armen vague 5 segment biologie examens …...pour les patients consultants externes: seuls les actes...
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ARMEN vague 5
Segment Biologie Examens Imagerie :
Bonnes Pratiques de Territoire
Version longue
Janvier 2016
Direction générale de l’offre de soins - DGOS |
Composition du groupe
• Parrain. PU-PH, chef du Pôle Biologie, CHRU Marseille
Bruno LACARELLE
• Leader. PH, Pôle Biologie Pathologie, CHRU Montpellier
Marion BAUDARD
• Cadre de santé, Pôle Biologie Pathologie – CHU NIMES
Patricia BOISSIN
• Responsable des achats – CH DAX Véronique COMET
• Directeur des Services Economique, Logistique, Ingénierie et Système d’information – CH ALBI
Géraldine ESTEVE
• Directeur d’Hôpital - Chargée de mission PHARE – ARS LR
Marie-Antoinette LAMPIS
• Responsable des Achats – CH VERSAILLES Stéphanie LASNE
• Responsable des Services Economiques – CHG CLERMONT
Micheline LAVANDIER
• Assistant. Ecole Centrale de Lyon. Loup ORTIZ
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Montant total du segment de 3,435 Mds€, travaux portant sur les
dépenses des Etablissements Publics de Santé (EPS),
pour la Biologie (2,4 Mds€), y compris les analyses externalisées
[représentant 15% des dépenses pour la biologie],
et l’Imagerie (exploitation et investissements = 0,943 Mds€), et les
examens d’imagerie externalisés (0,092 Mds€).
Le périmètre des travaux du groupe porte sur plus de 3,4 Mds€, la biologie
représente 70% du périmètre
Thèmes déjà abordés par les vagues précédentes, 4 segments dédiés:
Consommables de laboratoires (V1).
Imagerie en coupe (V1).
Equipements de médecine et d’imagerie hors coupe (V4).
Examens réalisés à l’extérieur (V4).
Nouveau segment V5 justifié pour compléter les travaux antérieurs:
Du fait de l’importance des dépenses et de la multiplicité des postes de dépenses,
Des disparités des pratiques / coûts de production des actes d’un établissement à l’autre,
D’une nécessaire introduction d’une réflexion sur l’anatomo-pathologie,
Et au regard d’un nouveau challenge: l’obligation réglementaire des Groupements Hospitaliers de Territoire (GHT),
D’où une recherche particulière de bonnes pratiques de territoire
Biologie: 70%
Segment total
Imagerie: 30%
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Les consultations médicales spécialisées externalisées, considérées comme partie de la thématique
« examens », dans les vagues précédentes, ont été exclues du périmètre des travaux du groupe, concentré sur
la biologie et l’imagerie.
Comme pour tout groupe de réflexion PHARE / ARMEN: recherche d’exemples de bonnes pratiques ayant
résulté en des gains d’achats
En évitant les redondances avec les actions achats identifiées par les vagues précédentes,
-Massification, recours au groupement / mutualisation des achats,
-Analyse en coût global, choix des modalités de financement les plus efficientes,
-Suivi des marchés…
En tenant également compte des préconisations sur les prescriptions et les organisations
-Elimination de la sur-qualité, juste prescription, ré-internalisation de certains examens,
-Optimisation de l’organisation de l’activité,
-Télétransmission…
Et avec pour objectifs plus précis:
1) Des bonnes pratiques territoriales déjà existantes et qui pourraient être répliquées
2) Des BP mises en place dans un seul établissement mais dont la généralisation sera
facilitée par la constitution des GHT
3) Des BP pas forcément « territoriales » complétant celles relevées par les vagues
précédentes
4) Des BP de mise en œuvre et contrôle de l’application des BP !
Requérant une perspective non plus seulement «achat» mais pluri-métier et organisationnelle justifiant
de la diversité des profils des intervenants, groupe et groupes élargis.
Périmètre retenu: « vision acheteur » élargie à des thématiques organisationnelles
et au contrôle de l’application des bonnes pratiques d’achat et de la valorisation
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L’analyse du couple dépenses/activité au niveau macro reste ardue tout comme la
comparaison entre laboratoires publics et privés
Cartographie précise difficile: recueil des données de dépenses et d’activité des EPS non exhaustif*.
Comparaisons difficiles entre LBM publics et privés: systèmes de recueil de données d’activité et des
dépenses différents :
LBM privés: corrélation possible entre dépenses et activité (hors sous-traitance pour
des EPS) = nombre d’Unités d’Œuvre (UO, pour la biologie = B/BHN): sur la base d’une facturation
des prestations selon la nomenclature des actes et avec un B=0,27€.
LBM EPS: dépenses dépendant du coût de production de l’UO, variable selon l’établissement / le
domaine / l’analyse + paiement des analyses externalisées.
Analyses sous-traitées par les EPS: suivi des dépenses difficile du fait du délai de facturation de certaines
analyses (ex: génétique).
Mise en place récente d’une comptabilité analytique pour les EPS.
Achats: corrélation avec les analyses concernées, et imputation des dépenses difficiles.
Complexité des catalogues, réactifs communs à plusieurs analyses.
Souvent commandes de consommables et réactifs sur les comptes « routine » même pour des analyses
relevant de subventions / modalités de financement spécifiques ou de crédits fléchés (ex: surcoûts pour
les analyses réalisées dans le cadre d’essais cliniques; ex: INCA).
-*: mêmes constats pour l’Anatomo-Pathologie et l’Imagerie Médicale
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Une répartition des dépenses qui ne reflète pas la répartition d’activité entre
laboratoires publics et privés
Cliniques
privées
EPS: 34%
LBM privés
2011: 7,1 Mds€ - Répartition des dépenses EPS / LMB privés
Cliniques et LBM privés: dépenses remboursées à l’acte B/BHN= 0,27€. (source SNIIRAM).
Etablissements publics de santé: dépenses incluses dans T2A [GHS](source ATIH).
Pour un même acte, les dépenses de santé peuvent être plus importantes pour une réalisation
dans un laboratoire privé (avec une valorisation selon la cotation, base de la déclaration
d’activité), comparée à une réalisation au sein d’un EPS (recueil de données = déclarations
des coûts de production : montants des différents postes de dépenses hors pré-analytique et
une partie du post-analytique).
Répartition de l’activité / volumes d’actes, public / privé
Dénombrement des LBM publics / privés: variable selon les sources. Retenu ici: 808 LBM EPS / EBNL / CLCC
(RTC 2013) vs 1 600 privés (rapport CMI, données 2011), en constante diminution.
La simple comparaison des dépenses EPS / LBM privés sous-estime la part du volume des actes réalisés par les
LBM publics. L’évaluation précise de la répartition des actes LBM publics et privés est impossible :
modalités de recueil des données différentes.
défaut d’exhaustivité du recueil pour les LBM publics.
coût de production variables selon les LBM publics.
natures des actes, profils de compétences (actes de biologie niveau 1, 2 ou 3) différents entre publics et
privés avec transfert d’une importante fraction des actes hors nomenclature / actes couteux / actes
innovants sur les LBM des EPS avec parfois un coût de production supérieur à la cotation /
nomenclature…
66%
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Parallélisme avec l’évolution des dépenses des EPS ?
Evolution à attendre plus marquée du fait de la
démultiplication des prescriptions couteuses en milieu
hospitalier (ex: séquençage haut débit)?
Pas de base de données permettant de suivre l’évolution
de l’activité publique id à établissements privés.
Cas particulier des actes de biologie externalisés par les EPS
Correspond à la totalité des dépenses pour les EPS sans LBM.
Actes externalisés par les EPS vers d’autres EPS ou sous-traitance confiée à des laboratoires privés.
Suivi des dépenses ne reflétant pas l’évolution des volumes d’actes (fin des remises auparavant négociées avec les LBM privés sous-
traitants, délai de facturation…).
Dépenses prises en compte dans le GHS pour les patients hospitalisés.
Pour les patients consultants externes: seuls les actes inscrits à la nomenclature sont re-facturables aux CCPAM, les actes hors
nomenclature étant à la charge de l’EPS demandeur.
Une évolution des dépenses des EPS publics qui pourrait ne pas suivre celle des
LBM privés du fait d’un profil des actes différent
Evolution annuelle des composantes volume et prix de la dépense pour la bio des laboratoires privés
Une baisse annuelle moyenne des tarifs de 2,6% sur
l’’ensemble de la période qui compense l’effet volume (rapport CMI).
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Détail des dépenses de laboratoire à l’hôpital
Evolution des dépenses
(base d’Angers 2010 / SAE 2010 / SFRL 2010)
Des coûts de production des actes de biologie et d’anatomopathologie variables
selon la catégorie d’EPS et parfois au-delà du prix de valorisation
Détail consommables et réactifs (SFRL 2011)
300,0
350,0
400,0
450,0
500,0
550,0
600,0
650,0
200
8
200
9
201
0
201
1
20
12
201
3
201
4
Titre 2: consommables et réactifsTitre 2: sous-traitance
Constats
Dépenses 2008/2014: +16% réactifs/consommables, + 53% sous-traitance.
Analyses externalisées: 15% des dépenses hospitalières globales de biologie.
Disparité des coûts de production, parfois au dessus du prix de valorisation maximum
(B/BHN/AHN =0,27 €).
Coûts de production de la Biologie
Coût moyen de production de l’UO
(B/BHN): 0,23€. Médiane: 0,31€.
Moyenne des coûts de 0,21€ à 0,47€
selon la catégorie d’établissements.
Données pour 808 LBM (573 EPS / 235
EBNL et CLCC). (RTC 2013)
Coûts prod. Anatomo-pathologie
Coût moyen de production de l’UO
(ICR/AHN): 0,18€. Médiane: 0,26€.
Moyenne des coûts de 0,24€ à 1,30€
selon la catégorie d’établissements.
Données pour 185 labo. (151 EPS / 34
EBNL et CLCC).
(DGFIP)
(RTC 2013)
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M€
8
Des coûts de production des actes de radiologie variables selon la catégorie d’EPS
et une augmentation des actes externalisés
Dépenses d’exploitation: 77% (733 M€) Dépenses d’investissement: 23% (210 M€)
Evolution des dépenses sous-traitance
imagerie médicale 2008-2014: + 26%
(données DGOS / SNITEM)
Coût de production
Coût moyen de production de l’UO (ICR): 1,65€. Médiane : 1,94 €.
Moyenne des coûts de 1,76€ à 34,17€ selon la catégorie
d’établissements.
Données pour 757 établissement (564 EPS / 193 EBNL et CLCC).
(données DGOS / SNITEM)
Constats
Grande disparité des coûts de production.
Importance des dépenses RH.
Examens externalisés: 8,8%.
(RTC 2013)
(DGFIP)
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Le cadre législatif a ouvert la voie de la coopération territoriale depuis 2010 déjà
9
L’Ordonnance du 13 janvier 2010, précisée et ratifiée par la loi du 30 mai 2013, induit de
profonds changements dans les conditions d’exercice de la biologie médicale.
Les laboratoires ne
pourront fonctionner à
compter du 1er novembre
2016 sans disposer d’une
accréditation portant
sur 50% des examens
qu’ils réalisent, 80% à
compter du 1er novembre
2018, et 100% à compter
du 1er novembre 2020.
L’ordonnance de 2010
prévoit qu’il ne doit
subsister qu’un
laboratoire par
établissement de
santé avec des
exceptions possibles
(Paris, Lyon, et Marseille
et établissements publics
nationaux).
La restructuration de
l’offre peut s’appuyer sur
des coopérations inter-
hospitalières dans le
cadre d’une organisation
de la biologie hospitalière
« de territoire ».
L’ordonnance de 2010
institue la notion de
laboratoires multi-
sites dans une réflexion
territoriale.
L’accréditation est un
puissant levier de
regroupement et de
réorganisation des
laboratoires
Diminution du nombre de
laboratoires privés de moitié fin
2012.
La DGOS dénombrait
529 laboratoires en
établissements de
santé fin 2011
Accréditation des
laboratoires
1 laboratoire / EPS Laboratoires
multi-sites
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La DGOS ne recensait, début 2013, que quatre groupements de coopération sanitaire.
Selon une enquête menée par le syndicat national des biologistes des hôpitaux en 2012, sur 251 réponses
obtenues, seulement 33 établissements faisaient état d’une restructuration effectuée et 95 ne l’envisageaient
même pas. (rapport cour des comptes 2013)
10
Résultats de la démarche de regroupement des LBM privés (rapport CMI 2014)
Réduction du nombre d’entités juridiques
sans réduction du nombre de sites Impact du regroupement sur les différents postes de dépenses
%CA
Consommables
et réactifs
Personnel
1 200 en 2012 ?
760 en 2015 ?
AACE*
*: Autres Achats et Charges Externes
Démarche moins avancée pour les LBM publics
Une démarche de réorganisation / regroupement plus avancée pour les LBM privés
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1er Chapitre : Les bonnes pratiques territoriales déjà
existantes et qui pourraient être répliquées
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Concertation régionale (8 EPS impliqué dont le CHG de Clermont).
Création d’une plateforme régionale de télémédecine pour l’interprétation des scanners à distance la
nuit et le week-end par des radiologues (GCS e-Santé Picardie).
Signature d’une convention entre les EPS et le GCS e-Santé Picardie.
Le nombre de scanners, effectués la nuit et le week-end au CHG de Clermont étant faible, la mise en
place d’une garde in situ pour l’interprétation des scanners n’a pas été envisagée.
Les patients, accueillis au Service des Urgences et nécessitant un scanner, étaient donc transportés
vers des EPS voisins pour réalisation de l’examen avec imputation des frais -ambulances et
iconographie- au CHG de Clermont.
Objectif: améliorer les conditions de prise en charge, réduire les coûts.
Montants (mensuels)
Paiement prestations (gardes, forfait technique, abonnement, facturation à l’acte…) 8 700
Recettes (facturation des examens réalisés in situ dans 60% des cas) 7 340
Surcoût 1 360
Dépenses transports ambulances évitées 16 820
Gains achats 15 460
BP 1 : La mise en place d’une plateforme régionale de lecture commune (scanners) à
plusieurs EPS a dégagé 15 K€ de gains achats au CH de Clermont
Constat
de
départ
Détails
du plan
d’action
Résultat
Amélioration du confort des patients à qui l’on évite des transports inter-EPS.
Bilan pour le CH de Clermont: gain achats (dépenses évitées) de 15 460 € pour un mois
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Mise en place télétransmission dans le but de développer :
La télé-interprétation. Ex : convention avec CH de Castelnaudary (CHC), examens des nuits et
weekends (scanners +++).
La télé-expertise : 2nde lecture, avis cliniciens spécialisés. Ex : convention pour la prise en charge des
AVC, recours aux neuro-radio et neuro-chirurgiens du CHRU MTP, prestations réalisées pour 10
établissements, pas de facturation, contribution ARS LR : 1 000 à 1 450 examens / an.
PACS (système de communication et d’archivage des images médicales): une partie des 1 500 examens
intégrés/mois sont réceptionnés pour télé-expertise.
EPS rencontrant des difficultés pour recrutement radiologues et/ou avec volumes d’actes peu importants les
weekends et les nuits = problème de continuité de soins et/ou de rentabilité.
Situations cliniques avec données iconographiques nécessitant le recours à des compétences particulières /
centres de référence.
Objectif : trouver un solution alterne pour interprétation / second avis, éviter le déplacement des patients, la
répétition des examens.
BP 2 : Télé-interprétation et télé-expertise en Languedoc Roussillon génèrent des
gains pour les demandeurs et des recettes pour le prestataire
Constat
de
départ
Détails
du plan
d’action
Résultat
Télé-interprétation. Gains demandeurs : gains RH versus paiements des prestations CHRU
MTP (ex: pour CH de Castelnaudary: pour 321 examens sur 1 année : 19 304 € = recettes
receveurs).
Télé-expertise. Gains demandeurs : expertise et précocité du diagnostic, réduction durée de
séjour, réduction déplacements patients.
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Constat
de
départ
Détails
du plan
d’action
Résultat
Inter-établissements: fréquente non disponibilité des données iconographiques antérieures délétère pour
la prise en charge partagée des patients et conduisant à la reproduction des examens. Difficiles partages
des informations pour les Réunions de Concertations Multidisciplinaires, pour les seconds avis…
Intra-établissement: non informatisation / non partage des données.
Objectif : permettre le partage des données, réduire les prescriptions redondantes.
Installation du système de communication / archivage d’images médicales (PACS): 2002/2003.
Mise en place des moyens pour gestion / intégration des données et des accès au PACS.
2015: transfert de 800 examens /mois du CHRU MTP aux établissements extérieurs (scan: 50%,
IRM: 25%, scinti: 20%, PETscan: 5%) et intégration de 1 500 ex. / mois (scan 60%, IRM: 30%, divers
: 10%), soit 15 600 scan et 8 400 IRM échangés.
Réduction des redondances, réduction exposition patients, amélioration collaboration inter-
établissements, réduction des impressions (1 jeu pour consultants, « sans film » pour hospitalisés)…
30% des examens échangés auraient du être reproduits sans mise en place de ce flux.
Des économies réelles situées entre une borne basse de 164 700 € si seuls les
consommables (qui représentent 17% du coût moyen de réalisation des scanners / IRM) sont
considérés et un montant plus élevé pour les établissements qui auront pu rendre des postes
(manipulateurs, archivistes…).
BP 3 : La collaboration territoriale Languedoc Roussillon pour le recours à la télé-
transmission et au PACS a permis au CHRU de Montpellier d’économiser 164 k€
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1 établissement public (CH X) et 1 étab. privé (Y) vosins, deux laboratoires de biologie médicale (LBM)
distincts avec des secteurs de même spécialité. LBM CH X: 14,5 M de B, LBM Y: 24 M de B.
Besoins de restructuration et de mise aux normes de certaines unités, démarche Cofrac….
Objectif: création d’un LBM unique, enjeux stratégiques, économiques et qualitatifs
Mise en place d’un GCS pour la création d’un laboratoire unique, sur 2 sites.
Répartition des domaines d’activité et organisation des personnels, et des gardes.
Répartition des matériels.
Secteur
d’activité
CH X Y
Biochimie
générale
maintenue supprimée
Biochimie
spécialisée
maintenue
Hématologie
générale
supprimée maintenue
Hémostase
spécialisée
réflexion
encore en
cours
maintenue
Bactériologie/
parasitologie
supprimée maintenue
Immunologie création maintenue
Immuno-
hématologie
maintenue
Biologie
délocalisée et
gazo
création création
BP 4 : La création d’un GCS exploitant un laboratoire unique multisite (via réorganisation concertée
des laboratoires d’un CH et d’un établissement privé) a permis une économie nette de 730 k€
Constat
de
départ
Détails
du plan
d’action
Résultat
Suppression des redondance domaines / équipements
Massification achats réactifs et équipements
Réduction du prix de production du B
Réduction RH: 2ETP PM, 1 seule astreinte, PNM -8,8
Accréditation moins couteuse (1 seul LBM)
Développement d’une offre externe
Ré-internalisation de certaines analyses sous-traitées
Automatisation supérieure, évolutions technologiques
Etude prévisionnelle:
Gains annuels coûts cumulés : 1 100 000€
Surcoûts supplémentaires identifiés (logistique, adm.:
GCS) : 370 000 €
Economie nette : 730 000 € (soit 8.3% des frais de
fonctionnement des 2 labos initiaux)
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1 GCS regroupant les CH Coulommiers, Marne la Vallée, Meaux depuis 2005,
1 Direction commune effective depuis fin 2009.
3 LBM indépendants, redondance des unités, AO séparés, disparité des équipements. Activité : 65,7 B+BHN,
prix de production du B : 0,197 € (données 2010).
Objectif : création d’un LBM unique multisite, homogénéisation des marchés réactifs / équipements,
développement attractivité (ex: centre de prélèvements…).
Mise en place d’une politique d’investissement et d’achat commune aux 3 sites: Ao communs, homogénéisation
des équipements,
Informatique: uniformisation gestion documentaire, manuel des prélèvements, Gestion Economique et
Financière, Système Informatique des Laboratoires, gestion des stocks.
Développement du centre de prélèvements (prestations pour consultants externes).
Ré-internalisation des analyses auparavant confiées à des sous-traitants externes.
Développement attractivité (personnel, établissements extérieurs…)
Augmentation d’activité de 48% (centre de prélèvement, ré-internalisation, prise de parts de marché,
amélioration de la comptabilité de l’activité de 2 des 3 sites).
Baisse du coût de production du B – 22 % (0,154 €).
Augmentation productivité: Million B/biologiste : 4.8 (3.2 en 2010), MB/technicien : 1.12 (0.79 en 2010).
Facilitation et réduction du coût de l’accréditation.
Efficience 2015 : + 4 M€ /an par rapport à 2010
Constat
de
départ
Détails
du plan
d’action
Résultat
BP 5 : La réorganisation des laboratoires de 3 établissements en 1 laboratoire unique multisite dans le
cadre du GCS Groupement Hospitalier Est Francilien permet une efficience accrue de 4 M€ par an par
rapport à 2010
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Service d’ACP de Montreuil – activité de 5 000 actes en 2009 – Personnel : - 2,5 Médecins
pathologistes ETP - 1 Cadre - 2 techniciens - 1,5 poste secrétaire - 0.6 poste d'ASH –
Coût Total personnel : 459 500 Euros
Service ACP Montfermeil : 15 000 actes – 4 Médecin- 1 cadre- 3 techniciens - 2 secrétaire - 1 ASH)
Fermeture Service d’ACP Montreuil en 2009 ( 6 ans). Externalisation complète des actes sur 1 seul site :
service d’ACP du GHI le Raincy-Montfermeil. AO : 2 lots : ACP classique + fœtopathologie
Organisation : 2 ramassages prélèvements / j + déplacement médecins : 1 – Extemporanés dans salle dédiée
du bloc opératoire CH Montreuil , 2 – Participation aux RCP, Tumorothèque
Besoin en personnel : concentration 40 % activité supplémentaire : 1,5 Médecins ETP - 1 techniciens – 1
poste de secrétaire - 0.6 poste d'ASH - chauffeur
BP 6 : La réorganisation de l’anatomo-pathologie entre les CH Montreuil/GHI Le Raincy – Montfermeil via
la fermeture d’une unité, et la concentration de l’activité sur un site a permis un bénéfice total de 247 k€
Constat
de
départ
Détails
du plan
d’action
Résultat
Bénéfice de l’opération :
Gain en personnel :
- 1,5 Médecins ETP - 1 techniciens – 1 secrétaire - 0.6 poste d'ASH –chauffeur
Soit bénéfice total : 247 000 Euros (coût annuel, charges comprises)
Amélioration qualité – efficience : - Renforcement des compétences
- Amélioration de la gestion du temps médical (différentes activité, congés…)
Permis investissement au niveau plateau technique :
Réduction des coût de fonctionnement :
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Recours du CHRU Montpellier à un prestataire externe pour la collecte des greffons en LR. Coût annuel
: 55 000 €.
Besoin mise en place d’une tournée de collecte pour des sangs placentaires (11 maternités LR). Devis
prestataire externe: 50 000 €.
EPS LR : couts pour transmission de certains échantillons (taxis, ambulances, chronopost, coursiers…),
redondances des navettes assurant les échanges inter- EPS (lactarium, courrier, échantillons
biologiques), démultiplication des points de collecte.
Objectif : rationalisation, amélioration des prestations, réduction des coûts.
Réflexion commune de toutes les unités ayant recours à un transporteur.
Réflexion commune des services généraux de Nîmes et de Montpellier.
Analyse des besoins des principaux EPS LR (fréquence et horaire des collectes).
Analyse des disponibilités (redéploiement personnel, véhicules CHRU…).
18
BP 7 : La ré-internalisation et la mutualisation des prestations de collecte inter-
établissements en Languedoc Roussillon permettent une économie de 115 K€
Constat
de
départ
Détails
du plan
d’action
Résultat
Mutualisation des collectes banque de tissus / banque de sang placentaire / vaguemestre et ré-
internalisation des prestations.
Arrêt redondances navettes inter-établissements, partage des tâches entre Services généraux
(Nîmes: collecte à Alès + Maternités nîmoises; Montpelier: collecte des sites de Perpignan à
Nîmes), amélioration qualité transports (traçabilité des collectes et livraison, métrologie)…
Coût collecte: 50 000 € mais personnel et véhicule redéployés: donc pas de surcoûts pour
l’établissement et 115 000 € de dépenses évitées
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Les centres hospitaliers ne peuvent plus bénéficier de remises de la part des laboratoires privés et doivent s’acquitter du
prix du B à 0,27 € pour les analyses externalisées, ce qui génère un surcroît de dépenses pour certains EPS.
Aujourd’hui, seule la conclusion de convention de coopération entre EPS permet de bénéficier de remise sur le tarif du B.
Objectif : Réduire les dépenses en renforçant les coopérations entre EPS
Etude de faisabilité : rapprochement des équipes de biologistes de la région Pyrénées, mise en commun des catalogues,
compatibilité des SI, organisation de la logistique…
Détermination des conditions : qualité, quantité, facturation des analyses, transport, rendu des résultats,… en lien avec
les services économiques, informatiques et financiers
Signature de conventions de coopération entre les établissements.
Convention de coopération et facturation du B à 0,20 € par le CH d’Albi au CH de Gaillac : épargne de 46 338 €
sur un total de 178 734 €, soit 26% de non dépenses.
Convention de coopération partielle et négociation pour une facturation du B à 0,23 € par le CHU de Toulouse au
CH d’Albi : épargne de 8 650 € sur un total de 150 809 € (soit 5,7%).
Limitation de l’impact financier négatif du décret pour les EPS qui bénéficiaient de remises des sous-traitants privés,
plus qu’économies réelles.
Recettes supplémentaires pour les EPS prestataires: attribution de certaines analyses auparavant externalisées
vers les structures privées
Renforcement de la collaboration clinico-biologique des EPS
Constat
de
départ
Détails
du plan
d’action
Résultat
BP 8 : La mise en place d’une convention de coopération sur la biologie en région Midi
Pyrénées a permis la facturation des actes entre EPS à un prix inférieur à 0,27€/B
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 20
2nd Chapitre : Les bonnes pratiques mises en place dans un
seul établissement mais dont la généralisation pourra être
facilitée par la mise en place des GHT
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Surcoûts de la biologie délocalisée (BD): analyses et maintenance, coûts des dispositifs.
Le nombre des automates de BD ne cessait de croître à la demande des cliniciens, sans nécessaire
approbation du Laboratoire de Biologie Médicale (LBM).
Dans le cadre de l’accréditation du LBM : choix du remplacement des automates en place par des
dispositifs connectés permettant une remontée systématique des données et une validation biologique
des résultats, nécessité d’une habilitation des utilisateurs.
Objectif: rationalisation, mise en conformité (accréditation norme 22870).
Mise en place d’un dialogue utilisateurs / biologistes / acheteurs.
Relevé du nombre d’automates en place.
Evaluation de l’utilisation de chaque dispositif et de la pertinence des nouvelles demandes des
cliniciens.
Mise en place d’un Groupe d’Encadrement des Examens de Biologie Médicale Délocalisée (cadre et
biologiste référents du labo d’hématologie, clinicien référent…) [exigence Cofrac].
Analyse des middlewares (concentrateurs d’info) disponibles en vue de la connexion.
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BP 9 : Une collaboration cliniciens/biologistes/acheteurs pour une révision du parc des
dispositifs de biologie délocalisée pour le dosage de l’hémoglobine au CHU de Nîmes a permis
d’économiser 41k€
Constat
de
départ
Détails
du plan
d’action
Résultat
Réduction du nombre d’automates à renouveler de 54 à 27.
Réduction des nouvelles demandes pour 2016 de 19 à 4.
Recours à un middleware disponible dans l’établissement (épargne des connexions individuelles).
Acceptation nouveaux circuits / sites de réalisation par les utilisateurs.
Dépenses évitées de 41 580€ HT (épargne de 42 automates soit 57% du parc)
Direction générale de l’offre de soins - DGOS |
22
Un appel d’offres complexe concernant de nombreux réactifs pour des techniques manuelles (auto-immunité ++) rédigé
après recueil « habituel » des besoins.
Réponses des fournisseurs disparates et inadaptées aux conditions de réalisation des analyses rendant l’évaluation
économique impossible. AO rendu infructueux.
Objectif: améliorer le catalogue des besoins afin qu’il réponde plus précisément aux attentes.
Forte implication de l’ensemble des acteurs pour le partage des connaissances sur les conditions de réalisation
des analyses et renforcement de la collaboration entre les acheteurs, le cadre et le biologiste référent du secteur
pour la rédaction des besoins sur la base de l’expérience « métier bio ».
Réflexion, élargissement de l’AO, sans a priori.
AO plus précis et tenant compte des modalités de réalisation des analyses (nombre de tests annuels,
périodicité des séries, organisation du service, ensemble des réactifs nécessaires à la technique…).
AO avec 35 lots (principalement anticorps pour secteur auto-immunité), 3 techniques., offrant la
possibilité aux fournisseurs de répondre à des variantes MAD pour 2 techniques
Résultats AO: Niveau de précision demandé: facilite l’évaluation technique.
Automatisation de deux techniques : variantes avec MAD.
Autres avantages : acquisition d’un scanner et d’un logiciel.
Gain achat de 21 400€ par an soit 13% du marché (+ gains RH consécutifs à
l’automatisation)
Constat
de
départ
Détails
du plan
d’action
Résultat
BP 10 : La collaboration acheteur/biologiste pour une rédaction d’un AO complexe au plus
près des conditions de réalisation des analyses au CHU de Nîmes a permis des gains de 21 k€
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 23
3ème Chapitre : Les bonnes pratiques qui ne sont pas
forcément territoriales mais qui sont intéressantes et qui
n’ont pas été relevées par les vagues précédentes
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 24
Redondances des prescriptions: les groupages sanguins (GS) sont souvent réalisés systématiquement sans vérification
du bien fondé de l’indication ni recherche des antériorités, et les résultats produits par les LBM privés sont rarement
rapportés par les patients à l’admission (difficiles alors à récupérer par un circuit non reconnu par l’EFS).
Retentissement organisationnel (GS en urgence à l’admission, sans respect des règles de sécurité transfusionnelles,
modification voire annulation du programme opératoire….), et dépenses engendrées pour l’établissement (GHS).
Objectif: rationalisation, mise en conformité, réduction des coûts.
Etude du processus de prise en charge : mise en évidence de 10 zones d’instabilité.
Concertation anesthésistes / chirurgiens / pôle Biologie et révision du «chemin clinique du patient de chirurgie avec
groupage » (vérification systématique des antériorités, planning de prélèvement des 2 déterminations en fonction des
RV chirurgien / anesthésiste…).
Application aux GS dans le cadre de la chirurgie programmée:
Amélioration de la prise en charge des patients, allégement de la charge de travail à l’admission et respect des
règles de sécurité transfusionnelles (2 déterminations, sur 2 ponctions distinctes).
Réduction des redondances et GS réalisés pour des consultants externes (et non plus des hospitalisés) = facturation
SS, d’où une réduction des dépenses estimée à 113 400 €.
Constat
de
départ
Détails
du plan
d’action
Résultat
BP 11 : Une coopération des pôles « Chirurgie » et « Biologie Pathologie » du CHU de Nîmes a
permis une réduction des dépenses pour les groupages sanguins de 113k€
Direction générale de l’offre de soins - DGOS |
Certaines analyses font l’objet de prescriptions systématiques non revues en fonction de la situation
clinique précise du patient (ex: « bilan d’entrée » systématique répété lors d’hospitalisations itératives)
et alors que les résultats déjà disponibles suffisent au diagnostic ou au suivi.
Le blocage d’analyses ne repose pas toujours sur des recommandations ou une concertation entre
cliniciens et biologistes.
Objectif : réduire le volume des analyses redondantes, définir les motifs de rejet.
Identification des analyses concernées par la redondance.
Dialogue cliniciens / biologistes.
Paramétrage des SIL pour blocage des redondances.
Mise en place d’une traçabilité des analyses rejetées pour redondances.
25
BP 12 : La réduction des prescriptions redondantes d’électrophorèses des protéines avec
paramétrage du SIL a permis au CHU de Nîmes des dépenses évitées de 2,5k€
Constat
de
départ
Détails
du plan
d’action
Résultat
Mise en place de la démarche pour les électrophorèses des protéines
sériques (EPS):
2,8% des EPS bloquées en 2014 (179 blocages, B53)
Amélioration de la pertinence de la prescription
Dépenses évitées de 2 560€
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 26
Redondances de certaines prescriptions d’analyses biologiques niveau 1, 2 ou 3, favorisées par absence de dossier
unique, absence de prescription connectée, bilans « systématiques » reconduits sans révision… Ex: sérologies, formules
sanguines chez aplasiques, bilans auto-immunité, recherche de BMR…
Objectif: rationaliser les prescriptions, réduire le nombre d’actes redondants et/ou inutiles.
Concertation biologistes / cliniciens : réflexion sur natures des actes / indications cliniques, définition des périodicités.
Tout le LBM impliqué sauf génétique, thérapie cellulaire, DPI, reproduction, anapath.
Adaptation du Système Informatique des Laboratoires (SIL) pour enregistrement / rejet à réception: paramétrage d’alertes
sur la base de délais de redondance autorisés.
10 unités du LBM ont défini les critères de « redondance » pour 265 analyses.
24 220 actes rejetés pour redondance (243 analyses différentes) / pour 4 789 691 actes réalisés par les 10 unités (soit
0,51%) (données 2014).
Réduction de la production de 976 224 B/BHN (soit 0,66%).
Réduction des dépenses du LBM: (volume B/BHN /labo) x (prix de production du labo)
49 985 € (si considération uniquement frais variables : consommables / réactifs)
195 588 € (si prix de production global considéré)
exemples % actes rejetés exemples % actes rejetés
HbA1C 1,6% ECBU 3,7%
Electrophorèse prot. sériques 2,6% BMR 2,4%
FER 3,5% Formule sanguine 5,7%
Ferritinémie 2,9% Parasito des selles 4,0%
Constat
de
départ
Détails
du plan
d’action
Résultat
BP 13 : La réduction des prescriptions redondantes d’actes de biologie avec paramétrage
des SIL a permis au CHRU de Montpellier des économies de 50k€ sur les réactifs
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 27
Bilans annuels: exposition brute des données émanant du Contrôle de Gestion (CG), de la Direction du Système
Informatique (DSI) et de la Direction des Affaires Financières (DAF) avec constante discordance entre données de
production et données de facturation, sans confrontation de ces données avec les pratiques du LBM et/ou avec la nature
facturable / non facturable (ex: acte INCA, forfait greffes…) des actes, sans réflexion commune.
Multiplicité des étapes et des intervenants pour une valorisation effective des actes réalisés pour les établissements
extérieurs, pertes de recettes (en 2014: 50% des actes réalisés et rendus en moins d’un mois n’étaient pas facturés plus de
5 semaines après réception)
Objectifs: identifier les causes de retard ou de non facturation, récupérer les recettes
Mise en place d’un centre de tri-réception unique de tous les échantillons provenant des E.Ext. (+ création des dossiers
administratifs) pour une centralisation et une révision des demandes d’analyses réceptionnées et le contrôle de la
facturation.
Homogénéisation des procédures d’enregistrement / validation des actes dans les SIL.
Mise en place collaboration, travail de concert DSI / CG / DAF / LBM.
BP 14 : La collaboration entre le Laboratoire et le contrôle de gestion du CHRU de Montpellier pour
une valorisation/facturation exhaustive des prestations de biologie a permis une récupération de
recettes de 350k€
Constat
de
départ
Détails
du plan
d’action
Résultat
Identification de plus de 20 causes de non valorisation (de l’absence de dossier administratif à l’absence
de valorisation par le logiciel de facturation, en passant par l’absence de validation / édition par labo et les
conditions de rajouts d’analyses).
Développement d’une requête informatique pour le contrôle de la totalité du circuit de valorisation des
actes et une alerte en cas de décrochage activité / recettes.
Pour 2015 : levée des blocages et récupération de 350 000 € soit 13% des recettes liées aux
prestations réalisées pour des E. Ext. (données à fin novembre)
Direction générale de l’offre de soins - DGOS |
28
Quasi-totalité des bilans biologiques prescrits lors des consultations réalisée à l’extérieur du CHU, y compris les bilans qui
auraient gagné à être prélevés aux décours immédiat des consultations (aide au diagnostic) ou juste avant les consultations
suivantes (suivis).
Centre de prélèvement (CP) sous exploité, ne recevant que les patients suivis par les médecins des laboratoires, méconnu,
peu attractif (contraintes parking mais aussi administratives).
Actes nomenclature: re-facturables aux CPAM des consultants (= recettes CHRU).
Objectifs: favoriser la réalisation des bilans biologiques des consultants au sein du CHU.
Evaluation des capacités / besoins du CP pour une augmentation d’activité.
Rencontre des différents secteurs de consultations.
Evaluation du nombre de consultations avec prescriptions bio et identification des analyses..
CP connu des personnels de santé, élaboration d’une plaquette d’informations.
Partage de la réalisation des prélèvements entre le CP et services de consultations.
Disponibilité des résultats intégrés dans le dossier patient informatisé: des bilans réalisés aux décours des
consultation, comme des bilans réalisés 1 h avant la consultation.
Prévision de la réalisation de 7 400 bilans pour la chirurgie (50% des interventions nécessitant un bilan sanguin)
Soit, sur la base de B69 pour NFS/TP/TCA + 3,78€ / prise de sang, une prévision de:
165 800 € de recettes (soit une augmentation de 1,82 % des recettes des prestations de biologie
pour consultants externes) et 68 800 € de bénéfices annuels.
Constat
de
départ
Détails
du plan
d’action
Résultat
BP 15 : La collaboration entre les consultations cliniques et les laboratoires du CHU de Nîmes pour
le développement du centre de prélèvements a permis une augmentation des volumes d’actes et
une hausse des recettes de 165k€
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 29
4ème Chapitre : Les bonnes pratiques connues mais pas
encore appliquées partout
Direction générale de l’offre de soins - DGOS |
Cartographie et recensement des besoins des contrôles d'équipements de laboratoire et de pesée, de
stérilisation et de pharmacie avec un périmètre élargi COFRAC et hors COFRAC (Laboratoire et Biomédical).
Rédaction d’un cahier des charges techniques communs: 15 lots définis répondant aux exigences de la
métrologie avec obligation de résultat par le fournisseur et incitation à l’accompagnement personnalisé dans
le cadre de la mise en place de l’accréditation, facturation au forfait (frais de déplacement inclus) et par
tranche, prix fermes sur 2 ans.
Leviers utilisés : campagne de métrologie, dématérialisation commandes/factures, contrat de progrès annuel
(évaluation fournisseurs).
Métrologie : obligation et suivi des contrôles de tous les équipements répondant aux exigences COFRAC et
hors COFRAC des laboratoires.
Multiples marchés, acheteurs différents : biomédical, laboratoire, pharmacien.
Besoins épares, contrats au coût par coût, absence de marché mutualisé.
Objectif: réduire l’impact de l’augmentation attendue importante des dépenses en (notamment du fait de
l’accréditation Cofrac) par l’application de bonnes pratiques à la métrologie
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BP 16 : La consolidation des besoins et la mutualisation des achats de métrologie via le
Resah-IDF a généré des gains de 195k€ pour les établissements adhérents
L’extension des BP d’achats à la métrologie avec notamment mutualisation de la démarche à
plusieurs secteurs d’activité (labo, stérilisation, pharmacie) a permis 15 % de gains pour le
RESAH IDF (sur la base de 20 adhérents) sur un total de 1,3 M€ de dépenses par an soit
195 000€ de gains
Constat
de
départ
Détails
du plan
d’action
Résultat
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 31
Pas toujours de remise en question des modalités d’équipement (location / mise à disposition / achat) lors des
renouvellement des marchés.
Une modalité peut avoir un avantage pour la réalisation de certaines analyses à un temps donné, et perdre cet avantage
pour des analyses d’autres natures, ou du fait d’évolution des technologies / modalités de réalisation des analyses.
Réflexion sur les pratiques à l’occasion du renouvellement du marché pour la biologie moléculaire / immunologie au
CHU de Bordeaux (secteur avec une augmentation d’activité et une hausse constatée des dépenses en réactifs de 10%
par an avec MAD).
Objectif : optimiser les achats et réduire les couts par l’application de bonnes pratiques.
Résultats de l’application des bonnes pratiques :
peu d’intérêt à l’achat d’automates en biologie moléculaire en raison de progrès technologiques très rapides et
coûts maintenance parfois exorbitants.
à la différence de certaines analyses avec volumes d’actes stables et dégressifs pour lesquelles la comparaison
valide le maintien de la MAD (ex: CRP délocalisée, hémocultures..), la location est plus avantageuse pour la
biologie moléculaire / immunologie sur 4 ans.
Gains d’achats résultant de cette comparaison systématique : 100 000€ soit 5%
•Stratégie en amont avant consultation : rencontre fournisseurs/acheteurs/prescripteurs.
• Mise en place d’une comparaison systématique.
Constat
de
départ
Détails
du plan
d’action
Résultat
BP 17 : La comparaison systématique entre location/MAD/achat pour l’activité de
Biologie Moléculaire/Immunologie au CHU de Bordeaux a généré 100k€ de gains
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 32
Gazométrie une concurrence rude, un achat complexe.
Réflexion engagée depuis plusieurs années sur les modalités d’acquisition: le coût paramètre prescrit rendu = un
niveau de gain immédiat concernant le réapprovisionnement, le suivi des stocks, la gestion des commandes, la
simplification d’une facture unique, la traçabilité des dépenses et une meilleure gestion de la qualité (diminution du
gaspillage…).
Objectif : appliquer les leviers du GIP Resah-IDF pour les achats de biologie délocalisée, et notamment la
gazométrie.
Harmonisation et mutualisation des pratiques:
-Proposition d’un modèle de marché en offre globale (incluant la gazométrie)
-Mise à disposition des analyseurs, réactifs, consommables et contrôles
Faire jouer l’effet lié au groupement d’achat: ajustements tarifaires chaque année en fonction des
consommations.
Les biologistes disposent d’un outil de suivi de surveillance en temps réel de l’activité du laboratoire –
analyse détaillée mensuelle.
Optimisation des processus achats et des approvisionnements.
Gains logistiques.
Gain budgétaire annuel de 80 000 € pour le Groupement Hospitalier Est Francilien lié au
groupement d’achats et à la consolidation
BP 18 : La mutualisation des achats via le GIP Resah-IDF permet une économie sur
l’achat de gazométrie pour le GH Est-francilien de 80k€
Constat
de
départ
Détails
du plan
d’action
Résultat
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 33
EPS: pratique généralisée d’une clause dans les CCAP permettant une révision des prix en fonction de
l’évolution à la hausse ou à la baisse du tarif fournisseur sous réserve de production des pièces justificatives
ayant servi au calcul des nouveaux tarifs, et une résiliation du marché en cas de dépassement du seuil
défini.
Manque de moyens fréquents des cellules achats pour l’application de cette clause.
CH de Versailles, avant…: la clause n’est pas appliquée et très souvent injustifiée, les fournisseurs proposent
une révision de prix systématique de +3 %.
Objectif : se donner les moyens et respecter les bonnes pratiques d’achats.
Mise en place d’un tableau de bord et suivi contrôle des prix par produit par marché.
Contrôle systématique du tarif public du fournisseur de tous les produits du BPU.
Négociation des révisions des prix par ligne produit.
Un acheteur dédié à la révision systématique des prix des marchés de biologie ou autre domaine.
33
BP 19 : Le contrôle et la négociation systématique des révisions des prix des marchés
induit des gains achats au CH de Versailles de 20 K€ sur les marchés de biologie
En se donnant les moyens pour une application des bonnes pratiques d’achat (avec
notamment la révision et la négociation respectivement de 23 et 11 marchés pour les AO
2013-2017), le CH Versailles a réduit ses dépenses de laboratoires de 20 927,65 € , soit
1,4% de gains pour l’année 2015
Constat
de
départ
Détails
du plan
d’action
Résultat
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 34
Gain retenu
17%
Assiette retenue 54,3 M€
Potentiel de gain national
9,2 M€
Gain d’achat:
• Réduction des redondances -> économies des consommables (=17%)
sur iconographies non répétées
Gains associés:
• Réduction de l’exposition patients
• Amélioration collaboration entre établissements
• Réduction des impressions
2 055 000 IRM + 6 231 000 scanners réalisés = 1,086 Mds €
x 10%: volume supposé des échanges
x 50%: coefficient de prudence
• Acquisition de l’équipement et du système de communication
• Mise en place de moyens pour la gestion / intégration des données et
des accès au PACS
Conditions de mise en œuvre
Effort de mise en œuvre :
5
Opportunité 1 : Mettre en place un PACS/Télétransmission – BP 3
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 35
Gain retenu
100%
Assiette retenue 21,4 M€
Potentiel de gain national
21,4 M€
Gains d’achat:
• Tous les groupages sanguins des chirurgies programmées pourraient
être réalisés en consultations externes, dépenses sorties des GHS
• Réduction des redondances
Gains associés
• Mise en conformité des pratiques (double détermination)
Dépenses groupages sanguins nationaux : 143 M€
x 50%: % de groupage dans le cadre de la chirurgie programmée au
minimum
x 30%: coefficient de prudence
• Concertation chirurgiens / anesthésistes
• Révision du parcours patient pour la chirurgie programmée avec
groupage
• Bascule de l’activité sur les consultations
Conditions de mise en œuvre
Effort de mise en œuvre :
5
Opportunité 2 : Réduire les dépenses pour les groupages sanguins – BP 11
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 36
Gain retenu
20%
Assiette retenue
49 M€
Potentiel de gain national
9,8 M€
Gains d’achat:
• Remise moyenne de 20% sur le prix du B envisageable du fait du coût de
production moyen par les EPS
• Compensation de la suppression des remises par les LBM privés
Gains associés
• Renforcement collaboration clinico-biologie entre EPS
• Recettes pour l’EPS prestataire
Dépenses nationales en analyses externalisées : 490 M€
x 50% : volume d’actes absorbable par les EPS
x 20% : fraction des établissements qui entreront dans la démarche
• Mise en place d’une convention de collaboration
• Logistique (collecte, fourniture matériel de prélèvements…)
• Transmission des résultats (corollaires d’identité, flux de résultats,
serveurs de résultats…)
• Amélioration des modalités de facturation et de suivi
• Organisation adaptée du LBM receveur
Conditions de mise en œuvre
Effort de mise en œuvre :
3
Opportunité 3 : Favoriser la coopération public/public et profiter de la possibilité de
remise entre établissements – BP 8
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 37
Gain retenu
8%
Assiette retenue
240 M€
Potentiel de gain national
19,2 M€
Gains d’achat
• Réduction des frais de fonctionnement par réorganisation et répartition des
activités entre sites
Gains associés
• Renforcement des collaborations clinico-biologiques entre EPS
Frais de fonctionnement des laboratoires hors analyses externalisées : 2,4
Mds€
x 10%: coefficient de prudence faisabilité
• Volonté de coopération
• Distance entre les établissements permettant la restructuration
• Recueil exhaustif de l’activité
• Analyse de la démographie RH
• Mutualisation
• Répartition des domaines d’activité
• Répartition des matériels
• Organisation des personnels
Conditions de mise en œuvre
Effort de mise en œuvre :
8
Opportunité 4 : Regrouper les laboratoires et répartir l’activité – BP de territoire
reproductible – BP 4, 5, 6
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 38
Gain retenu
0,5%
Assiette retenue
595 M€
Potentiel de gain national
2,975 M€
Gains d’achat
• Rationaliser les prescriptions
• Réduire le nombre d’actes redondants ou inutiles
Gains associés
• Renforcement de la collaboration entre cliniciens et biologistes
Estimation production B/BHN nationale par EPS: 11,9 Mds
x 0.10€: coût moyen de production du B frais variables
x 50%: coefficient de prudence
• Concertation entre cliniciens et biologistes
• Réflexion en amont sur nature actes/indications/périodicité
• Paramétrage d’alertes SIL
Conditions de mise en œuvre
Effort de mise en œuvre :
1
Opportunité 5 : Réduire les redondances de prescription d’analyses médicales – Analyse
des pratiques - BP 12, 13
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 39
Gain retenu
57%
Assiette retenue
1,95 M€
Potentiel de gain national
1,11 M€
Gains d’achats
• Réduction du parc des automates pour dosage de l’hémoglobine
délocalisés
Gains associés
• Mise en conformité Cofrac facilitée
Parc moyen en France : 5 000 équipements
x 780 €TTC: coût moyen par équipement
X 50%: coefficient de prudence
• Concertation cliniciens / biologistes
• Rationalisation des implantations
• Mutualisation des équipements
Conditions de mise en œuvre
Effort de mise en œuvre :
2
Opportunité 6 : Rationaliser les parcs d’équipement en biologie délocalisée : exemple de
l’hémoglobine - BP 9
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 40
Gain retenu
7%
Assiette retenue :
672 M€
Potentiel de gain national
47 M€
Gains d’achat
• BP 10 : 13% pour les dépenses de réactifs et consommables
• BP 17 : 5% pour les dépenses d’équipements
• BP 19 : 1,4% pour les dépenses de réactifs et consommables
Gains associés
• Niveau d’expertise et compétences de l’acheteur pour la biologie
pouvant être mutualisés au niveau d’un territoire
BP 10 et BP 19 : dépenses de réactifs et consommables = 624 M€ x coefficient
de prudence de 50%
BP 17 : dépenses d’équipements = 96 M€ x coefficient de prudence de 50%
• Investir du temps agent pour l’application des BP d’achat/ peut
nécessiter un renforcement de la cellule achat
• Dialogue biologiste / acheteur
Conditions de mise en œuvre
Effort de mise en œuvre :
2
Opportunité 7 : Se donner les moyens d’appliquer les bonnes pratiques d’achats – BP 10,
17, 19
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 41
Gain retenu
13%
Assiette retenue
245 M€
Potentiel de gain national
31,8 M€
Gains d’achat
• Corriger les événements ayant bloqué indument la valorisation /
facturation des actes effectués pour des établissements extérieurs
A défaut du montant des recettes liées à la réalisation d’actes de
biologie pour des établissements extérieurs, l’estimation est réalisée
à partir des dépenses en analyses externalisées, soit 490 M€ en
supposant que 50% des actes sont adressés à des EPS.
• Collaboration entre le LBM, le contrôle de gestion, la Direction du
Système Informatique
• Identifier les événements pouvant conduire à une non clôture d’un
dossier / non valorisation d’une prestation
• Mise en place de requêtes informatiques
• Gains neutre au niveau macro – récupération recettes pour
l’établissement prestataire = coût pour l’établissement demandeur
Conditions de mise en œuvre
Effort de mise en œuvre :
1
Opportunité 8 : Contrôler l’exhaustivité de la valorisation des actes de biologies réalisés
pour les établissements extérieurs – BP 14
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 42
Gain retenu
1,82%
Assiette retenue
400 M€
Potentiel de gain national
7,28 M€
Gains d’achat
• Augmentation des recettes des EPS
Gains associés
• Amélioration de la prise en charge par réduction du délai d’obtention des
résultats et intégration des résultats dans les dossiers patients
Production d’actes de biologie pour les consultants externes
• Investissements: structure d’accès facile et direct (locaux adaptés, près
d’une sortie, accès parking, accueil administratif délocalisé…),
personnel, outils de gestion (logiciel de prises de rendez-vous partagés,
transmission des résultats…)…
• Implication du LBM et des équipes cliniques
• Concertation avec les équipes médicales et paramédicales des
consultations pour une répartition des tâches
• Campagne d’information
Conditions de mise en œuvre
Effort de mise en œuvre :
5
Opportunité 9 : Développer des centres de prélèvement pour réalisation des bilans
biologiques des consultants externes – BP 15
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 43
0
5
10
15
20
25
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Mill
ion
s
2
Opportunité Effort Gain
1 Mettre en place un PACS /
Télétransmission 5 9,2 M€
2 Réduire les dépenses pour les groupages
sanguins 5 21,4 M€
3
Favoriser la coopération public/public pour
profiter de la possibilité de remise entre
établissements 3 9,8 M€
4 Regrouper les laboratoires et répartir
l’activité 8 19,2 M€
5 Réduire les redondances de prescription
d’analyses médicales 1 2,975 M€
6
Rationaliser les parcs d’équipements en
biologie délocalisée : exemple de
l’hémoglobine 2 1,11 M€
7 Se donner les moyens d’appliquer les
bonnes pratiques d’achat 2 47 M€
8 Contrôler la valorisation pour améliorer les
recettes 1 31,8 M€
9 Développer des centres de prélèvements 5 7,28 M€
TOTAL 149,7M€
1 3
4
5
9
50
20
40
7
8
6
Tableau récapitulatif et matrice enjeux effort : potentiel national de gain de près de 150 M€
Direction générale de l’offre de soins - DGOS | 44
Conclusions, les commandements des hospitaliers en matière de biologie médicale
1) EPS, tes secteurs tu décloisonneras : Direction des Achats / Acheteurs / Cellule des marchés, Direction des
Finances / Contrôle de Gestion / Facturation, Système informatique, Laboratoires, unités de soins.
2) Cadre de laboratoire, biologiste, acheteur, avec l’autre ton expérience, ton expertise, tes compétences, tu
partageras.
3) Utilisateur, tes besoins et contraintes à l’acheteur, plus clairement tu exprimeras.
4) LBM, malgré la pression financière, la qualité tu n’oublieras pas.
5) Unité de soins, tes prescriptions tu rationaliseras.
6) Acheteur, d’appliquer les bonnes pratiques d’achats les moyens tu te donneras.
7) EPS, comme le privé, tous tes actes tu valoriseras.
8) EPS dans la réorganisation et les collaborations clinico-biologico-iconographiques territoriales tu t’engageras.
9) Hospitalier de toute origine, de la survie des EPS, face à la concurrence
et aux conditions de rémunération des actes des LBM privés, tu te
préoccuperas.
10) Ministère, le détail précis et exhaustif des activités et des dépenses
tu recueilleras.
Applicables à tous les secteurs d’activité…