6. icma appel de propositions

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International Editorial-Design & Research Forum · N. Küpper · Gutenbergstr. 4 · 40670 Meerbusch · Germany · Phone: +49 21 59 91 16 15 · E-Mail: [email protected] C U S T O M ME D I A O F T H E Y E A R I N T E R N A T I O N A L C R E A T I V E B O O K O F T H E Y E A R I N T E R N A T I O N A L INTERNATIONAL CREATIVE MEDIA AWARD BOOKS C O R P O R A T E D E S I G N O F T H E Y E A R I N T E R N A T I O N A L C R E A T I V E M A G A Z I N E O F T H E Y E A R I N T E R N A T I O N A L INTERNATIONAL CUSTOM MEDIA AWARD Concours international ouvert aux media d’entreprise, livres, au design corporate et aux périodiques Dernier délai: 1er octobre 2015 Appel de propositions 6. ICMA

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Page 1: 6. ICMA appel de propositions

International Editorial-Design & Research Forum · N. Küpper · Gutenbergstr. 4 · 40670 Meerbusch · Germany · Phone: +49 21 59 91 16 15 · E-Mail: [email protected]

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Concours international ouvert aux media d’entreprise, livres, au design corporate et aux périodiquesDernier délai: 1er octobre 2015

Appel de propositions 6. ICMA

Page 2: 6. ICMA appel de propositions

n 22. iPad-Apps und Apps für mobile Endgeräte.

Table des matières 2

03 Aperçu des catégories04 – 05 Objectifs de l’ICMA – International Creative Media Award06 – 08 L’ICMA, instrument de marketing pour les lauréats09 Récompenses · Période de déroulement du concours ·

Clôture des envois10 Remarques concernant les droits de participation11 Participation au concours

ICMA – International Custom Media Award12 1.1. Journaux d’entreprise, 1.2. Périodiques d’entreprise13 2. Brochures de prestige, 2.1. Catalogues imprimés14 3. Rapports annuels et rapports sur

la responsabilité sociale d’entreprise

ICMA – International Creative Media Award pour les livres15 4.1. Littérature générale15 4.2. Livres scientifiques, livres d’enseignement15 4.3. Livres scolaires15 4.4. Livres pour enfants et ados15 4.5. Guides, livres documentaires16 4.6. Livres d’art16 4.5. Livres photo17 4.8. Collections de livres17 4.9. Livres d’entreprise17 4.10. Livres pour iPad et tablettes17 4.11. Idées livres innovantes

ICMA – International Creative Design Award18 5. Design corporate18 5.1. Logos d’entreprise19 – 20 5.2. Papeterie21 5.3. Manuels de design corporate22 5.3. Design typographique

ICMA – International Creative Media Award23 – 24 6. Périodiques, magazines, illustrés25 7. Périodiques clients Business to Business (B2B)26 8. Périodiques clients Business to Client (B2C)27 9. Périodiques spécialisés

28 10. Page titre29 11. Couverture et article en couverture30 12. Typographie31 – 32 13. Photographie33 14. Reportage photo34 15. Narration visuelle 34 16. Visualisation35 17. Narration alternative36 18. Infographie37 19. Illustration38 20. Finition de l’impression39 21. Media en ligne et multimedia39 21.1. Journalisme de données40 22. Applis pour iPad et terminaux mobiles

41 Remarques concernant la participation42 Questions et réponses43 Le jury et ses critères44 – 45 Le jury46 Les annuaires47 Formulaire de participation

Page 3: 6. ICMA appel de propositions

n 22. iPad-Apps und Apps für mobile Endgeräte.

Aperçu des catégoriesPremier domaine:media corporate

1. Media d‘entreprise2. Brochures de prestige2.1. Catalogues imprimés3. Rapports annuels

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Deuxième domaine: Livres

4.1. Litt érature générale4.2. Livres scientifi ques,

livres d’enseignement4.3. Livres scolaires4.4. Livres pour enfants et

adolescents4.5. Guides, livres

documentaires4.6. Livres d’art4.7. Livres photographiques4.8. Collections de livres4.9. Livres corporate4.10. Livres pour iPad et tablett es,4.11. Idées livres innovantes

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Troisième domaine: Design corporate

5.1. Logos d’entreprise5.2. Design corporate5.3. Manuels de design

corporate5.4. Design

typographique

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Quatrième domaine: Périodiques

6. Périodiques7. Magazines clients B2B8. Magazines clients B2C9. Périodiques spécialisés

10. Pages-titres11. Couverture et article

en couverture12. Typographie13. Photographie14. Reportage photo15. Narration visuelle16. Visualisation

17. Narration alternative18. Infographie19. Illustration20. Finition de l’impression21. Media en ligne

et transmedia21.1. Journalisme de données22. Applis pour iPad et Android

Catégories pour media corporate et périodiques

Aperçu des catégories 3

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Objectifs de l’ICMA – International Creative Media Award 4

Concours international ouvert aux media d’entreprise, livres, au design corporate et aux magazinesn Le premier ICMA s’est déroulé en 2010. 194 publications y ont participé

214 à la deuxième édition, 226 à la troisième et 389 à la quatrième. Au 5e ICMA, 364 publications en provenance de 17 pays se sont présentées.

Cette année, les disciplines sont réparties dans les domaines suivants:

Media corporate: ICMA International Corporate Media Awardn Ce prix regroupe les journaux et périodiques destinés aux personnels

d’entreprise, mais aussi les brochures de prestige et les rapports annuels.

Livres: ICMA Booksn Cette catégorie concerne les livres. Elle est subdivisée en onze sous-catégories.

Elle inclut aussi les livres sur iPad et tablettes.

Design corporate: ICDA International Corporate Design Awardn Dans cette catégorie sont regroupés les logos d’entreprise, les équipements

commerciaux et les études de polices de caractères

Media créatifs: ICMA International Creative Media Awardn Cette catégorie porte sur les magazines, périodiques ainsi que les magazines

clients pour le B2B et le B2C.

ICMA Student Awardn Les travaux étudiants peuvent concourir dans toutes les catégories...

Les droits de participations sont inférieurs de moitié aux droits normaux.

n Dénomination: ICMA Student Award

L’objectif du concours:Échanger des idées créativesn Dans de nombreux pays sont organisés des concours sur les thèmes

Media corporate, Design corporate et Design de magazines, mais sous forme de concours séparés. L’ICMA a pour but primordial de promouvoir l’échange d’idées créatives au niveau international.

n Pour cette même raison, des invitations à ce sixième concours vont être envoyées à 5 000 concepteurs, spécialistes des media d’entreprise et périodiques du monde entier.

Autres objectifs du concours:n Faire ressortir les tendances: Les résultats du concours donnent à chacun

la possibilité de situer son travail dans le cadre d’une comparaison internationale et d’optimiser rapidement son produit.

n Effet vis-à-vis de l’extérieur: Sur leurs sites Internet et dans les média imprimés, les gagnants reviennent intensément sur les prix qu’ils ont remportés. Ils soulignent ainsi leur ambition de qualité tout en faisant de la publicité pour leur propre entreprise.

n Laboratoire d’idées: Les publications dans l’annuaire de l’ICMA et sur le site www.creative-media-award.com promeuvent la créativité de chacun.

n Les résultats des concours précédents ont été publiés sur www.creative-media-award.com.

n ICMA est également présent sur Facebook: facebook.com/ICMA.international.creative.media.award

Page 5: 6. ICMA appel de propositions

n 22. iPad-Apps und Apps für mobile Endgeräte.

Objectives of the ICMA – International Creative Media Award 5

Statistiques du 5e ICMAAu 5e ICMA, 364 publications en provenance de 17 pays se sont présentées.Dans les 20 catégories que compte le concours, les prix suivants ont été décernés:n 27 Gold Awards (4e ICMA: 21)n 25 Silver Awards (4e ICMA: 25)n 22 Bronze Awards (4. ICMA: 16)n ainsi que des Prix d’Excellence

L’ICMA est traditionnellement bien ancré dans l’espace germanophone. Nombreuses sont les propositions présentées à ce concours en provenance d’Allemagne, de Suisse et d’Autriche. Ont également participé, en Europe, des concepteurs originaires du Danemark, de Finlande, Belgique, du Portugal, de Slovaquie et de Hongrie. En dehors de l’Europe, des propositions entre autres de Singapour, d’Inde, d’Australie, de Nouvelle-Zélande, du Canada, des USA et de la Russie ont été reçues.

À propos de l’International Editorial-Design & Research Forum:Énoncé de sa mission: Ce forum a pour tâche de réaliser des concours, congrès, séminaires et ateliers sur le thème du design éditorial et de la recherche sur la lisibilité. Il veut contribuer à l’échange d’idées créatives au niveau international.Ce forum a été fondé par Norbert Küpper. Küpper s’est spécialisé dès 1984 dans le domaine du design des journaux et périodiques. Il a depuis restructuré la présentation de plus de 180 journaux et périodiques. Il a été le premier en 1989 à étudier le comportement en lecture des lecteurs, en recourant à une caméra qui enregistre le mouvement des yeux. Les résultats figurent entre autres dans un livre publié en 2015 et intitulé «Newspaper Design and Reading Research» (Design des journaux et recherche sur la lisibilité), ISBN: 978-3-00-048574-9www.amazon.co.uk

ContactInternational Editorial-Design & Research-Forumc/o Norbert KüpperGutenbergstrasse 440670 MeerbuschAllemagneTéléphone +49 2159 91 16 15E-Mail: [email protected]: www.creative-media-award.com

Page 6: 6. ICMA appel de propositions

L’ICMA, instrument de marketing pour les lauréats 6

L’ICMA se veut également un instrument de marketing pour lauréatsSur leurs sites Internet et dans les média imprimés, les gagnants reviennent intensément sur les prix qu’ils ont remportés. Les média spécialisés se font eux aussi l’écho des résultats C’est toujours une bonne chose de pouvoir se présenter aux clients et au public sous un jour flatteur.

Le journal spécialisé «Produktion» se fait lui aussi l’écho des Awards et s’en sert dans une campagne publicitaire

Infel Corporate Media (Suisse) fait état de ses Gold- et Silver-Awards remportés pour des magazines spécialisés et media d’entreprise

Le site Internet Markedsføring (Danemark) relate les distinctions obtenues par l’agence PS Communication à l’ICMA.

La Motovun Group Association est un groupement mondial d’éditeurs spécialisés dans le livre d’art. Lors du 5e ICMA, trois récompenses ont été décrochées par des maisons d’édition affiliées.

Page 7: 6. ICMA appel de propositions

L’ICMA, instrument de marketing pour les lauréats 7

Pourquoi convient-il à vrai dire de participer à un concours de design?Le périodique Page répond à cette question en citant un designer:«Depuis quelques années, nous sommes d’accord sur un point: il n’y a pas de publicité meilleur marché que cette onéreuse participation aux concours de design. Quelles sommes supplémentaires ne devrions-nous pas dépenser sans cette démarche simple pour nous faire connaître! Et qu’y a-t-il de plus agréable que d’être reconnu par ses collègues?»

Au Danemark, l’agence Marektsquare évoque le prix remportés dans la catégorie Design corporate.

SPH Magazines, à Singapour, fait état des prix que sa maison d’édition a remportés au titre de différentes publications.33

Chronik

as Schlechteste an Wettbe-werben sei der Vergleich mit anderen, sagt der japanische

Cellist Tsuyoshi Tsutsumi (nachzulesen in dieser Ausgabe). Das Beste aber: der Kick, für sich selbst das Optimum zu suchen, der Ansporn, selbst so gut wie möglich zu sein. Die „Musikfreunde“ sehen es genauso. Sie stellen sich gern dem Wettbewerb und scheuen keinen Jury-Richterspruch – aber entscheidend ist der eigene Anspruch. Und der zielt stets aufs Bestmögliche.

Besonders schön natürlich, wenn dann eins zum anderen passt: die Ambition von innen, der Blick von außen. So war es 2014 wieder beim fünften International Corporate Media Award. Eine hochkarätige Jury tagte in einem ehemaligen Kloster in Düsseldorf, um 364 Einreichungen aus 17 Ländern zu begutachten. Einmal mehr wurde das Magazin des Musikvereins als preiswürdig befunden. Es erhielt einen Award of Excellence. Speziell ausgezeichnet: das Cover der März-Ausgabe 2014 (Foto: Monika Rittershaus, Berlin / Layout: Thomas Apel, Wien).

Seit der Gründung des International Corporate Media Award 2010 beteiligen sich die „Musikfreunde“ jährlich an diesem Wettbewerb – und jedes Mal mit Erfolg. Es gab Awards of Excellence in unter-schiedlichen Kategorien wie Layout, Bildsprache, Titelseite. Blickt man noch weiter zurück, so durften sich die „Musikfreunde“ seit 2005 auch über Auszeichnungen beim Best-of-Corporate-Publishing-Wettbewerb und beim Österreichi-schen Zeitschriftenpreis freuen.

Mehr als ein Dutzend Urkunden hängen inzwischen in den Redaktionsräumen. Sie sind ein schöner Wandschmuck. Vor allem aber: eine Einladung, so gut wie möglich zu sein.

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Award of ExcellenceHiermit erhält das Magazin

Musikfreundeden icma Award of Excellence

für vorbildliches Konzept und Design in der Kategorie

Fotografi eAm fün� en icma – International Corporate Media Award – haben sich 364 Publikationen

aus 17 Ländern beteiligt. Der Wettbewerb wurde 2010 gegründet und wird vom International Editorial-Design and Research Forum veranstaltet.

Der Wettbewerb hat das Ziel, den Informationsaustausch über Corporate Medien, Corporate Design, Bücher und Zeitschri� en auf internationaler Ebene zu fördern.

In insgesamt 22 Kategorien wurden Preise vergeben:

Mitarbeiter-Medien, Imagebroschüren, Annual Reports, Bücher, Firmen-Logos, Geschä� s-Ausstattungen, Zeitschri� en, Kundenzeitschri� en B2B, Kundenzeitschri� en B2C, Fachzeitschri� en, Titelseite,

Cover und Coverstory, Typografi e, Fotografi e, Foto-Reportage, Visual Storytelling, Visualisierung, Alternative Storytelling, Infografi k, Illustration, Online und Crossmedia, iPad Apps.

Eberhard WolfProfessor für visuelle Kommunikation AMD

München

Michael AdamsRedaktionsleiter und Art Director

Beobachter Natur, Zürich

Blasius ThätterCreative Director, Roland Berger Strategy Consultants

München

Reinhard SorgerCreative Director, Publicis

Erlangen

Birgit LeifhelmDiplom Designerin, Editorial Design

Coop Presse, Basel

Meike QuentinGeschä� sführende Gesellscha� erin

Das Amt, Kiel

Carolin AnselmannChefredakteurin Vodafone update

Düsseldorf

Katharina MeiselHead of Branding & Publishing

Metro Group

Christian BaunLogodesign.dk

Dänemark

Katharina Reitanvideo. blogging. wording. training.

Wien

Irgendwie himmlischSimon Rattle und die Berliner Philharmoniker

GESELLSCHAFTDER MUSIKFREUNDE IN WIEN

MÄRZ 2014

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iebe, so gab es einmal Stendhal im gleich-

namigen Essayband zu Protokoll, Liebe

beginnt mit Verwunderung. Und genau

das waren sie wohl auch beide, verwundert nämlich,

als sie sich das erste Mal trafen: hier eines der besten

Orchester der Welt, das sich gerade anschickte, die

eherne Prägung durch Herbert von Karajan abzu-

schütteln (was, solange der störrisch-geniale Titan

noch auf Erden weilte, ein nicht eben leichtes Un-

terfangen war); dort ein noch recht jugendlich an-

mutender, gleichwohl sehr selbstbewusster, mit viel

Fantasie gesegneter Wuschelkopf aus Liverpool,

seit sieben Jahren Chefdirigent des City of Birming-

ham Symphony Orchestra – und als solcher trotz

seiner gerade einmal 32 Jahre international längst

anerkannt. Dass die Partner künstlerisch harmonie-

ren würden, nun, daran wollte angesichts des sicht-

bar vorhandenen Talents auf beiden Seiten ernstlich

niemand zweifeln. Dass dieses erste Aufeinander-

treffen aber sogleich als der Beginn einer wunder-

baren Freundschaft in die Annalen eingehen würde,

befördert durch eine überaus komplexe Mahler-

Symphonie – nein, damit hatte ganz gewiss keiner

der Beteiligten gerechnet.

Angetan vom jungen WildenUnd so beginnt sie, die Geschichte von Simon Rattle

und den Berliner Philharmonikern: an einem trüben

Berliner Novembernieselregenwettertag des Jahres

1987 und mit einer aufwühlenden Sechsten von

Gustav Mahler. Es habe ihm, so erinnerte sich Sir

Simon später, geradezu die Sprache verschlagen an-

gesichts des Niveaus, über das nicht nur der Orches-

terapparat, sondern auch die einzelnen Stimmen

verfügten. Und anscheinend waren auch die Musi-

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Irgendwie himmlischSimon Rattle und die Berliner Philharmoniker

Seit 2002 steht Sir Simon Rattle

an der Spitze der Berliner

Philharmoniker. Bis 2018 wird er

bleiben – ein unkonventioneller

Chef an einem der prominen-

testen, sensibelsten Plätze der

Musikwelt.

Foto: Thomas Rabsch

ker, obschon die Proben nicht gänzlich ohne Reibe-

reien abliefen (der Geist Karajans wandelte, selbst

wenn der Maestro assoluto nicht anwesend war, wie

ein langer Schatten durch Scharouns Prachtbau),

über die Maßen angetan vom jungen Wilden aus

Großbritannien. Sie luden Rattle wieder und wieder

ein – und kürten ihn dann 15 Jahre später, als Nach-

folger des Magiers Claudio Abbado, zum Chefdiri-

genten der Berliner Philharmoniker.

Berlins Klang und ein englischer Rasen

Jedem Anfang wohnt ein Zauber inne. Doch da-

nach? Mehr als ein Jahrzehnt dauert nun die künst-

lerische Ehe zwischen Rattle und den „Philis“, wie

das Orchester von Eingeweihten liebevoll genannt

wird, und man geht nicht zu weit, wenn man sagt,

dass es, trotz aller Reibereien, eine stetig gewachse-

ne, letztlich stabile Beziehung ist. Simon Rattle hat

das Orchester noch einmal verjüngt, und er hat vor

allem eine Dynamisierung des Klangs erreicht, die

standhält mit den rasanten Veränderungen der Welt.

Vom Pathos Karajans hört man in den Konzerten

mit dem Briten kaum mehr etwas, an seine Stelle ist

eine überaus variable und technisch unanfechtbare

Musizierhaltung getreten; man könnte sie als eine Art

postmoderne Erkenntnis-Interpretationsidee bezeich-

nen. Dennoch: Der Alte ist nicht vergessen – auch

deswegen nicht, weil er einmal einen wundervollen

Satz über den Orchesterklang geprägt hat. Karajan

verglich diesen Klang mit einem englischen Rasen,

der noch nicht den letzten Schliff habe, wenn man

ihn erwerbe; man müsse ihn einmal in der Woche

mähen und viele Jahre zweimal am Tag sprengen.

Das, so betonte Rattle in einem Interview zu Beginn

seiner Tätigkeit als Chefdirigent der Philharmoni-

ker, treffe absolut zu. „Und die Tatsache, dass ich

am Rand des Rasens Blumen in anderen Farben ha-

ben will, bedeutet nicht, dass sich damit das Grund-

konzept des Gartens ändert. Es schafft lediglich die

Möglichkeit, dieselben Dinge flexibler zu gestalten

und mehr andere Dinge zu tun. Die Prinzipien die-

ses Orchesters, das einen sehr, sehr ausgeprägten

Stil hatte, an den jeder Komponist angepasst wer-

den musste, verändern sich in Richtung der Er-

kenntnis, dass die verschiedenen Komponisten un-

terschiedlich gespielt werden müssen, und das ist ein

großer psychologischer Schritt.“

Vielseitig und flexibelDaran ist bis heute vieles unverändert wahr. Denn

zwischen den Zeilen konnte man schon damals die

programmatische und klangliche Absicht erkennen.

Simon Rattle unternahm nicht den (fragwürdigen)

Versuch, alles über den Haufen zu werfen, was seine

Vorgänger dem Orchester eingeschrieben hatten,

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Foto: Monika Rittershaus

Das erste MalVerliebtheit kennt kein Alter. Aber jeder weiß: Es gibt ein Alter, in dem sie einschlägt ins Leben, um nachzuwirken für immer. Das erste Mal – in seiner Qual und seinem Zauber. Wann trifft es einen? Mit 14 vielleicht: in dem Alter, in dem Ildikó Raimondi zu singen begann. Oder mit 15, 16 … Vielleicht ist es die Zeit, in der am meisten bewegt wird im Leben. Genau da setzt Ildikó Raimondi nun auch an, wenn sie im März einen Lied-Workshop für Jugendliche anbietet. Das Projekt ist völlig neu in dieser Art: ein Novum, das so recht zum Profil der Vier Neuen Säle und zu den Jugendaktivitäten im Musikverein passt. „Liedgesang“ in Kursen – das ist normalerweise eine Feinschliffdisziplin von Masterclasses. Ausgebildete Sänger treten da an, um ihre ariengestählten Stimmen wieder geschmeidig zu machen fürs sublime Gewebe des Lieds. Ildikó Raimondi hat auch solche Meister-klassen schon gegeben und macht sie gern – 2014 etwa bei der Internationalen Sommerakademie in Salzburg. Hier aber, im Musikverein, geht es um ganz Anderes: 14, 15, 16 Jahre alt sind die Teilnehmer dieses Kur-ses, und sie sind allesamt noch Schüler mit ersten, noch zarten Erfahrungen im Gesang. Im Gläsernen Saal arbeiten sie an zwei Tagen vor Publikum mit Ildikó Raimondi zusammen, dann gibt’s, am Abend des 16. März, ein kleines Abschlusskonzert.

Sängerwissen und der Grund des SingensNatürlich geht es auch in diesem Workshop um sän-gerisches Wissen. Man kann nicht früh genug damit anfangen, sich kundig und vertraut zu machen: mit Sprachen und der Sprache, mit Textverständnis und Interpretation, mit Phrasierung, Atemführung und Vokalausgleich. Oder auch: Wie tritt man auf? Wie steht man da? Wie schaut man drein, wenn der letz-te Ton gesungen ist? All das will bedacht und ge-lehrt sein, und niemand wüsste besser als Ildikó Rai-mondi, die Kammersängerin, wie viel Wissen zum Singen gehört. Aber einmal mehr – und hier ganz besonders – geht’s um den Tiefengrund dahinter. Was wäre all das Wissen wert, wenn die Liebe fehlt und, ja, das Verliebtsein?

Wer Lieder singt, braucht Mut zum Inneren. Der muss beherzt sein, von seinem Herzen singen zu wollen. Ein Pflichtprogramm gibt’s deshalb nicht bei Ildikó Raimondi. Die Jugendlichen dürfen sich ihre Lieder selbst aussuchen. „Fast alle“, erzählt sie, „haben sich für traurige, melancholische, tiefsinnige entschieden.“ Wirklich überraschend ist das nicht. Denn auch wenn die Partys steigen in diesem Alter – „mit 14, 15, 16 kommt die Zeit, wo man plötzlich merkt, dass man allein ist auf der Welt. Man ist al-lein – und sucht die Zwillingsseele.“

Wie ein Espresso„Sag, Bächlein, liebt sie mich?“ Wenn die Antwort auf Facebook ausbleibt und kein SMS mehr kommt, was bleibt dann? Welche Worte helfen einem? Die großen Dichter haben nicht umsonst geschrieben. Es sind die Texte, die den jungen Sängern aus der Seele sprechen. „Die Sprache eines Gedichts, die sagt ihnen etwas“, freut sich Ildikó Raimondi – und plädiert leidenschaftlich für Lyrik, nicht nur als Leseerlebnis. „Wenn man versucht, ein Gedicht zu schreiben, dann hat das eine irre Kraft. Es sind nicht dreihundert Seiten, auf denen man seine Gefühle tausendfach umkreisen, beschreiben und wieder re-lativieren kann. Die Kraft eines Gedichts liegt in der Konzentration. Das ist wie ein Espresso.“

Hingabe ohne SelbstverlustWer verliebt ist, will sich verschenken. Die reif ge-wordene Liebe aber weiß, dass man sich dabei nicht verlieren darf. Das ist denn auch die Gratwande-rung des Künstlerseins. Ildikó Raimondi lebt ihre Kunst mit jeder Faser ihres Wesens. „Ohne totale Hingabe geht es nicht. Aber: Man darf sich nicht aufgeben dabei.“ Das heißt: Selbst wenn die Kunst das Leben ist, muss es ein Leben geben – ein ganz normales, ganz alltägliches –, aus dem dann wieder auch die Kunst sich speist. Nur so kann man eine Bühnenfigur „mit Leben füllen“.

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Samstag, 15. März 2014 Sonntag, 16. März 2014

Ildikó RaimondiWorkshop für Jugendliche –

Liedgesang

Margit FussiKlavier

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Ildikó Raimondi spricht davon und macht es im Ge-spräch schon zum Erlebnis. Von Marzelline ist da die Rede, die sie erst jetzt wieder gesungen hat. Vor zwanzig Jahren schon stand sie in dieser Partie auf der Staatsopernbühne, nun schlüpfte sie erneut in die Rolle – erstmals in direkter Zusammenarbeit mit Regie-Altmeister Otto Schenk. Worum ging es bei der Auffrischung des Wiener Opern-Klassikers? Um „Natürlichkeit, Ungeschminktheit, Lebens-nähe“. Raimondi war begeistert. Nach vielen Jahren auf der Bühne weiß sie, dass sogenannte „gewagte Inszenierungen“ ihre Reize oftmals oberflächlich vergeuden. Der wahre Reiz liegt im Gang nach in-nen. So wie bei Schenks „Fidelio“. „Dann“, sagt sie, „spielt man auch sehr mutig.“

Mut zum MutIm Mai singt, spielt, lebt sie erstmals die Arabella auf der Bühne – in einer Festspielproduktion der Ungarischen Nationaloper Budapest. Wie schön das werden wird, spürt man schon jetzt, so innig wie Ildikó Raimondi von dieser Rolle spricht. „Ganz ohne Willen dreht sich dann mein Herz …“ Was für ein Text und welche Musik! Raimondi ist hingeris-sen von den beiden, die das geschaffen haben, Hof-mannsthal und Strauss. „Ich habe den Klavieraus-zug in der Hand, lerne die Rolle – und dann kom-men so unglaublich schöne Sätze, geschrieben von zwei reiferen Herren im vorigen Jahrhundert. Wie tief die beiden doch die Frauenseele kennen!“Im März aber geht es erst einmal um Liedgesang als musikalisches Lebenselixier. Rund ein Dutzend junge Sängerinnen und Sänger erproben es vor Pub-likum im Gläsernen Saal. Sie haben den Mut, sich singend zu öffnen, und werden aufs Feinste dabei ermutigt werden. Für Wiens Musikfreunde aber verknüpft sich eine Einladung damit: Machen Sie aus Ihrer Musikliebe wieder echte Verliebtheit! Es lohnt sich.

Joachim Reiber

Beim fünften International Corporate Media Award

wurden die „Musikfreunde“ wieder mit einem

Award of Excellence ausgezeichnet.

Michael AdamsRedaktionsleiter und Art Director

Beobachter Natur, Zürich

Blasius Thätterd Berger Strategy Consultants

München

gDiplom Design

Coop

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In einem Workshop macht Ildikó Raimondi jungen Leuten Mut. Mut zum Singen. Mut zum Lied. Mut zum Verliebtsein.

Die Emotion dahinterSeit ihrem 14. Lebensjahr singt sie. Seit dieser Zeit, so beschreibt sie es, „bin ich in einem dauernden Verliebtheitszustand, weil ich in die Musik, mit der ich mich beschäftige, verliebt bin“. Sehr frei nach Hofmannsthal und Strauss: Doch in dem „ver“, da liegt der ganz Unterschied … Wer liebt, kann reser-viert bleiben. Wer verliebt ist, hat keine Wahl. Herz, Seele, Sinne stehen ihm offen.

Muss man der Musikstadt Wien noch Beweise dafür geben, was solche Offenheit bei Ildikó Raimondi heißt? Seit 1991 ist sie Mitglied der Staatsoper, an der sie nicht weniger als fünfzig Partien gesungen hat – mehr, steht zu vermuten, als alle anderen Kol-leginnen und Kollegen im Ensemble. Im Musikver-ein debütierte sie vor genau zwanzig Jahren, im Frühjahr 1994, in Schuberts As-Dur-Messe. Und wie viel kam auch hier hinzu! Liederabende und Konzertauftritte mit einem Repertoire, das seines-gleichen sucht. Funkelnd denn auch das Spektrum, mit dem sich Raimondi Anfang 2014 im Musikver-ein präsentiert. Mit den Philharmonia Schrammeln singt sie im Februar Wienerlieder, im April folgen Honeggers „König David“ im Großen Musikver-einssaal und im Brahms-Saal Mahlers „Vierte“ in einer Kammerorchesterfassung, dazu ein neues Werk von Helmut Schmidinger, das sie 2011 zur Ur-aufführung gebracht hat. Vielseitigkeit, stupende Musikalität und stilistische Flexibilität – das sind die Begriffe, die man gewöhnlich für ein so außerge-wöhnliches Phänomen verwendet. Sie passen, selbstverständlich. Aber sie treffen nicht die Emo-tion dahinter. Und die steckt im Bekenntnis: „Ich bin verliebt in die Musik“.

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Mut zumVerliebtseinIldikó Raimondi

iebe – aber ja doch. Wer spricht nicht gern von Liebe, erst recht, wenn ein Liebesbe-kenntnis so unverfänglich ist wie bei ihr: der Musik. Ich liebe, du liebst, er/sie/es liebt: die Musik. Bei so viel leichtgängiger Beugung fällt gar nicht groß auf, dass so manche Erklärung ein dürres Lippenbekenntnis sein kann. Man setzt nicht viel aufs Spiel, wenn man sagt: Ich liebe die Musik. Schön – und doch auch harmlos unverbindlich. Es ist, was das angeht, leicht reden von der Liebe.Wie anders aber klingt es, wenn noch eine Silbe da-zukommt. Plötzlich ist das Herz da in seiner Ver-letzlichkeit, auf einmal geht es um ein Seelenglück, das nur zu haben ist, wenn man sich preisgibt. Ildikó Raimondi setzt die Silbe dazu, diese eine kleine. „Ich bin“, sagt sie, „verliebt in die Musik.“

L

Beflügelnder WandschmuckEine neue Urkunde in der „Musikfreunde“-Redaktion

Dans son édition imprimée, la rédaction de «Musikfreund» relate sur une page entière les Prix d’Excellence remportés par ce périodique.

Page 8: 6. ICMA appel de propositions

L’ICMA, instrument de marketing pour les lauréats 8

À égalité de droits: les travaux étudiantsLes travaux étudiants jouissent d’une égalité de droits vis-à-vis des travaux des grandes agences de publicité ou des éditeurs de périodiques. Des publications de grandes écoles elles aussi ont déjà été récompensées plusieurs fois à l’ICMA.

Les étudiants de l’Académie d’études publicitaires et de design d’Innsbruck se réjouissent de la distinction reçue par leur périodique «shortcut».

Synsation Brand Design en Australie se fait l’écho des distinctions moissonnées pour la visual identity de la Faculté des arts et sciences sociales rattachée à l’Université d’Australie du Sud (UNSW).

L’École d’architecture et d’architecture intérieure de Detmold évoque le prix qu’à reçu son magazine «52 Grad».

De son côté la Faculté des arts décoratifs rattachée à la grande-école d’Augsburg a remporté un Gold-Award dans la catégorie Périodiques clients B2C. Ce périodique est réalisé par des étudiants.

Page 9: 6. ICMA appel de propositions

Récompenses · Période de déroulement du concours · Clôture des envois 9

Distinctions:

Principaux prix: Gold, Silver et BronzeLe jury statue sur l’octroi des distinctions Gold, Silver et Bronze. Dans des cas rares, il décerne aussi des «Judges’ Special Recognitions». Par leur importance, ces prix se situent entre le Bronze Award et les Prix d’excellence.

Performance individuelle hors pair Prix d’excellenceOutre les prix principaux, il existe aussi des «Prix d’Excellence» récompensant des prestations individuelles hors pair. Ces distinctions figurent tout autant sur la liste des gagnants que les prix principaux.

Période de déroulement du concours:n Il est possible de déposer les travaux réalisés entre le 1er septembre 2014

et le 30 septembre 2015.

Date de clôture des envois: 1er octobre 2015n Veuillez remplir entièrement le formulaire de participation et lui

joindre votre envoi.n Il est prévu un formulaire par travail déposé. Il est possible d’indiquer

des détails dans le formulaire. Le formulaire se trouve à la fin de cette brochure et sur www.creative-media-award.com

n Veuillez envoyer les travaux tous ensemble et bien emballés à l’adresse suivante:

ICMA, z.Hd. Norbert Küpper, Gutenbergstr. 4, 40670 Meerbusch, Deutschland

Délai de grâce: Jusqu’au 15 octobre 2015n Il demeure possible de déposer des travaux supplémentaires jusqu’au

15 octobre 2015. Ces travaux doivent nous être parvenus jusqu’au 15 octobre à midi.

n Échéances suivantes: 20 novembre: Publication des noms des gagnants. La liste des gagnants sera publiée le 20 novembre (date prévisionnelle) sur

le site Internet www.creative-media-award.com. Si aucune liste n’est visible, veuillez recharger le site Internet dans votre navigateur.

Décembre: Information par courriel. En décembre, tous les participants seront informés par courriel du résultat

obtenu.

Janvier: Envoi des certificats d’attribution des prix. Les certificats d’attribution de prix seront envoyés fin janvier par courriel.

Eberhard WolfProfessor Visual Communication, AMD Munich

Michael AdamsEditor in Chief and Art Director, Beobachter Natur, Zürich

Blasius ThätterCreative Director, Roland Berger Strategy Consultants Munich

Reinhard SorgerCreative Director, Publicis

ErlangenBirgit Leifhelm

Designer Editorial Design, Coop Presse, Basel

Meike QuentinGeneral Manager Das Amt,

Kiel

Carolin AnselmannEditor-in-Chief, Vodafone updateDüsseldorf Katharina Meisel, Head of Branding & Publishing, Metro Group,Germany

Christian BaunLogodesign.dk,

DenmarkKatharina Reitan, Journalistvideo. blogging. wording. training.

Vienna

— HYVINVOINNIN TALOUSLEHTI — 1/2014

TILASTO — 29

28 — ASIANTUNTIJA 1/2014 — HYVINVOINNIN TALOUSLEHTI —

YHDESSÄ OLEMME ENEMMÄN

Fyysisen ja psyykkisen tauon lisäksi lounastauolla on sosiaalinen puoli: se että tapaa työkavereita myös epämuodolli-semmassa tilanteessa. Tällä on merkitystä yleisen virkistymisen ja hyvinvoinnin kannalta. ”Toivoisin, että ihmiset ymmärtäisivät ja tiedostaisivat lounaan merkityksen – ja toisaalta, että työnantajat ymmärtäisivät sen, että kun työntekijöille tarjoaa hyvän mahdollisuuden syödä, sillä on oikeasti vaikutusta tulokseen asti.”

LOUNAAN SUORANAISTA vaikutusta vireysti-laan on vaikeampi tutkia, sillä kyseessä on yksilöllinen asia. ”Toisaalta, se on itsestään selvä asia. Ihminen nyt joka tapauksessa tarvitsee päivän mittaan sekä lepoa että ravintoa”, Raulio hymähtää.

K urkistetaanpa tutki-muslöydöksiin. Jos aloi-tetaan perusasioista, henkilöstöravintoloiden käyttömäärä Suomessa on pysynyt vuosien ku-luessa hyvin vakaana. ”Haluan aina nostaa esille sen, vaikka henkilöstöravintolan käyttö on Suomessa on todella yleistä, kaikilla ei ole siihen mahdollisuutta. Keskimäärin 40–50 pro-senttia työssäkäyvistä ihmisistä syö henki-löstöravintolassa”, Raulio sanoo vilkaisten papereitaan.

Kiinnostava löydös on sekin, että ihmisten, jotka syövät henkilöstöravinto-lassa lounaan, ruokavalio on keskimäärin

parempi kuin niiden, jotka eivät henkilös-töravintolaa käytä. ”Tutkimus osoittaa, että myös kasvisten käyttö on korkeammalla tasolla varsinkin miehillä, joilla siinä on eniten parantami-sen varaa”, tutkija kertoo.

Siihen, miksi Raulio itse päätyi tutkimaan ravitse-musta, ei ole yhtä syytä. Ruoka ja terveys ja elintavat yleisesti kiinnostivat häntä, niinpä hän meni opiske-lemaan lukion jälkeen ravitsemustiedettä Viikkiin. Seuraavaksi hän teki valtionhallinnon harjoittelun, gradun ja myöhemmin tuntitöitä vanhassa Kansanterveyslaitoksessa. Ennen nykyistä tehtäväänsä Terveyden ja hyvinvoinnin laitoksella hän työskenteli muutaman vuoden Elintarvikevirastossa.

”Kiinnostavinta ja haastavinta on se, että kun kaikki ihmiset syövät, kaikilla on siihen myös mielipide. Kauhean monella alalta ei käydä niin laajaa keskustelua julkisuudessa, somessa ja oikeastaan missä vain”, Raulio sanoo.

Tutkimuksen painopiste on hänen mie-lestään mennyt yhä enemmän yksittäisestä kokonaisuuteen. Yksittäisten ravintoainei-den sijaan katsotaan enemmän kokonai-suutta. ”Tämä näkyy uusissa ravitsemussuo-situksissakin ja on mielestäni hyvä asia. Kokonaiskuvan näkeminen on tärkeää. Kokonaisuuttahan ihmiset syövät, eivätkä yksittäisiä ravintoaineita. ”

R uokaan ja ravitsemuk-seen liittyviä trendejä on ollut aina, ja niistä kirjoitetaan tasaisin vä-liajoin. Tiedon leviämis-tä leimaa somen myötä hektisyys. Lounasruo-kailuun liittyvä keskustelu on esimerkki.”Se alkoi artikkelista, jossa pohdittiin lounaan kokoa. Ja jos Jenkeissä esimerkik-si joku näyttelijätär rupeaa noudattamaan jotain dieettiä, se on täällä saman tien tiedossa ja sitten se leviää.”

TRENDIT VAIHTELEVAT, mutta Raulio muistuttaa perusasioista: ravitsemuksen perusteet eivät muutu juurikaan. Koko-naisuuden rinnalle tutkija nostaa esille yksilöllisyyden. ”Oikeanlainen ruokavalio on mahdol-lista koostaa monella tavalla. Jo uudesta ravintokolmiosta näkee, että on lukuisia mahdollisuuksia koostaa se siten, mikä itselle sopii. Jos joku ruoka-aine ei sovi, sen voi jättää pois ja korvata toisella. Keskiössä on yksilöllisyys: kenellekään ei yritetä pakkosyöttää tietynlaista mallia.”

T yöelämä on murrokses-sa, mutta Raulio uskoo lounasruokailun ja hen-kilöstöruokailun olevan instituutiona pysyvä. Se saa varmasti myös uusia muotoja

Tutkija ottaa esille myös joukkoruo-kailun laajemminkin sisällään pitämän potentiaalin. Sitä ei ole hänen mielestään ymmärretty ja hyödynnetty Suomessa aivan täysin kaikilla tahoilla. Joukkoruo-kailu on täällä jo päiväkodista ja koulusta lähtien niin itsestäänselvyys, että sen vaikutukset kansanterveyteen ja hyvin-vointiin jäävät helposti tiedostamatta. ”Esimerkiksi Tanskassa henkilöravin-tolan tarjoaminen on kilpailuvaltti ihmisiä rekrytoitaessa, mutta täällä sitä ei ole ihan ymmärretty. Kun ihminen hakee uuteen työpaikkaan, kysyykö hän, että onko täällä mahdollisuus syödä terveellinen ja maitta-va lounas?”, tutkija kysyy. Hän muistuttaa, että myös johdon esimerkki on tärkeä. ”Se on tärkeä esimerkiksi siinä mieles-sä, että jos buukataan kokouksia lounasai-kaan, lounastaukoa on vaikea noudattaa.”

Ihminen tarvitsee päivän mittaan sekä lepoa että

ravintoa.

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HYVÄÄTYÖN MERKITYKSELLISYYS

79%79 % koki työnsä merkitykselliseksi.

HYVÄÄPOTENTIAALI JA KEHITYSHALU

47%47 % oli sitä mieltä, että heidän potentiaaliaan ei hyödynnetä riittävästi. 70 % haluaa kehittyä

työssään. Käyttämätön-tä potentiaalia ja tahtoa on paljon!

KEHITETTÄVÄÄVUOROVAIKUTUS

64%64 % koki, että yksiköi-den välisessä yhteis-työssä on puutteita, ja puolet työntekijöistä oli sitä mieltä, että asiakkaita ei kuunnella tarpeeksi.

Smartum Oy tarjosi 100:lle PK-yritykselle maksuttoman tutkimuksen selvittämään työnte-kijöidensä mielipiteitä omasta hyvinvoinnistaan, johtamisesta, organisaa-tion vuorovaikutuksesta ja asiakaslähtöisyydestä.

Jokainen yritys sai analyysiavaimen, jonka perusteella he pystyivät analysoimaan mitä heidän pitää tehdä, jotta hyvinvointitulokset paranisivat.

5 X PARANNUSEHDOTUS 1) Jokainen kohtaaminen on mahdollisuus synnyttää toisille merkityksellisyyden kokemus2) Jokaisen vastuulla on arvostuksen, avoimuuden ja välittämisen kulttuurin rakentaminen

3) Otetaan vastuu omasta hyvinvoinnista ja onnellisuudesta4) Tervehditään ja autetaan kollegaa, pyytämättäkin5) Keskitytään toisten vahvuuksiin ja kohdellaan kaikkia tasapuolisesti

Award of ExcellenceWe hereby honour the Magazine

Smartumwith the icma Award of Excellencefor exemplary design and concept in the categoryAlternative Storytelling

364 publications par ti ci pa ted in the fi � h icma – International Creative Media Award. The competition has been founded in 2010 and is organized by the International Editorial-Design

and Research Forum, Germany. The competition aims to support the exchange of creative ideas at the international platform. Awards of Excellence are given in twentytwo categories:employees newspapers and employee magazines, image brochures, annual reports, books,

company logos, corporate design, magazines, customer magazines B2B, customer magazines B2C,trade magazines, cover and coverstory, typography, photography, photo-report, visual storytelling,

visualization, alternative storytelling, infographics, illustration, online and tablet apps.

Ce certificat d‘attribution au format DIN A3 mentionne respectivement la publication lauréate, dans quelle catégorie, et en bas figure la signature de chaque membre du jury.

Page 10: 6. ICMA appel de propositions

Exemple de dépôt:

n Catégories marquées en rouge: Le droit est perçu par publication. Publications plusieurs fois par an: deux numéros différents sont évalués. Le droit de participation s’élève au total à 150 euros pour deux numéros différents d’une publication.

n Périodiques n Collections de livres

n Livres corporate n Photographie

Dans cet exemple, le droit à acquitter est de 150 euros pour la catégorie rouge et de deux fois 75 euros pour les catégories Livres La participation aux catégories marquées en vert est déjà incluse dans le droit de 150 euros.

Remarques concernant les droits de participation 10

1974Deutschland bekommt ein Umweltbundesamt

1974Das Bundes-Immis-sions-schutzgesetz tritt in Kraft

1975Wasch- und Reini-gungsmittel werden umweltfreundlicher

1978Das Umweltzeichen „Blauer Engel“ wird eingeführt

1988Bleihaltiges Benzin wird verboten

1996Das Kreislaufwirt-schafts- und Abfall-gesetz tritt in Kraft 1974

UMPLIS – das Infor-mations- und Doku-men-tationssystem Umwelt des UBA startet

1978UBA warnt vor Klima-wandel

1983

1979Das UBA warnt vor Asbest

1984Umweltprobenbank nimmt ihre Arbeit auf

1980

1980Waldsterben: Deutschland bangt um seinen Wald

1974

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1985Die Abgassonderun-ter-suchung (ASU) wird Pflicht

2013UBA-Studie: Ein treibhausgasneutra-les Deutschland ist möglich

Die Großfeue-rungs-Anlagenver-ordnung tritt in Kraft

Unbenannt-1 1 30.09.14 18:27

150 € 75 €

1978

1984Umweltprobenbank nimmt ihre Arbeit auf

UBA-Studie: Ein treibhausgasneutra-les Deutschland ist möglich

75 € 0 €

Droits de participation:

Les droits de participation diffèrent un peu selon la catégorie: Évaluation de l’ensemble de la publication: 150 eurosn Dans les catégories marquées en rouge, le droit est perçu par publication.

Il est prévu d’évaluer deux numéros différents des publications imprimées paraissant plusieurs fois par an. De la sorte, le jury peut se faire une meilleure idée du potentiel créatif.

Le droit de participation s’élève donc au total à 150 euros pour deux numéros différents de la publication. Si d’autres numéros de la même publication sont envoyés, 150 euros supplémentaires sont perçus par numéro supplémentaire envoyée.

Catégorie Logos: 35 euros Dans la catégorie Logos, le droit est de 35 euros par logo.

Catégorie Livres: 75 euros Dans la catégorie Livres, le droit s’élève à 75 euros par livre.

Évaluation de parties d’une publication: incluse dans le prix de basen Dans les catégories marquées en vert, des parties supplémentaires des

publications sont évaluées, par exemple la page titre, l‘article en couverture, les photos, les illustrations, l‘infographie, etc. L’ensemble de la publication doit également avoir été présenté au concours.

La participation dans ces catégories est incluse dans le prix de base. Cela n’engendre pas d‘autres frais. Les certificats d’attribution sont réalisés

sous forme de fichiers PDF et communiqués par courriel aux lauréats. L’annuaire est réalisé au format PDF et proposé au prix de 35 euros. En conséquence, aucun droit n’est perçu au titre de frais d’impression.

Page 11: 6. ICMA appel de propositions

Participation au concours 11

2.

3.

4.

Le formulaire dûment rempli, afférent à chaque publication participante, doit toujours être joint. Il est également possible de le télécharger:www.creative-media-award.com

Il est possible de remplir le formulaire sur l’écran.

Formulaire de participation

Nous avons besoin d’informations sur votre publication. Merci de joindre ces informations à chacun de vos envois. Merci de rédiger les indications détaillées en allemand ou en anglais. Il est possible de le remplir directement sur l’écran et de l’imprimer.

Nom de la publication:Adresse du déposant:

Interlocuteur*

Nom:

E-Mail:Téléphone:

* Le jury souhaite parfois demander des précisions. C’est pour cette raison qu’il nous faut les coordonnées du déposant. Pour les agences: Les coordonnées des clients ne sont pas nécessaires. En outre: Nous communiquons toutes les informations sur le résultat du concours à l’interlocuteur respectif.

Indications détaillées, description du projet (si nécessaire):

Please fill in this form …

Please fill in this form …

n Demandez une facture à l’adresse suivante: [email protected]

n Pour pouvoir rédiger une facture, nous aurons besoin de connaître le nombre de dépôts et l’adresse exacte de votre entreprise. En cas de doute, veuillez demander l’adresse correcte à votre service comptabilité.

n Participants basés hors d’Allemagne mais dans l’Union Européenne: Nous aurons besoin du numéro de TVA intracommunautaire de votre entreprise car il doit obligatoirement figurer sur la facture.

1.

n Nous aurons besoin de la publication et d’un CD-Rom, DVD ou d’une clé USB contenant les fichiers PDF de la publication, avec les croix de repérage et sous forme de doubles pages d’une bonne définition. Ces pages seront nécessaires par ex. pour la publication des pages gagnantes dans des périodiques. La résolution écran ne suffit pas. Les CD devront comporter des mentions permettant d‘établir le lien avec la publication.

n Dans les catégories Design corporate, Logos, Design typographique, nous n’aurons besoin qu’exclusivement des PDF envoyés.

n Dans la catégorie Multimedia, Media en ligne et iPad, aucun fichier PDF n’est nécessaire.

n Après avoir demandé une facture, vous la recevrez normalement par courriel dans les 24 heures.

n Veuillez ensuite virer le montant dans les 14 jours sur le compte mentionné sur la facture.

Voici comment participer au concours:

n Veuillez envoyer tous vos travaux, bien emballés dans un paquet, à l’adresse suivante:

ICMA, c/o Norbert Küpper, Gutenbergstr. 4, 40670 Meerbusch, Germany

5.

Page 12: 6. ICMA appel de propositions

International Custom Media Award 12

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94. JahrgangErstausgabe 1919

Nr. 1 / 2014

Zeitung für die Mitarbeiter der Bosch-Gruppe Internationale Ausgabe Stuttgart, März 2014

Zwischen zwei WeltenHier Entwicklung, dort Flüchtlings-lager. Sabine Rösch zwischen zwei Welten. Mehr auf ▶ Seite 6

Ein Lauf wird zum RennerNashik Run in Indien: 21 000 Läufer sind an den Start gegangen. Weshalb sie das getan haben und welche Rolle Bosch spielt, lesen Sie auf ▶ Seite 5

MenschenRoyaler Rasenmäher: João Barufi von PT stellte Prinz Philip den Indego vor. ▶ Seite 6

UnternehmenMitarbeiterbefragung: Volkmar Denner und Christoph Kübel im Interview. ▶ Seite 24

StrategieProduktion unter Palmen oder wie Bosch in Thailand wachsen will.▶ Seite 28

Stadt

Immer mehr Megastädte

schießen in den Himmel. Mit

enormen Chancen für Bosch. Wir haben

uns in den Metropolen umgesehen. Und

Er staunliches entdeckt ... ▶ Seiten 8 bis 19

Zwischen zwei WeltenHier Entwicklung, dort Flüchtlings-lager. Sabine Rösch zwischen zwei

Les catégories du Corporate Media AwardPour vous aider au moment de choisir votre publication, les différentes catégories du concours ont été illustrées en prenant pour exemple des pages lauréates aux concours précédents.

1. Media d’entreprise.Veuillez nous envoyer deux numéros différents de votre publication

1. 1. Journaux d’entreprise

1. 2. Périodiques d’entreprise

Bosch-Zünder, KircherBurkhardt Berlin, D, Gold Award

Quantas News, AUS, Silver Award

Das MitarbeitermagazinAusgabe 1·2011

Das MitarbeitermagazinAusgabe 3 · 2011

Führen folgt Werten …hat­verloren.­Könnte­man­meinen,­ist­aber­nicht­gemeint.­Dieses­Schaubild­macht­die­Fülle­der­DW-Angebote­im­Web­2.0­und­deren­Verteilung­deutlich.­Quelle­sind­die­bei­der­Abteilung­Neue­Medien­registrierten­Seiten­und­Accounts­—­sowohl­von­den­Redaktionen­als­auch­von­weiteren­Bereichen,­zum­Beispiel­DW-AKADEMIE­(siehe­auch­Seite­19)­und­Unternehmenskommunikation.­Von­den­zahlreichen­DW-Blogs­haben­wir­hier­diejenigen­aufgenommen,­

die­inhaltlich­in­diesem­Jahr­gepfl­egt­wurden­und­werden.­Die­zu­den­Blättern­gehörenden­Links­fi­nden­Sie­in­einem­interaktiven­PDF­im­Intranet­unter­­Unternehmen­verstehen­›­Audio,­Video,­PDF.­The­BOBs­ist­bei­den­elf­BOBs-Wettbewerbssprachen­angegeben.­Wegen­der­großen­Datenmenge­und­der­Fluktuation­kann­es­vor-kommen,­dass­einzelne­Angebote­nicht­im­Schaubild­auftauchen.­Wir­bitten­um­Ihr­Verständnis.­

Die­Blogs,­die­zeitlich­begrenzt­waren­und­nicht­mehr­fortgeschrieben­werden,­sind­in­einer­Liste­im­Intranet­zu­fi­nden­unter­­Unternehmen­verstehen­›­Audio,­Video,­PDF.

WER NICHT BEI WEB 2.0 AUF DEM BAUM IST…

Spanisch

Deutsch

Amharisch

Albanisch

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Dari

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KroatischHindi

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PortugiesischBengali

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Kisuaheli

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Deutsche Welle 1716 ortszeit 02 · 2011 Ich bin dann mal Web

ortszeit, Deutsche Welle, D, Award of Excellence

Valores, erretres, ES, Bronze Award

Der Kunde hat die Wahl!Fokusthema: Multikanalbank

UNSER MITARBEITERMAGAZIN

AUSGABE 2 · 2014

COBA_2_2014_D_ARCHIV.indd 1 17.09.14 13:57

Im Privatkundengeschäft gibt es nichts geschenkt. Sinkende Margen, scheue Kunden und ein knallharter Wettbe-werb machen die Sparte für jede Bank

zur Herausforderung. Auch die Commerz-bank hat hier in den vergangenen Jahren zu kämpfen gehabt. Deshalb laufen umfang-reiche Reformen. Das Ziel: eine moderne Multikanalbank, die ihren Kunden alle Möglichkeiten bietet, um ihre Bankgeschäf-te zu erledigen wie, wo und wann immer sie wollen.

„Jede Bank, die im Privatkundenge-schäft erfolgreich sein will, muss ihr Ge-schäftsmodell radikal umbauen“, so Privat-kundenvorstand Martin Zielke. „Deshalb investieren wir bis 2016 eine Milliarde Euro in unser Geschäft.“ Neue Produkte und Steuerung, Modernisierung der Filia-len und digitalen Vertriebskanäle – das al-les bedeutet eine grundlegende Neuaus-richtung des Geschäftsmodells. Die sei auch nötig, sagt Zielke. „Wer nur an eini-gen Schrauben dreht, wird früher oder später vom Markt verschwinden.“

Die Welt hat sich verändert

Aber warum ist das eigentlich so? Wieso funktioniert ein Geschäft, das sich lange be-währt hatte, heute so nicht mehr? „Wir be-fi nden uns in einem beispiellosen Um-bruch“, sagt Zielke. Die Finanzbranche sei mit einem massiven Vertrauensverlust kon-frontiert. Das hat Folgen. „Früher, als viele von uns das Bankgeschäft gelernt haben, ist der Markt jedes Jahr um drei bis fünf Pro-zent gewachsen“, sagt Zielke. „Unter sol-chen Bedingungen ist der Druck, sich zu verändern, gering. Das ist angenehm, macht aber auch träge.“

Ein weiterer Faktor, der Banken zu-setzt, sind die niedrigen Zinsen. Als fi -nanzpolitisches Steuerungsinstrument im

Euroraum sind diese politisch gewollt. Die Kehrseite der Medaille: Die niedrigen Zin-sen schmälern die Renditemöglichkeiten, nicht nur die der Sparer, auch die der Fi-nanzinstitute.

Aber auch technisch hat die Welt sich verändert – und mit ihr das Kundenverhal-ten. Digitalisierung heißt das Stichwort. Ende 2013 nutzen fast die Hälfte der deut-schen Bankkunden Onlinebanking. Vor zehn Jahren taten dies nur rund ein Viertel, vor 20 Jahren, richtig, niemand. Tendenz: weiterhin steigend. Nach einer Studie der Beratungsfi rma Bain fi nden heute bereits 60 Prozent aller Bankgeschäfte im Internet statt. Zudem erledigen immer mehr Men-schen ihre Bankgeschäfte nicht nur am Computer, sondern auch von unterwegs auf dem Smartphone oder Tablet-PC. Mehr als ein Drittel der Befragten der Bain-Stu-die hat in den vergangenen drei Monaten mindestens einmal eine Zahlung mobil er-ledigt – eine Verdoppelung innerhalb ei-nes Jahres.

andere schließen filialen

Angesichts dieser Entwicklungen wundert es nicht, dass das Geschäft mit privaten Kunden sich massiv verändern muss. Das sehen derzeit viele Banken so. Interessant ist aber: Nicht alle ziehen die gleichen Schlüsse. Die Hypovereinsbank beispiels-weise hat angekündigt, einen großen Teil ihrer Filialen zu schließen. Und nur rund jedes fünfte Institut hierzulande investiere derzeit in mobile Lösungen für seine Privat-kunden, so eine Umfrage der Unterneh-mensberatung Ernst & Young. Deutlich weniger übrigens als der europäische Wett-bewerb.

„Einige Mitbewerber spielen uns da-mit regelrecht in die Karten“, sagt Zielke. Die Commerzbank habe sich nach der In-

Von: maurIce farrouh – Fotos: sabIne kress

11

Den Geschmack des Kunden treffen

COMMERZBANKER 2 · 2014

MULTIKANALBANK UNSER FOKUS

Fair und kompetent, vor Ort und digital – mit einem grund-legenden Umbau macht die Commerzbank ihr Privatkunden-geschäft fi t für die Zukunft. Das verlangt einen langen Atem

und enge Zusammenarbeit über Segmentgrenzen hinweg.

COBA_2_2014_D_ARCHIV.indd 10-11 17.09.14 13:57

Commerzbanker, Signum communication, D, Gold Award

AUSTRALIA IS LOCATED WITHIN THE FASTEST GROWING ECONOMIC ZONE IN THE WORLD

Capacity into Australia has grown by nearly 30 per cent in less than   ve years compared to the global average of   ve per cent.

But there are only 22 million consumers in Australia, where there are 600 million in South-East Asia and more than 2 billion in the Middle East.

If it is to grow and thrive the Qantas Group must capitalise on the opportunities Asia presents. Our strong brands and portfolio strategy position us strongly to represent the best of Australia in Asia.

We are choosing the world’s leadingairlines to help us take our customers totheir favourite places around the worldand to their key business destinations.

This is all about being the best premium airline for the diverse, modern era of Australian international business andleisure travel.

From April 2012, we will enhance our partnership with British Airways. Thiswill see the consolidation of our Qantas � ights to London through Singaporeon our A380s. And we will partner withBritish Airways to � y onwards from Bangkok and Hong Kong to London.We will also replace Buenos Aires with Santiago on our network, starting with three non-stop services per week.

Caribbean Sea

Gulf ofMexico

HudsonBay

Bering Sea

TasmanSea

South

China

Sea

Arabian Sea

CaspianSea

Mediterranean Sea

Black Sea

Norwegian Sea

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S O U T H E R N O C E A N

S O U T HPA C I F I C O C E A N

N O R T HPA C I F I C O C E A N

SOUTHAMERICA

NORTHAMERICAASIA

AFRICA

EUROPE

Barents Sea

AUSTRALIA

MANILA

DARWINCAIRNS

MELBOURNE

LOS ANGELES

HONOLULU

LONDON FRANKFURT

MUMBAI

SHANGHAI

HONG KONG

BANGKOK

SINGAPORE

JAKARTA

TOKYO

PERTHADELAIDE

NOUMEANADI

BRISBANE

SYDNEY AUCKLAND

CHRISTCHURCHQUEENSTOWN

WELLINGTON

JOHANNESBURG

SANTIAGO

DALLAS

NEW YORK

Building a stronger Qantas.

GATEWAYSTO THE WORLD.

BEST FOR GLOBAL TRAVELLERS.

BUILDING A STRONG VIABLE BUSINESS.To be successful, we need to create a strong and viable business and buildlong-term shareholder value.

The right � eet plan is fundamental.Over the coming decade, our � eet strategy will deliver a simpli  ed, highly � exible � eet of next generation aircraft capable of meeting our needs while driving down operating costs.

Phase one of the strategy includes deferral of the delivery of the   nal six Airbus A380s to FY19 and beyond.This will signi  cantly reduce the capital invested in the Qantas business.

We will continue the recon  guration program of B744 and A380 aircraft to improve the customer experience and yield.

We live in a world of more aviation choice than ever before for Australian travellers.

For Qantas to succeed, we need to keep investing in what delights our customers and brings them back to us.

We need to be the best airline forglobal travellers.

That’s why we are spending nearly $400 million on bene  ts for our Qantas International customers, including upgrading nine Boeing 747s with A380 product, improving our in� ight experience and establishing new lounges in Los Angeles, Singapore and Hong Kong.

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GROWING WITH ASIA.

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AUSTRALIA IS LOCATED WITHIN THE FASTEST GROWING ECONOMIC ZONE IN THE WORLD

Capacity into Australia has grown by nearly 30 per cent in less than   ve years compared to the global average of   ve per cent.

But there are only 22 million consumers in Australia, where there are 600 million in South-East Asia and more than 2 billion in the Middle East.

If it is to grow and thrive the Qantas Group must capitalise on the opportunities Asia presents. Our strong brands and portfolio strategy position us strongly to represent the best of Australia in Asia.

We are choosing the world’s leadingairlines to help us take our customers totheir favourite places around the worldand to their key business destinations.

This is all about being the best premium airline for the diverse, modern era of Australian international business andleisure travel.

From April 2012, we will enhance our partnership with British Airways. Thiswill see the consolidation of our Qantas � ights to London through Singaporeon our A380s. And we will partner withBritish Airways to � y onwards from Bangkok and Hong Kong to London.We will also replace Buenos Aires with Santiago on our network, starting with three non-stop services per week.

Caribbean Sea

Gulf ofMexico

HudsonBay

Bering Sea

TasmanSea

South

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Sea

Arabian Sea

CaspianSea

Mediterranean Sea

Black Sea

Norwegian Sea

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LONDON FRANKFURT

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PERTHADELAIDE

NOUMEANADI

BRISBANE

SYDNEY AUCKLAND

CHRISTCHURCHQUEENSTOWN

WELLINGTON

JOHANNESBURG

SANTIAGO

DALLAS

NEW YORK

Building a stronger Qantas.

GATEWAYSTO THE WORLD.

BEST FOR GLOBAL TRAVELLERS.

BUILDING A STRONG VIABLE BUSINESS.To be successful, we need to create a strong and viable business and buildlong-term shareholder value.

The right � eet plan is fundamental.Over the coming decade, our � eet strategy will deliver a simpli  ed, highly � exible � eet of next generation aircraft capable of meeting our needs while driving down operating costs.

Phase one of the strategy includes deferral of the delivery of the   nal six Airbus A380s to FY19 and beyond.This will signi  cantly reduce the capital invested in the Qantas business.

We will continue the recon  guration program of B744 and A380 aircraft to improve the customer experience and yield.

We live in a world of more aviation choice than ever before for Australian travellers.

For Qantas to succeed, we need to keep investing in what delights our customers and brings them back to us.

We need to be the best airline forglobal travellers.

That’s why we are spending nearly $400 million on bene  ts for our Qantas International customers, including upgrading nine Boeing 747s with A380 product, improving our in� ight experience and establishing new lounges in Los Angeles, Singapore and Hong Kong.

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GROWING WITH ASIA.

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AUSTRALIA IS LOCATED WITHIN THE FASTEST GROWING ECONOMIC ZONE IN THE WORLD

Capacity into Australia has grown by nearly 30 per cent in less than   ve years compared to the global average of   ve per cent.

But there are only 22 million consumers in Australia, where there are 600 million in South-East Asia and more than 2 billion in the Middle East.

If it is to grow and thrive the Qantas Group must capitalise on the opportunities Asia presents. Our strong brands and portfolio strategy position us strongly to represent the best of Australia in Asia.

We are choosing the world’s leadingairlines to help us take our customers totheir favourite places around the worldand to their key business destinations.

This is all about being the best premium airline for the diverse, modern era of Australian international business andleisure travel.

From April 2012, we will enhance our partnership with British Airways. Thiswill see the consolidation of our Qantas � ights to London through Singaporeon our A380s. And we will partner withBritish Airways to � y onwards from Bangkok and Hong Kong to London.We will also replace Buenos Aires with Santiago on our network, starting with three non-stop services per week.

Caribbean Sea

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SANTIAGO

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Building a stronger Qantas.

GATEWAYSTO THE WORLD.

BEST FOR GLOBAL TRAVELLERS.

BUILDING A STRONG VIABLE BUSINESS.To be successful, we need to create a strong and viable business and buildlong-term shareholder value.

The right � eet plan is fundamental.Over the coming decade, our � eet strategy will deliver a simpli  ed, highly � exible � eet of next generation aircraft capable of meeting our needs while driving down operating costs.

Phase one of the strategy includes deferral of the delivery of the   nal six Airbus A380s to FY19 and beyond.This will signi  cantly reduce the capital invested in the Qantas business.

We will continue the recon  guration program of B744 and A380 aircraft to improve the customer experience and yield.

We live in a world of more aviation choice than ever before for Australian travellers.

For Qantas to succeed, we need to keep investing in what delights our customers and brings them back to us.

We need to be the best airline forglobal travellers.

That’s why we are spending nearly $400 million on bene  ts for our Qantas International customers, including upgrading nine Boeing 747s with A380 product, improving our in� ight experience and establishing new lounges in Los Angeles, Singapore and Hong Kong.

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AUSTRALIA IS LOCATED WITHIN THE FASTEST GROWING ECONOMIC ZONE IN THE WORLD

Capacity into Australia has grown by nearly 30 per cent in less than   ve years compared to the global average of   ve per cent.

But there are only 22 million consumers in Australia, where there are 600 million in South-East Asia and more than 2 billion in the Middle East.

If it is to grow and thrive the Qantas Group must capitalise on the opportunities Asia presents. Our strong brands and portfolio strategy position us strongly to represent the best of Australia in Asia.

We are choosing the world’s leadingairlines to help us take our customers totheir favourite places around the worldand to their key business destinations.

This is all about being the best premium airline for the diverse, modern era of Australian international business andleisure travel.

From April 2012, we will enhance our partnership with British Airways. Thiswill see the consolidation of our Qantas � ights to London through Singaporeon our A380s. And we will partner withBritish Airways to � y onwards from Bangkok and Hong Kong to London.We will also replace Buenos Aires with Santiago on our network, starting with three non-stop services per week.

Caribbean Sea

Gulf ofMexico

HudsonBay

Bering Sea

TasmanSea

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Building a stronger Qantas.

GATEWAYSTO THE WORLD.

BEST FOR GLOBAL TRAVELLERS.

BUILDING A STRONG VIABLE BUSINESS.To be successful, we need to create a strong and viable business and buildlong-term shareholder value.

The right � eet plan is fundamental.Over the coming decade, our � eet strategy will deliver a simpli  ed, highly � exible � eet of next generation aircraft capable of meeting our needs while driving down operating costs.

Phase one of the strategy includes deferral of the delivery of the   nal six Airbus A380s to FY19 and beyond.This will signi  cantly reduce the capital invested in the Qantas business.

We will continue the recon  guration program of B744 and A380 aircraft to improve the customer experience and yield.

We live in a world of more aviation choice than ever before for Australian travellers.

For Qantas to succeed, we need to keep investing in what delights our customers and brings them back to us.

We need to be the best airline forglobal travellers.

That’s why we are spending nearly $400 million on bene  ts for our Qantas International customers, including upgrading nine Boeing 747s with A380 product, improving our in� ight experience and establishing new lounges in Los Angeles, Singapore and Hong Kong.

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GROWING WITH ASIA.

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n 1. Media d’entreprise.

Page 13: 6. ICMA appel de propositions

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2. Brochures de prestige.Cette catégorie porte sur des publications qui ne paraissent pas plusieurs fois par an.

[andereillustratie]

handleidingvoor werknemers

Je aan de spelregels van Pantar Amsterdam houden...

...moet dat?

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Integriteitlijktzovanzelfsprekend.Maarwathoudtdit

eigenlijkin?PantarAmsterdamheefteenaantalspel­

regelsvoorintegriteitopgesteld,dievoorallemede­

werkersgelden.Deregelszijndeleidraadvoorgewenst

gedragvoorallemedewerkers.Ofhetnuomdedirecteu­

ren,managers,consulenten,werkleidersofanderemede­

werkersgaat.Dezeregelswordengoedwerknemerschap

genoemd.DatwilzeggendatPantarAmsterdamverwacht

datallemedewerkers:

● inzetenmotivatietonenophetwerk

● resultaatgerichtzijn

● zichflexibelopstellen

● samenwerken

● geldenderegelsvandeafdelingenorganisatie

nakomen

● respecttonenvoorelkaar

PantarAmsterdamhechtergveelwaardeaandenaleving

vandezeregels.Daarommaakthetstandaardonderdeel

uitvanhetarbeidsvoorwaardengesprekvanallenieuwe

medewerkersofbijdekennismakingvannieuwkomers.

Wat is integriteit?

[andereillustratie]

Een bepaalde collega altijd negeren...

...mag dat?

ja nee soms

handleidung voor werknemers, NL, Award of Excellence

Connect and Inspire – Lucy Cornell, AUS, Award of Excellence, ConceptConnect and Inspire – Lucy Cornell, AUS, Award of Excellence, Concept

Theory: understand the Voice coach Approach Connect and Inspire

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Having an expressive voice is your birthright

The skills required to express yourself, connect and inspire are, in fact, natural to everyone.

The problem is that most adults have lost access to their natural, vocal expressivity.

Babies and toddlers are a good reminder of how expressive our voices can be; a full range connected to our emotional and intellectual needs. And, we were all babies once.

At around three years, we learn to ‘pull it together’, ‘be quiet’, ‘tone it down’, ‘big boys don’t cry’, ‘little girls speak sweetly’, ‘toughen up, princess’. Here is the birth of the civilized voice; a less authentic expression of you and shaped by psychological and emotional learnings that we adopt in order to survive within our society.

over time, these learned behaviours, that limit the freedom of your voice, compound. So the voice you inhabit as an adult in business finds it hard to express you inspirationally, emotionally and authentically. This will be discussed in more detail in the section called ‘your vocal rites of passage’.

To be expected to simply step up and inspire a client or, to connect to 300 delegates at a conference, is not immediately accessible to many. The good news is that it is a deeply embedded basic human instinct inside us all.

aaaaaaaa!How wonderful is the human voice! It is indeed the organ of the soul. The intellect of man sits enthroned, visibly, on his forehead and in his eye. And the heart of man is written on his countenance, but the soul reveals itself in the voice only.Henry Wadsworth Longfellow

Wer die Welt verstehen will, der muss sie bereisen. Oder erkennen, wo der Place to be ist.

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QATARS WIRTSCHAFT ENTWICKELT SICH IM

ZEITRAFFER. DABEI HAT DAS LAND EINE

JAHRHUNDERTEALTE TRADITION, DIE JÄHRLICH

AM NATIONAL DAY GEFEIERT WIRD

Willkommen im

16 Landlust 17

Casebook · fischerAppelt, fischerAppelt, D, Award of Excellence

Pure · Koinor, Hörger & Partner, D, Gold Award

NERO

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Markant und großzügig, dabeieinladend gemütlich – das istNERO. Das geradlinige De-sign mit seinen breiten Arm-lehnen betont den robusten Charakter. Eine leger-lockere Polsterung und der großzügig-voluminöse Sitz versprechen entspannte Stunden. Vertikale Nähte über Rückenlehne und Sitzfl äche strukturieren die Flächen und setzen starke handwerkliche Akzente – Ton in Ton oder mit Kontrastfaden.

Striking and generously dimen-sioned, and invitingly comfor-table at the same time – that is NERO. The linear design with its wide armrests highlights the robust character of the model. Casual, slack upholstery and the generously-dimensioned voluminous seat promise hours of relaxation. Vertical seams over the backrest and the seat surface structure the surfaces and provide hand-crafted accents – tone-on-tone or with contrasting thread.

PUREAUTHENTICLEATHERCOLLECTIONBY KOINOR

PURE ist die von Koinor gefertigte Polster-Kollektion, die sich ganz unserem edelsten Leder widmet. Es ist pure Üppigkeit in Volumen. Ein Leder, das angefasst werden will und das mit außergewöhnli-chem Haut-an-Haut-Gefühl Stärke zeigt. Ein echtes Highlight – lang-lebig, beständig, klassisch schön. Mit allen Spuren eines bewegten Rinderlebens. Es macht unsere Polstermöbel zu echten Persönlich-keiten. Fühlen Sie es selbst…

PURE is the Koinor upholsterycollection that is completelydedicated to our fi nest leather.It is pure opulence in its volume. Leather that just calls out to be touched and shows off with an extraordinary skin-on-skin feel.A real highlight – long-lasting, durable, classically beautiful. Showing all the signs of the cows’ eventful lives. It gives our uphol-stered furniture real personality. Feel it for yourself …

Lea� er 3–5 mm

n 2. Brochures de prestige.

2.1. Catalogues imprimés. Le périodique « Page », magazine du secteur créatif publié en Allemagne,

a présenté des catalogues imprimés très bien conçus. Pour cette raison, nous intégrons ce domaine dans le concours, comme sous-catégorie à part entière.

n En voici quelques exemples: http://page-online.de/kreation/inspirierende-printkataloge/

Page 14: 6. ICMA appel de propositions

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3. Rapports annuels et rapports sur la responsabilité sociale d’entreprise.Ces rapports sont un instrument capital car ils permettent aux entreprises de se présenter. Pour cette raison, leur conception est souvent très sophistiquée. Dans cette catégorie sont évalués le concept et le design.

Les media corporate peuvent également participer dans de nombreuses autres catégories

n Il convient de présenter les rapports annuels aussi dans la catégorie Finition de l’impression.

n Les journaux et périodiques d’entreprise peuvent certainement présenter des travaux remarquables par ex. dans les catégories Narration visuelle, Narration alternative et Photographie industrielle.

n Les livres d’entreprise participent dans la catégorie Livres.

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23

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neurochirurgie & neuroLogie neurochirurgie & neuroLogie

Parkinson-Patienten sind während des eingriffes wach. hat der chirurg den ge-wünschten zielpunkt erreicht, leitet er mit den test-elektroden die elektrische ak-tivität der dortigen nervenzellen ab. ganz bestimmte muster elektrischer erregung zeigen an, ob das gewünschte zielgebiet erreicht ist. zudem stimulieren die Ärzte mit verschiedenen stromstärken die nervenzellen im zielgebiet. so können sie wäh-rend der oP erkennen, ob die Parkinson-symptome – starrheit, zittern – nachlassen bzw. verschwinden. der Patient arbeitet bei den tests mit, um mögliche nebenwir-kungen zu vermeiden – zum beispiel Kribbeln oder sprechstörungen. nachdem der optimale ort im zielgebiet gefunden ist, führt der chirurg die eigentlichen, knapp 30 zentimeter langen und 1,3 millimeter dünnen stimulationselektroden mit ihren jeweilsvierKontaktstellenanderSpitzeein.Nur15ZentimeterderElektrodenver-laufen im gehirn, der rest unterhalb der schädeldecke.

es folgt der anschluss an den neurosti-mulator, der etwa zweimal so groß ist wie eine streichholzschachtel. der chi-rurg setzt in einem zweiten eingriff das

schrittmachergerät unter Vollnarkose unter das schlüsselbein ein und

schließt es über ein Verbin-dungskabel unter der haut

an die elektroden an. die reine oP-zeit beträgt

zweieinhalb bis drei-einhalb stunden.

die nachbetreuung der Patienten in ei-nem gut aufgestellten zentrum wie in großhadern ist mindestens so wichtig wie die operation selbst. die Patienten bleiben meist rund zwei Wochen in der Klinik, um die optimale einstellung der stimulation zu erreichen und die dosis der noch nötigen medikamente gegen Parkinson an die Wirkung der stimu-lation anzupassen. in den kommenden sechs bis zwölf monaten wird die stimu-lation feinreguliert. der schrittmacher hält, abhängig von den individuellen stimulationsparametern, drei bis fünf Jahre lang. inzwischen gibt es auch wie-deraufladbare Schrittmacher, die neunJahre lang halten.

samt dem stereotaktischen system er-folgt ein Kernspintomogramm, das hoch aufgelöst die anatomie des individuel-len Patienten-gehirns in einem dreidi-mensionalen bild darstellt. der rechner ermittelt anhand der bildinformationen und der daten des stereotaktischen Ko-ordinatensystems, wie die elektroden mit möglichst wenig risiken millimeter-genau durch hirnbereiche geschoben werden können, die keine elementaren Funktionen haben. und das alles, ohne blutgefäße zu verletzen. die daten des zielpunktes und des Verlaufswegs wer-den auf das stereotaktische system übertragen. es unterstützt den neuro-chirurgen, den zielpunkt für die stimula-tion sicher und haargenau anzusteuern.

um die elektroden der tiefen hirnsti-mulation präzise und möglichst gefahr-los durch das gehirn an den anvisierten Punkt zu schieben, nutzen neurochirur-gen die stereotaxie. das system besteht aus einem grundrahmen und einem sogenannten “zielbügel“. die Ärzte fixieren es direkt am Kopf des Pati-enten. mit seiner hilfe wird eine art Koordinatensystem des individuellen gehirns erzeugt. die in die soge-nannten „Lokalizer“ eingelassenen streben des stereotaxierahmens die-nen als bezugsgrößen im raum für den computer, der den anvisierten zielpunkt im gehirn und den Ver-laufsweg der elektroden plant.

die operation beginnt. bei Parkinson-Patienten bohrt der neurochirurg zwei kleine Löcher in den schädel und führt zunächstauf jederSeiteeinbisdreiTest­Elektrodenein.das gehirn erscheint einem Laien zwar als homogene masse. doch es gibt hoch funktionale bereiche mit dicht gepackten nervenzellen und -fasern und weniger funkti-onale bereiche. der chirurg befestigt die elektroden am zielgerät und schiebt entlang des exakt berechneten We-ges die elektroden voran, die mit ihrem stumpfen ende nervenzellen und -fasern verdrängen und auseinander-schieben, ohne sie zu schädigen. oder der Weg führt zwi-schen zwei Faserpaketen hindurch immer weiter in die tie-fe des gehirns.

stereotaxie

operationsbeginn

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stimulationseleKtroden4

neurostimulator nachbetreuung5 6

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35 cm

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25 cm

10 kg

Lifebox 1.0controller

herzchirurgie herzchirurgie

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hightechFürs herz

eine operation bewahrt viele Patienten mit herzerkrankungen vor dem tod. DiemoderneHerzchirurgiebietetheutemehrMöglichkeitenalsjemalszuvor.das setzt allerdings voraus, dass der zustand der betroffenen den transport

in ein herzchirurgisches zentrum zulässt. mit einer neuen mobilen Herz­Lungen­Maschineistdasjetztweitausöftermöglichalszuvor.

ein durchbruch!

die technik der mini-herz-Lungen-maschine erscheint nur in der grafik simpel: sie gilt als ein augenfälliges beispiel filigraner ingenieurskunst in der hightech-medizin. die maschine entspricht mit ihrem ce-zertifikat den rechtlichen Vorschrif-ten für medizinprodukte – und könnte Fliehkräfte von 20 g aushalten. mehr als ein Flugzeug. ist keine passende stromversorgung in der nähe, reicht der eingebaute akku drei stunden lang, verlängerbar über eine externe batterie auf sechs stunden. so kann das gerät problemlos auch in Ländern ohne 220-Volt-stromversorgung eingesetzt werden.

mini-herz-lungen-maschineÜber eine in einer Vene verankerten Kanüle fließt das sauerstoffarme und kohlendioxidreiche blut des Patienten in das system der maschine. ihr herzstück ist der oxygenator (1). in diesem zylinder förmigen behältnis verbirgt sich eine mem-bran mit einer oberfläche von zwei Quadratmetern. diese größe braucht es für einen ausreichenden gasaustausch. die membran besteht aus einzel-

nen Fasern, in denen sauerstoff fließt, der in einer Flasche (2) gelagert ist. in die Flasche passen zwei Liter sauerstoff – genug, um einen Patienten bis zu drei stunden und 20 minuten zu versorgen. Über einen chemischen transportprozess, die diffusion, tritt der sauerstoff in das venöse blut über. gleich-zeitig diffundiert das Kohlendioxid des venösen bluts über die membran des oxygenators und wird eliminiert.eine zentrifugalpumpe (3) sorgt für den blutstrom in dem künstlichen Kreislauf. sie ist schonender als die Pumpe einer herkömmlichen herz-Lungen-maschine, weil das blut nicht ge-quetscht wird. die Pumpe treibt das blut, anders als das herz, nicht pulsartig sondern, laminar an.Über einen hämofilter (4) lassen sich bei bedarf schädliche stoffe aus dem blut entfernen. mit einem weiteren Filter (5) werden entzün-dungsfördernde botenstoffe des immunsystems adsorbiert. das gereinigte und mit sauerstoff angereicherte „frische“ blut gelangt über eine in einer arterie verankerten Kanüle in den Körper des Patienten.

Die Rettung steckt in einer roten

Tasche und heißt LifeBox 1.0. „Mit

der mobilen Herz-Lungen-Maschine

kommt die Klinik zum Patienten“,

sagt Prof. Christian Hagl, Direktor der

Herzchirurgischen Klinik der LMU.

Dieses Gerät für den „Extracorporeal

Life Support“ (ECLS, „außerkörperliche

Lebensunterstützung“) hat eine Lücke

in der Notfall-, Intensiv- und herzchi-

rurgischen Medizin geschlossen. Sie

ersetzt bis zu einigen Wochen eine zu

schwache Herz- und Lungenfunktion.

Kardiotechniker Frank Born vom Klini-

kum und Experten der Firma Stöckert

ist es gelungen, die Technik einer

70 Kilogramm schweren und großen

Herz-Lungen-Maschine auf die Maße

eines Schuhkartons mit 10 Kilogramm

Gewicht zusammenzustutzen – bei

gleichen Leistungen. So passt sie in

jeden Krankenwagen oder

Rettungshubschrauber.

1. Patienten mit plötzlichem Herzver-

sagen und kardiogenem Schock, die

ohne einen angeschlossenen künst-

lichen Kreislauf zum Gasaustausch

nicht mehr transportfähig sind, aber

nur in einer Klinik mit Herzchirurgie

versorgt werden können. Das mobile

System ermöglicht stabile Kreislauf-

verhältnisse. In dieser Funktion kann

es auch zeitlich begrenzt auf der

Intensivstation eingesetzt werden.

2. Patienten mit Lungenversagen,

sofern sie nicht mehr herkömmlich

beatmet werden können. Das kann

beispielsweise bei einer Lungenent-

zündung zutreff en. Die Maschine ist

in diesem Sinne maximal vier Wo-

chen hilfreich. In dieser Zeit erholen

sich die Lungen vieler Patienten.

Wem nutzt die mini-herz-Lungen-maschine?

die rettung aus der box

Wir machen Medizin, grasundsterne, D, Gold Award

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BERICHT 13 - 14

HIGHLIGHTS

Liebe Leser,dies ist der erste Tätigkeitsbericht, den ich als Präsident des Stifterverbandes eröffnen darf. Ich tue das ausgesprochen gern, weil er in beson-derem Maß die Vielfalt abbildet, die den Stifter-verband auszeichnet, und die auch mich in den vergangenen Monaten immer wieder aufs Neue überrascht und beeindruckt hat.

Ich bin seit meiner Amtsübernahme mit vielen von Ihnen ins Gespräch gekommen: über die Themen, die wichtig werden, über die Projekte, die anstehen, und über die Art und Weise, wie wir in Zukunft zusammenarbeiten wollen. Ich bedanke mich sehr herzlich dafür, dass Sie sich die Zeit genommen und mich so herzlich und mit so vielen guten Ideen in meinem neuen Amt willkommen geheißen haben.

Ich habe aus diesen Gesprächen und aus zahl-reichen Begegnungen mit den Mitarbeitern des Stifterverbandes vor allem drei Dinge mitgenom-men. Erstens die Erkenntnis, wie viel der Stif-terverband in den vergangenen Jahren bewegen konnte. Zweitens die Gewissheit, dass Sie alle sich auch weiterhin so engagiert und begeistert für Wissenschaft und Bildung in Deutschland einsetzen wollen. Drittens die Zuversicht, dass

der Stifterverband auch in Zukunft neue Lösun-gen für neue Herausforderungen finden und sich dabei auch selbst immer wieder neu erfinden wird – so wie er es in der Vergangenheit, im Großen wie im Kleinen, vielfach unter Beweis gestellt hat.

Sie alle kennen den Stifterverband als wichtigen Förderer der Wissenschaftsorganisationen und als starken Partner der Hochschulen. Aber wuss-ten Sie auch, dass der Stifterverband mit Schü-lerwettbewerben und Akademien jedes Jahr eine viertel Million junge Menschen fördert? Oder dass beim Stifterverband die Geschäftsstelle der Expertenkommission Forschung und Innova-tion angesiedelt ist, die die Bundesregierung in Innovationsfragen berät? Oder dass der Stifter-verband nicht nur 600 Stiftungen mit einem Ge-samtvermögen von 2,5 Milliarden Euro betreut, sondern auch systematisch die Bedeutung der Zivilgesellschaft für unser Land erforscht und damit messbar macht?

Einen kleinen Eindruck vom Facettenreichtum des Stifterverbandes vermittelt Ihnen dieser Bericht. Ich würde mich freuen, wenn Sie diese Vielfalt als Chance begreifen, sich mit eigenen Ideen und Projekten, mit Geld und Zeit in die Arbeit des Stifterverbandes einzubringen. Der Stifterverband ist eine Gemeinschaftsaktion und lebt von Ihrem Engagement. Dafür danke ich Ihnen und freue mich auf die weitere Zusammenarbeit.

Herzliche Grüße

Andreas Barner, Präsident des Stifterverbandes

Herzli

Andre

ifterverband auch in Zukunft neue Lösun-r neue Herausforderungen finden und sichauch selbst immer wieder neu erfinden

– so wie er es in der Vergangenheit, im en wie im Kleinen, vielfach unter Beweis lt hat.

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kleinen Eindruck vom Facettenreichtum ifterverbandes vermittelt Ihnen dieser

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iche Grüße

eas Barner, Präsident des Stifterverband

Stifterverband – Bericht 13-14Stifterverband – Bericht 13-14 76

Ziel verfehlt: 20 Punkte waren 2012 das Ziel des Hochschulbildungs-Inde-xes, erreicht hat er gerade einmal die Hälfte: zehn Punkte. Der Index misst, ob sich in Deutschland ein durchläs-siges, nachfrage- und bedarfsorien-tiertes Hochschulsystem entwickelt. Keines der sechs Handlungsfelder, die zusammen den Gesamtindex bilden, erreicht die Marke von 20 Punkten. Am besten entwickeln sich derzeit die Internationale Bildung mit 15 Punkten und die Chancengerechte Bildung mit 14 Punkten. Die Lehrer-Bildung mit minus sechs Punkten ist das einzige Handlungsfeld, das eine negative Ent-wicklung durchläuft.

FORTSCHRITTE NÖTIG

Um die für 2020 gesteckten Ziele zu erreichen, müssen in den kommenden Jahren deutlich stärkere Fortschritte gemacht werden. Langfristig den Bedarf an akademischem Nachwuchs decken, eine größere Diversität und Durchlässigkeit im Bildungssystem schaffen und die Hochschulbildung stärker an den Bedürfnissen von Studierenden und Arbeitgebern orientieren – dies sind die Ziele von „Zukunft machen“, der Bildungsiniti-ative des Stifterverbandes und seiner Mitgliedsunternehmen.

Der Hochschul-Bildungs-Report 2020 begleitet die Initiative als zentrales Ana- lyseinstrument und wird vom Stifter-verband und der Unternehmensbera-tung McKinsey & Company erarbeitet.

Ziel und Anspruch ist, der Debatte über eine bessere Bildung in Deutsch-land durch klar definierte und mess-bare Ziele und Indikatoren mehr Rich-tung und sachliche Sub stanz zu geben.

SECHS HANDLUNGSFELDER

Grundlage für den jährlichen Hoch-schul-Bildungs-Report ist die Be-trachtung und Bewertung von sechs Handlungsfeldern, für die im Dialog mit Experten Ziele für die Hochschul-bildung systematisch formuliert wur-den. Diese Handlungsfelder sind:

Chancengerechte Bildung Beruflich-akademische Bildung Quartäre Bildung Internationale Bildung Lehrer-Bildung MINT-Bildung

Die Entwicklungen innerhalb dieser sechs Handlungsfelder werden an-hand von insgesamt 70 Indikatoren abgebildet. Jährlich steht zudem ein Handlungsfeld im Fokus, um dieses mit noch größerer Tiefenschärfe zu analysieren. 2014 ist es das Thema Lehrer-Bildung. Aus den sich dar-aus ergebenden Befunden leitet der Stifterverband programmatische För-deraktivitäten ab und möchte damit einen Beitrag für die Verbesserung des Bildungssystems leisten.

Nur geringe Fortschritte in der Hochschulbildung – so lässt sich das Ergebnis des zweiten Hochschul-

Bildungs-Reports zusammenfassen. Mit ihm misst der Stifterverband zusammen mit McKinsey innerhalb

der Bildungsinitiative „Zukunft machen“ jährlich die Entwicklungen im deutschen Hochschulsystem.

DIE BILDUNGSINITIATIVE „ZUKUNFT MACHEN“

HOCHSCHUL- BILDUNGS-REPORTDer Hochschul-Bildungs-Report ist die zentrale Publikation zu der Bildungsinitiative des Stifterverbandes „Zukunft machen“. 2014 ist erstmals ein umfangreiches Datenportal zum Report erschienen, das die Ergebnisse interaktiv aufbereitet.

www.hochschulbildungsreport2020.de

Die Ausbildung junger Lehrer steht 2014 im Mittelpunkt der Bildungsinitiative.

Stifterverband – Bericht 13-14

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Stifterverband, SeitenPlan GmbH, D, Silver Award

Jahresbericht 2013In bester Gesellschaft: Ehrenamtliches Engagement schafft Zusammenhalt.

Kölner Freiwilligen Agentur e. V.

Jahresbericht 2013 � freiwilligendienste

17

Die Freiwilligen bauten Freundeskreise auf, die regelmäßig über den Verlauf des Freiwilligendienstes informiert wurden und Geld spendeten. Weitere Spen-den kamen von Institutionen wie der Annemarie und Helmut Börner-Stiftung und der Dr. Dirk Baier-Stiftung. Zuschüsse kamen von der Europäischen Union, vom Bundesministerium für Familie, Senioren, Frauen und Jugend und von der Stadt Köln. Wir nutzten die Förderprogramme Europäischer Freiwilligendienst, Internationaler Jugendfreiwilligendienst, den Bundesfreiwilligendienst und das deutsch-israelische Förderprogramm »Kom-Mit-Nadev«.Wir konnten das Förderprogramm Internationaler Jugendfreiwilligendienst wesentlich stärker nutzen als in den Vorjahren und so unsere Vermittlungs-zahlen stark erhöhen. Bei weltwärts waren wir wegen unüberwindbarer Visa-Schwierigkeiten für Freiwillige, die in der Türkei tätig sein wollten, nicht mehr vertreten. Neu ist unser Konzept zur Krisenprävention im internationalen Frei-willigendienst, das den Freiwilligen, unseren Partnerorganisationen und uns mehr Sicherheit im Umgang mit Notfällen gibt. Unsere Vernetzung mit anderen Freiwilligendienstträgern in Deutschland konnten wir verbessern, so wurden wir vom Arbeitskreis Lernen und Helfen in Übersee (AKLHÜ) als Mitglied aufge-nommen.

Kölner FreiwilligendienstIntensives Engagement von Menschen jeden AltersDer Kölner Freiwilligendienst bietet seit 2006 Menschen jeden Alters die Mög-lichkeit, sich intensiv einer sinnvollen Aufgabe in Köln zu widmen. Die Frei-willigen stellen ihr Fachwissen, ihre Arbeitskraft und ihre Begeisterung einer gemeinnützigen Kölner Einrichtung im Umfang von 15 bis 40 Stunden in der Woche zur Verfügung. Unter dem Dachnamen Kölner Freiwilligendienst bieten wir zwei Programme an, den Freiwilligendienst aller Generationen und den Bundesfreiwilligendienst.

Gerrit Evers leistete nach einer längeren Zeit der Arbeitslosigkeit einen Frei-willigendienst aller Generationen in der Europaschule und berichtete uns kürzlich von seiner neuen Festanstellung im Bundesinstitut für Sportwissen-schaften. Der Ausschlag für den Erfolg seiner Bewerbung seien die Fortbil-dungen gewesen, an denen er während seines Freiwilligendienstes teilnahm.

Kölner Freiwilligen Agentur e.V., muehlhausmoers corporate communications, D, Bronze Award

Die Center4 Länder 19 Standorte

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„Distanzhandel ohne Rück sendungen funktioniert nicht“,

erdet Martin Barde, der seit 15 Jahren Distanzhändler

aller Unternehmensgrößen berät, die Retournieraufre-

gung. Dabei unterscheidet er deutlich, ob der Rücksende-

grund die Anprobe oder Enttäuschung ist. Ersteres ist Ser-

vice am Kunden und jenseits des stationären Handels

unvermeidbar. Das Zweite ist eine Nachlässigkeit des

Händlers – die Qualität stimmt nicht, die Angebotsdarstel-

lungen sind ungenau oder Waren defekt. Ursachen also,

die man beheben könnte und sollte. Aber das passiert

noch zu selten. „Viele Händler rechnen ihre Retourenkos-

ten lieber kleiner, als sie sind, nur wenige arbeiten daran,

sie systematisch zu verschlanken, und noch weniger be-

mühen sich, Rücksendungen aus Unzufriedenheit zu ver-

meiden“, so Bardes ernüchternde Bilanz.

Der einfachste Weg, unnützes Hin- und Hergekarre zu re-

duzieren, wäre, von Kunden Vorkasse und Rückporto zu

verlangen. Das hemmt den Probieren-kostet-ja-nix-

Bestelleifer. Doch Rechnungskauf ist mit 38 % Anteil der

Deutschen liebster Zahlungsweg (BVH). Und selbst wenn

ab Sommer 2014 die Händler formaljuristisch von den

Retourenkosten unter 40 € Warenwert befreit sind, ist der

Regensburger Logistikprofessor Dr. Georg Wittmann

skeptisch, dass sich die Gepflogenheiten ändern: „Nach

unseren Untersuchungen wollen große Händler auch

weiter hin kostenlose Rücksendungen zulassen. Die klei-

nen Händler müssen dann mitspielen, um keine Kunden

zu verlieren.“ Anders gesagt: Privilegien abschaffen hieße,

Umsatz verspielen und Kunden an Mitbewerber mit at-

traktiveren Konditionen verlieren. Umweltbewusste

Akteure wie Trigema nehmen das in Kauf, stehen mit dieser Politik

aber ziemlich allein da. Barde sieht noch einen Grund, an Standards

festzuhalten: „Große Warenkörbe sind ein erklärtes Ziel. Mit dem Um-

fang der Order steigt erfahrungsgemäß der Endbon. Je mehr der ein-

zelne Kunde kauft, umso weniger fallen Rücksendungen ins Gewicht“,

arbeitet der Hamburger Berater die Logik heraus.

nWer kaufen will, muss fühlen. Beim händler vor ort ist das haptische

erlebnis inklusive, beim virtuellen sind retouren vorprogrammiert.

Ökologisch einkaufen sieht anders aus!

Geht die Eigenrechnung vom Marktführer DHL auf, verbraucht die

Zustellung jedes Pakets knapp 500 Gramm umweltschädlicher Treib-

hausgasemission. Das klingt zunächst handhabbar. Umgerechnet auf

die Bestellmasse blasen allein die 800.000 täglichen Rücksendungen

400 Tonnen CO2 in die Luft. Ein Ausstoß, der 255 PKW-Fahrten von

Frankfurt nach Peking entspricht, errechnete das Wirtschafts magazin

„Plusminus“.

Ersetzte allerdings das Sofashoppen die Fahrt zum Händler, könnte

der Kaufklick naturschonender sein. Mit 500 Gramm CO2-Verbrauch

kommt der private Mittelklassewagen etwa 3,5 km weit. Der Konsu-

ment legt aber laut Öko-Institut Darmstadt durchschnittlich 6 km zum

Einkaufen zurück. Damit ist die Onlineorder 2,5 km umwelt-

verträglicher – sofern keine Rücksendung und nur ein Anlieferversuch

erfolgen. Ansonsten kippt die Bilanz zu Gunsten des Vor-Ort-Handels.

Ein weiterer Pluspunkt: Einkaufsfahrten decken meistens Sammel-

bedarf, der Einkaufscharme des Netzes liegt auch im Ad-hoc-Bestel-

len. Und da immer mehr Onlinebesteller alles gleich und sofort haben

wollen, zieht der Kaufklick weitere Bäume in Mitleidenschaft. Der Ex-

pressversand reduziert die Fahrzeugauslastung, erzeugt Zusatzver-

kehr und führt dazu, dass Warenkörbe auf mehrere Päckchen aufge-

teilt werden, sollten Produkte nicht vorrätig sein.

Bilanziert man jetzt noch die Kisten und Kästen, Füllstoffe und Folien,

ohne die keine Ware ausgeliefert werden kann, erscheint der Händler

ums Eck im eindeutig grüneren Licht. Gehen zudem die aktuellen Plä-

ne verschiedener Anbieter auf, dieses Jahr großstilig ins Lebensmit-

telgeschäft einzusteigen, sind weitere Umweltsünden vorprogram-

miert. Ohne Styropormäntel und Plastikpolster sind Frisch- und

Kühlwaren nicht schadlos zu transportieren.

nder Kauf per Klick ist bequem, die lösung unserer umweltprobleme

ist es nicht. und manchmal ist der onlinekaufmann auch ein „Müll-

mann“.

Bei Geschenkartikeln sind die Rücksendungen im einstelligen

Prozentbereich, beim modischen Frauenfummel liegen sie auch schon

mal bei 80 %.

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Deutsche EuroShop, Whitepark, D, Award of Excellence

n 3. Rapports annuels et rapports sur la responsabilité sociale d’entreprise.

Page 15: 6. ICMA appel de propositions

International Creative Media Award pour les livres 15

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4. Livres.Pour pouvoir participer dans la catégorie Livres, il faut envoyer le livre. En outre, la couverture et quelques pages intérieures sont nécessaires au format PDF.Droit de participation dans cette catégorie: 75 euros.

4.3. Livres scolaires.

4.4. Livres pour enfants et ados

4.2. Livres scientifiques, livres d’enseignement.

Illustration: Aurélie BlanzBest.-Nr. B 01507

Die Geschichten vom Froschkönig und der goldenen Kugel, von Rotkäppchen und dem bösen Wolf oder von Hänsel und Gretel im Hexenwald begleiten

Kinder auf dem Weg des Erwachsenwerdens und erinnern Erwachsene an die eigene Kindheit.

In diesem Buch sind knapp zwanzig der bekanntesten und beliebtesten Märchenklassiker von den Brüdern Grimm, Hans Christian Andersen,

Charles Perrault und Ludwig Bechstein vereint und von der Autorin Ingrid Annel in behutsamer und liebevoller Weise nacherzählt.

Mit ihren wunderbar poetischen und phantasievoll geschaffenen Bildwelten gelingt es der Pariser Illustratorin Aurélie Blanz die Märchenfiguren wie aus

einem hundertjährigen Schlaf zu neuem Leben zu erwecken.

Ein Schmuckstück für jede Hausbibliothek und ein wahrer Schatz, der einlädt, sich vom Zauber der Märchen einfangen zu lassen und neue Seiten

darin zu entdecken.

Geheimnisvoll, verwunschen und zauberhaft:

ISBN: 978-3-944156-38-5

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Jim Rogers,Chairman,

Rogers Holdings and Beeland Interests, Inc

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here are a few constants to expect when meeting Jim Rogers. First, there is the bow tie that has become the maverick investor’s signature fashion accessory. Then,

there is his big investment idea du jour (it’s agriculture) and, fi nally, some gushing over his exceptionally bright daughters.

All three elements were in evidence when Rogers, 71, visited The Peak’s offi ces for the second time – the fi rst was for a cover shoot six years ago – but a new subject had been added: Singapore, or, more to the point, his commitment to the little red dot. Since selling his mansion in New York to move here with his family in 2007, the Rogers – including wife Paige and daughters Hilton Augusta, 10 and Beeland Anderson, six – have become Singapore permanent residents and there is no longer any doubt that the city-state is home for them.

“There is no other place for us. We came because we wanted our children to speak Mandarin. All our expectations have been met; I just wished it was more bicycle-friendly, but it’s getting better,” he says.

Rogers’ story is the stuff of fi nancial legend; mandatory reading for every Wall Street type who wants to make millions fast, travel around the world (twice) and then retire to his version of paradise to raise two angelic kids.

He co-founded Quantum Fund with fellow legendary investor George Soros in 1973. The pair’s portfolio gained a staggering 4,200 per cent over the next decade, compared to a 47 per cent gain in the S&P stock index. In 1980, he left Wall Street to

travel around the world on his motorcycle. Today, he’s still recognised as one of the smartest money men around – the investment guru who set up home in Singapore.

His advice on the next big investment idea is still highly sought after by investors and the fi nancial media around the world. He’s been famously bullish – and proven correct many times over – on the China market and commodities sector.

To help the investment community better track the then fl edgling commodities futures market, he created the Rogers International Commodity Index in 1998, a broad index of 38 commodity futures contracts from 13 international exchanges.

His attention in recent years has turned to the average age of the American farmer. With more young people choosing to develop iPhone apps over milking cows, he believes that the world is headed for a food crisis, and those who have invested in the agricultural sector – whether through the stock market or buying an actual farm – will win big.

“The average age of the American farmer is 58, and therein lies the opportunity. In the US, young people would rather study PR than agriculture. If something doesn’t change soon, we are going to run out of farmers. The farmers will be the ones driving Lamborghinis, not the bankers,” he says, in all seriousness.

Not that he plans to harvest his own crops any time soon. Right now, he’s more than content watching his elder daughter thrash her peers at a national Mandarin-speaking competition.

“My two little girls are the best things in my life. They are smart and fun and speak well. They are my best investment by far.”

And what about the bow ties? Rogers had those in spades. He had brought along about a dozen from his collection to the photo shoot.

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“THE FARMERS WILL BE THE ONES DRIVING LAMBORGHINIS, NOT THE BANKERS.”

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4.5. Guides, livres documentaires

Sardinien sehen und schmecken

Kochgeschichten und kleine sardische Momente im Bild

Von Claudia Konerding und Hiltrud Thöne.Zubereitet von Friedemann Hingst, Marina Aracu und Gästen.Mit einem Vorwort von Michael Regner, Panis et Vinum

In diesem Buch finden Sie 30 einfache Rezepte aus der sardischen Küche.

Genießen Sie mit Freunden die kulinarische Einfachheit, die Sardiniens Rezepte prägt.Guten Hunger!

sehen und schmecken

30 Rezeptein einer Bildergeschichte

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ISBN 978-3-00-045735-7

Das Besondere an den galluresischen Ravioli ist die süße Füllung. Dazu schmeckt ein frischer Salat aus Früchten und Nüssen.

Es gibt viele Varianten von Ravioli. Von Kalb-fleisch über Fisch bis zur Spinatfüllung sind der Phantasie keine Grenzen gesetzt.

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Der Kater maunzte mit schmeichelnder Stim-

me: »Ich habe gehört, dass Ihr Euch in jedes

Tier verwandeln könnt. Hund, Fuchs oder Wolf,

das dürfte wohl ein Kinderspiel sein. Ein Elefant

könnt Ihr aber nicht werden, oder?« »Kleinig-

keit«, sagte der Zauberer, streckte den Kopf

nach vorn und stand im nächsten Augenblick

als Elefant da. »Höchst erstaunlich«, schnurrte

der Kater. »Könnt Ihr Euch auch in einen Löwen

verwandeln?« »Wenn es weiter nichts ist«, sagte

der Zauberer und schüttelte sich kurz. Schon

war er ein Löwe, der sich die Mähne schüttelte

und das Maul gefährlich weit aufriss. Der Kater

tat, als hätte er einen Schreck bekommen, dann

sagte er: »Bewundernswert. Ihr seid unbestrit-

ten der beste Zauberer der Welt. Aber eins könnt

Ihr gewiss nicht: Euch in eine Maus verwan-

deln.« Der Zauberer lachte laut auf, schrumpfte

blitzschnell zu einer winzigen Gestalt zusam-

men und trippelte als Mäuslein durchs Zimmer.

Mit einem kühnen Sprung stürzte sich der Ka-

ter auf die Maus und fraß sie auf.

Währenddessen kam der König zur großen

Wiese und fragte: »Wem gehört die Wiese?«

»Dem Grafen Carabas«, antworteten die Leute.

»Ein schönes Stück Land habt Ihr da«, sprach

der König zu Hannes. Und als er vernahm, dass

auch das Kornfeld und der Wald dem Grafen

gehörten, meinte er: »Ihr müsst ein reicher

Mann sein, Herr Graf.« Hannes lächelte still.

Endlich erreichte die Kutsche das Schloss. Oben

auf der Treppe stand der Kater und rief: »Will-

kommen, Herr König, im Schloss des Grafen

Carabas!«

Der König stieg aus und bestaunte das prunk-

volle Schloss mit den hohen Fenstern und den

zierlichen Türmchen, das viel größer und schö-

ner war als sein eigenes Schloss. Hannes nahm

die Königstochter bei der Hand und führte sie

hinauf in den Saal, der von Gold und Edelstei-

nen f limmerte. Doch die Prinzessin hatte nur

Augen für den schönen jungen Mann. Und so

heirateten die beiden noch am selben Tag.

Als der König starb, bekam der Müllerbursche

die Krone und wurde neuer König. Der Kater

aber wurde Erster Minister. Auf Mäusejagd

ging er nur noch zum eigenen Vergnügen.

Hänsel und Gretel

I n einer armseligen Hütte am Rande des Wal-

des lebte ein Holzfäller mit seiner Frau und

seinen beiden Kindern Hänsel und Gretel. Ob-

wohl der Mann von früh bis spät arbeitete, litten

sie große N0t. Eines Tages hatten sie nicht mal

mehr genügend Geld, um sich Brot kaufen zu

können. Nachts wälzte sich der Mann im Bett

herum und konnte keinen Schlaf finden. Voller

Sorge sprach er zu seiner Frau: »Was soll nur

aus uns werden? Wie sollen wir unsere Kinder

ernähren, wenn wir für uns selbst nichts mehr

haben?«

»Weißt du was«, sagte die Frau, »wir bringen

die Kinder morgen hinaus in den Wald, machen

ihnen ein Feuer und geben jedem noch ein

Stück Brot. Dann gehen wir an unsere Arbeit

und lassen sie allein. Den Weg nach Hause wer-

den sie nicht finden, also sind wir sie los.«

»Nein«, sagte der Mann, »das bringe ich nicht

übers Herz. Meine Kinder lasse ich nicht allein.

Die wilden Tiere würden sie bald zerreißen.«

»Oh, du Narr«, schimpfte die Frau, »dann müs-

sen wir alle vier verhungern. Du kannst gleich

morgen die Bretter für die Särge hobeln.« Sie

ließ ihm keine Ruhe, bis er endlich einwilligte.

»Aber die armen Kinder tun mir doch leid«,

sagte er ein letztes Mal.

Die beiden Kinder, die vor Hunger nicht ein-

schlafen konnten, hatten alles gehört. Gretel

weinte bittere Tränen und sprach zu Hänsel:

»Nun ist es bald aus mit uns.« »Still, Gretel«,

sagte Hänsel, »ich weiß, wie ich uns helfen

kann.« Als der Vater und die Stiefmutter einge-

schlafen waren, schlich er sich aus dem Haus.

Draußen lagen weiße Kieselsteine, die im

Mondlicht glänzten. Die sammelte er in seine

Taschen, so viele hineinpassten. Dann schlich

er zurück und f lüsterte seiner Schwester zu:

»Schlaf, Gretel. Es wird uns nichts passieren.«

Am nächsten Morgen weckte die Frau die Kin-

der: »Steht auf, ihr Faulpelze, wir müssen in

den Wald, Holz holen.« Sie gab jedem einen tro-

ckenen Kanten Brot und sagte: »Das ist für Mit-

tag. Mehr gibt es nicht.« Gretel steckte das Brot

in ihre Schürzentasche, dann zogen sie los.

Nach einer Weile blieb Hänsel stehen und

schaute zurück. Das tat er wieder und wieder.

Der Vater wunderte sich und fragte: »Warum

schaust in die Gegend? Vergiss nicht, dass du

Beine hast.« »Ach, Vater«, sagte Hänsel, »mein

weißes Kätzchen sitzt oben auf dem Dach und

winkt mir zum Abschied.«

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Die Frau sagte: »Unsinn! Das ist nicht dein

Kätzchen. Das ist die Morgensonne, die auf

den Schornstein scheint.« Hänsel hatte aber

gar nicht nach der Katze Ausschau gehalten,

sondern immer einen von den weißen Kiesel-

steinen aus der Tasche geholt und auf den Weg

geworfen.

Als sie mitten im Wald angekommen waren,

sagte der Vater: »Nun sammelt Holz, Kinder.

Ich will euch ein Feuer an-

zünden, damit ihr nicht

friert.« Hänsel und

Gretel trugen Reisig

auf einen großen

Haufen, und als die

Flammen aufloder-

ten, sagte die Frau:

»Ruht euch aus. Wir

hacken Holz und ho-

len euch ab, wenn wir

fertig sind.« Hänsel

und Gretel wärmten

sich am Feuer. Als es

Mittag wurde, aßen sie

ihr Brot. Ganz in der

Nähe hörten sie die Schlä-

ge einer Axt und glaubten,

es wäre der Vater. Das war

aber keine Axt, sondern nur

ein Ast, der so an einen Baum

gebunden war, dass der Wind

ihn hin und her schlug. Den beiden Kindern

fielen bald vor Müdigkeit die Augen zu.

Sie schliefen lange und erwachten erst in der

finsteren Nacht. Gretel fürchtete sich und jam-

merte: »Wie sollen wir nur wieder nach Hause

finden?« Hänsel aber tröstete sie: »Warte noch

ein Weilchen. Bald geht der Mond auf, der wird

uns den Weg zeigen.« Kaum stand der Mond

am Himmel, nahm Hänsel seine Schwester bei

der Hand und ging immer den glänzenden

Kieselsteinen nach. Sie liefen die ganze Nacht

hindurch und kamen am nächsten Morgen an

ihres Vaters Haus.

Die Stiefmutter öffnete ihnen und schimpfte:

»Warum habt ihr so lange im Wald geschlafen,

ihr unnützen Kinder? Wir haben geglaubt, ihr

wolltet gar nicht wieder nach Hause kommen.«

Der Vater aber freute sich und schloss seine

Kinder fest in die Arme.

Nicht lange danach kam die Not noch schlim-

mer aus allen Ecken gekrochen. Die Kinder hör-

ten, wie die Stiefmutter nachts zum Vater

sprach: »Wir haben nichts mehr außer einem

halben Brot. Danach hat das Lied ein Ende. Die

Kinder müssen fort. Wir wollen sie tiefer in den

Wald bringen, damit sie diesmal den Weg zu-

rück nicht finden. Sonst gibt es keine Rettung

für uns.« Der Mann wollte nicht. Lieber wollte

er den letzten Bissen mit seinen Kindern teilen.

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The Peak 30/30, SPH Magazines, Singapur,Silver Award

4.1. Littérature générale.

Musiklehre, Sehwerk Armin Lindauer, D, Silver Award

Die schönsten Märchenklassiker, Grätz Verlag, D, Silver Award

Sardinien sehen und schmecken, Hiltrud Thöne, D, Gold Award

n 4. Livres.

Page 16: 6. ICMA appel de propositions

, B International Creative Media Award pour les livres 16

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4.6. Livres d’art.Définition: Les livres d’art soit ont été réalisés par des artistes, soit ils ont pris l’art pour thème.

4.7. Livres photo.

Bismack Archipelago Art, 5 Continents Editions, Milano, Motovun International Publishers Group, IGold Award

Les Peintures Murales de Bundi au Rajastan, Fonds Mercator, Brussels, Motovun International Publishers Group, BSilver Award

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Kopfüber, Dirk Brömmel, D, Gold Award

Bentley Brand Book, IIBK, D, Silver Award

n 4. Livres.

Page 17: 6. ICMA appel de propositions

International Creative Media Award pour les livres 17

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Les collections de livres ont souvent une longue tradition. Pour cette même raison peuvent aussi participer dans cette catégorie les éditions remontant à l’année limite 2010. Dans cette catégorie, la collection complète est évaluée pour 75 euros.

4.10. Livres pour iPad et tablettes.

4.11. Idées livres innovantes.

4.8. Collections de livres.

4.9. Livres d’entreprise

Culture Report, Editorials, EUNIC Yearbook 2012/2013, D, Award of Excellence

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Es gibt keinen Zweifel: Kultur kann helfen,

Konflikte zu lösen (und kann auch missbraucht

werden, um sie zu schüren). Kulturarbeit kann aber

nicht politische (und ökonomische) Initiativen zur

Lösung von Konflikten ersetzen. Wie kann Kultur

zur Konfliktregulierung beitragen? Wie können

wir die positive Rolle der Kultur nutzen? Welche

außenkulturpolitischen Initiativen braucht Europa

in Krisenregionen?

Die Potenziale der Kultur

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Culture Report, Editorials, EUNIC Yearbook 2012/2013, D, Award of ExcellenceCulture Report, Editorials, EUNIC Yearbook 2012/2013, D, Award of Excellence

6 7

Nur ein kleiner Prozentsatz der Titelproduktionen der Nachbarländer steht uns als Überset-

zung zur Verfügung. „Wir lesen nacheinander die Bücher aus den Vereinigten Staaten und

dann die jeweiligen nationalen“, klagt der polnische Journalist Adam Krzemičski. Kann man

überhaupt von einer europäischen Literatur sprechen, wenn mangels Übersetzungen kaum

ein Literat europaweit gelesen wird? Welche Rolle spielt die Literatur für die Identität Euro-

pas? Bürden wir ihr zu viel auf, wenn wir sie als „Packesel“ für kulturelle Vielfalt und interkul-

turellen Dialog betrachten?

Welche Bindung schafft das Buch ?

EUROPA LIEST

Culture Report, Editorials, EUNIC Yearbook 2012/2013, D, Award of ExcellenceCulture Report, Editorials, EUNIC Yearbook 2012/2013, D, Award of Excellence

Europa l ie s t

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Europa l ie s t Mambo

Rüdiger Wischenbart, geboren 1956 in Graz, arbeitet als Berater und Inhaber von Content and Consulting in Wien mit den Tätigkeitsschwerpunk-ten internationale Kultur, Medien und Buch. Er erstellt das jährlich aktualisierte „Global Ranking of the Publishing Industry“, untersucht internationa-le Bestseller für ein Netzwerk aus Fachmagazinen und berät internationale Buchmessen. Zuletzt ver-öffentlichte er den „Diversity Report 2008“ über Trends und Entwicklungen bei Übersetzungen in Europa. Mehr unter www.wischenbart.com sowie auf seinem Blog www.booklab.info

delle gibt, in einer digitalen und fragmen-tierten Welt der unterschiedlichsten Bücher Zugang und Überblick, Ordnung und Ver-breitung zu organisieren. Mit Angstappellen wird hier nur ein verrückter Popanz aufge-baut, der weder für Autoren noch für deren Verlage eine Perspektive eröffnet.

Zugleich wird auch zunehmend klar, dass eine bestehende und universelle Re-gulierung, die allein die Autorenschaft zur Grundlage nimmt, zu kurz greift. Nicht die Aushöhlung des Urheberrechts, nicht Pira-terie, Monopolbildungen oder umgekehrt eine räuberische Freibier-Mentalität erwei-sen sich bei den aktuellen Entwicklungen als die treibenden Kräfte, sondern ein kom-plizierter Mix aus neuen Produktions- und Vertriebsmöglichkeiten, veränderten kul-turellen Gewohnheiten und Ungleichge-wichten zwischen kommerziell überaus er-folgreichen Autoren und Werken gegenüber solchen, die Erfolg im Umweg über andere Anreize und Anerkennungen suchen.

Aus dem einen geschlossenen Raum der Bibliothek ist ein nach vielen Seiten offenes, oft auch unübersichtliches Gelände entstan-den, in dem die alten geschlossenen Gebäude wichtige, jedoch bald nicht mehr die allein bestimmenden Orientierungsmarken sein werden. Die Vielfalt des Buchs spiegelt sich in einer Vielfalt der Lesenden und ihren unterschiedlichen Nutzungsweisen. Geht man darüber zurück auf die schlanken De-finitionen des Buchs, befreit es vom Ballast der Überhöhung und symbolischen Überla-denheit, dann kommt rasch wieder seine er-probte Zweckmäßigkeit zum Vorschein, und damit die Kontur für eine gute Zukunft.

Moments – 10 Years Symrise, 3st Kommunikation, D, Bronze Award

2010Ready Brew®

Es schmeckt wie Bier, ist aber keines: Nachhaltig, ohne Malz und

traditionellen Brauprozess stellt Symrise ein bierartiges,

alkoholfreies Getränk her.

2011InoScent®

Ein aktiver Wirkstoff für Kosmetik-artikel, der für weichere Haut und

ein besseres Hautgefühlt sorgt. Die Besonderheit: Er kommt ohne

Alkohol aus.

forschungsHighlights

2001 Globalide®

Die Aromamoleküle ersetzen den Naturstoff Moschus, der nicht nachhaltig

zu beziehen ist. Sie geben Parfüms, Seifen oder Waschmitteln andauernden

und kräftigen Duft.

2003Optamint®

Symrise baut mit dem Vertrieb der Mintaromen seine starke Position

auf dem Weltmarkt aus.

2003Chromatographie-basierte Verfahren

Symrise-Mitarbeiter bewerten Geschmäcker und Düfte –

die instrumentelle Analytik von Geschmacks- oder Aromastoff en

unterstützt sie dabei.

2003SymTrap®

Wenn Obst oder Gemüse zu Säften verarbeitet wird, enthalten die dabei anfallenden Seitenströme hoch-qualitative Aromastoff e. Diese gewinnt

Symrise per schonender Kaltextraktion.

2003 SymDiol® 68

Ausgezeichnete Pfl ege für die Haut: Der innovative, multifunktionale Wirkstoff

macht Kosmetikartikel länger haltbar.

2004Neofresh® Schlechte Gerüche

entstehen zum Beispiel in Küchen oder Badezimmern.

2005SymCalmin®

Der synthetische Wirkstoff bildet die hautberuhigende Wirkung

des Hafers nach. Er wirkt gegen Schweiß bildung, Juckreiz und

unangenehme Gerüche.

2005 Hydrolite® 6

Kinderhaut ist empfi ndlich: Der Stoff verstärkt die konservierende

Wirkung milder organischer Säuren und macht umstrittene

Konservierungsmittel überfl üssig.

2007 SymWhite® 377

Der Wirkstoff hellt die Haut auf, wirkt gegen Altersfl ecken und sorgt für einen gleichmäßigen Hautton.

2008Taste Modulation

ToolboxDie Aromen verbessern die Wahrneh-mung von Süße, Würzigkeit, Salzigkeit

oder Frische und maskieren unerwünschte, zum Beispiel bittere

Geschmacksnoten.

2009SymSitive® 1609 Der hautberuhigende Rohstoff

hilft bei der Pfl ege sensibler Haut, indem er Brenn- und Stechreize

stark reduziert.

2009SymStixx®

Einfache Analyse: Das speziell beschichte-te Glasstäbchen nimmt Aromen auf,

die anschließend über Chromatographie-basierte Verfahren identifi ziert und

bewertet werden können.

2010SymCap®

Die Technologie lässt Duftstoff e aus Waschmitteln und Weichspülern

erst nach und nach austreten und erzeugt so langanhaltenden Duft auf

der trockenen Faser.

Ein aktiver Wirkstoff für Kosmetik-artikel, der für weichere Haut und

ein besseres Hautgefühlt sorgt. Die

2011Frescolat ® X-CoolDas Menthol-Derivat sorgt für

eine langanhaltende und intensive Kühlwirkung in Kosmetikartikeln.

2012Optafresh® D

Die zweite Generation eines geschmacksneutralen Wirkstoff s

für frischen Atem.

02_Entdecken_130506.indd 15-16 26.09.13 09:44

37.500TEILNEHMER

25LÄNDER

5 MEGATRENDSERDERWÄRMUNG, RESSOURCENKNAPPHEIT, ALTERNDE BEVÖLKERUNG,

URBANISIERUNG, TECHNOLOGIE

SCENT & CAREFLAVOR & NUTRITION

EINEWELTWEITE

STUDIE

3 TRENDPLATTFORMEN

SLOW | BALANCED | HIGH

next intensity ragt auch wegen der bereichsübergreifenden kooperation zwischen flavor & nutrition und scent & care in umfang und tiefe aus der konsumentenforschung heraus, die das unternehmen seit jahrzehnten betreibt.

Symrise kann nur erfolgreich sein, wenn das Unternehmen die Märkte, Kunden und Endverbraucher kennt. In einer globalisier-ten, immer schneller kommunizierenden Welt verändern sich Bedürfnisse und Wünsche, Entscheidungen und Verhaltens-

weisen im Höchsttempo. Ein einzigartiges Werkzeug hilft Symrise seit dem Jahr 2012 die globalen Megatrends zu analysieren und für die tägliche Arbeit aufzubereiten: Next Intensity, eine in dieser Form einzig-artige Trendstudie. Sie schaff t für das Marketing und die Konsumenten-forschung von Symrise weltweit eine einheitliche Basis: Sie können regionale leichter in globale Trends einordnen – das Verständnis der eigenen, aber auch der benachbarten Märkte und Regionen wird größer. Zukunftsweisend und in der Tiefe.

Für die Studie arbeiteten beide Geschäftsbereiche, Flavor & Nutrition und Scent & Care, eng zusammen. Next Intensity ragt auch wegen dieser bereichsübergreifenden Kooperation in Umfang und Tiefe aus der Kon-sumentenforschung heraus, die das Unternehmen seit Jahrzehnten betreibt. Einige Zahlen und Fakten: Für die Studie wurden Befragungen von 37.500 Menschen aus 25 Ländern ausgewertet, zu Konsumverhalten und Erwartungen, Einstellungen und elementaren Bedürfnissen, Aktivi-täten und Lifestyles. Anschließend fokussierten sich weitere Interviews auf jeweils 1.500 Menschen – aus reifen Märkten wie Europa, den USA, Japan oder Südkorea sowie aus 13 Wachstumsmärkten.

Die aufbereiteten Erkenntnisse fl ießen in innovative Kundenkonzepte ein, zeitgleich von New York, São Paulo, Paris und Shanghai aus, um die globale Herangehensweise zu untermauern. Aus den fünf Megatrends Erderwärmung und Ressourcenknappheit, alternde Bevölkerung und Urbanisierung sowie der immer stärkeren Bedeutung von Technologie entstanden so neun Basisplattformen. Diese stehen für die unterschied-lichen Intensitäten des Konsums heute, der sich nach Begriff en wie „slow“, „balanced“ und „high“ unterteilen lässt. Sie zeigen, dass sich das Leben der Menschen und ihr Konsumverhalten von einer Situation zur nächsten stark verändern können.

Zur Verdeutlichung arbeiten die Symrise-Mitarbeiter mit Trendsettern, plakativen Moodboards, innovativen Produkten anderer Industriebe-reiche, die zum Nachdenken anregen, mit kreativen Videos und aus-drucksstarken Bildern. Sie gleichen so ihre Kreationen und Produktent-wicklungen mit empirischen Erkenntnissen ab, unterlegen Gespür und Wissen mit Fakten, schneiden Produktkonzepte auf die Bedürfnisse der Kunden zu und sind auf diese Weise so nah dran an der Zukunft, wie es ein visionär denkendes Unternehmen sein muss.

01_Inspiration_DE_130506.indd 28-29 24.09.13 12:17

40 Jahre OBI, KircherBurkhardt Berlin, D, Gold Award

1974Deutschland bekommt ein Umweltbundesamt

1974Das Bundes-Immis-sions-schutzgesetz tritt in Kraft

1975Wasch- und Reini-gungsmittel werden umweltfreundlicher

1978Das Umweltzeichen „Blauer Engel“ wird eingeführt

1988Bleihaltiges Benzin wird verboten

1996Das Kreislaufwirt-schafts- und Abfall-gesetz tritt in Kraft 1974

UMPLIS – das Infor-mations- und Doku-men-tationssystem Umwelt des UBA startet

1978UBA warnt vor Klima-wandel

1983

1979Das UBA warnt vor Asbest

1984Umweltprobenbank nimmt ihre Arbeit auf

1980

1980Waldsterben: Deutschland bangt um seinen Wald

1974

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Jahr

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1985Die Abgassonderun-ter-suchung (ASU) wird Pflicht

2013UBA-Studie: Ein treibhausgasneutra-les Deutschland ist möglich

Die Großfeue-rungs-Anlagenver-ordnung tritt in Kraft

Unbenannt-1 1 30.09.14 18:27

Antarktis 1998Das Umweltschutzprotokoll zum Antarktisvertrag tritt in Kraft. Das Umweltbundesamt wird nationale Genehmigungsbehörde für alle von deutschem Boden ausgehenden Aktivitäten in der Antarktis. Im internationalen Kontext ist das Amt ohnehin seit seiner Gründung 1974 auf vielfache Weise aktiv. Umweltschutz ist eine Aufgabe, die nicht allein national gelöst werden kann.

140506_UBA_Chronik_RZ_Innenseiten.indd 131-132 30.09.14 18:13

1974-2014 40 Jahre Umweltbundesamt, Studio Good, D, Gold Award

n 4. Livres.

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International Creative Design Award 18

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5. 1. Logos d’entreprise.Il apparaît chaque année un grand nombre de nouveaux logos. Mais les labels de marque connus font eux aussi l’objet de toilettages. Cette catégorie a été créée à leur intention. Le jury se chargera de classer les envois, par secteurs ou en fonction de secteurs ou par exemple de la taille des entreprises. Dans la catégorie des logos d’entreprise, seul le logo et une explication sont admis ; donc ne joindre aucun exemple d’application.Droit de participation dans cette catégorie: 35 euros par logo.

Stiftung Offshore-WindenergieRelaunch

Die Stiftung OFFSHORE-WINDENERGIE wurde 2005 auf Initiative des Bundesminis-teriums für Umwelt, Naturschutz und Reak-torsicherheit (BMU) als Vereinigung zur För-derung der Windenergie auf See gegründet.

Die neue Bildmarke der Stiftung zeigt die visuelle Verbindung einer Welle mit dem mathematischen Zeichen für Unendlichkeit. Das neue Logo visualisiert die unendliche Verfügbarkeit der Offshore-Energie und un-terstreicht mit den geschwungenen Formen die Dynamik von Wasser, Welle und Wind. Zugleich steht das Logo für ein Band, das die Stiftung unter den zahlreichen Akteuren der Wind-Energiebranche stetig webt.

Studio GOOD | Planufer 92 D | 10967 Berlin

Les dépôts dans cette catégorie ne doivent être communiqués qu’au format PDF. Veuillez créer des tableaux au format paysage DIN A4. En haut figureront des exemples, en bas des explications en allemand ou en anglais. Votre adresse doit également figurer au bas de chaque page.Veuillez envoyer votre proposition à l’adresse: [email protected] vous en confirmerons réception.

THE NAME AND LOGO: The name and logo has been inspired by traditional Japanese art and language. The name “Yatai” means street kitchen. The portrait has been inspired by the “kokeshi” mascot doll, and the origami art has influenced the geometrical shape of the logo. The bright colours refer to modern Tokyo street life. Jens Rahbek is best described as a passionate, charismatic, optimistic and very warm person and the logo is an abstract portrait of him.

Marketsquare - Antonigade 11 - 1106 Copenhagen - Denmark - [email protected]

Dépôt dans les catégories Design corporate et Logo.

5. Design corporateDans la catégorie Équipements commerciaux, il est possible de présenter toute la gamme d’équipements, mais uniquement au format PDF, sans échantillons originaux. Cette catégorie est subdivisée en secteurs ou en tailles d’entreprises.

Stiftung Offshore Windenergie, Studio Good, D, Gold Award

Challenge Day, Peter Vasvari, H, Silver Award

2 Claudia Eustergerling Design 3, rue Nicolas van Werveke L–2725 Luxemburg

Logo der FirmaLöffler Security Systems

Löffler Security Systems,Eustergerling Design, LUX, Bronze Award

The Pet Pack, Se ha ya mamá, ES, Bronze Award

Empor, Ferrás Corporate Design, A, Gold Award

n 5. Design corporate. n 5.1. Logos d’entreprise.

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5. 2. Papeterie.Enveloppes, papiers à lettre, formulaires de facture, cartes de visite, etc...Ici, ce sont les grands classiques de la com d’entreprise qui sont évalués. Un droit unique de participation est perçu par papeterie, indépendamment du nombre d’exemples envoyés.

Painting company Frank Görlitz,Süllwald Grafikwerk, D, Gold Award

n 5. Design corporate. n 5.2. Papeterie.

Buvette Restaurant Cafe Bar, Designbüro Lysk + Schingarkin Designbüro, D, Bronze Award

Riad du Rabbin, Büro für Linienführung, MA, Gold Award

Page 20: 6. ICMA appel de propositions

International Creative Design Award 20

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THE STREET KITCHEN: Yatai by Jens Rahbek is served from a red container designed and decorated by Marketsquare. The logo is printed on linen rolls attached to bamboo sticks, referring to ancient text rolls. The wooden counter, boxes and chairs were chosen to bring softness to the bright red container and its very square angles.

YATAI I DAG:

Marketsquare - Antonigade 11 - 1106 Copenhagen - Denmark - [email protected]

THE NAME AND LOGO: The name and logo has been inspired by traditional Japanese art and language. The name “Yatai” means street kitchen. The portrait has been inspired by the “kokeshi” mascot doll, and the origami art has influenced the geometrical shape of the logo. The bright colours refer to modern Tokyo street life. Jens Rahbek is best described as a passionate, charismatic, optimistic and very warm person and the logo is an abstract portrait of him.

Marketsquare - Antonigade 11 - 1106 Copenhagen - Denmark - [email protected]

THE MENU FOLDED

Marketsquare - Antonigade 11 - 1106 Copenhagen - Denmark - [email protected]

WEBSITE: The website was designed as a simple online business card using the corporate photo style and the folding grit from the menu. yatai.dk

Marketsquare - Antonigade 11 - 1106 Copenhagen - Denmark - [email protected]

THE PACKAGING: From the street kitchen Jens Rahbek also sells selected sauces. On the packaging of these the logo is used in different tones of colour to distinguish between the different products as well as adding extra food appeal.

MISODIP

MISODIP

TERIYAKISAUCE

TERIYAKISAUCE

CHILIMAYO

CHILIMAYO

STEAK SAUCE

STEAK SAUCE

KYLLINGEFOND

KYLLINGEFOND

TERIYAKISAUCE

250 ml

Sauce af soya. Ingefær & stjerneanis. Autentisk.

Traditionelt brugt til: Lynstegning & sticks.

MISODIP

250 ml

Dip af misopasta, soya & cayenne. Japansk.

Traditionelt brugt til: Grønt & marinade til kød & fisk.

CHILIMAYO

250 ml

Hjemmerørt mayo. Chili. Citron. Det bedste fra Japan. Til dybstegte retter

og sandwich.

STEAKSAUCE

250 ml

Sauce af misopasta & ingefær. Hvidløg. Chili.

Efter familieopskrift. God til barbecue & wok.

KYLLINGE FOND

520 ml

Efter unik opskrift. Med bæredygtig kylling.

Grønt. Krydderier. Og smag. Masser!

Marketsquare - Antonigade 11 - 1106 Copenhagen - Denmark - [email protected]

THE T-SHIRT: Translation: YATAI by Jens Rahbek !Authentic! JAPANESE Street kitchen TASTE It now ENJOY!

Marketsquare - Antonigade 11 - 1106 Copenhagen - Denmark - [email protected]

GIFT CARD

Marketsquare - Antonigade 11 - 1106 Copenhagen - Denmark - [email protected]

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spatz

spspatatzz

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www.happs.comwww.happs.comwww.happs.comwww.happs.comwww.happs.com

www.happs.comwww.happs.comwww.happs.comwww.happs.comwww.happs.comwww.happs.comwww.happs.comwww.happs.comwww.happs.comwww.happs.comwww.happs.comwww.happs.comwww.happs.comwww.happs.comwww.happs.com

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03. Septemer 2013

Neueröffnung happs – Das Snackrestaurant HaferSehr geehrte Damen und Herren,

Essen ist nicht mehr das, was es mal war. Immer mehr Menschen nehmen sich nur noch wenig Zeit für ihre Mahlzeiten. Gleichzeitig legen immer mehr Menschen Wert auf qualitativ hochwertige, gesunde Zutaten.

Deshalb ist die Bedeutung von einem gesunden Snack deutlich gestiegen: die Men-schen wollen etwas Besonderes und Neuartiges probieren und erleben. Keine Döner und fettige Pommes mehr, sondern etwas Gesundes möchten sie.

Gefragt ist der schnelle, genussvolle Snack zwischendurch. Und dieser muss für im-mer mehr Kunden nicht nur leicht und gesund sein: Der Wunsch nach qualitativ hochwertigen, vollwertigen Zutaten und ökologisch erzeugten Produkten spielt bei den neuen schnellen Mahlzeiten eine immer größere Rolle. Genau hier setzt das An-gebot von happs an und erfüllt die Bedürfnisse einer breiten Zielgruppe.

Vor allem die Food-Branche wird neue Wege gehen. Und happs geht voran – happs definiert Fastfood neu und vereint den urbanen Lebensstil mit Gesundheitsbewusst-sein und Nachhaltigkeit. Trotz schnell zubereitetes Essen geht es um eine gesun-de und bewusste Ernährung. Dass es nicht immer ungesund sein muss, zeigt unser Snack-Restaurant.

Herzliche Grüße aus HamburgMax Mustermann

kunstschule wandsbek GmbHberufsfachschule für kommunikationsdesignneumann-reichard-str. 27-33, haus 19

22041 hamburg

KontaktMuster Straße 57 25776 Musterstadtt +49 (0) 41 41 . 860 56 00 f +49 (0) 176 . 72 12 54 [email protected]

GeschäftsführerMax Mustermann

VorstandNia Muster

HandelsregisterMusterstadt, HRB 12 345USt ID: DE 123 456 789

BankverbindungKreisparkasse MusterstadtKonto-Nr. 874149 BLZ 241 511 16

happs GmbH . Muster Straße 57 . 25776 Musterstadt

happs GmbHMuster Straße 57 25776 Musterstadt

t +49 (0) 41 41 . 860 56 01f +49 (0) 176 . 72 12 54 90

[email protected]

Max MustermannGeschäftsführung

Max MustermannMax MustermannMax MustermannGeschäftsführung

Max MustermannGeschäftsführung

Max MustermannMax MustermannGeschäftsführung

Max MustermannMax MustermannGeschäftsführungGeschäftsführungGeschäftsführung

YATAI, Marketsquare, DK, Silver Award happs, Lana-Mariesa Schütt, D, Gold Award

n 5. Design corporate. n 5.2. Papeterie.

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International Creative Design Award 21

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Deux exemples de manuels de corporate design.

n 5. Design corporate. n 5. 3. Manuels de design corporate.

5. 3. Manuels de design corporate.Un bon design corporate s’accompagne toujours d’un manuel de design dans lequel sont énumérés les détails. Cette nouvelle catégorie a été créée spécialement à l’intention de ces manuels.

Stand Februar 2015Norbert Küpper · Büro für Zeitungsdesign

Thüringische

LandeszeitungTLZ.DE

Corporate-Design Manual

TLZ Corporate-Design Manual 15.2.2015 5.indd 1 15.06.15 16:33

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Thüringische

LandeszeitungTLZ.DE

TLZ.DE

Thüringische Landeszeitung

Eichsfelder Tageblatt

TLZ.DE

Thüringische Landeszeitung

Gothaer Tagespost

TLZ.DE

Thüringische Landeszeitung

Eisenacher Presse

Abschlusslinie RotLinienstärke 2 Pt.

LogosBreite 201 mm und größer

Linie obenLinienstärke 0,8 Pt.Die Linie ist so lang wie der Schriftzug darunter.

1

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1

2

Die digitalen Daten dieser Logos werden für sehr große Flächen, wie Poster und Roll-Ups verwendet.

201 mm und größer

TLZ Corporate-Design Manual 15.2.2015 5.indd 4 15.06.15 16:33

Powerpoint-Präsentation

46TLZ Corporate-Design Manual 15.2.2015 5.indd 46 15.06.15 16:32

50

3. November 2014 · Überschrift des Vortrages Seite 4

Überschrift Tabac Sans semibold 95 % Breite

© TLZ, 4/2014 Quelle: RFID-Report 2014

Einsatz istgrundsätzlich

geeignet79

Einsatz ist grundsätzlich ungeeignet39

Einsatz istgeplant(<2 Jahre)45

Ja102

befragteUnternehmen

265

Die Ergebnisse des RFID-Reports 2014Die Infografik soll so gestaltet werden, dass sie für sich spricht

1

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Powerpoint-Präsentation

Schriftzug Thüringische Landeszeitung mit TLZ.DEauf weißem Streifen.

ÜberschriftTabac Sans semibold auf 95 Prozent Breite.

4 Datum und SeitenzahlTabac Sans regular

3 TextTabac Sans regular auf 95 Prozent Breite.

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TLZ Corporate-Design Manual 15.2.2015 5.indd 50 15.06.15 16:32

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Schriften

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Die Schriften bei Fontshop.com

Die Mediengruppe hat die Schriften für jeden Computer der Gruppe gekauft. Sie müssen allerdings installiert werden. Externe Dienstleister können sich die einzelnen Schnitte bei fontshop.com beschaffen.

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Tabac Sans regular

Tabac Sans semibold

Tabac Sans bold

Tabac Sans bold ita-liczum Beispiel für „Herzlich willkomm-Tabac G2 regular

Tabac G2 medium

Tabac G2 semibold

Eingesetzte Schriften

Grundschrift für alle Corporate Design- und Werbemittel.

Hervorhebungen, zum Beispiel für Namen.

Das Logo TLZ wird aus dieser Schrift gesetzt.

Grundschrift für repräsentative Texte, zum Beispiel Zitate Einladung Leser-Abend.

Schrift für Hervorhebungen.

Schrift für den Zeitungskopf. Der Kopf wird modifiziert. Darum immer die digitale Vorlage des Kopfes verwenden.

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Grundschrift für Kommunikationsmittel

Grundschrift für repräsentative Texte

TLZ Corporate-Design Manual 15.2.2015 5.indd 58 15.06.15 16:32

Stand Juni 2015Norbert KüpperBüro für [email protected]

Corporate-Design Manual

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Über jedem Schriftzug steht „Moin“ im Vollton.

Schriftzüge

Die Schriftzüge werden aus der Myriad Pro Black italic auf 96 % Breite gesetzt.

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Sonntagsblatt

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Die Schriftzüge haben alle die gleiche Schriftgöße und sind alle auf 96 % condensed.

Farben

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Grün CMYKC45 M0 Y80 K0

Rot CMYKC0 M90 Y100 K0

Orange CMYKC0 M65 Y100 K0

Farben Print und Online

Die Angaben für CMYK sind verbindlich.

Farbabweichungen am Bildschirm und auf unterschiedlichen Papiersorten sind unvermeidlich.

Hinweis:CMYK ist für alle Dinge, die gedruckt werden sollen.

RGB ist für den Bild-schirm, also Computer oder Fernseher.

Grün RGBR163 G198 B83

Rot RGBR229 G53 B23

Orange RGBR236 G116 B4

Sand CMYKC2 M8 Y16 K0

Sand RGBR250 G237 B219

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Novel Sans Pro extralight 96 %

Novel Sans Pro regular 96 %

Novel Sans Pro bold 96 %

Novel Sans Pro extrabold 96 %

Novel Sans Pro extrabold italic 96 %

TheAntiqua B3 Light 98 %

Eingesetzte Schriften

Schrift für Überschriftender Eigenanzeigen.

Schrift für den Text bei Briefen und für Angaben auf Briefbögen und Visitenkarten.Es ist die Grundschrift der Zeitung und soll die Zeitungs-Anmutung transportieren.

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Grundschrift für die Eigenanzeigen

Grundschrift für Briefbögen und Visitenkarten

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2 Schrift für den Grundtext der Eigenanzeigen.

3 Schrift für Hervor-hebungen in Texten der Eigenanzeigen.

4 WeitereSchrift für Überschriftender Eigenanzeigen.

5 Schrift für Überschriftender Eigenanzeigen. Diese Kursive wird nur selten benutzt.

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Typografische Details

Gliederung innerhalb einer Zeile:Es wird kein mitte-stehender, sondern ein satzschließender Punkt verwendet.Vor- und nach dem Punkt folgt ein Wortzwischenraum.

Lesershop EmdenRingstraße 17 a26721 Emden Telefon 0 49 21 . 9 30 80 Geschäftszeiten: Mo. – Fr. 8 – 17 Uhr

Emder Zeitung GmbH & Co. KG26721 Emden . Ringstraße 17 aTel. 0 49 21 . 89 00-200 . Fax -299Mobil 01 51 . 16 26 08 22Email [email protected]

3 Gliederung von Telefonnummern:Es wird ein satzschließender Punkt verwendet.Vor- und nach dem Punkt folgt ein normaler Wortzwischenraum:

5 Verwendung desGeviertstriches:Er wird anstelle des Wortes „bis“ verwendet.Mo. - Fr. 8 - 17 Uhr

Typografische Details: So ist es falsch.

Divis hier nicht verwenden

Telefon (0 49 21) 9 30 80

Telefon 0 49 21 / 9 30 80

Klammer nicht verwenden

Schrägstrich nicht verwenden

Typografische Details: So ist es richtig.

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helsingin sanOmat 's custOm t ypefacesex amples in digital

5.4. Design typographique.Les polices de caractères sont évaluées dans cette catégorie. Elles doivent avoir été créées depuis 2010. Veuillez nous envoyer les alphabets complets et des échantillons d’utilisation sous forme de fichiers PDF.

Departementschef:

og departementschefer

efterår 2014 pris 110 kr.

Hvem er

Mette?Portræt af

stort tema:

Magten

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Mandag 29. september 2014kl. 9:00-17:00

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for ungdoms- uddannelse konference, hvor du bl.a. kan debattere aktører og de unge selv.

Tid:

Sted:

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∫uddannelse

014

or abonnenter

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by og bolig

christiansborg

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energi og klima

euforskning

forskningsformidling

fødevarer uddannelse

justits

kommunal

kultur

miljø

social

sundhed

teknik

transportudvikling

usa

velfærdsteknologi

Almedia regular, Scandinavian Branding, DK, Award of ExcellenceCustom typefaces Helsingin Sanomat, Christian Schwartz & Paul Barnes, FIN, Award of Excellence

n 5. Design corporate. n 5.4. Design typographique.

Page 23: 6. ICMA appel de propositions

International Creative Media Award 23

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6. Périodiques, magazines, illustrés.Cette catégorie a trait au concept d’ensemble de votre périodique. En voici les mots-clés: page-titre, sommaire, guidage du lecteur, article en couverture, succession des thèmes, mise en page et typographie Merci de nous envoyer deux numéros différents de votre publication (droit unique perçu pour les deux).

Les sous-catégories suivantes sont disponibles:6. 01. Architecture, art & design6. 02. Automobile & transports6. 03. Informatique & technique6. 04. Parents & éducation6. 05. Boire & Manger6. 06. Film & TV6. 07. Photographie6. 08. Femme et mode6. 09. Jardin et bricolage6. 10. Enfants et adolescents6. 11. Lifestyle & Fun6. 12. Musique6. 13. Politique6. 14. Guides6. 15. Secteur caritatif et associatif, institutions6. 16. Voyages6. 17. Sport6. 18. Économie & Finances6. 19. Sciences6. 20. Magazines en général

6.1. Architecture, Art & Design

Grand Designs, Universal Magazines, AUS, Award of Excellence

n 6. Périodiques, magazines, illustrés.

Page 24: 6. ICMA appel de propositions

International Creative Media Award 24

06.11. Lifestyle & Fun.

6.15. Secteur caritatif et associatif, institutions.

6. Propositions étudiants.Les travaux étudiants peuvent concourir dans toutes les catégories. Seule la moitié des droits normaux est perçue sur ces travaux.

06.17. Sport.

Shortcut.indb 4 17.06.14 16:05

012 | Shortcut

Tanamachi ist eine Grafik-Designerin aus Brooklyn, New York. Sie entdeckte eine neue Leidenschaft in einem unge-wöhnlichen Medium und hatte damit Riesenerfolg.

Ihre Erfolgsgeschichte begann bei einer Hausparty eines Freundes. In der Woh-nung befand sich eine riesige Tafel und er bat sie etwas darauf zu skizzieren. Den Besuchern der Party gefiel das Motiv so gut, dass sich alle davor foto-grafieren ließen. Die Bilder verbreiteten sich dann wie ein Lauffeuer in den sozialen Netzwerken und so erhielt sie

Die Kunst der Kreide

W er kennt das nicht? Der Lehrer verlässt das Klassenzimmer und die

Schüler stürzen sich an die Tafel und malen drauf los! Doch nicht nur Kindern gefällt das Malen an der Tafel; eine Amerikanerin machte sich dieses Hobby zum Beruf. Die Rede ist von Dana Tanamachi.

ihren ersten offiziellen Auftrag in einem Möbel-Showroom in SoHo. Jobs folgten aus aller Welt, von der Gestaltung von Schaufenstern, Innenräumen bis hin zum Magazin-Coverdesign.

Jedes Projekt beginnt sie mit einer gro-ben Skizze und arbeitet sich dann Ab-schnitt für Abschnitt voran. Tanamachi bringt sowohl ihren persönlichen Stil als auch die Bedürfnisse der Kunden in jedem Kunstwerk mit ein. Ihre verwen-deten Schriften sind alle von ihr selbst entwickelt: Ihre große Leidenschaft gilt nämlich der Typografie. Schriften skiz-ziert sie im Park oder in der U-Bahn und sie ist immer auf der Suche ihre eigene Bildsprache zu erweitern. Sie formt die Buchstaben, ähnlich wie ein Bildhauer,

bis die Breiten und Kurven genau sitzen. Um die Arbeit so einfach wie möglich zu halten, verwendet sie statt einem Messband oft ihren Körper als Lineal. Um eine vertikale Linie zu ziehen, hält sie sich z.B. die Kreide vor das Gesicht, beugt sich in die Knie und zieht die Linie dabei mit nach unten.

Ihre Karriere hingegen geht weiterhin steil nach oben, denn sie ist mittlerweile ein echter Geheimtipp geworden. Arbeiten mit Farbe oder Tinte käme für sie jedoch nicht in Frage. Dessen Dauer-haftigkeit findet sie beängstigend.

»Ich könnte mir nicht vorstellen mit Tinte oder Farbe zu arbeiten«

Dan

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»Ich könnte mir nicht vorstellen mit Tinte oder Farbe zu arbeiten«

bis die Breiten und Kurven genau sitzen.

Die Kunst der Kreide

Anja Plank, Marion Agstner

Anja Plank

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Program Verdens Ballett 2014, PS Communication, DK, Award of Excellence

AUSGABE 22SommEr 2013

EstimatEd REading timE: 613 min

d 15 EUR a 15 EURCH 25 sFR

A U T O . K U L T U R . M A G A Z I N # 22

sOMe LIKe IT hOT

Ausgerechnet Österreicher wollen in der rAumfAhrt mitmischen. ist dAs nicht lustig? ist es nicht. die meinen dAs totAl ernst. in der sAhArA testen sie schon mAl den neuen rAumAnzug. text Philipp Maußhardtfotos Benjamin Pichelmann represented by Schierke.compostproduction Thomas Gering www.rawkitchen.de

Reise zummaRs

bzw. Von einem

andeRensteRn50 ru n ning w ild 51

Pichelmanns Smartphone wies uns den Weg Richtung Südosten, wo an diesem Morgen noch die Schneefelder vom Hohen Atlas grüßten. Draußen vor den Scheiben wechselten die Farben vom Grün der Dattelplantagen allmählich in das Ocker des Vorgebirges, während wir im Innern weich gefedert unsere Reise zum Mars als einen unwirklichen Film ablaufen sahen. So luxuriös wird niemals ein Astronaut zum roten Planeten fliegen. »Austronaut«, witzelte ich, und wir über-brückten die folgende Strecke, durch die Geröllfelder immer südwärts, mit Österreicher-Witzen. Was ist ein Austronaut? Ein Raumfahrer mit Jodeldiplom. Oder der: Österreich beschließt, als erstes Land zur Sonne zu fliegen. »Ist es da nicht zu heiß?«, fragt ein Amerikaner. »Nein«, sagt der Österreicher, »wir landen nachts«.

Ohne eine Landkarte fühle ich mich in fremden Gegenden immer verloren, trotz GPS. Die physische Darstellung der Erde, die Flussläufe, Höhenzüge, Siedlungen übersetzt mein Gehirn in Bilder, die ich dann mit der Realität vergleiche. Ich bin da altmodisch, so, wie ich auch in jeder sternenklaren Nacht nach dem Polarstern suche, um mich einzunorden. Der Rote Planet Mars stand in diesen Tagen im Sternbild des Steinbock und war nur mit geübten Augen zu sehen. Die Vorstellung, dass in einigen Jahren der erste Mensch auf die-sen winzigen Punkt am Himmelszelt seinen Fuß setzen wird, klingt noch ungeheuerlicher, wenn man weiß, dass zwischen ihm und uns mindestens 56 Millionen Kilometer, manchmal aber auch 400 Millionen Kilometer liegen, je nach seiner Position auf der Sonnenumlaufbahn. Würde man mit einem Auto zum Mars fahren und nähme eine durchschnittliche Reisegeschwindigkeit von 120 Kilometern in der Stunde, die Fahrt dauerte mindestens 53 Jahre.

Die nächste Marsrakete, so schätzt man bei der NASA, wird es in etwa 200 Tagen schaffen. Keine zwanzig Jahre mehr, so glauben die Marsforscher, und der erste Mensch wird den kleinen Bruder der Erde betreten. Ob es ein Amerikaner, ein

Russe oder ein Europäer sein wird, ist noch nicht klar. Nur eines weiß man ziemlich sicher: Ein Österreicher wird es nicht sein. Österreich hat kein Astronautenprogramm, es hat sich sogar aus dem Programm der European Space Agency (ESA), was die bemannte Raumfahrt anbetrifft, gänzlich abgemeldet. Und trotzdem waren Pichelmann und ich gerade auf dem Weg, Vertreter dieses Alpenvölkleins in der Wüste zu treffen, die dort einen marstauglichen Raumanzug testeten. Irgendwie brachte ich das nicht unter einen Hut.

Unsere 8-Zylinder zogen uns spielend die Serpentinen zum Pass hinauf auf mehr als 2.200 Höhenmeter. An jeder Haarnadelkurve streckten uns fliegende Händler ihre gefälschten Halbedelsteine in grellen Farben entgegen. Irgendwann waren wir weich genug und hielten an. Ich kauf-te einem alten Mann eine unechte Steindruse ab, sie war aus Zement und Bleistaub zusammengeklebt, aber handwerklich nicht schlecht gemacht. »Alles echt, alles echt!«, rief er uns noch zum Abschied hinterher und löste bei mir damit einen Gedankensturm aus: Was ist hier überhaupt echt? Die Wüste, der Mars, der Bleistaub, der Pyrit?

Vor meiner Abreise hatte ich gelesen, dass es diese Raum-fahrer-Truppe in der Wüste völlig ernst mit ihrer Mars-mission meinte. Das sei kein »Mars-Workshop« für aus-gebrannte Physiklehrer, auch kein Selbstfindungstrip für sinnsuchende Mittfünfziger. Das Österreichische Weltraum Forum e.V. (ÖWF) gibt es wirklich. Und seine etwa 150 Mit-glieder machen sich schon seit Jahren Gedanken über diese letzte große Expedition, die der Menschheit in diesem Jahr-hundert bevorsteht. Sie tauschen Ideen aus mit Marsianern auf der ganzen Welt, sie halten Vorträge in Schulen, sie suchen nach Nischen, die die großen Weltraumagenturen nicht schon besetzt halten. Pichelmann und ich waren neu-gierig, auf was für Menschen wir am selben Abend noch sto-ßen würden.

Mit jedem Kilometer wurden die Straßen schlechter und die Entfernungen zwischen den Ortschaften größer. Unser Marsfahrzeug fühlt sich überirdisch an: Als führe der G 500 auf einer Wolke, steckte er alle Bodenwellen und Schlaglöcher weg, ohne dass es uns auch nur einen Zentimeter aus den gefederten Sitzen hob. Selbst größe-re Steinbrocken auf der Fahrbahn jagten uns bald keinen Schrecken mehr ein. Einfach drüber fahren. Einmal führte die Strecke durch einen Wadi, ein ausgetrocknetes Flussbett. Die dreistufige elektronische Differentialsperre gab uns das sichere Gefühl, noch immer eine Eskalationsstufe höher zu können. Bodenfreiheit! Was für ein Wort. Noch selten wurde ein Fahrzeug diesem schnöden Begriff so gerecht. Aus reinem Übermut lenkten wir den Geländewagen hin und wieder ab von der Piste und stoben parallel dazu weiter in unsere Richtung. Im Rückspiegel stieg eine Staubwolke auf, die den Geiern unser Kommen ankündigte. Bodenfreiheit ist kein Gefühl, aber sie erzeugt ein Gefühl; ein Freiheitsgefühl; ein Gefühl von Unabhängigkeit; sich von der physischen

WüRde man miteinem auto zum maRs fahRen

und nähme eine Reise-geschWindigkeit

Von 120 kilometeRn

in deR stunde, die fahRt

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Als Zieladresse hatten wir die Koordinaten in unser Navi eingegeben: N 31°21’55.31’’ und W 004°04’15.52’’. Mehr wollte uns die Pressesprecherin des Österreichischen Weltraum Forums (ÖWF) nicht verraten, und das auch nur hinter vorgehaltener Hand. Alles top secret. Vor allem, weil die Koordinaten ziemlich genau zur Grenze nach Algerien wiesen, wo erst vor wenigen Wochen Al-Kaida-Terroristen westliche Geiseln genommen hatten. So ein rot-weiß-rotes österreichisches Marsmännchen als Geisel … Da war es schon wieder, dieses überhebliche, ignorante, völlig unangebrachte Gekicher, nur weil man die kleine Alpenrepublik und die große Weltraumforschung nicht miteinander in Einklang brachte.

Bei Google Earth hatte ich mit den Koordinaten-Einträgen immerhin ein braunes Stück Erde zu Gesicht bekommen. Nowhere man in nowhere land. Aber genau dieses menschenleere gelb-braun-rote Stückchen Erde, so hatte ich in den Unterlagen des »Österreichischen Weltraum Forums« (ÖWF) gelesen, ähnele auf verblüffende Weise der Marsoberfläche: Sand- und Geröllflächen, zerklüftetes Gelände, hohe Klippen, tiefe Schluchten.

Für die gut 600 Kilometer lange Strecke von Marrakesch in die Nord-sahara bei Erfoud war unser Mercedes G 500 mit seinem V8-Sauger eine hervorragende Wahl.

Riad heissen die

um einen innenhof angelegten häuseR.

medina heisst

die altstadt von maRRakech.

und ina heisst

die schönheit.

Der Anruf kam an einem Freitag im Februar. Draußen vor dem Fenster lag noch Schnee und die Sehnsucht, wegzu-fahren, irgendwohin, wo den ganzen Tag die Sonne scheint, hatte mir schon ein Loch in die Gehirnrinde geätzt. »Willst du am Montag auf den Mars?« Ehrlich gesagt, ich hätte sogar zu einem Ausflug auf den Saturn ja gesagt. Nur weg hier, weg aus diesem deutschen Spätwintergrau an einen schneelosen, wüs-tenähnlichen Ort.

72 Stunden später saß ich in einem kleinen, schnuckeligen Hotel mitten in der Altstadt von Marrakech und konnte mei-nen Blick kaum noch von der Hotelbesitzerin lassen, einer jungen Deutschen, die vor fünf Jahren ihre Hamburger Bleibe gegen ein Riad in der Medina tauschte. Riad heißen die um einen Innenhof angelegten Häuser. Medina heißt die Altstadt von Marrakech. Und Ina heißt die Schönheit.

Es gab gekühlten französischen Weißwein, den der Fotograf und ich später noch alleine auf der Dachterrasse schlürften, während ich darüber kicherte, dass der Fotograf ausgerechnet Pichelmann hieß. Pichelmann kicherte, weil wir am nächsten Tag beide zum Mars fahren würden, um Österreicher zu tref-

fen. »Österreicher auf dem Mars«, Pichelmann kriegte sich fast nicht mehr ein bei dieser Vorstellung, und dabei hatte ich noch immer das Lachen im Ohr von allen, denen ich zu Hause den Grund meiner Reise nach Marokko erzählt hatte: Österreicher testen in der Sahara ihren neuen Marsanzug. Dieser eine Satz genügte, um ungläubiges Staunen und anschließendes fast hysterisches Gelächter zu erzeugen. »Soll das ein Scherz sein?« Nein, auch kein Karnevals-Gag, es ist die reine Wahrheit.

Am nächsten Morgen suchten wir die Ausfahrt aus der Altstadt. Irgendwie waren wir schließlich auch hineingekom-men. Die Händler in den engen Gassen des Bazarviertels rieben sich etwas verwundert die Augen oder rückten ihre Auslagen murrend zur Seite. Ein Mercedes G 500 ist nicht unbedingt das ideale Fortbewegungsmittel für einen ara-bischen Bazar und ein Navigationsgerät die eher zweitbeste Lösung, aus dem Gewirr der Gassen zu entkommen. Die beste Lösung hieß Mohamed, hatte zwei gesunde Füße und rannte, als er unsere Lage erkannte, einfach vor unserm Fahrzeug her, laut rufend und die Eselwagen zur Seite bittend. Wir bedankten uns mit einem angemessenen Trinkgeld.

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ramp #22, Red Indians Publishing, D, Gold Award

Roosters Fan Magazin, Tölle GmbH, D, Gold Award

Shortcut, Werbe Design Akademie Innsbruck, A, Silver Award

n 6. Périodiques, magazines, illustrés.

Page 25: 6. ICMA appel de propositions

International Creative Media Award 25

7. Périodiques clientsBusiness to Business (B2B).Veuillez nous envoyer deux numéros différents de votre publication (droit unique perçu pour les deux).

From sawdustto quality paper

Customer magazine – 2/2012❮❮ mythbusters – Wood ❯

Question 1)Does forest harvesting destroy nature?

“As a medium-sized planing mill, we must be able to offer a wide selec-tion of dimensions and lengths as well as rapid deliveries – all this at a very high quality. Kotkamills meets our requirements and is an ideal partner for us. Without fail, the company delivers in terms of qual-ity, dimensions and lengths. Reli-able deliveries and comprehensive service are important to us.”

Mr. Walter ParadiesMAnAging Director,HBV, Holz- unD BAustoff- VertrieB gMBH & co. Kg

❮❮ Wood construction ❯

Sustainable developmentno, it Doesn´t. When used appro-priately, wood is excellent for fighting the greenhouse effect.The amount of carbon dioxide in the atmosphere continues to grow and accelerate the greenhouse effect. A cubic metre of wood binds 0.9 tonnes of carbon dioxide. Rapidly growing young trees bind more carbon than old trees.

The cutting of trees for industrial use slows the greenhouse effect, as long as sustainability is taken into consideration. If trees were allowed to decay in forests, they would release the carbon dioxide bound in them. About 56 million cubic metres of wood is cut from Finnish forests for industrial use annually. However, the sustainable use of forests would allow up to 72 mil-lion cubic metres to be cut each year.

The market share of wood in the Finnish construction market is about 40 percent, as opposed to 4–9 percent elsewhere in Europe. The greenhouse effect can be reduced rapidly by increasing wooden construction.

Wood helps the planet

10 — K o t K A M i l l s c u s t o M e r M A g A z i n e 11

Dans les catégories sept, huit et neuf, les sous-catégories suivantes sont prévues:

. 1. Finances, immobilier, assurances

. 2. Transports, logistique, automobile

. 3. Industrie

. 4. Commerce

. 5. Consommation

. 6. Énergie

. 7. Secteur santé et pharmacie

. 8. Informatique, télécoms

. 9. Media, culture

. 10. Tourisme, voyages

. 11. Artisanat, construction

. 12. Architecture

. 13. Secteur caritatif et associatif, institutions

. 14. Divers

Merci, donc, d’indiquer:Catégorie 7.01, 8.01, 9.01, etc.

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Kotkamills, dialogi, FIN, Bronze Award

Chancen, fischerAppelt, D, Gold Award

Flow, Dialogi, FIN, Award of Excellence

n 7. Périodiques clients, Business to Business (B2B).

Page 26: 6. ICMA appel de propositions

International Creative Media Award 26

OMAT RAHAT

Herätys suomalaiset, nyt sijoittamaan! s. 20

AJAN TAJU

Lisää iskukykyä FIMin arvopaperi­välitykseen s. 6

TEEMA

Asuntorahastolla kiinni trendiin s. 24

MAAILMA NYT

Suomen kyseenalainen kärkipaikka s. 28

FIM­KONSERNIN LEHTI TÄYNNÄ RAHANTAJUA 2014

#02

Rahan virrat

12   13

Maailman sijoitusrahastomarkkinoille on sijoitettu noin 30 000 miljardin dollarin edestä varoja. Suuri osa näistä

varoista etsii aktiivisesti tuottoisimpia sijoituskohteita eri puolilta maailmaa. Rahastosijoitusvirrat määräävätkin eri sijoituskohteiden arvon globaalilla tasolla ja heiluttelevat

toisinaan markkinoita suuresti.T E K S T I K A R I L A T V A N E N K U V A 1 2 3 R F

Rahan virrat

Vuoksi ja luode

Vuorovesi-ilmiö johtuu kuun ja auringon vetovoi-

masta. Vuorovesivaihtelun korkeuseroksi on mitattu suurimmillaan jopa lähes

kuusitoista metriä.

OMAT RAHAT

Lisää taloustaidon opetusta s. 20

AJAN TAJU

Taktinen allokaa-tio sijoittamisen ytimessä s. 6

TEEMA

Varakkuus pidetään piilossa s. 24

MAAILMA NYT

EKP ja Fed kulkevat eri suuntiin s. 28

FIM-KONSERNIN LEHTI TÄYNNÄ RAHANTAJUA 2014

#03

Aasian kehittyvät kasvot

12   13

Malesia aikoo nousta kehittyneiden maiden joukkoon vuoteen 2020 mennessä. Indonesian uusi presidentti tahtoo nostaa talouskasvun 7 prosenttiin. Vietnam

ja Filippiinit kasvavat hurjaa vauhtia. Intiassa talousuudistuksia luvannut Modi teki jytkyn. Thaimaassa

talous on sotilasjuntan ykkösasia. Aasiassa jyrää muuallakin kuin Kiinassa.

T E K S T I K A R I L A T V A N E N K U V A 1 2 3 R F

AASIAN KEHITTYVÄT

KASVOTR x _ 1 3 2 _ 9 1 2 2 _ S i l v e r K - 1 2 0 1 3 - 1 2 - 2 1 T 1 5 : 0 7 : 4 1 + 0 8 : 0 0

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THE TRAVEL MAGAZINE OF S INGAPORE AIRLINES | SILVERKRIS .COM

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Hungry inTaiwan

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J O U R N A L S

belgium

52 | SILVERKRIS.COM

B A picture of Rene Magritte hangs in the museum that bears his name in the centre of Brussels.

C Painter Rene Magritte’s restored Brussels home is open to visitors.

D Every other August, the square of La Grand-Place is covered by a carpet of flowers.

B

Cthe centre of the Belgian capital. And his works punctuate our cultural consciousness, manifesting themselves in collectible souvenirs, from postcards to tea towels.

But more importantly perhaps, Magritte reminds us that appearances are deceptive, especially in Belgium.

This is a little country with a big reputation for being eccentric. At just 30,000 sq km, it would take 20 Belgiums to fill France. It’s a place where mussels and fries are a national dish; a statue of a boy urinating is venerated; chocolate and comic books are an obsession; and beer comes in at least 450 different varieties.

To appreciate this country in all its surreal glory, start with La Grand-Place in the centre of Brussels, one of the most beautiful squares in Europe surrounded by centuries-old elegant golden guildhalls. It’s not surreal – except on a few

W ith his bowler hat, dark suit, black tie and crisp white

shirt, the Belgian artist Rene Magritte always looked the picture of normality. But behind the neat curtains of his tiny Brussels apartment, he could conjure up weirdness with a brushstroke.

He would transform women into fishes, swop faces for apples and carve birds from chunks of sky. Occasionally he would summon trains from a fireplace, magic rain into hundreds of little men and, famously, paint a pipe and write underneath: “This is not a pipe.”

Today, these artworks are celebrated as the epitome of surrealism and his cramped little home is preserved as the Rene Magritte Museum (magrittemuseum.be). More than 200 of his most famous works can be seen at Musee Magritte Museum (www.musee-magritte-museum.be), a sleek gallery in

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PAKT DES SCHWEIGENSSpanien und das Erbe der Franco-Diktatur

ASERBAIDSCHAN: 0 POINTSEurovision Song Contest und Menschenrechte

DIE KUNST DES AUFSTANDSKreativer Protest gegen Putins Russland

DAS MAGAZIN FÜR DIE MENSCHENRECHTE 4,80 EURO

AMNESTY JOURNAL

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04/052012APRIL/MAI

WAFFENKONTROLLEFÜR EINE KUGELSICHERE

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21THEMA | WAFFENHANDEL

hat bei den internationalen Verhandlungen im Juli eine beson-dere Verantwortung, ist Deutschland doch der drittgrößte Waf-fenexporteur weltweit.

Gemeinsam mit anderen Nichtregierungsorganisationenwird sich Amnesty in den nächsten Monaten mit aller Kraft da-für einsetzen, dass sich die Staaten auf einen starken ATT eini-gen. Es darf nicht so kommen wie 1925. Damals verhandelte dieinternationale Staatengemeinschaft zuletzt über einen interna-tionalen Vertrag zur Waffenkontrolle – und scheiterte.

Katharina Spieß ist Amnesty-Expertin für Rüstung und Menschenrechte.

del in allen Staaten der Welt. Außerdem werden sie noch viel zuhäufig umgangen.

Ein Waffenhandelskontrollvertrag ist aber nur wirksam,wenn er den Transfer aller Rüstungsgüter verbietet, die die Men-schenrechte oder das humanitäre Völkerrecht verletzen könnenoder die Armutsbekämpfung eines Landes gefährden. Zudemmuss ein solcher Vertrag alle konventionellen Rüstungsgüterumfassen und schließlich müssen die Staaten jeden geplantenWaffenhandel prüfen und kontrollieren.

Erfreulich ist, dass sich die Bundesregierung für einen star-ken Waffenhandelskontrollvertrag einsetzt. Das ist gut, denn sie

20 AMNESTY JOURNAL | 04-05/2012

Euro verkauft. Und jedes Jahr kommen infolge des unkontrol-lierten Waffenhandels etwa 300.000 Menschen durch Waffen-gewalt ums Leben – außerhalb von bewaffneten Konflikten. Vordiesem Hintergrund wundert es nicht, dass 60 Prozent aller vonAmnesty International dokumentierten Menschenrechtsverlet-zungen mit Klein- und Leichtwaffen begangen werden.

Um dies zu ändern, ist ein internationaler Waffenhandels-kontrollvertrag (»Arms Trade Treaty«, ATT) dringend notwendig.Die bestehenden nationalen oder regionalen Regeln (wie z.B. derGemeinsame Standpunkt der EU-Staaten zum Waffenexport)reichen nicht aus, denn sie kontrollieren nicht den Waffenhan-

Historischer VertragIm Juli wird in New York ein historischer Vertrag verhandelt:Erstmals in der Geschichte der Vereinten Nationen beraten dieStaaten der Welt über Regeln, die den internationalen Waffen-handel kontrollieren sollen.

Es ist erstaunlich: Während zum Beispiel detaillierte interna-tionale Vereinbarungen darüber existieren, wie Astronauten imFalle einer »Weltallnot« gerettet werden sollen, gibt es zur Kon-trolle des Handels mit konventionellen Waffen bis heute keineweltweite Regelung. Dabei ist der Waffenhandel längst globali-siert und seine Folgen sind fatal: Jedes Jahr werden weltweitKlein- und Leichtwaffen im Wert von knapp drei Milliarden

amnestyjournal0512_Layout 1 24.09.12 00:13 Seite 20

Systematische Menschenrechtsverletzungen, Kriegsver-brechen, Mord, Vergewaltigungen und schwerwiegendeVerletzungen sind seit Jahren die fatale Folge eines un-verantwortlichen und häufig unkontrollierten weltwei-

ten Rüstungshandels. Waffenlieferungen heizen nicht nur Kon-flikte an, sie gefährden auch die Millenniums-Entwicklungszieleder UNO, wie z.B. die Bekämpfung der Armut. Was mit den – inder Regel völlig legal – exportierten Rüstungsgütern geschieht,zeigte sich besonders drastisch während des »Arabischen Früh-lings« Anfang 2011: Seit Jahrzehnten hochgerüstete Regime ver-suchten mit ihren Waffen, die Proteste zu unterdrücken undnahmen dabei einen hohen Blutzoll in Kauf. Dies setzt sich bisheute fort, wie die täglichen Schreckensmeldungen aus Syrienzeigen. Auch die Lieferanten scheinen kaum etwas gelernt zuhaben – so liefert Russland trotz andauernder Menschenrechts-verletzungen weiter Waffen an Syrien.

Seit mehr als drei Jahrzehnten drängt Amnesty Internatio-nal nun schon Regierungen, die EU und internationale Organi-sationen, bessere Rüstungsexportkontrollen einzuführen, umdie verhängnisvollen Auswirkungen des globalen Waffenhan-dels auf die Menschenrechte zu unterbinden. Im Laufe der Jahregab es dabei durchaus einzelne Verbesserungen. So wurde bei-spielsweise ein europäischer Verhaltenskodex für den Waffen-handel entwickelt, der ein umfassendes Menschenrechtskrite-rium enthält und mittlerweile als sogenannter »GemeinsamerStandpunkt« der Europäischen Union verbindlich ist. Das soge-nannte »Wassenaar-Arrangement« der EU, benannt nach demniederländischen Verhandlungsort, soll verantwortliche Rüs-tungsexportkontrollen und mehr Transparenz schaffen. EinUNO-Aktionsprogramm richtet sich gegen den unrechtmäßigenHandel mit Kleinwaffen und leichten Waffen. Am Ende bliebaber die bittere Erkenntnis, dass viele Einzelaktivitäten nicht zueinem besseren Menschenrechtsschutz geführt haben.

Daher fordert Amnesty seit Mitte der neunziger Jahre ver-

bindliche internationale Regelungen zur Rüstungsexportkon-trolle, die mindestens die folgenden drei Eckpunkte enthaltenmüssen:a Als zentrales Element die »Goldene Regel«, die alle Rüs-

tungstransfers verbietet, mit denen Menschenrechtsverlet-zungen oder Kriegsverbrechen verübt werden könnten oderdie die Armutsbekämpfung gefährden

a Umfassende Anwendung auf alle konventionellen Rüstungs-güter wie Waffen(systeme), Munition, Komponenten, Rüs-tungselektronik und Überwachungstechnik, Technologienund Know-how

a Konsequente Umsetzungsvorgaben mit strikten Kontrollenund Transparenzvorgaben für alle Rüstungstransfers

Seit 2003 setzt sich Amnesty gemeinsam mit anderen zivilge-sellschaftlichen Gruppen im Rahmen einer weltweiten Kampag-ne für ein UNO-Abkommen über den Handel mit konventionel-len Rüstungsgütern (»Arms Trade Treaty«, ATT) ein – mit Erfolg:Schon im Jahr 2006 setzte die UNO-Generalversammlung eineArbeitsgruppe zur Vorbereitung eines ATT ein. Schließlich be-gann 2009 der formelle Verhandlungsprozess, um das Abkom-men zu erarbeiten. Im Juli 2012 sollen diese Verhandlungen aufeiner großen UNO-Staatenkonferenz mit einem Vertragstext ab-geschlossen werden, der anschließend der Generalversamm-lung vorgelegt werden soll.

Angesichts der katastrophalen Auswirkungen auf die Men-schenrechte ist es höchste Zeit, dass sich die internationale Staa-tengemeinschaft zu ihrer Verantwortung bekennt und wirksa-me Kontrollen verabredet – schließlich liegt die primäre Verant-wortung für den globalen Handel mit Waffen, Munition und an-deren Rüstungsgütern bei den Staaten: Grundsätzlich benötigenRüstungsfirmen für Exporte der von ihnen produzierten Waffeneine Genehmigung der jeweiligen Regierung. Häufig sind dieRüstungsunternehmen sogar in staatlicher Hand oder staatlich

23THEMA | WAFFENHANDEL22 AMNESTY JOURNAL | 04-05/2012

Goldene Regel: Keine Waffen für Gräueltaten. Amnesty International setzt sich für ein wirksames internationales Abkommen zur Kontrolle des Waffenhandels ein. Von Mathias John

amnestyjournal0512_Layout 1 24.09.12 00:13 Seite 22

27THEMA | WAFFENHANDEL26 AMNESTY JOURNAL | 04-05/2012

Alle Staaten auf der Welt versuchten, ihre Bürger zu be-schützen – auch an der Grenze, sagt der Mann in derkhakifarbenen Uniform. Bei Datteln, süßem Gebäckund Golfkaffee kommt er schnell zur Sache: Mit der

Berliner Mauer habe das neue Grenzprojekt nun wirklich nichtszu tun, versichert der hochrangige Offizier der saudi-arabischenGrenztruppe seinem Gast aus Deutschland. Die Zäune stündennicht unter Strom, es gebe auch keine Selbstschussanlagen, sagtder General. »Wir haben nur Sensoren, Radar und Kameras.« Ersitzt in einem tiefen Sessel, über ihm hängen drei Ölgemäldeder saudi-arabischen Herrscher aus dem Hause Saud. Erneutversichert der General, dass die Anlage, die mit Hilfe der Deut-schen errichtet werde, sich nicht von anderen Grenzsystemenunterscheide. Auch die Vereinigten Staaten hätten an der Gren-ze zu Mexiko einen Zaun aufgebaut.

Sein Gast, der deutsche Bundestagsabgeordnete Jan vanAken, schaut skeptisch, fragt nach. Schließlich ist der Bau einerder modernsten Grenzanlagen der Welt einer der Gründe, wa-rum van Aken, ehemaliger Biowaffenkontrolleur der VereintenNationen, heute Rüstungsexperte der Linkspartei, nach Saudi-Arabien reiste. Denn die Grenzanlage wird mit deutscher Tech-nik aufgebaut und die saudi-arabischen Grenzer werden von derdeutschen Bundespolizei ausgebildet. Im Innenministerium inRiad hat sich van Aken einige Modelle der Grenze angeschaut.Zu sehen bekam er eine Grenzsicherungsanlage mit drei LagenStacheldraht, Fahrzeugrampen, Wachtürmen, Fahrzeugkorrido-ren und Bodenradaranlagen. Am nächsten Tag flog er in dieGrenzregion, um sich das System vor Ort anzusehen.

In Arar, einer Stadt in der Nähe zur irakischen Grenze, trafder Politiker in einer Kaserne der Grenztruppen die deutschenAusbilder. Einige schlichte weiße Container, die rund um einenKasernenhof stehen, bilden das Ausbildungszentrum. DerUnterricht bestehe aus viel Theorie, es gebe aber auch prakti-sche Übungen, sagt ein deutscher Polizist. Dazu gehöre auch derUmgang mit Waffen – aber kein Schusstraining. Deutsche Waf-fen verwendet der saudi-arabische Grenzschutz seit Jahren, dar-unter das Sturmgewehr G3 von Heckler & Koch. Zwei gekreuzteG3 zieren das Wappen des Grenzschutzes.

Errichtet wird die Grenzanlage von einem saudi-arabischenBauunternehmen gemeinsam mit Cassidian, einer Tochter deseuropäischen Luft- und Raumfahrtkonzerns EADS. Für dasUnternehmen, an dem unter anderem der deutsche AutobauerDaimler, der französische Mischkonzern Lagardère und Spanienbeteiligt sind, geht es um ein Milliardengeschäft. Wie wichtigdie Grenzprojekte in der Golf-Region sind, zeigt ein Blick in dieUnternehmensziele von EADS für das Jahr 2012. Ein Schwer-punkt lautet: »Erfolgreiche Ausführung der Grenzsicherungs-aufträge sicherstellen«. 2007 erhielt EADS den Auftrag, dieGrenzen Katars zu sichern. Kurz darauf folgte Saudi-Arabien.EADS hofft auf weitere Aufträge in dem Segment.

Das Projekt in Saudi-Arabien gilt als besonders ambitioniert.2009 begannen die Bauarbeiten, in diesem Jahr soll der Nordab-schnitt fertig werden. Dann wird es im Süden weitergehen, mitder Grenze zum Jemen, später folgen die Küstenabschnitte. Es

geht um insgesamt 8.561 Kilometer. Der General der Grenztrup-pe zeigt sich begeistert von den neuen technischen Möglichkei-ten: Schmuggel und illegaler Grenzverkehr würden im Nordenbald der Vergangenheit angehören.

Neben dem Bodenradar könnten später im Süden auch nochDrohnen zum Einsatz kommen, berichtet ein saudi-arabischerIngenieur. Die Saudis kauften nur das Beste, sagt ein deutscherPolizist. Geld spiele keine Rolle. Die Kritik in Deutschland andem Projekt sei übertrieben: »Moderne Sensortechnik verletztkeine Menschenrechte.«

Das Regime, das die Technik einsetzt, schon. Das berichtenAmnesty International, Human Rights Watch und andere Men-schenrechtsorganisationen. Der greise Monarch Abdallah binAbdulaziz Al Saud herrscht absolut über sein feudales Reich. Erernennt die Regierung und die Mitglieder der beratenden Ver-sammlung. Ein Parlament gibt es nicht, Parteien und Gewerk-schaften sind verboten. Mit Repressionen und großen Investitio-nen in die Sicherheit gelang es dem Regime bislang, den Arabi-schen Frühling außerhalb des Landes zu halten.

»Die Menschenrechtslage in Saudi-Arabien ist schlecht«,bringt es auch das Internationale Konversionszentrum aus Bonn(BICC) auf den Punkt. »Grundlegende Menschen- und Bürger-rechte werden missachtet. Frauen werden als Bürger zweiterKlasse behandelt. Folter ist weit verbreitet, die Todesstrafe wirdoft verhängt und ausgeführt. Ebenso sind harte physische Stra-fen (Auspeitschen, Amputationen) ein häufig benutztes Instru-ment des Regimes.« Auch das Auswärtige Amt findet in seinemMenschenrechtsbericht eine deutliche Sprache: »Dissidentenwerden inhaftiert, Geständnisse erzwungen, Frauen werden we-sentliche Menschenrechte vorenthalten, minderjährige Mäd-chen zwangsverheiratet, freie Meinungsäußerung ist nur teil-weise möglich, die Religionsausübung für nicht-muslimischeReligionen verboten, die schiitische Minderheit im Osten desLandes wird diskriminiert und ausländische Arbeitnehmer sindweitgehend rechtlos.«

Die Bundesregierung lässt umfangreiche Waffenlieferun-gen nach Saudi-Arabien zu, obwohl die »Politischen Grundsät-ze« zu Rüstungsexporten – im Jahr 2000 von Rot-Grün erlas-sen und bis heute gültig – den Menschenrechten eine gewichti-ge Rolle einräumen: »Genehmigungen für Exporte von Kriegs-waffen und sonstigen Rüstungsgütern werden grundsätzlichnicht erteilt, wenn hinreichender Verdacht besteht, dass diesezur internen Repression im Sinne des EU-Verhaltenskodex fürWaffenausfuhren oder zu sonstigen fortdauernden und syste-matischen Menschenrechtsverletzungen missbraucht wer-den.«

Grüne und Linkspartei beantragten im Bundestag im ver-gangenen Jahr, dass keine Waffen mehr nach Saudi-Arabien ex-portiert werden sollen. Denn Saudi-Arabien liegt außerdem ineinem »Spannungsgebiet«, in das nach den Politischen Grund-sätzen ebenfalls nicht geliefert werden soll. Im NachbarlandBahrain protestierten während des Arabischen Frühlings Tau-sende gegen das Regime. Mit Hilfe saudi-arabischer Truppenwurden die Proteste niedergeschlagen – die Saudis setzten dabei

Der Kunde ist König: Saudi-Arabien schließt milliardenschwere Waffengeschäfte mit den USA und Europa. Auch deutsche Firmen liefern Kriegsgerät an den Golf – die kritische Menschenrechtslage wird von der Politik ausgeblendet. Von Hauke Friederichs

amnestyjournal0512_Layout 1 24.09.12 00:13 Seite 26

8. Périodiques clientsBusiness to Client (B2C)Veuillez nous envoyer deux numéros différents de votre publication (droit unique perçu pour les deux).

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Amnesty Journal, Amnesty International, D, Bronze Award

FIM, Dialogi, FIN, Award of Excellence

SilverKris, SPH Magazines, SGP, Gold Award

n 8. Périodiques clients, Business to Client (B2C).

Page 27: 6. ICMA appel de propositions

International Creative Media Award 27

9. Périodiques spécialisés.Veuillez nous envoyer deux éditions différentes de votre publication, par exemple les numéros un et deux.

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versus magazine, infel corporate media, CH, Gold Award

Swissmen Network, infel corporate media, CH, Silver Award

Produktion, Verlag Moderne Industrie, D,Award of Excellence

n 9. Périodiques spécialisés.

versus magazine, infel corporate media, CH, Gold Awardversus magazine, infel corporate media, CH, Gold Awardversus magazine, infel corporate media, CH, Gold Award

Page 28: 6. ICMA appel de propositions

International Creative Media Award 28

10. Page titre.Dans cette catégorie peuvent être récompensées les pages-titres de toutes les publications. Vous pouvez présenter vous-même des pages ou le jury fait entrer dans cette catégorie les pages-titres particulièrement réussies pour les évaluer.

February 2014

Victim

JournalPolice

POLICE ASSOCI AT IO N

O F S OU T H AUS T RAL I A

ISSUE 2 2014

RUSSIAN REVIVALSally Howard samples reimagined Russian food in Moscow.144

REFUELING FORMULA ONEKate Walker maps out the motorsport’s new track.154

DREAMLANDSteven Beschloss examines what it means to live in today’s LA.160

WORLD OF FOUR SEASONSThe world’s top travel experiences: Add these to your list.177

Four Seasons Magazine, Pace Communications, USA,Bronze Award

Police Journal, Police Association of South Australia, AUS, Gold Award

www.de.capgemini.com

20

13

A

B

Wegbereiter Komplexität bestimmt unser Leben.

Wie können wir sie bändigen?

der cio macht karriere Kaum eine Funktion hat in den letzten Jahren einen derart rasanten Aufstieg erlebt big data macht politik Obama-Berater Rayid Ghani erklärt, wie Algo- rithmen die US-Wahl mitentschieden haben

B

m & it, Axel Springer, D, Award of Excellence

Nüyou, SPH Magazines SGP, Award of Excellence

最时尚中文杂志 SEP 14 S$5.00www.nuyou.com.sg

IT'S A CELEBRATION

不回顾 ● 不前瞻 ● 时尚庆现在38的意义:林湘萍 | 杨雁雁 | 刘子绚 | 郭美美 | 童冰玉 | 雅慧 | 姚懿珊 | 陈欣淇

隋棠:“女人不能跟社会脱节”

05-cover-9 KHL.indd 1 14/8/14 11:51 AM

Amnesty Journal, Amnesty International, D, Award of Excellence

Zusammenwachsen, 3st kommunikation, D, Award of Excellence

Amnesty Journal,

n 10. Page titre.

Page 29: 6. ICMA appel de propositions

International Creative Media Award 29

11. Couverture et article en couverture.L’article en couverture est la cheville ouvrière de tout périodique. La page titre éveille la curiosité et à l’intérieur viennent, après la page de démarrage, une série de pages contenant des photos, des illustrations ou infographies et du texte.

Bentley Magazine, KircherBurkhardt Berlin, D, Award of ExcellenceBentley Magazine, KircherBurkhardt Berlin, D, Award of ExcellenceBentley Magazine, KircherBurkhardt Berlin, D, Award of ExcellenceBentley Magazine, KircherBurkhardt Berlin, D, Award of Excellence

Four Seasons Magazine, Pace Communications, USA, Award of Excellence

C 13703€ 6,–

Der Maßstab im Schiffb au22

100 JAHRE HSVA

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1113

NOVEMBER 2013 www.reederverband.deVerband Deutscher Reeder

100

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C13703

14 5432

100 JAHRE SOLAS

Der Maßstab in Sachen Schi� ssicherheit • Emsa-Chef Markku Mylly im Interview

100 JAHRE ECHOLOT

Der Maßstab für die Tiefen-messung

SWATH

Lotsen-Tender – doppelt fährt besser

Die Hamburgische Schiffbau-Versuchsanstalt ist eine anerkannte Institution auf dem Gebiet der Schiffs-

hydrodynamik. 2013 feiert der wichtige maritime Dienstleister seinen 100. Geburtstag. Text: Petra Scheidt

Versuch macht klugModell-LagerModell-LagerHier lagern ca. 250 Schiffsmodelle mit un-terschiedlichen Rumpfformen, die ihre Ver-suchsserien bereits absolviert haben. Sie werden ein Jahr aufbewahrt, falls Nach-tests erforderlich sind. Die Modelle sind 7 bis 10 Meter lang. Maßstab je nach Schiffs-typ 1:10 (z.B. Yachten) bis 1:45 (z.B. Tanker).

22 DEUTSCHE SEESCHIFFFAHRT 11/2013 23DEUTSCHE SEESCHIFFFAHRT 11/2013

W IR T SC HAFT & POL I T IK

Foto

: HSV

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Deutsche Seeschifffahrt, Lohrengel Mediendesign, D, Award of Excellence

Four Seasons Magazine, Pace Communications, USA, Award of ExcellenceFour Seasons Magazine, Pace Communications, USA, Award of ExcellenceFour Seasons Magazine, Pace Communications, USA, Award of ExcellenceFour Seasons Magazine, Pace Communications, USA, Award of ExcellenceFour Seasons Magazine, Pace Communications, USA, Award of Excellence

n 11. Couverture et article en couverture.

Page 30: 6. ICMA appel de propositions

International Creative Media Award 30

12. Typographie.Dans cette catégorie est jugée toute la typographie du périodique. Il ne s’agit donc pas de certaines pages parues par exemple sur le thème de la typographie.

Kuka, Whitepark, D, Award of ExcellenceKuka, Whitepark, D, Award of ExcellenceKuka, Whitepark, D, Award of ExcellenceKuka, Whitepark, D, Award of Excellence

SNDS-Magazine 4/2012: “Type is, perhaps, the single most important part of any publication‘s design, so it is a great honour to win in this category.”

Symrise Sharing Values, 3st Kommunikation, D, Award of Excellence, Typography

n 12. Typographie.

Page 31: 6. ICMA appel de propositions

International Creative Media Award 31

13. Photographie.Ce qui importe dans cette catégorie, c’est le format des images, la perspective, le montage photo et la variation des formats photo dans la mise en page. Les photos publiées ne sont pas évaluées individuellement mais dans leur ensemble dans le cadre d’une publication. Il existe des sous-catégories.

13. 1. Photographie en général

13. 2. Photographie industrielle

The

CROW‘S NESTTHOMAS SCHULTE GROUP NEWS

JULY 2013 IssUe

_ New building HEDDA SCHULTE joins the fl eet_ Reederei Thomas Schulte celebrating 25 years_ Eco-effi ciency part 1

Basic ship design and the high-effi ciency rudder

The shipping markets are changing rapidly. Much has been

written in the search for emerging trends across the globe –

most of them rather negative for the overall development.

However, great benefits arise from trends, such as slow-

steaming to counter high fuel prices. During the last few

years, many innovations have been developed, or discussed

at least, in order to improve the propulsion effi ciency of ships.

On top of this, more stringent regulations have forced ship

designers and engine makers to lower the fuel consumption

of their systems step-by-step.

The Thomas Schulte Group continuously analyses fl eet

and potentials, markets and forecasts to obtain effi ciency

gains. CROW’S NEST would not provide enough space

to show a complete review of all of the tracked-down

trends. This edition displays the first summary of the

most important factors and promising trends regarding

basic design and hydrodynamics. The next edi-tion, by

end of the year, will cover the machinery parts and other

aspects. Ocean Shipmanagement and North Star Ma-

rine Consultants – as responsible and competent parts of

Thomas Schulte group – are permanently monitoring the

latest trends in shipbuilding and retrofi tting to keep the fl eet

at the cutting edge of technical, ecological and economical

developments.

Basic ship design

The most important factor for a vessel to sail effi ciently is the

ratio of the required design speed to the main dimensions.

The question is: how often and how long is the vessel going

to sail, and at which speed, during its life? The whole design

process of a ship starts by choosing the right design speed.

Key basic assumptions for this purpose are the intended cargo,

port or waterway restrictions, and the speed profi le of the

ship in relation to the most favourable fi gures of:

length to breadth ratio;

breadth to draught ratio;

and block coeffi cient, which is the displacement divided by L x

B x T, where L is the length, B is the beam and T is the draught.

Increasing the amount of deck cargo by moving the bridge

forward would require a Twin Island concept, which would

have to be investigated for very large container carriers. For

our vessels, all dimensions have been carefully selected,

based on our experience and the perceptions about the

future trades of the fl eet. If possible, the designated charterer

is involved at an early stage. The correct basic dimensions of

the planned ship are crucial for all further improvements. The

design process continues by optimising the hull’s contours

based on the speed profi le.

Again, questions have to be answered:

Is there a need to optimise for one design speed only or will

the vessel change speed regularly during its life? Will the

vessel usually sail with the design draught or will the vessel

often sail with higher or lower draughts?

State-of-the-art-design of a hull’s form is achieved by run-

ning specialist computer programs, which scientifi cally

change basic parameters of the hull and generate hundreds

or thousands of slightly varying hull contours analysed by

Computational Fluid Dynamics (CFD) and compared to the

design goals.

TURNING ECO TRENDS INTO EFFICIENCY GAINS – PART 1

11The Crow‘s NesT 10

In-house research of OCEAN Shipmanagement GmbH, the

technical manager of RTS, developed a tailor-made solu-

tion using the best practices and innovative technologies in

ship performance monitoring. The solution, which is placed

likewise at the disposal of third party clients, has two main

advantages: it exactly matches the individual needs and,

secondly, gives the crew and office staff more time to concen-

trate on their original tasks.

Quality, accuracy, actuality and presentation of data received

are key aspects of successfully benefitting from the flow of

information. Whenever possible, the relevant components

themselves forward data, for example, about the power output

of the main engine or fuel consumption automatically. This pro-

cess avoids human error, while the crew also has more time to

concentrate on the operation of the vessel rather than picking

figures for monitoring. Early intelligent checks at the input

stage ensure accuracy of manually obtained data.

Particular highlight: the software analyses all data auto-

matically, and presents the results for quick overview and

use to those in charge on board and ashore. Moreover, fi-

nal performance indicators are benchmarked against indi-

vidually activated warning limits. Performance indicators

undershooting or overshooting given limits immediately

trigger an automatic alarm.

The most sophisticated data analysis extracts the full potential

of ongoing ship operations, facilitating prediction of technical

issues and wear and tear at the same time. It allows for identi-

fication of further optimization possibilities for all sequences of

the ship energy consumption process, applying the latest stage

of technology. Last but not least, most economical ship opera-

tions help to preserve the environment.

2120 The Crow‘s NesT

He was just 16 years old when, early one morning, he

picked up a backpack with almost nothing inside, no

money in his pocket, no legal documents and embarked

on a trip to escape from hunger, discrimination or war.

At the nearest port to his hometown he secretly boarded

and hides on board a merchant vessel departing for

international waters.

This is the start of the typical story of an increasing number of

young people in poor African countries, hoping to fi nd a better

life with economic chances and dignity. Every human being

has the right to enjoy safety and protection, and as human

beings we have an obligation to help one another. However,

support of the shipping company and the crew are limited

and clearly defi ned by international and national laws.

Stowaways have existed since the beginning of navigation,

and captains and shipping companies have had to deal with

them ever since. There are myths and legends about young

men from Ireland hidden away on board whaling vessels

seeking adventure and a new life as immigrants in America

during the 19th century.

Today this way of travelling normally ends up as an odyssey

for the stowaway and for the ship. According to maritime law,

no ship or ship’s crewmember without legal documents is al-

lowed to enter the territorial waters of any state anywhere

in the world. A stowaway on board therefore causes legal

problems for authorities in ports of call, humanitarian prob-

lems for ship’s crew and fi nancial problems for ship owners

and states. In the worst cases, stowaways outnumber crews,

creating a genuinely dangerous situation for the seafarers

on board.

Despite the fact that security standards at ports are tighter

than ever, the risk of stowaways persists. The reasons are

manifold. Some port authorities do not care about the matter

and are not willing to assist the ship’s command when a sto-

waway is discovered and has to be returned home. In additi-

on, stowaways today are extremely determined to leave their

home countries, despite the odds.

STOWAWAYS – AN ANCIENT PROBLEM IN MODERN TIMES

The Crow‘s NesT 22 23

ADAC Reisemagazin Griechenland, ADAC, D, Award of Excellence

The Crow‘s Nest, Glasmeyer Branding GmbH, D, Award of Excellence

n 13. Photographie.

Page 32: 6. ICMA appel de propositions

13. 4. Séquence. 13. 5. Ambiance.

Euroscope, BASF SE, D, Award of Excellence

Roosters Fanmagazin, Fotostudio Tölle GmbH, D, Gold Award

13. 3. Portrait.

Porsche Consulting, Porsche Consulting GmbH, D, Award of Excellence

International Creative Media Award 32

n 13. Photographie.

Page 33: 6. ICMA appel de propositions

13. 5. Perspective, coupe.

Maritime Impact, printprojekt GbR, Peter Lindemann, D, Award of Excellence,

14. Reportage photo.Dans les propositions de cette catégorie, ce sont les photos qui vont se charger de faire passer la majeure partie de l’information.Dans les reportages photo, le récit est raconté principalement en images. L’imagerie est présentée dans un ordre logique.

International Creative Media Award 33

n 13. Photographie. n 14. Reportage photo.

Page 34: 6. ICMA appel de propositions

International Creative Media Award 34

15. Narration visuelle.Cette catégorie traite des reportages à l’aide de moyens visuels. Les photos, infographies, boîtes d‘information complémentaires et textes courts donnent ensemble une forme de reportage innovante.

Bentley Magazine, KircherBurkhardt Berlin, D, Award of Excellence

Ergo Kundenbericht, muehlhausmoers corporate communications, D, Award of Excellence

16. Visualisation.Ici sont recherchés des exemples éminents de représentation visuelle d’un thème.

teamwork, Heraeus Holding GmbH, D, Award of Excellence

n 15. Narration visuelle. n 16. Visualisation.

Page 35: 6. ICMA appel de propositions

International Creative Media Award 35

17. Narration alternative.On peut raconter des histoires sans livrer de bloc textuel monolithique: Déclarations de plusieurs personnes, structuration en plusieurs sous-rubriques, combinaisons d’infographies, de photos et textes courts...c’est cela la narration alternative. Cette nouvelle forme de journalisme est de plus en plus utilisée.

chrismon, Hansisches Druck und Verlagshaus, D, Award of Excellence

Four Seasons Magazine, Pace Communications, USA, Award of Excellence

n 17. Narration alternative.

Page 36: 6. ICMA appel de propositions

International Creative Media Award 36

18. Infographie.

Y – Das Magazin der Bundeswehr, KircherBurkhardt Berlin, D, Award of Excellence

Infographics for BDC, Maitre D, Montréal, CA, Bronze Award

n 18. Infographie.

Page 37: 6. ICMA appel de propositions

International Creative Media Award 37

19. Illustration.Par illustration, nous entendons un dessin, une aquarelle ou similaire. Les illustrations flexibilisent très bien la mise en page et génèrent une atmosphère spécifique.

Köbazino, Sinnbüro, D, Bronze Award1890 · Allianz Deutschland AG, KircherBurkhardt Berlin, D, Gold Award1890 · Allianz Deutschland AG, KircherBurkhardt Berlin, D, Gold Award

bulletin, Credit Suisse, CH, Award of Excellence

Max JosephBayerische Staatsoper, D, Award of Excellence

n 19. Illustration.

Page 38: 6. ICMA appel de propositions

20. Finition de l’impression.Cette catégorie s’intéresse aux imprimés faisant l’objet d’une finition particulièrement soignée. Les mots clés: gaufrage incolore, dorure à chaud, vernissage partiel ou formes spéciales d’emballage ou de transformation par le relieur.

Charakter, Bethmann Bank ABN AMRO, Biedermann und Brandstift, D, Gold Award

Drupa-Report, Giffhorn Design, D, Award of Excellence

think act, Axel Springer AG, D, Award of Excellence

International Creative Media Award 38

n 20. Finition de l’impression.

Page 39: 6. ICMA appel de propositions

International Creative Media Award 39

Das Auto. Magazin, KircherBurkhardt Berlin, D, Gold Award

21. Media en ligne et multimedia.Nous recherchons les meilleurs sites Internet et solutions multimedia. Dans cette catégorie, le jury va s’intéresser particulièrement à la lisibilité, à la fonctionnalité et à l’innovation. Vous pouvez également participer avec des thèmes spéciaux ou des campagnes auprès des lecteurs dans le domaine Media en ligne.

Interpharma, Basel West, CH, Bronze Award

21.1. Journalisme de données.Cette catégorie s’intéresse à la présentation, sur Internet, de grandes quantités de données remaniées pour en confortabiliser la lecture. Pour participer dans cette catégorie: Décrivez les particularités de votre site Internet et communiquez-nous le lien d’accès à ce site. Veuillez envoyer un PDF contenant la description à cette adresse: [email protected]

n 21. Media en ligne et multimedia. n 21.1. Journalisme de données.

Page 40: 6. ICMA appel de propositions

n 22. Applis pour iPad et terminaux mobiles.

International Creative Media Award 40

22. Applis pour iPad et terminaux mobiles.Nous recherchons les meilleurs applis sur iPad des périodiques et media corporate, ainsi que les applis de distribution d’information les plus innovantes pour terminaux mobiles. Dans cette catégorie, le jury va s’intéresser particulièrement à la lisibilité,

à la fonctionnalité et à l’innovation. Pour participer dans cette catégorie: Décrivez les particularités de votre application. Veuillez envoyer un PDF contenant la description à l‘adresse: [email protected] Veuillez nous ouvrir cinq accès gratuits valides du 01/ 10/ au 31/ 12.

emem, Studio Good, D, Gold Award

Arte-App, Studio Good, D, Silver Award

Chrismon-App, Hansisches Druck und Verlagshaus, D, Bronze Award

Chrismon-App,

Page 41: 6. ICMA appel de propositions

Organisation de votre participation:n Veuillez ne pas envoyer les travaux dans des dossiers ou chemises

plastiques sophistiqués.n Les imprimés ou ébauches ne sont pas admis.n Les travaux ne doivent pas être fixés sur des supports carton;

ranger les différentes catégories dans des enveloppes différentes n’est pas permis non plus.

Interdiction: Il n’est pas permis de déposer des publications complètes comportant des marquages de catégories différentes.

Procédure correcte: Avec les pages simples, par exemple dans la catégorie Pages-titres ou Illustration, vous devez détacher les pages de la publication. Envois contenant beaucoup de pages, par exemple dans la catégorie Article en couverture, reportage photo, etc., les pages à évaluer sont à marquer avec des Post-it. Ici, c’est la publication complète qui est déposée avec les pages marquées ; il nous faut cependant un numéro complet par catégorie.

n Si le document déposé n’est pas « parlant » par lui-même, merci de joindre une explication en allemand ou en anglais.

n Nous nous réservons le droit de reclasser les propositions dans d’autres catégories si nous estimons qu’elles y auront de meilleures chances.

n Les travaux envoyés ne peuvent pas être retournés.

PDF des travaux sur CD, DVD ou clé USBn Le présent règlement ne s’applique qu’aux catégories du domaine Impression:

Outre le numéro imprimé, il nous faut en plus des PDF. Les logos et le design corporate ne sont évalués qu’au format PDF. N’envoyez par conséquent aucun imprimé.

n Journaux: Ils doivent être présentés au format PDF et avec une bonne définition, sous forme de pages simples munies des croix de repérage. Ces pages doivent faire environ 15 cm de hauteur, c’est-à-dire pouvoir être publiées par exemple dans un périodique spécialisé.

n Magazines, brochures, etc.: sous forme pages doubles d’une bonne définition, munies elles aussi des croix de repérage. Ces pages doivent faire environ 15 cm de hauteur, c’est-à-dire pouvoir être publiées par exemple dans un périodique spécialisé.

n Merci de joindre à chaque proposition candidate au concours les données au format PDF sur CD-Rom, DVD ou sur clé USB. Si vous nous adressez plusieurs propositions, Il est possible de les réunir toutes sur un média unique.

Réglementation douanière:n Les envois non en provenance de l’Union Européenne doivent mentionner

visiblement la nature du contenu sur le paquet. Veuillez vous renseigner auprès des pouvoirs publics de votre pays pour connaître les règlements d’expédition.

Participation dans le domaine Media en ligne, pour iPad et iPhone:n Le mieux est de nous envoyer une description de votre site Internet sous

forme de fichier Pdf. Cela a l’avantage que nous pouvons accéder directement aux liens Internet. Veuillez envoyer le fichier PDF à [email protected]

n iPad und iPhone: Veuillez nous indiquer le nom de l’application et nous ouvrir 5 comptes gratuits.

Remarques concernant la participation 41

Page 42: 6. ICMA appel de propositions

Questions et réponses 42

n Pourquoi me convient-il de participer à ce concours? Et qu’aurai-je de plus de recevoir un certificat attributif de prix? La réponse à cette question, le périodique «Page» la donne en citant un

concepteur allemand: «Depuis quelques années, nous sommes d’accord sur un point: il n’y a pas de publicité meilleur marché que cette onéreuse participation aux concours de design. Quelles sommes supplémentaires ne devrions-nous pas dépenser sans cette démarche simple pour nous faire connaître! Et qu’y a-t-il de plus agréable que d’être reconnu par ses collègues?»

Sur les sites Internet de designers connus ou de grandes agences publicitaires, il y a presque toujours un espace informant sur les concours auxquels ils ont participé. L’ICMA étant un concours mondial, les lauréats peuvent ainsi montrer que leurs travaux soutiennent la comparaison aussi à l’échelle internationale.

n Pourquoi la participation n’est-elle pas gratuite? Ce concours est entièrement indépendant, il n’est financé par aucune

entreprise. L’organisation et la réalisation du concours entraînent des frais. Les droits de participation sont perçus pour les motifs suivants:

– Il faut faire traduire l’appel de propositions et l’imprimer. – L’envoi de l’appel de propositions entraîne des frais de port. – Les locaux où se déroulent les réunions du jury entraînent des frais de location. – Le jury est bénévole mais les frais de nuitée et de déplacement

de ses membres doivent au moins être couverts. – Le site Internet, les publications des résultats et la diffusion

des communiqués de presse engendrent eux aussi des frais. – Les certificats attributifs de prix aux lauréats doivent être réalisés

et expédiés. Tout cela représente beaucoup de travail, qu’il faut évidemment financer.

Comparé à d’autres concours dans le domaine de la conception éditoriale, le droit de participation demandé par l’ICMA est très modique.

n Pouvez-vous nous confirmer réception de notre paquet? C’est impossible malheureusement.

n Nous avons dépassé la date de clôture des envois. Nous n’avons donc plus aucune chance de participer?

Si, il vous reste encore une chance. Le jury se réunit à la mi-octobre. Toutes les propositions qui arrivent à temps seront examinées par le jury

n Pouvons-nous envoyer après coup tel ou tel autre travail? Sans problème. Veuillez indiquer avec précision les catégories

dans lesquelles les travaux doivent figurer.

n Il nous faut une facture sur le montant du droit de participation, et notre comptabilité ne peut pas virer le montant avant la clôture des envois.

Il est important que vous indiquiez l’adresse de facturation exacte. Les entreprises situées sur le territoire de l’UE doivent indiquer leur numéro de TVA intracommunautaire.

n En quoi consistent les prix décernés? Les prix n’incluent aucune somme d’argent. Des prix principaux

(Gold, Silver et Bronze) sont prévus dans les différentes catégories. Des Prix d’Excellence sont par ailleurs décernés. Le jury décide également de remettre un ou plusieurs prix spéciaux, les « Judges’ Special Recognitions ».

n Est-ce que chaque publication est primée? Non. Ce ne serait plus un concours sinon. Outre Gold, Silver et Bronze,

il existe toute une série de Prix d’Excellence. Ces prix récompensent des performances individuelles particulières. Les travaux détenteurs de ce prix figurent ensuite dans l’annuaire comme ceux ayant reçu les autres distinctions.

n Souhaitez-vous d’autres précisions? Contact: Norbert Küpper [email protected]

Page 43: 6. ICMA appel de propositions

Le jury et ses critères

n Les membres du jury fondent leur évaluation sur tous leurs savoirs en matière de journalisme, de design, de photographie, etc.

n Ils recherchent les meilleures publications et les meilleures idées dans chaque catégorie. Quel travail est innovant ? Où réside la nouveauté ? Que peut-on apprendre de cette publication ? Autant de questions dont le jury discute pendant son travail d’évaluation.

n La « livrée » des travaux déposés doit se situer nettement au-dessus de la normale. Il faut avoir atteint un niveau particulièrement élevé dans le maniement des éléments visuels. Critères particulièrement importants pour les journaux, périodiques, rapports annuels et brochures de prestige:

– Visualisation des thèmes, – Narration visuelle: il s’agit de reportages dans lesquels ont recourt

principalement à des moyens visuels. – Infographie: il s’agit de la représentation visuelle d’informations chiffrées

ou du déroulement d’événements.n Le design ne doit être ni trop uniforme ni trop surchargé de variantes.

S’il est trop uniforme, il sera ennuyeux. Si les variantes abondent, la publication tout entière paraîtra chaotique. Les gagnants ont trouvé le juste équilibre:

L’utilisation systématique, dans l’ensemble de la publication, d’éléments décoratifs définis une fois pour toutes.

n Tous les éléments typographiques doivent être utilisés avec cohérence. L’élégance de l’ensemble doit être cohérente. Le travail doit laisser l’impression

que la publication épouse bien l’image de l’entreprise éditrice et qu’elle contribue positivement à son travail de communication.

n Les principaux lauréats en définitive ne manquent pas de tempérament, ils sont inconfondables et innovants au sens le plus large dans l’utilisation de leurs moyens de décoration et de conception.

n Les démarches conceptuelles innovantes sont appelées à jouer un grand rôle dans le concours. Une catégorie leur est spécialement réservée.

Meike Quentin, Carolin Anselmann et Reinhard Sorger en train d’évaluer les catégories Media en ligne.

Le jury et ses critères 43

Membre du jury, Katharina Meisel, Head of Branding & Publishing Metro Group, Germany.

Page 44: 6. ICMA appel de propositions

n 22. iPad-Apps und Apps für mobile Endgeräte.

Le Jury 44

Le jury du cinquième ICMA

n Christian Baun (à g.), Logodesign.dk, DKn Michael Adams, directeur de la rédaction et art director, Beobachter Natur (Observateur de la nature), Zürich, CHn Reinhard Sorger, Creative Director, Publicis Erlangen, Dn Birgit Leifhelm, designer, Editorial Design, Coop Presse, CHn Katharina Meisel, Head of Branding & Publishing, Metro Group, Dn Blasius Thätter, Art Director, Roland Berger Strategy Consultants, Dn Meike Quentin, sociétaire gérante d’AMT, Kiel, Dn Katharina Reitan, journaliste, rédactrice, blogueuse PR et rédactrice vidéo, Vienne, An Eberhard Wolf, professeur de communication visuelle à l’AMD, Munich, Dn Carolin Anselmann, rédactrice en chef update, Vodafone, Düsseldorf, D Les membres du jury ne peuvent pas participer à l’évaluation de leurs propres travaux.

Page 45: 6. ICMA appel de propositions

Le Jury 45

Birgit Leifhelm, le professeur Eberhard Wolf et Christian Baun pendant l’évaluation.

Blasius Thätter, Meike Quentin et Katharina Reitan en train d’évaluer les media corporate.

Reinhard Sorger en train d’évaluer les media d’entreprise.

Page 46: 6. ICMA appel de propositions

Les annuaires 46

ICMA One, ISBN 978-3-00-034297-4

ICMA Two, ISBN 978-3-00-037217-9

ICMA Three ICMA Four

À propos des annuaires:n Commande: www.creative-media-award.com Là se trouve le champ «Commander l’annuaire».n Il est également possible de commander

par courriel: [email protected] DVD au prix de 35 euros (45 CHF)n Le prix inclut les frais de port.n Le DVD contient l’annuaire en allemand

et en anglais. Il y a un fichier PDF par chapitre. Chaque annuaire contient plus de 1 000 illustrations.

ISBN 978-3-00-037217-9

ISBN 978-3-00-037217-9

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Formulaire de participation

Nous avons besoin d’informations sur votre publication. Merci de joindre ces informations à chacun de vos envois. Merci de rédiger les indications détaillées en allemand ou en anglais. Sur www.creative-media-award.com, vous trouverez ce fi chier aussi au format PDF. Il est possible de le remplir directement sur l’écran et de l’imprimer.

Nom de la publication:Adresse du déposant:

Interlocuteur*

Nom:

E-Mail:Téléphone:

* Le jury souhaite parfois demander des précisions. C’est pour cette raison qu’il nous faut les coordonnées du déposant. Pour les agences: Les coordonnées des clients ne sont pas nécessaires. En outre: Nous communiquons toutes les informations sur le résultat du concours à l’interlocuteur respectif.

Indications détaillées, description du projet (si nécessaire):