statistiques sur l’emploi et le secteur informel a madagascar

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MINISTERE D'ETAT CHARGE DE L’ECONOMIE ET DE L'INDUSTRIE --------------------- SECRETARIAT GENERAL GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011 par : Faly Hery Rakotomanana Samuel Randriambolamanitra 1

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MINISTERE D'ETAT CHARGE DE L’ECONOMIE ET DE L'INDUSTRIE --------------------- SECRETARIAT GENERAL. STATISTIQUES SUR L’EMPLOI ET LE SECTEUR INFORMEL A MADAGASCAR. par : Faly Hery Rakotomanana Samuel Randriambolamanitra. Plan de la presentation. Les différentes sources de données - PowerPoint PPT Presentation

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MINISTERE D'ETATCHARGE DE L’ECONOMIE ET DE L'INDUSTRIE

---------------------SECRETARIAT GENERAL

GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

par : Faly Hery Rakotomanana Samuel Randriambolamanitra

1

Plan de la presentation

- Les différentes sources de données

- La Série d’Enquêtes 1-2-3

- La Série d’Enquêtes EPM

- La matrice emplois 2010GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011 2

Les différentes sources de données Enquête 1-2-3 dans l’Agglomération

d’Antananarivo : Phase 1 sur l’emploi : 11 versions (1995 à

2010) Phase 1-2-3 sur l’emploi et le secteur informel :

5 versions (1995, 1998, 2001, 2004, 2010)

Enquête EPM : 8 versions (1993 à 2010) au niveau national

Enquête sur le Travail des Enfants en 2007 au niveau national

GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011 3

GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011 4

Objectifs

• Suivi du fonctionnement du marché du travail

• Suivi des conditions d ’activité des ménages

• Évaluation de l ’impact de la crise politique en 2009-10

• Analyse des performances économiques des unités de production informelles

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Spécificités méthodologiques

• Plan de sondage conçu spécialement pour le thème « emploi » et « secteur informel » :

• Plan de sondage aréolaire à deux degré

• stratifié selon des critères fortement corrélés a l’emploi et l’exercice des activités informelles : niveau d’éducation, type de logement

• Tenant compte des caractéristiques des activités informelles: non localisation, mobilité géographique, activité secondaire

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Spécificités méthodologiques

• Taille de l’échantillon : 3 000 ménages comprenant 12 000 individus dont 9 600 âgés de 10 ans et plus repartis sur 108 localités dans la seule agglomération d’Antananarivo

• Echantillon panel : plus de 1 750 ménages et 6 400 individus ont été déjà enquêté en 2006 (effet d’attrition testé selon la méthode Fitzgerald )

• Echantillon de 1 106 unités de production informelles couvrant tous les secteurs d’activité

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Spécificités méthodologiques

• Questionnaire formulé pour capter les concepts compatibles aux standards internationaux (BIT) et fournir des informations assez détaillées sur les comptes des unités de production

• Concepts, Questionnaire et Programme d’analyse stable dans le temps assurant la comparabilité inter temporelle et diminuant la durée du traitement des données

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Spécificités méthodologiques

• Améliorations apportées en 2010 :

• Considération des corvées d’eau et de bois comme activité économique (SNA2008 chap. 6.32 sur la production pour compte propre des ménages, travail des enfants)

• Rajout de questions spécifiques pour évaluer l’impact de la crise de 2009 (trajectoire professionnelle de très court terme)

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Concepts et définitions• individus en âge de travailler : 10 ans et plus• actif occupé : ayant exercé un emploi au moins une heure au

cours des 7 derniers jours• chômeur : dépourvu d ’emploi, à la recherche d ’un emploi

et disponible à travailler

• Unité de production informelle : Unité ne possédant pas de numéro statistique et ne tenant pas de comptabilité formelle

• Emploi informel : non inscription à la caisse de retraite ou de la caisse de la sécurité sociale

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Informations disponibles

Identification des unités de production informelles Enregistrement administratif : registre

de la statistique, sécurité sociale Tenue de comptabilité Taille Lieu d’activité Intensité capitalistique

GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011 11

Informations disponibles

Identification des emplois informels Type de contrat Existence d’un état de paiement Régularité de l’emploi Inscription à la caisse de retraite, caisse

de sécurité sociale

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Informations disponibles Agrégats économiques issus de la construction

des compte de production et compte d’exploitation des unités de production (CA, Production, VA, EBE)

Volume, caractéristiques et productivité du travail Evaluation du capital Possibilité d’estimation d’une fonction de

production

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Avantages et limites D’un côté, la faible couverture (restriction à

l’agglomération d’Antananarivo) constitue une des limites majeures des informations disponibles nécessitant des informations auxiliaires pour l’extrapolation au niveau national

De l’autre côté, cela constitue un point fort dans la mesure où elle permet de mettre en place des contrôles rapprochés des opérations de collecte et de minimiser les erreurs d’observations

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Avantages et limites Disponibilités d’une série d’informations relativement

longue (1995-2010) fournies avec une même méthodologie, un même univers et un échantillon de panel permettant de : contrôler la robustesse des indicateurs

(important pour l’estimation de la fonction de production ou de la productivité du travail)

d’analyser la conjoncture à court terme (observatoire d’évaluation d’impact ) et la dynamique de moyen terme des agrégats économiques aussi bien en valeur qu’en volume

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GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

Evolution de la population active, de la population active occupée et du PIB réel entre 2001 - 2010

Source : Enquêtes 1-2-3, phase 1 « Emploi », 2001-2010, INSTAT/DIAL et INSTAT pour le PIB. Nos propres calculs

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GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

Hausse du taux de chômage par rapport à son niveau structurel : 6,8% en 2010 contre 5,2% en 2006. Soit 20 000 chômeurs de plus.

Difficultés des jeunes diplômés sur le marché du travail : près de 20 000 primo-demandeurs en 2010 contre environ 10 000 en 2006

Evolution du taux de chômage

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GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

Hausse du licenciement parmi les chômeurs « anciens occupés » : 60% en 2010 contre 53% en 2006

Baisse sensible de l’ancienneté dans le chômage : 11 mois en 2010 contre 23 mois en 2006. Ce qui confirme le caractère brutal de l’augmentation du chômage (apparition récente de nouveaux chômeurs).

Evolution du taux de chômage (suite)

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GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

Evolution du nombre de chômeurs et du taux de chômage de 2001 à 2010

Source : Enquêtes 1-2-3, phase 1 « Emploi », 2001-2010, INSTAT/DIAL et INSTAT pour le PIB. Nos propres calculs

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GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

Hausse continuelle du nombre d’emplois exerces : 746 000 actifs occupés en 2010, soit un rythme annuel moyen de 4,1% depuis 2006

Recolonisation du secteur informel : 65% des emplois créés en 2010 contre 58% en 2006, soit plus de 116 000 emplois supplémentaires

Evolution de l’emploi

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GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

Evolution de l’emploi (suite) Baisse du poids du secteur prive formel : 31% des emplois crées en 2010 contre 25% en 2006

Baisse du poids de l’industrie dans le secteur prive formel :

38% des emplois en 2010, soit une baisse de 6 points par rapport en 2006

Chute de l’effectif dans la zone franche : 16 000 emplois de moins par rapport en 2006 (fin de

l’accord multifibre, suspension de l’AGOA)

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GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

Evolution de la structure des emplois par secteur institutionnel 2001-2010 (effectifs en milliers)

Source : Enquêtes 1-2-3, phase 1 « Emploi », 2001-2010, INSTAT/DIAL et INSTAT pour le PIB. Nos propres calculs

Secteur institutionn

el

2001 2002 2004 2006 2010

Effectif %

Effectif % Effectif %

Effectif % Effectif %

Administration publique 44, 1 8,2 45,4 8,4 49,9 8,3 48,5 7,6 49,8 6,7Entreprises publiques 13,5 2,5 15,1 2,8 13,2 2,2 8,0 1,2 8,2 1,1Entreprises privées formelles 187,4 34,7 143,7 26,7 181,3 30,0 200,0 31,5 191,9 25,7 - dont zone franche 54,8 10,1 21,6 4,0 54,2 9,0 51,2 8,1 35,6 4,8Entreprises informelles 287,3 53,1 321,7 59,8 353,2 58,4 368,7 58,0 485,5 65,1Entreprises associatives 7,9 1,5 11,8 2,3 6,8 1,1 10,8 1,7 10,8 1,4

Total 540,2 100 537,7 100 604,4 100 636 100 746,3 10022

GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

Evolution des revenus d’activité d’activité Baisse de la rémunération en terme réel : Revenu

mensuel nominal moyen de 121 000 Ar en 2010, soit une baisse annuelle de -3,8% depuis 2006 et -2,1% depuis 2001

Perte plus conséquente pour les bas salaires : baisse annuelle moyen de -6,2% du revenu mensuel nominal médian depuis 2006

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GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

Fonctionnaires moins affectes : baisse annuelle moyenne de -0,9% de salaire depuis 2006 (indexation imparfaite des salaires sur l’inflation, effet « avancement » à cause du gel des effectifs)

Réduction de l’inégalité dans le secteur informel : baisse annuelle de -4,1% de la rémunération moyenne et hausse de +1,1% de la rémunération médiane depuis 2006 (Afflux de nouveaux emplois à cause de la libre entrée et la concurrence)

Evolution des revenus d’activité (suite)

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GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

Evolution du revenu moyen réel du travail entre 2001 et 2010 selon le secteur institutionnel

Source : Enquêtes 1-2-3, phase 1 « Emploi », 2001-2010, INSTAT/DIAL et INSTAT pour le PIB. Nos propres calculs

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GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

Sous-emploi global en hausse : 62,1% en 2010 contre 58,1% en 2006

Légère baisse du sous-emploi lie a la durée du travail : 8,8% en 2010 contre 8,3% en 2006

Hausse brutale de la situation d’emploi inadéquat affectant aussi bien le secteur formel que le secteur informel : 51,5% en 2010 contre 47,3% en 2006 (faible productivité due à la persistance de la crise et la trappe à la pauvreté)

Evolution du sous-emploi

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GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

Evolution du sous-emploi entre 2001 et 2010

Sous emploi lié à la durée du travail

 (%)

Situation d’emplois inadéquats

actifs gagnant moins du SMIG horaire de 2001 évalué en unité constante)

(%)2001 2002 2004 2006 2010 2001 2002 2004 2006 2010

Informel 17,5 25,9 19,2 17,5 13,9 58,0 59,8 56,7 58,2 60,5Privé formel 4,9 10,5 7,1 6,7 7,9 40,6 39,4 35,2 38,3 40,7Public 10,5 13,6 11,1 11,6 11,6 6,8 9,2 6,0 10,2 11,3Total 12,2 20,1 14,6 13,4 12,1 46,3 48,1 44,7 47,3 51,5Source : Enquêtes 1-2-3, phase 1 « Emploi », 2001-2010, INSTAT/DIAL et INSTAT pour le PIB. Nos propres calculs

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Evolution du PIB et la valeur ajouté SI entre 2001-2010

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Etudes thématiques réalisées

GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

La volonté de faire enregistrer son unité de production informelle : quelles implications sur les stratégies de l’Administration publique ?

Efficacité technique des unités de production informelles : une approche de régression quantile

Les déterminants du désir et de l’exercice effectif du travail indépendant : quels enseignements à tirer pour la microfinance ? Cas de l’Agglomération d’Antananarivo à travers des données de panel

Contribution du secteur informel dans la lutte contre la pauvreté à Antananarivo

Les travailleurs du secteur informel sont-ils les plus heureux29

Perspectives

GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

Réalisation d’une enquête 1-2 au niveau national en 2011-2012 avec l’appui du BIT/PNUD

Valorisation des données existantes à l’aide des études thématiques

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Objectifs de l’enquête Rendre compte des constats sur les conditions de vie

des ménages Informer sur les disparités de ces conditions de vie Décrire les éventuels liens entre les différents

éléments de ces conditions de vie et des caractéristiques des ménages

Particulièrement, la version 2010 de l’EPM contribue à l’évaluation de l’impact de la crise 2009

GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011 32

Caractéristiques techniques- Echantillon aléatoire avec un plan de sondage

aréolaire à deux degrés (choix aléatoire de 623 localités et 20 ménages par localité)

- Soit échantillons aléatoires de 12 460 ménages

- Stratification : Région et milieu (urbain et rural)

- Enquête multi-thème à 16 sections dont la section sur l’    « emploi » et celle de l’  « Entreprise non agricole »

GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011 33

Concepts et definitions• individus en âge de travailler : 5 ans et plus

• actif occupé : ayant exercé une activité économique au moins une heure au cours des 7 derniers jours

• Considération des corvées d’eau et de bois comme activité économique

• chômeur : dépourvu d ’emploi, à la recherche d ’un emploi et disponible à travailler au cours d’une période suffisamment courte

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Concepts et definitions• Unité de production informelle : Unité ne possédant pas

de numéro statistique, ne tenant pas de comptabilité écrite formelle

• Emploi informel : non inscription à la caisse de retraite ou de la caisse de la sécurité sociale, ne bénéficiant pas de congés payés et de la protection sociale

GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011 35

Informations disponibles

Identification des unités de production informelles Enregistrement administratif: registre de

la statistique, sécurité sociale Taille Lieu d’activité

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Informations disponibles

Identification des emplois informels Inscription à la caisse de retraite ou la

caisse de sécurité sociale, droit aux congés payés, droit à la protection sociale

Régularité de l’emploi Lieu d’activité

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Informations disponibles Agrégats économiques issus des déclarations

spontanées des enquêtés (CA, Production, VA, EBE)

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Avantages et limites D’un côté, le traitement de thèmes multiples

constitue une limite des informations disponibles diminuant la qualité des informations

De l’autre côté, cela constitue un point fort dans la mesure où elle permet d’analyser les liens entre différents caractéristiques individuelles

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Avantages et limites Echantillonnage basée sur les données

administratives fournies lors de l’opération de cartographie du futur recensement (le dernier recensement date de 1993)

Formulation trop succincte des questions laissant l’interprétation individuelle des enquêteurs : source d’erreurs d’observation

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Quelques limites Aucune information sur les caractéristiques des

emplois secondaires Aucun détail par produit sur la production et

consommation intermédiaire Non pris en compte de la variation du rythme

d’activité pour l’annualisation des agrégats Les changements méthodologiques et de concepts

rendant difficiles la comparaison inter temporelle des données

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Etudes thématiques Gender disparities in labor market in Madagascar

2001-2005

La vulnérabilité à la pauvreté à Madagascar en 2010

La pauvreté des enfants à Madagascar en 2010

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GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011 43

GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

La matrice des emploisporte d’entrée pour les comptes nationaux Cette matrice sert de référence à la partition

statistique du champ de la production On l’obtient en confrontant la matrice

démographique avec les données d’emplois provenant des sources économiques

Ce travail permet l’élimination des doubles comptes, et le repérage des zones non observées

Elle permet une évaluation directe de l’emploi informel, et peut servir à la localisation du secteur informel

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GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

Contribution des enquêtes phase 1 Le nombre des emplois fourni par la phase 1 de l’ enquête 1-

2-3 (Offre de travail) constitue l’information la plus complète dont on dispose pour cerner au plus près l’univers théorique de la production

De plus, le traitement approprié des données recueillies dans le cadre de cette source permet à la fois un éclairage indirect des zones d’ombre que laissent les enquêtes auprès des établissements (demande de travail)

un contrôle sur les revenus générés par le travail et une estimation de sa productivité.

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GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

Contribution des enquêtes phase 1

Elle présente la meilleure couverture du nombre des personnes actives occupées

En plus, elle peut fournir des données sur les personnes exerçant plus d’un emploi, ainsi que sur le nombre des heures travaillées

On dispose alors de trois variables complémentaires :- le nombre de personnes,- le nombre des emplois exercés,- une mesure de la quantité de travail mise en

œuvre dans l’économie.

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Définitions retenues pour la matrice d’emplois Secteur informel : ensemble des unités de

productions dirigées par les ménages et ne possédant pas de numéro statistique

Emploi informel : emploi non affilié à la caisse de retraite ou la caisse de sécurité sociale, ne bénéficiant pas de congés payés et ne bénéficiant pas de protection sociale

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Définitions retenues pour la matrice d’emplois Employeurs : Dirigeant d’une unité de production

et employant au moins un salarié

Travailleurs à son compte : Dirigeant d’une unité de production et n’employant aucun salarié

GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011 48

Définitions retenues pour la matrice emplois Agriculture : comprenant l’agriculture de

subsistance

Ménage : Services domestiques payés par le ménage

GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011 49

GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

Emploi informel

Localisation des lieux de la comptabilité nationale où peuvent être présents des emplois informels :

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Pistes d’amélioration possibles

Agriculture : Basculement de l’agriculture de subsistance dans le « ménage » à l’aide des informations sur les utilisations des produits agricoles dans le volet « agriculture »

Ménage : Basculement dans les « salariés » des domestiques payés par le ménage participant aux entreprises non agricoles

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GSIA, Yaoundé 14-16 sept 2011

MERCI POUR VOTRE AIMABLE ATTENTION

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