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VENDREDI 3 MARS 2017 – 20H30

GRANDE SALLE PIERRE BOULEZ – PHILHARMONIE

Alexandre Nevski

Sergueï ProkofievAlexandre Nevski

Film de Sergueï Eisenstein (1938)

Orchestre Symphonique du Pôle Supérieur Paris Boulogne-BillancourtLe Jeune Chœur de ParisChœur de l’Armée FrançaiseChœur Sorbonne UniversitésChœur Stella MarisMaîtrise de ParisPierre-Michel Durand, directionSvetlana Shilova, mezzo-soprano

Une édition FilmPhilharmonic. Film avec l’aimable autorisation de Mosfilm. Musique avec l’aimable autorisation de Sikorski Musikverlage.

Coproduction Pôle Supérieur Paris Boulogne-Billancourt, Philharmonie de Paris, en partenariat avec l’European FilmPhilharmonic Institute.

FIN DU CONCERT (SANS ENTRACTE) VERS 22H30.

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Sergueï Prokofiev (1891-1953)Alexandre Nevski, cantate pour mezzo-soprano, chœur et orchestre

I. Le xiiie siècle

II. Le Lac de Plestcheievo

III. Les Croisés dans Pskov

IV. Levez-vous, hommes de Russie

V. La Bataille sur le lac de Tchoudsk

VI. Le Champ de la mort

VII. Entrée d’Alexandre à Pskov

VIII. Point d’ennemi dans notre patrie

Texte : Vladimir Lougovskoï.

Composition : 1938 ; la Cantate est réalisée par le compositeur à partir de la musique

originale conçue pour le film.

Réalisateur du film : Sergueï Eisenstein.

Première projection du film sonorisé : décembre 1938.

Durée : environ 2 heures.

Synopsis

Le xiiie siècle. Une musique pesante, tragique et dépouillée, correspondant à la vision d’un champ de bataille jonché de squelettes et de débris d’armures.

Le Lac de Plestcheievo. L’occupation paisible des pêcheurs et des artisans est traduite en musique par un beau chœur aux sonorités profondes et paisibles. Des sons de cloches effectuent la transition avant la présentation du camp ennemi.

Les Croisés dans Pskov. Une musique lourde, statique, menaçante. Aux grincements s’oppose une mélodie plaintive au moment de la mise à mort d’un vieillard. Retentissent ensuite les trompes teutonnes avec leurs rauquements puis, dans la scène où les enfants sont jetés dans le bûcher, le chœur latin « Peregrinus expectavi pedes meos in cymbalis » (« Pèlerin, j’espérais mes pieds chaussés dans des cymbales » – une phrase dont le sens final semble échapper même aux latinistes).

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Levez-vous, hommes de Russie. C’est l’effervescence de la mobilisation et l’urgence de passer à l’action, avec la distribution des armes. Une belle cantilène aux voix de femmes montre une jeune fille s’équipant elle aussi pour le combat. L’attente de l’affrontement commence par faire réentendre le numéro 1 de la partition. Quelques sonneries précèdent le début de la bataille.

La Bataille sur le lac de Tchoudsk. Cette partie, qui est le cœur de la Cantate, s’en différencie assez considérablement par le découpage, avec ses intermittences et ses répétitions, et doit être écoutée en fonction de la logique cinématographique et non d’un a priori musical. C’est la célèbre bataille sur la glace, livrée le 5 avril 1242. Le début, avec ses sonorités sifflantes, campe le climat hivernal. Lorsque l’armée des chevaliers se lance à l’assaut, le martèlement orchestral donne la sensation d’une mécanique inéluctable mise en mouvement. Trompes et chœur latin retentissent. À cela répond la musique du camp russe, animée, en virevoltes populaires, lorsque le détachement d’Alexandre se lance à son tour dans la mêlée. Le thème du chœur « Levez-vous, hommes de Russie » revient. Après la scène désopilante du colosse russe enfonçant à coups de seau le casque d’un chevalier, fifres et chalumeaux déploient des ruissellements d’allégresse annonciateurs de la victoire. Le moment le plus impressionnant du film, lorsque la glace du lac se brise sous le poids des chevaliers en armure, est marqué par les chocs violents et obstinés des percussions. Des glissandi de trombone illustrent avec un humour sardonique la disparition des derniers vaincus sous les eaux.

Le Champ de la mort. Les femmes vont sur le champ de bataille pour ramasser les morts et porter secours aux blessés. Les trémolos lancinants des violons créent la sensation du froid qui se dégage de la scène. C’est la seule scène du film qui fasse appel à une voix soliste (mezzo-soprano). La mélodie chantée est du « folklore reconstitué », dans le style des chants lyriques.

Entrée d’Alexandre à Pskov. Après les sons de cloches, le thème du Champ de la mort est repris aux cuivres. Les traîneaux ramènent les corps des guerriers. On réentend la noble mélodie du chant sur Alexandre Nevski, puis un rappel du thème de la mort lors de la scène du jugement du traître sur fond de balancement d’un glas. Ces séquences sont exclusivement orchestrales.

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Point d’ennemi dans notre patrie. Le chœur revient une dernière fois, sur la phrase lyrique du chant patriotique. Des virevoltes rustiques aux chalumeaux entendus dans la scène de la bataille précèdent un ultime rappel du chant sur Alexandre, dans un ample déploiement orchestral, se superposant au message final du film : « Quiconque viendra chez nous avec l’épée périra par l’épée ».

Commentaire

Alexandre Nevski marque le début de la collaboration de Prokofiev avec Sergueï Eisenstein. En 1938, le compositeur venait de rentrer de Hollywood, où il s’était initié à la technique de sonorisation de films. Un contrat lui avait été proposé afin de le garder sur place, offre qu’il refusa, tout à la hâte de revoir son pays. Un pays d’où, à partir de cette même année, il ne fut plus jamais autorisé à ressortir… La rédaction des textes chantés fut confiée au poète Vladimir Lougovskoï. Le travail avec le cinéaste débuta en mai 1938. L’impressionnante capacité d’abattage de travail et la ponctualité de Prokofiev s’avérèrent particulièrement précieuses, comme en attestent le témoignage d’Eisenstein.

« À midi vous aurez ma musique »« Nous sortons d’une petite salle de projection. Et bien qu’il soit déjà presque minuit, je suis tout à fait calme. À onze heures cinquante-cinq précises, une petite voiture bleue franchira le porche du studio de cinéma. Serge Prokofiev en sortira. Il aura dans les mains le nouvel extrait musical d’Alexandre Nevski. Dans la nuit, nous regarderons une nouvelle partie du film pour lequel un nouveau morceau de musique sera prêt au matin.Prokofiev travaille comme une horloge. Une horloge qui n’avance ni ne retarde. Tel un métronome, elle frappe dans la cible même du temps exact. Sa précision vis-à-vis du temps dérive de celle de son œuvre. De l’absolue précision de ces images en moyens d’expression mathématiques et précis, tenus d’une poigne d’acier. »

Sergueï Eisenstein, P-R-K-F-V, in Les Mouvements de l’art

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À la veille de la Seconde Guerre mondiale, le film montre la Russie dans les conflits de ce xiiie siècle où elle eut à endiguer simultanément l’invasion des Tataro-Mongols et surtout celle des chevaliers teutoniques, victorieusement combattus par le prince Alexandre Nevski (1220-1263), qui fut par la suite canonisé par l’église orthodoxe. En toute logique, les deux camps opposés ont chacun leur style musical. La musique du camp russe est mélodique, harmonieuse, très « classique » dans son ensemble, empreinte de majesté patriotique autant que d’effervescence plébéienne, ancrée dans le folklore sans pour autant en faire de citations textuelles. Elle renoue avec la tradition des grands opéras historico-épiques russes de Borodine (Le Prince Igor) et Rimski-Korsakov (Kitège). La musique des envahisseurs est au contraire dissonante, crue, violente, donnant la sensation d’une machine hérissée d’aspérités meurtrières, lancée dans une progression inexorable et inhumaine.

La première projection du film sonorisé eut lieu en décembre 1938. Ainsi qu’il avait coutume de le faire pour toutes ses œuvres scéniques, Prokofiev réalisa à partir de la musique d’Alexandre Nevski une suite, intitulée Cantate, reprenant l’essentiel de son matériau, mais dans un découpage souvent différent, condensant la musique des scènes de vastes dimensions comme Les Croisés dans Pskov et surtout La Bataille sur la glace, où les interventions musicales sont échelonnées sur une longue durée. Cette Cantate a acquis depuis une notoriété universelle.

Pour revenir à la musique authentique du film, aussi proche que possible de ce qui avait été initialement conçu par Prokofiev, il fallut revenir à toutes les sources manuscrites, souvent fragmentaires, conservées au Musée Glinka de Moscou. Après une première tentative de reconstitution effectuée par Yuri Temirkanov en 1993, c’est le chef d’orchestre allemand Frank Strobel qui s’appliqua à cette tâche afin de faire coïncider de façon optimale la partie musicale avec la partie visuelle, parvenant à la version qu’il enregistra en 2005 pour la maison de disques Capriccio.

André Lischke

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Svetlana Shilova Diplômée du Conservatoire national de Saint-Pétersbourg dans la classe de Konstantin Pluzhnikov, Svetlana Shilova fait ses premières armes en tant que soliste dans des productions de chambre de l’Opéra de Saint-Pétersbourg, où elle incarne Pauline (La Dame de pique, Tchaïkovski) et Olga (Eugène Onéguine, Tchaïkovski). Durant quatre saisons, elle est soliste du Théâtre de Ballet et d’Opéra du Conservatoire Rimski-Korsakov, occasion pour elle d’incarner Olga et Pauline mais aussi Marfa (La Khovantchina, Moussorgki), Lioubacha (La Fiancée du tsar, Rimski-Korsakov), Jocaste (Œdipus Rex, Stravinski) et Didon (Les Troyens, Berlioz). Elle fait ensuite ses débuts au Théâtre Bolchoï de Moscou en 2002 dans le rôle de Marfa, ce qui lui vaut d’être invitée à se joindre à la compagnie. Dans le même temps, elle a l’occasion d’enrichir son répertoire opératique en incarnant La Fée Printemps (La Fille de neige, Rimski-Korsakov), Marta et Laura (Iolanta, Tchaïkovski), La Nourrice (Boris Godounov, Moussorgki), La Diseuse de bonne aventure (L’Ange de feu, Prokofiev), Sonietka (Lady Macbeth de Mzensk, Chostakovitch), Linette (L’Amour des trois oranges, Prokofiev), Matriocha et Mavra Kouzminichna (Guerre et Paix, Prokofiev), Nanny et La Marchande de rue (Les Enfants de Rosenthal, Desyatnikov), Alkonost (La Légende de la ville invisible de Kitège et de la demoiselle Fevronia, Rimski-Korsakov), Marina Mnichek (Boris Godounov), le

rôle-titre de Carmen de Bizet et Le Prince Orlofsky (La Chauve-Souris, Strauss). Parallèlement à ses engagements au Théâtre Bolchoï, la mezzo-soprano se produit sur de nombreuses scènes européennes et dans de grands festi-vals internationaux. Plus récemment, Svetlana Shilova incarne Marta à Varsovie, à Dresde et au Theater an der Wien de Vienne, Olga à Madrid, La Mort (Le Rossignol, Stravinski), les Berceuses du Chat et Pribaioutki de Stravinski au Festival d’Aix-en- Provence, à Lyon et à Québec, Teresa (La Somnambule, Bellini) et Konchakovna (Le Prince Igor, Borodine). Parmi les temps forts de ces dernières saisons au Théâtre Bolchoï, citons les productions de Carmen (mise en scène David Pauntney, direction Tugan Sokhiev et Laurent Campellone), La Chauve-Souris, La Fiancée du tsar (Gennady Rozhdestvensky), Boris Godounov ou encore Katerina Izmaïlova de Chostakovitch (Tugan Sokhiev). Svetlana Shilova se produit également à l’Opéra Garnier dans Illusions perdues, ballet sur une musique de Leonid Desyatnikov, au Avery Fisher Hall de New York dans une version concert de La Fiancée du tsar avec Gennady Rozhdestvensky, à Lyon et Athènes dans Le Rossignol de Stravinski, dans la Symphonie n° 9 de Beethoven avec les Wiener Philharmoniker sous la direction de Christian Thielemann et dans Prometheus de Carl Orff en version concert avec l’Orchestre Symphonique Académique d’État Evgeny Svetlanov sous la direction de Vladimir Jurowski.

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Pierre-Michel DurandAprès avoir reçu les précieux conseils de Pierre Dervaux à l’École normale de musique de Paris puis de Carlo Maria Giulini et de Daniel Barenboim, Pierre-Michel Durand remporte le premier prix du Concours international de direction d’orchestre de Prague et le prix Talich à l’âge de 21 ans. Il est alors invité à diriger en France, en Allemagne, en Italie, en République tchèque, en Ukraine, au Venezuela. Il se produit au Midem classique avec l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo et dans de nombreux festivals : Radio France et Montpellier, Besançon, Mai Musical de Florence, Festival des Flandres, Festival de Marrakech. Il est invité par l’Orchestre Lamoureux, l’Orchestre Philharmonique de Lorraine, l’Orchestre de Picardie, l’Orchestre de Caracas, l’Orchestre de la Philharmonie d’Ukraine et l’Orchestre Philharmonique Tchèque, avec lequel il enregistre Petrouchka de Stravinski. Chef associé de Jean-Claude Casadesus, Pierre-Michel Durand dirige de nombreux concerts avec l’Orchestre National de Lille ainsi que La Cenerentola de Rossini et Faust de Gounod. À l’Opéra-Comique, il dirige La Vie parisienne d’Offenbach, et au Théâtre de Lucerne La Traviata de Verdi, La Bohème de Puccini, les Szenen aus Goethes Faust de Schumann et La Belle Hélène d’Offenbach. Pierre-Michel Durand travaille avec de grands solistes parmi lesquels Pierre Amoyal, Michel Beroff, Gautier Capuçon, Olivier

Charlier, Brigitte Engerer, Hélène Grimaud, Éric Le Sage, Misha Maisky, Ivan Moravec, Paul Meyer, Xavier Phillips, Viktoria Postnikova, Nemanja Radulović, Mikhaïl Rudy… À la tête de l’Orchestre Prométhée qu’il fonde en 2004, il dirige de nombreux spectacles et opéras dont La Traviata avec Sonia Yoncheva, Tosca, Madame Butterfly, Don Giovanni… Il participe aux émissions d’Ève Ruggieri sur France 2 avec les plus grands artistes lyriques. Au Théâtre du Châtelet, il accompagne le Wiener Staatsballett, les ballets Daphnis et Chloé de Ravel, Cendrillon de Prokofiev ainsi que Les Mariés de la tour Eiffel. Il donne de nombreux concerts à la Salle Pleyel, dont Le Sacre du printemps de Stravinski, la Symphonie n° 3 de Mahler, Don Quichotte de Richard Strauss avec Marc Coppey ainsi que Le Cuirassé Potemkine d’Eisenstein avec une musique extraite des symphonies de Chostakovitch dont il a spécialement reconstitué la partition. Cette saison, il est programmé au Théâtre du Châtelet, à la Philharmonie de Paris ainsi qu’au Théâtre des Champs-Élysées pour les Mozart de l’Opéra.

Orchestre Symphonique du Pôle Supérieur Paris Boulogne-BillancourtLe Pôle supérieur d’enseignement artis-tique Paris Boulogne-Billancourt (PSPBB) est un établissement d’enseignement supérieur dispensant des formations de 1er cycle en musique, théâtre et danse, créé à l’initiative et avec le soutien de la

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Ville de Paris, de la Ville de Boulogne-Billancour t, de la Communauté d’agglomération Grand Paris Seine Ouest et du ministère de la Culture et de la Communication. Il est membre de la Communauté d’universités et d’établissements Sorbonne Universités depuis 2014. Riche d’une des plus belles offres pédagogiques françaises dans le domaine du spectacle vivant, le PSPBB réunit plus de deux cents enseignants et intervenants extérieurs, qui mettent leur savoir et leur savoir-faire au service d’une formation d’excellence. Le PSPBB s’appuie sur les forces respectives des Conservatoires à rayonnement régional de Paris et de Boulogne-Billancourt, de l’École supérieure d’art dramatique de la Ville de Paris (ESAD), en partenariat avec les universités Paris-Sorbonne, Sorbonne Nouvelle Paris 3 et Paris 8 Vincennes Saint-Denis.

Violons 1Maria Hara (solo)Florian BlotQuentin CapozzoliLilya ChifmanTien-Ai ChouArnaud FaggianelliJoshka Flechet-LessinMarie-Alix GrenierSue-Anne LeeMarie LestrelinAntonin OrcelAleksandrs PrantsGabriele SlizyteJustine VicensAdèle WincklerZhongjia Wu

Violons 2Marin LamacqueDiane CesaroCamille CoelloMarie DuquesnoyAnna-Li HardelAlexandra LecocqCamille Manaud-PallasTeresa Martinez-DiagoEarlene massonneauAya NogamiEster ShtishiAnzhela SimonyanAntonio TanaseHoubert TouzeryAlix Vaillot

AltosClara Lefevre-PerriotStanislav Altoukhov

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Marie-Sarah DanielFlorie DelmotteMaxime DevynckPauline Le ToullecBeatriz Carolina Ortiz RomeroSophie RebolloCynthia StentzelMuriel Valentin

VioloncellesNoémie AkamatsuÉléonore BernhardtJoachim BirmanLucia BistritcaiaJosquin BuvatAlec DefreitasAika InamotoSunuook ParkEsther-Héléna RichardAnastassia MarouninaAna Carla Maza SierraBenoît Zahra

ContrebassesLucca AlcockÉmeline BouillierBoris CavarocEmmanuel DautelFelipe DevincenziLou DufoixRobin SeleskovitchAmi Seta

FlûtesCamille RiccoboniEmma Floc’hJacinthe Moreau

HautboisÉloi HuscenotAlice ClavelJeanne Degos

ClarinettesTomomi InoueThéo CouillezAnn LepageClara LighezzoloVictor Guemy

SaxophonesMaxime ChauvinClarisse Gouard

BassonsEugénie LoiseauAdrien GoldschmidtÉtienne Petit

CorsHippolyte de VilleleJosé-David SomozaThomas BocquetHugo PonsQuentin Benoit Florian Palay

TrompettesJean TroutetAurel BarreThaïs JudeYanis BelaidÉdouard LilletClément CherencqRichard Ranvier

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TrombonesMatthieu LouRobinson Julien-LaferrièrePierre-Emmanuel DucheminFlorian Vincent

TubasLouis TrottinFabien Tissier

PercussionsJonathan FourrierFlorentin DesplantesDavid MengelleBrian CocherilJean-Baptiste RocheteauDrelis Daniel Duarte NunezYukari Yagi

PianoMegumi Sato

HarpesHenri GilligSophie Garric

Henri ChaletDiplômé du Conservatoire de Paris (CNSMDP) dans les classes d’écriture et du Conservatoire de Lyon (CNSMDL) en direction de chœur, Henri Chalet dirige depuis 2010 le Jeune Chœur de Paris au département supérieur pour jeunes chanteurs | CRR de Paris. Il succède à ce poste à Laurence Equilbey et Geoffroy Jourdain, dont il était l’assistant. Parallèlement, Henri Chalet prend en septembre 2014 le poste de

chef de chœur principal de la Maîtrise Notre-Dame de Paris, après avoir assuré les fonctions de chef de chœur assistant auprès de Lionel Sow. Il est jusqu’en 2011 directeur artistique de la Maîtrise de Saint-Christophe de Javel, avec laquelle il enregistre entre autres le Requiem de Duruflé et les Psaumes d’Yves Castagnet (créations). Depuis 2011, il est réguliè-rement appelé à préparer le Chœur de l’Orchestre de Paris. La notoriété de ces postes lui permet d’être chef invité au Muziekgebouw d’Amsterdam lors du festival Tenso pour la création d’une pièce de Léo Samama puis, en 2010, lors de la Nuit de la voix de la Fondation Orange à l’Opéra-Comique. Avec le Jeune Chœur de Paris, il participe à des enregistre-ments prestigieux auprès de Natalie Dessay, Karine Deshayes, Philippe Cassard ou encore avec Marie-Nicole Lemieux et l’Orchestre National de France, et enfin avec Sabine Devieilhe et l’orchestre Les Ambassadeurs. Organiste de formation et diplômé des conservatoires à rayonnement régional de Paris et Boulogne-Billancourt (CRR), Henri Chalet est par ailleurs co-titulaire des grandes orgues de Notre-Dame de Versailles jusqu’en septembre 2014.

Le Jeune Chœur de ParisLe département supérieur pour jeunes chanteurs | CRR de Paris assure au Conservatoire à rayonnement régional de Paris (CRR, direction Xavier Delette) la formation de cinquante étudiants

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autour de quinze disciplines (chant, étude des styles, des cycles et des rôles, ensemble vocal à un par voix, écritures contemporaines et improvisation, chœur, diction lyrique, théâtre, danse, analyse, esthétique et histoire des arts), avec l’appui de trente professeurs. Au terme de leur cursus, les étudiants peuvent prétendre au diplôme national supérieur professionnel de musicien à valeur européenne, parcours commun avec une licence Paris-Sorbonne. Ce département a été fondé par Laurence Equilbey, qui en assure, avec Florence Guignolet, la direction artistique et pédagogique. Des master-classes sont organisées par le département, permettant aux étudiants de compléter leur formation auprès de professeurs renommés et de grands interprètes : Christine Schweitzer, Laurent Naouri, Pierre Mervant, Nadine Denize, Malcolm King, Malcolm Walker, Vincent Le Texier, Pierre Cao, Eamonn Dougan, Joël Suhubiette, etc. Au sein du département, Le Jeune Chœur de Paris est un chœur de chambre qui a été sous la direction musicale de Laurence Equilbey et Geoffroy Jourdain entre 2002 et 2010, puis sous celle d’Olivier Bardot et d’Henri Chalet, ce dernier assurant désormais cette fonction. Le chœur participe activement à la création contemporaine (commandes à Franck Krawczyk, Oscar Strasnoy, Georgia Spiropoulos, Philippe Hurel, Bruno Mantovani, Yann Robin, Vincent Manac’h, Laurent Durupt, etc). Il collabore avec l’Orchestre de chambre de Paris,

l’Ensemble intercontemporain, l’atelier lyrique de l’Opéra de Paris, l’Orchestre de Paris, le Freiburger Barockorchester, Insula Orchestra, l’Orchestre du Festival de Budapest et l’Orchestre des Champs-Élysées. Il a été dirigé par Pierre Boulez, Susanna Mälkki, René Jacobs, Iván Fischer et Philippe Herreweghe, et s’est notamment produit au Festival Suresnes Cités Danse dans une création du chorégraphe José Montalvo. En 2010, Le Jeune Chœur de Paris participe à l’enregistrement du disque Ne me refuse pas (Naïve) avec Marie-Nicole Lemieux, l’Orchestre National de France et Fabien Gabel. En 2012, il enregistre La Damoiselle élue de Debussy avec Philippe Cassard et Natalie Dessay (Virgin Classics). Il contribue également, en 2013, au disque de Sabine Devieilhe Le Grand Théâtre de l’Amour (Erato). En 2008, Le Jeune Chœur de Paris reçoit le prix Liliane Bettencourt.crr.paris.frfacebook.com/departementsuperieurpourjeuneschanteurs

Le département supérieur pour jeunes chanteurs | CRR de Paris est financé par la Ville de Paris et le ministère de la Culture et de la Communication (DRAC Île-de-France). Son rayonnement est soutenu par erda | accentus. Le Jeune Chœur de Paris est soutenu par la Fondation Bettencourt Schueller.

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SopranosSmith ChimèneRanvier MarieSavart ParveenDalles ClarisseRai-Westphal ApollineLoire MargauxLaurent SolèneClermont AdèleBou ÉlodieMousset Armelle

AltosVernotte AntonineCervera-Lenert ClairePoguet MargauxForquenot de la Fortelle AmélieGauthier JulietteVergez-Pascal MarionDelgoulet GisèlePeyramaure LucieLoget Evan

TénorsRandriamampionina RijaRostin Magnin ArnaudZamora AbelBennet TristanMorel ValentinDemerliac ÉmileJermann MaximeVan Baaren MarcoPeloffy-Huet Malo

BassesCosta Garcia DavidLatarjet MaxCoffinier Joachim

Amariutei AntoineRollet NoéChâlon LysandreMordzinski Jonas

Chef de chantMayoko Surayya

Chef de choeurHenri Chalet

Aurore TillacNée en 1980, Aurore Tillac montre très tôt un intérêt pour la musique instru-mentale et vocale. Son parcours et sa curiosité musicale l’amènent par la suite à se perfectionner dans différentes disciplines. Elle obtient tout d’abord un premier prix de clarinette et de musique de chambre et une médaille d’or en formation musicale à l’École nationale de musique de Tarbes. Venue suivre l’enseignement de direction de chœur grégorien au Conservatoire de Paris (CNSMDP), dont elle ressort rapide-ment diplômée, elle intègre l’ensemble Dialogos, dont les disques Terra Adriaca, La Vision de Tondal et Abbo Abbas ont obtenu nombre de récompenses. De 2002 à 2003, elle a l’occasion d’assister (à la direction de chœur) Patrick Marco à la Maîtrise de Paris, grâce à la formation qu’elle a suivie auprès de ce dernier au CNSMDP. De 2002 à 2006, elle est la directrice musicale du Concentus Vocal, ensemble vocal de solistes qui privilégie la musique ancienne et baroque, et de 2003 à 2007, la chef du Chœur des

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Universités de Paris. Par ailleurs, elle crée en 2006 La Manufacture Vocale, ensemble vocal mixte dévoué à la musique sérieuse et moins sérieuse, classique et moins classique. Entrée en novembre 2005 chef-adjointe du Chœur de l’Armée française, elle en est la chef en titre depuis le septembre 2007, au grade de lieutenant-colonel. Elle est récemment nommée chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres.

Chœur de l’Armée FrançaiseLe Chœur de l’Armée Française est créé en 1982 à la demande de Charles Hernu, alors ministre de la Défense. Formation spéciale de la Garde Républicaine, il est le chœur officiel de la République et représente, de par son caractère original et unique, l’un des fleurons de la culture dans les armées. Unique chœur d’hommes professionnel en France, il est composé de quarante-cinq chanteurs recrutés parmi l’élite des professionnels français, et dirigé par le lieutenant-colonel Aurore Tillac, titulaire d’un premier prix mention très bien à l’unanimité de direction de chœur grégorien du Conservatoire de Paris (CNSMDP). À l’instar de l’Orchestre de la Garde Républicaine, avec lequel il se produit régulièrement, le Chœur de l’Armée Française est amené à participer en France et à l’étranger tant à des manifestations officielles (messes, commémorations, soirées de gala) qu’à des saisons musicales ou à des festivals. Il a apporté sa collaboration musicale

à de nombreux orchestres français (Orchestre National Bordeaux Aquitaine, Orchestre National du Capitole de Toulouse, Orchestre de Paris, Ensemble intercontemporain, Orchestre Philharmonique de Montpellier…) sous la direction de chefs tels que Yutaka Sado, Christoph Eschenbach, Pierre Boulez, Edmon Colomer, Michel Plasson, Peter Eötvös, pour des concerts ou des enregistrements. Son répertoire, qui s’étend de la chanson traditionnelle et populaire aux grandes œuvres classiques lyriques composées pour voix d’hommes, a fait l’objet de plusieurs enregistrements, dont certains ont été salués par la critique et récompensés. En 2005, le Chœur de l’Armée Française enregistre avec l’Orchestre de Paris l’œuvre posthume Stanze de Luciano Berio. Au cours de la saison 2016-2017, le Chœur de l’Armée Française se produira notamment à Paris (Philharmonie de Paris, cathédrale Saint-Louis des Invalides, Théâtre des Champs-Élysées) mais aussi en région à l’Opéra-Comédie de Montpellier, à l’Auditorium de Bordeaux, au Théâtre impérial de Compiègne.garderepublicaine.fr

Jean-Bapstiste AlcouffeEmmanuel BouqueyRémi CorbierMichel CourchéSamuel CréquyJérémie DelvertAlban Dufourt

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Rémy EscaréMichaël FrançoisStéphane HézodeMartin JeudyBaptiste JoreGuillaume LesourdFrançois LilamandJean-Mickaël LucignyLaurent LynchCharles MesrineJean-Paul NièsSébastien d’OrianoAlan PicolPhilippe PoulyJocelyn RicheHenni TekkiCyril Verhulst

Ariel AlonsoEn Argentine, son pays d’origine, Ariel Alonso obtient ses diplômes de piano au Conservatoire supérieur Manuel de Falla de Buenos Aires. En France depuis septembre 1987 grâce à l’obtention d’une bourse du ministère des Affaires étrangères français, il obtient le diplôme supérieur de direction d’orchestre à l’École normale de musique de Paris Alfred-Cortot. En 1998, il devient titulaire du certificat d’aptitude aux fonctions de professeur de chant choral et direction d’ensembles vocaux. Il complète ensuite sa formation lors de master-classes de direction de chœur. En 2010, il obtient le master en gestion et administration de la musique à l’Université Paris-Sorbonne. Il est diplômé de l’Institut universitaire national d’art (IUNA) dans la spécialité

direction de chœur. Ariel Alonso a dirigé les chœurs et les ensembles instrumentaux des conservatoires de Châtillon, Avallon, Jean-Philippe-Rameau (Paris 6e) et Maurice-Ravel (Paris 13e). Entre 1991 et 2005, il assure la direction musicale des Petits Chanteurs de Saint-Louis de Paris. Depuis 1989, il est directeur musical du chœur d’oratorio de Limours. En 1992, il fonde le chœur Mélanges, abordant majoritairement des œuvres pour chœur a cappella de la première moitié du xxe siècle. Depuis janvier 2000, il est professeur titulaire de la classe de direction de chœur au Conservatoire à rayonnement régional de Créteil, partenaire de l’UFR de Musique et Musicologie de l’Université Paris-Sorbonne. Il enseigne également la direction de chœur et dirige l’ensemble vocal du Conservatoire Gustave-Charpentier (Paris 18e). Il est souvent sollicité pour animer des stages et des master-classes de direction et de chant choral. Il est régulièrement invité à faire partie des jurys de concours dans la spécialité de direction de chœur. Il se produit en tant que chef invité avec le Chœur Polyphonique National et le Chœur National de Jeunes d’Argentine ainsi qu’avec l’Ensemble Vocal du Luxembourg. Il est directeur musical du chœur de femmes Ariadna, directeur artistique du Festival Voix du monde d’Épinay-sous-Sénart et anime par ailleurs les Bach and Breakfast au Centre de musique de chambre de Paris. Ariel Alonso dirige le Chœur Sorbonne Universités depuis 2011.

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Chœur Sorbonne UniversitésLe Chœur et l’Orchestre Sorbonne Universités (COSU) réunit cent vingt jeunes musiciens enthousiastes et passionnés autour d’un projet musical ambitieux. Le COSU accueille chaque année des étudiants de Sorbonne Universités, pour la plupart issus de l’UFR Musique et Musicologie de l’Université Paris-Sorbonne, et leur offre une forma-tion de haut niveau encadrée par de jeunes professionnels grâce aux partena-riats établis avec le Pôle Supérieur Paris Boulogne-Billancourt et le Conservatoire de Paris (CNSMDP). Dirigés par la chef d’orchestre allemande Corinna Niemeyer et le chef de chœur argentin Ariel Alonso, les deux ensembles se produisent régulièrement dans des lieux exceptionnels, notamment au Grand Amphithéâtre de la Sorbonne. Élaborée dans le cadre de la politique pédagogique, culturelle et scientifique de Sorbonne Universités et du Collegium Musicæ, en lien étroit avec la recherche musicologique, la programmation du COSU s’ouvre à la fois au grand réper-toire, aux pièces inédites ou rarement jouées et à la création d’œuvres de commande. Le COSU représente Sorbonne Universités et en assure le rayonnement lors de cérémonies presti-gieuses et de déplacements à l’étranger. Dans sa volonté de rencontrer tous les publics, il propose des concerts partici-patifs, des répétitions ouvertes et des pauses musique à l’heure du déjeuner. Ces événements remportent un grand

succès, notamment auprès des habitants et des élèves du 18e arrondissement de Paris : une expérience unique tant pour le public que pour les musiciens !

Coralie Ascencio-LelièvreFélix BenatiAliénor BontouxLise BorelBéatrice BulleTara CassanClémentine CharuelJohannes ColinThierry DescampsSamuel DevinAmbroise DivaretLan Phuong DoGabriela Douodo BetiEnora du Plessis d’ArgentréJoseph DupontThomas EstivalèzesAnita GernoVladimir GimroBéatrice GrinfeldÉlise GueroultLéo Guillou-KeredanCamille HallingSarah HuberValentine JacquetVasilii KrasovMartin LaskawiecElias LetoutJulia MartyColin MeillierLaure MolterRosa Elena Monroy CastilleroClément PerezQuentin Pierron

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Irène Sainte-Marthe FlemingDavid Sánchez GarcíaMaxime SebbagManon SekfaliBettina SorelRoss TomlinsonMargarita Van DommelenMarielle VernayNoé VielSami Zouaoui

Olivier Bardot Immergé dans le chant dès l’âge de 8 ans, Olivier Bardot commence son parcours musical dans le cadre du chœur d’enfants de l’Opéra de Paris, parcours qui le mènera en concert partout dans le monde ainsi que sur la scène des opéras Garnier puis Bastille, faisant naître sa double vocation de chef et de chanteur. En 1997, sa rencontre avec Laurence Equilbey dans le cadre du Jeune Chœur de Paris s’avère décisive dans sa décision d’entreprendre des études de direction de chœur au Conservatoire à rayonnement régional de Boulogne-Billancourt, d’écriture dans la classe de Pierre Pincemaille et de chant auprès de Marie-Claire Cottin. Chef assis-tant de Laurence Equilbey et Geoffroy Jourdain pour Le Jeune Chœur de Paris, il participe à la création de plusieurs dizaines d’œuvres chorales contem-poraines, de Pascal Dusapin à Bruno Mantovani, et enregistre l’intégrale de la musique vocale de Thierry Machuel. En 2001, il fonde à Paris le Chœur Stella Maris, avec lequel il défend l’exigeant

répertoire a cappella de 1850 à nos jours, et en 2007 l’ensemble vocal profes-sionnel LuxAEterna, composé de seize chanteurs. Passionné par la transmission de son art, Olivier Bardot est professeur de polyphonie vocale diplômé d’État au Conservatoire à rayonnement régional de Paris, où il intervient auprès du dépar-tement supérieur pour jeunes chanteurs, de la classe de direction de chœur et de la Maîtrise de Paris. Diplômé de l’ECGP, il enseigne également le chant grégorien au séminaire de la communauté Saint-Martin en Mayenne. Après avoir assuré la direction du Jeune Chœur de Paris avec Henri Chalet de 2010 à 2014, il se consacre désormais au développement de ses propres ensembles. Chœur Stella MarisFondé en 2001 par son actuel chef Olivier Bardot, le Chœur Stella Maris rassemble une quarantaine de jeunes chanteurs parisiens mus par le désir de se former au plus haut niveau, en particulier dans la maîtrise du réper-toire a cappella des deux derniers siècles. Cette recherche de qualité dans la moindre de ses interprétations a permis à Stella Maris d’être rapidement reconnu par la critique tout en multi-pliant les expériences de concerts et d’enregistrements, mais aussi de chœur école pour de prestigieuses master-classes. C’est dans ce cadre que le chef allemand Frieder Bernius a pu diriger le chœur dans les Motets de Bach ou que son homologue brésilien Celso

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Antunes a supervisé un travail sur des œuvres de Gesualdo et Villa-Lobos. En inscrivant plusieurs cycles de musique vocale contemporaine à son réper-toire, le chœur a été plusieurs fois invité à se produire dans des lieux comme la Cité de la musique – Philharmonie (Biennale d’Art vocal), le Florilège vocal de Tours (en compétition internationale) ou encore le Centre des Bernardins (création mondiale avec l’orchestre de chambre Furians). Le Chœur Stella Maris a notamment travaillé avec des compo-siteurs de notre temps comme Thierry Machuel, Guillaume Connesson, Morgan Jourdain ou encore Patricia Lebrun. Après avoir participé au Te Deum de Berlioz à la Philharmonie de Paris en juin 2015 sous la direction de François-Xavier Roth, le Chœur Stella Maris a proposé l’an dernier Boreal Musik, un programme d’œuvres d’Europe du Nord autour de compositeurs comme Einojuhani Rautavaara, Arvo Pärt, Nils-Eric Fougstedt. La saison 2016-2017 s’est ouverte par un Requiem de Mozart en la cathédrale de Chartres en compa-gnie du chef Pierre-Michel Durand et de son orchestre Prométhée à l’occasion de l’ouverture des Journées lyriques placées sous la direction artistique d’Ève Ruggieri. Elle s’est poursuivie avec une tournée en Finlande au cours de laquelle le Chœur Stella Maris a rendu visite au Chœur Kampin Laulu et donné à ses côtés un concert à Helsinki. En 2017, on pourra entendre le Chœur Stella Maris à Paris dans plusieurs

programmes : Figure humaine autour de la cantate à double chœur de Poulenc, Vitrail d’éternité consacré à la musique de Maurice Duruflé et Le Chant des oiseaux en partenariat avec l’ensemble médiéviste Vox in Rama.

Achille AutranOlivier BardotAurélien BernardNicolas d’AnselmeYann-Alexis de VaraxLucas DerodeThibaud DufosséAntoine EstapaCalixte FaureJean-Baptiste FavreJulien GirardGildas GuillonMaximilien JouyPierre-Nicolas MorinNicolas PayetPierre-Jean RiamondXavier RicardJan RochelMatthieu SchiraJoseph Thirouin

Patrick MarcoNommé par le ministère de la Culture et de la Communication, Patrick Marco est directeur musical de la Maîtrise de Paris depuis 1980. Il est nommé directeur du département de direc-tion de chœur au Conservatoire à rayonnement régional de Paris (CRR) en 1990. Chef de chœur émérite, il dirige pendant dix-huit ans le Chœur

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de l’Orchestre Colonne et collabore avec les orchestres les plus presti- gieux : Orchestre de Paris, Orchestre National d’Île-de-France, Orchestre Colonne, Orchestre Philharmonique de Radio France, Orchestre National du Capitole de Toulouse, London Symphony Orchestra… En 2010, il rejoint la direction du Conservatoire de Puteaux et prend la direction artistique des Concerts du dimanche. En 2012, Patrick Marco est nommé chef du Chœur de l’Orchestre Lamoureux. En 2014-2015, il dirige notamment l’Orchestre National du Capitole de Toulouse et l’Orchestre Symphonique de Saint-Pétersbourg. Il est choisi pour représenter la France à Vienne lors de l’événement Europe Sings qui regroupe les meilleurs chœurs européens. En 2016-2017, Patrick Marco poursuit sa collaboration avec le Festival d’Auvers-sur-Oise et des scènes comme la Philharmonie de Paris, La Seine Musicale ou l’Opéra de Nice. Au cours de sa carrière, Patrick Marco a obtenu le prix de chant choral Liliane Bettencourt décerné par l’Académie des Beaux-Arts (1999) ainsi que le coup de cœur de l’Académie Charles-Cros pour le premier volume des Chansons de France (Gallimard Jeunesse, 2001).

Maîtrise de ParisLa Maîtrise de Paris est un départe-ment du Conservatoire à rayonnement régional de Paris (CRR). Elle est mixte depuis 1992 et recrute des enfants à partir de 8 ans. Les élèves reçoivent

une formation musicale complète : polyphonie, solfège, technique vocale, pratique instrumentale (piano, orgue…). La Maîtrise se produit régulièrement en France et à l’étranger avec de presti- gieux chefs et orchestres : Marcel Landowski, Pierre Boulez et l’Ensemble intercontemporain, Marek Janowski, Eliahu Inbal, Michel Corboz, Richard Hickox, Seiji Ozawa, John Axelrod, Ingo Metzmacher, l’Orchestre de Paris, l’Orchestre National d’Île-de-France, l’Orchestre du Capitole de Toulouse, le London Symphony Orchestra, le Boston Symphony Orchestra. La Maîtrise de Paris excelle dans tous les répertoires, qu’il s’agisse de musique classique ou de variété. Elle reçoit les honneurs de la critique pour la Petite Messe solennelle de Rossini donnée dans le cadre du Festival d’Auvers-sur-Oise sous la direction de son directeur musical, Patrick Marco. En 2015, la Maîtrise de Paris est sélec tionnée pour représenter la France lors de l’événement Europe Sing’s réunissant les meilleurs chœurs européens à Vienne sous la direction de Patrick Marco. Au cours de la saison 2016-2017, la Maîtrise de Paris a le privilège de collaborer avec l’ensemble Pygmalion, l’Orchestre de Paris, l’Orchestre de chambre de Paris ainsi que l’Opéra de Nice. La Maîtrise de Paris a reçu le prix de chant choral Liliane Bettencourt décerné par l’Académie des Beaux-Arts ainsi que le coup de cœur de l’Académie Charles-Cros.

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La Maîtrise de Paris est soutenue par la DRAC Île-de-France et la Ville de Paris ainsi que par la Fondation Bettencourt-Schueller et la Fondation Safran pour la musique.

Tianée AchilleCandice AlbardierJulie BadorÉléonore BarraultColine BernauxGabrielle BesseLucie BonzonLucie CampsMylène CassanLaure CazinChiara CeccarelliAliya Davenne-IdrissiJeanne DavidAliénor de ValléeViolette DelhommeauMarion EbertAlix FivianSilène Francius-PilardJeanne GregoruttiLouise HaberaRebecca HaeriZoé HaugomatÉléonore JanderClara KergallLola La RoccaAlice Le BourgeoisYoulan Le SeignouxAlice LecatJustine MaucurierZoé OjedaLaura PerrotLouise Pfrunner

Céleste PinelIris Aléa ReinaldMadeleine TreilhouAlice TremblayJeanne TrouboulLouise Van Den HoleAdelaïde VistorkyLéontine Zimmerlin

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Film de Godfrey ReggioMusique de Philip Glass

Ciné-concert Vendredi 24 et Samedi 25 mars 2017

Orchestre de Paris Michael Riesman

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Visitors.

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Recevez vos invités pour une visite privée des expositions Ludwig van, le mythe Beethoven ou Matthieu Chedid rencontre Martin Parr.

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Dans le cadre de l’engagement sociétal des entreprises, soutenez l’un des nombreux projets éducatifs de la Philharmonie.

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Angeris, À Table, Batyom, Dron Location, Groupe Balas, Groupe Imestia, Linkbynet, UTB Et les réseaux partenaires : le Medef de Paris et le Medef de l’Est parisien

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— LE CERCLE DES GRANDS DONATEURS —Patricia Barbizet, Éric Coutts, Jean Bouquot,

Xavier Marin, Xavier Moreno et Marie-Joséphine de Bodinat-Moreno, Jay Nirsimloo,Raoul Salomon, Philippe Stroobant, François-Xavier Villemin

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LA CITÉ DE LA MUSIQUE - PHILHARMONIE DE PARIS REMERCIE

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Date : 12/03/09

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Champagne Deutz, Fondation PSA Peugeot Citroën, Fondation KMPGFarrow & Ball, Fonds Handicap et Société, Demory, Agence nationale pour la Cohésion Sociale et l’Égalité des chances

Philippe Stroobant, les Amis de la Philharmonie de Paris, Cabinet Otto et Associés, AfricinvestLes 1095 donateurs de la campagne « Donnons pour Démos »

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