wawa Mag

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Juin2013Numéro 03

Le magazine du Brabant wallon

Du carnaval de Malmedyau lion de Waterloo…

WaWa ?

Certains lecteurs nous demandent encore pourquoi WaWa ?

Au delà du fait de la consonance et qu’il se retient facilement le nom WaWa a une his-toire.

On vous explique...Il y a bien longtemps existait un «vicinal» cher à quelques anciens de la vallée de la Lasne, la WaWa.

La WaWa reliait donc directement Wavre à Waterloo…

Aujourd’hui devenu un «Ravel» fréquenté par les cyclistes et les promeneurs c’est aussi devenu le magazine que vous tenez dans les mains et avec lequel on vous souhaite beau-coup de plaisir !Vous souhaitez plus d’information sur le «WaWa» ?Vous souhaitez être au courant de tous les évènements du Brabant Wallon ?

Rendez-vous sur le site web du WaWa : www.wawamagazine.com

Jean-François de Lavareille.

Edito

6

20

36

16

22Abel CaineElectronic Music

Hey Yeah !Vitesse sup !

Atelier Jean Vilar :Du Coq à Lasne

Rencontre Florence Reuter

Déco :Le terrasse

Sommaire

Wawa Magazine

Editeur responsableJean-François de Lavareille

Rue du Collège 114 - 1050 Bruxelles

Rédaction Coralie Denis

Pierre ChaudoirJean-François de Lavareille

PhotographeCapturevenement Wavre

Pierre-Olivier TulkensJean-François de Lavareille

InfographiePica Mundo sprl

Contacts magazine,rédaction et publicité

Jean-François de Lavareille :0479 96 60 91

www.wawamagazine.com

Avertissement:• Nous déclinons toute responsabilité

pour le contenu des publicités.• Le contenu des articles n’engage

que les personnes interrogées.• Aucun article ne peut être reproduit

même partiellement sans l’autorisation expresse de la rédaction.

• Ne pas jeter le magazine sur la voie publique

Du carnaval de Malmedy au lion de Waterloo…Cette charmante blonde a gravi les échelons de la vie sociale à triple vitesse. Issue du fin

fond de la porte des Fagnes à quelques encablures du plus beau circuit du monde, Florence Reuter, a vite envahi nos écrans en présentant le Journal Télévisé le plus suivi de notre fran-

cophonie. Elle a été notre hôtesse à RTL TVI durant quasiment dix ans.

A force d’entrer dans nos foyers, elle a dé-cidé d’en améliorer le fonctionnement dans sa commune waterlootoise à l’invitation de l’inusable Serge Kubla. Elle passe du rôle d’in-tervieweuse en revêtant celle de politicienne locale et wallonne. Telle qu’Arturo Brachetti. Dans la grâce et la discrétion.

Sourire éclatant. Regard pétillant. Une gen-tillesse débordante de celles qui écoutent vraiment les vraies personnes. Elle rejoint le landerneau du MR à Waterloo. Elle y fait un carton avec quasiment 15.000 voix de préfé-rence. Elle irradie la commune de son charme. Avec la discrétion qui est la sienne. Mais avec une réelle détermination. Tout le monde voit en elle la digne héritière au rôle de mayeur. Elle est en charge de l’Enseignement communal et artistique, du Commerce, des Classes Moyen-nes, de l’Emploi et des Relations internationa

En épousant les yeux les plus perçants du paysage audiovisuel belge soit un autre ex-présentateur de TV soit Georges Dewulf, elle met au monde trois enfants. Lui aussi quitte la scène médiatique pour endosser le rôle de porte-parole d’une des marques de chez D’Ie-teren pour revenir à ses premiers amours qui est la communication face to press. Georges gère maintenant ceux qui ont besoin de com-muniquer vers les médias

Georges et Florence, c’est le couple le plus people le moins « pipole » du Brabant Wallon. La force tranquille d’un couple tranquille. Juste ce qu’il faut quand il le faut. Ne comptez sur eux pour voir la famille exposée dans les pages des tabloïds belges. Pour vivre heureux, ils vi-vent cachés. Et protègent leurs trois enfants.

L’Institut Charles Péguy oul’interaction avec le monde professionnel

L’Institut Charles Péguy propose trois graduats : le tourisme, la gestion hôtelière, la création et gestion d’événements. Ce sont des pro-fessionnels du secteur touristique, hôtelier ou événementiel qui assurent l’ensemble des formations, transmettant leur enthousiasme et leur passion.Cet échange avec le monde professionnel permet également d’adapter rapidement les programmes en fonction de l’évolution des métiers.

La première année propose un programme de cours commun aux trois sections, tourisme, gestion hôtelière, création et gestion d’événe-ments. Des cours généraux et d’autres plus spécifiques aux trois métiers sont proposés.

En deuxième année, il y a d’abord la formation théorique selon l’orientation choisie ensuite (et en parallèle) diverses applications pratiques : visites de villes, d’hôtels, participation active sur salons, organisation d’événements, …

Autre particularité, la possibilité de rentrer di-rectement en 2ème année selon le parcours de formation déjà suivi.

La troisième année est une mise en pratique de la formation reçue avec un stage de minimum six mois et la rédaction d’un mémoire.

L’Institut Charles Péguy, accepte également les non-diplômés du secondaire qui après consti-tution d’un dossier d’inscription très complet et défense orale de ce dossier et divers tests peu-vent après réussite de ces épreuves accéder à la première année.

Un encadrement pédagogique et un suivi per-sonnalisé permet à chaque personnalité de s’exprimer. L’accent est également mis sur les langues et sur l’ouverture au monde ainsi, l’Ins-titut accueille chaque année un panel d’étu-diants étrangers.

Installé sur le site de l’UCL à Louvain la Neuve depuis 1969, l’Institut propose un enseigne-ment de qualité de type privé « non standardisé ».

Cette implantation à Louvain la Neuve per-met de profiter des infrastructures sportives et culturelles du site universitaire et de participer à la vie sociale.

Arcade CuisineAnnick Van der Wolf et son équipe vous accueille dans un show room intimiste à l’entrée de Grez Doiceau et à deux pas du centre de Wavre.

Depuis une quinzaine d’années, Arcade Cui-sine propose son savoir faire et ses conseils avisés dans la réalisation de la cuisine mais aussi du mobilier, bibliothèque et dressing. Dans un esprit contemporain ou cottage, Arcade Cuisine travaille toujours sur mesure pour un résultat d’exception.

• Cottage sur mesure : Devenu un classique, un art de vivre et un vaste choix.

• Contemporain sur mesure : Un design ten-dance, une conception faite pour durer. Une originalité sans conteste.

• Cesar By Arcade : Un des plus grands fa-bricants italien de mobilier design. Les réa-lisations Arcade s’accordent parfaitement à l’esthétique et au modernisme du designer.

Installer une nouvelle cuisine c’est inviter une nouvelle ambiance chez soi pour de nombreuses années. C’est pour cette rai-son qu’Annick van de Wolf s’est entourée de vrais artisans et des plus prestigieux fa-bricants d’électroménagers comme Miele, Boretti, AEG, Bosch, … Dans un souci de finition impeccable, les réalisations sont peintes à la main, laquées ou naturelles en bois, chêne,…

« L’ambiance intérieure, lorsqu’elle est bien coordonnée et stylée, confère un bonheur quotidiens aux occupants »

Pour Arcade Cuisine, chaque détail compte. Afin de proposer un service complet, Annick Van der Wolf vous propose un premier ren-dez-vous au magasin ou à votre domicile afin d’élaborer un projet selon vos besoins et vos envies. Ensuite, vous aurez l’occasion de visualiser votre futur intérieur, vous pour-rez analyser les plans et la perspective.Lorsque devis est accordé, la pose est exé-cutée dans le délai souhaité. Rendez-vous chez Arcade Cuisine en men-tionnant que vous avez vu cet article sur WaWa.be et recevez un four vapeur d’une valeur de 1299€ à l’achat d’une cuisine. (Offre valable jusqu’au 30 juin 2013 inclus et non cumulable avec d’autres promotions. Référence du four vapeur : DG5040) Arcade Cuisine se déplace sur toutes les communes du Brabant Wallon, Brabant Fla-mand et toutes les provinces de Belgique. De belles références pour l’enseigne aussi

sur Bruxelles et les régions côtières. Arcade Cuisine propose également ses services à l’étranger grâce à sa filiale française.

www.arcadecuisine.be Ouvert du lundi au vendredi de 13h à 18hLe samedi de 10h à 17h sur rendez-vous

Avenue Comte d’Ursel 38 – 1390 Grez Doiceau010/84.15.05 ou info@arcadecuisine.be

Avant Premièreà partir du 22 juin

Avant Premièreà partir du 23 juin

Avant Premièreà partir du 28 juin

Avant Première WawaLe 9 juillet :

Drink + Film : 6,50e

Sortie le 26 juin Sortie le 26 juin Sortie le 26 juin Sortie le 26 juin

Sortie le 3 juillet Sortie le 3 juillet Sortie le 10 juillet Sortie le 10 juillet

Sortie le 10 juillet Sortie le 26 juin Sortie le 10 juillet Sortie le 10 juillet

Pour les Avants premières réservation souhaitée aux caisses des cines wellingtonwww.cineswellington.be - info et horaire 02.354.93.59 - bureau :02.354.30.45

Création, identité, liens :les maîtres mots de la saison 2013-2014 de l’Atelier Théâtre Jean Vilar.

L’ATJV s’affirme plus que jamais comme théâ-tre de créations ; cette saison, la moitié des spectacles proposés sont des créations. Un nouveau logo exprime la dynamique de re-nouvellement et les « à-côtés » des spectacles se multiplient, pour renforcer les liens avec les specta(c)teurs.

QUELQUES FOCUS :

• Véronique Dumont signe et porte à la scène la première création mondiale de la saison avec Album ou Les Chevaliers, c’est une autre his-toire. Sept nouvelles décalées pour construire un album-souvenir singulier.

• Le très attendu Roméo et Juliette façon Yves Beaunesne version « plat pays » sera joué 10 fois à l’Aula Magna.

• Dirigé par Marie-Line Lefebvre, Alexis Gos-lain se glisse dans le cerveau d’un assassin : Le Triomphe du singe-araignée de Joyce Carol Oates aide à comprendre l’hu-main, même dans l’horreur.

• Dans le cadre de l’année Grétry, l’ATJV cé-lèbre le compositeur dans la comédie en trois actes L’Amant jaloux (qui n’a plus été jouée en Belgique depuis 1930 !) ; 17 chanteurs-comé-diens-musiciens illumineront le mois de dé-cembre et le réveillon.

• Bruno Coppens revient créer au Théâtre Jean Vilar sous la houlette de Eric De Staercke. Avec Trac !, il décortique la peur du… spectateur.

• Des dialogues justes, un humour percutant : Un Air de famille du couple Jaoui-Bacri fera mouche à tous les coups. Six comédiens chevronnés (O. Cuvellier, M-L Lefebvre, J. Lemonnier, F. Lepers, C. Van Snick, S. Van Vyve) emmenés par Olivier Leborgne à la mise en scène nous feront redécouvrir cette écriture acérée.

• Création en langue française, Chaos conju-gue au féminin et avec humour les émotions et les mésaventures de la vie. Nathalie Willame, Isabelle Paternotte et Stéphanie Van Vyve dé-jouent les codes théâtraux et font fuser les répliques drôles de l’auteur finlandais Mika Myllyaho.

• Un fil noir-jaune-rouge parcourt cette saison puisque l’ATJV fait la part belle aux auteurs et artistes belges (pas moins de 8 plumes de chez nous ont signé ou adapté des textes). Surtout, l’ATJV soutient les auteurs belges contem- porains : Laurence Vielle (Du Coq à Lasne), Véronique Dumont (Album ou Les Chevaliers, c’est une autre histoire), Bruno Coppens (Trac !), Claude Semal (Ceci n’est pas un chanteur belge) ou Serge Demoulin (Le Carnaval des ombres).

• Les auteurs classiques ne sont pas en reste : Feydeau (Monsieur chasse !), Vian (L’Ecume des jours), Shakespeare (Roméo et Juliette), Grétry (L’Amant jaloux), Molière (Dom Juan) et Corneille (Le Cid).

En 2013-2014, nous nous rapprochons de vous !

14 spectacles • 7 créations dont 2 mondiales • 5 accueils belges • 2 accueils français en ex-clusivité • 6 spectacles pour enfants • plus de 100 artistes • Et aussi des rencontres avec les artistes, des ateliers de spectateurs, les ren- contres du jeudi, des visites des coulisses, des garderies organisées, des soirées théma-tiques…

Infos et réservations :0800/25 325 – www.atjv.be Du lundi au vendredi de 10h30 à 18h30et le samedi de 10h30 à 13h

Parcourant les 150 km qui séparent ces deux villes, traversant la frontière linguistique, Lau-rence Vielle part à la recherche de son histoire familiale. Une famille qui comptait deux résis-tants et un collaborateur pendant la Seconde Guerre mondiale. Une quête de vérité emplie de poésie.

17 au 27 septembre 2013Théâtre BlocryRencontre du jeudi : 19.9.13

Ecriture et jeu : Laurence Vielle

Regard extérieur à l’écriture et à la mise en scène : Pietro PizzutiImages : Jean-Michel AgiusComposition et interprétation : Vincent Granger (clarinettes) ou Helena Rüegg (bandonéon)

Une production de Stoc! asbl en coproduction avec le Théâtre de Vidy-Lausanne et le Théâtre Le Public de Bruxelles. Production déléguée : Audience production asbl.

Avec l’aide du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Service du Théâtre (CAPT).

Du Coq à Lasne de Laurence VielleVoyage intime dans la mémoire d’une famille belge

Focus

C’est l’histoire de quatre copains qui répétaient dans un garage...Un jour, ils ont fondé le groupe d’indie pop, Hey Yeah!.

Un début marqué par le succès. Leur nouveau clip, Never Hap-pend, sorti en avril, fait un carton sur Internet. Le 3 août,

ils seront en concert à Ronquières.

Hey Yeah!passe en vitesse sup

“Hey Yeah, jusqu’à la lune”...Si vous n’avez rien compris à cette phrase, c’est tout à fait normal. Voilà une private joke, ou plutôt une devise vita-minée cachant une belle part d’ambition, qui fait sourire les quatre complices qui ont formé Hey Yeah!. Le groupe nivellois, dont le clip Never Hap-pend, sorti en avril, est fort apprécié sur la toile, a opéré un beau décollage depuis sa création. Le samedi 3 août, on pourra le voir au Ronquières Festival (Plan incliné), de 14h50 à 15h30. Hey Yeah! est désormais basé à Bruxelles, ques-tion de facilité en fonction des études supérieures de chacun. Les musiciens ont respectivement 25, 26, 27 et 28 ans. Pour l’instant, ce qui compte pour eux, c’est la préparation d’une maquette (un EP) plus professionnelle et plus mature. Car, com-me ils affirment en souriant : “Un concert n’est ja-mais une fin en soi!”. C’est en 2007 que les jeunes hommes se sont rencontrés musicalement.“On se connaissait déjà avant, puisqu’on fréquen-tait la même école, à savoir le Collège Sainte-Ger-trude de Nivelles. Chacun de notre côté, on jouait de la musique pour se détendre, en dehors des cours, tous autodidactes. Au fond, ce qui nous a rapproché, ce sont nos goûts musicaux (en particulier envers Radiohead) et le fait d’être des copains. Notre premier concert s’est déroulé au KultuurKaffee (Bruxelles). Et là, Bastian Edwards, qui n’avait pas vraiment l’habitude des baguettes, s’est proposé pour jouer de la batterie. Il a donc rejoint Arnaud Luyckfasseel (bassiste) et Julien McPisca (auteur-compositeur-chanteur-guitariste).

À l’époque, on répétait dans le garage, chez les parents d’Arnaud, à Nivelles”. Et, tout s’est très vite enchaîné. Romain Borremans est arrivé, gui-tare en main. Le quatuor obtient rapidement une date au Botanique. A suivi le premier enregistre-ment d’un EP, intitulé “Everyone says Hey Yeah!” (2012) et la sortie de leur single. Le CD servant de démo a permis au groupe de se produire lors de vingt concerts en 2012. “On a la pêche pour conti-nuer à composer et surtout pouvoir se produire un maximum sur scène. On est à la recherche d’un label. On est pas encore trop connus. Les gens nous découvrent seulement. Et ils nous le rendent bien. Ce qui nous motive pour le futur. On aime partager avec le public et avoir un retour est im-portant pour assurer notre progression”.Les Hey Yeah! ont grandi dans l’univers de la pop britannique. Sur scène, Arnaud, Bastian, Julien et Romain se définissent comme vecteurs d’énergie. “De l’indie pop! Oui, du rock, aussi, certes mais on reste dans le registre de la pop. On accorde une place primordiale au chant et à la mélodie”. Les textes sont rédigés en anglais, “car cette langue se prête mieux à notre musique”, ajoutent-ils.On aborde les thèmes de la vie : les rencontres et les ruptures, l’amour, l’ennui...Hey Yeah n’at-teindra sûrement pas la lune mais le groupe ira certainement loin, musicalement.

Facebook : HEY YEAH!http://heyyeah.be

Electronic/music

Musique

Les twins Chainis et leur nouveau band seront à l’affiche de plusieurs concerts cet été.Rencontre avec Greg Chainis, également pro-fesseur de basse aux Classes du Rock présen-tés à Louvain-la-Neuve. Rencontre zapping.

NC : Comment est né le projet Abel Caine ?Greg Chainis : Je viens de la région de la Lou-vière. J’ai débuté avec un groupe de rock pro-gressif. J’avais 17 ans. Trois années plus tard, nous avons rencontré le bassiste Loris Stils. - Je dis « nous » car j’ai toujours joué avec mon frère jumeau, Micka - Nous avons à ce moment créé un groupe de funk. Aujourd’hui encore, nous travaillons sur un projet de ce type (Six Ways to Funk). Nous sommes rentrés dans le mileu petit à petit avec des participations à des projets comme celui de Jennifer Scavuzzo plus pop rock. On a aussi fait pas mal de tournées en Belgique et à l’étranger.2012. Nous avions envie, mon frère et moi, de créer notre propre projet. Abel Caine est né.Nous avons beaucoup réfléchi à l’univers que nous voulions développer. Nous avons voyagé dans pas mal de sphères musicales. Il fallait canaliser. Nous avions envie de faire de la pop. Et on aime beaucoup les touches électro.

NC : Pourquoi Abel Caine ?Greg Chainis : Notre nom est une référence à Abel et Cain de la Bilble. J’espère que l’on ne finira pas comme eux.

NC : On retrouve un grosse tendance funk dans votre EP ?Greg Chainis : Oui, on s’est rendu compte qu’elle nous suit. On a beau vouloir s’en éloi-gner, elle revient à chaque fois. Nos morceaux sont basés sur pas mal de rifs de basse. Peut-être que cela influence Mais il y a pas mal d’autres sons aussi. C’était pas voulu en tout cas.

NC : Comment Abel Caine a t-il construit son EP ?Greg Chainis : Nous travaillons les morceaux chacun de notre côté. Et nous essayons d’aller le plus loin possible dans la composition.Au final, probablement, parce qu’on est ju-meaux, les morceaux sont très cohérents et se complètent bien. Nous travaillons avec Stephan Legrand qui est auteur. On lui envoie les mélo-dies et lui travaille à l’écriture. Ensuite, les autres membres du groupe (Milann Lafontaine - Gorgo et Pierrick Destrebecq) y mettent leur patte.

NC : Un EP est sorti sur iTunes le 1er février 2013. L’album suit-il ?Greg Chainis : Il sera prêt en septembre ou octobre 2013. Notre challenge actuel, c’est la scène. On entre en résidence pour élaborer le travail scénique en avril. Ce projet est clai-rement fait pour être joué sur scène. C’est ce qu’on aime faire.

NC : Quelles sont les prochaines scènes ?Greg Chainis : Les Francofolies sont confir-mées. L’Automn Rock Festival également. On attend la confirmation pour pas mal d’autres événements. Ça a l’air de bien se présenter.

Luc Pieltain

abelcaine.comfacebook.abelcaine

Abel CaineNew electric vibe

Greg Chainis, égalementprofesseur de basse

aux Classes du Rock

PeopleLancement de la nouvelle Jaguar F-Typeau garage Longchamps à Wavre

Les apéros So Wat.Quand Christophe Moniquet reprend la gestion du club-house de hockey sur gazon du Waterloo Ducks, il sait que l’entre-saison est longue. Le Waterloo Ducks, c’est un club de hockey qui brille au firma-ment du hockey belge et même européen. Issu du mariage fusionnel entre le Ducks qui joue à Lasne et Waterloo qui joue à ….. Waterloo.

Les deux entités unissent leurs forces et à vu éclore une génération dorée composée des De Saedeleer, De Grève, Luycx, …. Ce petit club de « province » va rapidement monter en première division pour rem-porter le titre très envié de champion de Belgique à quatre reprises depuis 2006.

Encore durant la saison 2012-13, les « canards » ont dominé outrageusement le championnat pour remporter le titre lors des play-offs organisés dans ses propres installations. Le Waterloo Ducks est le deuxième club de Belgique en matière de membres. Il est en phase avec la démocratisation d’un sport à une vitesse exponentielle. Le hockey est le sport à la mode. Deux qualifications aux Jeux Olympiques ont popularisé ce sport auprès des médias et du grand public. L’équipe nationale puise l’essentiel de ses troupes dans le club waterlootois.

Assurer la gérance d’un club pareil n’est pas chose aisée. Quand Christophe Moniquet découvre le hoc-key qu’il pratique en loisirs et quand il entend qu’il existe la possibilité de reprendre la gestion, il n’hésite pas une seconde. Formé à la gestion de restaurant et d’un service traiteur, rien ne lui fait peur.Il envisage évidemment de mettre sur pied les apéros So Wat durant l’été tous les vendredis dans l’esprit du club : familial, sympathique et accessible. Les infrastructures permettent aussi de garantir l’organi-sation en se fichant des caprices de la météo. Les apéros So Wat ont lieu peu importe le temps. A l’abri quand le soleil se fait rare et dans le jardin dans un environnement bucolique quand la pluie oublie d’ar-roser notre pays.

Jeux pour enfants, mojitos pour les grands, concerts ou autres animations égaient l’été du Brabant Wallon, les apéros So Wat ont lieu à quelques encablures du

ring. Le parking y est très aisé. Tout le monde y est le bienvenu. Nul besoin d’être un féru de hockey pour venir boire un pot. Les barrières des préjugés d’un sport élitiste tombent dés l’entrée grâce au cadre verdoyant des installations et l’accueil souriant.

Vous y rencontrez des joueurs de hockey, des com-merçants de Waterloo, des personnalités du monde politique, journalistique et artistique. Samuel Bos-mans, demi-finaliste de The Voice, est venu donner deux concerts acoustiques d’excellente qualité.Vous pourrez vous initier au golf, faire un tour en Harley Davidson, écouter un concert, découvrir des vélos électriques, … Chaque vendredi a son thème. Son activité spécifique.

Pour garder le bon équilibre avec les voisins, le Col-lège du Berlaymont et la chapelle musicale Reine Elisabeth, les apéros So Wat se terminent à 22 hrs. Une série de restaurants locaux se tiennent prêts à recevoir les « apéroteurs » affamés. Une information est mise en place avec, en plus, un avantage offert par So Wat. Elle n’est pas belle la vie ?

Pour communiquer, les apéros So Wat surfent sur la vague des réseaux sociaux qui connaissent un succès grandissant. La viralité virtuelle devient phy-sique et interactive. Plus question de « second life » au bout d’un clavier, les amis des amis deviennent des amis. Des vrais. Comme on dit, n’attendez pas que vos amis viennent, venez-y avec vos amis. Ils ne seront pas déçus. Que du contraire.

Ne tardez pas en profiter car mi-août, la saison de hockey reprend ses droits et les Apéros So Wat lais-sent logiquement leur place au club-house du Water-loo Ducks. Le millier de membres reprend posses-sion de leur club-house. Pourquoi n’en feriez-vous pas partie ?

Pour tous les renseignements sur les Apéros So Wat : www.facebook.com/pages/SO-WAT

Adresse : Drève d’Argenteuil – 1410 WaterlooPour tout savoir sur le Waterloo Ducks :www.mywadu.com

Waz : des chaussures branchées pas comme les autres

Waz : des chaussures branchées pas comme les autresWaz est l’inventeur des chaussures que l’on peut customiser selon ses envies. Avec une paire, on

obtient le style et les motifs qu’on souhaite.

Waz est une toute nouvelle marque de sneakers. Sortez immédiatement l’image des chocolats de votre tête car, à la manière des « tennis », des « baskets » ou des « runnings », on parle bien de « chaussures (Superstar, All Star Converse…)» et de « mode ». Waz est une chaussure « créée par des jeunes, pour des jeunes ».Sa particularité : on peut changer son look et sa couleur en un rien de temps et au gré de ses en-vies. C’est là que se trouve le génie de l’invention. « Combien de fois n’a-t-on pas refuser de porter telle paire de chaussures car sa couleur n’était pas assortie à ses habits ? Avec Waz et son concept innovant, on peut en modifier le look selon une démarche des plus simples. Il suffit de glisser des plaquettes dans la chaussure (appelée dès lors “WazkerZ” et disponible en noir ou blanc) pour changer de style». Le but est donc de collection-ner les plaquettes différentes.

À la base de cette invention : Bastien et Rudy, les deux créateurs de la marque. Ces derniers ont mené leurs études dans la même école. Ce qui les a amenés à devenir amis et à s’associer dans une démarche professionnelle. À cette époque, des idées fusaient déjà. C’est sûr, mais il manquaient peut-être d’une touche féminine pour les mettre en forme. C’est là qu’est arrivée Winnie Sangara, la directrice artistique. Diplômée en International Business Management, elle est passionnée de mode et passe un temps fou à repérer les nou-velles tendances. Rudy fut élevé dans une culture

mixte afro-européenne, il a puisé son inspiration dans les différents milieux dans lesquels il a évo-lué. Bastien est membre d’un cabinet de consul-tance. Ses capacités d’entrepreneur lui ont valu de rencontrer des dirigeants d’entreprise. Ce qui lui a apporté de l’expérience non négligeable dans le domaine. Le jeune homme développe égale-ment d’autres projets sur le côté, dans les bran-ches humanitaire et de l’écologie. Le projet WAZ aura tout de même pris deux bonnes anneés pour sortir de sa boîte. Public cible ? « La Z-génération, celle branchée, hyper connectée et à la recherche permanente de nouveautés ». L’aspect pratique et la beauté, c’est une chose. Mais, l’accent a été porté aussi sur la qualité. « Un de nos premiers soucis a été de trouver un partenaire producteur capable de manufacturer des produits de qua-lité, car ce qui nous importe énormément est le confort. La structure de la chaussure est fabriquée en cuir, à 100% ». La collection WAZ est divisée en quatre tendances, avec les imprimés déclinés qui vont avec: BazikZ (plus sobre), ClassicZ, FunkyZ (plus « flashy ») et HypeZ (inspiré de la mode du moment). Où trouver la marque Waz et ses acces-soires? En Belgique, on trouve 18 boutiques re-vendeuses. Parmi celles-ci, Nivelles compte déjà deux distributeurs, à savoir les magasins Take Off et Sac à Malice, dans la galerie du Shopping. Si le stock n’est pas déjà épuisé…

Magaly Swaelens

www.waz-shoes.comFacebook : Wazshoes

Insolite,vous avez dit ?

Jusqu’en 1944 les femmes n’avaient pas le droit de vote en France.

La colle sur les timbres de la

poste israélienne est certifiée

cacher.

Nous produisons en moyenne 0,5 à 2 litres de gaz intestinaux par

jour.

Les autruches mettent leur tête au sol pour chercher de l’eau.

Bob Marley disait qu’il roulait en BMW non pas parce qu’il avait besoin

d’une voiture de luxe, mais simplement car BMW correspondait aux initiales

de «Bob Marley and the Wailers».

Lorsqu’on utilise le variateur de lumière d’une lampe halogène, on réduit

bien la clarté dans la pièce, mais la lampe consomme toujours autant

d’énergie.

Il y a plus de chance de faire un numéro de téléphone français au

hasardet de tomber sur la personne à qui l’ont

souhaite parler, que de gagner le

gros lot à Euro Millions.Les oiseaux aussi éternuent.

Un chiliogone est un polygone

possédant 1 000 côtés.

La fraise est un faux-fruit, les fruits des

fraisiers sont les akènes.

Une personne sur dix vit sur une île.

Le cerveau est composé de 80% d’eau

Elvis Presley était blond.

Il faudrait que vous soyez piqué par 1 200 000 moustiques simultanémentpour être vidé de tout votre sang.

Il existe 300 000 mots de plus

dans la langue française qu’à l’époque de

Molière.

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DECO

Enfermés durant de trop longs mois et souvent res-treints par les obligations multiples, notre besoin de vivre à l’extérieur ne devrait pas se résumer à quelques malheureux jours de vacances pénible-ment grappillés. Consacrer un peu d’énergie à se construire la terrasse qui nous convient peut être très bénéfique et salutaire.

Refuge précieux, lieu de lecture ou de méditation, lieu de rencontres, de partage....... Quelle que soit la destination qu’on lui confère, il faut la concevoir comme une prolongation de l’habitation.Balcon d’appartement ou surface attenante à la mai-son, dans les deux cas, les coloris et le style doivent être assortis aux pièces adjacentes et ce, pour pré-server l’harmonie visuelle, règle première en déco-ration.

Plusieurs éléments sont à prendre en compte lors de sa mise en oeuvre: le climat, l’espace, l’orientation, les habitudes de vie.

Malheureusement, sous nos latitudes, le ciel ne nous gâte que très très épisodiquement.... Pour nous pro-téger des averses trop fréquentes, parasols et marqui-ses ne peuvent suffire. Les textures classiques qui les composent seront vite imbibées d’eau et risqueront de moisir une fois enroulées ou repliées.Si vous optez pour une marquise fixée à la façade de la maison, choisissez-la dans un tissu imperméable.Avant de définir la superficie que l’on désire pro-téger, il est important de tenir compte de deux élé-ments: le soleil n’est pas figé au zénith et la pluie est souvent accompagnée d’un vent léger. Tenir compte de ces facteurs en choisissant de couvrir une grande surface vous évitera bien des surprises.

Il existe une autre alternative pour couvrir votre terrasse. La mise en place d’une structure en bois sur laquelle l’on tend une bâche plastifiée pourvue d’oeillets renforcés maintenue par des colsons sur les côtés. Le gros avantage de cette conception ré-side dans la protection parfaite contre la pluie et le soleil. Contrairement à la marquise, ce système est très résistant au vent et peut rester en place du prin-temps jusqu’à l’automne. Il est vrai que couvrir en tout ou en partie une terrasse peut représenter une dépense conséquente mais que d’avantages indénia-bles quand on vit en Belgique, pays imprévisible par excellence.

Par l’apposition de cette pergola, vous pouvez déli-miter l’espace repas et l’espace bain de soleil-salon.Point très positif de cette option, il vous est loisible de tout mettre à l’abri en cas de pluie ou le soir et d’échapper ainsi à la pose de bâches de protection souvent disgracieuses. Vous gagnerez également le temps du fastidieux «nettoyage-séchage» lors de vi-sites surprises.

Une fois l’automne à nos portes, il vous suffit de re-tirer la bâche et la structure de la pergola habillée de quelques plantes grimpantes atténuera l’effet «dé-serté» durant l’hiver.Si vous souhaitez pouvoir profiter de chaque instant de l’extérieur, il vous suffit d’investir dans un para-sol chauffant électrique à suspendre, très pratique, il combine à la fois éclairage et chauffage d’appoint.Pergola, marquise,..... Quel que soit votre choix, pri-vilégiez les tons clairs afin de préserver la luminosité à l’intérieur de l’habitation.La serre, alternative très tendance, répond également aux exigences climatiques de notre pays. Accolée à

Conseil déco: la terrasseUn petit coin de paradis.....

un mur de la maison, en prolongement d’une baie vitrée,...... En la décorant avec soin, elle se transfor-mera en pièce à vivre supplémentaire de l’habitation. Il suffira de modifier son agencement au fil des sai-sons. Veillez à la placer dans un endroit ombragé, ou au moins non exposée au soleil de midi et prévoyez deux ouvertures afin de créer un courant d’air.

Le choix du mobilier sera défini en fonction du style de la maison.Dans la mesure du possible, tables, chaises, transats, fauteuils seront de couleur et de matière identiques.Depuis peu, les fabricants nous offrent un assorti-ment des plus variés. Toutefois, si vous disposez de peu de temps à consacrer à l’entretien annuel des meubles, les nouveaux matériaux en composite à haute résistance sont faits pour vous.Pensez avant tout à votre famille, à votre confort. Si vous n’avez pas l’habitude de recevoir beaucoup de personnes en même temps ou que vous préférez prendre les repas à l’intérieur, ne vous encombrez pas d’une table trop grande. Privilégiez le côté intimiste. Contentez-vous de disposer un coin salon et deux ou trois transats autour d’une petite table basse.N’hésitez pas à sortir quelques plantes qui délimite-ront esthétiquement l’espace.Un claustra sur lequel on accroche une clématite, une glycine constituera une excellente protection visuelle vis-à-vis de proches voisins.

Quelques plantes fleuries suspendues ou mélangées à d’autres objets de décorations ajouteront une tou-che de raffinement.Suivant l’ambiance désirée, l’on peut ajouter des voiles drapés, des bougies, des vasques, des cous-sins......

Petite astuce: un petit coffre rempli de plaids assortis à proposer à vos invités et qui vous servira de tabou-ret d’appoint ou de desserte.Les belles journées n’étant pas légion sous nos tropiques, si vous ne disposez pas d’une terrasse couverte, ne vous encombrez pas de mise en place contraignante. Allez à l’essentiel !Que votre terrasse soit couverte ou à ciel ouvert, laissez libre cours à vos envies afin que les instants passés à l’extérieur, seul ou entre amis, ressemblent à des souvenirs de vacances et vous ressourcent.Que votre été soit long, long,.............................................

DAVID BIANCHINIChaussée de Huy, 105b Dion ValmontOuvert vendredi et samedi de 10 h à 21 hLe premier dimanche du mois de 11 h à 16 hSur rendez-vous au 0478 17 11 15www.decobianchini.com

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