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TEEfficace au service des étudiants !

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PEDAGOGIE

TRANSPARENCE

CONDITIONS D’ETUDES

AU SERVICE

DES ETUDIANTS !

RECHERCHE

JUSTICE

EMP

LOI TRANSFORMATION

SOCIALEELECTIONSETUDIANTES

Les élections syndicales sont le moment dé-terminant de ce que seront les droits des étudiants les années à venir. Les nombreus-es victoires de l’UNEF (10e mois de bourse, gel des frais d’inscription, absence de sélection en master…) n’auraient pas été possibles si nous n’avions pas été le syn-dicat majoritaire dans les conseils de l’IEP.

Présence au quotidien alliée à majorité dans les conseils, voilà ce qui fait la force de l’UNEF. Cette année, nous nous battrons pour faire cesser l’augmentation du coût des études, pour une pédagogie renou-velée, et pour davantage de transparence et de démocratie dans les prises de déci-sion.

Les 7 et 8 février, votez et faites voter UNEF, pour l’efficacité au service des étudiants !

Engagée pour l’autonomie,

Engagée pour l’égalité !

http://unef-sciencespo.org

ZOTE

Efficace au service des étudiants !

et faites voter

Le système de frais d’inscription à Sciences Po est souvent présenté comme un modèle de justice sociale : les riches paieraient pour les pauvres. Or, ses lacunes in-

trinsèques sont nombreuses. La première est la discrimination à l’égard des étudiants dont la résidence fiscale est située hors UE : exclus de la dégressivité, ils payent sys-tématiquement le maximum des frais d’inscription. L’intégration de ces étudiants au système dégressif

sera donc une priorité de notre action syndicale cette année. De plus, il est faux de dire que le système actuel fait payer justement les familles en fonction de leur revenu. Les effets de seuils, de tranches ainsi que le caractère dégressif du système rendent la proportionnalité des frais illusoire (cf courbe). L’UNEF revendique donc la linéarisation par le bas des frais d’inscription.

frais d’inscription : un système «progressif» ?Frais d’inscription en fonction du revenu des parents

Notre démarche : être présents pour être efficaces !

La démarche de l’UNEF est la clef de son efficacité. Au premier rang de cette démarche se trouve notre présence au quotidien, qui nous permet d’abord d’être proches des attentes des étudiants et de les informer via nos tracts, notre blog etc. Ce travail de terrain permet, parce que chaque étudiant devient moteur des propositions syndi-cales de l’UNEF (pétitions, réunions publiques...) de donner leur don-ner le poids et la légitimité indispensables pour les faire aboutir.

C’est ce qui fait notre efficacité en conseils, où nous nous appliquons à concrétiser le rapport de force issu de notre présence quotidienne, et à le transformer en avancées directes pour les étudiants, comme le gel des frais d’inscription, ou au niveau national le dixième mois de bourse.

Le prolongement sur plusieurs années du gel des frais d’inscription et son extension à tous les étudiants.

L’élargissement des critères d’éligibilité à la Commission de Suivi social ainsi que l’augmentation de son budget afin d’aider les étudiants les plus en difficulté.

L’augmentation du fonds d’aide à la mobilité : la 3A ne doit pas être conditionnée par des choix financiers.

En faisant le choix de faire payer les familles plutôt que de chercher le financement public, le système de frais d’inscription de Sciences Po remet en cause l’autonomie de l’étudiant, qui dépend alors ou de ses par-ents ou du salariat pour pouvoir étudier dans de bonnes conditions. Alors que Sciences Po fait le choix d’augmenter chaque année la part des frais d’inscription dans son budget, encourageant le retrait de l’Etat, l’UNEF refuse cette fuite en avant sans fin consistant à faire payer toujours plus les étudiants. Le gel des frais d’inscription que nous avons obtenu cette année est une victoire impor-tante : nous nous battrons pour obtenir son prolongement et son extension à tous les étudiants. Parallèlement à ce gel, il faudra augmenter les aides sociales à destination des étudiants. Au niveau national, l’UNEF demande la mise en place à terme d’une allocation d’autonomie universelle, donnant le droit à chaque jeune de toucher une somme lui permettant de vivre dans de bonnes conditions. A Sciences Po nous luttons dès aujourd’hui pour obtenir :

Le strict maintien de l’absence de sélection en master pour un libre choix de son orientation Le droit pour tous les étudiants, au-delà de celui de l’accès à une LV2, à suivre l’enseignement d’une LV3 en tant qu’auditeur libre, quel que soit son niveau en anglais Que les absences justifiées ne soient pas prises en compte, et que le nombre d’absences autori-sées soit proportionnel au nombre d’heures de l’enseignement (n’avoir que 2 absences par semestre pour un cours de deux à quatre fois 2h par semaine est pédagogiquement inadapté)

Pour l’Unef, l’étudiant doit être libre dans ses choix pédagogiques : autonome, c’est à lui de choisir son orientation ! Il doit donc avoir accès aux formations et matières qui l’intéressent et lui permettent de con-struire son projet personnel. C’est pourquoi nous revendiquons :

Pour une réelle autonomie dans nos parcours !

Vers un système de frais d’inscription plus juste

Etudier doit être un droit, pas un luxe !

POUR PLUS DE JUSTICE DANS LES FRAIS D INSCRIPTION ,

,

ET UNE AUGMENTATION DE L AIDE SOCIALE

Une amélioration constante des conditions d’études doit accompagner l’augmentation du nombre d’étudiants. La mise en place d’un planning des salles de conférences ou des amphis libres permettrait d’apporter une première réponse au manque de place pour travailler. Cependant, une réflexion plus importante est nécessaire, notamment dans les campus délocalisés où le manque d’espace et le mauvais état des bâtiments sont encore plus criants : nous en fer-ons une priorité du mandat. De même, il n’est pas normal que les étudiants soient incités à lire des centaines de pages par semaine sur un écran d’ordinateur, où à passer des heures devant l’imprimante de la bibliothèque : nous revendiquerons que

pour chaque cours nécessitant un travail de lecture, des re-cueils de textes papiers soient mis à disposition des étudiants.

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Notre démarche : être présents pour être efficaces !

En faisant le choix de faire payer les familles plutôt que de chercher le financement public, le système de frais d’inscription de Sciences Po remet en cause l’autonomie de l’étudiant, qui dépend alors ou de ses par-ents ou du salariat pour pouvoir étudier dans de bonnes conditions. Alors que Sciences Po fait le choix d’augmenter chaque année la part des frais d’inscription dans son budget, encourageant le retrait de l’Etat, l’UNEF refuse cette fuite en avant sans fin consistant à faire payer toujours plus les étudiants. Le gel des frais d’inscription que nous avons obtenu cette année est une victoire impor-tante : nous nous battrons pour obtenir son prolongement et son extension à tous les étudiants. Parallèlement à ce gel, il faudra augmenter les aides sociales à destination des étudiants. Au niveau national, l’UNEF demande la mise en place à terme d’une allocation d’autonomie universelle, donnant le droit à chaque jeune de toucher une somme lui permettant de vivre dans de bonnes conditions. A Sciences Po nous luttons dès aujourd’hui pour obtenir :

Le strict maintien de l’absence de sélection en master pour un libre choix de son orientation Le droit pour tous les étudiants, au-delà de celui de l’accès à une LV2, à suivre l’enseignement d’une LV3 en tant qu’auditeur libre, quel que soit son niveau en anglais Que les absences justifiées ne soient pas prises en compte, et que le nombre d’absences autori-sées soit proportionnel au nombre d’heures de l’enseignement (n’avoir que 2 absences par semestre pour un cours de deux à quatre fois 2h par semaine est pédagogiquement inadapté)

La question de la pédagogie est souvent lais-sée de côté dans les réflexions à l’IEP. Pourtant, les fréquentes révisions des maquettes pédagogiques, al-liées à l’absence de cadrage des conférences, provoquent des inégalités aussi bien dans le contenu des cours que dans les charges de tra-vail. De plus, les travaux à effectuer évoluent peu dans leur forme, et ne permettent pas aux étudiants de faire valoir leur propre réflexion. Pour une pédagogie renouvelée et plus cohérente, l’UNEF propose :

Une harmonisation des charges de travail et des méthodes de contrôle continu pour faire cesser les excès et les inégalités entre conférences. Un cadrage plus important du contenu des cours pour donner à tous les étudiants une formation com-mune et donc les mêmes chances de réussite. La garantie pour tout étudiant de master d’étudier selon une maquette pédagogique stable, qui ne change pas substantiellement au cours de son cursus. Une révolution des méthodes pédagogiques basée sur des méthodes de travail et d’évaluation plus var-iés que les sempiternels exposés et fiches techniques.

Pour l’Unef, l’étudiant doit être libre dans ses choix pédagogiques : autonome, c’est à lui de choisir son orientation ! Il doit donc avoir accès aux formations et matières qui l’intéressent et lui permettent de con-struire son projet personnel. C’est pourquoi nous revendiquons :

Pour une réelle autonomie dans nos parcours !

De meilleures conditions matérielles d’études

Pour une pédagogie harmonisée et plus diversifiée

RENOUVELER NOS METHODES

PEDAGOGIQUES POUR

PERMETTRE L’AUTONOMIE

POUR PLUS DE JUSTICE DANS LES FRAIS D INSCRIPTION

,

,

ET UNE AUGMENTATION DE L AIDE SOCIALE

Qu’est-ce que l’UNEF ? L’Union Nationale des Etudiants de France, première organisation étudiante est le seul syndicat présent dans tous les établissements d’enseigne-ment supérieur. Indépendante des partis politiques,, des admi-nistrations comme des gouverne-ments, elle est présente au quo-tidien, vous informe, prend des initiatives et agit, au niveau local comme au niveau national.

1. Ségolène Tavel, 4A, Sc. Politique2. Timothée Narring, 2A, Poitiers3. Anaïs De Saint Martin, 2A, Paris4. Louis Souchière, 1A, Paris5. Camille Apelbaum, 4A, Sociologie6. Hadrien Mereau, 1A, Paris7. Sarah Pibarot, 3A, Russie8. Renaud Muller, 1A, Nancy

1. Paul Bernardet, 2A, Paris2. Constance Aimon, 2A, Menton3. Arnaud Bontemps, 4A, Af. Publiques4. Anouck Manez, 1A, Paris5. Raphaël Olivier, 2A, Paris6. Raphaëlle Rémy, 3A, Pays-Bas7. Alexander Ritter, 1A, Poitiers8. Marie-Laure Perrouault, 3A, Brésil

A Sciences Po, une douzaine de directeurs se partage chaque année plu-sieurs centaines de mil-liers d’euros de primes. Ces fonds sont attribués en toute opacité par une com-mission de personnalités extérieures à Sciences Po et à ses enjeux. Au-delà de l’affaire médiatique, cela révèle un manque global de transparence difficille-ment acceptable. L’UNEF exige davantage de dé-mocratie dans l’allocation des ressources, afin de s’assurer que les étudiants demeurent la priorité de l’IEP.Tr

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isionsPour une meilleure

information des étudiants ! Le manque de transparence de Scienc-es Po constitue souvent un obstacle à un choix éclairé : sélection, pré-requis, sont autant de points sur lesquels le flou est bien entretenu en ce qui concerne les masters. Alors que seules l’école de journalisme et l’école doctorale, en plus des doubles diplômes, sont effective-ment sélectives, de trop nombreux étudiants s’autocensurent en raison des CV, lettres de motivation, et autres « entretiens d’orientation » demandés qui font croire à une sélection. C’est pourquoi l’Unef réclame une plus grande transparence pour permettre aux étudiants de mieux s’informer et mettre fin à l’autocensure qui prime trop souvent.

VZO

TEVZO

TEListe soutenue par le Festival Etudiant Contre le Racisme, l’UEAF, l’UEVF, l’UCEF et la Fédération Nationale des étudiants chercheurs

et faites voter

Au sein des instances décisionnelles, donner un vrai poids aux étudiants

La division de Sciences Po en plusieurs campus, cycles et masters provoque un éclatement des règles de scolarité qui s’y appliquent. Pour éviter des prises de décisions arbitraires qui vont contre l’intérêt des étudiants, toute dérogation au règlement de scolarité devrait ête votée dans les instances démocratiquement élues que sont la Commission Paritaire (CP) et le Conseil de Direction (CD) : les cam-pus délocalisés ne doivent pas être les parents pauvres de la démocratie étudiante ! Il en va de même avec les masters dont la division en écoles provoque des inégalités de modalités de contrôle de connaissances (MCC), des passerelles plus difficiles, une démocratie inexistante et une frontière entre master pro et mas-ter recherche toujours plus floue. Tous ces éléments doivent être éclaircis et les outils pour leur contrôle démocratique doivent être créés : le vote en CP et CD d’une charte des MCC permettrait d’éviter les abus telles les notes éliminatoires.

Au sein des instances décisionnelles, donner un vrai poids aux étudiants

TRANSPARENCE ET DEMOCRATIE :

PLUS QUE DE BELLES PROMESSES !