales
Le Comité des revues scientifiques recommande à la Direc
tion gnérale de l’enseignement supérieur:
a) d’adopter la typologie suivante pour les publications scientifiques:
— les revues de recherche;— les revues d’éducation permanente;— les revues professionnelles;— les bulletins d’information;— les rapports et mémoires de recherche;
et de ne déclarer admissibles au présent programmed’aide aux revues scientifiques que les revues derecherche et les revues d’éducation permanente.
b) d’adopter une nouvelle formule de financement
i) dont la base est de $9000;
ii) qui prévoit quatre (4) facteurs d’ajustement àsavoir les facteurs techniques, de quantité, dequalité et d’opportunité, chacun pouvant modifierle montant de la subvention d’un maximum de$2000.
e) d’appliquer cette nouvelle foi-mule da financement ds1975/1976 mais en n’y faisant pas jouer négativementle facteur d’opportunité.
d) d’appliquer cette foi-mule de financement (o la hasepourrait se modifier) pour les années 1976/1977 etsubséquentes apràs l’avoir annoncée dans sa brochureexplicative décrivant le programme d’aide aux revuesscientifiques.
31
e) de prévoir pour 1976/77, une somme de $300,000 pour
le programme d’aide aux revues. De ces $300,000,$280,000 devant être réservés pour les revues de re
cherche et $20,000 pour les revues d’éducation perma
nente.
f) de prévoir pour 1976/77 et les années subséquentes
un nouveau volet du programme pour les “rapports etmémoires de recherche” et d’y affecter une sous—enve—
loppe spécifique; cette sous—enveloppe étant de $50,000
pour la première année.
g) de garantir aux revues admissibles en 1975/76 le renou
vellement de leur subvention en 1976/77, selon les dis
positions du tableau 5, et compte tenu des exigences
administratives habituelles.
h) de faire étudier par l’actuel Comité des revues scienti
fiques les rapports de concertation dans les domaines du
droit,’de la géographie, de l’histoire de l’art et de
la littérature.
i) de distribuer ce rapport dans les universités aux vice--
recteurs à la recherche, aux directeurs de Presses et
aux responsables des revues scientifiques.
2. Les recommandations particu1ires
a) Les recommandations du Comité concernant l’aide finan—
cire apporter I chacune des 22 revues admissibles au
programme de la DGES, pour 1975/76, apparaissent au ta
bleau 5; on y trouve également les recommandations au su—
‘jet de l’aide à donner cette année seulement: aux quatre
revues déjà subventionnées, mais non—admissibles.
b) Le comité recommande que les subventions aux revues admissibles en 1975/76 soient indexées de 10% pour 1976/77,sauf dans les cas où des rapports de concerttion sont de—mandés.
e) Le tableau 6 reprend les recommandations financiàres compilées pour chaque université, pour 1975/76 seulement.
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35
TABLEAU 6 SUBVENTIONS AUX REVUES SCIENTIFIQUES PAR UNIVERSITE,/
ACCORDES EN 1974-75 ET RECOMMANDEYS EN 1975—76
1974—75 1975-76
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Université de Montréal 54,000 67,000
Sherbrooke 6,000 16,000
18,000 12,000
Concordia 9,500 11,250
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Université du Québec 1,500 500
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1. Budget des subventions de recherche (tableau A).
2. Répartition générale des subventions. Programme FCAC — Exercice1976/1977. (Tableau I).
Répartition par thème des subventions d’équipes. Exercice 1976/1977. (Tableau II).
3. Liste des membres du Comité—conseil (1976/1977).
4. Tableau 1: répartition par thèmes: phase I et phase II
Tableau 2: répartition par comité des subventions recommandées
Tableau 3: répartition des subventions par thèmes: tableaucomparatif 1975/1976 et 1976/1977
Tableau 4: répartition des subventions par universités: tableaucomparatif 1975/1976 et 1976/1977
Tableau 5: Caractérisation des subventions recommandées parcomité
Tableau 6: Caractérisation des subventions recommandées parunivers ité
Tableau 7: Caractérisation de la répartition par université dessubventions recommandées 1976/1977
5. Subventions recommandées (tableau I)
6. Annexe III: Comité d’évaluation des organismes de service à larecherche (O.S.R.) (Mandat).
(Tirées du cahier FCAC — équipes, Crédits alloués, exercice 1976/1977).
1
Rude-et des subventions de recherche
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1976 — 1977
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Eciuipes ets niinaires
Equipementsspeciaux
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Centres
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Administration des protrammes
Frais occasionnels
Impulsions com1mentares et sunn1mentaires
Actions concertées 135,000
0.S.R. 10,000
Revues 70,000
TOTAL 215,000
T0T GENERAL
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REPARTITION CENERALE DES SUBVENTIONS
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ETABLISSEMEN T
Lavai
Mont rai
H.E.C.
Polytechnique
S he rbrcoke
U.Q.A.M.
U.Q.T.R.
U.Q.A.C.
U.Q.A.R.
E . N . A . P.
I . N. R. S.
I .A.F.
Mc Ciii
Concordi a
Suhvent onsd ‘
nb. montant
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6 1,263,2511
3 59,600
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12 2142,900
5 38,750
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211 291,800
Total 379 5,91114,210
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93,000
22,000
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5 3,000
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314,000
23,000
22,000
20 ,000
33,000
21,000
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1,792,995
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Subvent ongri6r ale - Total0.E.R.
montant
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1 20,000
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13 355,900
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Tabioau II
IPARTITI0N PAR 1NEIE DES SLBWNTI&IS D’EQUIPES
E]ŒRCICE 1976-77
Thème nombrc montait
1. THEMES ORIENTES
1.1 Réssources 33 792,200
1.2 Technologie 39 719,500
1.3 Sciences de l’éducation 59 1,0211,625
1.11 M.6nagement, développement 112 655,500économique et planification
1.5 Civilisation et culture 23 339,11115qubécoises
1.6 A&inistration et droit 13 193,100public
1.7 Nutrition et secteur ego— 2 15,000alimentaire
_________
Total 211 3,739,370
2. TIŒMES FONDAMENTAUX
2.1 Connaissances mathématiques 1k 175,700
2.2 Connaissance de la matière 36 891,1161et du rayonnement
2.3 Conndssunco des orgunismus 6k 663,22)vivants
2. Connaissance de l’homme 20 271,1150
2.5 Connaissance des sociétés ik 203,000et des institutions —
_________
Total 168 2,2011,8110
Total gén4ral 379 5,51111,210
CotosITIoN DU Co1ITE-coNsEIL
F. C. A. C. — 1976 — 1977
EEIJdTGER, Mare Vice—recteur . 1 ‘enseignement
Prsidcnt et la rechercha1Jniversit du Qubec Montra1
Membres:
BELANGER, Jean—Merc Directeur excutifMinistère de a ‘Agr:icnltureComplexe s cientifiq’ue
GAUVIN, Lauric Directeur du Service de la recherche universitaire et de laforitiation des chercheursDirection gnrale dc I ‘enseignement su1r cur
Ninistre de i’Educatiun
LA ROCIIELLE, Pierre D6partement de génie civilFacult des sciencesUniversit6 1uvaÏ
LORD, Guy Dpar Lemen t. de clroi t pubI.i eUn:i.verzit de 14onLral
SIROIS, Antoine Vi ce—doyenFacult des artsUniversité dc Lherbrooke
TREMBLAY, Gatan Directeur de la coorcLiriationVi ce—przidence la recherche1JniveszitC du Qubec
YAFFE, Lo Vice—recteur 1 ‘adminis LrationUnivers] te hcGiIl
Secrtare:
CLIC]IE, Yvari Service de la recherche universi—tn re et de :I.H, fo rl9.t on deschc r ehe tirs
J)i recti on e de tgt1eJri:r: t. r: u )r ue
Mi riisLj’e de ï ‘Jdiicati Ofl
I F.C.A.à. — Equice Tableau 1 /37
partition car thrnes: Phase I et Phase II
T0AL
1975-76
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573.1
6o.8
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703. 5
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Phase I
$7000
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550.
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51)4.
2,575.825
Accroissement
$7000
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— )45.8
— 79.775
- 19)4.5
— 272.175
— 12.
94.2
32.75
- 171.8
— 16)4.73
Phase II
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630.5
2,930.625
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2,018.35
5,)485.7
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9)4. 7
16. 595
Note:
D. G.E.a.22 mars 1976
Ces montants n’incluent pas les quipements spéciaux
Thème
•1J-.
1.2
1.3
1.5
1.6
Accroi:ert
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102.)4
— 1.8
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337.625
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2.2
2.3
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536.225
157.
773.5
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182.)4
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2,179.08
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776.5
611.5
- 25.4
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— S.E.U.F.C.
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Tobicou 2
F.C.A.C. — Equipes: 1976—77
B6lDartition oar comitg des subventions recomrndes
Subventions Euino:tontsordinaros spcux Total
1 38 709,000 71,900 783,900
2 48 737,500 177,100 911,600
3 18 198,000 24,500 222,500
1 31 800,500 114,961 915,461
5 86 600,500 51,729 652,229
6 17 871,600 871,630
7 17 234,500 231,500
8 11 156,500 — 156,500
9 21 300,000 9,320 309,320
10 711,925 6,000 720,925
11 13 162,675 — 162,675
TOTAL 379 5,185,700. 158,510 5,911,210
D.G.E.S. - SJ.U.F.C22 mars 19(o
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Subventions recornmandges
Crdts CrditThme* 0.S.R. al].ou
1975-76 1976-77 1977_7811t8_19*4
Laboratoire Ocanographique de Bimouski (1NRS) 110 3512*
Banqueau (1NRS) 25 35 25 O
Formation des quipes techniques de terrain 21 10 0pour la station écologique de Matamek,moyenne C6te Nord (1NRS)
Microscopie Electronicue balayage (1NES) 20 15 1031* 25*
SRAP (Montr6al) 37.5 238.5*
Laboratoire de Morphom6trie (Poly.) 20 20 10
Service de cartographie et de reprographie 114 13 0 0fINES) 5*
Centre de sondage (Montral) 60 50 50
SIBILL (Lavai) 140 140
2.2 Service de diagnostic des infections et 20 17 0 0
] l6sions des animaux de laboratoire ClAP) 7*
Centre interuniversitaire d’tudes eu— 20* 20ropennes (UQAM—Conc.)
Centre au6bcois de relations interna— 20tionaies (Lavai)
Inventaire de la litt6rature pertinente 10.9 7.7 5la recherche sur le loisir au Qu6bec (UQTB)
Total 256.5 3211.9Equipement 32. 5 31*
Total nral 289. 355.9
1 Notes:
J * L’astrisçue désigne des montants destings i l’achat d’équipement
** Les thèmes se r6frent a la classification utilis6e dans la brochure DGES—FCAC—75—09
Les recommandations pour 1977—78 et 1978—79 ont une valeur indicative seulement.L’absence d’une telle indication provient d’une incertitude quant 1’vo1ution desprojets en cause.
—
Annexe III
F.C.A.C.: 1976—77
Comitd’va1uation des organismes dc service ]a recherche (O.FLR.)
Mandat:
Le comité a pour fonction d’évaluer les demandes d’or
ganismes de service la recherche prsentes dans le cadre du program
me F.C.A.C. pour l’exercice financier 1976—7f et de recommander le
montant des subventions qu’il conviendra d’accorder.
Il fera une analyse de ces demandes suivant les ob
jectifs, les critères et les caractristiaues dgcrits dans les bro
chures explicatives (DGES—FCAC—75—Ol et z6—oi) en utilisant les fi
ches DGES—FCAC—76—l3.
Il tiendra compte des priorités gnonces dans la bro
chure DGES—FCAC—76—13 de façon assurer le maintien du niveau des
activités dans les thèmes prioritaires. Le comit6 peut, en outre,signaler des projets qui mériteraient une analyse plus approfondiedans le ccntexte de ces thrnes prioritaires.
Le comité est invit aissi faire des commentairessur l’ensemble des besoins et suggérer des améliorations quant auxprocdures ou aux modalités du programme.
Ech6ance:
Le comitg devra faire rapport la Direction gnra1ede l’enseignement supérieur avant le 31 mars 1976.
Membres:
Jacques DunniganLaurie Gauvin Secrétaire—rapporteurBoland ParenteauGatan Tremblay
D.G.E.S. - S.R.U.F.C.février 1976.