2013 camp apprentis 2

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Camps d'apprentis epfl

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Camp des Apprenti(e)s 2013 du 24 juin au 28 juin 2013

Chalet du Soldat Le quatrième « Camp des Apprenti(e)s » de l’EPFL s’est déroulé dans les Préalpes fribourgeoises au pied des célèbres Gastlosen, paradis pour grimpeurs et randonneurs. Le « Chalet du Soldat » a hébergé 22 apprenti(e)s de 1ère année de toutes les professions et 6 formateurs du lundi 24 juin au vendredi 28 juin 2013. Sous la forme d’une semaine « au vert », le « Camp des Apprenti(e)s » vise les objectifs suivants : promotion de l’esprit d’équipe, expérience de l’effort, découverte de la montagne et de son environnement, apprentissage de la vie en groupe et développement des liens entre les apprenti(e)s des différentes professions.

Dylan Aeby laborantin en chimie

Lena Abegglen employée de commerce

Guillaume Benoitpolymécanicien

Alexandre Epenoylaborantin en chimie

Lucas Pompilio informaticien

Mathias Bovylaborantin en chimie

Clara Guionnetemployée de commerce

Nathalie Bigler laborantine en biologie

Jean-Luc Fuchslaborantin en chimie

Julien Michellodlaborantin en physique

Laetitia Vuillegardienne d’animaux

Mylène Soudani laborantine en chimie

Nicolas Rotzetter polymécanicien

Khava Isaevaemployée de commerce

Jérémy Maretinformaticien

Corentin Matz laborantin en chimie

Vevegan Sinnathambylaborantin en physique

Pauline Bataillardemployée de commerce

Frank Genilloud laborantin en chimie

Julie Luche laborantine en biologie

Alicia Calcelaborantine en chimie

Jérémy Malerainformaticien

Karine Genoud

Yves Morier

Jean-Marc Colomb

Laurent Chevalley

Sébastien Perritaz

Francis Perritaz

Lundi 24 juin

0830 0842 1023 1100

……. ……. 1830 …….

Rendez-vous gare CFF LausanneDépart de Lausanne pour Bellegarde (Jaun) (train + bus) Arrivée à Bellegarde - Briefing « Marche d’approche » Marche 1 : Bellegarde (1017m)-Chalet du Soldat (1752m)Arrivée au Chalet du Soldat - Installation - Directives Film Repas Jeux ou Film

Lausanne dép. 08:42Palézieux dép. 08:58 Romont dép. 09:23 Bulle dép. 09:49 Bellegarde arr. 10:23 (durée 1h45) temps de marche : ~ 3 h pique-nique vers 12h30

Premier jour de camp Départ de Lausanne à 8h42, précision toute helvétique, le train est à l’heure et n’attend pas ! Ce trajet en transports publics, train puis bus depuis Bulle, nous amène à Bellegarde, Jaun en allemand. Là, petit briefing avant la montée vers notre objectif de la semaine, le Chalet du Soldat. Il semble bien, que certains ou certaines n’ont manifestement pas suivi les directives du chef concernant l’équipement … Peu importe, l’idée de passer une semaine entre apprenties et apprentis hors de notre cadre de formation nous motive pour cette longue marche malgré le temps maussade et pluvieux.

Dès le début, le chemin dans la forêt est pentu, boueux et glissant ; notre progression est difficile et pénible. Plusieurs pauses nous permettent cependant de souffler, mais elles sont un peu longues et nous nous refroidissons très vite. La pause pique-nique à mi montée est la bienvenue mais doit être écourtée au vue des conditions météorologiques.

La suite de la montée se fait sur un chemin plus facile, cependant la fatigue se fait de plus en plus sentir et le sac de plus en plus lourd sur les épaules. Un dernier rassemblement, puis c’est au pas de charge que nous avalons les derniers mètres vers le chalet que nous apercevons enfin. Au « compteur » de ce premier jour : 6 km et 700m de dénivelé.

Le gardien et gérant du Chalet du Soldat, Monsieur Horst, nous accueille sur la terrasse et nous explique le fonctionnement et les règles de vie du chalet. Nous pouvons enfin nous mettre au sec ; si le réfectoire est agréable et bien chauffé, il fait un peu froid dans les dortoirs.

Une équipe improvise une salle de projection au sous-sol, pendant que le reste de la troupe « tape le carton » au réfectoire. Avant le souper, nous visionnons un documentaire sur Ueli Steck « The Swiss Climbing Machine », la machine à grimper suisse. Ce sportif de l’extrême détient les records d’ascension des 3 faces Nord mythiques des Alpes ; exploit ou folie, les avis divergent … Un excellent repas du soir nous redonne des forces. Dehors, la nuit tombe et chasse le brouillard. Nos deux objectifs de la semaine, la Wandflue et la Hochmatt sont blanchis par la neige … 24 juin ou 24 janvier ! La suite de la soirée se passe dans la salle de cinéma (!), à l’affiche : clips de base jump depuis le sommet des Gastlosen.

Mardi 25 juin

Tour des Gastlosen Première nuit agitée et sans sommeil réparateur pour plusieurs d’entre nous ; la faute notamment à des voisins bruyants et indélicats. Etape clé pour bien démarrer la journée, le petit déjeuner copieux et ravigotant redonne force et motivation au groupe. De la motivation, il va nous en falloir pour un des objectifs majeurs de la semaine : le Tour des Gastlosen ; d’autant plus que le temps gris et froid est toujours à la pluie. Début de randonnée par une longue descente afin de « mettre la mécanique en marche » ; le chemin gras et glissant ralentit cependant notre rythme. Puis c’est parti pour les montées, des montées … et encore des montées.

0700 0730 0830

1630 1830 …….

Réveil Petit déjeuner – Briefing « Tour des Gast » Rando 2 : CdS (1752m)-Chli Sattel (parc d’été) (1430m)- Musersbergli (1531m)-Chalet du Grat (1642m)- Col du Loup (1921m)-*-CdS Rando 3 : * Wandflue (2132m) « Profession garde-faune » ; présentation Pierre Jordan Repas Jeux ou Film

11k990 ; +830m ; 4h20 max 1926 / min 1430m +220 m ; 1h00 lunch organisé

A la première pause, quelques garçons sortent un ballon de rugby (!) et se font des passes entre les flaques d’eau sur un terrain … enfin plat.

La suite, c’est à nouveau une longue montée épuisante qui tire dans les mollets. La pause de midi met momentanément entre parenthèse l’épreuve qu’endure ceux et celles qui sont peu habitués à l’exercice physique de la randonnée. Il faut dire que cela change de la place d’apprentissage et plus encore des habitudes citadines de la plupart d’entre nous.

Chassés par la pluie et le froid, nous reprenons notre marche avec grise mine et sans grand enthousiasme, à croire que les conditions climatiques déteignent sur nous. Nous surprenons quelques chamois ainsi que des marmottes. Dans les parois que nous longeons des grimpeurs attirent notre attention. Plus tard, la montée au Col du Loup est rude, d’autant plus que le chemin a été emporté par des glissements de terrain. Au col, rassemblement de la troupe pour la traditionnelle photo, puis le groupe se sépare.

Une partie d’entre nous prend directement la direction du chalet. Mais avant la descente, nous devons tout d’abord affronter une arrête « aérienne », passage que le vertige rend infranchissable pour certains et certaines. Cette épreuve est finalement surmontée avec bravoure grâce à un bon esprit d’équipe.

L’autre partie du groupe s’offre un supplément avec l’ascension de la Wandflue. La montée dans les rochers et les couloirs est plus sportive. Nous devons trouver notre chemin et contourner des névés persistants en cette fin juin. Au sommet, la vue qui s’offre à nous est une récompense suffisante à notre effort. Nous laissons le témoignage de notre passage à la Wandflue dans le livre d’or. A la descente, les rochers glissants et la caillasse rendent le sentier peu praticable.

Nous sommes maintenant tous rentrés au chalet, épuisés ou juste un peu fatigués selon la condition physique de chacun et chacune.

Profession « garde-faune »

Le ou la garde-faune (appelé dans certains cantons garde-chasse) est chargé de faire respecter les lois et les règlements sur la chasse, la faune et la flore. Spécialiste assermenté de la protection de la nature, il lutte contre le braconnage et surveille les dommages causés aux mammifères et aux oiseaux indigènes et migrateurs vivant à l'état sauvage. Il recense les populations animales d'une région et contrôle le gibier péri ou abattu par la chasse. Le garde-faune se situe donc à un carrefour entre la faune sauvage, l'être humain et l'environnement. La formation de garde-faune s'acquiert en emploi et le titre obtenu est le brevet fédéral de garde-faune.

(fiche d’information professionnelle sur www.orientation.ch)

Dans le canton de Fribourg, la surveillance de la faune, de la flore, de la chasse et de la pêche est effectuée par les gardes-faune répartis dans 16 circonscriptions.

En cette fin de journée, nous avons la chance de rencontrer le garde-faune de la région des Gastlosen. Il nous présente sa profession dans un exposé instructif et passionnant. On comprend très vite que Pierre Jordan est un amoureux de la nature et qu’il aime son métier.

Le repas le plus attendu de la semaine met un terme à cette deuxième journée fort bien remplie : la fondue … crée la bonne humeur !

Mercredi 26 juin

Initiation à l’escalade

L'escalade, aussi appelée varappe ou grimpe, est un sport consistant à atteindre le haut d'une structure, naturelle ou artificielle, appelée voie avec ou sans aide de matériel. Le terrain de « jeu » du grimpeur va des blocs de faible hauteur aux parois de plusieurs centaines de mètres en passant par les murs d'escalade. ... L'escalade est un « jeu » de (dé)placements et d'équilibre. Le grimpeur doit apprendre à progresser et gérer son centre de gravité dans un univers vertical, et acquérir ainsi un vocabulaire gestuel. …

(Wikipédia)

L’escalade est un « jeu » peut-on lire dans Wikipédia. Facile à dire sur le papier … mais est-ce aussi facile à mettre en pratique ? C’est ce que l’on va découvrir aujourd’hui par une « initiation à l’escalade » sous la supervision du guide de montage Jean-Jacques Pilloud.

0700 0730 0930 1230 1400

1900 …….

Réveil Petit déjeuner – Briefing « Initiation à l’escalade » ; J.-J. Pilloud, guide Repas au chalet Suite escalade ou Wandflue (2132m) « Opération MacApprentis »

encadrement par guide de montagne - matériel mis à disposition 420 m ; 2h00

Le matin, nous essayons tout d’abord les chaussons de grimpe … pas très confortables disent certains, mais parole de grimpeur, s’ils sont bien ajustés au pied cela doit faire un peu mal ! Nous suivons ensuite attentivement une instruction sur les nœuds de base et la technique d’assurage. Pour éprouver l’équipement et la technique, nous nous exerçons sous le balcon du chalet que notre guide a équipé de cordes. Pendant ce temps, Yves et Laurent montent équiper les voies d’escalade dans le secteur du « réservoir » situé en amont du chalet. Après un excellent repas de midi dont certains abuse fortement « tellement c’est bon », nous nous retrouvons enfin au pied des voies pour la mise en pratique sur le rocher.

Dans le courant de l’après-midi, quelques voies plus exigeantes sont ouvertes. Au pied de la paroi, dans la chaleur retrouvée, deux clans se forment, les grimpeurs, sportifs animés de l’esprit d’Ueli Steck et les touristes …. lézardant au soleil.

Cette journée déjà fort bien remplie n’est pas terminée. L’opération « MacApprentis » commence !

Opération « MacApprentis » L’« Opération MacApprentis » est devenue une activité indissociable du « Camp des Apprentis ». Ce soir, nous nous mettons aux fourneaux ou plutôt au feu de bois. Répartis en quatre groupes, nous recevons le matériel et les ingrédients nécessaires à la préparation des « macaronis du chalet » ; seule manque la recette ancestrale … mais depuis l’iphone a été inventé ! Notre recette des « macaronis du chalet au feu de bois » pour 6-7 personnes : Faire revenir les lardons (200 g) dans le chaudron, puis ajouter les oignons (2) finement émincés et faire blondir. Réserver. Verser l’eau (2-3 L) dans le chaudron, ajouter le sel et les cubes bouillon et porter à ébullition. Verser les macaronis (750 g), bien brasser les pâtes en cours de cuisson ; laisser cuire à petit bouillon. Egoutter les pâtes, incorporer la crème entière (½ L) ; chauffer sans cuire. Ajouter le gruyère râpé (350 g) ; brasser jusqu’à fonte du fromage. Assaisonner (poivre) et consommer de suite. En accompagnement : des cervelas sur la braise.

Cette année, les renards n’auront pas droit aux restes …

de gauche à droite : Lena, Julie, Lucas, Alexandre, Vevegan

de gauche à droite : Mathias, Alicia, Pauline, Karine, Laetitia, Guillaume, Corentin

de gauche à droite : Frank, Nicolas, Jean-Luc, Jérémy, Khava, Clara

de gauche à droite : Nathalie, Mylène, Jean-Marc, Dylan, Julien, Jérémy

Jeudi 27 juin

Pour ce jeudi moyennement ensoleillé, deuxième plat de résistance de la semaine avec deux courses à choix : le tour du Petit Mont ou l’ascension de la Hochmatt. Nous quittons le chalet ; la descente n’est pas autrement pénible, mais le chemin est en partie boueux et défoncé par les dernières pluies. Au fond du vallon, les deux courses empruntant des itinéraires différents, nous devons former deux groupes. Cependant, au moment de motiver les troupes pour l’expédition à la Hochmatt, il y a peu d’intérêt … même aucun ! Il faut dire que les conditions météo sur le sommet ne poussent personnes à sortir du rang. Après une grosse campagne de motivation du chef et des formateurs, ce sont 5 apprentis qui se portent « volontaires ». Les autres sont soulagés de n’avoir « que » le tour du Petit Mont comme objectif.

0700 0730 0830

……. 1830 ……. …….

Réveil Petit déjeuner – Briefing « Top of the Hochmatt » Rando 4 : Hochmatt par le Cheval-Blanc : Petit Mont (1390m)-Cheval-Blanc (2146m)- Hochmatt (2151m)-Col de Hochmatt- Le Lapé (1574m)-Frejima Derrey (1643m)-CdS ou « Tour du Petit Mont » Rando 5 : Randonnée dans le Petit Mont : Petit Mont (1390m)-Le Lapé (1574m)- La Gueyre (1724m)-Le Pralet (1846m)- Forêt du Lapé-Frejima Derrey (1643m)-CdS « Partie officielle » Repas Jeux ou Film Préparation sacs – Rangement dortoirs

13k400 ; +1260m ; 6h15 max 2151m / min 1390m lunch organisé 11km400 ; +700m ; 4h00 max 1846m / min 1390m lunch organisé

Randonnée dans le Petit Mont Notre itinéraire remonte le vallon du Petit Mont sur un chemin carrossable et traverse des pâturages clôturés où paissent tranquillement des vaches. Nous devons franchir plusieurs barrières électriques pour le bétail, si possible sans se faire électrocuter, ce qui donne lieu à de belles rigolades. Nous profitons des seuls rayons de soleil de la journée pour la pause pique-nique devant un magnifique chalet. Le retour se fait sur de petits sentiers qui traversent les pâturages. Une averse de grésil nous surprend et nous nous abritons sous l’avant-toit d’un chalet d’alpage.

Il fait froid … le moral en prend un coup …

y en a marre de la montagne … mais qu’est-ce qu’on fait ici !

Au vue des conditions météo et de l’état de la troupe, l’itinéraire de rentrée est modifié et nous rejoignons la route alpestre. Reste à remonter jusqu’au Chalet du Soldat … et ça c’est la marche de trop !

Randonnée à la Hochmatt Nous partons sous un petit soleil, méditant sur notre « volontariat » à faire l’ascension de la Hochmatt ! Le rythme est soutenu et nous avalons le dénivelé mètre par mètre. Dans la pente herbeuse, que la sente traverse, nous observons une cinquantaine de chamois indifférents à notre effort. L’accueil de la Hochmatt sur son sommet est hostile et des plus glacial : brouillard et chute de neige.

Après une photo sur fond de brouillard à la Croix et une rapide petite pause en-cas, nous traversons le plateau sommital où paissent des centaines de moutons. Certains voient naître subitement une vocation de berger …. La descente dans le vent et la neige qui nous gèlent les oreilles, nous amène au fond du vallon. Nous rejoignons les « randonneurs » du Petit Mont au pied de la montée du Chalet du Soldat. Ce sera finalement là notre plus gros effort de la journée.

Apéritif officiel L’heure est au bilan et aux remerciements. Monsieur Horst nous offre gracieusement l’apéritif. Au nom des participants au camp et de l’EPFL, Monsieur Perritaz lui adresse, ainsi qu’à toute l’équipe du chalet, ses sincères remerciements pour la gentillesse et la qualité de l’accueil. Le cuisinier qui nous a régalés toute la semaine de ses bons petits plats est chaleureusement applaudi. Un T-shirt EPFL et la casquette au logo de la « Formation Apprentis » est remis à nos hôtes.

La photo ci-contre se rapporte au « gag du téléphérique » du Petit Mont ! Afin de ne pas entamer la bonne humeur des futures volées d’apprentis qui participeront aux prochains camps, cette blague ne sera pas reportée dans ce journal et sera « classifiée secret camp » ; elle ne subsistera que dans la mémoire de ceux qui en ont ri et de celles qui, la fatigue aidant, ne l’ont que fort peu appréciée et trouvée de fort mauvais goût.

Vendredi 28 juin

Bains de la Gruyère et retour à la maison. Dernier jour à la montagne, dernier réveil en dortoir, dernière toilette à l’eau froide ; l’humeur est contrastée entre soulagement et regret que le camp se termine.

0630 ……. 0730

0933 1030 ……. 1347 1518

Réveil - Rangement Petit déjeuner « Dernière marche ! » Marche 6 : Chalet du Soldat (1752m)-Bellegarde (1017m)Départ de Bellegarde pour Charmey (bus) « Bains de la Gruyère » Pique-nique Départ de Charmey pour Lausanne (bus + train) Arrivée gare CFF Lausanne

Bellegarde dép. 09:33 Charmey arr. 09:47 Charmey dép. 13:47 Bulle arr. 14:14 Bulle dép. 14:20 Lausanne arr. 15:18

Nous quittons le Chalet du Soldat et descendons sur Bellegarde pour prendre le bus. Si le programme et les activités du camp, notamment les marches (!) n’ont pas toujours fait l’unanimité, la perspective des « bains » réjouit tout le monde … Les Bains de la Gruyère … barboter dans l’eau chaude, se prélasser dans les bains bouillonnants, se détendre dans les bains turcs et le hammam … rien à dire, ça finit bien le camp !