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DOSSIER DE PRESSE 2014

www.maman-blues.fr

Association Maman Blues

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Siège social : Maison des Associations — Boite 53 — 22 rue de la Saïda 75015 Paris. Site : www.maman-blues.fr Page Facebook : Mails: association_maman-blues@voila.fr

info@maman-blues.fr Pour toute correspondance : Cécile Croquin -Association Maman Blues 65,rue Louis Blanchet—60300 Aumont En Halatte

Synthèse : Pages 3-4-5 La difficulté maternelle : Pages 6-7-8-9 L’association & ses relais : Pages 10-11-12-13 Le site, la page Facebook : Pages 14-15 8 ans et quelques actions… : Pages 16-17-18-19 Le livre Tremblements de mères : Pages 20-21 Lire: Pages 22-23 Bulletin d’adhésion 2014 : Page 24 L’affiche : Page 25

CONTACT

TABLE DES MATIERES

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LA DIFFICULTÉ MATERNELLE :

De quoi s’agit-il ? Des diverses manifestations émotionnelles, psychiques et somatiques — douloureuses et pathologiques— survenant pendant la grossesse ou après la naissance avec d’éventuelles répercussions sur le développement du nouveau né. Termes médicaux usuels : « baby blues, dépression du post-partum, psychose puerpérale, burn-out maternel, difficultés dans le lien mère bébé... ».

Qui peut être concerné ? + d’une femme sur 10 qui attend ou met au monde un enfant, soit + de 85 000 personnes chaque année. Pas de profil psychologique ou social type, pas de « prédiction » fiable et donc possible en prénatal.

Quels soins actuellement ? Prise en charge essentiellement médicamenteuse pour la plupart des femmes. Les professionnels de santé sensibilisés et formés à la prise en charge de la difficulté maternelle, sont encore en nombre insuffisant, même si en augmentation depuis quelques années. Pas de recensement des moyens existants sur le plan national, peu d’unités mère enfant : moins de 70 lits pour toute la France. La prise en charge conjointe de la mère et de l’enfant n’est pas encore une priorité en 2014.

Comment la comprendre ? (Approches, regards et réflexions au fil du temps) : Autrefois : « Défaut ou absence d’instinct maternel, mauvaises mères, mères monstrueuses, dénaturées... ». Aujourd’hui : La difficulté maternelle n’est plus considérée comme une aberration de la nature ou une faute morale. C’est un épisode dépressif, voire une possible pathologie psychiatrique en devenir.

Le point de vue de Maman Blues : D’abord un état existentiel : à la fois universel, se retrouvant sous différentes formes dans toutes les cultures et singulier, découlant de l’histoire personnelle de chaque femme. Avant tout, une histoire de maternité qui se déroule, se construit, se cherche, maternité dont le processus psychique achoppe partiellement ou totalement. L’effondrement résultant peut de surcroît être précipité et/ou majoré par des facteurs extérieurs : suivi de grossesse, accouchement et séjour à la maternité éprouvants, entourage peu contenant, voire toxique… La difficulté maternelle : un fait existentiel, un visage de maternité.

SYNTHESE

4 SYNTHESE [2]

L’ASSOCIATION ET SES RELAIS :

Description : Association loi 1901, créée le 20 janvier 2006, sous le numéro : 000174420P à la Préfecture de Police de Paris. Association d’usagers de la santé œuvrant dans le cadre de la difficulté maternelle.

Buts : -Informer un large public : parents, professionnels de santé, pouvoirs publics, médias... - Sensibiliser les professionnels de la santé sur :

La nécessité de repérer ce problème de santé au + tôt dans le post-partum et de l’accompagner avec bienveillance sans se montrer trop intrusif ou suspicieux. La fréquence et la gravité de ces évènements qui vont au-delà des statistiques annoncés de 10%. La nécessité de disposer de prises en charge + nombreuses et mieux adaptées aux états douloureux de la maternité psychique.

- Témoigner de ces vécus, afin de faire connaître et reconnaître la difficulté maternelle dans toute sa dimension humaine, tant émotionnelle, psychique, qu’existentielle.

Philosophie : Indépendance morale et financière.

Nombre d’adhérents et Adhésion : 99 membres en 2013. 25 euros/an.

Les relais Maman Blues locaux : Existent dans les départements 13-69-31-53-84

Le site et forum Internet (création début 2004) :

Buts : Mise en place d’un lieu d’échanges, de renseignements, de soutien moral et de témoignages, en ayant la garantie de n’être ni jugée, ni mise en doute. Atténuer le sentiment d’être seule ou anormale en « offrant » d’autres témoignages à lire. Inviter la personne à faire les démarches nécessaires pour demander une prise en charge.

Fonctionnement : Inscription via une adresse mail après acceptation d’une charte, choix d’un pseudonyme, anonymat vivement conseillé.

Présence d’une modération permanente pour assurer la courtoisie et le respect des échanges entre internautes, pour faire face à toute situation d’urgence (rare), mais aussi pour animer ces partages d'expériences et constituer ainsi le socle d'une entraide générale.

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8 ANS ET QUELQUES ACTIONS : Médiatisation de la difficulté maternelle : radio, télé, articles presse… Sensibilisation et information auprès des parents et professionnels : Plaquettes d’information téléchargeables sur le site. Affiche pour diffusion. Association référente : Participation colloques, documentaires, mémoires… Repré-sentant d’usagers de la santé à la clinique Sainte Thérèse Paris 17.

LE LIVRE DE MAMAN BLUES : Tremblements de mères aux Éditions de l’Instant Présent. Sortie 2010.

LIRE : Une sélection d’ouvrages, d’essais et de romans sur les thèmes de la difficulté maternelle, la maternité psychique, la parentalité et la paternité...

ADHERER : Bulletin adhésion + possibilité depuis 2013 de paiement directement sur le site

L’AFFICHE MAMAN BLUES : À IMPRIMER

SYNTHESE [3]

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De quoi s’agit-il ? L'expression "difficulté maternelle" recouvre l'ensemble des manifestations émotionnelles, psychiques et somatiques, douloureuses et pathologiques qui surgissent pendant la grossesse ou après la naissance et qui sont issues des achoppements ou blocages dans le processus psychique de maternité. Les effets et/ou conséquences peuvent être perceptibles tant chez la mère que chez l'enfant. Termes médicaux et usuels : « baby blues*,burn out maternel **. dépression du post-partum, psychose puerpérale, difficultés dans le lien mère bébé…

Le baby blues*: De par son intensité et durée limitée dans le temps— de quelques heures à quel-ques jours dans les 2 semaines maximum qui suivent l’accouchement — il ne peut être considéré comme l’expression clinique d’une difficulté maternelle. il est fréquemment évoqué comme un moment incontournable, quasi obligatoire et presque « amusant » du vécu de la naissance. De surcroit, ce terme est souvent utilisé à tort pour désigner un effondrement plus sérieux. Le Burn-out maternel** : épuisement psychique et physique insurmontable qui apparaît insidieusement plusieurs mois après la naissance d’un enfant, voire quelques années après. Il n’est pas à proprement parler une difficulté maternelle, difficulté dans le processus psychique de maternité, mais peut parfois en être la conséquence quand celle-ci a été ignorée, masquée ou impossible à « montrer » sous un autre visage que celui de cet épuisement. La fatigue extrême étant peut être plus dicible/plus avouable car pouvant passer pour du dévouement maternel poussé à l’extrême, pour du « trop donné » à son bébé. Là où dans le cas de la difficulté maternelle ne règnent le plus souvent que le vide et le malaise entre la maman et son bébé. Cependant le burn-out en dehors d’une possible origine à trouver dans la difficulté maternelle existe bel et bien en tant que tel et commence à être reconnu à l’instar du burn-out professionnel.

L’expression« difficulté maternelle » utilisée ici au singulier, comme un terme générique— l’emploi du pluriel risquerait peut être de diluer l’intensité de ce vécu— , a été empruntée à la théorie maternologique*. Elle nous a semblé plus respectueuse de l’identité et de l’histoire de celles qui en souffraient, en ne les épinglant pas d’emblée comme étant malades ou dysfonc-tionnantes sur un plan psychiatrique. *site : http://materno.club.fr

Qui est concerné ? Une femme sur 10 qui attend ou met au monde un enfant : soit plus de 85 000 mères chaque année en France qui ne seront pas au « rendez-vous » de leur maternité. Soit également autant d’enfants et de familles concernés et susceptibles d’être « impactés » par ce problème de santé : mal-naissance psychique du bébé, conflits conjugaux ou familiaux qui surgissent à la faveur d’une difficulté maternelle. Il n’existe pas dans l’état actuel des recherches scientifiques, de profil psycho-logique, social ou culturel plus à risque que d’autres. Toute femme attendant ou mettant un enfant au monde, peut être touchée : Le cadre familial ou social pouvant - mais pas systématiquement - précipiter son effondrement psychique et/ou majorer sa souffrance.

LA DIFF ICULTE MATERNELLE

7 LA DIFF ICULTE MATERNELLE[2]

Il n’est donc pas possible de prédire dés le prénatal, l’émergence dans le postna-tal, d’une telle difficulté. Cela est impossible et n’est pas même souhaitable : toute prédiction ou suspicion pouvant entraîner des effets iatrogènes sur le vécu émotionnel de la grossesse et de la naissance, sur la confiance en soi et en ses futures compétences maternelles. Tout stress maternel pouvant également avoir des effets sur le développement in utero du bébé, au minimum sur l’attente et l’accueil du futur bébé. Il est donc souhaitable de ne pas induire la difficulté maternelle en la prédisant ou la pronostiquant, en s’appuyant pour cela sur des critères sociaux, familiaux ou de personnalité/caractère qui sont étrangers ou du moins périphériques aux processus psychiques de maternité. Il conviendra également en cas d’antécédents de dépression du post-partum de garder à l’esprit que chaque naissance remet en jeu les possibilités maternelles. La difficulté maternelle peut être un évènement unique/isolé dans la vie d’une femme et ne signe pas obligatoirement l’entrée dans un cycle de dépressions à chaque nouvelle naissance. La difficulté maternelle ne peut s’apparenter au paludisme ! Les statistiques, mêmes si toutes concordantes (1 mère sur 10), minimisent la réalité de ces vécus : gravité, fréquence et conséquences. Celles-ci ne tiennent pas compte des différentes manifestations plus discrètes ou détournées, mais tout aussi sérieuses et profondes, de ce problème de santé telles que : silence des mères et dissimulation de leurs souffrances derrière un sourire ou des démonstrations presque exagérées de leur bonheur, absence de signes cliniques de dépression, froideur ou désinvestissement émotionnel de la mère coexistant avec une certaine compétence au niveau du maternage, hyperactivité maternelle pour compenser, souffrances ou troubles du bébé qui témoignent de la difficulté de sa mère...

Quels soins actuellement ? Prises en charges proposées essentiellement médicamenteuses, même si elles sont la plupart du temps assorties d’une recommandation à entreprendre un suivi psychologique, à charge bien souvent pour la patiente de le trouver seule. Peu de professionnels de la santé sont actuellement sensibilisés et surtout formés à la prise en charge de la « difficulté maternelle »*. *en dehors de la simple reconnaissance et prise en charge d’une dépression du post-partum. Pas de recensement national des moyens existants* et de leur mise à disposi-tion des parents, peu de lieux de soins spécifiques comme les unités mère enfant : moins de 70 lits pour toute la France*. *Sur le site de la Société Marcé recensement des unités mères : http://www.marce-francophone.fr/unites-mere-enfant-umb.html L’entretien du 4eme mois pouvant inaugurer un début de dialogue et de prévention n’est pas systématiquement proposé, comme cela avait été prévu lors de sa mise en place dés 2004**. **Selon l’enquête menée par Allo parent bébé en 2010 sur 328 mères , seules 45% s’étaient vu proposer un entretien prénatal, entretien qu’elles ont accepté à hauteur de 80%. Lien enquête : http://www.alloparentsbebe.org/IMG/pdf/DP_APB_08_2012.pdf

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La prise en charge conjointe de la mère et de l’enfant n’est pas encore une priorité : on avance systématiquement son coût élevé et notamment dans le cadre d’une hospitalisation en Unité Mère Bébé. Vision comptable et à court terme de la prévention. Le traitement généralement donné ou préconisé vise d’abord à rétablir le plus vi-te possible le(s) comportement(s) maternel(s) « attendu(s) » : une humeur sta-bilisée, des marques visibles de bonheur et des sourires qui doivent revenir au plus vite et des fonctions maternantes efficientes : adéquation et anticipation des be-soins du bébé. La prise en compte du vécu et des émotions de la mère, du sens éventuel de ces souffrances psychiques dans sa propre vie, de ce que ces moments peuvent nous dire ou nous apprendre sur la maternité humaine en général et sur la personne el-le-même, passent au second plan quand ils ne sont pas tout simplement ignorés ou recouverts par le diagnostic de dépression du post-partum.

Comment la comprendre ? Autrefois : « Défaut d’instinct maternel, mauvaises mères, mères monstrueuses ou dénatu-rées... ». Les jugements moraux, l’indignation, la dévalorisation et méfiance systématiques ou encore son évocation à travers des personnages de romans caricaturaux, ont toujours prévalu pour évoquer ce sujet. Les faits divers venant à intervalles réguliers enflammer les esprits et conforter les avis tranchés. En 1858, le psychiatre Louis -Victor Marcé publie un traité sur les femmes qui perdent la tête en devenant mères : « Traité de la folie des femmes enceintes, des nouvelles accouchées et des nourrices ». Cet ouvrage signe le début d’un intérêt de la psychiatrie elle_même naissante pour ces maternités dérangeantes. À partir des années 60, la « difficulté maternelle » est reconnue, définie et réperto-riée médicalement. Elle a sa propre nosographie : Dépression, baby blues, psychose puerpérale, burn-out, trouble hormonal… C’est le début également des hospitalisations conjointes (mère et bébé) car les psychiatres ont constaté que les mères se rétablissaient plus vite de leur troubles en présence de leur bébé.

1946 : premières hospitalisations mères-bébés au Royaume Uni . 1980 : ouverture en France de la première unité mère bébé à Créteil. 1987 : ouverture de l’unité de Maternologie de Saint Cyr l’Ecole.

Aujourd’hui : La difficulté maternelle n’est plus considérée comme « une erreur de la nature ou une faute morale ». C’est un épisode dépressif dans la vie d’une femme qui devient mère, voire une possible pathologie psychiatrique en devenir. On parle de crise maternelle à l’instar de la crise adolescente. Dans certaines approches médicales ou pour certaines conceptions personnelles de la maternité, elle reste encore étroitement liée aux bouleversements hormonaux de la grossesse et de l’accouchement. La femme étant renvoyée ou cantonnée à sa condition de mammifère placentaire.

LA DIFF ICULTE MATERNELLE[3]

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Cet intérêt pour les troubles de la maternité ont ouvert bien des espoirs de « guérison » chez les mères et des possibilités thérapeutiques pour les médecins. De coupables et indignes, les mères sont devenues fragiles et malades, elles ont changé de statut, acquis des droits, au moins celui d’être « soignées » sans être systématiquement séparées de leurs bébés. La difficulté maternelle est-elle cependant comprise et appréhendée selon sa nature exacte ? Le point de vue de maman blues : Les premières recherches sur ces états de la maternité psychique se sont élaborées essentiellement à partir des profils psychologiques des premières personnes soignées, la plupart souffrant avant la naissance de leur enfant de troubles psychiatriques tels que : schizophrénie, autre psychose, troubles de l’identité. Les différentes approches et prises en charge de la difficulté maternelle en ont été à l’époque influencées et ont privilégié la régulation rapide des symptômes dépressifs et des dysfonctionnements de maternage à l’étayage et la compréhension en « profondeur » de la relation mère-enfant et de ses achoppements. Maman Blues considère qu’il ne s’agit pas seulement de maladies psychiatriques en constitution ou de symptômes dépressifs qui sont à l’œuvre dans ces aléas de maternité mais aussi d’émotions, de bouleversements, de pensées ou de questionnements qui surgis-sent à la faveur de cet évènement. La difficulté maternelle peut être un moment fondateur de son existence, pour peu que les prises en charge soient adaptées et précoces et qu’une attitude compréhensive et bienveil-lante de la part des soignants comme de l’entourage préside à ces effondrements. Il convient alors - à notre avis- , de replacer ces vacillements maternels dans leur contexte ou « milieu naturel» à savoir la maternité et son versant psychique. La difficulté maternelle ne serait alors, « ni plus, ni moins » que la manifestation visible, sensible, bruyante et parfois terriblement inquiétante, de ce retour en soi qui s’opère à l’occasion de toute grossesse et naissance. Ce fameux « retour en soi » que tous les professionnels de la santé psychique s’accordent à dire qu’il est nécessaire dans le processus de maternité. Comment ne pas comprendre que ce voyage intime peut s’avérer bouleversant au point d’en perdre la tête et d’affoler le cœur ? Et pourquoi alors passe-t-on chez les soignants du registre psychologique au registre psychiatrique, en séparant parfois la mère de son bébé, faute de lieux adaptés ? La question est posée! La « difficulté maternelle » ainsi reconsidérée s’impose :

Comme un état existentiel à la fois universel, se retrouvant –certes sous des formes diverses — dans toutes les cultures et populations et singulier, car découlant de l’histoire personnelle de chaque femme. Comme une histoire de maternité, dont le processus psychique achoppe temporaire-ment - en partie ou totalement - et qui de surcroît peut se retrouver parasitée, et mê-me bloquée par des facteurs qui lui sont « extérieurs » : un suivi de grossesse ou un déroulement d’accouchement peu respectueux de la physiologie et des émotions de la femme, un entourage peu contenant voire toxique, une situation sociale vulnérable, un contexte professionnel difficile, un deuil récent ...

La difficulté maternelle : un fait existentiel, un visage de maternité ?

Osons le penser !

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DESCRIPTION : Créée le 20 janvier 2006, sous le numéro 000174420P, à la Préfecture de Police de Paris. Identifiant SIREN : 752 230 1776. Identifiant SIRET : 752 230 177 00012 Dépôt du nom Maman Blues comme marque, déclaration à l’INPI faite le 25/09/2008 sous le numéro 083600846, enregistrement au BO numéro 09/09 Vol. II du 27 février 2009. Créée pour mettre en place :

Un relais parental de soutien et d’informations exclusivement centré sur la difficulté maternelle, qui en s’appuyant sur les possibilités offertes par Internet, touche « chez elles » un maximum de personnes concernées ou susceptibles de l’être. Un cadre donnant la parole aux premières concernées, afin d’évoquer autrement la difficulté maternelle, sans avoir recours nécessairement à la nosographie médicale usuelle. Pour trouver seule ou à plusieurs leurs mots et les raisons de leurs maux.

Maman Blues ne s’inscrit pas seulement dans la constatation et dénonciation d’un manque de prises en charge adaptées à ce problème de santé, ou dans les failles d’une société qui ne met pas encore à disposition des mères, la compréhension et l’écoute nécessaires à la contenance de leurs émotions. Son existence se fonde également sur un besoin des femmes de témoigner de leur difficulté maternelle, pour lui donner un sens et une place dans leur parcours de vie, et pour que le droit de ne pas être immédiatement au rendez-vous de leur maternité leur soit reconnu.

BUTS : - Informer un large public, aussi bien parents que professionnels : Sans dramati-ser, minimiser ou banaliser. En évoquant des faits généraux, universels, tout en soulignant la singularité de chaque difficulté maternelle. En rappelant qu’il n’existe pas de profils sociaux, moraux ou psychologiques plus à risque que d’autres. - Sensibiliser chacun sur :

La nécessité de repérer, d’accueillir et de contenir au + tôt ces émotions et bouleversements, sans prédiction ou supputation hasardeuse et donc contre-productive et iatrogène, pendant le temps de la grossesse. Les risques de se montrer trop intrusif – en paroles ou en gestes - pour aider celle qui souffre, ou trop soupçonneux ou alarmiste sur les conséquences éventuelles pour le bébé. La fréquence et la gravité des ces évènements qui vont au-delà des statistiques annoncées de 10% de dépression du post-partum. Le besoin de prises en charge + nombreuses et mieux adaptées aux états de la maternité psychique.

- Inviter :

A une prévention prénatale qui ne serait pas une volonté de dépistage précoce ou de prédictions de comportements maternels dans le post-natal mais une attention bienveillante, vigilante, constante et collective. Au respect constant de la personne, de son corps et de son histoire, pour ceux qui sont en charge du suivi de la grossesse et de l’accouchement.

L ’ASSOCIATION

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-Rappeler : Que toute maternité se doit d’être pensée et prise en charge collective-ment et qu’elle ne peut se réduire à l’histoire réussie ou défaillante d’une seule personne : la mère, ou d’une seule entité, le couple parental. -Témoigner de ces vécus :

Pour faire connaître et reconnaître la difficulté maternelle dans toute sa dimension tant émotionnelle, psychique et existentielle que pathologique. Pour leur donner un lieu d’expression et de réflexion en dehors du cadre médical : sa nosographie, ses prises en charge, sa « vision ». Pour dépasser les tabous, clichés, idéaux et concepts en matière de maternité et de parentalité. Pour qu’ils nous deviennent familiers, « des paysages civilisées de maternité » et donc moins inquiétants et tabous. Pour que l’essence et les sens de ces histoires ne soient pas ignorés ou recouverts par l’attention et les soins portés à leur expression pathologique. Pour qu’au-delà du silence et de la honte, cet évènement crée du lien entre parents mais aussi entre parents et professionnels de la santé. Pour avancer et faire partager l’idée qu’au-delà de ses symptômes et de la pathologie apparente, la difficulté maternelle est un chemin particulier de la maternité psychique, un état légitime de maternité, qu’il conviendrait d’abord de comprendre et de respecter en tant que tel, avant même que de tenter d’y remédier.

PHILOSOPHIE : ARTICLE 2 DES STATUTS DE L’ASSOCIATION L’association est indépendante sur un plan moral et financier. Elle n’appartient à aucun courant médical, philosophique, politique ou religieux. Elle se veut néanmoins respectueuse des opinions ou croyances de chacun de ses membres, mais interdit tout prosélytisme religieux ou politique en son sein. Ce que nous nommons « la difficulté maternelle », est un état existentiel, un état de maternité psychique, universel et singulier, pouvant générer certains problèmes de santé tant pour la mère que pour son enfant. Notre association reconnaît donc qu’il puisse exister différentes façons d’appréhender ce sujet, de lui donner un sens ou de l’expliciter, mais aussi de prendre en charge les pathologies résultantes. A ce titre, l’association permet que chacun de ses membres puisse dans le cadre de son activité au sein de celle-ci : Témoigner de son vécu de la difficulté maternelle, de sa prise en charge et de l’expérience éventuelle qu’il en a retirée. Exprimer et soutenir, dans le cadre de la difficulté maternelle, toutes réflexions personnelles et/ou toutes préférences médicales, cliniques, philosophiques, à condition qu’elles ne soient ni incompatibles, ni contradictoires avec les objectifs et la conception de la difficulté maternelle de l’association. Ceci dans les limites du respect et de la place dus aux convictions et avis des autres membres de l’association.

L ’ASSOCIATION [2 ]

12 L ’ASSOCIATION [3 ] En conséquence : L’association admet, accueille, soutient et éventuellement promeut, toute approche médicale, clinique, philosophique et citoyenne qui œuvre ou œuvrera dans le cadre de la difficulté maternelle. Elle s’autorise toute prise de position, tout soutien et action dans ces différents domaines, qu’elle estimera utile à la mise en œuvre de ses objectifs et à l’expression de ses revendica-tions et doléances. Elle met à la disposition de ses membres toutes les informations qu’elle recueille régulière-ment, à charge pour eux de réfléchir et de se faire une opinion personnelle sur ces don-nées. Notre action et démarche se veulent ouvertes, respectueuses de tous et ne se substituent en aucune façon aux professionnels de la santé en charge de la difficulté maternelle.

ADHÉRENTS ET ADHÉSION : Nombre d’adhérents 2014 à la date du 01/03/2014 : 60 Nombre d’adhérents 2013 : 99 membres 2012 : 99 membres 2011 : 88 membres 2010 : 64 membres 2009 : 49 membres 2008 : 47 membres 2007 : 32 membres 2006 : 26 membres Montant de l’adhésion : 25euros. Bulletin d’adhésion :page 24. Voir site Internet pour paiement paypal

MARRAINAGE :

Depuis la rentrée de septembre, Elsa GRANGIER nous fait le plaisir et l’honneur d’être notre marraine. Toujours prête à relayer nos informations dans l’émission « Les Maternelles » elle est aussi de précieux conseils pour répondre à nos questions concernant la médiatisation de l’association.

PARTICIPATION ET PROMOTION DE DOCUMENTAIRES :

« Devenir mères »,est un documentaire qui aborde cet aspect méconnu de la mater-nité : la difficulté maternelle ; il a pour but de faire connaître et reconnaître cette problématique au grand public et de "détaboutiser" ce sujet. Il est un outil d'informa-tion et de sensibilisation à destination des futurs et des jeunes parents, des profes-sionnels et des associations d'accompagnement à la parentalité. PMI, maternités, sa-ges-femmes, psychologues… Il a pour but d'être diffusé dans le cadre de préparation à la naissance, de groupes de paroles… Un documentaire de Bérangère Hauet. http://vudicietdailleurs.over-blog.com/pages/devenir_meres_documentaire_sur_la_difficulte_maternelle-8766716.html

« Très peu de femmes osent parler de leur impossibilité à devenir à leurs propres yeux une mère suffisamment bonne pour l’enfant qu’elles vien-nent de mettre au monde. Parce qu’elles ont traversé l’épreuve de diffi-cultés maternelles majeures, quatre femmes disent dans ce film ce que notre société refuse de voir en face : il ne va pas de soi de devenir mère. Carolyne, Juliette, Delphine, Nadège nous disent l’insoupçonnable avec un engagement, une sincérité aussi lucide que bouleversante. L’autre naissance : Un film de Chloé Guerber-Cahuzac. 74 minutes - 2013 http://www.abacaris-films.fr/actualite.php

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Les relais sont tenus par des membres de l’association désirant s’investir locale-ment afin de faire connaître Maman Blues, auprès de leur ville ou département. Ils dépendent intégralement de l’association et sont sous son entière responsabilité. Leur mise en place obéit à une charte* et est soumise à l’approbation du Bureau. Toute personne membre de l’association désirant créer un relais doit avoir ren-contré un membre du Bureau au préalable et soumettre un projet écrit à l’associa-tion. *charte disponible sur demande auprès de : association_maman-blues@voila.fr

Les buts et fonctions de ces relais : + DE RENSEIGNEMENTS SUR LA CHARTE • Informer, écouter, soutenir les parents ou futurs parents. • Mettre à leur disposition des ressources locales. • Avoir la volonté de développer et pérenniser le relais en harmonie avec les

relais existants et en accord avec le Bureau. • Organiser des réunions d’information et de sensibilisation ou des groupes de

paroles autour de la difficulté maternelle. • Rencontrer les associations d’usagers de la santé et les professionnels de la

santé locaux. • Comme l’association, le relais s’inscrit dans une démarche non médicale

et/ou thérapeutique. Il ne peut en aucun cas se substituer à un avis, ou à une prise en charge médicale ou psychologique.

LES RELAIS EN FRANCE : � Le compte rendu de leurs activités figurent sur le bilan annuel émis lors

de chaque AG annuelle. Voir sur le site : http://www.maman-blues.fr/association/d%C3%A9tails-et-bureau.html

� Renseignements : Christine Moulin : relaismblyon@laposte.net

L ’ASSOCIATION & SES RELAIS LOCAUX [4 ]

Relais Rhône (69) Lyon - Saint Genis Laval Moulin Christine & Marcende Elise relaismblyon@laposte.net Relais Toulouse (31) Dufils Estelle mamanbluestoulouse@gmail.com Relais Laval (53) Fossey Stéphanie & Gaggione Diane & Allet Sophie relaismb53@yahoo.fr

Relais Avignon (84) Pogemberg Florence & Manivel du Bois Brigitte Clinique Urbain V, Avignon - Salle de réunion relaismb84@yahoo.fr RelaisNord Alpilles (13) Cannas Gyslaine & Bougeard Céline & Duquesne Stéphanie. mamanbluesnordalpilles13@gmail.com

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Son but : Mettre à disposition des parents ou futurs parents, un lieu d’échanges où il leur serait possible de se renseigner ou de témoigner, en ayant la garantie de n’être ni jugés, ni mis en doute. Apporter éventuellement un soulagement et de l’espoir aux femmes en difficulté maternelle, en leur permettant de prendre conscience, à travers la lecture des autres témoignages, qu’elles ne sont ni seules, ni anormales et que ces souffrances ne seront qu’une étape de leur maternité. Les inviter à faire les démarches nécessaires pour demander une prise en charge ou pour être aidée à en trouver une.

Fonctionnement : Accessible à tout instant, après inscription via une adresse mail, acceptation d’une charte de conduite et choix d’un pseudonyme, l’anonymat et son maintien étant vivement conseillés. Une modération active, constituée de plusieurs personnes toutes bénévoles et pour la plupart non professionnelles de la santé, veille au respect et à la courtoisie des échanges ainsi qu’à leur éventuel caractère d’urgence. L’anonymat permet certaines confidences plus poussées tout en « protégeant » son auteur, de critiques ou jugements notamment lorsque celui-ci nous fait part de propos ou de gestes plus sensibles ou inquiétants à l’égard de son bébé.

� Cependant, notre association ne pouvant sous couvert de bienveillance et d’accueil, cautionner d’éventuels actes de maltraitance infantiles ou de mise en danger de soi-même, une mise en garde est spécifiée à chaque inscription sur le site : Maman Blues se doit de procéder à un signalement au 119 en cas de suspicion de maltraitance sur enfant, ou de tout mettre en œuvre - à partir des quelques renseignements dont elle disposera - pour protéger la personne d’un éventuel passage à l’acte sur elle-même. Lire à ce propos : l’article de Madame Bernard Chatelain Carolyne, ancienne coprésidente de Maman Blues, téléchargeable gratuitement sur le site de l'Information psychiatri-que : « Le forum de Maman Blues : Prendre soin des mères en difficultés maternelles. » http://www.john-libbey-eurotext.fr/fr/revues/medecine/ipe/e-docs/00/04/60/76/article.phtml

Quelques chiffres : Nouveau forum mis en fonction en janvier 2010 et réactualisé fin 2013 : Nombre de membres inscrits sur le site : 1704 membres* (956 membres actifs sur l’ancien site 2004/2010) Nombre de sujets-discussions : 2863 sujets avec 63935 réponses ou messa-ges* (4 769 sur l’ancien site, réponses données : 73 082). * au premier mars 2014

LE S ITE ET LE FORUM INTERNET 2004-2014

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LA PAGE FACEBOOK DE MAMAN BLUES

Administrée par Elise Marcende-Groud (coprésidente), la page Facebook de l’as-sociation est devenue incontournable pour la transmission de nos informations et de l’actualité autour de la difficulté ma-ternelle. Elle est aussi un point de rencontre et de contact important avec des mères mais aussi des personnes animant d’autres blog, forums ou sites portant sur notre sujet.

Avec 1170 personnes qui nous « aiment » cette page à clairement pris le pas sur le bulletin d’information envoyé classiquement par mel. Ainsi, n’hésitez pas à nous transmettre vos actualités que nous puissions les relayer.

LE S ITE ET LE FORUM INTERNET 2004-2014 [2 ]

Fréquentation de l’ancien site : en 2004 : 4 512 visiteurs - en 2005 : 74 121 visi-teurs - 2006 : 139 547 visiteurs - 2007 : 170 312 visiteurs - 2008 : 152 043 visi-teurs. En 2009 : .158 204 visiteurs. le site www.maman-blues.fr est référencé sur de nombreux sites professionnels et associatifs.

Il a été cédé en 2012 par Nadège Beauvois, sa créatrice et propriétaire, à l'associa-tion, pour un euro symbolique.

Les modératrices :

Sont membres de l’association et ont pour la plupart fréquenté le forum, du temps de leur propre difficulté maternelle. Elles proposent leur présence et expérience personnelle de la difficulté maternelle pour soutenir moralement les personnes fré-quentant le site et pour répondre à leurs différentes demandes. Elles obéissent à une charte de conduite qui a été rédigée par le Bureau de l’association. Celle-ci est disponible en intégralité auprès de : info@maman-blues.fr.

(des extraits figurent sur le forum de discussions.)

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Articles de Presse : • Femmes d’aujourd’hui : « Je n’aime pas mon enfant » août 2005. • Top santé : « la maternologie aide les mamans à se sentir mères » octobre 2005. • Closer : « j’ai mis deux ans à m’attacher à ma fille » octobre 2005. • Magazine neuf mois : « L’instinct maternel mythe ou réalité ? »2006. • Esprit femme : « Ces mères qui n’aiment pas leur bébé. » 2006. • Maxi : « Je n’arrivais pas à me sentir mère. » 2006. • Maxi : « Ces mères ont besoin de votre soutien », février 2007. • Grandir Autrement : "Naître parent", avril 2007. • Magazine Elle Québec : « Ces mères qui n’aiment pas leur enfant des monstres ? »

2007. • La Croix : "Les jeunes parents sont-ils bien préparés ? "décembre 2008. • Bébézine : "Gérer le baby-blues", dans Bébézine, mars 2009. • Plurielles.fr : « le retour à la maison avec bébé » 2009. • Famili : "La dépression", octobre 2009. • Magic Maman, www.magicmaman.com : « Nadège Beauvois, la maman de Maman

Blues ». • Le Quotidien du Médecin : "L'apport de l'intervention à domicile, un site Maman

Blues", "Quand la psyché escamote le bébé", mars 2010. • A l'Ecoute, revue de la Fondation Auteuil : "Mots de mère", juin-juillet 2010. • Femmes d'Aujourd'hui :"Instinct maternel, mythe ou réalité ?" octobre 2010. • Brin d'Infos : « La difficulté maternelle » novembre 2010. • Grandir Autrement : "Le difficulté maternelle est révélatrice de toute la complexité de

devenir mère", octobre-novembre 2010. • La Croix : « Après une naissance certaines mères dépriment", 24 novembre 2010. • Revue l'Information Psychiatrique : « Le forum de Maman Blues : Prendre soin des

mères en difficultés maternelles. » de Carolyne Bernard-Chatelain .Novembre 2010. • www.elleadore.com : « Baby-blues ou dépression post-partum : comment savoir ? ». • Pèlerin Magazine :« Comment je suis devenue maman", 6 janvier 2011. • Santé Magazine : "Elles ont surmonté le baby-blues", mars 2011. • Bébézine : "Le Blues des Mamans", mars 2011. • Le Monde : "Mamans au bord de la crise de nerfs", 21 mars 2011. • Journal des femmes : « Comprendre et soigner la dépression post natale « 03 mai

2011. • Direct Matin : "On parle encore difficilement des souffrances psychiques de la

maternité", 20 mai 2011. • Marie Claire : "Le sentiment maternel est-il inné ?" septembre 2011. • L'Enfant et la Vie : "Devenues maman, elles plongent dans le désespoir", octobre 2011. • Intervention sur le site web Terra Femina : www.terrafemina.com, septembre 2011. • Magazine «Grandir autrement» Article sur la difficulté maternelle. • Journal « mutualistes » Article sur la difficulté maternelle. • famili.fr: participation à l'article « le maman blues ou la difficulté d'être mère » (juillet

2011). • 2013 : Citation dans 3magazines petite enfance : Parents, infos bébés et famili.fr • Insertion dans la nouvelle édition de « J’attends un enfant » de Laurence Pernoud • 4 février 2013 : interview de Cécile CROQUIN pour le magasin « La Vie » dans le cadre

de la sortie du roman : « Nous étions une histoire » d'Olivia Elkaim • Dans le cadre du mouvement TPAMM (touche pas à MA Maternologie) : article dans le

Parisien Yvelines (16 juillet 2013), et sur rue89.com (11 septembre 2013)

Radio/télévision/Reportage : • RCF (Radios Chrétiennes de France) avec Vincent Belotti : « La dépression du nourris-

son ».2006. • Émission de Caroline Dublanche, sur Europe 1. 2006. • Parenthèse radio. 2007. • Reportage télé italienne.2007. • Émission Tabou sur France 2 de Karine Lemarchand : « les tabous de la naissance ».

2007. • RCF Alpha : "Débat de société" consacré à la parentalité.2008.

8 ANS ET QUELQUES ACTIONS . . .

17 8 ANS ET QUELQUES ACTIONS …[2]

Radio/télévision/Reportage suite : • Sur la chaîne direct 8 : "vies à vies : solidarité" D'Isabelle Gayrard.2008. • Emission de JL Delarue : « Toute une histoire »2008. • Europe 1 : Faustine Bollaert,« Comment sortir de sa dépression post natale ?» juin

2009. • Télé Essonne : Sandrine Frentz « Mieux vivre » 2009. • Emission les Maternelles sur France 5 : « les unités mère bébé ». Sept 2009. • Reportage mères indignes d’Yvonne Debeaumarche : France 4. diffusion en Novembre

2010. • Radios Chrétiennes de France-Vincent Belotti : le cafard des accouchées.25 février

2011. • France Inter émission Interception Hélène Chevalier: Mère à vif.2011. • Émission Présentation Pascal Dervieux. 17/04/2011. • Radio Vivre FM : Mercredi 14 septembre2011. 93,9 ou sur Internet :

http://www.vivrefm.com/ • Les Maternelles France 5 : La difficulté maternelle. Le forum de soutien de Maman

Blues. Jeudi 6 octobre 2011. • La Chaîne Marseille LCM : intervention de Vanina Caïtucoli membre de MB sur la

difficulté maternelle, le 9 novembre 2011. • Chérie FM : Interview de Nadège Beauvois à l'occasion de la sortie du film « ce qui

vous attend si vous attendez un enfant », le 15 juin 2012. • Courant 2013, notre association, son site et son forum, sont mentionnés à plusieurs

reprises dans « les Maternelles » (France 5). • « Ma vie de maman », sur Téva: citation de Maman Blues le 8 février 2013.ITW de

Nadège Beauvois avec l’actrice Astrid Veillon x • De janvier à mai : participation au tournage d’un documentaire « Mères au bord de ka

crise de nerfs » d’Olivier Truves pour Chéri 25. • Participation de Cécile Croquin, sur France Inter, dans l'émission « maman a bobo »

du 29 mai 2013 (intervention à l'antenne suite à débat avec Alessandra Sublet sur son livre « t'as le blues baby »).

• ITW de Cécile Croquin sur France Culture pour une l’émission « Du côté de chez soi » sur le burn-out (diffusion 15 septembre).

Participation/manifestation/démarche : • États Généraux de la naissance à Châteauroux, organisés par le CIANE (Collectif inter

associatif autour de la naissance). http://www.quellenaissancedemain.info/archives/enregistrements/atelier_10.html) 2006.

• Congrès de la Leache League.2006. • Les journées des Doulas.2007 & 2008. • Colloque à Avignon organisé par l’ARIP : « Féminin, Masculin… Bébé(e) ».2008. • Discussion/débat : école des parents Paris mars 2009. • Les journées des Doulas en mai + intervention session de formation en octobre 2009. • Pétition et actions diverses contre la fermeture de l’unité mère bébé Lyon 2009. • Maman Blues reçue au ministère de la santé le 26 octobre 2009 dans le cadre du

risque de fermeture de l’unité de Lyon Bron. • Intervention Carpentras au pôle santé sur le thème : « autour de l’arrivée d’un bébé »

2009. • Journées des doulas 2010. • Colloque Aix en Provence : La maternité à l’épreuve du genre. Métamorphoses et per-

manences de la maternité dans l’aire méditerranéenne. Organisé par l’Association Déméter-Coré. Les 13 et 14 janvier 2011.

• Saint Genis Laval : Projection du film « l’étranger en moi » vendredi 14 janvier 2011. • Colloque Avignon organisé par l’ARIP : mars 201.1 • Journées des doulas 2011. • Manifestation Zinc de Livres à Vendôme : septembre 2011. • Projection film l’Etranger en moi Le Puy novembre 2011. • Intervention formation ACLP ( consultants lactation) : octobre 2011. • Participation à des projections de l'Etranger en moi à Valence (février 2012) et Paris

(hôpital Robert Debré, mars 2012).

18 8 ANS ET QUELQUES ACTIONS …[3]

Participation/manifestation/démarche suite : • 2012 : Interventions et rencontres avec des professionnels et des parents pour

actions de sensibilisation sur la DM : Paris (février et octobre), Rosny-sous-Bois et Rochefort-du-Gard (mars), Marseille (CEFAP centre de formation des accompagnantes périnatales, mai), Rambouillet (mai), Pierrelaye (octobre), Pontoise (novembre), Montévrain (novembre)

• Participation de Cécile Croquin, présidente, au séminaire de maternologie à Versailles (octobre 2012).

• Participation de Nadège Beauvois et Carolyne Bernard au colloque Marcé international (octobre 2012)

• 26 janvier 2013 : rencontre de Cécile Croquin avec deux jeunes femmes de Poitiers en service civique dont le projet et de monter un après-midi débat avec le film « l’autre naissance » en support le 7 avril 2014.

• Printemps 2013 : représentation des usagers de la santé Maternité Sainte Thérèse Paris 17.

• Juin—décembre 2013: Manifestation & soutien contre le projet de restructuration /fermeture de l’unité de Maternologie St Cyr.Un reccueil a été édité en souvenir.

• Début octobre 2013: Participation de l’association (Nadège Beauvois-Temple) au festi-val de la périnatalité à Orléans.

• 9 octobre 2013 : intervention de Juliette Duprez (membre active) à une soirée débat, organisée à Louvain sur le thème de la DM.

• 11 octobre 2013 : participation de Cécile Croquin (coordinatrice) à Calais pour une soirée débat, organisée par le réseau périnatal. Spectacle de comédiens en improvisa-tion sur le thème de la DM et table rond avec de multiples professionnels (pédopsychiatre, médecins de PMI, psychologues, puéricultrices…)

• 12 novembre 2013 : Intervention de Cécile Croquin (coordinatrice) et Isabelle Rault (membre active) au centre social de Pierrelaye (95). Discussion et débat avec l’équipe et 4 mamans présentes ce jour.

Projets réalisés à ce jour : • Plaquettes d’information: à destination des parents et des professionnels. Grâce à

l’obtention d’une subvention de la fondation CNP Assurances.2007. • Certificat Maternologie Clinique : 8 personnes de notre association ont suivi cette for-

mation. 2008 à 2012. • Mise en place du relais Maman Blues Lyon(69) à l’initiative de Christine Moulin et

Mélanie Mahé. • Mise en place du relais Crest (26) à l’initiative de Stéphanie Boeuf et Julie Lepriol. (ce

relais a été fermé en 2012). • Mise en place d’un groupe de Parole sur Paris à l’initiative de Carolyne Bernard. • fin en 2012. • Déclaration à l’INPI, du nom « Maman Blues ». • Création de deux associations parentales inspirées de Maman Blues :

Swiss Maman Blues http:// www.swissmamanblues.ch et Maman Blues 35 : maman-blues35@gmail.com.2008

• Tee shirt à l’effigie de l’association. • Mise en place du nouveau site www.maman-blues.fr en janvier 2010 et réactualisé en

2013. • Rédaction commune d’un ouvrage sur la difficulté maternelle : « Tremblements de

mères » aux éditions de l’Instant Présent (voir annexe pages 10 &11).2010. • Affiches Maman Blues de sensibilisation autour de la difficulté maternelle : 40 X 60

cm, disponible sur demande. • Distribution de + 6 000 plaquettes en 2012 ; réimpression de 10 000 exemplaires en

2013, création d'une carte de visite éditée en 1 000 exemplaires • Contacts avec chercheurs et étudiants (psychologie, écoles d'infirmières, éducateurs,

SF, travailleurs sociaux …) souhaitant recueillir des infos ou témoignages, notamment dans le cadre de leurs mémoires de fin d’études.

19 8 ANS ET QUELQUES ACTIONS …[4] Projets réalisés à ce jour suite :

• Contacts avec nombreuses associations autour maternité, parentalité, périnatalité et professionnels de santé.

• Création et animation de la page Facebook de l'association (plus de de 1170 « like » au 01/03/2014.), permettant d'élargir le public contacté et de diffuser des actualités autour de la difficulté maternelle et de la périnatalité

• Actions de partenariat associatif : Avec « La maison de l’ange» : diffusion de plaquet-tes dans les 30 boîtes offertes à des jeunes mamans dans le cadre de la semaine de réduction des déchets, à Poitiers et ses environs. Avec le site «avisdemaman.com» lors du lancement de la «Mum Box solidaire» de Noël. Le site a choisi Maman Blues comme bénéficiaire de cette opération. 500 euros reversés en janvier 2013.

PRINCIPAUX PROJETS 2014 • Promotion et diffusion du documentaire de Chloé Guerber Cahuzac « l’autre

naissance ». • Réimpression des plaquettes d’information et mise en place d’une diffusion plus lar-

ge et massive. • Conforter la place de Maman Blues en tant que représentant des usagers avec des

actions suivies à Ste Thérèse et une implication plus importante dans le réseau parisien

• Sortie d’un power-point support pour les interventions.

20

Tremblements de mères le visage caché de la maternité

Tremblements de mères est d'abord le recueuil de dix témoignages. Chaque récit, d'une quarantaine de pages en moyenne, nous offre le portrait précis, poignant, subjectif, d'une femme qui se perd dans sa nouvelle maternité puis parvient à se reconstruire mère de son enfant. La seconde partie du livre est une analyse du phénomène de la difficulté maternelle, appuyée par des textes de scientifiques et de cliniciens, qui ouvre des perspectives de compréhension, d’information, de soins et de prévention.

Nine Glangeaud Freudenthal, psychologue et chercheur au CNRS ainsi que Michel Dugnat, psychiatre et pédopsychiatre responsable de l’Unité parentsbébé de Marseille, nous ont fait l’honneur de présenter et clore ce travail, par leurs magnifiques préface et postface. Pourquoi ce livre est nécéssaire : 10% des nouvelles mères, 80 000 femmes, 80 000 familles au moins sont concernées chaque année par cette souffrance. Ce livre nous montre leur vécu, de l'intérieur. La première chose qui touche chaque lectrice ayant un jour mis au monde un enfant, est l'universalité des émotions et sentiments décrits, tabous dans nos sociétés où la naissance d'un enfant est l'annonce d'un bonheur sans ambiguité. Cependant, il est impossible d'établir un profiltype de la dépression postpartum : on est frappé de l'extrème diversité de ces femmes et de leur histoire personnelle.La plupart d'entre nous vivent ces réalités de manière fugace, certaines avec plus d'intensité, avec le risque de se heurter à l'incompréhension de leur entourage, parfois à des soins inadaptés, victimes de préjugés et tabous sociaux. Le public : Ce livre s'adresse aux mères qui traversent ces épreuves et à leurs proches, ainsi qu'aux professionnels de la périnatalité, leur donnant accès à des descriptions cliniques de haute qualité.

+ d'informations : www.editionsinstantpresent.com/TDM Quatrième de couverture Oeuvre collective issue des témoignages recueillis par l’association Maman Blues, Tremblement de mères lève le voile sur ces « accidents de maternité », qui touchent chaque année des milliers de femmes, des milliers d’enfants. Ces femmes racontent que mettre un enfant au monde ne signifie pas forcément devenir mère. Parfois, une souffrance intense envahit la relation naissante. Ces parcours, bouleversants, mettent en évidence la complexité de ces rendezvous manqués. C’est l’histoire de chacune qui se noue et se dénoue. C’est aussi l’occasion d’une autre rencontre de soi, jusqu’aux limites de soi. Ce livre est une main tendue vers toutes celles qui se débattent seules avec leur devenirmère, il leur confirme qu’au bout du chemin peut renaître un amour maternel serein. Il interpellera tous ceux, famille, amis, professionnels, qui entourent les femmes enceintes, sur la façon dont elles doivent être accompagnées et soutenues. Enfin, c’est aussi un message fort et engagé pour la reconnaissance de cette douleur particulière, pour la création et le développement de structures de soins dédiées aux mères en souffrance.

LE L IVRE DE MAMAN BLUES 2010

21

Rose : Au secours ! De l’air ! Personne ne veut m’entendre, personne ne veut prendre mon bébé pour me libérer ? J’étouffe ! Je veux m’enfuir et ne jamais revenir ! Ou qu’on prenne mon bébé, qu’on parte avec lui ! M.J.,elle, elle pourrait le prendre mon bébé ! Mais non. Si je le lui laisse trop longtemps elle va me reprocher de me débarrasser de lui et me dire qu’elle n’a pas le temps de le garder, ou même qu’elle le garde trop longtemps. Je ne peux pas le laisser, je ne peux pas ! Je n’ai pas d’excuse pour le laisser, alors je suis coupable si je le laisse. De l’air ! Je ne peux plus respirer... […] Doucement, mes actions envers mon bébé sont devenues de moins en moins intellectuelles pour relever davantage de l’élan. Je me suis arrêtée de « faire la mère » et je suis arrivée, à la fin de l’été, à « être sa mère». Isabelle : Ensuite, lorsque j’eus totalement sorti la tête de l’eau, j’ai vu alors mon tremblement de mère comme une sorte de thérapie–éclair, une thérapie foudroyante imposée par le fond de mon être. C’est à ce stade là que j’ai découvert l’association Maman Blues et le site Internet. Ça a été une révélation : toutes ces mamans avaient vécu une histoire proche de la mienne ! Je lisais les témoignages et je reconnaissais telle chose que j’avais vécue, telle autre. […]. La crise d’adoles-cence est attendue,préparée, accompagnée, docu-mentée, contenue... Parfois même, on arrive à s’inquiéter de son absence. Voilà ce qu’il faut pour la « crise » de la maternité : qu’elle soit attendue, préparée, accompagnée, documentée, contenue pour pouvoir être traversée et dépassée. Laura : Je vivais dans l’angoisse. Je me voyais tomber dans l’eau avec lui, mourir en le tenant à bout de bras, me laisser couler pour qu’il vive. Pas de place pour nous deux, je ne pouvais que démissionner, car je ne savais pas devenir mère, qui étaisje ? Où étaisje ? J’avais été catapultée dans un monde que je ne connaissais pas et je ne pouvais revenir de l’autre côté. Éliane : Je pleure toutes les larmes de mon corps, toute l’eau de mon âme, je pleure des océans de peur liquide, dans la rue, dans les magasins, dans le jardin pour enfants, à la maison, en dormant à côté de Natale, en parlant à Natale, en lui donnant le bain, le biberon, en le prenant dans les bras, je pleure en parlant à Ondine, je pleure quand elle me parle, je pleure quand elle rentre, je pleure quand elle sort, et là, dans ce cabinet, devant Elles, je pleure encore, mais d’où je peux sortir toute cette eau ? Elles : la réponse à mon appel au secours, mon dernier espoir, l’objet du message de Betty blue, être aidée est légitime, ne l’oublie pas, être aidée est légitime. Cette phrase cogne à la porte de mon âme recroquevillée. Et ce sont Elles qui sont là pour nous.

Éliane (suite) : J’ai mis presque un mois avant d’oser appeler. Je prenais le téléphone mais je raccrochais, je ne savais pas ce que j’allais dire. Où sont les mots pour ma folie de mère ? Et puis, comment parler quand on pleure autant ? Finalement, j’ai appelé et pleuré en même temps... ça aurait dû être lamentable, mais la voix douce qui m’a répondu appartenait à une personne qui a fait de nos mots un échange, de mon appel une bonne chose, de mes pleurs et de ma peur une bonne raison de venir à Elles. Mélancolie : On organise le repas de Noël chez nous,concentrons nous sur la décoration, le menu.Mais quand G. s’exclame, les yeux pétillants :« On a un sapin et un bébé ! C’est génial ! »,je me demande ce que je dois comprendre, est-ce qu’il plaisante ? J’ai un sourire amer aux lèvres. Un sourire que je connais, celui du désespoir haineux pour la vie qui ne nous ap-partient plus. Très vite cela s’estompe. Bien sûr que c’est merveilleux. Mais je ne ressens aucune émotion me permettant de penser que j’y crois. J’ai beau chercher au plus profond de mes entrail-les, ça ne me fait aucun effet. Et c’est cette absen-ce qui me rend encore plus triste. Je suis une co-quille vide. J’ai honte de moi, si honte de ne pas être telle que je voudrais, honte de tout gâcher, d’avoir les yeux grand ouverts et de ne rien voir, ne plus rien goûter de la vie. Betty Blue : Oui, j’aurais pu rester définitivement blessée par cette dernière maternité, emmurée dans une douleur impensable que l’on tait par honte, culpabilité et surtout ignorance de ce que l’on vit, dont on ne laisse entrevoir que les symptômes dépressifs. J’aurais pu faire semblant, donner le change, faire ce que l’on attend d’une mère mais sans jamais l’être au fond de moi-même. J’aurais pu composer avec le temps, derrière le paravent de la maladie, attendre que la souffrance passe et me contenter de « miettes de maternité ». Je sais que l’on peut vivre ainsi faute de savoir que ce n’est pas une fatalité, faute de rencontrer les bonnes personnes et de bénéficier de soins adéquats. […] Et c’est ainsi que de surfs en surfs, d’émotions agréables en agacements et désappointements, je tombe sur un forum parental qui dispose d’une rubrique psychologie : http://forum.magicmaman.com. […] Je ne le mesure pas encore mais dans ces échanges, je sécrète tout doucement ma propre résilience. Ma guérison véritable, celle que je pensais n’obtenir qu’en renonçant et oubliant tout ce que j’avais vécu, c’est au milieu de ces femmes que je l’ai trouvée. Aussi ne remercierai je jamais assez toutes ces personnes qui en se confiant de la sorte, en me demandant parfois directement de les aider, m’ont permis de me ressourcer, d’avoir de nouveau confiance en moi, en ma qualité d’être humain.

LE L IVRE DE MAMAN BLUES 2010: extrait s

22

Agard-Maréchal André : Dans les silences des mères. Édition Albin Michel. Amy Marie Dominique : Construire et soigner la relation mère-enfant. Édition Dunod. Antier Edwige : Éloge des mères. Édition Robert Laffont. Badinter Elisabeth : L’amour en plus. Édition Champ Flammarion.

Le conflit, la femme, la mère. Edition Flammarion.

Benhaim Michèle : La folie des mères. Édition Imago Bensoussan Patrick : le baby blues n’existe pas. Édition Ères Bergeret Amsellek Catherine : Le mystère des mères. Édition Desclée de Brouwer Bydlowsky Monique : Je rêve un enfant. Édition Odile Jacob Chabrol Henri : Les dépressions de la maternité. Puf Vanina Caïtucoli : Attendre et accueillir bébé. L'accompagnement, une aide précieuse.

Éditions Gramond Dayan Jacques : Les dépressions de la périnatalité. Édition Masson.

Psychopathologie de la périnatalité. Édition Masson Dis maman pourquoi tu pleures ? Édition Odile Jacob.

Delaisi de Parseval Geneviève : L'art d'accommoder les bébés. Édition Seuil. Delassus Jean Marie : Aide mémoire maternologique. Éditions Dunod.

Devenir mère. Édition Dunod. Le sens de la maternité. Édition Dunod. Penser la naissance. Édition Dunod. La difficulté d’être mère. Édition Dunod.

Dugnat M/ Isserlis C/ Sutter-Dallay A L et Glangeaud Freudenthal N: Guide pour la prati-que de l'entretien prénatal précoce et l'accompagnement psychique des femmes devenant mères. Édition Ères. Dugnat Michel : Devenir père, devenir mère. La conception, la naissance, les premiers mois dubébé. Édition ères. Dugnat Michel : Troubles relationnels père-mère/bébé : quels soins ? Édition Ères. Flies Claudia : Toutes les mères sont folles... ou presque : qu'est-ce qu'une mère

normale ? éditions du moment Garnier Petit Catherine : Mal de mère, mal d’enfant. Édition Albin Michel Glangeaud Nine - François POINSO : Orages à l'aube de la vie : Liens précoces, pathologies puerpérales et développement des nourrissons dans les unités parents-bébé. Édition Ères. Guéritault Violaine : La fatigue émotionnelle et physique des mères. Édition Odile Jacob. Guillaumont Cyrille : Les troubles psychiques précoces du post-partum. Édition Ères. Marinopoulos et Israël Nisand : 9 mois et cætera. Édition Fayard.

LIRE . . .

23

Marinopoulos Sophie : Dans l’intime des mères. Édition Fayard. Missonnier Sylvain : Devenir parent, naître humain. Édition Puf Le fil rouge. Molénat Françoise : Mères vulnérables. Édition Laurence Pernoud. Morisseau Linda : Quand la parentalité parait. Édition Puf. Le fil rouge

Nanzer Nathalie : la dépression postnatale. Édition Favre Prat Régine : Maman - bébé : duo ou duel ? Édition Ères. Rosenfelter Pascale : Bébé blues, la naissance d’une mère. Édition Calmann Levy Sandner Catherine: L'après accouchement : Tout ce qui vous attend vraiment. Édition Hachette Pratique. Serrurier Catherine : Éloge des mauvaises mères. Édition Desclée de Brouwer Stern Daniel : La naissance d’une mère. Édition Odile Jacob. Sutter Anne-Laure, Bourgeois Marc : Les unités mère-enfant en psychiatrie périnatale. Swigart Jane : le mythe de la mauvaise mère. Édition réponses/ Robert Laffont Roman ou témoignages :

Blondeau Gouvion Véronique : Viens mon ange. Darrieussecq Marie : Le bébé . Dorrestein Renate : Un coeur de pierre Enright Anne : Le Choc de la maternité. Juliet Charles : Lambeaux. Hanzak Elaine A, Abram Coen (Préface), Michel Maron (Traduction) : La dépression postnatale : Voyage au travers du trouble psychique du post-partum. Kennedy Douglas : Une relation dangereuse. Lazarre Jane : Splendeurs et misères de la maternité . Naissances récits : Préface René Frydman. Shriver Lionel : Il faut qu'on parle de Kevin. Vallée Camille : Lettre au docteur Roze. Films ou documentaires : « Maman Blues » : Documentaire d’Elsa Margout sur l’unité de Maternologie. Envoyé Spécial. (2003) « L’étranger en moi » : Film d’Emily Attef. (2008) « Mères indignes» : Documentaire d’Yvonne De Beaumarché. France 4. (2010) « Naissance d’une mère» Documentaire d’Isabelle Bonnet. (2010) « Le lait de la tendresse humaine» Film de Dominique Cabrera. (2001) « Un heureux évènement » Film de Rémi Bezançon. (2011) « L’autre naissance » : Documentaire de Chloé Guerber Cahuzac. Abécaris Film (2013). Avec la participation de l’association Maman Blues. « Devenir mère » : Documentaire Bérangère Hauet : (2013).Avec la participation de l’asso-ciation Maman Blues. « Post partum » : Film de Delphine Noels. 2011

LIRE …[2]

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FORMULAIRE A RENVOYER A : Céc i le Croquin -Associat ion Maman Blues

65 ,rue Louis B lanchet—60300 Aumont En Halat te

Possibilités de règlement directement sur le site via Paypal : http://www.maman-blues.fr/association/adherer-a-l-association.html

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